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- TABLE DES MATIÈRES
- TABLE DES ILLUSTRATIONS
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- TEXTE OCÉRISÉ
- Première image
- PAGE DE TITRE
- Le Coup de Bélier (p.1)
- Dilatation et rupture des conduites (p.7)
- D'où provient le Coup de Bélier : Loi de Borda et Carnot (p.9)
- Efforts développés par le Coup de Bélier (p.11)
- Tableau des évaluations de force du Coup de Bélier (p.12)
- Récipients d'air ou pneumatiques dits Anti-bélier : causes de leur inefficacité (p.13)
- Fonctionnement de l'Anti-Bélier A. Cruchon à mécanisme apparent (p.17)
- Tarif au 1er mai 1914 (p.22)
- Renseignements concernant la plomberie (p.23)
- Plomberie d'eau (p.24)
- Plomberie de gaz (p.25)
- Tuyaux en plomb (p.26)
- Poids approximatif des feuilles de zinc (p.27)
- Tuyaux de descente (p.28)
- Tuyaux de descente en zinc – cuivre rouge en planches (p.30)
- Couvre-joints en zinc de tasseaux d'arêtiers et de faitages – Gouttières en zinc demi-rondes (p.31)
- Tubes en fer soudés par rapprochement pour conduites d'eau et de gaz – Poids du mètre courant des tubes en cuivre rouge (p.32)
- Tableau des dimensions, du pids et du nombre des ardoises, commission des ardoisières d'Angers (p.33)
- Tuiles (p.34)
- Dernière image
L’ANTI-BÉLIER A. CRUCHON €-
La première est évidente, en effet :
Constamment en contact avec une colonne d’eau qui le frappe violemment, l’air se dissout ; de plus, le liquide pénétrant à l’intérieur de la couche fluide, une quantité d’air s’y mélange et se trouve entraînée à chaque puisage ;
Dans la seconde cause, non moins évidente, le volume d’air n’étant pas en rapport de puissance avec le coefficient de force résultant du « Coup de Bélier », le récipient devient alors un accumulateur de force vive, ce qui est absolument l’opposé du but recherché, attendu que pour être réellement un « Anti-Bélier », l’appareil doit être un déperditeur progressif de surpression.
CONCLUSIONS :
De ce qui précède, il résulte donc qu’un appareil quelconque dit « Anti-Bélier » ne peut être efficace :
1° Si on ne tient pas compte des lois de l’hydraulique ;
2° Si cet appareil est un récipient d’air, ou dont la fonction est pneumatique et cela en vertu même de la loi de Mariotte (compression de l’air).
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour cette page est de 99,40 %.
La langue de reconnaissance de l'OCR est le Français.
La première est évidente, en effet :
Constamment en contact avec une colonne d’eau qui le frappe violemment, l’air se dissout ; de plus, le liquide pénétrant à l’intérieur de la couche fluide, une quantité d’air s’y mélange et se trouve entraînée à chaque puisage ;
Dans la seconde cause, non moins évidente, le volume d’air n’étant pas en rapport de puissance avec le coefficient de force résultant du « Coup de Bélier », le récipient devient alors un accumulateur de force vive, ce qui est absolument l’opposé du but recherché, attendu que pour être réellement un « Anti-Bélier », l’appareil doit être un déperditeur progressif de surpression.
CONCLUSIONS :
De ce qui précède, il résulte donc qu’un appareil quelconque dit « Anti-Bélier » ne peut être efficace :
1° Si on ne tient pas compte des lois de l’hydraulique ;
2° Si cet appareil est un récipient d’air, ou dont la fonction est pneumatique et cela en vertu même de la loi de Mariotte (compression de l’air).
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