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- TABLE DES MATIÈRES
- TABLE DES ILLUSTRATIONS
- RECHERCHE DANS LE DOCUMENT
- TEXTE OCÉRISÉ
- LISTE DES VOLUMES
- Première image
- PAGE DE TITRE
- TABLE DES MATIÈRES (p.421)
- ART MILITAIRE. -- MARINE
- La fabrication mécanique des hélices aériennes (JACQUES BOYER) (p.26)
- Le nouveau dirigeable italien (H. VOLTA) (p.63)
- L'évolution de l'aviation allemande (JEAN-ABEL LEFRANC) (p.81)
- Efficacité des bombardements terrestres et aériens (X...) (p.103)
- A propos de l'avion sanitaire (Pr R. BLANCHARD) (p.106)
- L'examen des aviateurs américains (R. M.) (p.111)
- La lutte contre les sous-marins et les inventeurs (H. VOLTA) (p.113)
- La protection des navires contre les sous-marins (H. VOLTA) (p.145)
- Le chargement et le vidage des projectiles (R. LEVATEL) (p.159)
- Évolution de l'aviation allemande (Lt JEAN-ABEL LEFRANC) (p.81)
- Évolution de l'aviation allemande (Lt JEAN-ABEL LEFRANC) (p.161)
- Évolution de l'aviation allemande (Lt JEAN-ABEL LEFRANC) (p.289)
- La guerre navale en 1917, 1re partie (E. BERTIN) (p.177)
- La guerre navale en 1917 (2e partie) (E. BERTIN) (p.193)
- Les grands cargos en ciment (H. VOLTA) (p.231)
- Notions de balistique et tirs à grande portée (H. VOLTA) (p.253)
- Les fusées lumineuses et les artifices de guerre (R. LEVATEL) (p.305)
- Les obus shrapnels (H. VOLTA) (p.321)
- Les transporteurs aériens dans la guerre de montagne (M. BOUSQUET) (p.360)
- Tanks industriels (H. VOLTA) (p.369)
- Les sirènes avertisseuses des bombardements aériens (JACQUES BOYER) (p.382)
- L'uniforme et l'équipement du soldat américain (A. B.) (p.392)
- Comment augmenter la portée des canons (H. VOLTA) (p.410)
- ÉTUDES ÉCONOMIQUES ET GÉOGRAPHIQUES
- Les futures routes d'exportation des céréales du Canada (CHARLES RABOT) (p.1)
- Les agrandissements du port de Dunkerque (A. BRETON) (p.13)
- Blaye, port franco-italien (A. PAWLOWSKI) (p.17)
- Les ressources et l'avenir économique de la Palestine (JACQUES BOYER) (p.33)
- Les frontières linguistiques en Europe (R. M.) (p.40)
- L'avenir agricole et pastoral du Sahara (J. NICOLAS BRUSSE) (p.76)
- Cette, port franco-suisse (AUGUSTE PAWLOWSKI) (p.93)
- La République Argentine (G. L.) (p.136)
- Les Îles d'Aland (CHARLES RABOT) (p.214)
- Le ravitaillement de la Belgique et de la France envahies (R. M.) (p.233)
- La carte linguistique de la péninsule des Balkans (A. BÉLITCH) (p.246)
- Le Brésil, fournisseur de viande des Alliés (CHARLES RABOT) (p.261)
- Un chapitre de notre productivité nationale. Effort piscicole (PAUL HUBAULT) (p.263)
- Les agrandissements des ports de la Basse-Loire (A. BRETON) (p.271)
- La valeur économique de l'Alsace-Lorraine (L. DE LAUNAY) (p.273)
- L'état actuel des routes du Cap au Caire (CHARLES RABOT) (p.299)
- La campagne américaine contre le dépeuplement de la France (Dr CLOTILDE MULON) (p.302)
- Les agrandissements du Port de Bordeaux (A. BRETON) (p.318)
- A travers les revues techniques allemandes (L. C.) (p.152)
- A travers les revues techniques allemandes (L. C.) (p.333)
- A travers les revues techniques allemandes (L. C.) (p.348)
- Le transcontinental australien (A. BRETON) (p.334)
- Le mouvement industriel et la décentralisation : Le Rhône (ANDRÉ KOEHLER) (p.344)
- La valeur économique du Frioul (P. SALLIOR) (p.397)
- L'évolution industrielle de la région pyrénéenne (A. PAWLOWSKI) (p.401)
- Projet du tunnel sous la Seine, du Havre à Honfleur (p.62)
- Emploi nutritif des algues (p.110)
- Valeur boulangère des farines (p.143)
- CHIMIE
- MÉDECINE, CHIRURGIE, BIOLOGIE, HYGIÈNE
- La transfusion du sang (A.-C. GUILLAUME) (p.56)
- La dosimétrie en X-radiothérapie dans les services de l'armée (ERNEST COUSTET) (p.95)
- Les appareils respiratoires clos. Le nouvel appareil Gibbs (A. B.) (p.133)
- Les leishmanioses (R. M.) (p.154)
- La chloration (R. M.) (p.257)
- Méthodes américaines d'anesthésie (R. M.) (p.309)
- La question de la viande (DANIEL CLAUDE) (p.375)
- La plaie de guerre (R. M.) (p.378)
- Principes physiologiques du ravitaillement (D. CLAUDE) (p.406)
- Les laboratoires aux armées (Dr CRINON) (p.414)
- Altérations du pain de guerre (p.46)
- Les leucocytes dans la tuberculose (p.78)
- L'emploi du kapok dans les pansements (p.110)
- Recherches des bacilles d'Eberth dans les eaux (p.126)
- Épidermisation anormale après balnéation aux hypochlorites (p.126)
- Traitement de la tuberculose par inhalations antiseptiques (p.126)
- L'olfaction (p.127)
- Les anophèles paludéens (p.207)
- Valeur alimentaire du blé total (p.207)
- Études de la leucocytose digestive (p.208)
- Nouvelle méthode de coloration du bacille de la tuberculose (p.208)
- Prophylaxie de la fièvre de Malte (p.208)
- La cicatrisation des plaies (p.208)
- Le rôle du chondriome dans la cellule (p.252)
- Préparation d'un colloïde organique par le sérum humain (p.285)
- Le pouls cérébral dans les émotions (p.285)
- Densité du sang après les grandes hémorragies (p.302)
- Le bacille paratyphique équin (p.302)
- La mort par hémorragie (p.365)
- La persistance des impressions lumineuses sur la rétine (p.381)
- Action des traumatismes sur la sécrétion urinaire (p.381)
- Déterminisme du résidu indigestible in vitro (p.381)
- Action de l'éther sur le virus rabique (p.382)
- GÉOGRAPHIE. -- GÉOLOGIE. -- MINÉRALOGIE
- Un précurseur en géologie (L. DE LAUNAY) (p.30)
- Les rivières de Paris (P. CHEVOLOT) (p.73)
- La catastrophe de Halifax (V. FORBIN) (p.78)
- Les nouveaux gisements de mica en Amérique (JACQUES BOYER) (p.124)
- Le désastre de San Salvador (p.62)
- Le volcan Laziale (p.62)
- Les boues activées (p.63)
- Nappes de charriage dans la région de Tunis (p.110)
- Le terrain houiller de la Savoie (p.127)
- Géologie du Maroc (p.174)
- La connexion ancienne de l'Amérique du Sud et de l'Afrique (p.206)
- Une théorie de la croûte terrestre (p.208)
- Géologie de la Guinée française (p.224)
- La recherche spectrale du bore (p.252)
- Terrain houiller (le) des Asturies (p.252)
- Chronologie des temps quaternaires (p.270)
- Roches de la Guinée française (p.285)
- Reproduction expérimentale des phénomènes géologiques (p.302)
- Les minerais de la Sierra de Cordoba (Espagne) (p.349)
- Les minerais aurifères de la Côte d'Ivoire (p.305)
- Le houiller des Asturies (p.381)
- Antimoine de Sardaigne (p.382)
- Tremblement de terre (p.399)
- HISTOIRE NATURELLE. -- BIOLOGIE. -- ZOOLOGIE. -- BOTANIQUE
- Les bactéries ferrugineuses (J. BOYER) (p.250)
- Les origines des lézards (p.302)
- Les chenilles des piérides et leurs méfaits (JACQUES BOYER) (p.366)
- La toxicité du sérum de la murène (p.31)
- Le rôle des nageoires dans les poissons téléostéens à vessie natatoire (p.46)
- Animaux à os perçants (p.46)
- Les polypiers constructeurs (p.207)
- Genèse de l'inuline chez les végétaux (p.207)
- Les moeurs des ammophiles (p.285)
- Influence des acides sur la germination (p.285)
- INDUSTRIE. -- MÉCANIQUE. -- TRAVAUX PUBLICS
- Chauffage des habitations par station centrale urbaine (BOUSQUET) (p.20)
- La plus puissante locomotive électrique (VOLTA) (p.16)
- Une industrie monopolisée par la France depuis la guerre. Le filage du rotin (DE LA CERISAIE) (p.38)
- Les mauvais combustibles. Comment on les améliore. Le lavage des charbons (LOUIS RENIÉ) (p.49)
- Routes anglaises et américaines en béton armé (M. BOUSQUET) (p.65)
- Les industries de houille blanche (BARBILLON) (p.89)
- Les hauts fourneaux de Caen (AUGUSTE PAWLOWSKI) (p.97)
- Les électro-aimants de levage (ERNEST COUSTET) (p.127)
- Quelques progrès récents en métallurgie du cuivre (LÉON GUILLET) (p.129)
- La plasticité des argiles (P. SALLIOR) (p.158)
- Le " Cement-Gun " ou canon à ciment (BOUSQUET) (p.171)
- Le Congrès national du génie civil (MIRGAL) (p.191)
- La question du gaz pour le chauffage domestique (A. B.) (p.209)
- Le transbordeur de Bordeaux (C. MANCEAU) (p.221)
- Les combustibles inférieurs (LOUIS RENIÉ) (p.225)
- Le papier d'alfa (PIERRE DE MONTGOLFIER) (p.267)
- La soudure électrothermique (M. BOUSQUET) (p.241)
- Les nouvelles lampes électriques (A. SOULIER) (p.281)
- L'habitation et les trépidations de la chaussée (M. BOUSQUET) (p.296)
- Une culture intensive de pâte à papier (L. DE LAUNAY) (p.312)
- L'industrie des matières colorantes aux États-Unis (JACQUES BOYER) (p.315)
- L'amiante et ses applications modernes (ALFRED RENOUARD) (p.327)
- L'industrie des bois plaqués (JACQUES BOYER) (p.349)
- Le séchage des légumes et des fruits (A. B.) (p.385)
- Les derniers perfectionnements dans la filature et le moulinage de la soie (ANDRÉ KOEHLER) (p.389)
- Durcissement des rails de tramways (H. VOLTA) (p.399)
- Évolution de la région pyrénéenne (p.401)
- Utilisation du marc de raisin comme combustible (p.15)
- Briques de silice (p.399)
- Essais des matériaux à la bille Brinell (p.399)
- Fabrication de la soie artificielle (p.399)
- PHYSIQUE. -- ASTRONOMIE. -- MÉTÉOROLOGIE
- L'illusion du trou dans la main (VOLTA) (p.31)
- L'observatoire du Mont Wilson (LÉOPOLD REVERCHON) (p.53)
- Les sels lumineux radifères (FÉLIX COLOMER) (p.87)
- L'étude des mouvements de la mer et le bathyrhéomètre (H. VOLTA) (p.107)
- L'extension à la mer du régime des fuseaux horaires (P. VINCENT) (p.143)
- Nouveau mode d'indication de la pression barométrique (p.222)
- Une nouvelle pile à dépolarisant par l'air (H. VOLTA) (p.224)
- Une nouvelle preuve de la rotation de la terre (H. V.) (p.237)
- Le mésorhéomètre (p.62)
- Le tube de Newton (p.62)
- La loi des densités à l'intérieur d'une masse gazeuse (p.62)
- Emploi du stéréoscope pour l'examen des projections superposées (p.62)
- Variations nocturnes du vent en altitude (p.62)
- Structure en gradins de certains liquides (p.126)
- Le spectre de lignes du titane (p.126)
- Relations entre les variations du baromètre et celles du vent au sol (p.127)
- Nouvelle méthode de formation des nitriles par catalyse (p.174)
- Un photomètre stellaire (p.207)
- L'âge du Soleil et de la Terre (p.207)
- La diffraction solaire (p.207)
- Vaporisation du pétrole (p.208)
- Les constantes critiques du mercure (p.208)
- Propriétés magnétiques du manganèse (p.208)
- Substitution du temps civil au temps astronomique dans les éphémérides nautiques (p.223)
- Les sens des rotations (p.349)
- Contraction et évolution du soleil (p.365)
- Le magnétisme des terres cuites préhistoriques (p.365)
- ORGANISATION SCIENTIFIQUE ET INDUSTRIELLE
- Les méthodes modernes de magasinage de charbon (H. VOLTA) (p.286)
- Le développement de l'industrie hôtelière (L. AUSCHER) (p.326)
- Les laboratoires sidérurgiques modernes : Leurs méthodes et leur outillage (ANDRÉ CORNU-THÉNARD) (p.337)
- Les laboratoires sidérurgiques modernes : Leurs méthodes et leur outillage (ANDRÉ CORNU-THÉNARD) (p.353)
- Le machinisme dans le service postal américain (H. VOLTA) (p.363)
- Les recherches dans l'industrie (p.284)
- AGRICULTURE
- Les plantations de caoutchouc dans le présent et dans l'avenir (H. JUMELLE) (p.8)
- Les avatars d'une culture textile en Amérique. L'agave du Mexique (ALFRED RENOUARD) (p.69)
- L'électroculture (M. BOUSQUET) (p.120)
- Production et utilisations du topinambour (HENRI BLIN) (p.140)
- Nouvelle méthode d'examen des oeufs par la photographie (JACQUES BOYER) (p.174)
- Le labourage électrique (L.) (p.216)
- Une merveilleuse plante sucrière. Le Sorgho (JACQUES BOYER) (p.239)
- Abréviation du développement chez la carotte et la betterave (p.61)
- Analyse photographique des oeufs (p.62)
- Influence des sels métalliques sur la germination (p.126)
- Extension de la culture de la vigne (p.207)
- Le nitrate d'ammoniaque comme engrais (p.381)
- DIVERS
- Dernière image
- Première image
- PAGE DE TITRE
- Fig. 1. -- Gare terminus du Canadian Northern Railway à Port-Arthur (Lac Supérieur) (p.1)
- Fig. 2. -- Vue de Port-Arthur (Lac Supérieur). Un convoi de steamers chargés de blé quittant le port (p.2)
- Fig. 3. -- Les voies de communication de l'Ouest Canadien avec l'Atlantique. En cartouche, en haut : le canal Welland entre les lacs Érié et Ontario ; en bas : le canal Rideau entre Kingston et Ottawa et les canaux latéraux du Saint-Laurent permettant d'éviter les rapides (p.3)
- Fig. 4. -- Élévateur à Port-Arthur (Lac Supérieur) (p.4)
- Fig. 5. -- Sur le canal Welland (p.5)
- Fig. 1. -- Hévéas au champ d'essai à Ong-Yem (Cochinchine) (p.9)
- Fig. 2. -- La saignée des Hévéas à Ceylan (p.9)
- Fig. 3. -- L'enfumage du caoutchouc en Amazonie (p.10)
- Fig. 4. -- Cuvette pour la coagulation du biscuit (25 cm de diamètre) (p.11)
- Fig. 5. -- Cuvette pour la coagulation-des sheets (40 X 20 cm) (p.11)
- Fig. 6. -- Machine à laver le caoutchouc J. Robinson (p.12)
- Fig. 7. -- Macérating-creping. Machine de Robert Bridge (p.12)
- Plan du port de Dunkerque (p.14)
- Fig. 1. -- Vue de la locomotive électrique de 7 000 chevaux (p.16)
- Fig. 2. -- Dispositif d'entraînement des roues motrices par accouplement élastique (p.16)
- Fig. 1. -- Blaye avant les travaux (p.17)
- Fig. 2. -- Vue générale des appontements à l'ouverture du nouveau port (septembre 1916) (p.18)
- Fig. 3. -- Trains de charbon en partance pour l'Italie (1917) (p.19)
- Fig. 1. -- Dispositif des conduits souterrains et de leur revêtement (American District Steam C. Y.) (p.21)
- Fig. 2. -- Dispositif d'un joint de dilatation (p.21)
- Fig. 3. -- Compteur d'abonné (p.21)
- Fig. 4. -- Détail du détendeur Sylphon (p.22)
- Fig. 5. -- Détail de l'installation chez l'abonné (p.22)
- Fig. 6. -- Application de la théorie du chauffage central collectif à un secteur parisien. (M. Beaurrienne, architecte.) (p.23)
- Fig. 7. -- Chauffage général par une usine centrale de bâtiments des Administrations de la Ville de Paris (XIVe arrondissement) (d'après M. A. Rey, architecte) (p.24)
- Fig. 1. -- Stades de la fabrication d'une hélice aérienne : a) bloc montrant les 7 lames constitutives d'une hélice b) bloc taillé ; c) hélice après son sculptage mécanique ; d) hélice terminée (p.26)
- Fig. 2. -- Mise en presses des hélices. (On renferme les larmes collées à la caséine dans des sortes de caisses à claire-voie dites chantiers de collage qu'on glisse entre les montants de fer de presses spéciales.) (p.27)
- Fig. 3. -- Machine Selmersheim permettant de sculpter 4 blocs d'hélice à la fois (p.28)
- Fig. 4. Contrôle des pales d'hélice au moyen de l'équilibreuse (p.29)
- Fig. 1. -- L'expérience du " trou dans la main " (p.32)
- Fig. 2. -- L'expérience du " trou dans la main ". Ce que l'on voit (p.32)
- Fig. 1. -- Jérusalem. Porte de Damas (p.33)
- Fig. 2. -- Jérusalem. Église du Saint-Sépulcre (p.34)
- Fig. 3. -- Jérusalem. Mosquée d'Omar construite sur l'emplacement probable du temple de Salomon (p.35)
- Fig. 4. -- Jaffa. Arrivée de caisses d'oranges à dos de chameaux (p.36)
- Fig. 5. -- Une Orangerie en Palestine (p.37)
- Fig. 6. -- Jérusalem. Vue panoramique de l'ancienne enceinte (p.37)
- Fig. 1. -- Lianes à rotin dans une forêt de Bornéo (p.39)
- Fig. 2. -- Un atelier de fendage du rotin (p.39)
- Fig. 3. -- Confection des paniers d'obus en bois et rotin pour l'artillerie allemande (p.40)
- Fig. 1. -- Frontière linguistique franco-flamande, établie par Dominian d'après le recensement de 1910 de la statistique de la Belgique (p.41)
- Fig. 2. -- Frontière linguistique franco-allemande, établie par Dominian d'après le recensement allemand de 1910 (p.41)
- Fig. 3. -- Limites du français et de l'allemand en Suisse (p.42)
- Fig. 4. -- Frontière linguistique entre le Danemark et l'Allemagne : à gauche, d'après les documents danois ; à droite, d'après les documents allemands (p.43)
- Fig. 5. -- Les frontières linguistiques en Europe, d'après Dominian (p.44)
- Fig. 6. -- Les langues de l'Autriche-Hongrie, d'après Dominian (p.45)
- Fig. 1. -- L'avion sanitaire à l'aérodrome avec croix rouge sous les ailes (p.48)
- Fig. 2. -- L'atterrissage (8 novembre 1917) à côté de l'ambulance chirurgicale de B... (p.48)
- Fig. 1. -- Trieur automatique de charbon système Laegerfield (p.49)
- Fig. 2. -- Bac à piston pour lavage des charbons (p.50)
- Fig. 3. -- Lavoir Elliott (p.51)
- Fig. 4. -- Rhéolaveur à courants ascendants multiples (p.51)
- Fig. 5. -- Courbes de lavabilité (p.52)
- Fig. 6. -- Bacs laveurs à main (p.53)
- Fig. 1. -- Dôme et fondations du grand télescope (p.54)
- Fig. 2. -- L'axe de l'équatorial et une des sections du télescope du Mont Wilson (p.55)
- Fig. 1. -- Une opération de transfusion du sang (p.57)
- Fig. 2. -- Mode de réunion des vaisseaux, suivant la méthode de Carrel (p.58)
- Fig. 3. -- Réunion des vaisseaux suivant le procédé de Briau (p.58)
- Fig. 4. -- Schéma du procédé de transfusion par invagination des vaisseaux (p.59)
- Fig. 5. -- Disposition du vaisseau sur la canule de Crile (p.59)
- Fig. 6. -- Coupe d'un tube en argent, pour transfusion (p.59)
- Fig. 7. -- Tube transfuseur de Kimpton (p.60)
- Fig. 8. -- Schéma du procédé de transfusion de Blechmann (p.61)
- Fig. 1. -- Vue du nouveau dirigeable italien Forlanini semi-rigide (p.63)
- Fig. 2. -- Les gouvernails arrière en persienne (p.64)
- Fig. 3. -- La nacelle portant l'équipage et les moteurs (p.64)
- Fig. 1. -- Route en construction desservant un camp militaire entièrement en béton avec armatures B. R. C (p.65)
- Fig. 2. -- La même route en partie achevée (p.65)
- Fig. 3. -- Route d'Antrim à Belfast (application intégrale du béton armé B. R. C.) (p.66)
- Fig. 4. -- Revêtement d'une route en béton armé (p.67)
- Fig. 5. -- Tramways municipaux à Belfast (le sol mauvais en certains points a été amélioré par emploi de substructures armées B. R. C.) (p.68)
- Fig. 1. -- Un champ d'agave textile à ses débuts (p.70)
- Fig. 2. -- L'exploitation de l'agave textile en Yucatan (p.71)
- Fig. 3. -- Agave dont la floraison forme une flèche de 12 mètres de haut (p.72)
- Fig. 1. -- Plan des rivières souterraines et des grands collecteurs de Paris (p.74)
- Fig. 2. -- Un accès au collecteur de la Bièvre (p.75)
- Fig. 1. -- Le navire ravitailleur belge Ima après la catastrophe (p.79)
- Fig. 2. -- Vue des quartiers dévastés de Halifax (p.79)
- Fig. 3. -- Un des rares bâtiments non entièrement détruits (p.80)
- Fig. 4. -- Le nuage de fumée produit par l'explosion (p.80)
- Fig. 11. -- Type de biplan 1915 (p.84)
- Fig. 12. -- Type de biplan 1917 de la même marque. Remarquer la tendance vers la simplification des lignes (p.84)
- Fig. 13. -- Avion avec dièdre longitudinal ou " Flèche " (p.84)
- Fig. 14. -- Avion avec dièdre transversal en V (p.84)
- Fig. 15. -- Type d'avion sans fuselage 1915 (p.85)
- Fig. 16. -- Type d'avion avec fuselage 1917 (p.85)
- Fig. 17. -- A, aileron non compensé ; B, aileron compensé (H. W. 1917) (p.85)
- Fig. 18. -- A, gouvernail non compensé (Rumpler 1917). B, gouvernail compensé (Albatros 1917) (p.85)
- Fig. 1. -- Institut électrotechnique. Manipulations électromécaniques des élèves (p.89)
- Fig. 2. -- Manipulations hydrauliques. Essais au moulinet et au déversoir (p.90)
- Fig. 3. -- Machine à papier, côté épurateur, à l'École française de papeterie (p.91)
- Fig. 1 et 2. -- Deux vues des navires accostés au môle attendant une place à quai (p.93)
- Fig. 3. -- Bassin du Midi (p.94)
- Fig. 1. -- Plan général de l'installation des hauts fourneaux de Caen. En cartouche : la position par rapport à Caen et à la mer (p.97)
- Fig. 2. -- Vue d'ensemble des hauts fourneaux (p.98)
- Fig. 3. -- Silos à minerais (p.99)
- Fig. 4. -- Bassin de décantation du réfrigérant Hamon (p.99)
- Fig. 5. -- Four à coke et transporteur aérien (p.100)
- Fig. 6. -- Haut fourneau et cowpers en service (décembre 1917) (p.100)
- Fig. 7. -- Vue des récupérateurs (p.101)
- Fig. 8. -- Aciéries en construction en ciment armé (p.102)
- Fig. 9. -- Appontements du port spécial (p.102)
- La répartition des projectiles autour du point moyen d'impact (p.103)
- Fig. 1. -- Principe du type register de Kelvin (p.107)
- Fig. 2. -- Composition mécanique de plusieurs mouvements alternatifs (p.107)
- Fig. 3. -- Principe du bathyrhéomètre (p.108)
- Fig. 4. -- Coupe du bathyrhéomètre (p.108)
- Fig. 5. -- Graphique des amplitudes du courant de fond obtenu avec le bathyrhéomètre (p.109)
- Fig. 6. -- Graphique des variations de direction des courants de fond avec la marée (p.109)
- Fig. 1. -- L'épreuve du nystagmus (p.111)
- Fig. 2. -- L'épreuve de précision des mouvements (p.111)
- Fig. 3. -- L'épreuve d'équilibration (p.112)
- Fig. 4. -- Positions dans lesquelles sont pratiquées les épreuves précédentes (p.112)
- Fig. 1. -- Projet de défense d'un port par mines vigilantes munies de microphones (p.113)
- Fig. 2. -- Appareil détecteur de sous-marins basé sur la transformation en ondes hertziennes du bruit de l'hélice (p.114)
- Fig. 3. -- Système de filet ancré à la base entraînant le sous-marin au fond de l'eau (p.115)
- Fig. 4. -- Filet muni d'une bouée indicatrice servant à faire glisser une bombe jusqu'au sous-marin (p.116)
- Fig. 5. -- L'avion remorqueur de torpilles (p.116)
- Fig. 6. -- Système de filet muni de bombes détachables (p.117)
- Fig. 7. -- Filets à mines (p.117)
- Fig. 8. -- Bouée vigilante gardant une ligne de filets (p.118)
- Fig. 9. -- Avion muni d'une bombe qu'il amène au contact du sous-marin (p.119)
- Fig. 10. -- Mécanisme de suspension de la bombe (p.119)
- Fig. 1. -- Veine de mica encastrée dans une roche dure (p.124)
- Fig. 2. -- Atelier de séparation du mica à Schenectady (p.125)
- Fig. 3. -- Atelier d'ébarbage du mica en Virginie (p.125)
- Fig. 1. -- Coupe de l'électro à doigts mobiles (p.127)
- Fig. 2. -- Électro enlevant des copeaux de fer (p.128)
- Fig. 3. -- L'électro à doigts mobiles (p.128)
- Fig. 1. -- Ancienne installation des convertisseurs acides à la Canadian Copper Cr, Copper Cliff, Ontario (p.129)
- Fig. 2. -- Vue d'une batterie de convertisseurs basiques (p.130)
- Fig. 3. -- Convertisseur à cuivre basique de Pierre Smith, installation de Coneston (Mond Nickel Cr) (p.131)
- Fig. 4. -- Convertisseur à cuivre vertical type Great Falls (p.132)
- Fig. 1. -- Coupe de l'appareil Gibbs montrant le mode de fonctionnement et la circulation gazeuse (p.134)
- Fig. 2. Vue de l'appareil Gibbs de face et de dos (p.135)
- Fig. 1. Le territoire argentin comparé à l'Europe (p.136)
- Fig. 2. -- Buenos-Ayres. Palais du Congrès (p.137)
- Fig. 3. -- Élévateurs à grains à Bahia-Blanca (p.138)
- Fig. 4. -- Estance dans la République Argentine (p.139)
- Fig. 5. -- Le mouton Rambouillet après transformation de la race en Argentine (p.139)
- Cadran universel Vincent (p.144)
- Fig. 1 et 2. -- L'appareil de contrôle pour la marche en zigzag du navire poursuivi par un sous-marin (p.145)
- Fig. 3. -- Un navire camouflé se dérobant derrière un nuage de fumée (p.146)
- Fig. 4 et 5. -- Disposition du système Maxim pour limiter l'effet de l'explosion d'une torpille (p.146)
- Fig. 6. -- Coupe des bateaux Great Eastern, Mauretania et Lusitania montrant l'évolution de la construction (p.147)
- Fig. 7 et 8. -- Coupe longitudinale et transversale d'un navire insubmersible et le détail d'une écoutille (p.147)
- Fig. 9 et 10. -- Protection d'un navire contre les torpilles par plaques latérales. Dispositif de fixation des plaques (p.148)
- Fig. 11 et 12. -- Le radeau géant de Rubenstein (p.149)
- Fig. 13. -- Dispositif de mise à l'eau des embarcations de sauvetage (p.150)
- Fig. 14. -- Le matelas flotteur en kapock (p.150)
- Fig. 15. La bouée sonnant le glas des navires (p.151)
- Fig. 1. -- Boutons d'Orient multiples chez un jeune Crétois (p.154)
- Fig. 2. -- Hindou atteint de Kala-Azar depuis 2 ans environ. (Photographie du Dr N. Now) (p.155)
- Fig. 3. -- Malade atteint de leishmaniose rhino-bucco-pharyngée, d'après A. da Matta (Op. cit.) (p.155)
- Fig. 4. -- a, n, formes aflagellées des Leishmania ; a, b, c, éléments ovalaires avec centrosome en bâtonnet ; d, e, éléments sphériques avec centrosome punctiforme, libre, ou accolé au noyau (e) (p.156)
- Fig. 5. -- Carte indiquant la répartition du Kala-Azar et celle de la leishmaniose canine dans le bassin méditerranéen. (D'après une carte du Kala-Azar Bulletin, mars 1912) (p.157)
- Fig. 6. -- Carte indiquant la répartition du Kala-Azar et du bouton d'Orient dans l'Inde (p.157)
- Atelier de chargement des projectiles de gros calibre (p.160)
- Fig. 1. -- Amélioration du rendement des moteurs allemands 1913-1915-1917 (p.161)
- Fig. 2. Schéma des différentes formules des moteurs d'avion avec indication de la forme du vilebrequin (p.162)
- Fig. 3. -- Résistance à l'avancement des différents types de moteurs d'avions (p.163)
- Fig. 4. -- Schéma d'évolution de la marque Mercédès de 1913 à 1917 (p.163)
- Fig. 5. -- Moteur Mercédès de 260 chev. 6 cylindres (p.164)
- Fig. 6. -- Schéma de circulation d'eau (Mercédès) (p.165)
- Fig. 7. -- Principe du fonctionnement des thermomètres électriques permettant de suivre la température du moteur (p.166)
- Fig. 8. -- Compte-tour électrique Morell (Gotha) (p.167)
- Fig. 9. -- Tableau d'instruments de bord d'un bi-moteur de bombardement (p.168)
- Fig. 10. -- Schéma de la circulation d'huile (p.169)
- Fig. 11. -- Schéma d'allumage des deux moteurs d'un avion bi-moteurs (Gotha) (p.169)
- Fig. 12. -- En haut : Alimentation en essence : Monomoteur. -- En bas : Alimentation en essence : Bi-moteur (p.170)
- Fig. 1. -- Vue d'un " cement-gun " (p.171)
- Fig. 2. -- Ouvrier projetant la gunite sur la paroi d'un bâtiment (p.172)
- Fig. 3 et 4. -- Vue, avant et après, d'une villa dont les parois extérieures portent un revêtement de gunite (p.173)
- Fig. 1. -- Un compteur mireur (p.174)
- Fig. 2. -- Oeufs de plusieurs mois photographiés par transparence (p.175)
- Fig. 3. -- Oeufs sans photographies sur une échelle métrique Le Roy figurant à même l'épreuve (p.176)
- Fig. 1. -- Le New-York (américain) en tête de la 6e escadre (p.177)
- Fig. 2. -- Pennsylvania, Arizona (américains). Déplacement 31 400 t. -- 12 canons de 356 mm et 22 de 127 mm (p.178)
- Fig. 3. -- New-York et Texas (américains). Déplacement 27 000 t. -- 10 canons de 356 mm et 21 de 127 mm (p.179)
- Fig. 4. -- Le Recruit : reproduction d'un cuirassé construit à New-York dans Union Square et servant de bureau de recrutement (p.180)
- Fig. 5. -- Torpilleur opérant dans les eaux étrangères (américain) (p.181)
- Fig. 6. -- Le Corsaire (américain auxiliaire), yacht de M. Morgan, maintenant chasseur de sous-marins (p.182)
- Fig. 7. -- Cuirassé type Henri IV (agrandi) (p.183)
- Fig. 8. -- Région de la mer du Nord où, sur la ligne allant de Stylt à Borkum au nord ouest d'Héligoland, les dragueurs de mines et leur escorte ont été surpris et en partie détruits le 16 août et le 17 octobre 1917 (p.185)
- Fig. 9. -- Le Cattegat, dans la partie méridionale duquel les escadrilles britanniques sont aux prises avec l'ennemi (p.186)
- Fig. 10. Navires Wien et Monarch (4 canons de 240 ; 6 canons de 150) (autrichiens) coulés par les torpilleurs italiens en rade de Pola (p.187)
- Fig. 11. L'Idzumo, croiseur japonais de 10 000 tonnes portant pavillon de l'amiral Sato commandant la flottille de torpilleurs japonais en Méditerranée (p.187)
- Fig. 12. -- Carte du golfe de Riga. Théâtre de la bataille navale du 17 octobre 1917 (p.188)
- Fig. 13. -- Grandjanine (russe), coulé dans le golfe de Riga le 17 octobre. Déplacement 12 912 t. 4 canons de 305 mm et 12 de 152 mm (p.189)
- Fig. 14. -- Cuirassé Slava (russe), coulé dans le golfe de Riga le 17 octobre. Déplacement 13 516 t., même artillerie que le Tsezarewitch devenu le Grandjanine (p.190)
- Fig. 15. -- Croiseur Bayan, Déplacement 7 900 t. -- 2 canons de 203 mm et 8 de 152 mm (p.190)
- Fig. 1. -- Carte du blocus sous-marin. Les deux " Sperrgebiet " du 31 janvier et du 22 novembre (p.193)
- Fig. 2. -- Le sous-marin U-65 photographié du bateau espagnol qu'il vient de torpiller (p.194)
- Fig. 3 et 4. -- Le sous-marin U C-5 poseur de mines démonté en 3 parties sur le navire qui vient de l'apporter à New-York (p.195)
- Fig. 5. -- Groupe de patrouilleurs derrière le sillage en zigzag laissé par un vapeur (p.196)
- Fig. 6. -- Navire hollandais portant les signes apparents de neutralité (p.196)
- Fig. 7. -- Épave du sous-marin échoué sur une plage du Pas de Calais (p.197)
- Fig. 8. -- Diagramme des pertes des navires de commerce anglais (p.197)
- Fig. 9. Courbe de la progression croissante des destructions de sous-marins pendant l'année 1917 (p.198)
- Fig. 10. Courbe de la construction britannique des navires de commerce (p.198)
- Fig. 11. -- Cuirassé Westfalen sur lequel s'est produite une rébellion de l'équipage (p.199)
- Fig. 12. -- Le plus grand paquebot allemand le Vaterland interné à New-York (p.200)
- Fig. 13. -- Releveur de mines au travail (p.201)
- Fig. 14. -- Canonnier mitrailleur guettant un périscope (p.202)
- Fig. 15. -- Sous-marin italien en croisière dans l'Adriatique (p.203)
- Fig. 16. -- Policemen de New-York de garde devant les navires allemands internés (p.204)
- Fig. 17. -- Cuirassé américain se couvrant d'un écran de fumée pour échapper à un sous-marin (p.204)
- Fig. 18. -- Convoi de cargos américains traversant l'Atlantique (p.205)
- Fig. 19. -- Officier canonnier sur un cuirassé muni du costume spécial pour le protéger contre les retours de flamme et les gaz des gros canons (p.206)
- Fig. 20. De quart à bord d'un patrouilleur (p.206)
- Fig. 1. -- Une cuisine moderne (p.209)
- Fig. 2. -- Prix de revient de la même quantité de chaleur (10 000 calories) avec divers combustibles, à Paris, en 1917. Le rayon des circonférences est proportionnel à ce prix (p.210)
- Fig. 3. -- Grillade à gaz (p.211)
- Fig. 4. -- Four à rôtir (p.212)
- Fig. 5. -- Chauffe-bain et chaudière à chauffage central par circulation d'eau chaude (p.213)
- Carte des îles d'Åland (p.215)
- Fig. 1. Le tracteur électrique (p.217)
- Fig. 2. -- Vue d'une charrue à bascule actionnée par tracteur (p.217)
- Fig. 3. -- Labourage par chaîne toueuse (p.218)
- Fig. 4. -- Labourage système Howard à un treuil (p.218)
- Fig. 5. -- Labourage système Howard à un treuil avec renvoi (p.218)
- Fig. 6. -- Labourage système Fowler à un treuil (p.219)
- Fig. 7. -- Labourage système Fowler à deux treuils (p.219)
- Fig. 8. -- Poste de transformation de campagne (p.220)
- Vue des éléments de la pile Ferry et la pile montée (p.224)
- Fig. 1. -- Foyer Schwartzkopf (p.225)
- Fig. 2. -- Coupe d'un foyer Voleker (p.226)
- Fig. 3. -- Grille Genevet à tirage équilibré, pour la combustion des menus cendreux (p.227)
- Fig. 4. -- Coupe longitudinale de la grille tournante disposée pour décrassage automatique par l'arrière (p.227)
- Fig. 5. -- Ensemble d'une grille tournante auto-décrassante vue de l'arrière (p.228)
- Fig. 6. -- Four Godillot alimenté par des déchets d'industrie (p.229)
- Fig. 7. -- Gazogène auto-réducteur à déchets de bois (p.230)
- Fig. 1. -- Vue d'ensemble du chantier de construction d'un grand cargo en ciment (p.231)
- Fig. 2. -- L'armature métallique du ciment montrant une jambe de renforcement. On remarquera l'enchevêtrement et la complexité de cette armature (p.232)
- Fig. 1. -- La carte de pain de la Commission de Ravitaillement (p.234)
- Fig. 2. Carte montrant l'organisation du ravitaillement dans les pays envahis (p.235)
- Principe de la balance de torsion d'Oetvös (p.238)
- Fig. 1. -- Pieds de sorgho en pleine maturité (Égypte) (p.239)
- Fig. 2. -- Buffles piétinant le sorgho pour séparer le grain de l'épi (Égypte) (p.240)
- Fig. 1. -- Principe de la soudure électrothermique par contact de juxtaposition (p.241)
- Fig. 2. -- Principe de la soudure par superposition ou recouvrement avec compression (p.242)
- Fig. 3. -- Schéma d'une machine à souder (p.242)
- Fig. 4. -- Machine à souder les boucles, les anneaux, maillons de chaîne, etc. (Compagnie de La Soudure électrique, Paris.) (p.243)
- Fig. 5. -- Machine à souder par points. (Compagnie La Soudure électrique, Paris) (p.244)
- Fig. 6. -- Chalumeau électromagnetique Coffin pour la soudure de l'arc (p.245)
- Fig. 7. et 8 Vue d'un des cylindres d'une machine d'un paquebot allemand interné à New-York après les sabotages exécutés pour mettre le navire hors d'usage (p.245)
- Le même cylindre réparé après remise en place des morceaux retrouvés et soudure de ceux-ci par les procédés électro-thermiques (p.245)
- Fig. 1. -- Langues des pays balkaniques. Carte n° 1 (p.248)
- Fig. 2. -- Langues des pays balkaniques. Carte n° 2 (p.249)
- Fig. 1. -- Leptothrix ochracea. -- Elle se distingue des autres bactéries ferrugineuses par ses filaments unicellulaires, cylindriques et arrondis aux extrémités (p.251)
- Fig. 2. -- Spyrophyllum ferrugineum (p.251)
- Fig. 3. -- Cladothrix dichotoma. -- Le qualificatif de dichotoma, donné à cette bactérie (p.251)
- Fig. 1. -- La trajectoire dans le vide de l'obus de 75 (p.253)
- Fig. 2. Type d'obus à faible indice caractéristique (p.253)
- Fig. 3. -- Variétés de la vitesse ou fonction de la portée suivant que l'obus est à ogive ronde ou pointue (p.254)
- Fig. 4. -- Courbe représentative de la fonction de la vitesse (p.254)
- Fig. 5. -- La forme de la trajectoire d'un projectile dans l'air (p.255)
- Fig. 6. -- La trajectoire dans le vide et la trajectoire correspondant dans l'air (p.255)
- Fig. 7. Fuselage d'un montant d'aéroplane (p.256)
- Fig. 8. Forme d'un obus d'aviation de moindre résistance (p.256)
- Fig. 1. -- L'appareil de Darnell (p.257)
- Fig. 2. -- L'appareil Leavitt-Jackson (p.258)
- Fig. 3. -- L'appareil de l'Électro-Bleaching Gas Company (p.258)
- Fig. 4. -- L'appareil Wallace et Tiernan (p.259)
- Fig. 5. -- Appareil Wallace et Tiernan à eau de chlore (p.260)
- Fig. 6. -- Appareil Wallace et Tiernan à chlore gazeux (p.260)
- Fig. 7. -- Camion pour la chloration de l'eau en campagne (p.261)
- Fig. 1. -- Établissement de pisciculture de Grattereau. Bassins d'élevage des alvins (p.263)
- Fig. 2. -- Intérieur du laboratoire d'éclosion des oeufs (p.264)
- Fig. 3. -- La visite des reproducteurs (p.265)
- Fig. 1. -- Grossissement d'une feuille d'alfà (p.268)
- Fig. 2. -- La cueillette au bâtonnet de l'alfa (p.269)
- Fig. 3. -- Triage et emmeulage de l'alfa (p.269)
- Fig. 1. -- Plan de Saint-Nazaire au 50 000e quand le boulevard de l'Océan et la nouvelle entrée du port seront terminés (p.271)
- Fig. 2. -- Carte de l'estuaire de la Loire montrant les nouveaux travaux en cours de construction et ceux projetés (p.272)
- Fig. 1. -- Mines et usines du bassin de Briey et de la Lorraine allemande (p.273)
- Fig. 2. -- Vue de quatre hauts fourneaux en montage aux usines Thyssen à Hagondange (p.274)
- Fig. 3. -- Carte du bassin houiller de Sarrebrück (p.275)
- Fig. 4. -- Carte de la région renfermant la potasse en Alsace aux environs de Mulhouse (p.276)
- Fig. 5. -- Coupe du terrain potassique suivant la ligne indiquée sur la carte précédente (p.276)
- Fig. 6. -- Carte de la région pétrolifère du bassin de Pechelbronn (p.277)
- Fig. 7. -- Coupe de la région pétrolifère (p.277)
- Fig. 8. -- Principaux centres de l'industrie cotonnière en Alsace (1915) (p.278)
- Fig. 9. -- Filature de coton Mieg et Cie à Mulhouse. (Salle des cadres et des peigneuses.) (p.279)
- Fig. 10. -- Salle des Jacquards du tissage Kullman et Cie à Mulhouse (p.280)
- Fig. 1. -- Lampe à incandescence à atmosphère gazeuse et filament en spirale (p.281)
- Fig. 2. -- Lampe à arc au tungstène premier modèle (p.282)
- Fig. 3. -- Lampe à arc au tungstène modèle à ioniseur (p.283)
- Fig. 4 et 5. Lampe Nernst à vapeurs (p.283)
- Fig. 1. -- Emmagasinage du charbon dans un port de l'Amérique du Sud. On voit le transporteur aérien qui amène le charbon du bateau au silo (p.286)
- Fig. 2 et 3. -- Emmagasinage en grande quantité du charbon par telpher (p.287)
- Fig. 4. -- Le déchargement du charbon dans un port et son emmagasinage dans des silos à parois courbes (p.288)
- Fig. 5. -- Mode d'évacuation du charbon dans des silos de diverses formes (p.288)
- Fig. 1. -- Emplacement de 2 mitrailleuses tirant à travers l'hélice sur un avion de combat allemand (Pfalz) (p.289)
- Fig. 2. -- Coupe à travers une tourelle mobile et circulaire montée sur Albatros C-12 (p.290)
- Fig. 3. -- Bombes d'avion du début de la guerre 1914-1915 (p.290)
- Fig. 4. -- Lance-bombe vertical pour 5 bombes de 10 kg (p.291)
- Fig. 5. -- Lance-bombe horizontal pour 4 bombes. Les colliers en s'ouvrant libèrent les bombes. Les lance-bombes sont placés sous le fuselage ou sous les ailes (p.291)
- Fig. 6. -- Coupe schématique des fusées des bombes allemandes (p.292)
- Fig. 7. -- Schéma faisant ressortir les dimensions comparées et les pourcentages d'explosifs comparés entre les bombes allemandes d'avions et les obus allemands d'artillerie de même poids (p.293)
- Fig. 8. -- Pistolet lance-fusée (avion Albatros). A) fusée traînée ; B) fusée 3 couleurs) (p.294)
- Fig. 9. -- Schéma d'installation électrique de T. S. F., chauffage, éclairage à bord des avions allemands (p.295)
- Fig. 1. -- Diagramme du parcours de l'autobus Trocadéro-Gare de l'Est (p.297)
- Fig. 2. -- Diagramme du parcours de l'autobus La Villette-Trinité (p.297)
- Fig. 3. -- Protection d'un immeuble contre les trépidations, système Denniel (p.298)
- Fig. 2, 3, 4 et 5. -- La propagande américaine par la carte postale pour la protection de l'Enfance (p.304)
- Fig. 1. -- Grenade éclairante modèle 1877 (p.305)
- Fig. 2. -- Flambeau Lamarre. a, composition éclairante ; b, bouchon de bois ; m, mèche ; t, tirette (p.305)
- Fig. 3. Fusée de signal modèle 1885 (p.305)
- Fig. 4. -- Feu Coston. a, rondelle d'amorçage ; b, composition donnant une flamme verte ; c, composition (p.306)
- Fig. 5. Cylindre à fumée (p.306)
- Fig. 6. Pétard de chemin de fer (p.307)
- Fig. 7. -- Signal à plusieurs feux (p.307)
- Fig. 8. Fusée à parachute (p.307)
- Fig. 9. -- Projectile éclairant allemand (p.308)
- Fig. 10. Pistolet éclairant de fortune (p.308)
- Fig. 1. Température vespérale et pouls pendant les 4 premiers jours suivant une opération, selon les divers modes d'anesthésie (p.310)
- Fig. 2. Schéma de l'appareil de Gatch (p.310)
- Fig. 3. Tube nasal de Connell, avec les deux sondes de caoutchouc qu'on introduira dans le pharynx à travers les narines (p.311)
- Fig. 4. Coupe sagittale passant par une des narines montrant jusqu'où va la sonde pharyngée (p.311)
- Fig. 1. -- Le défoncement du sol pour la plantation des eucalyptus (p.312)
- Fig. 2. -- La plantation des eucalyptus (p.313)
- Fig. 3. -- Aspect d'une plantation après 3 ans (p.313)
- Fig. 1. -- Un chimiste essayant les matières colorantes au laboratoire (p.316)
- Fig. 2. -- Un filtre à presse dans une usine de matières colorantes (p.317)
- Fig. 3. -- L'atelier de broyage des couleurs (p.317)
- Fig. 1. -- Le port de Bordeaux (état actuel) (p.319)
- Fig. 2. -- Les traits noirs marqués dans le cours du fleuve indiquent les emplacements qui doivent être dragués (p.320)
- Fig. 3. -- Le port du Verdon (p.320)
- Fig. 1. -- Obus primitif du lieutenant Shrapnel (p.321)
- Fig. 2. -- Obus modifié par le colonel Boxer (p.321)
- Fig. 3. -- Les obus shrapnels des nations belligérantes (p.322)
- Fig. 4. Zone battue par un obus shrapnel (p.322)
- Fig. 5. -- Variation de la hauteur d'éclatement d'un shrapnel (p.323)
- Fig. 6. -- Schéma d'une fusée à temps à anneau fusant (p.323)
- Fig. 7. -- Principe du fonctionnement d'une fusée à plateau (p.323)
- Fig. 8. Principe du fonctionnement de la fusée à temps française (p.324)
- Fig. 9. -- Principe du procédé Caley pour la fabrication des obus shrapnels (p.324)
- Fig. 10. -- Méthode rapide de forgeage des obus shrapnels (p.325)
- Fig. 11. -- Mouvement du métal chaud autour de poinçons de diverses formes (p.325)
- Fig. 1. -- Exploitation par galerie près de Québec (p.328)
- Fig. 2. -- Sortie de la mine (p.329)
- Fig. 3. -- Exploitation à ciel ouvert au Canada (p.331)
- Fig. 1. -- Les projets du Transcontinental australien en 1911 (p.334)
- Fig. 2. -- Les réservoirs d'eau de Wirrappa (p.335)
- Fig. 3. -- Une gare du Transcontinental australien : Golden Ridge (p.335)
- Fig. 4. -- Le train poseur de voie (p.336)
- Fig. 1. -- En haut, un barreau de traction de 13 mm. 8 de diamètre, avant essai ; en dessous, un barreau identique, cassé à la machine de traction (métal dont le diagramme est donné figure 3) (p.337)
- Fig. 2. -- Schéma d'une machine de traction. On y distingue le barreau B, pris entre les mordaches M et M' ; l'écrou E agit sur la vis V, portant la mordache M', pour transmettre l'effort de traction au barreau (p.338)
- Fig. 3. -- Cette figure est la représentation exacte d'un diagramme de traction d'un acier spécial demi-dur recuit (p.338)
- Fig. 4. -- Schéma d'une machine à bille (essai de dureté) (p.339)
- Fig. 5. -- Schéma du dispositif le plus généralement employé pour essayer au choc des barreaux non entaillés (p.339)
- Fig. 6. -- Mouton vertical. Le mouton est à la partie supérieure de l'appareil, maintenu, par la tête, entre les griffes qui l'ont amené à sa position de chute et qui sont prêtes à le laisser tomber (p.340)
- Fig. 7. -- En haut, un barreau de choc (de 30 × 30 × 160 mm.) entaillé à mi-épaisseur (entaille constituée par un orifice cylindrique de 4 mm. de diamètre, et un trait de scie) avant essai. Au milieu, un barreau de métal doux, rompu, présentant une grande fragilité. l'éprouvette a cassé sec (p.341)
- Fig. 8. -- Mouton pendule Charpy (p.342)
- Fig. 9. -- Croquis de la masse pendulaire du mouton-pendule Charpy (p.343)
- Fig. 10. -- Principe mécanique du mouton Charpy (p.343)
- Fig. 1. -- Carte du Bassin du Rhône (p.344)
- Fig. 2. -- Toueur à grappin de la Compagnie H. P. L. M (p.345)
- Fig. 3. -- Graphiques du Rhône (p.345)
- Fig. 4. -- Projet de dérivation éclusée à Bourg-Saint-Andéol (p.346)
- Fig. 5. -- Force motrice des Chèvres (p.347)
- Fig. 6. -- Vue du Rhône à Valence (p.347)
- Fig. 1. -- Machine à trancher le bois. Sortie de la feuille (p.351)
- Fig. 2. -- Dérouleuse en train de débiter un tronc d'arbre en feuilles (p.351)
- Fig. 3. -- Découpage à la main des feuilles de placage (p.352)
- Fig. 4. -- Bobinage d'une feuille de placage au sortir de la dérouleuse (p.352)
- Fig. 1. -- ff, fils amenant le courant électrique ; bb, bornes d'arrivée du courant ; S, serre-fil de départ du courant ; F, fil à chauffer ; C, cadran divisé ; A, aiguille amplificatrice ; p, poulie support de l'aiguille ; p, fil support du poids ; P, poids servant à tendre le système (p.353)
- Fig. 2. -- Développement de la feuille d'inscription des signaux dans un essai de recalescence (p.354)
- Fig. 3. -- Vue d'ensemble du galvanomètre double Le Chatelier-Saladin (p.355)
- Fig. 4. -- Schéma du dispositif intérieur du galvanomètre double de MM. Le Châtelier et Saladin (p.355)
- Fig. 5. -- Diagrammes d'un acier extra-doux et d'une fonte à 1,90 pour 100 de C, obtenus au galvanomètre double Le Chatelier-Saladin (p.356)
- Fig. 6. -- Les surfaces polies de ces 4 carrés d'acier se sont comportées très différemment au contact de la solution sulfurique, malgré des compositions chimiques très voisines (p.356)
- Fig. 7. -- Attaque au réactif de Stead (G = 2) (p.357)
- Fig. 8. -- Vue d'ensemble du microscope Le Chatelier (p.357)
- Fig. 9. -- Le microscope Le Chatelier (p.358)
- Fig. 10. -- Microphotographies de surfaces métalliques polies attaquées à l'acide picrique (p.359)
- Fig. 1. -- Transporteur par câble aérien établi par le Génie italien à Chaberton (p.360)
- Fig. 2. -- Blessés évacués d'une montagne par un transporteur aérien (p.360)
- Fig. 3. -- Station motrice. Moteur à essence actionnant le câble, et dispositif de secours à bras (p.361)
- Fig. 4. -- Station de tension. Vue des 2 treuils servant à tendre les câbles porteurs (p.362)
- Fig. 5. -- Soldats italiens transportés dans une nacelle à travers une vallée (p.362)
- Fig. 1. -- Piérides du chou (Pieris brassicæ) (p.366)
- Fig. 2. -- Chenilles adultes de Piérides du chou (p.367)
- Fig. 3. -- Piéride gazé en train de butiner (p.368)
- Fig. 1. -- Automobile industrielle remorquant une rame de wagonnets sur voie étroite (p.369)
- Fig. 2. -- Châssis du train routier Renard montrant les 6 roues et l'axe moteur central (p.370)
- Fig. 3. -- Les différents systèmes de direction des automobiles montrant le centre de rotation dans un virage (p.370)
- Fig. 4. -- Vue d'un châssis automobile à 4 roues directrices (p.371)
- Fig. 5. -- La différence de surface d'appui sur le sol entre un véhicule à grande roue et un véhicule à chenille tractrice (p.371)
- Fig. 6. -- Roue garnie de palettes amovibles et roues américaines à palettes fixes pour mauvais terrains (p.372)
- Fig. 7. -- LES PRINCIPAUX SYSTÈMES DE CATERPILLARS (p.372)
- Fig. 8. -- Comment un caterpillar progresse sur terrain plat et terrain accidenté (p.373)
- Fig. 9. -- Le tracteur à billes Yuba (p.373)
- Fig. 10. -- Détails du système de roulement du tracteur Yuba (p.374)
- Fig. 11. -- Chenille triangulaire (p.374)
- Fig. 12. -- Machine à creuser les canaux de drainage montée sur caterpillar (p.374)
- Fig. 13. -- Un véhicule industriel à chenille (p.375)
- Fig. 1. -- Le tégument normal (p.379)
- Fig. 2. -- La plaie fraîche. Trajet (ou cheminée) du projectile, qui se trouve au fond ; entouré de débris vestimentaires ; le trajet est rempli de sang et de débris des tissus écrasés (p.379)
- Fig. 3. -- La plaie en mortification. La séparation du mort et du vif (p.380)
- Fig. 4. -- La plaie décapée (p.380)
- Fig. 5. -- La plaie en voie de bourgeonnement (p.380)
- Fig. 6. -- La plaie cicatrisée depuis peu (p.381)
- Fig. 1. -- Une sirène d'alarme sur un édifice public à Paris (p.383)
- Fig. 2. -- Sirène à air comprimé (p.383)
- Fig. 3. -- Détail d'une sirène : la couronne fixe et la couronne mobile (p.384)
- Fig. 1. -- Étuve Deschamps (p.385)
- Fig. 2. -- Étuveur pour la préparation des fruits avant le passage à l'évaporateur (p.386)
- Fig. 3. -- Évaporateur horizontal à débit moyen (type du Dr Ryder) (p.387)
- Fig. 4. -- Étage inférieur d'un grand four à pommes montrant la table à parer et les élévateurs (p.387)
- Fig. 5. -- Appareil Huillard pour séchage (p.388)
- Fig. 1. -- Étouffoir à cocons (p.389)
- Fig. 2. -- Appareil à doubler le fil de soie (p.390)
- Fig. 3. -- Moulin à tordre la soie (p.391)
- Fig. 4. -- Machine à flotter la soie (p.391)
- Fig. 1. -- La chemise (p.392)
- Fig. 2. -- La vareuse (p.392)
- Fig. 3. -- Les insignes de col des différentes armes (p.393)
- Fig. 4. -- Les insignes de grade sur l'épaule (p.393)
- Fig. 5. -- Les insignes des sous-officiers et caporaux sur les bras (p.393)
- Fig. 6. La culotte (p.394)
- Fig. 7. -- Le manteau (p.394)
- Fig. 8. -- Les coiffures casquette, chapeau, casque (casque anglais) (p.395)
- Fig. 9. -- Les leggins de toile (p.395)
- Fig. 10 et 11. -- Équipement du soldat américain en campagne (p.396)
- Fig. 12. -- Le havresac ouvert (p.396)
- Fig. 13. Le poncho (p.397)
- Vue d'ensemble de l'appareil à durcir les rails de la Sandberg Sorbic Steel Cr de Londres (p.400)
- Fig. 2. -- Un torrent pyrénéen ; le gave de Pau dans la vallée de Gèdre (p.402)
- Fig. 3. -- Construction du barrage pour l'établissement de la conduite forcée de l'usine de Licq-Athérey (Basses-Pyrénées) (p.403)
- Fig. 4. -- Type des lacs pyrénéens : le lac d'Escoubous. (Hautes-Pyrénées) (p.404)
- Fig. 5. -- Pâturages et troupeaux pyrénéens (p.404)
- Fig. 6. -- La Garonne à Toulouse (p.405)
- La consommation quotidienne de la France (p.409)
- Fig. 1. -- La courbe des pressions dans l'âme d'un canon chargé à poudre noire ou à poudre progressive (p.411)
- Fig. 2. -- Le canon Lyman à chambres de poudre multiples (p.411)
- Fig. 3. -- La cartouche perforée Lyman Haskill (p.411)
- Fig. 4. -- L'obus " gigogne " et sa trajectoire supposée (p.412)
- Fig. 5. La résistance de l'air sur l'obus a une résultante R inclinée sur l'axe (p.412)
- Fig. 6. -- La courbe festonnée que décrit la pointe de l'ogive (p.412)
- Fig. 7. -- L'obus " sous-calibré " : 1. L'obus dans le canon ; 2. L'obus à la sortie du canon se séparant de ses parties mobiles ; 3. L'obus muni de ses dispositifs spéciaux (p.413)
- Fig. 8. -- Le canon retubé sur une partie de sa longueur, réalisant ainsi un nouveau canon à très grande chambre à poudre et grande longueur en calibres (p.413)
- Fig. 1. -- Laboratoire de chimie installé dans une école (p.414)
- Fig. 2. -- Le poste d'observation d'un bactériologiste (p.415)
- Fig. 3. -- Analyse des eaux d'un cantonnement. La courbe indique la chute nombre de bacilles pour les analyses faites successivement après assainissement des sources (p.416)
- Dernière image
106
A PROPOS DE L’AVION SANITAIRE
nulles ou tout au moins réduites au minimum ; cela nous amène à dire quelques mots pour terminer non des défenses actuelles dont l'efficacité est si grande... que les avions ont pu bombarder Paris pendant 2 heures sans être inquiétés, mais de celles que l’on pourrait logiquement concevoir.
Pour les habitants, établissement de refuges et utilisation de ceux qui existent. Ces refuges naturellement seraient connus, désignés, et faciles à retrouver la nuit, grâce à une lumière de couleur par exemple.
L’ennemi s’attaquant particulièrement aux usines, aux installations métallurgiques, aux centrales d’électricité et de force et opérant surtout par temps clair où les objectifs sont visibles d’altitudes assez grandes, il faudrait évidemment cacher ces objectifs ou en défendre l’approche.
Or, circonstance favorable, tous ces- buts de choix sont munis de hautes cheminées, d’autant plus hautes et plus nombreuses que l’installation est elle-même plus importante. II suffirait donc d’utiliser ces pylônes tout trouvés pour brûler à leur sommet les engins fumigènes analogues à ceux dont la marine est pourvue. Ces engins qui dégagent une quantité énorme de fumée pour un coût très modique,' puisqu’ici l’appareil lui-même n’est pas perdu et la matière fumigène seule est consommée, répandraient sur les bâtiments avoisinants un nuage très opaque dont l’étendue n’est limitée que par la quantité d’engins dont on dispose. Ce nuage traînant, se déplaçant dans l’atmosphère sous l’action du vent qui règne toujours à quelques mètres au-dessus du sol, se diffuserait; il ne masquerait peut-être pas toute une ville, mais il gênerait suffisamment les aviateurs ennemis pour rendre leur tir incertain.
Les barrages aériens, dont la presse quotidienne a parlé à plusieurs reprises, idée française appli-
quée en Allemagne, pourraient aussi calmer l’ardeur de nos ennemis. Soit permanents, suspendus par des trairis de planeurs ou des ballons captifs, soit temporaires, lancés pour les avions de la défense pu mieux les canons antiaériens, ces filets dans lesquels les ennemis viendraient s’empêtrer les forceraient à plus de prudence et leur interdiraient l’accès des zones essentielles.
On pourrait aussi chercher à dérouter les avions en créant de fausses lueurs, semblant à grande altitude provenir d'usines et. attirant ainsi les coups de l’ennemi; celui-ci dépensera alors ses munitions sur ce qu’il prendra pour des buts; importants qui ne seront, en réalité, que des lampes électriques munies de réflecteurs et de globes de forme et de couleur appropriées, disposées suivant des contours convenablement étudiés. - *
Enfin les projecteurs et les canons de la défense terrestre, en aveuglant l’ennemi et en formant, par des tirs accélérés, un barrage de mitraille, forceraient les escadrilles à rebrousser chemin.
Quant à la lutte nocturne d’avion contre avion à laquelle on semble donner la préférence, l’expérience a montré, aussi bien en Angleterre qu’en France, qu’elle ne fournit pas de résultats en rapport avec les dangers courus. L’aviateur ami, qui doit pouvoir se faire reconnaître de ses camarades de combat et des défenses fixes, porte des lampes indicatrices et des projecteurs dont l’éclat suffit aux ennemis pour le repérer et l’éviter. De plus, sauf circonstances exceptionnelles, l’aviateur qui dans le ciel, en pleine nuit, est sourd et aveugle, ne pourra découvrir l’ennemi et encore moins l’attaquer efficacement.
Aussi, espérons-nous que, profitant de l’expérience chèrement acquise, les mesures seront prises pour réduire l’efficacité des bombardements aériens. X***
A PROPOS DE L’AVION SANITAIRE
J’ai lu avec intérêt, mais non sans surprise, l’article récemment publié sous ce même titre (p. 47, 19 janvier 1918). fl y est dit que M. Chassaing est le créateur de l’avion sanitaire. La vérité historique m’oblige à rectifier cette assertion et à rappeler un article sur cette même question, que j’ai publié voilà un an et demiQ).
C’est incontestablement au Dr Duchaussoy, fondateur et secrétaire général de l’Association des Dames françaises, que revient le mérite d’avoir le premier conçu l’idée de. transporter les blessés par voie aérienne. Son projet, approuvé par le Consèil de l’Association, fut renvoyé à une Commission technique qui élabora un programme parfaitement réalisable. Néanmoins, Je Ministre de la Guerre ne jugea pas utile de le mettre à exécution, limitant le rôle des aéroplanes à la recherche des blessés, à l’apport des pansements et à la liaison avec les postes médicaux.
1. R. Blaxchard. Le transport des blessés en aéroplane. Paris médical, p. 55-55, 15 juillet 1916.
La guerre vint prouver que le Dr Duchaussoy avait raison. Pendant l’effroyable retraite d’Albanie, treize malades ou blessés furent transportés par la voie des airs. L’un d’eux, très gravement blessé, fut évacué en deux étapes, de Mitrovitza à Prizrend (80 km), puis de Prizrend à Vallona (250 km). Les 'avions utilisés étaient en fort mauvais état, après leurs longs services et de multiples réparations de fortune; ils ne présentaient aucun aménagement particulier pour la commodité des voyageurs (*).
Le succès de ces raids aériens est très remarquable. La question du transport aérien des blessés, conçue par le Dr Duchaussoy, était donc, résolue. Il restait à perfectionner les avions pour les adapter à ce but particulier. Je reconnais volontiers que M. Chassaing a réalisé en ce sens d’utiles modifications, mais il est tout à fait injuste de voir en lui l’inventeur de l’avion sanitaire.
Professeur R. Blahciiard.
1. II. Bakby. L’épopée serbe. Paris, in-8° de 227 pages, 1916 ; ci'. p. 79.
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour cette page est de 98,79 %.
La langue de reconnaissance de l'OCR est le Français.
A PROPOS DE L’AVION SANITAIRE
nulles ou tout au moins réduites au minimum ; cela nous amène à dire quelques mots pour terminer non des défenses actuelles dont l'efficacité est si grande... que les avions ont pu bombarder Paris pendant 2 heures sans être inquiétés, mais de celles que l’on pourrait logiquement concevoir.
Pour les habitants, établissement de refuges et utilisation de ceux qui existent. Ces refuges naturellement seraient connus, désignés, et faciles à retrouver la nuit, grâce à une lumière de couleur par exemple.
L’ennemi s’attaquant particulièrement aux usines, aux installations métallurgiques, aux centrales d’électricité et de force et opérant surtout par temps clair où les objectifs sont visibles d’altitudes assez grandes, il faudrait évidemment cacher ces objectifs ou en défendre l’approche.
Or, circonstance favorable, tous ces- buts de choix sont munis de hautes cheminées, d’autant plus hautes et plus nombreuses que l’installation est elle-même plus importante. II suffirait donc d’utiliser ces pylônes tout trouvés pour brûler à leur sommet les engins fumigènes analogues à ceux dont la marine est pourvue. Ces engins qui dégagent une quantité énorme de fumée pour un coût très modique,' puisqu’ici l’appareil lui-même n’est pas perdu et la matière fumigène seule est consommée, répandraient sur les bâtiments avoisinants un nuage très opaque dont l’étendue n’est limitée que par la quantité d’engins dont on dispose. Ce nuage traînant, se déplaçant dans l’atmosphère sous l’action du vent qui règne toujours à quelques mètres au-dessus du sol, se diffuserait; il ne masquerait peut-être pas toute une ville, mais il gênerait suffisamment les aviateurs ennemis pour rendre leur tir incertain.
Les barrages aériens, dont la presse quotidienne a parlé à plusieurs reprises, idée française appli-
quée en Allemagne, pourraient aussi calmer l’ardeur de nos ennemis. Soit permanents, suspendus par des trairis de planeurs ou des ballons captifs, soit temporaires, lancés pour les avions de la défense pu mieux les canons antiaériens, ces filets dans lesquels les ennemis viendraient s’empêtrer les forceraient à plus de prudence et leur interdiraient l’accès des zones essentielles.
On pourrait aussi chercher à dérouter les avions en créant de fausses lueurs, semblant à grande altitude provenir d'usines et. attirant ainsi les coups de l’ennemi; celui-ci dépensera alors ses munitions sur ce qu’il prendra pour des buts; importants qui ne seront, en réalité, que des lampes électriques munies de réflecteurs et de globes de forme et de couleur appropriées, disposées suivant des contours convenablement étudiés. - *
Enfin les projecteurs et les canons de la défense terrestre, en aveuglant l’ennemi et en formant, par des tirs accélérés, un barrage de mitraille, forceraient les escadrilles à rebrousser chemin.
Quant à la lutte nocturne d’avion contre avion à laquelle on semble donner la préférence, l’expérience a montré, aussi bien en Angleterre qu’en France, qu’elle ne fournit pas de résultats en rapport avec les dangers courus. L’aviateur ami, qui doit pouvoir se faire reconnaître de ses camarades de combat et des défenses fixes, porte des lampes indicatrices et des projecteurs dont l’éclat suffit aux ennemis pour le repérer et l’éviter. De plus, sauf circonstances exceptionnelles, l’aviateur qui dans le ciel, en pleine nuit, est sourd et aveugle, ne pourra découvrir l’ennemi et encore moins l’attaquer efficacement.
Aussi, espérons-nous que, profitant de l’expérience chèrement acquise, les mesures seront prises pour réduire l’efficacité des bombardements aériens. X***
A PROPOS DE L’AVION SANITAIRE
J’ai lu avec intérêt, mais non sans surprise, l’article récemment publié sous ce même titre (p. 47, 19 janvier 1918). fl y est dit que M. Chassaing est le créateur de l’avion sanitaire. La vérité historique m’oblige à rectifier cette assertion et à rappeler un article sur cette même question, que j’ai publié voilà un an et demiQ).
C’est incontestablement au Dr Duchaussoy, fondateur et secrétaire général de l’Association des Dames françaises, que revient le mérite d’avoir le premier conçu l’idée de. transporter les blessés par voie aérienne. Son projet, approuvé par le Consèil de l’Association, fut renvoyé à une Commission technique qui élabora un programme parfaitement réalisable. Néanmoins, Je Ministre de la Guerre ne jugea pas utile de le mettre à exécution, limitant le rôle des aéroplanes à la recherche des blessés, à l’apport des pansements et à la liaison avec les postes médicaux.
1. R. Blaxchard. Le transport des blessés en aéroplane. Paris médical, p. 55-55, 15 juillet 1916.
La guerre vint prouver que le Dr Duchaussoy avait raison. Pendant l’effroyable retraite d’Albanie, treize malades ou blessés furent transportés par la voie des airs. L’un d’eux, très gravement blessé, fut évacué en deux étapes, de Mitrovitza à Prizrend (80 km), puis de Prizrend à Vallona (250 km). Les 'avions utilisés étaient en fort mauvais état, après leurs longs services et de multiples réparations de fortune; ils ne présentaient aucun aménagement particulier pour la commodité des voyageurs (*).
Le succès de ces raids aériens est très remarquable. La question du transport aérien des blessés, conçue par le Dr Duchaussoy, était donc, résolue. Il restait à perfectionner les avions pour les adapter à ce but particulier. Je reconnais volontiers que M. Chassaing a réalisé en ce sens d’utiles modifications, mais il est tout à fait injuste de voir en lui l’inventeur de l’avion sanitaire.
Professeur R. Blahciiard.
1. II. Bakby. L’épopée serbe. Paris, in-8° de 227 pages, 1916 ; ci'. p. 79.
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- 1873 : Première année : n. 1 à 26
- 1874 : Deuxième année, premier semestre : n. 27 à 52
- 1874 : Deuxième année, deuxième semestre : n. 53 à 78
- 1875 : Troisième année, premier semestre : n. 79 à 104
- 1875 : Troisième année, deuxième semestre : n. 105 à 130
- 1876 : Quatrième année, premier semestre : n. 131 à 156
- 1876 : Quatrième année, deuxième semestre : n. 157 à 182
- 1877 : Cinquième année, premier semestre : n. 183 à 208
- 1877 : Cinquième année, deuxième semestre : n. 209 à 234
- 1878 : Sixième année, premier semestre : n. 235 à 260
- 1878 : Sixième année, deuxième semestre : n. 261 à 287
- 1879 : Septième année, premier semestre : n. 288 à 313
- 1879 : Septième année, deuxième semestre : n. 314 à 339
- 1880 : Huitième année, premier semestre : n. 340 à 365
- 1880 : Huitième année, deuxième semestre : n. 366 à 391
- 1881 : Neuvième année, premier semestre : n. 392 à 417
- 1881 : Neuvième année, deuxième semestre : n. 418 à 443
- 1882 : Dixième année, premier semestre : n. 444 à 469
- 1882 : Dixième année, deuxième semestre : n. 470 à 495
- 1883 : Onzième année, premier semestre : n. 496 à 521
- 1883 : Onzième année, deuxième semestre : n. 522 à 547
- 1884 : Douzième année, premier semestre : n. 548 à 574
- 1884 : Douzième année, deuxième semestre : n. 575 à 600
- 1885 : Treizième année, premier semestre : n. 601 à 626
- 1885 : Treizième année, deuxième semestre : n. 627 à 652
- 1886 : Quatorzième année, premier semestre : n. 653 à 678
- 1886 : Quatorzième année, deuxième semestre : n. 679 à 704
- 1887 : Quinzième année, premier semestre : n. 705 à 730
- 1887 : Quinzième année, deuxième semestre : n. 731 à 756
- 1888 : Seizième année, premier semestre : n. 757 à 782
- 1888 : Seizième année, deuxième semestre : n. 783 à 808
- 1889 : Dix-septième année, premier semestre : n. 809 à 834
- 1889 : Dix-septième année, deuxième semestre : n. 835 à 861
- 1890 : Dix-huitième année, premier semestre : n. 862 à 887
- 1890 : Dix-huitième année, deuxième semestre : n. 888 à 913
- 1891 : Dix-neuvième année, premier semestre : n. 914 à 939
- 1891 : Dix-neuvième année, deuxième semestre : n. 940 à 965
- 1892 : Vingtième année, premier semestre : n. 966 à 991
- 1892 : Vingtième année, deuxième semestre : n. 992 à 1017
- 1893 : Vingt-et-unième année, premier semestre : n. 1018 à 1043
- 1893 : Vingt-et-unième année, deuxième semestre : n. 1044 à 1069
- 1894 : Vingt-deuxième année, premier semestre : n. 1070 à 1095
- 1894 : Vingt-deuxième année, deuxième semestre : n. 1096 à 1121
- 1895 : Vingt-troisième année, premier semestre : n. 1122 à 1147
- 1895 : Vingt-troisième année, deuxième semestre : n. 1148 à 1174
- 1896 : Vingt-quatrième année, premier semestre : n. 1175 à 1200
- 1896 : Vingt-quatrième année, deuxième semestre : n. 1201 à 1226
- 1897 : Vingt-cinquième année, premier semestre : n. 1227 à 1252
- 1897 : Vingt-cinquième année, deuxième semestre : n. 1253 à 1278
- 1898 : Vingt-sixième année, premier semestre : n. 1279 à 1304
- 1898 : Vingt-sixième année, deuxième semestre : n. 1305 à 1331
- 1899 : Vingt-septième année, premier semestre : n. 1332 à 1357
- 1899 : Vingt-septième année, deuxième semestre : n. 1358 à 1383
- 1900 : Vingt-huitième année, premier semestre : n. 1384 à 1409
- 1900 : Vingt-huitième année, deuxième semestre : n. 1410 à 1435
- 1901 : Vingt-neuvième année, premier semestre : n. 1436 à 1461
- 1901 : Vingt-neuvième année, deuxième semestre : n. 1462 à 1488
- 1902 : Trentième année, premier semestre : n. 1489 à 1514
- 1902 : Trentième année, deuxième semestre : n. 1515 à 1540
- 1903 : Trente et unième année, premier semestre : n. 1541 à 1566
- 1903 : Trente et unième année, deuxième semestre : n. 1567 à 1592
- 1904 : Trente-deuxième année, premier semestre : n. 1595 à 1618
- 1904 : Trente-deuxième année, deuxième semestre : n. 1619 à 1644
- 1905 : Trente-troisième année, premier semestre : n. 1645 à 1670
- 1905 : Trente-troisième année, deuxième semestre : n. 1671 à 1696
- 1906 : Trente-quatrième année, premier semestre : n. 1697-1722
- 1906 : Trente-quatrième année, deuxième semestre : n. 1723-1748
- 1907 : Trente-cinquième année, premier semestre : n. 1749-1774
- 1907 : Trente-cinquième année, deuxième semestre : n. 1775-1801
- 1908 : Trente-sixième année, premier semestre : n. 1802-1827
- 1908 : Trente-sixième année, deuxième semestre : n. 1828-1853
- 1909 : Trente-septième année, premier semestre : n. 1854-1879
- 1909 : Trente-septième année, deuxième semestre : n. 1880-1905
- 1910 : Trente-huitième année, premier semestre : n. 1906-1931
- 1910 : Trente-huitième année, deuxième semestre : n. 1932-1957
- 1910 : Suppléments pour l'année 1910 : n. 1906-1957
- 1911 : Trente-neuvième année, premier semestre : n. 1958-1983
- 1911 : Trente-neuvième année, deuxième semestre : n. 1983-2009
- 1912 : Quarantième année, premier semestre : n. 2010-2035
- 1912 : Quarantième année, deuxième semestre : n. 2036-2062
- 1913 : Quarante et unième année, premier semestre : n. 2063-2088
- 1913 : Quarante et unième année, deuxième semestre : n. 2089-2114
- 1914 : Quarante deuxième année, premier semestre : n. 2115-2140
- 1914 : Quarante deuxième année, deuxième semestre : n. 2141-2152
- 1915 : Quarante-troisième année, premier semestre : n. 2153-2178
- 1915 : Quarante-troisième année, deuxième semestre : n. 2179-2204
- 1916 : Quarante-quatrième année, premier semestre : n. 2205-2230
- 1916 : Quarante-quatrième année, deuxième semestre : n. 2231-2257
- 1916 : Quarante-quatrième année. [Premières et dernières de couverture]
- 1917 : Quarante-cinquième année, premier semestre : n. 2258-2283
- 1917 : Quarante-cinquième année, deuxième semestre : n. 2284-2309
- 1918 : Quarante-sixième année, premier semestre : n. 2310-2335
- 1918-1919 : Quarante-sixième année, deuxième semestre, 1918-1er semestre 1919 : n. 2336-2361
- 1919 : Quarante-septième année, deuxième semestre : n. 2362-2387
- 1920 : Quarante-huitième année, premier semestre : n. 2388-2412
- 1920 : Quarante-huitième année, deuxième semestre : n. 2413-2438
- 1921 : Quarante-neuvième année, premier semestre : n. 2439-2464
- 1921 : Quarante-neuvième année, deuxième semestre : n. 2492-2516
- 1922 : Cinquantième année, premier semestre : n. 2490-2516
- 1922 : Cinquantième année, deuxième semestre : n. 2517-2543
- 1923 : Cinquante et unième année, premier semestre : n. 2544-2569
- 1923 : Cinquante et unième année, deuxième semestre : n. 2570-2595
- 1924 : Cinquante-deuxième année, premier semestre : n. 2596-2621
- 1924 : Cinquante-deuxième année, deuxième semestre : n. 2622-2647
- 1925 : Cinquante-troisième année, premier semestre : n. 2648-2673
- 1925 : Cinquante troisième année, deuxième semestre : n. 2674-2699
- 1926 : Cinquante-quatrième année, premier semestre : n 2700-2725
- 1926 : Cinquante quatrième année, deuxième semestre : n. 2726-2751
- 1927 : Cinquante-cinquième année, premier semestre : n. 2752-2763
- 1927 : Cinquante-cinquième année, deuxième semestre : n. 2764-2775
- 1928 : Cinquante-sixième année, premier semestre : n. 2776-2787
- 1928 : Cinquante-sixième année, deuxième semestre : n. 2788-2799
- 1929 : Cinquante-septième année, premier semestre : n. 2800-2811
- 1929 : Cinquante-septième année, deuxième semestre : n. 2812-2823
- 1930 : Cinquante-huitième année, premier semestre : n. 2824-2834
- 1930 : Cinquante huitième année, deuxième semestre : n. 2836-2847
- 1931 : Cinquante neuvième année, premier semestre : n. 2848-2859
- 1931 : Cinquante neuvième année, deuxième semestre : n. 2860-2871
- 1932 : Soixantième année, premier semestre : n. 2872-2883
- 1932 : Soixantième année, deuxième semestre : n. 2884-2895
- 1933 : Soixante et unième année, premier semestre : n. 2896-2907
- 1933 : Soixante et unième année, deuxième semestre : n. 2908-2919
- 1934 : Soixante-deuxième année, premier semestre : n. 2920-2931
- 1934 : Soixante-deuxième année, deuxième semestre : n. 2932-2943
- 1935 : Soixante-troisième année, premier semestre : n. 2944-2955
- 1935 : Soixante-troisième année, deuxième semestre : n. 2956-2967
- 1936 : Soixante-quatrième année, premier semestre : n. 2968-2979
- 1936 : Soixante-quatrième année, deuxième semestre : n 2980-2991
- 1937 : Soixante-cinquième année, premier semestre : n. 2992-3003
- 1937 : Soixante-cinquième année, deuxième semestre : n. 3004-3015
- 1938 : Soixante-sixième année, premier semestre : n. 3016-3027
- 1938 : Soixante-sixième année, deuxième semestre : n. 3028-3039
- 1939 : Soixante-septième année, premier semestre : n. 3040-3051
- 1939-1940 : Soixante-huitième année : n. 3052-3064, deuxième semestre 1939, année 1940
- 1941 : Soixante-neuvième année : n. 3065-3076, 1941-1942
- 1942 : Soixante-neuvième année : n. 3077-3078, 1942
- 1945 : [Soixante-treizième année] : n. 3079-3102
- 1946 : Soixante-quatorzième année. n. 3103-3126
- 1947 : Soixante-quinzième année. n. 3127-3126
- 1948 : Soixante-seizième année. n. 3151-3164
- 1949 : Soixante-dix-septième année. n. 3165-3176
- 1950 : Soixante-dix-huitième année. n. 3177-3188
- 1951 : Soixante-dix-neuvième année. n. 3189-3200
- 1952 : Quatre-vingtième année. n. 3201-3212
- 1953 : Quatre-vingt-unième année. n. 3213-3224
- 1954 : Quatre-vingt-deuxième année : n. 3225-3236
- 1955 : Quatre-vingt-troisième année : n. 3237-3248
- 1956 : Quatre-vingt-quatrième année : n. 3249-3260
- 1957 : Quatre-vingt-cinquième année : n. 3261-3272
- 1958 : Quatre-vingt-sixième année : n. 3273-3284
- 1959 : Quatre-vingt-septième année : n. 3285-3296
- 1960 : Quatre-vingt-huitième année : n. 3297-3308
- 1961 : Science Progrès. Quatre-vingt-neuvième année
- 1962 : Science Progrès. Quatre-vingt-dixième année
- Tables cumulatives 1873-1882
- Tables cumulatives 1883-1892
- Tables cumulatives 1893-1902
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