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- TABLE DES MATIÈRES
- TABLE DES ILLUSTRATIONS
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- TEXTE OCÉRISÉ
- Première image
- PAGE DE TITRE
- Préface de J. Weber (p.5)
- Société Suisse pour la construction de locomotives et de machines (p.9)
- Locomotives à adhérence (p.12)
- Locomotives à adhérence, avec adhérence auxiliaire sur un rail central uni (p.18)
- Locomotives avec mécanismes à adhérence et à crémaillère (p.26)
- Locomotives exclusivement à crémaillère (p.28)
- Crémaillères à denture verticale (p.31)
- Détail de la construction des locomotives mixtes et de celles exclusivement à crémaillère (p.35)
- Locomotives électriques à crémaillères (p.49)
- Dernière image
- Première image
- PAGE DE TITRE
- Société Suisse pour la construction de locomotives et de machines à Winterthur : vue de l'établissement en 1871 (p.8)
- Fig. 1 – Rapport entre le poids du train Zt et le poids d'adhérence de la locomotive Lt (p.11)
- Fig. 2 a – Locomotive compound triplex pour trains de marchandises du Chemin de fer de l'Erie (p.13)
- Fig. 2 b – Locomotive 5-6 à 4 cylindres à surchauffe pour les Chemins de fer fédéraux (p.13)
- Fig. 2 c - Locomotive 5-6 à deux cylindres des Chemins de fer de Gafsa (p.15)
- Fig. 2 d - Locomotive 4-5 à deux cylindres compound des Chemins de fer Rhétiques (p.15)
- Fig. 3 a – Locomotive 1 C-C 1 à une phase pour trains de marchandises des Chemins de fer fédéraux (p.16)
- Fig. 3 b – Locomotive C plus C à une phase des Chemins de fer Rhétiques (p.17)
- Fig. 4 – Locomotive Hanscotte projetée pour le Chemin de fer de la Furka (p.20)
- Fig. 4 a – Superstructure système Hanscotte (p.21)
- Fig. 5 – Diagramme de la locomotive Hanscotte (p.20)
- Fig. 6 – Locomotive mixte HG 3-4 projetée, système Winterthur (p.23)
- Fig. 7 – Diagramme de la locomotive mixte HG 3-4, système Winterthur (p.23)
- Fig 8 – Locomotive HG mixte, système Abt, exécutée pour la ligne de la Furka (p.25)
- Fig. 8 a – Profil de la ligne de la Furka (p.25)
- Fig. 9 – Diagramme d'une locomotive HG 3-4, système Abt (p.25)
- Fig. 10 a – Crémaillère Riggenbach (p.33)
- Fig. 10 b – Crémaillère Abt (p.33)
- Fig. 10 c – Crémaillère Locher (p.33)
- Fig. 10 d – Crémaillère Strub (p.33)
- Fig. 11 – Automotrice du Chemin de fer du Pilate (p.38)
- Fig. 12 – Bielle de la première locomotive du Brunig (p.40)
- Fig. 13 – Châssis intérieur de la locomotive mixte système Abt (p.41)
- Fig. 14 – Locomotive système Klose du Chemin de fer routier St-Gall-Gais (p.43)
- Fig. 15 - Mécanisme de la locomotive mixte, système Winterthur (p.45)
- Locomotives à vapeur uniquement à crémaillère (p.1)
- Locomotives à vapeur uniquement à crémaillère (p.2)
- Locomotives à vapeur mixtes pour adhérence et crémaillère (p.3)
- Locomotives à vapeur mixtes pour adhérence et crémaillère (p.4)
- Locomotives à vapeur mixtes pour adhérence et crémaillère (p.5)
- Locomotives à vapeur mixtes pour adhérence et crémaillère (p.6)
- Locomotives électriques uniquement à crémaillère (p.7)
- Locomotives électriques uniquement à crémaillère (p.8)
- Locomotives à vapeur mixtes pour adhérence et crémaillère (p.9)
- Trucks mixtes pour adhérence et crémaillère (p.10)
- Dernière image
6° DÉTAILS DE CONSTRUCTION DES LOCOMOTIVES MIXTES ET DE CELLES EXCLUSIVEMENT
A CRÉMAILLÈRE
CHAUDIERE
La chaudière verticale ne convient que pour des forces de faible importance, spécialement pour les automotrices à vapeur. Pour de plus grandes forces, le type de chaudière employé généralement dans les locomotives à adhérence est bien supérieur et plus économique, quoique son poids par mètre carré de surface de chauffe soit supérieur à celui de la chaudière verticale. Afin que le dessus de la boîte à feu ait toujours sa couverture d’eau obligatoire, dans les déclivités maxima aussi, l’axe de la chaudière des locomotives exclusivement à crémaillère n’est pas parallèle à la voie, mais incliné en avant, de façon à ce que sur une rampe moyenne cet axe soit parallèle à la ligne d’eau. S’il y a dos d’âne, la machine est tournée au sommet de la rampe. Eu égard à la rampe particulièrement forte, les automotrices du Chemin de fer du Pilate ont la chaudière disposée en travers de l’axe de la ligne.
Dans les locomotives mixtes à adhérence et crémaillère la position normale de la chaudière peut être maintenue à la condition que la déclivité ne dépasse pas 90 °/00. La locomotive Klose des Chemins de fer Appenzellois, qui doit marcher dans la même direction sur des rampes et pentes de 90°/oo» reçut une chaudière avec boîte à foyer surélevée, pour que la partie de la chaudière portant les tubes bouilleurs reste toujours pleine d’eau.
Pour obvier aux désagréments de la fumée, le fumivore Langer ou l’appareil simplifié CFF a été introduit en Suisse et employé aussi dans les locomotives à crémaillère. L’emploi de la vapeur surchauffée est particulièrement à recommander pour les locomotives de montagne,
35
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A CRÉMAILLÈRE
CHAUDIERE
La chaudière verticale ne convient que pour des forces de faible importance, spécialement pour les automotrices à vapeur. Pour de plus grandes forces, le type de chaudière employé généralement dans les locomotives à adhérence est bien supérieur et plus économique, quoique son poids par mètre carré de surface de chauffe soit supérieur à celui de la chaudière verticale. Afin que le dessus de la boîte à feu ait toujours sa couverture d’eau obligatoire, dans les déclivités maxima aussi, l’axe de la chaudière des locomotives exclusivement à crémaillère n’est pas parallèle à la voie, mais incliné en avant, de façon à ce que sur une rampe moyenne cet axe soit parallèle à la ligne d’eau. S’il y a dos d’âne, la machine est tournée au sommet de la rampe. Eu égard à la rampe particulièrement forte, les automotrices du Chemin de fer du Pilate ont la chaudière disposée en travers de l’axe de la ligne.
Dans les locomotives mixtes à adhérence et crémaillère la position normale de la chaudière peut être maintenue à la condition que la déclivité ne dépasse pas 90 °/00. La locomotive Klose des Chemins de fer Appenzellois, qui doit marcher dans la même direction sur des rampes et pentes de 90°/oo» reçut une chaudière avec boîte à foyer surélevée, pour que la partie de la chaudière portant les tubes bouilleurs reste toujours pleine d’eau.
Pour obvier aux désagréments de la fumée, le fumivore Langer ou l’appareil simplifié CFF a été introduit en Suisse et employé aussi dans les locomotives à crémaillère. L’emploi de la vapeur surchauffée est particulièrement à recommander pour les locomotives de montagne,
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