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- PAGE DE TITRE
- Ascension de la Tour Eiffel, 2 janvier 1921, par l'inventeur M. Paul CANS (n.n.)
- Ascension de la Tour Eiffel, 2 janvier 1921, par l'inventeur M. Paul CANS (n.n.)
- Fig. 1 – Ouistiti - Appareil de serrage automatique avec corde libre (n.n.)
- Fig. 2 – Ouistiti - Appareil de serrage automatique avec corde coincée (n.n.)
- Fig. 3 – Dispositif supérieur auquel est accroché le système de suspension (n.n.)
- Fig. 4 – Les deux dispositifs inférieurs avec leurs étriers (n.n.)
- Fig. 5 – Système de suspension (n.n.)
- Fig. 6 – Sellette s'accrochant aux mousquetons du système de suspension (n.n.)
- Fig. 7 – Les sangles sont ajustées, prêtes à être accrochées aux mousquetons (n.n.)
- Fig. 8 – Avant le mouvement ascentionnel (n.n.)
- Fig.9 – Avant le mouvement ascentionnel (n.n.)
- Fig. 10 – Décomposition du mouvement ascentionnel (n.n.)
- Fig. 11 – Décomposition du mouvement ascentionnel (n.n.)
- Fig. 12 – Manœuvre de descente (n.n.)
- Fig. 13 – Ressort de contact en action (n.n.)
- Fig. 14 – Suppression de l'action du ressort de contact (n.n.)
- Fig. 15 – Exemple de position de travail (n.n.)
- Fig. 16 – Exemple de sécurité (n.n.)
- Fig. 17 – Amarrage du cordage pour l'usage de la chèvre (n.n.)
- Fig. 18 – Expérience de la rue de la Bidassoa (n.n.)
- Dernière image
Si on applique un effort à l’extrémité E du levier L, la bague B, de par le fait de ces deux contacts en diagonale sur la corde, oblige celle-ci à s’appliquer à l’intérieur des douilles DD' en P et P avec une pression d'autant plus énergique que l’effort appliqué en E sera plus important.
La figure 2 représente la corde coincée par l’effort appliqué en E.
On conçoit alors aisément que le déplacement de l’ensemble par rapport au cordage, lequel est absolument libre lorsque les douilles DD* et la bague B sont en alignement, sera immédiatement freiné par tout effort appliqué en E, le rapport des bras de levier étant judicieusement établi à cet effet, et qu’il suffira de faire exécuter au point E alternativement les mouvements de haut en bas et de bas en haut pour obtenir le déplacement de l’ensemble sur le cordage, avec arrêt par contact énergique à la fin de chaque mouvement de haut en bas.
L’appareil à serrage automatique se compose de trois dispositifs basés sur le principe que nous venons d’exposer.
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour cette page est de 99,31 %.
La langue de reconnaissance de l'OCR est le Français.
La figure 2 représente la corde coincée par l’effort appliqué en E.
On conçoit alors aisément que le déplacement de l’ensemble par rapport au cordage, lequel est absolument libre lorsque les douilles DD* et la bague B sont en alignement, sera immédiatement freiné par tout effort appliqué en E, le rapport des bras de levier étant judicieusement établi à cet effet, et qu’il suffira de faire exécuter au point E alternativement les mouvements de haut en bas et de bas en haut pour obtenir le déplacement de l’ensemble sur le cordage, avec arrêt par contact énergique à la fin de chaque mouvement de haut en bas.
L’appareil à serrage automatique se compose de trois dispositifs basés sur le principe que nous venons d’exposer.
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