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- TABLE DES MATIÈRES
- TABLE DES ILLUSTRATIONS
- RECHERCHE DANS LE DOCUMENT
- TEXTE OCÉRISÉ
- Première image
- PAGE DE TITRE
- Table des matières (p.5)
- Table des gravures (p.7)
- Liste des inventeurs (p.9)
- Liste des constructeurs (p.11)
- Plan d'indexation (p.13)
- PRECURSEURS ET INVENTION L1 (p.17)
- DAGUERREOTYPIE, TALBOTYPIE, PROCEDES AU COLLODION ET DIVERS L2 (p.27)
- PROCEDE AU GELATINO-BROMURE L3 (p.61)
- UTILISATIONS SCIENTIFIQUES DE LA PHOTOGRAPHIE L-4 (p.107)
- Microphotographie L-4-1 (p.108)
- Photographie panoramique L-4-2 (p.111)
- Stéréoscopie L-4-3 (p.119)
- Photographie des astres L-4-4 (p.125)
- Photographie aérienne L-4-5 (p.128)
- Phototopographie L-4-6 (p.132)
- Morphologie externe L-4-7 (p.139)
- Morphologie interne, radiologie L4-8 (p.141)
- Enregistrement des phénomènes physiques L-4-9 (p.143)
- PROJECTIONS FIXES L-5 (p.149)
- PROJECTIONS ANIMEES L-6 (p.153)
- CHRONOPHOTOGRAPHIE L-7 (p.163)
- ClNÉMATOGRAPHIE MUETTE L-8 (p.173)
- CINEMATOGRAPHIE SONORE L9 (p.207)
- Dernière image
- Première image
- PAGE DE TITRE
- Fig.1 Machine pour dessiner de loing de Chérubin 16.452 (p.16)
- Fig.2 Buste de Niepce 16.357 (p.21)
- Fig.3 Buste de Daguerre 17.558 (p.23)
- Fig.4 Chambre noire construite sous la direction de Daguerre 11.785 (p.26)
- Fig.5 Chambre noire automatique de Bertsch 16.884 (p.33)
- Fig. 6 Jumelle photographique de Nicour 16.371 (p.35)
- Fig. 7 Objectif double de Désiré Lebrun 7.775 (p.38)
- Fig. 8 Objectif pantascope de Busch 16.873 (p.39)
- Fig. 9 Boîte à mercure 8.621 (p.42)
- Fig.10 Première épreuve faite par Daguerre 8.745 (p.46)
- Fig.11 Négatif sur papier ciré par Legray 11.767 (p.51)
- Fig.12 Buste d'Alphonse Poitevin 10.998 (p.58)
- Fig.13 Caricature « La patience est la vertu des ânes » 16.438 (p.59)
- Fig.14 Appareil photographique de Molteni 12.296 (p.67)
- Fig.15 Jumelle universelle de Belliéni 13.535 (p.69)
- Fig.16 Appareil de Stebbing 16.895 (p.70)
- Fig.17 Photo-revolver d'Enjalbert 16.477 (p.73)
- Fig.18 Photographie prise dans les Catacombes de Paris 10.196 (p.93)
- Fig.19 Photographies ordinaires et isochromatiques 10.782 (p.94)
- Fig.20 Melanochromoscope de Ducos du Hauron 16.495 (p.101)
- Fig.21 Microphotographie 9.608 (p.109)
- Fig. 22 Microphotographie 9.708 (p.110)
- Fig. 23 Périgraphe Mangin 9.7IO (p.112)
- Fig. 24 Épreuve obtenue avec le périgraphe Mangin 9.751 (p.116)
- Fig.25 Panorama du massif des écrins 14.378 (p.117)
- Fig.26 Stéréospido Gaumont 16.493 (p.122)
- Fig.27 Photographie aérienne par Nadar 10.959 (p.129)
- Fig.28 Restitution photographique de Montpellier 17.552 (p.130)
- Fig.29 Appareil métrophotographique Laussedat 12.295 (p.134)
- Fig.30 Photothéodolite universel de Laussedat 13.613 (p.135)
- Fig.31 Restitution photographique de Santa Maria Delle Grazzie à Milan 397 T (p.140)
- Fig.32 Radiographie de Peignot 12.913 (p.141)
- Fig.33 Photographie de nuages 16.585 (p.145)
- Fig.34 Lanterne magique 1.827 (p.148)
- Fig.35 Grande lanterne magique 14.142 (p.151)
- Fig.36 Praxinoscope d'Émile Reynaud 16.696 (p.155)
- Fig.37 Zootrope 16.963 (p.157)
- Fig.38 Phénakisticope mécanique de Duboscq 6.664 (p.161)
- Fig.39 Théâtre optique de Reynaud 16.696 (p.162)
- Fig.40 Revolver photographique de Janssen 16.326 (p.165)
- Fig.41 Fusil chronophotographique de Marey 16.955 (p.167)
- Fig.42 Epreuve chronophotographique du chat qui se retourne en tombant 11.056 (p.168)
- Fig.42 Epreuve chronophotographique du chat qui se retourne en tombant 11.056 (p.169)
- Fig.43 Appareil de Bouly16.684 (p.175)
- Fig.44 Appareil Parvo Debrie 16.549 (p.177)
- Fig.45 Appareil Parvo Debrie ouvert 16.549 (p.178)
- Fig.46 Appareil G. V. Debrie 16.548 (p.179)
- Fig.47 Appareil G. V. Debrie ouvert 16.548 (p.180)
- Fig.48 Praxinographe de Berthier 16.556 (p.182)
- Fig.49 Projecteur Pathé-Kok 16.644 (p.184)
- Fig.50 Premier cinématographe de Lumière 16.966 (p.188)
- Fig.51 Cinématographe Lumière, modèle définitif, construit par Carpentier, ouvert 13.021 (p.189)
- Fig.52 Cinématographe Lumière, modèle définitif, construit par Carpentier 13.021 (p.190)
- Fig.53 Chronochrome Gaumont 16.974 (p.201)
- Fig.54 Cinéorama-Ballon 17.266 (p.204)
- Fig.55 Portrait de Auguste et Louis Lumière 16.581 (p.206)
- Fig.56 Cinéphone Gaumont, Pétersen, Poulsen 16.977 (p.208)
- Fig.57 Chronophone Gaumont 16.976 (p.209)
- Fig.58 Chronophone Gaumont 16.976 (p.210)
- Fig.59 Cinéphone Gaumont, Pétersen, Poulsen 16.977 (p.211)
- Plan du musée, 1er étage (p.213)
- Conservatoire national des arts et métiers, plan général (p.214)
- Dernière image
208
L-9.
le noircissement, suivant les procédés, varient avec l'intensité et la nature des sons.
Pour la reproduction des sons, on déroule le film devant une source de lumière constante dont les rayons sont, à la sortie du film, reçus sur une cellule photo-électrique. Celle-ci fournit un courant dont les variations suivent fidèlement celles de l’éclairement lui-même conditionné par le film. Ce courant, amplifié convenablement, est envoyé dans la bobine d’un haut-parleur qui reproduit les sons primitivement émis devant le microphone inscripteur.
Fig. 56. — Cinéphone Gaumont, Pétersen Poulsen (16.977).
Pour obtenir un synchronisme parfait, on enroule, lors de la prise de vue, deux films sur un même arbre; l’un sert à l’enregistrement des images, l’autre à l’inscription des vibrations sonores. La reproduction comporte deux appareils reliés rigidement pour tourner à la même vitesse, l’un destiné au film projeté sur l’écran, l’autre entraînant le film qui actionne le haut-parleur. On peut aussi enregistrer sur une même bande sensible les images et les vibrations sonores.
La première réalisation de ce principe donna naissance au procédé G. P. P. fruit de la collaboration de Léon Gaumont et de deux ingénieurs suédois Petersen et Poulsen.
L’enregistrement optique donne d’excellents résultats, mais le film se détériore à l’usage, ce qui se traduit par des bruits parasites qui troublent l’audition. Le système à disques donne des résultats un peu moins bons — les disques se raient et se cassent — mais présente l’avantage d’un prix de revient moins élevé. Cependant il a été abandonné car le premier permetd’en-registrer sans bruit de fonds les plus grands écarts de vibrations.
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour cette page est de 99,53 %.
La langue de reconnaissance de l'OCR est le Français.
L-9.
le noircissement, suivant les procédés, varient avec l'intensité et la nature des sons.
Pour la reproduction des sons, on déroule le film devant une source de lumière constante dont les rayons sont, à la sortie du film, reçus sur une cellule photo-électrique. Celle-ci fournit un courant dont les variations suivent fidèlement celles de l’éclairement lui-même conditionné par le film. Ce courant, amplifié convenablement, est envoyé dans la bobine d’un haut-parleur qui reproduit les sons primitivement émis devant le microphone inscripteur.
Fig. 56. — Cinéphone Gaumont, Pétersen Poulsen (16.977).
Pour obtenir un synchronisme parfait, on enroule, lors de la prise de vue, deux films sur un même arbre; l’un sert à l’enregistrement des images, l’autre à l’inscription des vibrations sonores. La reproduction comporte deux appareils reliés rigidement pour tourner à la même vitesse, l’un destiné au film projeté sur l’écran, l’autre entraînant le film qui actionne le haut-parleur. On peut aussi enregistrer sur une même bande sensible les images et les vibrations sonores.
La première réalisation de ce principe donna naissance au procédé G. P. P. fruit de la collaboration de Léon Gaumont et de deux ingénieurs suédois Petersen et Poulsen.
L’enregistrement optique donne d’excellents résultats, mais le film se détériore à l’usage, ce qui se traduit par des bruits parasites qui troublent l’audition. Le système à disques donne des résultats un peu moins bons — les disques se raient et se cassent — mais présente l’avantage d’un prix de revient moins élevé. Cependant il a été abandonné car le premier permetd’en-registrer sans bruit de fonds les plus grands écarts de vibrations.
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