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- TABLE DES MATIÈRES
- TABLE DES ILLUSTRATIONS
- RECHERCHE DANS LE DOCUMENT
- TEXTE OCÉRISÉ
- Première image
- PAGE DE TITRE
- TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES (p.365)
- Numéro 1er. Londres, Mercredi, 7 mai 1851 (p.1)
- Numéro 2. Londres, Mercredi, 14 mai 1851 (p.17)
- Numéro 3. Londres, Mercredi, 21 mai 1851 (p.33)
- Revue de l'Exposition (p.33)
- Suite des lettres de M. Blanqui (p.34)
- Exposition des Etats-Unis (p.35)
- Etudes spéciales sur les principales divisions de l'Exposition (p.39)
- Machines électriques et électro-métallurgiques (p.42)
- Chronique de l'Exposition (p.43)
- Chronique de Londres (p.43)
- Liste des exposants français (p.44)
- Numéro 4. Samedi, 31 mai 1851 (p.49)
- La France et l'Angleterre (p.49)
- Les passeports et lord Palmerston (p.51)
- Courrier de Londres (p.51)
- Les Economistes français à Londres (p.52)
- Lettre de M. Jules Janin (p.54)
- Chronique de l'Exposition (p.55)
- Dernières nouvelles de Londres (p.56)
- Fauteuil d'apparat ou trône des ateliers de M. Dankouski, d'York (p.57)
- Courrier de Paris (p.58)
- Bulletin scientifique (p.59)
- Ebénisterie française (p.60)
- Avantage des Expositions cosmopolites (p.62)
- Actes officiels (p.62)
- Chronique générale (p.62)
- De l'influence des mécaniques sur le prix des salaires et le bien-être du peuple (p.62)
- Numéro 5. Paris et Londres, Samedi, 7 juin 1851 (p.65)
- L'éducation professionnelle (p.65)
- Il Palazzo di Cristal (p.66)
- O journaux ! ô leçons ! (p.66)
- Les limites de l'industrie (p.66)
- Les délégués de l'industrie française à Londres (p.67)
- Application du fer à l'art décoratif (p.67)
- Revue de l'Exposition universelle (p.68)
- Courrier de Londres (p.70)
- Chronique de l'Exposition universelle (p.71)
- Les Economistes français à Londres (p.72)
- Courrier de Paris (p.74)
- Chronique générale (p.79)
- Explication des dessins (p.79)
- Numéro 6. Samedi, 14 juin 1851 (p.81)
- A chacun selon ses oeuvres (p.82)
- Simple question (p.82)
- Propriété des objets exposés (p.82)
- L'anglomanie (p.82)
- Courrier de Londres (p.82)
- L'Exposition lyonnaise (p.83)
- Appareil de Cax (p.84)
- La Famille chinoise (p.88)
- Les économistes français (p.90)
- Bulletin scientifique (p.91)
- Courrier de Paris (p.93)
- Bulletin industriel (p.94)
- Variétés biographiques (p.95)
- Numéro 7. Samedi, 21 juin 1851 (p.97)
- De la propriété et de l'exploitation des inventions (p.97)
- Bulletin industriel (p.98)
- Démonstration de la rotation de la terre par le pendule (p.100)
- Courrier de Londres (p.102)
- Les Economistes français à Londres (p.103)
- Revue de l'Exposition (p.106)
- Courrier de Paris (p.109)
- De l'influence des mécaniques sur le prix des salaires et le bien-être du peuple (p.111)
- Explication des dessins (p.111)
- Numéro 8. Samedi, 28 juin 1851 (p.113)
- Avis du gérant sur la rédaction nouvelle du Palais de Cristal (p.114)
- Bulletin industriel (A. Laya) (p.114)
- Objets d'orfévrerie (J. Engell) (p.114)
- Economistes français et étrangers (p.117)
- Escamotage du koh-i-noor (Jobard) (p.118)
- M. Michel Chevalier (p.118)
- Bulletin officiel des brevets d'invention (p.119)
- Bulletin bibliographique et de jurisprudence industrielle (p.119)
- Exposition universelle (p.121)
- Bulletin scientifique (p.124)
- Courrier de Paris et de Londres (p.126)
- Actes officiels. - Faits divers (p.127)
- Numéro 9. Samedi, 5 juillet 1851 (p.129)
- Numéro 10. Samedi, 12 juillet 1851 (p.145)
- Numéro 11. Samedi, 19 juillet 1851 (p.161)
- Numéro 12. Samedi, 26 juillet 1851 (p.177)
- Numéro 13. Samedi, 2 août 1851 (p.193)
- Groupe d'horloges (Détouche) (p.193)
- Bulletin industriel (sur la propriété industrielle) (p.194)
- Association des Lettres, des Arts et de l'Industrie (p.195)
- De l'Exposition de Londres, de la Russie (Bellegarrigue) (p.198)
- Héliochromie (Niepce de St-Victor) (p.202)
- Projet d'Exposition de dessins et modèles (Klagmann) (p.202)
- Récompenses des exposants (p.203)
- Nouvelles pompes (Bateman) (p.203)
- Courrier de Paris et de Londres (p.206)
- Numéro 14. Samedi, 9 août 1851 (p.209)
- Numéro 15. Samedi, 16 août 1851 (p.225)
- Bulletin industriel (Réforme de la loi de 1844) (p.226)
- L'Espagne à l'Exposition (p.227)
- Exposition de Londres (Jobard) (p.230)
- De la Russie industrielle (Bellegarrigue) (p.231)
- Rapport à l'Académie (Michel Chevalier-Raoetti) (p.235)
- Courrier de Paris et de Londres (p.238)
- Lettre de M. Dupin (Charles) au prince Albert) et Chronique de l'Exposition) (p.239)
- Numéro 16. Samedi, 23 août 1851 (p.241)
- Bulletin industriel (assemblée internationale) (p.242)
- Lettre de M. Jobard (p.243)
- Lettre de M. B. (des Vosges) (p.243)
- Questions industrielles (p.246)
- L'Espagne à l'Exposition (Bellegarrigue) (p.246)
- De la stéréotypie à la pâte de papier (p.247)
- Rapport de M. Michel Chevalier (p.250)
- Exposition de Londres (p.251)
- Courrier de Paris et de Londres (p.254)
- Inauguration de la statue du général Damesme (Mansard) (p.255)
- Numéro 17. Dimanche, 31 août 1851 (p.257)
- Bulletin industriel. (Préjugés contre la propriété industrielle) (p.258)
- Science et industrie agricole : De la maladie de la vigne (Dr Caffe) (p.259)
- Exposition de Londres (Jobard) (p.259)
- L'Espagne à l'Exposition (Bellegarrigue) (p.263)
- Exposition des Etats-Unis (Hausmann) (p.267)
- Belgique (p.267)
- Machine à laver (Macalpène) (p.268)
- Machine à couper ; essieux ; fire annihilator (p.269)
- Courrier de Paris et de Londres (p.271)
- Numéro 18. Samedi, 6 septembre 1851 (p.273)
- Numéro 19. Samedi, 13 septembre 1851 (p.289)
- Bulletin industriel (Des chefs d'ateliers et d'usines) (p.290)
- Règlement intérieur du comité de l'Association des inventeurs (p.291)
- Exposition de Londres (Jobard) (p.294)
- Suède, Danemark, Zollverein, Saxe, Wurtemberg, Bavière ; par M. Hausmann (p.295)
- Exposition rasse (Bellegarrigue) (p.298)
- L'Espagne (Bellegarrigue) (p.299)
- Courrier de Paris et de Londres (p.302)
- Numéro 20. Samedi, 20 septembre 1851 (p.305)
- Numéro 21. Samedi, 27 septembre 1851 (p.321)
- Numéro 22. Samedi, 4 octobre 1851 (p.337)
- Numéro 23. Mercredi 8 (pour Samedi 11 octobre) 1851 (p.353)
- Dernière image
- Première image
- PAGE DE TITRE
- La Reine inaugurant l'Exposition (pl.1)
- Le Lion amoureux (pl.4)
- La Nymphe lo et Bacchus enfant (pl.4)
- Vue intérieure du Palais de Cristal, nouveau point de vue (pl.5)
- Coffre à bijoux (pl.5)
- Le Boiler House (n.n.)
- Le Lion (n.n.)
- Plan typographique du bâtiment de l'Exposition universelle (n.n.)
- Plan typographique du bâtiment de l'Exposition universelle (n.n.)
- Vue extérieure du Palais de Cristal (pl.12)
- L'Astronomie (pl.12)
- Boîte à thé en argent (pl.13)
- Piano pour le peuple (pl.13)
- Le Pronostiqueur de tempêtes (pl.13)
- Godefroy de Bouillon (pl.16)
- La Reine visitant le koh-i-nor (pl.17)
- Fontaines et vases en bronze (pl.20)
- Salière en argent (pl.20)
- La Mendiante (pl.21)
- Boîte à bijoux (pl.21)
- L'orgue (Gray et Darison) (pl.24)
- Le Giotto (pl.24)
- Pont à air en caoutchouc (pl.25)
- Vases (pl.25)
- Baldaquin en porcelaine de Sèvres (pl.28)
- Fontaine en fer fondu (pl.29)
- Poteries du Zollverein (pl.33)
- Grue d'Henderson (3 gravures) (pl.36)
- La presse hydraulique du pont Britannia (pl.37)
- Paravent en jonc (pl.37)
- Scène de la Passion, groupe en plâtre (pl.40)
- Meubles en jonc tordu (pl.40)
- Un Baigneur (pl.41)
- Fourneaux (2 gravures) (pl.41)
- Statue équestre de la reine Victoria (pl.44)
- Libussa, reine de Bohême (pl.45)
- George de Podiebrad, roi de Bohème (pl.48)
- Bureau gothique-allemand. (Tahan) (pl.49)
- Mélodium, harmonium, orgue de Ketzeing (pl.52)
- Statue (pl.52)
- Surtout de table (pl.52)
- Surtout de burand (pl.56)
- Dessin de châle (Botticher) (pl.56)
- Amazone combattant à cheval (Kiss) (pl.57)
- Fauteuil d'apparat (pl.57)
- Nécessaire de voyage, table à ouvrage, coffre sculpté, nécessaire de voyage, table-guéridon (pl.60)
- Nécessaire de voyage, coffre de Boulle, boîte à thé, étagère, cave à liqueurs, pupitre (pl.61)
- Vaisselle de luxe (Smith et Nicholson) (pl.65)
- Candélabre en fonte de fer (Brocha, de Paris) (pl.68)
- Guéridon (Morand) (pl.68)
- Fauteuil (Janselme) (pl.68)
- Phaéton (MM. Holmes) (pl.69)
- Serre-bijoux (pl.69)
- Coupe d'ivoire (Henri Hemphill), théière, sucrier, brocs à lait et à crème, cruche à eau à l'usage de la Turquie (Wegwood) (pl.72)
- La reine Marguerite (Messenger et fils) (pl.73)
- Cheminée de fonte de fer (Vandre) (pl.73)
- Broche d'après l'antique (Waterhouse) (pl.76)
- Autre broche analogue (pl.76)
- Autre broche analogue (pl.76)
- Autre broche analogue (pl.76)
- Autre broche analogue (pl.76)
- Pince à sucre (Higgings) (pl.77)
- Bougeoir (Higgings) (pl.77)
- Cuillère à sel, manche de couteau, cuillère à sucre, celle à poisson (pl.77)
- Visite des émigrants de la Société de colonisation d'Amérique au Palais de Cristal (pl.81)
- Pompe rotative à main d'Appold (3 gravures) (pl.85)
- Fontaine d'Acis et Galathée (pl.88)
- La Famille chinoise (pl.88)
- Trophée chinois (Keith et Ce) (pl.89)
- Machines à bobines (Judkins) (2 gravures) (pl.92)
- Vitrail gothique normand (pl.93)
- Bibliothèque en palissandre (pl.97)
- Figures démonstratives de la rotation de la terre (pl.100)
- Figures démonstratives de la rotation de la terre (pl.101)
- Le Massacre des Innocents (pl.104)
- Ariane abandonnée (pl.104)
- Sainte Elisabeth de Hongrie (pl.104)
- La reine Elisabeth d'Angleterre (pl.105)
- Piecing-machine de Growley (pl.108)
- Roue à palettes en éventail (pl.109)
- Vitraux (Gallimard) (pl.113)
- Service de thé (Engell) (pl.116)
- Gobelet (Engell) (pl.116)
- Calice (Engell) (pl.116)
- Fontaine de parfum (Rimmel) (pl.117)
- Ancien pot à couvercle (Engell) (pl.117)
- Cruchon (Engell) (pl.117)
- Statue de la Reine (pl.120)
- Berceau et barcelonnette (pl.120)
- Les Anges adorant la Vierge et l'Enfant (pl.121)
- Livres reliés (pl.121)
- Vitraux (Gallimard) (pl.124)
- Famille chinoise (2 gravures) (pl.125)
- Divan circulaire (Arm. Couder) (pl.129)
- Pléiades (Ross) ; siège (Lemercier) ; coupe orientale (Morel) (pl.132)
- Brûle-parfum (Gucyton), écran (Ackermann), guitarpa (pl.133)
- Bouclier de Shakespeare (Luck Limmer) ; Paul et Virginie (Susse) (pl.136)
- Vase en argent (Elkington) (pl.137)
- Vase de fonte, cheminée (pl.140)
- Coupe en agate (Morel) (pl.141)
- Jeunes Indiennes (Roskell) (pl.141)
- Le duc de Wellington au déballage de la statue de Napoléon (pl.145)
- Vase à rafraîchir (Eichler) (pl.148)
- Sujet offert à Montefiore (Brown) (pl.148)
- Vase de chasse, Vénus et l'Amour (Joshua Wedgwood) (pl.149)
- Surtout en biscuit (Gunter), pendule (Howell) (pl.152)
- Typographie française (pl.153)
- Vue du Transept (pl.156)
- Vue du Transept (pl.157)
- Groupe de Guillaume de Nassau (Brown) (pl.161)
- Ange emportant des innocents (Gerst) (pl.164)
- Caisse à bijoux, etc. (Asprey) (pl.164)
- Vase de fleurs (Engel) (pl.164)
- Cruchon de vin (Engel) (pl.164)
- Meubles en papier mâché (Jennins et Betridge) (pl.165)
- Charité (Berry et Thomas) (pl.165)
- Corbeille de fleurs (Engel) (pl.165)
- Chambre à coucher de la Reine (pl.168)
- Ariel dirigeant la foudre. - Lit de parade (pl.169)
- Lit de parade (pl.172)
- Verres de cristal et fauteuil (pl.172)
- Visite de la Reine et du prince Albert à l'Exposition (pl.173)
- Portrait de Daguerre (pl.177)
- Globe (Johnston) (pl.180)
- Tapis (Templeton) (pl.180)
- Statue et groupe (Nickmann) (pl.181)
- Grand piano, d'Erard (pl.181)
- Bouclier, de Lepage (pl.184)
- Divan (Couder) (pl.184)
- Fusil et pistolets, cimeterre etc. (Lefaucheux et Wilkinson) (pl.185)
- Crosse de fusil (Romey) (pl.185)
- Alfred Quidant touchant le piano d'Erard à l'exposition (pl.188)
- Vierge et l'Enfant (Vander Hagen). - Perle, pincettes et devant de cheminée (Runner) (pl.189)
- Groupe d'horloges (Detouche) (pl.193)
- Hébé versant le nectar (Kahsmann) (pl.196)
- Mort du Christ (Rietschel) (pl.196)
- Tapis (Henderson) (pl.196)
- Mouchoir brodé (Brown) (pl.197)
- Tapis (Henderson) (pl.197)
- Fontaine à thé (Durand) (pl.200)
- Montres (Rotherom) (pl.200)
- Vase en bronze ; fontaine dans le désert. - Toile damassée (pl.200)
- Pompes (pl.204)
- Machines hydro-pneumatiques (Duburguet) (pl.204)
- Horloge hydraulique (Tiffereau) (pl.205)
- Machine à billets (Weiner) (pl.205)
- Fête militaire au Champ-de-Mars (pl.209)
- Objets en plaqué (Broadhead et Atkins) (pl.212)
- Tapis (Watson) (pl.212)
- Sculptures sur bois (Rogers) (pl.213)
- Frégate du prince de Galles (pl.216)
- Diadème, de Jahn et Bolin (pl.216)
- Pendule (Chopin) (pl.217)
- Cachemire (John Morgan) (pl.217)
- Piano (Collard) (pl.220)
- Vases (Meigh) (pl.220)
- Instruments aratoires (pl.221)
- Vase en malachite (pl.226)
- Buffet (Howard) (pl.228)
- Dague de Tolède (pl.228)
- Jeune fille au cerceau (Weecks) (pl.228)
- Coiffure en diamants (Lemonnier) (pl.228)
- Parure de corsage (Lemonnier) (pl.228)
- Bouquet (Lemonnier) (pl.228)
- Candélabre (Chopin) (pl.232)
- Chasse au sanglier (Lénard) (pl.232)
- Vase en porcelaine, de Péterhoff (pl.236)
- Dague de Tolède (pl.236)
- Pièces d'orfévrerie (Sazicoff) (pl.236)
- Lithographie (Lemercier) (pl.236)
- Caissons de la Bibliothèque royale (pl.237)
- Statue du général Damesme (pl.241)
- Bénitier (Knecht). - Cariatide (Cruchet). - Bannière du prince de Galles (Jankowski). - Voile de dentelle (Vander Kelen) (pl.244)
- Coupe en ivoire (Christian Franck). - Vase à boire, de Bavière. - Encrier. - Verre orné de bronze (Susse). - Ecritoire (Cob) (pl.245)
- Musique stéréotypée (pl.248)
- Nymphe et Cupidon. - Pendule. - Vases et pots de fleurs (pl.252)
- Machines à sauvetage (Lamie) (pl.253)
- Expériences au Champ-de-Mars du Fire Annihilator (pl.257)
- Pupitre portatif (capitaine Two-Penny) (pl.260)
- Objets en porcelaine (Craniger) (pl.260)
- Bibliothèque et cheminée (Holland) (pl.261)
- Groupe de chasse (San Giovarno) (pl.264)
- Hercule étouffant Antée. - Héro et Léandre (Etex) (pl.264)
- Lustre (Matifat) (pl.265)
- Presse américaine (Mammooth) (pl.265)
- Piano droit (S. Mercier) (pl.268)
- Statue du général Marceau (pl.273)
- Vase étrusque (Copeland). - Vestale voilée (Raphael Monti). - Pot de bière (Neurenther). - Vases en verre (Bacchus et fils) (pl.276)
- Argonautes et Amazones (Engel) (pl.277)
- Table dessinée par la duchesse de Sutherland (pl.277)
- Linge de table (Bivrell). - Table indienne (Hildebrand). - Coffret (Morel) (pl.281)
- Machine fumivore. - Locomotive de Crampton. - Photographotrope (pl.284)
- Porte en malachite, exposée par M. le prince Demidoff (pl.289)
- Projet d'Opéra et plans (Horeau) (pl.292)
- Cachemire (Borren frères) (pl.296)
- Appareil pharmaceutique (Volf) (pl.297)
- Cottages-modèles fondés par le prince Albert (pl.297)
- Machines agricoles (pl.300)
- Pompes de Kase (pl.300)
- Dessin d'un parapluie (pl.301)
- Gazomètre portatif (pl.301)
- Portraits de la reine Victoria et du prince Albert (pl.306)
- Nappe de communion (Gilbert French) - Burette d'église (Villemsens). - Flacons (pl.308)
- Nécessaires (Audot). - Diamant bleu (Ben Kenson) (pl.309)
- Cheminée et tasse en malachite (Demidoff) (pl.312)
- Machine électro-magnétique. - Grue voyageuse (Nicoil) (pl.316)
- Pompe à incendie. - Machine à air, de Dunn (pl.317)
- Cour des Beaux-Arts (pl.321)
- Lampes. - Verres de Birmingham. - Bibliothèque tournante (Derulle) (pl.324)
- Table de travail (Velly). - Orgue (Debain) (pl.325)
- Chevalet tournant (Leistler) (pl.328)
- Présent à lord Ellenborough (Shnets Roskeh) (pl.329)
- Machine à vapeur oscillante (pl.332)
- Machine pour bateaux à vapeur (Atherton) (pl.333)
- Ruches à miel (Peltils) (pl.333)
- Système de sécurité pour fusils (Fonteneau) (pl.333)
- Numéro 22 (pl.337)
- Attaque d'un convoi anglais par les Caffres (pl.337)
- Couteau de chasse et diverses dagues espagnoles (pl.340)
- Couteau de chasse et diverses dagues espagnoles (pl.341)
- Buffet et fauteuils (Hunter) (pl.341)
- Glace et console (Mac Léan) (pl.344)
- Chariot de Cliston (Fouler) (pl.344)
- Bibliothèque (Autriche) (pl.345)
- Tromba-piano (Greiner) (pl.345)
- Machines (pl.347)
- Groupe de Lion (Miller) (pl.353)
- Coupe en Ivoire (Frank) (pl.356)
- Nappe en damas (Beveridge) (pl.356)
- Prie-Dieu et autel (Polt) (pl.357)
- Pistolets (Devisme) (pl.357)
- Vitrine (pl.360)
- Groupe d'enfants (Jones) (pl.360)
- L'archange terrassant le démon (Duseigneur) (pl.361)
- Harmonium (Luff) (pl.361)
- L'enfant au nid d'oiseau (Emanuell) (pl.361)
- Dernière image
LE PALAIS DE CRISTAL-
117
ECONOMISTES FRANÇAIS ET ETRANGERS.
LORD STANLEY ET M. CHARLES DUPIN.
BANQUET DE LA COMPAGNIE DES MARCHANDS TAILLEURS.
La compagnie des marchands tailleurs de Londres a donné un grand banquet, auquel assistaient lord Stanley et M. Charles Dupin.
Voici les discours que ces deux personnages ont prononcés, en réponse aux remerciements adressés par la Compagnie aux commissaires de l’Exposition :
Lord Stanley. Ce n’est pas la première fois que je prends la parole au nom des commissaires de Sa Majesté. J’ai déjà parlé, dans cette cité même, à i’époque où l’hésitation s’etait emparée des esprits et où l’on flottait indécis entre la crainte et l’espérance, sur les suites de cette vaste entreprise. Je me rappelle l’enthousiasme avec lequel fut accueilli ce grand projet, lorsqu’il fut proposé par S. A. R. le prince Albert, sous les auspices de qui l’idée première a été fécondée et, je dois ajouter, accomplie, et cependant l’enthousiasme n’excluait pas le doute qui s’était fait jour dans les esprits.
Puis-je énumérer tous les motifs de crainte?
Craintes d’insuccès pécuniaire, et c’était la moindre de toutes ; craintes de dérangement continuel, en ce sens que l’époque de cette exposition venait coïncider avec les plaisirs habituels de notre saison fashionable ; craintes politiques ; on se demandait si la présence au milieu de nous de ce concours de toutes les nations ne deviendrait pas un foyer de séditions intestines ou d’anarchie étrangère.
Messieurs, je rends grâce à Dieu, je rends grâce à mes concitoyens de ce que ces appréhensions sont dissipées. J’ai vu transporter au milieu de nous des trésors dont l’éclat dépasse les merveilleuses combinaisons de la fable ; j’ai vu sortir du sol, comme sous l’impulsion d’une baguette magique, un édifice incomparable à tout autre par son luxe et par sa simplicité, rempli des richesses du monde entier, et qu’un noble sentiment d’émulation et de rivalité sympathique a transporté au milieu nous, paisiblement, avec confiance, en se reposant avec sécurité sur l’honneur, sur la loyauté inaltérable du peuple de la Grande-Bretagne. Non! je n’en doute pas, tout le temps que durera ce noble tournoi de merveilles, jamais aucun sentiment qui ne prou-
qu’un désir réciproque de concourir au but commun d’une harmonie inaltérable, et d’échanger, de tous les points les plus éloignés du globe, les ressources les ‘plus propres à développer parmi les peuples le commerce et l’industrie, en se communiquant les résultats miraculeux du travail incessant des sciences et des arts.
Mais il est un sentiment qui domine mon âme plus encore que les merveilles de l’art, les triomphes de l’industrie, la magnificence des produits, et dont je suis fier, comme Anglais : c’est de voir mes concitoyens mettre en partage avec une sincérité cordiale, leur admiration, leur intérêt pour cette alliance solennelle de l’industria
du monde entier. Ce n’est pas seulement le riche, le puissant, le grand marchand, celui qu tient le commerce de ce royaume sous ses lois, mais le simple et rude travailleur, l'enfant du sol et de l’atelier, qui accourt et admire ses merveilles. Tous se retirent après avoir visité ce palais, et disant au fond de son âme: Et moi aussi, je fais partie des classes de la société moderne à qui l’on doit toutes ces merveilles! Qu’il me soit permis d’ajouter, sans blesser en rien nos hôtes, que je suis fier surtout d’avoir vu ce qu’ils ont vu de leur côté, avec un sentiment légitime de respect et d’admiration : l’ordre, la discipline, la régularité avec laquelle un peuple libre, confiant dans la liberté de ses institutions, conserve et protège les trésors confiés à sa garde, sans le secours d’aucune force armée, sans qu’il soit besoin d’aucune répression.
â– Remercions ensemble le président et les commissaires qui ont présidé à ce grand acte ; et recevez, vous, Messieurs, mes actions de grâce pour l’occasion que vous offrez de montrer aux commissaires étrangers présents à cette fête, un échantillon de l’hospitalité que savent pratiquer les grands corps commerciaux de cette cité. Nos hôtes apprécieront, j’en ai l’assurance, l’union des classes de la société moderne sous ces voûtes, et ce sentiment qui unit dans ces fêtes les intérêts de la religion, de l’éducation, du commerce, union qui a servi de base aux progrès immenses de notre grande nation, et qui doivent servir de base aux progrès des autres pays dans la même voie... »
Après cet éloquent discours de lord Stanley, M Charles Dupin s’est levé, au nom des commissaires étrangers, et a pris la parole en ces termes :
« Messieurs,
« J’ai à vous exprimer toute la gratitude des hommes éminents qui ont présidé, comme commissaires, aux préparatifs de l’Exposition universelle. Je parle aussi au nom des membres du jury
verait la délicatesse, la confiance, l’amitié ne troublera cette mutuelle exposition 1 chargés de prononcer sur le mérite des ehefs-d’œuvres d’art et d’industrie renfermes chefs-d’œuvre des nations entre elles: 11 ne restera dans le fond de nos cœurâ ( més dans le Palais de Cristal. Ces hommes choisis entre les plus célèbres dans l’or-
ÏÛNTAINE DE VA11EUMS, PAR M. RIMMEL.
dre de la science, de l’industrie et des beaux-arts, présentent un bien noble spectacle par l’harmonie qui règne entre eux, bien qu’ils soient divisés en cinquante jurys, dans l’accomplissement de leurs travaux, où le sentiment d’équité domine les intérêts divers de tant de nations.
« Maintenant en reportanthnon attention sur votre honorable corporation, j’ai appris aujourd’hui même que vous êtes fidèles aux vertus traditionnelles qu1., depuis des siècles, forment la base de votre prospérité ainsi que de votre activité, votre probité et ce génie qui a produit la grandeur du commerce anglais.
« Permettez-moi de vous soumettre un fait, un seul, qui donnerait à l’homme le moins exercé aux matières commerciales une idée des développements extraordinaires de ce commerce. Si, d’une part, vous calculez la production des fabriques de draps qui sont employées pour habiller le genre humain, drap que vous envoyez dans toutes les parties du monde, et si, d autre part, vous faites le calcul de la circonférence du globe, et que vous la divisiez en aunes (yards), vous trouverez que non-seulement chaque aune vous rapportera une livre sterling, mais qu’il vous resterait encore une somme énorme de surplus.
« Je ne prétends pas, en disant cela, vous faire entendre que votre commerce est trop étendu, mais que les dimensions de la terre sont trop étroites pour un si grand commerce. Sans doute, s’il y avait 43,000,000 de livres sterling encaissés dans les coffres de la banque d’Angleterre, la Banque serait fort embarrassée de cette masse de richesses métalliques. Mais le commerce agit mieux : en- échange de celte masse énorme de produits manufacturés que la Grande-Bretagne exporte, le commerce lui rapporte une valeur équivalente de produits importés de tous les points du globe.
« Si, de mémoire d’hommes, jamais commerce ne fut aussi grand, aussi actif que le vôtre, jamais aussi les liens que le commerce a formés n’ont été plus forts entre les nations, et n’ont assuré plus solidement une paix inaltérable dans le monde entier. »
OjciEN pot a couvercle,>ar ». joseph AHGELL, (Voir,ci-contre, page 11 6,;
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ECONOMISTES FRANÇAIS ET ETRANGERS.
LORD STANLEY ET M. CHARLES DUPIN.
BANQUET DE LA COMPAGNIE DES MARCHANDS TAILLEURS.
La compagnie des marchands tailleurs de Londres a donné un grand banquet, auquel assistaient lord Stanley et M. Charles Dupin.
Voici les discours que ces deux personnages ont prononcés, en réponse aux remerciements adressés par la Compagnie aux commissaires de l’Exposition :
Lord Stanley. Ce n’est pas la première fois que je prends la parole au nom des commissaires de Sa Majesté. J’ai déjà parlé, dans cette cité même, à i’époque où l’hésitation s’etait emparée des esprits et où l’on flottait indécis entre la crainte et l’espérance, sur les suites de cette vaste entreprise. Je me rappelle l’enthousiasme avec lequel fut accueilli ce grand projet, lorsqu’il fut proposé par S. A. R. le prince Albert, sous les auspices de qui l’idée première a été fécondée et, je dois ajouter, accomplie, et cependant l’enthousiasme n’excluait pas le doute qui s’était fait jour dans les esprits.
Puis-je énumérer tous les motifs de crainte?
Craintes d’insuccès pécuniaire, et c’était la moindre de toutes ; craintes de dérangement continuel, en ce sens que l’époque de cette exposition venait coïncider avec les plaisirs habituels de notre saison fashionable ; craintes politiques ; on se demandait si la présence au milieu de nous de ce concours de toutes les nations ne deviendrait pas un foyer de séditions intestines ou d’anarchie étrangère.
Messieurs, je rends grâce à Dieu, je rends grâce à mes concitoyens de ce que ces appréhensions sont dissipées. J’ai vu transporter au milieu de nous des trésors dont l’éclat dépasse les merveilleuses combinaisons de la fable ; j’ai vu sortir du sol, comme sous l’impulsion d’une baguette magique, un édifice incomparable à tout autre par son luxe et par sa simplicité, rempli des richesses du monde entier, et qu’un noble sentiment d’émulation et de rivalité sympathique a transporté au milieu nous, paisiblement, avec confiance, en se reposant avec sécurité sur l’honneur, sur la loyauté inaltérable du peuple de la Grande-Bretagne. Non! je n’en doute pas, tout le temps que durera ce noble tournoi de merveilles, jamais aucun sentiment qui ne prou-
qu’un désir réciproque de concourir au but commun d’une harmonie inaltérable, et d’échanger, de tous les points les plus éloignés du globe, les ressources les ‘plus propres à développer parmi les peuples le commerce et l’industrie, en se communiquant les résultats miraculeux du travail incessant des sciences et des arts.
Mais il est un sentiment qui domine mon âme plus encore que les merveilles de l’art, les triomphes de l’industrie, la magnificence des produits, et dont je suis fier, comme Anglais : c’est de voir mes concitoyens mettre en partage avec une sincérité cordiale, leur admiration, leur intérêt pour cette alliance solennelle de l’industria
du monde entier. Ce n’est pas seulement le riche, le puissant, le grand marchand, celui qu tient le commerce de ce royaume sous ses lois, mais le simple et rude travailleur, l'enfant du sol et de l’atelier, qui accourt et admire ses merveilles. Tous se retirent après avoir visité ce palais, et disant au fond de son âme: Et moi aussi, je fais partie des classes de la société moderne à qui l’on doit toutes ces merveilles! Qu’il me soit permis d’ajouter, sans blesser en rien nos hôtes, que je suis fier surtout d’avoir vu ce qu’ils ont vu de leur côté, avec un sentiment légitime de respect et d’admiration : l’ordre, la discipline, la régularité avec laquelle un peuple libre, confiant dans la liberté de ses institutions, conserve et protège les trésors confiés à sa garde, sans le secours d’aucune force armée, sans qu’il soit besoin d’aucune répression.
â– Remercions ensemble le président et les commissaires qui ont présidé à ce grand acte ; et recevez, vous, Messieurs, mes actions de grâce pour l’occasion que vous offrez de montrer aux commissaires étrangers présents à cette fête, un échantillon de l’hospitalité que savent pratiquer les grands corps commerciaux de cette cité. Nos hôtes apprécieront, j’en ai l’assurance, l’union des classes de la société moderne sous ces voûtes, et ce sentiment qui unit dans ces fêtes les intérêts de la religion, de l’éducation, du commerce, union qui a servi de base aux progrès immenses de notre grande nation, et qui doivent servir de base aux progrès des autres pays dans la même voie... »
Après cet éloquent discours de lord Stanley, M Charles Dupin s’est levé, au nom des commissaires étrangers, et a pris la parole en ces termes :
« Messieurs,
« J’ai à vous exprimer toute la gratitude des hommes éminents qui ont présidé, comme commissaires, aux préparatifs de l’Exposition universelle. Je parle aussi au nom des membres du jury
verait la délicatesse, la confiance, l’amitié ne troublera cette mutuelle exposition 1 chargés de prononcer sur le mérite des ehefs-d’œuvres d’art et d’industrie renfermes chefs-d’œuvre des nations entre elles: 11 ne restera dans le fond de nos cœurâ ( més dans le Palais de Cristal. Ces hommes choisis entre les plus célèbres dans l’or-
ÏÛNTAINE DE VA11EUMS, PAR M. RIMMEL.
dre de la science, de l’industrie et des beaux-arts, présentent un bien noble spectacle par l’harmonie qui règne entre eux, bien qu’ils soient divisés en cinquante jurys, dans l’accomplissement de leurs travaux, où le sentiment d’équité domine les intérêts divers de tant de nations.
« Maintenant en reportanthnon attention sur votre honorable corporation, j’ai appris aujourd’hui même que vous êtes fidèles aux vertus traditionnelles qu1., depuis des siècles, forment la base de votre prospérité ainsi que de votre activité, votre probité et ce génie qui a produit la grandeur du commerce anglais.
« Permettez-moi de vous soumettre un fait, un seul, qui donnerait à l’homme le moins exercé aux matières commerciales une idée des développements extraordinaires de ce commerce. Si, d’une part, vous calculez la production des fabriques de draps qui sont employées pour habiller le genre humain, drap que vous envoyez dans toutes les parties du monde, et si, d autre part, vous faites le calcul de la circonférence du globe, et que vous la divisiez en aunes (yards), vous trouverez que non-seulement chaque aune vous rapportera une livre sterling, mais qu’il vous resterait encore une somme énorme de surplus.
« Je ne prétends pas, en disant cela, vous faire entendre que votre commerce est trop étendu, mais que les dimensions de la terre sont trop étroites pour un si grand commerce. Sans doute, s’il y avait 43,000,000 de livres sterling encaissés dans les coffres de la banque d’Angleterre, la Banque serait fort embarrassée de cette masse de richesses métalliques. Mais le commerce agit mieux : en- échange de celte masse énorme de produits manufacturés que la Grande-Bretagne exporte, le commerce lui rapporte une valeur équivalente de produits importés de tous les points du globe.
« Si, de mémoire d’hommes, jamais commerce ne fut aussi grand, aussi actif que le vôtre, jamais aussi les liens que le commerce a formés n’ont été plus forts entre les nations, et n’ont assuré plus solidement une paix inaltérable dans le monde entier. »
OjciEN pot a couvercle,>ar ». joseph AHGELL, (Voir,ci-contre, page 11 6,;
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