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- TABLE DES MATIÈRES
- TABLE DES ILLUSTRATIONS
- RECHERCHE DANS LE DOCUMENT
- TEXTE OCÉRISÉ
- Première image
- PAGE DE TITRE
- TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES (p.365)
- Numéro 1er. Londres, Mercredi, 7 mai 1851 (p.1)
- Numéro 2. Londres, Mercredi, 14 mai 1851 (p.17)
- Numéro 3. Londres, Mercredi, 21 mai 1851 (p.33)
- Revue de l'Exposition (p.33)
- Suite des lettres de M. Blanqui (p.34)
- Exposition des Etats-Unis (p.35)
- Etudes spéciales sur les principales divisions de l'Exposition (p.39)
- Machines électriques et électro-métallurgiques (p.42)
- Chronique de l'Exposition (p.43)
- Chronique de Londres (p.43)
- Liste des exposants français (p.44)
- Numéro 4. Samedi, 31 mai 1851 (p.49)
- La France et l'Angleterre (p.49)
- Les passeports et lord Palmerston (p.51)
- Courrier de Londres (p.51)
- Les Economistes français à Londres (p.52)
- Lettre de M. Jules Janin (p.54)
- Chronique de l'Exposition (p.55)
- Dernières nouvelles de Londres (p.56)
- Fauteuil d'apparat ou trône des ateliers de M. Dankouski, d'York (p.57)
- Courrier de Paris (p.58)
- Bulletin scientifique (p.59)
- Ebénisterie française (p.60)
- Avantage des Expositions cosmopolites (p.62)
- Actes officiels (p.62)
- Chronique générale (p.62)
- De l'influence des mécaniques sur le prix des salaires et le bien-être du peuple (p.62)
- Numéro 5. Paris et Londres, Samedi, 7 juin 1851 (p.65)
- L'éducation professionnelle (p.65)
- Il Palazzo di Cristal (p.66)
- O journaux ! ô leçons ! (p.66)
- Les limites de l'industrie (p.66)
- Les délégués de l'industrie française à Londres (p.67)
- Application du fer à l'art décoratif (p.67)
- Revue de l'Exposition universelle (p.68)
- Courrier de Londres (p.70)
- Chronique de l'Exposition universelle (p.71)
- Les Economistes français à Londres (p.72)
- Courrier de Paris (p.74)
- Chronique générale (p.79)
- Explication des dessins (p.79)
- Numéro 6. Samedi, 14 juin 1851 (p.81)
- A chacun selon ses oeuvres (p.82)
- Simple question (p.82)
- Propriété des objets exposés (p.82)
- L'anglomanie (p.82)
- Courrier de Londres (p.82)
- L'Exposition lyonnaise (p.83)
- Appareil de Cax (p.84)
- La Famille chinoise (p.88)
- Les économistes français (p.90)
- Bulletin scientifique (p.91)
- Courrier de Paris (p.93)
- Bulletin industriel (p.94)
- Variétés biographiques (p.95)
- Numéro 7. Samedi, 21 juin 1851 (p.97)
- De la propriété et de l'exploitation des inventions (p.97)
- Bulletin industriel (p.98)
- Démonstration de la rotation de la terre par le pendule (p.100)
- Courrier de Londres (p.102)
- Les Economistes français à Londres (p.103)
- Revue de l'Exposition (p.106)
- Courrier de Paris (p.109)
- De l'influence des mécaniques sur le prix des salaires et le bien-être du peuple (p.111)
- Explication des dessins (p.111)
- Numéro 8. Samedi, 28 juin 1851 (p.113)
- Avis du gérant sur la rédaction nouvelle du Palais de Cristal (p.114)
- Bulletin industriel (A. Laya) (p.114)
- Objets d'orfévrerie (J. Engell) (p.114)
- Economistes français et étrangers (p.117)
- Escamotage du koh-i-noor (Jobard) (p.118)
- M. Michel Chevalier (p.118)
- Bulletin officiel des brevets d'invention (p.119)
- Bulletin bibliographique et de jurisprudence industrielle (p.119)
- Exposition universelle (p.121)
- Bulletin scientifique (p.124)
- Courrier de Paris et de Londres (p.126)
- Actes officiels. - Faits divers (p.127)
- Numéro 9. Samedi, 5 juillet 1851 (p.129)
- Numéro 10. Samedi, 12 juillet 1851 (p.145)
- Numéro 11. Samedi, 19 juillet 1851 (p.161)
- Numéro 12. Samedi, 26 juillet 1851 (p.177)
- Numéro 13. Samedi, 2 août 1851 (p.193)
- Groupe d'horloges (Détouche) (p.193)
- Bulletin industriel (sur la propriété industrielle) (p.194)
- Association des Lettres, des Arts et de l'Industrie (p.195)
- De l'Exposition de Londres, de la Russie (Bellegarrigue) (p.198)
- Héliochromie (Niepce de St-Victor) (p.202)
- Projet d'Exposition de dessins et modèles (Klagmann) (p.202)
- Récompenses des exposants (p.203)
- Nouvelles pompes (Bateman) (p.203)
- Courrier de Paris et de Londres (p.206)
- Numéro 14. Samedi, 9 août 1851 (p.209)
- Numéro 15. Samedi, 16 août 1851 (p.225)
- Bulletin industriel (Réforme de la loi de 1844) (p.226)
- L'Espagne à l'Exposition (p.227)
- Exposition de Londres (Jobard) (p.230)
- De la Russie industrielle (Bellegarrigue) (p.231)
- Rapport à l'Académie (Michel Chevalier-Raoetti) (p.235)
- Courrier de Paris et de Londres (p.238)
- Lettre de M. Dupin (Charles) au prince Albert) et Chronique de l'Exposition) (p.239)
- Numéro 16. Samedi, 23 août 1851 (p.241)
- Bulletin industriel (assemblée internationale) (p.242)
- Lettre de M. Jobard (p.243)
- Lettre de M. B. (des Vosges) (p.243)
- Questions industrielles (p.246)
- L'Espagne à l'Exposition (Bellegarrigue) (p.246)
- De la stéréotypie à la pâte de papier (p.247)
- Rapport de M. Michel Chevalier (p.250)
- Exposition de Londres (p.251)
- Courrier de Paris et de Londres (p.254)
- Inauguration de la statue du général Damesme (Mansard) (p.255)
- Numéro 17. Dimanche, 31 août 1851 (p.257)
- Bulletin industriel. (Préjugés contre la propriété industrielle) (p.258)
- Science et industrie agricole : De la maladie de la vigne (Dr Caffe) (p.259)
- Exposition de Londres (Jobard) (p.259)
- L'Espagne à l'Exposition (Bellegarrigue) (p.263)
- Exposition des Etats-Unis (Hausmann) (p.267)
- Belgique (p.267)
- Machine à laver (Macalpène) (p.268)
- Machine à couper ; essieux ; fire annihilator (p.269)
- Courrier de Paris et de Londres (p.271)
- Numéro 18. Samedi, 6 septembre 1851 (p.273)
- Numéro 19. Samedi, 13 septembre 1851 (p.289)
- Bulletin industriel (Des chefs d'ateliers et d'usines) (p.290)
- Règlement intérieur du comité de l'Association des inventeurs (p.291)
- Exposition de Londres (Jobard) (p.294)
- Suède, Danemark, Zollverein, Saxe, Wurtemberg, Bavière ; par M. Hausmann (p.295)
- Exposition rasse (Bellegarrigue) (p.298)
- L'Espagne (Bellegarrigue) (p.299)
- Courrier de Paris et de Londres (p.302)
- Numéro 20. Samedi, 20 septembre 1851 (p.305)
- Numéro 21. Samedi, 27 septembre 1851 (p.321)
- Numéro 22. Samedi, 4 octobre 1851 (p.337)
- Numéro 23. Mercredi 8 (pour Samedi 11 octobre) 1851 (p.353)
- Dernière image
- Première image
- PAGE DE TITRE
- La Reine inaugurant l'Exposition (pl.1)
- Le Lion amoureux (pl.4)
- La Nymphe lo et Bacchus enfant (pl.4)
- Vue intérieure du Palais de Cristal, nouveau point de vue (pl.5)
- Coffre à bijoux (pl.5)
- Le Boiler House (n.n.)
- Le Lion (n.n.)
- Plan typographique du bâtiment de l'Exposition universelle (n.n.)
- Plan typographique du bâtiment de l'Exposition universelle (n.n.)
- Vue extérieure du Palais de Cristal (pl.12)
- L'Astronomie (pl.12)
- Boîte à thé en argent (pl.13)
- Piano pour le peuple (pl.13)
- Le Pronostiqueur de tempêtes (pl.13)
- Godefroy de Bouillon (pl.16)
- La Reine visitant le koh-i-nor (pl.17)
- Fontaines et vases en bronze (pl.20)
- Salière en argent (pl.20)
- La Mendiante (pl.21)
- Boîte à bijoux (pl.21)
- L'orgue (Gray et Darison) (pl.24)
- Le Giotto (pl.24)
- Pont à air en caoutchouc (pl.25)
- Vases (pl.25)
- Baldaquin en porcelaine de Sèvres (pl.28)
- Fontaine en fer fondu (pl.29)
- Poteries du Zollverein (pl.33)
- Grue d'Henderson (3 gravures) (pl.36)
- La presse hydraulique du pont Britannia (pl.37)
- Paravent en jonc (pl.37)
- Scène de la Passion, groupe en plâtre (pl.40)
- Meubles en jonc tordu (pl.40)
- Un Baigneur (pl.41)
- Fourneaux (2 gravures) (pl.41)
- Statue équestre de la reine Victoria (pl.44)
- Libussa, reine de Bohême (pl.45)
- George de Podiebrad, roi de Bohème (pl.48)
- Bureau gothique-allemand. (Tahan) (pl.49)
- Mélodium, harmonium, orgue de Ketzeing (pl.52)
- Statue (pl.52)
- Surtout de table (pl.52)
- Surtout de burand (pl.56)
- Dessin de châle (Botticher) (pl.56)
- Amazone combattant à cheval (Kiss) (pl.57)
- Fauteuil d'apparat (pl.57)
- Nécessaire de voyage, table à ouvrage, coffre sculpté, nécessaire de voyage, table-guéridon (pl.60)
- Nécessaire de voyage, coffre de Boulle, boîte à thé, étagère, cave à liqueurs, pupitre (pl.61)
- Vaisselle de luxe (Smith et Nicholson) (pl.65)
- Candélabre en fonte de fer (Brocha, de Paris) (pl.68)
- Guéridon (Morand) (pl.68)
- Fauteuil (Janselme) (pl.68)
- Phaéton (MM. Holmes) (pl.69)
- Serre-bijoux (pl.69)
- Coupe d'ivoire (Henri Hemphill), théière, sucrier, brocs à lait et à crème, cruche à eau à l'usage de la Turquie (Wegwood) (pl.72)
- La reine Marguerite (Messenger et fils) (pl.73)
- Cheminée de fonte de fer (Vandre) (pl.73)
- Broche d'après l'antique (Waterhouse) (pl.76)
- Autre broche analogue (pl.76)
- Autre broche analogue (pl.76)
- Autre broche analogue (pl.76)
- Autre broche analogue (pl.76)
- Pince à sucre (Higgings) (pl.77)
- Bougeoir (Higgings) (pl.77)
- Cuillère à sel, manche de couteau, cuillère à sucre, celle à poisson (pl.77)
- Visite des émigrants de la Société de colonisation d'Amérique au Palais de Cristal (pl.81)
- Pompe rotative à main d'Appold (3 gravures) (pl.85)
- Fontaine d'Acis et Galathée (pl.88)
- La Famille chinoise (pl.88)
- Trophée chinois (Keith et Ce) (pl.89)
- Machines à bobines (Judkins) (2 gravures) (pl.92)
- Vitrail gothique normand (pl.93)
- Bibliothèque en palissandre (pl.97)
- Figures démonstratives de la rotation de la terre (pl.100)
- Figures démonstratives de la rotation de la terre (pl.101)
- Le Massacre des Innocents (pl.104)
- Ariane abandonnée (pl.104)
- Sainte Elisabeth de Hongrie (pl.104)
- La reine Elisabeth d'Angleterre (pl.105)
- Piecing-machine de Growley (pl.108)
- Roue à palettes en éventail (pl.109)
- Vitraux (Gallimard) (pl.113)
- Service de thé (Engell) (pl.116)
- Gobelet (Engell) (pl.116)
- Calice (Engell) (pl.116)
- Fontaine de parfum (Rimmel) (pl.117)
- Ancien pot à couvercle (Engell) (pl.117)
- Cruchon (Engell) (pl.117)
- Statue de la Reine (pl.120)
- Berceau et barcelonnette (pl.120)
- Les Anges adorant la Vierge et l'Enfant (pl.121)
- Livres reliés (pl.121)
- Vitraux (Gallimard) (pl.124)
- Famille chinoise (2 gravures) (pl.125)
- Divan circulaire (Arm. Couder) (pl.129)
- Pléiades (Ross) ; siège (Lemercier) ; coupe orientale (Morel) (pl.132)
- Brûle-parfum (Gucyton), écran (Ackermann), guitarpa (pl.133)
- Bouclier de Shakespeare (Luck Limmer) ; Paul et Virginie (Susse) (pl.136)
- Vase en argent (Elkington) (pl.137)
- Vase de fonte, cheminée (pl.140)
- Coupe en agate (Morel) (pl.141)
- Jeunes Indiennes (Roskell) (pl.141)
- Le duc de Wellington au déballage de la statue de Napoléon (pl.145)
- Vase à rafraîchir (Eichler) (pl.148)
- Sujet offert à Montefiore (Brown) (pl.148)
- Vase de chasse, Vénus et l'Amour (Joshua Wedgwood) (pl.149)
- Surtout en biscuit (Gunter), pendule (Howell) (pl.152)
- Typographie française (pl.153)
- Vue du Transept (pl.156)
- Vue du Transept (pl.157)
- Groupe de Guillaume de Nassau (Brown) (pl.161)
- Ange emportant des innocents (Gerst) (pl.164)
- Caisse à bijoux, etc. (Asprey) (pl.164)
- Vase de fleurs (Engel) (pl.164)
- Cruchon de vin (Engel) (pl.164)
- Meubles en papier mâché (Jennins et Betridge) (pl.165)
- Charité (Berry et Thomas) (pl.165)
- Corbeille de fleurs (Engel) (pl.165)
- Chambre à coucher de la Reine (pl.168)
- Ariel dirigeant la foudre. - Lit de parade (pl.169)
- Lit de parade (pl.172)
- Verres de cristal et fauteuil (pl.172)
- Visite de la Reine et du prince Albert à l'Exposition (pl.173)
- Portrait de Daguerre (pl.177)
- Globe (Johnston) (pl.180)
- Tapis (Templeton) (pl.180)
- Statue et groupe (Nickmann) (pl.181)
- Grand piano, d'Erard (pl.181)
- Bouclier, de Lepage (pl.184)
- Divan (Couder) (pl.184)
- Fusil et pistolets, cimeterre etc. (Lefaucheux et Wilkinson) (pl.185)
- Crosse de fusil (Romey) (pl.185)
- Alfred Quidant touchant le piano d'Erard à l'exposition (pl.188)
- Vierge et l'Enfant (Vander Hagen). - Perle, pincettes et devant de cheminée (Runner) (pl.189)
- Groupe d'horloges (Detouche) (pl.193)
- Hébé versant le nectar (Kahsmann) (pl.196)
- Mort du Christ (Rietschel) (pl.196)
- Tapis (Henderson) (pl.196)
- Mouchoir brodé (Brown) (pl.197)
- Tapis (Henderson) (pl.197)
- Fontaine à thé (Durand) (pl.200)
- Montres (Rotherom) (pl.200)
- Vase en bronze ; fontaine dans le désert. - Toile damassée (pl.200)
- Pompes (pl.204)
- Machines hydro-pneumatiques (Duburguet) (pl.204)
- Horloge hydraulique (Tiffereau) (pl.205)
- Machine à billets (Weiner) (pl.205)
- Fête militaire au Champ-de-Mars (pl.209)
- Objets en plaqué (Broadhead et Atkins) (pl.212)
- Tapis (Watson) (pl.212)
- Sculptures sur bois (Rogers) (pl.213)
- Frégate du prince de Galles (pl.216)
- Diadème, de Jahn et Bolin (pl.216)
- Pendule (Chopin) (pl.217)
- Cachemire (John Morgan) (pl.217)
- Piano (Collard) (pl.220)
- Vases (Meigh) (pl.220)
- Instruments aratoires (pl.221)
- Vase en malachite (pl.226)
- Buffet (Howard) (pl.228)
- Dague de Tolède (pl.228)
- Jeune fille au cerceau (Weecks) (pl.228)
- Coiffure en diamants (Lemonnier) (pl.228)
- Parure de corsage (Lemonnier) (pl.228)
- Bouquet (Lemonnier) (pl.228)
- Candélabre (Chopin) (pl.232)
- Chasse au sanglier (Lénard) (pl.232)
- Vase en porcelaine, de Péterhoff (pl.236)
- Dague de Tolède (pl.236)
- Pièces d'orfévrerie (Sazicoff) (pl.236)
- Lithographie (Lemercier) (pl.236)
- Caissons de la Bibliothèque royale (pl.237)
- Statue du général Damesme (pl.241)
- Bénitier (Knecht). - Cariatide (Cruchet). - Bannière du prince de Galles (Jankowski). - Voile de dentelle (Vander Kelen) (pl.244)
- Coupe en ivoire (Christian Franck). - Vase à boire, de Bavière. - Encrier. - Verre orné de bronze (Susse). - Ecritoire (Cob) (pl.245)
- Musique stéréotypée (pl.248)
- Nymphe et Cupidon. - Pendule. - Vases et pots de fleurs (pl.252)
- Machines à sauvetage (Lamie) (pl.253)
- Expériences au Champ-de-Mars du Fire Annihilator (pl.257)
- Pupitre portatif (capitaine Two-Penny) (pl.260)
- Objets en porcelaine (Craniger) (pl.260)
- Bibliothèque et cheminée (Holland) (pl.261)
- Groupe de chasse (San Giovarno) (pl.264)
- Hercule étouffant Antée. - Héro et Léandre (Etex) (pl.264)
- Lustre (Matifat) (pl.265)
- Presse américaine (Mammooth) (pl.265)
- Piano droit (S. Mercier) (pl.268)
- Statue du général Marceau (pl.273)
- Vase étrusque (Copeland). - Vestale voilée (Raphael Monti). - Pot de bière (Neurenther). - Vases en verre (Bacchus et fils) (pl.276)
- Argonautes et Amazones (Engel) (pl.277)
- Table dessinée par la duchesse de Sutherland (pl.277)
- Linge de table (Bivrell). - Table indienne (Hildebrand). - Coffret (Morel) (pl.281)
- Machine fumivore. - Locomotive de Crampton. - Photographotrope (pl.284)
- Porte en malachite, exposée par M. le prince Demidoff (pl.289)
- Projet d'Opéra et plans (Horeau) (pl.292)
- Cachemire (Borren frères) (pl.296)
- Appareil pharmaceutique (Volf) (pl.297)
- Cottages-modèles fondés par le prince Albert (pl.297)
- Machines agricoles (pl.300)
- Pompes de Kase (pl.300)
- Dessin d'un parapluie (pl.301)
- Gazomètre portatif (pl.301)
- Portraits de la reine Victoria et du prince Albert (pl.306)
- Nappe de communion (Gilbert French) - Burette d'église (Villemsens). - Flacons (pl.308)
- Nécessaires (Audot). - Diamant bleu (Ben Kenson) (pl.309)
- Cheminée et tasse en malachite (Demidoff) (pl.312)
- Machine électro-magnétique. - Grue voyageuse (Nicoil) (pl.316)
- Pompe à incendie. - Machine à air, de Dunn (pl.317)
- Cour des Beaux-Arts (pl.321)
- Lampes. - Verres de Birmingham. - Bibliothèque tournante (Derulle) (pl.324)
- Table de travail (Velly). - Orgue (Debain) (pl.325)
- Chevalet tournant (Leistler) (pl.328)
- Présent à lord Ellenborough (Shnets Roskeh) (pl.329)
- Machine à vapeur oscillante (pl.332)
- Machine pour bateaux à vapeur (Atherton) (pl.333)
- Ruches à miel (Peltils) (pl.333)
- Système de sécurité pour fusils (Fonteneau) (pl.333)
- Numéro 22 (pl.337)
- Attaque d'un convoi anglais par les Caffres (pl.337)
- Couteau de chasse et diverses dagues espagnoles (pl.340)
- Couteau de chasse et diverses dagues espagnoles (pl.341)
- Buffet et fauteuils (Hunter) (pl.341)
- Glace et console (Mac Léan) (pl.344)
- Chariot de Cliston (Fouler) (pl.344)
- Bibliothèque (Autriche) (pl.345)
- Tromba-piano (Greiner) (pl.345)
- Machines (pl.347)
- Groupe de Lion (Miller) (pl.353)
- Coupe en Ivoire (Frank) (pl.356)
- Nappe en damas (Beveridge) (pl.356)
- Prie-Dieu et autel (Polt) (pl.357)
- Pistolets (Devisme) (pl.357)
- Vitrine (pl.360)
- Groupe d'enfants (Jones) (pl.360)
- L'archange terrassant le démon (Duseigneur) (pl.361)
- Harmonium (Luff) (pl.361)
- L'enfant au nid d'oiseau (Emanuell) (pl.361)
- Dernière image
ment ties. devoirs qui vtfus ont été confiés, par la Commission Royale ; et c’est avec une satisfaction bien sincère que je suis témoin de l’heureux résultat de vos efforts judicieux et incessants par le spectacle magnifique dont je suis entourée aujourd’hui.
“ Je me joins cordialement à vous pour prier Dieu de bénir cette entreprise afin qu’elle profite au bien-être de mon peuple et aux intérêts du genre humain, en encourageant les arts de la paix et de l’industrie, en resserant les liens de l’union entre les nations de la terre, et encourageant une honorable et frater-le émulation dans l’exercice utile de ces facultés dont elles ont été gratifiées par les bienfaits de la Providence pour le bonheur de l’humanité. ”
Sa Grâce l’archevêque a ensuite offert une priere appropriée à l’occasion.
Aussitôt après la prière, sa Majesté la reine est descendue du trône, et la procession royale s est formée dans l’ordre suivant.: les membres de la commission royale, le comité exécutif, les ministres de Majesté, les membres du corps diplomatique et d’autres hauts fonctionnaires.
Neuf.heures sonnaient, et certes, c’était bien 1 heure juste, car les plus fameux horlogers du monde y avaient mis la main à l’envi, et mille horloges étaient là se contrôlant entre elles, et pouvant se démentir à l’instant si si l’une d’elles eut osé soutenir un mensonge.
Des portes s’ouvrirent, et alors commença une^ scène comme on n’en voit guère qu’aux soirées de Jenny Lind. Ici cette scène était multiplée. par le nombre des portes ouvertes ; que de pieds écrasés, que de poitrines pressées, tie robes fripées, de châles arrachés.
Les gens du monde ont en vérité les coudes aussi pointus que la multitude ! Ils ont les tâtons aussi lourds, les poings aussi bien fermés, s auiaient, si l’on écoutait bien, les mêmes s a la bouche, pour témoigner leur impa-lence. Enfin les voilà entrés, mais il faut a"\ oir a première place ; et 24 mille personnes ie peu\ent en jouir à la fois. Alors recommen-.11 disputes de la porte ; chacun pour soi, sinon c acun chez soi, voilà la devise universel-c ans ce palais de tout le monde, et chacun agi en conséquence. Les dames ne se mon-rent pas les moins empressées. Elles veulent voiries meilleures places, et elles réussiraient assurément, si elles n’avaient à vaincre que la esif! ance des hommes, mais il faut combattre
d’autres dames, et la bataille dure longtemps.
Tout cela se fit en bonne humeur pourtant. On se plaignait, mais la confusion donnait lieu à des scènes ridicules ou risibles et on s’en égayait. Les Commissaires n’avaient fait aucun arrangement pour les places .; il s’agissait d’une cérémonie que quatre ou cinq milte personnes au plus pouvaient voir, et il se trouvait là vingt-quatre mille spectateurs ! La
bord, c’était pour revenir bientôt, et ce flux et reflux dura longtemps sans colère, et sans impatience, ni d’une part ni d’une autre.
COFFRE A TiTJOl'X.
Tout porteur de ticket se croyait le droit unique à être bien placé. “ Policeman, où est l’escalier No. 5 P ’’ “ En Chine, Monsieur ; il faut aller en Chine, si vous voulez trouver l’escalier No. 5.” “ Et moi,. No. 101. Voyez donc mon billet, où faut-il que j’aille P” “ Tournez derrière la Grèce, Monsieur, au coin de la Perse, jusqu’à l’Asie Mineure, vous trouverez-là l’escalier.” “ Police, où est l’escalier des Echelles?”. “ Les Echelles sont au rez-de-chaussée, Monsieur, il n’y a pas d’escalier qui y mène.”
. Cependant la foule augmente ; on voit briller par-ci par-là quelques uniformes, quelques habits de cour, les dames en grande toilette voient leurs plumes se faner, elles ont pris possession d’une estrade, la plus rapprochée, la mieux placée pour voir et pour voir et pour entendre. Tout-à-coup, la police s’ébranle, il faut quitter ces excellentes places gagnées à la force du poignet ! A qui donc est réservée cette estrade ? Est-ce poulie corps diplomatique?-—-pour les ministres, pour les jurés de l’Exposition ? Non, vraiment, c’est pour la “ famille du Lord Maire !” Cette nouvelle répand parmi les assistants une gaieté celle—quelle famille, bon Dieu ; le Lord Maire a-t-il donc épousé la mère Gigogne ? Punch nous le dira quelqu’un de ces jours, sans doute.
Mais voici un groupe de Français, nous allons entendre des quolibets ! Ils sont tous de bon goût, néanmoins, et ne font qu’accroître la bonne humeur générale. Qu’un pauvre enfant, fifre ou tambour dans l’un de nos régiments, vienne à passer — place, place ])our ce jeune guerrier, s’écriera tout un groupe de longues barbes; voyez donc, qu’il est gentil le petit drôle ! Nos costumes antiques, nos respectables perruques provoquent aussi l’hilarité de nos voisins et amis. Voilà un drôle d’animal ; quelle est donc cette espèce-là ? Hélas, ce n’était autre qu’un citoyen de Londres, orné d’un grand] chapeau à cocarde, et emprisonné dans une culotte admirablement serrée.
Le lieu choisi pour placer le trône ou plutôt le simple fauteuil où s’est assise la Reine, était précisément le centre du bâtiment, justement derrière la magnifique fontaine de cristal ; fontaine trop riche de corps pour son âme, trop massive en cristal, trop pauvre en eau. Le fauteuil de la Reine est or et cramoisi, c’est la couleur des rois ; au-dessus du fauteuil est
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“ Je me joins cordialement à vous pour prier Dieu de bénir cette entreprise afin qu’elle profite au bien-être de mon peuple et aux intérêts du genre humain, en encourageant les arts de la paix et de l’industrie, en resserant les liens de l’union entre les nations de la terre, et encourageant une honorable et frater-le émulation dans l’exercice utile de ces facultés dont elles ont été gratifiées par les bienfaits de la Providence pour le bonheur de l’humanité. ”
Sa Grâce l’archevêque a ensuite offert une priere appropriée à l’occasion.
Aussitôt après la prière, sa Majesté la reine est descendue du trône, et la procession royale s est formée dans l’ordre suivant.: les membres de la commission royale, le comité exécutif, les ministres de Majesté, les membres du corps diplomatique et d’autres hauts fonctionnaires.
Neuf.heures sonnaient, et certes, c’était bien 1 heure juste, car les plus fameux horlogers du monde y avaient mis la main à l’envi, et mille horloges étaient là se contrôlant entre elles, et pouvant se démentir à l’instant si si l’une d’elles eut osé soutenir un mensonge.
Des portes s’ouvrirent, et alors commença une^ scène comme on n’en voit guère qu’aux soirées de Jenny Lind. Ici cette scène était multiplée. par le nombre des portes ouvertes ; que de pieds écrasés, que de poitrines pressées, tie robes fripées, de châles arrachés.
Les gens du monde ont en vérité les coudes aussi pointus que la multitude ! Ils ont les tâtons aussi lourds, les poings aussi bien fermés, s auiaient, si l’on écoutait bien, les mêmes s a la bouche, pour témoigner leur impa-lence. Enfin les voilà entrés, mais il faut a"\ oir a première place ; et 24 mille personnes ie peu\ent en jouir à la fois. Alors recommen-.11 disputes de la porte ; chacun pour soi, sinon c acun chez soi, voilà la devise universel-c ans ce palais de tout le monde, et chacun agi en conséquence. Les dames ne se mon-rent pas les moins empressées. Elles veulent voiries meilleures places, et elles réussiraient assurément, si elles n’avaient à vaincre que la esif! ance des hommes, mais il faut combattre
d’autres dames, et la bataille dure longtemps.
Tout cela se fit en bonne humeur pourtant. On se plaignait, mais la confusion donnait lieu à des scènes ridicules ou risibles et on s’en égayait. Les Commissaires n’avaient fait aucun arrangement pour les places .; il s’agissait d’une cérémonie que quatre ou cinq milte personnes au plus pouvaient voir, et il se trouvait là vingt-quatre mille spectateurs ! La
bord, c’était pour revenir bientôt, et ce flux et reflux dura longtemps sans colère, et sans impatience, ni d’une part ni d’une autre.
COFFRE A TiTJOl'X.
Tout porteur de ticket se croyait le droit unique à être bien placé. “ Policeman, où est l’escalier No. 5 P ’’ “ En Chine, Monsieur ; il faut aller en Chine, si vous voulez trouver l’escalier No. 5.” “ Et moi,. No. 101. Voyez donc mon billet, où faut-il que j’aille P” “ Tournez derrière la Grèce, Monsieur, au coin de la Perse, jusqu’à l’Asie Mineure, vous trouverez-là l’escalier.” “ Police, où est l’escalier des Echelles?”. “ Les Echelles sont au rez-de-chaussée, Monsieur, il n’y a pas d’escalier qui y mène.”
. Cependant la foule augmente ; on voit briller par-ci par-là quelques uniformes, quelques habits de cour, les dames en grande toilette voient leurs plumes se faner, elles ont pris possession d’une estrade, la plus rapprochée, la mieux placée pour voir et pour voir et pour entendre. Tout-à-coup, la police s’ébranle, il faut quitter ces excellentes places gagnées à la force du poignet ! A qui donc est réservée cette estrade ? Est-ce poulie corps diplomatique?-—-pour les ministres, pour les jurés de l’Exposition ? Non, vraiment, c’est pour la “ famille du Lord Maire !” Cette nouvelle répand parmi les assistants une gaieté celle—quelle famille, bon Dieu ; le Lord Maire a-t-il donc épousé la mère Gigogne ? Punch nous le dira quelqu’un de ces jours, sans doute.
Mais voici un groupe de Français, nous allons entendre des quolibets ! Ils sont tous de bon goût, néanmoins, et ne font qu’accroître la bonne humeur générale. Qu’un pauvre enfant, fifre ou tambour dans l’un de nos régiments, vienne à passer — place, place ])our ce jeune guerrier, s’écriera tout un groupe de longues barbes; voyez donc, qu’il est gentil le petit drôle ! Nos costumes antiques, nos respectables perruques provoquent aussi l’hilarité de nos voisins et amis. Voilà un drôle d’animal ; quelle est donc cette espèce-là ? Hélas, ce n’était autre qu’un citoyen de Londres, orné d’un grand] chapeau à cocarde, et emprisonné dans une culotte admirablement serrée.
Le lieu choisi pour placer le trône ou plutôt le simple fauteuil où s’est assise la Reine, était précisément le centre du bâtiment, justement derrière la magnifique fontaine de cristal ; fontaine trop riche de corps pour son âme, trop massive en cristal, trop pauvre en eau. Le fauteuil de la Reine est or et cramoisi, c’est la couleur des rois ; au-dessus du fauteuil est
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