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- TABLE DES MATIÈRES
- TABLE DES ILLUSTRATIONS
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- TEXTE OCÉRISÉ
- Première image
- PAGE DE TITRE
- TABLE DES MATIÈRES (p.500)
- Lettre à M. le Préfet du département du Nord (p.r5)
- Préface (p.r9)
- Discours préliminaire (p.r13)
- Article I.er des routes de France et du mode de leur construction et de leur entretien (p.r15)
- Routes royales (p.r17)
- Routes départementales (p.r19)
- Routes vicinales (p.r21)
- Article 2. Du système de roulage établi en France (p.r33)
- Article 3. Du rétablissement des droits de barrière pour l'exécution des routes neuves et l'entretien des anciennes (p.r37)
- Article 4.Observations sur l'écrit de M. Storrs Fry (p.r44)
- Influence de la vitesse sur le frottement (p.r49)
- Frottement des axes (p.r54)
- Application des expériences de Coulomb au frottement des roues de voiture (p.r55)
- Du poids des voitures considéré sous le point de vue des matériaux (p.r60)
- Article 5. Du système de construction et d'entretien des routes de M. M.c Adam (p.r65)
- Observations sur le système de M. Mc Adam (p.r70)
- Article 6. De quelques travaux publics et de leur influence sur l'état des routes (p.r77)
- Des ports de commerce (p.r78)
- Canaux de navigation débouchant dans les ports (p.r85)
- Des barrages et écluses sur les rivières (p.r89)
- Barrages en bois sur la Tamise (p.r96)
- Article 7. Des ponts suspendus (p.r118)
- Article 8. Des routes en fer (p.r152)
- Conclusion (p.r164)
- Essais sur la construction des roues de voitures, etc. par Storrs Fry (p.1)
- Chap. Premier. Usage des roues pour diminuer le frottement (p.5)
- Chap. II. Les roues coniques sont également nuisibles aux routes et aux chevaux (p.15)
- Chap. III. Les nouvelles diligences malles postes (p.23)
- Chap. IV. Nouveaux principes à suivre dans la construction des voitures (p.33)
- Chap. V. Le frottement n'augmente pas comme les surfaces en contact (p.45)
- Chap. VI. Forces comparatives employées par des chevaux attelés à des voitures à 2, 4, 6 ou 8 roues (p.59)
- Chap. VII. Les péages perçus sur les roues sans avoir égard au nombre des chevaux (p.65)
- Chap. VIII. Principes d'après lesquels les péages doivent être établis (p.69)
- Chap. IX. Expériences sur les ressorts (p.80)
- Chap. X. Taxes mises sur les diligences (p.85)
- Chap. XI Action mécanique des roues sur les routes (p.87)
- Appendice. Remarque sur le frottement des essieux (p.97)
- Remarques relatives au système actuel de construction des routes, par James Mac Adam (p.107)
- Première partie. De la construction des routes (p.113)
- Deuxième partie. Des commissaires et autres employés à l'administration des routes (p.122)
- Troisième partie. Des fonds destinés aux routes (p.125)
- Extrait d'un rapport du Comité de la chambre des Communes (p.131)
- Extrait des observations présentées par M. Mac Adam au Comité du Parlement (p.133)
- Instruction pour la réparation d'un vieux chemin (p.137)
- Adresse au Président et au Comité d'agriculture (p.145)
- Rapport du Comité du Parlement sur les grandes routes du royaume (p.159)
- Extrait des dépositions reçues parle Comité du Parlement (p.177)
- Produit des péages sur les routes des environs de Londres (p.275)
- Remarques sur l'ouvrage de M. Mc Adam, par B. Vingrove (p.275)
- Instructions publiées par ordre du Parlement pour la réparation des routes (p.310)
- Explication de la planche 5 (p.315)
- Description des ponts de suspension en fer, par Robert Stevenson (p.320)
- Description du pont de suspension de Newhaven, près d'Edimbourg, par le capitaine Brown (p.351)
- Pont en chaînes de Bangor, par M. Telford (p.365)
- Extrait d'un traité des ponts de suspension par Samuël Ware (p.373)
- Tableau des ponts de suspension (p.380)
- Observations sur la tension des chaînes de suspension (p.382)
- Observation sur un système général de routes en fer (p.403)
- Description d'un nouveau système de chemins en fer, par Palmer (p.443)
- Tables des résistances sur différens, chemins en fer (p.466)
- Notes sur les longueurs des routes à péage de l'Angleterre et de l'Ecosse et sur les dépenses annuelles d'entretien (p.491)
- Comparaison des poids, mesures et monnaies de France et d'Angleterre (p.496)
- Dernière image
xiij
DISCOURS PRÉLIMINAIRE.
Jj v Société se plaît à honorer les Médecins, les Avocats et les Magistrats généreux , qui se consacrent au soulagement et à la défense de l’infortune ; mais leurs bienfaits viagers sont concentrés dans les limites de quelques cités. 11 n’est donné qu’aux législateurs de constituer une prospérité permanente, de remonter à la source des malheurs publias, d'en préserver des générations entières, et de répandre le bonheur et les richesses dans toutes les classes de la société. Mais des projets si utiles, qu’un seul homme.doit tout-à-la-fois concevoir et mettre à exécution, exigent une âme presque divine, et le plus heureux concours de circonstances extraordinaires. Plus le livre de l’histoire s’est grossi par les siècles, plus il faut consacrer d anuées à 1 étude et à la méditation -, moins il en reste pour agir, et plus l’esprit éclairé flotte incertain dans le choix du but et des moyens pour l’atteindre. L’imprimerie, en ouvrant le livre de la science à toutes les classes , a mulliplié le danger des erreurs, et offert des armes terribles à la critique et à la malveillance. Il faut maintenant que l'homme d’état, appelé à la réorganisation delà Société, ose lutter contre mille inté.êts divers, puisse dominer le présent,- et ne cherche de récompense que bien loin dans l’avenir.
Mais si 1 héroisme et le génie sont nécessaires pour modi-fiei la législation du grand peuple, en effacer l’empreinte des révolutions, et le germe de révolutions nouvelles ; de bonnes intentions, le bon sens et la persévérance de quelques personnes éclairées, doivent suffire à l’amélioration de
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DISCOURS PRÉLIMINAIRE.
Jj v Société se plaît à honorer les Médecins, les Avocats et les Magistrats généreux , qui se consacrent au soulagement et à la défense de l’infortune ; mais leurs bienfaits viagers sont concentrés dans les limites de quelques cités. 11 n’est donné qu’aux législateurs de constituer une prospérité permanente, de remonter à la source des malheurs publias, d'en préserver des générations entières, et de répandre le bonheur et les richesses dans toutes les classes de la société. Mais des projets si utiles, qu’un seul homme.doit tout-à-la-fois concevoir et mettre à exécution, exigent une âme presque divine, et le plus heureux concours de circonstances extraordinaires. Plus le livre de l’histoire s’est grossi par les siècles, plus il faut consacrer d anuées à 1 étude et à la méditation -, moins il en reste pour agir, et plus l’esprit éclairé flotte incertain dans le choix du but et des moyens pour l’atteindre. L’imprimerie, en ouvrant le livre de la science à toutes les classes , a mulliplié le danger des erreurs, et offert des armes terribles à la critique et à la malveillance. Il faut maintenant que l'homme d’état, appelé à la réorganisation delà Société, ose lutter contre mille inté.êts divers, puisse dominer le présent,- et ne cherche de récompense que bien loin dans l’avenir.
Mais si 1 héroisme et le génie sont nécessaires pour modi-fiei la législation du grand peuple, en effacer l’empreinte des révolutions, et le germe de révolutions nouvelles ; de bonnes intentions, le bon sens et la persévérance de quelques personnes éclairées, doivent suffire à l’amélioration de
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