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- TABLE DES MATIÈRES
- TABLE DES ILLUSTRATIONS
- RECHERCHE DANS LE DOCUMENT
- TEXTE OCÉRISÉ
- Première image
- PAGE DE TITRE
- Le procédé Dufaycolor (p.3)
- Chapitre II. Le film Dufaycolor son emploi (p.8)
- Chargement du châssis (p.8)
- Filtres (p.9)
- Note importante (p.10)
- Mise au point (p.11)
- Temps de pose (p.11)
- Points essentiels (p.14)
- Développement (p.15)
- Première méthode de développement (p.16)
- Méthode de développement « par facteurs (p.18)
- Bain de blanchiment (p.18)
- Bain décolorant (p.19)
- Autre bain de blanchiment (p.19)
- Affaiblissement des clichés trop denses (p.20)
- Seconde exposition (p.20)
- Second développement (p.21)
- Séchage (p.21)
- Correction pour surexposition et développement excessif – Renforcement (p.22)
- Correction pour sous-exposition et développement insuffisant – Affaiblissement (p.22)
- Chapitre III. Le procédé Dufaycolor et ses applications (p.24)
- Le Dufaycolor pour l'amateur (p.24)
- Le Dufaycolor pour l'amateur de petit format (p.25)
- Le Dufaycolor pour l'amateur de cinéma (p.25)
- Le Dufaycolor pour le portraitiste (p.26)
- Le Dufaycolor pour le photographe professionnel (p.28)
- Le Dufaycolor pour les industriels (p.29)
- Le Dufaycolor pour le reporter (p.30)
- Le Dufaycolor pour la photographie technique, scientifique et chirurgicale (p.30)
- Le Dufaycolor pour l'imprimeur (p.32)
- Chapitre IV. Examen des diapositives Dufaycolor (p.33)
- Chapitre V. Négatifs en sélection trichrome à partir des clichés Dufaycolor (p.37)
- Dernière image
- Première image
- PAGE DE TITRE
- Aimablement communiqué par Tunbridge. Projecteurs avec lampes 1/2 watts totalisant 2.500 watts et 2 spots de 500 watts. - Temps de pose 3 sec. A F/4.5 avec Dufaycolor portrait film type D2 et filtre D2/2 (pl.1)
- Fig. 1. - Coupe d'un film Dufaycolor (p.4)
- Micro-photogrpahies du réseau Dufaycolor (pl.2)
- Fig. 2. Reproduction des couleurs par le Dufaycolor (p.5)
- Fig. 3. [Emploi du Dufaycolor. Retrait de la bande adhésive] (p.9)
- Aimablement communiqué par le « Times ». Temps couvert - Septembre l'après-midi - Temps de pose : 1/2 sec. A F/8 avec portrait-film Dufaycolor type D2 et filtre D2/1 (pl.3)
- Aimablement communiqué par Waring & Gillow Ltd. Eclairage : 2 lampes 500 watts avec réflecteurs et 1 spot de 500 watts. Temps de pose 3 minutes à F/11 avec portrait-film Dufaycolor type D2 et filtre D2/2 (pl.0)
- Dernière image
Le Procédé DUFAYCOLOR
Affaiblissement des clichés trop denses
Lorsque le film est regardé à la lumière après le blanchiment, on voit forcément s’il a été exposé d’une façon satisfaisante ou non. Lorsqu’un film bien exposé repose dans le récipient la face au-dessus, on voit que les parties les plus éclairées sont presque entièrement noires, ceci parce qu’il ne doit pas pour ainsi dire rester de bromure d’argent sur ces parties. Si les parties très éclairées sont couvertes d’un voile blanchâtre, c’est que le temps de pose a été très court ; ou si on a employé le développement « par facteurs », que la correction a été insuffisante, ou encore que le temps de pose a été tellement court qu’il n’y a pas de correction possible ; au second développement, ce voile blanchâtre produira un dépôt d’argent, de sorte que le cliché sera sans relief ou très dense. Ceci peut être évité, et par conséquent le cliché amélioré, par un affaiblissement dûment contrôlé avant le second développement ; si l’affaiblissement est trop prolongé, l’image sera absolument sans contrastes. Ce traitement est très estimé en pratique et s’emploie depuis 1909, mais dernièrement il a été moins employé qu’il aurait dû l’être, étant données ses grandes qualités.
Le meilleur procédé de réduction consiste à tremper les clichés dans une très petite solution délayée de cyanure de potassium (1:1.000) ; une solution plus forte agirait trop rapidement. Ce produit est un poison très violent et doit être manié avec grand soin ; ceux qui préfèrent ne pas l’employer peuvent se servir d’une solution de 1 % d’hyposulfite de soude ou de 2 % d’une solution de sulfocyanure d’ammonium. Les résultats sont moins bons qu’avec le cyanure. Le film est baigné dans la solution rêductive et doucement agité jusqu’à ce que les parties très éclairées soient presque claires ; quand elles ne sont plus recouvertes que d’un léger dépôt laiteux, on arrête l’action en mettant le film dans l’eau. Après examen à la lumière diffuse pour s’assurer que le résultat est bon, le film est rincé entièrement et l’on procède à la seconde exposition et au développement.
Seconde exposition
Après le blanchiment, quelle que soit la méthode employée, le film est lavé pendant une ou deux minutes et exposé à la lumière d’une lampe de 100 watts, à une distance de 30 cm.
20
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour cette page est de 99,31 %.
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Affaiblissement des clichés trop denses
Lorsque le film est regardé à la lumière après le blanchiment, on voit forcément s’il a été exposé d’une façon satisfaisante ou non. Lorsqu’un film bien exposé repose dans le récipient la face au-dessus, on voit que les parties les plus éclairées sont presque entièrement noires, ceci parce qu’il ne doit pas pour ainsi dire rester de bromure d’argent sur ces parties. Si les parties très éclairées sont couvertes d’un voile blanchâtre, c’est que le temps de pose a été très court ; ou si on a employé le développement « par facteurs », que la correction a été insuffisante, ou encore que le temps de pose a été tellement court qu’il n’y a pas de correction possible ; au second développement, ce voile blanchâtre produira un dépôt d’argent, de sorte que le cliché sera sans relief ou très dense. Ceci peut être évité, et par conséquent le cliché amélioré, par un affaiblissement dûment contrôlé avant le second développement ; si l’affaiblissement est trop prolongé, l’image sera absolument sans contrastes. Ce traitement est très estimé en pratique et s’emploie depuis 1909, mais dernièrement il a été moins employé qu’il aurait dû l’être, étant données ses grandes qualités.
Le meilleur procédé de réduction consiste à tremper les clichés dans une très petite solution délayée de cyanure de potassium (1:1.000) ; une solution plus forte agirait trop rapidement. Ce produit est un poison très violent et doit être manié avec grand soin ; ceux qui préfèrent ne pas l’employer peuvent se servir d’une solution de 1 % d’hyposulfite de soude ou de 2 % d’une solution de sulfocyanure d’ammonium. Les résultats sont moins bons qu’avec le cyanure. Le film est baigné dans la solution rêductive et doucement agité jusqu’à ce que les parties très éclairées soient presque claires ; quand elles ne sont plus recouvertes que d’un léger dépôt laiteux, on arrête l’action en mettant le film dans l’eau. Après examen à la lumière diffuse pour s’assurer que le résultat est bon, le film est rincé entièrement et l’on procède à la seconde exposition et au développement.
Seconde exposition
Après le blanchiment, quelle que soit la méthode employée, le film est lavé pendant une ou deux minutes et exposé à la lumière d’une lampe de 100 watts, à une distance de 30 cm.
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