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- TABLE DES MATIÈRES
- TABLE DES ILLUSTRATIONS
- RECHERCHE DANS LE DOCUMENT
- TEXTE OCÉRISÉ
- Première image
- PAGE DE TITRE
- [Epitre à son Altesse Royale Monseigneur le Duc de Savoie] (p.r5)
- [Préface] (p.r11)
- [Extrait des registres de l'Académie Royale des Sciences] (p.r30)
- [Privilège] (p.r31)
- [Avis au relieur] (p.r35)
- [Fautes à corriger] (p.r36)
- PREMIER DISCOURS. Dans lequel on répond à quelques difficultés proposées contre l'ESSAI SUR L'ELECTRICITE DES CORPS (p.1)
- REPONSE à l'Auteur Anonyme de deux Ecrits dont l'un est intitulé, Mémoire sur l'Electricité, & l'autre, Suite du Mémoire sur l'Electricité (p.5)
- REPONSES à quelques endroits d'un Livre publié par M. Louis, Chirurgien de la Salpêtrière, sous le titre, d'Observations sur l'Electricité (p.32)
- REPONSE à M. Bammacare, Professeur de Philosophie à Naples, touchant quelques endroits du Livre qu'il a publié sous ce titre : Tentamen de vi Electricâ, ejusque Phenomenis (p.56)
- REPONSE à M. Morin, Professeur de Philosophie à Chartres, sur plusieurs endroits de son Ecrit intitulé : Nouvelle Dissertation sur l'Electricité (p.76)
- SECOND DISCOURS. Sur les règles qu'on doit suivre, pour juger si un Corps est électrique, ou s'il l'est plus ou moins (p.103)
- Signes auxquels on reconnoît si un corps est plus ou moins électrique (p.105)
- Examen des attractions & répulsions considérées comme signes d'Electricité (p.107)
- PREMIERE EXPERIENCE qui prouve que le corps qu'on nomme communément, non Electrique, attire & repousse comme ceux qu'on a électrisés ex professo (p.108)
- II. EXP. Qui prouve la même chose (p.108)
- III. & IV. EXP. Qui confirment encore la même vérité (p.109)
- Conséquences qu'on peut tirer de ces expériences (p.110)
- Objections & réponses qu'on peut faire touchant cette doctrine (p.110)
- V. EXP. Qui prouve d'une manière complette, que le corps qu'on nomme, non Electrique, l'est véritablement, ou représente les mêmes effets que s'il l'étoit (p.116)
- Principe d'expérience, d, d'où il suit que les corps légers doivent être mieux attirés, quand ils sont posés sur certains appuis (p.119)
- VI. EXP. Qui prouve la justesse & la vérité de cette conséquence (p.121)
- VII. EXP. qui confirme la même vérité, par un effet contraire (p.124)
- Nécessité de présenter des corps de même grandeur & de même figure, à deux corps électriques, dont on compare les degrés d'électricité (p.128)
- VIII. EXP. Qui prouve que les petits corps qui s'électrisent le mieux par communication, sont plus susceptibles que d'autres, d'être repoussés par un corps électrique (p.130)
- Difficultés proposées par M. Allamand (p.132)
- Réponses aux difficultés de Mr Allamand (p.132)
- Ce qu'on peut conclure de cette première discussion (p.134)
- Examen des émanations électriques, considérées comme signes d'électricité (p.134)
- La matière électrique en sortant des corps, enlève ce qu'elle rencontre à leur surface (p.140)
- IX. EXP. Qui le prouve (p.140)
- X. EXP. Qui confirme la même vérité (p.140)
- L'attouchement des émanations électriques peut être un signe équivoque par certaines circonstances (p.143)
- Examen des aigrettes lumineuses considérées comme signes d'électricité (p.143)
- Les aigrettes les plus grandes & les plus lumineuses, ne sont pas toujours des marques d'une plus forte électricité de la part du corps électrisé (p.143)
- Premier fait qui le prouve (p.144)
- Second fait qui prouve la même vérité (p.144)
- XI. EXP. Qui démontre le second fait (p.145)
- XII. EXP. Qui sert encore de preuve au second fait (p.146)
- Conséquences du premier fait (p.147)
- Objection & réponse touchant cette conséquence (p.148)
- Conséquence du second fait (p.149)
- Objection & réponse touchant cette dernière conséquence (p.150)
- Examen des étincelles électriques, considérées comme signe d'électricité (p.151)
- L'éclat & la grandeur des étincelles ne prouve pas toujours une plus grande vertu de la part du corps électrisé (p.154)
- La douleur que les étincelles font sentir est encore un signe moins certain (p.151)
- Conclusion générale de tous ces examens (p.155)
- Règles qu'on doit suivre, pour ne se point tromper sur les signes d'électricité qu'on a examiné dans ce Discours (p.156)
- Première règle (p.156)
- Seconde règle (p.156)
- Troisième règle (p.157)
- Espèce d'Electrometre, ou instrument propre à mesurer la force de l'électricité, dans bien des occasions (p.157)
- XIII. EXP. Imaginée par M. Waitz, pour servir d'électrometre (p.161)
- TROISIEME DISCOURS. Des circonstances favorables ou nuisibles à l'Electricité (p.164)
- Première distinction préliminaire (p.166)
- Seconde distinction (p.167)
- Troisième distinction (p.168)
- Quatrième distinction (p.169)
- Le beau & le mauvais tems influent-ils sur l'Electricité ? (p.173)
- L'électricité est presque toujours foible par un tems pluvieux & doux (p.175)
- PREMIERE EXPERIENCE par laquelle on voit que cela est en Allemagne comme en France (p.177)
- Par quel endroit l'humidité nuit-elle à l'électricité ? (p.178)
- Le corps qui frotte doit être sec par la partie qui est immédiatement appliquée au verre (p.178)
- Les corps que l'on frotte pour les électriser, doivent être secs, tant en dedans qu'en dehors (p.180)
- Le verre ne s'électrise plus par frottement quand il est mouillé, même avec la plupart des liqueurs grasses & inflammables (p.180)
- Le frottement du mercure électrise le verre (p.181)
- Pourquoi certains baromètres sont lumineux en la partie qui est vuide (p.181)
- II. EXP. Qui prouve qu'un vaisseau de verre, intérieurement humide, ne s'électrise point par frottement, ou perd son électricité, s'il en a (p.182)
- Il y a certains liquides, qui, comme le mercure ne nuisent point à l'électrisation du verre (p.183)
- III. EXP. Qui le prouve (p.185)
- Ces mêmes matières liquides, ou liquéfiées qui ne nuisent point par elles-mêmes à l'électricité du verre, y deviennent contraires dès qu'elles contiennent quelque humidité (p.186)
- IV. EXP. Qui le prouve (p.186)
- L'humidité ne nuit point à l'électricité du corps, à qui, & par qui l'on communique cette vertu (p.187)
- L'humidité du lieu où l'on opere, nuit au succès des expériences électriques (p.189)
- V. EXP. Qui prouve que les vapeurs des matières qu'on fait brûler, nuisent à l'électricité, lorsqu'elles agissent de fort près (p.193)
- VI. EXP. Qui fait voir que parmi ces vapeurs, il y en a qui nuisent plus efficacement que les autres (p.194)
- VII. EXP. Par laquelle on fait voir que les vapeurs non aqueuses, qui règnent dans le lieu où l'on excite l'électricité, ne nuisent pas sensiblement à cette vertu (p.196)
- VIII. EXP. Qui prouve que les odeurs ne nuisent pas sensiblement à l'électricité (p.198)
- Effets de la flamme sur les tubes de verre électrisés (p.199)
- IX. EXP. Par laquelle on peut prouver que la flamme détruit l'électricité (p.201)
- Expérience de M. du Fay, qui semble prouver le contraire (p.202)
- Manière de concilier l'expérience de M. du Fay avec la précédente (p.203)
- X. EXP. Qui infirme cette dernière explication (p.204)
- XI. EXP. Par laquelle il paroît que la flamme reçoit & communique l'électricité (p.205)
- XII. EXP. Par laquelle cela paroît encore être confirmé (p.207)
- Observation sur cette dernière expérience (p.208)
- XIII. EXP. Concernant encore la même question (p.210)
- Ce qu'on peut conclure de toutes ces expériences (p.211)
- XIV. EXP. Qui prouve que quand la flamme nuit à l'électricité, ce n'est pas comme ayant de la chaleur (p.214)
- XV. EXP. Par laquelle on détermine le degré de chaleur que doit avoir un corps, pour nuire à l'électricité (p.215)
- XVI. Par laquelle il paroît que la flamme ne nuit point à la vertu électrique, entant qu'elle est lumineuse (p.217)
- Le voisinage d'un corps enflammé ne détruit l'électricité, que parce qu'il exhale une vapeur très-subtile (p.218)
- La chaleur de l'air ne nuit point par elle-même à l'électricité ; il est probable que ce sont les vapeurs subtiles dont il est alors chargé (p.222)
- Le grand froid est plus nuisible que favorable à l'électricité, à moins que le corps frotté, & celui qui frotte, n'ayent un certain degré de chaleur (p.224)
- XVII. EXP. qui le prouve (p.224)
- La densité de l'air plus ou moins grande, influe-t-elle sur les phénomènes électriques ? (p.227)
- Tentatives faites par plusieurs Physiciens, pour décider cette question (p.228)
- Ce qu'on a fait à cet égard mérite révision (p.230)
- Nouvelles épreuves faites pour éclaircir les difficultés qui restoient (p.232)
- XVIII. EXP. par laquelle il paroit bien constaté que le verre s'électrise très-sensiblement dans le vuide ; mais cependant plus foiblement qu'en plein air (p.233)
- XIX. EXP. par laquelle on prouve que l'électricité agit avec beaucoup de force du plein dans le vuide (p.239)
- XX. EXP. qui confirme la même vérité (p.240)
- XXI. EXP. par laquelle on prouve que ce qui produit les phénomènes électriques dans le vuide de Boyle, n'est pas le peu d'air qui peut être resté dans le récipient (p.242)
- Différence considérable entre la lumière électrique dans le vuide, & celle qui paroît en plein air (p.243)
- Raisons de cette différence (p.244)
- XXII. EXP. qui rend ces raisons très-plausibles (p.249)
- XXIII. EXP. qui met sous les yeux des phénomènes très-curieux, & très-favorables à cette opinion (p.251)
- Expérience à faire dans l'air condensé (p.256)
- Difficultés qu'il faut vaincre pour les faire comme il faut (p.256)
- Mrs. Gray & du Fay ont eu raison d'établir comme une règle générale, qu'il faut isoler les corps auxquels on veut communiquer l'électricité (p.262)
- L'exemple de la bouteille qui devient électrique dans l'expérience de Leyde, n'est qu'une exception à la loi générale (p.263)
- Les corps qui ressentent la commotion dans cette même expérience, ne peuvent pas même être cités comme une exception à la loi établie par Mrs. Gray & du Fay (p.265)
- QUATRIEME DISCOURS. Dans lequel on examine, 1°. Si l'électricité se communique en raison des masses, ou en raison des surfaces ; 2°. Si une certaine figure ou certaines dimensions du corps électrisé, peuvent contribuer à rendre sa vertu plus sensible, 3°. Si l'électrisation qui dure long-tems, ou qui est souvent répétée sur la même quantité de matière, peut en altérer les qualités, ou en diminuer la masse (p.267)
- Examen de la première question (p.267)
- Etat de la question (p.268)
- Ce qui a donné lieu à cette question (p.268)
- Expériences relatives à cette question (p.279)
- PREMIERE EXPERIENCE (p.279)
- II. EXPERIENCE (p.282)
- III. EXPERIENCE (p.283)
- IV. EXPERIENCE (p.284)
- V. EXPERIENCE (p.285)
- Conclusion tirée des expériences touchant la première question (p.286)
- Première observation sur la question précédente, & sur les expériences faites en conséquence (p.287)
- Seconde observation (p.288)
- VI. EXP. qui prouve qu'une grosse masse s'électrise plus lentement qu'une plus petite masse de la même espèce (p.289)
- VII. EXP. par laquelle on confirme la même vérité (p.292)
- Troisième observation (p.293)
- Quatrième observation (p.294)
- VIII. EXP. par laquelle on fait voir qu'une certaine masse qui n'a pas assez de continuité dans sa surface, ne s'électrise pas aussi-bien que si elle étoit sous une surface non interrompue (p.295)
- Explications des phénomènes observés ci-dessus (p.295)
- Examen de la seconde question (p.299)
- IX. EXP. relative à cette question (p.303)
- Conclusion sur la première partie de la seconde question (p.303)
- Examen de la deuxième partie de la seconde question (p.304)
- X. EXP. qui fait voir que les corps électrisés, dont la surface est convexe, ou arrondie, produisent des étincelles plus fortes (p.305)
- Explication de ce phénomène, & de quelques autres semblables (p.306)
- XI. EXP. Nouveau phénomène observé par M. Jallabert (p.312)
- Examen de la troisième question (p.315)
- Appareil pour les expériences qui ont rapport à cette question (p.316)
- XII. EXP. sur des quantités égales d'eau commune contenues dans les tasses ou capsules de verre dont l'ouverture avoit 4 pouces de diametre (p.323)
- XIII. EXP. sur d'autres liqueurs électrisées suivant le même procédé (p.323)
- XIV. EXP. sur des quantités égales d'eau commune contenues dans les tasses ou capsules d'étain, dont l'ouverture avoit 4 pouces de diamètre (p.324)
- XV. EXP. sur d'autres liqueurs électrisées suivant le même procédé (p.325)
- XVI. EXP. sur des quantités égales d'eau commune, contenues dans des petites carafes de verre dont l'ouverture avoit un pouce de diamètre (p.325)
- XVII. EXP. sur d'autres liqueurs électrisées suivant le même procédé (p.326)
- XVIII. EXP. sur différentes liqueurs électrisées dans des vaisseaux de verre & de fer blanc, bien bouchés (p.327)
- Résultats des expériences faites sur les liqueurs (p.327)
- Expériences de M. Pivati, publiées à Venise (p.329)
- XIX. EXP. faite à dessein de vérifier celles de M. Pivati, touchant la transmission des odeurs (p.330)
- XX. EXP. faite dans la même vûe (p.331)
- XXI. EXP. sur des poires de beurré blanc (p.333)
- XXII. EXP. sur differens corps solides électrisés dans les mêmes circonstances (p.334)
- Résultats des expériences faites sur les corps solides. (p.334)
- Conclusion sur la première partie de la troisième question (p.335)
- Examen de la seconde partie de la troisième question (p.336)
- XXIII. EXP. faite sur des aimans, tant naturels qu'artificiels (p.337)
- Thermometres électrisés de différentes façons (p.338)
- XXIV. EXP. par laquelle il paroît que la simple électrisation ne fait pas monter la liqueur du Thermometre (p.339)
- XXV. EXP. qui fait voir que les aigrettes lumineuses n'échauffent pas sensiblement le Thermometre (p.339)
- XXVI. EXP. par laquelle on voit que l'Electricité ne retarde ni n'accélere le refroidissement des liqueurs chaudes (p.340)
- CINQUIEME DISCOURS. Dans lequel on examine quels sont les effets de la vertu électrique sur les Corps organisés (p.342)
- Phénomène qui a donné lieu aux recherches continues dans ce Discours (p.343)
- Expériences faites sur des écoulemens électrisés. Première suite (p.344)
- Procédé qu'on a suivi dans ces expériences (p.345)
- Résultats de ces expériences (p.348)
- Explications des phénomènes observés dans le cours de ces expériences (p.349)
- Circonstances remarquables des écoulemens électrisés dans un lieu obscur (p.353)
- Application de ces expériences aux corps organisés, premièrement aux plantes (p.355)
- Expériences faites sur des semences & sur des plantes électrisées. Seconde suite (p.358)
- Résultats de ces expériences (p.361)
- Applications des expériences sur les écoulemens aux corps animés (p.363)
- Expériences faites sur des animaux électrisés. Troisième suite (p.367)
- Appareil des expériences (p.366)
- Expériences faites sur des chats (p.373)
- Expériences faites sur des pigeons (p.375)
- Expériences faites sur des pinçons & sur des bruants (p.377)
- Résultats & conséquences qu'on peut tirer de toutes ces expériences comparées entre elles (p.379)
- Application de ces dernieres épreuves au corps humain (p.382)
- Difficultés qui empêchent qu'on ne fasse ces expériences avec une grande précision (p.384)
- Précautions à prendre, pour faire ces expériences avec exactitude (p.386)
- Résultats des expériences faites sur le corps humain (p.387)
- Usage que l'on pourroit faire de ces expériences dans la Médecine (p.388)
- Expérience qui prouve invinciblement l'existence de la matiere électrique affluente, & qui donne lieu à de nouvelles épreuves sur les animaux & sur les plantes (p.390)
- Expériences faites sur des animaux placés dans le voisinage d'un corps électrisé. Quatrième suite (p.392)
- Ce qui résulte de ces expériences, par rapport à la Médecine & à la Botanique (p.399)
- Réflexion importante sur cette dernière façon d'appliquer la vertu électrique (p.400)
- Expérience qui justifie cette réflexion (p.401)
- Règles qu'on doit suivre, si l'on employe l'Electricité comme remède (p.403)
- Expériences faites sur des Paralytiques, à l'Hôtel Royal des Invalides. Cinquième suite (p.407)
- Procédé qu'on a suivi dans ces expériences (p.408)
- Effets de l'Electricité sur les Paralytiques de l'Hôtel des Invalides (p.410)
- Derniers résultats de ces expériences (p.411)
- Conséquences qu'on peut tirer de ces résultats (p.412)
- Expériences très-surprenantes faites en Italie, sur divers malades (p.417)
- Les expériences d'Italie, tentées sans succès en France, en Angleterre & en Allemagne (p.421)
- Appendice dans lequel on expose un nouveau phénomène d'Electricité, qui jette beaucoup de jour sur l'expérience de Leyde (p.425)
- Table des matières contenues dans ce volume (p.431)
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____2(58 Recherches
—jy— la vertu. éleélrique : ces expreflions Disc, géométriques en raifort des majfes, en raifort des furfaces. pourraient faire croire que je me fuis flatté de faire connoître, quelle eft au jufte la quantité aftuelle d’éleftricité qui fe trouve dans un corps à mefure qü’on en change l’étendue ou le poids dans des proportions connues ; prétention que je n’ai point, & que je n’o-ferois avoir, tant qu’il nous manquera un infiniment bien éprouvé, ou un moyen sûr pour juger des degrés que peut recevoir la vertu éleârique. Je me conforme feulement au langage de ceux qui ont propofé laqueftion, & qui ne fçavoient peut-être pas allez combien il efi difficile de la réfoudre, en ne s’écartant pas des termes dans lefquels elle eft con-Etit delà çue. Tout mon deflein eft de fça-eueibon. voir fi l’éleftricité eft fenfiblement plus forte dans les corps de la même efpece qui ont plus de malle ; fi la même quantité de matière ayantplus de furface s’éleélrife davantage, & fi pour rendre plus grands les effets de la vertu éleârique, il eft plus expédient d'augmen ter la malle, que
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour cette page est de 91,79 %.
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—jy— la vertu. éleélrique : ces expreflions Disc, géométriques en raifort des majfes, en raifort des furfaces. pourraient faire croire que je me fuis flatté de faire connoître, quelle eft au jufte la quantité aftuelle d’éleftricité qui fe trouve dans un corps à mefure qü’on en change l’étendue ou le poids dans des proportions connues ; prétention que je n’ai point, & que je n’o-ferois avoir, tant qu’il nous manquera un infiniment bien éprouvé, ou un moyen sûr pour juger des degrés que peut recevoir la vertu éleârique. Je me conforme feulement au langage de ceux qui ont propofé laqueftion, & qui ne fçavoient peut-être pas allez combien il efi difficile de la réfoudre, en ne s’écartant pas des termes dans lefquels elle eft con-Etit delà çue. Tout mon deflein eft de fça-eueibon. voir fi l’éleftricité eft fenfiblement plus forte dans les corps de la même efpece qui ont plus de malle ; fi la même quantité de matière ayantplus de furface s’éleélrife davantage, & fi pour rendre plus grands les effets de la vertu éleârique, il eft plus expédient d'augmen ter la malle, que
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