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Annual Baudry de Saunier. Manuel général de l'industrie automobile
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- B AUBRY DE SAUNIER
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- Dans le Circuit des Ardennes, toutes les voitures sans exception avaient la magnéto Simms-Bosch.
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- ANNUAL
- BAUDRY DE SAUNIER
- MANUEL GÉNÉRAL DE L’INDUSTRIE AUTOMOBILE
- 1907
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- ANNUAL
- BAUDRY DE SAUNIER
- MANUEL GÉNÉRAL DE L’INDUSTRIE AUTOMOBILE
- Ouvrage annuel renfermant par ordre alphabétique et par classes les ADRESSES des industriels et des commerçants de l’Automobile, français et étrangers, l’explication des
- EXPRESSIONS ET DES TERMES
- techniques, la LISTE DES MEMBRES des Automobile-Clubs de France, les résultats des principales ÉPREUVES SPORTIVES, les nouveautés de l’année, etc.
- AUTOMOBILISME
- NAUTIQUE — AERONAUTIQUE
- Administrateur : M. Hubert Baudry PAT{1S — 20, rue Duret — PAT\TS (,6')
- Téléphone : 676-02. — Adresse télégraphique : OMN1A-PARIS
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- SUCCURSALE & GARAGE:
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- PRÉFACE
- Notre Annual est à sa deuxième année. Tl a, comme il le devait, pris du muscle et de l'embonpoint ! Tl témoigne superbement de sa vitalité.
- Nous devons, avant toutes choses, remercier le public de l’accueil enthousiaste qu’il a fait à notre œuvre et de la promptitude avec laquelle il l’a adoptée. 'Dès maintenant /’Âlinual Baudry de Saunier est une des publications les plus répandues, les plus lues, une de celles dont l’autorité a le plus de poids dans tous les mondes et un peu dans tous les pays.
- Le succès considérable de notre œuvre dès la première année nous a permis d’en éteindre presque totalement les frais d’établissement si dispendieux. —Nous témoignerons au public notre reconnaissance de ce succès en abaissant désormais le prix de /’Annual à lâ fr. au lieu de 18 fr. Aucune publication analogue ne peut donc maintenant rivaliser avec celle-ci.
- Ce premier tribut de reconnaissance acquitté, nous expliquerons à nos nouveaux lecteurs le but exact que se propose /’Annual Baudry de Saunier.
- (S © a
- — Que signifient exactement les mots prise directe, impédance, calorie, moi-taise, quadrupteur P
- — Qui est le directeur de la maison Durandard, dont les voitures sont à la fois si robustes, si peu bruyantes et si bon marché ? Quelle est son adresse exacte ?
- — Quelle est la profession, quelle est l’adresse de 7VL Belœil, l’ingénieur spécialiste si réputé ?
- -- A qui dois-je m’adresser pour obtenir tel accessoire qui me manque ? Qui fabrique cette marque de pneumatiques Semper dont on dit tant de bien ?
- — En quelle année, à quelle date exacte la grande course Paris-Saint-Etienne a-t-elle eu lieu et quel en fut le gagnant? "Etc.
- Aucun ouvrage ne peut donner instantanément la réponse aux mille questions qu’un pratiquant de Vautomobile et des sports de la locomotion se pose en un seul mois ! Tl faut compulser dix ouvrages pour obtenir une réponse au bout d’une heure d’énervement. Le plus souvent même, la réponse ne vient pas parce qu’elle n’existe pas.
- Désormais, il suffit de savoir manier un dictionnaire pour trouver dans /’Annual en quelques secondes le renseignement cherché. Allez aux mots Prise
- L,A VOITURBÎ MONDA1JVE EST
- l’Automobile “ LORRAINE-DIETRICH ”
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- directe, Impédance, Durandard, Belœil, Semper, Paris-Saint-Etienne, etc., etc. — et vous serez servis, de notre mieux tout au moins.
- .L’œuvre que nous avons conçue, et qui se présente au public pour la deuxième fois aujourd'hui, comblera, je l’espère, cette lacune énorme.
- Tille a sa place désormais sur la table de travail de tout ami de l’automobile, de tout ingénieur, de toute personne qui a besoin d'avoir, sur notre monde défà si vaste de la locomotion, un renseignement immédiat et précis.
- (R <R <R
- L’Annual Baudry de Saunier, le mot le dit, paraît tous les 'ans. Car la nécessité de l’annualité pour un tel ouvrage s’impose rigoureusement.
- On peut affirmer que, d’une année à une autre, presque toutes les expressions et toutes les adresses seront modifiées ! 71 n’y a pas d’industrie qui, en douze mois, transforme aussi vite les choses que l’industrie automobile ! 71 n’y en a pas où autant d’expressions nouvelles arrivent au monde ; pas où autant de maisons se créent ; pas où les changements d’adresses soient aussi abondants !
- Notre monde se ressent du i oo à l’heure qui plane toujours un peu sur lui. 71 est essentiellement mobile ! 77n Allliual de 12 mois de date devient donc un simple recueil d’inexactitudes, car il a du coup vieilli considérablement !
- Nous ajouterons qu’un Annual de [2 mois de date renferme fatalement des lacunes considérables, puisqu’il est forcément muet sur les résultats des épreuves, les inventions nouvelles, les mots nouveaux, les décisions judiciaires et sportives, etc., etc., de l’année nouvelle.
- Cette œuvre d’un genre si caractéristique qu’est VAllliual Baudry de Saunier, à la fois manuel, dictionnaire, encyclopédie, doit donc obligatoirement paraître tous les ans.
- Chaque année, /’Annual nouveau vient remplacer sur la table ou dans la bibliothèque /’Annual ancien.
- (R (R (R
- 71 va sans dire qu’une entreprise semblable ne prétend pas dès le début à la perfection. Elle se permet de compter sur l’amabilité de tous ses lecteurs pour que son perfectionnement soit rapidement atteint. Elle se permet de compter aussi sur l’indulgence des personnalités qui auraient pu être omises par mêgarde ou insuffisamment mises en lumière. Nous avons fait de notre mieux, et en toute conscience, mais nous ne sommes que des hommes !
- L’Annual accueillera toujours avec joie toute critique, toute idée nouvelle, toute indication de progrès que ses lecteurs, ses pratiquants de chaque jour, voudront bien lui adresser.
- L’Administrateur.
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- NOTES IMPORTANTES
- CONCERNANT
- L’ANNUAL BAUDRY DE SAUNIER
- JKg* \d Annual Baudry de Saunier se divise en deux parties :
- I. — La partie qui renferme les personnes, les maisons et les expressions techniques, le tout rangé par ordre alphabétique.
- Nous avons placé les expressions composées (sociétés, compagnies, etc.) dans l’ordre alphabétique que leur assigne leur mot principal, leur nom propre en quelque sorte. Ainsi : Société des Mines de France, Compagnie des Câbles souples, etc., se trouvent à Mines de France (,Société des), Câbles souples (Compagnie des), etc.
- II. — La deuxième partie donne, et ce seront là des feuilles bien consultées, les listes des industriels et des commerçants rangés par classe d’industrie.
- Elle donne les listes, presque introuvables ailleurs, des membres de l’Automobile Club de France, des Automobile-Clubs de province, etc. Il y a là des milliers d’adresses, triées sur le volet, qui constituent pour MM. les Commerçants une clientèle de premier ordre.
- Cette seconde partie de XAnnual est commandée par une table des matières qu’on trouve très facilement puisqu’elle est imprimée sur une carte, la seule que renferme l’ouvrage.
- T out industriel ou commerçant de l’automobile et des industries qui s’y rattachent a grand intérêt à faire inscrire son nom et son adresse dans Y Annual Baudry de Saunier afin de recevoir les catalogues, les avis divers, les brochures de toutes sortes que publie
- Les Automobiles “ Lorraine-Dietrich ”
- ___ SONT LES REINES DE LA ROUTE
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- chaque année l'industrie automobile. L'insertion du nom ou de la raison sociale, de la profession et de l’adresse, est toujours gratuite.
- JA I mutai Baudry de Saunier n'accepte aucune responsabilité des conséquences que pourraient avoir pour un tiers un renseignement, un chiffre ou une adresse inscrits avec inexactitude. Tous les documents qu’d renferme ont été réunis et collationnés avec un soin extrême; c’est la seule affirmation qu’il puisse donner de leur valeur.
- ït^r léAnnual Baudry de Saunier, n’ayant pas qualité pour juger des diflérends qui peuvent exister entre parties, ne tient aucun compte des demandes de non-insertion de telle ou telle marque, de tel ou tel produit, qui pourraient lui être adressées par des concurrents.
- JC5È"' Tous les renseignements nouveaux concernant Y Annual Baudry de Saunier, toutes les demandes de rectifications ou d’insertions doivent nous parvenir au plus tard le 15 octobre.
- Mais il y a gros intérêt, afin d’éviter la cohùe de renseignements de la dernière heure et les chances d’erreurs qui peuvent se produire ainsi, à nous adresser toute demande aussitôt qu'on pense à nous la formuler. — Prière de nous formuler celte demande par correspondance ou de nous demander d'envoyer un représentant, ce que nous ferons aussitôt.
- Les annonces et les ordres de publicité 11e peuvent être reçus pour Y Annual après le i5 octobre, sous aucun prétexte.
- \YAnnual Baudry de Saunier est entièrement à la disposition de ses lecteurs pour leur donner gracieusement tous les renseignements et tous les conseils désintéressés qu’ils peuvent désirer. — On ne crée une clientèle fidèle que par la courtoisie et la loyauté; nous avons la prétention de posséder l’une et l'autre de ces qualités et nous les mettons à la pleine disposition de nos lecteurs.
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- Collaborateurs, Sources, et Ouvrages recommandés
- Voici, tout d’abord, la liste des collaborateurs qui oui bien voulu nous donnei- l’appui de leur autorité. Vous les citons par ordre alphabétique :
- MM. Arnoux (René), vice-président de la Commission technique de l’Automobile Club de France. — Baudouin (MarceR, ingénieur. — Baudry (H ubert), chimiste diplômé par la Monnaie de Paris, administrateur de VAnnucd Baudry de Saunier. — Cauen, ancien élève de l’Ecole Polytechnique. — Cn vRLiER (Edg.), ingénieur civil. — Deeasaei.e (André), ingénieur-électricien, rédacteur à O milia, revue pratique de locomotion. — Caches, ingénieur-carrossier. — Imrrecq, avocat à la Cour d’appel de Paris. — Izart, ingénieur civil des Mines. — Keelner (Georges), président de la Chambre Syndicale des carrossiers de Paris. — Lacoin (Louis), ingénieur E. C. P., rédacteur à Omnia, revue pratique de locomotion. — Layergne (Gérard), ingénieur E. C. P., rédacteur à Omnia, revue pratique de locomotion. — Lei.'Are (Hippolyte), ingénieur E. C. P., rédacteur à Omnia, revue pratique de locomotion. — Le Roy (Gcorges-A.), chimiste-conseil, rédacteur à Omnia, revue pratique de locomotion. — Marot (Philippe), ingénieur, ancien constructeur, rédacteur à Omnia, revue pratique de locomotion. — Sainturat, ingénieur-électricien. — Semence, bibliothécaire du Touring-Club de France. — Morieu, Charrier, Deiieselle, dessinateurs. Etc.
- * *
- La science de nos distingués collaborateurs et de nous-mêmes n’étant pas infuse, nous avons dû consulter quantité de journaux et d’ouvrages de sciences, de mécanique, de physique, de chimie, etc... Nous les citons et les mentionnons chaque fois que nos collaborateurs nous les ont lait connaître. Nos lecteurs voudront bien, pour compléter YAnnual, se reporter aux intéressantes publications dont voici le texte :
- Encyclopédie Roret. — Nouveau Larousse illustré. — Ouvrages Baudry de Saunier : Automobile théorique et pratique, tomes I et IL Cyclisme théorique
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- Il LU O bfc UHUkVfllI à CLERMOKT-fERRAKD (P.-de-D.)
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- et pratique; Eléments d'automobile ; Les Motocyclettes; 8a Majesté l’Alcool; Recettes du Chauffeur; L’Allumage dans les moteurs à explosions (Baudry de Saunier, éd.). — Cours de Physique, de Chassagny (Hachette, éd.). — Eléments de mécanique, de Texier et Dutheil (Nathan, éd.). — Notes et formules de l’Ingénieur, par de Laharpc (Bernard, éd.). — Traité d’ElecIricité pratique, de Boulvin. — Traité de Chimie, de Troost (Masson, éd.). -- Travaux manuels de Daujat et Dumont (Larousse, éd.). — Manuel de Pratique mécanique, de B. Champly (l)esforges, éd.). — Mécanique pratique, de Codron (L. Laveur, éd.). — Petit dictionnaire pratique de mécanique et d’électricité, de Barbai. (Bernard, éd.). — Moteurs à essence, de Marchis (Dunod, éd.). — Leçons de Mécanique, d’Appel. — Annuaire du Bureau des Longitudes (Gau-thier-Yillars, éd.). — Connaissance des temps (Gauthier-Villars, éd.). —
- Manuel formulaire, de Blélry Frères. — Formulaire de l’électricien, d’IIos-pilalier (Masson, éd.). -- Tourisme en automobile, d’Auscher (Dunod, éd.).
- Aide-Mémoire de l’Automobile, par de Pietra-Santa. — Les litiges de l’Automobile, par Imbrecq. — Art de l’Ingénieur, de Vigreux, etc.
- Ils consulteront toujours avec profit les journaux suivants : L’Auto, Les Sports, elc..., les revues : La Locomotion, La Vie automobile, (hnnia, etc... ; les Annuaires : <le l’Automobile Club, du Tou ring1-Club, de la Société d’Encouragement, de Thévin et Cic, de Didot-Botlin, des Téléphones, etc. ; les Catalogues des Salons français et étrangers ; les Guides Continental, Michelin, les Catalogues spéciaux de Cœuilte, Griset et C10, etc., etc.
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- CALENDRIER
- pour TAN 19°7
- Année 662.0 de la Période Julienne.
- 2683 des Olympiades.
- 2660 de la fondation de Rome.
- 1907 du Calendrier Grégorien.
- 1907 du Calendrier Julien ou Russe, qui commence le 14 Janvier. ii5 du Calendrier Républicain Français. 5667 de l’Ere des Juifs.
- 1324 de l’Hégire (Calendrier Turc).
- — 43 du 76e Cycle du Calendrier Chinois.
- Toutes les heures sont exprimées en temps moyen civil compté de o h. à zl\ h. o h. représente minuit.
- G h. — G li. du matin.
- 12 lu — midi.
- 18 h. — G h. du soir.
- Les heures, de minuit (zéro heure) à 11 h. 89 du matin, sont les heures “ dites ” ordinairement du matin.
- Les heures, “ dites ” du soir, sont comprises entre midi (12 h.) et 11 h. 5q (28 h. 59). Pour le calcul facile des heures du soir, il suffit do retrancher 12 de l’heure cherchée: ainsi 22 h. 46 signifient, en langage ordinaire : 22 h. 46 — 12 = 10 h. 46 du soir.
- Les documents et les horaires de ce Calendrier sont extraits de la “ Connaissance des Temps ”
- (librairie Gauthicr-Villars).
- EXIGEZ des CHAINES RENOLD
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- 1907 JANVIER 1907
- SOLEIL LUNE
- LEVER COUCHEH LEVER COUCHER
- , M. Circoncision 7.5G 16.11 18.01 9.3a
- 2 AI. Saint Basile 7.50 1G. 12 I 9.0 1 10. oG
- 3 J. Sainte Geneviève 7.0O iG. 13 20. o5 10.35
- 4 V. Saint Rigobcrt 7.55 16.14 21.12 I I 01
- 5 S. Saint Simeon 7.55 iG i5 22.20 11.26
- G D. Epiphanie 7.55 16.1G 28.3o 11 00
- 7 L. Sainte Mélanio 7.55 16.17 o.4a 12.00 (g
- 8 M. Saint Lucien 7.54 16.19 1.56 12.10
- G M. Saint .Julien 7-54. 1G.20 3.13 12.43
- IO .1. Saint Guillaume 7.53 1G. 21 4 • 31 13.1G
- 1 V. Sainte Hurleuse 'j. o3 1G. 22 5.47 13.5o
- 12 S. Saint Arcade n.r>2 îG. 2.4 G. 5 7 i4-4'»®
- i3 D. Baptême de Jésus-Christ 7.52 1 G . 2Ü 7.58 i5.44
- i4 L. Saint llilaire 7 51 iG. 27 8.47 iG. 54
- i5 M. Saint Maur 7 • 5o 1G. 28 9.26 18.09
- j G M. Saint Marcel 7.5o iG. 29 9 19.2.5
- >7 .1. Saint Antoine 7-49 1G. 31 10.26 20.45
- 38 V. Chaire de saint Pierre 7.48 iG.32 10.00 21.02
- >9 S. Sainte Germaine 7-47 iG 33 11.13 23.00 S)
- 20 1). Sain! Sébastien 7.4G iG,35 11.36 0.07
- 21 L. Sainte Agnès 7 45 1G. 3G 1 2 00 I . I 2
- 22 M. Saint Vincent 7.44 iG.38 1 2 OO 2.10
- 23 M. Saint Ravmond 7-43 iG. 4o 12.26 3.17
- 24 J. Saint Babylas 7-4* 16.41 12.5G 4.1G
- 25 V. Conversion de saint Paul 7-4i iG.43 13.31 5.13
- 26 S. Saint Polvcarpe 7.40 i6.44 14 • 11 G. o5
- 27 D. Septuaqésime 7-39 1G. .4 G 1.4.58 G . Ü2
- 28 L. Saint Charlemagne 7.38 16.47 10.53 7 -33 v)
- a9 M. Saint François do Sales 7.37 16.49 iG. 53 8.08
- 3o M. Sainte Balliilde 7.35 1G. 51 17.57 8.39
- 3i J. Sainte Marcelle 7.34 iG.52 19. o3 9 • °6
- Le jour croit, pendant ce mois, de 1 heure d minutes.
- Eclipse totale de Soleil, le 1d Janvier, invisible à Paris.
- Eclipse partielle de Lune, les 2S et 2!) Janvier, invisible à Paris.
- I VOITURES HOTCHKISS
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- 1907 FÉVRIER 1907
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- SOLEIL LUNE
- LEVER COUCHER LEVER COUCHER
- I V. Saint Ignace 7.33 16.54 20.11 9 • 31
- 2 s. Purification 7-3i iG 5G 21.3i 9.55
- 3 D. Sexac/ésime O CO 16.07 22 32 10.20
- 4 L. Saint Gilbert 7. 28 iG.5y 23.44 10.4G
- 5 M. Sainte Agathe 7.27 17.01 o.58 n.iGg
- G M. Sainte Dorothée 7.25 17.03 2.1 3 I I 01
- 1 J. Saint Romuald 7-24 17.04 3.28 12.00
- 8 V. Sainte Irma 7.22 17.0G 4.38 12.34
- 9 S. Sainte Apolline 7.21 I7-°7 5.41 13.27
- 10 D. Quinquagésimc 7-J9 17.09 G. 35 i4.3o
- 11 L. Saint Séverin 7.17 17.11 7.18 15.4.2
- 12 M. Mardi-Gras 7.1G 17.12 7.54 1G.57®
- i3 M. Les Cendres 7 •14 17.14 8.24 18. i3
- i4 J. Saint Valentin 7.12 17. iG . 8.5o 19.28
- i5 V. Saint Faustin 7.10 17 17 9 14 20.40
- iG S. Saint Oncsime 7-°9 9.38 21.49
- *7 D. Quadraqésime 7.07 17.21 10.02 22.55
- l8 L. Saint Simeon 7. o5 17.22 IO.27 0.02
- >9 M. Saint Gabin 7.o3 17.24 10.5G 1. o5 0
- 20 M. Sainte Enchère 7.01 17.26 11.29 2 .oG
- 2 I J. Saint Pépin G. 00 17.27 12.00 3.o4
- 22 V. Sainte Isabelle G. 58 17 29 12.07 3.58
- 23 S. Saint Florent G.56 17 3o 12 02 4-47
- 24 D. Reminiscerc G. 54 17.32 13.4 3 5.3o
- 20 L. Saint Gésaire G.52 17.34 i4.4. G. 07
- 20 M. Saint Nestor 6.5o 17 35 15.4 4 G.4o
- 27 M. Saint Honoré G.48 17.37 1G. 5o 7 • o8@
- 28 J. Saint Romain G. 4 G 17.38 17.59 7.34
- Le jour croit, 'pendant ce mois, de I heure 29 minutes.
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- i9°7
- MARS
- 1907
- SOLEIL LUNE
- LEVER COUCHER LEVER COUCHER
- V. Sainte Eudoxie 6.44 17.40 19.10 7-59
- 2 S. Saint Simplicc G. 4 2 17.42 20.22 8.24
- 3 D. Oculi G. 4 0 17.43 21.35 O IO 00
- 4 L. Saint Casimir 6.38 17.45 22.49 9- J9
- 5 M. Saint Adrien 6.36 17.4G o.o4 9.5i
- G M. Sainte Colette 6.34 17.48 I . l8 io.3ig
- 7 J. Saint Thomas d’Aquin 6.32 17 • 4 9 2.28 ï I . IQ
- 8 V. Saint Philémon G. 3o I^.Gl 3,32 12.00
- 9 S. Sainte Françoise 6.28 17.53 4.27 I2.I7
- 10 D. Lætare 6.2G 17.54 5. i3 i3.23
- I L. Sainl, Euloge G. 24 17.56 5.51 14.35
- 12 M. Saint Lubin G. 22 17.07 G. 22 15.5o
- i3 M. Sainte Euphrasie 6.20 17.09 G. 5o 17.05®
- i4 J. Sainte Mathilde 6.18 18.00 7.i5 18.18
- i5 V. Saint Zacharie G. iG 18.02 7.38 I9'29
- iG S. Saint Cyriaque G. 14 18. o3 8.02 20.38
- !7 D. Passion G. 11 18.00 8.27 21.45
- 18 L. Saint Alexandre G. 09 18.0G 8.54 22.5o
- i9 M. Saint Joseph G. 07 18.08 9 • 2,3.54
- 20 M. Printemps G. oa 18.09 10.01 0.54
- 21 J. Saint Benoît 6. o3 18.11 10.43 1,5og)
- 22 V. Sainte Lca G .01 18.12 11.32 2.41
- 23 S. Saint Victorien 5.09 18.14 12.00 3.26
- 4 D. Rameaux 5. 07 18.10 12.27 4 .o5
- 25 L. Saint Quirin 5.54 18.17 13.27 4.39
- 26 M. Saint Bertillon 5 5 2 18.18 l4.32 5.09
- 27 M. Saint Rupert 5.5o 18.20 15.41 5.3G
- 28 J. Saint Contran 5.48 18.21 lG.52 G.01
- 29 V. Vend redi-Sainl 0.4 G 18.23 18. o5 G. 26®
- 3o S. Saint Ricul 5.44 18.24 19 •19 G. 52
- 3i D. Pâques 5.4 2 18.2G 20.35 7-J9
- Le jour croit, pendant ce mois, de 4 heure 48 minutes.
- " " 111 ...................................................... 1 ,
- CRIC UNIVERSEL
- ME,STRE et BLATGÉ .5,Rue BRUNEL.PARIS.
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- 22
- 1907 AVRIL 1907
- SOLEIL
- LUNE
- IJSVEll COUCHER L EVE R COUCHER
- L. Jour férié 0 4o 18 2 7 2 I 0 2 7.5i
- 2 M. Saint François de Paul 0 38 18 2 9 a 3 08 8.21)
- 3 M. Saint Richard f> 30 l8 3o 0 2 I 9-7r>
- .'1 J. Saint Ambroise o 34 18 3a I 38 I 0. I 0
- 0 V. Saint Vincent 5 32 l8 33 2 2 Ci 11.13g
- (; S. Saint Célestin o 3o 18 35 3 i3 12 . OO
- 1 1). Ouasimodo fi 28 18 30 3 02 12.2,3
- 8 L. A nnonciation 5 20 18 38 4 20 i3.30
- 1) M. Sainte Marie l'E^yptienne 5 23 18 39 4 0 2 14 - 4 y
- ÎO M. Saint Maeaire 5 21 18 4 1 5 '7 10.01
- I .1. Saint Léon r> 9 18 4 a 5 4 u 17.12
- 12 V. Saint Jules 0 *7 18 44 0 o3 18.21®
- i3 S. Sainte Irma .) I 0 18 45 0 27 19-29
- i'i D. Saint, jTiburce r> i3 18 4 7 0 53 20.30
- i T) L. Sainte Anaslasie :> 12 18 48 7 a 3 ai.4i
- 1 fî M. Saint Fructueux .) °9 18 fïO 1 r>7 22.43
- >7 M. Saint, Anicet 0 °7 18 0 l 8 30 a3.41
- 18 J. Saint Parlait 0 OO 18 53 9 22 0.34
- >9 V. Saint Timon 0 o4 18 54 IO • 4 I . 22
- 30 S. Saint, Tliéodule 02 18 50 I I I I 2. o3 9
- 2 D. Saint Anselme h 00 18 r>7 12 OO 2.38
- 22 L. Sainte Opportune /1 58 s ^9 I 2 »4 3.09
- a 3 M. Saint (ieorges /. 5 Ci >9 00 l3 2 I 3.87
- a', M. Sainte Heure h 54 '9 02 4 3o 4.03
- 2.”) J. Saint Marc i\ 02 R) o3 i r> 4i 4.2 G
- 2() V. Saint Ciel 4 0 1 >9 o4 1 Ci 55 4.51
- 0 -• S. Saint Fernand 4 49 '9 o(i 18 1 2 5.i8©
- 28 1). Saint Aimé 4 4; '9 °7 •9 3i 5.48
- 2 9 L. Saint Robert 4 45 '9 °9 20 OO 0.24
- 3o M. Saint Eutrope 4 44 10 22 08 7.08
- 4
- Le l'oar croit, pétulant ce mois, de i heure 40 minutes.
- !Pneu LIBERTY -WOLBEBI
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- 1
- 1907 MAI 1907
- SOLEIL LUNE
- LEVER. COUCHER LEVER COUCHER
- M. Saints Jacques el Philippe 4.4a 19.12 23.20 8.01
- 2 J. Saint Athanase 4.4o 19 •13 0.23 9.04
- 3 V. Invention Sainte-Croix 4.38 19 •13 1 -14 10. i3
- 4 S. Sainte Antoinette 4.3? 19. Hi 1.50 I I .2G(§
- 5 D. Saint Pie V 4.35 19.1S 2.3o 12 00
- 6 L. lioqations 4.34 J9- !9 2.50 12.39
- 7 M. Saint Stanislas 4.32 19.21 3.23 13.51
- 8 M. Saint Désiré 4.3o 19.22 3.46 i5.oi
- 9 J. Ascension 4.29 19.9.3 4.08 16.10
- 10 V. Saint Antony 4.27 19.9.5 4.3i 17.18
- 11 S. Saint Manierl 4.2 (i 19.20 4.50 18.24®
- 12 D. Saint Achille 4.20 19.27 5.23 i9-29
- i3 L. Saint Servais 4.2.3 !9-29 5.55 20.33
- i4 M. Saint Pacôine 4.22 19.80 G. 3a 21.33
- i5 M. Saint Isidore l\ .2 1 19 • 31 7-13 22.28
- 16 J. Saint Honoré 4-19 nj.33 8. on 23.18
- •7 V. Saint Pascal 4.18 19.34 9.00 0.02
- 18 S. Sainte Juliette 4.17 19.35 I 0 00 o.3g
- !9 D. Pentecôte !.\ 15 19 • 3 7 11.04 I . ] I
- 20 L. Jour férié 4.14 19.38 12 . I I 1,3g©
- 2 I M. Saint Hospice 4. i3 19 39 13.19 2.04
- 22 M. Sainte Julie 4.12 19.40 14.31 2.28
- 23 J. Saint Didier l\ I I 19.42 i5.45 2.52
- 24 V. Saint-Donatien 4.10 19.43 17.02 3.17
- 25 S. Saint Urbain 4.09 19-44 18.22 3.45
- 26 D. Trinité 4.08 19 • 4 n 19.43 4.17
- 27 L. Saint Hildehert 4 <>7 19.4O 2 1 .OI 4-58®
- 28 M. Saint Germain 4 . oh '9-47 22.11 5.48
- 29 M. Saint Maxiniin 4 . on 19.48 2,3.09 6.48
- 3o J. Fête-Dieu 4 . on 19 • 4 9 9.3.50 7.57
- 3i V. Sainte Pétronille 4.o4 I 9.5 I 0.33 g. 11
- Le jour croit, pendant ce mois, de 1 heure 17 minutes.
- Voitures MORS, 48, rue du Théâtre - PARIS
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- — 2'4
- 1 t
- 1907 JUIN 19 °7
- SOLEIL LUNE
- LEVER COUCHER LEVER COUCHER
- , s. Saint Pamphile 4. o3 19.52 0.41 IO.27
- 2 1). Saint Polllin t\. o3 19.53 1. o3 n. 416
- 3 L. Sainte Clotilde t\ .02 19.54 1.29 12.00
- 4 M. Saint Optai 4.01 19.54 I . 52 12.52
- 5 M. Boniface 4.01 19.55 2.14 I 4.0 I
- G J. Saint-Claude 4.00 19.56 2.87 1G. 09
- 1 V. Sainte Sébasticnne 4.00 19.57 3.00 16. ,5
- 8 S. Saint Mcdard 4 G 9 19.08 3.26 17.20
- 9 D. Sainte Pélagie 3.59 ,9.58 3.56 18.24
- 10 L. Saint Landry 3. G 9 ^•Gg 4.31 ,9.26®
- 11 M. Saint Barnabe 3..G9 20.00 0.12 20.23
- 12 M. Sainte Olympe 3.58 20.01 5.19 2 I . 15
- i3 J. Saint Antoine de Padouc 3.58 20.01 6.52 22.01
- i4 V. Saint Basile le Grand 3.58 20.02 7.5, 22.40
- i5 S. Saint Modeste 3.58 20.02 8.53 2.3.14
- 16 D. Saint Gyr 3.58 20. o3 9'G? 23.43
- L. Saint Avit 3.58 20. o3 11.04 0.08 s
- 18 M. Sainte Marine 3.58 20.o3 12.00 0 ,32
- !9 M. Saints Gervais et Prêtais 3.58 20. o4 12.12 0.55
- 20 J. Saint Sylvcre 3.58 20. o4 i3.23 1.18
- 21 V. Eté 3.58 20.04 14.87 1.43
- 22 S. Saint Paulin. 3.59 20.00 15.54 2 . I 3
- 23 D. Saint Félix 3.59 20. o5 17.13 2.48
- 2/1 L. Nat. de Saint Jean-Baptiste 3.5g 20.00 i8.33 3.32
- 25 M. Saint Prospcr 3.59 20. o5 19-48 4.28©
- 2G M. Saint Alban 4.00 20. o5 20.54 5.34
- 27 J. Saint Grcscent 4.00 20. o5 21.48 6.49
- 28 V. Sainte Irénée 4.01 20. o5 22,3i 8.07
- 29 S. Saint Paul 4.01 20. o5 2.3.o5 9 • p-4
- 3o D. Saint Martial 4.02 20.00 23.33 10.39
- Le jour, pendant ce mois, croit, du 4er au 24, de 49 minutes; et décroît, du 24 au 30, de 3 minutes.
- Société anorwme des Automobiles de la QIII D ET
- cÿ LYON D U I 11 El
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-
-
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- >9°7
- JUILLET
- >9°7
- SOLEIL LUNE
- LEVER COUCHER LEVER COUCHER
- I L. Saint Donatien 4.02 20. o5 23.58 I I 5 I
- 2 M. Visitation de Notre-Dame 4. o3 20. o4 0.21 12.00 g
- 3 M. Saint Anatole 4 04 20.04 0.43 i3.oo
- 4 J. Sainte Bertlie 4. o5 20.04 1. oG 14.07
- 5 V. Sainte Zoo 4.00 20.04 1,3i i5.i3
- G S. Sainte Lucie 4. oG 20. o3 1.59 16.17
- 7 D. Sainte Aubierge 4.07 20. o3 2.32 I7-I9
- 8 L. Saint Procopc 4.o8 20.02 3.10 18.17
- 9 M. Saint Cyrille . 4.o8 20.02 3.55 19.11
- IO M. Sainte Félicité 4.09 20.01 4.47 !9-59®
- 11 J. Saint Norbert 4.10 20.01 5.44 20.41
- 12 V. Saint Gualbert 4.11 20.00 G. 4 5 21,16
- i3 S. Saint Eugène 4.12 Ml-M) 7-49 21.46
- i4 D. Vêle Nationale /,. 13 1 y. 58 8.54 22. i3
- i5 L. Saint Henri 4. >4 19.58 10.01 22.37
- iG M. Sainte Estelle /( 15 19.07 1 1 . OQ 22.59
- >7 M. Saint Alexis 4.1G i9.5G 12.00 23.22
- 18 J. Saint Arnoult 4.17 uj.55 12,20 23.45 g)
- '9 V. Saint Vincent (le Paul 4.18 19.54 j 3.33 0. ï I
- 20 S. Sainte Marguerite 4.20 19.53 >4.48 0.43
- 21 D. Saint Victor 4.21 19.02 1G. oG I . 2 I
- 22 L. Sainte Madeleine 4.22 IQ.OI 1^.22 2.09
- 23 M. Saint Apollinaire 4.23 19.5o 18.33 3.10
- 2 4 M. Sainte Christine 4.24 19 4 9 19.33 4.21®
- 25 J. Saint Jacques 4.25 >9-47 20.22 5.39
- 2G V. Sainte Anne 4.27 19.46 2 1 .01 6.59
- 27 S. Saint Pantaléon 4.28 19.45 21.33 8.18
- 28 D. Saint Nazaire 4.29 M).44 22.00 9.33
- 29 L. Sainte Marthe 4.3o 19.42 22.24 10.45
- 3o M. Saint Ignace de Loyola 4.32 19 • 41 22.47 11.55
- 3i M. Saint Germain l'Auxerrois 4.33 19.40 2.3.10 12.oo^
- CH
- Le jour décroît., pendant ce mois, de 56 minutes.
- Eclipse annulaire de soleil, le 40, invisible à Paris. Eclipse partielle de. lune, le 2i, en partie visible à Paris.
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- 2Ü---
- 1--------------------------------------------------,
- 1907 AOUT 1907
- SOLEIL LUNE
- LEVER COUCHER LEVER COUCHER
- I J. Sainl Pierre 35 19.38 a 3.34 13.02
- 2 V. Saiul Alphonse. d(3 L 4.3(1 19SÎ7 0.02 1.4.08
- 3 S. Saillie Lydie 4.37 1 9. 35 0.33 15 11
- h I). Sainl Dominique 4.3‘) 19.3.4 1 • °9 i(i. 11
- O L. N. D. des Neiges 4.40 K). 3 3 1.02 !7.07
- (1 M. Transfiquralion 4.41 1 9. 31 a. 4 2 17.57
- 1 M. Sainl Gaétan 4.4:5 19 •2 9 3.37 18.4 0
- S .1. Saint Sévère 4.44 1 9. 28 4.37 19.18®
- 9 V. Saint. Amour . 4.4.» 1 (j. a (1 5.4 1 19.5o
- I O S. Saint, Laurent 4-47 19.2.4 (1.4(1 20.18
- I I). Sainte Suzanne 4-48 1 9. a 3 7.53 20.4^
- 1 2, L. Sainte Claire 4.5o 1 () . 2 I (j 0 r 21. o5
- 13 M. Saint 1 li |i|)olyl e 4. m 9 • 19 10.10 21.27
- '4 M. Saint Eusèlie 4.r,3 19 • 1 7 11.21 21. r>o
- 10 J. Assomption 4.“>4 19.10 12 00 22.1.4
- 1 r; V. Sainl Uoeh 4.55 19.14 12.34 22.4a §1
- >7 S. Saint Munîmes 4 .;">(> 1 (). 1 2 13. .4 9 23. l(i
- 18 I). Sainte Hélène 4.58 1 () . IO 15.0.3 23.5(j
- 9 L. Saint Douai 4 m) 19 "9 1 (i. 1.4 O . 02
- 20 .M. Sainl Bernard .1.01 19.07 17.17 I . o(>
- 2 I M. Saillie .leanne O 02 1 () . OO 18. m 3. xo
- 2 2 J. Saint Svmpliorien 5.0.4 11). o3 18.5.4 4.3o .
- «3 V. Saillie Sidonie 5.00 1 <) . O 1 > 9 •a 9 5,3o@
- a 4 S. Saint Barthélemy 5. o(i 18.5 9 19.58 7.08
- 2.") I). Saint Louis 5.07 18.57 20.2.4 8.2.4
- 2 () L. Sainl Zépliirin f) ()() 18.55 ao. 48 9-37
- 2 7 M. Saint Lésaire O . 1 I 18.53 2 1.12 10.47
- a 8 M. Saint Augustin 0.12 18.0 f 21.3(1 I I . OO
- 2 9 .1. Déc. de Sainl Jean Baptiste 5. 14 18..4 9 2 2.02 1 2.00
- 3o V. Saint Fiacre O . 1 O 18.4 7 22.3 a 13.00 g
- 3i S. Saint Aristide 0. i G 18.4 5 2 3.07 14.02
- Le jour décroît, pendant ce >nois, de I heure .75’ minutes.
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- . 11... ^
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- 1907 SEPTEMBRE 19 07
- SOLEIL LUNE
- LEVER COUCHER LEVER COUCHER
- I D. Saints Leu et Gilles 0.18 i87,3 23./17 I 3 . OO
- 2 L. Saint Just 5.19 18. !\ 1 0.34 i3.3a
- 3 M. Saint Grégoire 5 21 18.89 1.28 iG.38
- h M. Sainte Rosalie 0.22 18.37 2.27 17.18
- r> J. Saint Berlin 5.a3 i8.35 3.3o 17.51
- 0 Y. Saint Onésiphor r>. 25 i8.33 /,. 3 G 18.20
- 7 S. Saint Cloud 5.2 G 18.31 5./,3 i87|6®
- 8 D. Nativité de Notre-Dame 5.28 18.29 (). 3 2 19. H)
- 9 L. Saint Orner n.29 18.27 8.01 1 9.32
- 1() M. Sainte Pnlchérie 5 3o 18.25 () . I 2 19.54
- 1 1 M. Saint Hyacinthe 5.32 18.22 I 0.23 20.18
- 12 J. Saint Raphaël 5.33 18.20 11.39 20.45
- i3 V. Saint Mamille 5.35 18.18 1 2.00 21.17
- 1/1 S. Ex. de Sam le Croix 5.3 G 18.1 G 12.53 21.55©
- 13 D. Sainte Eve 5.38 18.1/, 1 !\. o3 22.43
- if» L. Sainte Euphémie 5.3y 18.12 15.08 23 7,2
- u M. Saint Lambert 5. t\ 0 18.10 1G. o3 o.3o
- 18 M. Sainte Sophie 5 7,2 18.08 1G./19 2. oG
- '9 J. Sainl Janvier 5./|3 18.0G 17.2 G 3.24
- 20 V. Saint Eustache 5 7|5 18. o3 17.67 47,2
- 2 I S. Saint Mathieu 5. !\ G 18.01 18.24 5.59©
- 22 D. Sainl Maurice 5.4 8 17.5p 18 7,8 7 14
- 2,3 L. Automne 5. 4 9 17.57 1Q.I2 8.27
- A INI. Saint Andoehe 0. fio 17.55 19.3 G 9-:^
- 20 M. Saint Eirinin 5 02 17.53 20.01 io7,5
- 2 G J. Sainte .Justine 5.53 I7.3i 20.3o 11.5o
- 2; V. Saints Cùine et Damien 0 00 17.'18 21. o3 I2.00!g
- 28 S. Saint Exupère 5.5 G 17./1G 21 7| 1 1 2.3 I
- 2 9 D. Sainl Michel 0.38 oM 22.2G 13 7, G
- 3o L. Saint Jérôme 5.59 1-7,2 23.18 ,4.34
- Le jour décroit, pendant ce ?nois, de t heure Ni minutes.
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- 2 M. Saints Armes Gardiens 6.02 17.38 i . iG 1 0.5)2
- 3 J. Saint Anlonin G. 0/, 17.3G 2.21 1G. 22
- 4 V. Saint François d’Assise G. o5 .7.34 3.28 10.4 9
- 5 S. Saint Constant G. oG 17.32 4.37 17.13
- G D. Saint Rrnno G. 08 17.30 a. 4 7 17.36®
- 7 I.. Saint, Serge 6.09 CO C8 L\ G. 5 q 17.59
- 8 •M. Sainte Brigitte G. n 17.27 8. i3 18.22
- 9 M. Saint Denis G. 13 17.2.3 9-29 18.47
- 10 .1. Saint Paulin G. 14 I 7 2 I 10.44 J9- !7
- I 1 V. Sainte Clémence G. iG 17 •19 11.56 19 54
- I 2 S. Saint Séraphin G. 1 7 17 •17 I 2 00 20.39
- i3 I). Saint Edouard G. 19 17.1a 13. o3 21.34 g
- i 4 L. Saint Calixtc G. 20 17. i3 14.01 22.3 g
- 15 M. Sainte Thérèse G. 22 17.11 1,4.48 23.51
- iG M. Saint G ail G. 2 3 17.09 15.27 I . O7
- *7 .]. Sainte Edwige (>.20 17.07 15.58 2.23
- 18 V. Saint Luc G.2G l^.OO 1G. 2 5 3 • 39
- J9 S. Saint Savinien G. 28 17. o3 1G. 5o 4-34
- 20 1). Saint Aurélien G.29 17.02 17.13 G. 07©
- 2 I L. Sainte Ursule G. 31 1G. 00 17.3 G 7.18
- 22 M. Saint Modéran G. 32 1G. 58 18.01 8.28
- 23 M. Saint, llilarion G. 34 iG.5G 18.28 9 • 35
- A J. Saint Magloire. G.3G 1G. 54 uS. 69 10.3 9
- 20 V. Saints Crépin et Crépinien G. 3 j 1G. 5a 19.35 11.37
- 2 G S. Saint Rustique G. 3cj 1G. ao 20.18 I 2.00
- 27 1). Saint Frumenl G. 4 0 1G. 4 9 2 1 .07 I2.2Ç)
- 28 L. Saints Simon et .Inde G. 4 2 1G.47 22 02 13.14
- 2 9 M. Saint Narcisse G. 4 3 iG.45 23.01 13.02
- 3o M. Saint Lueain 6.4 5 1G. 43 0.0.4 ' 4 •y- 4
- 3i J. Sainte Lucile G. 4 7 1G. 4 2 I . 10 14. a 1
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- Le jour décroît, pendant ce mois, de 4 heure minutes.
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- 2 s. Les Trépassés 6. 5o iG. 38 3.2^ 15.38
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- G M. Saint Léonard G. 56 1G. 3a 8.28 17. iG
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- 8 V. Saintes Reliques G.5p 16.29 10.5G i8.33
- 9 S. Saint Mathurin 7.01 1G.27 II.O() 19.2G
- 10 D. Saint Just 7.o3 16.26 12.00 20.2Q
- 11 L. Saint Martin 7 o4 1G.20 12.5o 2 1 _4o
- 12 M. Saint René 7. oG 16.23 i3.3i 22.5o ©
- i3 M. Saint Laurent 7.08 1G.22 14. o3 0. I I
- i4 J. Saint Vénérant 7-°9 1G. 21 14.31 1.2G
- i5 V. Saint Malo 7.11 1G. 19 i4.55 2.40
- îG S. Saint Edme 7.12 16.18 i5.18 3.52
- D. Saint Aignan 7.14 1G. 1 ~ 15.4 0 5.02
- 18 L. Sainte Aude 7.10 1G. 1G 1G. o3 G. 12
- *9 M. Sainte Elisabeth 7.17 1G. 15 iG. 28 7-ai©
- 20 M. Sainte Maixence 7.*8 1G. 14 1G. 5 7 8.2G
- 2 J. Présentation de la Vierge 7.20 1G. 13 17O1 9-a7
- 22 V. Sainte Cécile 7.21 1G. 12 18.11 10.23
- 23 S. Saint Clément 7.23 1G. 11 r\ LO CO 11.11
- 24 D. Sainte Flore 7 • 24 16.10 19.50 11.51
- 20 L. Sainte Catherine 7.2G 16.09 20.48 12.00
- 26 M. Sainte Delphine 7.27 1G. 08 21.49 12.25
- 27 M. Saint Maxime 7-29 1G.07 22.53 I 2.54
- 28 J. Saint Sostliène 7.3o iG. 07 23.59 l3.I9©
- 29 V. Saint Saturnin 7.3i 1G. oG 1. oG 13.41
- 3o S. Saint André 7.33 1G. 00 2. iG 14. o3
- Le jour décroît, pendant ce mois, de 1 heure 49 minutes. Passage de Mercure sur le disque du Soleil, les 13 et 14 novembre (visible à Paris).
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- 1907 DÉCEMBRE
- 1907
- SOLEIL LUNE
- LEVER COUCHER LEVER COUCHER
- 1 n. A vent 7 • 34 16. o3 3.28 14.24
- 2 L. Sainlo Bibiane 7.33 16,0.4. 4.43 14 • 4 7
- ‘A M. Saint, François de X 7.37 16, o/|. 6.01 13.13
- t, M. Sainte Barbe 7-38 16, o3 7.21 i3.44®
- f) .1. Saint Sabas 7-39 16. o3 8.38 16.23
- (i V. Sailli Nicolas 7 • t\.o 1 (i. 02 y • 4 7 17.13
- S. Saint, Gerbaud 7 41 1 (i. 02 10.4 3 18.14
- S 1). tmm. Conception 7 4 2 16.02 11.31 19.2.4
- 9 L. Sainte Léoeadie 7 4,3 16.02 12.00 20.41
- IO M. Sainte Valérie 7./1/1 16.01 12.07 2 I . Ol)
- I M. Sainl Danoise 7-43 16.01 12.37 2.3.16 ©
- 12 .1. Saint, Corenlin 7 • 4 b 16.01 i3.02 0.3o
- i3 V. Sainte Luee 7-47 16.01 13.2.4 1.42
- 4 S. Sainl, N'icaise 7 • 4 S 16.01 * B. -4 6 2.02
- 1 0 1). Saint, .Mesinin 7 • 4 D 16.01 14.08 4.01
- l(> L. Sainle Adélaïde 7.3o 16.01 14.3 2 O . OQ
- U M. Saint Lazare 7.3o 16.02 14 - 3.) 6. i5
- 18 M. Sainl Galien 7 • 31 16.02 13.3o 7.18
- M) .1. Sainl Timothée 7.3a 16. o3 16.07 8. i6@
- 20 V. Sainl, l’hilogone 7.52 16. o3 16.31 9 • °7
- 2 I S. Saint, Thomas 7.33 16. o3 -7.42 () . 00
- 22 n. Hiver 7.33 16.0.4 18.38 10.26
- a 3 L. Sainte Victoire 7-4 16. o4 1 g. 38 10.57
- 4 M. Saint, Dolphin 7-4 16. o5 20.41 11.23
- 20 M. Noël 7.33 16. o3 21.4 3 11.46
- :i(i J. Saint, Etienne 7.33 16.06 22 OO 1 2.00
- 2 7 V. Saint Jean, év 7.33 16.06 23.37 12.07g
- 28 s. Saints Innocents 7.33 16.07 0.06 12.28
- 2 9 1). Sainte Eléonore 7.36 16.08 2.17 12.49
- 3o L. Saint Subin 7.36 l6.01) 3 32 I 3 . I 2
- 3i M. Saint Sylvestre 7.36 16.10 4.3o 13.4 0
- Le jour, pendant ce mois, décroît, du /cr au 21, de 21 minutes; et croit, du 21 au 31, de 3 minutes.
- Mk | Mk LES MEILLEURES VOITURES POUR LE GRAND TOURISME
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- Boussac, Fontan de Sambucy, 32, rue de la Dalbade, Toulouse.
- Arène et Barthélemy, 8 et 10, rue du Muguet, Marseille. Alfred Léon et C10, 3a, cours du Jardin-Public, Bordeaux.
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- Société Perrot, Duval et C10, 8, rue de Hesse, Genève. MM. Englebert et C‘\François Valentijnstraat,88 c/d, La Haye. Fontan de Sambucy, 3a, rue de la Dalbade, Toulouse, représentant pour l’Espagne.
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-
-
- A
- A. — Lcltrc indiquant que le véhicule qui lia perle dépend de l'arrondissement minéralogique d’Alais (dard).
- A-h. — Abréviation de l'expression ampère-heure.
- A-t. — Abrévialion de l'expression ampère-tour.
- a. — Symbole de Y accélération.
- a. — (prononcez: «petit alpha »). Première lettre de l’alphabet grec. — Sert généralement à désigner un angle.
- AACHENER STAHLWARENFA-BRICK. A. G-, automobiles Fafnir, à Aix-la-Chapelle (Allemagne).
- ABADAL , garage, 3/|5, Consejo de Cienlo, •à Barcelone (Espagne).
- ABAISSER. — 1 ’erme d'atelier qui signifie diminuer la hauteur d’une pièce à la lime, au burin, à la raboteuse, etc. — On dit quelquefois descendre, avec le même sens.
- ABAQUE. — On appelait ainsi, dans l'antiquité, une table recouverte de sable fin où l'on traçait des lettres, des signes, des chiffres, des figures, comme aujourd'hui sur le tableau noir, pour apprendre les sciences aux écoliers. L'arithmétique s’appelait d’ailleurs abacus au moyen âge.
- Actuellement, on désigne quelquefois par cette expression des graphiques servant au calcul instantané des inconnues d'une équation dont on commit les données (moments d'inertie, résistance des matériaux, problèmes d’hydr.aulique, résistance des trains et des automobiles. etc...) La théorie des abaques forme l'objet d'une science difficile, la Homographie. 11 ne faut pas confondre une abaque avec un diagramme ou courbe représentative d'un phénomène (diagrammes des pressions barométriques, diagrammes des moteurs) bien que souvent ces deux termes soient pris dans le meme sens.
- ABBAYE-VALLORBE (U ni on ou-
- ouvricre d'). fabrique de limes, à l'Abbaye, vallée de. doux (Suisse), et 110, rue Sainl-Maur, Paris. Tél. g35./|3.
- ABATAGE. — Expression d'atelier qui signifie tantôt qu'un levier est long, tantôt que sa course est longue. Par exemple : lorsqu'une clé anglaise est trop courte peur vaincre la résistance d'un écrou ; ou bien lorsque la clé, suffisamment longue, est limitée
- dans sa course par une autre pièce, un ouvrier dit qu i/ na pas d'abatage.
- ABAT-POUSSIÈRE. — Dispositif spécial, appliqué jusqu’ici à l'arrière des automobiles, pour empocher la poussière de s’élever en l’air et de se rabattre sur l’arrière de la voiture en marche.
- Quelques inventeurs ont imaginé une véritable rampe placée à l'arrière de l’automobile, comme une rampe d'arrosage à l’arrière d’un tonneau ambulant. Mais jusqu’ici les essais de ce genre ne sont pas très concluants.
- ABBOTT {R. IL S.), vente de phares Rushmore, 90, avenue des Champs-Elysées, Paris. Tél. G;2-5g. Adr. tél. Abbolt-Rousquau-lo-Paris.
- ABEILLE (Moteurs). - Voir Dali/ol et Ci0, à Neuilly-sur-Seine.
- ABINGDON WORKS C", outillage, a Birmingham (Angleterre).
- ABRAHAM, garage. 8. rue de Nantes, à Saint-Nazaire (Loire-Inférieure).
- ABRAN(Geor-ges), gl\. avenue Suffrcn, Paris. —
- Né à Paris, le 26 mai i8/|G. Officier d ’A endémie. —
- Inspecteur général de VAuto. depuis sa fondation; organise toutes les courses de ce journal cl « porte la bonne parole » dans toutes les Sociétés sportives de France et de l'E-tranger. A rempli, auparavant., les memes fonctions au Vélo.
- ABRÉVIATIONS. — Dans les calculs ou dans les notes scientifiques, il est impossible ou il est fastidieux d'écrire en entier les grandeurs et les unités qu'on a à traiter. Aussi représentc-l-on ces grandeurs et ces unités par de simples abréviations. Par i exemple, au lieu d écrire puissance, on écrira I la simple lettre P. Au lieu d'écrire kilogramme, I ou écrira le simple signe Kg. 11 est impossible i de pratiquer autrement dans beaucoup de cas.
- M. AmuN
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- 3
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-
- A B B
- 34 -
- A G A
- Ce sont la, on le conçoit, de simples conventions. Mais, comme ces conventions sont admises aujourd'hui par tous les savants, qu'elles sont « officielles » en quelque sorte, il faut connaître au moins les principales, qui sont les suivantes :
- A
- A-h
- A-t
- P
- B
- G
- G. G. S.
- c
- c
- y.
- d
- d
- ô
- E
- e
- E
- 7)
- F
- ;?
- d>
- f
- /;,
- 1. é. m.
- IV
- G
- 8
- 9
- T
- II
- h
- h
- I
- I
- i
- J
- K
- k
- k^'in ktf"1 : s kg : cm-’ k\v L
- 1
- l
- K
- l°g
- log
- M
- Ampère.
- Ampère-heure.
- Ampère-tour.
- Accélération.
- Angle.
- Angie.
- Induction magnétique.
- Capacité ; Coulomb ; Couple ; Degré cent igrade.
- ( lent i m èl rc-gramme-seeonde.
- Ccnli.
- ( lapacité.
- Susceptibilité magnétique.
- Déci : dilVérentielle.
- Diamètre.
- Déviation.
- Force électromolricc.
- Base dos logarithmes népériens. Elongation.
- Rendement.
- Force : Farad.
- Force magnétomotrice.
- Flux de force! magnétique.
- F'oncl ion'.
- Force.
- Force électromotrice.
- Franc.
- ( lonductance.
- Gramme.
- Accélération due à la pesanteur.
- ( lonductihililé.
- ( iramme-degré.
- Intensité de champ ; force magnétisante.
- Henry.
- Ilecto ; heure.
- Hauteur.
- Intensité d'aimantation.
- Intensité.
- Intensité.
- .Ionie.
- Moment, d’inertie.
- Capacité inductive spécifique. Capacité thermique.
- Kilogramme.
- Kilogramme-degré.
- Kilogranunèlre.
- Kilogrammèlre par seconde. Kilogramme par centimètre carré. Kilowatt.
- Longueur.
- Coefficient d'induction mutuelle. Coefficient do self-induction.
- Litre.
- Longueur.
- Microlitre.
- Logarithme décimal.
- Logarithme népérien.
- Masse.
- Jllti Moment magnétique.
- m Mètre ; minute.
- m2 Mètre carré.
- m3 Mètre cube.
- ing Milligramme.
- mho Mho.
- mm Millimètre.
- m : s Mètre par seconde.
- m : s2 Mètre par seconde par seconde.
- m Polo magnétique.
- p. Perméabilité magnétique et micron.
- .N; n. Nombre abstrait.
- v Réluctivité.
- ohm Ohm.
- ohm-cm Olmi-cenli mètre.
- to Vitesse angulaire.
- P Puissance.
- p Pression.
- <I> Flux de force magnétique.
- Q ! 9 Quantité d'électricité.
- R ; r Résistance.
- R Réluctance,
- p Résistivité ; rayon de giration.
- S Surface,
- s Seconde.
- s Section ; longueur de courbe rec-
- tifiée.
- n Densité électrique.
- T; t Temps.
- I : m Tour par minute.
- 0 Température.
- H Température absolue.
- t Constante de temps.
- IJ ; u Différence de potentiel.
- Y Volume : volt.
- v Vitesse.
- W Travail ; énergie,
- w-h Watt-heure.
- X Réactance.
- Z Impédance.
- z Equivalent électrochimique.
- -Voir S/c/ne,s.
- Les abréviations, par la force mémo des choses, se confondent très souvent avec les symboles ( voir ce mot), sans aucun iaci n-vénient d'ailleurs.
- ABSCISSE. — Dans l'établissement d'une courbe rapportée à deux axes rectangulaires, on appelle abscisse d'un point, de la courbe la distance, mesurée sur l'axe horizontal, du point considéré à l'axe vertical.
- Elle est déterminée par Yoricyine (ou intersection des axes) et le pied do Yordonnée (ou perpendiculaire abaissée du point sur Faxc horizontal). \Yabscisse et Y ordonnée cons-liluent les coordonnées du point. — Le mol, abscisse vient du mot latin abscilldere, couper. - Voir ('(/ordonnées.
- ABSIRE AinéFils, antidérapant «César», a/|, rue Pré l’on laine, à Rouen (Seiue-I nie ri cure).
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- a g a
- 35 —
- A G G
- (>, place de la Concorde, Paris. — Réunion de quarante personnalités de Ions les inondes du sport, qui a été créée en iqoü par L'AulO et constituée par un petit plébiscite auprès de ses lecteurs.
- L'Académie des Sports a pour buts principaux :
- a) L'encouragement au sport sous toutes ses Cormes et la vulgarisation des moyens mécaniques, découvertes ou applications scientifiques ayant pour but le développement des sports ;
- b) La distribution de récompenses, diplômes, médailles et prix en espèces aux plus beaux laits sportifs, aux auteurs des actes sportifs les plus méritants, aux (ouvres sportives les plus utiles, aux auteurs des livres sportifs les plus intéressants, etc. :
- c) Le patronage des grandes manifestations sportives ;
- il) L'organisation de conférences et d'expositions artistiques se rapportant aux sports;
- C) L’établissement d'un dictionnaire des sports ;
- f) La diffusion des sports nouveaux :
- ;/) La réception de sporlsmen étrangers, etc. - Seuls, les sporlsmen de nationalité française peuvent en faire partie.
- L'Académie des Sports est divisée en 3 grandes sections comprenant elles-memes 8 sous-sections qui embrassent l'ensemble des sports connus. Ces 3 sections sont les suivantes :
- iu Section (les Sports nthlétil/nés comprenant, les sports suivant s : cyclisme, escrime, golf, boxe, paume, savate, tennis, football, pelote, aviron, courses a pied, lancement du disque, gymnastique, etc. :
- MM.
- Paul Adam, i(i, avenue du Troeadéro, Paris. A. Rallif, (), rue du Midi, a .Neuilly-sur-Seine. Victor Broyer, 10, rue du l’aubourg-.Montmartre, Paris.
- •Marquis de Cbasseloup-Laubal, ü i, avenue .Montaigne, Paris.
- Baron Pierre de Couberlin, 10, boulevard Flandrin, Paris.
- Henri Desgrange, 10, rue du Faubourg-Montmartre, Paris.
- Marins Dubmmel, "8, avenue Malakoff, Paris. Etienne Cirarnl, rue Durci, Paris.
- \ieomte L. de, .lan/.é. Mo, avenue, du Roule, à Neuilly-sur-Seine.
- Hugues Le Roux, route de Poissy, à Saiut-< icrmain-cn-Laye (Seine-el-Oise).
- •Lacques Liouvillc. dû, r. de 1 1 diversité, Paris. Pierre Lafitte, <), avenue de l'Opéra, Paris.
- D. Mérillon, io(i, rue de la Faisanderie. Paris. Dr Léon-Petit, uo, rue de Penlbicvre, Paris. Frantz Roichel, ab, rue Drouot, Paris. •L-.losepli Renaud, d(i, rue .Notre-Dame-de-Lorette, Paris.
- 2“ Section de.s Sports mécaniques, comprenant, les sports suivants : automobilisme, aéroslation, yachting, etc. :
- MM.
- Léon Bollée, constructeur au Mans.
- Brasier, 3fi, rue Molilor, Paris.
- Comte Castillon do Saint-Victor, y/j, avenue Marceau, Paris.
- Henri Deulscb de la Meurthe, /), place des Elals-lmis, Paris.
- Manpiis de Dion, ip, av. Mae-.Mabon, Paris.
- : Duc Dccazes, ip, rue de Constantine, Paris. Comte Henri de la Yaul.x, iao, avenue des Cb a m ps-K lysé es, Paris.
- ,T. Balsan, .la, quai Debilly. Paris.
- 11. Menier, 8, rue Alfred-de-Yignv, Paris.
- K. Mors, i/j, boulevard Emile-Augier, Paris. Baron II. de Rothschild, dd, rue, du Faubourg-Sainl-1 lonoré, Paris.
- C. Rives, i22, av. des Champs-Elysées, Paris. Commandant Renard, i, avenue de l'Observatoire, Paris.
- Serpollel, ii. rue Stendhal, Paris.
- Comte de Yogüé, !\~, avenue d'iéna, Paris.
- d° Section des Sports hippiques et cyné-1 yétii/ues, comprenant, les sports suivants : i courses, équitation, chasse, vénerie, tir. etc.
- MM.
- Prince Pierre d’Arenberg, 20, rue de la Ville— l'Eveque, Paris.
- Comte de L'Aigle, 12, rue d'Astorg, Paris.
- Duc de Brissae, a(i, rue Murillo, Paris. Edmond Blanc, b8, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- Comte de Cossé-Brissac, (grue Mesnil, Paris. Comte Clarv, \, rue Bayard, Paris.
- Comte de. Comminges, à Clairoix. près Com-piègne.
- Prince Mural, 28, rue de Monceau, Paris. Baron du Teil de Ilavelt,d, av. d'Antin, Paris.
- — Le Comité pour iyoG était ainsi composé :
- MM.
- Le Prince Pierre d’Arenberg, président.
- Paul Adam, vice-président.
- Pierre Lafitte, secrétaire.
- Frantz Reichel, secrétaire.
- Baron Henri de Rothschild, trésorier. Commandant Renard, conseiller.
- Marins Duhonnet, trésorier adjoint.
- .. L’Académie des Sports édite un Bulletin
- officiel.
- A.-C.-A.-R., suspension équilibrée. — Yoir Uannoyer (L.), à Lcvallois-Perret (Seine).
- ACAJOU. — Bois fourni par un arbre de l'Amérique méridionale, dur et compact, d’une couleur rouge-brun, susceptible d’un très beau poli. Est employé pour certaines parties de la carrosserie automobile.
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- 30 —
- ACCÉLÉRATEUR. — 1/accélérateur, dans une voiture à moteur à explosions, est un ensemble de leviers et de tringles, que le conducteur peut commander à volonté, et qui a pour but d'annuler temporairement reflet du régulateur. Le moteur, n'étant plus maintenu par son régulateur à un régime (nombre de tours à la minute) déterminé, s’emballe. Comme la voiture est liée à lui par l’embrayage, elle avance alors plus vite si les résistances du sol, du vent, etc., le lui permettent. Car, pour des raisons multiples que nous ne pouvons développer ici (voir L'Automobile théorique ci pratique,Vainc I), la puissance du moteur n'augmente pas proportionnellement au nombre de tours a la minute de ce moteur, et meme elle arrive à décroître avec remjjallcment.
- L'accélérateur est commandé le plus souvent par une petite pédale que ramène automatiquement. à sa position neutre un ressort lorsque le pied du conducteur l'a quittée. Il est. quelquefois aussi commando par une manette placée sur le volant de direction.
- L'accélérateur est. très souvent, dans les voitures récentes, combiné avec l'admission, afin que la meme manœuvre ouvre en grand l'admission des gaz et immobilise le régulateur ; on obtient ainsi rapidement l'emballement du moteur.
- ACCÉLÉRATION (Symbole : ,L). — L'accélération est la variation de vitesse (pu; subit un corps on mouvement, dans Limité de temps : (die est positive ou négative, suivant que cette vitesse augmente ou diminue ; elle s’exprime en mètres.
- Si un corps de massa M subit une force constamment égale à F, il est animé d'une accé-
- F
- lcration exprimer par la formule a =
- Lorsqu'un corps tombe dans le vide, sous l'action de la pesanteur (q), son accélération est, a Paris, de 9,81 m. par seconde par seconde.
- Nota : L'accélération s'exprime en mètres, centimètres, millimètres, etc., par seconde par seconde, et non on mètres, centimètres, millimètres par seconde. En efï'et, dans le premier cas, on exprime bien une accélération; dans le second, on n’exprime qu'une vitesse.
- ACCESSOIRES. — On entend par accessoires tous les objets qui ne font pas partie intégrante et constitutive ,du châssis ou de la carrosserie d'une voiture automobile : tels sont, les avertisseurs, compteurs, pompe a air, enveloppes de rechange, etc... A juste titre, on les comparerait, aux objets mobiliers qui garnissent une maison et (pu; la loi désigne sous le nom de <( liions meubles » ; leur liste peut être considérée comme a peu près sans fin.
- -— Auto-Palace, 77 bis, avenue do la Grande-Armée, Paris.
- — Auto-Stand, 20, rue Durci, Paris.
- — Besnard, Maius et Antoine, Go, boulevard Beaumarchais, Paris.
- — Bonneville, 52, boul. Carnot, Toulouse (llte-Garonne).
- — Comiot (G.), 87, boni. Gouvion-Saint-Cyr, Paris.
- — Desponts, ioo, rue Victor-Hugo, Leval-lois-Pcrret (Seine).
- — Française (Société la), ii, rue Brunei, Paris.
- Duos, 21, rue de Champagne, Saint-Etienne (Loire).
- — llmscn (Etienne), ;?G, rue de Crussol, Paris.
- ---Heniuque, /ji, avenue de la Grande-Année Paris.
- — IIussenot et Raynaud, 3<j, nie La Boétie, Paris.
- — Intermédiaire (L’), 17, rue Monsigny, Paris.
- - Jessé (de) et Ci0, (accessoires de bateaux), 7, rue Collangc, Levallois-Perret (Seine').
- -— Lacoste et Gic, :ï8. boulevard de Strasbourg, Paris.
- - Mestre et Blatcé, 5, rue Brunei, Paris.
- --- Uocers et Ci0, 1. rue SMicorgcs. Paris.
- - Santa-Maria (De), G, Cliaussee-d’Antin, Paris.
- ACCIDENT. — La conduite <b une automobile peut entrainer un certain nombre d'accidents.
- Tantôt le chauffeur se blessera lui-mèmc ou démolira sa voiture par sa propre faute; il 11e pourra alors s'en prendre qu’à lui-nicine.
- Tantôt il causera préjudice aux tiers; il devra alors, si l'accident est arrivé par sa faute, réparer ce préjudice; il pourra meme, (*n certains cas, cire passible de poursuites devant les juridictions pénales, par exemple, s'il a blessé ou tué quelqu'un, se voir citer en correctionnelle pour blessures ou homicide par imprudence, articles 3iq et 3ao du Gode pénal.
- Tantôt il subira lui-même un préjudice par la faute des tiers; en ce cas, il 11e devra pas craindre d'exiger réparation du préjudice qui lui aura été causé et de revendiquer ses droits en poursuivant l’auteur responsable de l'accident en dommages-intérêts.
- Bègle générale : dès qu'un accident arrive, prendre les noms et adresses des témoins; si c'est utile, dresser un plan ou prendre photographie des lieux et des circonstances de l'accident ; si l'on est soi-même victime, porter plainte à la gendarmerie ou au procureur de la République; si c'est un tiers qui est victime, lui prodiguer des soins (la loi 11e reconnail pas là du tout un aveu de culpabilité).
- — Capron et Harel. assurances, 10, rue Yiollct-lc-Duc, Paris.
- - Dusmkt (de et Cir), assurances, :>o, rue Taitbout, Paris.
- L. de SANTA MARIA
- AUTOMOBILES-ACCESSOIRES
- 6, Chaussée d'An tin. PARIS. Téléph. 314-11.
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- ACCIDENTS DU TR AV AIL (Asso- ! dation des Industriels d° France contre les).
- 3, rue de Lutèce, Paris.
- ACCORES. — Pièces (fui maintiennent sur ia quille les gabarits d'un canot aulo-inobile à la place prévue par le constmoteur.
- ACCOTEMENT. - Espace qui, sur une route, est compris entre la chaussée cl le fossé.
- hre de paliers. Les inconvénient,s des cylindres à moteurs séparés sont en outre de compliquer des canalisations et do donner lieu à un moteur plus long et plus coûteux. La tendance actuelle (sinon l'aveniri est aux moteurs à cylindres séparés.
- ACCROCHAGE. — Ce mot désigne la partie A, crochet de la jante métallique, dans laquelle le talon ou bourrelet T de l’enve-
- Les accotements son!, aussi appelés accotements ou bas côtés.
- ACCOUDOIR. - En carrosserie, l’uo-coudoir est la partie d’une voiture découverte sur laquelle on peut appuyer l'avant-bras. — Dans une voiture fermée, Y accoudoir est, la ligue <jui sépare le panneau de brisement du panneau de custode. ~ - Voir Voilure.
- ACCOUPLEMENT. •- C elle expression, souvent employée, désigne un dispositif mécanique ayant pour but, de réunir, d'une façon, soit permanente, soit temporaire, deux arbres qui sont ainsi animés d’une meme vitesse.
- Le type du premier genre est, représenté par un manchon, ou un cardan. Quelques constructeurs l’utilisent par exemple sous la forme d’un tournevis où la tète rectangulaire de l’un des arbres pénètre dans une rainure pratiquée a l’extrémité de l’autre arbre et produit ainsi son entraînement.
- Le second a particulièrement son application en automobile dans l’embrayage, qui, suivant la volonté du conducteur, forme liaison temporaire, ou la défait, entre l’arbre du moteur et, l’arbre primaire de la boîte dos vitesses.
- — Accouplement de piles ou d’accumulateurs. — Ce mot, peu usité, sert, à désigner un groupement d’éléments ; exemple : des piles accouplées (on dit plutôt : montées) en série ou en tension. - - Voir Connexion, Montage.
- — Accouplement des cylindres. — Les cylindres des moteurs sont dits accouplés lorsqu’ils sont venus de fonte ensemble et forment ainsi un bloc indivisible: ils offrent a la fois des avantages et des inconvénients sur les cylindres isolés.
- Vaccouplement des cylindres présente l’avantage de raccourcir le moteur cl de faciliter l’usinage tout, en réduisant à trois, pour un quatre-cylindres, le nombre de paliers indispensables. 11 a par contre l'inconvénient d'obliger à un remplacement de deux cylindres en cas d’avarie d'un seul, et de mal se prêter aux dilatations en raison de l'épaisseur souvent irrégulière des pièces de Ionie et de la liaison fâcheuse de parties qui devraient être indépendantes.
- Les avantages et les inconvénients des cylindres séparés sont opposés aux précédents, notamment en ce qui concerne le nom-
- AA, crochets de la jante.
- (!, cliambro à air.
- !!, enveloppe. .
- T. jante.
- loppe est poussé et maintenu énergiquement en place par l'air comprimé dans la chambre.
- Le diamètre d’une jante à 1 accrochage se mesure de la partie intérieure M du crochet de la jante au point, symétrique intérieur N diamétralement opposé.
- ACCUMOBILE. — Expression très peu employée qui désigne une voilure automobile actionnée par des accumulateurs.
- ACCUMULATEURS (généralités). •
- L’accumulateur est, un appareil destiné à emmagasiner do l’électricité.
- Un accumulateur se compose de deux électrodes plongeant dans un liquide appelé électrolyte.
- A la charge, les électrodes sont mises en communication avec une source extérieure d’électricité; par suite d'un phénomène d’élec-trolvse, il s'emmagasine ainsi, à l’état latent, une certaine quantité d’énergie électrique, que l’on fient, récupérer ensuite, en reliant les deux électrodes aux appareils d'utilisation.
- Au point do vue théorique, on distingue d'une part les accumulateurs plomb-plomb, ainsi nommé parce que les deux électrodes sont à base de plomb, et d'autre part les accumulateurs sans plomb (voir plus bas ce mot) (fui font l'objet d’incessantes recherches sur les imperfections notables des premiers.
- — Types. — La grande famille des accumulateurs se divise en deux classes : les éléments dits Planté elles éléments dits à oxyuc rapporté.
- I
- Hussenot « Raynaud
- FOURNITURES GÉNÉRALES .. ,..y..:;.„-po«ir .Automobiles •
- Voir aux: Annonces.
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- Accumulateurs Piaulé. — Appelées du nom de l'inventeur. Leur formation est faite directement par oxydation du plomb ordinaire. Les caractéristiques essentielles des éléments Planté sont d'étre 1res lourds, mais d'avoir une très longue durée, c'est-à-dire un entretien relativement peu coûteux, lin outre, leur résistance intérieure est faible, ce qui permet leur charge rapide, en moins d’une heure par exemple, ce qui peut rendre de très grands services dans la pratique de rélectromobilc.
- Do plus en plus les constructeurs tournent leurs efforts vers le Planté léger qui constitue l’élément de traction le plus parfait.
- Accumulateurs à oxyde rapporté. — encore appelés « à pastille »; tirent leur nom du fait qu'ils sont constitués par une « grille » rigide en plomb anlimonié, sur laquelle est rapportée une pâte de minium et lit barge qui en constitue la « matière active ». Ces accumulateurs sont beaucoup plus légers que les précédents, c'est-à-dire que leur capacité rapportée au kilogramme est plus grande,mais leur durée est beaucoup plus limitée, ce qui rend leur entretien coûteux. Il est rare qu’une plaque positive de ce genre supporte plus de îôo décharges aux conditions ordinaires de la pratique.
- La tendance actuelle paraît être de réserver ce type d’élément, pour les décharges très lentes (allumage) où ils conviennent très bien.
- Dans cette catégorie très nombreuse, nous citerons l'un des plus réputés, le llemz.
- — Théorie. — Les savants ne sont pas d’accord sur la théorie à appliquer aux accumulateurs. Cependant on peut admettre que les phénomènes suivants se passent pendant la charge et la décharge :
- Charge. —- L'eau acidulée est, décomposée par le courant en oxygène et hydrogène. L’oxygène se porte* sur la positive et peroxyde la plaque (couleur brun chocolat ) ; l’hydrogène, au contraire, se porto sur la négative où il réduit les oxydes ou sulfates à l'état de plomb métallique (couleur gris foncé). Quand tous les phénomènes des électrodes ont pris fin, les gaz, n’ayant plus rien à oxyder ou à réduire, se dégagent purement et simplement : le liquide bouillonne et l’on voit par là que la charge est terminée.
- Décharge. — Les réactions inverses des précédentes ont lieu ; elles sont accompagnées d’un courant électrique, le courant utilisable.
- — Constantes. — Les constantes d'un accumulateur , qu'il importe de connaître, sont : le poids d'un élément ; la capacité en ampères-heure par kilogramme de poids total pour une durée de décharge donnée : Yénergie en watts-heure dans les memes conditions ; le voltage moyen pour celte meme durée de décharge ; le débit en ampères correspondant à cette décharge; le rendement en quantité
- (ampères-heure) et en énergie I watts-heure) ; la résistance intérieure moyenne.
- On peut en spécifier d'autres, mais ce sont là les plus essentielles, dont chacune a son utilité au point de vue de rélectromobilc. Le poids permettra d'estimer le poids mort dû à la batterie; la capacité, la durée do marche aux divers débits: l'énergie, le nombre de kilomètres qu'il est possible do couvrir; le voltage, le nombre d'éléments à mettre en série pour alimenter un moteur do voltage donné; le débit, le courant maximum qu’il est possible de demander à la batterie; le rendement,, la quantité d'énergie nécessaire pour charger la batterie, et par suite le coût de charge; enfin la résistance intérieure, qui doit être le plus faible possible, indique si la batterie pourra subir une charge rapide (•j.o à 3o minutes) ou si au contraire on devra la charger en 5 ou 6 heures.
- — Electrodes. Les électrodes d'un accumulateur ne sont pas autre chose ([ue les « plaques ». Techniquement, la positive, celle sur laquelle se forme le peroxyde, sc dénomme « anode » ; la négative s’appelle « cathode ». Il est tri-s facile de distinguer les électrodes d'un accumulateur par leur couleur : la positive est d'une belle couleur brun chocolat, alors que la négative est d’un gris mat plus ou moins clair.
- Au point de vue forme, ou distingue les accumulateurs « à plaques » qui sont, les plus nombreux, et les accumulateurs à électrodes « cylindriques ». Ceux-ci ont été imaginés pour éviter les gondolements que subissent presque toujours les plaques et. qui aboutissent à un court-circuit, c'est-à-dire à une mise hors service de l'élément.
- — Électrolyte. -- On appelle électrolyte d’un accumulateur, le liquide qu’il contient; dans l'accumulateur au plomb, cet électrolyte est, constitué par une solution d’acide sulfurique étendu, marquant 22° Bau-mé. O11 emploie quelquefois do l’acide à 2.5", ce qui élève de quelques centièmes le voltage moyen à la décharge ; mais cette pratique est. à rejeter absolument, car elle favorise la sulfatation de l’élément. L’acide employé doit cire exempt de toutes impuretés, notamment, de fer et d’arsenic.
- Electrolyte immobilisé. — Pour éviter les projections d'acide hors du bac des éléments transportables, on procède à une « immobilisation » qui s'obtient en imprégnant d’acide une substance inerte et, poreuse. La silice gélatineuse. qui s’obtient par précipitation du silicate de soude liquide par l'acide sulfurique, est la matière idéale; on a proposé aussi l'amiante, la laine de verre, la pierre-ponce, la cellulose, l'albumine, les acides gras, le parchemin, etc.
- L’avantage de l'immobilisation ne s’acquiert (pic par divers inconvénients : notamment une diminution de capacité de 20 pour cent au
- BOUGIE MICA (ff
- SPÉCIALE POUR MAGNETO
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- moins et une augmentation de résistance intérieure, laquelle est doublée. Pour cette raison, on a immobilisé seulement les petits éléments à décharge très lente (allumage) et jamais les éléments de traction.
- — Formation. — On entend par formation d'un accumulateur la période de fabrication durant, laquelle il est soumis a un traitement spécial, dont le but est de lui donner la (( capacité » qu'il doit posséder normalement.
- - Capacité. — La capacité est la quantité d'électricité en ampères-heure (voir ce mot) que l’on peut retirer d'un accumulateur en le déchargeant. Pour comparer la valeur de deux accumulateurs, il faut considérer non pas leur capacité totale, mais bien la capacité spécifique, c’est-à-dire ramenée à une unité choisie. En général, cett e unité est le décimètre carré delà positive ; mais cette règle peut prêter à confusion et ne s'applique pas lorsque l'électrode est, par exemple, cylindrique.
- Il est plus commode, et aussi plus intéressant au point de vue automobile, de rapporter la capacité au kilogramme de poids total d’élément.
- - Rendement. — Le rendement, est le rapport de la somme d’électricité que l'on peut retirer à la décharge, à la somme d’électricité qu'il a fallu fournir à la charge.
- On distingue deux rendements : le rende-ment en quantité, (pu est le rapport du nombre d’ampèrcs-bcurc fournis au nombre d’ampères-lieurc recueillis ; et le rendement en énergie, qui est le rapport de l’énergie lotale fournie (en watts-heure) à l’énergie totale recueillie (en watts-heure).
- Le rendement en quantité varie entre ôo-8o °/0 ; mais, en pratique, il est rarement supérieur à 70 °/0. Le rendement en énergie, le plus important, 11c dépasse jamais, pratiquement, 5o à 60 % ; pour les accumulateurs à électrolyte alcalin, il peut même s’abaisser « .'10 %.
- - Entretien. — Une batterie doit être soigneusement entretenue si l’on* veut qu'elle ait une durée à peu près normale. Cet. entretien consiste d’abord à 11e pas faire subir à la batterie des régimes de décharge ou de charge exagérés: ensuite à la surveiller régulièrement, et périodiquement. Cette surveillance doit porter sur l'électrolyte, sur les plaques et enfin sur le voltage. —Voir pour tous ces renseignements l'ouvrage de Baudry de Saunier : Recettes du Chauffeur.
- - Accumulateurs mixtes. — Le mot, vraiscmbablcment, a été inventé par M. Gom-melin, pour le bénéfice de sa pile mixte au cadmium. Cet appareil tient,, en effet, de l’accumulateur par le fait que l'on peut changer la positive, qui 11e diffère en rien des positives ordinaires, et, d'autre part, il tient de la pile par le fait que la négative est con-
- stituée par un morceau de cadmium qui se dissout en libérant du courant électrique utilisable tant que le morceau de cadmium 11’est pas entièrement dissous. C’est là, soit dit en passant, une façon élégante de (( doser y> l'électricité : suivant que l’on aura besoin d'une quantité d’énergie plus ou moins grande, on mettra un morceau de cadmium plus ou moins gros.
- — Accumulateurs Commelix, Yiàu et Ci#, /|5, rue de Levis, Paris.
- — Accumulateurs secs. — On désigne généralement sous ce nom les accumulateurs dont l’électrolyte a été immobilisé dans le but d’éviter les projections de liquide hors du bac. L'immobilisation 11c s'obtenant qu’aux dépens de certaines qualités de l’accumulateur, on ne l'applique guère qu’aux petits éléments : piles ou accus d'allumage notamment.
- — Accumulateurs à gaz. — Leur principe dérive de la pile réversible de Grove. Si l'on électrolyse de l’eau acidulée, celle-ci est décomposée en oxygène O et hydrogène H ; c’est le phénomène de la charge. Si ensuite l’on réunit les deux bornes a et h do l’accumulateur, il y aura décharge, les deux gaz se recombincront et l’eau sera régénérée.
- Ces accumulateurs,
- 11c présentent jusqu’ici qu'un intérêt théorique
- — Accumulateurs sans plomb (Edison).— Parmi tous les essais tentés jusqu’ici, un seul type d'accumulateur, l’élément au nickel, est entré dans la pratique. L’Américain bien connu Edison et le Suédois, moins connu, Jungner, ont inventé, chacun de leur côté, un accumulateur en tous points semblable. L’accumulateur au nickel se compose : d'une électrode en fer, d’une en oxyde de nickel et d'un électrolyte de potasse caustique en solution.
- On peut résumer comme suit, par rapport aux éléments ordinaires au plomb, les caractéristiques de l'élément au nickel :
- Avantages. — Faculté de charge et décharge très rapides sans risque d’aucune détérioration. Décharge à fond (jusqu'à zéro si l'on veut), sans inconvénient analogue à la sulfatation. Puissance spécifique en watts-heure à peu près égale à eello de l’élément en plomb, mais constante à tous les régimes de décharge. Durée des plaques très considérable.
- Inconvénients. — Voltage de décharge assez faible (1,1 volt), nécessitant un plus grand nombre d'éléments par batterie. Ren-
- ACCUMULATEURS “HEINZ
- 27, rue Cavé, LEVALLOIS (Seine) !*
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- dcment faible f5o,0/oJ. Coût (radiai jusqu’ici très élevé.
- Accumulateurs :
- — B. G. S., M/|, rue Pierrel, Neuilly. COMMELIN, VlAU ET Cio, /(O, HIC de Lév’lS,
- Paris.
- — Heinz et Cie, 23, rue Cavé, à Lcvallois-Pcrrel (Seine).
- — Heniuquk, t\ 1, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — llussKNOT et Raynaud, 3<j, rue La Boétie, Paris.
- — Miedk et 0% Go, rue Dcsrenaudes, Paris.
- ACE (Motor Engineering Works), garage, à Tcnby (Angleterre).
- ACÉTATE DE CUIVRE. — Sel formé par la combinaison de l’acide acétique et du ! cuivre. On connaît différents acétates plus ou j moins riches en cuivre. L'acétate de cuivre j bibasique, ou verl-de-gris, est utilisé pour le j bronzage.
- ACÉTATE DE PLOMB. — Sel formé par la combinaison de l’acide acétique et du ; plomb. L’acétate de plomb peut, contenir des ; proportions plus ou moins grandes de plomb. Parmi les acétates très riches en plomb, dits acétates boriques, nous citerons la préparation pharmaceutique dénommée Extrait de Saturne. L'eau blanche est obtenue en versant 10 à do grammes d'extrait de Saturne dans un litre d’eau ordinaire. 1
- ACÉTATE DE SODIUM. — Sel formé | par la combinaison de l’acide acétique avec le ! sodium ; se présente sous la forme de cris- * taux blancs neigeux : (formule C-lUO-Na
- 1- 311*0). L’acétate de soude fond dans son eau de cristallisation (311-0) sous l'influence d'une faible élévation de température. Ce passage de l'état solide à l'état liquide absorbe une grande quantité de chaleur. Cette quantité de chaleur est restituée et libérée au moment où la solution reprend la forme cristalline. D’après ces phénomènes, l'acétate de soude est utilisé pour emplir des chaufferettes étanches utilisées en automobilisme. C'est en réalité un accumulateur de calories. Dans certains systèmes on utilise l'hydrate de baryte, au lieu de l'acétate de soude; les phénomènes calorifiques sont analogues.
- ACÉTONE (CIP. CO. CIP). — D'une manière générale, on appelle acétones les aldéhydes des alcools secondaires dont ils dérivent.
- CIP-CIL 01I-C1P -f 0 CIP-C0-C1P -f 1I20
- alcool propylique acétone :
- secondaire ordinaire l
- L'acétone ordinaire correspond, comme le ! montre l'équation ci-dessus, a l'alcool propy- I lique secondaire. Il se produit dans la distillation sèche d'un grand nombre de matières | organiques, bois, sucre, etc. C’est un liquide |
- incolore, d'odeur éthérée. Densité 0,81. Point d’ébullition 5G°; soluble dans l'eau, l’alcool, l’éther. Dissout les corps gras, les résines, le celluloïd. Dissout 24 fois son volume d’acétylène. Brûle avec une flamme bleue en donnant de l’acide acétique.
- L’industrie automobile met Y acétone ii contribution ; 4° Comme dissolvant de l’acétylène sous pression (procédés Claude et Hess), destiné : a) à l’éclairage îles phares d’automobile ; b) à certains travaux de soudure autogène ( chalumeau oxyacétylénique ) ;
- 2° Comme dissolvant du celluloïd, pour coller et mastiquer les bacs d’accumulateurs ; 3° Comme agent de carburation dans les moteurs à explosions.
- ACÉTYLÈNE iCm*). — L'acétylène est un carbure d'hydrogène. Gaz incolore, d’une odeur alliacée, légère lorsqu’il est pur. Sa densité est de 0,92. 11 est très soluble dans l’acétone. On le prépare très-simplement en versant de l’eau sur des morceaux de carbure de calcium, procédé appliqué dans les phares d’automobiles par des moyens très variables.
- L’acétylène donne, en brûlant, un éclairage extrêmement brillant, si on a le soin de le faire brûler sous une certaine pression dans des becs de très petite ouverture. Le plus souvent, ces becs portent des ajutages convergents (pii forcent les deux jets de gaz à se rencontrer et à s’étaler sous forme d’un large pinceau pial, qui est très lumineux par suite de la grande surface d’air avec lequel il se trouve ainsi en contact, dispositif nécessaire pourempecher la flamme d’etre fumeuse. Les résultats de sa combustion à l’air sont de l’eau et de l’anhydride carbonique.
- Une cartouche de fulminate, qui détone au milieu de l’acétylène, le décompose instantanément en hydrogène et en carbone amorphe., en produisant une violente explosion accompagnée d’une grande flamme. U11 mélange de deux volumes d’acétylène et de cinq volumes d'oxygène forme un explosif beaucoup plus violent encore.
- L’acétylène a été découvert par Ed. Davy. La synthèse en a été faite par M. Berthelet. Ce gaz a des effets physiologiques comparables à ceux de l'acide carbonique; il est donc beaucoup moins toxique que l’oxyde de carbone.
- Les canalisations pour l'acétylène doivent être en fer, plomb ou laiton, ou en caoutchouc, à l’exclusion du cuivre rouge qui forme aven l’acétylène un composé explosif. —-Voir Acétone, Carbure de calcium, Phares.
- — Acétylène dissous. — L’acétylène dissous dans l’acétone est employé en automobile pour l’éclairage des phares, par la maison Alpha. Cette maison emploie le procédé de MM. Claude et Hess qui, ayant fait dissoudre l’acétylène dans l'acétone, l’enferment sous pression dans un récipient en acier où
- f Signaux indicateurs lumineux
- L
- pour
- VOITURES AUTOMOBILES
- MILDE
- 60, rue Desrenaudes, 60 PARIS (Av. Niel)
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- A C E
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- il est emprisonné dans une matière poreuse ; il peut être alors considéré comme formant un ensemble inexplosible. — De cette bouteille d’acier, le gaz acétylène se rend aux phares, après avoir passé par un détendeur automatique ; un simple robinet règle le tout. Par conséquent il y a là suppression de toute manipulation et de tout danger. Ce procédé a l’avantage d’etre très propre ; mais, malheureusement, une fois la bouteille épuisée, le chauffeur n’a plus qu’à la remplacer ou à... rager... s’il se trouve loin d’un des dépôts fondés par la maison Boas, Rodrigues et Cio. Aussi faut-il avoir une installation mixte, c’est-à-dire capable de fournir un gaz provenant tantôt d’un générateur, tantôt d'une bouteille d’acétylène dissous. La maison ci-dessus mentionnée vend, du reste, dans une boîte de forme peu encombrante et facile à placer sur un marchepied, un générateur, une bouteille d’acétylène dissous et un détendeur. — Voir Acétone et Dissolution des gaz.
- — Besnard, Maris et Antoine, Go, boulevard Beaumarchais, Paris.
- — Boas, Rodrigues et Cie, acétylène dissous. G7, boulevard de Oharonne, Paris.
- — Comxot, 8^, boulevard Gouvion-Saint-
- Gyr, Paris.
- —- Ducellier, 20, passage Dubail, Paris.
- — Mestre et Blatgk, 5, rue Brunei, Paris.
- — - Purrey, ai, boulevard J.-J.-Bosc, à Bordeaux (Gironde).
- ACÉTYLÈNE DISSOUS (C10 française de /’), 282, rue Saint-Jacques, Paris. Tél. 809-88. —Voir aussi Boas, Rodrigues et Ci0, Paris.
- ACÉTYLÈNE (Cle Universelle d'), soudure autogène des métaux, 30, rue de Châ-teaudun, Paris.
- ACÉTYLURE DE CALCIUM. — Nom
- donné parfois au carbure de calcium.
- A. C. F. — Abréviation de : Automobile Club de France.
- ACHAT d'une voiture. — Tout acheteur d'une automobile doit exiger du constructeur la copie du procès-verbal de réception du type, délivré par le service des Mines et portant le numéro du véhicule livré — et le certificat constatant le maximum de vitesse (lue la voiture peut faire en palier. — Si la voiture achetée a déjà été déclarée, l'acheteur exigera de son vendeur le récépissé de déclaration (carte grise), portant soit le numéro d’ordre, soit la mention (( néant » s'il s'agit d’une voiture 11e dépassant pas 3o kilomètres à l’heure.
- L’acheteur devra ensuite faire sa déclaration à la Préfecture du département de sa résidence, puis apposer sur sa voiture sa plaque d’identité, et, s'il y a lieu, le numéro d’ordre qui lui aura été attribué. — Voir Déclaration.
- Au cas où il n'aurait pu obtenir le certifie At de réception de sa voiture, l'acheteur pourrait en demander la réception au service des Mines au titre de véhicule isolé.
- Nous rappellerons à nos lecteurs que l’achat d’une voiture étant toujours une opération sérieuse (pour la bourse et même pour la vie), nous donnons gracieusement et impartialement, à tous ceux qui nous les demandent, les conseils de notre expérience. Cette recommandation n’a pour but que d’éviter à nos lecteurs un achat malheureux ou dangereux. Il leur suffira toujours, pour avoir réponse, d’écrire (joindre un timbre) à M. Baudry de Saunier, 20, rue Durct. Paris. Tél. (>76-02.
- ACHENBACH UND C'\ automobiles llexe. à Hambourg (Allemagne).
- ACIDE ACÉTIQUE (C^IDO?). — Acide ! organique résultant de l’oxydation complète-i de l’alcool ordinaire (alcool éthylique ou ! alcool de vin). Cette oxydation est la base de i la fabrication du vinaigre ((acétification).
- ; L’acide acétique s'obtient en distillant de l'acétate de sodium fondu avec de l'acide j sulfurique concentré. Dans l’industrie c’est un produit important, de la distillation des.
- 1 bois. Pur, c’est un liquide incolore à odeur et | saveur bien connues (vinaigre). Densité i,of>.
- Cristallise par refroidissement en lames trans-j parentes. Le mélange à l'eau 011 toutes pro-| portions brûle avec une flamme bleue.
- Dans les moteurs à explosions fonction-] liant, à l'alcool, 011 observe fréquemment la I présence de vapeur d’acide acétique dans les | gaz d'échappement. Celte présence est nuisible,
- ; l’acide acétique ayant une action corrosive, surtout en présence de l'air atmosphérique, sur le métal des soupapes (1er, acier, etc.).
- L’acide acétique, à son maximum déconcentration (vinaigre radical}, est utilisé dans la pharmacie portative de l'automobile, sous formelle “ Sels anglais ”. Cette préparation est du sulfate de potasse cristallisé (ou autre sel mixte, en l'espèce), agissant, comme support spongieux pour retenir par capillarité une quantité suffisante d’acide acétique concentré, dont les vapeurs acres et piquantes sont employées en cas de malaises, syncopes, etc.
- ACIDE BORIQUE. (BO;tIIn). — Acide résultant de la combinaison de l'anhydride | borique B-0:i avec trois molécules d’eau.
- ; L’anhydride borique est. lui-même le résultat,
- | de la combinaison du bore, corps simple mé-! lalloïdique, et de l’oxygène. L'anhydride a l'aspect du verre blanc et l'acide se présente i sous la forme bien connue de lamelles bril-i hautes (acide cristallisé) ou de paillettes na-j crées.
- j L’acide borique est employé dans la soudure,
- | la brasure, aux mêmes fins que le borax ou ! borate de sodium. - Voir Borax.
- ; ACIDE CARBONIQUE (CO*). —
- j L'anhydriquc carbonique est un gaz inco-
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- Concours do
- Tours, Lyon, Berlin.
- Phares b. r. c. alpha
- H0R5 CONCOURS
- PARIS 1900
- Liège 1905-ïfli\an 1906
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- lore, d'une odeur piquante, d'une saveur acidulée. On l'obtient en calcinant la pierVe à chaux ou carbonate de calcium, ou encore en l'attaquant, par un acide approprié tel (pie l'acide chlorhydrique :
- CaCrD + a 1 ICI -Ca(il2-f ICO-f CO2 libre.
- Sa densité est. de i,5a; un litre de gaz pèse 1,97 gr. 11 est ineomburant, incombustible et, impropre à la respiration. Dissous dans l'eau, où il est très soluble, il devient, sous forme d’un vulgaire siphon d’eau de Seltz, un très bon extincteur d'incendie. — Les gaz d'échappement, des moteurs contiennent une forte proportion d’acide carbonique. — Voir Gaz d'échappement.
- — Acide carbonique liquide. - Obtenu par compression et. par réfrigération de l'acide carbonique. Comprimé à 30 atmosphères, il se liquéfie à o° ; il suffit, à if>°, d’une pression de 00 atmosphères.
- ACIDE CHLORHYDRIQUE (IICl). —
- L'acide chlorhydrique ou acide muriatique est. un gaz incolore, d’une odeur piquante et d'une saveur très acide; sa densité est de 1,34. Il est ordinairement; employé sous forme de solution dans l’eau, qui eu dissout, 4<So fois son volume ; on l’appelle vulgairement espril-dc-sel.
- 11 est très employé pour le décapage cl. pour la soudure des métaux.—Voir Chlorure de Zinc et Soudure.
- ACIDE PICRIQUE. — Composé organique, obtenu par l’action de l’acide nitrique concentré sur l’acide phénique ou phénol, d’où sa désignation scientifique de Irinitro-pliénol.
- Cristallise en lamelles hrillant.es, de couleur jaune citron, soluble dans l’eau, dans l’alcool, etc. ; sans odeur. D'une saveur extraordinairement. amère (d’où son nom -i/.pcg, amer), fond à 132°. Chauffé brusquement, détone. Est très employé comme agent tinctorial jaune (1 gramme d’acide pierique colore 1 kilogramme de soie). Etant fondu, il constitue, un explosif de grande puissance, utilisé pour le chargement, des projectiles sous les désignations de : mélinitc, lyddite, etc.
- On a proposé de l'employer comme cxploso-moteur dans l'automobilisme, à l’état de dissolution, dans les alcools ou dans les essences de la carburation. Mais il donne lieu à des déflagrations brisantes.
- En solution aqueuse, est, extrêmement efficace' contre les brûlures. 11 calme la douleur et. hâte la cicatrisation. Doit être appliqué sous forme de compresse ou de bain local, immédiatement. après l'accident.
- ACIDE SULFURIQUE (synon: Huile de vitriol, vitriol, etc.). — Acide résultant de la combinaison du soufre et de l'oxygène uni j •à l’eau; formule chimique SOHI-: à la densité J de (>f>° Baume, constitue une des bases fonda- |
- mentales de l’industrie humaine. En ce qui concerne l’automobilisme, il est utilisé directement ou indirectement pour le raffinage des pétroles (essences de carburateur, huiles à graisser); la fabrication du fulmi-coton (celluloïds, pégamoïds), des cuirs ; l’affinage des métaux, etc. Est utilisé par l’automobilisme pour constituer le liquide électrolytique des accumulateurs d’allumage et entre dans la composition des liquides excitateurs des piles do mise en charge (solution d’eau acidulée, chromique, etc.). J S acide sulfurique est un liquide incolore, inodore, d’une consistance oléagineuse. O11 ne doit se servir pour les accumulateurs que de l'acide sulfurique E. A. dit « au soufre », exempt, d’arsenic, mieux encore, de l’acide « chimiquement, pur ». — Voir Eau acidulée.
- ACIER. — L acier est le résultat, do la combinaison du fer et, du carbone dans une proportion deo,oo.r»ùo,oi5 environ, c’est-à-dire beaucoup moins forte (pie dans la fonte de fer. Il fond aux environs de 1 4oo°. L’acier est donc du « fer carburé » ou de la « fonte décarburéc ».
- Ce carbure de fer était très employé autrefois sous forme d’ « acier doux », presque pur, à très faible loueur en carbone. Sa dureté naturelle, n'étant pas suffisante, était augmentée soit par la trempe, soit par la cémentation (voir ces mots), qui, malgré leurs nombreux avantages, offraient l’inconvénient de donner le plus souvent une structure cristalline aux fibres longues qui forment, la principale qualité du 1er : la dureté était augmentée, mais au détriment de la résistance.
- De longues recherches furent entreprises; on essaya avec, succès d’allier à l’acier, dans de faibles proportions, (les métaux tels que le chrême, le nickel, le tungstène, etc. Ce léger appoint de métaux étrangers permit d’obtenir des aciers nouveaux, ou plutôt des alliages qui offrent, en même temps qu'une extrême dureté, une très grande résistance à l’allongement, à l'écrasement, à la torsion, etc... et, cela, pour ainsi dire, dans les proportions désirées pour tel ou tel emploi.
- L’acte»’, comme le fer, se différencie très nettement de la fonte ; car cette dernière contient beaucoup plus d’éléments étrangers au fer pur et est beaucoup moins malléable. Mais il est. plus difficile de s’entendre sur ce qu’il faut appeler fer, d’une part, et, acier, d’autre part . On peut donner de l'acier cette définit ion simplifiée: une substance métallique qui, durcissant sensiblement sous l’action rie la trempe, est composée de fer pur et de carbone (ce dernier en quantité très minime).
- O11 peut, obtenir de l’acier: i° en enlevant à la fonte une partie seulement de son carbone ; a0 en ajoutant au fer une quantité convenable de carbone.
- L’acier renferme moins de carbone, d’azote et de silicium que la fonte ; il contient ces
- 1 CHASSIS ARBÉL~|
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- produits en plus grande proportion que le 1er.
- La fabrication de l'acier est, presque aussi ancienne que celle du fer. Les procédés de production sont, très nombreux ; maison peut les ramener aujourd'hui à trois types qui sont : La cémentation ; le procédé llessemer cl le procédé Martin.
- I. ('émentation. — L'acier cémenté ou de ca rburation, appelé aussi acier poule, est obtenu par la méthode suivante. Dans une caisse faite de briques réfractaires, on place des couches superposées de cément et, de barres de fer. Le cément, se compose de charbon de bois dur pulvérisé mêlé à ijio de son poids de cendre et d’ur. peu de sel marin. Au-dessus de la dernière couche, on place du sable quartzeux, sur une hauteur de i5 centimètres environ. On chaulle la caisse au rouge pendant une semaine à peu près ; puis on laisse refroidir lentement. L’acier ainsi obtenu a peu d'homogénéité,’: la surface des barres est déjà devenue de l’acier, tandis que l'intérieur est resté à l'état de fer doux. Les inégalités sont corrigées par le corroyaqe (Voir ce mot).
- II. Procédé liessemer. — Dans ce cas, le traitement a lieu de deux manières différentes, sent par le procédé acide, soit par le procédé basique. Mais, quel que soit le procédé usité, on emploie la méthode de la déearlmration de la fonte par l’oxygène de l'air.
- L'affinage de la fonte par ce procédé consiste : à brûler les différents minéraux qui accompagnent le fer (silicium, etc.) par un courant d’air, jusqu'à la formation d’un métal fondu, chargé d’oxygène, que l'on recarburc et. que l'on désoxyde ensuite pur une addition de manganèse. L’appareil employé consiste dans une cornue en forme d’œuf, appelée convertisseur : il est en tôle, garni intérieurement do terre réfractaire ; placé sur deux tourillons latéraux, il peut être basculé à volonté ; à la partie supérieure, une large gueule permet, de verser la fonte en fusion au sortir du liant fourneau ; à la partie inférieure, une série de tuyères en terre réfractaire sont destinées à l'injection de l'air. Avant l'arrivée du métal en fusion, le convertisseur est porté intérieurement à une liante température par l'introduction de coke incandescent, dont on active la combustion par les souffleries. On renverse ensuite l’appareil pour vider le coke, on le redresse et on introduit la fonte liquide. On met alors la soufflerie en action, en donnant une pression, mesurée par une colonne d’eau, équivalente à sept fois environ la colonne du métal. Enfin, à un moment donné de l'opération, on introduit le manganèse mélangé à 700/0 de fonte.
- Les scories provenant, de cette fabrication, riches en phosphates, sont employées pour l'agriculture.
- III. Procédé Martin-Siémens. —Ce procédé porte le nom des deux savants qui ont. réussi à le rendre pratique industriellement : le premier a créé le four à réverbère qui est si connu;
- le second a inventé le puissant procédé de chauffage au gaz qui complète l’appareil.
- L’opération consiste à décarburer en partie la fonte, en l'additionnant de 1er ductile. Le procédé a ce grand avantage qu'il permet d’obtenir à volonté des aciers exlra-doux ou demi-doux, d'une qualité très régulière.
- — Acier chromé. —Le chrême, mélangé au carbone en proportion convenable, donne à l'acier une supériorité marquée ; mais, ce corps simple 11e se trouvant pas à l'état, pur, c’est du ferro-chrôme ou de la fonte chromée qu’011 mélange à l'acier.
- L'acier chromé, tout en présentant la résistance d'un acier dur, est, sensiblement moins cassant qu'un acier de meme dureté simplement carburé; sa limite d’élasticité est presque double de celle des autres aciers; sa résistance à la rupture et au choc est considérable. N'étant pas trempé, l’acier chromé est en général très difficile à casser avec une masse, après qu'on l’a entaillé à la lime. 11 présente une cassure très nerveuse. Trempé à une température convenable, il prend un grain très fin; mais s'il est chauffé trop loin, la cristallisation s'augmente et il perd de sa solidité.
- L’acier chromé, inventé en 1870, en France, peut être employé mémo sans être trempé. 11 renferme ordinairement de o,5 à 3 0/0 de chrome.
- — Acier naturel, Acier de forge ou Fer aciéreux. — Cette sorte d’acier date de plusieurs siècles; il est obtenu dans les forges catalanes, ou bien par la décarburation partielle de la fonte. Ce procédé, qui ne donne qu'un acier manquant d’homogénéité, est de plus en plus délaissé.
- - Acier damassé. —- L'acier damassé n’est ipie de l'acier où le carbone n’est pas réparti d'une manière uniforme. Plongé dans l'acide sulfurique, le vinaigre, la bière, le jus de citron ou le sulfate de 1er alumineux, il met à nu le carbone de sa surface et prend l’aspect, caractéristique qui lui vaut son nom.
- •— Acier-nickel. — Inventé en même temps en France et, en Angleterre. C’est, surtout, lorsqu'il est associé lui-même au chrome, l’acier le plus précieux que l’on connaisse actuellement : il forme un véritable alliage très homogène, très aisé à combiner; il contient ordinairement de 1 à (i 0/0 de nickel. Beaucoup plus dur que l’acier ordinaire, il durcit, encore davantage lorsqu’on le trempe ; il se fond facilement, et offre relativement peu de prise à l’oxydation. O11 le nomme parfois fer météorique.
- Cet acier, très nerveux, résiste fort bien au choc et à la llcxion ; malgré son prix plus élevé, sou emploi est actuellement considéré comme à peu près obligatoire dans la fabrication des pièces d’automobiles, telles qu’es-
- té HmeTh« BOTIAUX CARR0SSER,ES AUTOMOBILES
- MÉDAILLE D’OR : Exposition Universelle de Saint-Louis, U. S. A. — * «<KV*i.i.ois (Soi..o)
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- sieux ou bielles de direction dont la rupture brusque constituerait un terrible danger incessant, ou telles que les vilebrequins, les clapets, les dents d’engrenages, etc...
- Sa résistance à la traction peut atteindre jusqu’à i/jo kilogrammes par millimètre carré; elle est donc environ de iü à 20 lois plus grande que celle do l'acier ordinaire. — Voir Fer, Fonte.
- Les Forges de Douai (voir ce moli fabriquent 1’aeier au nickel sous toutes ses formes.
- - Acier de cuivre. — L’acier de cuivre est, nu alliage très dur, cassant, et blanc comme le bismuth, contenant 12 0/0 de silicium ; il s’obtient, en fondant ensemble trois parties de lluosilicate de potasse, une partie de sodium et une partie de cuivre en tournure, à une température amenant le bain métallique à se recouvrir d'une scorie très liquide.
- Un autre acier de cuivre, contenant 4,8 0/0 de silicium, possédé une couleur de bronze clair. Il est dur et se comporte exactement comme le fer, au tour et sous la lime; il n'enerasse pas celle dernière comme le bronze ordinaire. La ductilité en est, excellente et les fils ont une ténacité égale à ceux en fer.
- Acier au tungstène. —Eu mélangeant l'acier au tungstène, métal très dur, dans la proportion de d 0 0, on obtient un produit possédant une résistance exceptionnelle, très tenace, et entamant, l’acier trempé ordinaire. L’acier au tungstène peut être employé avec avantage à la confection des outils de tour et d’ajustage, spécialement pour travailler des matières dures.
- — Blanc ht C1c, rue Barrouin, le Marais, Saint-Etienne (Loire).
- --- Caplain-Beugeu et Ci0, 8G. quai Jem-mapes, Paris.
- - - Veupilleux fuèhes, Forges de Lorette, à Lorette (Loire).
- ACIER DIAMANT (//). — Voir Gag te biparti Paris.
- ACIÉRATION. •— Mot employé quelquefois pour cémentation. Cette opération a pour but de carburer du fer, ou d’augmenter la carburation de l'acier.
- ACIÉRIES DE FRANCE (Les), pièces de fonderie, Gy, rue Caumarlin, Paris. Tél. 29G-5G.
- ACIÉRIES DE GRENELLE (Les),
- pièces de fonderie, 5G, rue Lonrmel, Paris.
- ACOUSTIQUE (Porte-Voix). Instrument qui, dans une voiture, est, lixé à portée de l’oreille du mécanicien et, qui permet au maitro de lui donner des ordres sans qu'il ait besoin de descendre la glace de séparation.
- ACKER. graisses consistantes, y, rue du Bac, à Ivry-Port. (Seine). Tél. 802-yo.
- ACMÉ (moteurs). — Voir Gtarnzer et Perreaud, Paris.
- ACME MOTOR CAR C°, fabrique d automobiles, a Bcadiug (Pcnsylvanie), Etats-Unis.
- ACRE RUBBER C°, fabrique de pneumatiques. u8. lligh Street. Slial'tesburg Avenue, à Londres (Angleterre).
- A. D. (Huile minérale). —Voir Deutsch 1Les Fils de A.), Paris.
- ADAMS COMPANY, fabrique d’automobiles A d aim-Fa no-fil, iâ.'IG, Michigan Avenue, à Chicago (Etats-Unis).
- ADAMS (Criest. — Voir Viguié (E.t. Paris.
- ADAMS MFG- C'!, fabrique d'automobiles, 1 /|y, Qucen Victoria Street, à Londres (Angleterre).
- ADDOR et Ci0, commerce d'automobiles, à Couvaloup, Lausanne (Suisse).
- ADELMORA Liciers d'), Gi, boulevard de Sébastopol, Paris.
- ADER (Société des Automobiles), l\oter, avenue de Sull’ren, Paris. Tél. yai-ijo. — Les premières voitures Ader furent construites dès 1899 par la Société Industrielle des Téléphones, qui a cédé cette branche de son industrie à une Société concessionnaire créée en i()o/| sous le nom de Société des Automobiles Ader. — Le conseil d’administration est composé de : M. Pli. de Ricliemond, président; MM. Henri Courcello, André Davioud, F. Meyer Warnod.
- La Société des Automobiles Ader construit en igoy des voilures automobiles de iG à Go chevaux. L’usinage est fait, en grande part ie >ar la maison Weylicr et Ricliemond. Ce sont à des voitures de qualité à des prix modestes. Les voilures de cette marque ont. d’ailleurs été lauréates dans de nombreux concours, parmi lesquels : le Concours de consommation 1902, la Coupe de régularité Paris-Madrid (y partants et y arrivées), G prix-au Meetiiijg de Monaco, etc. .
- Caractéristiques des automobiles Ader pour 41)07 ; moteur à quatre cylindres indépendants ; soupapes commandées. Allumage par magnéto à bougies. Carburateur automatique à réchauffage par circulation d’eau. Embrayage à friction. Châssis en tôle d’acier emboutie1.
- ADHÉRENCE. — L'adhérence de deux corps est la force de frottement développée par leur contact et s'opposant, à leur déplacement relatif; L'adhérence est délinie par le coefficient, de frottement. C’est le frottement correspondant à la pression normale unité. En le désignant par /’. et par P la pression
- SOCIETE DES ANCIENS ÉTABLISSEMENTS ADER, Ltd
- •Æ, VOITURES 4 CYLINDRES VERTICAUX T®7
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- normale, ou exprime la force de frottement Q par la formule :
- Q =P f.
- Le frottement ne dépend doue que du coefficient /* et de la charge normale P. Il est indépendant de la surface de frottement. Dans le cas d’organes de machines devant glisser l'un sur l'autre, on ne donne un grand développement, aux surfaces frottantes qu’en vue de réduire l’usure. Une remarque s’impose au sujet, du frottement circulaire des tourillons de machines, arbres de moteurs, qui sont indépendants de la surface de frottement, il est vrai, mais donnent lieu à un couple résistant d’autant plus grand que le diamètre de l’arbre est plus fort. Il y a donc lieu de réduire ce diamètre à la limite imposée par la résistance et d’obtenir la surface voulue par un allongement de la portée.
- TiCS coefficients de frottement s’appliquant, aux tourillons et aux organes glissants en fonte, en fer ou en acier, varient de 0,07 à 0,1 pour un graissage ordinaire, et de o,o35 à o,o55 pour un graissage continu. Les valeurs minima se rapportent à l'acier poli frottant sur bronze dur et à la fonte bien glacée. Les tourillons en fer présentent des cendrures nécessitant un graissage abondant, et s’opposant à la perfection du poli.
- Pour des freins métalliques, 011 peut prendre en toute sécurité f = 0,2 (bronze sur fonte à sec et en mouvement) et f — o,3 1 fonte sur fonte dans les mêmes conditions) de préférence Joute tendre sur fonte dure. Le frottement diminue quand la vitesse augmente, et dans une proportion qui est loin d’être négligeable, contrairement à l’opinion généralement admise. Ainsi l’effort de freinage d’un train est, aux vitesses de 100 à 120 km.-b., égal «à la moitié de l’effort obtenu à la vitesse réduite de 3a km.-b. pour la même pression des sabots de frein.
- L’adhérence des bandages pneumatiques au sol diminue probablement beaucoup quand la vitesse de la voiture croît. M. Àrnoux a trouvé pour une vitesse de j m.-sec. environ les chiffres suivants :
- Dans le plan Perpendiculairement des roues. à ce plan.
- Sur une roule normale. Sur bitume ou ciment
- sec................
- Sur bitume ou ciment
- mouillé............
- Sur bitume ou ciment couvert d’argile délayée ................
- Sur bitume ou ciment couvert d’argile très visqueuse.............
- — Adhérence des à enroulement. — L roie ou lame de frein si quilibrer une force r\\ t
- o,0" o,03
- o,"i5 o,or>o
- 0,810 0,720
- 0,170 o,i/jo
- o, 0O2 0.0O1
- courroies et freins 'adhérence de.la courir la poulie permet d'é-qipliquéc à une extré-
- mité par une force T2 beaucoup plus petite appliquée à l’autre extrémité. Ces deux forces sont liées par la formule
- Tj__ /°
- Ts —
- dans laquelle / — base des logarithmes népériens, f coefficient de frottement, et 0 anglo d’enroulement en fonction du rayon.
- Dans le cas d’une courroie, l’effort tangen-t ici utile égale Tt — T2.
- La fonction / /*0 étant exponentielle, il y a très grand avantage à augmenter l’arc d’enroulement 0 le plus possible.
- L’adhérence joue le premier rôle dans les problèmes d’embrayage.
- AD HOC (P neumatiques). Voir Pas-
- sclac.
- ADIABATIQUE - — Ce nom a été donné par le professeur Rankinc à la situation d'un gaz ou mélange gazeux, qui ne petit ni qagner ni perdre de la chaleur.
- Supposons un gaz contenu dans un cylindre en matière absolument isolante thermiquement, et comprimé par un piston de meme matière, de telle sorte qu'il ne puisse y avoir aucun échange de chaleur, non seulement entre le gaz et, l'extérieur, mais aussi entre le gaz cl, la matière elle-même constituant le cylindre et le [liston. O11 dit, dans ces conditions, qu’il y a compression adiabatique; le cas opposé, celui où c'est le gaz qui agit sur le piston, est dit, détente adiabatique.
- Les gaz se dilatent, beaucoup quand leur température s’élève, de sorte que, sous la même pression, un plus grand volume correspond à une plus liante température ; il résulte donc de là que la compression produit une élévation de température, si la chaleur 11e peut s'échapper.
- Voilà pourquoi, lorsqu'on comprime un gaz, il y a production de chaleur, et, au contraire, lorsqu'il se détend, il y a absorption de chaleur, autrement dit, production de froid. — Voir Isotherme.
- A. D. L. iPha res). — Voir Dunkitl, à Londres.
- AD LAND MOTOR C°, vente d’automobiles Lambert, 900 AV. Madison Street, à Chicago (Etats-Unis).
- ADLER ET EISENSCHITZ, machines-outils, 3o, via Principe Umberto, à Milan (Italie).
- ADLER F AHRRAD WEREE VORM. HEINRICK KLEYER, àFranc-fort-sur-Mein (Allemagne). Ad.tél. Adlerwt r~ ke. Société anonyme, fondée en 1880,au capital de 4 000 000 de marks. — Automobiles, motocyclcs, cycles et machines à écrire.
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- MOYEU COMBINE
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- ADLER FAHRRADWERKE, ^vcnte d'automobiles Adler, 44i Warkgrafcnstrasse, à Berlin (Allemagne); 34- Georgstrassc, à Hanovre (Allemagne); iG, Tiibingerstrasse, à Stuttgart (Allemagne).
- ADMISSION. — Dans un moteur, à vapeur ou à explosion, on appelle admission l'introduction de vapeur ou de mélange dans le cylindre. Dans un moteur à vapeur, la course d'admission est la course motrice. Elle comporte généralement deux phases : l'introduction proprement dite qui dure pendant une IVarlion plus ou moins importante de la course ; et la détente de la vapeur qui commence à la fermeture de l'introduction, pour cesser à l’ouverture de l'échappement. L’ouverture et la fermeture des orifices d'admission sont assurées par les organes de distribution du moteur. — (Pour plus de détails, voir la brochure Eléments d'automobile (vapeur) par Baudry de Saunier.
- Dans nu moteur à explosions, la course d’admission est une course de travail passif, autrement dit une course résistante, puisque le piston doit aspirer le mélange tonnant, qui sera comprimé ensuite avant d'exploser. Dans les moteurs à explosions employés en automobile, l'admission utilise généralement toute la course. On varie la quantité de mélange aspiré par l'étranglement, du courant de gaz ou par la conservation d’un résidu de gaz brûlés. Dans les moteurs fixes, on supprime l’admission après une fraction de (‘ourse, exactement comme dans une machine à vapeur. Le mélange est alors détendu et repasse à la pression atmosphérique pour subir en course de retour la compression qui précède l’allumage. Les organes de distribution de ces moteurs ont une grande analogie avec ceux des moteurs à vapeur à soupapes.
- L’admission se fait au moyen de soupapes automatiques ou des modcomiques, c'est-à-dire commandées par le motcu ruu moyen d’une came. - Pour plus de détails, voir Aspiration.
- ADOLPHI (/i\), glaces pour automobiles, 8, rue St-Ferdinand, Paris. Tel.
- ADONAi-MARTIN ( Etablissements). — Voir Métalloptastie (La 1, Paris.
- ADOUE, garage, avenue d’Alsace, à Auch (Gers).
- ADRIAN vente d'automobiles, 20, IIoo-sikadé, à la Haye (Hollande).
- ADT (Etablissements), panneaux pour carrosserie, 45, rue do Turbigo, Paris. Tél. 102-.40.
- A. E.C. — Voir Allumeur Electro-Catalytique.
- AEOLUS, pièces détachées. — Voir Descamps, Paris.
- AEROCAR C °, fabrique d’automobiles, à Détroit (Michigan), Etats-Unis.
- AÉRO-CLUB DE FRANCE, Société d’encouragement à la locomotion aérienne, Siège : <V4, rue du Fuubourg-Saint-llonoré, Paris (Elysée). — Tel. : 27G-20. — h'Aéro-Club de France, qui réunit la plupart des personnalités sportives et scientifiques s'intéressant. aux progrès tle la locomotion aérienne, est aujourd'hui la plus importante association d’aéronautes.
- L’Annuaire iqoG contient. Goo noms de sociétaires payant une cotisation annuelle de Go francs, avec un premier droit d’entrée de 00 francs.
- Les pilotes de l'Aéro-Club de France (au j nombre de quatre-vingt) ont éxéculé, dans la seule année iqoo, 28S ascensions en ballons libres (dont iG5 au parc privé du Club), employant 230 Goo mètres cubes de gaz, enlevant 778 passagers et faisant un parcours total de 33 700 kilomètres en 1 2/19 heures.
- Depuis 1899, le total au ior janvier iqoG est de 1 207 ascensions libres, employant 1 33^()5o mètres cubes de gaz, et. enlevant 3 388 passagers. Les chiffres indiquent clairement la prospérité de l'Aéro-Glub de France et; la portée considérable de l'œuvre sportive et: scientifique entreprise par ses pilol.es.
- Les pilotes de l’Aéro-Glub de France détiennent ; hi record du monde de distance (comte llcnrv de La Vaulx) 1 920 kilomètres : le record français de la durée (comte H. de La Vaulx) !\ \ heures 5': le record français de l'altitude (Jacques Balsan) S55o mètres.
- Les membres de l’Aéro-Glub de France ont droit, à de nombreuxavantages, que le Comité, réuni chaque mois, s'emploie à multiplier.
- Au siège social : bibliothèque, salon de lecture et de correspondance, bureau de renseignements, téléphone, etc
- Au parc des Coteaux de Saint-Cloud ; matériel pour le gonflement des ballons, prise de gaz spéciale, vaste hangar pouvant abriter des ! ballons entièrement gonflés, pelouse de départ pour dix balhms, table d'orientation, [teste de secours du T. U F., garage automobile, emplacement pourlennis et croquet, salon de repos, réservé aux membres du Club; parc ouvert toute l'année.
- Banni les autres avantages offerts aux membres de l Aero-Club de France : service gratuit de la revue mensuelle illustrée L'Aérop/iîle, bulletin officiel consultant les procès-verbaux des réunions; invitation aux dîners du premier jeudi de chaque mois dans les salons de l'Automobile Club; conférences avec projections cinématographiques; participation au Salon annuel de l'Automobile et. des Sports; invitations aux nombreuses fêtes organisées chaque année par l'Aéro-Club au Parc et à Paris: concours de ballons, rallye-ballons avec automobiles, Grand-Prix de l’Aéro-Club de France. Concours du Figaro, Coupe aéronautique Gordon-Bennett, etc., etc.
- Pneus
- LE GAULOIS
- Établissements
- BERGOUGNAN et Cie
- à CLERSOKT-FERPtAKD (P.-dc-D.)
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- L’Aéro-Club de France organise, pendant la belle saison, des ascensions à prix réduits, réservées à ses membres, et loue à ses pilotes à des prix spéciaux ses (rois ballons : Aéro-Club n° 2 (i 5oo mètres cubes), Aéro-Club n° 3 (1200 mètres cubes), Aéro-Club n° 4 (5oo mètres cubes).
- Parmi les concours annoncés pour 1903; par l’Aéro-Club, nous citerons : Concours de photographie aérienne (Prix du Ministre de l'Instruction publique, Prix Jacques Balsan, 000 l*r., Prix de S. A. R. le prince Roland Bonaparte, 100 IV. ; Concours d’aviation 1 000 IV. ; Coupe Ernest Arehdeacon ; (irand Prix Deutsch-Arch-deacon, 00000 IV.; Coupe de distance du Gaulois ; Prix de durée Santos-Dumont, (4 000 fr.); Grand Prix de l’Aéro Club de France (1 000 IV.) ; Coupe Aéronautique Deutsch de la Meurtlie (20 000 IV. de prix, espèces et objets d’art), etc. Concours d'observations météorologiques ; nombreuses médailles décernées chaque année pour la distance, la durée, etc.
- Les Sociétés affiliées à l’Aéro-Club de France, pendant l'aimée 190O, étaient l'Académie Aéronautique (Paris), l’Aéro-Club du Sud-Ouest (Bordeaux), l'Aéronautique-Club (Paris), le Club-Aéronautique de l’Aube (Troyes), la Société française de Navigation aérienne (Paris).
- L’Aéro-Club de France régit en France le sport aérien et, accorde aux Sociétés qui lui sont affiliées un certain nombre (l'avantages et notamment la possibilité, pour leurs pilotes, de prendre part aux principaux concours de ballons.
- Le Conseil d'administration de l’Aéro-Club de France est ainsi composé :
- Président : M. L. P. Caillelct, membre de l'Institut.
- Vice-présidents : MM. le Comte Henry de La Vaulx, Henri Ménier, Jacques Balsan.
- Secrétaire général : M. Georges Besançon.
- Trésorier : M. le Comte Georges deCaslillon de Saint-Victor.
- Membres : MM. Abel Ballif, Jacques Faure, Deutsch de la Meurtlie, Léon Barthou, Joseph Vallot.
- Par une circulaire du Ministre de la Guerre, insérée au Bulletin Officiel, les officiers et. assimilés sont autorisés à faire partie de l’Aéro-Club de France.
- — Voir la liste des membres de VAéro-Club, à la Deuxième Partie de VAnnual.
- AÉRODROME. — E mplacement spécialement aménagé et outillé pour servir de garage et de terrain de départ ou d'évolutions à des appareils aériens quelconques. Ex. : l'aérodrome du Parc de FAéro-CIub de France aux coteaux de Saint-Cloud, l'aérodrome du dirigeable Lebaudy à Moisson. A noter que Langley a appelé <( aérodrome » sa machine volante ; mais le sens que nous indiquons a prévalu.
- AÉRONAT. — Ballon à moteur, sgn.: ballon automobile, ou ballon dirigeable* ou par abréviation, dirigeable.
- AÉRONAUTE. — Nom donné à celui qui exécute une ascension en ballon, et plus spécialement à la personne qui a la charge de la manœuvre.
- AÉRONAUTES DE PARIS (Société des), 170, rue Legendre, Paris.
- AERONAUTICA IT ALI AN A (So-delà), revue, J97, corso Umberto Ier, à Rome (Italie).
- AÉRONAUTIQUE - Science qui traite de la locomotion aérienne sous toutes ses formes et dans ses diverses applications.
- AÉRONAUTIQUE (L\ journal édité par Y Aéronautique-Club de France. — Revue illustrée d’aérostaüon, de météorologie et de photographie aérienne, 08, rue Jean-Jacques-Rousseau, Paris.
- AÉRONAUTIQUE-CLUB de FRANCE, Ô8, rue Jean-Jacques-Rousseau, Paris. — Société de vulgarisation scientifique fondée en 1897. - Président-fondateur, M.Sau-nière ; vice-présidents : MM. Bacon, Piétri, Lachambre ; secrétaires : MM. Roger Aubry, Ribeyrc ; trésoriers : MM. Grittc, Cormier; membres : MM. Brett, Maison, Mottarl, Sellier.
- L’Aéronautique-Club de France est la seule société de ce genre qui fasse participer ses membres aux ascensions libres, gratuitement et à tour de rôle. Elle organise des conférences, etc.
- AÉRONAUTIQUE (Union), 7, rue Lé-cluse, Paris.
- AÉRONEF. — Voir Aviation (Appareils d’).
- AÉROPHILE (L ), 84, rue du Faubourg-Saint-Honoré, Paris. Tél. 27(3-20. Adr. tél. Aérophile-Paris. — Revue mensuelle illustrée de l’aéronautique et des sciences qui s’y rattachent. — Fondateur: M. Georges Besançon.
- AÉROS, suspension pneumatique. —Voir Tore (L.), à Paris.
- AÉROSTAT. — Appareil rempli d’un gaz plus léger que l’air et établi de telle sorte qu'obéissant au principe d’Archimède ainsi formulé : « Tout corps solide plongé dans un gaz éprouve une poussée verticale dirigée de bas en haut égale au poids du volume de gaz qu’il déplace », il puisse s'élever dans l'atmosphère. Les parties essentielles constitutives d'un aérostat sont Yenveloppe, lo filet, la nacelle. —- Voir ces mots.
- [MgmLROCHET-SCHNElDERjüggjL
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- AÉROSTATION. — Partie de l'aéronautique relative aux ballons propremcnt'dits. aux aérostats sans moteur.
- AÉROSTATION (Ecole Normale il'), 206, rue Lafaycttc, Paris.
- AÉROSTATIQUE ( Société), 4, rue du Trésor, Paris.
- AFFLEURER. -— Se dit de deux pièces dont l’une ne doit pas dépasser l’autre. On •dira par exemple a/‘/leur, r un goujon, une vis, c’est-à-dire enlever ce qui dépasse des pièces à réunir, au moyen du burin, de la lime ou de la meule, etc.
- AFFUTER. — 0 est donner ou redonner, au moyen d'une meule ou d’une machine à affûter, aux outils à trancher ou à percer, l’inclinaison nécessaire pour leur bon rendement, tout en enlevant les encoches ou les bavures qui ont pu sc produire sur leur tranche; l'angle d'inclinaison est très variable suivant le résultat, à obtenir. L’affutagc se termine souvent par un passage de l'outil sur la pierre à huile.
- A. G. A. — Abréviation de : Association Générale Automobile, Paris!*
- AGATHOS, accumulateur. - Voir Vé-drine.
- AGENCE AMÉRICAINE, vente d'automobiles, 3, rue Scribe, Paris. Tél. aG/j-dq.
- AGENCE CENTRALE D’AUTOMOBILES, i/|, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél. 50o-ai. Ad. tél. Agenre-nos-Paris. Vente exclusive de voilures Renault Frères. Succursale au Caire.
- AGENCE COMMERCIALE D’AUTOMOBILES DU NORD, garage, 1, rue du l’our-à-Chaux, à Calais (Pas-de-Calais); .153, boulevard Gambetta, à Tourcoing (Nord); 36, rue de l’Hôpital-Militairc, à Lille (Nord).
- AGENCE CORMIER. — Voir Cormier et Codoni.
- AGENCE GÉNÉRALE DE L’INDUSTRIE AUTOMOBILE (A. G.I.A.). vente d'automobiles, 4> avenue Mac-Mahon, Paris. Tél. 563-64.
- AGENCE GÉNÉRALE DES AUTOMOBILES Charron, Girardol et Voigt, 45, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél. 529-9.5. Ad. tél. Garageaulo-Paris —Société •on nom collectif au capital de 3oo 000 francs. — Achat et vente de voitures automobiles de toutes marques ; location, réparation, échange, garage. Un des établissements les mieux cotés de Paris.
- AGENCE INTERNATIONALE,
- vente de brevets, 84, rue Richelieu, Paris.
- AGENCE INTERNATIONALE D’AUTOMOBILES, vente d’automobiles, 45, rue Laffitte. Paris. Tel. 323-23.
- AGENCE INTERNATIONALE DE ! L’AUTOMOBILE, vente d’automobiles, 2.5, rue Lezyno, à Varsovie (Russie).
- ! AGENCE PANHARD-LEVASSOR,
- 35, rue de la Paix, à Nice (Alp.-Marit.) ; 77, avenue de la Grande-Armée, Paris; 4, avenue de Bayonne, à Biarritz; et i5, rue Gustave-Ricard. à Marseille. — Vente d’automobiles Panhard-Lcvassor et de pneumatiques Michelin.
- AGENCE PARISIENNE, vente d’automobiles, il, rue Galvani, Paris.
- AGENCE RENAULT, garage, G. rue de Franco, à Nice (Alpes-Maritimes).
- AGENCE RENAULT, a5, cours Lieu-tau d, à Marseille (Bouches-du-Rhône).
- AGENCE UNIVERSELLE D’AUTOMOBILES, i.4o, rue du Faubourg-Saint-Honoré. Paris. — Commerce d’automobiles.
- AGENDA DU CHAUFFEUR (/,’),
- 9, rue Guénégaud, Paris.
- AGENTS CYCLISTES. -Depuisjanvier 190G, le nombre des agents cyclistes de Paris, qui était de 3oo, a été porté à 620.
- AGENTS D’ASSURANCES. — Les
- agents d’assurances sont des intermédiaires entre la personne qui désire s’assurer et la Compagnie d’assurances. Les contrats ou polices d’assurances, surtout pour les automobiles, sont si variables et renferment tant de cas de nullité ou de déchéance pour l’assuré, que celui-ci a le plus grand intérêt, à écouter les conseils d’un homme qui, spécialiste en la matière et désireux avant tout de conserver un client,, prendra ses intérêts et l’éclairera de son mieux sur ce qu’il doit demander ou refuser d’une Compagnie lors de la signature de son contrat. •— Ces agents sont rémunérés par les Compagnies, quoiqu’ils ne lassent partie d’elles à aucun titre ; il ne leur est donc dû aucun honoraire par l’assuré.
- Nous fournissons gracieusement à nos lecteurs tous les renseignements qu’ils peuvent désirer concernant, les assurances.
- — Capron kt Harki., 10, rue Viollel-le-Duc, Paris.
- — De Dusmet et C"\ 3o, rue Tailbout, Paris.
- A G. I. A. — Voir Agence Générale de l'Industrie Automobile.
- ASSURANCES-ACCIDENTS Conducteurs, Ouvriers, Automobiles.
- ASSURANCES SPÉCIALES - 20, rue Taitbout, PARIS - Téléphoné 283-41
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- AGNUS {Georges), 4 bis. rue Dcscombes. Paris. Tel. 538-29. — Né à Paris, le 27 avril 18G0. — Go-associé de la Société de l'Allumage Electrique C. II.. 3o, rue Porrier, à Levallois-Pcrret (Seine). Tel. 532-aü.
- AIGLE, moyeu. —Voir llénon et Mestre, a Paris.
- AIGU — Un angle est dit aigu lorsqu’il a moins de 90°. — Voir Angle.
- AGOSTINELLI, garage, 33, via Palestre, à Rome (Italie).
- AGRAFE. — O11 appelle agrafes, en langage d'automobile, des crochets a ressorts a boudin destinés a maintenir les capots sur l’avant des châssis et empêcher leur trépidation incessante.
- Ce nom est aussi donné à des pièces d’acier ou de cuivre de difl’érentes formes, qui servent à réunir les deux extrémités d’une courroie, plus rapidement et plus facilement que ne le ferait une couture.
- AGRAFE. — L es nombreuses et violentes trépidations que subit sur route une voiture automobile sont les plus sournoises ennemies de toute pièce que sa dimension empêche d’etre arrimée dans toutes ses dimensions. Parmi ces pièces, nous citerons en particulier
- lhÙCKS AGUAFKKS
- A et H, pièces à agrafer. — i j, tenons J’agralage.
- les réservoirs, qui sont faits ordinairement en tôle de cuivre et dont les côtés étaient autrefois, chez quelques constructeurs, simplement rapprochés et soudés. Actuellement, les réservoirs sont toujours, soit rivés, soit agrafés, c’est-à-dire que les bords des tôles sont d’abord ajustés à « queue d'aronde » avec grand soin, puis ensuite soudés ou brasés pour empêcher toute fuite d’eau ou d’essence et assurer ainsi un assemblage absolument étanche.
- AGRY, vente d’automobiles, 28, rue des Arènes, à Agen (Lot-et-Garonne).
- AHLBORN, fabrique d’antidérapants, à Olfenbach-sur-lc-Mein (Allemagne).
- AIDE-MÉMOIRE DE L’AUTOMOBILE (Jurisprudence), par J. de Pietra-Santa.
- AIGLE (C“ française de l’Accumulateur), i4, rue Félicien-David, Paris.Tél. G8G-01. |
- AIGLE, automobiles, 65, rue La layette, j Paris. Tél. 277-37.
- AIGUILLE. — U ne aiguille est une petite pièce métallique, cylindrique ou plate, dont une extrémité est terminée par une pointe. Pour déboucher un ajutage de bec à acétylène ou de carburateur, on ne doit se servir que d'aiguilles parfaitement calibrées qui 11e feront pas courir le risque d’agrandir le diamètre d'ajutage. Ce diamètre a été calculé exactement, et il ne doit pas être modifié, de si petite quantité soit-elle.
- — Les aiguilles ne servent pas seulement d’outils. Elles sont quelquefois des indices dans la plupart dos appareils de mesure. Les aiguilles qui se déplacent sur le cadran des manomètres, ampèremètres, voltmètres, etc., 11e sont pas toujours montées sur un « carré » ; il 11e faut donc jamais y toucher, ou du moins n’y loucher qu'avec le plus grand soin, l’aiguille pouvant se déplacer facilement sous une faible poussée et ne donner alors plus que des indications fausses.
- AIGUISER. — Ne pas confondre aiguiser et affûter. Le mot aiguiser s’applique spécialement aux instruments auxquels on doit faire ou refaire une pointe. Le mot affoler s’applique aux lames.
- Aile en hélice
- AILE. — L’ aile d’une voiture automobile a pour but d’empêcher la boue d’être projetée par la force centrifuge sur les voyageurs occupant la voiture ; elle donne aussi plus « d’œil » au véhicule. Faite en bois, en cuir monté sur un châssis en fer, ou, très fréquemment, en tôle de fer emboutie, elle est soit cintrée,sensiblement concentrique aux roues, avec un espace sufiisant pour la «plongée» du châssis; soit en hélice, surtout à l’avant ; cette dernière sorte est de plus en plus abandonnée. Les ailes sont quelquefois prolongées par des bavoirs en cuir qui frôlent presque le sol. — Les voitures de courses n’ont pas d’ailes, qui formeraient un poids inutile et une résistance exagérée à l’air.
- Les ailes ont ordinairement une largeur qui est délimilée par l’aplomb du dehors du moyeu; elles doivent se rapprocher le plus possible de la caisse. Leur hauteur se détermine par la flèche du ressort, plus deux centimètres; à l’avant, elles doivent, ce qu’elles
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- •foui, trop rarement, se terminer à 'l’aplomb <le la roue.
- On ajoute quelquefois intérieurement aux ailes d'avant, quelquefois meme aux ailes d'arrière. des panneaux légers en tôle ou en cuir verni, nommés bajoues, (pii relient l'intérieur de l’aile au dehors du châssis.
- Les ailes désignent aussi les côtés d'un 1er cornière ; elles sont précieuses, dans les châssis en tôle, pour l'assemblage facile des traverses.
- AILETTES. — I .a nécessité d'assurer un bon refroidissement au moteur a explosions est imposée par plusieurs causes, mais surtout, par l'huile de graissage qui, à une température relativementbasse (environ duo0), est décomposée par la chaleur et forme des dépôts charbonneux qui peuvent amener le grippage du moteur ou eu mettre hors d'usage les pièces les plus importantes. Il faut donc, de toute nécessité, assurer le refroidissement de ce moteur en lui prenant, toutes les èalories inutiles qu'il ne peut, transformer en travail.
- Dans les moteurs de faillie puissance, le refroidissement est effectué simplement par l’air qui entoure de toutes parts le cylindre. Pour augmenter cette surface de refroidissement, on garnit, ces "àifofjtor petits cylindres et leurs culasses de petits plans parallèles appelés aile/, les, venus de « fonte» avec la masse du
- (ou.Nmu: a a11,1.11 i:s cylindre .
- Quelquefois ecs ailettes, de cuivre ordinairement, sont des disques plans ou ondulés qui sont « rapportés » sur le cylindre.
- Lorsque le moteur est puissant (au delà de 3 . chevaux environ), le refroidissement, par l’air ambiant, n'esl plus suffisant, : on fait alors intervenir de l’eau qui, animée d'un mouvement provoqué par pompe ou thermo-siphon, circule autour du cylindre, s’y échauffe et vient se dépouiller dans le radiateur des calories en excès. Ce radiateur, placé ordinairement à l'avant de la voiture, est composé très souvent d’un tube replié plusieurs fois sur lui-mcme, pouroll’rir une plus grande surface, à l’air qui doit abaisser sa température.
- Pour augmenter cette surface, on dispose, ‘concentriquement sur ces tubes, des ailettes, disques minces do métal, cuivre, aluminium, fer, etc., qu’on enfonce <( à force», ou que Ton soude. On constitue à l'aide de ces tubes à ailettes des radiateurs, dont les plus connus sont ceux de MM. Grouvclle et Ar-quembourg. De nombreuses controverses ont été engagées sur la forme, la dimension, le métal, la nécessité de souder, l'épaisseur, etc,., (pii devaient régir ces rondelles ou ces ailettes.
- 11 est, recommandé, pour rendre plus important le pouvoir émissif de ces ailettes, soit d'employer des métaux rendus « mats », soit de les peindre en noir ou en blanc mats qui sont les couleurs les [ilus « rayonnantes. »
- — Certains constructeurs américains ont créé depuis peu des moteurs à/j cylindres de grande puissance, dont le refroi- Vkxtii.ateck a aimsttks dissement s’opère
- par l’air. Pour cela, ils ont disposé, autour (les cylindres et culasses à ailettes de leur moteur, des chemises eu tôle destinées à canaliser l’air qui est refoulé avec une grande vitesse au moyen d'un, ventilateur puissant aspirant ou refoulant l'air sur les cylindres.
- — Le nom d'ailettes est. aussi donné, dans un ventilateur placé derrière un radiateur, aux parties larges du moulinet qui frappe l'air et, ipii assure la bonne ventilation de ce radiateur, en forçant l'air à le traverser, même pendant l'arrêt du véhicule ou pendant sa marclie lente.
- — Dm aux ht Cie, (Motosacoeho), route des Acacias, Genève (Suisse).
- AILLOUD-BARRET, garage, 8, cours Perriat, à Grenoble (Isère).
- AILLOUD et DUMOND FRÈRE,
- garage et vente d’automobiles, j, rue Duhamel, a Lyon (Kliône). Tél. «3-22. Adr. tél. Ailloud-Dumond-Lyon.
- AIMANT. — On donne ce nom à une catégorie de corps qui possèdent la propriété d'attirer certains métaux, dits magnétiques, qui se réduisent, essentiellement à trois principaux : le fer et, ses dérivés, le nickel et le cobalt.
- On donne le nom de magnétisme à ce phénomène d'attraction, et l'on dit qu’un aimant développe autour de lui un champ magnétique. —- Voir Ligne de force.
- Les phénomènes magnétiques lurent constatés pour la première fois dans la nature, du fait (pie certains minerais possédaient la curieuse propriété d’attirer le fer.
- L'ainiant naturel, ou pierre d'aimant, est un excellent, minerai de 1er: sa formule est, l’e:iOl, les métallurgistes l’appellent ma-gnétitc ou oxyde magnétique. Ses usages au point de vue magnétique sont, entièrement nuis, vu la très faible valeur magnétique de ce corps. — Voir Aimant artificiel, Electro-aimant, Ligne de force. — Tous ces phénomènes sont longuement décrits dans l’ouvrage L'Allumage dans les moteurs à explosions.
- — Nii.miîliou, /|“>, rue Laeordaire, Paris.
- — Simms-Boscii, 22, rue Violet, Paris,
- ILES PREMIERS HORS CONCOURS PARIS 1900
- PHARES DUCELUER
- LES SEULS | GRAND PRIX I LIÈGE 1905 M
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- . — Aimants artificiels. — Les aimants employés dans l'industrie sont toujours artificiels. Ils sont en acier très dur.
- Le fer doux, c’est-à-dire absolument pur, s'aimante très facilement par influence; mais, dès que cette influence disparaît, le magnétisme en fait autant.
- Si, au lieu de fer doux, on prend de l'acier, c’cst-àKÜre du fer contenant du carbone, l'aimantation par influence se produit plus difficilement, mais, après disparition de l'influence, e morceau d’acier conserve une certaine quantité de magnétisme; il devient lui-même un aimant par suite du magnétisme rémanent.
- En pratique, les aimants artificiels ont seuls de l'importance. La forme dite barreau aimanté est employée dans les laboratoires de physique; la forme en fer à cheval est la plus fréquemment employée ; elle s’applique notamment aux appareils de mesures à aimant permanent, voltmètres et ampèremètres, et aux magnétos. On emploie pour constituer ces aimants, un acier au tungstène ayant la propriété de bien conserver son magnétisme avec le temps.
- Enfin, la forme dite aiguille aimantée est bien connue dans ses applications: c'est la forme (les aiguilles de boussole.
- Aimant compensateur. — Par suite de l'existence du champ magnétique terrestre, et en raison du fait que les pôles de même nom s'attirent et ceux de noms contraires se repoussent, il peut être utile, dans certains cas, d'affranchir l'aimant de l'action terrestre, ce (pie l'on fait au moyen d'un aimant auxiliaire compensant l'effet du magnétisme terrestre.
- Cetl.c application est très spéciale et s'applique seulement à certains appareils de physique très délicats.
- AIMANTATION. ~~ Opération qui consiste à communiquer à un barreau en acier une certaine quantité de magnétisme, de la<;on a en faire un aimant artificiel.
- Tous les procédés d’aimantation sont à influence, c’est-à-dire qu’on développe dans le barreau à aimanter un certain champ magnétique. On peut employer, s'il ne s’agit que de faire une expérience, le procédé de la touche : l'aimant est frotté, toujours dans le même sens, avec l'un des pôles d’un puissant aimant ( un électro-aimant généralement). Après un certain nombre de frictions, le barreau sera aimanté à saturation, et il serait inutile de continuer l'opération.
- AINARDI ROMANO et Cift, commerce d'automobiles, 2, via Stuj Secondo, à Turin (Italie).
- AIR. — L'air ou air atmosphérique est un mélange de 20,8 volumes d'oxygène et de 79,2 volumes d'azote, avec des traces d'argon, de néon, de krypton, etc. 11 est incolore sous une petite épaisseur.
- Sa densité est
- de celle
- de l'eau. C'est
- la résistance de l'air qui est le principal obstacle à la vitesse des véhicules.
- 1 Litre d'air pèse 1 gr. 298.
- En poids, l’air est composé de a3 parties d’oxygène pour 76 parties d'azote, et 1 partie d'argon.
- Dans les moteurs à explosions, l'oxygène seul de l’air est utile, c’est le comburant ; les autres composants, tels (pie Taxolc, l'argon, etc., sont plutôt nuisibles et encombrants, puisqu’ils occupent sans résultat une grande portion de la cylindrée utile.
- L'air oppose aux automobiles une résistance beaucoup plus grande qu'on ne le croit généralement.
- Cette résistance est encore parfois (vent debout) accrue par la force vive de l'air en mouvement. Les vitesses de ces déplacements d’air et les pressions qu'ils fournissent peuvent être évaluées ainsi :
- kilogrammes
- I m. à la sec. 0,14 par ni. car,
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- e. Un nu >teur est dit à
- Vent très léger Brise légère. . . Vent frais .... Grand frais.... Impétueux ....
- Tempête.......
- Ouragan.......
- Grand ouragan
- - — Air 1
- échappement à air libre, lorsque les gaz expulsés 11e passent, pas par un silencieux qui diminue le bruit qu'ils font en se détendant dans l'atmosphère. Il se produit alors à chaque évacuation un « coup de pistolet » très violent que la loi interdit, à juste titre.
- En course, l'échappement à air libre est autorisé; les avis sont partagés sur le fait qu’il donne une augmentation de rendement.
- Dans quelques moteurs de course d’autrefois (Soncin, etc.), on était arrivé à supprimer tout ou partie du tube d'échappement et de son annexe, le pot d'échappement; des Irons étaient percés suivant une ligne horizontale, presque au bas du cylindre : lorsque le piston arrivait à « fond de course », ces trous étaient momentanément, découverts, par lesquels les gaz se détendaient librement, et violemment, pour le meilleur rendement du moteur... et pour l'affolement des chevaux et des humains; sans compter les perles d’huile qui en résultaient.
- — Air liquide. — L'air liquide (air atmosphérique rendu liquide) est légèrement bleuâtre ; il a à peu près la densité de l’eau. Pour l’obtenir, il faut abaisser la température de l’air suffisamment pour qu’elle soit inférieure àsa.« température critique » — i/(0°. Dans ce but on emploie des détentes successives qui produisent un abaissement de température de plus en plus considérable On obtient alors l'air à l'état liquide à, la température de — 190°, c'est-à-dire qu’il est <.( épouvantablement froid », suivant T expression" de M. Claude. A cette tempéra-
- CHAINES RENOLD chez C. COMIOT
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- ture, la plupart des corps chimiques nef réagissent plus les uns sur les autres ; on se rapproche du zéro absolu (278°).
- Quelques personnes ont cru pouvoir attribuer à l’air liquide une puissance latente énorme et arriver à produire la force motrice par l’air liquide. M. Claude a fait évanouir ce joli reve par ses calculs exacts qui apportent la déception, mais aussi la réalité : un kilogramme d’air liquide dépensé ne produit que 1 '5 de cheval-heure ! Le moteur à air liquide n’est pas encore né pratiquement.
- AIR ET FEU (.Nouveaux Établissements), forges et chalumeaux, i(i, rue du Buisson-Saint-Louis, Paris. Tel. 422-3q.
- AIRE. — Le mot aire, en géométrie, est synonyme de surface plane ; c’est un espace limité par des lignes.
- AIX-LES-BAINS (Grands garages dj, avenue de la Gare, à Aix-les-Bains (Savoie).
- AJAPA, accumulateurs. — Voir Electrique (Société L’).
- AJOURER. — Percer une pièce métallique d’un ou plusieurs trous, soit pour la rendre plus légère, soit pour lui donner un cachet, plus esthétique ; les roues d’engrenages sont très souvent ajourées.
- AJUSTABLE.— Une pièce est dite ajustable lorsqu’elle peut être abaissée ou élevée, « mise » a la taille de la personne qui s’en sert. Exemple : selle ou guidon de bicyclette.
- AJUSTAGE. — Opération qui a pour but de fixer avec le plus grand soin dans la
- place exacte qu’elles doivent occuper, les différentes pièces d’ensemble, de telle sorte qu’elles soient pal’aitement en rapport les unes avec les autres. L’ouvrier chargé de ce travail méticuleux et difficile est nommé ajusteur.
- AJUTAGE. —
- Petite pièce creuse métallique destinée à déterminer le volume du jet d’essence dans le carburateur. Il sert en meme temps de guide à la direction du jet d’essence et il affecte des formes très différentes . Dans le carburateur de Dion, c’est un tube rétréci à l’extrémité et percé d’un trou (im/mio de diamètre dans la 8-che-
- Ajutage a DEUX 11ECS conjugués (|)r acétylène).
- a, b, canaux d’amenéo du gaz. P, papillon pro-duitparl- choc desdeux courants opposés.
- vaux); dans la voiture Brasier de 1908, 2 ajutages inclinés se faisaient face ; l’esence, en jaills-sant, s'épanouissait en un large papillon ; dans un autre modèle, c’est un tube vertical percé d'une fente très mince suivant l’axe du tube, etc.
- La dimension de l’orifice de giclage a été déterminée une lois pour toutes par le constructeur. On ne doit pas la modifier sous le mauvais prétexte de chercher à obtenir un meilleur rendement ; ce point est de grande importance.
- De meme on ne doit déboucher les orifices obstrués qu’au moyen d’aiguilles bien calibrées fournies par le constructeur. —-Voir Gicleur.
- — On appelle encore quelquefois ajutages
- les becs de terre employés dans les phares d’automobiles et qui donnent naissance au papillon lumineux.
- A LA DEMANDE.-Expression courante dans les ateliers de mécanique et relative à deux pièces dont l’une est ajustée « à la demande » de l’autre, c’est-à-dire en vue de son adaptation exacte à cette dernière.
- Ajutages Brasier
- n 11, niveau de l’essence. a b, ajutages inclines.
- ALASKA CRISTAL COMPANY.
- lunettes d’automobile, 206, rue de Rivoli, Paris.
- ALBANY HARDWARE AND IRON C°, vente d'automobiles, à Albany (N.-Y.), Etats-Unis.
- ALBARET, garage, à Audierno (Finistère).
- ALBATROS (Lj, motocyclettes. — Voir Billouin (IL), Paris.
- ALBERT (SociétéIndustrielle d’). Albert, Somme. — Voir Rocket (cycles) ; et II. Petit et C'°, 23, avenue des Champs-Elysées,
- Paris.
- ALBERTI, ébonite et caoutchouc manu-acturé, 12, rue d’Enghien, Paris. Tel. i3o-3i.
- MIDI-AUTOMOBILE Biarritz, Harbonije. Toulouse. Villeneuve-sur-Lot.
- Tous les Stocks. Toutes les marques GARAGES BONNEVILLE
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- ALBERTI, vente d’automobiles, 8, Porto Nuove, a Florence (Italie) ; et 54, via Fla-mina, à Rome. •
- ALBION MOTOR CAR C°, Ltd, automobiles, South Street, Scotstoun, Glascow (Angleterre).
- ALBRE et Ci0, garage, 46, rue Casse-neuil, à Villencuve-sur-Lot (Lot-et-Garonne).
- ALBUM DES SPORTS, revue, 12, rue Poulie, Paris.
- ALCAZ. appareils électriques, 61, Faubourg-Saint-Denis, Paris.
- ALCOOL. — Le mot alcool vient de l’arabe ; il signifie très subtil. Il désigne un liquide incolore composé de carbone, d'hydrogène et d'oxygène qui a la propriété, en se combinant avec un acide, de former un éther.
- Jusqu’au commencement du xix® siècle, le seul alcool connu était tiré du vin ; c’était l’alcool éthylique (G4 II0 O2). Les chimistes Dumas et Pélizot ont démontré en i835 que l’alcool éthylique n’est en somme qu’un membre d’une famille de corps extrêmement nombreux et que le liquide extrait du bois par distillation était lui-meme un alcool, l'alcool melhylique. On peut en effet extraire de la pomme de terre l'alcool amylique et, do différentes substances, des alcools bulylique, myriciquc, cérolique, benzylique, cuminique, etc. O11 démontra bientôt (Hcr— thclot) que les matières sucrées et la glycérine, etc., sont des alcools elles-memes.
- Les alcools donnent naissance, selon qu’on les combine avec des acides, de l'ammoniaque, qu’on leur ajoute de l'eau, ou seulement de l’hydrogène ou de l'oxygène, à cinq classes de corps : des éthers, des alcalis, des carbures d’hydrogène, des aldéhydes et des acides. — Pour tous renseignements détaillés sur la production et les emplois des alcools, voir l’ouvrage Sa Majesté l’Alcool, par Baudry de Saunier.
- L’alcool n’a d’intérêt pour l'automobile que parce qu'il peut servir de combustible dans les moteurs à explosions.
- — Alcool absolu. — Alcool complètement exempt d'eau.
- - Alcool' carburé. Alcool dénaturé auquel on mélange en plus ou moins grande quantité un hydrocarbure afin d’augmenter le pouvoir calorifique ou éclairant de cet alcool. Alors qu’un litre d’essence renferme 8 2G0 calories, un litre d’alcool à 90“ non carburé n’en renferme que 485o. Pour le carburer, 011 verse dans l'alcool à 90° environ 5o °/0 de benzine de houille ; un litre d’alcool ainsi carburé renferme environ 7 85o calories.
- L’alcool carburé, qui est presque seul employé dans les moteurs à explosions, est aussi inflammable que l’essence minérale. S'en méfier dans son emploi.
- — Alcool dénaturé. — Alcool rendu imbuvable par suite de la substance (ou dénaturant) qui y a été versée. L'alcool, quand il est dénaturé suivant le règlement et sous le contrôle de la Régie, est exempt des principaux droits, très élevés, qui grèvent les alcools dits de bouche. Le dénaturant officiel est la méthyline, substance âcre tirée du bois. — L’alcool dénaturé ne subit pas de droit d’octroi à son entrée dans Paris. — Consulter à ce sujet l’ouvrage Sa Majesté l’Alcool. (Voir plus bas.)
- — Rappelons que le Ministère des Finances a fait enregistrer par le Journal officiel (27 février 1906) la note suivante, relative à la dénaturation de l'alcool :
- « Les articles 2 et 3 de la loi du 29 novembre 1905 instituent deux prix :
- « L’un de 20 000 francs au profit de la personne qui découvrira, pour l’alcool, un dénaturant plus avantageux que le dénaturant actuel et offrant au Trésor toutes les garanties contre la fraude.
- « L’autre de 5o 000 francs au profit de la personne qui découvrira un système d’utilisation de l’alcool pour l'éclairage, dans les memes conditions que le pétrole.
- « La commission des méthodes d’analyses a fixé le programme à remplir par les concurrents.
- « Les inventeurs devront adresser, avec une notice détaillée à l’appui, leurs propositions, systèmes ou appareils à M. le Chef du Service des Laboratoires du Ministère des Finances, 11, rue de la Douane, à Paris. »
- ALCOOL (Sa Majesté Ij. — Ouvrage sur l’alcool, par Baudry de Saunier, paru en juin 1904 (344 pages in-8u, 112 gravures, photogravures et schémas). L’ouvrage traite do l'historique de l’alcool, de sa fabrication autrefois et de nos jours, de son application à l’industrie, à l'éclairage, au chauffage et à la force motrice. Son prix est de 12 francs. Il est en vente aux Ouvrages Baudry de Saunier, 20, rue Durci, à Paris.
- ALCOOMÈTRE. — Aréomètre servant à déterminer la quantité d’eau que renferme un alcool essayé.
- ALCYON (Cycles, Motocyclettes et Voi-turett.es), 4 et fi, boulevard Bourdon, à Neuilly-sur-Seine (Seine). — Directeur: M. Paul Surleau. — Magasin de vente: 16, avenue do la Grande-Armec, Paris.
- ] ALERTE (Pneumatique Ij. 7G, rue Arago, à Puteaux (Seine).
- ALÉSAGE. — ALÉSER. - ALÉ-SEUSE. — L’alésage est une opération d’usinage qui consiste à donner à un trou (préa-| laidement, percé) une forme exactement cylin-I drique (ou conique) avec une surface parfai-
- AUT0IÏI0KILC5 M PlIflPI Ihl ^ bis’ ^ue ^esrenaudes
- de Ville et de Tourisme lll. LU U LLI 11 PARIS - Téléplf. 589-74
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- tement. correcte. Le trou peut être brut ou pratiqué à la perceuse ou sur le tour. Pour l'aléser, on y introduit un alésoir, constitué pour les petits diamètres par un mandrin d'acier trempé, sur la surface duquel on a pratiqué une ou plusieurs cannelures, droites
- de France de classer les moteurs d'après leur alésage. Ce serait une classification simple tout au moins. De meme, les constructeurs devraient bien désigner leurs moteurs d’après l’alésage des cylindres et abandonner les désignations par chevaux-vapeur et IF. P. qui n’ont guère de signification pratique. — Voir à ce sujet, Omnia, revue pratique de locomotion.
- Alksûik a lamj:s modilks
- </, arbre, porte-lames. — b, manchon à rainures, e, lames. — ci, écrous de blocage.
- (ou préférablement hélicoïdales à cause de la continuité du travail) dont les arêtes forment couteau et, pour les gros diamètres, par une lame montée sur un arbre porte-lame. L'alésoir est, monté sur un tour, une perceuse ou une machine à aléser ou alésease. Cette dernière machine a la plus grande analogie avec les perceuses et fonctionne le plus souvent horizontalement. Quand on alèse sur le tour, la pièce est fixée au chariot qui lui donne l’avance longitudinale. Quand on alèse sur une perceuse ou une aléscuse, la pièce est fixe et le porte-lame reçoit le mouvement d'avance. La figure ci-contre est un exemple de machine horizontale à forer et aléser. A
- ALÉSOIR. — alésoir à main est une tige d’acier, très légèrement, conique, présentant des arêtes coupantes, <pii est destinée à terminer des surfaces cylindriques concaves ou à uniformiser les trous de plusieurs pièces mises les unes sur les autres,, les trous de ces pièces ayant été percés séparément. On actionne un alésoir au moyen d’un tourne-à-gauche.
- La forme des alésoirs est très variée. Autant, que possible, il faut (pie l'alésoir ait six côtés, l'alésoir carré ne donnant pas un trou parfaitement, rond.
- Si les trous a finir ont des dimensions un
- Aiæsoik à rainures hélicoïdales.
- peu fortes, on ne peut plus se servir des alésoirs à main; il faut recourir aux outils de tour qui attaquent peu de matière à la fois
- et permettent d’obtenir des surfaces parfaitement unies et régulières.
- ALESSIN, garage, 12, strada Slonta Vineri, à Bucharest (Roumanie).
- ALESSIO , carrosserie automobile et auto-via Orto Bo-
- garag
- RF
- tanico, à Turin (Italie).
- ALEXANDRA
- {Mêlai), 12, rue de Moscou,
- Paris.
- gauche, la commande de l’outil et son mouvement d’avance ; au milieu, l’étau, et à droite un support à lunette servant de guide à l’arbre porte-lame.
- ALÉSAGE d’un cylindre. — On appelle alésage d'un cylindre le diamètre de ce cylindre. La distance parcourue par le piston s’appelle la course. L'alésage, la course et le nombre de tours à la minute déterminent approximativement la puissance.
- 11 semble que l'alésage d’un cylindre puisse suffire à déterminer approximativement sa puissance. 11 est question à l'Automobile-Club
- ALEXANDRE, fabrique de pieds à coulisse, .‘Pi, rue de la Roquette, Paris.
- _ ALEXANDRE (F.), phares «Radius », 53, rue Blanche, Paris.
- ALEXANDRE, canots automobiles. — Voir Allegrini, à Marseille.
- ALGÈBRE. — L’ai gèbre est la science des procédés employés pour le calcul des grandeurs, considérées d'une manière générale, au moyen de signes généraux et conventionnels.
- L'égalité renfermant la grandeur inconnue
- Perceuses, Aléseuses, Taraudeuses Électriques
- 1, Avenue de la République
- PARIS
- H. GLAENZER & PERREAUD
- PARIS
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- A L I
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- que l’on veut déterminer, grandeur généralement représentée par la lettre x, se nomme une équation.
- Equations du premier degré : à une inconnue :
- ,7 • I>
- ax 4- b — o ; d ou x —---.
- 1 a
- à deux inconnues :
- j ax + by = c (a'x -f- lé y — c
- ,, . clé — bc'
- d ou x — —n----7— i
- ab — b a
- __ ac — eu'
- y ab' — ba
- Equation du deuxième degré : ax- -f- bx + c — o.
- d'où s ^±.^-4 •2 a
- — Voir X.
- ALIMENTAIRE (Pompe), — On donne ce nom à une pompe actionnée par le moteur, qui alimente de liquide un organe déterminé. La pompe alimentaire n’est guère employée que par les machines à vapeur pour le servie»! de la chaudière. Dans le système Serpollel notamment, on trouve; deux pompes alimentaires, une pour l’eau, l’autre pour le pétrole, «pii sont liées ensemble par un dispositif fort ingénieux, afin que leurs débits soient toujours proportionnels. Le conducteur peut, à son grc. faire; varier ce débit.
- ALIOTH{Société d'Electricité), appareils électriques, 8, rue Pillet-\\ il 1, Paris.
- ALIX et Ci0, dessinateurs industriels. — Voir Hervé et Laemmenhirl.
- ALIZON, garage, rue du Bourg, à Dijon (Côle-el’Ori.
- ALLAIRE. taille d’ 'engrenages, rue Saint-Martin, Paris.
- ALLDAYS AND ONIONS, Ltd,
- fabriejue d’automobib's, à Birmingham (Angleterre); et au, Bucklerslniry (Mansion Housc), à Londres.
- ALLEGRINI, canots automobiles A lexan-dre, Chantiers du Pharo, à Marseille; (Bou-cbcs-du-Bliùne). -Agence: Embarcadère du Touriste, quai d’Orsay, Paris.
- ALLEN HALLE AND C", vente d'automobiles, G(), Wall Street, a .New-York (Etats-Unis i.
- ALLEVARD (liants-1 fourneaux d’), fontes de fer et d’acier, ejd, quai de Valmy, Paris.
- ALLEZ Frères, accessoires, i, rue Saint-Martin, Paris. Tél. 105-7/1.
- ALLGEMEINE AUTOMOBIL-ZEI-TUNG, journal, 5, Fleischmarkt, à Vienne (Autriche).
- ALLGEMEINE AUTOMOBIL-ZEI-TUNG, journal, à Berlin, W. .‘35, Dcutsedies Kolonialhaus (Allemagne).
- ALLGEMEINE BERLINER MOTOR-WAGEN-GESELLSCHAFT, fabrique d’automobiles, 21, Lünohurgcrstrasse, à Berlin (Allemagne).
- ALLGEMEINE SPORT ZEITUNG,
- journal quotidien sportif, 1, St. Annahof, à Vienne (Autriche).
- ALLIAGE. — Un alliage est le résultat de la fusion simultanée, ou, plus exactement, la dissolution d’un ou plusieurs composés, plus ou moins nettement définis, dans l’excès d’un ou de plusieurs des métaux composants. C’est un mélange et non une combinaison chimique. L’alliage donne naissance en réalité à un nouveau métal extrêmement, précieux par ses diverses epialilés. 11 est très rare, en effet, epie les métaux soient utilisés par 1 industrie à l’étal pur.
- Les alliages sont presipee toujours blancs ou de; couleur claire, et ils sont doués de propriétés différentes des corps epii les ont constitués : ainsi les alliages sont toujours plus fusibles, cl eu général plus durs epie les métaux dont ils sont formés.
- — Alliages fusibles.—On donne vulgairement le nom ééulliayes fusibles à des composés fondant a température peu élevée; le; plus connu est l’alliage de Darcct epii., fondant a ç)5°, est composé de : 1 partie
- d’étain, 1 partie plomb, 2 parties bismuth.
- Ces alliages, dont, le point île fusion peut cire; déterminé d'avance exactement, ont été et sont emeore (employés pour former des pastilles obstruant, des orilices dans les chaudières a vapeur; si la pression, et par consé-epient, la température de la chaudière, deviennent trop fortes, les pastilles londent et la vapeur peut s’échapper : ce;s sont là des soupapes aulomatiepies fusibles, ou plombs fusibles.
- ALLIER et BONIOL, garage, place de la Bévolution, à Nîmes (Gard).
- ALLONGEMENT. - I ,orsqu’une barre de métal est soumise à des efforts de traction, il se produit l’un des deux cas suivants : ou elle se brise, l'effort dépassant la limite d’élasticité du métal; ou elle s'allonge d’une epiantité plus ou moins grande. Cet allongement est proportionnel à sa longueur et à la charge qu’elle supporte, et inversement proportionnel à sa section droite.
- ALLOTROPIQUE. — On donne cette désignation aux divers états, différents par
- fvoitures MORS, 48, rue du Théâtre - PARIS
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- l’aspect ou les propriétés chimiques que peut prendre un meme corps simple. Le ^phosphore rouge est du phosphore allotropique identique par sa substance au phosphore ordinaire ou phosphore blanc. L’ozone est un état allotropique de l'oxygène. L’état allotropique très caractérisé et très stable chez les corps simples de la famille des métalloïdes, où l’on trouve l’exemple typique du carbone, susceptible de prendre les trois états allotropiques de diamant, graphite, charbon, est moins caractérise et moins stable chez les corps simples de la famille des métaux. On n'a pas, en ell'et, encore démontré irréfutablement les modifications allotropiques de l'argent, du plomb, du cobalt, et du nickel, affirmés par divers chimistes. L'allotropie existe également pour les corps composés, mais sous la dénomination spéciale d'isomérie.
- La question de l'allotropie est devenue d’actualité (en iQof)) pour l'automobilisme, par suite de la mise en vente d’accumulateurs dits au plomb allotropique , imaginés par MM. Jeantcaud et Uosset. (Accumulateurs
- E.I.t.)
- ALLOUARD et C'°\ tuyaux métalliques flexibles, 72, rue du Chemin-Vert, Paris.
- ALLUCHON. Nom donné aux dents ! de bois des engrenages à denture rapportée. O11 ! emploie ces engrenages dans les grosses trans- i
- «, alluchon. — 6, couronne en fonte. — c, goupille.
- bracho. Les dents sont dans les évidements couronne en fonte et dessous.
- missions soignées, ; et. quand les roues | atteignent un certain diamètre fminoterie, etc.), en vue de diminuer le bruit et de localiser l’usure à une seule roue dont, on peut remplacer facilement les dents. Celles-ci se font en gaiac, en poirier, on préférablement en sorbier ou en cormier. O11 utilise | quelquefois un bois 1 exotique appelé ké- ! emmanchées à force I rectangulaires d’une | sont goupillées par- j
- ALLUMAGE.— Production de la déflagration du gaz qui vient, d'etre admis dans le cylindre et qui se trouve, sous la poussée du [liston, aux environs du maximum de compression — L'allumage joue un rôle considérable dans la puissance et le rendement d un moteur. La valeur du point incandescent, la position de ce point par rappoi t au courant du gaz, le moment, précis où il se | produit, la nature dos substances qui le déterminent, etc., sont autant de facteurs de
- l'allumage. O11 a pu écrire un gros volume sur ce problème capital.
- Pour étudier, avec les détails qu'elle comporte, cette question de première importance, voir VAllumage dans les moteurs éi explosions, par Baudry de Saunier. Nous ne pouvons donner ici qu'une classification des dispositifs employés. Ces dispositifs se ramènent à trois principaux : allumage par incandescence, allumage électrique, allumage automatique.
- — Allumage par incandescence. —On a jadis utilisé un tube de porcelaine ou de platine porté au rouge clair par un brûleur (Daimler, Bol-léc, Peugeot, etc.) (fig. 1). Le matelas de gaz brûlés restant, au fond du tube empêchait l'accès du mélange frais sur la partie incandescente pendant l’aspiration et le commencement de la compression.Ce 11’est, qu’à la fin de cette dernière que le mélange Irais, ayant repoussé suffisam- «» raccord. — b. écrou. — c, joint ment loin le ma- a’amianl0- - d, doigt do pla-telas de gazbrù- tiïU" lés, arrivait en
- contact avec la partie incandescente et explosait. On réglait, avec plus ou moins de précision l'instant de rallumage par la longueur du tube employé et aussi par le déplacement du brûleur, qui chauffait le tube plus ou moins près du cylindre. Ce dispositif, encore en honneur sur quelques moteurs fixes, est appelé à disparaître, car il exige une compression constante, tandis que le mode de réglage qui tend à prévaloir d'une façon générale est progressif et comporte une variation de compression, du moins dans la plupart des cas. Enfin à bord des voitures ou des bateaux le brûleur présente de graves dangers d'incendie.
- Allumage électrique. —- Se fait par étincelle de tension ou par étincelle do rupture. Dans le premier cas l’étincelle jaillit entre les [jointes fixes d’une bougie vissce dans la culasse. L'une des pointes seulement est isolée, l'autre étant en communication avec la masse par l'intermédiaire de l'écrou de fixation. Le courant à liante tension est généralement fourni par un transformateur ou bobine, alimenté par piles ou accumulateurs ou, le plus souvent, par une magnéto.
- On a employé quelquefois encore une dynamo ou une magnéto-dynamo pour maintenir en charge la batterie d’accus qui 11e sert alors
- A I.l.CMAOE l’AR INCANDESCENCE
- J.-F. HENR1QUE,
- Constr.-Électricien,
- 41, av. de la Grande-Armée
- PARIS
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- qu'au démarrage (Panhard, Dec.auvillc). Actuellement il y a tendance — cl tendance justifiée -— à se servir uniquement de magnétos à haute tension, dont l'induit comporte un double bobinage primaire et secondaire ou se produit la transformation (voir Magné Los). O11 appelle ces magnétos : magnétos à bougie ( Simms - Bosch, Nilmelior, Lacoste, etc.). La construction de ccs appareils est difficile à cause do la quasi impossibilité d’isoler parfaitement l'induit et de la fragilité du bobinage en fil fin. On préfère dans certains cas adopter un induit à basse tension et un t ransforma -Fig. — Bocr.iK (on coupe) leur statique séparé qui peut être
- une bobine ordinaire.
- Dans rallumage par étincelle de rupture, on coupe à l’intérieur des cylindres, au moyen d’un mécanisme approprié, le courant à basse tension d’une magnéto, ou d’une batterie d'accumulateurs avec bobine de self (ancien allumage Mors). L’étincelle obtenue, due à la self-induction de l'induit de la magnéto dans le premier cas et à celle de la bobine dans le deuxième, est remarquablement chaude et puissante. — Voir Arrachement (Etincelled").
- L'allumage par magnéto comporte comme l’allumage par bobine un dispositif d’avance qui est le plus souvent dépendant du moteur. La qualité de ces dispositifs réside dans leur simplicité (système Collin cl Desgouttes, par exemple).
- — Cottin et Desgouttes, place du Bachul, Lyon (Rhône).
- — - Gianoli, 26, boulevard Magenta. Paris.
- — Heinz (accumulateurs), 27, rue Gavé, à Levallois-Pcrret (Seine).
- -- IIennegrave et Agnus (Injlammateurs), no, rue Perrier, Lcvallois-Perret (Seine).
- — Lacoste, 28, boni, de Strasbourg, Paris.
- — Nieuport, 9, rue de Seine, à Suresnes (Seine).
- - Nilmelior, 4>, rue Lacordaire, Paris.
- Simms-Boscii, 22, rue Violet, Paris.
- — Allumage automatique.—L'allumage automatique fut préconisé au Congrès de hjo3 par M. Arnoux, qui lui attribue les deux avantages suivants : i° celui d’une inflammation instantanée de toute la masse, alors que l’inflammation duc à l’étincelle s'effectue
- par onde explosive ; 20 obligation d’avoir une forte compression et par suite un bon ren- ' dement.
- De grandes difficultés d'exécution se sont jusqu’ici opposées à l’exécution de cet intéressant projet.
- ALLUMAGE ÉLECTRIQUE C. H.
- (Société de l'). — Voir IIennegrave et Agnus.
- ALLUMAGE DANS LES MOTEURS A EXPLOSION (L’i. — Ouvrage sur les differents modes d’allumage dans les moteurs à explosions, parBaudryde Saunier, paru en juin igo5 (012 pages in-8°, 3oo dessins et gravures sur bois). L’ouvrage traite de tous les mécanismes d'allumage, notamment de l'allumage électrique par piles ou accumulateurs et de l’allumage électrique par magnétos à liante ou à basse tension, à bougie ou à rupture. 11 est précédé d’une partie importante qui explique clairement et. simplement, les phénomènes électriques. L’ouvrage est du prix de 10 fr. 11 est en vente aux Ouvrages Baudry de Saunier, 20, rue Duret, Paris.
- ALLUMEUR. — Nom généralement donné au distributeur de courant primaire de l’allumage par bougie si l’allumeur est relié d’une part à la source d'électricité, et d’autre part à la bobine à laquelle il envoie au moment précis voulu le courant venant de la source. L’arrivée du courant primaire dans la bobine détermine dans celle-ci un courant secondaire d’induction qui saute d’une pointe à l’autre de la bougie en produisant une étincelle.
- — IIennegrave et Agnus, 3o, rue Perrier, Levallois-Perrel (Seine).
- ALLUMEUR ^LECTRO-CATALY-TIQUE, 4, rue du Buisson-Saint-Louis, Paris. Tel. 42.7-91. Adr. tél. Glorius-Paris.
- ALNWICK MOTOR GARAGE,
- vente d'automobiles, Bondgate Street, à Aln-xvick (Angleterre).
- ALPHA, phares et pompes à air. — Voir Boas, Rodrigues et C‘°, Paris. — Une des marques de phares les plus réputées pour leur solidité et leur puissance d’éclairage.
- ALPHA, accumulateurs. — Voir Geoffroy et Delore, Paris.
- ALPINISME (Fournitures spéciales pour). — Voir Monjardet, Paris.
- ALRIQ, huiles minérales, 1, rue Marca-det, Paris. — Tél. 407-90.
- ALTERNANCE. — I ’erinc employé en élcctrotcclmique pour désigner la moitié de la période d'un courant alternatif, c’esl-à-
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- dire la moitié du cycle complet de variations Me l'intensité ou de la force électromotrice suivant la courbe ci-contre. *
- 11 y a donc par période deux alternances de signes opposés. Le nombre de périodes par seconde désignant, la fréquence, le nombre d’alternances par seconde est le double de la fréquence.
- Dans une dynamo à courant alternatif à une paire de pôles (bipolaire), la force électromo-Irice varie suivant une loi admise comme sinusoïdale à raison de deux alternances ou d'une période par tour. Si la machine fait i 5oo tours par minute, soit. 20 tours par seconde, le courant est à 20 périodes ou 5o aller-
- C
- OAB, alternance. — OB. temps <Ie l'alternance. — OABLI), période. —- Ol), temps de la période.
- nanccs par seconde. Avec une dynamo de meme vitesse, mais a deux paires de pôles ttétrapolairei, le courant est a 00 périodes ou 100 alternances par seconde.
- Si p est le nombre de paires de [tôles, Y la vitesse du rotor en tours par minute, le nombre d'alternances par seconde est :
- V
- ALTERNATEUR. --- Machine dynamo-génératrice produisant du courant, alternatif. Peut être ou à induit tournant, ou a inducteur tournant, ou a fer tournant. Dans ce dernier cas, on dit encore alternateur a réluctance variable.
- Le courant produit par un alternateur est admis comme variant, théoriquement suivant une sinusoïde. Pratiquement, on cherche à se rapprocher de la loi sinusoïdale: mais les courbes sont souvent déformées par ce qu'on appelle des harmoniques.
- ALTERNATIF \ Courant'. — Voir Courant alternatif.
- ALTERNATIF (Mouvement). — Ensemble d'un mouvement direct suivi d’un mouvement rétrograde. Ayant choisi un point comme origine des espaces sur la trajectoire d'un mobile (voir ce terme), on dira que le mouvement est direct, quand le mobile s’éloigne de ce point pendant que le temps croît, et que le mouvement est rétrograde
- quand le mobile se rapproche de ce point pendant. (pie le temps croît. Ou appelle quelquefois le mouvement alternatif mouvement pendulaire à cause de l'exemple typique qui en est fourni par le pendule. Le mouvement du piston d'un moteur est un mouvement, alternatif. Le mouvement d'une soupape est un mouvement intermittent, c'est-à-dire comportant des périodes de repos. Le mouvement alternatif d’un organe de machine doit s'effectuer à vitesse variable, passant par zéro aux lins de course, si l’on veut éviter les chocs. Le mouvement donné par une bielle ou un excentrique satisfait de lui-même à celte condition.
- ALTERNO-MOTEUR — G cite expression désigne les moteurs électriques alimentés par du courant alternatif. Ces moteurs peuvent être à courant mono ou polyphasé. Ils se divisent dans les deux cas en moteurs synchrones et, asynchrones.
- Un moteur alternatif est dit synchrone quand la force eonlre-éleelromot.rice qu'il engendre a ses phases qui se produisent en synchronisme (c'est-à-dire en même temps que celles du courant d’alimentation). Un moteur synchrone est constitué par un alternateur qui de générateur devient récepteur : le champ magnétique inducteur est donc produit, par un courant, continu ; il faut donc du courant continu [tour l’exciter.
- Un moteur alternatif est, dit asynchrone lorsque sa vitesse n'est pas absolument liée a celle du générateur et diffère de celle correspondant au synchronisme. Les moteurs asynchrones démarrent seuls, cl les moteurs polyphasés peuvent démarrer en charge, contrairement. aux moteurs synchrones. Le rapport de la vitesse de la partie tournante à celle du synchronisme s'appelle glissement. Il est en général égal à 1/1,00 ou 1/1,07.
- Les moteurs asynchrones monophasés sont dits aussi moteurs à champ alternatif simple.
- Dans les moteurs asynchrones polyphasés ou à champ tournant, le stator est, parcouru par des courants polyphasés; ces courants produisent un champ magnétique tournant qui entraîne le rotor qui est ou en court-circuit (cage d'écureuil) ou bobiné (à bagues). Démarrent en charge. Très répandus, par suite de leur construction simple et économique (il demandant un entretien très simple par suite de la suppression du collecteur (moteur à courant continu).
- Les moteurs asynchrones sont réversibles.
- ALUMINIUM (Al. =2;). — Valuminium est un métal blane-bleuàtro, dont la densité est. de a,06 (sensiblement celle du verre). Très ductile, malléable et sonore, il pèse 3 fois moins apte l'acier et f\ lois moins (jue l'argent dont il possède a peu près les qualités de ténacité et de dureté. Il fond à 620°.
- Magnétos R0UÇIE5, BOBINES
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- Téleplioqe 85
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- ALU
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- A M A
- Mctal très intéressant, particulièrement par sa légèreté ; il possède malheureusement quelques graves défauts dont les principaux sont : sa faible résistance, la trop grande facilité avec laquelle il est attaqué par l'acide chlorhydrique et les dissolutions alcalines, et la difficulté qu'il éprouve à se souder à lui-même ou à un autre métal.
- L’aluminium est très rarement employé à l’état pur; ses défauts disparaissent presque entièrement lorsqu’on l’associe soit au cuivre (bronzes d'aluminium), soit à la fonte (ferro-aluminium). Le laiton d'aluminium (cuivre, zinc, aluminium) possède une ténacité et une dureté considérables, de beaucoup supérieures a celles du laiton ordinaire.
- La bauxite et la cryolitbe, minerais les plus riches en aluminium, dont il est extrait, existent en grande quantité en France. L’aluminium est de plus en plus employé en automobile pour les panneaux de voiture, les carters et les pièces qui, quoique d’un grand volume, ont à subir peu d'efforts.
- La soudure de l'aluminium, à lui-même ou à d’autres métaux, est un gros problème qui est cherché depuis longtemps par de nombreux inventeurs. Elle sera toujours très difficile, parce que la mise en pratique de la soudure d’aluminium nécessite une grande habitude et , une habileté technique toute particulière, parce que, même bien effectuée, elle rend le métal avoisinant très fragile, et parce que les soudures ainsi obtenues sont chimiquement peu résistantes.
- Quelques spécialistes en la matière, encore assez rares, très habiles à manier le chalumeau, dont ils savent utiliser les qualités soit oxydantes, soit réductrices, à volonté, obtiennent pourtant d'une façon courante la soudure autogène de l’aluminium à lui-meme.
- On rencontre de grandes difficultés lorsqu'on veut, peindre directement l’aluminium, par exemple un panneau de voilure, par suite des réactions chimiques qui se produisent entre la pointure et le métal cl qui ont pour résultat d’empêcher l'uiie d’adhérer à l'autre. 11 est indispensable, en ce cas, (pie l’aluminium soit préalablement recouvert, d’un vernis neutre. On obtient ce vernis en faisant dissoudre, au bain-marie, 1 000 grammes de gomme-laque dans 3 000 grammes d'ammoniaque. On laisse refroidir, après dissolution complète, et on verse le vernis dans une bouteille en grès pour l'usage ultérieur. La pièce à vernir est décapée avec soin, séchée et, après vernissage, éluvée pendant deux heures ; 011 peut ensuite appliquer toute peinture ordinaire, qui adhère; alors avec grande résistance, sans être attaquée par le métal qu'elle recouvre.
- — C11 au s sel a'r, soudure autogène, 11, rue Princesse, Paris.
- ALUMINIUM (SociétéNouvelle de llra-ffve cl. de Soudure de /), /jo, rue de la lour-d’Auvergne, Paris.
- ALVARGONZALEZ, fabrique d'automobiles llormiga, à Gijon (Espagne)'.
- A. M. (Ecole de chauffeurs). Y oh-Mule-ville, ad, rue Louis-Blanc, à Levallois-Perret, (Seine).
- AMALGAMATION. L'amalgamation est un procédé qui consiste à recouvrir de mercure le zinc et qui l'empêche d'être détérioré trop rapidement. Le zinc, employé dans les piles notamment, est toujours amalgamé.
- On peut amalgamer le zinc en le frottant de mercure au moyen d'une brosse, mais il est bien préférable d'amalgamer dans la masse, c’est-à-dire en incorporant du mercure (a à 5 0/0) au zinc en fusion.
- Amalgamé, le zinc ordinaire du commerce se comporte absolument comme s’il était « chimiquement. pur »; il 11e se dissout plus ainsi; dans l’eau acidulée qu'en circuit fermé.
- AMALGAMER. — Opé ration pratiquée sur les électrodes zinc des piles d'allumage ou des piles de mise en charge des accus. Elle consiste à incorporer du mercure dans le zinc, do façon à déterminer la formation plus ou moins profonde d'un alliage (ou amalgame) de zinc-)mercure (pii, à circuit, ouvert, ou quand la pile ne travaille pas, est peu ou pas attaqué par le liquide électrolylique. Le-zinc pur remplit ces conditions ; au contraire, le zinc commercial, renfermant de minimes quantités de métaux étrangers (plomb, étain, etc.), est fortement attaqué. Voir A malt/a-malion.
- AMAND (G.), a.."), avenue de Wagram, Paris, Tél. nn/t-pp. Représentant, à Paris des automobiles Pilain (Paris,
- Ouest et Nord de la France).
- —- Né à Paris le ao décembre 1 8 ’j 5 . A p r è s a v o i r p a s s é; trois années en Angleterre, M.
- Amand revint à Paris ofi il fut successivement secrétaire de M.
- Dufaycl (i8p8 à ipooj, et chef de l’atelier de réparations de ( lard n e r-S e r-pollet (ipoo à ipoü). Créateur d'un des premiers garages modelés de Paris. ;
- AMANS, pneumo-suspension Amans. — Voir Mans (Belgique) ; et Uluenzcr et C"\ Paris.
- .M. Am Axa
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- CHAUSSELAT, ii, 12, 13, rue Princesse, PARIS - Téléph. 825-39
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- AMATEUR. — Ce mot désigne dqns le sport, quel qu’il soit, l'homme qui uc le pratique ou ne prend part à un concours que par amour du sport, toute idée de lucre étant écartée. Un amateur ne touche donc jamais un prix en espèces. 11 11e prend part à aucune course dans laquelle ligure un professionnel (homme qui l'ait son métier du sport qu’il pratique). 11 ne doit ni aider, ni même entraîner un professionnel sous peine d’etre déclassé et d’etre déchiré professionnel lui-mémo. — Quand un amateur devient professionnel, 011 dit, en langage spécial, qu'il tourne pro.
- AMBLARD (Auguste).—NéàCliézy-sur-Marnc (Aisne), le 12 août 187.3. Débuta aux usines Darraeq où il fut employé à la mise au point; de là, il passa à la maison Mors, où il courut pour cette maison les épreuves du Mille et du Kilomètre à Nice, la course Paris-Vienne, puis Paris-Madrid. La meme année (njo.'î), Amblard gagna la course de Dix kilomètres à Ostende ; il disputa, en 190/1, le Circuit des Ardennes belges sur une Ilotch-kiss ; enfin, en 190b, dans la course de côte du Mont-Cenis, il enleva la seconde place sur voiture Ilala.
- AMBLARD (Garage), commerce d'automobiles. t\, rue de Bordeaux, à Tours (Indre-et-Loire).
- AMBULANCES AUTOMOBILES
- pour le transport des malades, 28, rue Serpente, Paris. Tel. 8:30-/10.
- AMBULANCE MÉTROPOLITAINE, voilures automobiles pour malades, 3(), rue de Chàteaudun, Paris. Tel. 235-37.
- AME. — L âme d’un câble électrique est, l’ensemble des fils conducteurs dont est composé ce câble. L’àine d’un conducteur électrique bien fait est généralement formée par une réunion de plusieurs fils fins. Le conducteur est ainsi beaucoup plus souple et plus solide.
- AMERICAN AUTO STORAGE C°,
- vente d’automobiles, 4° W. (io th. Street, à New-York (Etats-Unis).
- AMERICAN BALL BEARING C°,
- fabriques de billes en acier, Edgewater Park, à Clcveland (Ohio) Etats-Unis.
- AMERICAN BATTERY C\ accumulateurs The American, i(55, South Ulinton Street, à Chicago (Etats-Unis).
- AMERICAN EXPRESS C8, transport d'automobiles, 11, rue Scribe, Paris.
- AMERICAN GARAGE (L. Bousquet), vente d'automobiles, 54, avenue Montaigne, Paris. Tel. (>7i-(>8. Ad. tél. Bousqaulo-Paris.
- AMERICAN INDUSTRIES , revue, 8o5, Maiden Lane Bldg, à New-York (Etats-Unis).
- AMERICAN LOCOMOTIVE AUTOMOBILE C°, construction d’automobiles, 188G, Broadway, à New-York (Etats-Unis). Agent : M. II. Jones, 4o, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- AMERICAN MOTOR CAR C°, fabrique d’automobiles The American, à Indiano-polis (Indiana) Etats-Unis.
- AMERICAN MOTOR LEAGUE,
- ligue de chauffeurs, Vanderbilt Building, à New-York (Etats-Unis).
- .AMERICAN MOTOR TRUCK C°,
- fabrique de camions automobiles, à Lockport, (N. Y.) Etats-Unis.
- AMERICAN REGISTER, journal, 8, place de l’Opéra, Paris.
- AMIANTE. —L’ amiante ou asbeste est un minéral ; c’est un silicate double de chaux et de magnésie qui a la singulière propriété d’etre complètement inaltérable à la chaleur.
- On l’emploie actuellement beaucoup dans l’automobile sous forme de fil et carton. Presque toujours les joints des moteurs à explosion, les joints de circulation d’eau, etc..., sont faits en amiante revctuc d’une légèro tôle de cuivre qui en empoche l’émiettement (joint métallo-plastique).
- — Coiuiot, 87, boulevard Gouvion-Saint-Cyr. Paris.
- — Eahgèhe (Vital) aîné, 3, rue Paillon, Saint-Etienne (Loire).
- — IIuniuque, 4.1, av. de la Gdc-Armcc, Paris.
- AMIANTE DU CAP (C‘8 française de l"), amiante, rue de la Cerisaie, Paris. Tél. iaG-85.
- AMIANTE (Société française de T) et
- COURTOIS-BELL et C'8 REUNIS,
- amiante et produits isolants, 7, rue La Boétie, Paris. Tél. 219-27. Ad. tél. Lorzin-Paris.
- AMICO DEL AUTOMOBILISTA
- (L’),Revue pratique d’automobile. 19. rue Maria Vittoria. à Turin (Italie). — Rédacteur en chef : Chevalier E. Biancbi d’Espinosa.
- AMMONIAQUE. — Voir Alcali
- AMORCER. — A morcer, c’est rompre l'équilibre d'un fluide ou d'un liquide en créant une dépression, ou une pression atmosphérique ou artificielle, qui aura pour résultat l’entrainement automatique de ce fluide ou de ce liquide.
- Pour amorcer un siphon, 011 crée une dépression en aspirant le liquide jusqu'à ce
- E
- I LM ELI (J R
- f’Altts, t7 rue Laeordnirc
- MAGNETOS - BOBINES BOUGIES - AVANCES, etc.
- CATflLOUUE GÉNÉRAL
- DEMANDE
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- qu’il ait atteint le point le plus élevé du siphon ; la pression atmosphérique intervient ensuite par la plus grande branche.
- Pour amorcer un brûleur ou un carburateur, on crée une pression artificielle sur ressence au moyen d’une petite pompe à air ; cette pression, nécessaire quand le réservoir d’essence n’est pas à un niveau supérieur (quelquefois même il est inférieur), est ensuite entretenue dans le réservoir par les gaz de l'échappement.
- On dit quelquefois qu'on amorce un carburateur lorsque, agissant sur le poussoir, on (( noie » le flotteur et qu'on est ainsi bien certain d’avoir un excédent d’essence, ce qui peut faciliter la mise en marche du moteur.
- AMORTISSEUR. — Le mot amortisseur est une expression assez vague qui évoque l’idée d'un ou de plusieurs ressorts destinés à absorber, en partie plus ou moins grande, les chocs ou les vibrations qu’une voiture peut subir.
- Les amortisseurs existent sous forme de transmetteurs' fabriqués en acier ou en caoutchouc, qui atténuent les effets d'un embrayage trop brusque ou d’un moteur trop brutal. ils sont de plus en plus employés pour diminuer la plongée de la caisse, de meme que la violence et la continuité des soubresauts subis par réaction avec le sol, résultats qu’ils obtiennent en (( freinant » pour ainsi dire les ressorts de suspension et en diminuant l’amplitude de leur course. —Voir Suspension.
- SCHEMA d’aMOIUTSSKUIIS A PISTONS
- AA, corps des amortisseurs. — B, brides de maintien. — C, châssis. — R, ressorts do la voiture. — TT, tiges des pistons.
- Ces amortisseurs sont : soit des compas (suspension Truffault), dont les articulations plus ou moins serrées s’opposent à l'ouverture aisée des deux branches de ces compas; soit des cylindres où l’air qu’ils renferment (amortisseurs Mors) est comprimé par des pistons pleins ; soit des cylindres remplis d’un mélange liquide, tel que glycérine et eau, ou huile (Renault Frères), dans lesquels se meuvent avec effort des pistons percés de trous de petit diamètre offrant au passage de ce liquide à travers eux une grande résis-
- tance (voir Dash-Pol) ; soit des ressorts à boudin ; soit des disques frictionnant les uns contre les autres comme dans un embrayage à disques (Panhard), etc... Le nombre des amortisseurs imaginés depuis deux ans est considérable — Voir Omnia, n0i 45, 46 et
- | — Renault fueues. i3q, rue du Point-du-
- Jour, à Billancourt (Seine).
- — Amortisseurs de chocs. — Rondelles ou cylindres A en eaulchoue épais, que l’on fixe au-dessus de la lame-maîtresse des ressorts, et qui ont pour but d’éviter ou tout au
- ÀMOHTISSKL’H de chocs
- moins d'amortir considérablement le choc de la caisse G sur l’essieu, lorsque la voiture réactionne violemment, au passage d’un cassis profond, par exemple.
- AMORTISSEUR PNEUMATIQUE
- B. P. —Voir Bernard etPatoureaUj Paris.
- AMOUDRUZ (yl.), pièces détachées, 2/^ rue d'Armaillé, Paris. Tel. 56i-8G. Adr. toL Amdru-Paris.
- AMPÉRAGE. — Expression fausse qui est trop souvent employée pour désigner {'intensité d'un courant. — Voir ce mot.
- AMPÈRE. — Unité pratique d’électricité par laquelle on mesure l'intensité d’un courant (voir ce mot) traversant un circuit. L’ampère est l’intensité du courant qui traverse , un circuit dont la résistance est un oiwiy ! quand la différence de potentiel aux bornes j de ce circuit est de un volt. — C’est encore : l’intensité du courant qui est nécessaire pour, dans un bain d’électrolyse, fournir en une seconde un dépôt de 1,118 milligramme d’argent. Le nombre d’ampères se mesure en intercalant un ampèremètre dans le circuit. L’ampère tire son nom du physicien français Ampère qui démontra les lois de l’élec-tromagnétisme. — VoiiTouvrage VAllumage de Baudry de Saunier.
- AMPÈRE-HEURE. — Si un courant d’un ampere, au lieu de se produire pendant une seconde, se produit pendant une heure, il donne naissance à un effet 3 600 fois plus grand. On 11’a pas donné de nom spécial à cette unité de quantité que l’on désigne sim-
- Automobiles RFNAIIIT FRFRF Ç Billancourt
- l«iuuiiiuinitv IILIIHULI 1 I1LI1L .O (Seine)
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- plement suus le nom <ï ampère-heure yt qui vaut 3 (ioo coulombs.
- L'ampère-heure esl. à peu près uniquement, employée pour estimer la capacité d'un accu-mulaleur. Dire qu’un accu a une capacité de jo ampères-heure, signifie qu’il est, capable de fournir un courant, de 10 ampères pendant, une heure, ou de 1 ampère pendant, 10 heures. Ceci n’est pourtant, pas exact, car l'intensité du débit a une influence très sensible sur la capacité d'un accumulateur. — Voir les Recette.v du ühuu/jfeur de 15. de S.
- AMPÈRE-SECONDE. --- La définition de l'ampère est, insuffisante pour estimer la quantité d'électricité qui traverse un circuit.; il faut y ajouter la notion do temps. 11 faut, en effet, savoir si le nombre d'ampères donné traverse le circuit, pendant, une seconde ou pendant x heures.
- E11 pratique, lorsqu'on parle d’ampères, c'est, toujours à'ampères-seconde qu’il s’agit ; l'ampère-seconde a reçu le nom de coulomb en l’honneur du grand physicien français de <•0 nom, mais celte appellation 11'a pas franchi les portes des laboratoii'es de physique. Lu courant, d'un ampère est, donc en pratique celui qui transporte une quantité d'électricité de un coulomb par seconde.
- AMPÉRE-TOUR. L'ampère-tour est, l'unité de force magnétisante employée en pratique, vu sa commodité, de préférence à i'unité L. ti. S. appelée gilbcrl. Un ampère-fl 1Z .
- tour vaut !- gilberl, soit i,«f>(i gilbcrt.
- 10
- La force magnétisante en ampères-tours permet, de calculer les dimensions d'un enroulement devant, produire un flux magnétique donné.
- Supposons que dans un éleclro ou inducteur il nous faille un flux magnétique de 3oo 000 unités ; si nous voulons dépenser très peu comme ampères, nous devons choisir une faible induction, soit, par exemple, si c’est du fer doux que nous employons, 10000 unités: dans ces conditions la section du noyau de fer doux devra cire de
- 3oo 000 „
- ------- = 3o cm-.
- 10 000
- Pour produire
- re dans du fer doux une induction de 10 000, la table donnée au mot, Force magnétisante indique qu'il faut une force magnétisante de t\ ampères-tours par centimètre, si lu longueur du circuit magnétique constitué par l’éleclro et, son armature ou l'inducteur et l'induit est par exemple de 1 mètre, il nous faudra donc au total 4 X 100 4oo amp.—tours. Si nous voulons dépenser seulement, o,5 ampère dans l’excitation, il
- faudra donc donne:
- l'enroulement
- 4oo
- 0.5
- = 800 tours. — Voir Force magnétisante et Ligne de force.
- AMPÈREMÈTRE. — Appareil servant à mesurer l'intensité d'un courant. On devra choisir de préférence un appareil « apériodique » (voir ce mot), dont la lecture est plus précise. Un ampèremètre, contrairement au voltmètre, se place toujours « en série », c’est-à-dire est intercalé dans le circuit; un voltmètre au contraii-e se place « en dérivation », c’est-à-dire est à cheval sur la ligne. Enfui, lorsque l'intensité à mesurer est trop grande, par exemple 00 ou 100 ampères, on emploie un shunt, intercalé en série avec le circuit et l'éuni à l'ampèremètre par deux cordons. Il est très important de conserver rigoureusement, les cordons fournis avec l'appareil et de 11c pas les changer, ni les allonger ou les raccourcir, car 011 fausserait totalement les indications.
- — (iiANOi.r. 2(1, boulevard Magenta. Paris.
- — Ifiuscu (E.). afi, rue de Lrussol, Paris.
- — Lacoste, 28, boulevard de Strasbourg, Paris.
- —- Nu.mislioh, /|37, rue Lacordaire. Paris.
- AMSTOUTZ (F.), fabrique de motocyclettes et de moteurs, à Besançon (Doubs).
- ANCEAUX. fabrique de moteurs, 10, rue de Lyon, Paris. — Tél. yia-44.
- ANCEL, appareils d'allumage « Ella », i3, rue Brochant, Paris.
- ANCHE. — L'anche d'une trompe est, une languette de cuivre qui, sous l'e/fet de l'air comprimé par la poire de caoutchouc, est, animée d'un mouvement de va-et-vient, très rapide et produit, ainsi dans l'air chassé hors de la trompe des vibrations, qu'amplifient, le tube de diamètre croissant et surtout le pavillon.
- ANCRE (pour ballons). — Les modèles d’ancre les plus employés pour les ballons sont la classique ancre de marine, l'ancre à. double jus (système Besançon), l'ancre à jas actif (système Hervé), l'ancre-chaîne (système Renard) dans l’aérostalion militaire.
- L'ancre est employée à l’at-l-errissagc comme engin d'arrêt.
- ANCRE (lé), protecteur antidérapant. Voir Dulrieux-Lainelin, au Qucsnoy (Nord).
- ANDERSON and SONS, fabrique de crics, a4, Saint-Aubin Avenue, à Détroit (Michigan ) Etats-Unis.
- ANDRE, canoës américains, 5/j, boulevard llaussmann, Paris.
- ANDRÉ (Georges), plaques pour automobiles, ~i, rue du Temple, Paris.
- ANDRÉ et LAPIERRE, vente d'automobiles, (i, rue Poisson, Paris.
- ANDREW and C°, garage, 10, Atlie-naeum Place, à Plvmouth (Angleterre),.
- ALLUMEUR
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- ANDRILLON, garage, ai, cours Lieu-taud, à Marseille (Bouchcs-du-Hliùue). Tel. 2G-09. — Adr. tel. Pneu ni iclin-M a rseille.
- ANDRU, vente de motocyclettes, 10, rue Saint-Quentin, Paris.
- ANFRY (Lucien), publiciste, if>4, rue de la Convention, Paris. Tel. 709-2-, — Collaborateur à la Société de Publications automobiles.
- ANGLADA, lubrique d'automobiles, à Puerto de Santa Maria (Cadix), Espagne.
- ANGLO-AMERICAN MOTOR CAR C», Ltd, vent:1 d’automobiles, 19, lleddon Street, Regenl. Sreel, à Londres (Angleterre).
- ANGLE. — Symbole : a (petit alpha) et [i (petit bêla). — U11 angle est une figure géométrique formée par deux lignes, appelées colés de l’angle, qui se coupent en un point nommé sommet.
- Pour la mesure des angles, mesure (pii est effectuée matériellement .au moyen durapporteur, il a été universellement convenu
- A.vcu.r: droit Axui.k .u<;<
- ipie l'angle droit (angle formé par deux lignes droites perpendiculaires) vaudrait. 90" (90 de-prés).
- Il y a trois sortes d'angles : l'angle droit, (90°) : l’angle aigu (moins de 90"); l'angle obtus, (plus de 90°).
- Le service de l'Armée lrançaise 11e mesure pas les angles au moyen de degrés, mais au moyen de grades : l'angle droit a 100 grades.
- ANGLE DE CALAGE. - L'angle de calage est l'angle que forment entre elles, par rapport à l'arbre du moteur, les manivelles d'un vilebrequin.
- il en est de même pour les cames (pii, montées sur un axe commun, sont calées, par rapport à cet axe,sous des angles plus ou moins grands, d'après les
- A.NÜ1.E UE CAMES (vil Cil llOUt) calculs CXilCtS (lll
- , const ructeur. Ainsi,
- dans la figure, si nous supposons un arbre à cames 0 vu en bout, l'angle de calage entre les cames A et B est de !\ô° et de 90° entre les cames 15 et C.
- ANGLE MORT. — Lorsqu'un mouvement rectiligne (le mouvement, d'un piston dans son cylindre) est transformé en mouvement circulaire par la combinaison d’une bielle et d'une manivelle, la manivelle M, dans son mouvement de rotation, passe par
- Schéma exi'eicatie de i.’anoi.e mort eoumé par
- l NE MANIVE1.EE ET CNE DIELI.E.
- deux points symétriques A et L), où le travail produit, par le pistou moteur 11e (end qu'à appuyer l'axe du vilebrequin sur son palier et non pas à obtenir un mouvement rotatif, l’ensemble des forces passant par une ligne droite. Le travail utile étant alors égal à zéro, les deux positions, en A et en 1), de la manivelle sont appelées jioinls morts.
- Si, au moyen de la manivelle de mise en marche, ou par suite de la puissance emmagasinée par le volant, ces points A et, D sont dépassés, l'extrémité E delà manivelle (point d accrochage de la tète de la bielle) passe d’abord par une période utile de puissance croissante jusqu'à un maximum (point P), position où la bielle agit normalement avec, le plus grand bras de levier. Diminuant ensuite de puissance, elle passe par le deuxième point mort, 1).
- Dans les machines à vapeur, il y a, par tour complet, deux points de puissance nulle A et, I), et, deux points de puissance maxima P et P’, la vapeur agissant ordinairement sur les deux faces du piston. Un moteur à explosion comporte 2 points morts A et D et un seul point P de puissance maxima, l'explosion 11e se produisant, habituellement (pie sur la face supérieure du piston. 11 11'y a alors qu'une faible partie (d'un angle “vif” ou “utile” d’à peine 120°), de la circonférence décrite par l'extrémité E de la manivelle, où le travail soit, utile : l’angle mort est donc énorme puisque, sur .‘3(>o°, il atteint largement o°, soit les 2 d ; n'oublions pas que, de plus, ces al\o" de rotation inutile sont,, dans les monocy-lindres, suivis de dfio autres degrés, aussi inutiles et, même nuisibles (temps de l'aspiration et, de la compression). D’où, pour les moteurs à un setd cylindre, la nécessité d’avoir dos volants très lourds, dont, la grande force vive facilite le “ franchissement ” de ce terrible angle mort.
- LA PERFECTION MÊME
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- A N I
- ANN
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- De nié me, en bicyclette, existent les deux mêmes angles morts où la pression, produite sur la manivelle par la jambe et le pied du cycliste, n’a plus d’effet utile ; mais il i'aut bien observer que le cycliste rentre complètement dans le cas d'une machine à vapeur à double effet, ou d’un moteur à pétrole à 4 cylindres, l’un des pieds intervenant toujours pour aider l’autre à dépasser l'angle mort dans son mouvement de rotation. — Dans le rélropédalage, l’angle mort est moindre qu’il ne l’est dans la marche ordinaire en avant. — Voir Temps d'un moteur.
- ANIMAUX. — Le chauffeur qui aura tué ou blessé, par sa faute, un animal domestique, devra en indemniser le propriétaire. 11 pourra même, en certains cas (excès de vitesse ou mauvaise direction), etre poursuivi en simple police.
- Si l'animal s’est jeté lui-même sous les roues de la voiture, ou si son maître l’a laissé errer, imprudemment et contrairement aux règlements, sur la chaussée, le chauffeur ne doit pas etre rendu responsable, à moins qu’il n’y ait faute du conducteur.
- Si un accident survient au chauff eur par le fait d'un animal, le propriétaire de cet animal est responsable, de droit, sans qu’il soit besoin de prouver sa faute.
- ANIONS. —I ..es anions sont, en électrochimie, les corps décomposés qui se rendent à l'anode, c’est-à-dire au pôle positif de la source électrique.
- ANKLE-PLAY. — L'an/cle-play est une suite de mouvements du pied qui permettent d’actionner continuellement la pédale aussi bien ascendante que descendante. C’est une façon de pédaler à bicyclette qui, très usitée il y a quelques années, est à peu près abandonnée auiourd’hui.
- ANNALES TECHNIQUES (Les), revue, 52, rue Saint-Georges, Paris. Tel. 252-90.
- ANNEAU DE GRAMME. — Le
- Belge Zénobie Gramme est l’inventeur de la dynamo moderne, et c’est grâce à la découverte de son “ anneau ” que l’électricité a pris le développement que nous lui connaissons.
- L’anneau de Gramme est une armature en fer doux, ayant comme le montre la ligure la forme d’un anneau, et que l’on place dans le champ magnétique des pôles N et S de l'inducteur de la dynamo. Autour de cet anneau, et solidaires avec lui, on dispose un certain nombre de bobines, au nombre de G sur la ligure, dont les points de jonction sont reliés par un conducteur a une lame de collecteur.
- Dans ces conditions, si nous faisons tourner l'anneau, et les bobines par conséquent, le déplacement de ces bobines dans le champ magnétique donne naissance à un courant induit, amené au collecteur par les attaches
- reliant cet organe aux bobines. Le courant est recueilli sur le collecteur lui-même par des frotteurs ou balais.
- La collection du courant s’effectue suivant
- Schéma d’un anneau Gkammk
- la ligne neutre a b perpendiculaire à la direction du llux magnétique. — Voir Induction magnétique.
- ANNUAIRE-ALMANACH DU COMMERCE (Didot-Botlin), no° année de publication, 54, rue Jacob, Paris. Tél.'727-14.
- ANNUAIRE DE LA CARROSSERIE ET DE L’AUTOMOBILE, 114, rue
- Lafayelte, Paris.
- ANNUAIRE DE LA TRACTION AUTOMOBILE, 138, rue Amelot, Paris.
- ^ ANNUAIRE DE ROUTE, édité par l’Automobile Glub de France et rédigé sous la direction de M. Louis Dumontpallier, président de la Commission des services extérieurs do l’A. Cl F. — 8° édition, en 1907. — 6, place de la Concorde, Paris. Tél. 234-99. Ad. tél. Auloclub-Paris.
- ANNUAIRE GÉNÉRAL DE L’AUTOMOBILE, édité par F. Thévin et Cle, 38 bis, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél. 546-78.
- ANNUAIRE GÉNÉRAL DES SPORTS ILLUSTRÉ, 125, rue Montmartre, Paris. — Editeurs : MM. Walter, Gervais et Cle,
- ANNUAIRES de l’A. C. F., du
- T. C. F., de l’U. V. F.— Recueils publiés chaque année par nos grandes Associations françaises de tourisme ou de sport
- ANNUAIRES (Société fermière des), 53, rue Lafuyette, Paris.
- ANNUAL. — Mot forgé et déposé par Baudry de Saunier pour désigner une publication annuelle qui est à la fois un annuaire, un dictionnaire et un manuel général de l’industrie automobile.
- ANNUAL (Société de T), 20, rue Duret, Paris. Tél. 676-02. Ad. tel. Omnia-Paris.
- Signaux indicateurs lumineux m g i 1 p» 60, rue Desrenaudes, 60
- VOITURES AUTOMOBILES »« > SLm Eu? EL PARIS (Av, Nlel)
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- ANN — 65 — ANT
- L’Annual Baudry de Saunier paraît tous les ans au mois de Janvier.
- L'Annual a obtenu un Grand Prix à l'Exposition Internationale de Milan 1906.
- Prière d’adresser toutes les demandes de publicité, rectifications, etc., à M. Hubert Baudry, administrateur de Y Annual, avant le 15 octobre au plus tard. ““““
- ANODE. — L'anode est une lame conductrice (une des deux électrodes) qui, reliée au pôle positif d’une source électrique, en amène le courant dans un bain élcclroly-tique. — L'anode désigne aussi le pôle positif d’une pile ou d’un accumulateur ; 011 l’indique par le signe -|- ou par la coloration rouge des bornes.
- ANSALDI-CEIRANO (Sociela Pie-monlese Automobili), construction d'automobiles de tourisme de 2/4 et chevaux (marque S. P. A.), Barricra Crocctta, à Turin (Italie). —- Société anonyme, au capital de 1.000.000 de francs.
- ANSELME, garage, 80, rue de Paris, à Auxerre (Yonne).
- ANSERMIER, garage, rue de Lausanne, à Genève (Suisse). Tel. 3i52.
- ANSOT ET C‘”, fabrique de moteurs, 3g, rue do Flandre, Paris. Tel. /101-90.
- ANTHOINE, fabrique de pneumatiques, S, rue Legouvc, Paris.
- ANTIBES (Chantiers d’), (Etablissements L. de Cesti), constructions navales, à Antibes (Alpes-Maritimes).
- ANTIBUÉE (crayons). — Produits destinés à combattre la formation de la buée sur les vitres de la carrosserie automobile ou sur les ver res de lunettes du chauffeur; sont constitués par des mélanges do substances grasses (suifs, axonges, vaselines), additionnés de produits légèrement durcissants (cires, résines, paraffines), destinés à leur donner du corps.
- ANTICONGÉLATEURS. — Produits utilisés, pour obvier, en hiver, à la prise en glaçons de l’eau de réfrigération du moteur, phénomène susceptible de provoquer l'éclatement des cylindres. Gomme anticongélateurs pratiques on peut employer : la glycérine (choisir une bonne qualité), à la dose de •3o % de T eau employée ; les sels métalliques facilement solubles, tels que le chlorure do sodium (sel de cuisine) (NaCl) et surtout le chlorure de calcium (CaCl-) ou le chlorure de magnésium (MgCl-) aux doses de 200 grammes environ par litre d’eau employée. Enfin, on peut en certains cas remplacer l’eau pour réfrigération par un liquide incongclable et non volatil, tel que les huiles minérales lourdes
- de pétrole ou même des huiles végétales (huile de colza, huile de coton).—Voiries Recettes du Chauffeur, par B. de S.
- ANTIDÉRAPANTS. — Le dérapage étant un défaut inhérent à la nature même des véhicules automobiles. par suite de la disposition de leurs organes, il est impossible d’en supprimer totalement les causes premières : le seul progrès qu’on puisse réaliser consiste donc à en combattre les effets. Tous les pneumatiques ordinaires dérapent ; c’est un fait d’expérience malheureusement indéniable, parce que leur adhérence au sol est insuffisante et que le roulement 11 ’ a que trop de tendance à
- se changer en glissement dans le sens latéral aussi bien que dans le sens du roulement.
- Le véritable progrès à obtenir était donc que le pneumatique arrivât à adhérer aussi bien à un sol détrempé et glissant qu’à un terrain sec. On a été amené logiquement à garnir sa périphérie de clous ronds, carrés, pointus; de chaînes, do bandes métalliques, etc., etc., de tous métaux, de toutes formes, de toutes dimensions..., inventions sensiblement analogues, malgré leur immense variété, qui ont pour but d’augmenter l’adhérence au sol du caoutchouc mouillé et de diminuer ainsi les glissements intempestifs et fort dangereux do la voiture.
- Quelques inventeurs 11e font subir aux pneumatiques aucune modification, mais ils disposent sous la voiture automobile un sys-
- Coupe
- de i.’anudkhapant Vui.can.
- A, bande de cuir, garnie de clous. — H, cuir. — E, carcasse. — T, talon.
- AntIDGUAI-ANT A ÜAI.ET MOBILE
- tème comportant un petit galet à griffes ou une béquille mobile, qui n’entre en fonction, en griffant ou en coinçant plus ou moins avec
- j Voitures MORS, 48, rue du Théâtre - PARIS j
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- le sol, que lorsqu’il se produit un glissement latéral du véhicule, mais ces appareils ne sont pas encore dans le commerce.
- Lorsqu’une voiture ne porte qu’un seul antidérapant, on le place toujours à l’une des deux roues arrière. Si l’on se sert de deux antidérapants, on conseille ordinairement d’en mettre un à l’avant, l’autre à l’arrière, du même côté de la voiture, ou en diagonale ; ainsi placés, ils paraissent donner les résultats les plus avantageux. Quelques constructeurs, cependant, soutiennent par de bons arguments que les roues arrière doivent être toutes deux garnies d'antidérapants afin que le différentiel ne travaille pas de façon anormale.
- — Beau et G'0, 171, cours Lal'ayette, Lyon (Rhône).
- — Buchillet, antidérapant Vulcan, 4?» rue Saint-Ferdinand, Paris.
- — Continental, i46, avenue de Malakolf, Paris. — Antidérapant, dit llouge-Ferré, fabriqué sans cuir. — Son système de ferrure est très solidement lixé dans une courroie en fortes toiles, noyée dans le caoutchouc. L’expérience a prouvé que, étant beaucoup plus robuste et aussi souple qu’un pneumatique ordinaire, il chauffe encore moins que ce modèle.
- — (îoliath (antidérapant), 18, avenue de l’Alma, Paris.
- — Michelin (antidérapant La Semelle), à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), a créé, en kjo5, un antidérapant qu'il a appelé la « Semelle Michelin ». C’est un pneu rendu difficilement perforable par une courroie de cuir qui forme sa bande de roulement, et antidérapant parce que cette bande de cuir est munie de rivets en acier cémentés et trempés. La caractéristique do la Semelle Michelin est sa souplesse, qualité extrêmement rare dans un antidérapant.
- ANTI-FOUILLOY (£,’), antidérapant. — Voir Fouilloy, Paris.
- ANTIFRICTION. — Lorsque deux pièces d’un même métal frottent rapidement l'une sur l’autre, elles ont les plus grandes chances, même malgré un bon graissage, de s'échauffer et de finir par gripper, ce qui peut, en automobile particulièrement, amener les plus graves accidents. Par exemple une roue d’automobile pourrait en marche se caler presque instantanément, et produire la pire catastrophe. Aussi ces roues sont-elles toujours montées soit avec des billes, qui offrent à ce point de vue le maximum de sécurité, soit sans billes, mais alors avec une bague en bronze frottant sur un axe d’acier, le tout parfaitement graissé; l'un des deux métaux usera l’autre, mais sans écbaufl’ement notable.
- On a remarqué que des métaux tels que l’étain, l’antimoine, le cuivre, combinés entre eux, peuvent former des alliages ordinairement blancs, appelés antifriction, qui offrent une
- très faible tendance à réchauffement et une grande sobriété au point de vue des huiles de graissage : ces qualités proviennent de ce qu’ils possèdent une structure dure en même temps que relativement élastique qui permet aux arbres de se bien mouler dans leurs coussinets et par suite de reposer sur eux par la surface do contact prévue par le constructeur, sans l’obliger à un ajustage idéal.
- Aussi ces alliages sont-ils très employés en mécanique, particulièrement pour les coussinets de machines à grande vitesse, les tètes de bielles, les boîtes d’essieux, etc.
- — Rogehs et Cie, 1, rue Saint-Georges, Paris.
- ANTIMOINE (Sb = 121). — L'antimoine est un métal blanc, très cassant, pulvérisable, extrait le plus souvent de la stibine. Sa densité est de 6,80. Il fond à 45o°. L’antimoine durcit les métaux auxquels il est allié; 011 l’uLilise dans les caractères d’imprimerie, le métal anglais, les alliages anti-friction, etc.
- ANTIPANNE [L’), appareil pour réparer les pneumatiques. — Voir Mestre et Blatgé, Paris.
- ANTIPUTRIDE. — Produit destiné à combattre la pourriture de l'entoilage des enveloppes quand, le croissant et la bande do roulement étant perforés, l'humidité a pénétré par imbibition et capillarité jusqu'au textile contenant le tissu ou entoilage. — Voir Roy (Le), chimiste.
- ANTOINE, garage, 8, rue de la Rochelle, à Bar-le-Duc (Meuse).
- ANTOINE Fils et C‘°, fabrique- de moteurs et de motocyclettes, 41 » quai St-Léo-nard, Liège (Belgique). — Voir Marbais et Lasnier, Paris.
- ANTOINETTE (Société), construction de moteurs, 10, rue des Bas-Rogers, à Puteaux (Seine).
- ANTON RUTGERS et C°, vente d’automobiles, 55, Ilochstrasse, à Aix-la-Chapelle (Allemagne).
- ANTONIETTI et UGONINO, garage, 1, corso Valdocco, à Turin (Italie).
- ANVERS (Atelier-Garage </'), vente d’automobiles, 2G, rue 'Jésus, à Anvers (Belgique).
- ANZANI (Alexandre), coureur à motocyclette, né à Milan, le 12 décembre 1878. Gagna, en rqo4, le Championnat du Tiers de litre, le Meeting d’Arras et la Coupe Hydra ; en igo5, le Championnat du Monde, et devint recordman du monde de l’heure et des 100 kilomètres.
- L’Antidérapant
- GOLIATH
- n’est pas an pnea cair
- l’Alma.
- PAMUS
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- ANZANI, moteurs à pétrole. — Vcir Mouniée et Anzani.
- ANZIN (Forges et Aciéries d'). — Voir Denain et Anzin.
- APÉRIODIQUE. — Se dit des instruments de mesure dans lesquels le mouvement oscillatoire est amorti, l’aiguille prenant presque intantanémeut sa position d'équilibre. Au point de vue pratique, un appareil apériodique permet d'effectuer rapidement et aisément une lecture, alors que, dans le même appareil non amorti, il faut attendre longtemps avant que le balancement de l’aiguille se soit arrêté.
- Les ampèremètres et voltmètres sont généralement amortis par l'emploi d’une masse de cuivre se déplaçant dans un champ magnétique ; les instruments de mesure non électriques sont amortis par l'emploi d’un matelas d’air ou d'une solution visqueuse (glycérine le plus souvent).
- APIS [Automobiles). — Voir Palermi-tani (Automobili), Italie.
- APLOMB. — L aplomb est synonyme de la verticale, la perpendiculaire à l’horizon ; sa direction est celle que donne la pesanteur. Une pièce n’est pas d'aplomb, ou est placée hors de son aplomb, quand la ligne verticale indiquant le centre de gravité tombe en dehors du milieu de la base de cette pièce.
- — Aplomb (d’). — Se dit de deux pièces montées perpendiculairement l’une à l’autre. On dira plus particulièrement de la pièce verticale qu'elle est d’aplomb sur l’autre. On emploie d’ailleurs ce terme indépendamment de la position des pièces.
- APPAREILLAGE ÉLECTRIQUE ET INDUSTRIEL (Société d’)} appareils de mesurcs-électriques, indicateurs de vitesse Auto-Mètre, 13, rue Caumartin, Paris. Tel. 27?-°7-
- APPAREILLAGE ÉLECTRIQUE
- (Manufacture Parisienne t/’j, fibre vulcanisée dure et llexible, i/|, rue Commines, Paris. Tel. 254-/f2.
- APPAREILS DE MESURES ÉLECTRIQUES. — Voir Ampèremètres, Voltmètres ^ etc.
- — Giànoli, 2G, boulevard Magenta, Paris.
- — Lacoste et Ci0, 28, boulevard de Strasbourg, Paris.
- APPAREILS DE PHOTOGRAPHIE
- — L’appareil de photographie est souvent un complément charmant de l’automobile en voyage. Nous le relatons ici, bien qu’il ne soit pas objet automobile proprement dit, en sa qualité de bon camarade de voyage.
- Intermédiaire (l’), appareils de photographie, 17, rue Monsigny, Paris.
- APPEL D’AIR. — Lorsque l'échappement vient de se terminer dans le cylindre, le
- piston, en descendant, produit dans le cylindre une dépression qui se traduit par l’ouverture de la soupape d’admission dite automatique ; ou bien cette soupape est ouverte par la commande d'une came. La dépression se propage alors dans le tube d'aspiration, puis dans le carburateur, où il se produit immédiatement une entrée d'air qu'y précipite la pression atmosphérique ; c’est ce mouvement de succion que l’on appelle quelquefois appel d'air.
- APPENDICE D UN BALLON. —
- L’appendice est constitué par un large tube d'étoffe qui s’adapte par en haut, au moyen d’un cercle dit cercle d’appendice, cà un évidement circulaire ménagé au pôle inférieur de l’enveloppe de l’aérostat et s’ouvre librement par en bas. C’est un appareil de sûreté permettant au gaz de s’échapper dans l'atmosphère lorsque la pression intérieure devient trop grande, et par sa longueur convenablement calculée à régler la surpression intérieure du ballon. L’appendice est démontable.
- APPERSON BROTHERS AUTOMOBILE C°-, fabrique d’automobiles, à Kokomo (lndiana) Etats-Unis.
- APPERT Frères, glaces pour automobiles, 34, rue des Chasses, à Clichy (Seine). Téléphone 553-82 ; et 3o, rue Notre-Dame-de-Nazareth. Paris. Tel. i^Ô-i^.
- APPLE AUTOMATIC BATTERY CHARGER C°, magétos. — Voir Dayton Electrical Mfg C°.
- APPRATO, garage, rue Montpensier, à Pau (Basses-Pyrénées).
- APPRIN, radiateurs et réservoirs, i5, rue David, à Lyon (Rhône).
- AQUILA (Fabbrica Ilaliana di Automo-bili)y y, via Bonsignore, à Turin (Italie).
- ARA MATERIAL PATENTS et Mfg CORPORATION, pneumatiques, 33, Chancery Lanc, à Londres (Angleterre),
- ARAOU Frères, garage, avenue dû Capitole, à Narbonne (Aude).
- ARASER. — Araser une pièce, c'est lu enlever à la lime, au burin, etc., la ou les parties saillantes qu’on avait laissées pour en faciliter le montage, et qui doit disparaître une fois la pièce terminée. — C’est, par exemple, couper avec une scie la partie du manche d'un marteau qui en dépasse la tete.
- ARBEL (Lucien)^ docteur en médecine, secrétaire aux Forges de Douai, 3^, rue de la Bienfaisance, Paris.
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- J\I. PlKIlHE AllBKL
- ARBEL (P ierre), io3, avenue Henri-Martin, Paris. Tel. G^ô-GS. —Né à St-Lupicin (Jura), en i858. — M. Arhel est un des
- membres les plus distingues de la métallurgie. Le monde automobile lui est redevable des châssis en tôle d’acier emboutie qui portent son nom, et des roues à voile plein dont il est un des meilleurs promoteurs.
- M. Arbel est président des Etablissements Arbel, administrateur délégué des Forges de Douai, conseiller des chemins de 1er de l’Etat, membre du Comité de Direction de la Société des Ingénieurs Civils. Il est officier de la Légion d’honneur, officier d’Académie, chevalier de Ste-Anne de Russie.
- ARBEL (Société anonyme industrielle des Etablissements), 5a, boni. Haussmann, Paris. Tel. «45-4a. — Les Etablissements Arbel sont une société anonyme créée en avril i8()/|, au capital de 3 ooo ooo de francs. Il y a 800 ooo francs d’obligations. Le conseil d’administration est composé de MM. le général Sebert, membre de l’Institut; Pierre Arbel, fondateur et administrateur délégué ; Antoine Arbel, Adolphe Salles et Valluy.
- Le directeur de l’établissement est M. Pierre Arbel. Le secrétaire général, M. Brochard. Le chef du service technique, M. Pillon. Le chef du service commercial, M. Bajard.
- L’industrie des Forges de Douai consiste en aciéries, forges, ajustage et emboutissage. Elles font des pièces de grosse forge pour la Marine, la Guerre, les chantiers de constructions navales, les châssis Arbel en tôle d’acier emboutie système Arbel de tous modèles, roues pleines embouties, les essieux pour wagons et tramways, wagons de grande capacité en tôle d’acier emboutie portant jusqu’il 5o tonnes de charge utile ; elles font l’acier moulé, l'acier au nickel sous toutes ses formes, etc.
- ARBIN, garage, a3, avenue de la République, à Meaux (Seine-et-Marne).
- ARBOUCAU, fabrique de pneumatiques, 45, rue de Belleville, Paris.
- ARBRE. — L arbre est une pièce de métal, quelquefois prismatique, le plus souvent cylindrique, qui est destinée à transmettre un mouvement de rotation. C’est une pièce en mouvement; 011 l'oppose à Taxe, qui est une pièce fixe. Les arbres sont réunis
- entre eux au moyen d’assemblages, embrayages, manchons, etc. (Voir ces mots.) Ils peuvent occuper, les uns par rapport aux autres, toutes les positions ; on les met en relations soit par des engrenages, soit par des chaînes, des courroies, des joints à la Cardan, etc.
- On place leurs parties frottantes, appelées portées, dans des coussinets en bronze ou en alliage anti-friction, liés bien graissés ou huilés, qui garnissent les paliers qui les portent.
- Eu automobile, on a une tendance de plus1 en plus marquée à n’employer que des arbres très courts, qui portent sur de nombreux palieis, et sont souvent munis en plus de cardans pour empêcher toute flexion ; et à monter tous les arbres sur des roulements à billes, qui offrent moins de résistance à l'entraînement et demandent moins d’attention que les roulements lisses.
- Les arbres portent des noms très variés qui indiquent leurs fonctions mêmes : arbre
- Ammii cymndiuoui:
- AnniiE portant un collet C, maintenu par la vis V.
- de transmission, arbre coudé, arbre des vitesses, arbre primaire, secondaire, arbre à cardans.
- Les arbres portent des collets ou des embases, nervures, circulaires quelquefois, rapportées qui les empêchent de sortir longitudinalement des paliers dans ^lesquels ils reposent.
- — Arbre carré. — Quelquefois l'arbre 11’est cylindrique que dans les parties qui reposent sur les paliers; à d'autres places, il peut être
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- A. arbre dont les bouts sont cylindriques. — C, milieu carré de l’arbre. — 1), section de C.
- taillé, suivant son axe, à 4 faces (arbre carré) et quelquefois à 3 laces (arbre triangulaire). Ce dispositif permet de faire glisser sur un arbre carré un engrenage ou un ensemble d'engrenages (voir train baladeur) qui, tout en étant animés de la même vitesse
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- ROUE LIBRE EADIE MOYEU COMBINE
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- de rotation que l'arbre qui les porte, peuvent en plus être déplacés par une fourchette longitudinalement sur cet arbre et venir entraîner tel ou tel engrenage secondaire ; on produit ainsi les changements de vitesse, par exemple.
- — Arbre coudé. — Un arbre coudé est une manivelle double, souvent meme un ensemble de deux ou plusieurs manivelles doubles, ayant un axe commun : on l'appelle souvent vilebrequin ou arbre-manivelle. La partie sur laquelle agit la biellcsc nomme rnaneton,
- B
- l’.N VIL K HIV F.Q CIN.
- B, maneton. — f, flasques.
- ARCANSON. — Mélange de cire d’abeilles ou autres matières cireuses (cire de car-nouba, cire du Japon, cérésine-ozokérite) avec une résine telle que la colophane. Proportions «à parties égales environ. Utilisé comme mastic dans certains travaux mécaniques. Mais surtout dans l’industrie électrique h titre d'isolant ou de diélectrique, magnétos, bobines d’induction (allu-
- mage) , électroaimant, etc.
- ARC DE CERCLE—Un
- arc de cercle est une portion de circonférence, tel que AB. — La longueur de l’arc T, R a
- AB="^r’lor'
- mule dans laquelle a — le nombre de degrés
- de l’arc AB, 1\ le rayon et tt le nombre 3,i^i6.
- et les cotés qui relient le bouton à l’axe sont appelés flasques.
- Afin d’éviter la trempe du vilebrequin et les torsions difficiles «à « ramener » qui pourraient en être le résultat,, on le construit ordinairement en acier très dur, suffisant pour résister aux frottements et aux chocs du moteur. Les maisons très bien outillées trempent, et rect ifient après trempe, leurs vilebrequins.
- — Arbre à cames. — Arbre terminé par une roue de distribution (de diamètre double de celui du pignon, calé sur l'arbre moteur qui l’actionne, dans les moteurs à f\ temps, et de diamètre égal, dans les moteurs à 2 temps ou dans les moteurs à vapeur) et qui porte les cames ouvrant les soupapes déplaçant les tiroirs, ou faisant jouer les rupteurs dans un système d’allumage par magnéto à basse tension.
- ARC-BOUTANT. — Les arcs-boutants sont des haubans en cables, ou plus ordinai-
- rement en tringles ou en tubes métalliques, qui, par leur effort de traction, contribuent à donner de la rigidité aux châssis d'un empattement parfois très grand. Sans leur aide, les châssis pourraient fléchir et se cintrer sous le poids de la caisse et 11e pas résister aux chocs de la route.
- — Ferrure en forme d’arc, servant, à maintenir dans une position fixe deux parties bois ou métal formant un angle.
- ARCHDEACON (Ernest), rue de Prony, 77, à Paris, tél. 5ij-22. — Né à Paris, le 28 mars i8G3. — Avocat à la Cour de Paris de 1883 à i885. Un des promoteurs et des commanditaires de Serpolletcn 1890.
- Promoteur, en 189/1, de la machine Val ère.
- Acheta, en 189G, l’usine Rouxel et,
- Dubois, puis devint (( Archdea-con » tout seul pour la construction d’automobiles. S’associa , en 1898, avec M. Paris Singer, et se sépara de lui en 1899.
- M. Archdcacon pratiqua tous les sports successivement et beaucoup en même temps. 11 enfourcha le grand bien 1881, puis la bicyclette. Fit. 25 ascensions en ballon, dont, la première en 188/4. Sa troisième ascension eut lieu le i3 novembre 18837 avec Lhoste et Mangol, qui périrent dans ce voyage même par suite de leur entêtement «à traverser la Manche en dépit des conseils de leur compagnon.
- Donateur de la Coupe Archdcacon que remporta Santos-Dumont, le 29 octobre 190G, et du prix Deutsch-Arcluleacon.
- ARCHET. — Instrument primitif qu'011 emploie comme organe moteur du porte-foret, pour percer des trous. Il est remplacé
- fWILEBREQUlNS
- Alphonse BINET &Cie, 6, r. deJarente,PARIS.Tél. 260-89
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- avantageusement par la machine à percer à main appelée chignolle et par le drille. La perche et la corde qui, sur les anciens tours, d onnaient le mouvement de va-et-vient à la pi èce, étaient une application en grand de Ydrchel. Les horlogers tournent encore certaines pièces à l'archet : la main gauche manœuvre celui-ci, tandis que la main droite applique l'outil coupant sur la pièce.
- ARCHIVES SYNDICALES DE L’AUTOMOBILE et DU CYCLE. —
- Bureau spécial de renseignements commerciaux pour les maisons de cycles et d’automobiles, Fondé par h\ Chambre Syndicale du Commerce de /’Automobile et du Cycle, 2.3, avenue dos Champs-Elysées, Paris. Tel. 512-% Directeur : IL Petit. Directeur-adjoint: T. Gougct.
- ARCLITE (Phares). — Voir Miller (//.), à llazcbrouck.
- ARÇON. — L'arron est un outil très employé pour percer des trous de petits diamètres. 11 se compose d'un archet dont la corde métallique souple s’enroule autour de
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- M i! >-©
- • - », bobine.
- trou dans lequel
- conscience. — i\
- G, fil <lt; rjnclirt.. nlroduil l. — M, porle-mècbe.
- la bobine qui porte le- foret et à laquelle elle donne un mouvement alternatif de rotation; et d une conscience qui est une plaque d’acier
- s'appliquant sur la poitrine de l'ouvrier qui perce le trou et servant de pivot à l’axe de la bobine.
- ARDIURME,
- fabrique d’automobiles électri-* q u e s. — Vo i r DiaZj Espagne.
- ARENBERG
- ( Prince Pierre r/’), né le 14 août 1871. —*20, rue de la Ville-l'Evèque, Paris.Tel. 112-G9. — Conseiller général du Cher, président de PA. C. du Centre, président de la Fédération des Automobile-Clubs régionaux.
- Prince i> A a 1; x n 1; u r,
- ARÉOMÈTRE. — Les aréomètres sont des appareils qui servent à mesurer la densité d’un liquide. Ils sont de deux sortes : les aréomètres à volume constant et à poids variable, tels (pie ceux de Farenheit et de Nicholson, et les aréomètres à poids constant et à volume variable, tels que ceux de Baume, Gav-Lussae, Cartier, etc. Ceux de cette dernière classe sont les seuls employés pratiquement et couramment.
- Pour les utiliser, il suffit de prendre un récipient cylindrique en verre, appelé éprouvette, de le remplir de l’alcool, par exemple, que l’on veut peser et d’y plonger Varéomètre , qui Aréomètre s’y enfonce plus ou moins. DK Baume
- La lecture directe (le la graduation portée par la tige, qui affleure le liquide, donne immédiatement la densité de cet alcool.
- ARGENT (Ag — 108). — \èargent est un métal blanc, très ductile et très malléable, de densité 10,0. Il fond à q55°.
- L’argent est parfois employé en mécanique pour faire, au moyen de paillon d'argenf} une brasure solide et facile.
- ARGENTURE. - Opération ayant pour but d’obtenir u»1 'épot d’argent métallique, principalement »ur le verre ou sur les métaux.
- - - Argenture des métaux. — Est pratiquée pour les ferrures des carrosseries de grand luxe. L’argenture s'effectue par voie élcctrolytique ou galvanique (pile, dynamo ou accus). O11 emploie généralement comme bain d’argenture une dissolution aqueuse de cyanure d’argent dans le cyanure de potassium. L'objet à argenter, préalablement, dégraissé et, décapé, est immergé dans le bain et relié au pôle négatif ou cathode ; une lame d’argent immergée en face est reliée au pôle positif et fonctionne comme anode soluble, entretenant la richesse du bain en argent. Après un dépôt de plusieurs heures, variable selon l'épaisseur de l'argenture désirée, on lave les pièces et on les polit ; finalement on leur donne la patine choisie (vieil argent, argent oxydé, argent blanc, etc). Le cuivre et ses alliages sont argentés directement. Les objets en fer, fonte, acier, zinc, doivent être préalablement recouverts d'une légère couche de cuivre.
- — Argenture du verre. — Est pratiquée pour fabriquer les miroirs réflecteurs de certains systèmes de phares ou de lanternes. O11 procède à cette opération sur le verre,
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- préalablement dégraissé et nettoyé au moyen des alcalis et de l’alcool ; on immerge le verre dans une dissolution aqueuse de nitrate d’argent alcalinisée et additionnée de substances réductrices, telles que glucose, aldéhydes, etc. Au bout de quelques minutes, l’argent se dépose sous la forme miroitante. On lave soigneusement, on sèche, et on recouvre d’un vernis résineux protecteur. Il est, préférable à tous égards de faire sur le verre un dépôt par galvanoplastie.
- ARGUS, porte-phare tournant. — Voir Maisongrande et C‘% à Angers.
- ARGUS MOTOR C°, garage, 3, Gros-venor Street, à Hull (Angleterre).
- ARGYLLS. garage, 102, Graflon Street, à Dublin (Irlande).
- ARIEL MOTOR C°, LtcL automobiles, i33, Long Acre, Londres (Angleterre).
- ARGUS MOTOREN-GESELL-SCHAFT, i abrique d'automobiles, i, Pria/ Louis Fcrdinandstrasso, à Berlin (Allemagne) ; et un rue Fontaine, Paris.
- ARGYLL MOTORS, Ltd, fabrique d'automobiles, à Glaseow (Angleterre) ; et 17, Newman Street, Oxford Street, à Londres (Angleterre).
- ARIEL COMPANY, fabrique d’auto-mobiles, à Bridgeport (Connecticut), Etats-Unis.
- ARIES (Soci été Anonyme des Automobiles), 3q, quai d’Argenteuil, à Villeneuve-la-Garenne, Seine. Tel. ai, lle-Saint-Denis. Adr. tel. Ariès-Ue-Sainf-Denis-Seine. — Bureau commercial: fn, avenue d’Anlin, Paris. — Moyens de communication : gare du Nord (grande ceinture ou trains-tramways) ; descendre à la gare de Saint-Denis, traverser les deux bras de la Seine, puis suivre le quai à droite ; ou tramway de la Trinité.
- Société anonyme fondée en avril iqo3 pour la fabrication des voitures automobiles de luxe, de ville et de tourisme, poids lourds et. véhicules industriels, au capital de 000000 francs. — Capital porté à un million de francs en décembre 190/j pour augmenter la fabrication par suite des excellents résultats obtenus dès la première année.
- Président du Conseil d’administration : M. Anatole Langlois ; administrateur-délégué : baron Ch. Petiot.
- Les voitures Ariès se sont, imposées dès leur apparition par leur solidité, leur silence et leur régularité (Voir leur description complète dans le volume Eléments d'automobile, par B. de S.). Elles se distinguent entre autres par leur essieu arrière d'une seule pièce (*n acier forgé avec devers et écuanteur aux roues pour voitures à cardan.
- Grande spécialité de poids lourds, camions et omnibus. La Société Ariès a fourni tout le matériel à la Société des Tramways Automo-
- biles de Touraine, à la Société des Tramways Normands, Postes de Roumanie, etc.
- Les particularités des modèles 1907 de la maison Aidés sont relatées à la page ci-contre.
- Les agents de la Société des Automobiles Ariès sont les suivants:
- Agen (Lot-et-Garonne) : G. Court, u Central Garage”, boulevard Carnot. — Albi (Tarn) : Couzinié, 45, avenue Villeneuve, — Audi (Gers) : Adoué, u Grand Garage d’Aucli ”. — Auxerre (Yonne) : Gervais, 9, avenue de la Puisaye. — Besançon (Doubs) : L. Thiculin et C°, 24, avenue de Fontaine-Argent. — Biarritz (Basses-Pyrénées): Lafitte, fck Auto-Garage Central ”, 8, place de la Liberté. — -Bordeaux (Gironde): Cayrou “ Central Garage ”, place Fondaudège. —Brive (Corrèze):
- F. Mcrly, 20, grande avenue de la Gare. — Gahors (Lot) : Fange, 97, boulevard Gambetta. — Cannes (Alpes-Maritimes) : P. Déplante, 1, route de Grasse. — Castres (Tarn) : Viguier Frères, 21, boulevard des Lices. — Cfiùlons-sur-Marne (Marne) : Leblanc,5, place Godart. — Champagnole (dura) : Prost-Boucle, Grande-Rue.— Evreux (Eure): liée, 57, rue Joséphine. — Fécamp (Seine-Inférieure): Rouen, 8, place Thiers. — Lille (Nord) : Du-lieux et Ci0, 38, place du Théâtre. — Lon-guyon (Meurthe-et-Moselle) : Neff, G, rue de la Halle. — Marseille (Bouches-du-Rhône) : Royal Palace Automobile, 22, place Castel-lane. — Meaux (Seine-et-Marne) : Ronssin, carrossier. — Millau (Aveyron) : Bonnafous, 17, place de la Fraternité. — Montluçon (Allier) : Tripier, 5o bis, boulevard de Courtais.
- — Montpellier (Hérault) : Montpellier-Automobile, 5G, avenue de Toulouse. — Nantes (Loire-Inférieure) : Le Meignen, Grand Garage Phébus ”, 3, rue Copernic.— Narbonne (Aude) : Laporte, boulevard du Collège. — Nice (Alpes-Maritimes) : Agence Ariès, Pie-trasanta, 2, rue de l’Opéra. —Nîmes (Gard): Agence Ariès, L. Veissière, 7, cité Foule. —
- — Orléans (Loiret): Gonin w Grand Garage
- Central”, 47, nie Bannier. —Poitiers (Vienne) : Gril aîné, 34, rue Carnot. — Reims (Marne) : Agence Ariès, A. Dock, 10, rue David. — Rouen (Seine-Inférieure) : Agence Ariès, Perrot et Meaux Saint-Marc, 45, rue Armand-Carrel. — Sentis (Oise): Buat, carrossier, 9, route de Crépy.— Tarées (Hautes-Pyrénées): Labadie, 4> ruc Lordat. — Toulouse (Haute-Garonne) : Laporte et Fils, 17, rue du Rem-part-St-Etienne. —Troyes (Aube) : Contant, carrossier. — \ri /1 iers-su r-Manie (Marne) : Stier, garage, i44» nie de Paris.
- ktrangkii.—Bruxelles (Belgique) : Jacobs, 70, rue du Bailü.—Buenos-Aires (République Argentine) : Expreso Villalonga. — Cologne (Allemagne) : Agence Ariès, 28, Mozartslrasse. —• Londres (Angleterre) : Agence Ariès,
- G, Great Malborough Street, Regcnt Street,. — lAicerne (Suisse) : Le Maire, villa Jeanne, Kostanienbaum. — Madrid (Espagne) : Agence Ariès, A. Redoiulo de Zuniga, 5q, Lagasca. -Porto (Portugal) : Tcixeira et Irmao, i55, rua
- (automobiles ABIÉS
- 39, quai d’Argenteuil, 39 VILLENEUVE-LA-GARENBC
- par l’Isle-Salnt-Deni* (Seiae).
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- de Sada Bamlcira. — Itio-de-Janeiro (Brésil) : Detroyat.
- ARION {Moteurs). —Voir Fillz, à Juvisy.
- ARISTA. — Serre-fils instantané Arista, 20, rue Galvani, Paris.
- ARMAC MOTOR C°, fabrique do motocyclettes, 468, Carroll avenue, à Chicago (États-Unis).
- ARMATURE. — On désigne sons ce nom une pièce de métal magnétique (de fer généralement) destinée à fermer un circuit magnétique.
- Dans un aimant ordinaire (lig. i) c'est, la pièce a qui vient s’appliquer aux deux pôles
- Fig. i. Fig. 2.
- de l’aimant en complétant, comme l’on voit, le circuit magnétique. Un aimant artificiel devrait toujours être muni d'une armature en fer doux, si l'on tient à éviter une déperdition rapide de l’aimantation.
- Dans un électro-aimant (Iig. a) l’armature a est la pièce fermant le circuit, entre les pôles pp. Dans une dynamo, l'enroulement, induit est bobiné autour de l’armature en fer; aussi, en pratique, emploie-t-on indistinctement les deux expressions induit, ou armature. — Voir Dynamo et Ligne de force.
- ARMÉE ET MARINE, revue illustrée, g, boulev. des Italiens, Paris. Tel. 104-90. Fondateur: M. J. de Cuverville. Directeur: M. F. Delagne au.
- ARMENGAUD AÎNÉ, brevets d’invention, 21, boulevard Poissonnière, Paris. Tél. 11 i-y4.
- ARMENGAUD JEUNE, brevets d’invention, a3, boulevard de Strasbourg, Paris. Tél. 4o8-3o.
- ARMES (Les). — Revue bimensuelle; Louis d’IIurcourt, rédacteur en chef.
- ARMES, CYCLES ET AUTOMOBILES (Société Manufacturière dj. — Automobiles Svelte, rue Tréfilerie, à Saint-Étienne (Loire). Tél. 3a; adr. tél. Armes Tré-füeric Saint-Etienne. — Société en commandite au capital de 700 000 francs.— Président: B. Logé, ingénieur. — Agence : 76, rue Réau-mur, Paris.
- ARMES DE GUERRE (Fabrique nationale d'), à IIcrstal-lès-Liégc (Belgique).
- Société anonyme d'automobiles, cycles et motocyclettes marque F. N. — Tél. Liège 833 ; ad. tél. : Nationale-Liége (Belgique). — St6 Anme au capital de 5 5oo 000 francs. — Directeur: M. IL F'rcnay. — Succursale à Paris : M. 0. Gayaud, directeur, 10G, avenue de Malakoff. Tél. 072-08. Adr. tél. Fabrinal.
- ARMES ET CYCLES DE SAINT-ETIENNE (Manufacture française dj.
- — Cycles, armes, fournitures pour tous les sports, à Saint-Etienne (Loire) ; dépôt, : fa, rue du Louvre, Paris. Ad. tél. : Munufrance.
- — Société en commandite par actions, au capital de 4 millions. — Directeurs gérants : MM. Mimard et, Blacbon. — Fabrique de bicycle tte s L'Hirondelle.
- ARMES ET SPORTS, revue illustrée, 9, boulevard des Italiens, Paris. Tél. 10.4-90.
- — Rédacteur en clief : Edouard Pontié.
- ARMSTRONG, WHITWORTH
- and C°, Ltd, fabrique d’automobiles, Créât Peter Street, Westminster, à Londres (Angleterre). — Fabrique d’outils pneumatiques à Newcastle-on-Tyne (Norllnimberland), Angleterre.
- ARMURE (Lj, vêtements de sports, 25, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- ARNAL et BOIVIN, accumulateurs, 3G, rue d’Annam, Paris.
- ARNAUD, garage. 8 rue du Marclié-Noui, à Arles (Bouches-du-Rhône).
- ARNAUD, garage, 10, rue de la Halle, à Bourgoin (Isère).
- ARNAUD, garage, 7. rue Carnot, à Poitiers (Vienne).
- ARNOUX (René), mi à Monleeau-les-Mincs, le Prseptembre 1808. — Rue du Ranc-lagli, 45, Paris.
- Tél. 52.5-52. —
- Ingénieur - cou -strueteur; ancien ingénieur des ateliers de la maison Bréguet, ancien ingénieur-conseil de la Compagnie Go 11 l ine n taie Edison, eo-fon-dat.eur de la maison «Chauvin et,
- Arnoux»en i8g4.
- — Membre, des comités de la Société des Ingénieurs civils et de la Société Internationale des Electriciens; vice-président, de la commission technique de l’A. C. F. — M. Arnoux est l’inventeur, en compagnie de M. Chauvin, son
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- 87, Boulevard Sébastopol PARIS
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- associé, de quantité d’instruments ingénieux et simples (indicateurs de vitesse, compteur kilométrique, totalisateur d'heures de marche, auto-trcmblcur, etc., etc.). — Petit-fils de Claude Arnoux, inventeur du système de trains articulés du chemin de fer de Sceaux; fils d'Henri Arnoux, ingénieur en chef des mines de Blanza. En sa qualité d'ingénieur des ateliers Siemens lrcres, de Paris, il étudia et construisit en 1882 le système électro-moteur du premier ballon dirigeable des frères Tissandier. — Collaborateur à Omnia.
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- (Emile-Henry), né à Amiens, le 2 septembre 1858.
- — 71, rue du Moulin-Vert,Paris. Tél. 700-89. - - Chevalier de la Légion d’honneur. — Ancien élève de l’Ecole centrale (promotion 1879). —
- Ingénieur - constructeur (de la maison « Grou-volle et Arquem-bourg ») d'appareils de chauffage et ventilation et d'appareils accessoires d’automobiles.
- ARRACHE-CLOUS. — Les arrache-clous sont, de petits appareils peu encombrants et peu coûteux, qui arrachent automatiquement les clous venant *à se piquer dans les pneumatiques, et qui les font « sauter » avant que la perforation soit accomplie. Ce sont soit des chaînes, soit des tôles ajourées, soit des fils de fer de diamètre assez fort, qui frottent doucement mais constamment sur la périphérie des pneumatiques, et arrachent
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- Ahuaciik-clous kn fil dm feu.
- A, aile. — B, supports de rarrache-ctous. — F, fil de fer arrache-clous.— P, pneumatique.
- les clous qui ont pu s'y enfoncer légèrement, avant (pie ceux-ci n'aient pu perforer la chambre à air.
- Les arrache-clous peuvent être considérés
- comme indispensables, par suite des excellents services qu'ils rendent.
- Un des arrache-clous les plus connus et les plus efficaces est celui de Michelin. 11 se compose d’une tôle découpée, placée verticalement en contact du pneumatique, à l'arrière,
- Aiuiache-clous a chaîne.
- A, aile. — B, support. — C, chaîne, P, pneumatique,
- laquelle tôle porte en bas deux yeux et en haut un ressort . Les deux yeux servent au montage articulé de la tôle sur une patte forgée qui est fixée au châssis. Le crochet sert à maintenir le liant de la tôle par un ressort fixé également à un support en fer attenant à la caisse. Grâce à la combinaison du ressort et de l’articulation inférieure, cet arrache-clous est efficace sans qu’il s’use lui— même et sans qu’il use le pneumatique.
- ARRACHEMENT (étincelle <T). —
- On donne ce nom à l'étincelle de rupture utilisée pour l’allumage du mélange tonnantdans les moteurs à explosions. Le courant est toujours produit par une magnéto à basse tension (5o-i5o volts) à induit fixe ou tournant (voir Magnétos), quelquefois par une batterie d'accumulateurs, auquel cas il faut employer une bobine de self (ancien allumage Mors, blocs de secours pouvant également servir à faciliter le démarrage des gros moteurs). On rompt le courant à l’intérieur des cylindres au moyen de mécanismes variables à l’infini. On peut cependant classer ces mécanismes en rupteurs à vitesse de déclic constante, dont le prototype est celui de M. Brasier, et en rupteurs à vitesse variable. Ces derniers ont l’inconvénient d'une rupture plus lente à la mise en marche. Ces mécanismes comportent ou non de l'avance à l’allumage ou, plus exactement, un procédé de variation de cette avance. L'avance à l'allumage varie automatiquement avec la vitesse du moteur, en raison des variations de force électromotrice de la magnéto.
- L'allumage par étincelle d’arrachement offre les avantages d’une température élevée et d'une grande surface d'inflammation. Dans cet allumage l'étincelle n'a pas moins parfois de 5 à 6 mm9 de section. L’étincelle est accompagnée d’un transport ée métal, et cette volatilisation crée un ensemble de particules métalliques incandescentes formant autant de
- | Automobile? RENAULT FRÈRES 1
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- foyers d’explosion. La nalure du métal n’est d'ailleurs pas sans influence sur la puissance de l’étincelle. On emploie de préférence le nickel, plus volatilisable et surtout beaucoup moins cher que le platine. — Voir Rupture.
- Toutes ces questions sont minutieusement traitées dans Y Allumage dans les moteurs à explosions de Baudry de Saunier.
- ARRESTATION- — En principe, il n'est pas possible à un agent quelconque d’arrêter l'auteur d'une contravention ou d'un simple délit de circulation ; un chauffeur en faute ne se verrait exposé à pareille rigueur que s’il refusait de justifier de son identité. (Dérivé du Décret du 10 vendémiaire an II.)
- ARRÊTÉS. — Outre les décrets qui régissent la circulation automobile, les préfets et les maires peuvent encore prendre certains arretés pour édicter des mesures restrictives dans leurs départements ou dans leurs communes.
- C'est ainsi que beaucoup de maires fixent des maxima de vitesse extrêmement petits dans les communes qu'ils administrent.
- Après de longues discussions, les plus hautes juridictions (Cour de Cassation, Conseil d’Etat) ont malheureusement déclaré ces arretés valables.
- Toutefois, les arrêtés des maires ne sont valables que s'ils ont été approuvés par le préfet du département.
- ARROL JOHNSTON AGENCY, garage, 92, Mitchell Street, à Glascow (Angleterre).
- ARROL JOHNSTON CAR C°, Ltd
- t The Neiv), fabrique d'automobiles, Undcr-wood, à Paislcy Scolland (Angleterre).
- ARRONDISSEMENTS MINÉRALOGIQUES.—J jcs arrondissements minéralogiques sont des subdivisions du Service des Mines qui, on le sait, a la surveillance des machines à vapeur et, par extension, celle des moteurs thermiques en général.
- TABLEAU DES ARRONDISSEMENTS MINKRALOCÜOUES
- A. Alais.
- Bordeaux.
- C. Chalon-sur-Saône.
- B. Douai.
- E. G. I. U. X. Paris.
- E. Clermont-Ferrand.
- H. Chamb éry.
- L. Le Mans.
- Une automobile qui, qui lui a été donné, exemple, appartient à ralogiquc d'Arras, etc.
- M. Marseille.
- N. Nancy.
- P. Poitiers.
- H. Arras.
- S. Saint-Etienne.
- T. Toulouse.
- Y. Z. Houen.
- après le numéro d'ordre porte la lettre R par l'arrondisse meut miuc-
- pour combattre la poussière des routes et des chaussées. L’arrosage rationnel, par des moyens plus perfectionnés que l’emploi de l’eau pure, utilisée de toute antiquité, ne date pas de nos jours, comme on le pense généralement. La fixation de la poussière, par une humidification rationnelle, a etc étudiée dès i83o, par Gubert, chimiste belge. Dès cette époque, des essais furent entrepris pour arroser les rues à Bruxelles, au moyeu de solutions de chlorure de calcium, sel très hygro-scopique. Ces essais furent repris à Lyon, quelque dix ans après; le chlorure de calcium était produit sur place au moyen du calcaire même de la roule, sous l’action d'eau d’arrosage, additionnée d'acide chlorhydrique. Les arrosages au chlorure de calcium furent repris vers i85o, à Dieppe, puis à Paris et finalement à Rouen, vers i8^5. Ions ces essais ont donné des résultats assez divergents ; ils auraient besoin d'être repris. L’arrosage actuel des routes est pratiqué au moyen d'huiles lourdes hydrocarburées, de goudron ou d’émulsions goudronneuses. — Voir Gou-dronnage, Huilage, Vestrumile.
- ARSANDAUX, vernis pour carrosserie, aoi, rue de Paris, à Charenton (Seine).
- ARSONVAL ( Arsène D’).—Né à La Boric (Haute-Vienne), le 8 juin 1801. — 12, rue Claude-Bernard, Paris. — Officier de la Légion d’honneur, membre de l'Institut et de l’Académie de médecine, professeur au Collège de France, directeur du Laboratoire de physique biologique.
- ARSONVAL (/P) et VAUGEOIS,
- bougie d’allumage. — Voir Ferez cl Cie, Paris.
- ARTICULATION. — Une articulation est une liaison mécanique qui permet aux
- Al\ l ICia.ATION IM N
- A, pied de bielle. .V, tête- de bielle.
- B, bielle.
- O, cylindre.
- P, piston.
- DE LKV1F.U
- A. point d'application. — B, grand bras. — G, barre lixe. — D, petit bras.
- ARROSAGE DES ROUTES. — L'arrosage de la route est le moyen le plus employé
- pièces qu'elle joint un mouvement latéral ou un mouvement rotatif autour de l'une des
- AUTOMOBILES rochet-schneider: * LYON -
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- A H T
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- A S S
- deux pièces. Exemples : les deux branches
- Articulation m: la hotui.k nu direction H. .M, ressort amortisseur (les chocs.
- d'1111 compas; une rotule de direclion; lit liaison de lit tôle du piston avec la bielle.
- ARTIGALAS, garage, (17, boulevard Gambetta, à Cabors (Lot).
- ASBESTE. — Synonyme d’amiante.
- ASBESTIC (Cie Générale française <V), amiante, 7. rue du liât -(l'Argent, à Lyon (Rhône);' et 3o, rue de Londres, Paris. Tel. 310-77.
- ASCOT, pièces détachées. — Voir Barrante, Paris.
- ASPHALTE ARMÉ. — L'asphalte armé ou granit,-asphalte est destiné à produire un excellent sol de roulement, dur et pourtant élastique, très peu glissant, no s'effritant presque pas, enfin réunissant des qualités précieuses. C’est un nouveau produit, qu’on obtient en incorporant à liante température de petits morceaux de granit dans de l'asphalte naturel et qu'on coule à chaud sur le sol préparé à l'avance.
- ASPIRATION. — \X aspiration est un des 4 temps d'un moteur à explosions; elle est précédée du temps : évacuation des gaz
- Aspiration d’un motelu (schéma).
- A, cylindre. — a a, cn-Irées de l’air. — C, carburateur. — M, cylindre. — P, piston descendant. —S, soupape d’aspiration ouverte.
- brûlés, et suivie du temps : compression des gaz neufs.
- A ce temps aspiration, le piston, en des-
- cendant, crée derrière lui une dépression dans le cylindre; la soupape d'admission s'ouvre alors automatiquement, ou mécaniquement; la pression atmosphérique précipite dans le cylindre, où il y a dépression, le mélange d’air et essence qui sera comprimé, au temps suivant, par la remontée du piston. — Voir Temps d'un moteur.
- — Dans une pompe, l’aspiration de l'eau est produite par le même phénomène physique : la pression atmosphérique qui, agissant sur la surface de l’eau, détermine son ascension dans un tube. En général, et surtout lorsque l’eau est chaude, on cherche à éviter, ou à rendre possible, ce travail inutile d’aspiration, en disposant le réservoir d’eau au môme niveau que la pompe et môme de préférence à un niveau supérieur (en charge)-, la pompe 11e sert alors qu’à refouler l’eau. — Voir Pompes.
- ASSEMBLAGES. — L'assemblage est une opération mécanique qui a pour but de
- ASSEMBLAGE DE DEUX TUBES l'AR EMBOITEMENT
- réunir deux pièces différentes ou deux parties d’une même pièce. Les assemblages sont
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- U,
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- Assemblages a queue d'aronde.
- faits soit directement par brasure, soudure ou réunions mécaniques telles que la queue d'aromie, ou Xemboîtement : soit indirectement au moyen d'organes auxiliaires, tels que boulons, rivets, clavettes, manchons, etc. — Voir ces mots.
- ASSI (./.), bougie à hélice. 29, rue des Petites-Ecuries, Paris. Tel. 302-07.
- ASSISE. — L' assise d'une voiture est constituée par un coussin reposant sur la parclose (cadre en bois de la caisse). — (Pour l'ouvrier carrossier, l'as,s/,se est la par-close elle-même et non pas le coussin.)
- La pratique a appris aux carrossiers que la profondeur d’une assise, confortable, c’est-à-dire d'un coussin, devait être d'au moins 00
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- centimètres. Quand on peut réaliser cette profondeur, les voyageurs sont bien assis ; avec 55 centimètres, ils le seront encore mieux. Mais, cil général, à partir de Go centimètres, on est gêné parce que le rebord antérieur du coussin dépasse la charnière du genou. On adopte généralement pour une assise confortable une profondeur de 5:2 à 55 centimètres, qui convient, à presque tout le monde.
- La largeur de l’assise devra être d’au moins 5o centimètres par personne.
- L'épaisseur d’un coussin est, ordinairement de io à ii2 centimètres. -— Voir Siège et Carrosserie.
- ASSOCIATION GENERALE AUTOMOBILE. — Société d’encouragement pour le développement de l'Industrie automobile en France, fondée sous le patronage de Y Automobile Club de France. — Siège social provisoire : 8, place de la Concorde, Paris. Tel. i36-43. — Président, d'honneur : Michel Lévy. - Président fondateur : De Zuylen. — Président : M. de Dion. - Vice-présidents : Martin du Gard et Rives. — Secrétaire général : E. Cliaix. — Trésorier : À. Lchideux-Verniinmen.
- Cette Société apourbutde seconder l'Automobile Club de France et la Société d'Encou-ragement en favorisant les progrès et l'extension des industries se rattachant à l'automobilisme, en vulgarisant les idées et les connaissances spéciales relatives à la locomotion mécanique, en étudiant et en poursuivant la réalisation de toutes les mesures utiles d'ordre technique, administratif, législatif, contentieux et economique, et eu groupant pour la défense de leurs intérêts communs tous ceux qui construisent, vendent ou possèdent des véhicules automobiles, ainsi que tous ceux qui s’intéressent à la traction mécanique.
- ASSOCIATION OF LICENSED AUTOMOBILE MANUFACTURES,
- 7 East 42 nd Street, à New-York (Etats-Unis).
- ASSOCIATION PARISIENNE des
- propriétaires d'appareils à vapeur, GG, rue de Rome, Paris.
- ASSOCIATIONS TOURISTES.—Von
- Ligue Internationale des Associations Touristes.
- ASSOCIATION VÉLOCIPÉDIQUE D’AMATEURS,8i av.de la Grande-Armée, Paris.
- ASSOCIATION VÉLOCIPÉDIQUE DE FRANCE, i, avenue Duquesne, Paris.
- ASSURANCES. — Les chauffeurs, surtout ceux que leurs sorties fréquentes, ou le personnel qu'ils ont sous leurs ordres, exposent à des responsabilités lourdes ou à des dangers grands, ont un intérêt indiscutable à s'assurer.
- Moyennant versement d'une prime annuelle, les compagnies d'assurances les garantissent des dommages-intérêts qu'ils peuvent avoir à payer dans les cas déterminés à la police d'assurance.
- Un chauffeur peut s'assurer pour les accidents qu’il causerait lui-même, pour ceux que causerait son mécanicien, pour ceux dont il pourrait être victime, pour ceux qui surviendraient à son automobile. Autant d’objets distincts d’assurances pour lesquels il aura à payer des primes distinctes.
- Avoir bien soin de lire, et même parfois de se faire expliquer, avant de la signer, la police d’assurances. Dès qu’un accident se produit, se conformer strictement aux clauses de ladite police, notamment en ce qui concerne le délai de déclaration à la Compagnie, qui est généralement très court.
- Ne pas oublier de faire stipuler dans la police que l’assurance s’étend aux accidents causés en cours de remorquage ou de manœuvres à bras, le moteur étant ou n’étant pas en marche. —Voir Accidents.
- Conseils en matière d'assurances :
- — Cai’hon et IÏauel, io, rue Viollot-le-Duc, Paris.
- — De Dusmet et Cic, 20, rue Taitbout, Paris.
- ASSURANCE CONTRE LES ACCIDENTS (Société Sîiisse d'J, à YVintcrthur (Suisse) ; et 38, rue de Chàteaudun. Paris. Tél. i25-3i.
- ASSURANCES GÉNÉRALES SUR
- LA VIE (Cle d')} 87, rue Richelieu, Paris.
- ASSURANCES SPÉCIALES D’AUTOMOBILES, J. de Dusmet et Cl°, 20, rue Taitbout., Paris. Tél. 283-41. — Société en commandite simple, fondée en 1890.
- ASTER (Ateliers de constructions mécaniques U), moteurs et pièces détachées, 74, rue de la Victoire, Paris. Tél. 284-19. Adr. tél. Astermot, Paris. Usines à Saint-Denis (Seine). — Société anonyme au capital de 700 000 francs. — Directeur : M. A. Monard.
- ASTER, Ltd (moteurs), 4, Princess Street, Hanover Square, à Londres (Angleterre).
- ASTER (moteurs), New York Office, 807 W, 44th Street, à New-York (Etats-Unis).
- ASTER C°, bougies d’allumage et magnétos, i5qi, Broadway, à New-York (Etats-Uuis).
- ASTORGIS, pompes et graisseurs, 9, cité de Phalsbourg, Paris. Tél. 988-40.
- ASYMPTOTE. — Voir Infini.
- ATELIERS DE LA GARE, vente d’automobiles, avenue de la Gare, à Montargis (Loiret).
- AUTOMOBILES “Pneus torrilhon 1
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- A T E — 78 — AU B
- ATELIERS ÉLECTRIQUES UE SAINT-OUEN, fabrique de moteurs, 11, rue de Clicliy, à Saint-Ouen (Seine).
- ATHLÉTIQUE ALSACIENNE (Association), 109, rue Notrc-Daine-des-Champs, Paris.
- ATHLÉTIQUES (l< ’édération des Sociétés), 01, rue Yivienne, Paris.
- ATKINSON and C°, garage, \i, Aire Street, à Leeds (Angleterre).
- ATKINSON and GRIFFEN, garage, à Kendal (Angleterre).
- ATKINSON and Sons, garage, North Road, à Lancaster (Angleterre).
- ATLANTIC (Pneumatiques). —- Voir Giron, Paris.
- ATLAS (Société des Voilures Automobiles), construction d'automobiles, xoi, rue de la Convention, Paris. Tel. 72G-70. — Directeur-administrateur : M. l’oujade ; directeur technique : M. Viau; directeur commercial : M. («ranci. — Société Anonyme fondée «m 190/1, au capital de 3i5 5oo francs.
- ATMOSPHÈRE. — (S ubstantif féminin). La hauteur de Y atmosphère, masse d’air qui environne la terre, est estimée à 100 kilomètres environ; au delà cxisteraitlc vide absolu. — Cette masse d’air produit sur la terre une pression formidable (1 kilog. o33 par cm2): 011 estime qu'un homme supporte une pression de 17 000 kilogrammes.
- Une atmosphère est l'unité de mesure de pression qui est équilibrée par une colonne de mercure de 1 cnr de section et de 76 cm. de hauteur : c'est la pression atmosphérique moyenne.
- L'atmosphère, dans le système C. G. S., est équilibrée par une colonne de mercure de 74 cm. 98, soit 75 centimètres : elle correspond exactement à une poussée de 1 méga-dyne par centimètre carré.
- Dans l'industrie, on a la coutume très répandue d’évaluer les pressions en kilogrammes par centimètres carré ; cette unité de mesure équivaut à Yatmosphère du système C. G. S. à 2/100 près.
- A ioo°, la vapeur d’eau saturée a une tension de 1 atmosphère, c’est-à-dire qu'elle exerce une pression de 1 kg. 033 par centimètre carré sur les parois qui la contiennent, ou sur le piston qu'elle doit pousser ; à 1200,G, sa pression est, de 2 atmosphères, soit 1 ,o33 X 3 ~ 2,oG6 kilogrammes par centimètre carré, etc... — Voir Tension de la vapeur.
- — O11 voit donc qu'une pression ne peut pas être évaluée indistinctement en atmosphères ou en kilogrammes par centimètre carré.
- ATOME. — En chimie, un atome est la plus peliLe quantité possible d’un corps simple susceptible d’entrer en combinaison moléculaire avec un ou plusieurs autres corps. Exemple : un atome d'hydrogène (II) enLre en combinaison avec un atome de chlore (Cl) pour former le gaz acide chlorhydrique (HCl).
- ATOMIQUES (Poids). — On appelle poids atomiques les nombres proportionnels, trouvés par l’expérience, suivant lesquels les atomes des corps simples (métalloïdes ou métaux) se combinent les uns aux autres ou sont susceptibles de se'substituer les uns aux autres dans les combinaisons. Le poids atomique de l’hydrogène (II) étant pris pour unité, celui de l’oxygène (0) est de 16, celui du carbone (C) de 12, etc.
- ATTACHE. — Une attache est une bride ou une oreille qui sert à lier, au moyen do boulons particulièrement, un organe mécanique tel ([ne le moteur à un autre organe : le châssis, par exemple.
- ATTILA, protecteur démontable «Attila ». — Voir Durand ( Ch.).
- ATWOOD MANUFACTURING C°,
- phares, à Amesbury (Massachusets), Etats-Unis.
- AUBARD, garage, 10, rue des Arènes, à Bourges (Cher).
- AUBERT, constructeur-mécanicien, 4, rue Claude-Vellefaux, Paris. Tél. 422-12.
- AUBERT, groupes électrogènes, 4, rue Claude-Vellclaux, Paris.
- AUBERT, garage, i5, place de l’Eperon, Le Mans (Sartlie).
- AUBERT (A.) et C'6, machines-outils, 83, quai de Valmy, Paris. Tél. 4oG-5o.
- AUBERT (G.), fabrique d’outils et de limes, 5, quai de Valmy, Paris. Tél. 93o-i3.
- AUBERT-LEROY, garage, 4o, rue Saint-Sauveur, à Péronne (Somme).
- AUBOIS et GERVAIS, fabrique de machines-outils, à Albert (Somme) ; et 37, rue de Saint-Quentin, Paris. *
- AUBRÉE et Ci0, vernis pour carrosserie, i3i, route de Fontainebleau, au Kremlin-Bicètre (Seine).
- AUBRY, garage, place de l’Eglise, à Bonneval (Eure-et-Loir).
- AUBURN AUTOMOBILE C", fabrique d'automobiles, à Auburn (Indiana), Etats-Unis.
- Pneu LIBERTY - WOLBER
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- A U D
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- AUDAX (Motocyclettes et Automobiles). —• Voir Manger et Ci0, à Levallois.
- AUDIBERT
- (Maurice), 26, route d’IIey-rieux à Lyon (Rhône). Né à Lyon, le 8 septembre 1867. — A débuté dans l’automobile en construisant les premiers trains Scotte, en i8g5; co-directeur de la maison Audi-bert - Lavirotle , puis directeur commercial chez Rocliet - Schneider. -— Aujourd’hui chef du service commercial automobile à La Buire, à Lyon.
- AUDIER, accessoires, 3, rue des Immeubles-Industriels, Paris.
- AUDIN (IL), radiateurs, 233, boulevard Voltaire, Paris. Tel. 922-90.
- AUDINEAU et Ci0, carrosserie pour automobiles, !\ r, rue Ybry, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tel. 432. Adr. tel. : Carros-aulo-Neuilly. — Magasins : 38, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- AUDINEAU - MARTIN , carrosserie automobile, 21, rue Saint-Ferdinand, Paris. Tél. 558-41.
- AUFHOLZ (B.), boîtes pour accumulateurs, ^4) rue de Bondy, Paris.
- AUFIÈRE, allumeurs électriques Idéal, 90, rue do Flandre, Paris. Tél. 434-85.
- AUGE (Daniel) , ingénieur chez Niclausse, 88, rue Chevallier, à Levallois-Perret (Seine).
- AUGEREAU, motocyclettes, 64, rue des Halles, à Tours (Indre-et-Loire).
- AUGEREAU, garage, cours Chazellcs, à Lorient (Morbihan).
- AUGIS, garage, 261, rue Judaïque, à Bordeaux (Gironde).
- AUNAY, garage, place de la Cahotte, à Trou ville (Calvados).
- AURIOL Frères, fabrique de pieds à coulisse, palmers, etc., 67, rue Obcrkampf, Paris. Tél. 915-64-
- AUROIR, carrosserie automobile, 19, rue d’Issoudun, à Bourges (Cher).
- AUSCHER (Gaston), poudres à braser, soudures de cuivre, 5G, rue du Faubourg-Stanislas, à Nancy (Meurthe-et-Moselle).— Dépôt: i5, rue de Malte, Paris,
- AUSCHER (Léon), né à Strasbourg, le 3i mai 18GG. — 34, boulevard Victor-IIugo, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tél. 55o-oo. — Chevalier de la Légion d’honneur. — In génieur des Arts et Manufactures. co-directeur de la maison J. Rothschild et iils ( llheims et Au s cher . —
- A couru les premières courses automobiles (Marseille-Nice ,
- Paris - Amster -dam) sous le nom de « Roscolï».
- Secrétaire du Comité Technique du T. C. F.—
- Vice - Président de la Commission de tourisme de l’A. C. F. —
- Secrétaire de la Commission des Concours de TA. C. F. — Membre du Comité de TA. G. A. et do la Chambre syndicale de l’Automobile. — Auteur de l’ouvrage Le Tou-risnie en automobile. — Collaborateur à Omnia.
- AUSONIA, voitures électriques. — Voir Camona, Giussani, Turrinelli et C°.
- AUSTIN, vente d’automobiles, à Chelms-ford (Angleterre).
- AUSTIN AUTOMOBILE C°, fabrique d’automobiles, Grand Rapids (Michigan), Etats-Unis.
- AUSTIN MOTOR C° Ltd, fabrique d’automobiles, Northfield, Birmingham (Angleterre).
- AUSTRAL (Société Anonyme de Constructions mécaniques l’), 8, rue du Débarcadère, Paris. Tél. 586—44 • Adr. tél. : Motoslral-Paris. — Société Anonyme au capital de 3oo 000 francs. — Voitures automobiles et motocyclettes.
- AUSTRO-AMERICAN INDIA RUBBER C°, Ltd, fabrique de pneumatiques, à Vienne (Autriche).
- AUTEROCHE (L.), phares, 70, rue d’Angouleme, Paris. Tél. 938-16.
- AUTIER Frères et Cio, écrous et boulons, à Château-Regnault-Bogny (Ardennes).
- AUTO. — Le préfixe auto vient du mol grec « autos », qui signifie : « soi-mème ». — Une aw/omoôîïe est une voiture qui, trouvant en elle-même l’énergie necessaire à son déplacement, est mobile par elle-même.
- M. Audibeiit
- [Les Automobiles
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- LES PEINES D= LA ROUTE
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- AUTO {Société anonyme clu journal lé), 10, rue du Faubourg-Montmartre, Paris. Tel. 3^7-68 et 238-12. Adr. tel. : Vélauto-V avis. — Société anonyme au capital de 200000 francs. — Journal quotidien illustré de tous les sports. —Président du Conseil d'administration : baron do Zuylen. —Administrateur délégué: marquis de Cliasseloup-Laubat.
- Directeur : M. Henri Desgrange.—Administrateur : M. Goddet.
- AUTO (De), journal d’automobile, 5 et 8, Klein Hciligland, à Ilaarlem (Hollande).
- AUTO (/,'), journal, 71, Foro Bonaparte, à Milan (Italie).
- AUTO-ALARME WEBER. — Voir llussenot et Raynaud.
- AUTO - ALLIANCE, vente d’automobiles, 89, Unter den Linden, à Berlin (Allemagne).
- AUTO-AMORTISSEUR. — Voir Gar-dy-B a tau U, Paris.
- AUTO-ARGUS. — Voir Voyage auto-mobile (Maison du), Paris.
- AUTO-ASSURANCES. — Voir P. Lefèvre, io, boulevard des Batignolles, Paris.
- AUTO-BOURSE, vente d'automobiles, 9/*, boulevard de Glichy, Paris. Tél. 582-34-
- AUTOBUS DE PARIS. — La Compagnie Générale des Omnibus a mis en circulation, depuis le 11 juin 1906, des omnibus automobiles, immédiatement baptisés par les Parisiens : autobus, qui ont fourni, et continuent à fournir, à la plus grande satisfaction du public, le service d’abord sur une première ligne Monlmarlre~Saint-Germai?i des Prés, puis sur une deuxième ligne Porte de Neuilly-Ilâtel de Ville.
- Les châssis des autobus pèsent 2 800 kilogr. ; ils sont constitués par deux longerons en acier à U? qui sont resserrés à l'avant pour faciliter le braquage. Les roues, en bois, ont pour bandages des blocs de caoutchouc pleins séparés les uns des autres par l’épaisseur d’1111 doigt à peu près ; le bandage est double pour les roues arrière. L’eflicacité de ce système est, parait-il, tout-â-fait remarquable contre le dérapage. Le châssis peut porter une caisse (type des anciennes caisses d’omnibus à deux chevaux) de 1 4oo kilogrammes et 3o voyageurs de 70 kilogrammes chacun.
- Le poids total de la charge est de 6 5oo kilogrammes environ. Les données principales du châssis sont les suivantes :
- mètres.
- Longueur totale du châssis......... 5,200
- Longueur totale de la partie carrossable............................. 3,48o
- Largeur extérieure de la partie carrossable............................. i,i55
- Largeur extérieure de la partie avant. o,855 Essieu avant. — Diamètre de la fusée. o,o58
- Largeur totale (chapeaux compris).... i,885
- Voie d’axe en axe des
- roues (environ).... i,5i5 Essieu arrière. — Diamètre de la fusée 0,080 Largeur totale (chapeaux compris).... 2,160
- Voie d’axe en axe des
- roues (environ).... 1,810 Empattement d'axe en axe des essieux. 3,65o
- Ressorts avant. — Longueur............. 1,100
- Ressorts arrière. — Longueur......... i,3oo
- , Largeur......... 0,070
- Ecartement d'axe en axe des ressorts
- , avant............................... 0,800
- Ecartement d’axe en axe des ressorts
- arrière.............................. 1,280
- Roue avant. — Diamètre................. 0,900
- Voie à l’extérieur des
- bandages (environ) 1)670
- Roue arrière. — Diamètre............... 1,060
- Voie â l’extérieur des bandages au maximum.................... 2,060
- Hauteur moyenne du dessus du châssis
- au-dessus du sol (environ)........... 0,780
- Le moteur, à quatre cylindres séparés (126 X ï^o), a une puissance de 4o chevaux environ. Le carburateur est alimenté d'alcool; la consommation moyenne est de 45 centilitres par kilomètre.
- L’allumage se fait par magnéto avec transformateur indépendant.
- L’embrayage est métallique ; il est du modèle dit à plateaux, plateaux constitués par des disques de tôles, alternant en fer et en bronze, et tous emboutis sur leurs bords de telle façon qu’ils présentent une gouttière circulaire conique. Les disques en 1er sont solidaires du moteur ; les disques en bronze sont solidaires de la boîte des vitesses. L’a-dhé ronce, grâce aux gouttières coniques, est si énergique entre les disques qu’il suffit de trois petits ressorts à boudins sur la périphérie pour déterminer l'entraînement.
- La boîte des vitesses comporte trois vitesses et une marche arrière, prise directe en 3°, le tout par baladeur. Les vitesses sont entre elles dans le rapport que voici ;
- iro vitesse 1 .. soit 5ku,.S8.
- 2® vitesse 2 . , . . soit 11 "",76.
- 3° vitesse 3,6 . . . . soit 2Ikm,I7.
- Marche arrière. . . 0,7 . . . . soit 4km,11.
- La transmission de la boîte aux roues motrices se fait par un arbre à cardans. — Les freins agissent, l’un, au pied, sur un tambour fixé derrière la boîte des vitesses, l’autre, à la main, sur les tambours montés sur les roues motrices, au moyen de cordes et de bandes â cales de bois.
- Dans Paris, tous arrêts compris, les autobus ont une vitesse u commerciale ” de 13 kilomètres à l'heure; leur travail quotidien est de 117 kilomètres au minimum et de 176 kilomètres au maximum.
- Automobiles CLEMENT
- Direotion Usiiti M PRÉ-SÀINT-GERVA1S
- (Seine)
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- Les recettes quotidiennes des autobus se sont élevées en moyenne de 200 à 220 francs par voiture, alors que, pour la période correspondante de l’année dernière, elles étaient en moyenne do 85 francs avec les omnibus à chevaux.
- AUTO-CAMION (Société 1'), automobiles, 128, rue du Bois, à Levallois-Pcrret (Seine).
- AUTO-CLÉ (Société l’), 35, rue Brunei, Paris, tel. 534-84. — Agent général : M. Titus Postma.
- AUTOCLIPSE {Phares). — Voir Green and Ilouk, Angleterre.
- AUTO-CLOCK (Mont res pour automobiles). — Voir Chelsea Clock C°, Etats-Unis.
- AUTO-CAR, garage, boulevard Jean-Hébert, à Cannes (Alpes-Maritimes).
- AUTO-CAR, garage, 1 —G, cours Lieutaud, à Marseille (Bouches-du-Rhône).
- AUTO-CAR, garage, promonade des Anglais, à Nice (Alpes-Maritimes).
- AUTOCAR (The), revue illustrée, 20, Tudor Street, à Londres (Angleterre).
- AUTOCARBOOL, alcool carburé, 27, rue de Chàteaudun, Paris. Tel. 285-97.
- AUTOCAR COMPANY, automobiles, à Ardmore (Pa.) Etats-Unis.
- AUTO-CAR EQUIPMENT C°, omnibus automobiles, à Buffalo (N.-Y.) Etats-Unis.
- AUTOCARINE, huiles et graisses Auto-carine. — Voir Kingjisher (Société), à Clicliy.
- AUTOCLAVE. —
- h'autoclave (du grec autos, lui-même, et du latin clavis, clé) est un couvercle, le plus souvent rond ou elliptique, qui recouvre une ouverture, soit de grande dimension, pratiquée dans une chaudière à vapeur pour son nettoyage intérieur, et qui porte alors le nom de « trou d’homme » ; soit de petit diamètre, auquel cas il est employé en mécanique pour obtenir une fermeture hermétique pouvant résister à de grandes pressions. Exemple : l’autoclave qui, dans un moteur de
- Fermeture autoclave d’un cylindre (De Dion-Bouton).
- C, cylindre. —• E, chemise d’eau. — F, bouchon formant autoclave.
- Fermeture autoclave d’une
- CHAUDIÈRE
- E, écrou. — P, plaque. — V, colonne filetée.
- Dion-Bouton, fait joint, entre le liant du cylindre et la culasse à eau.
- Ces fermetures sont ordinairement intérieures à l’appareil qu’elles ferment, de sorte que, si les brides qui les maintiennent extérieurement en place venaient à se rompre, l’autoclave resterait quand même appliqué sur son siège par la pression intérieure, sans fuite possible.
- AUTOCOIL COMPANY, fabrique de piles et d’accumulateurs, i3G, Seventh Street, à Jersey City (N.-Y.), Etats-Unis.
- AUTO-COLL, dissolution pour pneumatiques. — Voir Billet, Paris.
- AUTOCOMMERCIALE (Societd Generale), vente d’automobiles, à Turin (Italie).
- AUTO-COMPTOIR, garage, 6, rue Per-golèse, Paris.
- AUTO-CONTROLEUR de vitesse. — Voir Chauvin et Arnoux, Paris.
- AUTO-CYCLE (L'), vulcanisation à froid. — Voir Pérard, Paris.
- AUTO-CYCLE CLUB DE FRANCE,
- 2, avenue Victoria, Paris. — Edite un bulletin : La Motocyclette.
- AUTODRILL (U), mise en marche automatique. — Voir Centaure (Le), Lyon.
- AUTODROME. — Champ de course pour automobiles. Il existe plusieurs auto-dromes en Amérique. 11 n’en existe pas encore en France.
- AUTO-ÉCOLE, q4, boulevard de Clicliy, Paris. Tel. 582-34-
- AUTO-EXCURSION, vente d’automobiles, 4, boulevard Bineau, Paris. Tél. 58i-oo.
- AUTO-FAUTEUIL. — (Société de P), motocyclettes, 23, quai Ilenri-Chavitniy, à Blois (Loir-et-Cher).
- AUTO-GARAGE, garage, 11, rue Bergère, Paris.
- AUTO-GARAGE, vente d’automobiles, 4o, rua Marquez d’Avila et Boloma, à Covilhà (Portugal).
- AUTO-GARAGE, vente d'automobiles, 22, rue Génissieu, à Grenoble (Isère).
- AUTO-GARAGE, vente d’automobiles, à Palerme (Sicile).
- AUTO-GARAGE, vente d’automobiles, 70, boulevard Henri-Martin, à Saint-Quentin (Aisne).
- AUTO - GARAGE BRUXELLOIS ,
- garage et voitures Pipe, 18, place du Châtelain, à Bruxelles (Belgique). Tél. 3-G35. Adr. tél. Autopipe-Bruxellcs.
- AUTO-GARAGE DES FACULTÉS,
- vente d’automobiles, 42, quai de la Charité, à Lyon (Rhône).
- ILES PREMIERS HORS CONCOURS PARIS 1900
- PHARES DUGELLIER
- LES SEULS i
- GRAND PRIX I LIÈGE 1905 1
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- Y UT
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- AUTO-GARAGE MODERNE, vente d’automobiles, place d’Armes, à Caen (Calvados).
- AUTO-GÉNÉRALE, commerce de voilures automobiles et réparations, 16, rue Duret. Tel. (>79-14. — Société anonyme au capital de /|5o 000 francs.—Directeur: M. J. Sallcron, administrateur délégué.
- AUTO-GUIDES DAC. — Ouvrage d’itinéraires automobiles en France avec cartes graphiques à l’échelle du 1/100 ooo° et photographies de monumenls intéressants, auquel est annexée eu appendice la liste alphabétique des principales villes de France avec désignation dans chacune d’elles des délégués, hôtels, mécaniciens, garages, etc., recommandés par Y Association Générale Automobile.
- AUTO-HALL, garage, do , rue Guersanl, Paris. Tél. 56i)-68.
- AUTO-IMPORT, vente d'automobiles, 1786 Broadway, à New-York (Ktals-l’iiisj.
- AUTO - KILOMÉTREUR . — Voir Chauvin el Arnoux, Paris.
- AUTOL, h uile. — Voir Moebius cl Fils, à Bàle (Suisse).
- AUTO-LAMPANT, carburateur Auto-Lampant. - Voir Ragot, Paris.
- AUTO-LÉGER ( L ’ ), automobiles, à Lyon (Bhono) ; et 16, rue de Grammont, Paris.
- AUTOLOC (Société Française de V), système de blocage universel, 3}, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél, 671-21. Adr. tél. Locauto-Raris. Directeur : M. IL Croizier, ingénieur civil.
- AUTO-LOCATION, location d’automobiles, 8, rue Saint-Florentin, Paris. Tél. 269-93.
- AUTO - MADRID - GARAGE , vente d’automobiles, à Madrid (Espagne). Tél. I.Q2G.
- AUTOMATIC .extincteur VA ulomalique.
- — N oir llardcn, Paris.
- AUTOMATIQUE. — Le mot automatique (des mots grecs autos, soi-mème, et maoma'i, je me meus), s'applique à tout appareil ou partie d’appareil mécanique qui possède un mouvement indépendant, de la volonté humaine ou d’une commande mécanique spéciale. Ainsi une soupape d'admission est dite « automatique » lorsqu'elle s’ouvre « d’elle-meme » au. temps de l'aspiration, ouverture qui est la conséquence forcée deladc-pression produite dans le cylindre parla descente du. [liston.
- . AUTOMATIQUE {V ), chambre à air.
- — Voir Ducasble, à Neuilly-sur-Seine.
- AUTOMATISME (L’)> appareils pour automobiles, bougies, attache-lils, etc. (marque fi Milii ». 8, boulevard d’Asnières, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- AUTO-METER. — Voir Warner Ins trament C°.
- AUTO-MÈTRE, indicateur de vitesse.
- — Voir Sclig, Sonnent liai et C°, Londres.
- AUTO-MÈTRE, indicateur de vitesse.
- — Voir Appareillage électrique, Paris.
- AUTO-MIXTE (Société l’), fabrique d'automobiles, g3, rue Hayeneux, à llerstal-lez-Liégc (Belgique). Tél. i.o54- Adr. tél. Aulomixte-Liége.
- AUTOMOBIEL IMPORT C°, vente d’automobiles, à Niincgue (Hollande).
- AUTOMOBIL A.-G., garage, Utoquai, à Zurich (Suisse).
- AUTOMOBIL (Das), bulletin officiel de l’A. G. d’Alsace, 7, Ohmachstrasse, à Strasbourg (Alsace).
- AUTOMOBIL AKTIEN GESELL-SCHAFT, vente d’automobiles, 68, Zurich-strasse, à Lucerne (Suisse).
- AUTOMOBILE. —• L'automobile est la science qui traite des mobiles mécaniques possédant en eux-mêmes leur propre puissance de déplacement. Cet art s'applique particulièrement aux véhicules automobiles.
- Doit-on dire : automobile ou automobilisme? L’un et l’autre se dit ou se disent.
- AUTOMOBILE (Industrie). — L'industrie automobile produit annuellement, en France, plus de 200 millions de francs. Les frais généraux s’élevant à 5o 0/0, restent donc 100 millions environ que se partagent les ouvriers et les fournisseurs.
- O11 estime le nombre des ouvriers vivant, do celte industrie à 200000 ou 220000, qui gagnent un salaire total d’environ 55 millions. (Les Sports.)
- AUTOMOBILE. — (Substantif masculin, dit l’Académie; féminin, dit l’usage, suivant que la personne qui emploie ce mot sous-entend : véhicule ou voiture. C’est en réalité un adjectif). — Ce mot barbare automobile est composé de grec : autos, soi-mème, el de latin : mobilis, mobile.
- La première voilure automobile fonctionnant paraît avoir été un véhicule à vapeur, à trois roues, construit par Cugnot, ingénieur militaire français, vers la lin du xvni0 siècle.
- On a pourtant prétendu que, du temps de Louis XIV, dos essais avaient été faits, avec certain succès, de véhicules actionnés par un système mécanique composé de manivelles et de ressorts.
- Les principaux inventeurs de véhicules à vapeur sont par ordre chronologique : Cugnot, Trevitick, Griffiths, Burstall et llill, Gurncy, Hancock, Dielz, Lotz, Thomson, etc... Nous arrivons ensuite aux premières voitures automobiles pratiquement dignes de ce nom : YObéissante (1873) et la Nouvelle (1880),
- CHAINES RENOLD chez C. COMIOT
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- voitures à vapeur construites par A. Bollée, du Mans.
- Bientôt se succèdent rapidement des inventions très intéressantes : la voiture Ser-pollet (1888) avec son fameux générateur, la voiture Bollée* les tracteurs à vapeur de Dion-Bouton (1893), de Le Blont, de Scott, etc.
- La première voiture employant un moteur à explosions a été construite en 1862 par Lcnoir, inventeur français qui venait déjà de construire le premier moteur à gaz digne de ce nom (1860). — Son idée fut reprise par S. Marcus, de Vienne, en 1S77 ; par Delamarre-Dcboutevillc ; puis enlin par Daimler, ingénieur allemand, en 1880. Bientôt, Panhard et Lcvassor, possesseurs des brevets Daimler en France, Peugeot et de Dion-Boulon exploitent et perfectionnent le nouveau moteur à explosions, dont ils jettent les bases puissantes jusqu'ici presque immuables et l’amènent peu à peu, avec les maisons concurrentes qui s'élèvent autour d'eux, au degré de perfection que nous connaissons actuellement.
- — Les Automobiles fabriquées à l’étranger doivent, payer a leur entrée en France, un droit de douane de : 5o francs (tarif minimum) ou de do francs (tarif maximum), par 100 kilogrammes, lorsqu'elles pèsent plus de 120 kilogrammes; elles paient un droit de douane de 120 francs (tarif minimum) ou de i5o francs (tarif maximum), par 100 kilogrammes, lorsqu’elles pèsent moins de 128 kilogrammes.
- ... 11 nous est tout à fait impossible de donner
- ici la liste complète des constructeurs de voilures automobiles, meme de celles seulement (pii présentent des qualités sérieuses ; car, fort heureusement, le nombre des constructeurs de valeur est aujourd'hui très élevé. (FoiY la liste générale, à la Classe I de la Deuxième Partie). On trouvera dans VAn-nual, à chaque raison sociale, les renseignements principaux qui la concernent Déplus nos lecteurs trouveront, dans le volume, des pages de publicité et des bas de page complémentaires concernant les maisons suivantes :
- - Ader, [\o ter, avenue de Suifren, Paris.
- ... A ries, 3q, quai d’Argcnteuil, Ville-
- nouvc-la* Garenne (Seine).
- — Automobiles Industriels (Société Générale des), 3, rue Vignon, Paris.
- -- Auto-Moto (Automobiles), chemin du Hey,; à Saint-Etienne (Loire).
- — Auto-Palace, 77 bis* avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Bavard-Clément, quai Michelet, Lcval-lois-Perrct (Seine).
- — Benz et G0, à Mannheim (Allemagne).
- - Berliet, 12, chemin des (Juatrc-Maisons, Lyon-Monplaisir (Rhône).
- — Brasier, 28, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Buire (Société Anonyme de la), 8, me Victor-Hugo, à Lyon (Rhône).
- Charron, Ltd, 7, rue Ampère, à Puteaux (Seine).
- --- ClIENARD ET WalCKER, 7, ITIC de A O f-
- mandie, à Asnières (Seine).
- — Clément-Gladiator, au Pré-Saint-Gcr-vais (Seine)
- — Cottin et Desgouttes, place du Bachut, à Lyon.
- — Court (Luc) et C'e, 88, rue Robert, Lyon.
- — Delaunay Belleville (Automobiles), à Saint-Denis (Seine).
- — Diétricii (Lorraine-), 12, avenue de Madrid, Neuilly-sur-Seine (Seine)
- Dion-Bouton (de) et Gio, 3G, quai National, Puteaux (Seine).
- — - Eudelin, 82 bis, rue Desrenaudes, Paris.
- Fouillarox, 5/j, rue de VilÜers, Leval-lois-Perret (Seine).
- — Germain, a Monccau-sur-Sambrc (Bel-
- giqucr
- — Grégoire et Cic, 55, boulevard Devaux, Poissy (Seinc-ct-Oise).
- — Heinz et Cio, voitures électriques, 27, rue Cavé, à Levallois-Perret (Seine).
- — Hotciikiss (Etablissements), 28 bis, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- — Itala, 5o, rue d’Anjou, Paris.
- •— Kriéger (Société), voitures électriques, /J5, boulevard llaussmann, Paris.
- — - Lombarda (Socield Automobili), à Ber-gamo (Italie).
- — Métallurgique (La), à Marchicnne-au-Pont, près Charleroi (Belgique).
- — Mieusset (Etablissements), 152, route d'Hcyrieu, à Lyon (Rhône).
- — Mildé et Cio, voitures électriques, 60, rue Desrenaudes, Paris.
- — Mors, /|8, rue du Théâtre, Paris.
- — Panhard et Levassor, 19, avenue d'Ivry, Paris.
- — Pantz, à Pont-à-Mousson (Mcurthc-et-Mosclle).
- — Petit et Cio, 23, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- *— Peugeot Frères (Les fils de), constructeurs, 38 bis, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Peugeot - Croizat,
- Tcsoriera, à Turin
- (Italie).
- Pilain, 17, chemin do Monplaisir, à Lyon (Rhône).
- — Purrey, voitures à vapeur, 21, boulevard Jcan-Jacques-Bosc, à Bordeaux (Gironde).
- — Radia, 12, rue Barbes, Levallois-Perret. - Renault Frères, 189, rue du Point-du-
- Jour, Billancourt (Seine).
- — Rociiet-Sghneider, 07, chemin Fouillai, Lyon (Rhône).
- — Rossel, à Sochaux-Montbéliard (Doubs).
- — Salleron et Cie, 18, rue Duret, Paris — Standard, 20, corso Siccardi, à Turin
- (Italie).
- — Stern, 24, Champs-Elysées, Paris.
- — Trèfle a quatre feuilles (Voitures Brasier), 23, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Unic, 1, quai National, à Puteaux (Seine).
- Les Malles Auto de LOUIS VUITTON
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- — Züst (Roberto), à Intra (Lac Majeur); el /jo, Via Borgognone, à Milan (Italie). '
- Moteurs pour ccmols :
- — Aiuès,, 3<j, quai d’Argenteuil, à Ville-neuve-la-Garennc (Seine).
- — Bayard-Clément, quai Michelet, à Le-vallois-Perret (Seine)
- — Biïrliet, 12, Chemin des Quatre-Maisons, Lyon (Rhône).
- — Boudreaux, 8, rue Ilautei’euillo, Paris.
- - Delaunay-Belleville, à Saint-Denis, (Seine).
- — Diétricii (Lorraine), 12, avenue de Madrid, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Germain (Ateliers), à Monceau-sur-Sam-bre (Belgique).
- — Grégoire et Cie, 55, boulevard Devaux, à Poissy (Scinc-et-Oisc).
- — Itala, 5o, rue d’Anjou, Paris.
- — Martinet Letiumonier, 32, rue Félicien-David, Paris.
- — Pilain, 15, chemin de Monplaisir, à Grange-Rouge, Lyon (Rhône).
- — Renault Frères, i3q, rue du Point-du-Jour, à Billancourt (Seine).
- — Bociiet-Sciineider, 03, chemin Fouillât, à Lyon (Rhône).
- Vente il'automobiles :
- — Auto-Palace, 33 bis, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Auto-Stand, 20, rue Duret, Paris.
- — Bousquet et C‘°, q5, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- — Bonneville, 5a, boulevard Carnot, à Toulouse (Haute-Garonne).
- — Fresnaye (de la) et Gi0, i5, rue du Débarcadère, Paris.
- — ITussenot et Raynaud, 3<j, rue La Boétie, Paris.
- -- Intermédiaire (Lv), 13, rue Monsigny, Paris.
- - - Paris-Automobile, l\S, rue d’Anjou, Paris.
- — Salleron et Cie, îG, rue Brunei, Paris.
- — Santa-Maiua (de), G, Chausséc-d’Antin, Paris.
- - Stern, 2!\, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- — Vouriot et Cl0, 34, rue Guersant, Paris.
- Vente <Tautomobiles à crédit :
- —- Banque Automobile (La), Ipj, boulevard Haussmann, Paris.
- •— L’Intermédiaire, 13, rue Monsigny, Paris.
- Graisseurs d'automobiles :
- — Dubrulle, 28 bis, rue Villeneuve, à Clichy-la-Garenne (Seine).
- AUTOMOBILE (£,’), revue hebdomadaire, 3, rue Saint-Benoît, Paris. — Rédacteur en chef : M. Gaston Sencier. Tél. 526-33.
- AUTOMOBILE (L), revue illustrée, 12, via Aurolio Saffi, à Milan (Italie). Tél. 90-51 ; et 24, via dé Mille, à Turin (Italiej.
- AUTOMOBILE (The), revue technique hebdomadaire, à Flatiron Building, Madison square, New-York. Publiée par The Clars Journal Company, — Rédacteur en chef : A. G. Batchelder ; rédacteur technique : II. F. Donaldson. Agents à Paris : Boyveau et Chevillet, 22, rue de la Banque. Rédacteur à Paris : W. Bradley, 38, avenue de Sulfren.
- AUTOMOBILE AGENCY, vente d’automobiles, 163, avenue Victor-Hugo, Paris. Tél. 655-68.
- AUTOMOBILE and CARRIAGE BUILDER’S JOURNAL, 16, Eldon Street, à Londres (Angleterre).
- AUTOMOBILE BELGE (L ), revue hebdomadaire, 5o, rue Grétry, à Bruxelles (Belgique). Tél. 2.5o5.
- AUTOMOBILE - CENTRALE, garage. 36, Tauentzienstrasse, à Breslau (Allemagne).
- AUTOMOBILE CLUB D ALLEMAGNE (uKaiserlicher Automobil Club »), Leipzigcrplatz, 16, Berlin W. 9 (Allemagne). Tél. 1580, 8898 et 1098. Ad. tél. « Aulomo-bilclub-Berlin ».
- Président : II. von Ratibor. — Vice-présidents : Fiirst C. Kraft zu Hohcnloe-Aeringen, Von Rabe. — Secrétaire général : Von Bran-denstein.
- AUTOMOBILE CLUB D ALSACE-LORRAINE, 5, Ohmachstrasse, à Strasbourg (Alsace-Lorraine).
- AUTOMOBILE CLUB D’AMÉRIQUE (« Automobile Club of America »), 553, Fift.li avenue, à New-York (Etats-Unis).
- Président : II. Morris. — Vice-présidents : C. Hoyt, K. Vandcrbilt junior., C. Gray. — Secrétaire général : Butler.
- AUTOMOBILE CLUB D’AUTRICHE (« Oeslcrreichcr Automobil Club »), 10, Kaernthnerring, à Vienne (Autriche).
- Président : Alexandre, Prinz zu Solms-Braunfels. —• Vice-présidents : Schônborn-Buchheim, R. Wolf. — Secrétaire général : K. Fasbender.
- AUTOMOBILE CLUB DE BELGIQUE, 5, place Royale, à Bruxelles (Belgique)-.
- Président : 11. de Grünne. — Vice-présidents : G. de Savoye, A. de Limburgstirum. — Secrétaire général : De Villegas de Saint-Pierre. — Trésorier : D’Aubrcby.
- AUTOMOBILE CLUB DE BARCELONE, rue de Rossélon, à Barcelone (Espagne).
- AUTOMOBILE CLUB D’ESPAGNE (Real Automobile Club deEspana), 50, Alcalâ, à Madrid (Espagne). Adr. tél. Race-Madrid.
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- Ooaooon de
- Tean, Ljoi, Berlin.
- Phares B. R. c. ALPHA
- H0*S COUCOUS
- PARIS 1900 Liège 1905-JHilati 1906
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- AUTOMOBILE CLUB DE DANEMARK., 8, Ostersogade, à Copenhague (Danemark).
- Président : E. Knulh. — Vice-président : M. Bagge. — Trésorier : C. Gertner. — Secrétaire général : II. Hasscl.
- AUTOMOBILE CLUB DE FER-RARE, 2, via Teatini, à Ferrare (Italie).
- AUTOMOBILE CLUB DE FLORENCE, via del l’rato, à Florence (Italie).
- AUTOMOBILE CLUB DE FRANCE. — Cercle et Société d’encouragement pour le développement de l'industrie automobile en France. A la suite de la course de Paris-Rouen (novembre i8g5), qui obtint pour l’époque un énorme succès, le baron de Zuylen, le comte Récopé, le comte de la Valette et M. Meyan, réunis chez le comte de Dion, jettent les bases d’une Société d’encouragement.
- Le baron de Zuylen, sporlsman, grand amateur de chevaux, voit dans la locomotion naissante une diminution du labeur exigé de la race chevaline. Le comte de Dion, déjà à la tète d’une usine fabriquant des voitures automobiles à vapeur, pressent l’énorme développement que prendra cette industrie si elle est encouragée.
- Quelques circulaires sont adressées à des amateurs de sport ; cent cinquante adhérents sont présents le jour de l’inauguration du siège social dans un appartement situé G, place de l’Opéra.
- Peu de temps après, le club se trouve à l’étroit, et le siège social est transféré place de la Concorde, à l’hôtel Pastoret, qui fut jadis la propriété de la marquise de Plessis-Bellicre.
- L’hôt.cl est entièrement démoli; seule la façade (de l'architecte Louis, 1777) subsiste; M. Rives, en habile artiste, aménage un immeuble spacieux, confortable et élégant, où les nombreux services de l’A. C. F. trouvent enfin leur place.
- — La Société de l’A. C. F. est administrée par un Comité de 00 membres élus pour cinq ans par l’assemblée générale annuelle. Ce Comité choisit parmi ses membres : les présidents d'honneur, un président, trois vice-présidents, deux secrétaires généraux, un secrétaire adjoint, un trésorier et cinq membres qui constituent le Conseil d’administration
- Les présidents d’honneur sont MM. Marcel Deprez, membre de l’Institut, et Georges Berge, député de la Seine.
- Le Comité est ainsi composé pour l'année 1906-07 :
- Président effectif : le baron de Zuylen de Nyvclt de llaar, à qui hommage a toujours été rendu pour son zèle cl son dévouement à la cause de l’automobilisme. Il est secondé par MM. le comte de Dion, Henri Menicr et Edouard Muller, vice-présidents.
- Secrétaires généraux : Alfred de Rollepot et Louis Dumontpallicr.
- Trésorier-banquier : M. André Lehideux-Vernimmen.
- Membres : Abel Ballif, président du Tou-ring-Club de France ; le marquis de Ghasse-loup-Laubat ; le comte de la Valette ; le comte Récopé, Gustave Rives.
- Le Club et la Société d’encouragement sont placés sons la haute protection de M. Fallières, président delà République, S. M. Edouard VU, S. M. Léopold 11, S. M. Georges 1er, S. M. Carlos Ier, ainsi que sous celle de nombreux membres d’honneur.
- La Société d’encouragement pour le développement de l’industrie automobile en France est chargée spécialement do l'organisation des courses, concours, expositions, conférences. Des commissions sont chargées de l’organisation de ces différentes manifestations.
- Nous citerons la commission sportive, la commission technique, celle du tourisme, du yachting, des expositions, des services extérieurs, du contentieux, etc.
- Les commissions les plus actives sont : la commisssion sportive, dont le président est le chevalier R. dcKnyff; la commission technique, qui a à sa letc M. Lorcau ; celle du yachting, etc.
- — U y a cinq ans, la Société d’encouragement a fondé Y Association générale automobile, qui a pour but de seconder l’A, C. F. en favorisant les progrès et l’extension des industries de l’automobile. (Voir ce mot.)
- — La Chambre syndicale de l’Automobile, fondée en 1898, tient ses séances place de la Concorde et émane aussi de la Société d’encouragement.
- — L’A. C. F. compte actuellement environ 3 000 membres.
- — Depuis quelques années, l’A. C. F. a installé à Levallois un Laboratoire de recherches mécaniques qui est, dirigé par M. Lumet, ingénieur.
- Téléphones :
- Rez-de-chaussée, n° 23/1-99 ( Secrétariat, gérance, voitures). — N° 23/1-70 (Commission technique).
- Entresol, n° 23/1-97 (Sureaux de l’Exposition).
- Premier étage, n° 3o5-go (Salons).
- Deuxième étage, n° 23/1-90 (Commission sportive et du yachting automobile).
- Garage, n° 23/)-80.
- Laboratoire de Levallois, n° 009-88.
- Adr. tél. Cercle, Autoclub-Paris. — Garage, Auloclub-Paris.
- — Voir la liste des membres de l’A. G. F., à la Deuxième Partie de T Animal.
- — Automobile - Clubs de France, Correspondants de l’A. C. F.
- Alger : Automobile Club d’Algérie, 23, boulevard Carnot (Algérie).
- Amiens : A. C. do Picardie et de l’Aisne, 58, rue des Trois-Cailloux.
- rPlimiC IC fSAlILfllÇ BEBGOUGNANet Cio
- | ill L U O mm mi 131 WiW bviy à cleriiokt-firramd (p.-de-p.)
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- Avignon : A. C. Vauclusien, cale Taillcux, place de l’Horloge. '
- Bazeilles : A. G. Ardennais (Ardennes).
- Belfort : A. C. de Belfort.
- Béziers : A. C. Biterrois.
- Bordeaux : A. C. Bordelais, a, place de la Comédie.
- Bourges ; A. C. du Centre, a/j, rue Notre-Dame.
- Brest : A. C. Brestois, iS, rue de Siam.
- Cannes : A. C. de Cannes, i, boulevard Jeaji-llibert.
- Clermont-Ferrand : A. C. d’Auvergne, 18. place de .laude.
- Compiègne : A. C. de l’Oise.
- Dijon : A. C. Bourguignon, 8, place Darcv.
- Draguignan : A. C. du Var.
- Epinal : A. C. Yosgien, iG, rue Jeanne-d’Ai'c.
- Grenoble : A. C. Dauphinois, G, place de la Halle.
- La Rochelle: A. C. Rochelais.
- Le Mans : A. C. de la Sarthe, g, boulevard René-Levasseur.
- Lons-le-Saunier : A. C. Jurassien, Maison Devaux, aux Rochettes.
- Lyon : A. C. et JSicyclo-C. de Lyon, a, Palais Grillel.
- Lyon : A. C. du Rhône, 8, rue Boissac.
- Marseille : A. C. de Marseille, 5a, r. Paradis.
- Montpellier :. A. C. de l'Hérault, a, rue Moguelone.
- Aancy : A. C. Lorrain, îa, place Stanislas.
- Nice : A. C. de Nice, 5, prom. des Anglais.
- Nîmes : A. C. du Gard, i, boulevard Amiral-Courbet.
- Or an : A. C. de l’Oranie, 3, bd Seguin.
- Pau : A. C. Béarnais, ij, r. de la Prélecture.
- Périgueux : A. C. de la Dordogne, 8, place du Quatrc-Seplembre.
- Poitiers : A. C. Poitevin, 3a, rue Carnot.
- Reims : A. C. de la Marne.
- Roubaix : A. C. du Nord de la France, 4, rue do la Gare.
- Boucji : A. C. Normand, !\ bis, bd d’Orléans.
- Saint-Etienne : A. C. Forézien.
- Salon : A. C. de Salon, place de la Grippe.
- Strasboui'g : A. C. d’Alsace.
- Toulon : A. C. de Toulon, /j, r. Corneille.
- Toulouse : A. C. Toulousain, G, r. Darquier.
- Tours: A. C. de Touraine, a-, r. Victor-Hugo.
- Troyes : A. C. de l’Aube, G, rue de la Tour-Boileau.
- Verdun : A. C. de la Meuse.
- Versailles : Club Automobile de Seine-et-Oise, i, avenue de Saint-Cloud.
- —- Voir, à la Deuxième Partie de TAnnual, la liste des membres des Automobile-Clubs.
- AUTOMOBILE CLUB DE GÊNES,
- i8, spianala Acquasola, à Gènes (Italie).
- AUTOMOBILE CLUB DE GRANDE-BRETAGNE ET D’IRLANDE (a, Automobile Cltib of Great Bri-
- tain and Ireland »), 119, Piccadilly, à Londres (Angleterre).
- Président : A. Stanley. — Vice-présidents : Dr Redxvood, Dr Bird, R. Tood. — Secrétaire général : J. W. Ordc. — Trésorier : Fr. Butler.
- AUTOMOBILE CLUB DE MILAN,
- piazzale Stazione Nord, à Milan (Italie).
- AUTOMOBILE CLUB DE MOSCOU, boulevard Novinski, à Moscou (Russie).
- Président : R. von Meck. — Vice-président : M. von Oeppinger. — Secrétaire général : J. Trelfersleld. — Trésorier : J. Steiner.
- AUTOMOBILE CLUB D ITALIE,
- 5, via Plana, à Turin (Italie).
- AUTOMOBILE CLUB DE RUSSIE,
- 10, Spalcrnaia, à Saint-Pétersbourg (Russie). Adr. tél. Russauto-Samt-Pélersbourg.
- Président : W. Goudovitch. — Vice-président : Prince Massalski. — Secrétaire général : P. Boecbel. — Trésorier : F’. Outéman.
- AUTOMOBILE CLUB DE TURIN,
- 5, via Plana, à Turin (Italie).
- AUTOMOBILE CLUB VÉNITIEN,
- n, via San Pielro, à Padoue (Italie).
- AUTOMOBILE CLUB HONGROIS
- (Automobile Club Magiaro), Palais Torley, Sandorl'ehrez-utcza, 16, à Budapest (Hongrie).
- AUTOMOBILE CLUB NÉERLANDAIS, Nassauplein, à La Haye (Hollande).
- Président : 1L van llogelanden. — Vice-président : R. Sandbcrg lot Essenburg. --Secrétaire général: G. Venema. ---Trésorier: A. van llohoken.
- AUTOMOBILE - CLUB ROMAN ,
- Grand Hôtel du Boulevard, boulevard Elisabeth, à Bucarest (Roumanie). — Président : Prince G. V. Bibesco : vice-présidents : G. Assan et A. Darvari ; secrétaire général : J. Camarashesco.
- AUTOMOBILE - CLUBS RÉGIONAUX DE FRANCE (Fédération des).— Groupement destiné à défendre les intérêts dos sociétés automobiles de province, à aider à leur obtenir des avantages communs, à créer entre elles un lien permanent et à contribuer au développement du tourisme et de l’automobilisme en F’rancc.
- Le siège social de la Fédération est situé à Paris, 8, place de la Concorde. Le président est M. le prince d’Arenbcrg.
- La Fédération se compose des Automobile-Clubs ou sociétés automobiles de province, constitués dans la forme d’associations libres ou déclarées, et représentés par un membre de leur Comité, et préalablement reconnus par l’Automobile Club de France et la F. A. C. 1\. F. Cette reconnaissance n’est accordée qu’après avis favorable des clubs immédiatement voisins faisant partie de la F. A. C. R. F.
- BERLIET
- RECORD
- de Con sommation
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- 1 La Fc dé ra lion se nùre olle-mème. File est, administrée par mi Fouille compose des présidents de chaque Automobile Flub ou société faisant partie delà Fédération. Enoas d'empêchement, le président peut se faire remplacer par un délégué, accrédité auprès delà Fédération par une lettre signée de lui.
- Le Comité élit parmi ses membres un bureau composé de : un président, deux vice-présidents, un secrétaire général, un trésorier, deux assesseurs.
- La cotisation annuelle de chaque automobile club ou société faisant partie de la Fédération est Jixée à un franc, pour chaque membre actif sur le relevé du nombre des sociétaires fourni par chaque club au lit décembre, sans que la cotisation annuelle puisse dépasser non francs.
- Pour les membres correspondants, étrangers, forains ou affiliés, la cotisation sera réduite à no centimes par membre.
- O11 conçoit l'avantage pour un club de province d'appartenir à la F. A. F. IL F., si i’011 réfléchit qu'un de ses membres, résidant, par exemple dans le nord de la France et excursionnant dans le midi, peut, trouver près de l'automobile club affilié l'appui et tous les renseignements destinés à faciliter et. rendre agréable son excursion. La Fédération protège d'ailleurs les chauffeurs en général, par l'intermédiaire des différents clubs, et s'attache à égaliser les avantages dont, peuvent, bénéficier tous ses membres.
- AUTOMOBILE-ECOLE, garage, 48, rue Saint-Ferdinand, Paris.
- AUTOMOBILE EN SEINE-ET-OISE (L’), journal, 4°-- rue d’Angiviller, à Versailles (Seine-et-Oise).
- AUTOMOBILE EXCHANGE and STORAGE CP, vente d'automobiles, i33 West 38 (h. Street, à New-York (Etats-Unis).
- AUTOMOBILE-GARAGE. vente d'automobiles, /|5, via XX-Settembre, à (ienes (Italie).
- AUTOMOBILE-OFFICE, rente d'automobiles, /|0, rue Saint-Ferdinand, Paris.
- AUTOMOBILE-OFFICE, 28, rue
- Fontaine, Paris.
- AUTOMOBILE-REVUE DU LITTORAL (/,’ ), revue hebdomadaire illustrée, 27, avenue (le la (lare, à Nice (Alpes-Maritimes) .
- AUTOMOBILE SUPPLY CP, accessoires pour automobiles, i33(), Michigan boulevard, à Chicago (Etats-Unis).
- AUTOMOBILE-UNION, garage et automobiles, 89, avenue des Champs-Elysées, Tel. 532-78. Àdr. tél. Motocars-Paris.
- AUTOMOBILES COMMERCIALES
- (Société des), 3y, rue La Boétie, Paris. Tél.
- 587- 0/1. Société au capital de !\ millions de francs.
- AUTOMOBILES DE PLACE (Ci0 Française des), Go, rue de la Victoire, Paris. Tél. ij5-oo. — Garage et. direction: 2, place Collange, à Levallois-Perret (Seine). Tél.
- 588- 5G. •— Société anonyme, au capital de 5 000 000 de francs.
- AUTOMOBILES INDUSTRIELS
- 1 Société Générale des), Société Anonyme /mur l'Etude et le Développement des Transports Automobiles. Capital: 1 5oo 000 francs. Siège social, 3, rue Yignon, Paris. Tel. 155-91 et 268-41. Adr. Tél., Générant 0-Paris.-— Conseil d'administration : président, M. IL Estier ; vice-président, NJ. Ernest, Carnot : administrateurs, MM. Ch. Gambe-fort, J. Delpech, baron A. de Diotrich, A. Fontaine, P. Fournier, R. Millet, comte 11. de Pourtalès, K.-A. Wallcnbcrg; administrateur-délégué, M. Jean Delpech; directeur technique, M. llenri Mercier; directeur commercial, NI. Louis Pottier.
- Celle Société, constituée le 20 juillet 190O, est à la fois une Société commerciale et une Société d'études. Elle a pour objet, de favoriser le développement des transports automobiles, non seulement, en offrant aux industriels et aux entreprises do transports les véhicules de tout genre et de toutes forces susceptibles de répondre à leurs besoins, mais aussi e:i encourageant les initiatives privées, en fournissant à tous les intéressés les concours techniques, financiers et commerciaux qui peuvent leur être utiles en vue de l'organisation de transports industriels automobiles.
- La Société Générale des Automobiles Industriels a déjà réuni un assortiment, complet de véhicules industriels de tout premier ordre. Elle dispose notamment de la totalité de la production en poids lourds de la Société Lorraine des Anciens Etablissements de Diétrich et C‘ù, de Lunéville, qui possédera elle-même cette année l'usine la plus importante de France pour la fabrication des véhicules industriels.
- AUTOMOBILIA, revue bi-mensuello illustrée, 108, boulevard de Clie.hy, Paris.
- AUTOMOBILIA and ANGLO-SAXON HERALD, revue illustrée, 108, boulevard de Clichy, Paris.
- AUTOMOBILISTA [Société/), vente d'automobiles, 5, via San Pietro, à Padoue (Italie),
- AUTOMOBILIUM , vente d'automobiles, 2, Dresdencrslrasse, à Leipzig (Allemagne).
- AUTOMOBIL-REVUE, revue technique et sportive, 29, boulevard Extérieur, à Berne (Suisse).
- fLORRAINE-DIÉTRICH
- - AUTO-PALACE -
- 77 bis, Av. de la Gde-Arrçée, PAI(1S - Tél. 524-27
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- AUTOMOBIL TOPICS ILLUSTRA-TED, journal hebdomadaire, Times Building, Times square, à New-York (Etats-Unis).
- AUTOMOBIL WELT, journal, iG, Lin-denstrassc, à Berlin (Allemagne).
- AUTOMOBILINE, essence. — Voir Desmarais Frères, Paris.
- AUTOMOBILIUM, vente d'automobiles, GG, avenue de la (irande-Armée, Paris. Tél. 539-96. Adr. tel., Aulomobilium-Paris.
- AUTOMOTION (F), revue, 2 bis, rue Edouard Détaillé, Paris.
- AUTOMOTIVES, mot créé par M. Purrey. afin de désigner les automotrices sur rails pour chemin de fer. — Voir Purrey.
- AUTOMOTO. — Voir Constructions mécaniques de la Loire (Sociétéde), automobiles.
- AUTO-MOTO (G misse consistante). — Voir Burckhardt, à Paris.
- AUTOMOTOR JOURNAL, 44, Saint-Martin’s Lane, Cbaring Cross, à Londres (Auglcterre). — Tél. 18 28 Gcrrard. Ad. tél. Truditur-London.
- AUTOMOTRICES, voitures sur rails pourvus d'un moteur. -Voir Purrey.
- AUTOMOTRICE (Soci été Anonyme V).
- - Voir Jtadia (Société des Voitures).
- AUTOMOVILISMO ILLUSTRADO
- (El), revue, 2 fi, Muntaner, à Barcelone (Espagne).
- AUTO-MUTUELLE 12, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- A.UTONAUTIQUE (F), revue illustrée,
- 4 bis. avenue Malansséna, >à Nice (Alpes-Maritimes).
- AUTO-OCCASION (/V). vente d'automobiles, iy, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- AUTO-OELE, huile minérale, fabriquée par Cari Christian lleld, à Stuttgart (Allemagne).
- AUTO-OFFICE, cm nmcrcc d’automobiles, 65, avenue d’Antin, Paris. Tél. 553-75.
- AUTO-PALACE (Socu •té Anonyme, I fondée en 189/1), garage, 11 bis, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél. 02/1-27. Adr. tél., Aulo pal ace-Paris. Administrateur-délégué : M. G. Corlin. Directeur commercial : M. Bayart.
- — Concessionnaires pour la vente des voitures de Diétrich et Panhard-LevaSsor ; accessoires, atelier de réparations et garage.
- AUTO-PALACE, vente d’automobiles, piazza Sannazzaro, à Naples (Italie).
- AUTO-PALACE, garage, 4, rue Meyer-beer, à Nice (Alpes-Maritimes).
- AUTO-PALAST, garage, G/|, Kaiser-strasse, à Eranelort-sur-Ie-Mein (Allemagne).
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- AUTOPHONE (F) , cornet avertisseur. — Voir Ber ton, à Paris.
- AUTO-PILE, pile rechargeable. — Voir Tardxy, à Valenee-sur-Rhônc.
- AUTOS POSTALES. — Quinze autos postales électriques sont en usage à Paris depuis le mois d’octobre kjo/j. — La forme de la voiture et sa décoration rappellent celles des tilburys. La capacité de leur caisse est d'un mètre cube et demi, volume qui permet un poids d’environ 65o kilogrammes.
- Leur vitesse qui, d’après le cahier des charges, devait cire de 18 kilomètres à l'heure, peut atteindre !\o kilomètres; dans Paris, elle 11e dépasse guère a5 kilomètres.
- Ces i5 autos postales remplacent 20 tilburys qui nécessitaient 4° chevaux auparavant. Elles ont été construites par la maisou Mildé.
- — Heinz iït C'°, 27, rue Gavé, Levallois-Perrct (Seine).
- — Mildé, 3o, rue Desrenaudcs, Paris.
- AUTO-PROTECTIVE LEAGUE, 4i
- West 33 d. Street, à New-York (Etats-Unis).
- AUTO-SCAPHANDRE (F), vêtements pour automobilistes. — Voir Voyage Automobile (.Lu).
- AUTO-SPORTS, vente d’automobiles, 71, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél. 520-91.
- AUTO-STAND, garage ; vente et réparations d'automobiles. M. Péreaux, directeur, concessionnaire des voilures de Dion-Boulon, et des voitures Molobloc, 20, rue Durci, Paris. Tél. 534-55. Adr. tél. Aulosland-Paris.
- AUTO-SUPPLY C°, accessoires pour automobiles, 1662, Broadway, à New-York (Etats-Unis).
- AUTO-TEIL GESELLS CHAFT, appareil d'allumage, 8, Eranzosische Strasse, à Berlin (Allemagne). — Agent : M. Grœner, 65, rue de Turenne, Paris.
- AUTO-TRACTEUR (F), fabrique d’automobiles, io3, rue de la Convention, Paris.
- AUTO-TRANSPORT (F), vente de voitures électriques, 110, rue du Bois, à Le-vallois-Perret (Seine).
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- AUTOVALVE, lmile minérale. — Voir Brichct, à Saint-Mandé.
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- AUTO-VÉLO (Société), vente d'automobiles et de cycles, 5, rue Poisson, Paris. Tel. 587-33. Adr. tel. Exportovel-Paris. — Directeur: M. L. Duclos.
- AUTO-VÉLOCITÉ, huile minérale. — Voir Vacuum. OU C°, Paris.
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- AUTOVULCANISATOR. — Appareil portatif à Dusage des chauffeurs et cyclistes pour la vulcanisation sur route des réparations aux pneus. Le mode d’emploi du type Simplex consiste à : i° décaper et ruginer les surfaces; :20 les enduire de dissolution rouge (pastilles) ou bleue (masticages), sécher devant le feu; 3° badigeonner avec le liquide du llacon jaune les pièces encore tiècles et les accoler : c’est la vulcanisation <( à froid-chaud ». — M. Le lloy, chimiste, 20, rue de la Savonnerie, Rouen.
- AUVILLAIN (Fernand),, no à Paris, le i4 juillet 18G8. —- 21, rue d'Orléans, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tel. 072-33. — Officier d’académie. — Directeur commercial de la Société A.Védrine et C° Ltd., de Courbevoie.
- AUXILIAIRE-AUTOMOBILE (L), vente d’automobiles, /|3, avenue de la (îrande-Armée, Paris.
- AUZOUT, compteurs de (ours, 108, rue
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- Paris.
- AVANCE A L’ADMISSION.—
- N’existe que dans les moteurs à vapeur. Elle a pour but, notamment dans les machines à tiroir, de donner déjà une certaine ouverture aux lumières d’admission, au commencement de la course du piston, c'est-à-dire au point mort. Pour arriver à ce résultat, on ouvre l'admission en avance, d'une faible quantité d’ailleurs, 3 à 8 m/m sur la course du piston. L'avance à l'admission améliore d'autre part le fonctionnement des machines en absorbant l’inertie du piston et de sa tige au moment du changement de direction du mouvement. Ce résultat est aussi atteint par la compression de la vapeur d’échappement, qui commence souvent à mi-course dans les machines rapides ou à condensation.
- Dans les moteurs à explosion, l'avance à l'admission 11e saurait exister sous peine de refoulement des gaz brûlés dans la tuyauterie d'aspiration.
- AVANCE A L’ALLUMAGE. — Disposition qui consiste à faire que l'étincelle destinée à enflammer le mélange jaillisse plus ou moins en avance sur le moment où le piston est à fond de course, au maximum de compression du mélange. L'avance doit être d’autant plus grande (pie le piston se déplace plus vile, car la déflagration n'est jamais instantanée et nécessite au contraire toujours un temps appréciable pour s'effectuer. — Voir l’ouvrage Y Allumage, par 13. de S.
- AVANCE A L’ÉCHAPPEMENT.—
- A pour but, dans les moteurs à vapeur ou à explosion, de dégager le cylindre avant le retour en arrière du piston, afin d’éviter une forte compression de la vapeur ou des gaz. A cause de la moindre détente, on perd d’un côté pour gagner de l’autre. Il y a donc lieu de voir avec soin quelle est l’avance optima. Cette avance est fixée par la pratique pour chaque type de moteur. Quand la vitesse est très grande, il y a toujours intérêt à augmenter l’avance à l'échappement sans toutefois l'exagérer. Sur les moteurs d’automobiles elle n'est jamais moindre de 1 ho de la course du piston, c’est-à-dire qu’011 ouvre l’échappement au plus tard lorsque le piston a parcouru les 9/10 de sa course.
- AVANCEMENT DES SCIENCES
- (Association Française pour /’), 28, rue Serpente, Paris. Tél. 817-13.
- AVANT-TRAIN. — D ans une voiture attelée, les brancards forment un angle droit avec l’essieu rigide ; dans un virage, tout le train antérieur pivote autour de l’articulation ; une des deux roues recule sous la caisse échancrée en vue de ce résultat, tandis que l'autre roue avance jusque dans l’axe longitudinal de la voiture.
- Dans un véhicule automobile, ce dispositif aurait de graves inconvénients, le passage de la roue sous la caisse obligeant le constructeur à élever anormalement sa voilure, et la stabilité de cette direction étant assez problc-
- (Kig. 1) (V\ç. a)
- SeilKMA UK LA POSITION DK i/aVANT-TU AIN d'üïS’K VOITURE ATTKLKK
- matique dans les grandes vitesses. On voit en effet (pie la base de sustentation du n° 2 n'est plus à beaucoup près celle du n° 1, où, de forme rectangulaire qu’elle était dans le premier cas, elle a tendance a se rapprocher de plus en plus d'un triangle dans le deuxième cas.
- Ces diverses considérations ont amené la création et l’adoption générale pourles automobiles des directions à essieu ùme(voirce mot).
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- l'n avant-train est. aussi un dispositif mécanique, portant un siège, qui se place à l'avant d’un tricycle qu'il transforme en quadricycle pour deux personnes: ou à l'avant d'une bicyclette ou motocyclette qui devient ainsi un tric}rcle à deux places.
- — Avant-train démontable. — L'idée d'un avant-train démontable est celle-ci : une seule l’orme de voiture ne peut correspondre à tous les besoins d’un individu, d’une famille, qui se serviraient tour à tour d'un coupé, d'un omnibus, d’un camion même. Impossibilité, par conséquent, le châssis de la voiture devant être plus ou moins Ion#, large ou pesant, de disposer sur lui toute une série de caisses différentes. — M. Lacoin a donc été bien inspiré en construisant une voiture à avant-train démontable. Le véhicule forme (leux parties distinctes : l’arrière avec scs roues cl scs deux brancards, telle une voiture a deux roues (cabriolet) ; l’avant comportant les deux roues directrices et l’ensemble du moteur. Une liaison mécanique très simple et très solide réunit ces deux « morceaux » et. en fait une voiture dont l'aspect est identiquement celui d'une automobile ordinaire. — On attelle cà 1' t< avant » tel ou tel (( arrière », de forme ou de dimension quelconques, tout comme on attelle un cheval à une voiture. — Voir Court et Cu' (Luc).
- — Avant-train moteur. — De très nombreux inventeurs ont longtemps cherché et. cherchent encore à construire des avant-trains qui soient eu même temps moteurs et directeurs, de telle sorte que les mues d'avant donnent à la voiture, en plus de la direction qui est une de leurs fonctions habituelles, l'entraînement moteur. Les roues d'arrière ne serviraient alors pins que d’organes porteurs : la voiture ne serait, plus poussée^ mais tirée; ce <pii est rationnel et, parait entraîner de nombreux avantages.
- J,a supériorité du cheval-devant sur le cheval-derrière ne semble pas discutable. Les difficultés (pic rencontre ce dispositif mécanique sont malheureusement considérables. En elfet, on ne peut résoudre ce problème en renversant, les rôles des deux trains, avant cl arrière : les roues motrices devant, les roues directrices derrière. L'expérience a démontré que les véhicules construits d'après cette idée offrent, une direction absolument imprécise et complètement incompatible avec, toute vitesse dépassant 20 kilomètres à l’heure.
- Force est. donc aux chercheurs de s'en tenir au problème compliqué de l'avant-train à la fois moteur et directeur. Si le véhicule 11'a qu'une roue i\ l'avant, il faut nécessairement que tout le mécanisme soit installé sur (die : d’où encombrement considérable et difficulté de diriger une roue aussi pesante, sans compter la médiocre base de sustentation qu'offre pour un mobile, un triangle, dans un virage !
- Si le véhicule a deux roues à l'avant, on peut les monter sur un essieu rigide avec, un
- pivot central et, par une combinaison d’engrenages, transmettre aux deux roues le mouvement moteur, mais 011 retombe alors dans les inconvénients de l'avant-train attelé (voir plus haut).
- On est donc obligé logiquement à chercher l'avant-train moteur-directeur et employant, 1 essieu brisé habituel, données qui semblent s’exclure par la difficulté de transmettre une force a deux roues qui forment continuellement, par rapport a la voiture, des angles constamment variables.
- Beaucoup de solutions, plus ou moins heureuses, et plutôt théoriques, eu ont été données : citons les avant-trains à pivot (‘entrai de Prétot : ceux à essieu brisé de Kriéirer (transmission par galets de friction dans des hémisphères creux); d’Hubert. Landry (transmission par engrenages sphériques) : de llardt, de Lalil, de Jaiissens (transmission par cardans), etc.
- L'avant-train moteur-directeur est appliqué couramment et facilement aux voilures électriques, chaque roue avant pouvant porter une dynamo qui ladionne indépendamment de l'autre roue. L'avant-train est. ici admissible parce que le poids des dynamos fait charge suffisante sur les roues ; car un des gros défauts de l'avant-train consiste ordinairement dans le manque d'adhérence des roues sur le sol.
- AVELING et PORTER, tracteurs à vapeur, à Rochcster (Angleterre) ; et G, rue de la Victoire, Paris.
- AVENUE DU BOIS (Garage de /'), 1, rue Marbeau, Paris.
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- Appareil composé de deux tableaux, dont l’un, fixé à l'intérieur d’une voiture, est muni de plusieurs boutons électriques en regard desquels sont inscrits les ordres les plus usuels à donner à un mécanicien-conducteur, et dont l’autre tableau est posé sur le tablier, à portée de la vue du chauffeur qui se conforme ainsi aux ordres donnés optiquement.
- — Dksponts. iôo, rue Victor-Hugo, à Le-vallois-Perrct.
- — Mildé et Cio. avertisseurs lumineux. Go, rue Desrenaudes, Paris.
- — Santa-Maiua (dk). G, Chaussée-d'Antin. Paris.
- AVERTISSEURS PHONIQUES. —
- Les avertisseurs phoniques sont des instruments sonores qui servent à annoncer de loin, bien au delà de la portée de la voix, l'approche d'1111 véhicule automobile. On doit les employer, obligatoirement, dit. la loi, pour avertir et, logiquement, pour demander le libre passage. Les avertisseurs phoniques sont : les grelots, timbres, cornes ou trompes (pneumatiques ou électriques), sirènes, etc. Les sirènes à air ou à vapeur, dont l'usage serait vraiment, utile dans quelques cas très particuliers, tels que roules difficiles de mon-
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- Lagne, et. dans les mains seulement de personnes fort raisonnables, ne. peuvent être pratiquement mises en exercice sur les routes, par suite de la terreur réelle qu’elles causent par leur bruit strident.
- — - « L’approche d'un véhicule automobile <i devra être signalé, en cas de besoin, au «, moyen d’une /rompe. » (Décret du 10 mars i809-)
- Mais (( il est interdit aux chaullcurs de se (( servir abusivement, c’est-à-dire sans né— « ccssité, de la trompe ou de tout autre u signal d’avertissement ». (Ordonnance du Préfet de police de Paris, en date du 2 mai 3 9°5.)
- 11 a été jugé (Nancy) que les chauffeurs n’étaient pas forcés de a corner » pour avertir un chien de l'arrivée de leur voiture.
- — Gomiot, 8^, boulevard Gouvion-Sainl-Gyi\ Paris.
- — Desponts, ioo, rue Victor-Hugo, à Leval-lois-Perrct, (Seine).
- — Ilinscn (Etienne), 2G, rue .(le Crussol, Paris.
- — — Hussenot et Rkynaud, 89, rue de la Boétie, Paris.
- — Intermédiaire (L"), 137, rue Monsigny, Paris.
- - Mestre et Beatgé, 5, rue Brunei, Paris.
- - Santa Maria (de), G, Chaussée-d’Antin, Paris.
- AVERTISSEURS DE DÉGONFLEMENT. — Les avertisseurs de dégonflement sont de petits appareils mécaniques, qui avertissent, par une sonnerie ou par un coup de sifflet, le conducteur d'une voiture automobile qu’un des pneumatiques vient de « crever » et qu'il est temps de s'arrêter si l’on ne veut, pas voir l'enveloppe et la chambre à air se cisailler entre le sol et la jante métallique. Ils sont tous basés sur le dégonflement lui-même et sont tous d'ailleurs fort peu usités.
- AVIATEUR. — Ilomme qui s'occupe d'aviation ou qui monte un appareil d'aviation. C'est à tort qu'on donne parfois ce nom à la machine elle-même.
- AVIATEUR (Société /’), m, rue du Mont-Cenis, Paris.
- AVIATION (Concours d'appareils d’), non montés. — Ce concours, organisé par la Commission d'aviation de P Aéro-Club de France, a eu lieu à la Galerie des Machines les 11, 12 et i3 février 1900 ; il était réservé à de petits modèles de machines volantes de tous les types avec ou sans moteurs. Quelques modèles de planeurs surtout ont montré un excellent équilibre et ont donné lieu à d’utiles constatations. Les lauréats du concours de plancment ont été MM. Burdin, Dargent, Ilenrion. Peyret. Des médailles ont été accordées à MM. Moureu et José Weiss, bien que leurs appareils 11e rentrassent point dans les catégories prévues parle Règlement.
- AVIATION (Grand Prix d’) DEUTSCH - ARCHDE ACON. — Fondé par MM. Henry Deu.tsch de la Meurthe et Ernest Archdeacon et souscrit moitié par chacun d’eux, ce prix international de 5o 000 francs sera attribué au premier expérimentateur ayant accompli, avec un appareil aérien, sans avoir recours pour la sustentation à aucun gaz léger, ni avoir aucune communication matérielle avec le sol en cours do rouLe, un parcours fermé d'ail moins 1 kilomètre, comportant un virage qui doit avoir lieu à un niveau au moins égal à celui du point de départ.
- Pour les conditions détaillées, s'adresser à l’Aéro-Club de France.
- AVIATION. — Partie de l’aéronautique qui a trait à la locomotion aérienne par des moyens purement: mécaniques, sans le secours d'aucun gaz plus léger que l'air.
- AVIATION (Appareils d). — Les
- appareils d’aviation, encore appelés aéronefs (Congrès aéronautique de 1900) ou machines volantes, rotateurs, planeurs, suivant les cas, peuvent: sc ramener à trois types :
- hélicoptère * aéronef constituée par une ou plusieurs Indices à axe vertical ou voisin de la verticale.
- aéroplane, aéronef constituée par un ou plusieurs plans dont, la sustentation et la progression latérale sont obtenues soit par l'effet de leur propre pesanteur convenablement composé avec la résistance de l’air, soit par l'action d’une ou plusieurs hélices à axe horizontal ou voisin de l'horizontale.
- L'orthojitère ou oiseau mécanique, aéronef soutenue et propulsée par deux ou plusieurs ailes battantes.
- AVIATOR, motocyclettes. — Voir Fries et Germain.
- A. V. MAGNÉTO (Bougie). — Voir Ferez et Ci0, Faris.
- AVOCAT. — Quelqu es avocats sc sont fait une véritable spécialité de toutes les causes si nombreuses et si complexes qui ont trait, de loin ou de près, a l'automobilisme : accidents, responsabilités, contraventions, délais de livraison, transports, etc. L'automobile et ses conséquences civiles ou pénales ont entraîné des jugements parfois complètement, différents dans des cas analogues ; l'avis et les conseils d'un spécialiste instruit et documenté sont absolument indispensables. — L'Annual se fera toujours un plaisir d'indiquer un bon avocat spécialiste à ceux de ses lecteurs qui voudront bien le lui demander, bien qu'il leur souhaite sincèrement de n'en avoir jamais besoin.
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- AXE. — Un axe, en géométrie, est une ligne idéale passant par les points symétriques d'un objet quelconque. Par exemple, T axe d’une barre cylindrique de métal est la ligne théorique qui réunit le centre des cercles successifs de mêmes ou de différents diamètres.
- B
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- Axics géom éthiques A, C, axes. — B, IV B”, corps.
- Par dérivation, un axe, en mécanique, est une pièce cylindrique autour de laquelle une autre pièce, telle que roues, levier, etc., .peut prendre un mouvement de rotation et à laquelle elle sert de ligne de centres. C’est une pièce immobile, un « arbre fixe » ; par exemple , une l’usée pleine ou creuse, sur laquelle tourne une roue, est un axe.
- Sur les axes sont souvent calées par des
- clavettes, ou fixées par des vis, brasures, goupilles, etc., des bagues en acier qui servent de chemin de roulement aux billes ; ou toute autre pièce en métal de plus grande dureté que le métal de l’axe lui-même, moins cassant.
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- AZOTATE.—Synonyme de Nitrate. — Voir ce mot.
- AZOTATE D ÉTHYLE. — Voir Ether nitrique.
- AZOTE (Az = i/f). — L’azote est un gaz incolore, sans odeur et sans saveur. La densité de ce métalloïde est de 0,96; un litre d’azote pèse 1 gr. a5.
- L’azote existe à l’état de simple mélange atmosphérique dont il forme, en volume, 78,06 parties 0/0 et en poids 76,5 0/0.
- L’azote (du grec a, privatif et Çtov], vie), éteint les corps en combustion. Dans le mélange d'air et d’essence qui explose dans les moteurs, il joue un rôle nuisible, puisqu’il occupe, sans effet utile, un volume considérable qui serait mieux occupé par des molécules actives; d’où la recherche, non encore solutionnée , de moteurs puissants sous un petit volume, qui utiliseraient un mélange, non d’air et d'essence, mais d’oxygène et d’essence.
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- B. — Relire indiquant que le véhicule qui la porte dépend de l'arrondissement minéralogique de Bordeaux (Gironde).
- B. — Symbole d'induction magnétique.
- p. — (Prononcez : « petit bêta »). — Deuxième lettre de l'alphabet grec. Désigne généralement un angle.
- B. — Bougm et allumeur B. — Voir Boiron (J.), Paris.
- BABARIT, montres pour automobiles, 8, boulevard des Italiens, Paris.
- BABERT (L ouis) et Cie, antidérapants et courroies de transmission, 12, rue des Jacobins, à Eontenay-le-Comte (Vendée). —• Voir Mestre et BlaUjé, Paris.
- BABILLOT, pièces détachées pour automobiles, 28, rue Xotrc-Dame-de-Âazareth, Paris. Tél. 3i()-G".
- BABLOT, garage (voitures Berliel), 170, cours Lieutaud, à Marseille (Bouches-du-Rhône). Tél. 25-79. Adr. tél. Bahlol-Marscille.
- M. Bablot montait une voiture Berliel dans la course des Pyrénées (1900), dans le record Arles-Salon (janvier 190G) et. dans le Tou-rist Trophy (août 1906) et établit sur cette voiture les fameux records de consommation que l’on sait (8 lit. 3/4 pour 100 kilomètres, à l'allure moyenne de 72 kilomètres). Le moteur avait 100 X 120 comme dimensions.
- B. A. C. (Automobiles). — Voir Berliner Auto Cie, à Berlin.
- BAC. — Un bac est un réservoir, un petit «baquet », dont le nom est particulièrement employé en automobile pour désigner le récipient, ordinairement en celluloïd, qui renferme les accumulateurs.
- — y antique. — U11 6ac est un grand bateau plat, nui, soit à la rame, soit par la force du courant, soit par une machine, qui sert, a passer un cours d'eau ou un bras de mer. Si les bacs, étant de grandes dimensions, transportent les voitures à chevaux, ils (( doivent» obligatoirement «passer» aussi les automobiles, qui paient une redevance lixéc par le préfet du département.
- Par un décret du G janvier 1899 du ministre des Travaux publics, le tarif du trans-ort des vélocipèdes et des voitures automoles sur les bacs et passages d'eau adminis-ves par l'Etat a été fixé comme suit :
- i° Vélocipède à deux roues : o fr. 10 ;
- 2° Vélocipède à plus de deux roues : o fr. 15 ;
- 3° Vélocipède à deux roues, muni d'une machine motrice : o fr. 25.
- 4° Vélocipède à plus de deux roues, muni d'une machine motrice : o IV. 20 ;
- 5° Voiture légère, dite <( remorque » accrochée à un véhicule : o fr. 20 ;
- G0 Voiture automobile à deux places : o fr. 5o.
- 70 Voiture automobile à plus de deux places : o fr. 75.
- Pour les articles 1, 2, 3, 4, la taxe prévue devra être augmentée d'autant de fois cinq centimes que la machine contiendra déplacés, moins une.
- Les vélocipèdes et voitures automobiles des administrateurs, magistrats, fonctionnaires publics et divers agents mentionnés dans les tarifs actuellement en vigueur, sont exempts des droits de péage, mais pour le cas seulement où ces divers fonctionnaires ou employés seront obligés de passer d'une rive à l'autre pour cause de service.
- Indépendamment de la taxe de la machine, les cyclistes ou les personnes voyageant en automobile doivent payer leur taxe personnelle.
- Les fermiers des bacs (sauf certaines exceptions énoncées dans la loi du G frimaire an VU) ont le droit de réclamer le prix du passage aux personnes faisant la traversée, seules ou avec leur voiture, dans le bateau d'un particulier qui les transporte môme à titre gratuit.
- BACCARAT - FORCE, antidérapants « Econome » et réparations de pneumatiques, carrefour Pompadour, à Créteil (Seine). Adr. tél. Baccarat-Créteil.
- BACHE. — Le mot bâche désigne, soit un réservoir à eau de grande dimension, soit une grande pièce de toile épaisse, plus ou moins imperméable, qui sert à recouvrir les automobiles et à les protéger de la pluie et de la poussière.
- BACHEM, garage, G, Coblenzerstrasse, à Bonn (Allemagne).
- BACHMANN, garage, 43, rue de la Xavée, à Remiremont (Vosges).
- BADERTSCHER und C°, vente d’automobiles, Stadelhofcrplatz, à Zurich (Suisse).
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- BAGAGES. — On appelle bagages les différents objets empaquetés, nécessaires à tout voyageur, et qui raccompagnent dans ses déplacements.
- Les Compagnies françaises de chemins de fer accordent à toute personne voyageant avec ses bagages une franchise de 3o kilogrammes.
- Aux termes de l'arliele 9 du cahier des charges, les excédents de bagages sont taxés comme il suit : o IV. o5 par 100 kilogrammes et par kilomètre jusqu'à /|0 kilogrammes : o fr. o4 par ioo kilogrammes et par kilomètre au-dessus de /|0 kilogrammes.
- Le tarif est établi par fraction indivisible de 5 kilogrammes si le poids est inférieur à 5 kilogrammes et par fractions indivisibles de io kilogrammes si le poids est, supérieur à 5 kilogrammes, la taxe ne pouvant d'ailleurs jamais être inférieure à o fr. a5 pour une expédition de f\0 kilogrammes ou au-dessous, et à o fr. /(O pour une expédition d'un poids excédant t\o kilogrammes (frais de chargement et de déchargement compris). Ce tarif n'est applicable qu'apres déduction faite de la franchise de 3o kilogrammes par voyageur.
- Certaines Compagnies de chemins de fer ayant refusé tout d’abord d’accepter comme bagages les automobiles pesant plus de i5o kilogrammes, une circulaire ministérielle du 27 mars 1901, l'article !\!\ du cahier des charges et la jurisprudence leur ont imposé l'obligation d'accepter comme bagages, et sans limitation de poids, toutes les voitures automobiles, à la seule condition qu'elles puissent être chargées par les portes des fourgons. En outre, leurs réservoirs à essence doivent être vidés au préalable.
- Les objets à l’usage personnel des voyageurs ou de leur famille, tels que : malles, valises, paquets et sacs renfermant du linge, des vêtements, des objets de toilettes, des livres, etc., de même que les échantillons des voyageurs de commerce, peuvent être expédiés par grande vitesse en chemin de fer, sans que l'expéditeur soit obligé de prendre au préalable un billet de parcours.
- L'expédition des colis de ce tarif est faite dans les mêmes conditions que celle des bagages et donne lieu à la délivrance d'un bulletin distinct de celui des bagages accompagnés.
- La taxe est celle des excédents de bagages avec minimum (enregistrement compris) de 1 fr. jusqu’à t\o kilogrammes, de 1 fr. 5o au-dessus de 4o jusqu’à 200 kilogrammes, de 2 fr. au-dessus de 200 jusqu’à 5oo kilogrammes et de 2 fr. 5o au-dessus de 5oo kilogrammes.
- (Demander le tarif commun G.V. n° 110).
- — Vuitton (Georges), i, rue Scribe, Paris.
- BAGROS, garage, 5, rue du Pont, à à Triel (Seine-et-Oise).
- BAGUE. — Une bague est une pièce cylindrique, mince et courte, percée d’un trou suivant son axe. Une bague est en bronze ou en métal « anti-friction », quand elle doit servir de coussinet à frottement. Elle se fait en une ou en deux parties. Quand elle est en deux parties, elle prend souvent le nom de coussinet.
- La bague de frottement est souvent em-
- ployée dans la construction des automobiles, depuis les divers mouvements du moteur, jusqu’aux moyeux lisses des roues qui sont
- le
- ms de grippage
- bagues en subit. -
- bronze, afin d’éviter
- Segment de piston
- — Le pied de bielle, ainsi que la tête de bielle d'un moteur sont garnis intérieurement d’une bague de bronze qui s’use petit à petit, ce qui est la conséquence de son frottement sur l'axe d’acier du piston ou le ma-neton du vilebrequin ; il y a lieu, quelquefois au bout de plusieurs milliers de kilomètres, de faire rebaguer le moteur, ce dont on s’aperçoit lorsque le moteur « tape », même sans avance à rallumage.
- Les segments de piston sont des bagues en fonte douce qui ont été tournées, puis coupées à la longueur voulue.
- BAIE. — Voir Voilure.
- BAIL. — La jurisprudence admet que le locataire qui, aux termes de son bail, a le droit d’avoir cheval et voiture ou de faire pénétrer ou stationner dans la cour un cheval et une voiture, peut, en l’absence de réserves à ce sujet, y substituer une automobile.
- Le concierge doit veiller sur les automobiles remisées dans son immeuble.
- »
- BAIL (AINE), carrosserie automobile (spécialité de baquets tournants), 98, avenue Kléber, Paris. Tel. 690-80.
- BAIL et Ci0, automobiles et moteurs Minerve, 3o, rue du Point-du-Jour, à Billancourt (Seine). Tel. 6q6-35.
- BAIL JEUNE Frères , carrossiers, 5i, avenue Victor-IIugo, Paris. Tel. 514•
- BAILEY, garage, Lichfîeld Road, à Stafford (Angleterre).
- BAILLEAU (A .), automobiles légères, 18, route de Chilly, à Longjumeau (Seine-et-Oise). Tel. 17; et magasins de vente, 8, rue d’Obligado, Paris. Tel. 677-18. — Adr. tel. Automobiles-Bailleau-Longjumeau.
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- BAILLET, soudure autogène, l\2, rue de Lorraine, à Courbevoie (Seine).
- BAILLOT, mécanicien-constructeur, à Fumay (Ardennes).
- BAIN, tampons-freins débrayeurs, 10, rue Carnot, à Bois-Colombes (Seine).
- BAINS DE TREMPE. — Parmi les bains de trempe les plus employés, nous citerons : l’eau de pluie, froide pour outils tranchants et tiède pour les ressorts ; l’eau additionnée de sel ammoniac, dégomme arabique ou de sel marin ; le suif de mouton, Plmile, le mercure, la résine, le prussiate jaune, etc., soit isolément, soit en mélange plus ou moins savant. Chaque usine possède des formules et des « tours de main », qu’elle garde avec jalousie et à juste raison, ces « trucs de métier » pouvant contribuer largement à faire la réputation et le succès d’une maison. — Voir Trempe.
- BAIN D HUILE. — 11 n est pas nécessaire, pour avoir une parfaite lubrification, «pie les organes trempent ou soient immergés complètement dans l’huile. Tout palier qui comporte lui-même son réservoir d’huile est dit à bain d'huile. Très souvent on emploie une simple rondelle, baignant dans l’huile, qui se trouve entraînée par le mouvement de rotation de l’arbre et vient lubrifier le roulement.
- Dans les moteurs dits à bain d'huile, la tète de bielle seule, quelquefois même un simple <( lécheur », vient à chaque tour plonger dans l'huile au lbiul du carter et graisser automatiquement, par projection, tous les organes renfermés dans ce carter.
- BAÏONNETTE. — U ne baïonnette est un dispositif servant à réunir bout à bout deux pièces mécaniques. C’est, généralement, un manchon B, solidaire de A’ et pouvant tourner sur lui, et qui vient, prendre dans une fente IC un ergot solidaire de l'autre arbre A.
- BAJOUE. — Dans le but d’obtenir une protection plus efficace contre la boue ou la poussière, on ajoute quelquefois aux ailes des roues avant (et même des roues arrière dans certains types de voitures) de petits panneaux verticaux en cuir ou en lùle, appelés bajoues, qui relient l’intérieur de l’aile au châssis.
- BAJAC, pièces de forge, à Liancourt (Oise) ; et 38, rue du Louvre, Paris.
- B. Baïonnette réunissant les arbres A. et A’. K. Ergot.
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- CAR C°, fabrique d'automobiles, i/|i, Massachussets avenue, à Boston (Etats-Unis).
- BAKER MOTOR ELECTRIC C°
- (The), automobiles électriques, à Cleveland (Ohio), Etats-Unis.
- BAKER MOTOR VEHICLE C°, fabrique de voitures électriques, i8,Jessie Street, à Cleveland (Ohio), Etats-Unis.
- BALADEUR ou B ALLADEUR — Le
- train baladeur est un ensemble mécanique,
- très usité en automobile, pour e ffec tu e r les changements de vitesse. Il est formé de roues dentées plus ou moins nombreuses, de diamètres différents qui, actionnées par le conducteur, au moyen d'un levier à main qui commande une fourchette, peuvent se déplacer, se « balader» sur une partie (de section carrée) de l'arbre principal delà boite de vitesses. Ces engrenages viennent Tn ai n HAI.ADKUH (schéma) ajllsi sc n lettre sue-
- eessivement, en prise avec Tune des roues dentées qui sont montées sur un autre arbre parallèle à celui qui porte le train baladeur.
- Dans la ligure représentant une boîte à deux vitesses, l'arbre carré A, actionné par le moteur, porte un train, un assemblage de deux engrenages E et M, réunis entre eux par un manchon. Ces deux roues dentées, E etM, peuvent être, au moyen du levier L et de la fourchette F, déplacées soit sur la droite, soit sur la gauche et veniifc prendre contact avec l'une ou l’autre des deux autres roues dentées C et D, clavelées sur l'arbre B, qui transmettra ainsi aux roues des vitesses différentes suivant la volonté du conducteur. Si les roues dentées E etM occupent les positions qu'elles ont dans la figure, elles n'ont naturellement aucune action sur les roues C et D ; la voiture est à l'arrêt.
- Il y a des changements de vitesse à un, à deux et à trois baladeurs. Les changements de vitesses à deux et à trois baladeurs sont évidemment plus compliqués, mais ils offrent le gros avantage de ne nécessiter que des arbres très courts, par conséquent très solides et très peu sujet s aux vibrations, cause majeure du bruit des engrenages.
- — Berliet, 12, chemin des Qualre-Maisons, à Lyon (Rhône).
- — Rociiet et.Schneider, 5^, chemin Feuillet, à Lyon (Rhône).
- AUTO-GÉNÉRALE J SALLERON Automobiles Brasier
- Î6, rUO Duret — PARIS Directeur LÉOfJ I30LLÉE
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- Boni: DK vitksskh a a daladixks Hochet et Schneider.
- A., B, tringles de manœuvre. — (!, 1), fourchettes.— E, tenons de grande vitesse. — G, diUerenliel. — II, arbre carré. — I, 1, amorces des arbres des pignons de chaînes. — 1\, S, pignons de marche arrière.
- BALAIS ELECTRIQUES. — Frotteurs servant à recueillir le courant sur un collecteur ou des bagues. Les balais sont métalliques ou en charbon. Les balais métalliques sc font en 1 ils ou lames de cuivre, réunis en lais ce aux, ou plus souvent en toile métallique ou en clinquant, roulé pour obtenir une section réel angulaire. Les balais de charbon, très répandus , s'emploient lorsqu'on veut éviter les étincelles résultant des variations de débit. Les blocs de charbon sont fixés dans un porte-balais, généralement. réglable, et muni d'un ressort donnant la pression voulue sur le collecteur. Les balais métalliques Imitent sur des collecteurs en bronze, et. les balais en charbon sur des collecteurs en cuivre dur. —Voir Boudreauxy 8, rue I lautefeuillc, Paris.
- BALANCER. — On ne doit jamais mettre en marche un moteur en balançant de droite et de gauche la manivelle, comme le loul encore quelques chauiî'eurs : il faut
- toujours tirer la ma?iivcl!c de bas en haut et sans balancer.
- Si Ton agit autrement, il peut arriver que, par suite de ce mouvement de balancement, le ressort de l'appareil d’allumage se soulève, ce qui dônnc une étincelle avant que le point de compression soit atteint; d'où explosion prématurée et retour de manivelle en arrière.
- BALANCIER. — Un balancier est une pièce rigide, animée d'un mouvement d'oscillation, destinée à transformer un mouvement alternatif en nu mi veinent circulaire
- ,P
- BaLANCIEIV DK MACHINE A VAPKUU
- continu par l'intermédiaire de bielles articulées à ses extrémités (machines à vapeur, moteurs, etc.). Par exemple, la bielle A, lixée au piston, sera reliée à la bielle B fixée au volant, par l'intermédiaire d'un balancier qui oscille sur des tourillons P.
- Des Anciens Établissements PANHARD & LEVASSOR
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- BAL
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- B A L
- On nomme encore balancier une machine qui scrl dans Y estampage des petites pièces de mécanique et d'horlogerie, pour leur impression en creux ou en relief, leur découpage et leur perçage. Elle se compose : d'un plateau A, sur lequel est fixé l'étrier BB ; d'une vis verticale V, à pas très allongé et à filet carré, qui se meut dans la
- Balancier a estamper
- douille liletée de l'étrier ; d'un levier horizontal LL, très long, fixé sur la tète de la vis et muni à ses extrémités de deux masses pesantes en forme de disques et qu'on manœuvre au moyen de la poignée P. Les estampeurs appellent cette machine un découpoir quand elle est de plus grandes dimensions et que l'opération a pour résultat de perforer une pièce.
- BALATA. — Composé hydrocarboné (C"lla) se rapprochant du caoutchouc et de la gutta-pcrcha, dont il possède les qualités intermédiaires. Provenant de la récolte du suc laiteux fourni par un végétal de la Guyane, le /nimusops balala, le suc laiteux est recueilli des exsudations produites par l'incision, comme le caoutchouc et la gutta.Le ou la halata commercial épuré a l’aspect et la couleur d'un cuir noirâtre, presque semblable à la gutta, ramollissablc par la chaleur, puis solidlfiablc par refroidissement (voir Gutta-Percha). 11 est un peu plus élastique «pie la gutta, mais incomparablement moins élastique que le caoutchouc. Le halata est employé aux mêmes usages que la gutta. En industrie, il est spécialement utilisé pour l'établissement de courroies de transmission.
- BALATA-DICK, courroies. — Voir Wanner et Cic, Paris.
- BALBI, allumage statique des moteurs, i5, rue de la Chapelle, Paris.
- BALDOU (/L), extincteur rAntiflammc, 102, Faubourg-Poissonnière, Paris.
- BALDWIN CHAIN and Mfe C\
- chaînes et amortisseurs de chocs, iq3, Chand-lcr Street, à Worcestcr (Mass.), Etats-Unis.
- BALE and C°, garage, Newport l\ond, à Barnstaple (Angleterre).
- BALL BEARING C° (Th e American)y pièces détachées, à Clcveland (Ohio), Etats-Unis.
- BALLEREAU,
- d'Electrieité Nilniclio
- BALLIF (Abel), ccmbre iS^o. — G5, Armée, Paris. — Officier de la Légion d’honneur.— Président du Tou-ring-Club de France, membre du Comité de F Automobile Club de France, organisateur du Tourisme en France. — Voir 1\ C. F.
- BALLIF(,/uc-
- ques), chef du secrétariat du président duTouring-Club de France,
- 97, boulevard Ma-iesherbes , Paris.
- directeur de la Société, r, 10, rue Mignet, Paris.
- né à Tours, le 11\ déavenue de la Grande-
- M. Ballif (Abel)
- BALLON — Ensemble de pièces (glaces*, cuir, bois) qui constitue un tout complet, rappelant vaguement la forme d'un ballon, et qui peut être assez aisément monté sur une. voiture ouverte, pour la transformer ainsi en une voiture fermée.
- Caisse a ijallon B démonlablo
- Le ballon n’est pas 1111c capote, une pièce mobile qu’on peut rabattre sur l'arrière de la voiture ; c’est un assemblage rigide de pièces de carrosserie qui forme un « bloc ».
- Les ballons ont une forme ronde ou carrée, suivant la forme même do la caisse.
- BALLOT et Ci0, moteurs, io3, boulevard Brune, Paris. Tél. 7.30-08.
- BALMONET Frères et Cie, fournitures pour vélocipèdes et automobiles, 106, rue des Amandiers,'Paris.
- BALOURD (Nom et adjectif). — Mot employé pour désigner une pièce mécanique, telle qu’une poulie de transmission, une pièce sur un tour, etc., qui est mal montée sur son
- gté J|me B|'|| BOTI AUX CARR0SSERiËS AUTOMOBILES
- __MÉDAILLE D’OR : Exposition Universelle de Saint-Louis. U. S. A- — * LEVALLOIS (Seine)
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- I uO
- 13 A N
- arbre, ou mal cintrée, ou plus lourde d'un côté que de l’autre. La pièce est grossière, elle est balourde.
- BALSAN (Jacques), 52, quai Debilly, Paris. Tel. G85-Go. — Né à Châteauroux en 18G8 d'une famille de grands industriels, visite en homme d'affaires, en explorateur et en sportsman les divers pays d'Europe, l'Argentine, la Bolivie, le Chili, l’Australie, Manille, la Chine, le Japon et les Etats-Unis. Chasseur fervent, apôtre convaincu de la culture physique, c'est aussi un de nos aéro-nautes les plus scientifiques, les plus habiles et les plus énergiques. Se classe second dans l'ensemble des Concours aéronautiques de l'Exposition : Vincennes-Opochno (Russie), i 3Go kilomètres, les 9-10 octobre iqo5. Parmi ses autres ascensions remarquables citons : voyage de durée 35 h. 9’ de Yinccnnes en Belgique,Vincenncs-Lcba (1 3Go kilomètres), les 23-a4 septembre 1900. Parc de T Aéro-Club de France à Saint-Cloud-Madocsa (Hongrie), 1 290 kilomètres en 27 h. 9, etc... Recordman français de l’altitude par 8 558 m. A accompli, en 1906, la traversée en ballon, de Paris à Singleton (Angleterre). M. Jacques Balsan est vice-président de F Aéro-Club de France, président, de la Société Française de Navigation aérienne.
- BANC A ÉTIRER ( Usines). — Le banc à étirer est composé de deux longues poutres de fer ou de bois, réunies parallèlement l'une a l'autre par de forts boulons. Sur ces poutres se déplace lentement, d'un bout à l'autre du banc, une puissante chaîne sans fin, entraînée par un mouvement d'engrenages. Une extrémité du banc porto une filière verticale, plaque d’acier très dur, percée de trous de diamètres et de formes différents, au travers desquels on force à passer des barres ou des fils de métal, entraînés par la chaîne sans lin; ces barres ou ces lils, a la sortie de la libère, ont nécessairement le profil du trou qu'ils ont été obligés de traverser.
- — Banc de tour. — Un banc est la pièce de fonte, composée de deux flasques verticaux et parallèles, parfaitement rabotés et dressés, (jui, dans un tour, sert de soutien et de guide au chariot porte-outil, entraîné par la vis-mère et se déplaçant parallèlement à l'axe du tour. Le banc d'un tour parallèle est droit ou rompu ; dans ce dernier cas, il est coudé, ou porte un évidement, à proximité de la poupée fixe.
- BANCS RUSTIQUES. — Le T. C. F. a pris l'excellente initiative de faire placer des bancs tout fait robustes (d’ou leur nom de bancs rustiques) en certains points de montagne, dans des forêts, des endroits isolés, etc., offrant un panorama particulièrement beau.
- Actuellement plus de 35o de ces bancs, à 5o francs pièce, ont été placés aux frais de cette grande Association, par les soins des ngénieurs et des agents voyers.
- BANDAGE. — On nomme d’une façon générale bandage la bande de fer qui consolide et protège la jante de bois d'une roue de voiture ordinaire.
- Par analogie, 011 a nommé bandage la partie extérieure d'un pneumatique, faite de toile et de caoutchouc, et protégeant la chambre à air. On emploie aujourd'hui de préférence le mot enveloppe, qui semble plus exact, car il désigne l’organe qui, en effet, enveloppe la chambre.
- Mais, si le mot bandage semble inexact quand il doit désigner un pneumatique, il est incontestablement juste quand il désigne le caoutchouc plein ou creux qui est souvent monté sur une roue au lieu du pneumatique. On lui donne alors quelquefois encore le nom de bande. — Voir Pneumatique.
- Le bandage en fer de la roue ne pouvait subsister sur la voiture automobile ; en créant le bandage pneumatique démontable, Michelin créa le rail de l'automobile (selon le mot du Marquis de Dion).
- — Bandages Beau et Cio, 171, cours Balayette, Lyon ^ Rhône).
- — Bandages Beuc.olt.nan et Ci0, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- — Bandages Buchillet et Cio, rue Saint-Ferdinand, Paris.
- — Bandages Continental, i/jG, avenue Malakoff, Paris.
- — Bandages Dunlop (Société Française des Pneumatiques), i4* rue Piccini, Paris.
- — Bandages India Rubber C°, 97, boulevard Sébastopol. Paris.
- — Bandages Michelin et C10, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- — Bandages Roue E. L. (Société Française de la), 28, rue de Sablonvillc, Neuilly-sur-Seine).
- — Bandages Toiuulhon, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- — Bandages Wolbeh, 7G, rue des Arts, à Levallois-Perret (Seine).
- BANDAGES DÉMONTABLES (Société Anonyme de fabrication de), a3, boulevard Gouvion-St-Cyr, Paris. Tél. 5a4-G3.
- BANDE. — Voir Bandage.— On donne le nom de bande de roulement à la partie renforcée d'une enveloppe de pneumatique, qui reste en contact avec la route tout le temps.
- La largeur de la bande de roulement (la largeur de la trace qu'elle fait sur la route) dépend, on le conçoit, de la section du pneumatique, de la pression à laquelle il est gonflé et de la charge qu'il supporte.
- — On nomme bande l'inclinaison latérale d'un navire; donner de la bande à tribord, par exemple, c’est pencher du côté droit, soit à cause du vent, soit par suite d'accident.
- BANDES B. S. — Voir Torrilhon et Paris.
- BANDES KELLY, 179, rue de la Pompe, Paris.
- Pneu LIBERTY-WOLBEBI
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- B A B
- BANDE-GUÊTRE CONTINENTAL. — Voir Guêtre.
- BANGHAM, garage, Cecil square, à Margate (Angleterre).
- BANGS, vente d’automobiles, 801, Boyls-ton Street, à Boston (Etats-Unis).
- BANKER C°, fabriqi îe d'automobiles, i2o3, Michigan avenue, à Chicago (Etats-Unis).
- BANLIER, modeleur. i3o, rue de Cour-celles, à Levallois-Perret (Seine).
- BANNEVILLE, graisseurs pour automobiles, 119, rue Saint-Maur, Paris.
- BANQUE AUTOMOBILE (La), kl, boulevard Haussmann, Paris. Tel. 320-iG. Adr. tel. Autobanic-Paris —Succursale: iG, avenue Masséna, 4 Nice. — Exécute les ordres, pour l’achat de voitures automobiles, camions, voilures commerciales de livraison ou industrielles (poids lourds), canots, etc., etc., livrés par les constructeurs. Traite au comptant et à terme en donnant à ses clients la facilité d'effectuer le paiement de leurs commandes, par des mensualités allant jusqu’à 20 mois, sans aucune majoration du prix des catalogues des constructeurs et des carrossiers.
- BANQUE (Garage de la), vente d’automobiles, G, rue Monsigny, Paris.
- BANQUETTE - Dans les voitures attelées, la banquette est le siège spécialement réservé aux « maîtres ». Dans les voilures automobiles, la banquette, indifféremment à l'usage des maîtres ou des domestiques, est Vassise complète, composée du coussin reposant sur la parclose et du dossier. — Voir ces mots.
- BANS (Georges), 84,
- M. G. Bans périodiques.
- rue du Eaubourg-St-lïonoré, Paris. Tel. 27G-20. — Chef de la rubrique aéronautique des Sports. — A fait un très grand nombre de voyages aériens. A tenu successivement, la rubrique aéronautique au tournai, à la Patrie, à Y Aurore, etc.— Membre de plusieurs Sociétés aéroplu-les. Secrét aire général du Syndicat des journaux et publications
- BAQUETS. — Dans les voitures automobiles, particulièrement dans le cas où elles
- sont employées pour les courses, il arrive souvent que le siège « avant », au lieu d'être formé par une banquette commune à deux personnes, est remplacé par deux sièges distincts, ressemblant assez à des fauteuils, et appelés baquets.
- B. Baquets. — P. Pointe de course.
- Les caisses comportant des baquets constituent un type de carrosserie actuellement très employé en automobile, h'assise dans un baquet, doit être au minimum de 5o centimètres de profondeur sur autant de largeur.
- BAR, fabrique de lanternes, 5, rue Saint-Ambroise, Paris.
- BARA et PASCAULT (Société en nom collectif), fournitures générales pour cycles et automobiles, 35, rue Yicior-Massé; Paris. Tél. 229-13. Adr. tél. Ihirascaull-Paris.
- BARAS, vente d’automobiles, i3, rue de Beuilly, Paris. Tél. 92G-35.
- BARBANCE, f abrique de détergent pour les yachts, i33, rue des Pyrénées, Paris.
- BARBAROU (Marins J.-B.), 82, avenue du Chemin-de-Fcr, à Epinay (Seine). — Né à Noissac (Tarn-et-Garonne), le 28 octobre 1876. — Ingénieur aux Automobiles Delaunay Belleville — Ancien ingénieur aux usines Clément et aux usines Benz-Parsifal.
- — Delaunay Belleville (Automobiles), à Saint-Denis (Seine).
- BARBAT, gr aisscs consistantes, 80, rue des Carrières, à Charenton (Seine). Tél. 918-89.
- BARBEREAU, carrosserie automobile, commerce d’automobiles. 17, rue Esprit-dcs-Lois, à Bordeaux (Gironde).
- BARBIER (P.), moteurs, 46, boulevard Bichard-Lenoir, Paris. Tél. 900-96.
- BARBOT (Aimable), mécanicien-constructeur, 5, place Métézeau, à Dreux (Eure-et-Loir).
- BARBOTAGE. — On dit qu’un gaz barbote lorsqu’il est obligé de traverser un
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- pquidc où il se charge de molécules qu il mi
- emprunte. Les
- SCIIECMA DU nAUBOTAGi:
- premiers car->- burateurs cm-[iloyés en automobile étaient dits à barbotage. Un tube T, en libre communication avec l’atmosphère,arrivait presque au fond d'un réservoir R contenant de l’essen-
- ce ; le pistou du moteur, en descendant dans le cylindre, créait une dépression qui forçait l’air aspiré à pénétrer dans le tube T et à traverser l'essence
- de pétrole, très volatile, dont il se chargeait au passage; le .mélange explosif était ainsi créé.
- Il ne faut pas confondre léchage (voir ce mot) et barbotage : dans l'un, l’essence est seulement effleurée par l'air ; dans l'autre, elle est traversée ; les résultats en sont, du reste, à peu près identiques. Le principal inconvénient est répuisement rapide des particules volatiles de l’essence qui devient de plus en plus lourde et arrive à ne plus s'évaporer convenablement.
- — On se sert aussi du mot barbotage pour indiquer que la tête de bielle d'un moteur vient, à chaque rotation, baigner dans l'huile enfermée dans le fond du carter et y prendre une certaine quantité de lubrifiant, qu'elle projette automatiquement, sur les parties intérieures à huiler du moteur.
- BARBOU et Cio, fabrique de crics, 52, rue Montmartre, Paris. Tel. ii5-53.
- BARDET , carrosserie automobile, 33. rue de Courcelles, à Levallois-Perret (Seine). Tél. 181.
- BARDET, DENIS et Cif\ machines-outils, 53, rue Servan, Paris. Tél. 928-79.
- BARDIN [Pierre), président du Moto-cyele-Ulub de Franco.
- BARDIN, échelles pliantes pour automobiles, 4 7 bis, route de Versailles, à Billancourt (Seine).
- BARDIN, garage, 8, quai National, à Gien (Loiret).
- BARDON (Louis), Gi, boulevard National, à Clichy (Seine). — Tél. 006-70. — Né à Clichy (Seine), en 1862. -- Inventeur des lampes à arc Bardou et du moteur équilibré Bardou. —Membre de la Chambre des industries électriques et automobiles.
- BARDOT, oxygène liquide, 19, rue l)u-ranton, Paris.
- BARÈME. — Un barème ou barrème (du non» de son inventeur) est un livre ou
- un tableau qui contient des calculs tout faits d’un usage courant, tel que les tables des carrés, des cubes, des nombres, les surfaces des cercles, etc. ; ou d'un usage particulier, tel que les barèmes de vitesse, de développements, de multiplications, etc.
- BARDOU, CLERC et Ci0, antidérapants, 12, boulevard Sébastopol, Paris. Tél. 128-62.
- BARENNE, photographe. 27 bis, rue Dure!., Paris. Tél. 013-78. — M. Barenne fut le premier photographe u sportif ” au sens exact du mot.
- BARFORD et PERTEINS, rouleau automobile pour la culture, à Peterborough (Angleterre).
- BARGIN et BECKERICK, carrosserie automobile, 85, rue Borghèse, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tél. 162.
- BARGUES , carrosserie automobile, 45, avenue de Pézenas, à Béziers.
- BARILLET, graisse consistante Soleil, à Alfort (Seine).
- BARIQUAND et MARRE (Société anonyme des Ateliers), fabrique d'automobiles et de machines-outils, 127, rue Obéi-kampf, Paris. Tèl. 902-16.
- BARIT et GADENNE. — Voir Forges et Ateliers du Nord.
- BARNARD, moteurs, 82, boulevard IV.-chard-Lenoir, Paris.
- BARNASCONE (L.) , accessoires et pièces détachées pour cycles et automobiles, phares « Sclilesingcr », 2, rue de Braque, Paris. Tél. 264-67. Adr. tél. Barnascone, Paris. — Meme maison: Arundel Street, à Shef-field (Angleterre).
- BARON Frères, fabrique de roues pour automobiles, 66, rue Victor-IIugo, à Levallois-Perret (Seine).
- BAROTTE, hélicoplanc électrique, 9, allée Flandrin, à Gargan-Livry (Seine-et-Oise).
- BARRAS, vente d'automobiles, i3, rue de Keuilly, Paris.
- BARRÉ, machines-outils et forges portatives, 01, avenue de la République, Paris. Tél. 936-12.
- BARRÉ (C.) et Ci0, fabrique d'automobiles et garage, avenue de la République, à Niort (Deux-Sèvres), Ad. tél. Barré-Vélo-Xiort.
- BARRÉ et COUPPIN, accessoires, à Bléré (Indre-et-Loire) ; et 55, rue d'iïauteville, Paris.
- BARRÉRE, éditeur-géographe, 21, rue du Bac. Paris. Tél. 727-20.
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- 13 A 1\ — i o3 — B A R
- BARREAU AIMANTE. — Ban *eau d'acier trempé, ou comprimé, aimanté par un aimant naturel ou plus généralement par l’action d'un courant. Les extrémités d’un barreau aimanté se nomment ses pôles. C’est là que les phénomènes magnétiques (attractions, répulsions) ont leur maximum d’intensité. Un barreau aimanté mobile (aiguille aimantée ou boussole) se place approximativement dans la direction nord-sud. Le pôle nord de l'aiguille est généralement bleui par le Fabricant alin qu'on le distingue Facilement. On reconnaît la nature des pôles d’un barreau -en approchant doucement une de ses extrémités de la pointe bleuie d’une aiguille à pivot ; si l’aiguille est chassée, on a le pôle nord du barreau, et dans le cas contraire le pôle sud.
- Un barreau aimanté recourbé en U s’appelle un aimant. On ne conserve bien les aimants qu'à la condition de réunir leurs pôles par une armature de Fer doux. Ces barreaux se conservent par paires, les pôles en regard étant de noms contraires. En automobile, les aimants en U jouent un rôle important dans la construction des magnétos. — Voir Magnétos (Inducteur des) et Lignes de Force. — Voir aussi l’ouvrage U Allumage dans les moteurs à explosions.
- BARRES. — L es métaux usuels, particulièrement le Fer, l’acier, le laiton, se trouvent dans le commerce en barres de longueur variable jusqu’à !\ mètres et plus, de toutes grosseurs et de tous profils. II y a des barres rondes ou demi-rondes, carrées, plates, hexagonales, etc., avec tous les profils possibles. Par exemple : les barres d'acier hexagonales où l'on découpe les écrous, les barres rondes de laiton où seront décolletées les vis, etc.
- — Barre d'accouplement — La barre d'accouplement sert à relier les deux roues d'avant d’une voiture automobile, de Façon qu'elles demeurent solidaires dans leurs déplacements et qu’aucun pivotement de l'une ne soit étranger à l'autre.
- Les deux roues d’avant ne pivotent pas sur une cheville centrale comme les roues d’une voilure attelée, mais pivotent chacune pour
- 13. Barre d'accouplement vue en plan. — C. Châssis. — H. Roues.
- son compte autour d’un axe vertical qui leur est propre et qui est, autant que possible, rapproché de son plan. — Voir Essieux.
- Les constructeurs placent cette barre d'accouplement, les uns devant, les autres derrière l’essieu. Cette dernière disposition paraît préférable à ce point de vue que, si un obstacle vient à heurter l’avant de la voiture, il Frappe l’essieu, qui est de Force à lui résister; mais elle est d’exécution souvent bien plus difficile.
- — Barre de dmection. — Le mot barre de direction (expression nautique) n’est plus employé en automobile, sauf relativement à quelques voiturettes peu rapides, depuis que la barre elle-même est remplacée dans toutes les voitures par le guidon ou le volant de direction. La barre de direction, la barre franche, utilisée autrefois et abondonnéc depuis longtemps par Panhard, etc., « attaquait » directement les roues directrices. Actuellement, toutes les directions sont plus ou moins iréversibles. — Voir Direction.
- — BARRES (De) AUTOMOBILE,
- commerce d’automobiles, 58q, Park avenue, à Ncw-York (Etats-Unis).
- BARRES CYLINDRIQUES DE PRÉCISION (Société des), a3, rue Lasson, Paris.
- BARRET-DALÈGRE, garage, avenue Marmontel, à Ussel (Corrèze).
- BARRETTE. —Petite barre de métal qui sert à fixer un écrou ou un boulon en l’empêchant de tourner sur son axe. On emploie peu ce mot. — Voir Goupille, Clavette.
- BARRIÈRE ( Anciens Etablissements), fabrique de boulons, 22, rue Saint-Sabin, Paris. Tél. qoô-^i. ,
- BARRIQUAND, soudure autogène de tous métaux, 5, boulevard de Lcvallois, à NeuilIy-sur-Semc (Seine). Tél. 538-^G.
- BARROTS. T raverscs en bois constituant la carcasse du pont d'un canot automobile. On les Fait ordinairement en chêne découpé ; elles sont assemblées par queues d'aronde avec les serres-bouquières.
- BARTHELAT, réparation de pneumatiques, 12. rue de Courcelles, à Lcvallois-Perret (Seine). Tél. i53.
- BARTHÉLEMY et C°, huiles « Autol » de la Maison Moebius et Fils (de Pâle), 36, avenue de Neuilly, à Neuilly-sur-Seine (Seine].
- BARTHÉLEMY, quincaillerie pour automobiles, 183, rue Sainl-Maur, Paris. Tél. /|22-3a.
- BARTHÉLEMY, vente de motocyclettes, à Laroche (Luxembourg Belge).
- BARTHOLOMEW C°, fabrique d’automobiles The Giide, 220, Glide Street, à Pcoria (Illinois), Etats-Unis.
- BARY (Paul-Charles), 85, avenue de Neuilly, à Neuilly-sur-Seine (Seine). — Né à
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- Paris, le 20 janvier 1866.—Administrateur-délégué et ingénieur-conseil de la Société A110- ^ nyme des Voitures Electriques A. Védrine. — Ancien chef des Travaux au Laboratoire central d'électricité et à l'Ecole de physique et de chimie industrielles de Paris.
- BASCHET, di recteur de Y Illustration, i5, rue Saint-Georges, Paris. Tel. i3q-3o.
- BASCULE — En automobile, une bascule est une petite pièce métallique, un petit levier, en acier ordinairement, qui pivote au-
- Bascclk d’un CAnnimATKCii
- B. Bascules du tlotteur. — B. Essence. K. Flotteur. — P. Pointeau supporté par les bascules.
- tour d'un point fixe et transmet un mouvement ; elle transforme généralement un mouvement rectiligne ou circulaire de faible amplitude en un mouvement de sens inverse. La bas-
- SCHKMA DUNE COMMANDE A
- cule par exemple donne à une soupape S un mouvement de haut en bas qui lui est transmis par une tige c 15 agissant de bas en liant.
- Dans la plupart des carburateurs, où l'essence arrive par en bas dans la boite du ilotleur, le pointeau qui règle l'amenée d'essen-
- lïAscci.K. ce est suspendu
- A. Cylindre. — B. Bascule do sur petites
- moteur actionnée par la bascules, dont les came C et servant à ouvrir autres extrémités la soupape S. s'élèvent plus ou
- moins et déterminent l’ascension ou la descente du pointeau, suivant que le flotteur qui repose sur elles, s'abaisse ou monte. — Voir Culbuteur.
- — Carrosserie. — Dans les voitures qui n'ont, pas <1 entrée al arrière et qui ne peuvent avoir 1 entrée latérale lranehe, on accède par l’avant
- aux places d'arrière, soit en faisant pivoter autour d'un axe vertical, soit en faisant bas-
- Siège a bascule
- culer autour d'une charnière horizontale, le siège de gauche.
- BASE. — Point d'appui sur lequel un objet repose. Quand cette expression estoppo-sée au mot sommet, elle signifie : partie inférieure d'un objet.
- En chimie, une base est un composé-métallique dont le métal peut se substituer à 1 hydrogène libre d'un acide-pour former un sel. Les bases ont unesaveuracreou caustique, et sont reconnaissables à ce qu’elles ramènent au bleu la teinture de tournesol rougie par un acide. Elles sont décomposées par T électricité ; le métal se porte à la cathode (—) et le radical à l'anode (-(-).
- — Pans la perspective, la base est l'intersection du plan objectif avec la surface supposée verticale sur laquelle on dessine.
- Dans un système de logarithmes, la base est le nombre qui a pour logarithme 1.
- BASE DE SUSTENTATION. — La
- base, ou polygone de sustentation, fait partie des nombreux problèmes qu'ont a résoudre les constructeurs d'automobiles. Une voiture, particuliérement dans les virages, est sollicitée par tant de forces diflérenles que son équilibre peut être rompu brusquement. Autrement dit, la résu! tante des iorccs en jeu, (pii,passant par le centre de gravité de la voiture, doit tomber à Y intérieur du polygone de sustentation déterminé par les quatre roues, peut tomber à Y extérieur de ce polygone; auquel cas, la voiture verse. C’est pour maintenir cet équilibre (pie nous voyons modifier les voitures, suivant la vitesse qu'elles doivent fournir, en les rapprochant de plus en plus du sol, en augmentant leur voie et leur empattement et par conséquent leur base de sustentation. Toutefois une voiture dont le (‘entre de gravité est trop près du sol arrache ses bandages dans les virages. — Voir Avant-train.
- BASSE und SELVE, tous métaux pour automobiles, à Altona (Wcstphalie), Allemagne.
- BASSEAU, garage, à Vannes (Morbihan).
- BASSÉE et MICHEL {Anciens Etablissements). — Voir Nilmetior, Paris.
- BASSE-SEINE (Société Nautique de la),. 02, quai de Courbevoie, à Courbevoie (Seine).
- Des Anciens Établissements PANHARD & LEVASSOR
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- BASSET (Serge), rédacteur sportif au Figaro, 26, rue Drouot, Paris.
- BASSOLI (Carlo), vente d'automobiles, à Bologne (Italie).
- BASTAERT, vente d'automobiles, 124, me Lafayctte, Paris. Tel. 431-22.
- BASTIDE, garage. 4g. pl«co de Jaude, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- BATAILLON CYCLISTE. — Le bataillon cycliste, sous les ordres du commandant Gérard, a été remarqué aux grandes manœuvres de l'Est (igo5). 11 comprend quatre compagnies composées chacune d'un capitaine, de trois lieutenants et de cent dix hommes.
- BATEAUX POUR SERVICES PUBLICS (Construction de). — Voir Mègcvet.
- BATES, fabrique de pneumatiques, à Leicester (Angleterre).
- BATES AUTOMOBILE C°, fabrique d'automobiles, à Lansing (.Michigan), jMals-Unis.
- BATI DE MOTEUR. — Le bâti d'un moteur est le carter qui « porte » le ou les cylindres, avec scs brides, oreilles, attaches, qui le relient au châssis de la voiture.
- BATITURES. — I .es batilures ou bai-litures sont, les parcelles incandescentes d’oxydes de fer ou de cuivre, qui jaillissent à la forge, lorsque, étant au rouge, ces métaux sont battus par le marteau.
- BATTERIE. — U 11e batterie est la réunion de plusieurs éléments de piles ou d’ac-c emulateurs.
- Pour l’allumage des moteurs à explosions, les piles sont le plus souvent au nombre de quatre, qui sont toujours montées en « série » ou en « tension », c’est-à-dire que le pôle positif de l'une est relié au pôle négatif de sa voisine, et ainsi de suite. On vérifie l’état de cette source électrique au moyen d’un ampèremètre, dont l’aiguille doit indiquer au moins 3 pour que lu batterie soit encore propre à l'allumage ; au-dessous de 3, elle doit être remplacée par une autre. Chaque élément, mesuré isolément, doit marquer au moins 3 également. Une bonne batterie de piles peut fournir de 4 à 5 000 kilomètres.
- Les batteries d’accumulateurs d’allumage sont ordinairement composées de deux éléments, accouplés en « tension ». O11 mesure une batterie d’accumulateurs à l'aide du voltmètre ; chaque élément doit marquer 1,8 au. minimum, par conséquent 3,G ensemble, au minimum.
- Le pôle positif d'une batterie de piles ou d'accumulateurs est toujours indiqué par la coloration rouge ou le signe -|- ; le pôle négatif par la coloration noire ou par le signe -—.
- BATTRE UN COLLET. --Voir Collet.
- BATTRE UNE PIÈCE. — (Fonderie). Battre une pièce est l’opération qui consiste à fouler du sable en un point déterminé du modèle, de laçon à prendre l’empreinte de cette-région seulement, et de façon à ce que la motte do sable ainsi obtenue n’adhcre pas au restant du moule, en soit indépendante, mais puisse être replacée dans ce moule, dont elle est un des éléments, avec une exactitude sulfisautc pour reproduire dans tous ses détails l’empreinte de la partie contre laquelle elle a été foulée ». (Maillard.)
- BAUCHET, vente d’automobiles, au Moulin-des-lsles, à Rethcl (Ardennes).
- BAUD, fabrique do joints pour automobiles, 70, cours Lalayctlc prolongé, à Lyon (Rhône).
- BAUD, garage, boulevard de Strasbourg, à Saint-Omer (Pas-de-Calais).
- BAUDE (Docteur /?.), sportsman, château du Buisson, à Coiney (Aisne).
- BAUDELOCQUE , commerce d’automobiles, 63, rue Frédéric-Petit, à Amiens (Somme).
- BAUDET (J.), tubes en fer, G3 bis, rue do la Grangc-aux-Bellcs, Paris.
- BAUDIER (C.), tôlerie et chaudronnerie pour automobiles, rue Baudin, à Levallois-Perrct (Seine). Tél. 661-17.
- BÂUDIN (Pierre), G, avenue Mac-Mahon, Paris. Tél. 680-96. — Né à Nantua, le 21 août i863. — Député, avocat à la Cour d’appel, ancien président du Conseil municipal de Paris (1896), ancien ministre des Travaux publics.
- Vice-président de la Commission du Budget. — Président de la Commission exlra-parlemen t aire des automobiles.
- BAUDOT,
- accessoires pour automobiles, 231, boulevard Pé-reire, Paris.
- BAUDRY DE SAUNIER (Charles-Louis B au dry). — Né à Paris, le 2 mars i8G5, petit-fils du général baron de Saunier ; 20, rue Durct, Paris. Tél. 676-02. — Rédacteur en chef du journal Omnia. — Auteur de : L’Histoire générale de la Yélocipédic ( 1891,
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- •chez Ollendorff). — Le Cyclisme théorique el pratique (1892, chez Montgrédicn). t— Devint dès lors son propre éditeur pour: Les Recettes et Procèdes vélocipëdiques (189.3), L’Art de la Bicyclette (189/1), De Débutant (ouvrage philosophique), 189.5, IC Automobile théorique et pratique (tome 1), 1897, L’Automobile théorique et pratique (tome II), 1900, Les Recettes du Chau//'eur, 1901, Sa Majesté l’Alcool, 190/1, Les Motocyclettes, 190/1, L'Allumage dans les Moteurs à explosions, 190”). — Créa, en 1906, U Animal Raudry de Saunier et Omnia.
- BAUDRY (Hubert), frère du précédent; né à Paris, le 17 décembre 18(17. Chimiste diplômé par la Monnaie de Paris. —Administrateur de Y Animal Raudry de Saunier, 20, rue Durci, Paris. Tél. (>76-02.
- BAUFORT MOTOR C'\ fabrique d'automobiles, i/|, Baker Street, London W. (Angleterre).
- BAUGER BRASS Mfg C'\ fabrique de phares, à Kenosha (Wisconsin), Etats-Unis.
- BAUJARD (O.), pièces détachées et. moteurs de mai inc, io3, rue Balayette, Paris. Tél. /|33-7IL Adr. tél. Csona-Puris.
- BAURIAT, selles pour motocyclettes. .. Voir Derangeon (\ve), Paris.
- BAUSCH et LOMB OPTICAL C°,
- fabrique de lentilles pour phares, à Rochester ^.New-V01 k). Etats-Unis.
- BAUX., administrateur délégué de la Société de l'Accumulateur Tudor, 81, rue Sl-Lazare, Paris.
- BAUXITE. — La bauxite est un hydrate d'alumine et de peroxyde de fer, qu'011 emploie comme minerai, d'où 011 extrait A'aluminium, et qu'on utilise aussi dans la fabrication artificielle île l'émeri et dans la déphosphoration des fontes.
- BAVEREY (CarburaU'.urs), à Jrigny (Rhône).
- BAVETTES. — Les bavettes sont, les bords d'un emplâtre servant à réparer intérieurement une enveloppe de pneumatique. Ou choisit, un emplâtre « trop grand » qui, une fois collé, dépassé l’enveloppe et dont les bords, lorsque le pneumatique sera remonté et regonflé, seront, pris entre les talons d'accrochage et. la jante. Ainsi 011 aura plus de chance que l'emplàlre, poussé par la chambre à air, ne vienne pas « faire hernie >) à travers la coupure de l’enveloppe.
- BAVEUX Frères, ace essoires et ferrures de carrosserie, à Saint-Nieolas-d'AIicrmont (Seine-Inférieure’) ; et 38 bis, avenue de la République, Paris.
- BAVOIR. — Les bavoirs sont de larges pièces de cuir carrées, qui prolongent le bas
- des ailes des voitures, rasent presque le sol et empêchent la houe d’être lancée dans les dessous de la voiture. — Voir Aile.
- BAVURE. — Petites aspérités de métal que produisent certains outils ou que laissent les joints d'une pièce moulée ; on doit les enlever avec le plus grand soin, pour la beauté des pièces terminées el pour éviter les arêtes coupantes qu'elles offrent aux mains qui les manient.
- BAY STATE AUTO C°, vente d’automobiles, 1008, Boylslon Street, à Boston (Etats-Unis).
- BAYARD (vente d’automobiles), 10, rue des Pyramides, Paris.
- BAYARD-CLÉMENT. — Marque sous laquelle sont connus depuis octobre 190/1 les produits des usines de M. Clément. Nous relaterons, sans commentaires, que les usines qui fabriquent les voilures, les moteurs, les canots, les groupes industriels, etc., (le la marque Bayard-Clément, sont : Levallois-Perret (/|5 000 mètres de superficie) cl Mézières (17000 mètres). Ces énormes usines emploient 2 000 ouvriers. — 33, quai Michelet, à Levallois-Pcrret (Seine). Tél. 534-41 el 017-99, Adr. tél. Auloclem-Leva liais.
- M. Clément prit à Mézières une image de Bayard pour en faire l'emblème de sa marque. On sait qu’eu effet, la ville de Mézières, reconnaissante de la délivrance de la cité qu’en 1021 Bayard avait obtenue contre les troupes du duc de Nassau, a édifié une glorieuse statue à la mémoire du « chevalier sans peur et sans reproche ». — Voir Clément (,-L).
- Caractéristiques des Automobiles Rayard-Clémenl pour 1907 :
- — 8-10 chevaux, 2 cylindres. Alésage : 85; course : 110. Entrée par l'avant. Emplacement de carrosserie : 1 m. 90.
- — 1 o— 14 chevaux, 4 cylindres. Châssis
- long ou court . Alésage : 75 ; course : 90. Emplacement de carrosserie : 1 111. 87 et,
- 2 m. 37. Magnéto. Transmission à cardan. Embrayage à cônes.
- — io-i/i chevaux (voiture de ville ou liacre), /| cylindres. Longueur de carrosserie :
- 2 m. 55, *
- — 12-16 chevaux, !\ cylindres, 4 vitesses. Alésage: 80 ; course: 120. Transmission à chaînes. Châssis allonge; ressort transversal arrière.
- — 18-2/1 chevaux, !\ cylindres.—Alésage: 90; course : 120. Emplacement de carrosserie: 2 m. 55. Ressort transversal arrière. — Voir Annonce au début do VAnnual.
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- BEAUDET, garage, rue (l’Argentan, à Falaise (Calvados).
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- BEAUNÉE, garage, 4, rue de la Gare, à Vesoul (Haute-Saône).
- BEAUPIED (E.), allumeurs, 42> rue de Chalon, Paris.
- BEAURAIN. garage, 2. p’arc des Pavillons, à Gournay-en-Bray (Scine-lnlérieure).
- BEAU VALET et Ci0, garage, 3i, praça-dos Rcslaurados, à bisbonne (Portugal).
- BÉBÉLI et C'°, garage, 34, rue d’Au-buisson, à Toulouse (Haute-Garonne). Tel. 317.
- BEC, garage, à Villcrs-sur-Mer (Calvados).
- BEC. — Un bec est un ajutage, ou un groupe d ajutages, qui sert à guider un jet de
- liquide ou de gaz, en même temps qu’il en détermine le débit. — Un bec Bunsen est un bec à gaz, dont l'ajutage central est entouré concentriquement d’une enveloppe cylindrique, où l’ascension du gaz produit un violent appel d'air qui, s’unissant intimement. au gaz en combustion, produit un mélange do haute puissance calorifique.Ces becs étaient employés autrefois, pour chaulfer les lubes de platine des automobiles, sous le nom de brûleurs; ils sont encore utilisés dans les voilures à vapeur, telles que celles de Ser-pollet, pour le chauffage intense de scs générateurs à liante pression.
- Un bec est dit conjugué lorsque ses deux ajutages sont orientés de telle façon que les deux llammes se dirigent, l’une contre l’autre en formant ainsi un papillon unique.
- Bec Bunsen (Coupc)
- BECK, garage, 3, quai bamnitine, à Rennes (lllc-et-Vilaine).
- BECKER et C’*, accumulateurs électriques, à Bourron (Marne); et 18, avenue de Tourville, Paris.
- BECKER und C°, fabrique de moteurs pour motocyclettes, à Drcsden-Gruna (Allemagne).
- BÉCON, motocyclettes, 21, avenue Sainte-Foy, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- BECQ (A.), mécanicicn-consl rucl.eur, fabrique d’antidérapants, à Béziers (Hérault).
- BECUE, vente d’automobiles, 12, rue Macarani, à Nice (Alpes-Maritimes).
- BÉDANE ou BEC-D’ANE. — be
- bédane est un outil d’acier fondu,
- [dus étroit que le burin dont il a a peu près la forme ; mais il est plus el’lilé, a un tranchant plus mince, d'une largeur variant de 3 à 10 millimètres, bcs bédanes sont très employés pour faire les rainures de clavetages dans les arbres ou dans les roues, beur emploi précède généralement celui du burin.
- BEDEL (/ ''ernand), carrosserie automobile et grand garage, à Trouvillc-sur-Mer (Calvados).
- BEDEL Frères, vernis pour la carrosserie, i54, rue de Paris, à Bédane Gbarenton (Seine).Tél. r)i3-3g.
- BEDEL et C‘* (Forges eI Aciéries delà Bérardière), aciers, aciers au nickel pour automobiles, à Saint-Etienne (boire).
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- BELFOY et SIMON, pneumatiques “Pcctor”, 08, rue de Villiers, à Levallois-Pcrret (Seine). Tel. 570-3o.
- BELGIAN RUBBER, pneumatiques, 70, rue Bollinckx, à Bruxelles (Belgique).
- BELGICA, automobiles, rue Van der Straeten, Bruxelles (Belgique).
- BÉLIER (Paul), villa Rozelle, à Mérv-sur-Oise (Seine-et-Oise). Tel. 3. — Né à Méry-sur-Oise, le 28 octobre i85G. — Maître carrier. —• Président de la Société « Paris-Automobile ».
- BELLAIR (.1.) etCie, billes en acier, 17, rue des Trois-Bornes, Paris.
- BELLAMAR y C°, vente d'automobiles, à Madrid (Espagne). Tél. 887.
- BELLAN (/?.), fabrique de motocycles et de carburateurs, 137, avenue de Villiers, Paris.
- BELLANGER (Robert), vente d'automobiles, 20, rue Marbeuf, Paris. Tél. G72-73.
- BELLARD et Ci0, garage, place du Pont, à Trouville (Calvados).
- BELL ARDENT (A.), aceesoires, 8, boulevard d’Asnières, à Villeneuvc-la-Garenne (Seine).
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- manifesté et s’est conformée immédiatement aux exigences de la clientèle de tous les sports.
- BELLECOUR-PALACE , commerce d’automobiles, garage, 19, place Bellecour, à Lyon (Rhône).
- BELLET (Rai •on Jean de), 44’ avenue du Bois-dc-Boulognc, Paris. Tél. 012-81. — Né à Nice (Alpes-Maritimes), en 18GG. — Chevalier de la Légion d’honneur, officier de l'Instruction publique. — Membre fondateur de l’A. C. F.
- BELLEVOYE, garage, 76, place de rilôlel-de-Ville, à Beauvais (Oise).
- BELLIÈRE, garage, rue Malherbe, à Beauvais (Oise).
- BELLONI, carrosserie automobile, 50, via Solferino, à Milan (Italie).
- BELSIZE MOTORS, Ltd, fabrique d’automobiles, à Clayton (Manchester), Angleterre.
- BELVALLETTE (Alfred), 21, rue Du-ret, Paris, Tél. 507-97. — Vice-président de la Chambre Syndicale delà Carrosserie. — A obtenu les plus hautes récompenses à chacune des grandes Expositions universelles de Londres et de Paris. — Membre du jury en 1889 et en 1900.
- BELVALLETTE (Alfred), carrosserie automobile, 21, rue Duret, Paris (Tél. 507-97) ; et 49, rue de Villiers, à Neuilly-sur-Seine (Seine) (Tél. 584-20). — A adjoint à son Etablissement la maison Belvalletle Frères, en juillet 190O. Carrosserie de grand luxe, coupé do ville huit-ressorts ; spécialité de limousines pliantes brevetées et de caisses dites
- berceaux”, supprimant toute trépidation.
- BELVAN .(Henri), accessoires en tous genres pour pneumatiques, valves, pompes, chambres à air, 19, rue Saint-Etienne, Le Mans (Sartlic).
- BEMOLET (Pierre-André), machines-outils. Spécialité de machines à fileter et à raboter. Médaille à l’Exposition de Liège. — A Marchiennc (Belgique).
- BÉNARD, fabrique du pneu-cuir Boy ail;/, 20, rue Louis-Dory, au Pré-Saint-Gervais (Seine). Tél. 24.
- BENCE, ingénieur. Vente d’automobiles, fabrique de moteurs; garage, boulevard Bertrand, à Caen (Calvados) ; succursale à Ca-bourg. Tél. 2-29. Adr. tél. Bence-Caen.
- BENCK.ER (O.), membre du Comité de l’A. G. A., O7, boulevard Saint-Germain, Paris.
- BENECH, garage, 20. rue Dollée, à Saint-Lû (Manche). Adr. tél. Bénech-Saint-Là.
- AUTOMOBILES ARBÈS
- 39, quai d’Argenteuil, 39
- VILLENEUVE-LA-GARENNE
- par l’Isle-Saint-Denis (Seine).
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- B H N
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- B E Q
- BENECH Fils, appareils à acétylène, /), place Nationale, à Montauban (Tarn-et-Ga-ronne.).
- BÉNÉZIT, horlogerie et porle-montres pour automobiles, 6a, rue de Sainlonge, Paris.
- BENJOLINE (Huile minérale). — Voir Cayeux.
- BENNETT (Gardon), directeur du New-York llerald, io/|, avenue des Champs-Elysées, Paris. Donateur du challenge.'! célèbre connu sous le nom de « Coupe Gordon Bennett ». Tel. 5 i 6-2/1.
- BENNETT, vente d’automobiles Baker Fleclrics. 267, Greene Avenue, à Brooklyn (Etats-Unis).
- BENNETT (./. H.), (Groolers, successeur), représenlantdu moyeuMorrow J. 11. B., 12, rue de la Ghaussée-d’Autin, Paris.
- BENNETT and CARLISLE, vente d’automobiles, 229, Deansgate, à Manchester (Angleterre).
- BENOIST, vente d’automobiles, 25^, boulevard Péreirc, Paris.
- BENOIST, bougies d’allumage, 3o bis, rue Bergère, Paris.
- BENOIST (Ch. de) et HANCHÉ (F.), commission et exportation automobile, 2.4, rue de Milan, Paris. Tel. doq-ôo.
- BENOIT, fourche élastique « », 63,
- rue Oberkampf, Paris.
- BENOIT (/?.). Voir Galle. Paris.
- BENOIT et GROS, Aitlo-Garaye du Nord, vente d'automobiles, -jl\., boulevard du Nord, à Lyon (Hliône). Tel. 18-98. Succursales : io3, rue Grillon ; 1, rue Ney ; et i3S, rue Sully, à Lyon.
- BEN’SOAP (Société du), savon pour les chauffeurs,2G, rue de Constan-I i nople. Paris. Tel. 583-36.
- BENZ et C°,
- Uheinischc Gas-motoren Fabrik A k l i e n g e s c 11-schafl, voit.ures a 1110 111 o b i 1 e s, à Mannheim (Allemagne). Tel. 3/(6-1897. Adr. tel. M o / a r - .1/ a n -nheiin.-,— Société anonyme, au capital de /| millions de marks, fondée en 1899.— Directeurs : M. Fritz llammesfahr et M. Joseph Brecht. — Président du Conseil d'administration : M. Max Pose. --Membres : MM. le l)r Richard Brossien. Karl lleiss,,). Haas, Cari Beuz, II. Perron, H. Vfi-
- gclo. —• Cons-truction d’automobiles et, de moteurs à gaz pauvre, à essence, à gaz de ville.
- BENZ et C° (automobiles), à Mannheim (Allemagnd). — Voir annonces, à la lettre W et fin V.
- BENZINE (synon. Benzène). — Hydrocarbure (c’est-à-dire composé de carbone et d'hydrogène) de la famille des carbures « aromatiques », formule chimique CTI1'. Découvert par Faraday en 1820. Liquide incolore, plus léger que l’eau. Densité = 0,899. Scsolidifiant à o° (benzine cristallisablc), bouillant à 80" C. Insoluble dans l’eau, mais soluble dans l’alcool, l'éther, le sulfure de carbone, etc. Excellent dissolvant des corps gras (huiles, graisses), des résines, des hydrocarbures solides, tel que le caoutchouc ; dissout, l'iode, le phosphore, le soufre, etc. Sert à produire quantité de produits osoniques artificiels (nitrobenzinc, aniline). Est extraite industriellement du goudron de bouille. — Voir Benzols.
- — E11 Suisse, en Allemagne et en Italie, on désigne l’essence minérale sous le nom de Benzine.
- BENZOLS. —Ternie qui désigne des hydrocarbures (voir ce mot) liquides et à point d’ébullition peu élevé, extraits avec d’autres produits par la distillation du goudron de houille (voir ce mot). Les benzols constituent les huiles légères (6 0/0 du goudron traité), [lassant à la distillation entre 35° et ioo°G; c'est un mélange des hydrocarbures : benzine, toluène, etc. Les benzols sont employés dans l’industrie des bandages caoutchoutés comme dissolvants du caoutchouc. Ils servent également comme agents de la carburation des moteurs, soit, seuls, soit associés à l’alcool, qui alors est dit carburé.
- BENZO MOTEUR, essence minérale. — Voir Fenaille et Desjteaux, Paris.
- BÉQUILLE. — Une béquille est une barre d'acier placée sous une automobile et fixée au châssis par une charnière. Ordinairement relevée, elle peut être, à la volonté du conduct eur, décrochée ; sou ext rémité, ter-
- R. Béipiillo ordinaire. — C. Point d’altaehc
- minée par une pointe aiguë, s’enfonce alors dans le sol si la voiture vient à reculer et
- .M. Bksz
- fAutomobiles BENZ, à Mannheim]
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- empêche ainsi la dérive en arrière. Elle était plus particulièrement, utile autrefois, au temps où les freins ne serraient qu'eti avant et où, débrayant généralement, ils privaient subitement la voiture de son plus sùr
- ________.y' I appui contre la
- / / dérive, le moteur.
- Son principal défaut est de ne pas toujours s’arc-bouter sur le sol à temps pour empêcher le recul ; elle y glisse ou s’y enfonce parfois. Après avoir glissé sur le pavé ou sur des pierres roulantes, la bé-lt. Béquille à sabot S. «pùlle laisse prendre au véhicule une accélération rétrograde, d’où il résulte une secousse brutale à l’arrêt; l'appareil plie parfois, peut soulever la voiture, ou bien se briser net, ou, s’enfonçant trop en terre, se renverser et n’ètre plus alors d’aucune utilité.
- La béquille est,à peu près abandonnée, sauf pour les très grosses voitures: elle est remplacée souvent par le cliquet. Dans la plupart des voitures modernes, aucun dispositif spécial contre la dérive arrière n’est, prévu, caries lrcins serrent maintenant dans les deux sens, aussi bien en arrière qu’pu avant.
- Quelques voilures, utilisées spécialement en pays de montagne, sont munies d’une béquille à sabots qui, déclanchée à la main comme une béquille ordinaire, entraîne dans sa chute un arbre en fer très robuste porteur de deux sabots qui calent instantanément la voiture quand elle recule.
- BERAIL, vente d’automobiles, garage, 08. rue Viclor-llugo, à Tarbes (llautes-Pyré-nées).
- BERCEAU. — On appelle quelquefois berceau un ensemble d’enlrctoises coudées
- BERG {Georges), 80, boulevard Flandrin, Paris. Tél. G78-/10. — Né à Marseille, le 5 septembre 1878. —
- Officier d’Académie, chevalier du -Mérite agricole.
- — Secrétaire général des Sports ; secrétaire de la rédaction de La Vie au Grand Air. — Ancien rédacteur à L'Auto. — Rédacteur au Journal.
- BERG (G.//.), vente d'automobiles Berkshire,
- S, Motor Mari,, à Boston (Etats-l.'nis).
- BERG TOURING CAR. -Voir Worth-ington Automobile C° (Etats-Unis).
- BERGEON et CA carrosserie automobile. — Voir Barbereau.
- BERGER, garage, 9G bis, rue de Paris, à Villeneuve-Saint -Georges (Seine-et-Oiso).
- BERGER (C.), insignes et plaques gravées, 79, rue du Faubourg-du-Temple, Paris.
- BERGER (Georges), député, président d'honneur de l’A. C. F., 8, rue Legendre, Paris.
- BERGBiE (Ad. de), porte-cartes de route pour automobiles, 82, rue Labourel, à Colombes (Seine).
- BERGMANN (Magnétos). — Voir Dar-r<ts. Paris.
- BERGMANN et BENDER. vente d'automobiles. Go, Berlinerstrasse, à Elberfeld (Allemagne).
- M. (jKcmcKS Riuxi
- (tC.. Ebâssis. —- EK’. Traverses l'urinant berceau.
- BERGMANN’S INDUSTRIE-WERKE, fabrique d'automobiles, à Cîagge-nar (grand-duché de Bade).
- BERGON, carrosserie automobile, 3/j, rue de la Paix, à Nice (Alpes-Maritimes).
- BERGOUGNAN (Jean), administrateur, de la Société des Etablissements Bergougnan et CA Directeur du personnel des Usines de la Société à Clermont-Ferrand.
- réunissant les côtés d'un châssis, et sur lesquelles viennent reposer le moteur et ses annexes; c’est un fa ux-ch assis.
- BERETTA, fabrique de pneumatiques, iG, corso Vercelli, à Milan (Italie).
- BERGOUGNAN (Mathieu) 9. rue Villa i"et—<le-Joyeuse, Paris. Officier d’Académie, chevalier du Mérite agricole. Fondateur et directeur, à Paris, de la Succursale de la Société des Etablissements Bergougnan et Cic, 7, rue Villarct-de-Joycusc, Paris.
- record nPQi | r-r
- de Consommation D El il La I EL I
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- B E K — 112 — J3 E II
- BERGOUGNAN {Raymond-Céleslin), à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme). Tél.'oS.
- — Né à Caslera-Vignollc (Haute-Garonne ), le 8y juillet 1808. — Chevalier de la Légion d’honneur ; officier d’A-cadémie. Fondateur et administrateur délégué: directeur général des Etablissements Bergou-gnan et C10.
- BERGOUGNAN et C'°
- {Société générale, des Etablissements), b Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme). Tél. 08. Adr. tel. Bergougnan-Clcrmont-Ferrand ; et 7, rue Villaret-de-Joyeuse, Paris. Tél. 5/|8-o(>.— Société anonyme au capital de 4 millions de francs. — Caoutchouc brut, et manufacturé ; pneumatiques pour cycles et automobiles « le Gaulois » et « l’U-niversel » ; bandes pleines pour poids lourds.
- Succursales des Etablissements Bergougnan ' et C":
- Paris (Seine), 9, rue Yillarct-dc-Joyeuse (avenue de la Grande-Armé--). Tél. 5/j8-oG et 548-07.
- Départements. — Lyon (Rhône), /fil, rue des Remparts-d’Ainay. Tél. 18-4.2. — Marseille (Rhône), 78, cours Lieutaud. Tél. 27-97.
- — Nancy (Meurthe-et-Moselle), 3i bis, rue Haut-Bourgeois. Tél. 789. — Bordeaux (Gironde), 17, rue Saint-Remi. Tél. 17-47- — Montpellier (Hérault,), 8, rue du Jeu-de-Pauinc. Tél. 4-32. —Lille (Nord), 11, rue Thicrs. Tél. iü-a8. — Rouen (Seine-Inférieure), 182, rue des Gharcttes. Tél. 8-fifi. — Saint-Eticjinc (Loire), 14, rue d’Annonay. Tél. 827.— Nantes (Loire-Inférieure), 17. rue Mercœur Tél. 900. — Toulouse (Haute-Garonne), 53, rue Rempart-Saint-Etienne. Tél. 265. — Le Mans (Sartlie), 12, rue delà Fuie. Tél. 3-1/i. — Dijon (Côte-d'Or), ru3 Miclicl-Servet. Tél. 188.
- Etranger. — Genève (Suisse), 22, rue Plantamour. Tél. 33-op. — Londres (Angleterre), « Gaulois 'lyres Ltd », Go, Grcat Marlborough Street.
- BERGUERAND Fils, caoutchouc manufacturé, 72, rue des Archives, l’aiis. Tel. 100-57.
- BÉRIOUX (J.), carrosserie automobile.
- — Voir Riegel, Paris.
- BÉRIOUX Frères, vente d'automobiles, garage, rue Blatin, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- BERKSHIRE AUTOMOBILE Cü, fabrique d'automobiles, à Pittslield (Mass.), Etats-Unis.
- BERL (A.), pneumatiques ‘‘Sirius”, 11, rue des Trois-Bornes, Paris.
- BERLATO, garage, vente d’automobiles. 12, 111e GiollVcdo. à Nice (Alpes-Maritimes).
- BERLIER (Jean), 5o, boulevard 1-Iauss-inanii, Paris. Tél. üio-fij- — Né à Rive-de-Gier (Loire), le 11 octobre 184 • • •— Ingénieur civil, chevalier de la Légion d'honneur, officier d’Académie. etc. -- Un des douze fondateurs de l’A. C. F. — Premier directeur de l’Exposition de l'Automobile, aux Tuileries.
- BERLIET (Ma 7‘ius), 12, chemin dos
- Quatre-Maisons, à Lyon-Monplai-sir (Rhône). Tél.
- 7-34 . — Né à Lyon, le 20 janvier 1 SGG. —Directeur général des études et des ateliers Berlict.
- — A commence, en 1899, à construire des automobiles, avec 3 ouvriers et un capital de 4 5oo francs. Les Etablissements Bcr-liet couvrent actuelle ment 20000 mètres carrés, occupent 600 ouvriers et produisent 1 200 voitures par an.
- BERLIET, fabrique d’automobiles, 12, chemin des Quatre-Maisons, à Lyon-Monplaisir (Rhône). — Tel. 7-34- Adr. tel. Auloberlic-Lyon — Maison créée en avril 1899. — Construction de châssis automobiles (22, 4o, üo et 80 chevaux). — Directeur : M. Berlict ; directeur commercial,: M. FL Lavirotte. — Une des usines dont les produits sont les plus cotés des connaisseurs du monde entier.
- La maison Berlict a cinq modèles de châssis pour 1907 :
- i° Châssis cintré \t\ IIP-Moteur à soupapes symétriques 80 X 120 spécial pour voitures de ville ;
- 20 Châssis cintré ou droit 22 IIP-Moteur à soupapes symétriques 100 X 120 :
- 3U Châssis droit 4o HP-Moteur à soupapes symétriques 120 X i4° !
- 4° Châssis droit fio IIP-Moteur à soupapes d’aspiration en dessus i4<> X i4o ;
- 5° Châssis droit 80 HP-Moteur à soupapes d’aspiration en dessus 160 X I4°-Tous ces moteurs sont à 4 cylindres.
- Elle construit aussi un châssis üo HP à
- M. Bergougnan
- Pneus LE GAULOIS
- Etablissements
- BEBGOUGNAN et CEe
- à CLERMONT-FERRAND (P.-de-D.)
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- BERLIET?
- Les Usines BERLIET sont exclusivement affectées à la construction de Voitures automobiles pour tous usages (tourisme, Voitures publiques, poids lourds, automotrices pour voies ferrées, etc.). — Elles sont les plus importantes de la région lyonnaise.
- Les Usines BERLIET occupent une superficie de 25 coo mètres carrés qui sont entièrement couverts de bâtiments évalués à près de
- Deux Millions.
- Les Usines BERLIET emploient un personnel d’élite de 1000 ouvriers, qui sont sélectionnés et ne peuvent être admis qu’après un examen sérieux de leurs capacités. Elles sont le siège d’un cours pratique, pourvu de mécanismes en tous genres, de pièces sectionnées, de modèles variés, de châssis complets, qui enseigne aux mécaniciens de la région tout ce qu’ils doivent savoir de leur art.
- Les Usines BERLIET renferment un outillage absolument moderne qui se compose actuellement de 600 machines-outils américaines, allemandes et françaises, des types les plus perfectionnés. — L’outillage seul des usines représente un capital de Trois Millions. — Toute machine-outil nouvelle et réalisant un progrès sur les précédentes, est immédiatement adoptée.
- Les Usines BERLIET construisent quatre voitures par jour, soit 1200 par an.
- Les Usines BERLIET, toujours victorieuses dans les concours d’endurance et de consommation auxquels elles ont pris part, se distinguent entre toutes par l’élégance, la simplicité, la solidité et le silence de leurs produits.
- Les Usines BERLIET ont eu l’honneur de voir leur représentation aux États-Unis sollicitée par la plus puissante Société américaine, American Locomotive Automobile Cn.
- Les Usines BERLIET s’enorgueillissent de la réputation d’honnêteté impeccable et de fini irréprochable qu’elles ont acquise dans le monde entier, sans tapage malséant, par la seule valeur de leurs actes et de leurs produits.
- KEtyJET, 12, chemin des Quatre-lïlaisons, LY0N-IÏI0NPLAI5III (Rhône)
- Agents a Paris: TART et C10, 2, avenue Alphand Çrue Duret) — PARIS
- "Envoi franco du Catalogue sur demande.
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- B ER — ,i4 — B E R
- G cylindres 120 X i4° et à soupapes symétriques. ^
- Les cinq types de châssis se construisent sur longerons rétrécis à l’avant en acier nickel embouti.
- Les 22 et 4° IIL ont une voie de 1 m. 320 pour les empattements inférieurs à 2 111. 800, et 1 m. 4°° pour ceux variant de 2 m. 85o à 3 m. 200.
- Le châssis 4o IIP léger est construit sur le type de celui qui se classa premier des voitures françaises à la Targa Florio.
- Le châssis 22 IIP est, conforme aussi à celui qui s’est classé premier des voitures françaises au Tourist Trophy.
- Les moteurs ont été améliorés en ce qui concerne le graissage et la fabrication. Leur excellent rendement a encore été augmente.
- Le carburateur, qui a gagné toutes les épreuves de consommation, en 190G a été conservé.
- Le changement de vitesse des 4° et Go IIP, entièrement nouveau et faisant l’objet d’un brevet, comporte deux prises directes. Les ily et 22 IIP ont une seule prise directe comme en 190G. (Voir Omnia, déc. 1906, pour la description complète des types Berliet ïQ0?-)
- Uembrayagc à segment a été remplacé par l’embrayage à disques.
- Les pig?io?is de chaînes conservent leur montage â clavettes radiales.
- La direction demeure identique à celle de 190G, mais les commandes d’avance et d’accélération qu'elle porte ont été entièrement remaniées et simplifiées.
- Le i4 IIP châssis de ville cintré présente un grand intérêt, car il permet des carrosseries extra confortables et surtout très basses (hauteur d’un coupé attelé).
- Le modèle 22 IIP 19037 ne présente aucune nouveauté saillante sur le modèle 190G, sauf l’embrayage.
- Le modèle 4o IIP a comme nouveauté intéressante la boîte de chanercmcnt de vitesse a 2 attaques directes.
- Tous ces châssis sont munis du nouvel embrayage à disques (breveté S. G. D. G.), embrayage qui a donné, pendant toute l’année 190G déjà, des résultats extrêmement satisfaisants.
- Les voitures Berliet se sont classées dès l’année dernière au rang des toutes premières marques. Elles ont aujourd’hui une réputation universelle.
- Agents des Automobiles Berliet
- Paris: (Seine). — Tart et Cie, 2, avenue Alphand.
- Départements. — Besançon (Doubs) : Modem Garage, avenue Carnot, 137.—Bordeaux (Gironde) : Pinaud-Duanip, 92, boulevard de Caudéran. — Calais (Pas-de-Calais) : Ridiez, 123, boulevard Lafayette. — Castres Tarn) : Cheverau, allée Saint-Roch. — Lyon
- Visiter
- AU
- PRÉ - «AINT- GERVAI»
- (Rhône) : Gautheron et Mougin, i4G, avenue de Saxe.— Mâcon (Saône-et-Loire) : Chapuis et Bouyer, 5, rue Gambetta. — Marseille (Bouches-du-Rhône) : Bablot, 1370, cours Licu-taud. — Montpellier (Hérault) : Faulquier, 5G, avenue de Toulouse.— Moulins (Allier) : Derecq, 9, rue de Refcmbrc. — Nancy (Meurthe-et-Moselle): Bazin, i5, rue Jeanne-tl’Arc. — Nice (Alpes-Maritimes): Agence Berliet, 11, i3, rueGrimaldi. — Saint-Vallier-sur-Bhône (Drôme) : Plattier et Paret, rue Saint-Rambert.
- Etranger. — Barcelone (Espagne) : M. Bertrand et llijo, 5o, Trafalgar. — Berlin (Allemagne) : Kuhn Régnier Frères, Go, Untcr don Linden.— Bucarest (Roumanie) : Chris-sovcloni, banquier. — Gênes (Italie) : Ingénieur Paradis, 23,via San Lorenzo. — Genève (Suisse) : Padey, 7, avenue Versonnex. Iluy (Belgique) : Gehenniaux-Mansion, 4, avenue Godin. — Liverpool (Angleterre) : Watson et C°, 5G, Rcnshaw Street. — Londres (Angleterre) : Ilutton et C°, 81, Shaftcsbury avenue. —Maëstrich (Hollande) : Thi jsscns Frères et Sœur. — Madrid (Espagne) : Lozano, i4, paseo de Recoletos. — New-York (Etats-Unis d’Amérique) : American Locomotive Automobile C°, 1776, Broadway. — Païenne (Sicile): Corsi, via Boscogrande. — Rio de Janeiro (Brésil) : Antunes dos Santos et Cie, rua i° de Marco 34. — Turin (Italie): Poggi, 5, via Argcntcro. — Vienne (Autriche) : Latzel, IV, Rittergassc, G. — San Sébastien (Espagne) : garage Victoria.
- Algérie. — Alger (Alger) : Barthc, 22, rue Darwin (Mustapha-Alger). — Bône (Constan-tine) : Billion du Plan, 8, rue Prospcr-Dubourg. — Oran (Oran) : Castanic, 9, rue d’Alsacc-Lorraine.
- BERLINE. — Voiture fermée, ayant un siège à l’avant et, àl’intérieur, deux banquettes se faisant vis-à-vis. Une berline comporte quatre grandes places, trois glaces sur chacune des faces latérales, et une glace à l’avant.
- Bkhu.m:
- La berline, qui constitue une voiture très confortable, peut être berline-bateau ou berline carrée, suivant que les brisements ( panneaux latéraux au-dessous des glaces)
- T a usines mmm 1
- Les CLEMENT |
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- B E R
- 1 I i)
- B E S
- avant et arriére sont plein cintre ou forment, des angles. — Voir Coupé.
- BERLINER AUTO-COMPAGNIE,
- marque B. A. C., vente d’automobiles, 3, Chausseestrasse, à Berlin (Allemagne).
- BERLINER MOTORWAGEN-FA-BRIK, fabrique d’automobiles, Tempelhof-slrasse a. d. Ringbahn (Allemagne).
- BERLYN, bandages de roues en caoutchouc, 27, rue Jean-.lacques-Rousscau, l’a ri s. 'Tel. io5-9q.
- BERNADAT, garage, vente d’automobiles, 41, rue de Paris, à Maisons-Laflittc (Seine-et-Oisc).
- BERNARD, fabrique de cornes cl de sirènes, 184, rue du Faubourg-St-Martin, Paris.
- BERNARD, vêlements de sport imperméables, 39, rue du Sentier, Paris.
- BERNARD Frères, vernis pour la carrosserie, i/|S, rue du Faubourg-Saint-Denis, Paris. Tel. /j 17-80,
- BERNARD. garage, 4 9, avenue Victor-Hugo, à Valence (Drôme).
- BERNARD)./.) et PATOUREAU(J ),
- amortisseur pneumatique B. P. et, châssis automobiles, 71, boulevard Beaumarchais, Paris.
- BERNARD (7? •islan), 9, rue Edouard-Dctaille, Paris. Tel. 00G-29.—Né à Besançon, le 7 septembre 18GG. — Chevalier de la Légion d’honneur. — Homme de lettres, auteur dramatique. — Ancien directeur sportif du vélodrome Buffalo et du vélodrome de la Seine. — Rédacteur au Journal, au Rire, au Journal de i Automobile. — Licencié en droit.
- BERNAY Jeune et Cil\ Garage Central, avenue de laGarc, à Autun (S.-et-Loirc).
- BERHARDT et C°, garage, vente d’automobiles. Sportplatz, à Dresde (Allemagne).
- BERNHEIM (Henri) et Ci0, vente d’automobiles, accessoires, machines-outils, 2G, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- BERNIER, garage, vente d’automobiles, 3o, quaiDuquesne, à Dieppe (Seine-Inférieure).
- BERNIN et ses fils, garage, carrosserie automobile, 82, rue Victor-llugo, à Tours (Indre-et-Loire). Tél. 1-S9.
- BERNONI. garage, vente d’automobiles, à Mantouc (Italie).
- BERNONI. garage, 3o, port,ici Borletlo. à Padoue (Italie).
- BERT (Émile), ingénieur-conseil, obtention de brevets d’inventions, 7. boulevard Saint-Denis, Paris. Tél. 122-01. Ad. tél. Treb-Paris.
- BERTAUX et C'". garage, 55 bis, boulevard Saint-Germain, Paris.
- BERTE, garage, vente d’automobiles, avenue de la Madone, à Menton (Alpes-Maritimes).
- BERTÈCHE. garage,/| 2, rue du Change, à Vendôme (Loir-et-Cher).
- BERTHAUD, FOILLAÏID et Ci0, commerce d’automobiles, 2/1, rue de la Part-Dieu, à Lyon (Rhône). Tél. 27-55).
- BERTHEAU. garage, 27. rue de Strasbourg, à Nantes i Loire-Inférieure).
- BERTIN (Albert), 55, rue d’Asnières, à La Garenne-Colombes (Seine). —Né à Sablc-sur-Sarthe, le 18 juin i858. Directeur à la maison A. Védrine et Ci0, Ud, à Courbevoie.
- BERTIN Frères, canots automobiles, à Bezons (Seine). Tél. 14 Argenteuil.
- BERTOLUS, fabrique de carbure de ml-cium, à Bellegarde (Ain); et 18, rue Denferl-Roehcrcau, Paris.
- BERTON, fabrique de cornets avertisseurs « VAulophone », 15, rue delà Cour-des-Nouos. Paris. Tél. q25-38.
- BERTON. vente de motocyclettes el d'nu-lomobilcs, à Saint-Cyr (Var).
- BERTRAND, garage, vente d’automobiles, 10, quai du Nord, à Mâcon (Saône-et-Loire).
- BERTRAND, garage du Grand-Hôtel, à Cabourg (Calvados).
- BERTUCCI, fabrique de radiateurs, 29, rue Mathias-Duval, Paris.
- BERWICK, fabrique d’essieux, 12. cité Marcadet, Paris.
- B. et S-, bandages pneumatiques. — Voir Torrilhon [Anciens Établissements).
- BESANÇON
- (Georges), 84, rue du F a u b o u r g -Saint - Honoré ,
- Paris. Né à Paris le 3o mai 18GG.
- Officier de l'Instruction publique, chevalier du Mérite agricole. Directeur de la revue YAérophile.
- Secrétaire général de l’Aéro-Club de Franco et de la Fédérat ion Aéronautique internationale, membre de la Commission permanente internat ionale d’aérostation scientifique. A créé, avec M. llermile, les ballons-sondes pour l’exploration des hautes régions de l’atmosphère, et, depuis 1886, a apporté de nombreux perfectionnements au matériel aéronautique.
- M. Besançon
- Les Automobiles “ Lorraine-Dietrich ”
- SONT SILBNCIEUS ES
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- BESANÇON, huiles et graisses minérales, à Saint-Denis (Seine). '
- BESCHERELLE et DESROUSSEAUX, assurances spéciales automobiles, 3o, rue Le Peletier, Paris.
- BESLE, garage, rue d'Austerlitz, à Saint-Arnaud (Cher).
- BESNARD, accessoires de carrosserie, 8'|, rue du Eaubourg-du-Temple, Paris.
- BESNARD, MARIS et ANTOINE,
- Go, boulevard Beaumarchais, Paris. Tel. 94<>5q. Lsine: 801-74. Adr. tel. Besnar/irm-Paris. Maison fondée en i8;*>4, pour la fabrication des appareils d’éclairage aux huiles minérales, par M. J.-J. Maris qui s’associa en 18G9 M. F. Besnard. Devenu seul chef de la maison en 1879, M. F. Besnard réalisa des améliorations importantes dans le pouvoir éclairant des lampes et des lanternes pour l’éclairage public et privé. Il s’associa, en 189/), scs Üls et gendres, MM. 11. Besnard, G. Maris et M. Antoine, ingénieurs des Arts et Manufactures qui lui succèdent sous la firme ci-dessus.
- Les magasins de vente seuls sont situés Go, boulevard Beaumarchais. L’usine, récemment réinstallée à Vitry-sur-Seinc, est munie d'un outillage des plus modernes.
- La maison Besnard} Maris et Antoine fabrique les projecteurs « Besnard » bien connus, et le « projeclipsc » de création 1906, supprimant à volonté la lumière aveuglante. Elle fabrique en outre toutes sortes d’appareils d’éclairage à essence, alcool, pétrole et acétylène, ainsi que certains instruments-spéciaux, pulvérisateurs, alambics, etc., très connus du monde agricole.
- BESNARD (//.), associé de la maison Besnard, Maris et Antoine, 60, boulevard Beaumarchais.—Né à Paris, le 17 avril 1868. Ingénieur des Arts et Manufactures (Chalons 1883-86). Créateur du système optique hyper-lenticulaire appliqué aux phares d’automobiles et des premiers phares d'automobiles munis d'un dispositif à « Eclipse ».
- BESSAND Père et Fils, STASSE
- et Cie, magasins de la Belle Jardinière, vetements de sport, a, rue du Pont-Neuf, Paris. Tel. ioG-83 et 106-84.
- BESSE (L oui s), machines-outils, 3q, rue de Lappe, Paris. Tél. 900-03 et 916-07. Adr. tel. Besselap-Paris.
- Parmi les machines-outils les plus importantes de celte maison pour l’année 1907, nous citerons :
- La nouvelle machine à tailler les cngrc-
- NOUVKM.E MACHINE AMlhllCAlX SYSTEME “ I.APOINTE ”, DE BOSTON,
- pour faire les trous carrés, les trous de forme quelconque, etc. — Représentant : Louis BESSE.
- PHARES S PROJECTEURS
- DD/l /r/V/DCC "à changement de
- rnUJcLUrOL lumière instantané"^
- BESNARD
- PARIS- 60, Boulé Beaumarchais
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- nages, système IHernatzki, pour roues droites hélicoïdales et à vis sans lin ; la nouvelle machine américaine, système Lapointe, pour l'aire les trous carrés et trous do forme quelconque dans les engrenages baladeurs de changement do vitesse ; la nouvelle machine automatique à faire les mortaises dans les liges de soupape, à porte-foret oscillant, système Lubin; la nouvelle machine à faire les mortaises et à faire les rainures de clavetage dans les arbres, modèle n° i, type 1907, brevet Lubin; la nouvelle machine à fraiser et rectifier les arbres à cames, brevet Lubin, type 1907; les tours en l’air à tourelle hexagonale, (le grande puissance, marque Dean Smith et Grâce; les machines spéciales pour aléser les cylindres à grande production ; les 'machines à aléser les carters; les machines à fraiser, de précision; les tours parallèles perfectionnés à grande production, etc.
- BESSE-BERGIER, garage, place de la Nation, à Vichy (Allier).
- BESSIÈRE. tubes métalliques, 11 G. rue du Faubourg-Saint-Martin, Paris. Tel. 44-3-GG.
- BESSLER, garage, Philosophenweg, à Gassel (Allemagne).
- BESSONNEAU, f« (urnitures pour canots automobiles, Oa, rue Tiquetonne, Paris.
- BEUGNOT. vente de motocyclettes, 20, rue Stanislas, à Nancy (Meurthe-et-Moselle).
- BEULIN, garage, 2/1, avenue du Bois, à Abbeville (Somme).
- BEURET (Bronze), à Juvisy-sur-Orge ;Seine-et-Oise). Tél. G7. Ad. tél. Beuret-Ju-visy-sur-ürge.
- BEUNZA (Vï0) et Fils, vente d'automobiles, 13/|, rue du Faubourg Saint-Martin, Paris.
- BEUZELIN et Ci0, carrosserie automobile, 10, rue de l’Abreuvoir; et 1, rue de l'Industrie, à Courbevoie (Seine). Tel. 21.
- BEYLE (Allum cur). — Voir Jouve fils, Paris.
- BEZANÇON (Camille-Maurice), villa (iabriclle, ad, avenue Amélie, à Montmorency iS.-et-O.). — Né à Condom (Gers), le 29 juillet 18G1. — Ingénieur du Service commercial de la Société Anonyme Westinghouse. — Membre de l'Automobile Club et de la Société des Ingénieurs civils (le France.
- BEZET et ses Fils, appareils de vaporisation, 19, avenue Parmentier, Paris.
- BÉZIERS-AUTOMOBILE ,vente d’automobiles, garage, à Béziers (Hérault).
- B. G. S. (Société Nouvelle des Accumulateurs), 3/|, rue Pierrot, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tel. 54o-i3. Adr. tél. Bégesse-Ncuilly-sur-Seine. — Société Anonyme, au capital de 3oo 000 francs.— Administrateurs; MM. Denfert-Rochereau, président ; Berlin,
- d’Argenlon, Dreyfus, Philip». — Directeur: M. llalplien.
- BIACHE-SAINT-WAAST (Fonderies et Laminoirs <le), tubes en acier et en cuivre pour automobiles, à Bjache-Saint-Waast (Pas-de-Calais); et 28, rue Saint-Paul, Paris. Tél. 157-77.
- BI. — Le mot bi, complètement abandonné depuis que l'instrument qu’il désignait a disparu absolument, était l’abréviation du mot bicycle. Le grand bi est mort!
- BIANCHI (E.) et Ci0, fabrique d’automobiles, a3, via Nino Bixio, Milan (Italie). — Société au capital de 1 ûoo 000 francs. —Voir Bousquet et C'°, 95, avenue des Champs-Elysées, Paris. Tél. G-8..Ï9.
- BIANCHI DESPINOSA (Chevalier Eugenio), 19, via Maria Vittoria, à Turin (Italie). Tél. 2G-09. — Né à Caserte, en 187.3. Rédacteur en chef de L’Amico dell' Automobiliste. Membre de FA. C. d’Italie et de l’A. G. A. de France.
- BIASE (de),vei ite d'automobiles, 283, via Roma, à Naples (Italie).
- BIBENDUM. — Mol latin qui signilie : « 11 faut boire ! » — Ce mot est la conséquence de la définition si heureuse et si exacte q u e donna Michelin de la fonction que remplit le pneumatique : 1 e pneumatique boit l’obstacle. — Une affiche de publicité représenta, u 11 jour, un colosse étrange, constitué par une agglomération de pneumatiques, qui, levant en Pair une coupe remplie (le tessons de bouteilles, de clous et de silex, disait, comme les Latins : Nunc est bibendum ! (Maintenant il faut boire!) — De ce jour, le célèbre gérondif latin était parti pour le tour du monde! Bibendum est aujourd'hui, pour tous les chauffeurs, une personnalité réelle. Il nous faut donc donner son portrait !
- BICH, compteurs de tours et odotachy-mètres, 29, rue Brunei, Paris.
- BICHRONE. — L e mot bichrone (du latin bis, deux fois, et du grec chronos, temps) est un adjectif. On en a fait un substantif qui est employé quelquefois pour désigner un moteur à deux temps. Le moteur à deux temps de M. Lepapc porte le nom de « bichrone ».
- bibeNcfuM.'L
- LE PNEU /Michelin BOIT L OBSTACLE!.
- [BIARRITZ
- L. BON NEV9LLE, 15, avenue de Bayonne
- Exportation de voitures et fournitures pour l’Espagne et le Portugal-Formalités de douanes et Commission.
- ]
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- BICHRONE, moteur. — Voir Lepape et Ci0, Paris. *.
- BICYCLE. — Le bicycle (du latin bis, deux fois, et du grec cuclos, cercle), détrôné, puis tué par la bicyclette, était un vélocipède a deux roues, de diamètres très différents, dont la première était motrice et directrice à la fois. Si nous citons pour mémoire seulement les céleri fèves et les draisiennes, le premier bicycle, pour qui le nom de vélocipède prévalut longtemps, date de l'invention par
- Michaux des manivelles en 1800. D'abord simple draisicnne pourvue de manivelles, le vélocipède se compose, en i8G5, de deux roues en bois, très analogues aux roues de voitures et cerclées d’un ruban de fer d'un demi-cenlimèlrc d'épaisseur. Le moyeu, de bois également, roule autour d'1111 axe lisse, eu fer, largement lubrifié d’huile. L'instrument pèse une quarantaine de kilos!
- Les premiers tâtonnement de Michaux donnent à réfléchir aux mécaniciens ingénieux; en i8(>(), ou voit des vélocipèdes montés sur billes ou plutôt sur boules d'acier, sans qu'on puisse savoir exactement quel en est l'inventeur. Puis Truf-lault cherche et réussit à faire creux tout le bâti de la machine, corps, fourches et jantes qui, jusque-là, était plein ; les rayons
- en acier, directs, puis tangents, sont inventés. Alors commence le règne du grand bu de Y araignée^ qui ne devaient disparaître que devant les essais, d'abord timides,
- puis triomphants, de la première bicyclette, ou petit bicycle, qui parut pour la pre mière fois en i880.
- BICYCLETTE (théorie, équilibre). —
- Une bicyclette (fig. 1) se compose d’un cadre en tubes a reposant sur une roue motrice ô, commandée par une chaîne c, la réunissant' au pédalier (/, et sur une roue directrice e, mobile autour de l’axe xx du tube de direction f. L’axe xx coupe le sol en avant du point de contact g de la roue directrice. La distance xg s'appelle la chasse de la roue directrice. Cette distance 11'cst pas arbitraire-et la plus 911 moins grande facilité de direction de la machine dépend du choix plus ou moins heureux de cette dislance.
- L’équilibre d’une bicyclette a lieu dans des. conditions très différentes suivant que l’on est ou non en mouvement. Dans le cas du
- « sur
- place
- », si
- l’on
- suppose que
- la
- roue
- avant soit dans sa position normale, la condition nécessaire et suffisante de l’équilibre est que la verticale abaissée du centre de gravité de l'ensemble supposé rigide du cavalier, et de sa machine, passe par la ligne gh de contact des deux roues ou base de sustentation de la machine. Si le centre de-gravité se déplace, vers la gauche par exemple (sens de la flèche 1 dans la vue en plan), le cavalier 11'a qu’un moyen de rétablir l'équilibre, c’est de ramener la ligne gh sous lui par un coup de guidon dans le sens de la ilèche 2 (inverse de celui qu’il donnerait en marche-dans les mêmes conditions). La roue avant pivote autour de xx et en dérapant son point de contact vient en Gj. Lanouvelle base* de sustentation est gi h et l’équilibre est ré-
- Fi
- MS-
- tabli. O11 le maintient ainsi par une suite de-coups de guidon « secs » faisant chaque fois déraper la roue avant, sans que le corps dui cavalier ait bougé par rapport au cadre.
- i MtWËGE PETIT LECQWS bicyclette
- 23, Champs-Elysées
- PARIS
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- Dans la marche en ligne droite ou courbe, une foule de considérations interviennent qui 11e peuvent être exposées ici : mouvements du cavalier pendant le pédalage, inclinaison latérale du corps, action giroscopique des roues, etc. En simplifiant la question au maximum on peut retenir que, si l’on tombe par exemple à gauche, sens de la llèchc (1), 011 rétablira l’équilibre en commençant un virage dans le sens de la llèchc (3), ce qui amène le cavalier à tourner son guidon dans le même sens, et ce qu'on résume en disant que, lorsqu’on tombe d'un coté il faut tourner sa direction pour aller dans le meme sens. En effet, la force centrifuge donne avec la pesanteur une composante oblique (fig. 2) qui passe par la base de sustentation (d’ailleurs déviée par le fait même du virage). De plus cette tendance à virer du coté où l’on tombe est automatique à cause de la chasse de la roue avant, et l’action des mains sur le guidon n'a pour but que de maintenir ce dernier, en empêchant la roue avant de se mettre complètement en travers sous l’action du moindre effort. O11 arrive au même résultat, les mains enlevées du guidon, par une torsion du buste d'où résulte un cJfort latéral sur le cadre.
- Les changements de vitesse *à rétropéda-lage sont généralement plus simples et fonctionnent automatiquement, sans manette ou quoi que ce soit, par le simple fait de l’inversion du mouvement. Le rétropédalage nécessite, il est vrai, une éducation, un apprentissage spécial, mais cet apprentissage est très court et ses partisans trouvent en lui un moyen de repos, par le jeu de muscles différents, en meme temps que la facilité de développer un plus grand effort occasionnellement. Nous donnerons de ces appareils un seul exemple remarquable par sa simplicité. C’est le changement de vitesse exposé au Salon de 190/1 par la Société l’ilirondelle, et représenté schématiquement par la figure 3. Une seule chaîne sans fin passe sur le pignon de pédalier a, sur le pignon b libre pour la marche arrière, sur le pignon d, inverseur et tendeur, et sur le pignon c libre pour la marche avant. Quand le cycliste pédale à la façon ordinaire, la chaîne se déplace dans le sens indiqué par les flèches et le pignon c entraîne la roue motrice, puisque b est libre pour ce sens de rotation : c’est la grande vitesse. Quand le cycliste rélropédale, le pignon e est libre et le grand pignon b entraîne la roue : c’est la petite vitesse.
- — Bicyclettes à changement de vitesse, rétro, etc. — Les bicyclettes à changement de vitesse peuvent se classer en deux catégories : celles dans lesquelles 011 pédale constamment dans le meme sens, qui est le sens habituel, et celles dans lesquelles on pédale en sens inverse (rétropédalage) pour l’obtention de la petite ou grande vitesse. Dans les premières, le changement de vitesse est obtenu par un mécanisme placé au pédalier (Variand, Brossait, etc.) ou dans le moyeu de la roue motrice (B. S. A., Eadie, etc.). Dans certaines machines 011 utilise un système de deux ou plusieurs chaînes, donnant chacune une vitesse, que l’on peut asservir ou rendre libres à volonté. Cette disposition donne une
- — (Jurisprudence).—A moins de clause spéciale dans le bail, tout locataire a le droit de descendre et de monter sa bicyclette par le grand escalier. (Jugement du Tribunal civil de la Seine, du 9 mai 1900.)
- Le fait de conduire à la main, la nuit, une bicyclette dépourvue de tout moyen d'éclairage, 11c constitue, pas une contravention. [Tribunal de simple police de Gignac.)
- — Les bicyclettes fabriquées à l’étranger
- subissent, «à
- leur entrée en France, un droit
- de douane de : 220 francs (tarif minimum) ou de 25o francs (tarif maximum), par 100 kilogrammes.
- — Giiavanet, 33, avenue Dcnfert-Roche-rcau, à Saint-Etienne (Loire).
- — Comiot (C.), 87, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris.
- — Dufaux et G10, route des Acacias, à Genève (Suisse).
- — Petit et Cio, 23, avenue des Champs-Elysées , à Paris.
- — Ticuhot et C'°, à Dijon (Côte-d’Or).
- plus grande facilité de changer le rapport des développements que dans les autres systèmes, mais sa complication est aussi grande, sa difficulté d’entretien augmentée et elle a enfin le démérite de n’ètre pas « mécanique ».
- BICYCLETTE PLIANTE du Commandant Gérard. — Fabriquée par Les Fils de Peugeot Frères.
- BICYCLETTE (Manuel pratique de
- la). — Ouvrage de Baudry de Saunier, paru
- M.
- EUDELIN
- Automobiles Robustes, Souples, Silencieuses
- 32 bis, rue Desrenaudes - PARIS (Téiépt 589-74)
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- I 20
- B I I,
- en 1903. Ce volume explique à un cycliste quelles sont les pièces constitutives de la bicyclette, tous les tours de mains et procédés qu’il doit connaître. Il est très utile au propriétaire d'une motocyclette, car un chapitre est spécialement consacré à ce nouvel instrument (bicyclette à pétrole). L'ouvrage est actuellement au 18e mille. 11 vaut 3 fr. 5o. — O11 le trouve aux bureaux d'Omniay 20, rue Burct, Paris (16e).
- BIDAULT , zinc laminé, i3, rue Lakanal, Paris. Tel. 711-03.
- BIDAULT LL), (Agence Générale Belge des Pneumatiques Michelin), fournitures générales pour la carrosserie automobile, accessoires, accumulateurs A. Dhiin, 5/|. rue de Spa, à Bruxelles (Belgique). Tél. 1121. Adr. tel. Pneumiclin-Bru.r elles.
- BIDEZ et HALLER, fonderie de 1er, à Fumay (Ardennes); et 10, rue Mirabeau, à Yincenues (Seine).
- BIELEFELDER M ASCHINEN und FAHRRADWERKE Aug. Go-ric/ce, fabrique de motocyclettes, h Biclefeld (Allemagne).
- BIELEFELDER MASCHINENFA-BRIK, vente d'automobiles Durkopp, 70, Untcr den Linden, à Berlin (Allemagne).
- BIELLE. — U ne bielle est un organe de machine « eu mouvement » qui, en principe, sert à transformer un mouvement circulaire en mouvement rectiligne alternatif,ou vice-versa ; exemple : la bielle d’un moteur <pii réunit le piston au vilebrequin. Une des extrémités de la bielle est toujours animée d'un mouvement circulaire autour d’une manivelle et ce n’est (pic par une déviation du mot qu'on l'emploie faussement pour désigner une tige articulée dont les deux ext rémités décrivent des trajectoires droites ou courbes quelconques d'un mouvement alternatif, telle, par exemple, que la tige qui unit, le levier de direction à la barre d'accouplement des roues motrices.
- La bielle est presque toujours pleine. Cependant on trouve des bielles creuses, par exemple dans les moteurs Delaunay Belleville, où elles sont percées d'un canal qui mène à l'axe du piston l’huile arrivée dans la tète de bielle par le maneton creux, sous la poussée d’une pompe spéciale.
- —Delaunay Belleville (Automobiles), à Saint-Denis (Seine),
- BIELLETTE. —Petite bielle. —Voir ce mot.
- BIGAULT de GRANRUT (Concours)
- — Concours permanent d'atterrissage fondé par M. Ch. de Bigault deCranrut, qui dire une prime de 5o francs versés dans la caisse de l’Aéro-Club de Franc,e chaque fois qu’un pilote, parti du parc du Club, après avoir prévenu de son intention, réussira à atterrir dans un rayon de 00 kilomètres autour de Reims.
- BIGORNE. — Nom donné à une enclume de petite dimension dont chacun des bouts est terminé en pointe. Souvent, comme dans 1 a b igorn e r e p r é s e 11 t é e dans la ligure ci-conlre, l’une des pointes ou corne C est conique, tandis que l’autre, P, est pyramidale.
- BIGUET (Echappe-ment libre).-— Voir /)//-rand y 178, boulevard Péreire, Paris.
- BILLE.— La bille, petite sphère de métal, a pris de nos jours une importance capitale en mécanique. Employée tout d’abord dans la marine pour adoucir les frottements de certaines pièces travaillant horizontalement, la bille a reçu une application courante sur les cycles, à parti]1 de 1875 environ. Par elle, le frottement de glissement est remplacé avec, grand avantage par un frottement de roulement. M. Suriray appliqua, le premier, les billes aux roulements cyclistes.
- Les roulements à billes ont pris en cyclisme et en automobile une importance considérable. En cyclisme, un roulement à billes se compose d’une cuvette et d'un cône entre lesquels roulent les billes ; il est réglable. En automobile, il fut. d'abord la copie, en grand, d’un roulement cycliste, mais l'expérience a démontré qu'aucune cuvette ni aucun cône ne peuvent résister à l'usure dans ces conditions. On fait, depuis cinq ans environ, des roulements d'une seule pièce, composés de deux bagues concentriques entre lesquelles est, introduite (par des procédés divers) une couronne de billes. Ces roulements, dits souvent roulements plats, sont inréglables. Les premiers roulements de ce genre ont. été construits en Allemagne. — O11 nomme encore bille un morceau d'acier carré destiné à être travaillé ; une partie de tronc d’arbre non équarrie, par exemple.
- — Glaenzeu et Ci0, billes et roulements, (( D. W F. », 35, boulevard de Strasbourg, Paris.
- — Roulements a billes (Société Française des), 70, rue Franklin, à Ivry-Port (Seine).
- BILLET, accessoires pour pneumatiques, dissolution « Auto-Coll », 6, rue de Braque, Paris.
- Schéma d um: nua.u:
- F, corps de la bielle. — T (en haut), pied de la lurllc. -T (en bas), tète de la bielle.
- ROULEMENTS A BILLES
- D. W.
- GLAENZER et Cie PARIS
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- BILLET, COUVERCHEL et Cie, enveloppes pneumatiques, i3i, avenue de .Neuilly, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- BILLINGS’ (Ou/ils). — Voir Fenwick Frères, Paris.
- BILLINGS et SPENCER C”, outillage pour automobiles, à Hartford (Connecticut), Etats-Unis.
- BILLOUIN (II.), motocyclettes Y Albatros, io/|, avenue de Villiers, Paris. Tel. 5/)8-o3.
- BILLY (C.), fabrique de phares et. de lanternes, 13, rue d’Artois, Paris. Tel. 53^-48. Adr. tel. Pharbilly-Faris.
- BINDER (Henry), carrosserie automobile. — Voir Cotlenel et C'°, Paris.
- BINET, garage et vente de motocyclettes, iq, rue Victor-IIugo,'l'ours (Indre-et-Loire).
- BINET (Alphonse) et C'°, 0. rue de Ja-rente, Paris. Tel. a60-89. — Société en commandite, fondée le icr novembre 190/1- — Fabrication spéciale de soupapes en acier au nickel et en acier. (Très yramle production). — Pièces de mécanique détachées, boulonne-rie et décolletage (stock important). — lle-préscntanls exclusifs des usines Chorlier et Guichard, de St-Etiennc, pour les arbres vilebrequins, bielles, essieux, arbres à cames, bruts, ébauchés ou Unis. — Directeur: M. Alphonse Binet.
- BING (Léopold), courroies pour motocyclettes ; représentant de fabriques, 7, rue Picrrc-ie-Grand, Paris. Tél. 53a-8y. Adr. Lél. lleibing-Paris.
- BINI et Cie, vente do phares Duceliicr, !\, via Pantano, à Milan (Italie).
- BINOCHE et AUBERT, dépositaires des Forges et Aciéries de La Loire et, des Aciéries Moses Fadon de Shelfield, .'I7 et 3y, avenue de la Hépublique, Paris. Tél. y35-33.
- BINON (Albert), né à Paris, le 22 août 18/49,
- — Ancien officier ministériel.
- Collaborateur, depuis 189/4. de M. A. Clément, comme chef du cou t e 111.i eux et fondé de pouvoirs. — Administrateur de la Société Franco-Américaine d’Au-toinobiles. — Administrateur de la Société Renault frères « Selling Branch », Etats-Unis). — Membre fondateur de l’A. M. Binon. <' 1,1
- BIOXYDE DE MANGANÈSE. —
- (Mn O*). — Le bioxyde de manganèse existe a l’état naturel (pyrolusite), cristallisé en prismes, ayant l'éclat de l'acier ; sa poussière est noire. Il est. utilisé en automobile connue depolarisanl dans la confection des piles sèches, en mélange avec de la plombagine. — Voir Piles sèches, Manganèse.
- BIRKIGT (Automobiles système).— Voir llispano Suiza (Espagne).
- BIRMINGHAM MOTOR CAR C .
- vente d'aulomobiles, 206, Corporation Street, à Birmingham (Angleterre).
- BIRMINGHAM SMALL ARM S C
- Ltd, pièces détachées « B. S. A. », à Birmingham (Angleterre). — Représentant à Paris : MM. Brown Brothers ; à Bruxelles : M. Julius llolz. — Société établie, en 1861, au capital de 000000 livres. — Tél. 288 012870. Ad. tél. Smallarms-Birmingham.
- BISCHOFF (Félix), pièces détachées pour automobiles, essieux, arbres, manivelles, bielles, etc., à Duisburg-ain-Rhcin (Allemagne). Marque F. B. — Ad. tél. Bischo/fstul-Duisburg.
- BISEAU. — On dit qu'une pièce porte un biseau ou est taillée en biseau, lorsque
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- t'.N IIISIAU
- son bord, au lieu de former un plan à angle droit, est taillé obliquement ; par exemple : un burin.
- — Un biseau est aussi un outil de tourneur dont lé tranchant, est, oblique, au lieu d'étro perpendiculaire à son axe, comme dans le ciseau.
- BISIAUX, m écanicien, fabrique de refroi-disseurs, 11, rue Petit, Paris.
- BISSCHOP (H. de). — Alexis de Bisschoi) est 1 inventeur nui. le nremicr.
- appliqua le refroidisse moteurs à explosions. 11 groupe d'inventeurs, Ravel, François, Bélier et F. Forcst, qui, après Lcnoir, de 1870 à 1889, perfectionnèrent le moteur à gaz.
- De Bisscliop est mort au champ d’honneur des inventeurs, tué par son moteur, qu’il cherchait à améliorer.
- BISSECTRICE .
- — En géométrie, ligne qui partage un angle en deux parties égales.
- ment par l'air aux faisait partie du petit
- A
- M A, bissectrice de l’angle B AC.
- ClapetsACIER-NICKEL
- Blphonse BINET i C", Fait"
- 6, r. de Jarente, PARIS - Tél. 260-89
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- B I S — i29. — B L A
- BISSONNET, gai •âge, vente d'automobiles, à Manies (Seine-et-Oise). k
- BITAILLE, garage, 20, boulevard Gambetta, à Charleville (Ardennes).
- BITANGENTE. — En géométrie, ligne droite ou courbe AB qui est tangente à une
- autre courbe Cl) en deux points dilfércnts.
- — De même la ligne courbe A’ B’ est bilau-genlc en ces deux points à la circonférence 0.
- BITUME (syn. asphalte). — Les bitumes sont des corps solides, noirs, mous ou demi-liquides, d’origine minéralogique, constitués par des hydrocarbures (voir ce mot) divers. 11 constitue l’un des éléments du vernis émail noir, employé à froid ou à chaud (vernis au four). (Voir Email et Emaillage.) Le bitume se trouve en Palestine près de la mer Morte (bitume de Judée, si usité pour les gravures photomécaniques), en Auvergne, au Pérou, etc.
- BITUMINE. — Voir Weslrumi/e.
- BIZET et DUBOIS, fabrique de presses hydrauliques, or, rue Croulebarbe, Paris.
- BIZEUL (A ndré), construction de silencieux tubulaires et de pièces détachées pour automobiles, motocyclettes et moteurs, rue Fondespan. à Bazas (Gironde). — Voir Puissance et Silencieux.
- BLACHON, nécessaires pour touristes, (h, rue Halle, Paris. Tél. 815-70.
- BLAKE C", vente d'automobiles, 10, Hawkins Street, à Boston (Etats-Unis).
- BLANC (Ca mille), 10, rue Auber, Paris. Tel. 226-71).
- BLANC {Edmond), château de la Châtaigneraie, à La Cellc-Saint-Gloud (Seine-et-Oise). — Né à Paris, en 1861. — Chevalier de la Légion d’honneur. —• Membre de l’Académie des Sports.
- BLANC (François), rue Barrouin, à Saint-Etienne (Loire). — Né à Vernassal (Haute-Loire), le 5 mai 1873. — Ingé-
- nieur civil des Mines (Ecole des Mines de Saint-Etienne 18gG). —
- Ingénieur chez MM. Guitlon et Ci0, en 1896; a installé le funiculaire électrique du « Capucin » au «Mont, Dorequi», qui est la première appplica-l’ion qui se soit faite do l’emploi des courants triphasés à haute tension comme M. Blanc iFuançois)
- agent direct do
- transport de force. — A créé, en 1906, une usine spéciale pour les pièces de forge par estampage.
- BLANC (F.) et Ci0 {Forges Sléjiha-noises). Le Marais, à Saint-Etienne (Loire).—• Pièces de forge par estampage; forge et traitement des aciers spéciaux au nickel, chrême, manganèse et silicium; aluminium, nickel pur; soupapes et rondelles «. Eplièse ».
- BLANC et LABEYRIE , commerce d’automobiles et de cycles, rue Lafayeltc, à Saint-Sever-sur-l'Adour (Landes),
- BLANCHART (C.) et Ci0, fabrique^ de chaînes et pièces détachées, 170, rue de Gba-ronne, Paris. Tel. 908-71.
- BLANCHE (G.) et LECARON (II.),
- moteurs, 16, rue Saulnier, Paris. Tél. 276-53.
- BLANCHET (Georges), ne à Paris, le 10 janvier 187G. — Membre du Comité et pilote de l’Aéro-Club. — A, depuis l’année
- FORGES STÉPHANOISES
- I^V W& 1 m ru g
- Le Marais, Saint-Étienne ("Loire)
- PIÈCES DE FORGE PAR ESTAMPAGE
- pour Armes, Cycles, Automobiles
- BIELLES, CHAPPES, MANIVELLES, RACCORDS, CLEFS, etc.
- en aciers au carbone et aciers spéciaux
- Soupapes “ EPHÈSE ” $ $ $ Rondelles “ EPHÈ5E ”
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- 1 23--
- B L 0
- 1892, exécute plus de 100 ascensions en ballons. — Rédacteur à Omnia et à Y Aëro-phile. — Auteur d’un traité pratique d’aérostation, le « Vade-3/ccum de l’Aéronaute ».
- BLANCHET et BARJONNET, entreprise générale d'usines, 123, rue de la Réunion, Paris. Tél. pai-Zpi.
- BLANCHIR. — Blanchir est une opération mécanique qui a pour objet de terminer une pièce, en lui enlevant ses aspérités et en lui donnant un léger poli, légèrement rugueux, qu’on obtient soit à la lime douce, soit à la toile émerisée, soit parfois à la meule. C'est ce blanc de lime, agréable à l'œil, qu’on donne aux pièces d’exposition et qui permet aux connaisseurs d’apprécier le fini du travail, tout en laissant voir qu'aucun artifice, tel que vernis, peinture, etc., n'est venu en dissimuler les défauts possibles ou les assemblages défectueux.
- Souvent, 011 blanchit les pièces métalliques avant de les peindre, pour obtenir une meilleure adhérence des couleurs.
- BLANZY, POURE et Ci0, tubes emboutis de petits diamètres, 1037, boulevard Sébastopol, Paris. Tél. nl\-6o.
- BLATGÉ, associé de la maison Mestre et Blatgé, 5, rue Brunei, Paris.
- BLAY-COLLARD, fonderie pour automobiles, à Vrignc-aux-Bois (Ardennes).
- BLÉRIOT (Lotiis), iG, rue Duret, Paris. Tél. 539-40.— Administrateur-délégué de la Société Anonyme Blériot. — ingénieur E. C. P., membre de la Commission de l’Aviation de l'Aéro-Club.
- BLÉRIOT (L.) (Société Anonyme des Etablissements), \t\ et 16, rue Duret. Paris. Tél. 53q-40. •— Ateliers 12, rue llenri-CIie-vrcau (XXe); tél. 93G-12.—Société Anonyme constituée en septembre 1900 au capital de 1 3oo 000 francs. — Le Conseil d'administration est composé de : MM. Blériot, ingénieur E. C. P., président ; La Pcyrouse, vice-président ; Machado, Marchai, du Rivaux, de Pierrebourg. Administrateur-délégué : M Blériot, ingénieur E. C. P., fondateur. Directeur de l'usine: M.Bimbluet, ingénieur E. C. P. — Administrateur, délégué à la partie commerciale : M. Marchai. — Directeur commercial : M. R:cher.
- BLÉRIOT et VOISIN, Ateliers d'A-viation Ed. Surcouf, fabrique d’aéroplanes et d’hélicoptères, 4, rue delà Ferme, à Billancourt (Seine).
- BLÉTON, fabrique de bougies d'allumage, 18, rue Béranger, Paris.
- BLÉTRY (C.) Aîné, ingénieur-conseil, obtention de brevets d'invention, 2, boulevard de Strasbourg, Paris. Tél. Adr. tél.
- Blêtry-Frères-Paris.
- BLEU. — T erme sous lequel les ingénieurs, les dessinateurs ou les constructeurs désignent les épreuves photographiques sur papier — techniquement les photocopies ou photocalques — des dessins, schémas , plans, elc., de machines et analogues.
- BLEUIR (le fer ou l’acier). — Bleuir du fer et de l’acier, c'est leur donner une coloration bleue, plus ou moins foncée, en les oxydant par la chaleur, en présence de l’air. Cette opération a pour objet, soit de recuire une pièce, tel qu'un ressort, pour lui donner plus de souplesse, soit de rendre plus agréable à l'œil un objet métallique poli.
- BLIN (Eugène), io3, avenue de la République, à Aubervilliers (Seine). Tél. 4*3-03. — Né à Tours (Indre-et-Loire), en i80/|.—Chevalier de la Légion d'honneur (Expositions de Saint, - Louis et de Milan). — Administrateur-directeur de la Société des «Etablissements Ma-licetet Blin ». —
- Président, de la 90 section de la Chambre syndicale de l'Automobile. Membre du Comité du Salon, membre du Jury français à l'Exposition de Saint - Louis.
- BLIN, fabri que d’accumulateurs, 53 bisr rue Croulebarbe, Paris.
- BLINDAGE. — Mot employé quelquefois pour désigner le tablier en tôle qui, placé sous le moteur et la boîte de changement de vitesse, protège ces organes contre la boue.
- BLISS (E. R7".), machines à emboutir, [\y rue Iluntzinger, à Clicliy (Seine). Tél. 52G-12.
- BLISS CAR C°. fabrique d'automobiles* i6a3 Broadway (N,-Y.), Etats-Unis.
- BLOC (mécanique). — Un bloc est une réunion, sur un même support, d'organes mécaniques en relation les uns avec les autres. — C’est ainsi qu’011 dit le bloc du moteur, comprenant ses annexes, lorsque ces annexes font partie intégrante du moteur: ou que l'on appelle le bloc des vitesses,. le carter qui contient tous les changements de vitesse et de plus, assez souvent, le différentiel.
- BLOCAGE (et non bloquagë). — Le blocage d'une pièce est une opération qui a pour objet de lier cette pièce à une autre, d'une façon telle qu’elles 11e forment plus ensuite toutes deux qu'un tout complet. — Le blo-
- Société anonyme des Automobiles de la Q| Il DCT
- ______g» lyow ^_________DUlnL
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- oage est presque toujours l’ait par des écrous,^ (lits écrous de blocage, qui forment, en eux mêmes la liaison, ou qui la complètent comme par exemple lorsqu’une roue est montée sur le bout d'un arbre conique, et que Y écrou de blocage la force à demeurer en place sur la clavette formant liaison d'entraînement entre l'arbre et la roue.
- BLOCH Fils, pièces détachées pour automobiles, no, rue des Marais, Paris.
- BLOCH (Julien E.). commerce et importation d'automobiles françaises, 200 YV. 8/| lh. Street, à New-York (Etats-Unis!.
- BLOCH et Ci0, fers pour carrosserie automobile, 60, rue du Vivier, à Aubervilliers (Seine). Tel. 4i3-iG.
- BLOMSTROM MOTOR C°, automobiles Queen, à Détroit (Michigan).
- BLONDEAU (J.), dynamos, magnétos, petits moteurs, îü, passage Gourdon, Paris.
- BLONDEAU, canots automobiles, marque Xuutilus. 3a, quai de Seine, à Sartrou-villc (Seine-el-Oisej.
- BLONDEL, garage, C, rue Thicrs, à Arras (Pas-de-Calais);
- BLONDEL, garage, 33, boulevard Para-ban, à Amiens (Somme).
- BLONDEL, garage, rue de la Plage, à Di nard (Ille-et-Vilaine).
- BLONDEL et HINCELIN, alcool carburé « Moto-Spiritus » pour moteurs, io5, me de la Chapelle, Paris. Tél. joy-ao.
- BLONDEL LA ROUGERY (Ed.), éditeur, cartes-guides Campbell, ->J\, passage du Havre, Paris. Tel. 3ii-iG.
- BLOT (Jules), labricant du pneumatique Le Paris. 10, rue Vallier, à Levallois-Perret çSeinc). Tél. 5a/|-in.
- BLOTTO Frères, fabrique de tri-porteurs, n, rue Chariot, Paris. Tél. 270-yG.
- BLOXHAM. machines-outils. machines à peicer, 12, me du Delta, Paris. Tél. /)2Ü-/|.'j.
- BLUM (Edouard), constructeur d'appareils d allumage électrique, bobines, voltmètres. i3o, avenue d'Orléans. Paris. Tél. -Cî-i 1.
- BLUMEL et REDER, ga.agc. vente d'automobiles, 12, Taucnzicnplatz, à Presla (Allemagne).
- B.M. A., marque de lubrique de Besnard, Maris el Antoine, Paris.
- BOACHON, l'abriq ne de graisseurs, poulies, paliers graisseurs, 3i, avenue de la République, Paris. Tél. y3o-Gy.
- BOAS (Alfred), associé de la maison « Boas, Rodrigues et Cie », G7, boulevard de Cliaronne, Paris. Tél. yoG-ao. —No à Paris, le 20 décembre i8/|G. — Ingénieur des Arts et Manufactures, décoré de la Légion d’honneur comme sous-lieulenaut, en 1870, pour faits de guerre. — Associé de la maison Cha-vagnat dont il devient ensuite seul propriétaire ; puis s'associe à M. Rodrigues ; la maison devient, alors « Boas, Rodrigues et C‘" ». — Membre du jury de l'Exposition en i88y et en 1900. — Président de la classe G5, à l’Exposition de Liège,
- BOAS (.1), RODRIGUES et Cle,
- (ancienne maison Chavagnal), 61, 6-j, Gy, -1 et, ^3, boulevard de Cliaronne, Paris. Tél. yoG-20 cl, yoü-ü}. Adr. tél. Alfabéercé-Paris. — Maison fondée pour la fabrication de la lanterne carrée en fcrblanc, en i8/|G, par M. Chavagnal qui s'associa en 187,3 avec M. Alfred Boas, ingénieur des Arts et Manufactures (voir ce nom).
- Devenu seul chef de la maison en 18—A, M. A. Boas donne un grand développement à son industrie ; il s’associe, en 188G, M. C. Rodrigues-Ely, chevalier de la Légion d’honneur, ancien élève de l’école Polytechnique, licencié en droit, et M. Aubert. — Par suite d'accords successifs, la maison prend la raison sociale : A. Boas el C'c, puis, enfui : A. Boas, Rodrigues et, Cic, avec, l'association de M. Gauthier, ingénieur des Arts et Manufactures.
- L’usine couvre une superficie de 8 000 mètres carrés et occupe ouo ouvriers ; l’outillage comprend plusieurs centaines de machines.
- La société Boas, Rodrigues et Cic fabrique des ustensiles de ménage, d'hydrothérapie, de jardinage, etc., et, par-dessus tout, des lanternes de voilures et des phares à acétylène pour automobiles, sous le nom si connu de « Alpha ». — Concessionnaires des brevets de la Compagnie Fnmçaise de l’Acétylène dissous.
- Fondateurs de nombreuses caisses de retraite et d'institutions de prévoyance.
- — Notes sur les modèles 11)07 de lu maison Boas, Rodrigues et Cle :
- Nouvelles faces à acétylène à rendement lumineux augmenté, forme nouvelle, chapiteau ovale, fermeture et, charnière à rattrapage de jeu, lentille à pattes rivées et vissées. —• Veilleuse - éclipse (appelée Rob-éclipse), permettant de passer de la veilleuse au bec et vice-versa, avec la seule manœuvre d’un robinet à la portée du conducteur. — Lumière aéro-acétylène et oxy-aeétylène B. 1\. C. pour automobile (en usage pour bateaux et ballons depuis iyo5). — Nombreux modèles nouveaux pour électricité. — Modèles nouveaux de lanternes à pétrole à chapiteau démontable pour faciliter le nettoyage intérieur de la
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- PHEIMBH5 ?m
- Concoura do
- Tours, Lyon, Berlin.
- Phares b. R. c. ALPHA
- HOBS CONCOURS
- PARIS 1900
- Liège 1905-JHtlan 1906
- ]
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- B 0 B — 125 — B 0 B
- cheminée lorsqu'elle est pleine de suie. — Modèles à essence, etc.
- BOBET, outillage pour la fabrication des pneumatiques, iG, avenue de Yilliers, Paris. Tel. 5yi-ay.
- BOBIN, produits à polir, brillant Presto, GG, rue de Villiers, à Levallois-Perret (Seine).
- BOBINAGE. — Enroulement de fil destiné à former une bobine ou solénoïde. Le bobinage s’effectue généralement avec beaucoup de soins, autour d'une forme en carton ou en bois mince, permettant, sa séparation facile d’avec soit le noyau de fer doux, soit la bobine concentrique sur lesquels elle peut être enfilée. Il est essentiel d’assurer un bon isolement des différentes courbes de fil et meme des spires d’une mémo couche, surtout si la différence de potentiel est grande entre deux spires consécutives. On isole les couches de fil guipé avec du papier japon ou du papier gommé laqué, dans les bobines inductrices ordinaires. Les bobines à très liante tension de certains transformateurs se font en fil nu et sont plongées dans de l'huile lourde de paraffine, ou tout autre liquide de grande résistivité, le tout contenu dans une boite où l’on a fait le vide pour chasser les bulles d'air.
- ai
- BOBINE (mécanique). — Pièce cylindrique à rebords en bois ou en métal, autour de laquelle s’enroule la corde mé-j tallique de l'archet dans les machines a percer les petites pièces, et qui en reçoit un mouvement alternatif circulaire qu'elle communique à la mèche qu’elle porte.—Le nom de bo-\ bine était donné autrefois au moyeu de la grande roue d'un B bicycle.
- - - lilectricilé. — En automobile, le mot bobine employé seul sert à désigner le transformateur dont on se sert pour l'allumage par bougie sur piles ou accumulateurs. Le courant primaire à basse tension (/j volts) de la batterie est. transformé eu courant secondaire à haute tension (if> ooo volts), capable de franchir sous forme d’étincelle l'espace séparant les pointes de la bougie. En vertu du principe de la conservation de l'énergie, il est bien évident que la /missa?ice du courant secondaire ne peut être supérieure à celle du courant primaire. Elle lui est, mémo inférieure. On perd en intensité ce qu’on gagne en tension.
- La valeur de la force élcctromotricc induite dans un circuit dépend du nombre de spires et de la valeur du flux coupé dans l'unité de temps. Dans les dynamos le champ est eons-
- ItuiiiNi; d’auçon M, bobine. — I, queue. — P.
- porte-foret.
- tant ; on varie la valeur du flux en le coupant soiis un angle variable, de façon à embrasser un nombre variable de lignes de force ; mais le meme résultat est obtenu si les spires sont fixes et, la valeur du champ variable. C’est ce dernier mode d’induction qui est appliqué dans lit bobine d'induction.
- Les organes essentiels d'une telle bobine sont : i° Un électro-aimant constitué par un noyau de fer doux entouré de spires de gros fil; a° une bobine secondaire constituée par un très grand nombre de tours de fil fin : plus le nombre de tours est considérable, plus ta force éleclromotrice obtenue est élevée.
- L'électro-aimant est destiné à fournir le champ magnétique inducteur, dont les variations sont obtenues en utilisant les phénomènes de self-induction, grâce aux rapides interruptions du courant primaire par le trembleur.
- Le courant, primaire passe dans une bobine à fil gros et court, P (fig. i), par l'intermédiaire d’un interrupteur automatique ou commandé par le moteur I. Une extrémité du secondaire en fil fin S est mise à la masse et l’autre est réunie au fil de bougie. A chaque
- A u.i'M agi:
- INDIU
- fermeture ou coupure du circuit primaire correspond un courant, induit, inverse ou direct se manifestant par une étincelle à la bougie.
- A cause de la self-induction du primaire, le courant, induit direct, celui qui correspond à la rupture, est, de tension beaucoup plus élevée que le courant, inverse et passe seul à la bougie. Un condensateur U améliore le fonctionnement, de la bobine en absorbant l'exlra-cou-rant, de rupture. L’étincelle en I est considérablement atténuée, d'où meilleure conservation des contacts et, accroissement du courant, direct, puisque la coupure du primaire est par là abrégée.
- Le moteur doit commander les fonctions de la bobine, pour assurer l'allumage à l’instant . précis duquel dépend son bon rendement.
- Les solutions qui prévalent aujourd'hui sont :
- i° Pour un cylindre : interrupteur mécanique, à trembleur-ou à contact, commandé par le moteur et fonctionnant une fois par cycle (par deux tours);
- I
- HUSSENOT s RAYNAUD
- FOURNITURES GÉNÉRALES pour Automobiles
- Voir aux Annonces.
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- 20 l’our deux, trois, quatre cylindres : interrupteur mécanique, à trembleur ou à contact, commandé par le moteur, et fonctionnant deux,
- Al.LUM.VBK IM II
- l'OUIl /f CYLINDRES.
- trois, quatre fois par cycle, et distributeur de courant secondaire envoyant le courant à chaque bougie dans l’ordre voulu.
- La figure 2 représente un allumage de moteur à quatre cylindres, par bobine, interrupteur mécanique à contact, distributeur de secondaire et auto-trembleur pouvant être mis en court-circuit pour la marche normale.
- A, batterie — P, inducteur — S, induit •— M, commutateur permettant la mise en court-circuit de l'auto-trembleur magnétique — I, distributeur de primaire — 1), distributeur de secondaire — T, auto-trembleur — G, condensateur — 1, 3, 4, 2 fils de bougie allant dans l'ordre aux premier, troisième, quatrième et deuxième cylindres.
- Bobine de self. — On donne ce nom à une bobine dont le champ est généralement renforcé par un noyau de fer doux et qui se place dans un circuit pour en augmenter la self-induction (voir Self-iiahiction). O11 s'en sert pour renforcer l'étincelle de rupture de ce circuit (allumages à rupteur, allumoirs de becs de gaz, etc.). En électricité industrielle, on s’en sert quelquefois pour régulariser l’intensité d'un courant alternatif en raison de la résistance opposée par les circuits de grande self-induction aux variations de courant (lampes à arc, etc.).
- — Gianoli, 26, boulevard Magenta, Paris.
- — 11f.nnkgnave et Agnus, 3o, rue Perrier, Levallois-l’erret (Seine).
- — Henhique, bobine VEclair, 4i, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Hussenot et Raynaud, 3;). rue La Roétie, * Paris.
- — Lacoste et Ci<!, 28, boni, de Strasbourg, Paris.
- - Nieli'Out, 9, rue de Seine, à Stircsnes (Seine).
- — Nii.meliou, 47- rue Laeordaire, Paris.
- Bobine de R uhmkorff. — Les premières bobines (l'induction qui aient eu
- une valeur ont été fabriquées par Rulimkorlf. On donne quelquefois encore à la bobine d’allumage à trembleur le nom de bobine lluhnikor/]'. qui est une expression plutôt employée dans les cabinets de physique.
- BOB WALTER (Mn°),garage et location d’automobiles, i.ïli, avenue Malakofl', Paris. Tel. 5o3-5o.
- BOCHUMER MET ALL W AREN JABUK, vente d'automobiles, Johanniter-stcasse, à Roclium (Allemagne).
- BOCANDÉ [Olivier), 4i bis, rue de Gutenberg, au Parc-des-Princes (Boulogne-sur-Scine). Tel. (>99-54. — Né à Paris, en 18G2. — Officier (l'Académie. — Président du conseil et directeur-administrateur de la Société des Automobiles Gillet-Forest. —Ingénieur des Arts et Manufactures, secrétaire général de la Chambre syndicale de l’Automobile. — Ancien ingénieur en chef (le la Compagnie Edison et de la Compagnie Elcctro-Mécaniquc.
- BODENREIDER, 11, rue des Rcnau-j dières, à Garches (Seiue-et-Oise). Un des fondateurs de la marque llelbë.
- BOEHLER (Cle des Aciers), iGG. avenue Parmentier, Paris.
- BOEHRINGER GEBRUEDER. machines-outils et tours, à Goppingen (Allema-gne).
- BOETTCHER (11.), ingénieur-conseil, obtention de brevets d'invention, 14, boni. Saint-Martin, Paris.
- BOETTCHER Fils [Henri), 189, me balayette, Paris. Tel. 420-02. Adr. tél. Boell-cher-in(/éuienr-l’<tris — Ingénieur-conseil en matière de brevets d'invention, marques de fabrique, dessins et modèles.
- BOGHEAD. — Sorte de schistes (voyez ce mot) bitumineux, d'origine minéralogique, contenant 80 0 0 de bitume (voyez ce mol), d'un brun noirâtre, que l’on trouve en Ecosse, en France (à Anton), etc. Le bogbead, soumis à la distillation, produit du gaz d’éclairage, des hydrocarbures (essences et huiles à briller ou à graisser), des goudrons, de la même manière que la bouille et le pétrole dont il est intermédiaire par sa composition.
- BOHLER (/•’•), tuyaux métalliques flexibles et pompes centrifuges, 22, rue Poncelet, Paris. Tél. 53(i-o8.
- BOIGE, garage, 1-, rue de Lyon, Paris.
- BOIN-TABURET, spécialité d'objets d'art pour prix de courses et do régales, 3, rue l’asquier, Paris. Tél. i.n-8g.
- BOIRON appareils électriques, bougies R, 32, rue de Tilsilt, Paris. Tél. 554-45-
- BOIS A LIMER. — Voir Enlibois.
- fj.-F. HENR1QUE,
- Constr.-Élechicien,
- 41, a\>. de la Grande-Armée
- PARIS
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- 13 0 I -- 12^ — B 0 I
- BOIS ARMÉ (Châssis en)..— Châssis constitué par des poutres rectangulaires en bois résistant et élastique, généralement du frêne, armées au moyen de tôle d'acier et par des cornières et des goussets..
- Pour éviter le gauchissement du bord supérieur de la tôle, qui n’est pas soutenu par le bois, on replie la tôle, de maniéré à •obtenir une sorte de nervure s’opposant au gondolement qui ne manquerait pas de sc produire lors de la flexion du châssis, notamment au passage d'un cassis. Pour avoir un •dessus de châssis uniformément plat, ce qui rend le montage des carrosseries plus aisé, on place quelquefois la tôle avec sa nervure en dessous. La tôle est assemblée au bois par un grand nombre de rivets et les ferrures (mains de ressorts, etc.) sont fixées par •des boulons traversant le châssis suivant la libre neutre, autant que possible, et serrés sur •des contre-plaqués en tôle.
- Les châssis en bois armé tendent aujourd’hui de plus en plus ci être remplacés par des châssis emboutis en métal. (Voir Arbel.)
- BOIS DE BOULOGNE. — BOIS DE VINCENNES. — Un arrêté du préfet, de la Seine du 5 décembre 1899 fixe à 12 kilomètres à l'heure le maximum de vitesse et prescrit certaines mesures spéciales de précautions dans les bois de Boulogne et de Vin— cennes.
- BOIS DE BOULOGNE {Garage_ du), vente d'automobiles, 19, rue Durct, Paris.
- BOIS DE CARROSSERIE. — Voir
- Caisse.
- BOISNART et BLOT, constructeurs-mécaniciens, i/|, rue de la Sccllerie, à Tours (Indre-et-Loire).
- BOISSART. fabrique de réservoirs et de capots, rue Riquet, Paris. Tel. /|ii-6^.
- BOISSART, DUMONT et DEVA-RENNES, tôle planée pour carrossiers, /j5, rue Riquet, Paris. Tél, f\ii-6y.
- BOISSAYE, vente d’automobiles,20, rue de Tilsitt, Paris.
- BOISSEAU. — Le boisseau est la partie conique ou cylindrique d'un robinet (creuse,percée de trous ou évidée), qui peut prendre un mouvement de rotation autour de son axe, concentriquement au logement qui le contient.
- En automobile, les boisseaux, presque toujours cylindriques,sont
- souvent employés, particulièrement dans les carburateurs, comme appareils de dosage de l’air et de l’essence. La rotation sur leur axe, produite soit volontairement par le conducteur, soit automatiquement par le moteur, bouche ou débouche des orifices par où parviennent au moleur.cn plus ou moins grande quantité, soit de l’essence vaporisée, soit de l'air chaud ou froid. Le boisseau permet ainsi d'obtenir le mélange explosif dans les meilleures proportions.
- Quelquefois le boisseau sert uniquement à régler la quantité de gaz admise au moteur. Pour cette fonction, 011 emploie le plus généralement un papillon.
- BOISSE (</. de), fabrique d'automobiles, 40, rue des Amandiers, Paris.
- BOISSEAU, garage, 8, rue Colbert, â Troycs (Aube).
- BOISSET. garage, 20, Cité Industrielle, à Montpellier (Hérault).
- BOISSETTE {EJ), fab rique de motocyclettes, 3o3, Faubourg-Saint-Antoinc, Paris.
- BOISSON {Robert), garage, vente d'automobiles, cours Dupont, aux Sables-d'Olonne (Vendée).
- BOITE. — La boite est une enveloppe hermétique et rigide, do forme appropriée aux différents objets qu’elle doit contenir. Ce mot est utilisé, en mécanique automobile, dans les cas suivants :
- La boite de changement de vitesse et la boite de différentiel, en fonte d'aluminium ou de fer, sont des protecteurs des organes qu’ils renferment, en même temps qu'ils leur servent de bâtis et de supports.
- — La boite à tiroir d’une machine à vapeur est une pièce en fonte, contiguë au cylindre dans laquelle se meut le tiroir pour la distribution.
- — Boîte à étoupe. — La boite à étoupe ou presse-étoupe (en anglais « stufling box ») est. un évidement circulaire dans lequel de l'étoupe comprimée, au moyen d’un écrou formant serrage, prévient et empêche les fuites, soit d’eau, soit de vapeur, qui pourraient se produire au passage d'un arbre ou d'une tige animée d'un mouvement soit rotatif (pompe à eau rotative), soit alternatif (tige du piston d'une machine à vapeur).
- L’étoupe, formant des joints difficiles à bien faire, sc déréglant et s’usant assez vite, est complètement abandonnée en automobile, où elle est remplacée
- •Coupe d’un kobinkt a boisseau A, entrée de l’air. — B, boisseau tournant. — E, entrée de l’essence vaporisée. — M, admission au moteur du mélange gazeux.
- Fig. 1
- Boni; a Étoupe
- AA’, Tige de piston. — E.Etoupe comprimée par l’écrou M.
- ROCH ET-SCH N El D ER3M
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- Jî 0 I — 128 — li 0 1
- par (les joints en amiante cerclés on recouverts de tôle mince de enivre. — Voir Joint.
- — Boîte à noyau. — Une boite à noyau, employée en fonderie, est un ldoc,
- généralement en bois, quelquefois en métal on en d'antres matières, plâtre, etc., qui porte (mi creux l'empreinte exacte du noyau à obtenir.Ce bloc s'ouvre en deux ou plusieurs parties, réunies entre elles par des goujons, de façon à permettre la sortie du noyau. — Voir ce mol.
- Fia.g
- — Boîte d’allumage. — La boite d'allumage, de forme et de dimension très variables, renferme et protège contre les chocs, la poussière ou l’eau, tous les organes assez délicats de Yallumeur (voir ce mot). — entièrement en ébonite, ou entièrement eu métal, auquel cas elle porte des douilles d'isolement en ébonite, la boite est fermée par un couvercle ordinairement en aluminium, maintenu en place par une ou deux vis moletées, ou « à oreilles ».
- Montée à frottement dur sur Y arbre de dédoublement, la boite d'allumage peut, au moyen d'une tringle de commande, être déplacée autour de son axe par le conducteur de la voiture; elle produit Y avance à rallumage. — Voir Allumeur, Distributeur, A vance à l'allumage.
- — Boîte d’échappement. — Expression employée quelquefois pour désigner le Silencieux. — Voir ce mot.
- — Boîte de différentiel. — Nom donné a la boîte ou carter renfermant le différentiel d'une automobile. Dans certains cas, notamment lorsque le châssis est très allongé, le différentiel forme un bloc à part, spécialement suspendu au châssis. Enfin, s'il s’agit d'une voiture à transmission par cardan longitudinal, le différentiel fait partie intégrante
- lug.
- Hon i: 1)K DU'i'KHl'.Nï ll'.I,
- de l'essieu moteur ou pont arrière (voir Essieu moteur). Notre figure représente un différentiel à pignons coniques faisant partie d’une
- boîte des vitesses pour voiture à transmission par chaîne. Les arbres indépendants 1 et 2 sont respectivement solidaires des roues motrices par l'intermédiaire des chaînes. A leur extrémité intérieure ils portent deux pignons coniques égaux, réunis par des pignons satellites G mobiles sur les bras il d’un croisillon monté fou sur l’extrémité des arbres 1 et 2, à l’intérieur des pignons coniques. Ce croisillon est entraîné par la boîte 4, servant de carier au différentiel, et sur laquelle pivotent ses bras il. La boîte 4 est solidaire de la roue 7 commandée par le pignon G. Elle se termine par deux longues douilles servant de guides aux arbres 1 et 2. Quand la voilure marche en ligue droite, les vitesses angulaires de ses roues sont égales, et il en est de meme de celles des arbres 1 et 2. 11 s’ensuit que le train épicycloïdal formé par les satellites G tourne a la mémo vitesse avec la boîte qui les porte. Les satellites ne servent que de lien rigide pour la transmission du mouvement. Si la voiture effectue un virage, la roue qui est à l'intérieur du virage tourne moins vile que la roue extérieure, et il en est de meme des arbres 1 et 2 correspondants. Il s’ensuit alors une rotation des satellites autour de leur axe, dépendant de la vitesse différentielle, ou vitesse relative, des arbres 1 et 2. Dans ces conditions la vitesse angulaire du carter 11’est, ni la vitesse d’1111 arbre ni celle de l’autre.
- Elle égale la moyenne des vitesses angulaires des arbres 1 et 2.
- — Boîte de direction. — Nom donné à l’ensemble du mécanisme de commande dit irréversible, comprenant le secteur denté,
- Fig. /,
- Boni: Di-: nmj cuoN (Mnlicel cl Blin)
- la vis et l’écrou qui l’actionnent, dans le type le plus généralement employé, représenté clairement par la ligure 4 (Direction Ma-
- fAUTO-GÉNÉRALE I SALLERQN Automobiles Brasier
- I 16, rue Duret - PARIS i",,,™,, LÉO[M BOLLÉE
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- — I29
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- licet et Blin). L’arbre I du volant de direction porte une vis 2 traversant un écrou, lequel porte une crémaillère actionnant le pignon 3 clavetc sur l’axe du levier de commande de la direction. Quand on fait tourner
- DIRECTION TYPE PaNIIAHD ET LkVASSOR.
- l’arbre 7,l'écrou monte ou descend et produit la rotation du pignon 3. Le mouvement de la vis ne saurait résulter d’un effort transmis par l’intermédiaire des roues au pignon 3 et a l’écrou, la rotation d'une vis ne pouvant cire déterminée par la translation de l’écrou que dans le cas d’un pas très allongé (inclinaison de la tangente au filet sur la génératrice du cylindre supérieure à /jo0). 11 s'ensuit que le mécanisme est irréversible, ce qui est une condition -essentielle de la sécurité lorsqu’on dépasse avec une voiture pesante la vitesse dedo km.-
- lieure. La maison Maliect et Blin construit également un dispositif tel que la direction est irréversible dans la
- Boite de direction (Denis)
- marche en ligne droite eL tend à se redresser d'elle-mème dans un virage. Les deux vues de la figure G montrent clairement ce mécanisme. Une came conique À, solidaire du volant de direction, commande les deux galets coniques conjugués B dont l’axe oscille autour de son milieu en entraînant la boîte D portant le doigt F. Une rotation du .volant dans le sens de la flèche f en liant provoque un déplacement du doigt F dans le sens de la flèche f en lias. Un ressort G maintient constamment en contact la came et les galets et supprime le jeu. Dans la position normale, c'est-à-dire pendant la marche en ligne droite, la came maintient en place les galets de telle sorte que le mécanisme est irréversible. Dans les virages, la came donne à l’axe des galets l’inclinaison convenable, mais il en résulte une tendance au redressement puisque le mécanisme est réversible pendant les virages.
- La figure 5 représente le type de direction dite irréversible, le plus communément employé, composé d'une vis sans fin A qui commande le déplacement d'un secteur B et par suite celui du levier de direction G et celui de la barre de direction qui est liée à la rotule B. — Voir Réversible (non).
- -- Boîte de résistance,— Voir iihéoslul
- — Boîte des vitesses. — Ensemble mécanique servant à modifier à volonté la vitesse d'une voiture, ou, beaucoup plus exactement, le rapport de démultiplication du moteur aux roues. La. vitesse du moteur pouvant actuellement varier dans de ttès grandes limites, on conçoit la possibilité de rouler plus vile en première qu’en quatrième vitesse. 11 suffit d’emballer le moteur dans le premier cas et de le ralentir considérablement dans le second. Geci posé, les appareils de changement de vitesse ont moins leur utilité en tant (pie « vitesse » ({uc dans la possibilité qu’ils donnent d'adopter la démultiplication optima qui permettra au moteur de monter telle ou telle cote, ou de fournir tel ou tel effort, dans les meilleures conditions possibles. Les changements de vitesse doivent être étudiés à cet unique point de vue, et l'on conçoit que le nombre des démultiplications et leurs rapports ne sont pas choses indifférentes et indépendantes de la puissance du moteur notamment. Les appareils actuellement employés ne peuvent être utilement décrits en détail dans cet ouvrage. Ils se rattachent presque tous au type dit à train baladeur, perfectionné par la prise directe, l’emprise latérale des dents (Renault), la commande par pignons d’angle spécial aux vitesses réduites en vue d'augmenter le rendement à ces vitesses (Mors) ou par l’emploi d’un double baladeur en vue de réduire le poids et l’encombrement (Bcrliet, Pilain, etc.).
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- — 13o —
- BOIVIN (G ), motocyclettes, 35, cité des Fleurs, Paris. *
- BOLAND (Henri), u4, boulevard Arag'o, Paris. — Né le a5 novembre 1854, à Vcrviers (Belgique), mais Français. — Officier de l’Instruction publique. — Publiciste et conférencier, délégué au Service des voyages du Touring-Club de France, président d'honneur de la section de la Corse du Club Alpin Français.
- BOLAND (A.) et Ci0, 5a, quai Michelet, à Levallois-Perret (Seine). Tél. 55y-5y. — Caoutchouc brut et manufacturé; fabrique de pneumatiques pour automobiles, voitures attelées et cycles, marque et L’Epatant » ; caoutchouc industriel. — Maison fondée, en iyo.3, quai Michelet, 3a, à Levallois-Perret; transformée, au i5 septembre 1906, en société en nom collectif entre MM. Boland et G. Rafla rd.
- BOLIDE (Société Anonyme des Automobiles), 87, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél. 022-92. Adr. tél. Bolide-Paris.
- BOLINDER (Société), moteurs à dteïix temps, 12, boulevard Magenta, Paris.
- BOLLEE (A médée), 99, avenue de Paris, au Mans (Sartlie). Tél. 0-G1. — Né au Mans, le 3o janvier 18G7. —-Constructeur d’automobiles. — Sous la direction d’Ainédée Bollée père, s’est occupé très jeune de la construction des voitures à vapeur, des locomotives de tramways et des voitures automobiles; a succédé à son père, dans la même usine, en
- BOLLÉE (Léon), au Mans (Sartlie). Tél. 2-0Ü. — Né au Mans, le ior avril i8yo. —
- Chevalier de la Légion d’honneur.--- A imaginé, en 189.4, la c; voiturclle Bollée », et n'a jamais cessé depuis de sc consacrer à l’automobile.
- BOLLORÉ-SOEHNÉE,
- vernis pour la carrosserie, 19, rue des Filles-du - Calvaire, Paris.Téléphone 2Ô3-~3.
- M. Léon Bollée
- BOLTON
- MOTOR C°. garage, 119, ly-George's Road, à Bollon (Angleterre).
- BOMBLED, machines-outils, 94. rue de Montreuil, Paris. Tél. 918-85.
- BOMMIER (DT), rédacteur en chef de la Quinzaine médicale, au château de Wardrec-
- ques (Pas-de-Calais); et 15, rue des Immeubles-Industriels, Paris.
- BOMPARD, garage, fabrique de moteurs, G3, rue Séguier, à Nîmes (Gard).
- BON, garage, ^o, faubourg Croncels, à Troyes (Aube).
- BONCOMPAIN. garage, 54, rue Saint-Guillaume, à Saint-Brieuc (Côtes-du-Nord).
- BONDIS (Lo uis), 46, avenue Montaigne, Paris. Tél. G^i-a3. Adr. tél. Bondiaulo Paris. — Né à Paris, le 24 décembre i8y3. — Officier d’Aeadémie. — Ancien directeur de l’-< « Agence générale des Automobiles» (F.Charron, Girardot et Voigt), ancien secrétaire du Conseil d ’ administration de la «Société Anonyme des Automobiles Charron , Girardot et Voigt », a fondé et dirige, depuis le 10 ' seplcmb r e 190G, une maison do vente d’automobiles, de châssis et d’accessoires, au capital de 25o 000 francs.
- BONEHILL, représentant de la maison Fried. Krupj), 117, boulevard Magenta, Paris. Tél. 422-99.
- BONEZZI et BONVICINI. vente d’automobiles, via Giudecca, à Crémone (Italie).
- BONHOMME. — Expi ession d’atelier qui désigne un arrêt mobile B qui lormo liaison entre un manchon M et un arbre A qu il réunit entre eux sans toutefois empêcher
- B. bonhomme système de Dion-Bouton).
- l'arbre de se déplacer longitudinalement. Le bonhomme est un ergot ou clavette mobile, qui n'engage dans la rainure R d’un arbre et
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- BON — 13i B O N
- qui peut en être dégagé momentanément, par exemple, au moyen (l’une rampe hélicoïdale montante on tournante II.
- — Bonhomme d’Ampère. — Cette exprès" sion imagée sert à désigner ell'cctivcment un bonhomme que l’on suppose couché le long d’un fil électrique, le courant lui entrant par les pieds et lui sortant par la tète. Cette image permet d’exprimer simplement et clairement les lois donnant le sens des courants, des (lux, des déviations, etc. — Voir Déviation.
- BONIN (J?.), motocyclettes et Iricars « l’Idéal », 17, av. (1e la Mottc-Piequct, Paris.
- BONJON. garage, i3, rue Louis-Millet, à Avranchcs (Manche).
- BON MARCHÉ (Le), vêtements do sports, rue de Sèvres, Paris. Tel. 701-11 et 701-12.
- BONMARTINI (De), fabrique d’antidérapants “Eurêka” et “ Humbert ”, 48, via Coronelia, à Milan (Italie).
- BONNAFOUS, garage, place de la Fraternité, à Millau (Aveyron).
- BONNAFOUS, BOZONNET et C-,
- engrenages, embrayages a friction, 5q, rue des Cloys, Paris.
- BONNARD (A.), de 1 a maison Iluguel, Minard et Ci0, 4, rue Scribe, Paris. Tel.
- I 12-4-5.
- BONNAUD- BROSSE, motocyclettes “La Française”, rue des Cordeliers, àAutun (Saônc-el-Loire).
- BONNE, garage, place Saint-Julien, à Laon (Aisne).
- BONNECHOSE (G. de), ressorts amortisseurs, 11, rue de la Baume, Paris.
- BONNEFOY (Gaston), f\, rue Jacob, Paris. — Né à Neuilly-sur-Marne, le 10 février 18—G. — Officier de l’Instruction publique, chevalier du Mérite Agricole, Officier du Nicham Iflikar. — Docteur en droit; docteur ès-seiences économiques et politiques. — Greffier en chef du Tribunal de simple police de Paris. — Collabo r a l eu r à Lois et Sports ; rédacteur à la Locomotion automobile. — Auteur de plusieurs ouvrages remarqués sur le Droit automobile.
- BONNET, carrosserie automobile, garage, à Aubenas (Ardèche).
- BONNET, hélice s réversibles, accessoire, pour canots automobiles, 4, rue de la Bastilles Paris. Tél, 283-37-
- BONNET (G.), motocyclettes et pneumatiques, 53, rue du Bois, à Levallois-Perret (Seine). Tél. 523-55.
- BONNET et ZECHT, motocyclettes, i4, rue de la Véga, Paris.
- BONNET et MOREL, motocyclettes, 74, rouLo de Chàtillon, à Malakofl’ (Seine). Tél. 721-37. Adr. Tél. Bonnet-Morel -Mala/co//'.
- BONNET, GUYONNET et CA-NONNE, motocyclettes, 58, rue Claude-Vellel'aux, Paris. Tél. 434-oG.
- BONNE TON et ARMAND, garage, commerce d’automobiles, 29, cours Morand, à Lyon (Rhône).
- BONNEVILLE (b.). 02, boulevard Carnot, à Toulouse (Haute-Garonne). Tél. 1-09. Adr. Tel. Bonneville-Toulouse. —
- Né à Villeneuve-sur-Lot, le 10 février i8G5. Ingénieur - conslruc -tour; propriétaire des garages Bonneville, à Toulouse, Biarritz, Narbonne, Villcncuve-sur-Lot. Maison fondée en 1882, à Villeneuve - sur -Lot, et à Toulouse, en i8()4- Introducteur de l’Automobile dans le Midi de la France, en 1892 (Voilure Pan-
- -M. Bonneville.
- hard-Levassor).—•
- Construction d’accessoires spéciaux pour l’automobile ; lanternes et phares « Star » ; appareils d’allumage; piles, bougies « Star »; tous accessoires et fournitures; carrosserie pour automobiles. — Créateur en 189G du premier changement de vitesse pour moto-cycles et de la première voitnrette « Le Train-Cycle ». — Constructeurs de voilureltes et voitures légères.
- BONNEVILLE (Société métallurgique de la), laitons et aciers, 8, rue Sedaine, Paris. Tél. 911-53. Ad. Tel. Cuivracier-Paris.
- BONNOTTE, garage, 5, rue de Paris, à Gray (Haute-Saône).
- BONORON, bacs en ebonite pour accumulateurs, i3q,rue du Faubourg-Saint-Denis, Paris,
- BONTEMPS, garage, vente d’automobiles, rue do la République, à Tournas (Saône-et-Loire).
- Boulevard Carnot, TOULOUSE. — Accessoires, j Electricité, Lanternes et Phares, Equipement. BONNEVILLE-TOU LOU SE — Téléphone : joej
- )
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- B 0 S
- BONVILLAIN (Ph.) et RONCERAY
- (H.), machines-outils et tours, n, rue des' Enviergcs, Paris. Tel. ydy-(ji.
- BONZI et Ciu, vente de pneumatiques “ Polack ”, y, via Cappellari, à Milan (Italie).
- BOQUARD Aîné, carrosserie automobile, iay, avenue de Yilliers, Paris.
- BORAIN, garage, vente d'automobiles, rouie de (iournav, à Forges-les-Eaux (Seine-In IV' ri cure).
- BORAMÉ et JULIEN, ingénieurs-conseil:;, obtention des brevets d'invention, 8, boni. Saint-Martin, Paris. Tel. 420-87. Ad. tel. Borjul-Paris.
- BORATE (de soude). — Voir Borax.
- BORAX ou Borate de soude. — Composé chimique résultant, de la combinaison de l'acide borique et du sodium. D'un usage indispensable pour la pratique du brasage et. de la soudure, ainsi que dans une foule d'opérations métallurgiques. Est extrait des minéraux boriqués (voir Acide borique), existe naturellement tout formé en dissolution dans les eaux de certains lacs de l'Asie, d'où on l'extravait autrefois sous le nom de Tinkall.
- BORCHERS, roue élastique pour automobiles, 43, Waldstrasse, à Herbu ,\. YY. (Allemagne).
- BORD et Fils, g; mage, 4 1, rue Charles-Marionneau, à Bordeaux (Gironde). Tel. 11S0.
- BORDE (Edmond), 77. rue de Pronv. Paris. Tel. 009.-20. —Né à l’aris, le 12 avril 1881. — Administrateur de la Société Anonyme d’Automobiles « Ariès ».
- BORDE. — Ensemble des pièces constituant la partie externe de la coque d'un canot automobile.
- BORDÉ, lunettes de route du l)r Détourbe, ay, boulevard llausmanu, Paris.
- BORDEAUX, administrateur de la Société des Automobiles Unie. 108, rue Saint-Maur, Paris.
- BORDEREL (.7.4. garage et réparation d'automobiles, 4(>, rue Saint-Ferdinand, Paris.
- BORDEREL, construction d'usines, 135, rue Clignaucourt, Paris. Té 1. 408-01.
- BOREL et C"\ fabrique de câbles électriques, 11, chemin de Pré-lîaudry, à Lyon (Phone); et. a(>, rue (lodot-de-Mauroi, Paris. Tél, 287-Û8.
- BORG, garage, boulevard de l'Ouest, à Coustauline (Algérie).
- BORGHI (/{.), accessoires, pièces détachées, îy. via Pastrengo, à Turin (Italie).
- BORICHANSKY, tour et fraisage à laçon, a(i, rue Garnier, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- BORLOZ, garage,place de I’I lôlel-de-Yille,
- « Vichy (Allier).
- BORNE. — Une borne est une pièce métallique dans laquelle s’engage, et, est fixé par une vis ou un écrou, un iil métallique qui forme la liaison entre la pile, l'accumulateur, la magnéto, etc., et la pièce quelconque, bougie, dynamo, etc., à laquelle ce fil porte le courant électrique.
- Dans une pile ou borne « positive » roufje ou marquée
- liOHNE DK PILE < charbon de cornue K, écrou de serrage.
- [ans un accumulateur, la est toujours peinte en du signe -]- ; la borne
- B C
- Boum: ni: iioriai:
- B, porcelaine. — Ë, écrou.
- « négative » est. noire ou porte le signe —. A la borne positive d'un accumulateur ou d'une pile, on attache le lil rouge du voltmètre ou de l'ampèremètre; à la borne négative, on réunit le lil vert.
- Les bornes auxquelles sont reliés les fils où circule un « courant, primaire » doivent cire toujours nettoyées au papier émeri lin et, tenues parfaitement propres, exemptes de graisse ou d’oxyde qui formeraient obstacle souvent invincible à ce courant, de lailde tension.
- BORNE SÉRISOL. — Voir Laconie
- et
- BORRELLY et SEBILLE, canots automobiles, Chantiers du l’haro, à Marseille ( Houcbcs-du-Hbùne), Tél. 33—yy ; et i~>, me de Cléry, Paris. Tél. yyo-8y.
- BOSCH (Habert), à Stuttgart. lloppen-taustrasse. 11 (Al' •magnet. Tel. 7Y2 cl (i-S.>n. — Né le. «3 septembre i8(ii. • ....-------- :
- Inventeur et cous
- truc,leur des magnétos Bosch, propriétaire des usines de Slullg Administrateur de la Compagnie des magnétos Simms-Hoscb, à Paris.
- — Créa la spécialité de l'allumage par magnéto ; a fait adopter son système (l'alluma ge dans l'Europe entière partons les constructeurs do moteurs lixes et de voitures automobil
- M. Bosch
- 's. — A la fin de juin iyo(i,
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- il avait élc construit, d'après ses brevets, plus de ioo ooo magnétos. — Ayant débuté très modestement, a vu scs affaires augmenter constamment; emploie actuellement plus de 5oo personnes.
- BOSCH et LEMERLE , tourneurs sur métaux, 5<j, rue de la Hoquette, Paris. Tél. fj°/|-oy.
- BOSIO et Ci0, appareils de mise en marche automatique, i, via Giovanni Prati, à Milan (Italie).
- BOSQUET, fonderie de cylindres de moteurs, i5.1, rue Michel-Bizot, Paris.
- Dans les voitures automobiles, les roues arrière ont souvent sur leurs rais des renflements, des bossages B qui sont destinés à porter, au moyen de boulons les traversant, les tambours de frein et les roues de chaîne 1\.
- — Bosses. — En fonderie, les bosses sont des parties saillantes qui se trouvent sur la fonte, au démoulage; elles sont produites par le sable de moulage qui n’a pas été suffisamment tassé et qui a formé des petites poches (pii se sont remplies de métal en fusion.
- BOSSIN, tubes sans soudure, 22, boulevard Richard-Lenoir, Paris. Tel. 908-9/1.
- BOSSAGE. — Un bossage ou une bosse est, dans une pièce métallique, une partie saillante, un renflement soit c*. rapporté » et tenu
- 8-
- •f 1.
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- l>. bossage dans 1111 carter IV, bossage de ivni\>rt.
- en position exacte par une vis ou une soudure, soit (( pris dans la masse » meme d'une pièce métallique.
- Le bossage est aussi le nom du renflement B « venu de fonte » avec le carter ou tout autre organe, dans lequel est placée une bague de frottement, qui forme palier. La
- Ijossaüks srn
- hais i>k norics
- partie d'un levier qui doit être percée d'un trou est généralement renforcée dans son épaisseur : ce renfort s'appelle aussi bossage.
- Les cames sont très employées dans les moteurs à explosions, où leurs bosses produisent les mouvements d'ouverture et de fermeture des soupapes, la commande de l'allumeur, des rupteurs, etc.
- Les bosses sont quelquefois appelées ma-melons.
- BOSTON, j antes, !\o, rue de l'Echiquier, Paiis.
- BOSTON AUTOMOBILE EXCHANGE, vente d'automobiles Uvawfont, 178, Berkeley Street, à Boston (Etats-Unis).
- BOSTON MOTOR C°, vente d'automo-biles AcniCy 44, Columbus avenue, à Boston (Etats-Unis).
- BOTIAUX ( Théodore), _ a5, ’ rue Gref-fulhe, à Levallois-Perret (Seine). — Né le 1.4 juillet 18G9. — Ancien élève de l'Ecole dos Mines. — Président de la Société Anonyme Th. Botiaux ; directeur de la Société de la marque « Rhéda » ; administrateur de la Société du moyeu Rivierre.
- &
- BOTIAUX (Ca rrosserie automobile de grand luxe Th.), 28-80, me Grelfulhe, à Lo-vallois-Perret (Seine). Tél. 535-48. Adr. loi. Botiaux-Levaîlois. — Ancienne Socié/é Botiaux et Cio, transformée en Société Anonyme Th. Botiaux, le 2 janvier 190G, au capital de 1 3oo 000 francs. Président: M. Th. Botiaux ; vice-président : M. le comte de Noue. — Médaille d'or à l’Exposition universelle de Saint-Louis 1904.
- BOUCAUD (lien r/), Garage du Centre, commerce d'automobiles, g5, rue Michelet, à 'fours ^Indre-et-Loire).
- BOUCHACOURT et C% fabrique do. boulons, vis, pièces de forge, à Fourcham-bault (Nièvre); et 4, rue du Grand-Prieuré, Paris.
- BOUCHAREL , aciers au nickel, aciers au tungstène, i36, rue Vercingétorix, Paris. Tél. 720-26.
- BOUCHER, garage, rue M onlmailler, à Limoges (Haute-Vienne).
- BOUCHET (/l.), constructeur-mécanicien, à Saint-Chéron (Seine-et-Oise).
- BOUCHOIR, garage, vente d'automobiles, 1, avenue de Saint-Cloud, à Versailles (Seine-et-Oise).
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- S“ A™ Th. BOTIAUX
- MEDAILLE D’OR
- CARROSSERIES AUTOMOBILES
- de grand flux©
- Exposition Universelle de Saint-Louis, U. S. A. — ^ iævai.i.ois iSoîne]
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- BOUCHON. — D ans les voitures automobiles, on utilise les bouchons métalliques sous
- toutes leurs formes et toutes leurs dimensions. Citons : les bouclions vissés, portant soit un cordon moleté pour les serrer à la main, soit un carré ou un hexagone en creux ou en saillie ,y pour être actionné par
- une clé ; les bouchons à baïonnette ; les bouchons m et n tenus en place, isolément ou deux par doux, par des brides 11 ; les plaques de recouvrement ou de visite, qui ferment les carters de certains moteurs et qui sont de véritables bouchons, etc.
- Ne pas oublier que les bouclions fermant les réservoirs d'essence sont souvent (à moins que, comme dans les (( Mercédès », le réservoir soit sous pression artificielle) percés d'un trou T indispensable pour permettre à la pression atmosphérique d'exercer son action sur sa surface, en laissant pénétrer de l’air qui vient occuper le volume primitivement occupé par ressence consommée par le moteur. Ce trou d'air bouché volontairement ou incidemment est un cas de « panne » qui a désolé quelques débutants.
- BOUCLE A LEVIER. — Nouvelle boucle pour la fermeture des « malles automobiles », inventée par Louis Vuitton
- oll ipOO.
- Ce système permet d'obtenir un serrage parfait de la fermeture dans les malles automobiles, et par conséquent une garantie absolue contre la poussière.
- — Vuitton (Georges), i, rue Scribe, Paris.
- BOUDIN. — Dans une roue pour voie ferrée, on nomme boudin le bourrelet placé en dedans de la voie qui frotte latéralement et empêche les roues de sortir des rails.
- — Ressort à boudin, ou mieux en boudin, ressort de fil métallique tourné en spirales, qui a une forme allongée et cylindrique.
- — En matière de pneumatique, on appelle boudin le boyau d'air comprimé. Cette appellation s’emploie surtout dans l'expression « grosseur de boudin ». Les boudins des pneumatiques sont de sections diHercnt.es, selon le poids qu’ils ont à supporter et la fatigue du véhicule auxquels ils sont destinés. Les grosseurs de boudins les plus généralement employées sont celles de : 65, 76, 85 millimètres pour la voiturette; 90 millimètres pour la voiture légère; io5, 120, 135 et i5o millimètres pour les voitures ourdes.
- BOUDREAUX (Louis), 8, rue Haute-feuille, Paris. Tél. 816-71. Néà Paris, le 26 septembre 18/19. —A fait de nombreuses i n v e n-tions en mécanique ( m o te u r s Boudreaux-Ver-det, etc.). Médaille d'or, à l'Exposition universelle 1900 ; diplôme d’honneur à Liège. Adminis-Irateur de la Caisse (l'Epargne de Paris. Président, du Syndicat de Stéréotypcurs e t Gai v a 11 o -plastcs.
- BOUDREAUX (LJ, Moteurs Bou-drcaux-Vcrdet et accessoires, 8, rue Haute-feuille, Paris. Tel. 816-71. Adr. tél. Lybou-dreaux-Paris. — Société d’études du moteur simplifié B. V. — Voir Moteurs.
- BOUDRET. vente d'automobiles, 3i . avenue de La Motte-Piquet, Paris.
- BOUE. — La boue est une terrible ennemie que rencontre sur la route le conducteur d'automobile. Comme la poussière, elle s’introduit partout, à moins que le constructeur n'ait enfermé dans des carters hermétiques toutes les pièces en mouvement : moteur, changements de vitesse, cardans, etc., et chaînes, si possible.
- Lorsqu'une voiture est couverte de bouc, on 11e doit pas attendre pour la nettoyer que la boue ait séché : aussitôt rentrée dans la remise, la voiture doit cire largement arrosée, puis essuyée.
- Rappelons qu’un moteur peut diminuer de puissance dans une grande proportion par suite de bouc qui se serait accumulée sur le silencieux et qui en boucherait plus ou moins les trous d’échappement.
- Rappelons également que la boue, n’étant que de la poussière mouillée, renferme, comme elle, tous les bacilles les plus malfaisants, y compris le plus terrible de tous, celui du « tétanos ». C'est assez dire que toute blessure, ou même simple écorchure, doit être lavée avec le plus grand soin, antiseptisée et protégée efficacement contre la bouc et ce qui la compose. — Voir Les Recettes du Chauffeur.
- /
- BOUFFIÈRE Fils, mécanicien, garage, 8, rue de Beaune, à Cbagny (Saône-et-Loire).
- BOUGIE D’ALLUMAGE. — Appareil destiné *à produire des étincelles, àl'instant de l'allumage, au sein du mélange tonnant des moteurs à explosions. 11 se compose en principe de deux électrodes, dont l’une est en
- M. Houdhkaux
- Les Malles Auto de LOUIS VUITTON
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- contact avec la masse métallique du moteur et l'autre en est soigneusement isolée. Les extrémités do l’enroulement secondaire de la bobine, ou de la magnéto (voir ces termes), étant mises en contact avec la masse d’une part et avec le fil isolé de l’autre, l’étin-
- Coui’E de i.a Bourm:
- .A, douille. — B, presse-étoupe. — C, porcelaine. — D, tige d’acier. — E, douille en acier-nickel rivée sur D. — c, rondelle d’une seule pièce avec E.
- — f, rondelle élastique et joints. —
- /", f", joints.
- •celle jaillira chaque fois que le dit enroulement deviendra le siège d’un courant de tension suffisamment élevée. Le nombre de bougies actuellement en usagé est très grand et leur description détaillée entraînerait trop loin. Dans toutes, on s’attache à obtenir le maximum de solidité et une grande sécurité de fonctionnement. L’isolant employé est toujours de la porcelaine ou de la stéatite, et de plus en plus du mica. Les bougies de mica sont d’un prix plus élevé, mais elles semblent nettement supérieures, quant à la durée, aux bougies de porcelaine. La figure ci-dessus représente un type classique de bougie, celui •du Nilmelior.
- — Bougies diverses, à 1’Auto-Palace, bis,
- avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Bougie « Star », Bonneville, fia, boulevard Carnot, à Toulouse (Ilaute-Garonne).
- — Bougies diverses, C. Comiot, 87, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris.
- •— Bougie de Dion-Bouton et C’", 3f>, quai National, à Puteaux (Seine).
- — Bougies Gianoli, aC, boulevard Magenta, Paris.
- — Bougies (Mica), Hennegrave et Agnus, 3o, rue Perrier, Levallois-Perret (Seine).
- — Bougies diverses, Et. Hirsch, aG, rue de Crussol, Paris.
- — Bougies diverses, Hussenot et Raynaud, 3g, rue La Boétie, Paris.
- — Bougies diverses, Mesthe et Blatgé, 5, rue Brunei, Paris.
- — Bougies Nilmeliou, !\y, rue Lacordairc, Paris.
- — Bougies Renault, i3g, rue du Point-du-Jour, à Billancourt (Seine).
- — Bougies spéciales Simms-Boscii, aa, rue Violet, Paris.
- — Bougies diverses, Société La Française, 11, rue Brunei, Paris.
- — Bougie décimale. — La bougie décimale est l’unité pratique d’« intensité lumineuse » (admise en 1889 par le Congrès des Electriciens). Elle vaut i/io,no de carcel environ et exactement i/aomcde « l’étalon Violle ».
- — Voir Carcel et Etalon Violle.
- — Bougie. — La bougie (de stéarine) est quelquefois employée pour remplacer, dans une soudure, le chlorure de zinc ou la résine.
- — Voir Soudure.
- — Bougie à hélice. —• Voir Assi, Paris.
- Bougie à purgeur et à grille. —Voir Mucquaire, Paris.
- Bougie électrocoïdale. — Voir Boiron, Paris.
- BOUGLET, gara ge, place de la Gare, à Poissy (Scine-et-Oise).
- BOUHEY (Usines), engrenages taillés, 43, avenue Daumcsnil, Paris. Tél. go8-Go. Adr. tél. Epibouhey-Paris. — Fonderie à Montze-ron (Côte-d’Or).
- BOUILLARD, pièces tournées en fibre et en ébonitc, (17, rue du Chemin-Vert, Paris. Tél. 916-61.
- BOUILLEAU, lunetterie automobile, 10, rue Morand, Paris.
- BOULAND, produits à polir et à nettoyer. 3o, rue Bergère, Paris.
- BOULANGER (J.), roues extensibles et démontables, à Revigny (Meuse). Ad. tél. B 0 ulangcr-Rcvigny-Meusc.
- BOULES DE RÉGULATEUR. —
- Voir Régulateur.
- BOULET et GUILLEMOT, commerce d'automobiles,- l\7, rue de Saintonge, Paris. Tél. 107-15.
- BOULEZ, ateliers de constructions mécaniques, 13, boulevard de Belleville. Paris.
- BOULLAND, fabrique de limes, 3/), rue du Ruisseau, Paris. Tél. 5o2-3o.
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- BOULOGNE (Arthur), 87 bis, avenue Wagram, Paris. Tel. 5(12-67. — Associé de la maison Vinet et Boulogne. — Ancien notaire.
- BOULOGNE (Eugène) et Fils, carrosserie automobile, i/|8, rue de Courcelles, Paris. Tel. 520-48. Magasins : i44, boulevard Ilauss-mann, Paris. Tel. 525-fio.
- BOULON. — Un boulon est une tige métallique, ordinairement de 1er ou d’acier, dont l’une des extrémités porte une tète T (lig. 1) et l'autre un filetage F sur lequel peut se fixer un écrou E. Le boulon est une vis, avec cette différence que la tète en est lise, tandis qu'elle est mobile dans la vis où elle entraîne le corps dans son mouvement de rotation. Généralement le corps G du boulon n’est que partiellement lileté.
- Les boulons présentent une énorme variété de grosseur, de longueur, de filetage. Chaque dimension de boulon nécessite donc un écrou spécial lileté au même pas.
- On se sert de deux sortes de boulons :
- i° Le boulon libre (qui est le plus com-mun), c’est-à-dire qu’on peut détacher des pièces qu'il unit et replacer facilement. Parfois
- H O U L O N S
- on le munit d’un ergot ou d’une éclisse G, petite saillie métallique qui entre dans un logement ménagé dans la pièce. Ce dispositif
- est employé lorsque la tète du boulon est difficile à atteindre et à maintenir dans une clé et que les efforts qu'on ferait pour serrer sur lui l'écrou n’auraient ainsi pour résultat que de faire tourner le boulon sur lui-même. 20 Le boulon (Vilprisonnier(l\g.9.) lorsqu’une partie de son corps est vissée à demeure dans une pièce et lui est en quelque sorte assimilée à elle par une soudure, une brasure ou simplement un vissage éner-
- gique qui l'y a grippée. La tête du boulon est en ce cas remplacée par la pièce ello-mème.
- Les boulons ont des têtes très différentes de forme suivant l’usage auquel on les destine.
- Viç. 3
- Moulons de carrosserie-:
- Les boulons employés en carrosserie (fig. 3) ont encore actuellement presque toujours la tète carrée, ou plutôt « à peu près » carrée, ce qui rend leur démontage assez difficile.
- Les boulons véritablement (( mécanique » ont toujours la tête hexagonale.
- Les trous dans lesquels sont placés les boulons doivent être d'un diamètre aussi rapproché que possible du diamètre même des boulons; sans cela, les boulons prennent un jeu pernicieux qui a vile fait de les cisailler et de les faire casser. — Voir Ecrou.
- —- Les boulons en fer, fabriqués à l’étranger, subissent, à leur entrée en France, un droit de douane de : i4 francs (tarif minimum) ou do 20 francs (tarif maximum), par 100 kilogrammes.
- — Pinet (A.) et G1", G, rue de Jarcntc, Paris.
- — Ilinscn (E.), 26, rue de Crussol, Paris.
- — Boulons de sécurité. — Les boulons de sécurité, appelés quelquefois papillons a cause de la forme de leur tète, sont employés dans les pneumatiques pour fixer intérieurement et d’une façon très solide l’enveloppe à la jante métallique et empêcher les bourrelets de sortir do leur accrochage.
- L’angle formé par la tète en V de ce boulon a une très grande importance, car il faut que cette tête so moule exactement dans la forme intérieure des bourrelets pour empêcher le pincement et le cisaillement de la chambre à air.
- Les tètes métalliques de ces boulons doivent être garnies de cuir ou de toile qui les empêchent d'être coupants et aussi de rouiller la chambre à air ou les talons d’accrochage.
- Fig. 2
- Boulon imu.sonnikk
- Fig. 4
- MûULON a ECROU A OllEILLES
- BOUGIE
- MICA G
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- — Chevalier de la Légion d’iion-neur , décoré de la Médaille militaire. —
- Directeur des E lablissements Ilu tchin s on (usines de Lan-glée, près M011-largis (Loiret). — Ancien directeur de l'usine de Bezons, à la Société des Téléphones. — Ancien directeur intéressé des Etablissements Edeline et des pneumatiques Câlins. — Membre de la Chambre syndicale du caoutchouc et Membre fondateur de l'A. C. E.
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- (Geo)'f/es), 29, avenue llenri-Martin, Paris. Tél. G9/1-0G. — Né à Calépa (île de Crète), au consulat de France. — Secrétaire de la Commission extraparlementaire des automobiles, ingénieur-conseil, expert près les tribunaux et conseils de préfecture, membre de la Commission des concours do l'A. C. F., membre du Comité de la Ligue des Chauffeurs.
- BOURDEAUX, fabrique d'automobiles (< La Tourangelle », 16, rue de Grammont, à Tours (Indre-et-Loire). Tél. 3-38.
- BOURDIER-VILLEVÉ, garage, 102, rue Bannier, à Orléans (Loiret).
- BOURDIL {François-Fernand), 5G, avenue d'Iéna, Paris. Tél. 52i-i4, — Né à Bordeaux, le 12 juin i854. — Médaille de sauvetage, officier d’instruction publique. — Ingénieur des Arts et Manufactures ; secrétaire de la Commission Technique de FA. C. F. — Secrétaire du Conseil (l'Adminis-
- tration de la Société de Construction d'Auto-mobiles « Le Trèfle à quatre feuilles ». — Examinateur (l'Economie politique à l'Ecole des Hautes Etudes commerciales.
- BOURDIL, garage, 16, Grande-Rue, à Flsle-Adam (Seine-ct-Oise).
- BOURDONCLE et LEYMARIE,
- canots automobiles. 87, boulevard Maleshcrbes, Paris.
- BOUREAU (René-Gabriel), 53 ter, quai des Grands-Augustins, Paris. — No à Paris, le 3o juin 18G8. — Officier d’Académic. — Licencié en droit, rédacteur au Journal des Débats.
- BOURGEOIS, carrosserie automobile, 1G2, avenue Malakoff, Paris. Tél. 5/jy-58.
- BOURGEOIS. fournitures pour carrosserie automobile, boulevard de la Bastille, Paris.
- BOURGEOIS Ainé, vernis pour carrosserie, 18. rue Croix-des-Petits-Champs, Paris. Tel. i2()-85.
- BOURGINE et LEBON, roue élastique, à Parthenay (Deux-Sèvres).
- BOURLET (Carlo), 22, avenue de l'Observatoire, Paris. — Né à Strasbourg (Alsace), le 25 avril 18GG. — Officier de l'Instruction publique. — Docteur ès sciences mathématiques, lauréat de l'Institut, professeur de mécanique et, de mathématiques à l'Ecole des Beaux-Arts et au Lycée Saint-Louis. — Membre du Comité technique du Touring-Club de France.
- BOURRAS (P,), garage, commerce d'automobiles, 8, rue des Acacias, Paris. — Succursale : 1, rue des Acacias.
- BOURRAT, b ois et panneaux pour carrosserie, 220, rue du Faubourg-Saint-Antoinc, Paris. Tél. 917-/12.
- BOURRELETS de pneumatique. — Voir Talons et Garniture.
- BOURRER— Bourrer un tube, c'est le remplir de résine fondue, ou de « goudron » a cacheter les bouteilles, ou de plomb fondu, ou de sable bien sec, pour que, après refroidissement, il forme une sorte de barre de métal pleine qu'on puisse cintrer et couder à froid en évitant les plissements, qui seraient inévitables dans un tube vide d'un assez fort diamètre. — Voir Cintrer, Couder.
- BOURRIENNE, fabrique de carburateurs, 18, impasse Amelot, Paris.
- BOURSE (Garage de la), 7, rue Feydeau, Paris.
- BOURSE DU CYCLE ET DE L’AUTOMOBILE, vente d’automobiles d’occa-
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- BOUSQUET (L.) et Ci0, vente d’automobiles Blanchi et Ci0, i)5, avenue des Champs-Elysées, Paris. Tel. ô^S-Ôq. Àdr. tel. Bous-(juanto-Paris. — Succursale : American Garage, 54, avenue Montaigne, Paris.
- BOUSQUET. vente d'aulomobiles, place de l'Eglise, à Limogne (Lot).
- BOUSQUET, commerce d'automobiles, 53, Kageneckstrassc, à Strasbourg (Alsace-Lorraine).
- BOUSSAC, FONTAN, DE SAM-BUCY, commerce d'automobiles, 3a, rue de la Dalbade, à Toulouse (Iïaute-(iaronnc).
- BOUSSAINGAULT, directeur de 1V1-gence générale de l’Industrie Automobile, 4, avenue Mac-Mahon, Paris.
- BOUTEILLE. — La bouteille était un cylindre P, portant une cloison intérieure, qui autrefois servait de condenseur, dans les
- Boumi.Li: Bknz
- B, bouteille. — C, chambre d'eau. — P. piston. — V, vapeur condensée.
- automobiles Benz, à la vapeur V qui s’était formée dans la chemise d'eau C entourant le cylindre du moteur et destinée à le refroidir.
- BOUTILLIER, tube s en étain pour dissolution de caout-chouc, 7, rue Barbés, à Montrouge (Seine). Tel. 71/1-9G.
- BOUTIN (Jules) y représentant de la maison Dcurer et Kaufmann (canots automobiles), à Dinard (Ille-et-Vilaine).
- BOUTON. — Dans quelques moteurs à explosions (monocylindriques), les constructeurs ont disposé, au-dessus de la soupape
- 8
- B, bouton ouvrant la soupape d’admission S.
- d’admission, un bouton B sur lequel on peut appuyer de la main gauche, tandis que, de la main droite, on tourne la manivelle de mise en marche (chez de Dion notamment). O11 force ainsi la soupape d’admission S à demeurer momentanément ouverte, et on supprime par ce fait la compression qui rendrait la mise en route pénible dans les petits moteurs et presque impossible dans les grands.
- Le bouton est aussi la partie cylindrique B qui est articulée à la bielle de la manivelle dans
- BOUTEROLLE. — Une bouterolle est un outil d'acier fondu, «à l'extrémité duquel a été ménagé un creux affectant la forme d'une tète de rivet.
- La bouterolle est tenue à la main ou avec des pinces et frappée par un lourd marteau ; elle façonne la tète du rivet placé dans son trou. Celle opération est laite à chaud ou à froid suivant la nature du métal (’i, le diamètre du rivet. —
- Voir River.
- BOUTHÉON et DU-BREUIL, pièces forgées, vilebrequins, essieux, engrenages, Forges de la Maladière, à LTIormc (Loire). Adr. tél. Forges-Maladière-U lionne.
- B, bouton de manivelle. B, Bouton de vilebrequin.
- certains moteurs fixes et d'allures lentes. On l'appelle maneton, lorsqu'il est réuni par les deux côtés parallèles du vilebrequin.
- — Bouton électrique. — On nomme boulon électrique un bouton d'inlerrup-leur, soit en métal, soit en matière isolante (porcelaine, os, ébonite...) que l'on pousse latéralement, ou sur lequel on appuie, et qui a pour objet de « fermer » ou d’ (( ouvrir » un circuit électrique.
- Les boutons sont particulièrement employés en automobile pour établir ou couper le courant électrique qui produit Y allumage du moteur à explosions, et permettre par suite l’arrêt ou la marche de la voiture.
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- B R A
- BOUTON {Gcorges-Thadée), 36, quai
- National, à Puteaux (Seine).Tel. .619-92 et 5^i-51. — Né à Paris, en 1 S/| 7.— Chevalier de la Légion d'honneur. — Coassocié dans la maison de Dion, Poutou et. Cic. — Ouvrier de i865 à 1880 ; puis monte un petit atelier où il entreprend des travaux de mécanique de précision, notamment des appareils pour les sciences pour MM. Ducrctel, Bourbouze, etc. E11 1882, entre en relations avec le comte de Dion pour construire un tricycle à vapeur. Associé avec lui depuis i883, a crée avec lui les premiers tricycles à pétrole qui ont inauguré le succès considérable de la maison de Dion-Bouton.
- — De Dion-Bouton et Cl0, 36, quai National, Puteaux (Seine).
- BOUTON RÉPARATEUR pour les pneumatiques. — Voir Fleming et Cle, Paris.
- BOUTONNIÈRE. — Une boutonnière •est une petite l'ente allongée pratiquée dans une courrroie pour y faire passer le lien de cuir, les rivets, ou agrafes, qui réunissent les deux extrémités de la courroie.
- — Une boutonnière désigne aussi parfois une pièce métallique évidée M, ie long de laquelle peut être déplacée une pièce de serrage telle qu’un boulon B.
- BOUTRON (E.), fabrique de phares et de lanternes, /|8, avenue Parmentier, Paris.
- BOUVERET Fils,
- carrosserie industrielle, à Tournus (Saône-et-Loire).
- BOUVIER Frères , carrosserie automobile et fabrique du protecteur antidérapant Bouvier, 5i, rue du Tunnel, à Valence (Drôme). Tel. 110. Ad. tel. Bouvier-Aulomobiles-Valcnce.
- BOUYER, garage, vente d’automobiles, avenue Carnot, à Draguignan (Var).
- BOVET (Philippe),à Valentigney (Doubs). — Né à Valentigney, en 186- ; décédé, le 5
- octobre 1906. M. Bovet était chevalier de la Légion d'honneur, administrateur-délégué de la Société « Les Fils de Peugeot frères», vice-président de la Chambre syndicale du Cycle et de l’Automobile, membre du Jury de l’Exposition de 1900.
- BOWDEN,
- Ltd, (Syndicat Français des Brevets E. MA,
- 1 ran «mission pour toutes commandes souples,
- 12, avenue lie la Crande- Armée,
- Paris. Tel. 5o8-56. Adr. tel. Freinbmed-Paris.— Succursales à Francfort-sur-le-Mcin, Londres et Milan.
- BOYAUT et Fils, manufacture do limes et de râpes, 27, rue Julien-Lacroix, Paris.
- BOYER, garage, boulevard 8aint-Roeh, à Avignon (Vaucluse).
- BOYER (Noé), fabrique d’automobiles, /(, rue de Paris, à Puteaux (Seine). Tel. 20. Adr. tel. Noboyer-Puteaux.
- BOYRIVEN Fils et CRET, draps et fournitures pour carrosserie automobile, 116, rue Lafayettc, Paris. Tél. !\34-o3.
- BOZIER (G.), fabrique d’automobiles et motocyclettes, 5 et y, rue Deqis-Papin, à Puteaux (Seine). Adr. tél. Bozier-Puteaux.— Maison fondée en 1898, 12, a'venue de Madrid, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- BOZZI, DURANDO et Ci0, pneumatiques, fabrique de caoutchouc, 5, via Unione, à Milan (Italie).
- B. P., amortisseurs pneumatiques B. P. — Voir Bernard et Patoureau, Paris.
- B. R., auto-déjnarreur. — Voir d'Yochet.
- BRACHTEN et GALLAY, fabrique de phares, à Genève (Suisse).
- BRADFORD, MOTOR CAR C°, vente d'automobiles, à Bradlord (Angleterre).
- BRADLEY (IV. F.), correspondant de The Motor (de Londres) et de The Automobile (de New-York), 38, avenue de Sufi'rcn, Paris.
- BRAMPTON BROTHERS, Ltd,
- chaînes et accessoires pour automobiles, à Birmingham (Angleterre). Nombreuses succursales à l’étranger.—Voir Schildge, Paris.
- M. Bouton
- Boutonnière
- V
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-
-
- B B A
- B K A
- — 14 o —
- BRAMTOT Frères, garage, vente «'automobiles, i(>5, Grande-Rue, et 2, rue Pierre-' Colombe, à Lisieux (Calvados).
- BRANCARDS. — Dans une voiture, les brancards sont les petites poutres en bois (en Irène, le plus souvent,) qui s’appuient sur les côtés latéraux du châssis. — Les brancards de caisse sont les pièces de bois qui forment l'ossature du dessous de la caisse.
- BRANGER (Maurice-Louis), 5, rue
- Cambon, Paris.
- Tel. —
- Né à Fontainebleau, le 20 août 18^4. — Directeur de l’Agence de reportage pho-t o g r a p li i <[ u e « Photo-Presse ».
- BRANSOM.
- garde-chaînes. Voir Rousselet, Paris.
- BRAQUAGE (Angle de). — Lorsque les roues d'avant d'un véhicule automobile changent de direction, en se déplaçant à peu près parallèlement rime à l’autre, elles sont dites braquées. L’angle de braquagetesl l'angle formé par la direction primitive et la nouvelle direction donnée au véhicule.
- Les châssis modernes sont toujours rétrécis à l'avant pour permet Ire de braquer les roues sous un plus grand angle sans arriver à loucher le châssis et pour obtenir ainsi des virages plus aisés. Certaines voitures (Ariès, Hochet-Schneider, etc.) sont remarquables par la façon dont elles braquent.
- — Aunes (Automobiles). 89,quai d'Argen-teuil, à Villeneuvc-la-Garenne (Seine).
- BRARD, paniers et trousses pour automobiles, 18, rue des Ouatre-Fils, Paris.
- BRAS. - On donne ce nom à plusieurs pièces mécaniques qui ont avec le bras de l'homme un certain rapport de forme et de destination.
- Les bras d'un levier sont : i° la portion comprise entre le point d'appui et le point de résistance; 2° la portion comprise entre le point d'appui et le point d'application de la force.
- Les bras d'une scie sont les pièces de bois parallèles «gui maintiennent la lame.
- O11 nomme bras d'un aviron la partie qui est en dedans de l'embarcation pendant qu'il est en action.
- On dit également le bras d une poulie, d une roue d'engrenage, pour désigner ses rayons.
- BRASAGE )Syn. : Brasement t1. — Operation consistant à réunir deux surfaces d’un meme métal ou de deux métaux dillérenls, par interposition, au moyen de la fusion à liante température, d’un alliage cuivre-zinc dit brasure. Pour réaliser le brasage de deux pièces métalliques entre elles, 011 commence par décaper et aviver, au moyen de la lime, de papier-émeri, etc., les deux surfaces à brascr. O11 les assemble et on les recouvre d'une pâte formée d’un fondant, ordinairement de borax pulvérisé (voyez ce mot) et humidifié, et de morceaux de brasure ; on chauil'e le tout sur un l’eu vif (feu de forge, dard de chalumeau ou de lampe â souder); vers (800 degrés la brasure fond, la pièce est brasée. On plonge dans l’eau froide et ou termine en dressant et polissant s'il y a lieu. F11 place de borax on peut se servir d’autres fondants (voir ce mot). O11 confond souvent dans les ateliers le ternie de brasage et de soudure : la soudure est, en définitive, la même opération, mais ell'ectuée à plus basse température et avec des alliages plus fusibles. — Voir Soudure.
- BRASIER (Henri-Charles), 36, rue Molilor, Paris. Tel. 8o5-55. — Né à lvry-la-Bataille (Dure), le 9 mars i86/|. — Chevalier de la Légion d’honneur. — Administrateur délégué â bipartie industrielle du Trèfle à Qu aire Feuilles. Entré, en 1880, à l’Ecole de Chàlons. avec le il0 2. — Dessinateur à la Cic (l’Orléans, en 1 88.4, au Service.
- Matériel et Traction. — Fait partie de la maison Mors, de 1886 à 1901, où il s’occupe de la construction de la première voilure â vapeur chauffée au pétrole et de bat eaux à vapeur.
- Eu 1896, construit des voilures à pétrole (premier moteur à 4 cylindres en V pour voilures).
- ’ldur de France avec Levegll, Pa-ris-Sainl-Malo, Paris-Toulouse, Paris-Bordeaux (1901), Paris-Berlin (classé 4e)'
- Au ior novembre 1901, entre à la Société des Anciens Etablissements Georges Richard comme, directeur technique. — Coupe de régularité Paris-Vienne. — iqod, Paris-Madrid, 20, 4", 6° des voit tirettes. — 1904, Monaco, Ardennes, Taunus. — M. Brasier a fait rentrer en France en 1904 la coupe Gordon-Bennett et l'a conservée en 190,5 par ses victoires. — Voir Trèfle à Quatre Feuilles.
- BRASSAGE. — 11 y a quelques années, tous les petits moteurs de Dion-Boulon por-
- M. Branger
- M. Brasier
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- — i'ti
- taient place sur le tube d'aspiration, entre la culasse et le carburateur, un renflement qui contenait plusieurs disques en toile métallique, au travers desquels la dépression forçait le mélange explosif a passer. Ces toiles avaient pour but d’empecher les retours de flamme (pii auraient pu se produire et faire exploser le carburateur: elles étaient en même temps destinées, par la résistance qu'elles éliraient au libre passage des gaz, à les triturer pour ainsi dire, les brasser en tous sens et en obtenir ainsi un mélange plus intime facilitant la propagation rapide de l'explosion dans leur masse gazeuse.
- Les champignons employés dans quelques carburateurs sont des dispositifs qui produisent le même effet de brassage d'air et d'essence.
- Tous les carburateurs possèdent., plus ou moins accentué, un dispositif de brassage. Il y a en ell’et gros intérêt, au point, de vue, de la consommation et de la puissance du moteur, à ce que. l'essence soit, aussi finement pulvérisée que possible et aussi intimement mélangée à l’air qu’on peut l'obtenir.
- BRASSE, bandages élastiques métalliques, /|5, rue Saint-Gervais, à Rouen(Scine-lnf'ér.).
- BRASSEUR, articles pour garnitures d’automobiles, îyfi, boulevard Malesherhes, Paris. Tél. 54Ô-O7.
- BRASURE. — Alliages métalliques servant à réaliser la soudure à liante température. La brasure pour le fer, la fonte, le cuivre ou le laiton est composée de cuivre et de zinc, quelquefois additionné d'étain, bille est dite brasure tendre, demi-forte et, forte, suivant l’augmentation de son point, de fusion et de sa résistance, dues à l’augmentation de sa teneur en cuivre par rapport au zinc.
- On trouve dans le commerce, à l’usage des automobilistes, une brasure fixée sur des découpures de papier fort, enrobée dans un réactif fondant, et agglutinant, dont l’emploi est assez commode. Sur roule, à défaut de brasure, on peut se servir de fragments de monnaie d’argent, plus fusibles que la brasure de. cuivre. — Voir les Recettes du Chauffeur.
- - Ciiausselat, ii, rue Princesse, Paris.
- - LoNC.rKMARK Fiu'iHKS, 12, rue du 1 luisson-Saint-Louis, Paris. (Lampes à braser).
- — E. Mahinikh, 33, rue du Château, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Procédés de brasure et de soudure de l’aluminium.
- BRAUD (Edgar), ingénieur des Arts et. Métiers.— Né à Ambares (Gironde), le 3i janvier 187O. Directeur de la branche automobile chez (Irouvelle, Arquembourg et 71, rue du Moulin-Vert, Paris. Tél. 700-8;).
- B. R. C., phares Alpha. — Voir Boas, Rotlrigues et Cle, Paris.
- BREAK. — Voilure découverte ayant à l'avant un siège quelquefois plus élevé que
- les places arrière et à l’arrière deux 'banquettes placées l’une en face de l’autre parallèlement au grand axe de la voiture. L’entrée
- s'en effectue par l'arrière; le nombre des places est variable. Si le break est fermé, il est transformé par le fait en omnibus.
- Lorsqu'un tonneau, meme ayant son arrière formé par des coins arrondis, a plus de (jiialre places intérieures, il n’est plus appelé tonneau, mais break à pieds de billard.
- BRÉBANT et Cie, motocyclettes, 7. rue de Draveil, à Juvisy-sur-Orge (Scinc-et-Oise). Tél. 28.
- BRÉCHET, ébénisterie pour appareils d'allumage, j 5a, rue du Temple, Paris. Tél.
- if)()-74.
- BRÉCHIGNAC et GUINET, garage, 2, place Paul-Hert, à Saint-Etienne iLoirel.
- BREGER (C.), billes en acier, pièces détachées, 5o, rue des Marais, Paris. Tél./12/1-1J7.
- BREGER et NEVEUX, vente d'automobiles Crimello. 5o, rue des Marais, Paris. Tel, !\2/1 -97.
- BRÉGUET (Maison). Société Anonyme. Fabrique de magnétos d'allumage, iy. rue Didot, Paris. Agent : M. Kapferer, 21, rue de la Rochefoucauld, Paris. — Magasin de vente: 22, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- BRENCKLÉ, garage, 17, rue Saint-Martin, à Troyes (Aube).
- BRENNABOR- FAHRRAD-WERKE, fabrique de motocyclettes, Alter-Avall, à Hambourg (Allemagne).
- BRENNABOR-WERKE, motocyclettes, à Rrandehourg-s.-l I. ^Belgique).
- BRENTANO Frères, journaux automobiles étrangers, 3y, avenue de l’Opéra, Paris. Tél. 100-02.
- BRÉRAT, garage, rue Rasscteau, à Clià-tellerault (Vienne).
- BRETEAU, carrosserie automobile, 1O2, rue Championne!, Paris. Tél. r>oo-/|2.
- BRETIN (Camions automobiles, système). — Voir Mathian frères, Paris.
- fsté AmeTh. BOTIAUX CARR0SÆ0B1LES
- MÉDAILLE D’OR : Exposition Universelle de Salnt-Lonls, U. S. A- — » I.evaï.i.ois «Sri»*)
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- B K I
- BRETONNET, garage, place de la Verrerie, à Libourne ((iironde).
- BREUIL, veille de motocyclettes, avenue de la (irandc-Armée, 35, Paris. Téléph. 023-33.
- BREUZIN (Edouard), ferblanterie et cuivrerie à façon, 28, rue Morand, Paris. Tel.
- BREVETTI-FIAT (Société AuLomo-bili), construction d'automobiles, 17, via Cu-nco, à Turin (Italie). Tel. 19-60, Adr. tel. Taif-Torino. — Société Anonyme au capital de 2 millions de lires. — Président du Conseil d'administration : M. Mous ; administrateur-délégué: M. G. Aguelli. Directeur: M. Mous; ingénieur : M. Roslain. Ancienne Société Eial-Ansuldi.
- BREVETS D’INVENTION. — Les
- brevets d’invention sont soumis il la loi du 5 juillet modifiée par la loi du 7 avril
- 1902. Un arreté du ministre du Commerce, du 11 août iqo3, détermine les conditions de forme, dimensions et rédactions que devront présenter les descriptions et dessins déposés à l'appui d’une demande de brevet, ainsi que les prix de vente des fascicules imprimés et conditions de publication du catalogue, ainsi que les conditions à remplir par ceux qui, ayant déposé une demande do brevet en France et désirant déposer à l’étranger des demandes analogues avant la délivrance du brevet français, voudront obtenir une copie officielle des documents afférents à leur demande en France.
- BREVETS D'INVENTION.— AParis, à la Préfecture de la Seine, 20 bureau. — Chef de bureau : M. Illércau. — N oir Propriété industrielle (Ol’lice national de la).
- BRÉVIAIRE (R. de) et Ci0, accessoires pour ^automobiles, bougies à rupture électrique, manivelle antiretour, sirènes, 4q, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris. Téléph. 039-27.
- BREYER (Victor-Jean), 21, rue Jcan-Hapliste-Dumas, Paris. Tel. 5/17-80. — Né le 27 septembre 1870, à Southwold (Angleterre). — Rédacteur à L'Aulo, à La Vie au Grand . 11>, à Eemina.— Président du conseil d’administration du vélodrome Buffalo.— Membre de Y Académie des Sports. — Ancien rédacteur au Veloce-Sport, de 1889 à 189/1 ; ancien rédacteur au Vélo, de 189.'! à 1906, et rédacteur en chef, de 1908 à 190.4.
- BRIAND (Henri), accessoires pour automobiles, bougies, voltmètres, moteurs, vente d’automobiles, 9, rue Crespin, Paris. — Marque II. B.
- BRICE, garage, 19, rue Saint-Sauveur, à Péronne (Somme).
- BRICHET (Camille), graisse consistante et huiles minérales, à Samt-Mandé (Seine). Tél. 901-98.
- BRIDE. — En mécanique, une bride est un dispositif, d’emploi et de forme très va-
- Bride réunissant deux tubes par les boulons li K.
- riés, dont le but est toujours de réunir deux ou plusieurs organes au moyen de boulons libres ou prisonniers. O11 l’emploie très souvent, dans les moteurs à explosions, pour maintenir en place les bouchons, les sièges dos soupapes, les culottes d'aspiration ou d'échappement, , etc. de façon à faciliter leur montage ou leur démontage .
- O11 utilise aussi la bride sous diverses formes pour réunir l’extrémité de deux tuyaux ou pour fixer les ressorts de suspension aux essieux.
- BlllDK DE MOTEUR
- N, brûle. — P, prisonnier maintenant la bride.
- Des colliers inctnlHfjucs réunissant deux pièces entre elles sont quelquefois appelés brides.
- — Brides à écrous. — En carrosserie, les brides à écrous sont des pièces en forme d'U renversé, dont les brandies B' sont terminées par un pas de vis sur lequel 011 monte un écrou de serrage.
- Les ressorts de voiture sont montés sur l'essieu par l'in-termédiaiie de cales 01 di- UnmEs a kcrous nairement en bois C et maiu-
- B, bride réunissant les boulons prisonniers K.
- \Auiqmobiüles GLAPIATOR j
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- tenus par des brides à écrous B qui pénètrent dans les trous des patins d’essieux ou
- dans les trous des ferrures de support ménagées sur la caisse.
- BRIDIER, garage, à La Ferté-Bernard (Sarllie).
- BRIEST- (gazéifieatcur). — Voir Dalifol et C'\
- poulie ou une couronne dentée, sert à transmettre le mouvement ou vice-versa, est Y une des deux parties de la courroie qui se trouvent de part et d'autre de la poulie. Dans une poulie, le brin sur lequel 011 tire est.le garant, l’autre le dormant. — Le brin conducteur C d'une courroie sans fin est la partie qui reçoit le mouvement, d’entraînement d’une poulie
- C 1), 1311 in
- BRIET et Ci0, graisseurs pour automobiles, 7, rue Magenta, à Puteaux (Seine).
- BRIGAND AT Fils, garage, à Salon (Bouches-du-Rhone).
- BRIGATTI, accessoires pour automobiles, b, via Cappuccini, à Milan (Italie).
- BRIL et Cie, pâic«Noayamay) pouiTentre-tien des cuirs de carrosserie, 3e, rue d’IIaute-ville, Paris.
- BRILLIÉ (Eugène-A.), 20, avenue Bosquet, Paris. — Né à Paris, le 8 mai i8G3. —
- Officier d’Acadé-mie ; chevalier du Mérite Agricole.— Ingénieur des Arts et Manufactures. — Directeur technique de la « Société des Automobiles Eugène Brillié », Go, boulevard Pé-reire, Paris. — Etudie et breveté, en 1897, les moteurs à pistons opposés et à distributeurs à alvéoles. — A créé un matériel de poids lourds pour transports industriels et militaires.
- BRILiLIÉ (Société des Automobiles Eugène), camions et tracteurs, voitures de tourisme et omnibus automobiles, Co, boulevard Péreire, Paris. Tel. 535-30. Adr. tél. Autobril-Paris. Société Anonyme, fondée en iqo3, au capital de 5oo 000 francs. — Président du Conseil d’administration ; Comte G. de Ganay. — Directeur général : M. A. Carlerel. Directeur technique: M. E. Brillié.
- BRIN. — Le brin d'une courroie, d'une corde ou d’une chaîne qui, enroulée sur une
- motrice A et « entraîne » l’autre poulie B; le brin conduit D est l'autre partie de la courroie qui, moins tendue, retourne de la poulie motrice à la poulie entraînée.
- BRINCAT, spécialité de brosseries pour automobiles, i3, rue des Archives, Paris. Tél. 2 j 4-70.
- BRION Frères, motocyclettes et freins. — Voir Bonnet et Morel.
- BRION Frères, garage, vente d'automobiles, 7, rue de Choignes, à Chaumont (Ilaute-Marneh
- BRISARD (Henri), mécanicien-constructeur, vente de motoeycles et d’automobiles, garage, rue de Celles, à Condé-en-Bric (Aisne).
- BRISCŒ Mfg C°, f abrique d’automobiles Main Office, à Détroit (Michigan), Etats-Unis.
- BRISEMENT. — En car rosserie, le brisement est la partie du corps de caisse située à l'avant et à l'arrière de la voiture et comprise entre la ligne de ceinture et les brancards de caisse.
- Les -panneaux de brisement sont les panneaux recouvrant les brisements. — Voir Voilure.
- BRISTOL COMPANY (The), appareils de mesures électriques, ampèremètres, manomètres, à Waterbuiy (Connecticut), Etats-Unis.
- BRISTOL WAGON and CAR-RIAGE WORKS C*\ garage, vente d’automobiles, Victoria Street, à Bristol (Angleterre).
- BRITISH AUTOMOBILE COMMERCIAL SYNDICATE, Ltd, marque B. A. C. S. Automobiles. 97-98, Long Acre; et 1, Endelle Street, London W., Angleterre.
- BRITISH MOTOR et TYRE C°,
- moteurs, pneumatiques, phares, canots auto-
- M. K. Bhili.ii-.
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- mobiles « Léda », iG, via Dante, à Milan (Italie). Tel. 83-ig.
- BRIZZI, garage, 3, rue Faufrelin, à An-goiiléme (Charente).
- BROCHARD
- aussniann, Paris.
- H. broche «lo clé,
- provisoire a
- des
- {Alfred), Tel. a/jô-.j
- n 2, boulevard !. — Né à Paris,
- ’ j-
- OHieier (l'Académie. — Secrétaire général des Forges de Douai et, des Etablissements Arbel ; commissaire des comptes de la Société des Tramways et, Omnibus de Toulouse. — Vulgarisateur des « châssis Arbel » emboutis et des « wagons Arbel » do grande capacité.
- BROCHE. — Une
- broche est une lige cylindrique ou conique en 1er ou en acier qui sert, soit, d’assemblage tôles qui vont, être rivées,
- soit de levier P pour l'aire tourner sur elle-même une clé en bout O, soit, encore de chasse-boulons, etc.
- — Broche du rai. — Le rai R d'une roue en bois se termine d'un côté par la broche R qui est encastrée dans le cerceau de bois.) appeléjVmte; de l'autre côté parla jiatle P qui pénètre dans un trou, dans une mortaise du moyeu M.
- BRONZAGE. —
- Opération ayant pour but, de donner aux objets métalliques (et, aussi aux objets en bois, plâtre, carton, etc.), soit l'apparence d'un métal déterminé (exemple le bronzage-aluminium des surfaces en fonte du moteur), soit, l'aspect, de certains phénomènes d'oxydation ou de sulfuration produits par l'action du temps sur les métaux (exemple, bronzage c,n vert, antique ou en bronze llo-rcnlin des objets en cuivre (statues), ou encore bronzage d'un moteur en totalité noirâtre (bronze d’armes).
- Les procédés de bronzage varient selon le métal à bronzer.
- Le bronzage peut s'obtenir également par l'application d'enduits ou de vernis colorés ou tenant en suspension des poudres métalliques. Tel est le vernis-bronze d'aluminium pour moteurs.
- B
- H. Broche »r uai
- BRONZE. — Alliage à base de cuivre et d'étain, connu dans l'antiquité sous le nom d’airain. Dans l’industrie on y ajoute souvent, des quantités minimes de plomb (bronze statuaire), de zinc (bronze industriel), d’aluminium (bronze d’aluminium), d’arsenic (bronze blanc), de phosphore (bronze phosphoreux), de, silicium (bronze siliceux), de manganèse (bronze manganeux). Le bronze ordinaire, cuivre-étain-zinc, est utilisé pour la statuaire, les monnaies, les instruments de musique, les canons, les machines (coussinets, tètes de bielles, tiroirs, etc.), la robinetterie, etc.
- BROOK TIRE MACHINE C°, machines à cercler les roues à froid, à Wichila (Kansas). Etats-Unis.
- BROOKE andC", fabrique d’automobiles, Adrian Works, à Lowestoft (Angleterre).
- BROOKE, fabrique de pneumatiques à cloisons, à Denver (Colorado), Etats-Unis.
- BROSSE et Ci0, fournitures générales pour cycles et automobiles, 22, rue Déranger, Paris. Tel. 100-07.
- BROSSE A LIMES. — La brosse à limes ou carde est faite avec des bandes do
- cuirou dcloile dans lesquelles sont insérés presque verticalement de petits bouts (le fil d’acier dur et mince. Ces bandes sont vissées, clouées ou collées sur des planchettes portant un manche.
- Cette brosse sert à décrasser les limes, c'est-à-dire à enlever du creux de leurs dents les particules métalliques (pii les obstruent et les empêchent de (( mordre ».
- BROSSIER, vente de motocyclettes,
- 13, rue d’Ossling, au Mans (Sarthe).
- BROU (Milleret, de). Né à Paris, le 20 juillet 1878. — Associe de la Maison Rouscjuel et U1". représentants des voitures Riaitclii et C'% de Milan. — A monté, en i8q8, une mais ou d'automobiles, à Liverpool, puis lo « London Auto-Car », à Londres; est entré chez de Diétrich en 1900, a couru Paris-Madrid et le Circuit dos Ardennes, 190.') (arrivé 3"’°).
- BROUHOT (Georges), à Vierzon (Cher). — Né à Vierzon, le 27 février 1860. - — Chevalier du Mérite agricole et de la Légion d’honneur. — Un des deux administrateurs-directeurs (le la Société des Usines d’Automobiles G.'Brouhol.
- BROUHOT (Usines d'Automobiles G.), fabrique de voitures automobiles, à Vierzon
- Brosse a lime
- Des Anciens Établissements PANHARD & LEVASSORl
- VOITURES, CANOTS, MOTEURS- - 19, Avenue d'ivry - PARIS
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- (Cher). Tel. 8. Adr. tel. Brouhot-Vierzon. — Siège social: u, rue Lafayette, Paris.
- Administrateur : M. J. Schweizer.
- - — Magasin : 83, avenue de la ( irande - Année , Paris. — Société Anonyme au capital de 3 5oo ooo francs. — Direc-leurs : M M . Brouhot et Gof-ort. — Agence à Londres : 25, Mortimer slreet, Re-gent Street.
- BROUTER.
- —On ditqu’un outil, tel qu’unrabot, broute lorsqu’il ne coupe pas régulièrement, mais par soubresauts. De meme, broute un embrayage dont le cône ou la surface de friction est déréglé, usé partiellement, ou n'a pas une adhérence suffisante. La voiture n'est alors entraînée que par une série d’emprises et de glissements qui produisent des saccades pénibles pour les voyageurs et dangereuses pour le mécanisme lui-même.
- BROUSSEAU (Capotes de voitures). — Voir Naffrechoux, Paris.
- BROUSSET, fabr ique de graisseurs pour automobiles, à Nogent-sur-Marne (Seine), Tél. 2>
- BROWN (George)y vente d'automobiles Apperson, 48, Columbus avenue, à Boston (Etats-Unis).
- BROWN (IV.) , pièces détachées a Æolus », à Birmingham (Angleterre).
- BROWN BROTHERS, Ltd, pièces détachées/?. S. A., chaînes (( Brampton », automobiles « Brown », accessoires, Grcat Eastern Street, à Londres (Angleterre); et 3i, rue de la Folie-Méricourt, Paris. Tél. 989-75. —Succursale à Manchester.
- BROWN and LIPP, fabrique d'essieux et pièces détachées de carrosserie, a Canton (Etats-Unis).
- BROWN and SHARP, fabrique de machines-outils, à Providence (Etats-Unis).
- BROWNELL-TREBERT C°, moteurs et transmissions, l\o6y Saint-Paul Street, à Roches ter (N.-Y,), Etats-Unis.
- BRU (Maurice), à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), villa Lecuelle. —Né à Gazais (Lot). — Officier d’Académie. — Chef du Service commercial aux Etablissements Bcrgougnan, «à Clermont-Ferrand.
- BRUCKERT (Fit 'min-Louis)< «à Rousies, près Maubeugc (Nord). — Né à Paris, le 28 décembre 1853. — Administrateur-divecteur de
- la a Compagnie Duplex» pour la-fabrication des moteurs à gaz et à pétrole.
- BRUCKERT, moteurs Bruckcrt — Yoi.‘ Duplex (Compagnie des Moteurs), Paris.
- BRUCKNER et Ci0, aciers de Sandvick (Suède) et tubes en acier, 26, rue Buifault, Paris. Tél. ioij-22.
- BRUIT. — D'après le décret du 10 mars 1899, les automobiles 11e doivent pas faire de bruit capable (( d’effrayer les chevaux » ; Y échappement à air libre est donc absolument interdit. — « Le conducteur ne devra jamais quitter le véhicule sans avoir pris les précautions utiles pour éviter les accidents et pour supprimer tout bruit du moteur. »
- BRULE, ingénieur-mécanicien, camions automobiles Thornycroft, 3i, rue Boinod, Paris. Tél. 407-90.
- BRULEUR. — L’a Humage, déterminant l’explosion dans un moteur, était obtenu, il y a quelques aimées, par incandescence seulement ; ce mode est complètement abandonné actuellement et remplacé par Yallu-mage électrique.
- L'allumage par incandescence s’obtient cm portant au rouge un tube de platine T,, accolé à chaque cylindre du moteur par un. écrou P ; cette liante température était obtenue et maintenue par une ou deux lampes a essence, des brûleurs^ qui n’étaient autres qu’une sorte de « liée Bunsen » et que construisait surtout la maison Longuemare. Jls avaient pourtant avec celui-ci une différend1, en ce que, la voiture ne pouvant pas leur fournir de gaz à consommer, les brûleurs étaient obligés de transformer eux-memes en gaz l’essence qui les alimentait.
- L’essence, enfermée dans un réservoir spécialement destiné à cet, usage et placé assez haut dans la voilure, descendait par un tube métallique, en rencontrant sur sa route une cloche A, ou nourricey qui n'avait d’autreclfel qued'em-magasiner une certaine quantité d'essence et d'éviter les à-coups qu'auraient donnés les chocs de la roule et les trépidations dans la colonne liquide montant au brûleur B. L’essence pénétrait dans le tube porte-mèche M, qui se terminait par un trou extrêmement fin ,1 ; une petite coupe N recevait, pour la mise en marche, un peu d'alcool (pie l’on enflammait. Les parois du tube M étant ainsi échauffées, l’essence se vaporisait dans ce tube et sortait
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- par l'ajutage .1, à l’étal, de gaz sous pression,» qui, dans son ascension, entraînait de l’air pénétrant par le bas du tube K. Le mélange d’air et de vapeur d’essence était enflammé à l'extrémité du tube K, en produisant une flamme très chaude, absolument semblable à celle d’un bec Bunsen. — La chaleur développée par cette flamme suffisait, en se propageant dans le tube porte-mèche M, à le maintenir ainsi dans un état d'échauffement suffisant pour continuer la volatilisation de l’essence, après répuisement de l'alcool contenu dans la coupe N.
- Il ne restait plus qu’à attendre patiemment que le tube de platine T eût atteint son maximum d’incandescence.
- — Longuemauh i'HÈnus, 12, rue du Buisson-Saint-Louis, l’aris.
- - Brûleur Serpollet. — Seul, ou à peu près, Serpollet utilise encore les brûleurs, mais après les avoir très simplifiés et perfectionnés, pour chauffer ses générateurs de vapeur, en se servant d'huile de pétrole volatilisée, au lieu d’essence.
- Le brûleur Serpollet est, en principe, formé par la réunion, sur une même monture, de ia ou1 de 18 brûleurs, genre « Bunsen ». Chacun de ces brûleurs est composé d’un ajutage ou bec b, petit trou presque capillaire, placé dans un écrou plein, vissé sur un tube de fonte T, et d’un support c, sur lequel vient se poser une vasque V échancrée. Les brûleurs sont d’abord échauffés au moyen d’un peu d’alcool que l’on verse dans une boîte métallique au-dessous d'eux, et qu'on enflamme. Le pétrole qui se trouve dans le tube t est vaporisé et vient sortir à l’état
- gazeux par les ajutages b oû, prenant feu, il eut l'aine dans la vasqueVdc l’air en grande quantité.
- Il se produit ainsi une llam-me extrême -ment chaude et haute qui porte rapidement à une température élevée les tubes du générateur de vapeur placé au-dessus des brûleurs, en même temps qu'elle entretient la volatilisation continue du pétrole circulant dans le tube T. — Pour éteindre l’ensemble des brûleurs, il suffit de faire cesser l’arrivée du pétrole dans le tube T.
- BRULURES. — I .es brûlures sérieuses devront être traitées par immersion prolongée du membre brûlé dans une dissolution «saturée» d'acide picrique dans l'eau (12 grammes pour
- I 1 000 d’eau), ou de permanganate de ]>otassecn dissolution concentrée (1 gramme pour 1 000 d'eau). Ces deux excellents topiques 11'ont qu’un défaut : celui de teindre la peau, le premier, en jaune « serin », le second, en brun foncé. —• A leur défaut, employer le liniment oléo-calcaire, l’eau ordinaire ou miellée, l’eau de Cologne, l’eau blanche ou des refroidissants physiques tels que l’éther. L'arnica dans l’eau, l’encre pure (au tanin), le beurre, donnent parfois de bons résultats. — Si la peau s’est soulevée en formant des « phlyctènes » ou ampoules, les percer avant le traitement, mais sans enlever l’épiderme mortifié.
- BRUN, garage, vente d'automobiles, rue du Docteur-Giraud, à Vichy (Allier).
- BRUN, garage, 2/1, rue de la République, à Brignoles (Var).
- BRUN (L.J, manivelle de mise-en marche sans danger de retour, à Saint-Chamoud 1 Loire).'
- BRUNEAU (P.), fabrique de motocyclettes et; tricars et de moteurs « Bruneau», 12, rue Yiclor-llugo, à Tours (Indre-et-Loire). Tél. 1-28.
- BRUNET, garage, place Bonnyaud, à Guéret (Creuse).
- BRUNET-LOISEAU Frères, allumeurs électriques, 18, rue des Francs-Bourgeois, Paris.
- BRUNON et VALLETTE, châssis emboutis, tubes, à Bive-de-Gier (Loire); et 5/l, rue Tailbout, Paris. Tél. 282-98,
- BRUNSCHWIG aîné, vêlements pour mécaniciens, 3p, rue des Bourdonnais, Paris. Tél. 227-80.
- BRUON, pièces détachées et moteurs, 9, cité Pliclion, Paris.
- BRUXELLOIS (Auto-Garage), vente d'automobiles ‘‘Pipe”, 18, place du Châtelain, à Bruxelles (Belgique). Tél. 3635. Adr. tél. Autopipe-Bruxelles.
- BRUZEAU. fabrique de capots et de réservoirs, 33, rue du Poteau, Paris. Tél. 5o5-28.
- B. S. A. (Birmingham Sma.ll Arms Cü), fabrique de pièces détachées, à Birmingham, Angleterre. — Voir Brown Brothers, représentants à Paris.
- BUAT (L.), carrosserie automobile, 9, route de Crépy, à Senlis (Oise).
- BUCHEL (Golllieb), fabrique d’outils et de machines-outils, à Düsseldorf (Allemagne].
- BUCHERON, garage, a5, rue d’Allier, à Moulins (Allier).
- BUCHET (Usine), moteurs à pétrole, camions et canots automobiles, 4<J, rue Greffulhe, à Lcvallois-Pcrrct (Seine). — Tel. 5ig-26.
- 5311.
- Bkulihr Skupom.kt
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- Adr. tel. Moto far. — Directeur: M. Giraud aîné.
- BUCHET, directeur de Michelin (Agence
- Générale Suisse des Pneumatiques), à Genève.
- BUCHILLET (P.) et C‘% 4?, rue Saint-' Ferdinand, Paris. Tel. 582-g5. — Société en commandite simple, au capital de i5o ooo ifrancs, fondée en novembre 1905. — Pneu-matique-cuir Vulcan, double semelle ; suppression de la bande de roulement en cuir; emploi de rivets cémentés. •— Réparations de pneumatiques. — Le pneu Vulcan a obtenu le prix unique : la Roue en
- or, au concours de la Roue (igo5). 11 constitue certainement un des meilleurs antidérapants connus. — Directeur : M. P, Buchillet.
- — Directeur commercial : M. V. Pouille.
- BUCHILLET {Pierre), 64, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tel. 582-g5. — Né à .Paris, le 3 janvier 1872. — Fabricant du pneumatique « Vulcan ». — A été vélocipé--diste de i8g5 à 1898. — A couru, en automo-.bile, le Circuit du Nord, Paris-Vienne, Paris-Madrid. — A créé, en 1904, le pneu Vulcan.
- BUCKEYE Mfg C°, vente d’automobiles “ Lambert ”, à Anderson (Jndiana), Etats-Unis.
- BUCKEYE WHEEL C°, fabrique de roues pour automobiles, à Galion (Ohio), Etats-Unis.
- BUCQUET (Auguste).— Né à Saint-Quentin le 20 juillet 1881. Bucquet est le plus ancien et un des plus célèbres coureurs à motocyclette.
- BUC Y (De), garage, rue do la Gare, à •Bar-sur-Aube-(Aube).
- BUFFALO (Société Nouvelle du Vélodrome), 36, rue Fromentin, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tel. 9.l\i. Adr. tel. Vèlodromc-lhiffalo-Neuilhj — Société Anonyme, au capital de 100 000 lî\, fondée en janvier 1902.
- — Président du Conseil d’administration : A. Breisson. Directeurs i MM. Broyer et
- Robert Coquelle. — Piste de 3oo mètres en .bois ; organisation de courses de cycles et, de naotocycles.
- BUFFALO GAZOLÈNE MOTOR
- >C°, moteurs pour canots automobiles, à Buffalo (Etats-Unis).
- BUICK MOTOR C°, fabrique d'automobiles, à Jackson (Michigan), Etats-Unis.
- BUIRE (Société Anonyme des Automobiles de La), fabrique d’automobiles à Lyon (Rhône). Tel. 35-in. Adr. tél. Autobuir-Lyon. Usine, place de la Buirc (Lyon). —Société Anonyme, fondée en mai igo5, au capital de 2 millions de francs. — Président du
- Conseil d’administration : M. Gros ; membres du Conseil: MM. Berne, Richard, do Montai, Chaix, Charvériat, de Boissieu. — Directeur : M. Gris; directeur technique : M. Berlliier ; directeur commercial : M. Audibert. •— Les voitures de la Buirc, quoique de création toute récente, ont déjà une réputation de premier ordre. —• Concessionnaires exclusifs à Paris: Univers Automobile, 24, rue Boccador.
- Agents généraux pour l’Etranger : Société Anonyme Perrot, Durai et Ci0, 10, rue du Général-Dufour, à Genève.
- La Société de La Buire fabrique, en 1907, les types de châssis suivants: i5, 24 et 35 HP (à 4 cylindres) ; et 5o IIP (à 6 cylindres).
- BUISSON et C% manomètres et appareils de mesures électriques, 1, rue Amclot, Paris. Tél. g34-86.
- BUISSON et SENAC, aciers, 35„ boulevard de la Villettc, Paris. Tél. 4a6-o/|.
- BULLARD AUTOMATIC WRENCH C°, fabrique de clés et d’outils, à Providence (Rliode-Island), Etats-Unis.
- BULLDOG, arrache-clous Bull-Dog. — Voir Pyat (J.), Paris.
- BULLETIN OFFICIEL DE LA CHAMBRE SYNDICALE DE L’AUTOMOBILE, 6, place de la Concorde, Paris.
- BULLETIN OFFICIEL DE LA COMMISSION TECHNIQUE de rAutomobile Club de France. — Rédaction : 6, place de la Concorde, Paris. Tél. 234-70. — Administration : M. L. Baudry de Saunier, 20, rue Duret, Paris. Tél. 676-02.
- Prix de l’abonnement, annuel : France et Algérie, 6 francs ; Etranger, 8 francs. — (Remise de 5o 0/0 aux abonnés à'Omnia, revue pratique de Locomotion).
- BULLETIN OFFICIEL DE L’UNION VjiLOCIPÉDIQUE de FRANCE, 6, boulevard des Italiens, Paris.
- BULLIER et C'», accessoires pour automobiles et cycles (marque II. B.), pompes à air, pompes à eau, graisseurs, réservoirs, décolletage à façon, 33, rue Brunei, Paris. — Usine à Beauvais (Seinc-et-Oise).
- BULLIER (L.), pli ares et lanternes, i3i, rue de Vaugirard, Paris.
- BULLIER, becs-brûleurs .à acétylène, 131, rue de Vaugirard, Paris. Tél. 702-03. Adr. tél. Bécacélyl-Paris.
- BUNON (Tvo), accessoires, 44, rue du Faubourg-du-Tcmple, Paris.
- BUQUET et BAUDELOCQUE, garage, vente d’automobiles, 63, rue Frédéric-Petit, à Amiens (Somme).
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- vente d'automobiles, 3i5, Oxford Street, à Londres (Angleterre). Tel. 4<joi, Gerrard. Adr. tel. Carriole-London.
- BURTON {Ateliers), fabrique de machines-outils. à Nogent, près Crcil (Oise). --Représentant : Burton fus, Paris.
- BURTON, garage, i 5, boulevard de Strasbourg, le Havre (Seine-Inférieure).
- BURTON Fils, machines-outils, 68, rue des Marais, Paris.
- BUTÉE. — On emploie beaucoup en automobile les butées à billes qui empêchent tout grippement et diminuent le travail nécessaire à la mise en marche des organes et celui qu’ils absorbent en mouvement.
- La butée à billes établie avec des matériaux de premier choix et possédant nue trempe parfaite remplace avantageusement les butées lisses établies en bronze ou en libres de bois, ou les grains de butée souvent employés.
- Par la réduction du frottement, lo rendement est très sensiblement amélioré ; le grippage, réchauffement des organes se trouvent supprimés.
- Pour éviter le frottement de bille sur bille qui en marche présentent deux faces opposées tournant en sens contraire, l’emploi de cages légères est très avantageux. Le type D. W. 1’.,
- Détail d’i'ni: nunii; a dii.i.ks V). W . I'\
- en plus de sa grande légèreté, ollre cette particularité d’avoir des trous oblongs permettant un déplacement radial des billes qui évite, lorsque les deux bagues ne travaillent pas dans un même plan, le coincement des billes entre les chemins de roulement; de plus, par ce dispositif de cage, on conserve aux chemins de roulement la courbe nécessaire assurant une pression spécifique moins élevée.
- — Comiot (Cii.), 87, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris.
- — Glaenzeh et Gi0, 35, boulevard de Strasbourg, Paris. (Butées à billes D. W. F. avec cages élastiques).
- — Société Française des Roulements a Billes, 70, rue Franklin, Ivry-Port (Seine).
- — Jiîssé (de) et Cl0. butées pour arbre de canots, 7, rue Gollange, Levallois-Perret.
- BUTIN, moteurs à pétrole, tuyaux flexibles, 51, rue des Martyrs, Paris. Tel. 3o0-i8.
- BUTIN {Pompe à piston tournant). — Voir Comptoir IL M. E., Paris.
- BUTLER (F ran/c Iledges), 155, Regent Street, W., à Londres (Angleterre). — Premier trésorier honoraire de l’Automobile Club d’Angleterre de 1897 à 1901; fondateur en septembre 1901 de Y Aéro-Club du Royaume-Uni, membre à vie de la Société Royale Géographique. S’est signalé comme aéronaute par sa belle traversée aérienne do la Manche, de Londres à la Délivrande (Calvados), qui comporte le plus long parcours effectué au-dessus des îlots dans des tentatives de ce genre, le 3o août igo5, au cours d’une excursion entreprise pour faire des observations sur l’éclipse-solaire. — Le 20 février 1906, traversée aérienne de Londres à Ilabersent. — Membre de Y Aéro-Club de France.
- BUTOIR. — Pièce mécanique qui a pour objet de limiter la course d’un organe mobile. O11 appelait autrefois butoirs des tiges saillantes, placées latéralement sur le châssis de la voiture et qui empêchaient les pneumatiques des roues directrices de venir frotter contre les côtés de la voiture dans les virages.
- L’angle de braquage (voir ce mot) est aujourd’hui limité par un dispositif caché dans la hoîte de direction ; on n’emploie donc presque plus les butoirs pour cet usage.
- En carrosserie, le butoir est un dispositif en métal ou en cuir qui est fixé au marchepied, dans le but d’empêcher le pied du voyageur de se poser en dehors du pourtour extérieur du marchepied.
- B. V., moteurs. — Voir Boudreaux (L.), Paris.
- BYRIDER, SWINEHART et CP (Amérique), bandages pneumatiques. — Voir Tor-rilhon.
- BYRNE, KINGSTON and C°, fabrique de pièces détachées et de carburateurs, à. Kokomo (Indiana), Etats-Unis.
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- Ç. — Lettre indiquant que le véhicule qui la porte dépend de l'arrondissement minéralogique de Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire).
- C. — Abréviation de l'expression degré centigrade.
- C. —Abréviation de l'expression capacité, ou ce l'expression couple.
- C. — Symbole de capacité, ou de coulomb.
- C. — Abréviation de l’expression centi.
- G (de serrurier). —• Le C de serrurier est une machine à percer, une forerie portative, affectant la forme d’un c, qui peut se placer pour l’usage soit sur le bord, d’une table, soit sur l’objet même qu’on veut percer.
- CAB. — Voiture fermée, comprenant deux types diiférents : le cab anglais, ou kansom à deux roues et siège élevé à l’arrière ; et le cab français a quatre roues et siège à l’avant.
- Le cab porto, sur chaque face latérale, une glace et, à l’avant, une glace mobile qu’on remonte au plafond de la voiture pour per-
- P il
- Ca» (si IV CHASSIS ( 1].KMI.M-B\YAU1>).
- l\ porte à deux vantaux.
- mettre l’entrée et la sortie des voyageurs. Le cal) est caractérisé nettement par sa portière qui ne se trouve pas sur la face latérale de la voiture, mais sur l’avant, et qui forme une sorte de tablier rigide se rabattant sur les personnes assises a l'intérieur et effectuant ainsi la fermeture de la voilure.
- lia portière est dite porte à tabatière lorsqu'elle se soulève en une seule pièce, véritable tablier, parallèlement au siège intérieur, en tournant autour de charnières placées sur la traverse avant du plancher.
- La portière est appelée porte à deux vantaux.y lorsqu’elle est formée par deux sortes
- de volets qu'on rabat à droite et à gauche, lorsqu’on veut sortir de la voiture.
- Le premier cab à t\ roues a été construit, en 1873, par M. Kellner père.
- Cab landauîet. — Voiture fermée, à deux places de maîtres, analogue au cab ordinaire-, avec cette différence que toutes les parties (pii forment le dessus de la voiture, capote et glaces, sont mobiles et peuvent être facilement rabattues en arrière, à partir de la ligne de ceinture, en découvrant ainsi la banquette intérieure.
- Ce modèle est très pratique pour le ton ri s u 5 automobile à deux. En tout temps, les dj iv'
- (Iaü landaulkt (sur châssis UenuuU).
- voyageurs sont abrités de la poussière et, de la pluie,' soit que la capote soit rabattue et forme un parfait pare-poussière, soit qu’elle soit levée et close à l’avant par une glace mobile. — Cette voiture peut comporter un siège do spider a l’arrière.
- CACHE-POUSSIÈRE. — On appelle
- a, fente de manœuvre par Cache-poussière un tournevis. — b, volet-
- a ressort. — c, orifice découvert
- ---- 11 pour le graissage.
- cache-poussière de petites lames d’acier, des
- & GACHES
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- ]
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- C A I)
- <; a il
- — 162 ----
- ressorts plats, ou des bagues qui recouvrent, cru-tains orifices d’un mécanisme, où la poussière, la boue et l’eau ne sauraient pénétrer sans causer grand dommage. Ils sont spécia-
- ce métal le liront, abandonner et, ces difficultés disparaîtraient-elles, qu’on pourrait se demander s’il y a bien lieu d’employer l’aluminium, étant donné qu’à égalité de résis-
- Caduk oe mcYCLKTTK (Type Miitnber).
- a, tube de direction. — b, tête de fourche. — e, pédalier. — </, pont du bas. — c, pattes arrière à tandem. — /', pont du haut. — y, raccord de selle.
- Inincnt utilisés pour fermer les trous d’hui-lagc ou de graissage, particulièrement des roulements à billes de bicyclettes.
- CADÉ, garage, a5, avenue Daumcsnil, Paris.
- CADILLAC MOTOR CAR C°, fabrique de voitures automobiles, à Détroit (Michigan), Etats-Unis. Les usines Cadillac passent pour être les plus importantes du monde entier; elles construisent, dit-on, de G à 7000 châssis par an î
- CADIOT tE.-H.), perceuses électriques et machines-outils, 12, rue Saint-Georges, Paris. Tél. illa-afi.
- CADMIUM. — Corps simple métallique présentant des propriétés très semblables à <*elles du zinc. Est employé à l’état métallique pour constituer certaines piles étalon. Est, utilisé dans les accumulateurs au cadmium et notamment dans l'accumulateur mixte (Cominclin et Vian).
- CADRE DE BICYCLETTE. — Le
- cadre d’une bicyclette est toujours constitué par des tubes d’acier réunis entre eux au moyen de raccords brasés qui sont, en acier coulé ou, mieux, embouti. L’aluminium n’est plus employé pour la construction des cadres de bicyclettes. Les difficultés du soudage de
- tance une bicyclette en aluminium est plus lourde qu’une bicyclette en acier.
- Notre figure montre un cadre de bicyclette dans sa forme le plus généralement employée. Forme si bien connue qu’il n’y a pas lieu d’insister. Les tubes, généralement de 28 m/m de diamètre extérieur, et d’épaisseur variable, forment, entre eux des angles approximativement désignés sur la figure. Leur longueur est, variable suivant la grandeur du cadre, dont la hauteur se mesure de l'axe du pédalier à la partie supérieure du raccord de selle.
- — Dufaux fhkhes et Cio, route des Acacias, à Genève (Suisse).
- — IIumbek (Manège Petit), 23, avenue des Cb a m p s-E 1 y s é c s, Pa ri s.
- — Tehhot i:t Cie, 2, rue André-Colomban, Dijon (Côte-d'Or).
- CAFFORT Frères, motocyclcs et moteurs, 120 bis, rue du Chemin-Vert, Paris.
- CAGE DE L’HÉLICE. — Cadre formé de solides charpentes en bois ou de pièces métalliques, servant à protéger l'hélice d'un canot automobile contre les chocs extérieurs.
- CAHEN {Alfred), fonderie d’aluminium, marque K. N., iG, rue de Toul, Paris. Tél. 913-4 G.
- EXIGEZ des CHAINES RENOLD
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- CAHEN {Armand)., 79, avenue de Vil— liers, Paris. — Ingénieur E. P., collaborateur à YAnnual Baudry de Saunier.
- CAHEN {Emile)) 7, avenue N'iel, Paris.
- Tel. 545-53. — Né à Paris, le 3i décembre 18G2. —-Chevalier de la Légion d’hon-n e u r ; o l‘fi ci e r (l'Académie.
- Ancien administrateur général de la Société Mors Lauréat de l'Institut. Ingénieur des Manufactures de l'Etat. A inventé, en- colla-bora I i on avec M. Sevène, les allumettes S. C. sans phosphore blanc et la rna-continuc des allumettes. — Ingénieur-conseil ; chef du service automobile à la Compagnie générale des Voitures, à Paris.
- CAHEN, lunettes sportives, 3, rue Mcycr-Jbeer, Paris.
- CAHEN et GUILLIERME, accessoires pour automobiles, GG, rue d’ilautcville, Paris. Tél. i55-87.
- CAHORS et Ci0, modeleurs-mécaniciens, 4 bis, rue de la Cavalerie, Paris. Tél. 720-98.
- CAIL (Anciens Etablissementsconstructions mécaniques, 21, rue de Londres, Paris. Tél. 288-17. Ad. lv\. Ancicait-Paris.—Société Anonyme au capital de 12 millions de francs.
- CAILLETET (L. P.). membre de l'Institut, physicien illustre, président de l’Aéro-Club de France. S'intéresse surtout, en raison do ses études et travaux, aux applications scientifiques de l'aéronautique.
- CAILLETTE et NARÇON, fabrique •de carburateurs, 29, rue de la Plaine, Paris. Tél. 94 i-5o.
- CAILLOIS ( Gustave), 14 , boulevard Montmartre, Paris. Tél. 2.38-28. — Né à Paris, le j5 décembre 1870. Ingénieur et sportsman réputé.
- CAISSE. — Partie menuiserie de la carrosserie d’une voiture. — Souvent, par -extension, on entend à tort par caisse l'ensemble complet d’une carrosserie avec ses ferrures, ses garnitures, etc., par opposition avec le châssis, partie mécanique.
- On utilise, en carrosserie, plusieurs sortes de bois pour fabriquer les caisses de voitures : le frêne, qui est employé pour tous les bâtis et brancards formant l'ossature ; le
- hêtre pour les traverses de soutien; Yonne pour les fonds de caisse; le noyer et Y acajou pour les grands panneaux, parce (pie ces deux sortes de bois « se voilent » difficilement et parce qu’ils forment les meilleurs fonds pour une belle peinture ; le tulipier d'Amérique et le peuplier-grisard pour les petites surfaces, coffres et petits panneaux.
- Tous les bois employés en carrosserie doivent être parfaitement secs. Les bois « durs », utilisés pour les parties supportant de grands efforts (comme les pieds de la caisse, par exemple), doivent avoir toujours au moins cinq ans de séchage en magasin; il en est de même pour les bois destinés à former les grands panneaux.
- Lorsque la caisse, constituée par ces différents Loi s découpés, est terminée et qu’elle est ferrée, on passe les couches impression ; elle est poncée à la pierre ponce humectée d'eau, opération qui est elle-même suivie du couchage de teinte, puis de l'éten-dage des couches de vernis, à polir. Après l'apposition de chacune de ces couches de vernis, on polit avec la poudre de pierre ponce humectée d'eau.
- Quand elle a reçu trois ou quatre couches de vernis à polir, la caisse est envoyée à la garniture, où sont, posés les coussins, dossiers, tapis, etc. Lorsqu’elle en revient, on polit soigneusement la caisse une dernière fois; 011 fait le rechampissage (petits filets de peinture) et 011 passe une dernière couche d’un vernis spécial, appelé vernis à finir, qui achèvera de donner le cachet de luxe faisant le légitime orgueil du carrossier et... du propriétaire de la voiture.
- — Caisses (Poids des). — Nous citons ici, d'après M. Georges Kellner, président de la chambre syndicale des carrossiers, les poids des caisses de voitures confortables et de quelques accessoires courants, poids généralement fort peu connus et qui sont beaucoup plus considérables que ne le croient la majorité des chauffeurs.
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- Deux lanternes avant................
- Une fourragère avec courroies.......
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- 30
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- 10
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- 10
- 3
- 1
- iO
- Peu de, ehaulVeurs savent, sans doute, que s'ils installent à l'arrière de leur voiture une fourragère pour porter deux enveloppes et trois chambres do rechange, ils ont immédiatement alourdi leur voiture de près de 3o kilogrammes!
- Caisses en tous genres :
- - Bklvallette, 21, rue Durci, Paris.
- — Botiaux & Gi0, 28, rue GreÜulhe, à Levai lois-Perret (Seine).
- --- Ivkllneh et ses Fils, i2o, avenue Mala-koÜ’, Paris.
- - LAiiounoETTE (Iïkmu), 35, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- — Laclàveiue et Gâches, 9, rue Montrosier, Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Lamplugii et Cil\ 8, rue Ernest-Cognacq, à Levallois-Perret (Seine).
- Rothschild, 131, avenue Malakolï, Paris.
- — Yinet et Boulogne, Oi, rue de Yilliers, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Caisse à eau. —- La caisse à cciu ou réservoir doit être faite soit en tôle galvanisée pour empêcher l'intérieur de (( rouiller », soit de préférence en cuivre. Les bords de cette caisse à eau seront rivés ou agrafés, puis soudés. La soudure seule 11'est pas suffisante pour former une union des tôles pouvant résister aux trépidations de la voilure.
- CALAMINE. — La calamine est un carbonate de zinc. C’est donc à tort que les ouvriers se servent quelquefois de ce mot pour désigner les ci crasses » extrêmement
- dures qui s’attachent aux pièces, à la forge ou a la fonte.
- CALCAIRE. — La plupart des eaux de puits et souvent de rivière tiennent en dissolution du carbonate de chaux qui, par une ébullition prolongée, se dépose sous forme de calcaire sur les parois du récipient qui la contient. Si on renouvelle souvent l’eau, le calcaire se dépose en couches successives, produisant un dépôt épais et dur qui peut arriver à bouclier certains orilices ou tuyaux étroits, tels que les tubes de radiateur, et qui s'oppose au bon refroidissement du moteur. — Voir Les Recettes du Chauffeur.
- CALE. — On se sert souvent de cales d'épaisseur en bois ou en métal, bien ajustées, pour mettre « de niveau », suivant une pièce dressée, pour exhausser une pièce** sur le sol ou sur le « marbre », etc...
- (Iai.ks i>i: ukssoiit
- B, brides. — C, cales. — U, ressort.
- En carrosserie, ou met, toujours une cale* en bois en dessous des ressorts de la voiture pour obtenir un meilleur serrage des brides à écrous.
- — Cale à tracer. — Les cales à tracer ou cales en V sont des outils parfaitement dressés qui sont utilisés par groupe de deux ou de quatre pour disposer et maintenir provisoirement en place sur le marbre les pièces ([11’on doit tracer ou dont on, doit prendre des mesures exactes.
- C ALÉFA.CTION. — Phénomène physique qui consiste dans la transformation d’une masse liquide en petits globules de volume en se vaporisant
- CALER. — D ans un sens général, c’est assujettir, mettre d'aplomb ou de niveau, à l'aide de cales.
- Dans les machines à vapeur, le calages*. pour objet de déterminer exactement les positions occupées par le tiroir par rapport aux positions du piston et des orilices du cylindre. Cette concordance est indispensable pour le bon fonctionnement d’une machine. Pour l'obtenir, il faut que le rayon de l'excentrique-commandant le tiroir fasse avec celui de la<
- Cali:s a iHACiai
- qui diminuent lentement.
- [
- SA"1'Th. BOTIAUX
- CARROSSERIES AUTOMOBILES
- de grand luxe
- KÉDAILLX D’OR i Exposition Universelle de Saint-Louis, U. B. - * lbvallois (9.1m)
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- manivelle, dans le sens du mouvement, ou en sens inverse, suivant que le tiroir admet par l'extérieur ou par l'intérieur, un angle de ioo° à i35° suivant la détente, angle qui est appelé
- surer l'épaisseur d’une tôle ou le diamètre d’un fil, on n'a qu’à chercher dans quelle « entaille» pénètre exactement cette tôle ou ce lil ; on lit directement la mesure, gravée cil
- Profil Face
- jNIotel’k cale a i8o°
- AB, manivelles. — G, cylindres. — MX, position des
- deux mandons ou coudes.- O, axe du vilebrequin.
- angle de calage. Dans les moteurs à explosions, les manivelles sont calées également suivant des angles variables, selon que le moteur est à 2, 3, /j, G, ou môme 8 cylindres.
- — Caler un moteur à explosion, c'est disposer les cames, commandant les clapets d’admission et d'échappement, et les pièces d’allumage, de Façon (pie chacun de ces organes accomplisse son office au moment où le piston occupe une position correspondante. — Voir Distribution.
- — Un moteur est dit calé quand il est arrêté accidentellement et qu'on éprouve de la difii-eulté à Faire reprendre son mouvement.
- — En marine, caler un mat, une vergue, une voile, c’est l’abaisser verticalement.
- — On dit aussi : ce navire cale vingt brasses, quand il enfonce de celte quantité dans l'eau.
- CALFATAGE. — Opération qui consiste à assurer l’étanchéité de la coque d'un canot automobile, en enfonçant dans les intervalles du bordé des mèches d’étoupe, ensuite recouvertes de mastic ; après quoi, l'ensemble est soigneusement raboté,
- CALIBRE. —* Les calib res sont des instruments étalons servant à prendre des mesures très exactes, qui affectent des Formes très différentes suivant les usages auxquels ils sont destinés. Parmi les principaux, nous citerons : le plus employé de tous, le pied à coulisse qui mesure les longueurs, les épaisseurs, les diamètres intérieurs et extérieurs (au U200 de millimètre), et le j)aimer qui mesure de plus petites longueurs, mais les donne « au i/ioo° de millimètre ».
- On emploie souvent aussi des calibres d'épaisseur (ïig. i) qui sont faits d’une (( planche » d’acier portant des « entailles » successives de largeur décroissante. Lorsqu’on veut mc-
- 13 2<
- 0 ALI IJ U K d’kFAIS-
- SKUK
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- Fig. â.
- G a l i b i u-: s spéciaux
- L_j v_1J______r1
- Fig. 3.
- B, CaLIIJKK EN TOLE
- reproduisant le profil do la pièce A.
- Face de l'entaille correspondante, en millimètres ou en dixièmes de millimètre.
- Des calibres de toutes dimensions et de toutes Formes sont souvent fabriqués par les ouvriers, qui ne sont ainsi pas obligés de mesurer sans cesse des pièces qu'ils Font en série et qui doivent toutes être absolument E
- identiques. On découpe des tôles de Fer ou d'acier qui ont le profil exact des pièces à tourner, à creuser, etc., ou qui portent des trous correspondant aux trous qui seront percés sur chaque pièce (fig. 2 et 3).
- On se sert de barres de métal E (fig. 4) qui ont une longueur déterminée, ou de pièces cylindriques F (fig. 4) qui indiqueront le « bon » diamètre obtenu, etc. Ces calibres portent aussi les noms de gabarits, de jauges.
- Le calibre d'une pièce cylindrique est sou diamètre intérieur D.
- — Glaenzkh et Perueaud, calibres en tons-genres, î, avenue de la République, Paris.
- CALIDA (Société d*Electricité), bobines et magnétos, 26a, route de la Révolte, à Levailois-Perrct (Seine). Tél. 5^3-o/(. Adr. tél. Calida-Levallois. Directeur : M. Achille Luc. Directeur technique : M. A. Dclaunay.
- CALLEJA (Julio)* vente d'automobiles, iG, Pilai* (Guindalera), Madrid (Espagne).
- CALMON (Alfred) Act. Ges., fabrique de pneumatiques, à Hambourg (Allemagne).— Dépôt : a3, rue Ruhmkorff, Paris.
- CALIBRES, MICROMÈTRES, JAUGES de précision H ’&^eWr e a u d I
- PARIS — 1, Avenue de la République — PARIS
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- C A L
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- C A M
- CALORIE. — C’ est l'unité (le quantité de chaleur. La grande calorie est la quantité de chaleur nécessaire pour élever de i° centigrade de température un kilogramme d'eau distillée, kixpetite calorie, plutôt réservée aux mesures de laboratoire, est la quantité de chaleur nécessaire pour élever de i° centigrade de température un gramme d’eau distillée.
- Voici en chiflYes ronds le nombre de calories dégagées par la combustion de i kilogramme des principaux combustibles utilisés pour la carburation dans les moteurs à explosions : Alcool pur — 7000 calories. Alcool dénaturé — 6000 calories. Alcool carburé — y à 8000 calories. Ether sulfurique — 8000 calories. Benzols = 10000 à 11000 calories. Essences de pétroles = 11 000 à 12 000 calories.
- Calorie kilogramme-degré. — Cette unité, la plus employée, est aussi appelée grande calorie. 1 calorie Icg.-d. correspond a un travail de !\26 kilogrammètres ; elle vaut donc l\ 2O X 9 809 joules.
- CALORIFUGES. — On nomme calorifuges, des corps mauvais conducteurs de la chaleur, comme l'amiante, le liège, le feutre, etc., dont on entoure la tuyauterie des machines pour empêcher les déperditions de chaleur (calories) ou au contraire de froid (frigories).
- — Subkiune (La), 8, boulevard de Yaugirard, Paris. — Enveloppes calorifuges en liège aggloméré pour conduites de vapeur, à haute et basse pressions, d’air chaud et d'eau chaude.
- CAMBIEN, garage, f»3, rue de la Gare, à Roubaix (Nord).
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- CAMBOUIS. — Le cambouis est le résidu des huiles ou des matières grasses employées pour adouci]’ les frottements des machines et qui, se mélangeant, à la longue, a des particules métalliques ou terreuses, prend une couleur noire ou grise. Il augmente beaucoup le frottement des pièces en mouvement et. produit des taches «. tenaces » sur les mains et les vêtements. — Voir les Recettes du Chauffeur.
- CAMBRER. — Rend re courbe (me pièce de bois par le feu ou par un autre moyen. — Voir Cintrer.
- CAME. — On appelle came un organe de transformation de mouvement utilisant généralement un mouvement circulaire uniforme pour produire un mouvement rectiligne ou circulaire et agissant par contact direct avec l'organe à conduire, tige ou galet. Elle est constituée par une partie saillante placée sur la circonférence d'une roue ou d’un arbre.
- Les formes de came et ses applications sont très variées; nous citerons seulement quelques exemples simples.
- La ligure 1 représente un bocard ou pilon T soulevé par les cames C, à l’aide du men-tonnet M ; le mouvement de l'arbre, l’empla-
- AV
- cernent des cames sont réglés de telle sorte ([lie la chute soit terminée avant que la carne suivante vienne en prise avec le mentonnet.
- Le mouvement rectiligne alternatif communiqué par une came peut être intermittent ; le contour de la came (lig. 2) présente, dans ce cas, des parties concentriques (A à E cl 1) à B) à l’axe, correspondant aux périodes de repos. On la nomme came à ondes.
- La ligure 3 est un exemple de came actionnant une lige à galet. La tige a est guidée par une fourche b engagée entre le moyeu e de la came et une rondelle d fixée sur l’arbre. La came étant constituée par un disque / à rayon variable, 011 conçoit (pie le galet suivra les indexions de la came en entraînant la tige, les espaces parcourues par celle-ci étant
- constamment égaux a la différence des rayons secteurs de la came.
- La figure 4 représente une came à rainure pouvant conduire une tige ou un levier à
- L;=-,®z ip riiiiftin (1FFIRIFI de la Commission lectinique de l’fl C. F.
- les mois ^ UÜLLL 1111 U1 1 1U1LL ^ ^ Dur^ PARIS (6 francs far an)
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- galet. La rainure est facile à tailler avec une grande précision à la fraise. Cette came doit être placée en bout d’un arbre.
- La came hélicoïdale, appelée souvent came
- en huit, est mie came à double filet hélicoïdal croisé, permettant la transformation d’un mouvement circulaire continu en rectiligne alternatif (fig. 5). La pièce en mouvement alternatif, qui peut affecter la forme d’un ccrou a, est entraînée par un fragment de filet b, pivoté en c par devant la figure. Les deux rainures se raccordent par des courbes d à la sortie desquelles le mouvement du doigt b est inversé. Ce doigt est assez court pour tourner facilement dans la courbe et suffisamment long pour s’aiguiller franchement dans la bonne direction au croisement des deux filets. Il est bien évident qu'on peut rendre l’écrou ou la pièce portant le doigt b fixe longitudinalement, auquel cas c’est la partie centrale qui se déplace. Enfin la came peut comporter un grand nombre de filets entre les deux courbes de raccordement. Dans ce cas la vis exécute un certain nombre de tours pour une course de l’écrou. On utilise ce dispositif dans de petites perceuses américaines, où le foret est emmanché à l’extrémité de la vis ; le mouvement de va-et-vient de l’écrou est donné à la main. Il faut évidemment un filet très allongé puisque le mouvement de rotation de la vis est produit par la translation de l’écrou.
- La came hélicoïdale à une seule spire, telle
- a
- Ga.mi: hï:i,ic.oïhai.i: Fig. 5.
- qu’elle est représentée fig. 5, fut quelquefois en honneur dans les distributions de moteurs à explosions à 4 temps. Il faut, en effet, deux tours de la vis pour produire une course com-
- plète, aller et retour, de l'écrou. On pouvait donc commander l’échappement, par exemple,, au moyen de ce dernier, sans avoir recours à un arbre de distribution à 1/2 vitesse ou arbre de dédoublement. Ce dispositif fut abandonné à cause de sa rapide usure.
- La came a reçu de fréquentes et heureuses applications dans les moteurs à explosions et en particulier dans ceux employés par l'automobilisme, pour soulever des clapets, pour déterminer l’intermittence de l’allumage électrique, etc. Ou appelle arbre à cames l’arbre tournant sur lui-mème, et formant quelquefois train baladeur, qui commande à la fois les clapets d’un ou de plusieurs cylindres.
- CAMILLE Jeune et Cie, location de voitures électriques, G bis, avenue Kléber, Paris.
- Tél. 511-2.4.
- CAMION. — La question des camions automobiles est une des plus grosses qui se posent à l'heure actuelle pour le transport des charges lourdes (utilitaire, commercial,, militaire).
- Le problème est extrêmement complexe et nous ferait sortir des cadres de cet ouvrage si nous voulions seulement l’esquisser. (Voir à ce sujet les éludes qui paraissent dans Omnia.)
- — Aiuès (Société Anonyme des Automobiles), 3g, quai d’Argenlcuil, à Villencuve-la-Garenne (Seine).
- — Automobiles Industriels (Société Générale des), 3, rue Vignon, Paris.
- — Benz et G10, à Mannheim (Allemagne).
- — Buiue (Société de la), S, rue Victor-
- Hugo, à Lyon (Rhône).
- — Cottin et Desgouttes, place du Bacliut, à Lyon (Rhône).
- — De Dion-Bouton et C1”, 3G, quai National, à Puteaux (Seine).
- — Diétricii (Etablissements de), 12, avenue de Madrid, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Fouillaron, il/,, rue de Villers, à Leval-lois-Perret (Seine).
- — Lombarda (Socictà Automobili), voitures Espcria, à Rergamo (Italie).
- — Mieussiît (Etablissements), i5a, roule d'ileyrieu, à Lyon (Rhône).
- — Paniiard et Levassor (Société des Anciens Etablissements), 19, avenue d’Ivry, Paris.
- — Pantz (Cii-), à Pont-à-Mousson (Meurthe-et-Moselle).
- — Pilain (Automobiles), 17, chemin de Monplaisir, à Grange-Rouge, Lyon (Rhône).
- — Purrey (V.), camions à vapeur, de 5 et 10 tonnes, 21, boulevard J.-J.-Rose, à Bordeaux (Gironde).
- — Radia (Société), 12, rue Barbés, à Le-vallois-Perret (Seine).
- — Rociiet-Sciineider, 07, Chcmin-Feuillat, à Lyon (Rhône).
- — Standard (Fabbrica Automobili), 20, corso-Siccardi, à Turin (Italie).
- A A LES MEILLEURES VOITURES POUR LE GRAND TOURISME
- ri ALI IA 12, rue Barbés, LEVALLOI$ (Seine)
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- — Züst (Robeuto), /|0, via Borgognonc, à Milan (Italie).
- CAMIONS AUTOMOBILES (Compagnie Française de), n!\, rue SainL-Vinccnt-de-Paul, Paris.
- CAMMARSTEDT, vente de motocyclettes, (i, avenue des Phocéens, à Nice (Alpes-Maritimes).
- CAMONA, GIUSSANI, TURRI -NELLI et C°, voitures électriques « Auso-nia », 5, via Spontini, à Milan (Italie).
- CAMONDO (Comte M. de), 19, rue Hamclin, Paris. Tel. ôqo-Go.
- CAMPAGNE (E .), mécanicien, /|5, boulevard de Belleville, Paris. Tél. 9.35-72. Adr. tél. Campagnol o-Paris.
- CAMPBELL (F.), cartes et guides, 2/1, passage du Havre, Paris. — Tél. 3u-i6.
- CAMPING. - — Mot anglais qui désigne le sport du « campement », sport très goûté •en Angleterre et (pic M. Monjardet (voir ce noiri) a introduit en France avec le plus vil' succès. — Le sport du camping est l’adjuvant de la plupart des sports de plein air, surtout de ceux qui concernent la locomotion. Il s'applique admirablement à la chasse (rendez-vous de chasse improvisés par exemple), mais principalement à l’automobilisme. La voilure emporte avec ses voyageurs les tentes et les lits qui leur serviront à passer la nuit où il leur plaira, et aussi les ustensiles nécessaires à leurs repas. L’ingéniosité des chercheurs, en ce qui concerne les appareils de camping, a été si heureuse, les appareils ont été rendus si légers et si peu encombrants qu’une simple bicyclette même peut emporter un petit campement.
- Le camping est un sport extérmement amusant, extrêmement hygiénique, sport de volonté et d’initiative, très recommandé par les médecins. Il est accessible à tout le monde à tous points de vue. C’est, le complément, intéressant et pittoresque du tourisme.
- — Belle JAUDiNiÈnr:, 2 rue du Bout-Neuf, Paris.
- Monjahijkt, articles spéciaux pour le camping : toutes, malles, bateaux pliants, accessoires, etc., 21, rue Richelieu, Paris.
- — Moynat, malles, 5, place du Théâtre-Français, Paris.
- - Vuitton, malles et articles spéciaux pour tourisme et camping, 1, rue Scribe, Paris.
- CAMPREDON, garage, j, boulevard Carnot, à Toulouse (Haute-Garonne).
- CAMUS-AVRIL, garage, à Amboise Indre-et-Loire).
- CANADA CORUNDUM C°, Ltd
- (The), corindon en poudre et en meules, à Toronto (Canada) ; et Gq, avenue de la République, Paris. Tél. 908-8/1 : Adr. tél. Cana-corind-Paris. — Directeur : M. A. Borit.
- CANAL (Ateliers du). — Automobiles et moteurs, rue du Canal, à Borgerhout-Anvcrs (Belgique). — Tél. 383. Adr. tél. Ateliers-Canal-Borgerhout.
- CANALISATION. — Sous le nom de canalisation, on comprend toute installation de tuyauterie en général et, en particulier, celle d’une voiture automobile, peut-être un peu plus spécialement les tuyaux d’amenéc d’essence au carburateur.
- CANAVESIO - CARELLO (Office), accessoires pour automobiles, phares et cornets avertisseurs, à Turin (Italie).
- CANDA, matériel pour fonderie, a3, rue Servan, Paris.
- CANDELO, vente d'automobiles, 3, rue Bernouilli, Paris.
- CANDILLE, garage, rue du Yieux-Chà-tcau, à Mont-de-Marsan (Landes).
- CANET (Gustave), ingénieur, directeur de 1 artillerie du Creusol, 87, avenue Henri-Martin, Paris. Tél. 698-08.
- CANET, démarreur dilVércntiel. — Voir Lacoste (J.) et Cio. 1
- CANIVEAU. — Lu caniveau est une « rigole » C pavée (en forme de V très évasé) qui longe les bords d’une chaussée, pour servir a l’écoulement des eaux et empêcher qu'elles ne dégradent la chaussée. Les deu
- C, caniveau.
- côtés d’un caniveau se nomment revers. — Un caniveau est aussi formé par la réunion de gros pavés alternant avec d’autres plus courts appelés contre-jumelles et formant ruisseau le long des trottoirs d'une rue. — Voir le Nouveau Larousse Illustré.
- U11 caniveau est « parallèle » à l’axe de la roule; un cassis est « perpendiculaire » ou à peu près. — Voir Cassis.
- CANNARD (L.). revêtements pour g „ rages, iG, rue Saint-Augustin, Paris.
- DÉJEUNERS1 AUTO «. LOUIS VUITTON
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- — i5q —
- CANNELURE, — On nomme cannelure un ((évidement» G en iorme de «rigole», un
- « logement » pratiqué dans un arbre ou dans une pièce mécanique. La cannelure G est destinée à recevoir une clavette qui opérera la jonction de deux pièces. Ce «logement » est ordinairement commencé au bédane et terminé au burin, ou de préférence exécuté à la fraise.
- On pratique, dans les coussinets des « paliers », des rainures entrecroisées et peu profondes, appelées pattes d'araignée, qui servent à faire circuler et a retenir en même temps l’huile lubrifiant les arbres en mouvement.
- CANNES-AUTOMOBILES, garage, vente d’automobiles, boulevard Jean-IIébert, à Garnies (Alpes-Maritimes). — Môme maison : Nice-Automobiles. — Société anonyme, au capital de 800.000 francs. (Anciens établissements Burton.)
- CANOT AUTOMOBILE. — « Embarcation de 18 mètres de longueur maximum, qui emploie pour se déplacer un moyen mécanique quelconque».
- « La Commission du yachting automobile a proposé, et la Commission mixte d'appel du règlement des courses de canots automobiles a approuvé, les modifications annexes suivantes au dit règlement (novembre 190G) :
- I. Les embarcations automobiles définies -ci-dessous sont classées en trois catégories :
- 1. Racers (bateaux de course) ;
- 2. Cruisers rapides ;
- 3. Cruisers (bateaux de tourisme).
- IL Les cruisers rapides sont classés d'après les éléments suivants :
- 1. La longueur donnant lieu à l\ séries;
- 2. Le rapport de la puissance au poids ;
- 3. Le maître-bau ;
- 4- La hauteur du franc-bord ;
- 5. Le nombre de places disponibles.
- Ces éléments sont définis dans les articles suivants :
- 1. Les séries sont basées sur la longueur L mesurée comme pour les racers :
- Première série : L= 6 m. 00 et au-dessous.
- Deuxième série : L= au-dessus do G m. 5o, mais n’excédant pas 8 mètres.
- Troisième série : L = au-dessus de 8 mètres, mais n’excédant pas 12 mètres.
- Quatrième série: L = au-dessus de 12 mètres, mais n’excédant pas 18 mètres.
- 2. Dans chaque série, le rapport de la puissance au poids est défini par le rapport
- n DV
- B — P a/3
- D : le diamètre d’alésage du cylindre
- Cannelures
- exprimé en millimètre ; la mesure de D sera effectuée au palmcr et comptée au 1 10 de millimètre.
- n : le nombre de pistons.
- P : le poids du canot lège exprimé en tonnes.
- Le canot lège s’entend le canot complot avec son mécanisme propulseur, mais sans aucun approvisionnement ni armement.
- Ce rapport R =
- n D 2,4
- "p^T
- sera
- de :
- Première série, valeur de R : 22 813.
- Deuxième série, valeur de R : 24 700.
- Troisième série, valeur de R: 2G 000.
- Quatrième série, valeur de R : 28 000.
- Les courses de cruisers rapides se font sans allégeance.
- 11 résulte de cette décision (pie les cruisers rapides courant sans allégeance seront classés d'après les valeurs de R désignées ci-dessus.
- A titre d’indication, ces valeurs de R ont été établies dans chaque série, en prenant pour bases les données suivantes :
- Première série
- 8 m. maximum ; puissance maximum du moteur W : 38 chevaux ; poids minimum de la coque P : o tonne 700 ; vitesse horaire correspondant V : 20 km.
- Deuxième série
- 8 m. maximum, 5o chevaux, o tonne 900, 28 km. 000.
- Troisième série
- 18 m. maximum, 89 ch., 1 tonne 85o, 35 km.]
- Quatrième série
- Au-dessus de 18 m., 14o chevaux, 4 tonnes, 4o km.
- Mais il est évident que les valeurs de W et de P pourront varier au gré des constructeurs, pourvu que la valeur de R ne dépasse pas celle qui lui a été assignée dans chaque série.
- Les puissances utiles maxima des moteurs ont été définies par la formule W—O,oooi3i D 2,4.
- Pour les cruisers ordinaires, le règlement de 190G est entièrement applicable.»
- — Ce qui caractérise le racer, c’est la légèreté de sa coque comparée à la puissance motrice qu'elle renferme. La formule de vi-
- tesse V = m
- (dans
- laquelle V dési-
- gne la vitesse ; ?n un coefficient d'utilisation qui varie de 2,80 à 3 ; L la longueur ; F la force en chevaux ; D le déplacement, autrement dit le poids) nous montre <pie V sera d’autant plus grand que L et F seront plus forts et 1) au contraire plus faible
- CO EU I LTE' GRISET et C,e1
- CANOT» AUTOIVTOHIT^Ks — A Boulogne-sur-Mer I
- ^^...........................
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- Los racers les plus célèbres sont Lulèce, Marsouin, Mercedes, Râpée, Trèfle-à-Qua- ' tre, Rapière, Antoinette, lesquels à tour de rôle triomphèrent des courses de l'Exposition de 1900, des coupes, championnats des diverses sociétés nautiques, de Paris à la mer, des meetings de Monaco, de Lucerne, etc.
- Ces coques d’expérience donnent, de bons résultats en eau calme ; leur légèreté et leur vitesse leur interdisent, les eaux agitées. Le coefficient d'utilisation approche de 3.
- Le cruiser ne considère pas comme summum la vitesse : d'autres qualités sont exigées : une bonne tenue à la lame, un échantillonnage plus fort qui donne un poids plus considérable et surtout un confortable plus grand. La coque, tout en se rapprochant des formes des racers qui cherchent à glisser sur l'eau, possède plus de largeur et une hauteur supérieure de franc bord, ce qui lui permet de se défendre mieux à la lame et donne de suite plus de place pour les sièges et plus de confortable.
- L'application des moteurs à grande vitesse, c'est-à-dire tournant à 800 tours et souvent plus, a amené une difficulté dans la confection des hélices dont le rendement, surtout, étant donné leur faible diamètre, 11e peut cire aussi satisfaisant ; il serait de beaucoup à désirer que les constructeurs de moteurs, acceptant l’exemple de l’étranger, établissent dos moteurs marins, à régime plus lent, d'où l'aluminium serait exclus, et dont la robustesse serait la base essentielle.
- - Benz et Gio, à Mannheim (Allemagne).
- - Berliet, 12, chemin des Qualre-Mai-sotis, Lyon (Rhône).
- — - Bourreaux, 8, rue llaulefeuille, Paris.
- — - Bousquet etCio, 90, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- — Buire (Société de la), 8, rue Victor-Hugo, à Lyon (Rhône).
- — Clément-Bayard, quai Michelet, à Le-vallois-Perret (Seine).
- — Cœuilte, Griset et C1", (Chantier de la Liane), rive de la Liane, à Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais).
- - Cotti y et Desgouttes, place du Bacliut, à Lyon (Rhône).
- - Diktiucii (Etablissements de), à Lunéville (Meurthe-et-Moselle).
- — Dubiu lle (graisseurs pour canots automobiles), «A8 bis, rue Villeneuve, à Clichy-la-Carenne (Seine).
- — Eudelin, 32 fris, rue Dcsrcnaudes, Paris.
- . — Grégoire et Ci0, 55, boulevard Devaux, à Poissy (Seine-et-Oise).
- — IIotciikiss et Cio (Etablissements), 23 bis, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- — Jessk (de) et Ci0, hélices réversibles et tous accessoires pour canots automobiles,
- 7, rue Collange, à Levallois-Perret (Seine).
- — Lomdahda (Società Automobili), à Ber-gamo (Italie).
- — Martin et Letuimonier, 32, rue Félicien-David, Paris.
- — Mégevet et Ci0, 7, rue de Maiatrex, Genève (Suisse).
- — Mieusset (Etablissements), i52, route d'IIeyrieu, à Lyon (Rhône).
- — Monjardet, canots pliants, 21, rue-Richelieu, Paris.
- — Paniiard et Levassor (Société des. Anciens Etablissements), 19, avenue d'Ivrw. Paris.
- — Peugkot-Croizat, (Società), Tcsoricra,. à Turin (Italie).
- — Radia (Société), 12, rue Barbés, à Levallois-Perret (Seine).
- — Riciiard-Brasier, 23, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Rochet-Sciineider, 5^, chemin Feuillat, Lyon (Rhône).
- — Standard (Fabbrica Automobili), 20.. corso Siccardi, à Turin (Italie).
- — Thèele a Quatre Feuilles (Le), 23, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Unic (Automobiles), 1, quai National* à Puteaux (Seine).
- — Züst (Roiîerto), 4o. via Borgognone, à Milan (Italie).
- CANTINE. — Petit coffre en maroquinerie qui, placé dans une voiture ordinairement fermée, contient une glace à main, desflacons, un porte-montre, etc., et voisine souvent avec le cendrier.
- — Monjardet (cantines pique-nique), 21, rue-Richelieu, Paris.
- CANTINIERI AUTOMOBILISTICI RIUNITI, fabrique d’automobiles C. A. R. et de canots automobiles, G, via Luigi Galvanir à Païenne (Italie).
- CANTONO ELECTRIC TRACTOR
- CP, voitures électriques, 111 West 3^ th Street, à New-York City, Etats-Unis.
- CAOUTCHOUC. — Matière solide, d’une élasticité remarquable, provenant de l'épaississement du suc laiteux élaboré par certains végétaux croissant dans les pays chauds (Amérique du Sud, Gabon, Madagascar, Indo-Chiné, etc.). Les principaux végétaux caout-choutiers sont des espèces botaniques : ficus, hevea, etc. Le suc laiteux, renfermant le caoutchouc à l'état d'émulsion dans 5o 0/0 d’eau environ, constitue la sève de ces végétaux. En incisant le tronc de ces végétaux, on provoque l'écoulement du suc ou latex ; celui-ci étant coagulé par la chaleur, la fermentation ou certains procédés chimiques, se scinde en deux parties : d’une part le caoutchouc insoluble, et d’autre part l'eau tenant en dissolution les matières solubles, albumines végétales, sels, etc. Le phénomène de coagulation est comparable à celui du lait abandonnant d'une part la caséine ou fromage, et d’autre part le petit-lait. Dans le commerce r on désigne le suc épaissi ou caoutchouc naturel, suivant le pays d'extraction et l’origine ; ainsi on distingue les caoutchoucs d’Amérique,
- fCflNOTS MIEUSSET Wf,,*”..
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- d'Afrique, d’Asie. La qualité la plus estimée est la qualité dite Para (Brésil).
- Le caoutchouc naturel est chimiquement constitué par des hydrocarbures de la famille dite des Terpènes, à laquelle se rattache l’essence do térébenthine. On est du reste arrivé à obtenir du caoutchouc par synthèse, au moyen de l’essence de térébenthine convenablement surchauffée. Le mélange des hydrocarbures constituant le caoutchouc naturel, est plus ou moins soluble dans le sulfure de carbone, la benzine, les essences de pétroles, l’éther, l’essence de térébenthine (voir Dissolution). Le caoutchouc naturel peut se souder à huitième par simple accolcmenl. 11 durcit dès 3° G, et se ramollit dès 6o°, pour fondre vers i8o° en un liquide visqueux. Ces propriétés ont restreint les applications industrielles du caoutchouc jusqu'à la découverte de la vulcanisation (voir ce mot). En industrie le caoutchouc à l’état naturel n’est guère employé que pour la préparation des dissolutions.
- La production annuelle du caoutchouc dans le monde entier peut etre évaluée à environ 70.000 tonnes.
- L’industrie du caoutchouc a un centre important en France, à Clermont-Ferrand, sans que rien puisse indiquer la cause de ce choix. L’usine Michelin, de Clermont-Ferrand, fondée en i83a, et dont MM. Michelin ont fait un etablissement modèle au point de vue de l’organisation industrielle, a fabriqué successivement des fils de caoutchouc vierge et vulcanisé pour tissus élastiques, des courroies de transmission et enlin des bandages pneumatiques pour cycles et automobiles. Clermont, a donc l'honneur d'avoir été le berceau du pneumatique de voiture.
- — Le caoutchouc à l’état brut, ainsi que le caoutchouc en blocs préparés pour la fabrication des feuilles anglaises, sont exempts de droits de douane à leur entrée en France.
- — Belle-Jai\dinièi\e (Vêtements de caoutchouc), a, rue du Pont-Neuf, Paris.
- — Bergougnan et Cl0, à Clermont-Ferrand,
- \ Puy-de-Dôme).
- - Continental, 146, AvenueMalakolf, Paris.
- — Dunloi* (Société Française de Pneumatiques), i4, rue Piccini, Paris.
- — IIutciiinson (Etablissements), Go, rue Saint-Lazare, Paris.
- — India Rubber G", 97, boulevard Sébastopol, Paris.
- — Michelin et C'°, à Clermont-Ferrand, (Puy-de-Dôme).
- — Toiuulhon , 10, rue du Faubourg-
- Poissonnière, Paris.
- - Caoutchouc dui'd.— VoirEbonilc.
- CAOUTCHOUC ARTIFICIEL L’ELASTÈS. — Voir Elaslès.
- CAOUTCHOUC DURCI ET SOUPLE (Compagnie du), à Ilanovre-Limmer (Allemagne). — Reichlé (J.), représentant, 27, rue du Château-d’Eau, Paris.
- CAOUTCHOUC {Manufacture générale de). — Voir Peler (Louis), Paris.
- CAPACITANCE f—V — Inverse du \w c/
- produit de la pulsation ou fréquence d’un courant alternatif par la capacité du circuit traversé par ce courant.
- CAPACITÉ. — La capacité est la contenance dont est <( capable » un récipient, c’est-à-dire le volume qui est déterminé par les parois intérieures de ce récipient.
- En France, Allemagne, Italie, Belgique, Espagne, Grèce, etc.., l’unité des mesures de capacité est le litre, dont la contenance ou volume est d’un décimètre cube.
- — En électricité, la capacité électrostatique d’un conducteur est la charge qu’il faut lui communiquer pour porter son potentiel de zéro à un, quand tous les conducteurs qui l’entourenL sont en communication avec le sol.
- — La capacité calorifique est la disposition particulière à chaque corps de prendre plus ou moins de calorique pour élever sa température, toutes choses égales d’ailleurs. On nomme chaleur spécifique d’un corps la quantité de chaleur absorbée par un kilogramme de ce corps pour une élévation de température de i°.
- — La capacité de saturation d’un acide est le nombre exprimant la quantité d’oxygène qui se trouve dans la quantité de base quelconque nécessaire pour saturer cet acide, ou la quantité d’oxygène qu’il faut dans cette base pour qu’elle puisse donner naissance à un sel parfaitement neutre.
- CAPARAÇON. — Mot rarement employé comme synonyme de Guêtre.
- CAPILLARITÉ. — L a capillarité est la forme particulière de l’adhérence qui se manifeste entre un liquide et le tube 1res petit (ou capillaire, de capillus : cheveu) qui le contient. La capillarité se manifeste également entre deux plaques très rapprochées, et, d’une façon générale, chaque, fois que deux parois sont très rapprochées. La capillarité a des effets diamétralement opposés suivant que le liquide mouille ou ne mouille pas la paroi. Dans le premier cas, il y a élévation et, dans le deuxième, abaissement du liquide. O11 réalise le premier cas avec de l’eau, le deuxième avec du mercure. L’élévation ou la dépression capillaire dépendent de la nature du liquide et de la paroi, mais, toutes choses égales d’ailleurs, elles varient comme l’inverse du carré du diamètre des tubes. La dépression capillaire oblige à faire des corrections dans les baromètres de précision. L’ascension capillaire trouve son application dans les lampes et appareils à mèches, graisseurs, etc.
- PNEU LE “ PERSAN ” " “aTiIS*"
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- GAP
- CAPITAIN-GÉNY, aciers, à Bussy ^ (Haute-Marne) ; et 44, rue Gay-Lussac, Paris.
- CAPITAINE (Moteur de Marine). — Voir : Ilerlicq, Paris.
- CAPLAIN-BERGER (M.) et Ci0 (Anciens Etablissements Fauréal-Lefèvre), fondés en iS/|G),86, quai Jcmmapes, Paris. Tel.
- 416—g 1. Adr. tel. Capacié-Paris.— Aciers, pièces de forge. — Maison spécialisée dès le début dans la fourniture des aciers pour automobiles et destinés notamment à la fabrication des vilebrequins, arbres, essieux, pignons et engrenages, soupapes, etc.—Voir Classe 7.
- C APL AIN SAINT-ANDRÉ Frères,
- fabrique de platine, vis platinées, 10, rue Portefoin, Paris. Tél. i58-(j5.
- CAPLET (Marcel), 34, rue Dicquemare, Le Havre (S.-Inf.) Tél. 822. —Né au Havre, le 20 février 1867. — Garage ; construction de moteurs « Triplex ».
- CAPOT. — Le mot capot s'emploie particulièrement pour désigner les entourages ou eoifres métalliques qui, à l'avant d’une voiture, enferment le moteur et ses annexes : carburateur, pompe, magnéto, etc., etles protègent de la poussière, de la boue et de la pluie. — O11 nomme aussi capot le « tablier » en cuir ou en tôle qu’on installe en dessous de la voiture, en l'accrochant au châssis, pour lui faire jouer le même rôle très utile que le capot du dessus. L’usage de ce capot inférieur tend, heureusement, à être employé de plus en plus sous tout l'ensemble mécanique des véhicules automobiles.
- Les capots enveloppant le moteur ont des formes très variées, qui dépendent évidemment de ce qu'ils contiennent, mais surtout de la mode et aussi des dimensions du radiateur : capots en forme de cercueil (Mercé-dès), capots cylindriques (Delaunay Bclleville), a pans (Renault, Rochet-Schneider, Clé-1 ment, etc.), capots en forme de cigares (voitures de course), etc.
- Les capots sont ordinairement en tôle d'acier, à plusieurs pans; ils ont, sur le devant et le côté, des portes qui permettent d'accéder à tel ou tel organe du moteur, sans qu'on soit forcé de retirer ou de soulever tout l’ensemble. — Les capots sont habituellement montés i\ charnières sur la planche garde-boue, et fixés à l’avant et aux côtés de la voiture par des « agrafes » à ressort.
- Grouvelle, Ai\quemi30ukg et Cle, 71, rue du Moulin-Vert, Paris.
- CAPOTE. — La capote d'une voiture est faite en toile imperméable, ou en cuir. Elle
- i>eut recouvrir une banquette ou les deux maquettes.
- Ses avantages sont d'être légère, facile à manier, aisément démontable et, lorsqu’elle est rabattue en arrière, de constituer un pare-poussière de premier ordre. Ses inconvé-
- nients sont de 11e pas permettre, comme le fait le dais, de proliter du toit pour emporter des bagages, et d’abriter assez mal les places d’avant, la pluie s'engouffrant dans la voiture par l’ouverture même de la capote, avec une trajectoire d’autant plus horizontale qu’on va plus vite. O11 peut remédier à ce dernier., in-
- M
- CAPOTÉ américaine a double extension 15, éventail. — F, courroies. — M, capote. N, cerceaux. —T, Goujon.
- eonvénient soit au moyen d’une glace placée sur le garde-crotte, soit au moyen d’un grand tablier couvrant le guidon et se terminant à hauteur du menton du conducteur.
- La capote est montée sur des cerceaux en tubes d’acier ou en bois qui sont maintenus ouverts par des compas en acier ou par de simples courroies s’accrochant à l’avant de la voiture. Les capotes légères en toilo sont dites capotes américaines.
- On installe la capoto sur la caisse de chaque côté au moyen d’un pivot sur lequel est articulé Y éven tail supportant toutes les branches ou cerceaux. Si la capoto doit couvrir entièrement une très grande voiture, elle comporte doux éventails posés, de chaque côté, à hauteur des banquettes ; elle est alors dite à double extension. — Lorsque la capote est abaissée, elle repose sur des goujons de capote garnis de cuir et portant quelquefois des courroies qui servent à 1’ cc arrimer » convenablement.
- O11 prolonge quelquefois la capote vers l’avant par une pièce de toile, nommée ten-(lelet, qui se lixe sur la partie supérieure de la glace avant et forme ainsi un pavillon couvrant toutes les places.
- — Capotes de piles. — Les piles sèches, qui assurent l'allumage des moteurs à explosions, sont ordinairement faites de récipients eu zinc, qui forment eux-mêmes l'un des (( pôles » de chaque pile. 11 est donc nécessaire de les protéger contre tout contact métallique qui pourrait créer un « court-circuit » et amener la « décharge » des piles ; c'est pourquoi on a pris l'habitude de réunir les quatre piles d’allumage, isolées du reste les unes des autres par des cartons vernis, dans une capote ou enveloppe, en caoutchouc le plus souvent, parfois en carton doublé de toile.
- CAPPELLETTI, carrosserie automobile, 17, via delle Porte Nuovc, à Florence (Italie).
- CAPLAIN-BERGER&C
- 86, quai Jemmapes, PARIS
- Aciers pour Automobiles et Pièces de Forge (voir Classe 7)
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- i G 3 —
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- CAPRON (Lucien), io, rue Viollet-lc-Uuc, Paris. — Né à Paris, le 3 août i85a.— Ancien
- chef du bureau de Paris de l'Urbaine el la Seine, de i883 à 1890. — Fondateur de la maison Capron el Ilarel. — Conseil en matière d’assurances pour l'automobile.—Sporls-man distingué.
- CAPRON
- (Lucien) et HA-REL, agents d’assurances, 10. rue Viollet, - le - Duc , Paris. Tel. io8-/j3.
- M. L. Oaphon CAPUCHON.
- — Un capuchon est une enveloppe mélalliipie qui forme chapeau et recouvre une autre pièce plus fragile, en la protégeant des chocs possibles ou de la poussière et de la boue toujours à redouter. Exemple : le capuchon qui recouvre la « valve » d’un pneumatique. - La Maison Miche lin a lancé un C, capuchon de valve, système de capuchon dit à serrage instantané.
- capuchon de valve. V, valve. — 6, partie lilel.ee qui iixe le capuchon sur la valve. — n, partie molctéc qui sert au maniement du capuchon.
- CAR (The), journal automobile, 17, Picca-dilly Mansions, à Londres (Angleterre).
- CAPUCINES-AUTOMOBILES, yen te
- d’automobiles, 3g, boulevard des Capucines, Paris. Tel. 107-37.
- CAR (The), journal d'automobile, 17, Piccadilly Mansions, à Londres (Angleterre).
- CAR ILLUSTRATED (The), journal d’automobile, 17, Shaflcsbury Avenue, à Londres (Angleterre).
- C. A. R. (Automobiles). —Voir Cantinieri Aulomobilisti Itiuniti.
- CARAMAN, garage, vente d’automobiles, 8, rue de l’Observance, à Montpellier (Hérault),
- CARATTI (Fratelli), garage, vente d’automobiles, à Brescia (Italie).
- CARBONE. — Terme chimique sous lequel on désigne le charbon. Corps simple de la famille des métalloïdes. (Symbole C. Poids atomique 12.) A l’état non combiné se présente sous les trois états allotropiques : de carbone cristallisé — diamant; de carbone
- graphiloide — graphite (voyez ce mot), plombagine; de carbone amorphe = charbon de bois, noir de fumée, bouilles, anthracites, lignites, noir animal. Le carbone, à l’état de combinaison, entre dans la constitution des innombrables composés de la chimie organique : hydrocarbures, alcools, sucres, amidons, celluloses, etc. 11 est un des eonsti-r tuants des corps organisés : plantes et animaux.
- Le carbone se « combine » avec l'oxygène pour former l'oxyde de carbone CO; sül y a excès d’oxygène, il se forme de Y anhydride carbonique CO- (acide carbonique). Le carbone se combine aussi, à très liante température, directement avec le silicium, en produisant le siliciure de carbone cristallisé, très employé depuis quelques années comme produit a mouler et à polir, el connu sous, le nom de carborundum. ‘
- Le carbone joue un très grand rôle dans l’industrie, en automobile particulièrement! E11 effet, l'acier qui est employé dans presque toutes les pièces des voitures est le résultat de la combinaison du fer et du car-i boue; de plus, le carbone « alimente » lesJ moteurs à explosion sous forme d'essence de pétrole, qui est un hydrocarbure, c’cst-à-i dire une combinaison d’hydrogène et de carbone. ’
- 1
- CARBONE (Société Le), fabrique de piles sèches, 12, rue de Lorraine, à Levallois-Perrct (Seine). Tél. nii-98.
- CARBONIQUE FRANÇAISE (Lq), acide carbonique liquide, g3, avenue de Lour-mel, Paris. Tél. 710-97.
- CARBONIQUE LIQUIDE (Société Anonyme La), acide carbonique liquide, 33, Allées de Tourny, à Bordeaux (Cironde).
- CARBONIQUE LYONNAISE (La), acide carbonique liquide, à Lyon-Monplaisir (Rhône); et 34, rue du Sentier, Paris.
- CARBONIQUE MODERNE (U),
- acide carbonique liquide, à Bobigny (Scinje),
- CARBORUNDUM. — Le carborundum est un siliciure de carbone (CSi) proiluit artificiellement, en mélangeant intimembnt, dans un four eu briques réfractaires, du charbon et du sable, au travers desquels on fait, passer un puissant courant électrique’. ; Ce procédé a été inventé par M. Ackesom,. en Amérique, en 1891.
- CARBURANT DE L’ALCOOL. —
- Pour qu’un corps capable de carburer l’alcool soit propre à cet emploi, il faut qu'il soit parfaitement soluble dans l’alcool à toutes les températures pratiquement possibles ; il faut également qu’il soit aussi volatil que l’alcool, sans l’étre moins ou plus, et cela à toutes les, températures ; enfin que le mélange ainsi
- [Prière de lire avec soin
- La Préface & Notes importantes
- (pages 8 à 16) du présent volume.
- ]
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- - i C>4
- A l\
- constitué ne forme pas un produit- plus volatil que les deux composants, se comportant comme ' un corps unique à haute tension de vapeur, mais dans la vapeur duquel ne dominera qu'une vapeur. (D’après E.Soi'eL)
- Le benzène et le benzol à 90 0/0 sont, les carburants les plus employés actuellement ; les producteurs russes emploient quelquefois un mélange triple d’alcool ordinaire, d’alcool arnylique et de pétrole.
- L’alcool carburé employé dans les moteurs à explosions renferme généralement 5o 0/0 de benzine de houille.
- CARBURATEUR (théorie). — On appelle carburateur un appareil dans lequel se produit le mélange combustible gazeux nécessaire au fonctionnement des moteurs à explosions. Ce mélange est. constitue par de l’air atmosphérique et des vapeurs d’hydrocarbure (essence) en proportion convenable.
- Il y a donc là en résumé carburai ion de l'air atmosphérique, le moteur consomme de Vair carburé ; d'où le nom de carburateur donné à l'appareil. Pour être parlait, un carburateur doit fournir un mélange rigoureusement dosé, c'est-a-dire contenant de combustible juste la proportion qu'il faut, et de plus contenant ce combustible aussi près ([ue possible de l'état de vapeur.
- Les carburateurs se divisent en plusieurs classes :
- Carburateurs à barbotage ou léchage ;
- à distribution mécanique ;
- — à pulvérisation automatique.
- Les premiers sont peu employés à 1 heure actuelle. Le mélange du liquide à l’air y a lieu par 'voie d'évaporation et tous les perfectionnements employés ont pour but d'améliorer les conditions dans lesquelles s el-fectue cette évaporation en mettant le liquide
- en contact avec l’air sur la plus grande surface possible (emploi (le mèches, de subtances poreuses , contenant et maintenant le liquide). La figure 1 a donne l’idée d’un
- semblable carburateur : une cloison poreuse circulaire a l) est imprégnée du
- liquide dans lequel plonge sa base ; l’air entre par des orifices circulaires è, se *N charge de vapeurs
- h‘ combustibles en lé-
- chant la surface mouillée, et se rend au moteur par c. Une I entrée d'air additionnel, non représentée dans j ce dessin, permet de corriger le dosage du * mélange. j
- Les inconvénients de ce système sont, j
- nombreux : variation du dosage avec la température, l'état hygrométrique de l’air, avec la densité, la viscosité, la volatilité du liquide. De plus, si le liquide est mal rectifié, comme cela peut arriver pour des
- a. — Schéma d’un CAitnniATKrn
- A PULVÉRISATION AUTOMATIQUE.
- essences, la matière poreuse s'imprègne des parties lourdes qui, ne s’évaporant que difficilement et prenant la place du liquide volatil, empochent le carburateur de fonctionner. Ce genre d’appareils a pour avantage celui de débiter le liquide en vapeur. Son principal défaut, en cette époque de moteurs puissants, est son encombrement exagéré pour les gros débits.
- Les carburateurs à distributeur mécanique 11e sont plus employés en automobile à l'heure actuelle. La dernière maison qui les utilisa fut Gobron-Brillic. Leur défaut est de 11c permettre un réglage progressif du moteur qu’au prix d'une assez grande complication.
- Les moteurs d’automobile ayant en somme de petits cylindres, le liquide à injecter par course tomberait à une valeur insignifiante [tour la marche à vide et, pour d’aussi faibles débits, la pompe fonctionnerait avec une imprécision incompatible avec la bonne marche du moteur. Par contre, sur les moteurs fixes, tous pourvus de cylindres volumineux en raison de leur faible vitesse, les pompes d’injection du combustible ont a fournir un débit suffisamment important pour qu’011 puisse les régler avec précision.
- Les appareils de la troisième classe sont très répandus a cause de leur grand débit spécifique et de la stabilité relative de leur réglage, qui 11e dépend, comme pour les carburateurs à léchage, ni de la température, ni de l’état hygrométrique de l'air, pourvu que la température du liquide ne varie pas. Ils fonctionnent généralement par aspiration. L’air et le combustible sont pris à la pression atmosphérique et s'écoulent sous la dépression produite par l'aspiration du moteur.
- En principe l’appareil se compose d’un gicleur A (fig. 2) dont l’orifice supérieur débouclie au milieu de la conduite d’aspiration B. Celle-ci s'ouvre à l’air libre, et le gicleur est alimenté de combustible par communication avec un récipient où le niveau est maintenu constant grâce à un flotteur. Le liquide est d'abord élevé jusqu’à l’orifice du gicleur, puis entraîné par le courant d’air à l’état de gouttelettes infiniment petites ou de brouillard
- Fig. 1. Schéma n’i
- CAKIJU K AT EU IV A 1.KC1IAG
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- Des Anciens Établissements
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- G A R
- ce qui a fait donner à ces appareils le nom de carburateurs à pulvérisation.
- La théorie de ces appareils, d’accord en cela avec la pratique, montre que runiformité du dosage ne peut cire obtenue avec une seule valeur des orifices d’écoulement du liquide et de l’air, autrement dit avec des orifices immuables. On pourra toujours, pour un régime donné du moteur, faire en sorte que les éléments du mélange, liquide et air, soient dans la proportion voulue pour assurer le meilleur rendement possible, c’est-à-dire la combustion la plus complète et la plus instantanée possible. Il suffit pour cela d’agir sur l’un des orifices ou sur les deux à la fois. Mais ce réglage, que nous supposons parfait, ne sera plus le bon si le moteur accélère ou baisse son allure. La carburation deviendra mauvaise et la puissance du coup de piston diminue jusqu’eà ce qu’il y ait des ratés, puis arrêt du moteur.
- Que faut-il donc, pour que la carburation demeure constante, autrement dit pour (pie le rapport des poids d’air et de combustible soit toujours constant? Il faut que la grandeur relative des orifices d’air et de liquide change avec la dépression ou vide créé dans l’appareil par l’aspiration du moteur. Or cette dépression varie évidemment, et dans de très grandes limites, avec la vitesse et la charge du moteur. L’étude détaillée de cette question nous entraînerait beaucoup trop loin. Disons seulement que, lorsque la dépression augmente, il faut augmenter la section d’entrée d’air (celle de liquide restant fixe) et dans une proportion qui n’est pas fixe, plus grande au début de l’accroissement que par la suite. Ce principe est la base de tous les carburateurs
- «à pulvérisation à réglage automatique ou carburateurs automatiques.
- Dans ces appareils, l’orifice d’écoulement du liquide est fixe, ainsi qu’un orifice d’air seul ouvert à la plus petite vitesse du moteur et
- PS PS
- DK I.A
- GOCPK DANS I.K CARBURATEUR KllEBS
- Maison Panhard et Levassor.
- Différentes positions du tiroir-doseur dans le caburateur Krers
- (Pas de dépression. — Peu de dépression. Maximum de dépression)
- par suite pour la plus petite dépression. Quand celle-ci augmente, un orifice d’air additionnel s’ouvre automatiquement de la quantité voulue.
- La figure 3 donne un schéma du dispositif d’entrée automatique d’air additionnel dans le carburateur Krebs.
- L’essence vient par un filtre à la boîte du flotteur (non représenté sur le dessin) d’où elle arrive dans l’ajutage ou gicleur D. Lorsque le moteur aspire, (le tiroir G de régulation étant dans la position qu’indique la figure), il fait à la fois s’engouffrer par l’orifice invariable A un volume d’air, et jaillir par le gicleur une quantité d’essence qui correspondent à la dépression produite par une vitesse de 200 tours environ à la minute. Le mélange ainsi formé s’en va par J au moteur. L’ajutage est recouvert par un tube A, fendu pour lui laisser passage et servant de canal au mélange qui s’y forme. Le supplément d’air nécessaire aux vitesses supérieures à 200 tours entre par
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- — i G 6 -
- les orifices M pour venir se mélanger au gaz forme (fig.4). Il a etc dit que la dépression seule régit l'ouverture de ces orifices tulditionnels. Or le tiroir (1, dentelé sur l’un de scs bords pour ouvrir ou fermer progressivement à la fin de sa course, est soumis au régulateur et influencé par un ressort antagoniste commandé par le conducteur, selon le mode classique, et sert à augmenter ou diminuer la vitesse du moteur en agissant, sur le poids du mélange admis. C'est donc un robinet qu'il ne faut pas confondre avec le tiroir K, qui, lui, n'obéit qu’à la dépression. On comprend toutefois que les déplacements du second correspondent en général aux déplacement du premier, puisque c’est le premier qui, donnant plus ou moins de gaz au moteur, règle sa vitesse et par conséquent détermine la dépression dans le carburateur. La face inférieure du pistonQest soumise a la dépression qui règne dans l'appareil, et sa face supérieure est soumise à la pression atmosphérique par un trou S suffisamment petit pour que, lorsque le disque. Q est aspiré par la succion du moteur, l'air entre relativement lentement dans la chambre 0 dont le volume croît, très vile, et pour qu’inversement l'air s’en échappe avec une certaine lenteur quand, l’effort de succion cessant, le ressort H ramène le disque P en contact avec le couvercle.
- .. Carburateur à clapet (lig. b). — Le
- principe est le meme : a est le gicleur, b 'entrée d’air fixe, susceptible d’un réglage lors de la mise au point de l'appareil, c le clapet d’air additionnel, d un papillon régulateur
- Schéma du dispositif d’étuaxoi.f.mf.nt des <;az
- ET DK LA SOtP.U'F AUTOMATIQUE 1>’AIU ADDITIONNEL.
- agissant sur le poids de mélange aspiré, et c tinc chemise de réchauffage parcourue par l’eau de circulation. On notera que les accroissements de la section d'air dus au clapet sont proportionnels aux accroissements de la dépression.
- — Carburateur Cottin et Desgouttes. — Le carburateur de cette maison mérite une mention ici pour la simplicité de sa conception et l'efficacité du dispositif d’étranglement qu'il comporte. Un seul boisseau règle la carburation et la quantité de gaz admise aux cylindres. La figure ci-dessous en explique clairement la disposition adroite.
- Caubuiwteuii Cottin kt Dksuouttks 1907
- A. boisseau réglant la quantité de gaz admise aux
- cylindres. . H, boisseau réglant la quantité d’air
- admise autour du gicleur et par conséquent la dépression. — C, floUeur.- I), arrivée d’essence.
- — KF, conduites d’aspiration allant aux cylindres.
- — G, gicleur. — H, champignon donnant au mélange son homogénéité. - I, «mirée d’air additionnel.
- — Carburateur Sthenos. — Nous ne pouvons oublier, dans la très rapide nomenclature (pie nous faisons ici des carburateurs à essence, de signaler le carburateur Sthenos, inventé par M. Moisson, dont le fonctionnement repose sur un principe (pii a fait fortune, le Inbe conique entourant le gicleur. O11 démontre assez facilement que, par un tube conique d'une inclinaison de parois bien calculée, l’écoulement d'un lltiide à des vitesses variables donne lieu en un point donné à une dépression à peu près constante. 11 résulte de cette propriété particulière (pie, si le gicleur est convenablement entouré d'un lube conique, la dépression qu'il subit est très sensiblement régulière, à tel point (pie la carburation ne change presque pas, en dépit des variations d’allure du moteur.
- Ce principe a été depuis appliqué avec succès à beaucoup de carburateurs connus.
- — Carburateur Grouvelle.— La Maison Urouvelle et Arquombourg s'est, consacrée à l’élude très approfondie des carburateurs. Elle est parvenue à en fabriquer pour tous usages, (pii sont remarquables par leur simplicité et leur régularité.-— Voir Doseur.
- Carburateur G. A
- J. GROUVELLE, H. 0RQUEMBOURG & Ci8
- 71» mm du Moulin-Vert, PARIS
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- - Carburateur à alcool. — Les carburateurs à alcool 11e diffèrent pas beaucoup des
- A, pot «lu niveau constant. - - B, couvercle du pot. — 1), Iiouclion. — F * pointeau. — H, raccord tournant. — I, raccord d’arrivée d’alcool. — .1. bouchon de vidange.— K, chambre inférieure de mélange. — M, pointeau de réglage. — N, orifices de giclage. — 0. grille de réglage. — P, pièce support de la bague d’étranglement.
- — (J, bague d’étrangle-
- ment. — S, réglage du mélange. — V, corps du carburateur, — X, entrée d’air.
- — Y, sortie des gaz. — a. a, échappement des gaz de réchauffage.— b, écrou de presse étoupe. — d, d, ailette de réchauifagc formant chicanes. — c, e, e. e. chambres de réchauf— ifage. — f, boulon moleté du pointeau de réglage.
- carburateurs à essence (voir à ce propos l'ouvrage Sa Majesté l’Alcool), mais leurs détails de construction 11e sont pas les mêmes cependant. La maison Longuemare, spécialiste en matière de carburation, a établi un bon carburateur à alcool dont.
- flotteur. — C, - K, poussette.
- voici la description: Le moteur aspire en Y (fig. 6). L’air entre en X, traverse la chambre P et 0 qui (grâce au réchauffage que lui donne la chemise Y dans laquelle passe une dérivation de l'échappement) sc trouve à bonne température et va au moteur par Y. L’alcool jaillit au travers de fentes concentriques qui se trouvent au bas du bouchon /. Le jaillissement, est facilité par l’enveloppe P 3N qui entoure l'ajutage et augmente l'effet de la dépression. En manœuvrant par S le disque 0, le conducteur permet au moteur d'aspirer une quantité plus ou moins grande de gaz.
- — Carburateur à pétrole lampant. — Le danger d’incendie que présente l’essence, 1’impossibilité d’éteindre par l’eau un incendie d’essence ont de tout temps incité les chercheurs à la création d'un carburateur à pétrole lampant (le pétrole des lampes ordinaires d'éclairage). Le problème est facile à énoncer et très difficile à résoudre, surtout, parce que le point, d'inflammabilité du pétrole est très élevé (-(-35°) et que, par suite, la mise en route est fort difficile et la marche très peu certaine sans réchauffage. D’autre part, le réchauffage exact à tout moment est une difficulté également.
- M. Claudel est. un des ingénieurs qui ont le plus travaillé la question. Son carburateur comporte deux ajutages E et J commandés chacun par un llottcur différent. Le premier fournit de l’essence pour le départ; le second, du pétrole. L'aspiration se fait par l’orifice qui se trouve derrière E (au milieu de la bride C).
- A chambre du niveau constant, essence. — B, chambre du niveau constant du pétrole. — C, raccord du tuyau d’aspiration. — D, réglage do l'entrée d’air principale. — K, gicleur d’essence. — F. Chicanes d’aspiration du pétrole. — G. cylindre central do la pompe do dissociation. — H I, traversée de l'échappement. — J, gicleur d’essence. — K, Pointeau do réglage du pétrole en L. — L, extrémité-cône du pointeau de réglage. — l, ailettes. — M, raccord d’arrivée de pétrole. — N, raccord d’arrivée d’essence.
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- On voit, que l'a jutage J jaillit contre un tube G (plissé pour éviter ses dilatations). Ce .tube * est situé sur le passage II de l'échappement, du moteur, il récbauÜ'e ainsi le pétrole jaillissant par là.
- Carburateurs ;
- — Ariès (Automobiles), 3q, quai d’Argen-teuil, à Villeneuve-la-Garenne (Seine).
- --- Benz et Cio, à Mannbeini (Allemagne). Bkrliet, 12, chemin des Quatre-Maisons, \ à Lyon-Monplaisir (Rhône). j
- - ClIENAlU) ET WàLCKKR, 7, l’UC de N OU- j
- maudit*, à Asnières (Seine). j
- — Cottin et Dësgouttks, }>lace du Bachot, j à Lyon (Rhône).
- — Eudklin, 32 biSi rue Desrenaudes, Paris.
- — - Gladiatoh (Automobiles), au Pré-Saint-Gervais (Seine).
- — Grouvelle, Arquembourg et C10, 71, rue du Moulin-Vert, Paris.
- -- iÏENNiîmjTTE, 16, rue de Chartres, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- - 1 Ïussenot et Raynaud, carburateurs de
- Retz, 3q, rue La Boétie, Paris. j
- — Lepape, 28, rue Demours, Paris. j
- Longuemahe Frères, 12, rue du Buisson- j Saint-Louis, Paris.
- - Pilain (Automobiles), 17, chemin de Monplaisir, à Grange-Rouge, Lyon (Rhône).
- — Renault Frères, i3tj, rue du Point-du-Jour, Billancourt (Seine).
- —- Rociiet-Sciinkidkr, 07, chemin Fouillât, Lyon (Rhône).
- — Rogers et Cio, 1, rue Saint-Georges, Paris. I
- - Stiienos, 1, rue Saint-Georges, Paris. Trèfle a Quatre Feuilles (Le), 23, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- • — Züst (Roberto), /|0, via Borgognone, à Milan (Italie).
- CARBURATION. — On appelle carburation le mélange de l'air (comburant) avec le liquide (combustible) qui s'effectue dans les carburateurs.
- O11 dit que la carburation est bonne ou mauvaise suivant que le mélange contient ou non la proportion convenable de combustible ou d'air, et on dit « régler la carburation » pour régler le dosage du mélange.
- Ce mélange varie suivant le liquide employé. Pour une partie de liquide, il faut environ i5 parties d’air avec une d'essence, 9 avec l'alcool ctbyliquc et 7 avec l’alcool méthylique, en poids, bien entendu.
- CARBURE de calcium (ou acétylure de calcium). — Composé chimique formé par la combinaison du charbon ou carbone avec le calcium (métal constitutif de la chaux ou oxyde de calcium).
- Le carbure de calcium (C-Ca), découvert par Wœhlcr, chimiste allemand, est devenu un produit industriel d’une importance considérable depuis l'emploi du 4‘ four électrique ’ comme moyen de fabrication (Moissan-Wil-
- son-Bullier). Le carbure de calcium est obtenu par la désoxydation de l'oxyde de calcium ou chaux anhydre (chaux vive) ou du carbonate de chaux (craie) au moyen du charbon. L’oxygène de la chaux s'unit au carbone sous forme de l’oxyde de carbone. Le calcium libéré s’unit au carbone en excès pour former le carbure de calcium.
- CaO
- 1
- G2 G a + CO
- t:\yilc tij calcium ua chaux' anhydre
- Caroonj
- ou
- charbon
- Ci u nuie de
- calcium
- Oxyda de caibone
- Cet te réaction, pour prendre naissance, exige une température très élevée, 2 ooo° C. environ, donnée par les fours électriques. Le carbure de calcium est utilisé comme matière première du gaz acétylène (voyez ce mot). Le carbure de calcium, par simple mise en contact avec l’eau ou avec des produits aqueux, s’empare de l’oxygène de l’eau pour former de la chaux hydratée solide (chaux éteinte) ; l'hydrogène de l’eau libéré s’unit au carbone pour constituer le gaz acétylène (carbure d'hydrogène/, suivant l'équation
- <;*Ci -|- 2 H20
- Ca(OII)
- _L
- 1
- CMI®
- Gai 1)^10 Lau
- <b
- calcium
- Gliaux Acetylene
- hydratée (gazeux)
- (solide) Garbure
- d’hydrogène
- Le carbure de calcium étant très « avide » d'eau, s’empare rapidement île l’humidité ou vapeur d’eau contenue dans l’air atmosphérique et se décompose peu à peu en acétylène et chaux éteinte ; il faut, donc le conserver en fûts ou récipients bien fermés.
- Mis au contact de l’eau, le carbure de calcium décompose l'eau (11-0) à froid, c’est-à-dire qu’il s'empare d'une partie de l'hydrogène qui la compose pour former de l'acétylène (C2H2) qui se dégage ; le résidu de l'opération est de la chaux Ga(OII)2 hydratée qui reste dans le fond du récipient. — La réaction est très active. Théoriquement, trois kilogrammes de carbure de calcium fournissent près d'un mètre cube d'acétylène.—Voir Acétylène.
- Pour modérer la réaction de l'eau lors de la production de l’acétylène dans les emplois usuels (phares d’automobiles, etc.), on a imaginé de protéger partiellement les morceaux de carbure en les recouvrant ou imbibant d'un enduit protecteur. On obtient ainsi ce que l'on appelle le carbure protégé ou enrobé. Un des moyens les plus simples consiste à imbiber simplement le carbure avec du pétrole ou des hydrocarbures lourds. On a employé également le sucre comme agent perfectionné d’enrobage ; celui-ci a pour propriété, pendant l’attaque par l’eau, de former avec la chaux produite, peu soluble dans l’eau, un saccharate de chaux soluble. La surface de chaque morceau de carbure est ainsi maintenue, débarrassée de l’hydrate de chaux et décapée. Pour réaliser cet enrobage, on
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- C A \\
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- commence par imbiber le carbure avec du pétrole, puis ou le recouvre d’une couche de sucre (procédés Létang et Serpollet).
- — Depuis le mois d’avril 1906, le carbure de calcium est frappé d’un droit d’octroi de 5 IV. par cent kilogrammes, à son entrée dans Paris.
- CARBURE DE CALCIUM (Société Commerciale du), 2, rue Blanche, Paris. — Magasins : 5, quai d’Ivry. à lvry (Seine).
- CARBURES D’HYDROGÈNE.—Voir Hydrocarbures.
- CARCASSE. — Ce terme s'emploie pour désigner l’ossature de l’enveloppe du pneumatique, c'est-à-dire l’ensemble des toiles recouvert de caoutchouc et terminé par deux bourrelets. La carcasse est destinée à recevoir une chape de renforcement appelée croissant. — Voir Enveloppe.
- CARCEL. — Le carcel est l'unité de l'intensité lumineuse qui est produite par une lampe « dite de Carcel » (du nom de son inventeur), qui brûle, à l’heure, l\.z grammes d’huile de colza épurée, avec un bec de 12 millimètres de diamètre. — Le carcel était adopté autrefois, en France, comme unité d’intensité lumineuse ; depuis 1889, l’unité pratique est la bougie décimale. t
- CARDAN (Su bstantif masculin). — On appellejom/ de cardan ou cardan, un organe servant à relier deux arbres concourants faisant entre eux un angle quelconque.
- Le rendement des cardans est défectueux lorsque l’angle formé par les deux arbres opposés devient inférieur à i35°. O11 voit néanmoins que le champ des variations angulaires est assez étendu puisqu’il s’étend de o à 90°.
- On emploie les cardans pour donner de la flexibilité aux arbres d’hélice dans les navires, pour la commande du mouvement dans les fraiseuses et surtout dans la transmission des automobiles (ire application par Renault frères en 1897). Dans ce dernier usage, le cardan sert à transmettre le mouvement du moteur à la boîte des vitesses ou de cette dernière à l’essieu arrière. Dans le premier cas, la transmission s’effectue en ligne droite sous un rendement de 100 0/0, et le cardan ne sert qu’à parer aux flexions du châssis. Dans le second cas, la transmission s’effectue sous une obliquité variable avec la llexion des ressorts. Les transmissions par cardans, limitées autrefois aux faibles puissances, tendent actuellement à prévaloir avec les perfectionnements de l’essieu arrière ayant pour objet d’éviter les conséquences nuisibles de sa flexion.
- — Automobiles Ariès, 3q, quai d’Argenteuil, à Villencuve-la-Garenne (Seine).
- — Chenard et Walcker , 7, rue de Normandie, Asnières, (Seine).
- — Clkment-Bayard, quai Michelet, Leval-lois-Perret (Seine).
- — Métallurgique (La), à Marchienne-au-Ponl, près Charleroi (Belgique).
- -— Renault Frères, i3g, rue du Point-du-Jour, à Billancourt (Seine).
- — Rociiet-Sciineider, 07, chemin Fouillât, Lyon (Rhône).
- CARDE. — Sorte de brosse en fils d’acier, servant à « dégraisser » les limes. — Voir Brosse à limes.
- CARDINET et C'°, fabrique de roues, 24, rue François-Bonvin, Paris.
- CARDON (René), représentation d’automobiles, 06, rue Jeanne-d’Arc, à Rouen (Seine-Inlcrieure).
- CARÉNOU, cuivrerie pour carrosserie automobile, réservoirs et capots, 34, rue Go-dot-de-Mauroi, Paris. Tel. 244-63.
- CARFAGNI, garage et vente d'automobiles, à Genève (Suisse).
- CARIOLATO, garage et vente d’automobiles, 36, via Arenula, à Rome (Italie).
- CARLE (L.), clés et pièces de forge, 21, rue d’Alsace, à Courbevoie (Seine).
- CARLI- BASSET (Georges-Claude), 11, rue des Damattes, à Puteaux (Seine). — Né à Paris, le 20 septembre 1874. — Officier d'Académie.— Chef de la fabrication des moteurs aux usines de Dion et Bouton. Professeur du Cours (l’Automobile à l’Association Philotechniquc de Puteaux. —- A été dessinateur aux Forges et Chantiers de la Méditerranée (Artillerie Canet), de 1888 à 1894 î est entré aux usines de Dion-Boulon en 189/4, comme dessinateur, puis chef d’études.
- CARLINGUE.—Pièce de bois placée et chevillée sur la quille d'un canot automobile, par-dessus les pieds des membrures qui sont solidement maintenues.
- CARLISLE and FINCH C°, dynamos d’allumage, 233, East Glifton Avenue, à Cincinnati (O.), Etats-Unis.
- CARNOT (Cycle de) — Voir Cycle de Carnot.
- CARON, garage, avenue du Rivage, à Abbeville (Somme).
- CARON, garage, rue de Paris, à Fiers (Orne).
- CARON, allumage. — Voir Téléphones (Société industrielle des), Paris.
- CARPENTIER, machines-outils , l\o, quai Jemmapes, Paris. Tél. 423-8q.
- Automobiles RENAULT FRÈRES Bil!Srt
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- C A l\
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- G A K
- CARPENTIER (Ch..), canots automobiles, rue Briffant, à l'ilc Saint-Denis (Seine).
- est un nombre dont la « racine carrée » peut être « extraite » exactement.
- CARPENTIER (Jules), no, me Dclam-bre, Paris. Tel. 700-65. — Né à Paris, le di août i85i. Officier de la Légion d'honneur et de l'Instruction publique. Ingénieur construcleur, successeur de Huhmkorff; membre du Bureau des Longitudes; ancien président de la Société des Electriciens et du Syndicat professionnel des Industries électriques. Ancien élève dcl'Ecole Polytechnique ; ancien ingénieur des Manufactures de l'Etat ; ancien ingénieur du P.-L.-M. A succédé à ftuhmkor/f en 1878.
- CARPENTIER et MEUNIER, refroi-disseurs, à Villcncuvo-Saint-Gcorgcs (Seine-et-Oise).
- CARPIGNANO, vente d'automobiles et garage, 53, via dei Fori, à Turin (Italie).
- CARRE. — En géométrie, un carré est un quadrilatère plan, dont les côtés sont égaux et les angles droits. — On dit quelquefois, mais à tort complètement : un carré « long », ce qui ne peut cire un carré, puisque ses quatre côtés ne sont pas égaux.
- . Une diagonale AD ou BC est. la ligne qui réunit les sommets des angles opposés.
- A B A Coté* B
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- ^ 7 \ , 9°°7
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- X \ / s <3-
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- £________________________il II / t
- C D C D
- Table des Cauhés îles nombres de 1 à J00
- NOMBRES CARRÉ NOMBRES CARRÉ NOMBRES CARRÉ
- I I 35.... . 1225 08 .... 40 2 4
- 2 4, 30... . . I29C 09 ... . 47O1
- 3 9 37 ••• • . l36q 70 ... . 4900
- 4 iG 38.. . . 1444 71 ... . 5o41
- 5 25 3q ... • . i5ai 72 .... 5184
- 6 30 4«.... . 1 Ooo 73 ... . 5329
- 7 49 41 .... . 1081 74- • 547O
- 8 64 4-2 • • . 17O4 75.... 502.5
- 9 81 43.... • 1849 70 6776
- 10 100 44-.. . iq30 77- • 5929
- II ...... I 2 I 45... . 202.5 78 .. . 6084.
- 12 14 4 40.... . 211G 79 ... . 6241
- i3 1O9 47-. . 2209 80 . . , 04oo
- i4 196 48.... . 23o/| 81 .. . 6561
- i5 22.0 49.. . . 2401 82... . 6724.
- 16 250 5o .... . 2,5oo 83.. . O889
- 17 2.89 5i .... . 2G0I 84- • 70.50
- 18.. . . 3a/, 5.2 .... . 270.4. 85.. . 7226
- >9 301 53 ... . . 2809 86.... 7896
- 20 .. . 4 00 •r>4 . 291!) 87.... 7.569
- 21 .. . . 441 55 .... . 3o25 88... . 7744
- 22 ... . 484. 50 .... 3i36 89.... 7921
- 2l] 529 r>7... • 3249 90.., . 8100
- 24 5^0 58 .. . 3304 91 ••• 8281
- 2,5 625 59.. . . 3.481 92.. . 8404
- 2() .. . . . G 76 Go .... . 3Goo 93.... 804q
- 27 739 61.... . .'I721 94 • • • 8830
- 2$ 784 ()2 ... . . 3844 9.5.. . 902.5
- 29 841 03 .. . 3969 96 .... 921G
- 3o 9°0 04 ••• • 409O 97 ... . 9409
- 3i ...... qO 1 55.. . . 4220 98 .... 960.4
- 32 1024 00.. . . 4350 99 9801
- 33 1089 G7 ••• . 4489 I OO .... IOOOO
- 34 1 ï 56
- Cauues
- O11 obtient la longueur d'une diagonale en multipliant la longueur d uncôtépar le nombre
- i,4'4-
- La surface d'un carré s'obtient, en multipliant un côté par lui-même ; elle est le produit de la mesure de sa base par sa hauteur. Dans la ligure, S-—El) X DB.
- - Carré. —En arithmétique, le carré d’un nombre est le produit, de ce nombre multiplié par lui-mème. On dit aussi : la deuxième puissance. Exemple : 16 est le carre de t\
- (4X4—iG).
- Le carré s'exprime par le chiffre placé en « exposant » en liant du dernier chiffre de droite, avant la virgule. Exemple : !\- signifie 4 « au carré », ou !\ « à la deuxième puissance », ou /| puissance 2. 42 = 4X4 : — 16.— Exemple : (4,5)2—-4>5 X 4,5 = 20,25.
- Faire le carré d'un nombre, on élever un nombre au carré, c'est, multiplier ce nombre par lui-mème. U11 nombre « carré parfait ((
- — En mécanique, on appelle carré : soit un trou C ayant celte forme, pratiqué dans une pièce, soit un « arbre » U' sur lequel on a pratiqué 4 faces de même largeur, donnant a cet, arbre une « section » carrée. — Le carré est employé en automobile pour « ein-
- r.\ CAIIIIF DANS I NF. IIOUK.
- manchcr » certaines pièces les unes dans les autres, comme l’essieu arrière dans la boîte du différentiel... et surtout pour permettre le déplacement latéral, au moyen d'une « fourchette », du train baladeur (voir ce mot) sur l'arbre carré qui le porte, et obtenir
- fchnue semaine OMINIIA
- BSVQB PSATIQI1* DB LOCOMOTION
- K*daet*urtnCbtf:L. BAUDRY de SAUNIER ao, ru* Duret, Paris
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- ainsi les changements de vitesse; la roue dentée R peut, en effet, « coulisser » à droite on à gauche sur l'arbre carré A, tout
- Le carrossage des roues arrière d’automobiles est difficile à obtenir à cause des chaînes qui tireraient de travers ou de la
- R
- Aivimr CAïuu: l’orn tiiain bai.carf.ur
- en restant constamment animée de la vitesse propre de rotation de cet arbre.
- CARRÉ, moteurs et pompes, i3, rue de La Boétie, Paris.
- CARREAU, motocyclettes, avenue des Ternes, Paris.
- CARREAU. Grosse lime, de section carrée de l\ à b centimètres de coté, qui sert à dégrossir les pièces brut.es sortant de la forge ou de la fonte.
- CARRÉE. — l me
- N
- B
- G N CAIUUK Vi; DK COTK.
- carrée est une lime dont la (( section » est carrée et dont, par conséquent, les quatre laces sont de largeur égale. — O11 l'appelle aussi « quatre-quarts )).
- CARRIK. -
- N o m d o n né, e n carrosserie, au pied arrière d'une voilure qui a la lorme d'une double courbe inverse A B G D, indiquée par le dessin.
- CARROSSAGE. — Le carrossage ou devers, est l’inclinaison qu'on donne à l'essieu E d'une voiture pour que la roue R, qui porte sur la fusée, ait constamment ses rais perpendiculaires au sol. — Lorsqu'on sc place derrière une voiture (à chevaux surtout), on remarque que, non seulement la roue a de Y écuanteur (voir ce mot), .mais (pie, de plus, sa partie haute s'éloigne plus de la caisse V (pie sa partie basse. Ge fait provient du devers ou carrossage que le carrossier est obligé de donner à l’essieu, la règle essentielle de solidité d'une roue voulant que le rai travaille toujours perpendiculairement à son plan de roulement ; une roue très écuée appelle donc nécessairement un essieu très déversé.
- «
- Roi E AYANT du “ CARROSSAGE *\
- transmission à cardan qui s'y oppose le plus souvent (sauf chez Ariès par exemple). Leur écuanteur est du reste assez faible et souvent nulle complètement.
- CARROSSERIE. — La carrosserie est l’art d’ « habiller » le châssis automobile qui est fourni par le constructeur à l'état nu. Le carrossier est chargé de confectionner la caisse, les ferrures, les garnitures, etc., de peindre et vernir les panneaux, le train, les roues, etc., de iermer la voiture au moyen de dais, capote ou ballon, etc., en un mot,
- .60 __
- (ioTKS MINI M A d’uNF CA RROSSFR1K CONTORTÀULK
- de transformer le châssis sortant de l'usine en une voiture élégante et confortable, entièrement. terminée et prête à (( prendre la route ». En un mot, c’est le tailleur d’habit du châssis automobile.
- Par extension, on désigne couramment par le mot carrosserie, non pas cet art élégant, mais Y œuvre même du carrossier, c’est-à-dire la caisse et ses garnitures : « une carrosserie de course, une carrosserie rouge », etc — Voir Voilures, Siège, Caisse.
- A | M LES MEILLEURES VOITURES POUR LE GRAND TOURISME
- ri AU I A 12, rue Barbés, LEVALLOI5 (Seine)
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- G A R
- — Belvàllette, 21, rue Duret, Paris.
- — Botiaux et Cie, 28, rue Grelfulho, à Levallois-Perret (Seine).
- — Kellner et ses Fils, 120, avenue Mala-kolf, Paris.
- — Laclavehie et Gâches, 9. rue Muni rosier, à Neuilly-sur-Seine.
- — Labourdette (Henri), 35, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- — Lampluoii et Cif\ 8. rue Ernest-Cognacq, à Levallois-Perret (Seine.)
- — Rothschild, i3i, avenue MalakofT, Paris.
- — Vingt et Boulogne, G1, rue de Villiers, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- CARROSSERIE INDUSTRIELLE
- (Anciens etablissements de /a), 10, rue
- Tourncux, Paris. Tel. 91G-11. Adr. tel. Car-rosserie-lndustrielle-Paris. — Société anonyme au capital de 2 millions de francs.
- CARROSSERIE MODERNE (La), — Voir Pichard et GMo, Paris.
- CARROZZIERA ITALIANA et CESARE SALA, carrosserie automobile de luxe, 45, corso Scmpione, à Milan (Italie). Tel. 3i.oo et 11.61. Adr. tel. Carrozziera-Milano. — Société Anonyme au capital de 2 millions de lires.
- CARTER. — Un carter est une pièce en métal, ou en cuir, ou en celluloïd, etc.., qui sert, dans les bicyclettes, à protéger la chaîne de la boue et de la poussière et empêche les robes flottantes de se “ prendre ” dans les roues dentées.
- Le carter, dans une voiture automobile, est non seulement un organe de protection, mais aussi un organe do “ support 11 forme la base du châssis du moteur, il renferme les changements de vitesse, le différentiel, etc.
- Toute u boîte ” métallique est, dans un véhicule automobile, appelée carter, lorsqu'elle sert à envelopper, a renfermer, à contenir des pièces en mouvement, telles que le vilebrequin du moteur, un u train baladeur ", etc.
- Le carter est presque toujours en aluminium, quelquefois en bronze, et plus rarement en acier coulé. Le carter d’un moteur est ordinairement divisé en deux “ boîtiers *’ ajustés très exactement Tunà l’autre, et d'une étanchéité qui doit être parfaite puisqu'il renferme toujours de l'huile violemment projetée à l'intérieur en tous sens par la rotation des volants ou du vilebrequin.
- Les faces extérieures du carter sont munies d’attaches ou A'oreilles qui permettent de le brider au châssis de la voiture.
- On appelle aussi quelquefois carter ou cuirasse le tablier de métal ou de cuir qu’on place sous l'ensemble moteur et même sous toute la voiture, pour empêcher la poussière et
- la boue de pénétrer dans les u dessous " de ' cette voiture.
- — Clément-Gladiator (carter de chaînes),
- I au Pré-Saint-Gervais (Seine).
- | CARTES GÉOGRAPHIQUES. —
- L'automobiliste a besoin de deux genres de I caries : les unes, à petite échelle, qui lui | serviront à préparer l'ensemble de son itiné-I rairc et à en tracer les grandes lignes ; les | autres, à plus grande échelle, qui seront utiles pour la connaissance des détails de la route et qui donneront une meilleure représentation de la topographie de chaque lieu traversé.
- Les cartes les plus employées sont :
- La carte au 1/900 000e, publiée par la maison de Dion-Bouton, en couleurs, (dette excellente carte est spécialement destinée à la (( préparation » du voyage ; elle indique, entre autres détails, avec une extrême clarté, les distances entre les villes, avec la pente maxima existant entre ces points. — Cette carte était autrefois établie au 1/800 ooo°. (Voir plus loin).
- La carte au i//joo 000% éditée par le Tou-ring-Club de France, en six couleurs. Chaque partie représente un ensemble assez grand de régions sous un petit volume et avec le plus de renseignements possible, tels que routes pavées, trottoirs cyclables, pentes, etc.
- La carte au 1/200 ooo°, publiée par le service géographique de l'Armée, qui est une bonne réduction polychrome de la carte au 1/80 ooo°; c’est la plus pratique de nos cartes « officielles », à défaut de carte spéciale du tourisme.
- La carte au 1/200 ooo° des environs de Paris, créée par la maison de Dion-Bouton, en couleurs ; remarquable par sa clarté et le nombre des détails.
- La carte au 1/100 000e du Ministère de l’Intérieur, qui est polychrome, ce qui en rend la lecture plus facile, mais dont la précision du trait est loin de valoir celle de la carte de l’Etat-Major.
- La carte au 1/80 000e, carte classique et détaillée de la France, dite <( carte d’Etat-Major », publiée par le service géographique de l’Armée. Ses grandes qualités sont: la quasi-perfection dans l’exactitude, la netteté de la gravure et la clarté avec laquelle elle peint aux yeux les moindres détails du sol, ainsi que les routes de tous ordres. Ses défauts sont : l'uniformité de teinte (tirage en noir sur blanc), l’excès peut-être de détails, et surtout son échelle qui la rend trop encombrante et exige, pour un parcours déterminé, un grand nombre de feuillets.
- La carte au 1/00000 des environs de Paris publiée par le Touring-Glub de France, qui, très pratique pour le piéton et le cycliste, limite, par sa grande échelle et l'espace restreint qu'elle embrasse, son emploi à une zone trop exiguë pour l’automobile.
- Les cartes les plus pratiques nous semblent
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- C A K
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- C A S
- être celles au 1 4°o ouo“ pour la préparation des itinéraires et celle au 1/200000 pour leur exécution. (Lire les études de M. L. Ausclicr et celles de M. E. Chaix, dans La Vie Automobile.)
- CARTES ROUTIÈRES DE DION BOUTON, 30, quai National, Puteaux. Ces cartes sont en 1907 :
- —- Carte de France, au 900000°, en n couleurs, collée sur toile, en !\ morceaux et pliée en étui, 10 francs.
- — La même, sur papier simili-japon, en 4 morceaux et pliée en pochette, l\ francs.
- — La meme, collée sur toile et montée sur baguettes, carte murale, 10 francs.
- — Cartes régionales au 200000° (Environs de Paris, Caen, Rouen, Amiens, Châlon-sur-Marnc, Dijon, Orléans, Tours).
- — Chaque feuille, sur papier simili-japon et pliée en pochette, 1 franc.
- La meme, collée sur toile et pliée, 3 francs.
- -- La meme, collée sur toile et montée sur baguettes, carte murale, 5 francs.
- CARTON (E.) et V'° LACHAMBRE,
- aérostats dirigeables, sphériques et autres, 2 4, passage des Favorites, Paris. Tel. 71 a-/|8. Adr. tel. Lachambrc-Paris.
- ruisseau, pave ou non, qui traverse une route à peu près perpendiculairement a son axe et qui sert soit à l’écoulement normal d’un mis- , seau, soit au déversement des eaux de pluie dans un fossé ou un égout placé sur le côté de la roule. O11 confond généralement, et à tort, le cassis avec le caniveau (voir ce mot).
- C, Cassis.
- j Les cassis sont un des gros dangers de la route pour les automobiles; ils ont, produit de nombreuses fois la rupture des ressorts.
- j CASSONE, garage, boulevard Victor-Hugo, à Nice (Alpes-Maritimes).
- CASTAGNA et Ci0, carrosserie automo-\ bile, if), via Montevideo, à Milan (Italie). — Magasins : 7, via Olmetto.
- ; CASTAGNÉ et G”, motocyclettes Knaji,
- 1 10, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- CARVALHO (J. de) et C'0, automobiles, 1 201, boulevard Pereire, Paris.
- CARTON-CUIR, {Sociétés des Poulies en), 17, rue Béranger, Paris.
- CASASSA (F. Fils) et C1", caoutchouc, manufacturé, à Pantin (Seine) ; et G/|, rue Réaumur, Paris.
- CASCADE (en). — On dit (rarement) qu'une batterie de piles ou d’accumulateurs est, montée en cascade lorsque le pôle positif de la première est relié, au pôle négatif de la seconde, et ainsi de suite. C'est le montage en tension. — Cette expression vient des cabinets de physique anciens où l’on ne pratiquait guère que l'électricité statique et où l'on montait souvent des bouteilles de Leyde les unes au-dessous des autres, en cascade réellement.
- CAS PAR t Edouanl), directeur de la Société Automobile du Littoral, de la Maison Lemoine de Nice, de la Maison Talbot de Nice, 77, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- CASSE-FER. - Petit tas <1 acier, penté, qu'on ajuste par une queue dans le trou carré de l'enclume, pour faire porter à faux le 1er qu'on veut casser à froid.
- CASSIS (I ’rononcer : kassi). —lui cassis est une coupure du sol, une rigole ou un
- CASTAN {Ateliers), réparations et transformations d'automobiles, 4, rue Liot, à Billancourt (Seine). Tel. 3o, Boulogne.
- CASTELIN {Le Treuil), applications de l'automobilisme à la culture, 10.4, rue de Richelieu, Paris.
- CASTILLON DE SAINT-VICTOR
- (Comte Georges de), 7/1, avenue Marceau, Paris. — Tel. 556-/j8. — Né au château de la Grève, eu 1870. — Célèbre aéronautc, dont la première ascension date de 1898 ; cette même année, exécuta le magnifique voyage Paris - Vestcrwick (Suède), soit 1 33o km. à vol d’oiseau ( record du monde, à cette époque). — Etablit, avec le comte de La Yaulx, le 10 octobre 1899, le record mondial ( Paris - Koroslyc-kew) ; Paris-Silé-sie (1 100 km. en 19 heures), en octobre 1908, etc.
- — Organisa à Tunis les expé- Comte (Iasïti.i.on ni; Sai.nt-Victor riences préliminaires pour la
- traversée aérienne du Sahara. — Trésorier de Y Aéro-Club de France, dont il est un des
- Prière de lire avec soin
- La Préface & notes Importantes du présent volume
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- G A T
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- G A Z
- dirigeants les plus écoutés et l’un des meilleurs champions.
- CATALYSE -Le mot catalyse désigne un phénomène par lequel une ou plusieurs substances se séparent ou se combinent sous l’iniluence à peu près mystérieuse d’un autre corps qui n’est nullement influence lui-meme par la réaction qu’il produit. Ainsi la poudre d’argent décompose l’eau oxygénée, sans subir elle-même de modification chimique ; de même le noir de platine, la mousse de platine, le charbon de bois, etc..., sans changer de composition chimique ou d'aspect physique, déterminent la “ combinaison ’’ de l’hydrogène et de l’oxygène, pour former de l’eau.
- CATELAIN, garage, avenue du Casino, à Cabourg (Calvados).
- CATENE, mécanicien-constructeur, 10, rue de Paris, à Choisy-le-Roi (S.et-O.).
- CATERS (Baron Pierre de), à Ber-chem-lès-Anvers, Belgique.—Né à Anvers, le 25 décembre 1870. M. de Catcrs est un des sportsmen les plus connus du monde automobile.
- Comme chauffeur, il fit. ses débuts en course dans Paris-Bordeaux en 1901, sur une Mors, puis il courut Paris-Vienne et le Circuit des Ardennes belges en 1902. En ipo3 il disputa la course de la Turbie, où il se classa 20 et la course Nice-Salon-Arlos, où il enleva la deuxième place ; puis la Coupe Gordon-Bennett en Irlande, et enfin le 20 Circuit, des Ardennes belges.
- En 1904, il courut Paris-Madrid et disputa la Coupe Gordon-Bennett au Taunus, où il arriva troisième ; prit part, en 1900, à la Coupe Gordon-Bennett en Auvergne, au Circuit des Ardennes belges et à la course de Caillou qu’il gagna.
- M. de Caters a couru, en outre, la plupart des épreuves de vitesse des meetings d'Os-tende, de Nice, de Spa, etc., etc. 11 fut pendant plusieurs mois recordman du monde du kilomètre (Ostende).
- M. de Caters est le créateur de la Coupe de Caters, qu’il fonda en 1902, et d’une autre « Coupc de Caters », réservée aux Automo-bile-CIubs du Nord.
- CATHIONS. — En élcotrolysc, les caillions sont les “corps” qui se rendent à la cathode (pôle négatif) de la source électrique.
- CATHODE. — Une cathode est Y électrode en communication avec le pôle négatif de la source d'électricité, et par conséquent celle par laquelle on admet que “sort ” le courant. Le pôle négatif, ou cathode, est toujours indiqué par le signe — ou par la coloration noire, quelquefois verte.
- CATULLE {Léon), 10, Faubourg-Mont-v martre, Paris. Né à Nice, le 4 juillet 1867. ~T Rédacteur au journal ! J Auto,
- CAUBERT et GARNIER , assurances automobiles, 5, rue Moreau, à Saint-Denis (Seine).
- CAUCHY (A.), fabrique de pneumatiques, 28, rue de la Folie-Méricourt, Paris. — Tél. 928-25.
- CAUVIN-YVOSE, bâches pour automobiles, seaux verseurs, 55, rue de Lyon, Paris. Tél. 908-23 et 908-24.
- CAVAIGNAC. garage. i5. rue Grande, à Fontainebleau (Seine-et-Marne).
- CA VALADE, arrache-clous, 10, rue Bayard, à Toulouse (Haute-Garonne).
- CAVALIERS. - Da 11s les voitures automobiles, les fils “ électriques ” F et les tubes d’essence suivent les sinuosités du châssis G.
- F fcLaùAAS
- Cavaliers
- Ils lui sont fixés, “arrimés” par de petites brides A portant le nom de cavaliers.
- — Un cavalier est aussi un clou à deux pointes P qui sert à fixer sur du bois des fils parcourus par un courant électrique.
- CAVARD (Garage), commerce d'automobiles, 12, place de la Nation, Paris.
- CAVIGNAC, vente d’automobiles, 62, cours Portai, à Bordeaux (Gironde).
- CAVIN, mécanicien-constructeur, 49, rue Bicliat, Paris.
- CAYEUX, huile «Benjolinc», place du Marehé-aux-llerbes, Compiègne (Oise).
- CAZAUGADE, garage, vente d’automobiles, 4, vue Gambetta, à Saintes (Charente-Inférieure).
- CAZENEUVE, machines-outils, 20, rue Saint-Sébastien, Paris.
- CAZES (Joseph), 05, allée de Montfer-meil, au Raincy (S.-ot-O.). - — Sorti de l’Ecole des Arts et Métiers d’Angers. - Vice-président de la Section des Motocyclettes, Chambre syndicale de l’Automobile.
- CAZES. ~ Moteurs à pétrole lampant, 62, rue Caumartin, Paris. — Tél. 133-66. Adr. tél. Cazmolo-Paris.
- C. B. (Chaînes). — Voir Ulanchart, Paris,
- fPANUARn-l PVAÇÇflR - auto-palace
- I I HIIIIHIIU LLlHOO U n 77 bis, Av. de la Gd*-Armée, P0RIS - Tél. 524-
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- G É 1
- G E N
- — iy5
- CÉLAYA, garage, boulevard Thiers, à Saint-Jean-de-Luz (Basses-Pyrénées).
- CELE R, antidérapant
- démontable. — Voir Desbenoil aîné et Mur on, à R o a n n e (Loire).
- CÉLÉRET-
- TE. — (( Drai-sienne » modernisée à l’usage des cillants.
- CELERI-FÈRE (latin: celer, vite; ferro, je porte). — Instrument imaginé par M. de Sivrac, vers 1790, il se composait de trois éléments de bois : une poutre solide et deux roues. La poutre, iigurant souvent un lion ou un cheval, était munie à l’avant et à l’arrière de deux sortes de fourches entre lesquelles tournait une roue. Le cavalier, assis sur un coussin placé sur le dos de la poutre, se poussait en pesant du pied contre terre : il faisait un mouvement assez semblable à celui
- qu’en gymnastique on nomme le pas de géant*
- Le célérifère est l'ancêtre très lointain de la bicyclette. Son règne fut de courte durée; ses principaux défauts étaient de ne pas avoir de « direction » et surtout d'amener facilement la luxation des chevilles, une pierre suffisant à mettre à faux et à déboîter le pied. Il devait être modifié et amélioré, en 1818, par le baron de Sauerbron, créateur de la (( draisienne ».
- CÉLÉRITÉ. — En mécanique, la célérité désigne la vitesse d’un corps en mouvement. On emploie maintenant de préférence le mot vitesse.
- CELLE, canots automobiles « Excelsior » à Evian-les-Bains (llaute-Savoie).
- CELLULOÏD ( Compagnie française du), il, rue Bailly, Paris. Tel. id^./jG.
- CELLULOÏD (ou Celluloide). — Mélange de cellulose nitrée et de camphre naturel ou artificiel qui, après avoir été imbibé d’alcool, est soumis à une très forte pression
- sous l'action de la presse hydraulique. Le celluloïd constitue une masse transparente d’une odeur de camphre, de couleur jaunâtre, ayant l’aspect de la corne, utilisable pour une foule d’applications industrielles. 11 se ramollit vers 8o°. Il s’enflamme facilement et brûle avec une flamme fuligineuse. Le celluloïd peut être additionné de matières inertes, plus ou moins colorantes (blanc de zinc, céruse, outremer, etc.); il perd alors sa translucidité. Le celluloïd est soluble dans l’acétone et surtout dans l’acétate d’amyle. Cette dissolution plus ou moins sirupeuse, selon la quantité de celluloïd employée, sert à coller les objets en celluloïd (bacs d’accumulateurs d’allumage, etc.).
- CÉMENT. — Charbon de bois dur, ordinairement du chêne, souvent additionné de sel marin, de cendres et de matières cyano-génées (prussiates et matières animales), cassé en morceaux et employé pour produire la cémentation (voir ce mot). En métallurgie, on désigne également par ce terme le cuivre pulvérulent obtenu par la précipitation des solutions de sels de cuivre (couperose bleue), par des rognures de fer, de fonte ou de zinc. Dans la réparation, au moyen de la couperose bleue, des cylindres de moteurs fissurés, c’est le cément de cuivre, ou cuivre précipité par la fonte des parois fissurées, qui agit comme agent d’obturation.
- CÉMENTATION. — Opération de métallurgie ayant pour but d’introduire une petite quantité de carbone dans le fer pour l’a-ciérer, de façon à obtenir un métal à quelques millièmes pour cent de carbone, intermédiaire entre le fer non carburé et la fonte de fer très carburéc (2 à 5 0/0 de carbone). La cémentation du fer ne doit pas être poussée trop loin, sans quoi le fer se transformerait en fonte. La cémentation est réalisée en chauffant, en vase clos, le fer noyé dans le cément. Cette opération est surtout pratiquée pour les objets, outils, etc., dont on désire durcir seulement la surface.
- — Càplain-Beugei* et Gl°, aciers pour la cémentation, 8G, quai Jemmapes, Paris.
- CÉMENTATION (Société parisienne de), 44, quai National, à Puteaux (Seine).
- CÉMENTÉ VÉLO (Pneumatique). — Voir Falconnet-Pérodeaud, Paris.
- CENTAURE (Le), fabrique d’antidérapants « Le Centaure » et de mise en marche automatique « L’Autodrill », 208, cours Gambetta, à Lyon (Rhône). Tél. 33-92. Ad. tél. Centaure-Lyon* Directeur : M. Rattier.
- CENTAURE (Huile minérale), 4, rue Gustave-Zédé, Paris. Tél. 68o-34-
- CENTAURE, moteurs pour motocyclettes.— Voir Flinois et Bonncl.
- [Les Automobiles “ Lorraïne-Dietrich ”1
- | «ONT LES PLU» «OURLES J
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- C K N
- C E N
- 17G --
- CENTI (Symbole c). — Préfixe qui signifie quelquefois cent (exemple : centigrade); mais qui a toujours le sens de centième partie lorsqu’il procède les noms de mesure adoptés dans le système métrique (exemple : centimètre, centilitre).
- CENTIMÈTRE (Symbole cm). — Pc centimètre est l'unité de longueur du système C. (1. S. — « 11 est la centième partie de la longueur, à o°, d’une certaine règle de platine iridiée nommée le Mètre international. » (Cbassagny.) •— Voir Mètre.
- CENTIMÈTRE CARRÉ(Symbolecm2).
- CENTIMÈTRE CUBE (Symbole cnV). |
- CENTIMÈTRE PAR SECONDE
- (Symbole cm.s.). — Voir Vitesse.
- CENTIMÈTRE PAR SECONDE PAR SECONDE (Symbole cm : s-). — Voir Accélération.
- CENTRAL - AUTOMOBILE, vente d’automobiles, i, rue Marsollier, Paris. Tél. diS-02. — Garage, 8, rue du Débarcadère, Paris. Tél. 58ij-Gi,
- CENTRAL - GARAGE, vente d’automobiles, (i, boulevard de Fleurus, à Limoges (Haute-Vienne).
- CENTRAL-GARAGE, vente d’automobiles, rue de llome, à 'l’unis (Tunisie).
- CENTRAL-GARAGE, vente d’automobiles, iG, place Fondaudège, à Bordeaux (Gironde).
- CENTRAL MOTOR CAR CP, garage, vente d’automobiles, 117, Long Acre, à Londres (Angleterre).
- CENTRAL PARK AUTO STO-RAGE C°, vente d’automobiles, Central Parle West, à New-York (Etats-Unis).
- CENTRE (Grand Garage du), rue des Fours, à Sedan (Ardennes).
- CENTRE. — La définition simplifiée est la suivante : point du milieu d’un cercle, d’une sphère, dont tous les points de la circonférence sont également éloignés.
- Le centre de gravité d’un corps est un point tel que toutes les attractions de la terre sur chaque molécule peuvent être remplacées par une attraction totale et unique appliquée en ce point : il est au centre meme de la figure quand le corps est homogène ; c’esL ainsi que le centre de gravité d’une sphère de plomb, de bois, etc., est au centre meme de la figure.
- Mais, si le corps est composé de deux matières de densité différente, comme serait une sphère moitié plomb moitié bois, les molécules du plomb étant plus denses
- que les molécules dubois, le centre de gravité ,11e sera plus au centre de la figure, mais sera reporté du côté du plomb.
- DirriîllUMS CKNTllKS
- -En géométrie, à égale distance de tous 1 es points d’une ligne ou d’une surface courbes . Celle condition 11e peut se trouver réalisée que dans le cercle, la sphère et leurs portions.
- Par dérivation, le centre d’un car-
- ie centre est le point situé
- Trouver, un centre
- ré, d’un losange, d’une ellipse, d’un polygone régulier, est le point, où se coupent soit les diagonales, soit les diamètres d’une courbe fermée.
- Pour trouver le centre inconnu d’une circonférence A, on mène d’un même point quelconque C de la circonférence deux lignes extérieures, deux « cordes » CD et CE de longueur quelconque (inférieure au diamètre). Sur le milieu de ces lignes CD et CE, on abaisse deux perpendiculaires FG et IIK, dont le point d’intersection donne le centre 0 cherché.
- — Centre de gravité. — Point d’un corps où s'applique la résultante des actions de la pesanteur sur chacune de ses molécules. Quand le corps est homogène et de forme géométrique, la détermination de son centre de gravité se fait aisément. Dans le cas contraire, 011 l'effectue expérimentalement en suspendant le corps par un lil dans deux positions différentes. Le centre de gravité se trouve à l’intersection des deux directions du fil. La considération du centre de gravité lient une place importante en mécanique. Spécialement en automobile, la considération du centre de gravité est très importante au point de vue de la stabilité de celle-ci. Le centre de gravité intervient dans le
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- G E N
- 111 ~
- G E R
- calcul du volant, et pour l’étude des eflbrts d'inertie, ainsi que dans toutes les questions d’équilibrage.
- CENTRE DE CARÈNE. — Centre géométrique du volume de la coque immergé d’un canot automobile.
- CENTRE DE TOURISME. — Le centre de tourisme, d'après M. Auscher, es* ((le gîte du chauffeur ». — Ou. peut dire, en se rapprochant de la définition donnée par le « Guide Miriam », que le centre de tourisme est une localité commandant plusieurs voies de communication : chemins de 1er, routes, rivières navigables, permettant, par suite, de rayonner sans repasser par le même point, et offrant en outre aux touristes les ressources nécessaires et les moyens de se réapprovisionner rapidement.
- Exemple : Angers, Chartres, Mâcon, Ncvcrs, Tours, etc.
- — Centre d’excursions. — Le centre d’excursions sera seulement le point offrant, dans un périmètre de moyenne étendue, un certain nombre de sites, de curiosités naturelles ou artistiques, de nature à justifier un séjour de quelque durée.
- Exemple : Agay, Argelès, La Clusaz, Le Lioran, etc.
- — Centre de tourisme et d’excursions. — Le centre de tourisme et d’excursions est celui qui réunit les deux qualités énoncées précédemment.
- Exemple : Aurillac, Carcassonne, Clermont-Ferrand, Grenoble, Tarbes, etc.
- CENTRE-AUTO, vente d’automobiles, 26, rue de Ciichy, Paris.
- CENTURY 20th. MFG C“, fabrique de phares, 19, Warren Street, near Broadway, New-York (Etats-Unis).
- ! CERCEAUX. — Ossature d’une capote de voiture, qui se compose de cercles en
- CkHCKAUX DK CAl'OTK
- bois ou en tubes sur lesquels sont fixés la toile ou le cuir.
- CERCLE. — Un cercle est une surface S (fig. 1) plane limitée par une ligne courbe
- appelée « circonférence » C dont tous les points sont à égale distance d’un point intérieur O appelé « centre ». Cette égale distance est donnée par une ligne droite appelée le rayon R du cercle ou de la circonférence.
- On appelle diamètre toute ligne droite BE (fig. 2) qui joint deux points de la circonférence en passant par le centre O. Le diamètre BE est égal à deux rayons R et il divise le cercle en deux parties égales.
- Un arc FGH (lig. 3) est une partie de la circonférence délimitée par une corde, ligne quelconque Fil autre (pie le diamètre. U11 secteur de cercle est une surface FGHO (fig. 4) délimitée par 2 rayons FO et 011 formant un angle quelconque a et par la portion de circonférence FGII. Un setjment de cercle est une surface F1ÏG délimitée par une corde Fil
- C
- Fig. 3 Ckiicles Fig. 4
- j
- ! et la portion de circonférence FGII (fig. 3).
- ; La circonférence d’un cercle se divise en i 3Go degrés (3Go°) ou en 4oo grades; le degré | en Go minutes (Go’) ; et la minute en Go se-| coudes (Go”).
- j La surface S d’un cercle est donnée par la i formule : ttD2
- ! 4
- j la lettre grecque tt (pi) ayant une valeur in-j variable : 3,1 /i 1 GgaG, qui indique le rapport de j la circonférence au diamètre.
- 1 Surfaces des Cercles
- 1
- 1
- AYANT DES DIAMETRES DE I A 100
- DIAMÈTRE donne une SURFACF
- Un DIAMÈTRE donne une SURFACE
- de de
- i — 0,78
- a — 3, G
- 3 — 7>°7
- 4 — 12,57
- 5 — *9)63
- G — 28,27
- 7 - 38,48
- 8 — 60,27
- de de
- 9 G3,6a
- 10 58,54
- 11 95,03
- 12 n3,oç)
- i3 , - 132,^3
- i4 — i53,g4
- i5 — 17G71
- iG 20I,06
- Pour
- Pneus “TORRILHOM 1
- 13
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-
-
- C E II
- C E 11
- i78 -
- Sukfacus des Cercles
- AYANT DES DIAMETRES DE I A J 00 (SltilC).
- Un DIAMÈTRE donne une SURFACE Un DIAMÈTRE donne une SURFACE
- de de de de
- 17 — 226,98 59 2763,9;
- 18 — 2:54,46 60 2827,43
- M) - - 283,02 61 2922,46
- 20 314,i5 62 3019,0;
- 21 346,36 63 3117,24
- 22 38o, i3 64 — 3216,90
- 2.3 415,4; 65 3318,80
- •4 — - 452,38 66 3421,18
- 20 — 490,8; 6; 3525,65
- 26 - 5.3o,93 68 36.31,68
- 27 — 5;2,55 69 3789,28
- 28 6i5,;5 ;» 3848,45
- 29 - 660,62 7‘ 3959D9
- do ;o6,85 72 73 •— 4o;i,5o
- di ;5>4,;6 4185,38
- 32 - 80.4,2.4 74 — 4 3 00,84
- 33 855,29 7-' — 441;,86
- 34 — 9°7>9a 76 — 4536,45
- 35 — 962,11 77 4656,62
- 36 101;,8; 78 — 4;;8,36
- 5; - 1075,2l 79 — 4901,66
- 38 - I I34 T I I 80 — 6026,54
- 59 1194,59 s. ..... 515.3,00
- 4« — 1256,63 82 6281,01
- 4i 1.820,25 8.3 54.10,59
- 42 - ,385,44 84 554 1
- 43 I 45)2,20 85 — 56;4,5o
- 44 — I 520,52 86 — 58o8,8o
- 45 1590,43 87 — 5944,6;
- 4« 1661,90 88 — 6082,11
- 4; 1 ;34, ç)4 89 6621,13
- 48 — 1809,55 9° 6.361,72
- 4 9 i885,;4 91 65o.3,8;
- 5o 1963,49 92 664;,61
- 01 — 2042,82 93 6792,90
- r.2 2128,71 94 — 69,39,78
- 53 — 2206,18 9:' 7088,21 ;2.38,23
- 54 — 2290,21 96
- 55 23;5,82 97 7889,81
- 56 2.463,01 98 7042,96
- 5; 2551,;5 99 7597>69
- 58 — 26.42,08 100 — 7853,98
- Si nous désignons par a I; llpllit) l’angle
- lormé par les rayon F II au ccnlre O, la surface du secteur est :
- S = t:
- 36o
- La surface du segment est :
- ra \ 77-
- m -
- S = (- ,
- \ i (Su
- NOTA. — On emploie quelquefois à tort le mol cercle pour le mot circonférence, el réciproquement. C'est confondre pour ainsi dire le contenant (circonférence) avec le contenu (cercle), une ligne avec une surface.
- — Cercles primitifs. — Les cercles primitifs servent de hase au tracé des engrenages. — Voir Circonférences primitives.
- CERCLE DE SUSPENSION DES 'AEROSTATS. — Solide anneau horizontal de hois dur autour duquel sont noués des cordages qui se fixent en haut par des cabillots dans les boucles terminales des suspentes et donnent attache par en bas par l’intermédiaire d’autres cabillots aux cordages supportant la nacelle.
- CERCLE AGRICOLE, 28/1, boulevard Saint-Cermaiu, Paris. Tel. Concierge
- et voitures : ;23-46.
- CERCLE DE LA LIBRAIRIE, 117,
- boulevard Saint-Ccrinain, Paris.
- CERCLE DE LA RUE ROYALE,
- 4, place de la Concorde, Paris. Tel. 2.44-48 et 2.44-89. Concierge et voitures: 2 44-Qo.
- CERCLE DE L’ESCRIME ET DES ARTS, 9, rue Taitboul, Paris. Tel. ioa-48.
- CERCLE DE L’UNION, 11, boulevard do la Madeleine, Paris. Tél. 201-48.
- CERCLE DE L’UNION ARTISTIQUE, 5, rue Boissy-d'Anglas, Paris. Tel. 245-7;.
- CER.CLE DU JOCKEY-CLUB, 1 bis,
- rue Scribe, Paris. Tél. 2.39-43.
- CERCLE NAUTIQUE DE FRANCE, 41, avenue de Wagram, Paris.
- CERCLE-VITESSE, antidérapant. — Voir Hérault.
- CÉRÉSINE. — (Voir Cires). Synonyme: ozokérile. — Matière brunâtre cireuse d’origine minéralogique ou fossile. Chimiquement, constituée par un mélange d'hydrocarbure (carbone -|- hydrogène) analogue à la paraffine. C'est une sorte de pétrole solide. La eérésinc brute est plus ou moins purifiée et. blanchie par des procédés analogues à ceux mis en œuvre dans la fabrication de la paraffine. La eérésinc constitue un excellent isolant électrique. De ce chef, elle est très employée dans les bobines d'allumage pour isoler l'enroulement, du fil secondaire ou les feuilles du condensateur. Pour cet usage 011 l’additionne souvent de résine colophane. Ce mélange constitue une des variétés d'arcau-son.
- CERF-VOLANT. — Appareil aérien envisagé de tout temps comme un simple jouet et qui est devenu de nos jours un excellent instrument, de recherches scientifiques capable d’applications diverses : photographiques, météorologiques, militaires, de sauvetage, pouvant même à l’occasion enlever son homme.
- Les modèles en sont variés à l'infini, mais peuvent, se ranger dans deux catégories principales : les cerfs-volants plans ordinaires, les cerfs-volants multiples ou composés, parmi lesquels les cerfs-volants cellulaires de I lar-
- AUTOMOBILES
- ARICS
- 39, quai d’Argenteuil, 39
- VILLENEUVE-LA-GARENNE
- par l’Isle-Saint-Denis (Seine).
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- 0 E K
- C II A
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- grave sont les plus employés clans les applications scientifiques.
- L'étude théorique et l'observation des conditions d'équilibre du ccrl-volant, que l'on a appelé un <( aéroplane captif », présentent de l'intérêt au point de vue des recherches d'aviation.
- CERTIFICAT DE CAPACITÉ. —
- Pour obtenir le certificat, de capacité nécessaire à la conduite d’une automobile i! faut : adresser au préfet, une demande sur papier timbré à soixante centimes, y joindre un certificat de domicile délivré par le commissaire de police ou le maire, une pièce justificative d'identité donnant l'état civil et deux photographies non collées.
- Aux termes d'une circulaire ministérielle en date du 20 novembre it)o3, les préfets peuvent, délivrer ce certificat sur l avis favorable des Mines aux candidats qui justifient de leur capacité professionnelle par la production de certificats, attestations ou brevets émanant d'associations dûment agréées à cet effet, par le Ministre des Travaux publics.
- Mais le Service des Mines peut toujours imposer au candidat l'épreuve d'un examen pratique avant de lui délivrer le certificat.
- Les certificats délivrés à la suite de cet examen (carte rose) spécifient, la nature de la source d’énergie des véhicules, voire même la désignation du système déterminé de véhicule que le candidat est reconnu apte à conduire, et, au cas où il voudrait faire étendre la partie de son certificat «à d'autres véhicules que celui qui y est indiqué, il devra en faire la demande au préfet et passer devant le Service des Mines un examen complémentaire.
- CÉSAR, antidérapant. Voir Absire A iné Fils.
- CESBRON, constructions de moteurs et de voitures automobiles, 3, rue Dacier, à Angers (Maine-et-Loire).
- CÉTOLITE [Lanterne). — Voir Miller, à ïlazcbrouck.
- CE-WE (Courroies de motocyclettes. — Voir Wïrffing (Cari).
- CEZAN, accessoires, !\!\, rue Saint-Ferdinand, Paris.
- C. G. E. ( Accumulateurs). — Voir Compagnie Générale Electrique.
- C. G. I. — Voir Bernheim (Henri) et Cie.
- C. G. S. — Abréviation de l'expression centimètre, gramme, seconde. — Voir Système C. G. S.
- C. G. V. (A ufomohiles). - - Voir Charron.
- C. H,, allumage électrique. — Voir Henne-yrare et Agnus.
- CHABAL, garage, No, rue de la Pelouse, Le Mans (Sarthc).
- CHABAUD, garage, <j, rue Diderot, à Langrcs (Haute-Marne).
- CHABERT, machines-outils et petit outillage, /|i, avenue de la République, Paris.
- CHABOCHE (/?.), 33, rue Rodier, Paris. Tel. 11G-76. Adr. tél. Salmand-Paris. — Camions à vapeur.
- CHABOTTE. - Billot de bois, en chêne ordinairement, sur lequel 011 place l'enclume. — Pour les marteaux-pilons, la chabotte est en fonte.
- CHACUAT et Ci0, carrosserie automobile, i3, rue Dems-Papin, à Puteaux (Seine).
- Tél. r>7.
- CHADBURN and son, tachymètres, compteurs de tours, Waterloo Road, à Liver-pool (Angleterre); et /|, Lloyd’s Avenue, à Londres.
- CHAGNAUD (G.), accumulateurs, G. C., 8, passage Courtois, Paris.
- CHAIGNEAU, construction de motocyclettes, 17, rue du Débarcadère, Paris.
- CHAILLOUX, garage, vente d'automobiles, rue Carnot, La Flèche (Sarthc).
- mécaniques
- Vaucanson.
- CHAINE. — Les chaînes semblent avoir été inventées par Les variétés de cli aînés sont très nombreuses ; nous 11c citerons que les types principaux utilisés pour les automobiles ou les cycles.
- La chaîne de Vaucanson (%. 1), plate, à mailles régulières mais non soudées, est flexible seulement dans deux sens opposés.
- La chaîne de Galle (fig. 2), est composée de flasques rivés deux à deux sur un axe cylindrique M. Les maillons sont réunis entre eux par de faux maillons P. Chacun d'eux forme un distinct R.
- La chaîne plate (fig. 3). se compost maillons pleins M à gorges, alternant avec des
- ni;
- Kig. .
- Chain k Vaucanson
- Fig. a
- ( in.MNi; Gam.b bloc bien
- uc
- s
- Fig. l\é — Chaink pi.atjî.
- plaquettes jumelles rivées F, dont l'intervalle reçoit la dent du pignon.
- RÉPARATION et TRANSFORMATION DES VOITURES DE DION-BOUTON AUTO-STANDj 20> rue D»ret, PAJfJS
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-
-
- C II A — i 80 — C II A
- La chaîne à rouleaux (fig. 4) comprend des plaquettes jumelles F, assemblées par des
- les remonte1. Les chaînes d’automobiles devraient cire enfermées dans des cariera comme les chaînes de bicyclettes.
- — Comiot (C), chaînes Renold, 87, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris.
- — Peugeot Frères (les fils de), à Valenli-gney (Doubs).
- - - Rater Fils Frères, à Saint-Charnond (Loire).
- — Terrot et Cie, 2, rue André-Colomban, Dijon (Côte-d'Or).
- CHAINETTES ARRACHE-CLOUS.
- — ChaincLtcs traînantes, qu’on fixe au-dessus
- rivets dits goujons d'as-semblage, formant entre-toises ; sur ces rivets, sont placés des rouleaux R mobiles qui diminuent le travail de frottem *nt des maillons de chaîne sur les dents.
- 11 existe encore des chaînes torses, des chaînes doubles, des chaînes découpées sans roudures, ni rivets, etc.
- Les chaînes se tendent au moyen de douilles filetées, appelées tendeurs de chaînes, qui écartent ou rapprochent deux arbres lixés l'un près des pignons de chaînes, l'autre a l'essieu. Ces douilles sont maintenues par des écrous qu'il suffit de serrer ou de desserrer pour régler la tension de la chaîne.
- Une chaîne est bien tendue quand, vers son milieu, le brin inférieur peut s’élever a la main à 3 ou 4 centimètres.
- Le graissage des chaînes peut se faire en route par un peu d'huile, mais elles 11e tardent pas a se durcir et à s'encrasser. 11 est recommandable de les nettoyer tous les 000 kilomètres environ en les jetant dans un bassin rempli de pétrole. Lorsqu'elles sont essuyées et bien nettes, onles plonge dans du suif fondu ou de la graisse consistante chaude, qui pénètre toutes les articulations. On les essuie ensuite superficiellement, assez pour que la poussière 11e colle pas sur les maillons, et 011
- Détails des maillons de la chaîne Renold. i, rouleau extérieur. — 2, rouleau intérieur. — 3, plaque intérieure. — 4i maillon intérieur complet. — 5, rivet. — 0, plaque extérieure. — 7. maillon extérieur complet. — 8, boulon de fermeture et son écrou. 9, écrou fendu. — 10, maillon droit p<»ur une chaîne ayant un nombre pair de maillons.— 11, maillons droits avec leurs boulons. — 12. maillon coudé pour une chaîne ayant un nombre impair démaillons — i3, raccord ordinaire pour allonger une chaîne pard-ux maillons. - 14* raccords avec trois maillons pour remplacer un maillon intérieur ou un rouleau cassé.
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- G II A
- — 181
- G II A
- des pneumatiques, de façon que, en frottant sur leur périphérie, elles arrachent les clous qui s’y sont légèrement enfoncés, avant que leurs pointes n’aient pu pénétrer jusqu’à la chambre à air. — Voir Arrache-clous.
- CHAIR. — On appelle chair d'un cuir le côté opposé à la /leur (côté auquel adhéraient les poils).
- CHAIX (Edmond) , 31, rue de Penthièvre, Paris. Tel. 550-87.— Né à Neuilly-sur-Seine, le 24 mai 1 SGG. —Administrateur de la. Société Anonyme des Automobiles de la Buire, à Lyon (Rhône). — Membre du Comité de l’A. C. F. ; président de la Commission de Tourisme; membre de la Commission des Expositions et des Concours. — Secrétaire énéral de l’Association Générale Automo-ile. —- Membre du Comité des Sites et Monuments Pittoresques au T. C. F. — Membre du Club Alpin Français.
- CHALAMBERT (L. de1, président du Conseil d’Administration des Etablissements Malicet et Blin, io3, avenue de la République, à Aubervilliers (Seine).
- CH AL AN QUI-BEURET, bronze anti-friction, à Juvisy-sur-Orge (Seine-et-Oise).
- CHALES, garage, rue Cappeville, à Gisors (Eure).
- CHALETS DU CYCLE, garage et station de charge, au Bois de Boulogne (Paris).
- CHALEUR. — La chaleur est la cause de l'élévation de température des corps. Sa nature intime est impossible à préciser, comme celle de la lumière et de l'électricité, ce qui n'empeche pas qu’on la connaisse suffisamment dans ses effets pour en calculer toutes les manifestations. Considérée sous un point do vue plus général, la chaleur est une des formes de Y énergie. O11 sait que la science moderne n’est que l'étude des transformations de l'énergie. Or une liaison intime existe entre les différentes formes de l’énergie : énergie calorifique, énergie mécanique, énergie électrique, affinité chimique ; et, à une certaine quantité de chaleur dépensée utilement, dans un moteur à essence par exemple, correspond une certaine quantité de travail en énergie mécanique. Chaque forme de l'énergie peut d'ailleurs etre transformée, directement on non, en une autre forme. L'énergie calorifique est en quelque sorte la forme inférieure de l'énergie, car c’est le point final de toute transformation et la forme sous laquelle se manifestent de préférence les perles (chaleur résultant du frottement dans les organes en mouvement, échaulTement des fils conducteurs d'électricité, etc.).
- Le degré de chaleur définit la température. O11 l'évalue au moyen d’un thermo-
- mètre, appareil basé sur la dilatation des corps. La quantité de chaleur définit l'énergie calorifique. On évalue la quantité de chaleur contenue dans un corps au moyen d’un calorimètre. Elle s'exprime en calories. — Voir la définition de ce terme.
- — Chaleur dégagée par la combustion de l’essence dans un moteur. — M. L. Lacoin et, avec lui, nombre d'ingénieurs admettent que la chaleur dégagée par la combustion de l’essence dans un moteur se répartit ainsi :
- 20 0 0 en travail utile;
- 20 0/0 dans l’échappement ;
- 60 0/0 par les parois, soit deux fois et demie ce qui est employé en travail utile.
- Un moteur de 1 cheval développe 75 kilo-grammètres par seconde et, comme 4a5 kilo-grammètres équivalent à une calorie, 1 cheval correspond à 0,1765 calorie par seconde. La perte par les parois est par suite de o,i7Ô5X2,fi — o,441 calorie par cheval de force et par seconde.
- L’air absorbe environ 1 calorie par 4 kilogrammes de son poids et par degré d’élévation de sa température. Pour absorber 0,44* calorie, il faut donc 1 kg. 765, si l'élévation de température 11'est que de 1 degré. Dans les plus mauvaises conditions l’air ne dépasse pas 4o degrés dans nos climats ; si nous admettons qu’il s’échappe à 80 degrés, il s’est élevé de 4<> degrés et la quantité à employer sera le quarantième de 1 kg.765, soit o kg.0441 • A cette température, 1 litre d’air pesant 1 gr.i5, il faudra envoyer 10 litres et'air par seconde et par cheval.—Voir liefroidissement.
- — Chaleur spécifique. — Lorsqu’on communiquc’à des poids égaux de deux corps différents une meme quantité de chaleur, la température 11’est pas la mémo pour les deux, mais proportionnelle à un facteur que l'on appelle chaleur spécifique. Le phénomène est facilement compréhensible en supposant deux cylindres de diamèlres différents dans lesquels 011 mettrait une meme quantité d’eau : la hauteur de l’eau 110 serait évidemment pas la mémo dans les deux cylindres.
- Ainsi la chaleur spécifique de la fonte est de o,i3, colle du laiton do 0,09. Si nous fournissons 100 calories a un kilogramme do ces deux métaux, la température de la fonte se sera augmentée de i3 degrés alors que celle du laiton ne se sera accrue que do 9 degrés.
- — Chaleur latente de vaporisation de l’eau. — Pour transformer 1 kilogramme d'eau prise à o° en vapeur saturée à 1°, il faut dépenser t calories, pour élever la température de l’eau de o° à 1°, plus r calories pour faire passer l'eau à V à l'état de vapeur également à t°. La quantité de chaleur représentée par t s'appelle la chaleur sensible ; celle représentée par r s’appelle
- UTOMOBILES CLÉMENT
- Direction Usines an PRÉ-SAINT-GERVAÏS (Seine)
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- a chaleur latente de vaporisation. Ou a pour cette dernière : '
- X = GoG,5 -|- o,3o5 t calories.
- Il s’ensuit pour r la valeur : v — h — t — GoG,5 —o,6q5 l calories.
- D’après les expériences très précises de Régnault, la chaleur sensible est légèrement plus grande que celle donnée par la définition même de la calorie, c'est-à-dire plus grande «pie /. O11 a exactement:
- chaleur sensible = q — t -\- 0,00002 t'1 -)- o,oooooo3 t"
- Et par suite :
- r = X — q — Go6,5
- — o,Gcj5 t — 0,00002 t3 — o,oooooo3 /:l calories.
- CHALIGNY, Mot eurs pour canots automobiles, 54, rue Philippe-de-Girard, Paris. Tél. 410-09.
- CHALLENGE. — On donne ce nom a un objet d’art disputé chaque année ou à des époques convenues et dont le vainqueur 11c devient pas propriétaire, mais seulement détenteur, tant (pie cet objet 11e lui a pas été enlevé par un autre vainqueur.
- CHALON (F.), carrosserie de luxe pour automobiles, 8 et 10, boulevard d’Asnières, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- CHALUMEAU. — Le chalumeau est un appareil commode, maniable, qui est utilisé pour produire facilement de liantes températures. 11 est formé, théoriquement et primitivement, d’un simple tube (lig. 1), légèrement conique, terminé d’un côté par une embouchure E, dans laquelle on souffle avec force et, à l’autre extrémité, par un ajutage 1*’ en platine, qu'on place au milieu d’une llannnc, bougie ou lampe à alcool ; il
- ( lllAI.CMKAl X.
- se produit ainsi un entrainement d'air qui rend la flamme extrêmement chaude.
- Suivant la place qu'occupe l’extrémité do l’ajutage dans la flamme, le « dard » chaud et lumineux projeté par le chalumeau est soit oxydant, c’est-à-dire qu'il fournit de l’oxygène en excès au métal qu’on met en contact avec lui et qu’il oxyde ; soit réducteur, c’est-à-dire qu'il fournit du carbone en excès, qui réduit les oxydes métalliquos à l’état de métal, en s'emparant de l’oxygène combiné à ces oxydes.
- Les chalumeaux, employés dans l’industrie pour la soudure, brasure, etc., sont différents.
- Ils se composent de deux tubes cylindriques, disposés concentriquement ; par l’espace annulaire, on fait arriver im gaz sous pression B (fig. 2), très riche en carbone, comme le gaz d’éclairage, dont on active la combustion en insufflant de l’air par le tube central A. O11 obtient des températures extrêmement élevées en employant un mélange, à la sortie même du chalumeau, d’oxygène et d’hydrogène, qui permet, la fusion du platine (chalumeau dit « oxhydrique »).
- Le chalumeau le plus puissant et le plus économique actuellement est celui qui emploie Yacétylène en mélange avec l'oxygène. La température du « dard » atteint facilement 3 000 degrés et permet la soudure « autogène i> des métaux, y compris le 1er.
- CHAMANSKY Fils, vêtements de sport en caoutchouc et en peau, G, place des Victoires, Paris. Tél. 12,3-92.
- CHAMBAUD, pièces détachées, 9, rue Saint-Georges, Paris.
- CHAMBON et Ci0, machines à tailler les engrenages, 31, boulevard du Sud, a Lyon (Rhône).
- CHAMBON Frères, bougies d’allumage, iy, rue de la Plaine, Paris.
- CHAMBRE. — Une chambre est un évidement, une cavité ménagée dans une pièce mécanique pour y permettre le logement d’un gaz ou d’un liquide. C’est ainsi que les automobiles possèdent la chambre ou boite du flotteur nageant dans l’essence ; la chambre des soupapes contenant l’air car-
- buré prêt à pénétrer dans le moteur, ou le gaz mort prêt, à en sortir ; la chambre 1l'explosion, cavité ménagée entre la culasse du moteur et la tète du piston, on se fera la compression du mélange carburé et se produira son explosion consécu -tive ; la chambre de pulvérisation, où jaillit l’essence dans le carburateur et où elle se mélange à l’air.
- La petite chambre d'un moteur, attenant quelquefois latéralement à la chambre d'explosion et renfermant, l’extrémité de la bougie où jaillit l’étincelle, est appelée aussi chapelle.
- H, bougie. — C, chapelle. — E, chambre d’explosion. — P, piston.
- — Chambre à air. — Boudin en caoutchouc, gonflé d’air, qui forme l’àme même du pneumatique (voir ce mot). L’air est introduit dans la chambre à air au moyen d’une pompe pneumatique, actionnée à la main le plus souvent, qtii peut le comprimer jusqu’à
- LANTERNESllETZ%^fs-ÉTEtNCrLAPAs
- MESTRE etBLATGÊ .5. Rue BRUNEL. PARIS.,
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- 8 atmosphères au maximum. Cet. air comprimé est maintenu prisonnier dans la chambre par le clapet de la valve.
- — Biîuuougnax et Ci0, à Clermont-Ferrand.
- — Continental, i/jG, avenue Malakoif, Paris.
- — Dunlop, rue Piccini, Paris,
- — Hutciunson, Go, rue Saint-Lazare, Paris.
- — India Rubihcr Cu, 97, boulevard Sébastopol, Paris.
- — Michelin et Cln, à Clermont-Ferrand.
- — Tohhiliion (Etablissements), à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- — WoLBEK (Pneumatiques), -G, rue des Arts, à Levallois-Perret, (Seine).
- — Chambre d’hôtel. — C'est l'abri et le lieu de repos pour tout voyageur qui, après une étape, désire faire un séjour prolongé ou seulement passer une nuit dans une localité (ville ou bourgade).
- La chambre d’hôtel dite hygiénique, préconisée parle Touring-Club, a pour particularités: la suppression de toutes les tentures, draperies, tapis, rideaux, portières, papiers peints, et l'adoption d’une peinture laquée blanche et lavable pour les murailles, et d'un mobilier facilement nettoyablc pour la chambre.
- CHAMBRE DE COMMERCE DE PARIS, 2, pi. de la Bourse, Paris. Tel. 109-9G.
- CHAMBRE SYNDICALE DE L AUTOMOBILE ET DES INDUSTRIES QUI S’Y RATTACHENT. - Siège social : G, place de la Concorde, Paris. Tel. :i3/|-go. — Voir la liste des Membres, à la Deuxième Partie.
- CHAMBRE SYNDICALE DE LA NAVIGATION AUTOMOBILE , iG ,
- rue de l’Arcade, Paris.
- CHAMBRES SYNDICALES DE FRANCE (Union des). iG3, rue Saint-Honoré, Paris. Tél. 2Ü0-28.
- CHAMBRE SYNDICALE DES ARTICLES DE CARROSSERIE, 10,
- rue de Lancry, Paris.
- CHAMBRE SYNDICALE DES CARROSSIERS, 3, rue de Lutèce, Paris.
- CHAMBRE SYNDICALE DES CONSTRUCTEURS DE MOTOCYCLETTES, 7;; bis, avenue de la Grande-Année, Paris.
- , CHAMBRE SYNDICALE DES EDITEURS D’ANNUAIRES, 117, boulevard Saint-Germain, Paris. Tél. 811-1 1.
- CHAMBRE SYNDICALE DES FABRICANTS DE CYCLES. — Secrétaire: M. Petit, 23, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- CHAMBRE SYNDICALE DES FABRICANTS DE CYCLES DE SAINT-ETIENNE. — Président. : M. Milliard, Saint-Etienne (Loire).
- I CHAMBRE SYNDICALE DES FA-! BRICANTS DE PNEUMATIQUES,
- 1G3, rue Saint-IIonoré, Paris.
- CHAMBRE SYNDICALE DES MÉCANICIENS, CHAUDRONNIERS ET FONDEURS, 10, cité Rougemont, Paris.
- CHAMBRE SYNDICALE DES TRANSPORTS AUTOMOBILES, 7,
- place Malcsherbes, Paris.
- CHAMBRE SYNDICALE DU COMMERCE DE L’AUTOMOBILE, a3,
- avenue des Champs-Elysées, Paris.
- CHAMBRE SYNDICALE DU CYCLE ET DE L’AUTOMOBILE. —
- Siège social : 19, rue Blanche, Paris. — Voir la liste des Membres, à la Deuxième Partie.
- CHAMBRE SYNDICALE DU VÊTEMENT ET DE L ÉQUIPEMENT SPORTIFS, iG3, rue Saint-Honoré, Paris. Tél. 200-28. — Président : M. A. Voilant.
- CHAMBRIÈRE. Nom donné par quelques constructeurs à la béquille employée pour empêcher la dérive de la voiture dans une rampe. — Voir Béquille.
- CHAMEROY (B. et A.), — Fabrique d’antidérapants, route de Sartrouvillc, au Vési-net (Scine-el-Oise).
- CHAMINADOUR, vente d’automobiles, 131. rue de la Roquette, Paris.
- CHAMOIS (Le), pneumatique. — Voir Couturier, à Chamoy (Aube).
- CHAMOREAU et MARTIN, moteurs « Union ». 29, rue Balayette, Paris. Tél. 3io-~5.
- CHAMP. -...... Un champ électrique
- est une portion de l’espace caractérisée par le fait qu'un corps électrisé y est soumis à une force. Un champ magnétique est caractérisé par le fait qu'un corps aimanté y est soumis «à une force.
- Cette force n’est pas la môme pour tous les champs, ni en tous les points d'un champ. Elle dépend de Y intensité 'du champ. Le champ d'un aimant recourbé en U, comme ceux qui servent d'inducteurs aux magnétos, est, très intense entre leurs deux pôles. L’intensité d’un champ magnétique dépend de la force magnélomotrice ou pression magnétique, produisant l’écoulement du llux du pôle nord au pôle sud, et de la résistance magnétique, ou réluctance, qui s’y oppose. Cette notion est tout à fait analogue <a celle qui est donnée de l'intensité d'un courant.
- On nomme champ d'une pièce le côté le plus étroit de cette pièce dans le sens de i la longueur.
- i — En mécanique, une roue de champ est j une roue dont les dents sont perpendiculaires | au plan principal de la roue.
- Le pneu DUNLOP
- nivelle la route
- ]
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- CHAMP MAGNETIQUE. — Voir Aimant, Ligne de force. ,
- CHAMPERT (L .), glaces pour automobiles, zG, rue Duret, Paris.
- CHAMPEYRACHE, von le d'automobiles, à Alais (Gard).
- CHAMPEYRACHE, garage, vente d'automobiles, avenue Bouchère, à Aimes (Gard).
- CHAMPIGNEUL, fabrique de presses hydrauliques, i/|5, nie Michel-Bizot, Paris. Tel. qo8-/|3.
- CHAMPIGNON. — Un champignon est une pièce métallique cannelée ou striée, en forme de cône très largement aplati, qui se trouve dans beaucoup de carburateurs à une légère distance au-dessus de l'orifice du « gicleur » d'essence.
- Le champignon a pour but d'étaler en lame mince l'essence jaillissant, et de faciliter son
- Champignon de carburateur A, entrée de l’air. — K. arrivée do l’essence jaillissant par l’ajutage et s’étalant sur le champignon. l —M, sortie de l'air carbure (gaz).
- mélange intime avec l’air se trouvant dans la chambre de juilrérisution. ; on obtient ainsi un meilleur mélange explosif.
- CHAMPION {Albert), accessoires pour automobiles, fiji, T remont Street, à Boston (Massachusetts), Etats-Unis.
- CHAMPION {Paul), manufacture française de moteurs électriques et ventilateurs, 54, rue Saint-Maur, Paris. Tel. 923-20.
- CHAMPIONNAT. — Ce mot, de création récente, et. essentiellement sportif, signifie : épreuve importante réunissant, les hommes les meilleurs qui luttent pour posséder le litre de champion.
- CHAMPIONNIÈRE (ir Just-L ucas) Président, d'honneur du T. C. F., chirurgien à l’IIûtcl-Dieu, membre de l'Académie de. médecine, 3, avenue Montaigne, Paris. Tél.
- 5oi-4<).
- CHAMPLY (liené), ingénieur, directeur-rédacteur en chef de la Cote Automobile, 28, rue d'Orsel, Paris.
- CHAMPROBERT (Ateliers de constructions mécaniques De), moteur «Sigma», io5, rue Fazilleau, à Lcvallois-Perrct (Seine). Tél. 513-j9.
- CHANDELLE— Pièce de bois ou de fer, placée verticalement pour servir de support.
- CHANFREIN. —
- forme en abattant un angle droit B, de façon à supprimer une arele fragile ou coupante A sur une pièce métallique, sur du bois, sur de la pierre , etc. ... L’angle droit se trouve remplacé par deux angles obtus.
- rente .surlace que I >
- CHAÜFREI -
- N E R. — Abattre Farcie d’une pièce, pou frein.
- H, chanfrein.
- r former un chan-
- CHANGEMENT DE MARCHE. —
- Le changement de marche est nécessité sur les automobiles par l'obligation où l'on se trouve parfois de virer complètement dans un petit espace, ainsi que par un grand nombre de manœuvres faciles à concevoir.
- Le changement de marche s'obtient, dans certains cas, directement par le moteur lorsque celui-ci est réversible. G'est le cas des moteurs à vapeur et électriques. Dans les premiers, la marche arrière s'obtient par le simple déplacement de la distribution ; et dans le second eu inversant les connexions dos inducteurs, en série avec l'induit, et la batterie, avec ou sans résistance intercalée.
- Quand le moteur 11'est pas réversible, ce qui est le cas des moteurs à explosions actuellement employés, on obtient la marche arrière par un dispositif particulier de la transmission. Le dispositif le plus répandu, sans doute parce qu'il est le plus simple, consiste en un pignon, simple ou double, que l'on vient intercaler entre les pignons de première vitesse.
- — De .1 i;ssi; et C’1’, appareils de changement de marche pour bateaux, 3, rue Col-lange, à Levallois-Perret (Seine).
- CHANGEMENT DE VITESSE. —
- Le peu de souplesse que possède relativement le moteur à explosions, son incapacité de donner des « coups de collier » ont, obligé les constructeurs à le mettre en relation avec le mécanisme de la voiture par des jeux de pignons qui produisent des démultiplications plus ou moins élevées suivant la grandeur du travail qu'a à ell'eetuer le moteur.
- Les changements de vitesse ou, plus exactement, de multiplication ont donné lieu do
- ASSURANCES-ACCIDENTS Conducteurs, Ouvriers, Automobiles.
- ASSURANCES SPÉCIALES - 20. rue Teltbout, PARIS - Télepl)oi)e 283-41
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- tout temps à des recherches passionnées. Tous les modes connus par courroies, plateaux à friction, etc., ont été successivement essayés. On est toujours revenu jusqu'ici aux changements par engrenages de diamètres differents.
- Les changements se font soit par engrenages toujours en prise (le type de Dion est le plus connu), soit par engrenages sur deux arbres parallèles dont l'un porte un baladeur, soit par engrenages à deux et meme Irais trains baladeurs. Ce dernier mode a aujourd'hui la faveur à cause de la robustesse des arbres plus courts et de son plus faible encombrement.
- Un des meilleurs perfectionnements dans les appareils de changements de vitesse a consisté dans l'application de la prise directe (voir ce mot) en grande vitesse. La maison Renault inaugura la première ce système. La maison Pilain a 2 et meme 3 vitesses qui sont en prise directe.
- ' — Benz et Cie, à Mannheim (Allemagne).
- — Clément-Gladiator, au Pré-Saint-Gcr-vais (Seine).
- — De Dion-Bouton et Cie, 3G, quai National, à Puteaux (Seine).
- — Delaunay Bellevjlle, à St-Denis (Seine).
- — Eïjdelin, 3a bis, rue Dcsrenaudes, Paris.
- — Fouillaron, 54, rue dcVilliers, à Levai-lnis-Perret (Seine).
- — Luc Court et Gi0, 88, rue Robert, à Lyon (Rhône).
- — Malicet et Blin (Etablissements), io3, av. de la République, à Àubervillers (Seine).
- — Pilain (Automobiles), 17, chemin de Monplaisir, à Grange-Rouge, Lyon (Rhône).
- Renault frères, i3q, rue du Point-du-Jour, à Billancourt (Seine).
- Terrot et Cio, 2, rue André-Colomban, Dijon (Côte-d'Or), changement de vitesse pour cycles et motocyclettes.
- — Züst (Roberto), /|0, via Borgognone, à Milan (Italie).
- CHANON (A ulomobiles et Cycles), 22, rue Duret, Tel. 5o5-i3. Ancienne Société IL Chanon et Cio, fondée en 1891. Est devenue en date du ier mars 1900, la propriété de M. Henri Gaubcrt qui l’a transférée au iormai 190(5 à MM. W. F. Ileydt et Louis Gaubert, qui l'exploitent actuellement sous la raison sociale Automobiles et Cycles Chanon, pour la fabrication de cycles, tri-porteurs et automobiles, ainsi que la réparation d’automobiles de toutes marques.
- CHANTIER DU PETIT GENNE-VILLIERS, canots automobiles (F. Lu ce, proprietaire), au Pctit-Gcnncvillicrs (Seine).
- CHANTIERS NAVALS DE LA SEINE (Société des), canots automobiles « Nautilus », 32, quai de Seine, à Sartrou-ville (Seinc-et-Oisc.)
- CHANTOURNER. — Evidcr, découper différentes matières, principalement le bois, suivant un contour ou profd donné.
- CHANUDET, pièces détachées, !\y, rue Fontaine-au-Roi, Paris. Tél. q3G-02 .
- CHANUT, bougies d'allumage, 100, rue de Ménilmonlant, Paris.
- CHANUT (J.) appareil d'arrêt « Stop », 3q, rue Rivay, à Levallois-Pcrret (Seine).
- CHANUT, PERRICHET et C'% Carrosserie automobile, 2^, boulevard d'Asnières, La Jatte, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- CHANVIN (J.) , avant-trains et remorques, garage, l\.j, rue Richard-Lcnoir, Paris.
- CHAPE. — Ce mot s'emploie pour désigner tantôt un évidement destiné à recevoir une pièce, tantôt une pièce qui en recouvre une autre. On dit, dans le premier sens, la chape d'un tour, d'un essieu, d’une balance ; et, dans le second, la chape d'une poulie, d'une tete de bielle ou de manivelle.
- Les chapes sont, très souvent employées pour former liaison entre deux tringlestde frein, parexem-ple) dans les automobiles.
- On nomme aussi chape la fourche qui soutient les pivots sur lesquels tournent une ou plusieurs poulies.
- — Chape. — Cercle plat de caoutchouc qui entoure presque toujours une enveloppe de pneumatique. Elle est collée ou vulcanisée sur cette enveloppe. Elle peut être changée par l'opération du rechapage.
- CHAPEAU. — Un chapeau est un bouchon métallique que l’on place soit à l'extrémité d'un tube d'amenéc d'air par exemple, auquel cas il est percé de trous qu’on peut découvrir plus ou moins, en tournant le bouchon à la main et en faisant varier ainsi le « débit » d'air ; soit à l'extrémité des moyeux des roues pour protéger la fusée contre la boue, la poussière et les chocs, et pour maiii-
- C, chape. — O, œil (le la chape.
- Fig. 1
- Chapeau de puise d’aih.
- B, chapeau. — T, tube sur lequel il est monté.
- A'
- Fig. •>.
- Coupe üVn chapeau de rock
- A, écrou de fixage de la boîte d’essieu sur la fusée. — A’, le même vu eu perspective. —K, fusée. — F, rainure de graissage.
- tenir l’huile ou la graisse qui lubrifient le roulement du moyeu sur la fusée.
- Automobiles delaunay
- SAINT. UE.XIK. SU»- SfrlNE
- DELLEVILLE |
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- CHAPELAIN, vente d’accessoires pour automobiles, 18, rue Oberkampf, Paris?
- CHAPELIÈRE. — Accessoire de garni-lurc qui, dans une voiture fermée, est lixé au pavillon et sert à emporter commodément des chapeaux ou des petits paquets. La cha-pelière est faite en tresse ou en cuir.
- CHAPELLE. — Petite chambre adjacente latéralement à la chambre d'explosion d'un moteur. — Voir Chambre.
- CHAPELLE {de la) Frères et VAN-
- DELET. — Voir Vandelel. — VoitureLtes et motocyclettes Stimula, A boulevard Montparnasse, Paris. Adr. tel. Stimula Paris. - - Usine : 11, rue Bellini, à Puteaux (Seine).
- CHAPELLE (Pierre de là), 30, rue des Sablons, à Paris. — Né à Lyon, le n décembre 1867. De la maison II. de la Fres-naye, iô, rue du Débarcadère, Paris.
- CHAPELLE (Charles), vice-président «le la Chambre syndicale du Cycle eide l’Automobile, (i, place de la Concorde, Paris. — Né à Paris, le i!\ janvier 1 Sfii. -- Conseiller du Commerce extérieur de la France. — Administrateur-délégué do la Métropole. — Directeur du Service commercial de la Macé-rienne. — Administrateur dans la Société des Voitures Unie. Chevalier de la Légion d'honneur, officier de l'Instruction publique, chevalier du Mérite agricole, etc.
- CHAPIER Aîné, garage et vente d’au-toinobiles, rue (le la Laiterie, à Moulins (Allier).
- CHAPIER Jeune, garage et vente d'automobiles, rue (iambetta, à Moulins (Allier).
- CHAPIN, vente de cycles et" d'automobiles, commissionnaire, 20, rue La Rochefoucauld, Paris. Tél. 293-76. — Succursales à Madagascar.
- CHAPLARD, garage, vente d'automobiles, 18, avenue d'Alsace-Lorraine, à Bourg (Ain).
- CHAPPÉE et Fils, fonderie de fer, à Antoigné (Sarthe); et i/|i, rue de Rennes, Paris. Tél. 704-14-
- CHAPUIS, garage, rue (iambetta, à Mâcon (Saône-et-Loire).
- CHAPUIS, garage, rue du Crand-Moulin, à Saint-Etienne (Loire).
- CHAPUIS et Ci0, appareils à souder, i/|2, rue Lalayotte, Paris. Tél. 431-98.
- CHAPUIS et DORNIER, fabrique de moteurs, i3, rue de la Mouillère, à Besançon (Doubs).
- CHAPUT (II.), fournitures pour automobiles, 12, rue Boulle, Paris. Tél. 923-21.
- CHAR-A-BANCS. — Voiture découverte. à entrée latérale, ayant en nombre variable des bancs ou banquettes parallèles, placées transversalement à la roule.
- Cette voilure n’est en somme qu’une sorte de triple ou de quadruple phaélon.
- CHARAVIN, garage, au Pont-de-l'Ange, à Orange (Vaucluse).
- CHARBON. — Le charbon de bois est le résultat de la carbonisation du bois, qui a été opérée a l’abri de, l’air pendant un certain temps, soit dans des cornues (charbon pour fabriquer la poudre), soit en meules (méthode ordinaire). — Ce n’est pas du carbone pur.
- Le charbon de bois est noir et cassant. Sa densité, en morceaux, est de i,/|5 à i,55; il Hotte sur l’eau, grâce aux gaz qu'il renferme dans ses porcs. — Réduit en poudre, sa densité varie de 1,00 à 2. — Sa conductibilité calorilique et électrique varie énormément suivant la température plus ou moins élevée ipiia été atteinte pendant, sa carbonisation.
- — Charbon de cornue. — Charbon très dur, bon conducteur de la chaleur et de l'électricité, un des résidus de la distillation de la houille. -— Voir ce mot.
- Charbon de forge. — Voir Forge.
- Charbon de terre. — Nom commun de la houille. Voir ce mol.
- CHARBONNIER, ae eessoires pour automobiles, mg avenue de la République, Paris.
- CHARGE (Charge des piles). La charge des piles consiste dans le remplacement des produits liquides ou solides qui en assurent le fonctionnement. Les explications à donner varient, donc suivant, la nature des piles elles-memcs. Au surplus, c’est une manipulation assez compliquée. — Voir les He-cetles du Chau/f'eur.
- — Charge des accumulateurs. - La charge des accumulateurs est, l'opération qui consiste à leur faire emmagasiner le courant qu’ils restitueront plus tard. La méthode employée varie suivant, qu'on se sert de piles ou qu'on prend le courant sur un secteur.
- — Charge d’un condensateur. — l.'n condensateur ne prend de charge que si ses armatures sont réunies à des pôles de môme nom. 11 sert d'ailleurs le plus souvent «à absorber momentanément un courant instantané trop intense, comme dans les bobines d'allumage (voir Bobine), pour le restituer ensuite.
- Charge limite. — On entend par charge limite un certain ell’ort continu ou passager, qui ne doit, pas cire dépassé en un point ou sur l'ensemble de matériaux de résistance connue, sans qu’011 courre le risque certain d'amener leur « rupture » ou leur « déformation » permanente (par allongement, écrasement, fléchissement ou torsion).— C’est,
- Société Anonyme Egyptienne d’Electricité43 43
- PERMUTATRICES ROUGÉ-FAGET POSTES DE CHARGE POUR ACCUMULATEURS
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- ainsi qu'on dopasse la charge limite d'élasticité que peuvent supporter des ressorts de voiture, lorsqu’un véhicule lourdement chargé cherche à franchir à grande vitesse un cassis ou un caniveau profond.
- La charge limite a une importance considérable en ce qui concerne les pneumatiques. Il est essentiel en effet de ne pas dépasser, ne serait-ce que de quelques kilos seulement, la charge limite indiquée par le fabricant pour chacun de ses types de pneus. L’inobservation de ce principe entraîne fatalement et malheureusement très souvent l'éclatement des pneumatiques par suite de rupture des toiles.
- .. Charge (Etre en). — On dit qu'un
- réservoir d’eau est en charge sur une pompe, lorsqu’il est placé à un niveau supérieur à celui de la pompe, de sorte que l’eau y descend naturellement par son propre poids. C'est, un dispositif qu'on doit toujours rechercher en automobile, la pompe n’ayant ainsi aucun travail à faire pour Y aspiration de l’eau et utilisant toute sa puissance pour le refoulement dans le radiateur et surtout parce que Y aspiration de l’eau chaude est très difficile à cause de sa grande tension de vapeur qui vient contrebalancer la dépression créée par le piston. A ioo°, l'aspiration est, théoriquement impossible et, pratiquement, au-dessus de 70°.
- CHARIOT. — D ans un tour parallèle, le chariot est une pièce mobile qui peut être déplacée parallèlement ou perpendiculairement à l'axe du tour, soit à la main, soit, automatiquement et qui sert de support aux outils de tour.
- CHARLAS, Syi îdicat des brevets Trul-fault, s4, rue des Arts, à Levaliois-Perrcl (Seine).
- CHARLES (Fe rnand), 9, Ellys Ild, à Coventry (Angleterre). Né à Poitiers, en 18^2. Manager of the Daimler and C°.
- CHARLES, engi ns nautiques, 45, rue Maleret, à Bordeaux (Gironde).
- CHARLES, vente de motocyclettes, 48, rue Saint-Placide, Paris.
- CHARLEY, vente d'automobiles Mercedes, 70, avenue des Champs-Elysée, Paris. Tél. r,/i9-77-
- CHAR LIER (E(l</.),' a9, Von «1er Tannstrasse, à Munich (Bavière). — Ingénieur civil, traducteur technique spécialiste en matière d’automobilisme et d'électricité, collaborateur français attitré des Dictionnaires techniques illustrés de Deinhardt-Schlomann ” en six langues. — Collaborateur au “ Technolexique” de la Société des Ingénieurs allemands. — Collaborateur à T An-nual Baudry de Saunier.
- CHAROTTE (Maurice), automobiles marque Mom, i^3, boulevard Pereire, Paris. Tél. 53:2-32. —Travaux mécaniques de forge et de fonderie pour l'armée, la marine et l'industrie.
- CHAROY et Ci0, fournitures industrielles, 3. rue IJenry-Say, à Asnières (Seine). Tel. 93.
- CHARPENTIER (LJ, pièces embouties, 53, avenue Parmentier, Paris.
- CHARPENTIER-PAGE (GJ, fonderie d’aluminium, au Yaldoie, territoire de Belfort.
- CHARRIER (G.), dessinateur industriel, 5, rue Poncelet, Paris.
- CHARRON (Fernand^, villa Grélry, avenue Grélry, Maisons-Laffitte (Seine-et-Oisc); ct/|5, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél. 529-90. Né à Angers, en 18GG. Co-propriétaire de T Agence Générale des Automobiles ; direçteur général de la Société des Automobiles Charron, Limited, à Puteaux (Seine).
- L'une des personnalités le plus en vue de notre monde.
- Trois fois champion de France bicyclette et tricycle, fond cl, vitesse ; employé chez Rudgc, en 1880, avec de Ci-vry comme directeur; on 1892, directeur du ma-
- -M. Charron.
- gasin de Clément, rue du Quatre-Scptembre ; en 1898, directeur des Cycles Ilumber, qui ont connu alors des chiffres d'affaires et une prospérité remarquables (pii ont marqué leurapogée en France. En 189J, prévoit l’avenir des autos ; fonde Y Agence Générale des Automobiles, gagne Marseille-Nice, Paris-Amsterdam, Paris-Bordeaux et la première Coupc Gordon-Bennett (1900). En 1901, fonde la société de construction des C. G. V,, portant successivement le chiffre d'affaires de un million, la première année, à six millions la quatrième année. M. Charron est aussi qualifié gentleman et a obtenu de nombreux succès en montant en plat lui-même ou comme propriétaire de chevaux de course; en iqo5, il était en tète des gentlemen, en courses plat.
- CHARRON, GIRARDOT et VOIGT
- (Agence générale des Automobiles), 45, av. de la Grande-Armée, Paris. Tél. 029-95. — Vente d’automobiles Charron Ltd.
- ILA PERFECTION MÊME
- CHARRON. Ltd
- PUTEAUX
- 7, rue Ampère
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- CHARRON, Ltd ( Ancienne Société I Charron, Girardot et Voigt), construction d'automobiles,7, rue Ampère,à Puteaux . Seine). Tel. G9, Puteaux. Adr. tel. Autocharron-Puteaux. —Société Anonyme, fondée en 1901; capital : 9 5oo 000 francs. — Directeur géné- ! ral : F. Charron. — Construction de moteurs j à pétrole et de châssis pour voitures automobiles, 1/4, 20, 3o, 5o et'70 chevaux-vapeur. Voitures de toutes formes au gré absolu du i client.
- Caractéristiques Ltd, pour l’année 1 des 9°7 : châssis Charron,
- 5 types de châssis : i4, vaux. 20, 3o, 5o et 75 chc-
- Moteur Alésage Course
- 14 HP. 95 I 20
- 20 HP. 110 i3o
- 3o HP. 120 i5o
- 5o IIP. i4o 1G0
- ^5 HP. 1G0 1G0
- Le châssis i!\ HP., dit châssis de “ Voiture de Ville”, est seul à cardan ; les autres sont à chaînes. L’empattement de ce châssis est de 2m73o, ce qui permet le montage d’une caisse coupé ou lanclaulet de 2in320. — Pour les autres châssis, la longueur réservée à la carrosserie peut varier, suivant la demande du client, depuis 2m3o jusqu’à 3m(io (longueur courante : 2m6o).
- Agents des Automobiles Charron, Ldt
- Paris : (Seine) : Agence Générale, /|5, -avenue de la Grande-Armée; Bondis, /|G, avenue Montaigne.
- départements. — Angers (Maine-et-Loire) : : Malinge, 23, rue Paul-Bcrt. — Biarritz ! (Basses-Pyrénées) : Bonneville et Cl°, i5, avenue de Bayonne. — Biarritz (BàsseS-Pyrénées ) : Mabon, avenue de la Négresse.
- — Bordeaux (Gironde) : Lafargue, 43, rue Croix-de-Séguey. — Laval (Mayenne) : Lainé Frères, 33, quai d’Asnières. — Lille (Nord) : Deelercq et Cordonnier, 1 hiis, rue de la Chambre des Comptes. — Lyon (Rhône) : Benoît, Tavan et Cio, 76, boulevard du Nord.
- — Nice (Alpes-Maritimes) : Willaume, garage Gambetta. — Toulouse (Haute-Garonne) : Bonneville et Ctfl, 5a, boulevard Carnot. —
- s (Indre-et-Loire) : Monjalon, 12, quai Saint-Symphoricn.
- étranger. — Barcelone (Espagne) : Trias et Ramonet, 52, Bailen. — Bilbao (Espagne) : Ricardo de Dambo- ronéa. —• Buenos-Ayres \ (République Argentine) : Golfre. —• La Haye (Hollande) : Enthoven w Holland Automobile”, 5i, Stationsweg. — Lausanne (Suisse) : Addor, à Couvaloup. — Londres (Anglc-terre) : London Motor Garage C° Ltd, 33, Wardour Street. — New-York (Etats-Unis) :
- G. G. V. Import G0, zt\[\ West, G9 tli Street.
- — Porto (Portugal) : Joao Garrido, 16, pas-sos de Manoel.
- CHAINES RENC
- CHARRON (F °) et BELLANGER,
- accessoires pour automobiles, 142, rue Saint-Maur, Paris. Tel. 930-95.
- CHARRONNAGE. — On entend par charronnage le « gros œuvre » de la voiture : le corps de la voiture et les roues. Ce mot s’applique particulièrement à la fabrication des véhicules attelés.
- CHARTON, garage,
- garage, rue Gambetta, à
- 21, rue de Tivoli,
- Dijon (Côte-d'Or)
- CHARTROU,
- Figeac (Lot).
- CHASE CYCLE et MANUFACTU-RING C°, cycles et motocyclettes, 52, Snow Hill, à Birmingham, Angleterre.
- CHASSAGNE, insignes pour sports, 1G9, avenue de Clichy, Paris.
- CHASSE. — L es chasses sont des outils de forge en acier légèrement trempé, emmanchés, sur lesquels on frappe avec de lourds marteaux pour dresser, aplanir ou épauler le fer.— La caractéristique de la chasse est que la base est plane. Si son profil de base est rectangulaire, elle est dite chasse à parer (fig. i);si le profil de base est carré, elle est appelée chasse carrée (fi
- 1£T. 2
- — Chasse-clavette. — Le chasse-clavette est un petit outil, en acier fondu, de forme toute spéciale, qui sert à extraire une clavette de son
- m
- M
- ID
- CjIASSK—CLAVETTE VU EN SES DEUX POSITIONS
- logement dans la pièce ([u1 elle maintient sur un arbre (volant du moteur, par exemple). Il est extrêmement rare qu’on ait à l’employer pour
- le volant; on l'utilise parfois pour démonter certaines roues motrices dont l’essieu est tournant.
- — Chasse-goupille. — Les chasse-goupilles ont la forme de « crayons » effilés dont on introduit
- la pointe dans le iy.T—^— -------------.
- trou où une goupille s’est, bloquée ou rompue ; le chasse-goupille, poussé par quelques coups secs du marteau, expulse la goupille à remplacer.
- — Chasse-rivet. — Outil employé spécialement dans la petite chaudronnerie et dans la construction des bateaux. Il sert à rapprocher la tete d’un rivet et les épaisseurs
- Chasse-Goupilles
- C. COIMIÔT - PARIS
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- de métal qui doivent être maintenues serrées au moyen de la confection d'une seconde tete faite à l’autre extrémité de ce rivet. Le chasse-rivet est rond ou octogone, mais il est tou-
- Pour le fer
- Pour le cuivre
- Chasse-Rivets
- jours pris dans une barre d’acier fondu. On le trempe à son extrémité au rouge s’il est destiné à travailler le fer, et au bleu s'il est fait pour le cuivre.
- CHASSE ILLUSTRÉE (LA) et LA VIE RURALE ET SPORTIVE, journal bi-mensuel, 3o, rue Jacob, Paris. Tél. 823-81.
- CHASSELOUP- LAUBAT (Marquis Louis dej, 5i, avenue Montaigne, Paris. Tél. 552-8/j. — Né à Paris, au Ministère de la Marine, le 12 juin 18G3. —Chevalier de la Légion d’honneur, officier d’Acadé-mie. —Ingénieur E. G. P.
- Administrateur des Ateliers et Chantiers de la Gironde; trésorier d e s I n g é -nicurs civils de France ; membre du Bureau de l’Association technique maritime; membre associé do l’Institute of Naval Architects de Londres. — Membre du Comité de direction de VAulo. — Rapporteur général des Congrès aux Expositions de Chicago et de 1900.
- A pris l’initiative de transformer le Comité temporaire Paris-Bordeaux-Paris (i8q5) en Comité permanent, que M. de Dion transforma en A. C. F. — Lauréat de la Société des Ingénieurs civils de France. —- Membre fondateur et membre du Conseil (l’administration de l’A. C. F.
- CHASSEUR FRANÇAIS (Le), organe universel de tous les sports et de la vio en plein air, revue mensuelle, à Saint-Etienne (Loire).
- CHASSEVENT (C.), obtention de brevets d’invention, Oflice « Desnos », 11, boulevard Magenta, Paris. Tél. 43o-8i.
- CHASSIS. — Le châssis est à proprement parler la partie principale du squelette d’une automobile. Ce sont deux longerons parallèles, en bois armé, en tubes, ou mieux en tôle emboutie, qui, réunis par des entre-toises et des traverses, maintenus contre les déformations possibles par des tendeurs, constituent. sensiblement un rectangle dans lequel et sur les bords duquel est installé tout le mécanisme.
- L'habitude est venue peu à peu de désigner l’ensemble du mécanisme d’une automobile, sur les roues, par le terme de châssis. On achète un « châssis » chez un constructeur et le carrossier fait le reste. — Voir Unification des châssis.
- — Châssis à entrée latérale. — Châssis dont la longueur est suffisante pour l’établissement, de carosseries à entrée latérale : doubles phaétons, coupés limousines, etc. La longueur des châssis à entrée latérale, comptée à partir du tablier jusqu’à la traverse arrière, est rarement inférieure à 2 m. 5o. Leur largeur est généralement de 85o à 880 m/m.
- — Châssis cintré. — Châssis dont on a réireint l’avant, pour faciliter le braquage des roues directrices. — Voir ce mot.
- — Châssis en bois armé. — Les châssis des voit mes Charron sont laits de tubes rectangulaires dans lesquels est comprimé du hetre. Ils sont extrêmement, solides, peu sonores et se prêtent à toutes les combinaisons.
- — Châssis en tôle emboutie. — L’emploi des châssis en tôle emboutie se généralise de jour en jour. 11 permet d’obtenir des longerons d’une seule pièce, en forme de solide d’égale résistance, et l’ensemble est
- b
- c
- CL
- d d. —NJ
- c==! —^ —fi
- CLC
- Châssis en tôle emboutie de Diéthich
- a, longerons. — b, mains de ressort AV.
- — c, mains de ressort AU — il, traverses du changement de vitesse.
- d’une grande légèreté relative. L'emboutissage peut se faire au marteau pour un petit nombre de pièces. Aujourd'hui, un certain nombre de forges livrent des châssis emboutis d’une pièce, dans une seule tôle, qu’on peutconsidérer comme bien près de la perfection. Les Forges
- Les Automobiles “ LORRAINE DIETRICH ”
- SONT LES PLUS RÉGULIÈRES
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- Châssis :
- () 11 A
- 19°
- o n a
- de Douai (Arbel) ont les premières livre des châssis en tôle emboutie et sont passées maîtresses en cette spécialité. Quelques usines d'automobiles, très importantes, notamment Delaunay-Belleville, estampent elles-mêmes leurs châssis. La figure montre en coupe verticale et en plan un châssis embouti de Dié-Irich dernier modèle. On remarquera le rétrécissement (le l’avant, du châssis. - Xoir Châssis cintré.
- Châssis en tubes.
- — Arbel (Etablissements), châssis emboutis, 5:2, boulevard Haussinann, Paris.
- — Benz et Gie, à Mannheim (Allemagne).
- — Bereiet (Automobiles), 12, chemin des Quatre-Maisons, Lyon (Rhône).
- — Charron, Ltd, châssis en bois armé, -, rue Ampère, à Puteaux (Seine).
- - - Ciienard et Walcker, ’j, rue de Normandie, à Asnières.
- — - Delacnay Bellevillk (Etablisse -ment s), châssis emboutis, à St-Dcnis(Scine
- — Dyleet Bacalan, â Louvain (Belgique).
- Levier du frein • ^ différentiel
- (’.MTF.S OFFICIELLES D'UNIFICATION DKS CHASSIS |)K PETITES VOITCHES, ADOPTEES PAH LA <J° SECTION PROFESSIONNELLE
- de la (iiiAMimi: Syndicali: de l'Automobile.
- Les châssis en tubes s'appliquent, de préférence aux voiturettes et motocydes, en général aux véhicules légers. Cependant la maison Renault s’en est servie longtemps avec avantage dans la c onstruction dej ses voitures légères de toutes puissances. En fait, les tubes rationnellement employés constituent d'excellents éléments de construction. Les tubes sont en acier étiré sans soudure, du plus grand diamètre possible afin d'avoir un grand moment d’inertie sous un faible poids, et sont assemblés au moyen de raccords en acier coulé goupillés et brasés à la brasure forte.
- — Eudelin, 3a bis, rue Desrenaudes, Paris.
- — Forges de Douai (châssis emboutis Arbel), 02, boulevard Iïaussmann, Paris.
- - Germain (Ateliers), à Monccau-sur-Sam-bre, par Marchienne-au-Pont (Belgique).
- — Hotchkiss (Etablissements), ia3 bis, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- — Lacoin, châssis démontables. —-Voir Luc, Court et Ci0.
- Luc. Court et Gic, châssis démontables, 88, rue Robert, à Lyon (Rhône).
- -— Mamcet et Rein (Etablissements), châssis complets sans moteurs, io3, avenue de la République, à Aubervilliers (Seine).
- CHASSIS EMBOUTIS ARBEL]
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- — T9T
- — Mildé Fils et C'% châssis à moteurs électriques, Go. rue Dcsrenaudes, Paris.
- Pilain (Société des automobiles), 17, chemin de Monplaisir, à Grange-Rouge, Lyon (Rhône).
- — Renault FnÈnns, i3y, rue du Point-du-Jour, à Rillancourt, (Seine).
- -- Rociiet et Sgiinkideu (Société d automobiles), chemin Fouillai, à Lyon (Rhône).
- - Zost (Roheuto). /|o via Rorgognone,
- (Italie).
- nicrcs et, tôles, pièces de l'orge pour automobiles.
- CHATON, garage, rue de la Chaussée, à Montargis (Loiret,).
- CHATRAGE des roues.— Lorsqu'une roue en bois, au bout, de deux ou trois ans, commence à « vieillir», a s'ébranler, un petit «jeu» s'aperçoit au bout cl au pied du rai : la roue est, malade, la ruine des pièces assemblées 1er, jantes, rais, est proche !
- 11 faut, recourir bien vile au seul remède, le châtra,ge administré par le médecin, le charron. Celui-ci, après avoir retiré la jante d'acier, « rogne » quelques millimètres sur les
- COTES OITJCIKLLLK IM1NI FIG ATION DK S CHASSIS |)K GROSSES VOITURES.
- CHATEAU Frères et Cin, compteurs, taehymètres, 1 an, boulevard de Grenelle, Paris. Tel. ^.'lo-oj.
- CHATENOIS (Forges de). Territoire de Relforl. — Voir Vermot, Paris.
- CHATILLON. COMMENTRY et NEUVES-MAISONS (Compagnie des Forges de), 19, rue la Rocholbucauld, Paris. Tél. io8-36. Adr. tel. Chatiomcntry-Furis. Directeur : M. Léon Devv, ingénieur en chef au Corps des Mines. Président du Conseil d administration : M. 11. Darcv. - Acier au creuset pour outils; moulages en acier; cor-
- faccs des morceaux de jante en bois qui constituent, la jante totale ; il les châtre. En somme, il « réduit, le diamètre » de la jante totale afin de regagner le jeu qui s’était déclaré aux extrémités des rais. Il remonte enfin une nouvelle jante d’acier de diamètre plus petit, que celui de l’ancienne ; et, la roue est reconstituée. aussi solidement que primitivement.
- Le chàtrage ne peut pas être répété souvent, sur une même roue, car cette opération a pour résultat immanquable d’augmenter chaque fois Vécu an leur (voir ce mot), le diamètre de la roue diminuant, bien que les
- Automobiles delaunay belleville
- SAINT -UEIUS- SUR - SEINE
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- rais demeurent a leur longueur primitive. De plus, pour placer les rais dans leurs «logements, le charron est oblige de « tricher » un peu. 11 y a donc des limites au châlrage.
- CHATTERTON. — Subst ance noire, poisseuse, qui sert a imprégner des bandes de toile (ruban chattertonné) très isolantes, dont, on enroule les joints ou épissures de fils électriques. Ce ruban, très adhésif, forme autour de la jonction un manchon isolant et hydrofuge.
- Le dut Lier Ion est formé, le plus souvent, d’un ruban de coton trempé dans le bain suivant : gutta-percha, 100 parties ; goudron de houille, 3o parties ; résine, /|0 parties.
- CHAUCHARD (Paul-Yves), sportsman, membre de l'A. C. IC, président du Club
- Nautique de Nice, 4y, rue Saint-Ferdinand, Paris.
- CHAUDES-
- SON, garage, rue de Beauvais, à Méru (Oise).j
- CHAUDEUR,
- sciage et découpage de métaux, 110, rue Casla-gnary, Paris. Tél. 713-8a.
- CHAUDIÈRE. - D' une fa-(,’ou générale, 011 nomme ch au-(Hère un récipient métallique où l'on fait chauffer, bouillir ou cuire quelque chose. En mécanique, la chaudière est un vaisseau métallique hermétiquement clos, dans lequel l’eau, soumise à l'action du feu, se transforme en vapeur. Le nom le plus exact est alors générateur de vapeur, ou simplement générateur , par opposition au moteur, qui comprend toutes les autres pièces de la machine, sauf les transmissions.
- — Puiuucy (V.), 2i, boulevard J.-J. Bosc, à Bordeaux (Gironde).
- M. CllAUClIAUD
- CHAUFFARD. — I 'ernie méprisant pour désigner certains conducteurs d’automobiles dont l'outrecuidance ou le sans-gene attirent les haussements d'épaule des gens sensés et souvent meme la haine de ceux qu'ils molestent plus ou moins volontairement.
- CHAUFFER. — On dit qu'une pièce mécanique chauffe, lorsqu’elle atteint une température anormale. C'est ainsi qu'un palier chauffe et tend à gripper lorsque l'arbre en mouvement qu'il supporte tourne sans graissage suffisant ou à une vitesse trop grande; c'est ainsi qu'un moteur chauffe, lorsque
- vient à manquer l'huile qui diminue les frottements du piston sur l'intérieur du cylindre. U11 moteur chauffe aussi très souvent par suite d'une circulation d’eau plus ou moins insuffisante ou interrompue (pompe en mauvais état, radiateur trop petit, obstruction de la canalisation, etc.).
- L’échaullement du moteur se révèle à l’odorat (odeur de peinture qui brûle ou de tôle chauffée) et à la vue (panaches de vapeur).
- — Les pneumatiques sont également sujets à chauffer. Ce phénomène se manifeste dans le cas où le pneu est trop faible pour le poids qu’il a à supporter, ou dans le cas où il est insuffisamment gonflé. On croit, généralement que plus un pneu est gonflé plus il chauffe ; c'est une grave erreur parce que, en gonflant un pneu assez dur, 011 limite le jeu et la friction de ses organes et, par suite, leur éehaufl’emcnt. Les effets produits par réchauffement anormal du pneu se manifestent généralement par un décollage partiel du croissant, de la soudure de la chambre à air et des pièces ou pastilles qui peuvent y être collées.
- CHAUFFERETTE. -— Quelques constructeurs avisés ont eu la bonne idée de faire passer sous les pieds du conducteur des tuyaux ou des tubes plats dans lesquels circule l'eau totale de refroidissement, ou mieux une dérivation de cette eau chaude qu’on peut admettre, ou non, à volonté, dans la chaufferette au moyen d'un robinet spécial.
- Les chaufferettes peuvent aussi être alimentées par une dérivation des gaz d’échappement.
- — Desponts (chaufferett e à circulation d'eau), 100, rue Victor-IIugo, à Levallois-Perret (Seine).
- — Ghouvelle, Akquemboukg et Gle, 71, rue du Moulin-Vert, Paris.
- CHAUFFEUR- — Le mot chauffeur, désignant le conducteur d’une voiture automobile, est absolument dénué de sens, puisque (sauf le cas assez rare des véhicules à vapeur) le « chauffeur » 11e chauffe absolument rien! C'est la une expression adoptée par le public qui' n’avait pas d’autre mot a sa disposition et qui, voyant allumer des « brûleurs », réclamer de l’essence et du pétrole, demander de l'eau à tous les échos, et constatant que de la vapeur sortait parfois de l'arrière des Voitures, en a conclu avec une ignorante logique qu'on devait (( chaufïer quelque chose » dans ces nouveaux véhicules !
- — Chauffeur (domestique). — Un chauffeur d'automobile, quoique payé au mois, n'a droit, comme un cocher ordinaire, qu’à un délai-congé de huit jours. (Jugement du Tribunal de paix do Paris, XIe arrondissement, 3i mai igo5.)
- — Chauffeurs militaires. — Chaque année, on emploie de plus en plus, aux
- Prière de lire avec soin
- la Préface i Hôtes Importantes
- (pagres 8 à 16) du présent volume.
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- C 11 A — iy3 — C 11 E
- grandes manœuvres, lus voitures automobiles. Tant qu’elles sont en service au corps, les automobiles militaires reçoivent, comme indemnités, les allocations prévues par l'instruction ministérielle du 9 avril 1902, c’est-à-dire o fr. 02G par cheval et par kilomètre, o fr. 8G par cheval et par jour, ainsi qu’une indemnité fixe journalière de 2 fr. 5o pour les hommes de troupes et de 3 francs pour les sous-ofiieiers.
- CHAUFFEUR (Lr), ancien Technolo-giste, 9, rue Guénégaud, Paris. Tel. 8a 1 -44. Adr. tél. Lockert-Paris. —• Journal fondé en 1889; administré par M"'° Juliette Lockert.
- CHAUFFEURS-MÉCANICIENS (Société amicale des), 20G, rue Lafayette, Paris.
- CHAUFFIER (J.) porcelaines pour bougies. — Voir Martel et Thomas, à Esternav.
- CHAUSSE, vente d’accessoires, 28, rue de Chabrol, Paris. Tél. 428-80.
- CHAUSSÉE-D’ANTIN (Garage de la), 2,3, rue Joubert, Paris.
- CHAUSSELAT <J.l, n-ia-i3, rue Princesse, Paris. Tél. 820-39. — Soudure autogène de la fonte et de l’aluminium (cylindres, culasses, carters, etc.), ne laissant aucune trace. — Réparation de tous cylindres de moteurs, culasses, etc. Travaux garantis même sur l’aluminium.
- CHAUVEAU (Gustave), 70 bis, avenue de Wagram. — Né à Paris en 18GG. Officier d'Académie; chevalier du Mérite agricole. Ingénieur civil. Conseil en matière de moteurs, de moyens de transport et d’éclairage. Ecole Centrale en 1887. Membre d’installation et des Concours d'automobiles de l'Exposition de 1900. Rapporteur au Congrès de l’Alcool, en 190/1. Créateur de cours de moteurs et d’automobiles, en 189G. Ancien directeur de la Société des voiturel tes Léon Rollée (1896-1902).
- CHAUVEL et Cle, cuirs au chrome, à Coudekerque-Branehe (Nord).
- CHAUVET . garage de la Place de Rennes, Go, boulevard du Montparnasse, Paris. Tél. 702-83.
- CHAUVIÈRE, modèles en bois et en métal, /|8 bis, rue Servan, Paris. Tél. 910-08.
- CHAUVIN (A.) , constructeur-mécanicien, 77, rue de Lariehe, à Tours (Indre-et-Loire). Tel. 3-4
- _ CHAUVIN (L.), pneumatiques Eurêka, no, rue des Poulets, Paris. Tél. 924-11.
- CHAUVIN et ARNOUX, 186, rue Championne!., Paris. Tél. ôaô-ôa. Adr. tél. Elecmesur-Paris. — Maison fondée en 189.3. Instruments de mesure électrique ; constructeurs de quantité d’appareils utiles en automobile (auto-lrcmbleur, indicateur de vitesse1, indicateur de pente, totalisateur d’heures de marche, etc.)
- CHAUVIN (ttuphaël), 18G, rue Cham-pionnet, Paris. — Né à Mainlenon (Scinc-et-Oise), en 1806. Associé de la maison Chauvin et Arnoux.
- CHAVANET (Louis-Eugène). 33, avenue Dcnfert-Roebereau, à Saint-Etienne (Loire). — Né le 20 août 1862, àSaint-Cha-rnond. — Constructeur mécanicien. — Occupe actuellement 100 ouvriers à la fabrication de pièces détachées pour cycles et automobiles (Marques « Lvgie » et « Ursus ». — A débuté, en 1890, par la mécanique générale ; s’est spécialisé, depuis 1898, dans la fabrication des pie- M Lo|.IS ClIAVASKT
- ces détachées.
- CHAVANNE-BRUN Frères, fabrique de cylindres pour le laminage des métaux, à Saint-Chamond (Loire).
- CHAVE (F.), indicateurs de pente pour automobiles, à Eyguières (Bouches-du-Rhône:.
- CHAVERONDIER, garage, 5o, quai Saint-Vincent, à Lyon (Rhône).
- CHAZOULIÈRE, mécanicien-constructeur, à Mareuil-sur-Rellc (Dordogne).
- CHÉDEVILLE, garage, avenue Thiers, à Vernou (Eure).
- CHEEP TOO CAR C°, fabrique d’automobiles, à Détroit (Michigan), Etats-Unis.
- CHELIN , accumulateurs Clielin, 29, place (le Louvain, à Bruxelles (Belgique). Tél. 4-721.
- CHELSEA CLOCK C°, montres pour automobiles “ Auto-Clock ”, 1G, State Street, à Boston (Etats-Unis).
- CHEMIN, garage, 3G, rue d’Orléans, à Pont-Audenier ( Eure).
- CHEMINÉE. — Tube métallique de plus ou moins grand diamètre qui sert soit à l'aspiration des gaz ou de l’air (cheminée de l’ancien carburateur de Dion-Boulon), soit à leur évacuation (chaudière. Serpollet).
- CHEMISE. — Ce nom, en mécanique, est donné à tout objet qui en couvre un autre, comme la chemise couvre le corps de l’homme.
- La chemise est une enveloppe, un vêlement de métal ou d’autre matière, touchant
- l’objet qu’elle est chargée de protéger et fai-
- ri
- __»
- AUTOMOBILES ARIIS
- 39, auai d’Argenteuil, 39
- VILLENEUVE-LA-GARENNE
- par l’Isle-Saint-Denis (Seine).
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- saut souvent corps avec lui. Ce caractère de contact la différencie nettement du “ carier ” <1 ai est bien aussi une sorte de chemise, mais qui, lui, protège toujours à distance.
- — En carrosserie, on appelle chemise une pièce de toile légère qui recouvre les voitures dans les ateliers ou les remises pour les protéger de la poussière (mais non de la pluie, rôle réservé à la bâche, pièce de toile épaisse).
- — Chemise imperméable pour pneumatique. — Cette chemise est laite d’une toile imperméable d’une couleur grise. Elle est munie de crochets et d’un lacet, et elle sert à renfermer les enveloppes de rechange et à les préserver de la poussière et de l’eau.
- CHEMNITZ (Usines de), machines-outils, (m, rue delà Victoire, Paris. Tel. ida-pi.
- CHENARD (Ernest), 7, rue de Normandie, à Asnières (Seine). Tel. 4g. — Né à Paris, en 1861. Chevalier du Mérite agricole. Administrateur-directeur de la Société Anonyme des Anciens Etablissements Chenard et Walcker. Constructeur, depuis 1888, de bicyclettes, avant-trains, tricycles, quadricycles, voitureltes et voitures automobiles. Un des fondateurs de l’industrie automobile en France.
- CHENARD et WALCKER (Société Anonyme des Anciens Etablissements), fabrique de voitures automobiles, 7, rue de Normandie, à Asnières (Seine). Tel. 4.9 Asnières. Adr. tél. Chenard-Asnières. Maison fondée en 1888 par M. Chenard.—Société Anonyme au capital de 1 (ioo 000 francs ; a fait suite, depuis le 28 mars 1906, à la Société Chenard, Walcker et Ci0. — Voitures automobiles, à 4 cylindres, de i4~i6 chevaux et de 3o-4o-chevaux.
- — Caractéristiques des châssis Chenard et Walcker pour l'année 1907:
- Châssis, tôle emboutie, rétréci à l’avant. — Dimensions de carrosserie : i4/i6 IIP :
- m. 4o X e m. 80 ; et3o/4o IIP : 2 m. 55Xo m. 90. Moteur: 14/1G IIP: SGX^o; et 3o/4o IIP: 120 X i3o. — Roulements à billes partout, sauf au moteur. — Carburateur automatique.
- Double pont arrière. — Trois freins. — Allumage par magnéto Simms-Bosch à bou-gies.
- CHENARD, WALCKER MOTORS, Ltd, vente d’automobiles de cette marque, 37, Long Acre, Londres (Angleterre).
- CHENEVAL, carrosserie automobile, 3o, rue Carnier, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- CHENU, agent des automobiles Argus Motorcn Gesellschaft, 10, rue Fontaine-Saint-Ceorges, Paris.
- CHERBUY-OUACHÉ (Ateliers), garage, vente d’automobiles, avenue de la Gare des Marchandises, à Montargis (Loiret).
- CHERCHEURS DE POLES. —
- Liquides ou papiers servant à reconnaître dans un courant le pôle positif. Ne servent que pour les courants continus. Les indicateurs à liquide sont de petits tubes de verre, munis à chaque extrémité d’une pointe de platine et remplis d’une solution de sulfate de potasse, mélangé d’une faible quantité de phtaléine de phénol. O11 met les pointes en contact avec les piles à reconnaître et on observe une coloration rouge du côté positif. Celte coloration disparaît par agitation du tube. — Les papiers sont imprégnés de réactifs analogues, mais ils doivent être mouillés avant do s’en servir.
- CHERE AU, garage, 129, rue de Rennes, à Nantes (Loire-Inférieure).
- CHÉRIE, rédacteur à La France Automobile, G8, avenue do la Grande-Armée, Paris .
- CHÉRINGOU, garage, rue des Bains, à Trouville (Calvados). Tel. 33. Adr. tel. Ché-ringou-Trouville.
- CHESNOT, carrosserie automobile, 71, rue Saint-Denis, à Courbevoie (Seine). Tél. 1G9..
- CHEVAL. — L aissanl de côté les points, de vue «l'esthétique et les considérations par-ticulic*#, plus ou moins intéressées, nous devons admettre que le cheval, au point de vue moteur, jouit, d’avantages peu importants. E11 effet, le « moteur à avoine » m: possède aucune des qualités que doit posséder le moteur idéal pour se rapprocher de plus en plus de la perfection possible, qualités qui sont d'être : puissant,, solide, inoffensif, peu onéreux, propre.
- Les chauffeurs 11e sont responsables des. accidents causés par les chevaux que lorsqu’ils ont commis une véritable faute qui a été cause de l’effroi du cheval, ou bien lorsque voyant de loin un cheval donner des signes de frayeur, ils 11’ont pas ralenti- et au besoin môme arrêté leur moteur; en dehors de ces-cas, ils sont à l’abri de toute responsabilité. C'est ainsi qu’en a jugé la Cour d’appel de Grenoble (190G), qui a acquitté un propriétaire-d'automobile par un jugement se terminant ainsi :
- « Attendu.... que, s'il fallait retenir
- l'application de l’article 320 du Code pénal en de telles circonstances, une automobile-ne pourrait suivre une route sans engager à chaque instant la responsabilité pénale du conducteur, même le plus prudent, et laisser peser sur lui les conséquences d’accidents purement fortuits et impossibles à prévoir autant qu’à éviter.
- « Que X... doit donc être renvoyé des fins d’une prévention qui manque entièrement de-base ».
- Rappelons, à ce sujet, que les conducteurs d'automobiles doivent, d'après les décrets portant règlement à la circulation, se-conformer à la décision suivante :
- Voitures solides, silencieuses et Von marché CHENARD
- j, rut de Normandie, ASNIÈRES (S*wt) * WALCKER
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- .. Art. il\. — ((Le conducteur de l'automobile ralentira ou même arrêtera le mouvement, toutes les fois que le véhicule pourrait ctre une cause d'accident... »
- — Cheval alimentaire. — Pompe mise en mouvement par le petit-cheval, qui sert à injecter l'eau d’alimentation dans le générateur de vapeur (voiture Serpollet).
- — Cheval dynamique. — Expression rarement employée comme synonyme de l'expression cheval-vapeur.
- — Cheval effectif. — Puissance donnée clfectivement, réellement, par le moteur.
- — Cheval-heure. — Le cheval-heure est le travail effectué par une machine de i cheval-vapeur pendant une heure.
- La consommation moyenne d'un bon carburateur est de 4oo grammes d'essence par cheval et par heure, ce qui donne comme prix de revient du cheval-heure pour l'essence : o fr. 39 à Paris et o fr. 25 environ en province, pour un moteur d'une puissance un peu grande, au-dessus de 10 chevaux, par exemple.
- Théoriquement, le prix de revient du cheval-heure dans la pile Daniell revient à 7 fr. 70 ! dans la pile Bunsen à 10 fr. 90; pratiquement , la dépense est encore beaucoup plus élevée.
- — Cheval nominal. — Le cheval nominal, égal à 75 kilogrammètres-sccondc, est l'unité de puissance servant à désigner la puissance des moteurs. Ainsi, un moteur de 20 chevaux nominaux (i5 poncelets) (voir ce mot) doit pouvoir fournir normalement, sans défaillance, 20 chevaux effectifs; ce qui ne veut pas dire que sa puissance eflective maxima ne puisse dépasser 20 chevaux.
- La puissance nominale d'un moteur est plutôt celle qui sert à le désigner. Dans le cas particulier de l'automobile, il y a une forte tendance, de la part des constructeurs, à désigner leurs moteurs par une puissance nominale bien inférieure à leur puissance réelle, du moins en ce qui concerne les gros moteurs.
- — Cheval-vapeur. — Unité de puissance encore employée en concurrence avec le poncelet, seul conforme au système métrique. Le cheval-vapeur correspond à un travail de 70 kilogrammes-mètre effectué pendant une seconde. Comme le poncelet vaut 75 kilogrammes-seconde, on a : 1 cheval = 0,70 poncelet et 1 poncelet = 1.33... cheval.
- On a aussi : 1 cheval = 730 watts, le watt étant l’unité de puissance employée en électricité. — Un kilowatt vaut donc ï,36 cheval-vapeur.— Voir Puissance d'un moteur.
- CHEVALIER, garage, rue Saint-Jean, à Candé (Maine-et-Loire).
- CHEVALIER et Fils, vente d’automobiles, G, Kasernenstrasse, à Metz (Alsace-Lorraine).
- CHEVALLIER, machines-outils, à Ver-neuil-sur-Avre (Eure) ; et 38, rue de Malte, Paris.
- CHEVALLIER et VASSEUR, vente d'automobiles, garage, 6, rue Singer, à Caen (Calvados).
- CHEVAUCHÉ, pièces forgées et estampées pour automobiles, 3i, rue de Buzenval, Paris.
- CHEVEREAU, garage, allées Saint-Roeh, à Castres (Tarn).
- CHEVIET (A.), grand garage, 9, rue Eugène-Floquet, à Compiègno (Oise). Tél. o-l\!\.
- CHEVILLARD et GIRARD, travaux à façon pour toutes pièces détachées pour automobiles, clés « à crans », spéciales pour automobiles, i5, rue Pcclet, Paris.
- CHEVILLE. — Sorte de gros clou en bois légèrement conique, qu’on enfonce dans un trou pour assembler deux pièces de bois. — Les chevilles en métal portent plus spécialement le nom dg goupilles. Pourtant il est d’usage de nommer, en carrosserie, cheville ouvrière l'axe en fer qui sert à fixer la partie avant, d'une voiture (à cheval) sur son avant-train.
- CHÈVRE.— La chèvre est une machine destinée à élever les fardeaux.
- La [dus employée consiste dans deux pièces de bois ou mâts, appelées hanches, accouplées en X au sommet et soutenues par des haubans.
- La chèvre de carrossier se compose : de deux hanches entretoisées 11 II, de 80 centimètres de hauteur; d'une longue barre de bois B, solide, munie d’échancrures en forme de dents de scie; enfin d'un levier L, articulé
- Ciikviu: dj: Caiihossikh
- d’une part sur la tète des hanches, d'autre part sur l’extrémité de la barre. Pour faire usage de cette chèvre, on engage la barre dentée aussi loin que possible sous le centre de l’essieu de la voiture ; on donne aux hanches une inclinaison suffisante pour qu’elles prennent un appui solide sur le sol ; puis on
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- C 11 E
- <: il i
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- abat le levier qui, déterminant un mouvement d’excentrique, l'ait soulever la partie antérieure de la barre; l’essieu se trouve alors suspendu sur une des échancrures.
- CHEVRON ENGLEBERT. antidérapant. — Voir Enylebert, à Givct.
- CHEVRONS. — Les chevrons sont des dents obliques qui se réunissent par un angle sur le milieu de certaines roues dentées, employées pour transmettre de très grandes i'orces.
- CHICAGO SCHOOL OF MOTO-RING, école de chauffeurs, a(i/j, Michigan avenue, à Chicago (Etats-Unis).
- CHICAGO-RAWHIDE, courroies pour motocyclettes. — Voir Neumeyer, Paris.
- CHICOT (S.), roues en bois d’IIickorv et tous accessoires tic voitures, 58, rue des Arts, à Levallois-Perrel. Tel. 5(1. Adr. tel. Chi-cot-Levallois.
- CHIEN. — En mécanique, un chien est un « taquet » d’arrêt, C qui sert à empocher le retour d’une roue dentée. Ce mot est synonyme des mots clique! et (loiyt d'encliquetage.
- Le chien est aussi une pièce B (fig. 2) qui pénètre dans les crans du secteur S du changement, de vitesse, alin d'immobiliser le levier à l’endroit voulu. On retrouve le chien dans tous les leviers de commande appelés à oceu-Voir Clique/.
- (1, c 11 i < * il
- per plusieurs positions.
- — On appelle aussi chien un « morceau »,
- tin petit cub.c rectangulaire de « para » pur avec lequel on frotte l'endroit, de la cham-
- bre à air d'un pneumatique sur lequel on veut coller une pièce.
- O11 s’en sert, de môme, pour décoller des pièces qui ont besoin d’étre remplacées et qui adhèrent parfois avec une telle ténacité sur la « chambre » qu’on no peut les décoller que par l’action énergique du chien qui est rugueux, prenant et faisant vite la besogne.
- CHIFFRES. — On appelle chiffres, en mécanique, des poinçons qui servent à marquer le bois ou le métal de signes connus (chiffres, lettres, etc.). 11 y a des chilfres à froid, c’est-à-dire qu'on emploie sans les chauffer, en frappant sur l’extrémité par un marteau, et des chilfres à chaud, beaucoup plus grands généralement, qu'on emploie en les portant au rouge et en les appliquant simplement sur la surface à graver (marque au for rouge, des anciens formats).
- Toute pièce de mécanique soignée doit porter des chilfres qui lui constituent une identité et servent à son montage.
- CHIRON (Etienne), directeur de la Société des Publications automobiles, 27, rue Ballu, Paris.
- CHLORHYDRATE D’AMMONIAQUE (AzIUCl). — Le chlorhydrate ou hydrochl--rale d’ammoniaque est connu également sous les noms do : sel ammoniac, chlorure d'ammonium , muriate/ d'ammoniaque. C’est un sel blanc dont la densité est de 1,02 et qui, lorsqu’il est chaude, se volatilise sans fondre. 11 est, fort soluble dans l’eau qui, à do11, en dissout./jo parties et à ioo° en dissout, 80 parties.
- 11 est, très employé, sous le nom vulgaire de sel ammoniac, pour décaper les fers a souder avant, leur emploi (voir Soudure). -Le chlorhydrate d'ammoniaque est un des principaux constituants des (( piles sèches ».
- CHLORURE de calcium (CaCU).
- Sel blanc, d’une densité de 2,20, absorbant, beaucoup d’eau, et utilisé pour produire des solutions incongclables.
- — Chlorure de magnésium (MgCl'-). — Sel blanc, de saveur amère, d’une densité de 1,55. Ce sel, très déliquescent et absorbant rapidement, l'humidité de l'air, est très soluble dans l'eau (dÿo grammes par 1 000 d'eau bouillante).
- — Chlorure de sodium (NaCl - 58,5) — Le chlorure de sodium, appelé vulgairement sel marin ou sel de cuisine, est un sel incolore, transparent, dont la densité est, de 2,1. Un litre d'eau dissout environ 4oo grammes de ce sel.
- Le chlorure de sodium sort,, en automobile, pour faire des solutions incongelables (voir cette expression) plus ou moins recommandables.
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- ]
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- G H L
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- G U 11
- — Chlorure de zinc. — Composé chimique formé par la combinaison du zinc et du chlore (ZnCl2). C'est un sel blanc opaque, attirant l’humidité de l’air. Mis en dissolution dans l’eau, il est utilisé dans la pratique de la soudure « au plomb et à l’étain » sous le vocable assez bizarre « d’esprit de sel dénaturé ».
- Dans l’action de la soudure, il agit comme réactif décapant, destiné a protéger les surfaces à souder contre l’oxydation par l’air, oxydation (jui entraverait l'adhérence des parties à souder.
- CHOC. —Réaction accompagnée de déformation plus ou moins nette que produisent l'un sur l'autre deux corps animés de vitesses contraires ou inégales qui viennent en contact. La déformation est persistante dans les corps que la physique appelle « parfaitement mous » ; elle est passagère et n’a guère que la durée du choc dans les corps « parfaitement élastiques », quoique, à vrai dire, il n’y ait pas de corps au monde qui soit, parfaitement mou ou parfaitement élastique. 11 y a donc toujours déformation persistante, si infinitésimale soit-elle, après un choc.
- — Choc en retour. — Choc qui est la conséquence d’un autre et se manifeste généralement assez loin du lieu où s'est produit le choc principal (choc en retour de la foudre, choc en retour électrique, etc.).
- On désigne quelquefois, en automobile, mais à tort, sous le nom de choc en retour, la projection à contre-sens de la manivelle de mise en marche, lorsqu’une explosion se produit avant que le piston soit au point mort (avance à l’allumage).
- CHOPINET, garage, rue Blatin, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- CHORLIER et GUICHARD (Forges et Ateliers de mécanique), à Saint-Etienne (Loire).—Essieux, arbres vilebrequins, arbres à cames, soupapes, bielles, etc. — Agents concessionnaires exclusifs : Alphonse Binet et Cie, 6, rue de Jarente, Paris. Tel. 260-89.
- CHOTIN Frères et Ci0, machines-outils, 11 bis, rue Philippe-de-Girard, Paris.
- CHOUANARD, machines-outils et outillage, 3, rue Saint-Denis, Paris. Tel.
- — (Etablissements : Aux Forges de Vulcain.)
- ^ CHOUBERSKY (Société Anonyme des Etablissements), tôlerie pour automobiles, capots, réservoirs, 20, rue Félicien-David, Paris. Tel. 683-4o.
- CHRÉTIEN (Emile), 5, avenue du Puy-de-Dôme, à Clermont-Ferrand. — Né à Saint-Denis (Seine), le 5 août i84i.— Officier d Académie. — Chef de la fabrication à la Société des Etablissements Bcrgougnan et C[\
- CHRISTY, MÉDECET et Ci0, vente d’automobiles, 1, place d’ilelvétie, Lyon (Rhône). Tél. 23-qo.
- CHROMATES (Bi). — Composé chimique à base d'acide chromique, uni soit au potassium, soit au sodium, pour constituer le bichromate de potassium ou de sodium, également employés comme réactifs de dépolarisation dans les piles dites au bichromate.
- CHROME (Cr = 52,5). — Métal gris-blanc, de densité — 6,92, extrêmement dur, dont le point de fusion est plus élevé nue le platine même. 11 sert, en métallurgie, à produire des aciers extra-résistants et inaltérables, lorsqu'il est allié en faible proportion au fer carburé. — L'usage de Y acier chromé du cuivre chromé, de Y aluminium chromé, etc., tend à se répandre de plus en plus pour de multiples usages de mécanique.
- Le chrome est aussi employé depuis quelques années pour le tannage rapide et solide des peaux (tannage au chrome). — La plupart des antidérapants sont faits en cuir chromé.
- CHROME FRANÇAIS (Société du), Cuirs au chrome pour antidérapants, 12, avenue Larroumès, à L’IIay (Seine).
- CHRONOMÈTRE. — Ce mot désigne, d’une façon générale, tous* les instruments employés pour la mesure du temps. Il appartient tout spécialement à deux sortes d'appareils portatifs : i° le chronomètre de bord, de la grosseur d'une pendule, qui, dans les navires, est placé sur une suspension à cardan et sert à déterminer les longitudes ; 20 le chronomètre de poche.
- Ces deux instruments sont construits avec la plus grande précision et de telle façon qu'ils ne soient dérangés par aucune des influences (température, magnétisme, humidité) qui font varier les montres ordinaires.
- Un véritable chronomètre est accompagné d'un certificat délivré par un observatoire dans lequel il a subi avec succès des épreuves en étuve, en glacière, etc.
- CHRONOMÉTRER. — C'est mesurer avec précision au moyen d'un chronomètre un certain espace (1e temps, qui est ordinairement la durée d’un phénomène ou la base devant servir à évaluer telle autre quantité. En automobile, on évalue la vitesse angulaire de tel ou tel organe au moyen d'un compte-tours et d'un chronomètre. Pour évaluer la vitesse de la voiture il y a lieu de chronométrer le temps qu'ellcmet à « couvrir » par exemple un kilomètre. Aux allures de record, une erreur très faible, commise dans la mesure du temps, fausse considérablement le résultat au point de vue vitesse. Il y a donc lieu de toujours chronométrer les faibles distances, où l’erreur peut être grande relativement au temps total, au
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- moyen d’un appareil à déclanchement mécanique ou électrique. On emploie actuellement dans ce but l’appareil Mors qui donne une approximation de l’ordre du 1/100 de seconde.
- CHRONOMÉTREUR. — Les chronométreurs compétents en matière de course ou de records sont agréés par la Commission sportive de l’A. C. F. et en assez petit nombre.
- CHRONOSPORT LÉPINE. — Voir Lépine, horloger, Paris.
- CHUTE DE POTENTIEL. — Le
- potentiel d’un conducteur chargé est le même en tous ses points. Si l'on réunit par un lil ce conducteur A à un autre B, de potentiel différent, il y a écoulement d'électricité du conducteur ayant le potentiel le plus élevé au conducteur ayant le potentiel le plus laible. Cet écoulement d'électricité constitue le courant électrique. Et l'on dit que ce courant est produit par la différence de potentiel existant entre A et B. Et que de A à B, par exemple, il y a une chute de potentiel égale à la différence des potentiels de ces deux conducteurs.
- Si le potentiel de A et de B est maintenu constant, par un moyen quelconque, le courant circulant dans le lil est constant ou continu. On verra à l’article Intensité d’un courant <[uc le débit d’électricité est absolument comparable au débit de l’eau dans une conduite jouant le rôle du fil AB et réunissant deux réservoirs de niveaux différents qui jouent le rôle des conducteurs A et B. Ce mouvement de l’eau est dû à la différence de pression des deux réservoirs, celui de l'électricité à la différence de potentiel des deux conducteurs, ou force électromotrice du courant. D'un réservoir à l’autre il y a une certaine chute de pression; d'un conducteur à l'autre il y a une certaine chute de potentiel.
- L’unité pratique de force électromotrice, qui sert à évaluer la chute ou différence de potentiel, est le volt.
- C. I. E. M., automobiles.—Voir Industrie électrique et mécanique (Compagnie de V), à Genève.
- CIMENT «CONTINENTAL». —Composition de caoutchouc se vendant en tubes et servant à bouclier les blessures superficielles des «enveloppes. Ne sert ulikfment que si la coupure n’a pas entamé les toiles.
- CINCINNATI MACH. TOOL C°,
- macbines-outils, a Cincinnati (O.), ^tats-Unis.
- CINÉMATIQUE. — Partie de la mécanique où l’on étudie les mouvements, indépendamment des forces mises en jeu pour les produire.
- CINOGÈNE (Le), mise en marche automatique. —Voir Bréviaire (de) et C0, à Paris. (Isnard, constructeur), à Grenoble.
- CINTRAGE. — Le cintrage est l’action de courber une plaque de métal, une barre do fer, un tube, etc.
- 11 peut se faire à froid pour les tôles minces, les barres peu épaisses et les petits tubes en métal mou ; mais le travail à chaud est toujours préférable, parce qu’il produit un résultat plus parlait, tout en évitant les ruptures et la dénaturation du métal. Les coudes des tubes, notamment, ne sont vraiment bien faits qu’à chaud.
- CINTRE. — Terme rarement employé en mécanique, comme synonyme do courbure.
- CINTRER. — Voir Cintrage.
- CIRCONFÉRENCE. — Une circonférence est une ligne courbe fermée (fig. 1),
- décrite dans un plan, dont tous les points sont équidistants d’un point, intérieur, appelé centre. La circonférence limite et détermine une surface nommée cercle.
- Deux circonférences sont tangentes l’une à l'autre, intérieurement (fig. 2) ou extérieure-
- ment (fig. 3), lorsqu’elles 11’ont qu’un seul point commun, appelé point de contact ou de tangence A.
- La longueur d’une circonférence dont on connaît ïe diamètre (2 B) est, donnée par la formule :
- C = 2 tt B, soit C = tt X 2 B tt (pi), lettre grecque, représente : « le rapport de la circonférence au diamètre » ; c’est un nombre « fixe » qui est tt = 3,1 ^ 15g26. Pour des calculs rapides et très approximatifs, on admet que tt = 3). — Voir Cercle.
- [APTCM0B1LE8 RQCHET-SCHNEIDERjJIgiLl
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- — Ï99
- C I w
- Tableau des longueurs des Circonférences de i à 400 de diamètre
- Un AMÊTRE donne une CIRCONFÉ- RENCE Un DIAMÈTRE donne une CIRCONFE- IENCE
- de 1 de "3,14 de 51 de 160,22
- 2 — (>,28 02 — 163,36
- 3 — 9 >42 53 —. 166,5o
- 4 12,57 54 — 169,64
- 5 1X71 00 — 172,78
- 6 — 18,80 56 — 175,92
- -— 2U99 6.7 — I79,°7
- 8 — 25,13 58 — l82,2l l85,35
- 9 — 28,9.7 59 —
- 10 — 3i,4i 60 — 188,49
- 11 — 34,55 61 — 191,63
- 12 - 87,69 62 — 194,77
- i3 — 4 0,84 63 — I97>92
- i4 — 43,98 04 — 201,06 204,20
- i5 47,12 65 —
- 16 00,26 66 — 207,34
- n 18 - 53,4 0 (i7 — 210,48
- 50,54 68 — 2l3,62
- J9 - - 59,69 69 — 216,77
- 20 — 62,83 70 2I9>9*
- 21 — 65,97 71 — 228, o5
- 22 — 69,11 72 — - 226,19
- 23 72,25 229,38
- <4 - 7^89 74 — 2.32,47
- 20 78,54 7“» — 23o,6i
- 26 81,08 76 . 238,76
- 27 .... 84,82 77 241,90
- 28 •— 87.96 78 — 245,04
- — 91,10 79 248,18
- 3o — 94,24 80 25 1,32
- 3i — 97.88 81 254,46
- 32 100.53 82 257,01
- 33 — 103,67 83 — 260,76
- 34 — 106,81 84 — 263,89
- 35 — 109,85 85 --- 267,08
- 36 - 113,09 86 ----- 270,17 273,31
- 37 — 116,28 87 —
- 38 —. 119.88 88 — 276.46
- '*9 - 122,52 89 — 279,60
- 40 - 125,66 9° — 282,74
- 4i 128,80 91 — 285,88
- 42 — i3i,ç)4 9« — 289,02
- 43 1 35,08 93 292,16
- 44 - - i38,23 94 — 290,31
- 45 — 141,37 9r> — 298,45
- '16 — i44,5i 96 — 3oi ,5q
- 41 — >47,65 97 — 3o4,73
- 48 — i5o,79 98 — 807,87
- 4o 1 53,93 99 — 311,01 314,16
- 5o — l57,08 100 —
- — Circonférences primitives. - — Dans
- le calcul des roues d’engrenages, on appelle circonférences primitives les circonférences de ces roues qui sont supposées, au début du calcul, être lisses, sans denture ,aucune, et être tangentes Tune à l’autre. C'est le point de départ obligé du calcul de deux roues dentées.
- Par exemple, il se présente, dans une
- machine, une roue A, de diamètre connu NP — 8 cm., qui doit entraîner une autre roue B à une vitesse trois fois moindre que la sienne propre. Il faut et il suffit que la longueur de la circonférence de la roue B, tangente à la roue A au point N, soit égale
- B
- ClHCOM'èlKNCKS PRIMITIVES
- au triple de la longueur de la circonférence A. Puisque la roue A a un diamètre NP connu = 8 cm., elle a une circonférence C = (tc X 8) = (3,i4i5 X 8), soit 25,i3 cm.; pour rentrer dans les conditions cherchées, la roue B devra donc avoir une circonférence de («5,i3 X 3) — ?5,3q cm., soit un diamètre \IN = 24 cm. — Ces longueurs 8 et 24 cm. sont les diamètres primitifs des deux roues A et B.
- Si nous donnons ensuite à la roue A* :
- BeNTURK TRACEE SUR I.ES CIRCONFERENCES PRIMITIVES
- 18 dents par exemple, la roue B' devra posséder 18 3, soit 54 dents; elle sera entraînée à une vitesse trois fois moindre que celle du pignon A’ qui la commande.
- On dit souvent: diamètres primitifs^ au lieu de cercles primitifs; cela revient évidemment au même, le rapport tt étant rapport connu et réciproque de la circonférence au diamètre.
- CIRCUIT. — Un circuit électrique est l'ensemble de conducteurs ou d'appareils lor-
- ClRCL'IT OUVERT
- Le courant ne passe pas dans les lampes R
- mant une chaîne fermée où peut circuler un courant. Lorsque le circuit est coupé en un
- AUTO-GÉNÉRALE I SALLERON /Lricroobiles Brasier
- 16, rue Duret — PARIS 1 vHLbLillUn DlRIGTIOl LÉOJM BOLLÉE
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- C I R
- 2 00
- C I R
- ou plusieurs points, on dit qu'il est ouvert. 11 est fermé dans le cas contraire. La condition essentielle de la naissance du courant dans un circuit est qu'il y ait entre deux de ses points une différence de potentiel. Cette différence est créée et maintenue par une source quelconque S : pile, dynamo. Les autres appareils sont généralement des récepteurs où l’on utilise le courant : lampes, moteurs, etc.
- — Circuit magnétique. — Un circuit magnétique est un ensemble de corps 'perméables, c’cst-à-dirc conducteurs du flux magnétique, formant une chaîne fermée où peut circuler un llux magnétique. En pratique, on considère le circuit magnétique des appareils ou des machines (transformateurs, magnétos, dynamos). A cause de la grande résistance opposée au flux par les corps peu perméables, tels que l'air, on constitue le maximum pour sible d’un circuit magnétique de métaux à grande perméabilité magnétique, tels que le fer, l'acier doux, la fonte spéciale. Le reste du circuit s’appelle d'ailleurs : entrefer.
- — Circuit (au point de vue course). — Parcours de course dont l’itinéraire est tel que les participants reviennent au point de départ. Par exemple : Circuit, du Nord (1902), par Paris, Châlons, Arras, Dieppe, Paris.
- CIRCUIT (Le), journal d'automobilisme. — Voir American Office.
- CIRCULATION D’EAU. — Le refroidissement des parois des cylindres est indispensable pour de multiples raisons, dont les meilleures sont que les huiles les plus résistantes à la chaleur commencent à brûler à 3oo°, et qu'à cette température non seulement elles ne lubrifient plus, mais calent les pistons; que l'excès de chaleur amollit les ressorts, fait gripper les tiges des clapets, etc. 11 y a donc grand intérêt à ce que Veau qui entoure les tètes des moteurs à explosions « circule » vite et bien, parce qu'ainsi elle s’empare des « calories » en excès qui sont
- produites par le moteur et qui l'étouffent, et parce qu'elle les abandonne alors rapidement au radiateur qui, lui, les « sème » sur la route.
- Cette circulation de l’eïui chargée d'abaisser la température des parois du moteur, est obtenue soit au moyen d'une pompe, soit par
- (( thermo-siphon », en utilisant simplement la différence de densité de l'eau plus ou moins chaude.
- La pompe assurant la circulation de l’eau, doit être « en charge », c'est-à-dire à un niveau inférieur au réservoir qui l'alimente; on lui évite ainsi d'exécuter un travail inutile iYaspiration et surtout d'être désamorcée par la tension de vapeur de l’eau trop chaude.
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- O
- P'
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- Kig. a
- Les constructeurs de voitures automobiles adoptent des <( cycles » de circulation très différents. Pourtant le (( cycle » le plus ré-paudu est celui-ci (fig. 1): l'eau sortant du réservoir R arrive à la pompe P qui la refoule autour du cylindre du moteur M, d’où
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- elle se rend du radiateur II, où elle abandonne son excédent de calories nuisibles et fait retour au réservoir R. C’est là le « cycle », le (( circuit » fermé de la circulation de l'eau le plus employé ; cet ensemble circulatoire
- A
- Schéma d’cn thermo-siphon
- est celui qui paraît assurer le plus grand écart de température entre l'eau à refroidir et l'air qui est chargé de cette réfrigération.
- En mémo temps que ce circuit (fig. 1) : Réservoir, Pompe, Moteur, Radiateur, nous citerons celui-ci : Réservoir, Pompe, Radiateur, Moteur (fig. 2) ; ou celui-là : Réservoir, Refroidisseur, Pompe, Moteur (fig. 3).
- Automobiles R t :NAIIIT FRFRF C Billancourt
- fiitiuiiiui/iiuj ni -iiftULi ment (Seine)
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- C I I
- 2 O I
- G I Y
- Le thermo-siphon assure la circulation de l’eau par la seule différence de densité de l’eau à une température plus ou moins élevée : dans ce cas, la pompe est supprimée. L’eau est contenue dans un réservoir A, qui, l'ormé de tubes garnis d’ailettes, Tait lui-mème oTlice de radiateur. L’eau s’échaufTe au contact des parois du moteur Z ; sa densité diminuant, elle s’élève autour du cylindre, arrive au réservoir-radiateur À, où elle se relroidit. Sa densité augmentant par ce Tait même, l’eau descend au bas du radiateur et retourne au moteur. Cette circulation, ce « cycle » se continue pendant toute la marche du moteur; elle est assurée par le simple fait que l'eau arrive chaude en À, se refroidit dans les tubes garnis d'ailettes, et retourne relativement froide au moteur. Ce dispositif a toujours été employé avec plein succès par les maisons Renault frères , Chenard et Walcker, Brasier, etc.
- La circulation d’eau doit être toujours assurée; c’est pour cela qu’on emploie en hiver, non de l’eau pure qui pourrait geler, à l’arrêt du moteur, mais des « liquides incon-gclablcs ».— Voir cette expression.
- CIRES. — Nom donné à un certain nombre de substances d'origines diverses. On distingue : i° les cires animales : la cire d'abeilles, la cire du Mexique, la cire de Chine, produites par des insectes ; 2° les cires végétales : cire de Carnauba, cire du Japon ; 3'* les cires minérales : cérésine ou osokérite. Ces différentes matières cireuses sont utilisées en automobilisme pour la préparation d'isolants électriques (bobines d’allumage, etc.), pour l’imperméabilisation des courroies etc.
- CIRÉS pour les cantonniers. — Vêlements imperméables en toile cirée que le Touring-Club de France a eu la bonne initiative de faire établir spécialement et la généreuse idée de donner à plusieurs milliers de cantonniers sans cesse exposés, par leur métier même, à la pluie... et aux maladies <pii en sont trop souvent la conséquence.
- Cet excellent exemple a été suivi par de nombreux agents voyers, et l’on peut espérer qu’il s’étendra bientôt à tous les départements. (Le prix du ciré est de 5 IV. ^5, ou (i fr. 35 franco par colis postal ; adresser les demandes au Touring-Club).
- CISAILLES — Gros ciseau M à main, ou mécanique, dont une des branches C forme
- C M
- Cisailles
- levier et qui permet de couper facilement du fer et des tôles d'une assez grande épaisseur.
- CISAILLEMENT. — Lo cisaillement est un effort mécanique, passager ou continu, par lequel une pièce mécanique agit sur une autre comme le ferait un véritable ciseau. C'est ainsi que, dans une voiture, lorsque deux tôles sont lixées l'une sur l’autre par des rivets qui ont un logement d'un diamètre trop grand pour eux, ces tôles glissent continuellement Tune sur l’autre, à la façon do cisailles et coupent infailliblement les rivets dans un temps plus ou moins long.
- CISAILLEUSE. — Machine composée de deux fortes lames d’acier, droites, courbes
- ( * 1 5 A ILJ.ECSK
- A C, exccnti ique. — lî, lame mobile.
- ou circulaires, qui, se rejoignant,'* forment ciseaux et servent à couper des barres ou des tôles épaisses.
- CISEAU. — Le ciseau est un outil de menuisier, en acier, fixé dans un manche en bois A.
- Lo ciseau, dit ciseau à froid, B, est un
- A
- B
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- A. - ClSKAi; DE MKNUISIKU.
- B. — Ciseau « a fhoid ».
- outil en acier, non emmanché, dont une extrémité porto un biseau double. On l'actionne au moyen d'un fort marteau ; son action est analogue à celle du coin. Le ciseau à froid sert principalement à couper des barres de fer.
- CISSAC (IIe7iri\ 3, rue des Ternes, Paris.
- — Né à Ivry-sur-Seine, le i"5 juillet 1877. Coureur réputé à bicyclette et à motocyclette.
- CITROEN, HINSTIN et Cie, taille d’engrenages, 202, faubourg St-Denis, Paris. Tel. 443-77.
- CIVELLI DE BOSCH, automobiles. 3, rue Villaret-de-Joyouse, Paris. Tel. 58G-27.
- — Voir Universal Union Motor Car C°.
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- CLAES et FLENTJE, fabrique de motocyclettes, à Mulhouse (Allemagne). — Voir L. Lépicia, Paris.
- CLAIR (Soci été Anonyme du Silencieux), aoi, boulevard Péreire, Paris.
- CLAMAGIRAND (A.), joints mélal-loplastiqucs et fournitures d'usines, 3, rue (lier, Paris. Tel. ^33-3o.
- CLAMOUSE, modeleur, io/*, rue Ober-karnpf, Paris. Tel. 929-98.
- CLAPARÈDE et C’", garage, 11, rue du Jeu-dc-Paumc, à Montpellier (Hérault).
- CLAPET. —Un clapet est un « bouchon mobile », une sorte do (( petite porte » en métal, quelquefois en cuir, qui, s’ouvrant et se fermant alternativement, donne ou refuse Je passage à un gaz ou à un liquide. Son mouvement de va-et-vient, de très petite amplitude, est ou produit par une différence do pression, ou obtenu par une commando mécanique.
- Le mot clapet est souvent employé dans une acception plus large, en signifiant alors la « soupape » entière ; exemple : (( soupape » ou « clapet » d'aspiration, bien que rigoureu-rcusement le terme clapet s'applique aux obturateurs à levée angulaire (pompes) et le terme soupape aux obturateurs à levée parallèle (soupapes de moteurs). — Voir Soupape.
- Les clapets métalliques portent presque toujours sur leur tète une fente dans laquelle -on peut engager la lame d'un tournevis pour l'opération du rodage.
- — Binet et Cie, clapets en acier ou nickel, C>, rue de Jarente, Paris
- — Clapet d’aspiration. —L'ouverture du clapet d'aspiration se produit de deux façons différentes :
- i° Automatiquement, c’est-à-dire qu'il s ouvre par suite de la seule dépression produite par la descente du piston. La pression atmophérique, étant alors supérieure à la pression intérieure existant dans le cylindre,
- 1
- C.LAPKT I)\vSPlUATlON AITOMATIOTE
- .1, joint
- -« appuie » sur le clapet. C, qu'elle force à s'entr'ouvrir, malgré le faible ressort R qui tend à l’appuyer constamment ou à le rappeler sur son siège S. Le clapet d'aspiration -est, dans ce cas, toujours aussi léger que pos-
- sible, parce qu'il doit être muni d'un ressort qui ait la force de le refermer vivement dès que l’aspiration cesse, et qui, cependant, ne s’oppose presque pas à l'effort de l’aspiration dès qu’il commence.
- La hauteur de l'ouverture de la soupape est réglée par la distance MN que détermine le butoir IL
- Le clapet d’admission doit cire parfaitement étanche; sinon, une partie des gaz aspirés est refoulée vers le carburateur,au temps de la compression.
- 20 Par une commande mécanique. Une came C soulève, à temps voulu et pendant un temps déterminé, le clapet d'aspiration, qui, dans ce cas, est aussi robuste et généralement de même diamètre que le clapet d'échappement. 11 possède un ressort R qui peut être très puissant, puisqu’ici la pression atmosphérique n'intervient plus et que ce ressort 11’a pour but unique que (le rappeler vivement le clapet sur son siège dès que la came n’agit plus en le maintenant ouvert.
- Le clapet d'aspiration doit-il être « automatique » ou « commandé » ? Les constructeurs sont d'avis très partagés à ce sujet ; pourtant les partisans de la « soupape commandée » sont actuellement de beaucoup les plus nombreux.
- Clapet d'aspiration
- COMMANDÉ
- — Clapet d’échappement. — Le clapet d'échappement C est toujours épais, robuste, en métal très résistant au feu, en nickel
- Fiç. .‘i
- C, clapet d’échappement. — I\, ressort. — T, taquet.
- ordinairement. Comme il est constamment exposé à une température extrêmement éle-
- Clapets ACIER u NICKEL
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- fllpîionse BINET k Gt Fats'
- 6, r. de Jarente, PARIS - Tél. 260-89
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- -- 2( 3 —
- G L A
- véc, produite par les gaz de l'échappement, il est absolument nécessaire que la chambre qui le contient soit toujours entourée d’eau lui assurant un refroidissement énergique dont il a le plus grand besoin.
- Le clapet d'échappement est toujours commandé mécaniquement par un taquet T, actionné par une came G. 11 peut donc être assez lourd et posséder un ressort puissant R, qui empêche la soupape de s’ouvrir au moment de l’aspiration.
- La levée de la soupape a une hauteur déterminée par des calculs exacts ; on estime généralement que le clapet doit s’ouvrir d’une longueur égale au quart de son diamètre.
- L’étanchéité du clapet d'échappement est tout aussi indispensable que dans le dispositif d’admission, car une fuite, même légère, aurait pour effet de faire aspirer par le moteur une partie des gaz qu’il vient d’évacuer et qui ne peuvent plus fournir de travail, par conséquent de diminuer sa puissance.
- Le moment d’ouverture du clapet d’échappement a une importance capitale pour le fonctionnement du moteur. Tous les moteurs ont ce qu’on appelle une avance à Véchappement (voir ce mot), avance fixe et déterminée par le constructeur. Cette avance à Véchappement varic, en général, de 6 à ioo/o de la longueur de la course. (Voir Recettes du Chauffeur, par Baudry de Saunier).
- — Clapets divers. — Les pompes à air portent, à leur pied, un petit clapet en métal -ou en cuir, qui s’ouvre automatiquement, de l’intérieur vers l’extérieur, lorsqu’on comprime l’air dans le pneumatique. Ce clapet s’oppose au retour, dans le corps de pompe, de l’air comprimé précédemment dans la chambre à air et dans le « raccord » de la pompe. Ce petit clapet est quelquefois à demi obstrué par son propre joint qui s’est déplacé. C’est là une cause fréquente de la dureté anor-
- (à/AI’KTS DK CÜAMltHi: A AIIV
- male de beaucoup de pompes ; s’en souvenir à l’occasion.
- Les valves de pneumatiques possèdent toutes un clapet Cquis’opposc à l’échappement de l’air que les pneumatiques renferment sous pression, soit pendant, soit après le gonflement. Ce clapet est, en caoucnouc le
- plus souvent, « obus » Michelin, valve Continental, valve Bergougnan, etc.
- La pression intérieure de l’air contenu dans le pneumatique suffit à l’appuyer fortement sur son siège. Malgré cela, quelques constructeurs s'assurent contre le danger de toute fuite possible, en appliquant le clapet dans
- Air
- Ouvert
- Fermé
- ÜLAPET DK CAHIER DK MOTETII
- son logement au moyen d'une vis extérieure V qui force à s épanouir le caoutchouc dont il est formé (fig. 4).
- Tous les moteurs portent un clapet C, formé ordinairement d'une bille B, qui s'ouvre de l'intérieur vers l’extérieur, automatiquement, et permet à l'air comprimé par le piston dans le carter de s'échapper, pour ne pas créer de contre-pression nuisible, faisant obstacle à la descente du piston (fig. 5).
- CLARENC Fils, accumulateurs électriques, piles “ Delauricr ”, 8i, rue Vercingétorix, Paris. Tél. 717-98.
- CLARKE (Etalon de). — On donne ce nom à un élément de pile au sulfate mercu-rique, préparé dans des conditions bien déterminées, et qui sert d’étalon de force électro-motrice. *
- La force électromotrice de cet élément est, à i5°C, de i,434 volt. Le volt est donc représenté par les 0,6974 de la force électromotrice de l'étalon. Celui-ci ne doit être fermé que sur de grandes résistances sous peine de 1 ‘ voir se polariser. Les corrections de température sont données par la formule :
- i,434 — 0,0077 (t-\5)
- CLASSIFICATION DES MOTEURS. — Le classement des moteurs en vue d’une course est une opération très délicate, meme s’il s'agit de moteurs du même type, par exemple de moteurs à explosions. Cette classification est inutile pour des moteurs électriques. On a essayé de la réaliser, sans pouvoir s’arrêter à une formule définitive, dans le cas des moteurs à explosions, où, pour des raisons d'ordre technique, la compression ne. varie pas beaucoup d'un constructeur à l’autre. La règle qui semble prévaloir, bien qu’elle 11c soit pas irréprochable, est celle qui consiste à classer les moteurs d'après leur cylindrée.
- CLAUDE (Georges). Né à Paris, en 1870. Inventeur de l’acétylène dissous. Auteur de
- Amipjwqbiles GLADIATOR
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- G L É
- — 2o4
- Y Electricité à la portée de tout le monde, etc. Administrateur de la Société l’Air Liquide.
- CLAUDE et HESS, acétylène dissous.
- - Voir Boas, Iiodrigues et Cie.
- CLAUDE, rivets, oi, rue Sl-Louis-en-llle, Paris.
- CLAUDEL, ingénieur E. C. P., kYElysée-Aato-Car, n, rue de Berri, Paris.
- CLAUDINON et Cie, pièces détachées, au Chambon-Feugerolles (Loire).
- CLAUDY, huiles et graisses minérales, 92, rue Ncuve-des-Charpennes , à Lyon i Rhône).
- CLAUET, garage, 8, rue de la Raffinerie, à Saint-Quentin (Aisne).
- CLAUS, carrosserie automobile, à Yitry-le-Fraiu;ois (Marne).
- CLAVERIE (J ), vente d'automobiles et garage, boulevard Victor-llugo, à Sl-Jean-de-Luz (Basses-Pyrénées).
- CLAVETAGE ou CLAVETTAGE.
- Opération qui a pour objet de réunir deux parties d’une machine par une clavette.
- CLAVETTE. — On appelle clavettes des prismes en fer ou en acier C dont la sec-lion est un carré ou un rectangle, et qui sont souvent munis à leur extrémité d'un petit renflement R, appelé nez de la clavette (fig i).
- Les clavettes servent à unir, en une position fixe et déterminée, deux pièces d'une machine, plus particulièrement à iixer les moyeux des pièces (pii doivent être établies sur les arbres de transmission (poulies, roues dentées, volant de moteur, etc.).
- Les clavettes peuvent cire, soit évidées,
- suivant la courbure de l'arbre, soit posées à plat, soit « noyées » en partie dans une rainure ménagée dans le corps de l'arbre. Les clavettes évidées ne s'emploient que lorsqu’on a de petits eflbrts à transmettre. Les clavettes posées à plat A, ou celles qui sont noyées N,
- sont de beaucoup les plus employées. Lorsque les pièces sont soumises à des elïorts et a des chocs continuels, on met deux ou même plusieurs clavettes.
- On donne aussi le nom de clavettes à des
- pièces coniques ou plates R, qui sont destinées à s'engager dans des mortaises en rapport (pour maintenir les coussinets de bielles, pour réunir deux tiges sur un même manchon, etc.) ; ou légèrement coniques T (fig. 2), avec une face plane, (pii servent à unir un bras (le levier à un arbre cylindrique; elles sont alors terminées par un écrou permettant de les faire avancer dans leur logement pour assurer le serrage énergique des deux pièces l une sur l'autre.
- On désigne encore sous le nom de clavettes de petites pièces rectangulaires d’acier U qui pénètrent dans Y œil de la tige d’un clapet el qui servent à retenir la cuvette fixant l'extrémité du ressort d'échappement.
- CLÉDIABER. — Marque de fabrique et adresse télégraphique de Clemenl-Gladiator.
- CLÉMANG, outillage pour la fabrication des pneumatiques, i3, rue d'IIauteville, Paris. Ici. ia3-3o.
- CLÉMENT, garage, rue Richelieu, à l’ours (Indre-et-Loire).
- CLÉMENT - BAYARD , automobiles, 33, quai Michelet, Lcvallois-Perret (Seine). Tél. 53/|-/| i et rn^-Qî). Ad. tel. Autoclem-Levallois. — Voir les articles suivants et Bayard-Clé ment.
- CLÉMENT (Albert)y 33, quai Michelet, à Lcvallois-Perret (Seine). Tél, 53/|-/|i. —Né à Paris, le 7 juillet 1883. Automobiliste à l'Ecole supérieure de Guerre, à la iro compagnie d'ouvriers d'artillerie, à Yinccnnes. A participé à plusieurs courses d'automobiles. Circuit des Ardennes, Eliminatoires, Coupe Vanderbilt. — Premier conducteur de l'équipe Bayard. Professeur d'automobile a l'Ecole de guerre. Fils du suivant.
- CLÉMENT (Gustave-Adolphe)y 33, quai Michelet, à Levallois-Perrct t Seine). Tél. 534-41 - —Né à Pierrefonds (Oise), le 22 septembre 1855. Officier de la Légion d'honneur.
- Clément est un des trois ou quatre géants
- Lisez
- tous ’ les mois
- 1p RMIFTIN fIFFIfîIFIla Commission tecûnipe de l’a. G. F
- LU UULLL1III U111U1LL w IW, PARIS. - <6 franos /ar «»)
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- de notre inonde spécial. Cet homme qui parle peu et qui pense beaucoup, de qui l’activité est, aussi grande que l'audace, est une des forces irrésistibles qui emmènent, à la vitesse stupéfiante que l’on voit, la révolution de l'automobile. Ses projets sont immenses; il n’y a pas d'épithète plus exacte pour les qualifier.
- 11 semble qu’à la veille peut-être des grands événements qu’il nous promet, il soit bon de rappeler en quelques mots qui est Clément.
- En 1878, il s’établissait à Paris, au n° 20 de la rue Brunei, pour fabriquer des « vélocipèdes ». Qui 11e se souvient, avec émotion, parmi les jeunes de celle époque, des c at al ogu e s impressionnants ([ne publiait alors la colossale usine naissante. Car la colossale usine naissante comptait, en ce temps-là, e xacLe m c n t 5 ouvriers ! Elle s’agrandit d'ailleurs rapidement, s’étendit, dans les immeubles du 20 et du 18, et embaucha bientôt /|oo ouvriers.
- L’origine de la grosse fortune industrielle et morale de Clément date de 1891. 11 eut le flair souverain, qui fut toujours un de ses dons les plus précieux, et, sentit en l'invention de Dmilop l'avenir sans bornes. 11 se rendit immédiatement acquéreur de la licence exclusive d'exploitation pour la France des brevets de Dmilop, et eut la gloire d'introduire chez nous le pneumatique — le pneumatique sans qui, rappelons-le nous, l’automobile rapide (au-dessus de 3o à f\o à l'heure) n’existerait pas.
- En mars 189/1, Clément fonda la Société des Vélocipèdes Clément, société en commandite par actions, au capital de !\ millions. Le mois suivant, à la suite de l'Exposition de Chicago, il fut, fait chevalier de la Légion d’honneur.
- Un se rappelle qu'une grande société se forma l'année suivante, qui réunit les trois grandes marques de l'époque, Clément, Gladialor et llumbcr, en France. Clément devint, en 189:"), administrateur-directeur de la Compagnie Clément-Gladiator, situation qu'il garda jusqu’en octobre igoj.
- Aujourd'hui, Clément, par suite de la remise qu’il a faite de ses fonctions d'administrateur de la Compagnie Clément-Gladiator, n’a [ilus rien de commun avec les cycles Clément; les voitures qui portent la marque Clément tout court ne sont donc plus de sa f abrication.
- Clément, redevenu seul maître de ses gestes et de ses moyens de production, est désormais propriétaire de la marque Bayard-Clémenl, à laquelle il se consacre tout entier. Les usines qu'il possède, sont, véritablement gigantesques, puisque celle de Levallois-Perrel couvre une surface de /p") 000 mètres carrés, et, que celle de Mézières en mesure 17 000. Le nombre d'ouvriers occupés par Clément dépasse 2 000.
- CLÉMENT (Cycles et Automobiles), 7U, Grande-Rue, au Pré-Saint-Gervais (Seine). Tél. 4i5~()2 et, 438-Ü9. Adr. tél. Cyclémenl-Pré-Saint-Gervais. Usines au Pré-Éaint-Gelevais (Seine) et à Tulle (Corrèze). Maison fondée en 1878. Directeur commercial: M. Lexcellenl. — Cycles et automobiles. — Bicyclettes de tourisme, de course et de piste; tandems et tri-porteurs. — Automobiles de i/| à /|0 chevaux. — La fabrication de la marque « Clément, » est universellement réputée. Ou trouve dans le monde entier des concessionnaires et représentants de la vieille marque qui, pour 1907, s’est, si possible encore, surpassée.
- Agents de Clément (pour la voilure).
- P.\ms : (Seine). •— Dac-icr, 1 AS, rue Montmartre. — Prévost, ati, avenue de la Grande-Année.
- Dkpautements. — Abbeville (Somme) : Mouillard, 3/|, faubourg de la Portelette. - -Angers (Maine-et-Loire) : Grégoire, a5, boulevard Ayrault. — Arras (Pas-de-Calais) : Désiré Delansorne, 97, rue Saint-Aubert. Aubenas (Ardèche) : Aymard, avenue de la Liberté. — Auxerre (Yonne) : Roehet, 7/1, rue du Temple.— .lrestics (Nord) : Dcshaves frères et Courtois, 11, rue de Mous. — Be-saneon (Doubs) : Roussel, 107, GrandeRue. — Blois (Loir-et-Cher) : Veuve Renault et Renault fils, iô, rue du Poids-du-Roi. — Bourges (Cher) : Cotin, 5, avenue de la Gare.
- — Caen (Calvados) : Vasseur, G, rue Singer.
- — Chalon-sur-Sadne (Saône-et-Loire) : Douhairel, place du Port-Villiers. — Chartres (Ille-et-Vilaine) : Lcchcvallicr-Rousscaux, an, rue du Bois-Mcrrain. — Chàleauroux (Indre) : .Jablin, 7 et 9, rue de la Gare. — Chaumont (Haute-Marne): Brion frères. 7, rue de Choigncs. — Chauny (Aisne) : Guinard, 71, rue de la Chaussée. — Clamecy (Nièvre) : Petitimbert, !\ô, Grande-Rue. — Commercy (Meuse) : Garnier, sur le Pont de Vignot.
- — Compièync (Oise) : Guinard, boulevard du Cours. — Coulommicrs (Seinc-et-Marne) : Purson, 1, route de Melun.—Dieppe (Seine-Inférieure) : Meyer, place du Casino. — Dijon (Côte-d’Or) : Delessert, 12, rueSaint-Pierre.
- — Dinan (Côtes-du-Nord) : Lucas, 15, ru des Rouairies. — D 'de (dura) : Régent. 87, rue des Arènes. — Fonlenay-le-Cotnle (Vendée) : Foussadicr Bichon, place du Champ-de-Foire. Gien (Loiret) : Boutroue, i5, rue Gain-
- M. À. Clément.
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- betla. — La Rochelle (Charente-Inférieure), Pineaud, place des Petits-Bancs. — {mvuI (Mayenne) : Trochon, 27, rue del’Hôtel-de-Ville. — Le Havre (Seme-Inférieure) : Mo-lon, x5y, rue Victor-llugo. —Le Mans (Sarthe) : Vincent, y, place de la Prélecture. — Lille (Nord) : Julien Delansorne, y5, rue Nationale. — Lons-le-Saunier (Jura) : llugonnet et Thévenod, place de la Liberté. —• Maisons Laffitte (Seine-ct-Oisc) : Bernadat, /|i, rue de Paris. —Meaux (Seine-el-Marne) : Feilice, rue du Grand-Cerf. — Montauban (Tarn-et-Garonne) : Treille, i3, rue de la Mairie. — Monlereau (Seine-el-Marne) : Passerard, G2, Grande-Bue. —Montpellier (I lérault) : Bois-sel, 22, cité Industrielle. — Morlaix (Finistère) : lluilrie, 11, rue Carnot. — Nancy (Meurle-ct-Moselle) : Schott, 3, rue Girardet.
- — Nantes (Loire-Jnlérieure : Cliéreau, 129, rue de Bennes. — Narbonne (Aude) : Araou frères, avenue du Capitole. — Nevers (Nièvre) : Uupéroux, 16, rue du Commerce. —
- Niort (Lieux-Sèvres) : Elien, place Saint-Jean. — Poitiers (Vienne) : Arnaud, y, rue Carnot. — Rennes (Ille-et-Vilaine) : Tomine et C'°, 1, avenue de la tiare. --- Roanne (Loire) : Veuve Musset, 5, rue de la Sous-Préfecture. — Rouen (Seine-Inférieure) : Pizella et Bonnet, iü, quai du Havre. —-Saint-Quentin (Aisne) : Favresse, 10, rue Bisson. — Tout (Meurthe-et-Moselle) : Bichon, 4, rue Gambetta. — Toulouse (Haute-Garonne) : Thèbe, 45, boulevard Carnot. — Tours (Indre-et-Loire) : Prigent, 9, rue d’En-traigues. — Vannes (Morbihan) : Boger, (i, rue d'Auray. — Verdun (Meuse) : Bochete, 43, rue Mazel. — Versailles (Seine-et-Oise) : Bouchoir, 1, avenue de Saint-Cloud. — Vier-zon (Cher), Bossignol, quai de Grossous.
- Etranger.— Aix-la-Chapelle (Allemagne) : Butgei’s et C°, 55, Hochslrasse. — La Haye (Hollande) : Hiel, h-U Anna Paulownaslraat.
- — Londres (Angleterre) : The Clément Motor Cü, Ltd, 3, Leicester Street. •—- Mulhouse (Alsace-Lorraine) : Baumann, 192, Vauban-strasse. — Porto (Portugal) : Joao Gaprido, 1G, rua de Passos Manuel.
- CLÉMENT et GLADIATOR (Société Française des Cycles), cycles et automobiles, 76, Grande-Bue, auPré-Sainl-Gervais (Seine). Tél. 438-5q et 4>5-G2. Adr. tél. Clédiuber-Pré-Saint-Gcrvais-Seme. — Société Anonyme fondée en x8gG, au capital de 7 5oo 000 francs. Conseil d'administration: M. Harvey du Cros, président ; MM. F. G. Fenton, Vinot-Prélon-tainc, Dei’ek lveppel, Mc Cormack et Sangster, administrateurs; M.A. Buppert, secrétaire.— Administrateurs-directeurs : M. F. G. Fenton et Vinot-Préfontaine. —Usines au Pré-Saiut-Gervais et à Tulle.
- Cette Société a pris, en quelques années, un développement remarquable, grâce à l'excellence de sa fabrication. Les deux marques Clément et Gladialor peuvent être classées 1 parmi les plus réputées. En France, elles
- possèdent des concessionnaires dans la plupart des villes et villages de quelque importance.
- — Caractéristiques des châssis Clément et Gladialor, pour 1907 :
- — i4 HP 4 cylindres, 85 X I20> châssis tôle d’acier emboutie, embrayage métallique, trois vitesses, cardan, allumage magnéto, carburateur Krebs, freins intérieurs.
- — 18 IIP 4 cylindres, q5 X i3o, mémo ca-ractéristique, mais transmission à chaînes et roulements à billes partout, double train bal-ladeur 4 vitesses.
- — 24 HP même caractéristique que la 18 IIP mais changement de vitesse à trois trains balladeurs, moteur io5 X 1 4°-
- — 3o/35 HP, G cylindres, qôX^o, même caractéristique que la 24 HP.
- Agents de Gladialor (pour la voiture).
- Paris et Seine.— Lévy et C10, rue Guersant.
- — Mercier cl.duMotel,G2,avenucdo la Grande-Armée. — Tranchant, 18, boulevard Montmartre.
- Départements. — Abbeville (Somme) : Caron, 1, avenue du Bivage. —• Alençon (Orne) : Montreuil frères, rue des Tisons. — Amiens (Somme) : Corroyer et Huet, 2, rue Saint-Honoré. — Arras (Pas-de-Calais) : D. Delansorne, 97, rue Saint-Aubert. — Bapaume (Pas-de-Calais) : Prévôt. — Belfort (Territoire de) : Vilbois et Koelil, 18, rue de la Banque. — Rlangy-sur-Rresle (Seine-Inférieure) : Duponcliel, 18, place Duquesne. — Bordeaux (Gironde) : Maleville, io, allée de Tourny. — Bourg (Ain) : Couturier, 11, avenue de Bosière.
- — Caen (Calvados) : Vasseur, G, rue Singer.
- — Cambrai (Nord) : Alexis Dreye, rue des Bôtisseurs. — Chambéry (Savoie) : Montet, 4, rue Porte-Bcine.— Clamecy (Nièvre) : Pi-chou, rue Bethléem. — Compiegne (Oise) : Guinard, boulevard du Cours. — Commercy (Meuse): Garnier, automobiles. —Dax (Landes) : Magendie, cycles. •— Dieppe (Seine-Inférieure) : Meyer, place du Casino. — Dole (Jura) : Bégent, 37, rue des Arènes. — Doutions (Somme) : Ledoux, 47, rue Saint-Ladre.
- — Ê pin al (Vosges), Èpinal-Automobilos. — Eu (Seine-Inférieure) : Méniel-Tollier, 11G, chaussée do Picardie. — Evreux (Eure) : Edmond liée, 57, rue Joséphine. — Gray (Haute-Saône): Bonnolte, 1, rue de Paris. — Ilyè res (Var) : Mourlan, 9, avenue Gambetta.
- — Langres (Haute-Marne) : Chabaud, 9, rue Diderot.— Le Havre (Seine-Inférieure) : Molon, 169, rue Victor-llugo. — Le Mans (Sarthe) : Peltier, 7, rue d’Auray. — Libourne (Gironde) : Maleville et Pigeon, 7, place Decazes. —Lille (Nord) : J. Delansorne, y5, rue Nationale. — Lons-le-Saunier (Jura) : Mazel, rue Bouge t-de-lTsle. — Lunéville (Meurthe-et-Moselle) : Lamy, !\i, rue de Villers. — Mâcon (Saône-et-Loire) : Chapuis, 61, rue Bambuteau. — Marseille (Bouches-du-Bhône) : Laffont, 4o, rue de la Madeleine. — Montauban (Ille-el-
- GLADIATOR 1907 - V--SM
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- Vilaine) : Treille, i3, rue de la Mairie. — Nantes (Loire-Inférieure) : Chéreau, 129, rue de Rennes. — Nevcrs (.Nièvre) : Roger et Abel, 8, rue Félix-Faure.— Nogent-le-Rotrou (Eure-et-Loir) : 20, rue Chaudronnerie. — Per-pignan (Pyrénées-Orientales) : Siné, 17, Rempart-Villeneuve.— Péronne (Somme): Lubin, 12, rue Saint-Nicolas. — Poitiers (Vienne) : Arnaud, 7, rue Carnot. — Reims (Marne) : Devraine, /|3, rue Chabaud. — Re mire mont (Vosges): Baclimann, /|i, rue de la Xavéc.— Rennes (Ille-et-Vilaine) : Suisse, 11, boulevard de la Liberté. — Rouen (Seine-lnl'érieure) : Pizzetta et Bonnet, 18, quai du Havre. — Saint-Dié (Vosges) : Gérardin, 5, rue de la Croix. — Saint-Loup (près Orléans) (Loiret) : Guyot, automobiles. — Saint-Quentin (Aisne) : Favresse, 10, rue Bisson. — Soissons (Aisne) : Laridan, 5o, rue Saint-Martin.—Toul (Meurthe-et-Moselle) : Richert, 4, rue Gambetta. •— Trouville (Calvados) : Cbéringou, 88, rue des Bains. — Vannes (Morbihan) : Basseau, l\\, rue du Méné. — Verdun (Meuse) : Guenser, automobiles. — Vernon (Eure) : Moclié el Hoscliédé, rue de Gravelle. — Versailles (Seine-el-Oise) : Bout-hoir, 1, avenue de Saint-Cloud.
- Etranger.— Aix-la-Chapelle (Allémagnc) : Rutgers et C1", 55, lloclistrasse. — Bâle (Suisse) : Rcimbolt et Christ, carrossiers. — Bucarest (Roumanie) : Ultramobile, Soseaua Bonaparte. — Buenos-Agres (République Argentine) : Laborde et C'°, 3(18, San Martin; et concessionnaires à Paris, i52, rue du Faubourg-Saint-lIouoré. — Colmar (Alsace-Lorraine) : 1 lilfigor, rue des Juifs.—Londres (Angleterre) : Gladiator Company, 8 et 9, Long-Acre. — La Corogne (Espagne) : del Rio, bicyeletas. — La Haye (Hollande) : Enthovcn (Teclinisch Bureau llolland Automobile). — Mulhouse (Alsace-Lorraine) : Cliâtel, 31, passage Central. — Porto (Portugal) : Ramirez, 9, rue Cadet (Paris).— Saigon (Cocliinchine) : Biedcrman.
- CLÉMENT (Et/.), {Garage Central d'Automobiles), commerce d'automobiles, i3, rue Richelieu, à Tours (Indre-et-Loire). Tél. 1-19.
- CLÉMENT (Fernand), 101, rue de Cour-celles, à Lcvallois-Pcrret (Seine).—Fabrique des cycles « Fernand Clément »; bicyclettes et motocyclettes. Tél, 544-34-
- CLÉMENT MOTOR O’, Ltd, vente d’automobiles, 3, Leicesler Street, Leiecster Square, à Londres (Angleterre). Tél. 1970 et 1967 Gcrrard. Adr. tél. Swellish-London.
- CLÉMENT-ROTHSCHILD, ancienne société, créée par M. Clément et par la maison Rothschild, pour la fabrication de carrosserie automobile. Dissoute en igo3.
- CLÉMENT-TALBOT, Ltd, automobiles, Barlby Road, Ladbrokc Grove,, Norlli Kensington, London W, Angleterre. Tél. 6g5 et GgG Padd. Adr. tél. Clemtal-London.
- CLÉMENTEL (Etienne), 99, boulevard, de la Reine, Versailles. — Député et maire de Riom (Puy-de-Dôme) ; ancien Ministre des Colonies.— Administrateur-délégué, à Paris, de la Société des Etablissements Bergou-gnan et Cie.
- CLER (Félix), garage et vente d'automobiles, 28, avenue de l’Arc-de-Triomphe, à Orange (Vaucluse). Adr. tél. Cler-Autos-Orange.
- CLERGET (J.), fabrique d’antidérapants, Go, rue Sartoris, à La Garenne-Colombes-(Seine). Adr. tél. Clerget-Garcnne-Colombes', magasin: 51, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris. Tél. 581 -13.
- CLERGEOT, vente d'automobiles, 70,. rue de l'Université, Paris.
- CLÉS A ÉCROUS. — Le nombre des-clés à écrous est tellement grand que nous uc citerons ici que les principales : la clé de
- calibre, droite A ou en forme d'S, la clé anglaise B, la clé à double mâchoire C, la clé à molette D, la clé d'essieu ou de chapeau E, la clé à compas ou à ergots G, la clé à crochet rond ou carré H, la clé tubulaire dite-
- v\g. y
- Cl,K A DOCIILK MACIIOIUK
- Kig. 4
- Cl,K A MOI.KTTi:
- clé en bout ou clé à douille, la clé à cliquet M, etc.
- Exposition d'Automobiies :
- 136, AVEN.MALAKOFF
- Tii-irn. 679-13
- L’INTERMÉDIAIRE
- Maison prineipalt :
- 17, RUE MONSIGNY, 17
- TÉléPH. IO3-7O
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- Los seules vraies clés du mécanicien un de l'amateur aviso qui ne veut pas abîmer les écrous de sa voiture, sont : les clés de calibre et surtout les clés dites en bout:
- Fi.*. r>
- (.il. É DE CHAPEAU
- Les clèi de calibre ont le précieux avantage de prendre les écrous sur quaire de leurs pans. Comme elles sont assez lourdes, il faut avoir soin de n'emporter sur route que les
- C
- H
- Vi
- V\u
- Gl.É A CKDCIII:!
- clés réellement indispensables pour la grandeur des écrous que comporte la voiture.
- Los meilleures de toutes les clés sont les clés tubulaires, dites « en bout », parce qu'elles emprisonnent les écrous par leurs six
- Fig. 8 Fig. .j
- Cri en bout Ci.é a ci.ioukt G
- Z. Buochi:
- pans. Ces clés nécessitent des broches Z et ne peuvent être utilisées que pour les écrous extérieurs.
- Les clés anglaises B sont de médiocres outils, peu rapides et dangereux à la fois pour
- la main de l'opérateur et pour les écrous qui opère. Elles ont cependant le gros avantage do s’adapter (plutôt mal que bien) à toutes les tailles d’écrous, et parla, rendent souvent, des services.
- — Gi.aenzei\ et Pekueaud, i, avenue de la République, Paris.
- — Henhique, /|i, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — 11u.sse.not et Raynaud. 3i), rue La Boétie, Paris.
- — Lvi'EHMÉniAmE (L'), 1 ~. rue Monsigny,
- Paris.
- — Mksthe et Bi.atgé, 5, rue Brunei, Paris.
- CLÉTON, garage, 1, rue Pierre-le-Grand, à Lille (Nord).
- CLEVELAND , vente de pièces détachées “ Cleveland ”, i«G, boulcvaru Péreire, Paris.
- CLEVELAND MOTOR CAR C°, fabrique d’automobiles, Deparlment !\, à Cleve-land (Ohio), Etats-Unis.
- CLÈVES (Maurice de) et CHEVALIER. — Automobiles et Cycles Labor. phares Zanardini, automobiles Zusl, 23, avenue du Roule, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tel. .082-80. Adr. tél. De Clèi:cs-Ncuilly-sur-Seine. Maison fondée en iqoi.
- CLIMAX MOTORS, Ltd, automobiles, à Coventry (Angleterre).
- CLINCHER, pneumatiques “ Xorlh Bri-tish Rubber C° ”, d’Edimbourg. — Voir Bayle {Ch.), Paris.
- CLINQUANT. — On se sert quelquefois de lames métalliques, très minces, appelées clinquant, connues cales et, dispositif à éviter, comme épaisseur supplémentaire à donner à une clavette qui a « pris du jeu ».
- CLIQUENOIS Frères, carrosserie automobile, /|8, rue de Douai, à Lille (Nord). Tel. 202.
- CLIQUET. —• On appelle cliquet une languette métallique M ^nommée aussi chiai ou doigt d'encliquetage) qu’un ressort, R force à tomber dans les dents d’une roue en mouvement, et qui empêche celte roue de revenir en arrière. C’est ainsi que la roue Z peut être animée d’un mouvement de rotation suivant ABC, mais 11e peut pas revenir en arrière de A en G en passant par D; le cliquet s’y oppose. —Les roues ainsi munies d'un cliquet portent, le nom de roues à rocket. C
- Le cliquet est Rochet AVEC SON CI.I 'CEI aussi un instrument utilisant ce principe mécanique qui sert à aléser et à percer des trous à lu main dans
- HUSSENOT t RAYNAUD
- FOURNITURES GÉNÉRALES pour Automobiles)^-
- Voir aux Tfmibiices.
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- 2° () —
- C 0 D
- des parties difficiles à atteindre avec un autre outil.
- Lo principe du cliquet est utilise en bicyclette dans la roue libre , et en automobile on s’en sert quelquefois dans les crics à soulever les voitures. On emploie surtout le cliquet dans les véhicules automobiles comme dispositif contre le recul. 11 remplace avantageusement, la béquille; un cliquet, déclanché à volonté par le conducteur, vient tomber dans les dents d'une roue à roc/tel, montée sur l'arbre des roues arrière et s'oppose, en s’engageant, dans ces dents, à tout mouvement rétrograde.
- CLOCHE. — La
- cloche est une pièce métallique qui alfccte sensiblement la forme d’une sonnette dans les parois de laquelle on aurait pratiqué trois larges fentes verticales.
- La partie basse ot large de la sonnette entre dans un logement spécial qui lui est ménagé dans la culasse. 11 suflit de l’y faire pivoter d’un sixième de tour pour que, par un emmanchement à baïonnette, elle y soit fixée très solidement.
- La cloche est employée particulièrement dans les moteurs de Dion-Boulon. Elle sert à maintenir en place la soupape d’admission et la pipe qui termine le tube venant du carburateur et amenant au moteur le mélange explosif.
- lî. assemblage à baïonnette. — O, Oloclie. — K, écrou de serrage.
- CLOISON. — Par cloison, on entend toute paroi mince qui sépare une (( chambre » d'une attire (( chambre ». Dans les carters de moteurs à plusieurs cylindres (Renault par exemple), quelques constructeurs ont eu la bonne idée de faire (( venir de fonte » des cloisons perpendiculaires à l’axe du moteur. Les cloisons forment autant de chambres qu’il y a de pistons, de sorte que l’huile reste constamment, à la disposition do chacune des tètes de bielle au lieu de venir s'accumuler entièrement soit à l'avant, soit à l’arrière du carter, suivant la déclivité du terrain.
- CLOSSE, garage et carrosserie automobile, 138, rue Sainl-Dizier, à ÎSancy (Meurthe-et-Moselle).
- CLOT et Fils, embrayages, d, rue de la Sablière, Paris.
- CLOU A GORGE. — Clou servant, en carrosserie, à maintenir en place les rideaux, tablier, etc. Les clous à gorge sont remplacés avec avantage par les tourniquets. — Voir ce Vis a"gouge mot.
- CLOUZET et FRIEDLANDER, commissionnaires en accessoires d'automobiles, ao, rue Richcr, Paris. Maison à Yokohama, do, Watcr Street.
- CLUB ALPIN FRANÇAIS, 3o, rue
- du Bac, Paris. Tél. ya--(h. Adr. tél. Club alp-Paris. — Société fondée en x 8—/| ; reconnue d’utilité publique le di mars i88a. — Président du Conseil d’administration : M. E. Caron. Secrétaire général : M. Yalberl-Clievil-lard.
- CLUB AUTOMOBILE DE SEINE-ET-OISE. — Encouragement au sport automobile, l\a, rue Dangeviller, à Versailles (Seine-et-Oise). Tél. ddo. — Fondé en 1900. Président du Conseil d’administration : M. Morand-Dcvos. Secrétaire général : M. Druy.
- CLUB FRANÇAIS, sports athlétiques, fool-ball. — Siège social : Café des Palmiers, if>, rue de Rome, Paris.
- CLUB INTERNATIONAL SPORT,
- ia, rue du Havre, Paris.
- CLUB NAUTIQUE DE PARIS, 10,
- place de la Bastille, Paris.
- C. M. {Jante). — Voir Guérin, à Bagnolel (Seine).
- CM. — Abréviation de cen timètre ; CM2, abréviation de centimètre carré ; CM;t, abréviation de centimètre cube.
- CM. S. — Abréviation de l’expression centimètre par seconde; CM : S!, abréviation de l’expression : centimètre par seconde par seconde (Accélération).
- COBRA (Le), sifllet avertisseur. — Voir Para cl Pascault, Paris.
- COCHAUX (Emile), fonderie et tôlerie pour automobiles, capots, réservoirs, etc., à Deville (Ardennes). Tél. d Deville. Adr. tél. Cochaux-Deville. Agence : 121, rue Saint-Lazare, Paris.
- COCHEZ, motocyclettes, rue de la République, à Puteaux (Seine).
- COCHOT, machines-outils, /|5, rue do Tanger, Paris. Tél. 411 —55.
- COCK.-PIT. — Espace non couvert d’un canot automobile.
- CODE DE LA ROUTE. — Voir la Deuxième partie de l’Annual.
- CODE TÉLÉGRAPHIQUE MICHELIN. — Pour faciliter à ses clients leurs commandes, la maison Michelin et Ci0 a convenu d’un certain nombre de <( clés » qui permettent d'indiquer en peu de mots et d’une façon précise : le mode d’expédition, le délai et le produit désiré. Au lieu d’envoyer par dépêche suivante : « Michelin, 99, boulevard Pé-roire, Paris. Expédiez par express en grande vitesse gare une enveloppe de voiture
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- 8ooX65 », ilsuffira d'écrire ((Pneumiclin-Paris, Yulcain un Ajax ». *
- Pour les modes d'expédition, le code est le suivant :
- Valérius signifie : expédiez par la poste; pour colis de i à 3oo grammes, délai : i à 2 jours.
- VariiS signifie expédiez postal gare ; pour colis de 3, 5 ou io kilogrammes, délai
- irrégulier.
- Velitor signifie : expédiez postal domicile; pour colis de 3, 5 ou io kilogrammes, délai irrégulier.
- Vespasia signifie : expédiez grande vitesse gare; délai : i à 0 jours.
- Vindex signifie : expédiez grande vitesse domicile; délai : i à 5 jours.
- VisLula signifie : expédiez petite vitesse gare; délai : 3 à i:> jours,
- Volta signifie : expédiez petite vitesse domicile; délai : 3 à m jours.
- En conséquence, quand un chauffeur voudra passer une commande télégraphique ou autre, il devra :
- x° Préciser le mode d’envoi, comme il est dit ci-dessus;
- 2° Désigner chacun des articles commandés par le mot conventionnel correspondant. — Exemple : au Heu d’écrire : « Expédiez grande vitesse domicile 2 ch. à air valve longue 900 X(i’r> Voiture ; 3 manchons-guctres n° 2, pour pneus de f>5 avec jante bois, » il suffira de mettre : (( Vindex, deux Àrgémon, trois Frontaiia. (Ecrire de préférence les nombres en lettres). —Demander le Guide Michelin, gratuit.
- COEFFICIENT. — Quantité intervenant dans le calcul d'un phénomène quelconque, dans le calcul de la résistance d’un organe, etc., et dont la valeur dépend généralement de données expérimentales.
- COEFFICIENT D UTILISATION.
- C'est, en nautique, le coefficient dans la formule :
- formule dans laquelle V est la vitesse du canot automobile, F la puissance motrice, B2 le maitrc-couple immergé.
- COEUILTE, GRISET et Cie, fabrique de canots automobiles en tous genres et de
- troupes propulseurs pour bateaux ; spécialité 'hélices ; garage pour bateaux. Uive de la Liane, à Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais). Tel. i-5i. Adr. tel. Coeuilte-Grisct-Boulogne-sur-Mer. — Garage pour voitures automobiles, 135, boulevard Daunou, à Boulogne-sur-Mer.
- La maison Cocuille, Grisct et Cic s’est fait une véritable spécialité de la construction des canots automobiles; elle édite un catalogue documentaire, envoyé sur demande, qui est des plus intéressants et qui nous a fourni la définition de plusieurs expressions marines.
- CŒUR. — Pièce formant « réserve », utilisée en fonderie. Synonyme de noyau. — Voir ce mot.
- COFFRE. — Partie de la carrosserie comprise entre les bâtis latéraux et les doublures de la voiture. — Le coffre offre toujours des parties creuses, formant boîtes, qui sont utilisées généralement comme coffres véritables pour y loger les réservoirs, outils, chambres à air, etc.
- — On emploie quelquefois le mot coffre pour désigner le réservoir à eau, dans les voitures automobiles.
- COGER Frères, garage, vente d’automobiles, atelier de réparations et de transformation, i34 bis, rue de Vaugirard, Paris. Tel. 71/1-iQ.Adr, tel. Autocogé-Paris.
- COGNAC (E rnest), magasins de «La Samaritaine », vêtements de sport, rue du Pont-Neuf, Paris. Tél. io(i-3i.
- COHENDET {Alexandre), 11 bis, rue Pigalle, Paris. Tél. 221-81. — Né à Bray-sur-Somme, le ipr septembre i8/|5. — Ingénieur-gérant de la Société A. Cohendet.
- COHENDET (A.) et Cie, automobiles, mécanique de précision, pièces détachées, camions automobiles « Brctin », 1G6, quai de Jemmapes, Paris. Tél. l\i7-79. Adr. tel. Co-kendet-Paris.— Société en commandite par actions, au capital de 55o 000 francs.
- COINCEMENT. —Action de coincer.
- Le coincement peut provenir : d’un montage mal fait; d'un serrage insuffisant ou trop fort; d'un gauchissement; de l’introduction d'un corps étranger entre deux pièces se mouvant l'une dans l'autre.
- Le coincement précède souvent le grippage ou la rupture. 11 est toujours la cause d’une grande perte de force.
- COINCER. — On dit qu’une pièce coince ou est coincée, quand elle refuse de se mouvoir librement dans une autre pièce ; ou quand elle reste immobile, comme si elle avait été fixée par des coins.
- COLEY (Poulie), embrayage progressif pour motocyclettes, 9, rue Venaneie, à Slains (Seine). Adr. tél. Coïey-Stains.
- COLIS POSTAUX. — Les colis postaux ne peuvent, pour la France, Corse, Algérie, dépasser un poids de. 10 kilogrammes ; ils peuvent avoir, pour ces pays, une dimension ou un volume quelconque, sans limitation, pourvu qu’ils 11e dépassent pas le poids de 5 kilogrammes.
- Tarif :
- o fr. ho p. colis jusqu'à 3 kil. livr. o fr. 85 ~ — 3 —
- o IV. 80 — de 3 a .) —
- 1 fr. o5 — — —
- 1 fr. 20 de 5 à 10 —
- 1 fr. 5o — — —
- en gare, à domicile, en gare, à domicile, en gare, à domicile.
- COEUILTE. GRISET et, C
- CANOTS AUTOMORH.BS — A Boulogne-sur-Mer
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- Taxe supplémentaire :
- o l'r. Go p. retour d'un rembours. en gare, o i'r. 85 — — à domicile.
- Les colis ]>oslaux doivent être déposés aux Bureaux de chemins de 1er.
- — Colis Parisiens (de Paris pour Paris), ad, rue du Louvre, Paris. Tel. ni-GG.
- Les colis parisiens sont enlevés des dépôts de quartiers trois fois par jour (une seule lois, les dimanches et jours lériés). — Maximum de dimension : i mèlre 5o sur une lace quelconque).
- Tarif :
- o IV. an pour colis pesant jusqu’à 5 kilogr. o IV. /|0 — — ' de 5 à 10 kilogr.
- o IV. do (taxe supplémentaire) p. remboursement, o IV. 10 — p. valeur déclarée.
- COLLECTEUR. — Tambour dont la surface est composée de lames de cuivre ou de bronze, isolées au mica, sur lesquelles frottent les balais servant à recueillir le courant. — Voir Dynamo.
- COLLESSON, garage, quai de Paris, à ’Joigny (Yonne).
- COLLERETTE. — Petit collet. Petite bride d’un tube. Nervure circulaire.
- COLLET. — La partie d’une pièce en bois ou en métal qui est adhérente à la tète. Exemple : le collet d’une vis.
- COLLET, manufacture de capotages pour automobiles, 20, rue de Paris, à Tours (Indre-et-Loire). Toi. 2-8y.
- COLLET,
- c-fSi
- garage, 3. rue de Cran, a Saint-Nazaire (Loire - lnlé -rieure).
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- Coi.l.EIUU'TK
- A, arbre. — F, collerette.
- COLLET (Battre un collet). — Opération mécanique qui a pour objet de faire à froid, au marteau, une embase à un tube, embase qui soit perpendiculaire a son axe et qui lui serve à se réunir à une autre pièce de meme diamètre intérieur. Pour cela, le métal doit être parfaitement recuit ; on doit, du reste, lui faire subir un nouveau recuit en terminant le travail, le métal devenant
- aigre sous les coups répétés du marteau qui le force à s'allonger en s’épanouissant .
- réunit à une autre pièce mécanique ou élec trique.
- Tels sont : les colliers île bobine qui dans le tricycle de Dion réunissaient la bobine au pont arrière, tout eu assurant le contact pour le passage du courant électrique ; les colliers de frein, dont la partie intérieure frottant sur le « tambour » de frein est métallique ou garnie de bois ou de « poil de chameau » fixé sur le collier par des rivets ; le collier d'excentrique, qui forme la tète d’une bielle d’excentrique; les colliers de serrage pour réunir aux tubes métalliques
- Fig. ,
- (!, collier de serrage. — A, tube métallique, — B, tube eu caoutchouc. — S, écrou de sevrage.
- Fig. 2
- cullicv do. frein. — L, levier. —
- M. tringle. — F, garniture du l'rt'in. — T, tambour du frein.
- les tuyaux de caoutchouc, dans la circulation d’eau, etc.
- Les petits colliers qui servent à attacher les fils « électriques » ou les petits tubes au châssis se nomment des cavaliers.
- COLLIÈRE (yl.), pneumatiques. o.!\, rue .Monlrosier, à Neuilly-sur-Seine (Seine). rlél. 58,5-72. — Succursale : 10, rue Victor-IIugo, à Trouville-sur-Mer (Calvados).
- COLLIGNON (.1.) et C'°, pièces en fonte malléable, et acier au creuset, à Deville (Ardennes). Tél. 2. Adr. Tel. Collignon-Deville-A rdemies.
- COLLISION. — En cas do collision entre deux véhicules, est responsable celui-là seul qui a manqué aux règlements ou commis une imprudence. Celui-là, non seulement ne pourra rien réclamer pour le dommage qu’il aura subi, mais devra encore indemniser l’autre, s’il lui a causé quelque préjudice.
- COLLOMB, gara ge, vente d’automobiles, rue Vendôme, à Lyon (Rhône).
- COLLI, garage, vente d’automobiles, à Vérone (Italie).
- COLLIER. — On appelle collier tout cercle métallique qui entoure une pièce et la
- COLMET et Cle, huiles pour machines, 70, rue de Rivoli, Paris.
- COLOMBIAN RUBBER C° Ltd,
- vente de caoutchouc, 88, Bichopsgate Street,
- ImNDES B&STORRILHON
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- G 0 I
- 2 I 2
- G 0 M
- à Londres (Angleterre) ; el 3^, rue de Yiaiynes, Paris. Tel. 280-36.
- COLONIAL RUBBER (Société Anonyme), au capital de i ooo ooo lrancs. Pneumatique Colonial, caoutchouc industriel, ébonile. Usines àThianl(Nord). Tel. 28-Denain. Adr. tel. Rubbcr-Thianl. — Maison à Paris : !\2, rue de Bondy. Directeur : M. de Scliam-phelacre.
- COLONNE D'ASSEMBLAGE. —Les
- petits moteurs à ailettes ont quelquefois leur culasse séparée du cylindre. Dans ce cas, la culasse est lixée au carter du moteur au moyen de colonnes d'assemblage. Ce sont de forts boulons C dont une extrémité est prisonnière dans le carter II et dont l'autre extrémité, iiletéc, porte un écrou E qui assure, par un serrage énergique , une liaison étanche entre le bas de la culasse E et le haut du cylindre M.
- COLOSSAL CYCLE CORPORATION, Ltd, fabrique de cycles et mo t,o< ‘ y c I e 11 c s, à Birmingham! Angleterre). Tel. 2-489. Adr. tél. u Colossal - Birming -ham ».
- COLUMBIA,
- billes en acier. —• Voir Schildge, Paris.
- COLUMBIA
- („ I utomobiles). — Voir Electric Vehicle G’u, à Martford(Connectieut), Etats-Unis.
- COLUMBIA, indicateurs de vitesse, 101 bis, rue de Piepus, Paris. Tél. 919-84.
- COLUMBIA AUTOMOBILE STATION, garage et vente d'automobiles, à Atlantic City (N. J.), Etats-Unis).
- COLUMBUS BUGGY C", automobiles électriques, à Colombus (Ohio), Etats-Unis.
- COMBE (Th.), lampes et lanternes u Théo », 0, rue Fromentin, Paris.
- COMBES (J.) (Etablissements métallurgiques), machines-outils, 110, rue Saint-Maur, Paris. Tél. (j35-43. Adr. tél. Méta-combes-Paris.
- COMBINATEUR. — On dit aussi con-troller (de l'anglais). C'est l'appareil permettant de réaliser, au moyen d'une seule manette, tous les changements de connexions nécessaires entre la batterie ou la ligne et, les moteurs d'un véhicule électrique. Un combi-nateur est généralement constitué par un rvlindre isolant portant des bandes de cuivre
- C, colonne d’assemblage
- convenablement contournées. Une rangée de balais frotte sur une génératrice du cylindre et établit, par l'intermédiaire des bandes de cuivre, toutes les connexions désirées. 11 sul'iit de faire tourner le cylindre de la quantité voulue au moyen de la manette. La position du cylindre est indiquée par les crans sur lesquels on arrête la manette. Lorsque l’intensité du courant est suffisante pour la production d’étincelles de rupture importantes, qui détérioreraient les contacts et prolongeraient le courant, on fait usage de sou//leurs magnétiques simplement composés d'un électroaimant où passe le courant. Le ilux (pii émane* de son noyau repousse l’arc, (pii s’arrondit,, s’allonge et s'éteint.
- COMBUSTIBLES (au point de vue des-droits d’entrée en France, voir Douanes.)
- — Moto-Napiita, essence spéciale pour automobiles, 5o, rue de Châteaudun, Paris.
- COMBUSTION. — Phénomène physico-chimique provoqué parla combinaison des différents corps simples ou composés entre eux. L’exemple type est donné par les phénomènes, d’oxydation. O11 distingue : i° les combustions vives; exemple, la combustion de l’alcool dans l'oxygène s'effectue rapidement avec dégagement d’une vive lumière et d’une élévation de température caractérisée; 20 les combustions lentes; exemple,-la combustion de l'alcool par l’air, en présence du platine très divisé, .s’effectue peu à peu sans élévation de température ou de chaleur caractérisées. Dans les-moteurs à explosions, alimentés par les pétroles, les benzols ou l’alcool, le mélange de l'air agissant comme comburant, et des pétroles, alcools, etc., agissant comme combustibles, étant mélangés intimement par les dispositifs du carburateur, arrive dans le cylindre du moteur, où, sous l’action d'une élévation de température déterminée soit par une compression brusque (auto-allumage), soit par une flamme, un corps incandescent, une étincelle électrique, la combustion se produit ; elle est. tellement vive qu'il y a exjüosion.
- COMÈTE. — Une comète est une sorte de petite ampoule en caoutchouc terminée en bas par une partie pleine renforcée, terminée en haut par une collerette plate C, et dans laquelle on introduit un grain B de plomb
- U N K
- de chasse apres avoir enfoncé la comète dans la chambre M.
- COMÈTE (Là) et CONTRE-ECLAT,
- obturateurs pneumatiques, t\, rue Boisson, Paris.
- [Sans Rivales s les ZÜST]
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- COM — ai3 — C O M
- COMIOT (Charles), 87, boulevard G011-vion-Saint-Cyr, Paris. Tel. 5o3-a6. — Né à Saint-Dié (Vosges), en 1867. M. C. Comiot fut le premier, en France, qui vendit des pièces détachées et des accessoires pour cycles. Il débuta à Montmartre, rue Constance, en 1887. Représentant des pièces Perry, il vint s’installer rue Brunei et devint,
- à cette époque, agent exclusif des pièces Perry et Eadie et des chaines Renold. 11 s’occupa très activement d e l’automobile dès son apparition et fut, avec MM. Gi-rardol et Mouler, un des tout premiers à posséder une voiture automobile.
- M. Comiot prit part à de nombreuses épreu-M. Charles Comiot. ves sportives et
- courut en voiture automobile Marseille-Nice, Paris-Berlin, Paris-Vienne et Paris-Madrid. Il disputa encore les courses Paris-Dieppe, Paris-Cabourg et, Paris-Trouville, en tricycle à pétrole.
- Rappelons qu'il créa, le premier, un tricycle à pétrole sans pont (Salon de 1897).
- La maison C. Comiot est installée, depuis 189G, 87, boulevard Gouvion-Saint-Cyr. Eu •outre de la vente de tous les genres d’accessoires concernant l’automobile et le cycle, elle a la concession exclusive des pièces Eadie (de Redditcli, Angleterre, dont.M. Comiot est co-directeur) et l’Agence générale des chaînes Iienold (de Manchester, Angleterre).
- COMIOT (77.), accessoires pour cycles et automobiles, 204, boulevard Péreire, Paris.
- COMMANDÉE (Soupape). —VoirClapet d'aspiration).
- COMMANDITE (Travail en). — Le
- travail en commandite diffère du travail au marchandage en ce que la somme d’argent qui peut rester après le travail du marché entièrement, terminé, et après paiement de tous les salaires, est partagée au marc-lc-l’ranc entre toute l'équipe des ouvriers et non « empochée » entièrement par le marchandeur.
- COMMELIN, VIAU et C'°, accumula-teurs-mixtes YEnergique, analyses chimiques, commerciales et industrielles, 45, rue Levis, Paris. Tél. 582-98.
- COMMENTRY-FOURCHAM-BAULT et DECAZEVILLE (Société Anonyme de), pièces détachées pour automobiles, 16, place Vendôme, Paris. Tél. 243-77.
- Ad. tél. Comambaull-Paris.— Société Anonyme au capital de i5 780 000 francs.
- COMMERCE EXTÉRIEUR DE LA FRANCE. — Voir Exportations.
- COMMERCIAL MOTOR VEHICLE
- C°, omnibus et camions automobiles, 209 à 267, Franklin Street, à Détroit (Michigan).
- COMMERCIAL MOTOR (The), revue hebdomadaire, consacrée aux poids lourds, publiée par The Temple Press, 7-15, Rose-bery avenue, Londres, E. C. (Angleterre'. Directeur : Edmund Dangerfield. Rédacteur en chef: E. Shrapncll Smith.
- COMMERCIAL VEHICLE (The), revue technique mensuelle consacrée aux poids lourds, publiée par The Clars Journal Company, Flatiron Pudding, Madison square,, New-York. Rédacteur en chef : 1I.-F. Do-naldson. Agents à Paris, Boyveau et Chcvillel, 22, rue de la Banque.
- COMMERGNAT, fabrique de roues pour automobiles, à Auxerre (Yonne).
- COMMINGE, jante démontable « Le Rêve », 45, boulevard Haussmann, Paris.
- COMMINGES (Comte Marie-Aimery de), à Clairoix, par Coinpiègne (Oise). Né à Toulouse, le 20 avril 1862. —
- Médaillé du T011-kin, Dragon de l’Annam, palmes academiques. —
- Ancien capitaine de cavalerie. —
- Homme de lettres, auteur de nombreux ouvrages hippiques, entre autres : « Le Cheval »; collaborateur au Gaulois, à Y Echo de Paris, à la Revue de Paris, au Mercure de E rance, etc... Membre de l’Académie des Sports.
- COMMISSAIRE, moteurs à pétrole pour la marine, 10, rue Clialigny, Paris.
- COMMISSAIRE. •— En matière sportive, un commissaire est urte personne chargée de diriger les préparatifs d’une épreuve d’en faire les honneurs aux assistants et de surveiller l’observation des règlements par les concurrents.
- COMMORETTI, commerce d’automobiles, 22, via Pisacane, à Milan (Italie).
- COMMUNAY (Charles),_ 19, boul. Mont martre, Paris. Tél, 142-06. — Né à Viviez (Avey ron), le i5 décembre i85G. Agent de publicité
- M. LE Go MTR DE COMMING
- EXIGEZ DES CHAINES RENOLD
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- G 0 M
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- COMMUTATEUR. — Appareil permettant d’envoyer un courant dans tel ou tel circuit que l’on désire. U a commutateur est uni, bi, ou tripo-laire, suivant qu'il dessert i, 2 ou 3 lils d’amcüce du courant, quel que soit le nombre des circuits dont il a le contrôle. La ligure ci-contre est un exemple de commutateur tripolaire (pour courant Iri-
- Schéma u’un commutateur phase pai exemple,
- à deux directions. Dans l'éclairage par accumulateurs, on emploie souvent un commutateur spécial, unipolaire et à plusieurs directions.
- C O M P A G NIE GÉNÉRALE INDUSTRIELLE. — Voir Bernheim [Henri) et Ciû.
- COMPAGNIE INTERNATIONALE D’AUTOMOBILES, Agence générale belge de « Panliard-Levassor », i/|,rue du Magistrat, àBruxelles (Belgique). Tel. 3g3/|. Adr. tel. Autocars-Bruxelles.
- COMPAS. — I nstrument servant à mesurer les petites distances et les petites épaisseurs. 11 a deux branches mobiles.
- On distingue en mécanique le compas droit (compas des écoliers) ; le compas d’épaisseur (à branches recourbées comme deux pinces); le compas de diamètre intérieur (ou « maître de danse » des ateliers, ainsi nommé pai ce que ses deux branches sont terminées chacune par une petite saillie qui lui donne l'aspect de deux jambes dont les pieds seraient tournés en dehors) ; le compas à verge, règle horizontale sur laquelle peuvent se déplacer deux curseurs parallèles et àpointes; le compas de réduction, compas droit dont les deux branches, creusées en rainures dans la presque totalité de leur longueur, sont réunies entre elles par un écrou moleté.
- — Marine.
- — Les marins appellent souvent c o m p a s une boussole suspendue à la car-dan.
- — Compas.
- — Dans une capote de voiture, les compas sont les ferrures spéciales qui permettent de lever ou d’abais-
- A, aile. —B, caisse. —
- C, compas. — M. capote.
- u y y y u y
- O O O O
- ser la capote et de la maintenir dans la position qu’on leur a donnée.
- Les compas sont faits en fer plein, ou en tubes d’acier.
- COMPÈRE et FAUCHER, huiles minérales, ioG, boulevard Sébastopol, Paris, Tél. 129-18.
- COMPIN et FLACHOT, ressorts pour sièges d’automobiles, 33, rue Adam-Ledoux, à Courbevoie (Seine).
- COMPLEMENTAIRE
- complémentaire est la portion CBD de degrés qui manque à un autre angle ABC pour valoir 90 degrés [angle droit).
- — Un angle
- An
- n ( ; LK C O M i'UK M lî N TA IRE
- f
- COMPOSANTE.—
- Une force peut être décomposée en deux forces élémentaires appelées composantes (la force
- utile étant dite résul- __ ________
- tante), ayant même point d'application ou ayant leurs points d’application sur une même
- droite et leurs directions parallèles à la force princi -pale.
- Si une force F donnée en grandeur et direction est décomposée en deux autres f et /” (%• 2) appli-quées au meme point où se forme l’angle a des deux composantes (lig. 2), on obtient la valeur de chacune en menant paiTextrémité de F une parallèle à chacun des côtés de l’angle a. Le parallélogramme anisi constitué est le parallélogramme des forces.
- y/
- yf
- Fi
- g-
- Décomposition d’une force F en deux forces composantes parallèles f et f'.
- j ni position d’une rcc F en deux imposantes/1 et f\ 1 étant différente 3 90°.
- Meme cas,mais a = 90°.
- Si a — 90° la valeur de F est donnée par
- . F ^ y/
- Si a est difiérent de 90°
- V== v/f-M-/"- + 2/7”cos a "
- S*AncTh. BOTIAUX
- CARROSSERIES AUTOMOBILES
- de grand luxe
- nrfcnatt.t.h D’OB, i Exposition Universelle de Saint-Louis, U. S. A- — * I.EVAIXQIS (S.I..)
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- C 0 M
- COM
- Si ou décompose F en deux forces parallèles, la valeur de chacune d'elles et la distance des points d’application sont données par les formules
- f = f+ r fi = i"ï
- Le problème de la composition de deux forces /' et f’ se fait d'une façon inverse dans ses deux cas.
- COMPOUND. — Le mot compound (composé) s’applique à certaines machines qui réunissent des appareils semblables ou analogues et dont le fonctionnement des uns se déduit du fonctionnement des autres.
- COMPOUND, bandages pneumatiques. — Voir Falconnet-Pérodeaud, Paris.
- COMPOUND (Société d’Allumage électrique), accumulateurs, magnétos, radiateurs, etc., i35, avenue de Villiers, Paris. Tel. 58G-5q. Ad. tel. Compound-Levallois. — Société Anonyme, au capital de 170 000 francs.
- COMPOUND MOTOR CARS C“, automobiles. — Voir E. II. V. Company (Etats-Unis).
- COMPRESSEUR d’ air. — L’expression compresseur d'air est une extension du terme courant pompe à air. Elle est appliquée aux pompes à air à commande mécanique en usage dans l’industrie et aussi quelquefois à des pompes à pneumatiques de grand format lorsqu’on veut indiquer ainsi qu'elles produisent un travail plus grand et moins pénible dans un même temps donné.
- — Compresseurs de graisse. — Voir Graisseurs.
- COMPRESSION. — La compression usl le 2° temps du cycle à quatre temps. Le [liston refoule les gaz admis et les comprime piste au moment où l'allumage va se produire.
- En général, dans un moteur à explosions .(iiel qu’il soit, il y a avantage à comprimer autant que possible en vue d’augmenter le rendement et la puissance spécilique du moteur. On 11’est limité en pratique que par la nécessité d’éviter l'auto-ailumage, qui donne1 souvent lieu à des explosions intempestives, et se produit du fait même do la compression quand celle-ci est suffisamment élevée pour donner une température linale pouvant produire l'allumage spontané. O11 comprime en général à 4 ou 4,^ et même G kilogrammes par centimètre carré.
- — Compression des matériaux. — Les efforts de compression agissent sur les pièces dans le sens de leur longueur, et les raccourcissent, c’est-à-dire les « compriment ». La compression est donc le phénomène inverse de Y extension.
- La résistance de la fonte à la compression est quatre fois plus considérable que celle de la même matière travaillant à Yextension.
- E11 général, sauf pour la fonte qui fait exception, la charge pratique de compression est égale à la charge pratique do traction. Quand la longueur d’une pièce augmente, la résistance à la compression diminue. (Extraits de La Mécanique, de Tcxicr et Dutheil.)
- Dans un moteur à explosions, la tige du piston 11e travaille qu’à la compression, tandis que, dans une machine à vapeur, la tige du piston est soumise à un elfet de compression, puis à un elfet de traction, la vapeur agissant alternativement sur les deux faces du piston.
- COMPTEUR DE TOURS. — Petit appareil que l’on place au bout d'un arbre en mouvement ou à proximité d’un organe en rotation pour mesurer le nombre de tours exécutés en un temps donné. Le mécanisme des compteurs de tours est variable à l'infini. 11 est d’ailleurs en général fort simple et se résume à la minuterie, ou ensemble de roues assurant la transmission du mouvement de l'aiguille des unités à celle des dizaines, des centaines, etc.
- — llinscn (Et.), 2G, rue de Crussol, Paris.
- COMPTEURS (Compagnie pour la Fabrication des), appareils de mesures électriques, 1G, boulevard de Vaugirard, Paris.
- COMPTEURS ÉLECTRO-KILOMÉTRIQUES (Société des), i5G, boulevard Percire, Paris.
- COMPTEURS HORO-KILOMÉTRIQUES (Compagnie Parisienne des), 52, boulevard Saint-Jacques, Paris .
- COMPTEUR KILOMÉTRIQUE « Le
- Français », construit par Japy frères; vendu par Paul Garnier, Paris.
- COMPTOIR CENTRAL DU CYCLE ET DE L’AUTOMOBILE, accessoires et pièces détachées, 2, rue Adolphe-Adam, Paris. Tel. ii2-o5.
- COMPTOIR GÉNÉRAL DES ÉTA-BLISSEMENTS MÉTALLURGIQUES, pièces détachées et accessoires, 10, rue Martel, Paris.
- COMPTOIR GÉNÉRAL DE MÉCANIQUE DE PRÉCISION, moteurs économiques, agricoles et industriels, 119, rue Saint-Maur, Paris. Tél. 928-82. Ad. tel. Rajeuni, Paris.
- COMPTOIR H. M. E., pompe à piston tournant, système Butin, 2, rue Hippolyte-Lebas, Paris.
- COMPTOIR MODÈLE du Cycle et de VAutomobile. — Voir David, Boudiné et C1*, Paris.
- ['
- Outils pneumatiques, Compresseurs d’air
- 1, Avenue de la République
- PARIS
- H. GLAENZER
- & PERREAUD
- — PARIS
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- 0 0 N — 2i(i — 0 ü N
- CONCENTRIQUE. — Deux ou plusieurs cercles sont dits concentriques lorsqu’ils sont
- courants alternatifs. — Voir l'ouvrage Y Allumage ^ par Baudry de Saunier.
- intérieurs l'un à l'autre, avec un centre commun G (lig i).
- La hase du bras de levier L est concentrique à l’axe de l’arbre A (lig. 2) ; le cylindre M est concentrique au cylindre N, et réciproquement (lig. 3).
- CONCOURS AÉROSTATIQUES de TExpostion Universelle de 1900. —
- Ces concours comportaient de nombreuses épreuves de distance, de durée, d'altitude et d'atterrissage qui, par le nombre et la qualité des compétiteurs, l'importance et l'imprévu des magniliques performances accomplies, frappèrent vivement l'opinion publique. C'est de ce moment que date l’accession de I'acrostation parmi les grands sports de la locomotion moderne et aussi, par voie de conséquence, le renouveau de la locomotion aérienne et le mouvement aéronautique actuel aussi bien scientifique que sportif.
- Les principaux lauréats dans les diverses épreuves furent MM. le comte de La Yaulx, Jacques Balsan, Jacques Faure, le comte de Castillon, Jurhmès. etc.
- Des éliminatoires successives donnaient lieu par addition de points au classement pour le Grand Prix de l'Aéronautique, basésuiTon-semblo des résultats. Le Grand Prix de F Aéronautique fut gagné par M. le comte Henry de La Vaulx. Après lui. se classaient dans l'ordre : MM. Jacques Balsan, Jacques Faure.
- CONDENSATEUR. — Système de deux conducteurs placés en regard l'un de l'autre et séparés par un isolant. Les conducteurs sont les armatures du condensateur. Un condensateur est défini par sa capacité (voir ce terme). On augmente la capacité d'un condensateur en donnant un très grand développement superficiel aux armatures. Les condensateurs des bobines sont constitués par un grand nombre de feuilles d’étain isolées par du papier gomme-laqué. Ces feuilles d’étain dépassent alternativement de chaque côté du papier et sont réunies deux à deux pour former les armatures. En automobile on se sert de condensateurs pour absorber l'extra-courant de rupture du circuit primaire des bobines, ou du circuit primaire des magnétos à bougies (voir Bobine et Magnéto). En électricité industrielle ils jouent un grand rôle au point de vue des
- CONDENSATION. — Le mot condensation signifie réduction d'un corps à un moindre volume par le rapprochement de scs molécules; c’est ainsi qu'011 dit : la condensation de l’air, des gaz, etc., produite par compression.
- La condensation électrique est l’accroissement de charge électrique obtenu au moyen de deux conducteurs séparés par un diélectrique.
- Toutefois, le mot condensation est principalement employé, en physique, pour désigner le retour de la vapeur à l'état liquide. Les phénomènes de la rosée, du givre, en sont que les effets de la condensation de la vapeur d'eau contenue dans l'air.
- L'emploi de la condensation est d’une grande utilité pour les chaudières à vapeur et principalement pour les chaudières marines. O11 peut, grâce à elle, faire resservir l'eau déjà employée, qui est alors distillée et débarrassée, par conséquent, des calcaires. L’opération se fait dans des récipients de diverses formes, qu'011 nomme condenseurs. Four les condenseurs de machines à vapeur, voir Dictionnaire de Barbai (chez Bernard et Ci0.)
- CONDENSEUR DE VAPEUR. —
- Voir Condensation.
- CONDUCTANCE. — Quantité constante pour un conducteur donné. C’est l'inverse de sa résistance; c’est en quelque sorte le pouvoir conducteur du conducteur.
- On se sert rarement de celte grandeur qui s'exprime en mhos\mho est l'anagramme de Ohm, unité pratique de résistance. — Voir Résis tance et Ohm.
- CONDUCTEUR D’AUTOMOBILE.
- __ Xul n’a le droit de conduire un véhicule
- automobile, voiture ou mémo motocyclette, s’il n'est pourvu d'un certificat de capacité, qu’il doit présenter à toute réquisition de l’autorité compétente, ainsi que le récépissé de déclaration du véhicule.
- Le conducteur d'une automobile doit rester constamment maître de sa vitesse. 11 ralentira ou même arrêtera le mouvement, toutes les fois que le véhicule pourrait être une cause d'accident, de désordre ou de gêne pour la circulation. Il préviendra de son approche, en cas de besoin, au moyen d’une trompe.
- Le conducteur doit ramener la vitesse de la voiture à celle d'un homme au pas, dans les passages étroits ou encombrés, sans jamais dépasser 3o kilomètres à l'heure, en rase campagne, et 20 kilomètres dans les agglomérations. 1111e doit jamais qftitter le véhicule sans avoir pris les précautions utiles pour prévenir tout accident, toute mise en route intempestive, et pour supprimer tout bruit du moteur. (Décret du 10 mars 1899.)
- [
- INDICATEUR-COMPTEUR H. & D. p.ur Automobiles, combinant dans un même appareil :
- 1° Indicateur de vitesse permanent; 2° Aiguille spéciale de vitesse maxima; 3° Compteur-totalisateur du chemin parcouru.
- Etienne HIRSCH, 26» rue de Crussol, PARIS (XIe)
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- 0 0 N
- C 0 N
- — 2I7 -
- — Conducteur de l'électricité. — Un corps est dit plus ou moins bon conducteur de L'électricitéy suivant la résistance plus ou moins grande que sa propre masse offre à la transmission de l'électricité et suivant la faculté relative qu'il possède de conserver la charge qu’on lui a communiquée.
- L’air, le verre, le caoutchouc, la résine, la soie, le soufre, etc., sont mauvais conducteurs, par suite sont isolants. Tous les métaux, l’eau, le corps humain, la terre, etc., sont bons conducteurs, à des degrés différents.
- — Conducteurs (fis).— Les fils qui transmettent un courant électrique d'un point à un autre sont en métal, en cuivre le plus souvent, qui est un corps offrant une très faible résistance électrique. Ces fils conducteurs sont appelés techniquement des rhéo-phores (expression du reste tombée en désuétude) ; ils sont soit nus, soit recouverts de matières isolantes : caoutchouc, fil, toile goudronnée, etc. Dans ce dernier cas, on dit qu’ils sont gtiipés.
- CONDUCTEURS D’AUTOMOBILES (Union des), 19, rue Marbeuf, Paris. Tel. 0/12-02. — Fondée le 2Ï\ janvier njo-L — Nature de la Société : faciliter le placement de ses membres. — Président: M. Louis Binon, 21, boulevard Ilaussmaun, Paris.
- CONDUCTIBILITÉ. — Q uantité constante pour une substance donnée. C'est l'inverse de la résistance spécifique ou résistivité.
- C'est le pouvoir conducteur d'un corps rapporté à l’unité de dimension. On se sert rarement de celle grandeur. — Voir Résistivité.
- CONDUCTIBILITÉ SPÉCIFIQUE.
- — Voir Conductibilité.
- ressort de hi Préfecture de police, ajouté d’autres dont voici les principales :
- «Le conducteur d’un véhicule quelconque doit, dans le département de la Seine, toutes les fois qu’il n’y a pas d’obstacles, prendre la partie de la chaussée qui se trouve à sa droite, alors même que le milieu de la chaussée est libre. Aussitôt que l'obstacle qxû l’aura forcé de dévier à gauche sera dépassé, il devra reprendre sa droite.
- « Lorsque les exigences de la circulation l'obligeront à raser les trottoirs, il devra prendre une allure très modérée.
- « Quand un conducteur devra tourner dans une rue à gauche, il devra le faire en gardant toujours sa droite. »
- L’ordonnance du 10 juillet 1900 détermine encore certains lieux et passages où tout véhicule doit être conduit au pas, et interdit aux conducteurs de couper les convois funèbres, détachements de troupes, files de jeunes écoliers traversant en rangs les voies publiques.
- — Voiries études de 1L de S. dans Omni a* revue pratique de locomotion, sur L'Art de bien conduire une automobile.
- CONE. — Un cône est le volume engendré par la rotation d'un triangle ABC au-
- A'
- Cônes dhojts
- CONDUCTION. — Voir Conductance.
- CONDUCTIVITÉ. — Voir Conductibilité. — Ces trois mots ne sont plus usités en pratique.
- CONDUITE (Règles de).—L'art. 10 du décret du 10 août 1802 sur la police du roulage porte les dispositions générales suivantes:
- «Tout roulier ou conducteur de voiture doit se ranger à sa droite, à l’approche de toute autre voiture, de manière à lui laisser libre au moins la moitié de la chaussée.»
- En outre, lorsqu'un conducteur de voiture veut en dépasser une autre allant dans le même sens, il doit passer à gauche, c'est-à-dire sur la partie de la chaussée que le précédent voiturier, obligé de se ranger à droite à son approche, a du lui laisser libre.
- A ces prescriptions d'ordre général, une ordonnance du Préfet de police, en dat.edu 10 juillet .1900, en a, pour la circulation dans les communes du département de la Seine et dans celles du département de Seine-cl-Oise du
- tour d'un de scs côtés AB, servant d axe de rotation.
- La surface conique est engendrée par la rotation de la droite AC autour de la droite AB
- qu'elle rencontre.
- La hauteur d’un
- Ar
- A
- Kig. 2
- COXK RECTANGLE
- lairc AB abaissée du la base.
- cône est la pcrpendicu-
- A
- sommet sur le plan de
- [AUTOMOBILES
- ^ LYON
- LUC COURT
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- G 0 N
- G 0 N
- - 218 —
- La surface latérale du cou par la formule :
- est obtenue
- tt1\/, (/ étant le coté du cônet.
- Le volume du est donné par formule ^
- 77 IV-h.
- cône
- cette
- Un tronc de cône parallèle est un cône coupé par un plan parallèle a sa base; on l'appelle aussi cône tronqué.
- La surface latérale du tronc de cône est obtenue par la formule : TT l (1\ r/‘) (l étant le coté;.
- ,e volume du tronc de cône est donné pur
- 1U- - >’2+IU
- •)
- cette formule :
- TT h /
- ” \
- Cdne* — Un trouve quelquefois, ou mécanique, des pièces (moyeux de certaines
- roues, par exemple), qui sont emmanchées l une sur l'autre, au moyen de portées coniques.
- Pour le démontage, si l'on essaie de frapper dans le sens de la flèche, le plus souvent on n'obtient aucun résultat. C'est en effet au bout du cône, qu'il faut, bien d'aplomb, envoyer quelques coups secs avec un marteau de cuivre, après avoir évidemment retiré, au préalable, écrous, rondelles et goupilles.
- R E
- Emmanchement A CONE
- cono.
- catro.
- K,
- H,
- ccrou do blo-rondcllc.
- — Cône de friction. — Le cône de friction est la partie male de l'embrayage qui, garnie ordinairement de cuir sur sa périphérie, pénètre dans la partie femelle de l'embrayage.
- Ce cône est dit « à friction » parce qu’il « frotte » légèrement , ou « frictionne » avant que l'embrayage soit complet. 11 détermine ainsi la mise en route de la voiture, ou le passage à une vitesse différente, par un démarrage progressif et non par un bond subit.
- — Cône d’embrayage. — Dans la
- plupart des embrayages à friction, les surfaces en contact affectent la forme conique, de sorte qu'il suffit d’une pression axiale relativement faible des deux cônes pour produire une friction énergique et un entraînement intégral. Les cônes sont droits ou renversés.
- La figure 0 montre un exemple d'embrayage par cône renversé (Renault iyo5), c'est-à-dire dans lequel 011 enfonce le cône dans le volant du moteur pour débrayer. Dans un embrayage par cône droit (Mors, Riehard-Rrasier, etc.)
- au contraire, le cône a sa pente en sens inverse, de sorte qu’il faut le sortir du volant pour débrayer. La disposition représentée par la figure semble être plus avantageuse en ce sens qu’elle permet d’économiser de la place en logeant le ressort à l’intérieur et de faciliter la butée sur le moteur au moment du débrayage. Le fonctionnement se comprend
- Cône d’emdhayauk (type Renault frères)
- sans peine ; A étant l'arbre du moteur avec son coussinet b à égouttoir d'huile, et D le volant ventilateur, le ressort R pousse le cône G garni de cuir dans la cuvette conique rapportée sur le volant et produit normalement l'embrayage. Pour débrayer, on supprime l'action du ressort en agissant par la pédale E, le renvoi F et le nez du levier de débrayage sur la butée à billes G. R et R sont des cardans destinés à parer aux deformations possibles du châssis, u un orifice de graissage et c, f des butées à billes recevant la poussée du ressort. Uu cône d’embrayage doit être construit aussi léger que possible (emploi de l'aluminium) afin (le posséder peu d'inertie et de faciliter les changements de multiplication.
- Nous citerons encore les embrayages à cônes, remarquables par leur douceur, des voilures Ariès, Chenard et Walcker, Rayard-Clément, Rrasier, Delaunay Bclleville, etc.
- — Cône de 1 réglage. — Dans un roulement à billes pour bicyclettes, 011 se réserve habituellement la faculté de régler le roulement, c'est-à-dire de supprimer le jeu qu'il peut avoir, en agissant sur l'un ou l'autre des deux cônes qui le composent (on pourrait également agir sur les cuvettes, c’est notamment le cas des pédaliers de bicyclettes). A cet elfet, le cône est monté sur l’axe par le moyen d'un filetage qui permet
- pvr/c tr La Préface i ilotes importantes du présent rolume.
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- de le faire avancer ou reculer dans le sens longitudinal.
- CONGE. — Dans certains cas, pour donner plus de solidité aux pièces supportant un eiïort assez grand, 011 11e raccorde pas les points de jonction par des arêtes vives, niais par une courbe plus ou moins prononcée, appelée congé.
- A, clapet. — C, congé. — T, lige.
- Ainsi, au point où la tige T d'une soupape (lig. 1) se raccorde à la tete A du clapet, 011 0
- toujours soin de ménager un congé C, c’est-à-dire une courbe évasée. On donne ainsi, par une plus grande quantité de matière , une plus grande solidité en un point qui subit de vio -lents efforts de traction de la part du ressort.
- Souvent, le congé n’a d’autre but que de faire un raccord agréable à l’œil, entre les deux parties d'une pièce (lig. 2).
- — Dans un marteau, courbe G (fig. 3) qui précède la panne.
- CONINCK (G- de) et Ci0, (Successeurs de Pitre et Cie), canots automobiles, à Maisons-Laffitte. Tel. 23.
- CONJONCTEUR. — Appareil employé
- Marteau
- C, congé. — J£, épaulcment.
- le congé est la
- Electro-aimant
- pour la charge des accumulateurs. 11 a pour
- but de refermer automatiquement le circuit,, coupé précédemment parle disjoncteur, (lorsque la valeur de la différence de potentiel de la dynamo était devenue inférieure à celle de la batterie), dès que la différence de potentiel de la dynamo est redevenue supérieure.
- Alors que le disjoncteur s'emploie le plus, souvent seul, le conjonctcur s’emploie toujours combiné avec le premier, sous le nom de disjoncteur-conjonctcur automatique. Le dispositif de disjonction est commandé par une bobine parcourue par le courant total de charge, par conséquent en série sur le courant; le dispositif de conjonction est commandé par une bobine en fil fin, en dérivation sur les bornes de la machine.
- CONNEXION. — Sous le nom de connexion, on entend toute « réunion » de deux fils conducteurs, réunion opérée par un appareil, un ressort, ou une simple ligature des deux fils entre eux.
- C'est un dispositif quelconque, assurant d'une façon parfaite le passage du courant électrique sans lui opposer de résistance nuisible et sans offrir le danger de court-circuit possible.
- CONQUEROR (Moteurs). — Voir Gab(.-~ riait, Bourguignon et Ci0, Paris.
- CONQUEROR, motocyclettes, 2^, rue de Courcelles, à Levallois-Perret (Seine).
- CONSCIENCE.—La
- conscience est une plaque d’acier C cintrée, que l’ouvrier pose sur sa poitrine et qui porte en son centre un trou, dans lequel s'engage la tête du foret, lorsqu'on veut percer un trou avec un archet. On supporte la conscience au moyen d’une cordelette fixée en TT.
- CONSERVATOIRE DES ARTS ET MÉTIERS, 292, rue Saint-Martin, Paris. — Président du Conseil d'administration : M. Miller and) député de la Seine. — Directeur: M. Chandèze ((!.). Salles des modèles, ouvertes le dimanche, mardi, jeudi et samedi.— Bibliothèque ouverte au public tous les jours, sauf le lundi, de 10 heures à 3 heures.
- CONSOLIDATED Mfg C°, motocyclettes Yale, à Toledo (Ohio), Etats-Unis.
- CONSOMMATION A L’HEURE
- (moteurs). — La consommation d'un moteur est chose éminemment variable. Elle dépend d’une foule de conditions dont les unes sont quelquefois l'opposé des autres. On peut admettre grossièrement qu'un moteur a essence, un bon moteur, dépense 35o grammes par cheval-heure effectif, ce qui correspond à 1/2 litre d'essence. La consommation par cheval dépend beaucoup de la charge du moteur. Le chiffre cité plus haut se rapporte à la pleine charge. En effet, un moteur tour
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- liant à vide consomme une quantité appréciable de combustible — pour ne rieir produire — et chaque cheval effectif produit à partir de la marche à vide ne coûte que relativement peu, en sorte qu’il y a avantage à .s’éloigner autant que possible de cette dernière pour se rapprocher de la pleine charge.
- Le moteur Diesel donne à pleine charge le cheval effectif avec un peu plus de 480 grammes d’essence. Ce beau résultat est uniquement dû à l’énorme compression que lui permet son cycle.
- La consommation des moteurs à pétrole lampant (d =: 817) est en moyenne de 4oo grammes à pleine charge. Celle des bons moteurs à gaz, de 600 à l\5o litres de gaz de ville suivant leur puissance. Celle des moteurs à gaz pauvre, de 05o à 55o grammes d’anthracite. Celle des moteurs à vapeur est des plus variables ; suivant la perfection de leur mécanisme et leur degré de détente, elle varie de 10 kilogrammes de vapeur à 3o et plus.
- — Biîiu.iet (Automobiles). 12, chemin des Qualre-Maisons, à Lyon (Bliône) (records de consommation en iyoG).
- CONSTANT et Cic, lmilo « La Préférée », 11, rue de -Neuilly, à Cliehy (Seine). Tél. 5a^-G3.
- CONSTANT et HENRY, garage, 20, rue Saint-Nicolas, à Saumur (Maine-et-Loire).
- CONSTANTES. — Quantités dont la valeur ne varie pas. L’expression constante est employée dans des conditions très dille-rentes. Ainsi, lorsque, dans une formule, un coefficient (voir ce terme) all’ecte une valeur invariable, 011 dira de ce coefficient qu’il est une constante. On dira également les constantes d’un moteur pour désigner son alésage, sa course, sa vitesse de régime, etc. Ce sont, en effet, quantités bien constantes.
- CONSTEN, maroquinerie pour voitures, 22, rue des Acacias, Paris.
- CONSTRUCTIONS AUTOMOBILES DE REIMS (Société des). — Voir Ray et, Liênard et Cl0.
- CONSTRUCTION D’AUTOMOBILES (Compagnie Belge de). —• Voir Pipe, a Bruxelles.
- CONSTRUCTIONS ÉCONOMIQUES
- (Société de), construction d'usines, d’ateliers, 11, avenue de l'Opéra, Paris.
- CONSTRUCTIONS MÉCANIQUES
- (Ateliers de). — Voir Ducommun, à Mulhouse.
- CONSTRUCTIONS MÉCANIQUES
- (Compagnie des), fabrique d’automobiles et
- de moteurs, 80, rue Jean-Breydcl, à Anvers ) Belgique).
- CONSTRUCTIONS MÉCANIQUES ET D’AUTOMOBILES (Société Anonyme de) (anciennement Automobiles-])ë-champs), fabrique d’automobiles « Direct », 38, boulevard Baudouin, à Bruxelles (Belgique . Tél. 3898.
- CONSTRUCTIONS MÉCANIQUES D’ASNIÈRES (Ateliers de), pièces détachées, 29, quai d’Asnières, à Asnières (Seine).
- CONSTRUCTIONS MÉCANIQUES
- (,Société Alsacienne de),- machines-outils, dynamos, moteurs à gaz, à Mulhouse (Alsace-Lorraine). Usines à Belfort et à Grafenstaden. — Succursale : 4, rue de Vienne, Paris.
- CONSTRUCTIONS MÉCANIQUES
- (Société Française de), pièces détachées. — Voir Cail, Paris.
- CONSTRUCTIONS MÉCANIQUES DE LA LOIRE (Soci été Anonyme de). Chemin du Hez et rue Parmentier, à Saint-Etienne (Loire). Tél. 19G. Adr. tél. Auto-moto. — Fabrication do pièces détachées pour cycles et automobiles et de voitures automobiles (marque Automoto) de 9, 12X1G, 18X22' 28X4o, 4(>XGo chevaux. — Société Anonyme, fondée en 1901, au capital de 1 yôo 000 francs. — Directeur général : M. Poliu, ingénieur A. et M. — Président du Conseil d’administration : M. Châtaignier; secrétaire : M. J. Delomier.
- CONSTRUCTIONS MÉCANIQUES
- (Société Parisienne de). — Voir voitures Vulpès et moteurs Janus.
- CONTACT à la masse. — Les contacts en électricité doivent ctre maintenus dans un parfait état de propreté. Ce sont en effet des solutions de continuité qui créent au passage du courant une résistance d’autant plus grande que les surfaces conductrices en contact sont moins nettes et s’épousent moins intimement. C’est pour tenir compte de cette résistance que l’on augmente la surface, par exemple dans l’épissure d’un lil, ou que l’on soude, quand c’est possible, afin précisément de réaliser le contact intime dont nous avons parlé. Quand il y a lieu de compléter un circuit par l’intermédiaire de la « masse », c’est-à-dire de l’ensemble métallique d’un moteur ou d’un châssis de voiture, il y a lieu de s'assurer d’un contact efficace et de vérifier qu’il 11’y a aucune solution de continuité, par exemple recouverte de peinture ou d’huile, pouvant opposer au courant une résistance presque infranchissable, notamment s’il s’agit d'un circuit à basse tension (primaire de l’allumage par accus, magnétos à rupture).
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- CONTAL (Camille), i, rue Gravel, à Lcvallois-Perrct (Seine), Tel. 0G9-G2. — Né à
- Nancy, le 16 septembre 1868. Directeur à Paris de The Electromobile C° Ltd ; constructeur du Moto-tri Contai ; administrateur de la Société Anonyme Y Auto-Clé et de la Société Anonyme Le Moyeu Jlivierre.
- Ex-ingénieur de la Société do Fer-ranli-Patin ; inventeur des voitures électriques de YElectromo-bile C°, de l'accumulateur Electri-cia, de l'Auto-Clé, du Mototri Contai et de divers appareils pour l'automobile ; co-inventeur de la trompe électrique « Elcctrophone ».
- CONTAL, (Mototri), G/|, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tel. 588-i3.
- CONTANT Frères, garage, 2, faubourg Groncels, à Troyes (Aube).
- CONTE (J.), fabrique de chaînes et de jantes, 38, rue desPanovaux, Paris. Tel. y 13-5-2. Adr. tel. Conte-Paris.
- CONTENEAU et GODART Fils,
- inllammatcurs pour moteurs, 7, rue du Bouloi, Paris. Tél. 2i/|-53.
- CONTENTIEUX DE L AUTOMOBILE, M. Eloi, directeur, 10, rue Poisson, Paris. Tél. oGü-82.
- CONTET (Henri), fabrique do pièces mécaniques pour moteurs et automobiles, cric ‘•lligal ’, 12, rue Lacuée, Paris. Tél. <)o8-3o.
- CONTINENTAL (Société Anonyme de Caoutchouc manufacturé), i/|G, avenue Malakoff, Paris. Tél. GG9-74 et GGg-^5. — l'sino à Clichy, ioj, quai de Seine. Adr. tél. El as tique-P arts. Société Anonyme au capital de 5oo 000 francs. — Membres du Conseil d’administration : MM. Ernest Eœser, Maurice Eehalié, Paul Lœscr. — Pneumatiques Continental pour voitures automobiles ; pneumatiques pour camions ; antidérapants “ Continental Bouge Perré ” sans cuir; bandages pleins pour camions ; tous les articles en caoutchouc pour l’industrie et la chirurgie ; balles de tennis. •— Succursales : 2.3, rue Basse, à Lille; 1 r, rue Dunoir. à Lyon ; 3/), cours Lieutaud, à Marseille; t\, rue du Grand-Verger, à Nancy : 2, rue Gharles-Monselet, à Nantes : G, Promenade des Anglais, à Nice; et à Toulouse.
- CONTINENTAL (Société Anonyme de caoutchouc manufacturé), à Hanovre (Allemagne).
- Usine fondée en 1872 avec 80 ouvriers ; occupe actuellement 3 3oo ouvriers et 4o» employés commerciaux. Son article principal, qui lui a valu un renom universel, est le Pneu Continental pour toute sorte de véhicules ; en outre, la Continental fabrique tout article en caoutchouc souple pour l’industrie et la chirurgie. Elle est, également fournisseur des administrations de plusieurs pays pour les étoffes à ballons.
- La Continental a des succursales en France, Angleterre, Italie, Espagne, Hollande, Suède, Norvège, Dancmarck, Russie, Amérique du Nord, Afrique du Sud et en Australie. Elle a fondé des sociétés autonomes pour l’exploitation de ses produits à Paris, Londres et New-York. Scs directeurs actuels sont M. le chimiste Prinzliorn, M. le conseiller de commerce royal Seligrnann et M. le chimiste docteur Gerlach, ainsi que le sportsman bien connu M. Willy Tischbein.
- CONTINENTAL (Ayenzia Italiana), pneumatiques, /|2, corso Dante, à Turin (Italie).
- CONTINENTAL CAOUTCHOUC
- C°, pneumatiques, /|3, Warren Street, à New-York (Etats-Unis).
- CONTINENTAL CAOUTCHOUC et GUTTA-PERCHA C°, pneumatiques, 17, Oostmolcnwerf, à Rotterdam (Hollande).
- CONTINENTAL MOTOR Mfg C°,
- fabrique de moteurs, 2/p.i, W. Lake Street, à Chicago (Etats-Unis).
- CONTRAVENTIONS. — Une contravention est une infraction à une loi ou à un règlement régulièrement pris, mais une infraction généralement légère puisque les infractions qualifiées contraventions, par opposition à celles beaucoup plus graves dénommées crimes ou délits, 11c sont punissables que de peines de simple police, amendes de un à quinze francs au plus, emprisonnement de un à cinq jours au plus.
- Les contraventions sont relevées, soit par des officiers de police judiciaire, qui sont crus jusqu'à inscription de faux; soit par les gendarmes ou gardes champêtres, dont les procès-verbaux peuvent être combattus par la preuve contraire, à l’aide de témoins à décharge ou de documents probants ; soit par des agents de police ou sergents de ville qui dressent des rapports de ce qu’ils ont constaté, mais dont les rapports 11e doivent constituer aux yeux du juge que de simples renseignements. .
- Les contraventions auxquelles les automobilistes sont les plus exposés sont :
- Les défauts de lanternes, de plaques d'identité, de numéro d'immatriculation, de récépissé (voir ces mots) ; les contrevenants tom-
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- beat alors sous le coup de l'art. i paragraphe i5 du code pénal : sanction, f à 5 francs d’amende (en cas de récidive, prison).
- La violation des règlements concernant : la droite, l'obligation de se garer, et plus spécialement Vexcès de vitesse : application alors des art. 5 et 4^6 du code pénal; sanction : 6 à io francs d'amende et un à trois jours de prison; en cas de récidive, cinq jours de prison (art. 4^8 C. p.)
- En cas de circonstances atténuantes, le tribunal peut réduire l'emprisonnement et l'amende et même ne prononcer qu'une amende.
- Eu cas de récidive — et il y a récidive dans tous les cas où l'on se voit poursuivre devant le même tribunal deux fois dans le cours d'une année, — l'emprisonnement doit toujours être prononcé (art. 483 C. p.).
- On ne peut interjeter appel d'une condamnation de simple police que si la peine prononcée est supérieure à cinq francs d'amende. Cette formalité ne peut se faire que dans les dix jours du jugement contradictoire.
- Les cbaulfeurs poursuivis en simple police, et qui se croient injustement poursuivis, peuvent. toujours s’y faire défendre par un avocat et faire entendre leurs témoins. Ils doivent meme le faire, d'abord pour le principe, et aussi parce que d’une simple condamnation de simple police peuvent parfois découler pour eux de très graves conséquences pécuniaires qui ne leur apparaissent pas de prime abord.
- Les procès-verbaux des agents sont de simples renseignements susceptibles d’ètre détruits par la preuve contraire. 11 ne saurait y avoir lieu à contravention si l’agent n'a pu déterminer l'identité du conducteur. (Tribunal de simple police de Paris, 5 février iqo3.)
- Une jurisprudence à peu près constante a décidé qu’un garde champêtre doit porter sa plaque d’une façon apparente, au moment où il dresse une contravention, sous peine de nullité de cette contravention. (Loi du 2G septembre 1791.)
- texte de loi n'impose l'obligation de faire connaître à la partie intéressée que l’on relève contre elle cette contravention.
- Les chauffeurs n’en doivent pas moins protester violemment contre ce système, et s'efforcer de lutter toutes les fois qu’ils seraient victimes d'une erreur.
- Un jugement du Tribunal de simple police d'Ecoucn, rendu le !\ mai iqbq, a acquitté un chauffeur poursuivi pour excès de vitesse, à la suite d'une contravention au vol. D’après ce jugement , les juges « doivent employer <1 l’autorité que leur confère la loi pour « écarter de celle-ci toute interprétation fan-« taisiste ou arbitraire qui tendrait à rejeter « en dehors du droit commun et contre toute (.< équité les conducteurs d'automobiles ».
- (Revue du Touring-Club.)
- CONTRE-ÉCLAT, obturateur pneumatique. — Voir Comète.
- CONTRE-ÉCROU. —Second écrou que l'on serre sur un autre afin d’empêcher que le premier 11e se desserre. O11 l’appelle aussi écrou de sûreté* Il est ordinairement moins épais que l'écrou proprement dit.
- La théorie du contre-écrou repose sur le
- ,B
- B, boulon. — C, contre - écrou, E, ccrou. — (i, goupille.
- IV, boulon. — (]’, co n tre-écrou Minne. — E’, écrou.
- — Contraventions au voL — L'établissement des numéros d'immatriculation ou plaques d'identité a donné naissance à un procédé de police, dénommé « contravention au vol ». Il consiste, de la part des gendarmes, gardes champêtres ou agents, à prendre le numéro d'une automobile qu’ils voient passer et à dresser un procès-verbal •ou un rapport contre le conducteur de cette automobile, qui n'en a nullement connaissance.
- Ce procédé a donné lieu aux abus les plus criants et a été cause de nombreuses erreurs judiciaires.
- La jurisprudence le consacre néanmoins assez souvent sous prétexte que c'est la seule façon de prendre les automobilistes qui prétendent échapper à la police, et qu'aucun
- coincement de son premier filet de vis inférieur, entre la face supérieure de l'écrou et la gorge du filet de vis du boulon. Ce coincement n’est, pas parfait, par suite du dispositif lui-même. En effet, les grandes surfaces de contact entre Y écrou et le contre-écrou s’opposent au coincement absolu et mettent obstacle au serrage maximum, c’est-à-dire au serrage exercé jusqu'aux dernières limites d'élasticité de la matière employée à la construction des écrous.
- Pour être certain que le contre-écrou ne se desserrera pas, on a pris, en automobile, la bonne habitude de goupiller tous les bou* Ions, les goupilles empêchant les contre-écrous, et par suite les écrous, de prendre un mouvement de rotation autour des boulons.
- Lisez dn4«e sequlie
- OMNIA
- **VQI FftATIQQI B* LOCOMOTION
- Médadtmr en Chef: L. B*UDRY de SftUNIER 10, rue Duret, Paris
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- CONTRE-PLAQUE. — Dans les roues à moyeu demi-patent, le bout de la l'usée ne porte ni filetage, ni ccrou ; il est lisse et
- vient servir de fond
- /R
- Moyeu demi-patent
- à la boîte à huile formée ainsi par le moyeu.
- Le moyeu est en ce cas retenu sur la fusée par une contreplaqué C boulonnée et garnie d'une rondelle de cuir R. Ce
- 15, essieu. — F, fusée. dispositif, très employé autrefois, est à peu près abandonné en automobile, où il est remplacé par le moyeu patent sans contre-pi ique, et mieux par le moyeu-à billes.
- CONTRIBUTIONS. — Voir Impôts.
- CONTROLE. — Le contrôle dans les courses est établi en un certain nombre de points du parcours alin de relever l'heure exacte du passage des concurrents et de noter le temps de neutralisation et les divers incidents qui peuvent se produire.
- — Dans les ateliers on contrôle les heures d’entrée et, de sortie des ouvriers, généralement par un système jetons. Leur travail est également contrôlé, soit par des feuilles de travail visées du contremaître, soit par un système de jetons pour le travail aux pièces. Les procédés employés varient, d'ailleurs d’une usine à l’autre. Dans certaines meme, ils n’existent pas du tout.
- CONTROLEUR DE PRESSION MICHELIN.—Le cont rôleur de pression est un
- Oontholeck de Pkession Michelin
- appareil destiné à permettre aux chauffeurs de se rendre compte rapidement si la pression
- contenue dans leurs pneus est suffisante. 11 se compose d’un manomètre fixé sur une gaîne dans laquelle coulise une aiguille terminée par un bouton extérieur. L'appareil étant vissé sur la valve, après l'enlevement préalable du bouchon, on appuie sur le bouton de l'appareil pour décoller l'obus de la valve, et aussitôt l'aiguille du manomètre indique la pression contenue dans le pneumatique.
- CONVECTION. — La convection ou convexion est un phénomène physique qui se produit lorsqu'un corps chaud se trouve environné d'un gaz ou d'un liquide. Les molécules de ce gaz ou de ce liquide se dilatent au contact de ce corps chaud, se déplacent en s'élevant et sont remplacées par d’autres molécules qui subissent a leur tour le meme phénomène. 11 se produit alors des courants ascendants et descendants gazeux ou liquides, qui ont reçu le nom de courants de convection.
- Les radiateurs à nid d’abeilles perdent beaucoup de chaleur par convection, et peu par rayonnement ; c’est le contraire qui se produit pour les radiateurs à ailettes.
- Au radiateur cloisonné s'adapte, comme au nid d'abeilles, un ventilateur qui joue le rôle d'appareil de convection, en créant artificiellement des courants d'air, particulièrement précieux pour la réfrigération du moteur pendant l’arrêt de la voiture.
- CONVERTIBLE. — Se dit d'un appareil ou d’une machine qui peut se transformer facilement en un autre instrument. Exemple: un (f tandem » convertible, pouvant être transformé en machine à une personne. Exemple : une « caisse » de voilure ouverte convertible en « caisse » fermée.
- CONVERTISSEUR — En métallurgie, sert à désigner des appareils dus à Ressemer, servant, à raffinage de la fonte sans combustible, par simple courant d'air, qui oxyde les impuretés et al’line la fonte. La fonte en fusion, venant du haut fourneau, est introduite dans le convertisseur, préalablement rougi, et incliné horizontalement sur son axe; le convertisseur une fois redressé, l’air arrive sous pression dans la fonte par les orifices inférieurs, et, en produisant la combustion des impuretés, maintient la température de fusion de la fonte. L’opération se règle, comme durée, suivant la nature de la fonte a affiner et celle de l'acier à produire.
- — En électricité, convertisseur rotatif est synonyme de commutatriee. C'est une machine servant à transformer du courant alternatif mono ou polyphasé en courant, continu, ou inversement. En principe, ce sont des dynamos à courant continu dont l'induit possède, d'un côté, un collecteur, et de l’autre, des bagues en nombre variable, suivant la nature du courant alternatif à transformer-Les inducteurs sont excités en courant continu. Au point de vue alternatif, le convertis-
- fA“T°ygN"Js me court]
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- C 0 U
- scur fonctionne comme un moteur synchrone, et sa vitesse est déterminée par la fréquence du courant et le nombre des pôles. O11 envoie du côté bagues du courant alternatif et on recueille du côté collecteur du courant continu.
- COOPS C°, fabrique de ferrures pour capotes, 3, Applelon Street, à Boston (Massachusetts), Etats-Unis.
- COQUELET, garage, 87, rue de Paris, à Valenciennes (Nord).
- COORDONNÉES. — Dans la représentation graphique d'un phénomène au moyen de courbes, un point de la courbe est défini par scs coordonnées, relativement à un système d’axes qui lui servent en quelque sorte de repères, il existe en mathématiques plusieurs systèmes de coordonnées sur lesquels nous ne pouvons pas insister ici et qui ne sont d’ailleurs pas d'une application courante.
- COPALS. — Matière résineuse, produite par l’exsudation de végétaux, sert de base aux vernis gras utilisés en carrosserie. On distingue les copals durs et les copals tendres,
- COPEAUX. — Un bon ouvrier observe toujours les copeaux qui se détachent sous l'outil ; ces copeaux sont, [tour lui une indication exacte de la bonne ou mauvaise contexture du métal et de l'exacte conduite de l'outil.
- Les copeaux de fer sont, avant la fonte, séparés des autres métaux au moyen de forts aimants qui en font le triage automatiquement.
- COQUELLE iliohei
- M, CoQUELLE
- en iSy4, y est resté jusq
- 7), 8b, rue Charles-Laffitte, à Neuilly--s-Seine (Seine). Tel. a31. — Né à Périn - lez - Douai (Nord), le 17 Octobre iS™5. — Directeur du Vélodrome Buffalo, dont il a fondé la nouvelle Société a v e c V i c t o r Brever. — Rédacteur à VA ut0, à la Vie au Grand-Air', correspondant de plusieurs journaux étrangers. — Ex-cour-rcur cycliste. — A débuté au Vélo u’en 190/j.
- COQUILLE. — On donne le nom de coquille à un tube d’acier conique, fendu dans le sens de sa longueur, et qu'un déplacement longitudinal fait ouvrir ou fermer.
- La coquille est employée dans les machines à percer pour tenir le foret; dans les tours a revolver pour entraîner la pièce a travailler, etc. La coquille est aussi appelée noix.
- — Coquille. — Plancher sur lequel se placent les pieds du conducteur assis sur le siège avanl. - Quand il s’agit des plaçcs intérieures, les pieds 11e reposent plus sur une coquille, mais sur un plancher.
- Si la coquille est peu relevée, Tt . ♦ 1, 1 , T 1 , ’ Une coquille
- et si elle est prolongée verticalement par une planche en bois ou un tablier-cuir, la coquille est dite à garde-crotte. — Une coquille’qui est très relevée et qui 11e porte pas de garde-crotte est appelée coquille-break (type usuel dans les breaks et les coaciis à chevaux, et non employé en automobile). — Voir Voilure.
- — Coquille (Fonte en). —Fonte exécuiée dans des moules métalliques, à la place des moules en terre. — Cette fonte, beaucoup plus coûteuse que l’autre, a l’avantage de donner des pièces qui ne nécessitent quelquefois aucune retouche à la main ou à la machine et dont la surface est extrêmement dure.
- CORBEAU et C16, Cuirs pour carrosserie, 32, rue de Laborde, Paris. Tél.
- CORBIN, garage, 23, rue Desrenaudes, Paris.
- CORBIN (M.) et C10, fonderie d'aluminium, route Nationale, à Noisy-lc-Sec (Seine) ; et /|0, rue des Marais, Paris.
- CORBIN MOTOR VEHICLE CORPORATION, fabrique d'aul omobiles, à New-Britain (Connecticut), Etats-Unis.
- CORD (Mc) and C°, fabrique de graisseurs pour automobiles,
- 1/40/1, Ohl Colony Building, à Chicago (Etats-Unis).
- CORDAY
- (Michel), 29, avenue La Molle-Piquet, Paris. —
- Né à Paris, en 1869. Chevalier de la Légion d’honncur.\ —
- Ancien polytcch-n i ci e 11, ancien officier du génie.
- — Romancier des plus appréciés, à publié plusieurs M. Michel Coiidav
- romans et a fait
- paraître de nombreux contes et, chroniques dans l'Auto.
- HUSSENOT t RAYNAUD
- FOURNITURES GÉNÉRALES, pour Automobiles
- Voir aux 4nnonce$V
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- COR — 225 — C O R
- CORDE. — Eh géométrie, la corde est une ligne droite AB, plus peLite que le diamètre, qui réunit intérieurement deux points quelconques d’une circonférence. La corde détermine deux arcs de cercle, dont on ne considère généralement que le plus pciiL et que l’on désigne par les lettres situées aux extrémités.
- La longueur d’une corde est donnée par la formule :
- Corde = 2r sin —
- 2
- — Corde (dans un tournant). — Partie de la roule ou de la piste qui fait le cintre le plus petit.
- — Corde (Tenir la). —Sc dit d’un coureur .qui sc tient dans la partie la plus basse d’un Tirage et longe le plus possible le côté intérieur de la piste.
- CORDIER, garage, i, rue du Four-à-Cliaux, à Calais (Pas-de-Calais).
- CORINDON. — Oxyde d'aluminium (APO:i). — Le corps le plus dur après le diamant. — A l’état transparent., corindon est le nom que l’on donne à une famille de pierres précieuses comme le saphir, le rubis, etc. A l’état non transparent et sans couleur spéciale (la couleur no jouant du reste aucun rôle sur sa qualité), on le trouve dans le commerce appliqué sur toiles ou papiers, et. surtout aggloméré en meules, connues sous le nom de « meules corindon », très appréciées aujourd’hui dans l’industrie automobile, pour la rectification des pièces en acier itrempé et pour l'affûtage des outils. Le corindon constitue la partie coupante de l’émeri dans lequel il entre pour 4o o/o environ. Le corindon coupe vite, sans échauil'emcnl ; il est devenu d’un prix très abordable depuis la découverte des gisements de l'Ontario (Canada), exploités par la Canada Corun-dum C° -Limited, et, fournissant à eux seuls :85 o/o de la production mondiale en corindon.
- CORLIN (Georges), administrateur délégué, de F Auto-Palace, 77 bis, avenue de la Grande-Année, Paris. Tél. 524-27.
- CORMERY (Exploitation des Brevets Français), moteurs à deux temps, 118, rue du Yicux-Pont-de-Sèvres, à Billancourt (Seine).
- CORMIER (Georges), 34, rue Ballu, Paris. Tél. 321-97. — Né à Paris, le a5 mars j 869. — Co-directeur de l'Agence Cormier.
- CORMIER (G.) et CODONI (G.), directeurs de l’Agence Cormier, vente d'automobiles, 31, rue d’Anjou, Paris. Tél. 321-97. Adr. tél. Agénauto-Paris.
- CORNE, CORNET ou TROMPE. —
- Instrument métallique sonore, actionné par l’air comprimé, qui sert à prévenir de l’arrivée d’une automobile, au-delà de la portée de la voix. — Voir Avertisseurs phoniques.
- — Comiot (Cn.), 87, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris.
- — Desponts, i5o, rue Victor-IIugo, à Lc-vallois-Perret (Seine).
- — IIussenot et Raynaud, 3 9, rue La Boétie, Paris.
- CORNETTE et BUCHERON, garage, 1, rue de Paris, à Moulins (Allier).
- CORNEZ (Augustin), machines-outils, 47, rue de Suède, à Bruxelles (Belgique).
- CORNIÈRE. — Le lcr cornière est une pièce do fer « profilée » par laminage.
- Sa section est ordi-mûrement un angle droit. 11 sort à assembler des tôles ou à constituer des [loutres en fer.
- A, ailes ou branches
- CORNILLEAU
- (Pierre), 12, rue des Acacias, Paris. Tél. ôfi.l-qq. — Né aux Aubiers (Deux-Sèvres), le 8 juillet 18G2. — Ingénieur, directeur de la maison Cornilleau et Sainte-Beuve. — Ingénieur des Arts et Manufactures ; ancien ingénieur des Messageries maritimes, ancien directeur des établissements Decauvillc ; spécialisé dans la construction automobile depuis 1898 et auteur de plusieurs perfectionnements remarques.
- CORNILLEAU et SAINTE-BEUVE, automobiles, G7, boulevard Bessiè-res, Paris. — Directeur : M. Cornilleau. — Construction de moteurs, changements de vitesse et, voitures automobiles.
- CORNON, paniers pour automobiles de forme quelconque sur [dans ; vannerie en général, 10, rue des Usines, Paris. Tél. 700-06.
- CORNU et Fils, mécaniciens ; voilu-rcltes automobiles, at\. rue de la Gare, à Lisieux (Calvados). Adr. tél. Cornu-Autos-Lisieux.
- CORONA (Pneumatiques). — Voir Fe;-zoni (Ettorc), à Milan.
- CORONA FAHRRADWERKE und METALLINDUSTRIE A. G., fabrique d'automobiles “ Corona”, à Brandeubourg-sur-le-llavel (Allemagne).
- CORPS. — Partie principale d’une machine. C’est un assemblage de tubes qui réunissent les deux roues d'une bicyclette et soutiennent le cycliste. Ce mot est remplacé par le mot cadre.
- CORPS CREUX (Usine des), châssis emboutis d’automobiles. •— Voir lhjle et Ba-calan.
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- — 2*6 —
- CORRE (Jean), 3^, rue de Villiers, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tel. 565-21. -i- Né ;t Trémcl (Côtes-du-Nord), le 21 mai 1864.
- — Fils de constructeur de machines agricoles. Représentant de la maison de Dion-Routon de 1896 à 1898. Directeur de l’Agence Industrielle d’automobiles (de 1898 à 1901). Fonda, en 1901, les Usines Corre. — Dans le cyclisme, de 1891 à 1897 : Paris-Rrest et Paris-Bordeaux (1891); Paris-Clermont-Ferrand, etc... En automobile, Paris-Bordeaux 1898 (ier en tricycle); Circuit des Ardennes, premier voiturettes (1902), etc...
- CORRE (Société Française des Automobiles), construction d’automobiles, 87, rue de Villiers, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tel. 565-ai. Adr. tel. Corre-Neuilly-sur-Seine.— Types pour 1907 : cliàssis 8 IIP, un cylindre; châssis 10 IIP, deux cylindres; châssis 10-20 IIP, quatre cylindres.
- CORRE COMPANY, Ltd, automobiles, 3n, Oxford Street, à Londres (Angleterre).
- CORRESPONDANT AUTOMOBILE yLe), vente d'automobiles, 9, rue Mo-gador, Paris.
- CORROYAGE DU FER. — Corroyer c’est battre et souder ensemble plusieurs’ barres de 1er, pour les soumettre ensuite à l’étirage. Le corroyage peut être répété plusieurs fois ; il donne un fer excessivement fibreux et très résistant à la traction.
- CORROYER et HUET, garage, 2, rue Saint-Honoré, à Amiens (Somme),
- CORVÉE et Ci0, garage, 6, boulevard Diderot, Paris.
- CORWIN Mfg Cu, automobiles “ Gas-Au-Lec ”, à Peabodv (Mass.), Etats-Unis.
- COSINUS. — Le cosinus d’un angle est le sinus du complément de cet angle, c’est-à-dire de ce qui lui manque pour égaler go°.
- — Voir Angle complémentaire et Sinus.
- COSMO (J. de) et Ci0, construction d’automobiles, 20, rue de la Vieille-Montagne, à Liège (Belgique). Tél. 1727. Adr. tél. Aulo-Cosmo-Liége.
- COSSET (Société de la Roue), roue élas-liuue à jante flexible, 1*, rue Demarquay, Paris. Tél. 4o3-(>4.
- COSTANTINI (Ernest), patin automobile, fauteuil automobile. —• Voir Progrès Automobile (Le), Paris.
- COSTANTINI et THUAU, carburateurs, 19, rue Ruhmkorlï, Paris.
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- COTE. — T erme improprement employé pour désigner une Rampe. — Voir ce mot.
- COTÉ. — En géométrie, on donne le nom de cotés aux lignes droites qui limitent une surface. Exemple : les côtés d’un triangle.
- — Côté d'une voiture. Le côté droit d’une voiture est celui qui se trouve à la droite du
- conducteur quand celui-ci est assis dans la voiture.
- COTE D’AZUR SPORTIVE (ta), journal, 2, av. des Phocéens, à Nice (Alpes-Maritimes). Directeur : M. L. Andrau.
- COTE et CHALENDON, commerce d'automobiles, ig, place Bellecour, à Lyon ( Rhône).
- CÔTE D’OR (Société Industrielle de la), construction do machines-outils, à Montcha-pet, près Dijon (Côte-d’Or).
- COTES. — Dans un dessin en coupe, plan, élévation, les cotes expriment les longueurs. Elles sont, en mécanique, toujours indiquées en millimètres ; ainsi, 011 11’écrit pas :
- 9 centimètres, mais : 90 millimètres.
- Les cotes doivent être exactes dans tous les sens, de façon à coque l’ouvrier 11’ait pas besoin de prendre des mesures sur le dessin, mais puisse se fier aux chiffres indiqués..
- CÔTE TANGENTIELLE. — Voir Entrée de carrosserie.
- COTHIAS (Société anonyme des Alliages), 9, rue Victor-IIugo, à Ivry-Port (Seine). Tél. 801-73. Adr. tél. Cothias-Ivry-Port. •— Société anonyme au capital de 1000000 de-francs. — Fonderie d’alliages blancs et d’aluminium.
- COTHOUIT, éclairage à l’alcool, 22, rue-de Picpus, Paris.
- COTTARD, garage, vente d’automobiles,. 64, Grande-Rue, à Louvicrs (Eure). Tél. 38. Ad. tél. Cotlard-Aulo-Louviers.
- COTTENET et Ci0, marque de fabrique Henry Rinder. — Carrosserie de luxe-pour automobiles, 3i, rue du Colisée, Paris. Tél. 5i6-4g. Adr. tél. Rinder car-Paris. — Société en commandite, au capital de 800 ooo-francs. — Directeur : M. Gottcnet.
- COTTEREAU (Henri), Clos La Bicoque,. Dijon. — Administrateur de la Société Anonyme des Etablissements Cottereau.
- COTTEREAU (Louis), usine des Len-lillères, à Dijon (Côte-d’Or), célèbre-coureur cycliste, aujourd’hui administrateur-directeur de la Société Anonyme des Etablissements-Cottereau.
- COTTEREAU (Société Anonyme des Etablissements), construction d’automobiles.
- — Société au capital de 1 5oo 000 francs. — Siège social: i5, place de la Madeleine, Paris.
- — Usines et bureaux : usine des Lentillères, à Dijon (Côte-d’Or). Tél. 267. Maison fondée-en 1891 et transformée en janvier 1906.
- COTTEREAU (Société des Cycles), fabrique de cycles et motocyclettes, route-d’Auxonne, à Dijon (Côte-d'Or).
- COTTEREAU (Agence Parisienne de la Marque), cycles et automobiles, 6, rue
- FCOUBETS AVERTISSEURS DESPOIMTS fl levalloisI
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- G 0 T — 227 — G 0 U
- Poisson, Paris. — Administrateurs Noblet et de Verneuil.
- MM.
- COTTIN (C.-E.), directeur commercial des Automobiles Collin et Desgoutles. —
- Né le 28 septembre 1870, à Lyon. — S'est associé avec M. Desgouttes, en mai 1900, pour fonder la maison Collin et Desgoulles.
- COTTIN et DESGOUTTES, constructeurs d'automobiles, place du Ba-chut, à Lyon-Monplaisir (Rhône). Tél. 35-00. — Directeur tecli-M. Cottin nique : M. Des-
- gouttes. — Directeur commercial : M. C. Cottin. — Voitures de ville et de grand tourisme très appréciées.
- — Caractéristiques des châssis Cottin et Desgouttes pour 1007 :
- Moteurs Alésage Course
- 18 X 22 IOO 120
- (court ou ordinaire)
- 2!\ X ko 120 i/|0
- 5o X 7° x5o
- Allumage par magnéto; 4 cylindres ; l\ changements (le vitesse et marche arrière ; tous les châssis construits pour carrosserie à entrée latérale. — Voir Allumage^ Carburateur, Embrayage, etc.
- COUACH Fils, garage, 39, boulevard d'IIausscz, à Arcaelion (Gironde).
- COUBERTIN (Baron
- boulevard Flandrin, P1
- ans.
- Pierre de), xo, — Né à Paris, le ierjanvier i863. — Décoré de plu-sieurs ordres étrangers. Membre du Comité de PA. C. F., de P Association des Journalistes parisiens, de P Académie des Sports, du Sport Club de Londres, de 1TJ-nion des Yachtsmen de Cannes, etc., etc.— Président du Comité International olympique, de la Société des Sports populaires. — Homme de lettres; a publié de nombreux ouvrages scientifiques et sportifs.
- M • le baron Pikiuik de Coubertin
- COUCHOT, garage, 28, rue Léopold-Bourg, à Epinal (Vosges).
- COUDER. — Les tubes en cuivre de faible section, jusqu’à 8 millimètres extérieurs, peuvent être coudés à froid, simplement à la main. Au-dessus de cette section, le tube 11c peut pas être cintré sans avoir été préalablement rempli d'une substance qui Pcnipèche de s’écraser, ou même de se couper, au point où on le courbe. O11 emploie ordinairement soit de la résine, soit du plomb fondu.
- On peut ensuite couder facilement le tube à la main ou à l’étau et lui donner la forme convenable sans craindre de cassures. S'il se forme quelques plis, au coude, on les enlève en frappant à petits coups serrés sur ces plis à l'aide d'un marteau arrondi. Le travail de cintrage terminé, il ne ‘reste plus qu'à remettre au feu le tube pour le vider.
- Les tubes en acier, même de petit diamètre, ne peuvent se cintrer à la main, vides. Ou doit les remplir de sable extrêmement fin et très sec, passé sur le feu, au préalable, s'il y a des traces d'humidité. O11 chauffe ensuite l'endroit du tube où l’on veut obtenir le coude, et on le cintre à l'étau, en s'aidant au besoin du marteau.
- COUDERC et Cie, garage et vente d'automobiles,/g), rue Ste-Croix,à Bordeaux (Gironde).
- COUESNON et Ci0,'Cornets avertisseurs et pompes, 9^, rue d’Angouléme, Paris.
- COUGET, garage, avenue de la Gare, à Pau (Basses-Pyrénées).
- COULAUD et Ci0, cuivrerie pour carrosserie, 7, impasse de la Baleine (92, rue d’An-goulèmc), Paris. Tél. 93(1-26.
- COULEMBIER (./.), AÎNÉ, malles Moy-nat, articles de voyage, spécialités pour automobiles, 5, pi. duThéàtrc-Français. Tél. 238.^
- COULISSEAU. — Petite pièce G, ap-
- COUI.ISSEAU DK DISTRIBUTION DANS UN MOTEUR
- Daimler en V (ancien
- modèle).
- ' »
- pelée aussi curseur,
- lMg. 2
- Coulisseau de
- MACHINE A VAPEUR
- qui se déplace dans la
- AUTOMOBILES
- ^ LYON ^
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- C 0 U
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- C 0 U
- rainure d’une came V et qui, en s’élevant ou en s’abaissant, commande au moyen de la tige T l’ouverture et la fermeture d’une soupape ou d’un robinet.
- Dans les machines à vapeur ou dans les moteurs à gaz à double effet, le coulisseau est la pièce C’ de la crosse II, qui termine la tige du piston, dont elle assure le mouvement parfaitement rectiligne par son déplacement entre deux glissières G.
- COULLIBEUF, garage, quai Charles-Guinot, à Àmboise (Indre-et-Loire).
- COULOM (P.), draps pour carrosserie, 12, rue d'Aboukir, Paris. Tel. iS^-oG.
- COULOMB. — Le coulomb est l'unité pratique de quantité d’électricité. C'est la quantité d'électricité débitée par un courant constant de 1 ampère pendant une seconde.
- O11 adopte en général comme unité pratique l'ampère-heure, qui vaut 3 Goo coulombs.
- — Coulomb (Loi de). — Lois des actions et répulsions des charges électrostatiques, déterminées par Coulomb «à l’aide de sa balance électrostatique. Ces lois s’énoncent ainsi et sont en quelque sorte l’extension aux charges électriques de la loi de Newton sur les forces centrales :
- La répulsion exercée entre deux corps, dont les charges électrostatiques sont de même signe, varie en raison inverse du carré de leur distance. A distance égale, la force exercée entre deux corps chargés est égale au produit des charges de chacun des corps.
- Ce qui se résume par la formule simple
- identique à celle de la loi de Newton; q et représentent, la charge électrique de chaque corps, ou quantité d’électricité qu'il possède, d leur distance, k étant une constante fonction du milieu où s'exercent les actions considérées. Dans l'air k — 1.
- COULOM (/;.), mécanicien, vente de la suspension rationnelle « Pessoneaux », 8, imitasse des Deux-Cousins, Paris.
- COULON (G.), vente de pièces détachées et accessoires, 8G, rue Chevalier, à Levallois-Perret (Seine). Tél. 182.
- COULON (IIenri)i phares et lanternes, g, passage du Plateau, Paris.
- COUNTY GARAGE
- C°, Ltd, vente d'automobiles, lîotehergate, à Carlisle (Angleterre).
- COUP-DE-POING. —
- Graisseur à huile dont on actionne le piston P en appuyant fortement sur sa tête T, en donnant, en quelque sorte, un coup de poing^ qui a pour résultat d’envoyer, par un tyyau, l'huile au point à lubrifier.
- — Duurulle, 28 bis7 rue Villeneuve, Cli-chy-la-Garenne.
- — IIenuy, coup-dc-poings graisseurs, 117, boulevard de la Villette, Paris.
- COUPE-CIRCUIT. — Le nom définit la chose. Il 11e faut cependant pas confondre coupe-circuit et interrupteur. U11 coupe-circuit est toujours automatique, et sert à protéger les appareils d'un circuit, et le circuit lui-même, contre toute augmentation anormale de courant, en coupant celui-ci dès qu’il atteint une valeur dangereuse. Il y a des coupe-circuits fusibles et des coupe-circuits magnétiques.
- COUPE d’un dessin. — On appelle coupe, en dessin, la vue d’un objet, obtenue en coupant cet objet, ou plutôt eu le supposant coupé par un plan convenablement choisi.
- COUPE (Sport automobile). — Voir Courses et Coupes à la Deuxième Partie de YAnnual.
- COUPE DE LA « PETITE GIRONDE» ou Coupe aérostatique Paris-Bordeaux.— Fondée par le journal La Petite Gironde et organisée par l'Aéro-LIub du Sud-Ouest. Le premier détenteur sera l'aéronaute qui, parti de Paris (dans un rayon de 20 kilomètres autour de la place de la Concorde) et régulièrement inscrit, atterrira le premier dans le département de la Gironde. La Coupe lui sera ravie par l'aéronaute qui, parti dans les memes conditions, aura, dans un délai d'un an, réussi à atterrir le plus près de lîordeaux, le but idéal étant, dans cette ville, la colonne des Girondins. Le concurrent dont le lieu d’atterrissage sera resté pendant un an le plus rapproché de ce but idéal deviendra possesseur définitif delà Coupe, qui consiste en un bronze de Dagonet, Vers la Gloire.
- En outre, une indemnité de o fr. Go par kilomètre est allouée au premier concurrent qui réussira à pénétrer en Gironde, et tant (pie ce résultat ne sera pas obtenu une indemnité kilométrique de u fr. f\o sera versée à tout compétiteur atterrissant dans les départements limitrophes ou en Charente.
- COUPE DES FEMMES AÉRONAU-TES. — Il y a deu x coupes successives de ce nom fondées par la Vie au Grand AiY, à attribuer par l’Aéro-Club de France. La première fut définitivement conquise par Mme Magdeleine Savalle, traversée du parc de l’Aéro-Club à Ileiteren, Allemagne, l^io kilomètres, ior-2 juillet 1902, ballon UEden (800 m.:t), pilotes MM Houlengcr et Janets.La deuxième Coupe des Femmes aéronautes a été gagnée par Miss Moulton, traversée du parc de l’Aéro-Club cà Klein-Wierau, près Hreslau, Silésie,
- 1 072 kilomètres, les 13-14 octobre 1903, ballon Le Centaure (1 Goo m.:i), pilotes MM. le comte de Castillon et André Legrand.
- COUPE DU «GAULOIS».—Challenge aérostatique de distance offert par le journal
- Graisseur cour de roiNG
- Automobiles delaunay Belleville
- SAINT. DENIS. SUR - SEINE
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- Le Gaulois et réservé aux pilotes de rAéro-Club de France (Objet d’art, Les Vagues. étain de Max Blondat d’une valeur de 1 000 lrancs, à attribuer par FAcro-Club de France à l'aéronaule commandant, régulièrement inscrit, dont les autres compétiteurs n’auront pu dépasser le parcours dans le délai de vingt-quatre mois à dater du jour et de l’heure de la performance.
- ier tenant : comte de La Yaulx, 35o kilomètres, le ij novembre iqo3. — 20 tenant : comte lladelin d’Oultremont, /j32 kilomètres le 2/1 juillet H)o/|. — 3° tenant : M. Edmond David, G98 kilomètres, le 5 décembre i()o4- — 4° tenant : comte de La Yaulx, 83o kilomètres, le 3 avril 1900.
- COUPE ERNEST ARCHDEACON.
- — Coupe d'aviation (objet d'art de 2 000 francs), fondée par M. Ernest Archdeacon, mise en compétition depuis le i5 septembre 1904 et à attribuer par F Aéro-Club de France aux conditions suivantes : Sera d’abord détenteur de la Coupe le premier expérimentateur ayant fait contrôler un parcours en aéroplane supérieur à 20 mètres, à la condition que l’angle
- de chute -p soit inférieur à 25 0/0 ou i4°> h*
- iii
- hauteur de chute étant comptée à partir du point initial du lancement et la distance horizontale à partir d'une ligne fixe tracée sur le sol. Les détenteurs changeront au fur et a mesure que le record sera battu. Pour devenir propriétaire définitii de la Coupe, il tunique le détenteur conserve son record pendant deux ans, étant bien entendu qu'il aura le droit de battre son propre record aussi souvent qu'il le pourra.
- Le premier détenteur de la Coupe Ernesl Archdeacon est M. Santos-Dumont, depuis le 23 octobre 1906.
- COUPÉ. — Voiture fermée, portant un siège à F avant et, à l’intérieur, une banquette à deux places; cette voiture a une glace sur les laces latérales et une grande glace ou deux moyennes à F avant.
- Le coupé est dit : coupe carré, figure 1, si le pied-corrnicr AB (pièce de bois formant
- Fig.
- l’ossature de l’arrière de la voiture), lait avec le brancard MB une partie angulaire ABM; coupé rond ou deux-cintres (figure 2), si Farète arrière a une forme arrondie A'B’M’; et coupé-bateau (figure 3), si le pied-cormier
- forme avec le brancard (partie MB), une ligne plein-cintre telle que A” N” O”.
- Lorsque la partie arrière du coupé est
- Un coupé (sua châssis Renault)
- constituée par une capote qui peut se rabattre en découvrant la banquette intérieure, le coupé prend le nom de landaulet. — Voir Dorsay.
- — Coupé trois-quai'ts. — Voiture fermée à entrée latérale, ayant un siège à l’avant et, à l’intérieur, deux banquettes se faisant vis-à-vis, et comportant quatre places.
- Coupé thois-quarts à daie caiuiÉe (suu CHASSIS C. G. V.)
- B, baie carrée. — M. moteur sous le siège.
- Sa forme le diffère du coupé deux-places par l’adjonction d’uno baie à l’avant du pied de caisse.
- 3
- neurc.
- De même que le coupe ordinaire, le coupé trois-quarts peut etro do forme carrée, bateau ou deux cintres. — Voir Coupé.
- La baie qu'il porte à l’avant peut être, suivant sa forme, carrée, circulaire ou à coins arrondis.
- Le coupé trois-quarts prend le nom de landaulet trois-quarts lorsque sa partie arrière est formée par une capote pouvant se rabattre pour découvrir la banquette inté-— Voir Voiture.
- COUPEROSES, — T ermes de droguerie employés pour désigner les sulfates de cuivre (couperose bleue), de fer (couperose
- hiTgygN"Js LUC COURT
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- verte), de zinc (couperose blanche). La couperose bleue ou sulfate de cuivre cristallisé intéresse les chauffeurs à titre de produit susceptible d’obturer les tissures des parois fêlées des moteurs (voir Cément).
- COUPE-VENT. — On appelle coupe-vent de larges plaques de tôle qui sont posées à l’arrière des motocyclettes et servent à entraîner les coureurs. Elles suppriment, pour ceux-ci, presque entièrement la résistance de l'air, leur permettent d’augmenter considérablement, leur allure et d’établir des performances de plus en plus étonnantes.
- COUPLAGE. — Ce mot sert à désigner un groupement, d’appareils identiques ou analogues : couplage de piles, d’accumulateurs, de dynamos. Pour les piles on dit plutôt montage en série ou en tension (voir Montage). Pour les accumulateurs on dit ausssi montage, mais plus souvent couplage, en quantité et en tension (voir Coupleur) • Pour les alternateurs et les dynamos, on dit exclusivement couplage, en quantité ou en parallèle, et en série ou en tension.
- COUPLE DE FORCES. — On appelle couple de forces un système de deux forces parallèles appliquées en deux points difVércnls et dirigées en sens inverse. Un couple tend à produire la rotation du corps auquel il est appliqué autour d'un point. O qu’on appelle le centre du couple. Ce point est situé sur la droite PP’ et la partage en deux parties inversement, proportionnelles à PF et PT1, c'est-à-dire (pie les produits OPXlT et OP1 X PT’ sont égaux. Un couple peut toujours être remplacé par une force unique, telle que
- KF’ ’, à condition ([uc cette force soit parallèle aux forces primitives et que Ton ait KF” X OR égal à la somme des
- produit s OPXlT et OTXlT.Cc bras de levier de la force unique KF” est mesuré par la perpendiculaire Or. La grandeur du couple est mesurée par le produit KF” X Or de la force par son bras de levier. O11 appelle ce produit le moment du couple. 11 s'exprime en kilo-grammes-metre,' le couple unité étant défini par une force de 1 kilogramme agissant perpendiculairement, à l'extrémité d'un rayon de 1 mètre.
- Un couple est moteur ou résistant, suivant u’il produit ou consomme du travail. On ira le couple moteur d’une turbine, d'un
- di
- moteur à pétrole, d'un moteur électrique, et le couple résistant d'un ventilateur, d’un frein, d'une dynamo.
- — Couple de rotation. — Le couple de rotation est constant dans les moteurs dits rotatifs (turbines à vapeur, a gaz, moteurs électriques) alors qu’il passe par zéro deux fois par tour (point mort) dans les machines à piston (moteurs à vapeur et à explosions). Au point de vue de la régularité de mouvement et de l'équilibrage (absence de vibrations) les moteurs de la première catégorie sont donc rationnellement désirables.
- L’expression du travail développé par un couple F tournant d'un angle a est donné par T=2 7'Fot, r étant le rayon. Nous savons (voir Force), que le moment du couple est égal à a&F, c’cst-à- dire 2 ?*F. Le travail est donc T = M a.
- Si nous exprimons la puissance développée, c'est-à-dire le travail dans l’unité de temps,
- on a P = M — ; or — est précisément la
- t t 1
- valeur de la vitesse angulaire to ; 011 peut donc dire que la puissance développée par un couple F est égale au produit du moment moteur par la vitesse angulaire P — M to.
- Le démarrage a lieu dès que la valeur du moment moteur dépasse celle du moment résistant, représenté dans une automobile par le frottement des roues motrices du véhicule sur le sol de la route.
- r
- — Couple (Electricité). — En électricité on donne le nom général de couple à l'assemblage de deux métaux différents et tels qu’une dilîércnce de potentiel s'établisse entre eux sous l'action d'une énergie extérieure calorifique ou chimique. Dans le premier cas, on a un couple thermo-électrique (voir Piles thermo-électriques). Dans le second cas, un couple électro-chimique. Dans ce cas, de beaucoup le plus important, il y a lieu de considérer les couples primaires, où l'énergie chimique se transfoime en électricité , et les couples secondaires, qui sont, réversibles, c'est-à-dire que le passage d’un courant y produit une action chimique qui, en s’annulant, donnera lieu ensuite à un courant. Au premier groupe appartiennent les piles (voir Piles). Au second groupe appartiennent les accumulateurs (voir Accumulateurs). Les piles sont donc des générateurs proprement dits, tandis que les accumulateurs ne sont que des réservoirs d'énergie où l'on accumule l'électricité qu'ils restitueront plus tard, l'action chimique n’étant chez eux qu'un intermédiaire.
- En électricité on se sert aussi du mot couple pour désigner certains efforts : coupD
- AF
- COUI’LK DE NOTATION .
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- -d'un moteur, couple de torsion dans un galvanomètre, etc.; niais dans un sens tout mécanique puisqu'il s’agit d’un couple de forces. — Voir Couple de forces.
- — Couple moteur. — Le couple moteur se mesure en ergs-centimètres (système G. G. S.) ou en kilogrammètres (unités pratiques).
- 11 est égal pour un moteur quelconque au produit de la force exprimée en kilogrammes multipliée par le bras de levier de cette force •exprimée en mètres.
- Dans un moteur à mouvement alternatif (moteurs à vapeur, à air comprimé, à gaz ou à pétrole) le couple moteur est égal à la • composante dirigée suivant la bielle de la pression de la vapeur ou du gaz, multipliée par le bras de levier variable de celle composante. Dans ce cas, l'cU’ort produit allant en
- diminuant au fur et à mesure que la détente s’elfectue, les valeurs du couple varient suivant une courbe dont la dentelure est d'au-lant plus continue et régulière que le nombre •des cylindres est plus élevé et varient aussi
- dans le cas de plusieurs cylindres suivant l'angle de calage des manivelles.
- Dans un moteur électrique, le couple mo-„ leur, agissant à la périphérie de l'induit, c'est-à
- dire à l’extrémité d’un rayon 2. M = F —
- est proportionnel à la valeur du (lux de force total et au nombre d'ampères-tours (intensité •du courant X nombre de tours de lils de, l’induit). Dans un moteur à courant continu le couple moteur est constant dans la durée d’un tour. Un moteur produisant P chevaux à une vitesse de N tours par minute produit p x ^5 X Go
- un couple W = --------------- kilogram-
- 2 7T X -N
- mètres.
- Les moteurs série asynchrones et monophasés à collecteur donnent au démarrage un couple moteur élevé, ce qui leur permet de démarrer en charge et les rend particulièrement propres à la traction électrique.
- La puissance en kilogrammètres par seconde produite par un moteur sera toujours égale au produit du couple moteur en kilogrammètres par la vitesse angulaire ou nombre de tours par seconde. Ceci s’applique à tous les moteurs rotatifs directs ou par transformation cinématique.
- COUPLES. —Sections transversales d'un •canot automobile.
- COUPLEUR. — Un coupleur sert à .grouper des accumulateurs en quantité ou en tension. Dans le couplage en quantité, tous les pôles sont réunis ensemble et tous les pôles — également. Le voltage de la batterie est égal au voltage d'un élément, mais le débit peut être pris égal à autant de fois celui d'un élément qu’il y en a dans la batterie. Dans le couplage en série ou en tension, •le pôle — du premier élément est réuni au
- pôle -|- du second, le pôle — du deuxième au pôle -)- du troisième, etc., de sorte que le pôle -|- du premier et le pôle — du dernier restent libres. L’intensité du courant que peut fournir la batterie est égale à celle que fournirait un élément, mais la force électromotrice est multipliée par le nombre d’éléments. On peut coupler en tension plusieurs groupes d'éléments couplés en parallèle. On réalise
- B D
- N COUl’LIHK
- ainsi le couplage mixte qui participe des deux autres. Ou choisit le genre de couplage qui convient aux effets à obtenir. On pourra, par exemple, charger une batterie d’éléments couplés en tension avec une dynamo à voltage élevé, coupler ces éléments en quantité pour effectuer une opération électrolytique nécessitant une intensité considérable sous un potentiel plus élevé. Ce changement de couplage s’opère précisément au moyen d’un coupleur, par le seul moyen d’une manette (voir figure). Ces coupleurs ont une grande analogie avec les continuateurs (voir ce terme). Le cylindre tournant de l’appareil est supposé fendu par une génératrice et déroulé. Les balais 1, 2, 3, !\ de gauche sont reliés aux pôles -|- des (déments 1, 2, 3, 4. Ceux de droite aux pôles —. Les balais P et N sont les balais (l'amenée ou de sortie du courant. Les rangées de balais P, 1, 2, 3, 4 et N, 1, 2, 3, 4> sont à 90 degrés l'une de l’autre. Elles appuient donc sur les génératrices AA et BB ou sur CC et DD. Dans le premier cas, les éléments sont couples en tension, et en parallèle dans le deuxième cas. Un commutateur M à deux directions permet la charge ou la décharge. Le cii’cuit G étant par exemple celui de la dynamo et, 1\ celui des appareils. O11 emploie quelquefois le mot coupleur au lieu de combinateur, coupleur série-parallèle. 11 s’agit alors des deux moteurs électriques d’un tramway ou d'un électromobile.
- COURANT ELECTRIQUE. — Quand un fil réunit deux conducteurs à des poten-
- AUTOMOBI LES
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- tiels différents, il est le siège d'un écoulement d’électricité allant d’un corps au potentiel le plus élevé (ou positif) à celui de potentiel le moins élevé (ou négatif). Cet écoulement d’électricité constitue le courant. Un courant électrique a donc pour cause initiale une différence de potentiel entre deux points, et cette différence de potentiel est produite par une force électromotrice. Si les deux points sont réunis par un conducteur, il y a courant, et la valeur de ce courant est proportionnel! e à la différence de potentiel absorbée dans le conducteur et inversement proportionnelle a la résistance de celui-ci. La différence de potentiel se mesure en volts, 1 intensité en ampères et la résistance en o hms (Voir chacun de ces mots.). Le passage du courant dans un conducteur produisant une élévation de la température de celui-ci, il y a absorption d’une certaine énergie qui se mes ;re en watts-heures, l’unité de puissance étant le watt. — Voir Watts.
- — Courant continu. — Gourant de sens et d’intensité constants. C’esl la forme la plus simple d’écoulement de l’électricité dans les conducteurs. Il faut, et il suffit, que la force électromotrice génératrice du courant soit de sens et de grandeur co istants et que la résistance ne varie pas.
- — Courant alternatif — Gourant changeant périodiquement de sens. 11 se produit dans un circuit où se développe une force électromotrice alternative. On obtient les
- G O U HUE SYMBOLIQUE DU COUDANT ALTERNATIF
- courants alternatifs en utilisant les phénomènes d’induction. La période d'un courant alternatif est le temps compris entre deux passages consécutifs à la même valeur et dans le meme sens. Ainsi la période du courant alternatif engendré par la force électromotrice représentée (fig. i) est égale à T.
- La fréquence est le nombre de périodes par seconde.
- Le nombre d'alternances est le double du
- nombre de périodes par secondé, soit
- 2
- T
- La force électromotrice, et par suite l’intensité des courants alternatifs usuels, varient généralement comme le sinus de l’angle représentant le temps. Leur courbe est donc une sinusoïde.
- — Courants alternatifs polyphasés. —
- Ensemble de plusieurs couranLs alternatifs
- simples, d’égale période, diphasés entre eux d’une fraction de la période. L’expression
- Coudant diphasé
- « diphasé » tend actuellement à remplacer « décalé ». Elle est plus précise et ne donne pas lieu à confusion. On ne considère en pratique que les courants diphasés, compo-
- Fig. 3. — Coudant tuii>iiask.
- sés de deux courants diphasés d'un quart de période et les courants triphasés composés de trois courants diphasés entre eux d’un tiers de période.
- — Courants synchrones. — Courants alternatifs de même période et en concordance de phase, c’est-à-dire ne présentant aucun diphasage. On considère plus spécialement les courants synchrones de même forme, c’est-à-dire ayant la même courbe de-force électromotricc et de même tension. Ces courants peuvent travailler en série dans le même circuit, quand on prend certaines précautions en vue du maintien du synchronisme qui tend à se détruire. Leur couplage en parallèle n’offre aucune difficulté.
- — Courants asynchrones. — Deux courants alternatifs sont asynchrones lorsqu’ils u’ont pas la même période. Ils ne peuvent agir dans un même circuit sans se contrarier et donner lieu à des phénomènes de résonance.
- — Courant dérivé.— Lorsqu’un réseau de conducteurs comprend un certain nombre de branches m, n, /?, aboutissant aux mêmes points a et b (fig. 4)? ces branches sont des dérivations respectivement parcourues par
- nv
- des courants i i, i 2, i 3, dont la somme égale le courant total I. Les courants i iy i 2 et i 3 sont des courants dérivés.
- VOITURE MOND A1IVK K»T
- l’automobile “ LORRAINE-DIETRICH ”
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- La chute de potentiel est la même dans chaque branche et l'intensité inversement
- Fig. 5. — Lampes montées en dérivation.
- proportionnelle à sa résistance. Enfin la conductance totale est égale à la somme des conductances partielles. Les récepteurs alimentés sous potentiel constant (lampes à incandescence, etc.) sont montés en dérivation
- (%• 5).
- — Courant watté, déwatté. — Quand un alternateur travaille sur un circuit présentant de la self-induction, ce qui est le cas général, le courant produit, évidemment de la même période que la force électromotrice, n'est pas en concordance de phase avec celle-ci. Ce courant d’intensité efficace égale à I peut être décomposé en deux vecteurs RI = 1 cos tp et à L1 = 1 sin tp, en désignant par tp l’angle de déphasage. Le premier vecteur 1 COS tp est le seul qui absorbe de l'énergie,
- parvient en sectionnant les pièces métalliques perpendiculairement au sens dans lequel se développeraient les courants de Foucault (induits de dynamos, noyaux de transformateurs). Dans certains cas on utilise les courants de Foucault, notamment pour amortir les oscillations de certains galvanomètres. Ces oscillations développent dans une petite masse de cuivre des courants induits s'opposant au mouvement qui les produit (loi de Lenz) et freinant en quelque sorte la partie mobile.
- — Courants inducteur et induit. — Un conducteur mobile dans un champ magnétique fixe, ou fixe dans un champ variable, est le siège d'un courant d’induction. Le champ magnétique joue le rôle d’inducteur. Un champ magnétique peut être créé par une bobine parcourue par un courant, qu'on appellera couvant inducteur. Le courant développé par induction dans un circuit placé dans le champ magnétique de la bobine inductrice s’appellera courant induit. Les machines industrielles de production ou de transformation de l’électricité reposent toutes sur les phénomènes d'induction (Alternateurs, Dynamos, Moteurs, Transformateurs). Les bobines d'allumage (voir ce terme) employées en automobile sont des transformateurs composés d'une bobine inductrice et d’une bobine induite.
- Fig. G.
- Courants watté et déwatté.
- puisque la puissance électrique égale El cos tp. Le courant qu’il représente, et qui est en concordance de phase avec la force électromotrice, est appelé pour cette raison courant énergétique ou watté. Le vecteur I sin cp, en quadrature avec la différence de potentiel, donne un produit moyen nul avec cette dernière. 11 n’absorbe donc pas d'énergie. On appelle le courant qu'il représente courant magnétisant ou déwatté.
- — Courants primaires et secondaires. — Expressions dont on se sert couramment pour désigner les courants inducteurs et induits.
- — Courants de Foucault. — Courants d induction se développant dans des masses métalliques (voir Induction). Ce sont toujours des courants parasites se transformant en chaleur et correspondant à une perte d énergie. Il y a donc lieu de les éviter. On y
- — Courant. — En mécanique, partie d'une corde engagée dans un palan, qui va de la poulie supérieure à la poulie inférieure, et réciproquement, par opposition au garant qui est le brin sur lequel on tire.
- COURBE. — Une ligne est courbe lorsqu’elle change constamment de direction, sans former d'angle véritable en aucun point. Ainsi une circonférence est une courbe fermée dont tous les points qui la constituent sont à égale distance d’un même point intérieur, appelé centre.
- COURCELLE {Henri), !\o ter, avenue de SufTren, Paris. — Docteur en droit. -Administrateur de la Société des Automobiles Ader Ltd ; directeur du Service commercial.
- COURCELLES - AUTOMOBILES,
- garage, vente d’automobiles, 8, rue de Cha-zelles, Paris, Tel. 582-62.
- COURONNE. —
- En géométrie, une couronne est la partie comprise entre deux circonférences concentriques.
- La surface est la différence entre la surface de la grande circonférence et celle de la petite.
- S=tr (fl*—r*).
- tt égalant 3,i4iG.
- Fig. 1 Couronne
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- — Couronne dentée. — La couronna déniée est, la partie (rime roue d’engrenages qui esl ainsi nommée lorsque ses dents ne sont pas taillées sur sa périphérie, mais sur un cola. Ces dents peuvent être soit placées sur une couronne séparée que l'on boulonne sur la roue, soit taillées directement sur la roue elle-même.
- Par dérivation, on appelle souvent couronne dentée toute r o u e d’engrenages, meme lorsque les dents ou sont taillées sur la périphérie.
- COURONNE.—Monnaie allemande d'or, pesant, 3 gr.982 et valant io marks, soit, 12 IV. Ai.
- Monnaie autrichienne : 20 couronnes or valent, 21 francs; 1 couronne argent vaut 100 hellers, soit o IV. (j3.
- COURREAU (René), mécanicien, rue •de Cholet, à Doué-la-l’ontaine (Maine-et-Loire).
- COURRIER DE LA PRESSE (Le), découpures de journaux, 21, boulevard Montmartre, Paris.
- COURROIE. — J ^cs courroies sont des bandes sans lin, de cuir ordinairement, quelquefois de tissu caoutchouté, ou de tissu en poils de chameau, etc.
- Leurs principales qualités, à l'usine, sont de procurer des embrayages doux et de 11e pas amener la rupture des pièces qu’elles entraînent, la courroie patinant sur sa poulie lorsque la résistance est trop grande.
- Elles ont malheureusement, sur la roule, de graves défauts : les poulies qui supportent les courroies doivent être assez éloignées les unes des autres pour donner un bon rendement ; de plus, les courroies sont hygrométriques. Elles se tendent et se détendent, suivant l'humidité de l’atmosphère, en adhérant alternativement, trop ou pas assez. Ce sont ces deux qualités négatives qui ont fait longtemps abandonne)' l'usage des courroies dans les voitures automobiles. Cependant nous devons signaler l’application heureuse de la chaîne-courroie que M. Eouillaron a faite à ses voitures à poulies extensibles et qui n’a pas les inconvénients que nous venons de signaler.
- E11 revanche, les courroies sont, très employées dans les motocyclettes, où il est facile de leur donner la tension nécessaire, grâce à leur faible longueur. O11 les fait de section plate A, ronde P ou trapézoïdale C pour augmenter leur adhérence sur les poulies qui
- sont elles-mêmes piales ou .creusées d’une gorge.
- C’est la transmission la plus usitée pour les motocyclettes, où dominent ses qualités de légèreté, de silence, de réparation facile et, de douceur dans la transmission de puissance extrêmement douce. Lorsque la machine démarre, la courroie patine légèrement et emmène par conséquent tout l’appareil avec progressivité.
- Les courroies se ferment avec des agrafes. — Voir ce mot.
- — Courroie trapézoïdale. — Les courroies sont dites trapézoïdales lorsque leur section a la forme de la ligure géométrique désignée sous le nom de trapèze.
- Elles sont de beaucoup les plus employées actuellement pour les motocyclettes parce que la large surface d’adhérence qu'elles offrent par leur forme même dispense d’exercer sur elles et, par conséquent, sur les paliers de la transmission, une grosse traction toujours très nuisible.
- — Eouillahon, courroies trapézoïdales articulées, o/j, rue de Milliers, à Levallois-Perret (Seine).
- COURSE. — I ax course du piston est l'espace qu'il parcourt, dans son cylindre entre les deux points extrêmes de son mouvement alternatif. C’est la longueur parcourue par le piston à l'intérieur du cylindre pendant un u temps ”.
- La course du piston équivaut toujours au double de la distance qui sépare l'axe du bouton de manivelle et l'axe de l'arbre moteur.
- 11 est nécessaire de connaître la course du piston et Yalésage du cylindre pour pouvoir déterminer le volume de la cylindrée. On dira, par exemple : « Ce moteur a ioomm de course et nomm d'alésage.
- COURSES. — « Les courses de voitures automobiles, dont le parcours 11e comprendra qu’un seul département, ne pourront avoir lieu sur la voie publique sans une autorisation spéciale du Préfet, sur l’avis des chefs de service de voirie et avec l'agrément des maires des communes traversées. »
- « Lorsque le parcours comprendra plusieurs départements, l’autorisation sera délivrée par le Ministre de l'intérieur, sur l'avis des préfets des départements traversés, donnée avec les memes formalités que ci-dessus. »
- « La vitesse pourra excéder celle de 3o kilomètres à l'heure en rase campagne ; elle ne pourra en aucun cas dépasser celle de 20 kilomètres àl'heure dans les agglomérations. »
- « Les frais de surveillance et autres,occasionnés à l'administration par la course, seront supportés par les organisateurs de celle-ci, qui devront déposer à cet effet une consignation préalable. »
- (Art. 3i du decret du 10 mars 1899, modifié par le décret du 10 septembre 1901).
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- C O U II O N N K DK N T KI :
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- — Au point, do vue (le la ciassuicalion en course, sous le règlement, des Automobile-Clubs de France et, de l'étranger, une voiture était, un engin dont le poids à Aude ne passait pas G5o kilogrammes pour les A'oitures légères et i ooo kilogrammes pour les grosses A’oiturcs. A vide, s’entendait, sans eau, huile, essence, ni accus. Los moteurs ayant, un allumage par magnéto avaient line tolérance do poids supplémentaire de 7 kilogr.
- (Règlement sous lequel a été couru le Crand Prix de FA. C. F. en igoG.)
- — Nota. —Voir à la Deuxième Partie de VAnnual les résultats des courses, coupes, éprem’cs sportives, nouveau règlement, etc.
- COURT, garage, boulevard du Président-Carnot, à Agen (Lot-et-Garonne).
- COURT (Luc), 88, rue Robert, Lyon
- (Rhône). — Ingénieur de l'Ecole Centrale lyonnaise (1883), a fondé en 1892 une maison de construction de machines électriques, qui est devenue Société Anonyme en 1901 et à laquelle a été adjointe la fabrication des automobiles. — Administrateur-délégué et directeur technique de la Société Anonyme Luc Court et C'°.
- COURT (Luc) et Ci0 (Anciens établissements), 88-90-92, rue Robert, à Lyon (Rhône). Tél. 7-17. Adr. tel. Courlas-Li/on. Société Anonyme au capital de (ioo 000 francs, constituée en 1901. — Construit des machines et appareils électriques et des châssis automobiles à pétrole de toutes puissances. Ses moteurs et carburateurs sont employés pour le châssis démontable Lacoin, dont cette Société est constructeur. Ce système de châssis double donne la solution pratique du changement instantané de carrosserie, permettant avec le meme mécanisme les applications les plus variées; grandes voitures lcrmées, voitures légères, camions et mémo groupe électrogène.
- — Caractéristiques des châssis Luc Court et, C'i0, pour '1907 :
- l\ modèles de châssis, à 4 cylindres :
- 90 alésage X 120 course;
- io5 — X 120 —
- 120 — X «4o —
- i4o — X iüo
- Soupapes commandées; 4 vitesses; transmission à chaînes ipour les deux premiers, à chaînes ou a cardan). - Tous roulements à billes DW F. — Allumage Simms-Boscli. Embrayage métallique à plateau. Carburateur à dépression constante. —Construction également du châssis démontable système Lacoin, avec tous genres d'arrière-trains.
- Pour l'Angleterre, agence exclusive des carburateurs Luc Court : Seignol et Searle. 83, Glasshousc Street, à Londres.
- COURTIAL, machines-outils, 129, bou-leA'ard Richard-Lenoir, Paris. Tél. g3g-82.
- COURTIAL (Paul), représentant de fabriques et d’usines, 48, via Sacehi, à Turin (Italie). — Tél. 19-88. Adr. tél. : Meccamona-Torino.
- COURTIN et CHAUVEAU, garage, gare Saint-Lazare, Paris (cour de Rome).
- COURTOIS, garage, og, rue du Grand-Faubourg, à Chartres (Eure-et-Loir).
- COURTOIS (Dé, fabrique de motocyclettes, )3, rue de l'Aqueduc, Paris.
- COURTOIS-VOGELAIS, garage, .. rue de l'Hotel-Dieu, à Aogent-sur-Seine (Aube).
- COURTONNE, garage, 27, rue de Paris, à Lisieux (Calvados).
- COUSIN, garage, place Chateaubriand, à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine).
- COUSSIN. — I .es coussins do A’oiturcs ont ordinairement, leur squelette composé d'un cadre en bois et de ressorts à lames ou à boudins. Leur garniture est composée de crin animal ou de crin répétai, ce dernier plus économique, mais aussi beaucoup moins élastique et, moins résistant.
- Les coussins sont posés sur la parclose (cadre en bois, constituant le siège de la voiture). Ils sont recouverts de drap, de cuir ou d'imitation de cuir; ils sont tendus ou capitonnés.
- La plupart des A’oiturcs confortables ont leurs coussins non abrités garnis de cuir presque toujours de la couleur do la caisse, ou de peau de porc, ou de cuir noir; cl leurs places « fermées » garnies de drap capitonné ou tendu, qui forme une assise toujours plus agréable et plus (( moelleuse )) que le cuir. — Le drap est généralement rayé, de couleur grise, préférable à toute autre nuance pour sa propreté, et non côtelé, à cause de la poussière. — Voir Assise.
- COUSSINET. — On appelle coussinet d’un palier la fourrure alésée dans laquelle tourne l'arbre. Cette fourrure se fait en un métal approprié au tnu’ail à fournir, lequel dépend de la pression par centimètre carré de surface de l'arbre et de la A’itesse angulaire de cet, arbre.
- ai>lyon<es LUC COURT
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- Roulements à Billest
- D. W. F.
- Fabriqués depuis 1899
- G*?
- Le prototype du roulement annulaire
- 'SkÊT
- 6>o ,
- Le prototype du roulement annulaire
- £X9
- Chemins de roulement sans solution de continuité
- Usine à GENNEVILLIERS (Seine)
- GLAENZER & C", 35, Doulevari de Strasûourg — PHBIS
- Quand la charge est modérée, on emploie avec avantage un alliage cintifriction, de dureté variable avec sa composition (plomb, étain, antimoine).
- — Coussinet à billes. — On réduit considérablement le travail de frottement d'un arbre en remplaçant les coussinets lisses par des coussinets à billes, le frottement de glissement se trouvant remplacé par le frottement de roulement qui n’atteint que le 0,0012 de
- Coussinet I). W. F.
- la charge, dans les roulements aux chemins bien étudiés, parfaitement rectifiés et polis.
- De plus, contrairement à ce qui se produit avec les frottements lisses, le coefficient de frottement d’un roulement à billes bien construit n’est, pas plus élevé au démarrage qu’en pleine marche.'
- Ces roulements sont constitués par deux anneaux à surfaces courbes, dans lesquels sont, par différents dispositifs, introduites des billes en acier dur, trempées, rectifiées et polies
- La qualité des matériaux et la trempe doivent être de premier ordre, sinon les chemins de roulement s’effritent ou s’écaillent. D’autre part, dans les roulements soumis à de violentes réactions, comme c’est le cas pour les roulements employés sur les automobiles, les billes ont souvent tendance à 11e pas rester dans le plan médian des bagues et par suite de la courbe des chemins de roulement, la vitesse de toutes les billes n’étant pas la même, elles arrivent à chevaucher les unes sur les autres, à se coincer. Dans ces conditions, il y a frottement, production de méplats sur les billes, et le roulement est rapidement hors d'usage. On perfectionne beaucoup les coussinets à billes par l’emploi de cages légères où se trouvent emprisonnées les billes individuellement, ce qui les empêche de dévier et de chevaucher les unes sur les autres. Dans les roulements D. W. F. {Glaenzer et 0°), fabriques avec une grande perfection, les billes sont maintenues espacées par une cage extrêmement légère et
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- ROULEMENTS A BILLES
- D. W. F.
- GLAENZER et PARIS
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- •élastique en deux pièces réunies au moyen d’entretoises, de sorte que l'ensemble présente une certaine élasticité. O11 peut aussi •obtenir dans ce système de roulement l'introduction de billes par l'excentration des bagues, à la condition que le niveau des billes ne dépasse pas le diamètre horizontal ; on peut , •en exerçant une légère pression dans certaines dimensions, placer une bille de plus que la quantité nécessaire pour atteindre le diamètre horizontal; on introduit ensuite la •cage en deux pièces reliées par les ressorts entretoises.
- On remarquera que ces roulements ne sont pas réglables, c'est dire qu'ils sont indéréglables, si l'on songe qu’après un très long service leur usure est pratiquement nulle, à la condition de ne pas dépasser les charges indiquées par le constructeur.
- Les roulements à cône réglable, du type bicyclette, n’ont pas donné, bien au contraire, les résultats qu’on en attendait dans leur application h l'automobile.
- — Glàenzeh et Ci0, 35, boulevard de Strasbourg, Paris.
- — Malicet et Blin, io5, avenue de la République, Aubcrvilliers (Seine).
- — Société Française des roulements a cilles, 70, rue Franklin, a Ivry-Port (Seine).
- COUTEAU. — Le couteau était, dans les anciennes voitures de Panhard et de L. Bolléc, une pièce de la régulation par tout ou rien qui avait une de ses extrémités taillée en lame de couteau.
- Cette pièce déterminait, ou non, l'ouverture de la soupape d'échappement, suivant qu'elle était, ou non, frappée par un marteau dont Faction intermittente était réglée par la force centrifuge.
- COUTERET (/L), avant-trains démontables et remorques, passage Bon-Secours, 17/1, boulevard Voltaire, Paris.
- COUTURIER (Ernest)y 10, avenue de la Grande-Armée, Paris. — Tél. 5o3-/jG et 5o3-/|^. — Né à Buenos-Ayres, en mars 1862. -----Directeur-administrateur de la Société Parisienne d'Automobiles. - Ancien voyageur, puis associé, de la maison Renard pour les cycles; devint propriétaire de cette affaire et la transforma en Société Parisienne (Cycles, puis Automobiles). — Constitua enfin' la Société Anonyme Parisienne <VAutomobiles.
- COUTURIER, garage, 11, avenue de Rosières, à Bourg (Ain).
- COUTURIER, fabrique de pneumatiques « Le Chamois » et vuleanisateur rapide Yul-canus, «à Chamoy (Aube).
- COUVERCHEL, automobiles, G, rue du Château, Neuilly-sur-Seine (Seine).
- COUVREUR, garage, faubourg de Fougères, à Rennes (Ille-et-Vilaine).
- COUZINIÉ, garage, avenue de Villeneuve, à Albi (Tarn).
- COVENTRY CHAIN C°, Ltd, fabrique de chaînes,à Covcntry (Warwickshire), Angleterre.
- COWEY ENGINEERING C°, indicateurs de vitesses, compteurs de tours, odo-tachymètres, Station avenue, New-Gardens, à Londres (Angleterre).
- COXETER and SONS, garage, à Oxford (Angleterre).
- COYMAT, roues llexiblcsà ressorts, 8, rue d'Astorg, à Toulouse (Haute-Garonne).
- COZIC, garage, Go, rue de Paris, à Brest (Finistère).
- CRABBE, freins.—Voir Brown Brothers.
- CRABBE (Moyeu). — Voir Schildge (Eugène), Paris.
- CRABBE (Charles), vêtements en papiers, 3G, rue de Lancry, Paris. Tél. 428-09.
- CRABETTE, vêtements de sports imperméables, 92, rue de Richelieu, Paris.
- CRADOCK and C°, aciers, à Wakefîeld (Angleterre); et 7G, avenue de la République, Paris. Tél. yi5-iG.
- CRAN. — Dans les voitures automobiles, se trouvent de nombreuses pièces qui portent des crans, des cavités ou des entailles, plus ou moins profondes, dans lesquelles s’engagent temporairement d’autres pièces, taquets, cliquets, chiens.
- Les crans sont particulièrement utilisés pour maintenir en position les leviers de frein à main et de changements de vitesse. Exemple : le cran de la deuxième vitesse, le cran de la marche arrière.
- CRAPAUDINE. — On appelle crapandine une sorte déboîte C, un palier c n fonte, dans lequel tourne le pivot P d’un arbre vertical. Le fond de la crapaudine est formé
- par une pièce G, légèrement concave, nommée grain ou culot, qui, de même que la tète du pivot., doit être en acier dur et bien trempé pour pouvoir résister à l’usure provoquée par la rotation continue et le poids de l’arbre.
- ROULEMENTS 1 P\ i M [J GLAENZER et Cie
- A BILLES 1 J. 1 rv. 1 PARIS
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- CRASSES. — En métallurgie on désigne sous ce nom les matières plus ou moins oxydées et scoriliées produites par un métal en fusion. Ainsi du plomb maintenu en fusion se recouvre d’une couche grisâtre plus ou moins épaisse formée par des oxydes de plomb, ce sont, les « crasses » de plomb.
- CRAVEN AUTOMOBILE GARAGE, garage, 20, Hig'li Street, à Skipton (Angleterre).
- CRAWFORD AUTOMOBILE C°, fabrique d’automobiles, à llagcrstown (Maryland) Etats-Unis.
- CRAWHEZ {baron Pierre de), avenue de la Clairière, Bruxelles (Belgique). — Né à
- Gosselus (Belgique), en septembre iS"/| . Président de la Commission sportive del’A.C. B. Président de l’Automobile Club do Na-mur, de Luxembourg, etc.
- CRAYON OBTURATEUR a Une
- Minute ». — Voir Fleming et Ci0, Paris.
- CRÉANCHE
- (Louis), fabrique rue du Souvenir, à Courbevoie fSeineb Tel. Gy, Asnières. Adr. Tel. C réanche-Asnières.
- CRÉANGE, accessoires en platine, Gy, rue Montmartre, Paris. Tel. 233-Go.
- CRÉDIT AUTOMOBILE , 22, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tel. 58ç)-/(3. Société en commandite Landauer cl U'0. Vente à crédit d’automobiles.
- CRÉDIT INDUSTRIEL ET COMMERCIAL {Société générale de), siège social, GG, rue de la Victoire, Paris. Tel. iily-.m.
- CREIL (Société Industrielle de), pièces détachées, capots, réservoirs, t\-j, rue de Chàteaudun, Paris.
- CREIL (Compagnie Générale d’IHlecIridié de), projecteurs électriques, yj, rue Saint-Lazare, Paris.
- CRÉMAILLÈRE. — Une crémaillère est une barre rectiligne G portant des dents qui engrènent avec un pignon P. Le mouvement rectiligne de va-cl- vient de la crémaillère détermine dansun sens ou dans un autre la rotation autour de son axe de la petite roue dentée. Réciproquement, la rotation du pignon entraine nécessairement
- l’avancement; ou le recul do la crémaillère.
- Ce dispositif a été employé souvent pour prod uire Y embrayage (anciennes voitures de Dion-Bouton, anciennes Mors) cl quelquefois pour la direction. 11 est utilisé dans la plupart des raboteuses pour commander l'avancement de la table.
- E11 carrosserie, 011 appelle crémaillères des bandes de galon doublées d’étoffe qui se fixent en liant des custodes et qui sérient à passer l’avant-bras pour se délasser.
- CREMONT, commerce d’automobiles, 2(>y, boulevard Péreire, Paris.
- CRÉPELLE (Jean) et Ci0, machines à vapeur « Corliss et Wlieclock », à Lille (Nord) ; et Go, rue de Provence, Paris.
- CRÉPET, fabrique de changements de vitesse, à la Demi-Lune, à Lyon (Rhône).
- CRÉPINE. — Une crépine est un filtre formé par une plaque percée de petits trous et mieux par une toile métallique très line.
- Les crépines sont particulièrement utiles dans les voitures automobiles pour empêcher qu'aucune particule ne vienne s’engager dans la pompe, dans l’ajutage, ou sous le pointeau du carburateur.
- CRÉPUSCULE. — Le crépuscule civil est considéré comme Uni, au moment où le soleil est abaissé de G0 au-dessous de l'horizon.
- A Paris, le crépuscule a une durée de 33 minutes (minimum) à /j3 minutes (maximum, en juin), suivant l’époque.
- CRETEAU, vente d'automobiles, 2, rue Villarel-de-Joyeuse, Paris,
- CRETIN-BILLET frères, fabrique de lunettes automobiles, à Morcz (Jura).
- CRÉTIN (L éon), lubrique de lunettes automobiles, à Morez (Jura).
- CREUX (Caoutchouc).—Le caoutchouc creux, ou par simplilication le creux, a été expérimenté timidement en i8Gy; mais ce n'est qu’en i88y, après la venue à\\ pneumatique nouvellement exploité, que commença réellement sa vogue.
- Le creux est un anneau de caoutchouc traversé dans toute sa longueur par un canal plus ou moins large, ou par plusieurs canaux accolés. Très employé autrefois dans les tricycles et les bicyclettes, il est, abandonné pour cet emploi, mais son usage est assez fréquent pour les roues de voitures attelées. 11 donne un bon roulement, sans égaler toutefois la douceur du pneumatique.
- HUSSENOT t RAYNAUD
- FOURNITURES GÉNÉRALES pour Automobiles
- Hoir aux Annonces.
- M. DE Ci\a\vhi:z.
- de voitures automobiles, 1,
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- C I\ E
- C l\ 0
- ---2 3() —
- CREVAISON. — Nom trop connu de toutes les personnes qui pratiquent l'automobile ! La crevaison est le dégonflement d’un pneumatique par suite d'une déchirure de la chambre à air. Cette déchirure est causée souvent par un clou, par un silex très aigu ou par un corps dur et pointu quelconque ; mais le plus fréquemment elle est causée par un pincement de la chambre, par un coup de levier que lui a donné l'opérateur lors du montage, ou par l'usure ou même par un défaut de fabrication. Le remède préventif contre les crevaisons consiste à n'acheter (pie des chambres neuves (jamais d’occasion) et de premier choix, et à apporter la plus grande minutie dans leur montage sur les roues.
- — RoueE.L. (Société Française de la), 28, rue de Sablonville, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- CRIC. — Le cric, appelé aussi lève-roue, est indispensable pour la réparation (les pneumatiques, le montage et le démontage des roues.
- Tous les crics sont basés sur la théorie de la crémaillère engrenant avec un pignon, ou sur celle d’une vis entraînée par un pignon hélicoïdal, etc.
- Tous les crics employés en automobile sont à mouvement irréversible, c’est-à-dire qu'ils ne peuvent redescendre (pie par la volonté seule du chauffeur qui est, obligé de les actionner aussi bien à la descente qu'à la montée de la crémaillère.
- Michelin dans son guide dit : « Le
- cric ou vérin doit être léger, robuste et d'un maniement facile. 11 doit être placé, dans chaque voiture, à un endroit où l'on puisse l’atteindre aisément, car on en aura besoin pour réparer les pneus en cas de crevaison.
- « Chaque cric Michelin est livré avec son « tourne-à-gauche », et les deux objets doivent être placés toujours cote à côte dans les coffres ou caissons ; le mieux est, de les attacher ensemble au moyen d'une petite courroie.
- « Le cric doit être entretenu dans un bon état, de graissage. 11 faut avoir soin de l'essuyer avant de le ranger dans le coffre, si l'on s'en est servi sur un terrain boueux. »
- — Bku(ïougnan et C10, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- — Comiot (Ch.), 87, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris.
- — Glaenzer et C10, 35, boulevard de Strasbourg. Paris.
- — Glaenzer et Perreaud, 1, avenue de la République, Paris.
- - Hemuque, 4 G avenue de la Grande Armée, Paris.
- — IIussenot et. Raynaud, 3g, rue La Boétie, Paris.
- — Mestre et Blatgé, 5, rue Brunei, Paris.
- — Michelin et Cic, à Clermont-Ferrand 1 Puy-de-Dôme).
- CRIQUE. — L es criques sont de petites ruptures, des gerces, qui se produisent quelquefois dans les pièces de fonte au moment du refroidissement, particulièrement lorsque* le noyau a été moulé trop serré.
- Il arrive aussi que des pièces en matière très saine se fendent à la trempe, au moment de la contraction subite du métal au contact de l’eau. O11 dit alors (pie ces pièces sont criquées.
- CRISSWELL, garage, Iligh Street, à Newmarkct (Angleterre).
- CRITÉRIUM. — Dans l’ordre intellectuel,, c'est l'ensemble des motifs et des caractères invariables qui permettent de distinguer le-vrai du faux, font reconnaître la vérité et déterminent la certitude.
- Dans le langage des sports, le nom de critérium a été donné à des épreuves ayant pour but de fournir quelques indications sur la valeur future des sujets (hommes, animaux nu machines engagés). Par suite d'un besoin du surenchérissement sur les mots, on l'emploie aujourd'hui dans le sens d'épreuve suprême, supérieure à toutes les autres; il est alors synonyme de championnat.
- Tandis (pie nous avons adopté le mot latin critérium, les anglais ont pris le mot. grec critérion, qui a exactement le même sens.
- CROALL and Sons, garage, vente d'automobiles, 12b, George Street, à Edimbourg (Angleterre).
- CROCHAT, voilurette “ la Simplette rue de Mogador, Paris. — Tél. 2o4-4().
- CROCHET. — I ^es ressorts sont souvent terminés par un crochet formé par la dernière spire. Ces crochets ne doivent pas être trempes; 011 doit en tout cas les recuire pour éviter leur rupture inévitable sans cett.c précaution.
- — Crochet de jante. — Partie de la jante qui sert à retenir en place les talons du pneumatique. — Voir Accrochage.
- CROISILLON. — Organe mécanique ai-fectant la forme d'une croix. Par exemple un. croisillon de cardan, c’est-à-dire la pièce dans laquelle sont pivotés les axes en croix de l'articulation. Souvent les croisillons jouent le rôle de support, comme les croisillons qui servent à maintenir les tôles de l'induit dans les dynamos.
- CROISSANT. — Partie du pneumatique qui porte directement, sur le sol et, (pii est destinée à s’user normalement par le roulement, en protégeant la carcasse de Venveloppe. — Voir ce mol.
- Le croissant est toujours rapporté su l'enveloppe, sur laquelle on le fait adhérer soit par collage à froid, soit beaucoup mieux par vulcanisation.
- Quand un pneumatique est entretenu avec soin, le croissant est usé avant que la car-
- [GRICS, PALANS, VERINS, GRUES roulantes
- I PARIS — 1, Avenue de la République
- H. GLAENZER & PERREAUD
- PARIS
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- G \\ 0
- — a [\ o
- GÜB
- casse ne suit détériorée; on peut alors faire remplacer le croissant usagé par un croissant neuf. Cette réparation, appelée rechapage, ne peut être exécutée que par le fabricant.
- Contrairement à une opinion assez répandue qui veut qu’on considère le croissant d’une enveloppe connue usé aussitôt que la première toile est à nu, on peut rouler jusqu'à ce qu'une deuxième toile apparaisse; mais il est essentiel de 11e pas rouler au-delà.
- CROIX DE LORRAINE (La).— Marque de fabrique des automobiles Lorraine-Diélrich.
- CROIZAT {Officine garage), vente d'automobiles et, d’accessoires, 08, Corso Massimo d'Azeglio, à Turin (Italie).
- CROMBEZ, garage, 21, rue du Curé-Saint-Etienne, à Lille (Nord).
- CROMWELL (Le), protecteur antidérapant, 5, rue Rude, Paris. Tél. 672-9/1.
- CROS (J.) et LABOUREAU (A,), bougies d'allumage, 12, rue des Poissonniers, Neuilly-sur-Seine (Seine).
- CROSSE. — Dans une machine à vapeur, la crosse est une pièce mécanique qui sert à réunir la tète du piston a la bielle et qui remplit le rôle de coulisseau, en frottant sur une ou deux glissières (tour conserver à la tige du piston une direction absolument rectiligne. — Voir Coulisseau.
- CROWN MOTOR CAR C°, vente d’automobiles a Glide ”, N. E. Agents, Motor Mart, à Boston (Etats-Unis).
- CROZET (Moteurs équilibrés). — Voir Caplet (M.).
- CRUISER. — Nom donné aux bateaux de tourisme, par opposition avec les bateaux de course, appelés racers. — Voir Canots.
- CRYDER and C\ vente d'automobiles, Corner Park Avenue, à Ncxv-York (Etats-Unis).
- CUBE. — En géométrie, un cube est un parallèlipipède rectangle , dont toutes les laces sont des carrés égaux. Son volume est obtenu en élevant son côte à la troisième puissance. Si II représente la hauteur, son volume est :
- v=iixiiXJf=u:{.
- — Cube. — Le cube d'un nombre . est ce nombre élevé à la troisième puissance. C’est le produit d'un nombre multiplié par lui-méme, qu’on remultiplie une seconde fois par lui-méme. Exemple : le cube de 8 : est 8 X 8 = G4 X 8 — Ô12. On indique qu'un nombre est au cube par le ebilfre 3 placé en exposant, à sa droite et en haut. Exemple : 8:| signifie 8 au cube.
- — Crosse. — Quelquefois, les ressorts arrière d’une voiture sont recourbés en forme de crosse, ainsi que l’indique la ligure, au lieu d’etre courbés très légèrement, comme le
- Ukssoht en cuossk
- sont la plupart des ressorts. Ils donnent une excellente suspension très confortable, mais aussi coûtent assez cher, ce qui cmpeche naturellement leur emploi de se répandre davantage. — Voir Moutonnât, terme de carosscrie.
- CROUAN (Henry), Go, rue du Bac, à Asnières (Seine).—Né le 3 octobre 1802, à Brest (Finistère). Ingénieur Ecole centrale de Paris ( 1870). Ancien constructeur d’ascenseurs ( 1878-1880); étudia et construisit des moteurs thermiques à air chaud, puis à gaz et à pétrole; se consacra ensuite (1892 à 1902) presque exclusivement à l'automobile. Prit de nombreux brevets exploités actuellement par F (( Automatisme », 8, boulevard d’Asnières, à Neuilly-sur-Seine.
- CROUZET, garage, vente d'automobiles, rue Edouard-Adam, à Montpellier (Hérault).
- o£’£»"OMNfA
- TABLEAU DES CUIJES
- de 1 à 100
- NOMBRE CUBE NOMBRE CUBE NOMBRE CL'BE
- 1 . ., 1 35 . . . 428;.-, 68 . 3i4432
- 2 . 8 36 . .. 4 6656 Gy . 3285oy
- 3 . . . 27 37 . . . 5oG53 70 . 343ooo
- 4 • 04 38 ... 5/(872 71 357911
- O . . ♦ 125 3<J ... 5y3 1 y 72 . 3732.48
- 6 . .. 2 iG 4<> ... 6/(000 7» 889017
- 7 • . . 3./,3 41 68921 74 • /(0522/j
- 8 . 012 4» 7/(088 75 . /(Ql875
- 0 • . . 729 43 ... 79*>°7 76 . 488976
- 10 . 1000 44 8518/j 77 • 456533
- 11 . .. 1331 43 y i 120 7» 474552
- 12 . 1728 4« 1)7336 79 • 493o3y
- i3 . .. 2KJ7 47 . io38s3 80 . 512000
- 1.4 . .. 2744 4« ... I I o5()2 81 . 53i/(4 1
- i5 . .. 3;s,.ï 49 • • • 1176/11) 82 . 551368
- iG . 4oy6 5o . . . 126000 83 . f'71787
- n • Ô 013 51 ... 132651 8/( . 5()2704
- 18 . 5832 52 . . . 1 /(0G08 85 . (> I 4 125
- *9 .. 6 85 y 53 . . . >4H»77 86 63Ô056
- 20 . . « 8000 54 ... l5746/| 87 . 6585o3
- 2 I . 92G1 55 . . . 106375 88 681/(72
- 22 . ioG/(8 56 . . . 170616 «o • 70/(969
- 23 . 12167 r>7 ... 1851y3 yo . 721)000
- 24 . i382/j 58 . .. 1y5112 91 • 75357Y
- 20 . 10G20 5y . . 200371) 1)2 . 778688
- 20 . .. 7r>7c 60 . .. 21Gooo 03 . 804357
- 27 • •. 1 y 68 3 61 ... 2261)81 94 • 83o58/(
- 28 . .. 2I()02 62 . . . 238328 yG . 867375
- 29 . . 24389 63 . .. 25oo/(7 9o . 884736
- 3o . 27000 f>4 ... 2621.44 97 • 912673
- 3i . .. 2979i 65 ... 27/(625 98. 94119a
- 32 . 32768 GG ... 2874yG 99 - 970299
- 33 . 34 . • • 35y37 3y3o4 0, ... 800768 100 . 1000000
- RKYUB PRATIQUE DB LOCOMOTION
- Rédacteur tnCbef: L. BftUDRY deSftUNIER ao, rut Duret, Paria
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- (] U I)
- (] U I
- — 2/11 —
- CUDELL-MOTOR {Compagnie), l'abri-que d’automobiles, à Aix-la-Chapelle (Allemagne).
- CUDELL, MOTOR C'\ A'cnle d'automobiles, 4? am Marslall, à Hanovre (Allemagne).
- CUDEY et Ci0, vente (raulomol)ilcs, 1, rue Villaret-de-.Joyeusc, Paris.
- CUÉNOD (E rnest), 3, rue Laffitte, Paris. Tel. i3a-io. — Né à Vcvey (Suisse1, le 3 mai 1808. —Commandeur d’Isabelle-la-Catho-lique, Christ, militaire du Portugal. - Conseil de diverses sociétés d’automobiles , admi -nistraleur - délégué de la Ligue contre la poussière des routes ; membre de la Commission extra-parlementaire pour la circulation des automobiles. — Fonda t e u r de la Compagnie française des Bascules au loin at i -ques, de la Com-M. Eunkst Gukno». p ag n ic Pari-
- sienne des voitures électriques, des établissements Georges Richard-Brasier, de la Martini Automobile Company limited, à Saint-Biaise (Suisse), etc.
- CUÉNOD {Julien)^ 1G0, boulevard Pé-
- veire, Paris. — Né à Lausanne (Suisse), en 18G2. — Chevalier de la Légion d’honneur. — Administrateur de la Com-paçjnie des Voilures électriques Kriêger, delà Société Française de VA ccumulateur Tudor.
- CUGNOT. —
- Célèbre mécanicien, né en France en et mort
- en 180/j. 11 inventa, en 1770, la première voiture à vapeur qui ait circulé sur une roule ; cette voiture à trois roues se trouve actuellement au Conservatoire des Arts et Métiers de Paris.
- CUIR. —- Le cuir employé en carrosserie pour garnir les coussins et les dossiers est ordinairement du cuir de vache teint, quelquefois de la peau de porc non teinte, plus
- coûteuse, mais aussi beaucoup plus résistante. Le noir est, de beaucoup, la couleur la plus solide ; pourtant les autres nuances sont assez bonnes dans les cuirs de toute pre-mière qualité, payés cher.
- Le cuir est généralement réservé aux places non abritées, exposées à la pluie. Les sièges abrités sont le plus souvent recouverts de drap capitonné ou tendu, qui donne tou jours une assise plus confortable.
- Quelquefois employé à garnir les capotes de voiture pour lesquelles il est précieux par sa longue durée, le cuir olfre l’inconvénient de coûter cher, d’etre lourd, encombrant et de se couper facilement, s’il n’est pas soigneusement entretenu. Il est presque toujours actuellement remplacé par une grosse toile imperméable, écrite ou teinte, légère et peu coûteuse, qui est spécialement fabriquée pour cet usage.
- — Cuir au chrome. — Le tannage au chrome permet de transformer la peau en un cuir qui possède des qualités absolument particulières, qualités jadis inconnues et tout à fait différentes de celles obtenues par les procédés anciens tels que le tannage au tan, la liongroieric, la chamoiserie, la mégisserie.
- Ce tannage a permis de résoudre le problème difficile de faire travailler le cuir avec le caoutchouc; jusque-là, les essais faits avec le cuir tanné avaient complètement échoué. En effet, lorsqu’il est convenablement fabriqué, le cuir au chrome possède les qualités suivantes : il résiste à Faction de l’eau bouillante sans subir d’altération appréciable, alors que les cuirs tannés différemment se solubilisent en partie, en se transformant en colle; il prend l’eau difficilement et ne durcit pas en séchant; sa résistance à la traction et au frottement est 3 à l\ fois plus grande que celle du cuir tanné et il possède à un haut degré une élasticité remarquable qui l’a fait dénommer, primitivement, “cuir caoutchouc”.
- Son odeur caractéristique, sa couleur spéciale, sa souplesse extraordinaire sont aujourd’hui bien connues. Entré déjà dans la pratique des arts industriels, il a été rendu populaire par son application aux pneumatiques ; et l’on a pu dire, grâce à lui, (pie le chauffeur possède une véritable « chaussure )> pour ses pneumatiques.
- Les procédés de fabrication du cuir chromé sont très spéciaux et sont tenus dans un secret presque complet, chaque tanneur sc servant de tours de main particuliers : en résumé, le tannage est fait, par les uns dans un bain unique oû l’oxyde de chrome est tout préparé, par les autres dans deux bains successifs dans lesquels la préparation chromi-que se fait en quelque sorte dans le cuir lui-même.
- — Beau et C1(\ antidérapants, 171, cours Lafayette, Lyon (Rhône).
- —• Pouelain-Beuiueh, tannage de cuirs au chrome, 99, rue de Flandre, Paris.
- SOCIETE ANONYME
- Des Anciens Établissements
- VOITURES, CANOTS, MOTEURS
- PANHARD & LEVASSOR
- 19, Avenu* d’Ivry — PARIS
- l6
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- C U I
- G U L
- --2^2 ----
- — Cuir d’embrayage. — On garnit les cônes d’embrayage (voir ce terme) d'un c\iir destiné à augmenter le coefficient de frottement des surfaces en friction et à donner aussi à l’ensemble une certaine élasticité, un certain moelleux qui s'oppose au coincement qui ne manquerait pas de se produire avec des coins entièrement métalliques, à moins d'augmenter l’inclinaison de leurs génératrices. La bande de cuir est maintenue sur le cône au moyen de rivets en cuivre rouge (qui s'usent en mémo temps que le cuir sans détériorer la cuvette). Les extrémités se recouvrent en sifflet, et la surface extérieure est tournée au moyen d'une râpe, afin d’éviter les irrégularités qui auraient pour conséquence de ne faire porter le cône que par quelques points. Souvent même, sous le cuir, de place en place se trouvent des ressorts plus ou moins compliqués (pii augmentent la douceur de l'embrayage. 11 faut éviter avec soin les projections d’huile, qui auraient pour effet de rendre le cuir gras et de le faire patiner. Quand cet accident arrive, il n'y a qu'à démonter le cône pour laver le cuir à 1 essence.
- CUIVRAGE. — Ce terme désigne l’ensemble des procédés employés pour recouvrir les métaux d'une couche de cuivre métallique (voir Galvanoplastie et Galvanostégie). Le cuivrage du fer ou de l'acier est très employé dans l’industrie du nickelage pour recouvrir les métaux d'une couche de cuivre intermédiaire assurant l'adhérence et la solidité du nickelage. — Voir ce mot.
- CUIVRE — Corps simple, métallique, de couleur rouge, fusible vers i ooo°, très ductile, très malléable, très bon conducteur de la chaleur et de l'électricité, altérable à l'air humide, avec formation d'un carbonate hydraté dit (( vert-de-gris », dont la couche superficielle ou (( patine » protège le métal sous-jacent contre l'altération ultérieure. Difficilement attaquable par l'acide sulfurique ou chlorhydrique, mais attaqué s'il y a présence simultanée de l’air. Son véritable dissolvant est l'acide nitrique (ou eau-forte). A l'état pur est employé pour la construction des appareils électriques. Dans l'industrie de la construction est, plutôt employé à l’état d'alliage avec l'étain bronze (voir ce mot) ou avec le /inc = laiton (voir ce mot). Le principal composé du cuivre est. le sulfate de cuivre ou couperose bleue. — Voir ce mot.
- CULARD, garage, rue Thiers, à Vcrneuil (Eure).
- CULASSE. — Lorsque la iete du moteur est (( rapportée » et unie au cylindre par des boulons, colonnes, etc., on la nomme spécialement dans ce cas culasse. C’est une tète <( mobile » qu'on peut à volonté isoler du cylindre.
- L’intérieur de la culasse forme une cavité dans laquelle le mélange explosif est com-
- primé par le piston, puis allumé. Cette cavité se dénomme généralement chambre d'explosion.
- On fond la culasse dans un moule de sable où ont été ménagés des creux appropriés pour que la pièce porte les saillies dans lesquelles seront plus tard fraisés et percés les logements des soupapes et de leurs tiges, de la bougie, les raccords de circulation d'eau, etc.
- La culasse d'un moteur est faite en fonte de fer. Si elle porte des ailettes, celles-ci sont relativement fragiles ; se garder der frapper sur elles avec un marteau.
- — Ciiausselat, réparation de culasses et cylindres fendus, n, rue Princesse, Paris.
- CULBUTEUR. — Le culbuteur est une pièce mobile C (fig. i) qui, commandée par une came, appuie sur la queue S d’un clapet et détermine l’ouverture d’une soupape. Ce mou-
- Une culasse
- Schéma du jeu d’un culbuteur.
- veinent se produit tant qu’une autre pièce, faisant partie du régulateur R, ne vient pas la faire brusquement basculer. Auquel cas, le culbuteur « rate » la queue du clapet ; la soupape ne s’ouvre plus, tant que le régulateur (( affolé » ne permet pas au culbuteur de reprendre sa place normale et de frapper sur l’extrémité inférieure du clapet.
- Ce dispositif était très employé autrefois pour la régulation des moteurs à sions. Il avait l'inconvénient d’être brutal ; il est à peu près abandonné actuellement.
- Dans quelques moteurs, l'ouverture des
- Ig. 2
- explo-
- assez
- Automobiles RFNAIII T FR FR F c Billancoirt
- fiuiuiiiuviio riLliHULl rfiLriL w (Seine)
- p.242 - vue 242/946
-
-
-
- C ü L
- - 2 4 3 -
- C VA
- soupapes se l'ait par un culbuteur C (iig. 2), commandé par une tige A et actionnant la queue de la soupape S.
- CULOT. — Le culot d’une bougie est une sorte de petit godet C de métal, ordinairement en cuivre, qui est monté sur l’extré-
- Bovgik ('vue en coupe).
- mité de la porcelaine ou du mica, P, et qui sert à attacher le lil du courant secondaire ou de la magnéto. À ce culot est fixé le lil métallique F, qui traverse la bougie et qui l’orme une des deux pointes entre lesquelles jaillit J'étincelle (rallumage.
- CULOTTE. — Pièce creuse C en fonte de
- fer ou en bronze, (jui réunit entre elles deux soupapes, et qui leur sert de conduit pour l'amenée des gaz ou pour leur évacuation. Cette pièce est lixee sur le moteur M par des boulons « prisonniers » P qui en rendent le démontage très aisé et facilitent l'inspection des soupapes qu'elles recouvrent.
- Le mot s’applique d'ailleurs à tout branchement de tuyau à deux directions, alVectant la forme d’une culotte (culotte d'échappement).
- CULTURE PHYSIQUE (La), journal sportif, ; bis, boulevard Rochechouarl, Paris.
- B B, écrous maintenant la culotte C sur les cylindres M M.
- CUNNINGHAM,
- SciIKMA I/CN CUIVSKCR L G’, curseur. — K, rainui
- came à rainure circul
- vente d'automobiles, 2/1, Casllc Street, à Ulitheroe (Angleterre).
- CUPELLE MOTORS, Ldt,
- ^ fabrique de moteurs, 1^7, Kriglils-bridge, S. W. Londres (Angleterre).
- CURE (L.), accessoires pour automobiles, 147 bis, rue du Chemin-Vert, Paris.
- CURSEUR—
- •c. Petite pièce qui se déplace dans une ire double, tantôt à
- droite, tantôt à gauche, et qui, dans les anciens moteurs Benz ou Peugeot, permettait d'obtenir les «quatre temps» du moteur, sans avoir recours à la roue de dédoublement ordinaire. Le curseur est appelé quelquefois voyageur ou coulisseau.
- Le curseur est aussi une pièce mobile qu’on peut déplacer à la main, le long d’une tige ou d’une règle graduée : curseur de pied à coulisse, etc.
- CURTIS (Tu rbines à vapeur). — Voir Thomson-llouston. Paris.
- CURTY et SAPIN, joints métalliques « Excelsior », :>(>, rue Abondance, à Lyon (Rhône).
- CURY Fils (J.), fonderie d'acier et de fonte malléable, à Deville (Ardennes). — Ad. tél. Cury-Devillc.
- CUSQUEL, fai >rique de pinceaux pour peintres en carrosserie, 5a, rue du Faubourg-du-Temple, Paris.
- CUSTODE. — Le custode est le panneau latéral d’une voilure fermée; il est compris outre la porte et le pied-cormier (pièce de bois de l'ossature de la caisse, qui forme arête commune au custode et au anneau arrière). — Voir Voiture.
- CUVETTE (Roulements). — Dans les roulements à billes à surfaces coniques, 011 donne le nom de cuvette au cône intérieur qui sert de bague de roulement externe. La ligure est un exemple de roulements à cônes et cuvettes employé sur un moyeu de bicyclette. Les cuvettes a sont en acier cémenté, trempé et rectifié, et sont rappor-
- c, cuvottes. — 6, cônes
- tées à l'intérieur du moyeu, dans lequel elles sont emmanchées à force. Les cônes b sont fixés sur l'axe. L'un est vissé à demeure (contre l'épaulement de droite), tandis que l'autre est mobile et sert au réglage du jeu. U11 contre-écrou le tient en place.
- CUVREAU, garage, /(fi, rue d’Angou-léme, Paris.
- C. V. (Antidérapants). — Voir Vadon (C.), à Lyon.
- C. V. R. (automobiles), G, rue du Château, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- CYANURE DE POTASSIUM. — Sel
- employé pour la cémentation et la trempe des métaux. — Voir Prussiate de potasse.
- j AOTOMOBILES ,ROCHET-$CHNEIDERngL:|
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- — 24 i —
- CYCLE. (Du mot grec ku/clos, cercle,). — Mot employé pour désigner indifféremment tous les instruments de vélocipédio : bicyclettes, tricycles, etc.— Pour les droits d’entrée en France, voir Douanes.
- — Cycle (Physique). On donne en physique le nom de cycle à une succession régulière de transformations que subit un corps place dans des conditions connues. Par exemple, un volume de gaz formé dans le carburateur subit toujours le « cycle » suivant : il est aspiré, puis comprimé, puis dilaté par son explosion, puis expulsé, et ainsi de suite. 11 subit le cycle à quatre temps.
- Le mot « cycle » est, en général appliqué eu ce. cas à une succession de phénomènes qui ressortissent de la thermodynamique.
- - Cycle de Carnot. — Une des lois fondamentales de la thermodynamique. Le cvcle de Carnot, dû à Nicolas Carnot (fils aîné du grand Carnot), mort, en iSda du choléra, a été émis par lui dans ses Réflexions sur la puissance motrice du feu, parues en 1824. Ce principe fondamental était le début, disent les biographes de Carnot, de la démonstration qu’il voulait faire de l'équivalence do la chaleur et du travail.
- Ce n'est pas le lieu ici d'énoncer mathématiquement le principe de Carnot. Nous dirons seulement que Carnot a démontré que le travail, dans une machine thermique (moteur à explosions par exemple) ne pouvait avoir lieu sans une chute de température, c'est-à-dire sans un écart de température entre un phénomène initial (dont la température est plus élevée) et le phénomène qui le suit (dont la température est moins élevée*. 11 y a donc, avantage à ce que la compression et l'étincelle électrique portent la cylindrée à son maximum possible de température, et à ce que la détente l'abaisse au contraire à son minimum possible de température. Explosion très chaude, échappement très froid, seraient eu quelque sorte les conditions idéales d'un bon rendement thermique. — Carnot a démontré que le rendement est d'autant meilleur que l'écart entre ces deux températures successives est plus grand.
- — Cycle Diésel. — Cycle à quatre temps dont les caractères distinctifs sont, les suivants : Lorsque le moteur a comprimé de l'air pur à environ 3o atmosphères, le pétrole est injecte automatiquement dans le cylindre. Par suite de la température élevée résultant de la forte compression, ce. pétrole y brûle instantanément de la façon la plus complète. Cràcc à cette combustion complète, la température peut être réglée à volonté, car on peut employer des mélanges de pauvreté facultative, sans avoir à craindre leur non-inflammation. Diésel a prouvé que le rendement, de. son cycle est d'autant meilleur que le mélange est. moins riche. l)'où il s'ensuit que la régulation peut être opérée par étranglement de l’admission du pétrole, sans danger de
- provoquer des ratés. C’est là l'avantage capital du cycle Diésel sur celui dos autres moteurs à pétrole, dont beaucoup ont une régulation fort onéreuse.
- CYCLE and MOTOR TRADES REVIEW, revue, 20, Tudor Street, à Londres (Angleterre).
- CYCLE and MOTOR CYCLE TRADER, journal illustré, 19, Wilson Street, à Londres (Angleterre).
- CYCLE et AUTOMOBILE INDUSTRIELS, journal hebdomadaire, organe officiel du Syndicat Général des Agents de Cycles et d’Automobiles, 9, rue Bulfanll. Paris. Tél. 2io-/)2. Journal fondé en 1897. Directeur : M. Félix Laine.
- CYCLES et AUTOMOBILES (Société Française des), G, rue Francœur, Paris.
- CYCLISME. — Le cyclisme peut cire ainsi défini : « l’art, de se transporter soi-meme sur roues, par un mouvement simple et sans efforts pénibles. »
- La vélocipédie était autrefois pour beaucoup de gens une forme ingénieuse do la gymnastique ; le cyclisme est aujourd'hui pour tout le monde un mode de locomotion nouveau, des plus sérieux et des plus économiques, un instrument de révolution des rapports sociaux, analogue à celui des chemins (1e fer et des transatlantiques.
- CYCLISME THÉORIQUE et PRATIQUE (Pc). — Ouvrage sur le cyclisme, paru en 1893 à la Librairie illustrée, par Ban-dry de Saunier. fioo pages de grand format, cartonné (épuisé).
- CYCLISTES DE PARIS (Union des), 8, rue Saint-Denis, Paris.
- CYCLO-CLUB DE PARIS, 8/g boulevard Saint-Germain, Paris. Tél. 103-90.
- CYCLOÎDE. — U ne cyclo'ide est une courbe P P’ P", engendrée par un point P d’une circonférence roulant sur une ligne droite, sans glisser.
- CYCLOMÈTRE. — App; ireil qui sert à mesurer le nombre de révolutions d'une roue. — Voir Compteurs de tours.
- CYKLON MASCHINENFABRIK,
- fabrique d'automobiles, 20, Mainzerstrasse, à Berlin (Allemagne).
- CYLINDRE. — En géométrie, un cylindre est un corps à base circulaire (cylindre
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- droit) (lig. i), ou elliptique (cylindre oblique) ^ fig. 2), dans lequel toutes les sections que
- 1 2
- Cylindres
- l’on fait parallèlement à la base sont égales à celte base.
- Le cylindre de révolution (fig. 3) est un cylindre engendré par un rectangle tournant autour d'un de scs côtés AB.
- Cylindre droit (fig. 1).
- Volume = TT r~k — 0,780 d-h.
- Surface latérale = 2îtrfi.
- Cylindre droit à section oblique (fig. 4).
- v n 0 ^1 +/*2
- \ olume = 7rr- -----
- 2
- Surface latérale =izr (hi
- — Cylindre de moteur. — C'est dans
- Coupe schématique dans un cylindre
- DE MOTEUR A EXPLOSIONS.
- a, cylindre. — 6, enveloppe. — c, culasse. —
- <?, admission. — e, échappement.
- le cylindre d'un moteur que se déplace le piston, chassé par l'explosion du mélange
- tonnant ou la pression de la vapeur, suivant qu'il s’agit d’un moteur à explosions ou à va peur.
- Dans le cas des moteurs à explosions, le cylindre est entouré d’une chemise d’eau b (fig. 2) destinée à son refroidissement. On sait eu efiet que la température d’explosion du mélange d’essence et d’air dépasse 1 8oo°. il s’ensuivrait une impossibilité absolue du graissage et le grippage certain, si l’on 11e refroidissait la paroi du cylindre. Dans les moteurs de moins de six chevaux employés sur les motocycles, le refroidissement est généralement assuré par des ailettes circulaires (fig. 3) venues de fonte avec le cylindre ou enlevées dans la masse.
- La surface métallique chaude léchée par le courant d’air résultant de la marche du véhicule est suffisante
- pour assurer son propre refroidissement.
- Le cylindre peut être rapporté* - ou venu de fonte avec la culasse, Pour des moteurs
- Fig. 3.
- Coule d’un cylindre
- A AILETTES
- puissants, il y a avantage.
- au point de vue chemise très
- du poids, à rapporter une légère, généralement en tôle de cuivre ou de laiton. La chemise est sertie et soudée à l’étain ou préférablement à l’argent. Le procédé assure aux cylindres une grande, iégèreté et permet de les tourner extérieurement sur toute leur hauteur. 11 en résulte une épaisseur rigoureusement uniforme, avantageuse pour la perfection de Y alésage et la régularité des dilatations.
- — Six-cylindres. - Nous ne pouvons ici entrer en discussion sur la valeur de l'équilibrage des moteurs à plusieurs cylindres. Nous 11c dirons, à titre d'exemple, qu'un mot des « six-cyliiulrcs », ce type constituant 1111c des nouveautés de 1907.
- Le six-cylindres est évidemment un moteur compliqué. E11 ce qui concerne la construction, la discussion serait certainement défavorable nettement à ce type de moteur. Son vilebrequin est d'une fabrication très difficile et très onéreuse.
- Mais la douceur d'entraînement d'un six-cylindres est incomparable, et c’est là son premier avantage.
- Le second avantage est la diminution de la trépidation due aux mouvements de va-et-vient des pistons. On pourrait presque dire la suppression, car si dans un quatre-cylindres, ces vibrations sont déjà très atténuées, elles sont encore trente rois environ moins fortes dans un six-cylindres ! Dans la figure 3 (page 247), c'est à peine si on les voit, malgré lé-
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- normegrossisscmentadopté ; el dans la réalité, elles seraient confondues avec celles qui proviennent à la fois du défaut de centrage du volant, des différences de poids des divers pistons, des bielles, des coudes du vilebrequin, etc...
- Dans le quatre-cylindres, au contraire, l'in-
- mèrne qu’on s’en passe avec la vapeur, tant il est puissant et tant son effort moteur est constant! Ils disent meme que la marche arrière est désormais inutile, puisqu'on poussant un nouveau jeu de cames sous les galets des soupapes, 011 trouve toujours un cylindre à la période d’explosion, qu’ainsi l'allumage,
- et par suite le départ du moteur, se produisent infailliblement, dans un sens ou dans l'autre, à la volonté du conducteur.
- 11 est équitable de dire que tout ce qu’011 a fait dans cette voie de simplification du mécanisme a toujours été abandonné au bout d’un temps plus ou moins long.
- Ces notes rapides permettront aux lecteurs de uger des avantages réels, mais des inconvénients très réels aussi des moteurs à six cylindres qui , jusqu’à nouvel ordre, 11e sont faits que dans les grandes puissances et à des prix élevés.
- - - lÎEHi.iET (Automobiles), ui, chemin des Quatre-Maisons, à Lyon (Rhône).
- — Clé m k n t-G l a d i ator , Saint - Gervais
- Kig. 1.— Schéma représentant les positions respectives des coudes d’un yileijre-QUIN POUR SIX CYLINDRES, AVEC SEPT PALIERS «, 6, C, d, C, f, (j.
- Les coudes i et G sont dans un plan incliné ot s’éloignant du lecteur. Les coudes 2 et 5 sont daus un plan vertical. Les coudes 3 et l\ sont dans un plan incliné différent du précédent et se rapprochant du lecteur. — Tous ces coudes sont par paire à 1200 les uns des autres. — Les paliers h, d. f sont parfois suppiimés. Il reste ainsi quatre paliers seulement, mais le vilebrequin est alors moins bien équilibré.
- Y Animal de j
- au Pré (Seine).
- Fig. 3. — Comparaison entre les trépidations d’un moteur a quatre cylindres ET CELLES d’un MOTEUR A SIX CYLINDRES DE MEME PUISSANCE (ToUS DEUX SONT
- SUPPOSÉS DÉSAXÉS.)
- L'amplitude des v:brations d’un quatre-cylindres serait, dans le graphique ci-dessus, de 3 millimètres environ. Colle des vibrations d’un six-cylindres serait d’un millimètre environ.
- fluence du mouvement alternatif des pistons est prépondérante, c’est certain.
- Ces courbes ont été construites en supposant le moteur désaxé ; mais le moteur désaxé ne doit tourner que dans un seul sens, et les partisans convaincus du six-cylindres prétendent qu’avec ce moteur 011 peut non seulement se passer de changement de vitesse, de
- — Rossel et Cfe, à Soehau x - M o 111 b é 1 i a r d (Doubs).
- CYLINDRÉE. —
- D’une manière générale, on appelle cylindrée le volume d'un cylindre de moteur, ou plus exactement le volume engendré par le déplacement maximum du piston. Pour des moteurs d'un meme type, tels ([lie ceux actuellement employés sur les voitures à essence, la connaissance de la cylindrée permet d’évaluer grossièrement la puissance du moteur, d’où l’origine du c( classement à la .cylindrée » et du maximum de cylindrée. Ajoutons (jue ces modes de classement des moteurs, en vue d'une course, possèdent l'inconvénient de favoriser les vitesses exagérées par l’adoption de gros alésages et de faibles courses. Dans les moteurs puissants des véhicules de course, on est d’ailleurs conduit à ce résultat pour d'autres raisons sur les-
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- es meilleurs 6 Cylindres? - ROSSEL
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- quelles nous ne pouvons insister ici, et dont les principales ont pour conséquences la légèreté du moteur et de la boîte à engrenages. La cylindrée des moteurs varie de i/3 ou iff\ de litre (motocyclettes) à io ou 16 litres imoteurs de course).
- — Si on observe que l'allumage d’un mélange, son explosion et sa détente doivent se l'aire dans le temps extrêmement court que dure la course motrice du piston, on conçoit aisément l'importance que peut présenter un allumage puissant et précis surtout dans les moteurs d'automobiles où la durée do cette course motrice est généralement inférieure à 5 centièmes de seconde. Allumer un mélange explosif en un point, c’est provoquer rautOrinilammation du mélange autour de ce point, et cette inllammation, étant à la fois fonction directe de la température et de la pression, peut aussi bien être obtenue par un faible échaullcincnt du mélange fortement comprime que par une haute température du point d’ignition lorsque ce, mélange est faiblement comprimé. Toutefois, l'expérience montrant que la propagation de. l’onde explosive autour du point dinllam-mation est d'autant plus rapide et la combustion du combustible d'autant plus complète que la pression du mélange est plus élevée, ces deux raisons militent encore en faveur des hautes compressions.
- Les avantages de l’allumage électrique généralement adopté aujourd'hui dans les moteurs d'automobiles sont de deux ordres : d'abord, la propriété que possède au plus haut degré l'étincelle de produire simultanément une compression et un échaufj'ement extrêmement élevés de la partie du mélange qui l'entoure, et ensuite la grande facilité que présente ce genre d'allumage de permettre de faire varier à volonté et instantanément e moment précis de l'inflammation du mé-ange avant, pendant et après le passage du piston au point mort.
- L'expérience montre (pie la puissance effective, c’est-à-dire utilisable sur l'arbre d'un moteur donné, ne croit pas indéfiniment avec
- sa vitesse angulaire, que cette puissance passe au contraire par un maximum. Ceci donne à penser que le travail de la cylindrée doit diminuer constamment à mesure que la vitesse augmente.
- La quantité du mélange admis diminuant d'une part, tandis que croit d'autre part le travail négatif d'échappement des gaz brûlés, ces deux causes concourent à la réduction du travail de la cylindrée à mesure que croît la vitesse. Telles sont les raisons qui limitent la puissance massique des moteurs d'automobiles, laquelle a cependant pu atteindre un demi-cheval par kilogramme-masse de matière dans de tout récents modèles.
- Le moteur à explosions présente cette particularité de développer la meme puissance à deux vitesses différentes, l’une inférieure et l'autre supérieure à une certaine vitesse critique correspondant à son maximum de puissance. Ce maximum est d'ailleurs réglé par les conditions d'établissement du moteur et en particulier par la levée que l’on peut donner aux soupapes d’aspiration et d’échappement.
- La caractéristique des moteurs de construction récente est la substitution de la soupape mécaniquement commandée à la soupape automatique, c'est-à-dire fonctionnant par l'aspiration du moteur. La commande mécanique de la soupape d’aspiration permet do lui donner de très grandes dimensions, de très fortes levées, et d’atteindre ainsi des puissances maxirna beaucoup plus considérables. L'automaticité de la soupape d’aspiration présente d’ailleurs le grave inconvénient d'empocher son ouverture immédiate dès que le moteur commence à aspirer, et de retarder sa fermeture après le passage du piston à fin d'aspiration, en donnant à ce dernier le temps de refouler dans l'atmosphère, à travers le carburateur, une fraction du mélange aspiré, d'autant plus importante que le moteur tourne plus vite. D’où l’excès de carburation, et, par conséquent, de gaspillage du combustible constaté aux grandes vitesses avec ce genre de soupapes. (D’après il/. H. Arnoux).
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- d. — Symbole de déci, de diamètre on de di/J'érenlielle.
- d. — Abréviation de penny.
- DABANCOURT et Ci0, vente d'automobiles, 42> boulevard du Montparnasse, Paris. Tel. 709-56. — Garage : 98, rue de Sèvres, Paris.
- DAC (Auto-Guides), guides édités par Y Association Générale Automobile, 8, place de la Concorde, Paris.
- D. A. C. (Camions Automobiles). —• Voir Espine (d’), Achard cl C'°, Paris.
- DAC AUTO SUPPLY HOUSE, appareils d’allumage « Dac », 17^9? Broadway, à New-York (États-Unis).
- DADRICH et SIEBERT, garage, vente d'automobiles, 70, Unter den Linden, à Berlin ^Allemagne).
- DAGUIN, GÉRAUD, PORCABEUF,
- appareils d'allumage électrique, bobines et magnétos, marque « L'Extra », 5-4, rue de Bondy, Paris. Tel. 432-23.
- DAHL (Paul) et C10, accessoires, bougies et inllammateurs, 72, avenue de la Grande-Année, Paris. Tel. 660-94. Adr. lél. Padah-Paris.
- DAIMBLER (Usine de Laça), lubrique d'automobiles, à Naples (Italie).
- DAIMLER (Goltlieb). Nom célèbre dans l’industrie automobile. M. Daimler doit être considéré comme un des grands l’on dateurs de l'automobilisme à cause des perfectionnements très remarquables qu’il apporta aux moteurs à explosions en les appliquant spécialement, à la locomotion mécanique. Son premier moteur (monocylindrique vertical) figurait à l'Exposition universelle de 1889 sur un tramway. La licence fut achetée par M. Peugeot qui la céda ensuite à M. Levas-sor, de la maison Panhard et Levassor. — Conseiller de commerce. Né le 17 mars i834, à Soborndorf (Wurtemberg); mort le 6 mars 1900, à Cannslatt. Fit, en 1866, la connaissance de M. Maybach dans la maison d’éducation de Gustave Werncr; à partir do cette époque, ils travaillèrent ensemble. Daimler fut directeur de la Gasmotoren Deutch et
- I plus lard de la Société Daimler, qui cons-| truisit des moteurs à pétrole, invention de M. Maybach.
- DAIMLER C°, (The Enylish), vente d’au-lomobiles, 17.43, Broadway, à New-York (États-Unis).
- DAIMLER Mfg C°, vente d’automobiles, garage, 976, Steinway avenue. Long Island City, à New-York (Etats-Unis).
- DAIMLER MOTOR C°, vente d’automobiles, garage, à Goventry (Angleterre); et 21g, Shaflesbury avenue, à Londres.
- DAIMLER - MOTOREN - GESELL-SCHAFT, à Unlertiirkhoim, près Slutlgard (Allemagne). Tél. 126. Adr. tél. Daimleria-llnteriurkheim. ~~ Fabrication de moteurs et d’automobiles « Mercedes ». —Société par actions, au capital de 3 166000 marks, fondée à Cannstatt, le 28 novembre 1890. — Directeurs techniques : MM. W. Maybach, Ban-rat Nallingcr, Adolph Daimler, Paul Daimler.
- - Directeurs commerciaux : MM. G. Yischer et E. Berge.
- DAIMLER-MOTOREN - GESELLS-CHAFT, vente d’automobiles, Maricnl’elde-Berlin (Allemagne).
- DAIMLER, (Société Ilaliana Motori), vente d'automobiles, 43, via Lorenzo Masche-roni, à Milan (Italie).
- DAIS. — Le dais, ou pavillon démontable, constitue pour les voitures découvertes un abri très pratique. Supporté par 4 ou G montants, le dais est un toit formé par une toile imperméable tendue sur un châssis en bois, ou par un panneau de bois monté sur un cadre dont les côtés latéraux sont réunis pailles traverses appelées courbes et les côtés extrêmes par des traverses appelées lames.
- Le dais est ordinairement accompagné do rideaux en toile imperméable qui permettent de fermer à peu près complètement l’arrière do la voiture, d’une fai;011 passagère. Comportant une galerie à bagages sur laquelle on peut disposer des enveloppes do rechange et des valises, le dais possède encore l'avantage de 11c pas offrir de difficulté pour l’entrée des voyageurs ; mais en mémo temps il présente le triple inconvénient, d’offrir à l’air une assez grande résistance, d'alourdir sensiblement la voiture et de limiter la vue. — Voir Doublc-phaéton.
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- DALIFOL et C'° (Auto- ïachl), moteurs « Abeille » et. automobiles, 4o> bouîe-vard d’Asnières, à Neuilly-sur-Seine (Seine). — Tel. 5oi-4G. Adr. tel. Üulifol-Neuilly.
- DALILA (Le), pneumatique antidérapant..— Voir Durand, 1-8, boulevard Pércire, l’aris.
- DALILA (Pneu-Cuir). — Voir Ixclloise de caoutchouc (Manufacture).
- DALSACE (O.), projecteurs et, phares Le Itadium, ad et, an, rue RulunkorlV, Paris (iyc). Tel. 08G-0.4.
- DAMAS, antidérapants, réparations d’enveloppes, an bis, boulevard de la Saussayc, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tel. ."iio.
- DAMBORÉNÉA (/î. de), garage, vente d'automobiles, Campo Valentin, à Bilbao ^Espagne).
- DAMEZ (Alfred), ioa, rue du Moulin, à Boubaix (Nord). Tel. 8o5. — Né à Aùdruicq tPas-de-Calais1, le 18 décembre 1870. — Publiciste, secrétaire général de l’Association régionale «Nord-Touriste» cl de l'Automobile Club du Nord de la France.
- DANDY, pneumatiques. — Voir Falcon-net-Péroileauil, à Choisy-le-Boi.
- DANGU Père et Fils, garage, .42, rue de la Madeleine, à Beauvais (Oise).
- DANICOURT (Albert), constructeur de machines-outils modernes et, de tours ; réparations d’automobiles, 8, rue de Boulan, à Albert (Somme). Tel. 32.
- DANTAN et HAWKINS, silencieux à vide, 15, rue do Londres, à Persan (Seine-et-Oise).
- DAPOLIN (E ssence minérale). — Voir l)eutsch-Amc.rik-Pelrolcum-Ciesellsch<ift.
- DARBILLY et C'% chaînes pour automobiles, 12, rue Vincent, Paris. Tél. 487-80.
- DARCELLE, garage, 1 4, place des Epars, à Chartres (Eure-et-Loir).
- DARD, machines-outils, 3/|, rue Pérignon, Paris. Tél. 707-G2.
- DARNAULT (Uan/mond), protecteurs antidérapants, à Noauplile-le-Châleau fSeinc-et-Oise).
- DARNIS (Eugène), mécanicien, garage et. vente d’automobiles, i(i, avenue de la République, à Mantes-sur-Seine (Seine-et-Oise). Tél. 49.
- DAROLES, pneumatiques, 07, rue Saint-Maur, Paris. Tél. 902-02.
- DARRACQ ( Alexandre), 12, rue Eugènc-Flachat, Paris. — Né à Bordeaux, le ü novembre i8ôo. M. Darracq fonda, eniSgi, la Société « Aucoc et Darracq » ; en 1898, la Société « A. Darracq et Cl0 », 33, quai de
- Suresnes, a Suresnes, dont il est actuellement le directeur.
- M. Darracq a été nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1899 et officier du meme ordre en 1903, il est. ol’li-cicr du Mérite agricole et officier de l’Ordre de la Couronne d'Italie. II est président delà Chambre syndicale du Cycle et de l’Automobile.
- M. Darracq est une des grandes leles de. notre monde industriel, tant par la façon originale de ses conceptions que par les procédés heureux qu’il cm- Ba1<cacq
- ploie pour les
- réaliser. Il dirige aujourd'hui des usines considérables qui peuvent passer pour des modèles d’organisation pratique.
- DARRACQ (,1.) et Ci0, 33, quai de Suresnes, à Suresnes (Seine). Tél. £>27-19. Adr. tél. Darracg-Su resnes. Société Anonyme par actions, au capital de 9.400000 francs, fondée en 1898 et. reconstituée en 1900.
- Les usines Darracq occupent «me superficie de plus de 20 000 mètres carrés; leur production est une des plus importantes parmi les usines de construction d’automobiles du monde.
- La maison Darracq et Ci0 a remporté de très nombreux succès en course; tous les records sont successivement devenus sa propriété.
- DARRACQ (American Automobile C"), vente d’automobiles, (i.”>2, Iludson Street ; cl 1 .47, West 38 th. slrect, à New-York (Etats-Unis.)
- DARRACQ-SERPOLLET (Construction d’Automobiles), provisoirement g et 11, rue Stendhal, Paris. Tél. 900-99 et 927-84. Adr. Tél. Leserpo-Puris. Usines transférées (en février 1907), à Suresnes, 7, rue Bcnoil-Malon, où elles couvrent un espace de 10000 mètres carrés et. produisent annuellement 1 200 châssis d'omnilms, camions et autres véhicules de poids lourds. — Société au capital de 12000000 francs. — Conseil d'administration : président: M. Smith Winby; administrateurs-directeurs : MM. A. Darracq et L. Scrpollet. Administrateurs : MM. Pierre Baudin, Clémcntel, J. W. Wcir, B. L. Ilams-worth, Sir Avery.
- DARRAS, compteurs de tours, tachymè-tres, odotachymètrcs, taximètres, magnétos d’allumage, 123, boulevard Saint-Michel, Paris. Tél. 8oG-5o. Ad. tél. Tolaliso-Paris.
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- I) E A
- DARTRE. — Partie défectueuse d'une ])ièce de fonte. Les dartres sont, causées par de petites quantités de sable qui se séparent des parois du moule et qui produisent, à la coulée, des parties rugueuses.
- DARY (Allumage), accumulateurs et bobines, 33, rue Perrier, à Levallois-Perret (Seine). Tel. ôni-yH.
- DARZENS (Rodolphe), rédacteur sportif au Journal, ioo, rue de Richelieu, Paris.
- DASH-POT. — (Mot anglais). — Le dash-pot est, un dispositif destiné à éviter le déplacement trop brusque ou les oscillations d'un organe mobile, d’un levier, par exemple. Le dash-pot est un amortisseur (voir ce mol). 11 y a des dasli-potsà air, à huile, à glycérine, etc. Les dâsh-pols à air reposent sur la résistance opposée par l'air, comprimé derrière un piston qui est relié à l'organe dont le mouvement, doit cire amorti. Les dash-pots à liquide se composent en principe d'un piston présentant. un grand nombre de perforations, ou avant un diamètre moindre que l'alésage du cylindre fermé dans lequel il se meut. Ce cylindre est rempli d'huile, de glycérine ou d un mélange liquide convenable ; lorsque I organe assemblé avec le piston se déplace, la résistance considérable olferle au passage du liquide a travers les perforations du piston, ou a travers l'espace annulaire dû à son jeu latéral, prévient les déplacements brusques ou les oscillations de l'organe amorti.
- DASTH, g; mage, route de Bordeaux, à Angoulemc (Charente).
- DAUNAY (G.), freins (i. 1)., 118, boulevard Voltaire, Paris.. Tél. ()38-G5.
- DAUPHIN (Re), (Antidérapant). — Voir Sarles, Paris.
- DAUSSIN, garage, place du Marché, à la Ferté-sous-Jouarre (Seine-et-Marue).
- DAUTREY (.1.1, pièces détachées et. engrenages, i io, rue Sainl-Maur, Paris. Tél. 1)36-2;).
- DAUVILLIEZ (Elab/issemenls), pièces lorgées et estampées, ie.j, rue Lannois prolongée, à Lcvallois (Seine). Tél. 583-8o.
- DAUXIN, mécanicien - constructeur, à Nouzon (Ardennes).
- DAVELUY (.'IA, accumulateurs cl projecteurs électriques, bougies d'allumage (A. IL A.), 3o5, route d’Albert, à Amiens (Somme). — Dépôt : 33, rue X.-D.-de-Loretlc, Paris.
- DAVID, fabrique de voiturettes, ai, rue Faraday, Paris.
- DAVID, BOUDÈNE et C'A accessoires pour automobiles, iG, rue Oberkampf, Paris.
- DAVID et C'*, tôlerie et châssis pour automobiles, ai, rue Faraday, Paris.
- DA VIE S BROTHERS, engrenages et roue supplémentaire automobile, garage, Stcpney Works, à Llanelly (Angleterre).
- DAVIGNON, garage, commerce d'automobiles, (jo, rue de Paris, à Cosne (Nièvre).
- DAVIN DE CHAMPCLOS (Gabriel), i5o, rue Lamarck, Paris (18'-). — Né à Lons-le-Saunier, le 3i mai i86ü. — Officier de l'Instruction publique. —
- Publiciste sportif, auteur dramatique. — Membre du Conseil d'administration du T.
- C. F. — Chroniqueur à la Revue mensuelle du T.
- C. F. et a la Revue de l'A. G. A. —
- Fait annuellement dans le Monde sportif la chronique humoristique du Salon de l'Automobile sous le pseudonyme de Jean Furet.
- DAVIS MANUFACTURING C", moteurs à deux cylindres opposés, y35, Thierlieth Street, à Mihvankee (Wisconsin), Etats-Unis.
- DAVY, garage, an, place Bilange, à Sau-nmr (Maine-et-Loire).
- DAYNÈS et CARPENTIER, décalcomanie industrielle. îan, rue des Boulets, Paris.
- DAYTON, dynamo-magnéto. Voir Glaenzer et C10, 35, boulevard de Strasbourg, Paris.
- DAYTON ELECTRICAL Mfg C",
- magnétos, <j8, St. Clair Street, a Dayton (Ohio), Etats-Unis.'
- DAYTON MOTOR CAR COMPANY,
- automobiles Stoddard-Dayton, à Dayton (Ohio), Etats-Unis.
- D. B. — Marque de fabrique de la maison de Dion-Boulon (bougies, huiles, pièces, etc.).
- D. D. (Carburateurs', — Voir Constructions Mécaniques (Société Parisienne de).
- DÉ de cardan. — Petit cube de bronze servant de picoo d'entraînement dans une articulation à la cardan des voitures de Dion-Boulon.
- DEAD-HEAT. — Expression anglaise signifiant épreuve nulle. Il y a dead-heal lorsque deux coureurs arrivent ensemble au but. La course doit être recommencée entre ces deux coureurs seuls, à moins que ceux-ci préfèrent, se partager le prix.
- M. Davin de ClIAMl'CI.OS
- Voitures MORS; 48, rue du Théâtre - PARlsj
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- DEASY and C", garage, veille d autoigo-biles. 10, Brompton lfoad, à Londres (Anglc-lerre). Tel. iii/| Western. Adr. tel. Deasy-London.
- DEBARD, fonderie d'aluminium, 8y, rue Oberkampf, Paris. Tel. yo
- DEBARLE (/).), modeleur-mécanicien, 8/|, boulevard de la Villelle, Paris.
- DÉBATTEMENT. 1) ans une voilure, le déboîtement est l'intervalle devant exister nécessairement entre le côté interne des pneumatiques ou des roues et le dehors de la •caisse. Le déballeinenl est obligatoire ; car, au passage d'un obstacle de la route, un mouvement de roulis pourrait, sans celte précaution observée, faire violemment heurter le pneumatique ou la roue contre la caisse.
- Le déboîtement doit être de G à 8 centimètres, suivant la llèchc des ressorts.
- DEBEAUVE {Paul) et OLMI, GG, rue •de Sèvres, Paris. Tel. 718-y.T Adr. (él. : Do-ves! ale-Paris — Société en nom collectif, fondée le in février iyo.'î. - Marque de fabrique : Vestale. ----- Appareils d’allumage électrique pour automobiles.
- DEBERGHE et LAFAYE, pièces détachées, boulons, A, rue Pelleport, Paris. Tél. 92/1-01.
- DÉBIT. — L’expression débit .s’emploie en mécanique chaque fois qu'il s’agit de mesurer la production d’une machine. O11 dira, par exemple: telle dynamo débite duo ampères, tel laminoir débile tant de kilogrammes de rails en uJ\ heures, le débit de telle conduite d’eau est de 100 litres à la seconde, etc. L'expression débit est donc d'un emploi tout, à lait général et conserve sa signification grammaticale dans chacune de scs applications. On la rencontre, le plus souvent, en hydraulique, avec le sens que nous lui avons donné plus haut. Il faut remarquer que l’expression débit renferme toujours une idée do temps : débit à lu seconde, à la minute, à l'heure, etc.
- —- Débit d'une pompe. — Le débit d'une pompe s’exprime en litres par seconde ou en mètres cubes à l'heure. 11 est; des plus xariablcs, suivant l'application considérée : pompes à incendie, pompes alimentaires des générateurs,, pompes élévatoircs, pompes de circulation des moteurs. Pour cette dernière application, spécialement sur les automobiles, 011 emploie de plus en plus la pompe centrifuge au détriment de la pompe à engrenages, qui a précisément pour inconvénient de ne pas donner un débit assez considérable. Cependant, le débit des centrifuges varie dans des proportions considérables avec la vitesse cl peut tomber à une valeur insignifiante aux allures réduites du moteur. On parc à cet inconvénient en diminuant la contre-pression du circuit liquide par l’adoption de gros tuyaux et la réduction des
- coudes. J1 est vrai qu'aux allures réduites du moteur, la tendance à réchauffement est beaucoup moindre qu'à pleine puissance, où la pompe centrifuge reprend tous scs avantages (voir Pompe). Le débit étant éminemment variable avec la puissance du moteur et le mode de refroidissement, on ne saurait fixer, même d’une manière approximative, le débit le plus convenable. Il y a d’ailleurs intérêt à l’augmenter sans que cet intérêt soit cependant bien considérable (il y a plus d’intérêt à accroître la vitesse de l’air à travers le radiateur que celle de l’eau dans les tulies). Pour fixer les idées, nous pouvons dire qu'il 11e convient pas de descendre au-dessous de ao litres par minute pour un moteur de ao chevaux. Cette proportion est à augmenter notablement pour les puissances inférieures et peut être légèrement diminuée pour les puissances supérieures.
- — Débit (électricité). — Expression souvent. employée pour désigner l’intensité du courant produit, par une machine ou traversant un circuit (voir Intensité d’un courant). On mesure le débit au moyen d’un ampèremètre placé dans le circuit.
- — Débit d’huile. — Le débit d'huile nécessaire au graissage des cylindres des paliers et de tous les organes en travail continu d'une automobile 11e saurait être assuré avec une trop grande attention. A cet égard, les appareils basés sur la seule action de la pesanteur (compte-gouttes, etc.) ne sauraient donner toute garantie. Ils peuvent, en effet, être immobilisés par une chose en apparence insignifiante : baisse de température produisant l'épaississement de l'huile dans les tuyaux, etc. Il convient donc de n'adopter que des appareils où l'huile est, forcée sous pression vers les points à graisser. Dans les uns. la pression est donnée à l'huile par les gaz d'échappement (Dubrullc), et dans les autres au moyen de petites pompes. Tous se mettent en marche et s'arrêtent avec le moteur, ce qui rend impossible tout grippage. O11 doit, croyons-nous, préférer les appareils à pompe aux appareils fonctionnant par l’échappement, car il arrive souvent, avec le réglage par étranglement de l'admission, que la pression d’échappement soit inférieure à la pression atmosphérique, auquel cas le fonctionnement du graisseur est plus que problématique. La ligure montre en élévation cl en coupe un graisseur mécanique Hamelle à quatre débits réglables. L'huile est contenue dans une boîte rectangulaire, à l'intérieur de laquelle sont les pompes. Le fonctionnement de cet appareil est dos plus simples. L’arbre A commande par la roue G l’arbre excentré D, qui à son tour commande un certain nombre do leviers If, dont le mouvement alternatif est transmis par les butées .1, suivant leur position, aux tètes des pistons Iv. Pendant la course descendante, les butées J poussent les pistons K, qui à leur tour refou-
- Automobiles RENAULT FRÈRES Igÿn
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- ta 5 5 —
- lent l'huile à travers chaque boite à clapet. Pendant la course ascendante, les pistons K, poussés par leurs ressorts, reviennent à la limite de leur course, dans la position représentée par la coupe a b, livrant passage à l’huile, qui emplit à nouveau les corps de pompe. Le vissage à Tond de la vis J à tête crénelée correspond au débit maximum, et le dévissage complet au débit minimum.
- Parmi les appareils de graissage les plus
- 1er le moteur lorsqu'on veut supprimer son action sur la voiture. 11 est également nécessité par les différentes manœuvres de changement de multiplication et de marche pendant lesquelles le moteur ne saurait agir sans produire des ruptures d’engrenages. Le débrayage, et par suite l'embrayage, ne sont pas nécessaires lorsque le moteur peut démarrer automatiquement dans un sens ou dans l'autre et sous charge comme c'est le
- Elévation
- Coupe a b
- connus et les plus estimés en automobile, citons ceux de Dubrullc et ceux de llenry.
- DEBLAI. — Une route est. dite en déblai, lorsque sa chaussée G est inférieure aux ter-
- rains qui l'environnent et dans lesquels elle a été creusée, déblayée.
- DEBOFFE, outils à estamper et à découper, 9, rue Tesson, Paris.
- DEBOIS et C16, machines-outils, 3G, boulevard Magenta, Paris.
- . DÉBRAYAGE. — Le débrayage consiste dans la suppression de toute liaison entre le moteur et le mécanisme de transmission de la puissance aux roues. Le débrayage est assuré par le mécanisme d’embrayage (voir cône d’embrayage) sur lequel on agit au moyen d’une pédale. Le débrayage est nécessite par l’obligation de ne pas arre-
- cas des moteurs à vapeur et électriques. À cet égard, ces derniers présentent une incontestable supériorité sur le moteur à explosions. — Voir Départ automatique.
- DEBUIRRE et HIRSCHEL, garage, 3i2, boulevard Lafayettc, à Calais (Pas-de-Calais).
- DEÇA. — Préhxe indiquant que l’unité de mesure auquel il est joint est mutipliée par dix. « Un décamètre vaut iü mètres. »
- DECAGONE
- dix angles. —
- Le côté du décagone régulier est la plus grande partie (lu rayon r divisé en moyenne et extrême raisons.
- DÉCALCOMANIE.
- — Image, de plusieurs couleurs le plus souvent, imprimée sur un papier spécialement
- igure géométrique à
- préparé permettant le
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- 1) É C
- D É C
- -- a5G —
- transport de ce dessin (marque de l'abri(|ue, par exemple) sur le corps qu’il est destiné à orner.
- Avant de recevoir l'impression, le papier est enduit d’un composé d'alun, d'albumine et de gomme,
- Pour appliquer une décalcomanie, il su ('fit d'appuyer le côté préparé sur l'objet à décorer et d'humecter d'eau le papier sur le côté opposé. Au bout de quelques minutes, on tire doucement pour que le papier se détache et que l'image reste fixée sur l'objet.
- Pour la protéger à l'usage contre l'humidité, on passe sur l'image une légère couche de vernis blanc au copal.
- DÉCALCOMANIES INDUSTRIELLES (Manufacture de), 66, avenue de la République, Paris. Adr. tél. Décalcomanies-Paris.
- DÉCAPER. — Opération ayant, pour but, de nettoyer la surface des métaux de façon fi les débarrasser des impuretés (oxydes, sulfures, carbonates) qui les souillent. L’opération du décapage est réalisée au moyen de produits chimiques susceptibles de dissoudre ces impuretés. On se sert, à cet, cllet d'acides ou de réactifs plus ou moins étendus d'eau et dont la nature varie selon le métal à décaper.
- DECAUVILLE Ainé {Société Nouvelle des Etablissements), i3, boulevard Malesherbes, Paris. Tél. iii)-3o. — Usines à Oorbeil (Seine-et-Oise). Tél. i3. Adr. tel. Decauville-Corbeil. Société Anonyme au capital de 3 52,5 ooo francs, fondée en i8.V|.
- •— Président du Conseil d'administration : M. S. de Ncul'villc. - Directeur : M. A. Gossé. — Voitures et omnibus automobiles.
- DECAUVILLE {Emile), fabrique de machines-outils et de pompes 2jS, rue* Recourbe, Paris. Tél. 731-66.
- DECAUVILLE AUTOMOBILE C’,
- vente d'automobiles, Broadway et 50 th. Street, à New-York (Etats-Unis).
- DECAUVILLE CARS, vente d'automobiles, 311, Oxford Street, à Londres (Angleterre).
- DÉCÈS, garage, !\, rue du Donjon, à Eperriay (Marne).
- DÉCHAMPS {Ancienne Société Anonyme des Moteurs et Automobiles). — Voir Construction Mécanique, et d’Automobiles (Société Anonyme de), à Bruxelles.
- DÉCHARGE. D une façon générale, on appelle décharge le transport d'électricité d'un conducteur, chargé à un certain potentiel, vers un conducteur chargé à un potentiel moindre.
- DÉCI (Symbole : d). — Préfixe indiquant. que l'imité de mesure auquel il est joint est divisée par dix. « Un décilitre est la dixième partie du litre. »
- DECK, garage, 3o, rue de l’Ecu, à Reims (Marne).
- DECKERT {II.) et C‘°, constructeurs de moteurs, 20, rue Bacon; bureaux : 63, rue Bayen, Paris. Tél. 552-49.
- DÉCLANCHEMENT. — Une pièce mécanique se déclanche lorsqu'elle se sépare ou s'éloigne brusquement et automatiquement d une autre pièce à laquelle elle était liée.
- Ce dispositif est, employé dans le graisseur à déclic de Dubrulle. Un volant met eu mouvement une pompe qui aspire lentement une charge d'huile; puis, tout à coup, au déclanchement d'm\ ressort, la refoule brusquement dans la canalisation allant au moteur.
- DÉCLARATIONS. — Quiconque devient propriétaire d’une automobile est tenu de faire diverses déclarations, les unes dites de police, les autres d'ordre fiscal :
- iu Déclarations de police. — Elles sont prescrites par les articles suivants du décret du 10 mars 1899 :
- « Art. 8. — Tout propriétaire d’une auto-ci mobile devra, avant de la mettre en circu-« lation sur les voies publiques, adresser an « Préfet, du département où il réside une ce déclaration dont il lui sera remis récépissé. « Celte déclaration sera communiquée sans « délai au Service des Mines.
- « Art. 9. — La déclaration fera connaître (( le nom et le domicile du propriétaire.
- ce Elle sera accompagnée d’une copie du « procès-verbal dresse en vertu de l’article 7 « (procès-verbal de réception du type).
- « Art. 10. — La déclaration faite dans un « département suffira pour toute la France ».
- Pour le département do la Seine, c’est au Préfet de police que doit être faite la déclaration prescrite par l’art. 8 (Préfecture de police, bureau de l'inspection divisionnaire de la circulation et des transports).
- Des circulaires ministérielles des 10 avril 1899 et 11 septembre 1901 ont d’ailleurs établi comme suit les conditions dans lesquelles doivent être formées et reçues les déclarations :
- La déclaration doit être faite sur feuille de papier timbré à o fr. 60 centimes ; elle doit indiquer :
- i° Les nom, prénoms et domicile du propriétaire ;
- 20 Le nom du constructeur et son domicile, l’indication du type et le numéro d'ordre dans la série du type.
- Il faut, y joindre une copie du procès-verbal de réception du type par le Service des Mines et un certificat du constructeur, spécifiant, sous sa responsabilité, le maximum de vitesse du véhicule, à l’heure, en palier.
- 11 est envoyé au déclarant un récépissé de sa déclaration (carte grise) avec l’indication du numéro d'immatriculation affecté à l’automobile si elle petit, dépasser la vitesse de 3o kilomètres à l'heure, ou, dans le cas contraire, avec la mention « néant ».
- Les plaques indiquent le numéro d’imma-
- MACHINES A DÉCAPER AU JET DE SABLE h&gpueare^d
- PARIS — 1, Avenue de la République — PARIS
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- i) u <;
- I) Vj c
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- triculation et la plaque d'identité portant les noms et domicile dn propriétaire et du constructeur ; le type et le numéro série doivent être immédiatement apposés sur la voiture.
- Ar. B. — Ne pas confondre cette déclaration de mise en circulation avec la déclaration à faire à la mairie dont nous parlons ci-dessous.
- 2° Déclaration fiscale. — Quiconque devient propriétaire d'une automobile ou de tout autre véhicule à moteur mécanique, doit en laire la déclaration dans les trente jours qui suivent son acquisition, soit à la mairie de la commune de sa résidence, soit à la mairie de la commune où son automobile \ séjourne habituellement.
- Le propiétaire qui manquerait à cette prescription s’exposerait à payer double taxe.
- La déclaration doit indiquer la nature do la voiture ou du véhicule, le nombre de places, la iorce en chevaux du moteur, car ces diflérents éléments doivent servir de base à l'impôt (ni vue duquel est faite la déclaration. — Voir Impôts.
- Une fois la déclaration faite, le propriétaire n’a plus à la renouveler tant qu’il n'apporte à son véhicule aucune modification ; ainsi en a jugé le Conseil d'Etat dans un arrêt du 2j octobre 1900.
- Mais le propriétaire doit faire une nouvelle déclaration dès qu'il change sa résidence ou qu’il modifie sa voiture. S'il aggrave son état imposable, par exemple en substituant une voiture plus forte *à une moins forte, il doit le déclarer dans les trente jours. S’agit-il au contraire d’une suppression de voiture ou d’une diminution, ou d'un changement de résidence amenant diminution de laxe, il lera bien do le déclarer avant le i5 janvier au plus tard, sous peine de se voir encore imposé l’année suivante comme il l’a été l’année précédente.
- DECLERCQ, CORDONNIER et Clû, garage, vente d’automobiles, 1 bis, rue de la Chambre-dcs-Comptes, à Lille (Nord). Tél. 860. Adr. tél. Dcclercq-Cordonnier-Lille.
- DÉCOLLER. — Quelquefois, les segments d’un moteur se collent dans leur logement et perdent ainsi leur élasticité si utile pour la bonne compression du moteur. On les décolle en versant dans le cylindre quelques gouttes de pétrole par le robinet de décompression.
- DÉCOLLETAGE. — Le décolletage est une opération qui a pour but de tourner
- et de débiter
- £ ^ de petites piè-
- ces mécaniques dans une barre de métal de profil couve -Bahiiu d’aciek a six pans nable.
- C’est ainsi
- que les vis, les boulons, les écrous sont fabriqués au tour. Par exemple, les bou-
- lons sont débités dans une barre étirée à six pans et livrée telle par l'élireur. 11 suffit donc aux ouvriers de réserver la tète du boulon, de fileter l'extrémité inférieure, et de pratiquer la saignée, pour détacher de la barre un boulon prêt à être envoyé à la trempe et au nickelage. De même il suffit de trouer d’abord en T la barre à six pans B d'une quantité suffisante, de faire le pas au moyen d'un taraud spécial, puis de pratiquer une saignée pour détacher de la barre un écrou E fabriqué dans toutes les règles.
- — Bi-ssk, 3g, rue de Lappe, Paris.
- — Binet et Cio, décolletage de précision, 0, rue de Jarente, Paris.
- — Fuhan (Ateliers du), !\, rue Barrouin, à Saint-Etienne (Loire).
- DÉCOLLETAGE ET DE CONSTRUCTIONS MECANIQUES [Société industrielle de), pièces détachées pour automobiles, à St-FJorent (Cher).
- DÉCOMPRESSEUR. — Robinet vissé sur la culasse d'un moteur et servant, par son ouverture, à diminuer la compression en vue de faciliter la mise en marche. Les décompresseurs sont, la plupart du temps munis d'un petit godet, qui sert à introduire dans les cylindres quelques gouttes de pétrole pour le <légommage des segments. Ce sont par conséquent des accessoires utiles même sur les moteurs pourvus d’un dispositif de décompression par les soupapes. — Ou appelle aussi quelquefois de ce nom une tige, mue à la main, lors de la mise en marche, qui soulève les soupapes d’échappement au moment, de la compression. — Voir Décom-pression.
- DÉCOMPRESSION. — La décompression est destinée à faciliter la mise en marche des moteurs à explosions, notamment pour les fortes puissances. On obtient une décompression partielle en soulevant les soupapes d'échappement, au début du deuxième temps. De la sorte, on refoule au silencieux une fraction plus ou moins importante de la cylindrée, ce qui diminue le taux de la compression et permet de franchir aisément le point mort. On obtient généralement ce résultat par le moyen de petites cames supplémentaires qui s'effacent une fois la mise en route opérée. 11 suffit pour cela de déplacer l’arbre de distribution d’une faible quantité dans le sens de la longueur.
- DECORDE, garage, 07, rue de la Barrière, à Elbeuf (Seine-Inférieure).
- DECOUAN, découpage, emboutissage, travaux mécaniques à façon, G, rue Vaucou-leurs, Paris.
- DECOUDUN, phares, 101, rue du Fau-bourg-Sainl-Denis, Paris.
- DÉCOUPAGE. — Certaines pièces dans une machine ne sont obtenues ni au tour, ni
- [asmomilROCHET-SCHNEIDERjJ^
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- à la fonte, mais sont découpées à l’emporte-pièce : les rondelles, les flasques des rîiail-lons de chaîne, etc.
- Le découpage se fait dans des plaques de tôle d'acier brutes ou laminées, au moyen de l'instrument bien connu sous le nom de balancier. La matrice et sa contre-partie, celle-ci adhérente à l’extrémité inférieure de la vis du balancier, sont fabriquées en acier de qualité supérieure trempé très sec.
- Toutes les pièces n’ont pas, en sortant du balancier, exactement leur forme définitive.
- Il est nécessaire qu’on les emboutisse pour leur donner le relief voulu.
- — linos, spécialité de découpage, 21, rue de Champagne, à Saint-Etienne (Loire).
- DECOURT, garage, 07, avenue de Saint-Cloud, à Versailles (Seine-et-Oise).
- DECOUT-LACOUR (E.) , canots automobiles, à La Rochelle (Charente-Inférieure).
- DÉCRETS. — Outre les lois et ordonnances sur la police du roulage en général, des décrets réglementent spécialement la circulation des automobiles en France; ce sont les décrets du 10 mars 1899 et 10 septembre 1901.
- DECUREY, garage, 29, rue Corneille, à Compiègne (Oise).
- DÉDOUBLEMENT tRoue de). —
- Nom souvent donné à l’engrenage de distribution elaveté sur l’arbre à cames des moteurs à quatre temps.
- Cet engrenage est en effet deux fois plus grand que le pignon elaveté sur l’arbre du moteur, puisque la vitesse angulaire de l’arbre de distribution doit être moitié moindre que celle du moteur. D’où le nom de roue de dédoublement.
- DEDOURS, garage, 4, place Nazareth, à Vannes (Morbihan).
- DEERE-CLARK MOTOR CAR C°,
- automobiles, à Moline (Illinois), Etats-Unis.
- DEFERT (II.), docteur eu droit, 4i, rue Madame, Paris. Membre du Comité du Contentieux du T. C. F.
- DÉFORMATION DES MATÉRIAUX. — 1 >es matériaux employés dans la construction en général, dans la construction mécanique en particulier, sont caractérisés à la fois par leur résistance et par leur élasticité. L’élasticité des matériaux est précisément la propriété qu’ils présentent de se déformer d’une façon passagère sous l'influence des des efforts qu’ils supportent. Et plus la déformation est grande pour un effort donné, plus l’élasticité est grande. Quand on accroît par trop l’clfort, on dépasse la limite d’élasticité de la matière considérée, et celle-ci 11e revient plus à sa forme primitive après suppression de l’effort : il y a déformation permanente. On doit toujours calculer les organes de machines pour les faire travailler bien au-
- dessous de leur limite d’élasticité, afin d’éviter précisément leur déformation permanente.
- DEFOY (Joseph), carrosserie automobile, 9, rue N.-D. de Hall, à Ciney (Belgique).
- DÉGAGEUX Frères, garage, 12, rue Michelet, à Troyes (Aube).
- DÉGAUCHIR. — Mot employé en mécanique pour indiquer l’action de redresser quelque chose qui n’était [tas droit, qui était tordu, qui était gauche ; synonyme de redresser.
- DÉGAUCHISSEUSE. — Machine à dégauchir. Machine à raboter le bois montée spécialement, pour permettre de dresser la face d’un morceau de bois parallèlement à une autre face.
- DEGEORGE (Louis-Maurice), 12, boulevard Péreirc, Paris. Tél. 555-88. — Né à Paris, le 15 lévrier 1869. — Officier d'Acadé-mie. Ingénieur des Arts et Manufactures. Directeur général de la Société des Automobiles lladia.
- DÉGONFLEMENT. — Voir Avertisseur.
- DEGRAIS (Henri', i5, rue Marbeau, Paris. Tél. 566-o8. — Né à Paris, le 29 novembre 1872. Associé de la maison Rock Rrault et Degrais. Gagnant de la course Paris-Roubaix; recordman du mille à Nice i gagnant de la Coupe H. de Rothschild.
- DËGRAS- — Le dégras, ou graisse des tanneurs, sert à assouplir et imperméabiliser les cuirs, courroies de transmission, bottines, etc.
- Le dégras est une graisse à l'état d’émulsion (jui est un sous-produit des chamoise-ries.
- DEGRÉ. — En géométrie, le degré est l’unité employée pour la mesure des angles. On admet, que la circonférence se divise en 3Go parties égales appelées degrés; chaque degré en Go minutes et chaque minute en Go secondes. Une circonférence est donc divisée en 3Go degrés, ou en 21 Goo minutes, ou en i 296 000 secondes.
- Le degré s’indique par le signe 0 placé en exposant, à la droite du chiffre indiquant la mesure ; la minute par une petite virgule, et la seconde par deux petites virgules, placées de même. Ainsi 39° 4G’ 7" signifient 39 degrés, 46 minutes et 7 secondes.
- O11 mesure un angle, ou on compare deux angles entre eux, au moyen du rapporteur. Voir ce mot.
- Le système décimal tend logiquement, mais très lentement, à faire disparaître cette division arbitraire en 36o degrés qui serait remplacée par une division en 4(>o grades et leurs sous-multiples, dixièmes, centièmes, millièmes de grade.
- Un angle droit (angle formé par deux lignes droites perpendiculaires) vaut 90 degrés ou 100 grades.
- Pour
- CHAUFFEURS
- “Blouses torrilhon
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- DEGRE, mécanicien, suspension pour motocyclettes, 3, boulevard Bineau, à Leval-lois-Perrel (Seine).
- DEGRÉMONT (B.), machines-outils, 1, rue du Dragon, à Marseille (Bouches-du-Rhône).
- DEGRÉMONT (Emile), graisse consistante, Le Cateau (Nord); et ai, rue Godot-dc-Mauroy, Paris.
- DEGRÉMONT-LÉONARD (Fils aîné), fabrique de graisseurs et garage, Le Cateau (Nord); et 4, rue .lean-Mace, Paris.
- DEGUINGAND (Albert), 90, avenue des Ternes, Paris. — Né à Chatou, le i4 mai 1872. Administrateur délégué de la S. ciété des anciens ateliers Vinot et Deguin-gand.
- DEHILLOTTE - RAMONDIN, vente d'automobiles, 18, rue du Rat, à Blayc (Gironde).
- DEISS, caoutchouc régénéré, i5, rue Vol‘.a, Paris. Tel. 128-93.
- DEITZ (E.), caoutchouc manufacturé, antidérapant « Kosmos », 56 , rue d’Aboukir, Paris. Tel. 156-48.
- DÉJEUNER AUTO. — Titre déposé de déjeuners renfermés dans de très élégantes malles de Louis Vuitton, absolument pratiques pour les pique-niques et le « camping ».
- — Vuitton, i, rue Scribe, Paris.
- DEKEN (De) et Ci0, vente d’automobiles de Dion-Bouton, à Solia (Bulgarie).
- DELACOUTURE, carrosserie automobile, 6, rue Daru, Paris.
- DELACROIX (Docteur), directeur du Moniteur Médical ; sportsman ; 6, rue Saint-Florentin’, Paris.
- DELACROIX, garage, commerce d’automobiles, 3o, place du Change, à Compiègnc (Oise).
- DELAFON, piles.—Voir Oléo (Société l').
- DELAGARDE, fabrique d’aérostats, 4> rue du Trésor, Paris.
- DELAGE, garage et commerce d’automobiles, 2, rue Villaret-de-Joyeuse, Paris.
- DELAGE (Louis), né à Cognac, le 22 mars 18^4 — Ingénieur des Arts et Métiers (Angers 189.3). Après divers stages dans des bureaux d’études ou des ateliers, devint chef du Service des Etudes et Essais de la Société des Automobiles Peugeot, y resta trois années et la quitta pour construire des petites voitures automobiles.
- DELAGE et Ci0, 102,rue Baudin, et 98, rue des Frères-Ilerbert, à Levallois-Perret (Seine). Tel. 158. — Société en commandite simple, créée en janvier 1906. — Directeur: L. Delàgc ; directeur technique : A. Legros.
- - Construction de voitures légères et de voi-tureltes automobiles.
- DELAGNEAU (Frédéric), y3, rue du Bac, Paris. Tel. 104-90. — Né à Mamers, le 16 juin 1872. — Directeur d'Armée et Marine, directeur d'Armes et Sports. — Ancien directeur de la Revue Hebdomadaire.
- DEL AGNEAUX, mécanicien, 20, rue Manin, Paris.
- DELAHAYE and CJ, Ld, fabrique d'automobiles, 10, rue du Banquier, Paris Tel. 8o3-i5 et 810-67. Adr. tel. Moranain-Paris. Siège social: 18, St-IIelen's place, à Londres E. C. (Angleterre). Société Anonyme fondée en 1906, au capital de £ i65 000. — Membres du conseil d'administration : MM. A. A. Campbell Swinton, président ; the honorable Reginald Parker, administrateur; E.II.R. Trenow / Léon Desmarais, administrateur délégué ; Georges Morane, administrateur délé-gue.
- DELAHAYE, fabrique de brûleurs à pétrole et à huiles lourdes pour éclairage et chauffage, 3y, rue Labat, Paris.
- DELAHAYE, fabrique de ressorts, 202, rue du Chevalerct, à Vitry (Seine).
- DELALANDE, carrosserie automobile, 33, rue Louis-Blanc, à Courbevoie (Seine).
- DELALOE, machines-outils, machines è. river, 11, avenue du Maine, Paris.
- DELAMARCHE, garage, place de L> Gare, à Clermont (Oise).
- DELAMARE - DEBOUTTEVILLE.
- — Inventeur rouennais ayant construit, on 1883, une voiture qui était actionnée par du gaz sous pression et qui parait etre, en date, le premier appareil rapide de ce genre ayani effectué réellement un parcours sur route.
- Delamarrc-Deboutteville fut aussi l’auteur de grands perfectionnements à la question des gazogènes et moteurs de grande puissance.
- Le brevet français fut délivré à cet inventeur en lévrier 1884.
- DELANNOY, vente d'automobiles, 3», rue de Londres, Paris.
- DELANNOY, garage, 1, boulevard de Strasbourg, à Nogent-sur-Marne (Seine).
- DELANSORNE, garage, 96, rue Nationale, a Lille (Nord;.
- DELANSORNE, garage, 97, rue Saini-Aubert, à Arras (Pas-de-Calais,.
- DELAPIERRE (II.), appareils dire triques pour l'allumage des moteurs, 3, av»+ nue des Moulineaux, à Billancourt (Seule. Tel. 692-38. Adr. tel. Delapierre-Rillancouid-Seine.
- DELAROCHE, garage, 72 , avenu* Thiers, Le Mans (Sartlie;.
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- DELASALLE (André), 11S, rue David-Johnslon, à Rordeaux (Gironde). — NV à Caen, en i8-(>. Ollieier d’Académie. Ingénieur
- E. C. P. Di-rceleur de l’Agence du Sud-( ) 11 c s t, de la Com-pngnie Française pour l’ex-|iloilaliim d c s procèdes Thnm-son-Ilouslon cl de la Société des A! clins Thomson-! lousfon.
- Ancien élève diplômé de l'Ecole de physique et chimie. Ex-rédac.li'ur à la Locomotion Automobile, à la M. Andhi': Delasali.e 17e Automobi-
- le. Collaborateur i\Y Annual llaudri/ de Saunier el à Omnia. revue praliipie de locomotion.
- DELASALLE (IL), compteurs kilométriques pour automobiles, 170, avenue Victor-Hugo, Paris, Tel.
- DELASSUE (Soe/(7é Française des Mo-feurs), moteurs à gaz el gazogènes, f\:i, rue de Trévise, Paris. Tel. :i33-(ii.
- DELAUGÈRE, CLAYETTE et Ci0, (Etablissement-,s), construction d'automobiles et. carrosserie. Siège social : i(i, faubourg Madeleine, à Orléans (Loiret). Tel. i3i. Dépôt : /|2, rue Jean-Ooujon, Paris. Tel. (i“p-a~.
- DELAUNAY (./.), meules el papiers
- d'émeri, îfi, passage Léchevin, Paris. Tel. ()o3-ali.
- DELAUNAY BELLEVILLE(Lo?/7,sï,
- i-, boulevard Richard-Wallace, à Xcuilly-Sainl-Jamcs. Né à Corbeil, le ao novembre i8/|3. Ecole Polylechni([ue (i8(ia-i8(i/|) ; école du dénie maritime (18G/|-i8dy). Associé, puis chef de la maison ISelleville, de i8(>^ à ce jour.
- Entre temps, élu à la Chambre de Commerce (le Paris en ianvicr 1800: en devint, le président en janvier i8<)3: (du (dmj fois à ce poste, reçoit de la ( ihambre de commerce, à la lin de son mandat, le litre de président. honoraire,
- (pie la Chambre de commerce de Paris a conféré celle seule fois à l’un de ses anciens présidents.
- 1 )i réel eur général de l'Exploitation de l'Exposition de tqoo. Censeur à M Rei.acnav Hei.i.eville la Rauque de
- France. Administrateur de la Compagnie du chemin de fer d'Orléans.
- Chevalier de la Légion d'honneur, Exposition universelle de Paris 18-8. Ollieier de la Légion d'honneur, Exposition universelle de Rarcelone 1888. Commandeur, comme président. de la Chambre de commerce de Paris, en iS()ô. Grand-ol'licier, comme directeur
- Limousine Kellner et scs Fils, sun châssis Dclaunay Ucllcville 1907.
- AUTOMOBILES DELAUNAY BELLEVILLE
- SAitVT. m:\is. sun - seine
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- général di' lExploilalioii (le l'Exposition,
- (‘Il IljOO.
- Membre do la Commission oonlralo dos machines à vapeur depuis vingt, ans. Membre du Conseil de iierl'eclionnemenl et du Conseil (l'Administration du Conservatoire des Arts et Métiers depuis dix ans.
- M. Delaunay Belleville est, une des liantes personnalités du monde de l'industrie, du inonde de la métallurgie et du monde de l'automobile.
- DELAUNAY BELLE VILLE
- (Pierre), lils du précédent, administrateur de la Société Anonyme des Automobiles Delaunay Belleville, à Saint-Denis (Seine).
- DELAUNAY BELLE VILLE ( Bo-
- bert), frère du précédent, iy, boulevard Ri-cliard-Wallace, à Ncuilly-Sainl-.lames. Administrateur délégué do la Société Anonyme des Automobiles Delaunay Belleville.
- DELAUNAY BELLEVILLE (Société Anonyme des Automobiles), à Saint-Denis-sur-Seine (Seine). Tel. 433-48. Adr. tel. lielvilauto-Saint-Denis-sur-Seine. Succursale à Nice : promenade des Anglais. Société Anonyme, au capital de j 5oo ooo francs. — Président du Conseil (l'Administration : M. Louis Delaunay Belleville. — Administrateur délégué : M. Robert Delaunay Belleville.
- — Marseille ( RoucIies-du-Rliomq : Juuciie-véque, ni), allée des Capucines.
- — Montpellier (Hérault): Paulquier, ôfi, avenue de Toulouse.
- — - Bnubai.r (Nord) : Van den Hernie, 4U, 4ô cl !\~, boulevard Cambella.
- ÉTRANGER
- — Londres (Angleterre) : The Burlingl'ur Carriage C°, 315 et 317, Oxford Street.
- — Madrid (Lspagne) : Bugama, iü, carrera San (leronimo.
- — Sainl-Pélersboury (Russie') : Tl 1. Tan: ky et Ci0, maison de commerce “l’obcda".
- — Xeir-York (Ktats-Lnis) : Neubauer et l’annan, üoo, 1 ifl 11. avenue, Bristol-Building.
- DELAURIER \Piles). — Voir Clureuc Fils, Paris.
- DELBOY, garage, f>4, boulevard Lazare-Carnot., à Toulouse (Ilaute-Ganmnr).
- DELCOURT, mécanieien-eonsl rue tour, à Faumont. par Bâches (Nord).
- DÉLÉGUÉS du T. C. F. Comme leur nom l'indique, ils sont délégués par le rl.C.l<. pour donner, à titre gracieux, aux touristes faisant partie de l'Association, toutes les indications qui leur sont nécessaires, tant au point de vue des routes qu'au point de vue
- C.\ HACTKIUSTIOUKS DK S CHASSIS DHL A l ' N A V • BELL K VI LM., l’Ol’Il l '
- FORCE EN CHEVAUX 20 20 28 40
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- Empattement 3, oâà 2, <)(m 3 ,o(h> 3,2 T)o
- Voie avant 1,38o 1 .38o ,420 I , /jSO
- Voie arrière 1 ,4ao 1.43o 1, -t 5 0 I ,/}f)0
- Roues ! , \ l A U 8i5X !o5 8aoX12o AV et AR 880X12.. 8S0X > 20 920X *20
- Largeur du châssis à l’avant
- 0,7-0 0.770 0.77° 0,770
- Largeur ilu châssis à Par-
- ri ère 0.900 O , (JOO 0,900 O ,900
- Longueur disponible de la
- face avant du siètje à l'extrémité arriéré du. ch «assis a, 245 1 ,1)95 2 , ! ()0 2,110
- Entrée de carrosserie cou-
- raille I , 280 I , ooo I ,000 I,l8o
- Agents excl 11 si fs
- de la Société Delaunay Belleville
- FRANCE
- — Succursale de Nice : promenade des Anglais, 4, rue Meyerbeer.
- — Alençon (Orne): A. de Massol, i~, rue de Bretagne.
- — Beaulieu (Alpes-Maritimes) : P. Meunier et Cl0, Auto-Garage.
- — Cannes (Alpes-Maritimes): J. Marin, Grand Garage Moderne.
- des hôtels, mécaniciens, etc., et. chargés de leur indiquer les endroits intéressants à visiter de la région qu’ils représentent, d'organiser des promenades à pied, à bicyclette, etc., et de recruter les adhésions au Touring-Club.
- Nommés par le Conseil d'administration, sur la proposition du président,, ils sont choisis dans toute la France et à l'étranger parmi les agents voyers, conducteurs des ponts et chaussées, inspecteurs des douanes, etc.
- DELEPINOIS. mécanicien-constructeur, i5. rue Saint-Foy, à Béthune (Pas-de-Calais.)
- UTOMOBILES DELAUNAY BELLEVILLE
- SAINT MUNIS SUR - SI-INK
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- DELESSERT, vente d'automobiles: garage, io et 12, rue Saint-Pierre, à Dijon (Côte-d'Or). Tel. Goi-
- DELETTREZ (Maiso?i), bougies d'allumage, o, rue des Rondomieaux, Paris.
- DELIEUVIN, groupes électrogènos, boulevard Pereire, Paris. Tel. 081-10.
- DELINOTTE et C ie, machines-outils, marteaux-pilons, 8, rue des Ardennes, Paris.
- DELION et LEPEU, mécaniciens-constructeurs, 9, rue Marceau, au Pré-Sainl-(iervais (Seine). Tel. /ii/j-92.
- DÉLITS. — Ce sont des infractions aux lois présentant une certaine gravité, puisqu'elles sont punies de peines correclion-aelies. Exemple : les blessures ou homicides par imprudence.
- DELIZY, vente d'automobiles, 235, rue du Faubourg-Sai 111,-1 lonoré, Paris.
- DELLHEIM (J.) et Ci0, pièces détachées, moyeu a New Deparlure », 44» ruc du Chàteau-d'Eau, Paris. Tél. 435-GG.
- DELLO (lûmes/) und C°, garage, vente d'automobiles, 12, Dammthorslrasse, à Hambourg (Allemagne).
- DELOCHE (G.), moteurs « Ixion » à deux flerrops, sans soupapes, 10, quai Michelet, à Luvallois-Pcrret (Seine). Adr. tel. Moteurs-Irion.
- DELON Frères, garage, place du Champ-de-Mars, à Annonay (-Ardèche)-
- DELORME, carrosserie automobile, rue d’Arcole, à Saint-Etienne (Loire).
- DELOUVE, garage, i3, boulevard Dcn-fert-Rochoreau, à Cognac (Charente).
- DELREZ, ind icatcurs de vitesse, 28, rue de Grammont, Paris.
- DELRIEU Fils, mécanicien - constructeur, vente de cycles, à Touzac (Lot).
- DELYS (L.) , garage, commerce d'automobiles, 28, rue Chevreul, à Choisy-le-Roi (Seine).
- DEMANGE, agent, de publicité, G. rue de Cérisolcs^ Paris.
- DEMANGEL Fils Ainé (A nciens Etablissements) ^ pièces estampées. — Voir Estampage (Manufacture Ardennaise d').
- DEMANGEL Frères, pièces estampées ppur automobiles, à Charleville (Ardennes;.
- DEMARIA Frères, appareils photographiques, 2, rue Alexandre-Parodi, Paris; et ai, rue des Pyramides, Paris.
- DEMARIGNY, cheminées d'usines monumentales, 62, boulevard de la Gare, Paris. Tel. 800-20.
- DÉMARRAGE. — Mise en mouvement d’un véhicule arrêté.
- La résistance au démarrage est, dans une
- bonne voiture placée en palier, très faible si les roues reposent sur un sol dur et uni, si elles ne sont pas le moins du monde enfoncées en lui, et si la graisse des roulements (paliers, chaînes, etc.) ne s'est pas durcie.
- On estime cette résistance égale au cinquième du poids en kilogrammes que représente la résistance à la traction. Si l’eilbrt de résistance doit être de 3o kilogrammes par exemple, l'eil'ort pour vaincre la résistance au démarrage sera de G kilogrammes qui s'y ajoutent..
- L'clïbrt augmente évidemment avec la vitesse du démarrage, autrement dit avec la grandeur de l'accélération qu’on veut donner à la voiture, si bien que celte vitesse est limitée, on le comprend, par la puissance du moteur, relativement, au poids total. Pour tin mot eur faible, il faudra donc une grande démultiplication, c’est-à-dire un lent démarrage.
- DEMASY, constructeur-mécanicien, vente d’automobiles et cycles, 18, rue Kaidherbe, à Liévin (Pas-de-Calais). Adr. tél. Demacycle-lÀévin.
- DEMBIERMONT-GEHU, pièces forgées et estampées, à liant mont (Nord); et 3G, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél, 534-G3.
- DEMEESTER (Léo??), 22, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél. 553-5^. — Né en Relgiquo en 1877. Champion cycliste et motocycliste réputé. Il débuta comme coureur à bicyclette en 1892.
- DEMI-PATENT. — Moyeu retenu sur la fusée au moyen d’une contre-plaque boulonnée. — Voir Moyeu.
- DEMI-PINCETTE. — Voir Ressorts de voiture.
- DÉMONTE-PNEU. — Levier en bois ou en métal dont on se sert pour soulever le talon d'un pneumatique et permettre la sortie de la chambre à air. — Voir Levier de pneu.
- DEMORGNY, garage, construction de cycles et d'automobiles, 19, cours d'Orléans, à Charleville (Ardennes).
- DEMOUCHY, aciers, 09, rue Fontaine-au-Roi, Paris.
- DEMOULIN (F.), fonderie d'aluminium, alliages blancs pour fonte, i3, avenue de Versailles, à Choisy-le-Roi (Seine). Tél. 33. Adr. tél. Fondcric-hemoulin-Ckoisy-le-lioi.
- DEMOYet Cl°, graisses consistantes, î/j, rue Barbette, Paris. Tél. 2i4-g3.
- DÉMULTIPLICATION. — C’est 1 inverse de la multiplication. Ainsi la multiplication d'une bicyclette ayant 3o dents au pédalier et 10 au moyeu arrière égale 3, tandis que sa démultiplication égale i/3. Le terme démultiplie est d’ailleurs surtout usité en automobile où le moteur tourne en général plus vite que les roues. De sorte que la
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- I) E N
- 263 -
- D E N
- multiplication y est exprimée par une fraction et la démultiplication par un nombre plus grand que l'unité. Mais l’une ne doit pas être confondue avec l'autre. Ainsi, lorsque la réduction de vitesse sera d’un quart, on dira: la multiplication du moteur égale j/4 et sa démultiplication égale !\.
- DENAIN et d’ANZIN (Société Anonyme des hauts fourneaux, forges et aciéries (/e), 31, rue Mogador, Paris. Tel. io4-8o.
- — Société Anonyme, au capital de 10 millions de francs.
- DÉNATURANTS. — Produits employés pour rendre l'alcool d'industrie impropre à être consommé comme boisson spiritueusc.
- — Voir Alcool dénaturé et l’ouvrage Sa Majesté VAlcool, par B. de S.
- DENAYROUZE (Mm de-Louis), ingénieur, 70, boulevard Victor-Hugo, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- DÉNES et FRIEDMANN, vente des magnétos “Bosch”, 18, via San Vittore, à Milan (Italie).
- DENIAU, motocyclettes, 27, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- DENIAU et Cie, vêtements de sport, Si) bis, rue de Rome, Paris. Tél. 534-04.
- DENICH (Ad, phares « Le Vigilant » et « Sirius », 1.44, rue Saint-Maur, Paris.
- DENIMAL, modeleur, 62, rue Gavé, «à Levallois-Perret (Seine).
- DÉNIOT, pneumati ques Quo Vadis, 22, rue Montrosier, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- DENIS avertisseurs, sirènes, 62, rue de Villiers, à Levallois-Perret (Seine).
- DENIS (Albert) Fils, machines-outils, 2, passage Saint-Sébastien, Paris. Tél. 931 -49.
- DENIS et DE BOISSE (J.), voitures automobiles, O2, rue de Villiers, à Levallois-Perret, (Seine).
- DENNERY (Frédéric), 28, avenue des Champs-Elysées, Paris. Tél. 012-09. — Né à Paris, en 18O0. — Directeur du Manège Petit.
- DENNIEL et Ci0 (Société des Lièges agglomérés), 24, rue Dauphine, Paris,
- ici. 818-58.
- DENNIS BROS, Ltd. fabrique d'automobiles « Dennis », Onslow and Bridge Street, à Guildford (Angleterre).
- DENOUE, garage, place du Drapeau, à Parthcnay (Dqux-Sèvres).
- DENSIMÈTRE. — Appareil servant à mesurer la densité des liquides. Un densimètre est un aréomètre portant une tige graduée qui indique, par simple lecture, la densité du liquide à éprouver, à « peser », dans lequel on le plonge (alcool, essence, etc.). Cet appareil a un poids constant et il s’en-
- fonce dans le liquide d'autant moins que la densité de ce liquide est plus grande.
- On se sert, en automobile, du densitnèlre ou pèse-essence, pour connaître la densité exacte d’une essence douteuse qui, si elle est bonne, doit peser entre G8o° et 710° au maximum.
- DENSITÉ. — Il convient de distinguer la densité absolue et la densité relative. On entend par densité absolue d'un corps solide, liquide ou gazeux, la masse d’un centimètre cube de celte substance, tandis que la densité relative est le rapport des masses de volumes égaux d'un corps et de l'eau à 4° pour les solides et les liquides, et de l'air à o° et à la pression de 76 centimètres de mercure pour les gaz. C'est, du reste, de cette dernière qu’il s'agit, quand on parle de la densité d'un corps. Notons en passant qu’il convient de ne pas confondre le poids et la densité d'un corps, confusion souvent faite par les enfants qui pensent qu’un kilogramme de plomb pèse plus qu'un kilogramme de plume. La densité n’est qu'un facteur du poids.
- La formule M = V d que l’on peut aussi
- écrire : d = nous permet de déduire un
- procédé rapide pour calculer la densité d'un corps solide en prenantleproduil.de saluasse par son volume. La masse s’établit approximativement par une pesée et le volume par l’élévation du niveau de l’eau dans une éprouvette où Ton plonge le corps.
- Nous conseillerons à nos lecteurs, lorsqu’ils désirerons connaître ht»densité d'un corps, de consulter, dans le Formulaire de VElectricien, le tableau des densités dont nous avons extrait les principales :
- Aluminium fondu
- Cuivre fondu....
- Fer forgé.......
- Nickel..........
- Zinc fondu......
- Argent fondu
- Etain fondu.....
- Mercure.........
- Blond) fondu....
- Glycérine.......
- 2 07 8,87 7,80 8,5o
- 7,10
- iu,/|5
- 7>29
- 1,2()
- — Densité électrique. — Quotient de l'intensité d'un courant par la section du conducteur dans lequel il circule. On l'exprime en ampères par millimètre carré.
- La densité de courant dans un lil ne doit pas dépasser une certaine valeur sous peine d’échaufïemcnt. Elle est variable suivant la perte consentie et suivant que le lil est nu ou isolé, à l'air libre ou dans un conduit.
- DENTS. — On appelle dents les saillies qui arment la surface en contact des roues d'engrenage ou des roues de chaîne. Ce sont les dents qui différencient les roues d’engrenage des roues de friction, droites ou coniques. Entre deux dents consécutives se trouve un creux où viendra se placer la dent de
- 2 VITESSES fl mr C. COMIOT
- ET FREIN LflUIL 87,. bout. Çouïion-5t-Cyr. fins
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- i) !•; n
- 1) ic i>
- l'autre roue. L'are, égal à la largeur d'une filent ])lus la largeur d'un creux, mesuré sur la cir-coiilérencc primillve, se nomme le gus delon-grenage.
- Les pas sont évidemment égaux sur les deux roues. Quand celles-ci sont de même matière, les dents et les creux ont la mémo largeur à un 1res faible jeu près. Quand les dénis d'une roue sont par exemple en bois (alhirbons) et les dents de l'autre roue on fonte, on donne aux dents de bois une largeur plus grande qu’à celles de fonte, en vue d'égaliser la résistance. 11 s'ensuit que les creux de la denture en bois sont plus petits que ceux de la denture eu fonte, mais les pas demeurent égaux. D'après la définition même du pas, on obtient sa valeur en divisant, le développement de la circonférence primitive par le. nombre de dents. Le pas ainsi obtenu est le jais circulaire.
- Divisé par tt, le pas circulaire devient le pas diamétral. Ce dernier égale le diamètre primitif divisé par le nombre de dents. C’est en général un nombre entier de millimètres, ce <jni permet d’avoir une cote exacte, alors qu’elle est incommensurable si l'on emploie un pas circulaire entier.
- Dent cle louj}.
- Nom donné aux
- dents des manchons à grilles analogues à ceux usités dans les manivelles de mise en marche.
- DENY, accessoires pour automobiles. 15, boulevard PéreiVc, Paris. Tél. 535-83.
- DÉPART. — Abréviation pour : point de départ. On dit le départ de l’eau, le départ de l’essence, pour indiquer un point, un robinet plus spécialement, où commence un tuyau amenant l’eau ou l’essence.
- Dli.NT DE LOUP
- — (En sport). — Le départ d’une course cycliste est « donné » par le starter-, il peut être lancé ou arrêté.
- Le départ lancé est à peu près abandonné dans les courses vraiment sportives, car il est impossible de. savoir ainsi le moment précis du départ.
- La manière la plus pratique de donner le départ arrêté est do placer tous les coureurs sur leurs machines et de les faire tenir en équilibre par un aide chargé de les lancer au signal convenu. L’aide doit, les pousser de pied ferme, sans faire un pas en avant.
- Les départs se donnent soit au drapeau, soit au pistolet, ce dernier mode étant préférable; car il est. plus précis, plus instantané et plus pratique, surtout dans les handicaps où certains coureurs sont exposés à être placés de telle sorte qu’ils ne peuvent voir le starter.
- — Départ automatique. — Les voitures
- à vapeur ouïes voilures électriques démarrent en mémo temps que le moteur se met à tourner. 11 n’en est pas de même des voitures à moteurs à explosions. Chez elles, en elfet, il faut que le moteur soit mis en marche séparément, et que la voilure soit ensuite embrayée sur lui.
- Mettre en route un moteur à explosions est toujours une corvée désagréable, pénible et souvent dangereuse. On a donc cherché de tout temps un système qui permît une mise en route automatique, une mise en route du moteur (pii se produisît par un simple déclanchement, par une pression sur un bouton, etc.
- Dans les qualre-cylindres bien réglés et allumés par une bobine à Irembleur (Charron, Girardol et Voigt, par exemple), il suffit généralement de fermer le circuit primaire par le moyen de l’interrupteur pour que le moteur se mette en route, car il suffit que, le trem-bleur se mettant en branle, une étincelle jaillisse au-dessus d’un des pistons en compression pour que le moteur parte.
- Toutefois ce procédé n'est, efficace que lorsque les cylindres sont remplis do mélange bien dosé, ce qui n’a jamais lieu, en général, dans les moteurs froids. Aussi les procédés basés sur ce principe (le Mors en est le, prototype) comportent-ils l’emploi d’un saturateur d’essence actionné au moment du départ au moyen d’une petite pompe à main.
- Dans les qualre-cylindres qui n’ont, pour allumage que celui dù à la magnéto, dans les mono ou bicylindres, il faut recourir à un moyen mécanique : ressort comprimé, réservoir d’acide carbonique, poulie actionnée par un levier spécial, etc. C’est là un des principaux problèmes cherchés par de nombreux inventeurs.
- — Charron ltd, y, rue Ampère, à Puteaux (Seine).
- — Renault frères, i3q, rue du Poinl-du-Jour, à Billancourt (Seine).
- DEPASSE (Henri), ii, villa du Roule, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Fondateur et directeur de YElysée Automobile Palace, 34, avenue des Champs-Elysées, Paris. — Ancien recordman du monde du kilomètre. — Se distingua pendant plusieurs années dans les courses de bicyclettes sous le nom de Dary; puis fonda, en 1901, la Société de l’Accumulateur sec Dary.
- DÉPENDANCE (lanterne arrière). — Voir Ilussenot et Raynaud.
- DEPERRAZ, roue élastique, io3, route de Versailles, à Billancourt (Seine).
- DEPIGNY, carrosserie automobile, rue de Sèze, à Lyon (Rhône).
- DEPLANQUE Aîné, machines à mouler, 102, Grande-Rue, à Maisons-Alfort (Seine).
- Automobiles RENAULT FRÈRES giljlEFrt1
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- DEPLANQUE Père et Fils Jeune,
- machinos à meiiier, 5/|, rue des Boulets, Paris.
- DÉPOLARISANT. — Subslance oxyda ni servant, à fixer l'hydrogène provenant de la décomposition de l’acide par le zinc dans les piles. Il est solide ou liquide. Dans les élé-menls Leclanclié cl dérivés (piles sèches), le dépolarisanl employé est du bioxyde de manganèse, entourant le charbon, et maintenu dans le vase poreux ou le sac qui en lient lieu. Le bioxyde est mélangé de fragments de coke donnant de la porosité à l'ensemble. Le liquide excitateur étant du chlorure d'ainmo-nimn (chlorhydrate d’ammoniaque| les réactions de la pile sont données par l'équation : Vax 4- aAzIPCl +2M11O* =- ZnGD + sAzlP + Mn20:l-|-ll'-0. Il y a formation d’ammoniaque et transformation du bioxyde cil sesquioxyde de manganèse.
- DÉPÔTS. — Les principaux dépôt s qui présentent de l’intérêt au point de vue de l'automobilisme, sont les dépôts calcaires de la circulation d’eau (voir Désincruslan/.s), les dépôts carbonés prenant naissance sur les parties internes des bougies d’allumage ou de la chambre d’explosions à l'inlé-rieur des cylindres, les dépôts métalliques réalisés artificiellement pour recouvrir un métal d’une couche superficielle d’un autre métal.
- DÉPOUILLE. — En fonderie, il fan qu’on puisse prendre exactement 1 empreinte
- du modèle, ouvrir ensuite h moule en écartant les deux par lies du châssis et retirer le mo dèle. Pour cela il est indispensable que toutes les parties de cc modèle soient,er dépouille, c’est-à-dire que chacune de ses moitiés ne présente, dans aucun sens, de parties saillantes susceptibles de s'opposer au mouvement asccndan du châssis supérieur S. Tel es le cas du modèle A. (Fig. 1).
- S'il en est autre ment,, on voit (modèle H, fig. 2! que les parties saillantes C et D s’opposent au démoulage et à la sortit du modèle, qui est alors dit en contre-dépouille.
- Dans ce derniei cas, 011 doit m
- ,: e G
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- ..„ cas, on non
- «nier le modèle pour rendre démontables
- laines de ses parties, ou employer, [mur l'obtention des parties en creux placées sous ces parties gênant le démoulage, la méthode (( par noquux et boites éi nm/aux ». (D'après IL .Maillard.)
- DÉPRESSION ATMOSPHÉRIQUE.
- — Lorsque le [liston d'un moteur descend, il produit, dans la partie du cylindre qu'il occupait, un vide [tins ou moins grand où la pression serait nécessairement inférieure à la pression atmosphérique, si la soupape d’admission ne s'ouvrait pas précisément à ce moment. Elle laisse alors pénétrer dans le cvlindre le mélange d’air et d’essence qu’y précipite la pression atmosphérique.
- C'est cette itépression atmosphérique créée par le piston qui cause Y aspiration du moteur.
- DEPREZ (Marcel), ingénieur, membre de l'Institut, ab, avenue Marigny, à Yin-ceimcs (Seine).
- DERANGEON (L ve J.-H.) (ancienne maison Bmiriat), selles, sacoches pour motocyclettes, do, rue do Cormeille, à Levallois-Perret (Seine). Tel. ô.’î 1 -x /|.
- DÉRAPAGE. - Le dérapae/e est le mouvement engendré par la force centrifuge, qui entraîne violemment le véhicule hors de la direction désirée lorsqu'on franchit une courbe à une vitesse qui est hors de proportion avec le rayon de la courbe et avec l’adhérence au sol. (Voir Fringalaqe.) Le véhicule qui dérape, devenu indirigeable, glisse, patine ou valse au hasard de la résultante des forces qui y sont appliquées.
- Les curatifs sont : 11e pas trop charger l’arrière de la voiture; rouler lentement et ne jamais freiner brusquement, surtout sur
- les terrains glissants, et. faire poser de
- bons antidérapants sur les roues arrière. — Yfoir Antidérapants.
- « Le dérapage des roues sur un sol glissant, n’est pas une excuse, en cas d’accident. » (Tribunal correctionnel de la Seine, janvier I901).
- — Beau et G'0, antidérapants, 171, cours Balayette, à Lyon (Bhône).
- — Buciiii.let et CIc, antidérapants « Volcan », l\~j, rue Saint-Ferdinand, Paris.
- - Continental (le Rouqe Ferré), x!\G, avenue Malakofl', Paris.
- — Michelin et Gi0 {Semelle), à Glermont-Ferraml (Puy-de-Dôme).
- DERENAUCOURT et ESCOFFIER,
- motocyclettes, 12S, rue du Bois, Lcvallois-Porrct (Seine).
- DÉRIVATION (Electricité). — Des résistances ou des appareils sont montés en dérivation lorsque le courant se partage entre eux et les traverse sous la même tension. Les courants partiels s’appellent des courants dérivés. — Voir ce terme.
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- DÉRIVE. — La dérive est la résultante de la pesanteur appliquée à une voiture se trouvant sur une rampe ou sur une pente. Si le moteur est trop faible, ou si les freins ne sont pas plus « forts » (pie la pesanteur, le véhicule commence à reculer en arriére, ou à précipiter sa course en avant, avec accélération... et avec toutes les catastrophes
- qui peuvent en résulter.
- La dérive se combat par une béquille, par de bons freins, ou par le moteur quand la compression est. (< tenace » et qui, lorsqu’on supprime rallumage, sert de frein supplémentaire, ou par un cliquet.
- DERMATINE C" Ltd, garnitures pour machines, a/j, boulevard Voltaire, Paris.
- DERNAUCOURT, vente et achat d'automobiles,! 5, rue Pergolèsc, Paris. Tel. 0—
- DERNIER. garage, vente d'automobiles, 25, boulevard de la Sauvenière, à Liège (Bel-gique).
- DEROCLES et C °, motocyclettes, i jo, rue de Gravel, à Lcvallois-Perret (Seine).
- DÉROZIER, garage, vente d'automobiles, rue de Paris, à Nemours (Seine-et-Marne). Tél. 20.
- DERVÉ et C'", pièces estampées et, forgées pour automobiles, à Mézières (Ardennes) ; •et 5, boulevard Arago, Paris.
- DESACRES, boulons et écrous indesser-rablcs. — Voir Hirsch {Etienne), Paris.
- DÉSAXAGE. — Ecartement, qui est, donné à une pièce par rapport à un axe commun aux autres pièces qui l’avoisinent. L’excentrique procède d’un désaxage.
- Le désaxage est, en automobile, appliqué fréquemment, aux cylindres (Mors, Brasier, etc.). Si l’on regarde le mo'our par Pavant,, on s’aperçoit que les cylindres ne sont, pas montés au centre meme du carter, mais désaxés légèrement vers la droite ou vers la gauche. En effet, l’axe vertical du piston ne tombe pas au milieu de l'arbre moteur, mais en deçà de cet arbre, sur la droite ou sur la gauche.
- Coite disposition a pour effet de diminuer la pression qu’exerce le piston sur les parois du cylindre lors de l’explosion.
- DESBENOIT Aîné et MURON {Tanneries), antidérapants « Salvator » et « Geler », à Roanne (Loire) ; et 206, boulevard Péreire, Paris.
- DESBENOIS, RANCELANT et OL-LIVAUD, canots automobiles, avenue Morillon, à Choisy-le-Roi (Seine). Tél. /|5.
- DESCAMPS, agent pour les pièces détachées « Æolus ». 58, avenue Wagram, Paris.
- DESCENTE. — Mot. improprement, employé pour le mot pente. — Voir ce mot.
- DESCHAMPS, mécanicien, 2, chemin du Mont-Valérien, à Puteaux (Seine).
- DESCHAMPS, garage, 36, avenue de Saint-Cloud, à Versailles.
- DESCHAMPS (.1 •), outillage mécanique, 29, rue des Vinaigriers, Paris.
- DESCHAMPS (L ucien-Emile), vente de cycles et, d'automobiles. 9, rue Basse, à Pontoise (Seine-el-Oise).
- DESCHAMPS et BLONDEAU, canots automobiles, 32, quai de la Seine, à Sar-trouville (Scine-et-Oise).
- DESCHIENS {Ateliers). - Voir Barras, Paris.
- DESCORPS {Ch.), 92, rue Laugier, Paris.
- — Né à Castres (Tarn), le 20 septembre 1806.
- — Administrateur du journal Les Sports.
- DESCLÉE et Ci0. — Antidérapant
- « Desclée », 109, avenue Malakolf, Paris. Tél.
- 676-67.
- DÉSEMBATTAGE.—On appelle ainsi l'opération qui a pour but, d'enlever la jante en fer ou en acier garnissant une roue lorsque celle-ci a besoin d'clrc rechâtrée.
- DESFORGES de SAINT-MAURICE,
- graisseurs , 13 ,
- boulevard Pois-, sonnière, Paris.
- DESGOUTTES (P.). — Ne le 26 février 187/1 ’> a commencé l'automobile en 1896 ; puis ingénieur de la maison Rerliet, depuis sa fondation jusqu’en iqo5, époque à laquelle fut créée la Maison Collin et Bcsgouttcs.
- DESGOUTTES et C1”,
- construction d'automobiles. — Voir
- DESGRANGE {Henri-Antoine), G, rue de Rome, Paris.
- — Né à Paris, le 3i janvier i865. — Chevalier do la Légion d'honneur. -Directeur-rédacteur en chef du .journal L’Auto.
- — Licencié en
- droit. Membre du jury à l’Exposition internationale (1e Vienne. A collaboré à la Revue des Revues, la Bicyclette, le Journal des Sports, m. Pcsr.» nge
- etc. — Recordman du monde des 100 kilomètres tricycle.
- LANTERNES”DIETZ’^es“éteintpas
- MESTRE etBLATGÉ .5. Rue BR U N EL. PARIS?
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- DESHAYES Frères et COURTOIS,
- carrosserie automobile, garage, stock Michelin et de Dion, station électrique, agents de Ghénard et Walcker, rue de Maubeuge, à Avcsnes (Nord). Tel. 18. Adr. Tel. Deshayes-Avesnes.
- DÉSINCRUSTANTS. — Produits susceptibles d’empecber, d’entraver ou de l'aire disparaître les dépôts salins engendrés par les eaux calcaires, dans la circulation de l’eau de réfrigération, notamment sur les parois des cylindres.
- DESJACQUES (Georges), io3, avenue de la République, à Aubcrvilliers (Seine). Tel. /|i3-o3. — Né à Paris, le 3i août 1870. — Sous-directeur dits Etablissements Malicet et lilin, à Aubcrvilliers. — Ancien élève de l’Ecole normale supérieure; quitta l’Université en 1897, lut rédacteur en chef de la Locomotion automobile jusqu’en 1900, date de son entrée à la maison Malicet et Blin.
- DES JARDIN (L.), pneu Tout-Cuir, 10, rue Saint-Pierre, à Versailles (Seinc-et-Oisc).
- DESJOYEAUX. [Léon), directeur de la Société Mercédès, de la Mercédès Electrique et de la Société des Automobiles Commerciales. 89, rue La Boétie, Paris. Tél. 587-54.
- DESLIGNIÈRES, garage, vente d'automobiles, 16, rue de (îrenclle, Paris.
- DESMARAIS (Léon), 10, avenue Marceau, Paris. — Né à Paris, le 27 décembre 1864. — Chevalier de la Légion d’honneur et du Mérite agricole. — Ingénieur des Arts et Manufactures. — Trésorier de la Chambre syndicale des Automobiles : secrétaire de la Chambre syndicale des , Mécaniciens-Chaudronniers et Fondeurs. — Administrateur délégué de la Delahaye and C°, Ld, avec M. Georges Morane.
- DESMARAIS Frères, raffincurs de pétrole, huiles et « Automobilinc », 42> rue des Mathurins, Paris. Tél. 158-24.
- DESMARAIS et MORANE. — Voir Delahaye and C°, Ld.
- DESMODROMIQUE. Mot technique, très rarement employé pour désigner la commande mécanique d’un organe quelconque, par opposition à sa commande automatique lorsque celle-ci est réalisable, comme pour les soupapes d’admission commandées. Exemple r « Ce moteur a des soupapes desmodro-miques. »
- DESNOS (Office), brevets d'invention. — Voir Chassèrent, Paris.
- DESNOYERS Frères, tubes en acier, 116, boulevard Richard-Lenoir, Paris.
- DESPAIGNE, laboratoire privé de mécanique et d'électricité, 25, rue Marbeuf, Paris. Tél. 672-1G. — Inventeur de la soupape électrique « Electra » et du levier « Securilas ».
- D’ESPINE, ACHARD et Ci0, camions automobiles, fia, quai de la Marne, Paris.
- DESPLACES, garage, io, rue de 'l’ours, à Loches (Indre-et-Loire).
- DESPONTS (L nuis), industriel. i.Îd, rue Viclor-llugo, à Levallois-Perrot (Seine). Tel. .jfio-17. — Né à Paris, en 18G7.
- DESPONTS (Louis), i5o, rue Victor-Hugo, à Levallois-Perrot (Seine). Tél, 0G0-1-. — Maison fondée en i88/|. — Articles pour automobiles et canots. Sirènes, réservoirs, radiateurs, capots, graisseurs, pompes, phare et lanternes Jufnter, ehaulfereltes à circulation d’eau; tôlerie automobile en général.
- DESRENAUDES (Garage), vente d'automobiles, 23, rue Desrenaudes, Paris.
- DESSIN. — En mécanique, graphique représentant la configurai ion exacte des pièces d’une machine, avec leurs cotes.
- DESSINATEURS DE L’INDUSTRIE AUTOMOBILE (Société des), 10. rue de Rome, Paris.
- DESSON (Georges-Alfred), !\, square St-Ferdinand, Paris. Né à Proisy (Aisne). Officier d’Académic. —- Ingénieur-inspecteur général des Etablissements Bergougnan à Glcrrnont-Fcrrand (Puy-de-Dôme). — A débuté dans l’électricité comme ingénieur des Usines Sautter-IIarlé ; a procédé aux installations du port de guerre de Porl.-Arllnir et de nombreuses usines; s’est adonné à l’automobile, dès l’apparition des premières voilures, et y a fait de nombreuses inventions. Fut ingénieur à Bruxelles à la Belgica. Après avoir dirigé plusieurs usines d'automobiles, s’est adonné à la confection des pneumatiques, en entrant aux Etablissements Bergougnan. Tout dévoué à la cause automobile, l'ail partie de toutes les sociétés sportives (A. C. F., etc.), qui aident à développer celte industrie en France.
- DESTOMBES, LANGLOIS et Clc, machines-outils ,
- 7.4, rue St-Maur, raris. Tél. 939-4 7.
- DESTIBAT Frères, garage, rue des Gent-Gardes, à Biarritz (Basses-Pyrénées).
- DÉTENTE. — On appelle détente d'un gaz ou d’une vapeur la diminution de pression accompagnant son accroissement de vo-
- .M. Dusses
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- hune. La considérai ion de la détente es»t do ]ireiniére importance dans l'élude des moteurs tiicrmi<[ues (moteurs à vapeur, à combustion interne, moteurs à air chaud, à air comprimé). Jusqu’à une certaine limite l’accroissement de la délente est une cause d'augmentation du rendement.
- Dans les machines à vapeur, le rendement calorifique est, en elle!, déliai par la formule
- du cycle de Carnot : 1\ rrz —^—:—~
- La valeur de U est d aillant plus considérable que la dillérence Tt T0 entre les températures de la vapeur à l’entrée cl à la sortie de la machine est plus grande (voir Cycle de Camol). On peut augmenter cette dillérence en diminuant T0 ou en augmentant Ti. Or T0, température (lu condenseur, n’est guère susceptible de diminution. Ou est donc conduit; à augmenter Ti par un accroissement, de la pression et surtout par la surchauffe de la vapeur employée et, pour utiliser toute la force expansive, à réaliser une détente suffisante pour abaisser à T0, ou presque, la température linalc dans le cylindre. Cependant la pratique a démontré ipie la marche n'esl pas d'autant, plus économique que la pression est plus élevée et la détente plus grande. L'inllucnce des espaces morts et du refroidissement, en est la cause, de sorte qu’au delà d’une certaine détente la consommation de vapeur augmente. L’emploi des machines à détente successive dans plusieurs cylindres permet les hautes pressions et les grandes détentes, en réduisant dans un même cylindre l’écart des températures initiale et linalc, et par suite l’importance des condensations à l’admission. Toutes choses égales d’ailleurs, leur fonctionnement est donc plus économique que celui des machines monocylindriques.
- Dans les moteurs à combustion intérieure, la détente est généralement suffisante à rabaissement de la pression à une valeur voisine de la pression atmosphérique. Le rendement sera donc accru par l'obtention d’une haute température initiale exigeant une forte compression préalable. La compression préalable produit en effet une augmentation de la température des gaz, favorisant la rapidité de l’allumage, qui doit, être instantané, c’est-à-dire sous volume constant, si l’on veut obtenir le maximum de rendement, et d’autre part [augmente à peu près proportionnellement la pression et la température explosives. Dans le fonctionnement à quatre temps la détente peut être accrue en diminuant la pression d'admission, ce qui revient à diminuer la course d’admission par rapport à la course de détente (le système Gliaron aboutit au même résultat,), mais sans qu’il en résulte un abaissement de la compression. Ceci est essentiel. Dans le cycle Diésel la détente est variable et peut devenir considérable. Elle s’opère d’une manière analogue à celle des machines à vapeur. — Voir Distri-
- bution des moteurs et Distribution de la vapeur (tour les mécanismes de détente.
- DÉTERGENT, en usage sur les yachts.
- — Voir Burbance. Paris.
- DÉTONATION. — Phénomène caractérisé par une production de bruit, de lumière et de chaleur qui accompagne les réactions de combustion vive.
- — Bruit causé par l'accumulation dans le silencieux de plusieurs cylindrées successives, qui, par suite de ratés, n’ont pas été enflammées et qui explosent en môme temps dans le pot d'échappement, en produisant un bruit violent.
- DETOURBE, vernis pour carrosserie, 7, rue Saint-Sévorin, Paris.
- DÉTREMPÉ. — Toute pièce qui a ét.é trempée pour acquérir de la dureté (queue de tige de clapet, dents, certains ressorts, etc,.), perd les qualités que lui a données la trempe, si elle est portée au rouge, même pendant un temps très court.
- Los ressorts en spirale ou à boudin (admission ou échappement) ne sont, pas trempés ; mais ils sont laits en « corde à piano », qui perd rapidement et presque entièrement ses qualités d’élasticité lorsqu’elle est soumise à un « chauffage » un peu intense. On dit souvent alors, quoique improprement, que le ressort est détrempé.
- DETROIT AUTO MARINE C', moteurs _ de marine, 70 E. Congross Street, à Détroit (Michigan), Etats-Unis.
- DEULOFEU, MARIE et C10, courroies trapézoïdales “La Normande ”, t\ bis, rue de la Mare-du-Parc, à Sotteville-lez- Rouen (Scine-Inlérieure).
- DEURER et KAUFMANN, canots automobiles, Afrikahaus, à Hambourg (Allemagne). — Agent : M. Boutin, à Dinard (Ille-et-Vilaine).
- DEUTSCHE {de la Meurlhe), (Henry), 4, place des Etats-Unis, Paris. Tel. oao-iij). — Officier de la Légion (l’honneur.
- — Chef, avec son père Emile, de la maison Les Fils de A. Deutsch, pour l’industrie des huiles minérales et végétales et, le raffinage de pétrole en France et à l’étranger. — Un
- des fondateurs de l’A. C. F. —
- Donateur du prix de 100000 francs M- Dk>tscii (Henri)
- gagné par San-
- tos-Duniont,. londatcurd un prix de 10000 francs
- fMQTo-NAPHTA L‘Pi-«rar11"
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- pour 1« mise en marche automatique des mo-l.eurs à pétrole.
- — Prx Deutsch de la Meurthe. — Prix do ioo ooo francs généreusement, oll'ert par M. Henry Deutsch de la Meurthe et institué parl’Aéro-Club de France le a/| mars 1900. Ce prix devait dire attribué au premier concurrent qui, parti du pare d'aérostalion de l’Aéro-Club de France (coteauxdeLongchamp).. doublerait, la tour Eill’el et reviendrait à son point de départ sans avoir touché terre en do minutes au maximum. Distance à vol d’oiseau aller et retour : 1 1 kilomètres.
- Après plusieurs tentatives infructueuses. M. Santos-Dumonlgagna le prix Deutsch. le )() octobre 1901, à bord de son dirigeable n° VI.
- L'importance du prix, la vaillance et l'o-piniàlreté déployées par Sanlos - Dumont pour le conquérir, le coté sportif et brillant de l'épreuve, disputée pour ainsi dire sous les yeux des Parisiens, passionnèrent les esprits et eurent, la plus grande et la plus heureuse inlluence sur la dillusion de l'Idée aérienne.
- DEUTSCH [Les Fils de A.) de lu Meur-Ihe, industrie des huiles minérales et végétales. raffinage du pétrole et de scs dérivés. — Spécialités : « Molo-.Naphla » « Lubrifier »,
- « Huile A. 1). », « Viscosilas », 5o, rue de Châtcaudun, Paris. Tél. 109-11. Adr. tel. : Jupiter-Paris.
- DEUTSCH-AMERIK PETROLEUM GESELLSCHAFT, essence minérale “ Da-polin ”, à Hambourg (Allemagne).
- DEUTSCHE DE DION-BOUTON,
- vente d’automobiles do Dion-lioulon, rue des Orphelins, à Mulhouse (Alsace).
- DEUTSCHE GU S ST AHLKU GEL und MASCHINENFABRIK, Aclien (lesellschafl, à Schweinfurt-snr-Main (15a-vière). Tel. 2G. Adr. tel. : Kur/eluklien. — Société anonyme au capital de 1 (>5o 000 marks, fondée en i8p(j. — Fabrication de billes et de coussinets à billes et à rouleaux. — Voir Sc/nldye.
- DEUTSCHE TADOMESEN-WERK.E, compteurs de tours, odotachy-mèlres, Pelle Alliance strasse, à Perlin (Allemagne).
- DEUTSCHER - MOTORRADFAH -RER, revue illustrée, 1, FeiliCzsehstrassc, à Munich (Bavière).
- DEUTSCHER - MOTORRADFAH -RER-VEREINIGUNG (Union des Motocyclistes allemands). Siège social: 12 ois, Srhlosstrnsse, Stuttgart.
- Président de la Commission de tourisme : M. E. L. llichter, 5, Iloditzstrasse, à Postdam.
- DÉVELOPPEMENT d’une bicyclette, — Le développement est l'espace dont - avance une bicyclette à chaque révolu-
- tion complète de la manivelle. On trouve le développement. d’une bicyclette en multipliant le nombre (pii exprime la multiplication de la machine par le nombre constant, 3,1 /) 10 et par le diamètre de la roue motrice, autrement dit: en multipliant la circonférence ou développement de la roue motrice par le rapport de multiplication des pignons de chaîne.
- DEVERS d’une caisse. — On appelle ainsi l'angle rentrant A PC que fait la liyne générale d’une cuisse M P C avec la verticale M P A. — En carrosserie, toutes les cuisses ont un devers plus ou moins accentué
- , , A \,,i.i: me Deviens
- pour leur donner un
- aspect, plus agréable et, plus léger h l’oeil.
- -— On appelle encore ainsi la partie de la courbe la plus élevée dans le tournant d'une rou I c.
- Toutes les voitures capables de vitesse, meme lorsque leur vitesse est maintenue dans les limites réglementaires, exigent, pour leur sécurité, dans les courbes de moyen ou de petit rayon, de trouver une inclinaison suffisante de la route, un appui contre l'action de la force centrifuge qui s’exerce sur tout le véhicule et tend à le renverser. C’est cette inclinaison, autrement dit celte sorte do relèvement du virage, que l’on nomme devers.
- DÉVIATION. —
- considère les déviations courants entre eux, l'un étant mobile. L’élude (h. l'objet de l'électro-dynamique et <h magnétisme (voir ces termes). Tous .
- les appareils de mesure sont basés sur la déviation des aimants et des courants, les forces qui entrent en jeu pour produire la déviation étant fonction de l'intensité des aimants et de celle des courants beaucoup l’énoncé
- En électricité, on des aimants et des des deux éléments ces déviations fait l’électro-
- Dkviatio.n d’uni: aiguii.li:
- AIMANTEE
- a mesurer. On simplifie, des lois de déviation par la considération du « bonhomme (l'Ampère » (voir ce ternie). Ainsi on dira, pour la déviation de l’aiguille aimantée par un courant : si le courant entre par les pieds et sort par la
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- Th. BOTIAUX
- CARROSSERIES AUTOMOBILES
- de grand luxe
- hAdAILLB D’OR : Exposition Universelle de Saint-Lonis, U. S. A- — * AKYAI.I.OIH (9«i»)
- p.269 - vue 269/946
-
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- D E Y
- D I E
- ‘l'jO
- tete d'un bonhomme d’Ampère regardant l’aiguille, le pôle nord de celle-ci se plaçe a gauche de l'observateur.
- DEVILLE, fabrique de crics, à la Grand-Croix, [ires Saint-Etienne (Loire); et 19, rue de la Fraternité, à Yincennes (Seine).
- DEVORDE {IC. von), garage, 82, l’edel-hocrcn, à Brème (Allemagne).
- DEVRAINE, garage, /|3, rue Ghabaud, à l.eims (.Marne).
- DEWALD (Charles), moteurs et automobiles, 10, rue du Débarcadère, Paris. Tel. 5; 0-9 3.
- DEWANDRE (Paul), ingénieur, président du Conseil d’administration de la Société Anonyme des Ateliers Germain, à Charlcroi (Belgique).
- DEZARNAUD (L.), housses pour automobiles, 200, boulevard Pereire, Paris.
- DIABLE. — Sorte do brouette basse à deux roues très petites, qui sert à manutentionner facilement des matériaux lourds ou encombrants.
- DIAGONALE. — Une diagonale est, dans un polygone, une ligne droite telle que
- A B, menée du sommet d’un an-^ gle A au sommet d'un angle oppose B.
- Pour connaître la longueur de la diagonale d'un rectangle, on fait B lil somme des carrés d’un grand et A, B, diagonale d’un petit côté
- et on en extrait, la racine carrée, qui est le résultat cherché.
- Dans un hexagone, la diagonale est égale au diamètre du cercle circonscrit.
- DIAGRAMME. — Issu d’un mot grec (pu signifie « représentation figurée » , le diagramme ou graphique est la représentation, par un tracé, de la marche d’un appareil ou d’une machine. Le diagramme est fait à la main, au fur et à mesure des observations; ou bien, il est obtenu automatiquement à l’aide d'un appareil qui déplace un papier quadrillé, ordinairement enroule sur un tambour : l’empreinte est donnée par un crayon dont la pointe varie en fonction des variations du phénomène à enregistrer.
- Pour les moteurs à explosions qui, animés d’une très grande vitesse angulaire, 11e permettent pas la prise de diagramme par ce procédé, 011 emploie généralement le mano-graphe (rayon lumineux qui trace un diagramme sur un verre dépoli).
- DIAMAGNÉTIQUE—On appelle corps diamagnétiques tous ceux qui sont repoussés par un aimant, au lieu d'etre attirés, comme
- le 1er, le nickel, le cobalt et tous les corps magnétiques. Cette répulsion est d’ailleurs très faible et ne peut etre constatée qu’avec un aimant très puissant. Un barreau d’un corps diamagnétique (bismuth), étant placé dans un champ magnétique, tend à se placer en travers des lignes de force, c’est-à-dire en croix avec la ligne des pôles. —Voir l’ouvrage U Allumage dans les Moteurs à explosions.
- DIAMANT, marque de fabrique de la Société La Française. — Voir Française (Société La), 11, rue Brunei, Paris.
- DIAMANTITE (La), produits à polir, 55, quai de Valmy, Paris. Tél. 4ao-3o.
- DIAMÈTRE (Symbole : d). —• Ligne droite AB passant par le centre O d’un cercle, d’une sphère ou d’une courbe fermée quelconque et s’arrêtant de chaque côté à la périphérie.
- —- Diamètre primitif. —
- Diamètre du cercle primitif des engrenages.
- DIAMOND
- pneumatiques, à
- DIAPHRAGME
- dans certaines voitures,
- de
- RUBBER, fabrique Akron (Erats-Unis).
- Petit guichet que, le conducteur peut faire tourner pour ouvrir plus ou moins une entrée d’air supplémentaire dans le carburateur, afin de doser exactement la quantité d’air (froid ou chaud) qui donne le meilleur rendement (système ancien).
- DIATTO A. CLÉMENT (Société Au-tomobili), fabrique d'automobiles, 21, via Fréjus, à Turin (Italie).
- DIAZ (Arlinano) y DE MENDOZA.
- fabrique d’automobiles électriques Ardiurme, ateliers de la Maquinista Bilbaina de Deusto, à Bilbao (Espagne).
- DICTIONNAIRE D’EXPRESSIONS AUTOMOBILES en plusieurs langues, édité par A. Stock G0, 333, Fourth avenue, à New-York (Etats-Unis).
- DIDIER Fils, fabrique de volants de direction, 70, rue d'Angouleme, Paris, Tél. 936-3;.
- DIEDRICHS, garage, l\, rue Santo Thomas, à Madrid (Espagne).
- DIEGO, garage, 19, boulevard du Pava-tou, à Aurillac (Gantai).
- DIÉLECTRIQUE. — Dénomination s’appliquant aux corps mauvais conducteurs de l’électricité. — Synonyme d'isolant.
- AUTOMOBILES ARItS
- 39, quai d’Argenteuii, 39
- VILLENEUVE-LA-GAREMME
- par l’Isle-Saint-Denis (Seine).
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- 1 ) I E
- DIEPPE El.), garage, veille d'automobiles, 0, rue Neuve-du-Port, à Caen (Calvados). Tel. 2-1/(.
- DIEPPE (Auto-Garage de), 24, rue de Sygogne, à Dieppe (Seine-Inférieure).
- DIESEL MOTOREN A. G. (Allgc-meine Gesellschuft fur), fabrique d’automobiles «Diesel», à Augsbourg (Allemagne). — Voir Cycle Diesel.
- DIÉTRICH (Baron Eugène de), au Jager-tlial, près Niedcrbronu (Alsace . — Né à Niederbronn, le 9 octobre 1844. Chevalier de la Légion d’honneur (1900). Gérant de la maison de Diétrich et Cie, à Niederbronn (Alsace). Est entré à la maison de Diétrich, le io août 1867 ; fit, dans les rangs français, la campagne de 1870, capitaine de la garde nationale mobile, siège de Strasbourg.
- DIÉTRICH (De) et Cle (Société I.orraine des unciens établissements), à Lunéville (Meurthe-et-Moselle). Bureaux et ateliers de de réparations : 12, avenue de Madrid, à
- Neuilly-sur-Seine (Seine). Tél. 565-oi. Adr. tél. Aulodiétri-Neuilly. Magasin de vente : 21, avenue des Champs-Elysées, Paris. •— Société Anonyme au capital de 7 5oo 000 francs ; maison fondée en 1864.
- Composition du Conseil d’administration : MM. E. de Turckheim, président; M. IL Estier, censeur de la Banque de France, à Marseille, vice-président ; MM. A. de Turckheim (pour les automobiles) et E. de Turckheim (pour les chemins de fer), administrateurs délégués. Membres du Conseil : MM. A. Lebon, ancien ministre, président de la Compagnie des Messageries maritimes, IL de Pourtalès, Léon Turcat, ingénieur.
- Directeurs: MM. Granier (pour les chemins de fer) et de Joannis (pour les automobiles). Directeur technique : M. Simon Méry. Directeurs commerciaux : MM. Clinchon (chemins de fer) et Guyonnet (automobiles). — Matériel de chemins de fer. Voitures de tourisme (12, iG, 24, 4o et Go cliev.). Omnibus pour services publics, services d’hôtels, excursions, etc. Camions et voitures de livraison. Canots automobiles. La Société s’est, assuré, pour la France, la licence exclusive de construction des véhicules système Turcat-Méry et a su immédiatement conquérir une des premières places en tète de notre industrie.
- — Les voitures Lorraine-Diéti ich (licence Turcat-Méry), types 1907, présentent encore de nombreux perfectionnements sur les types précédents. L’accessibilité de tous les organes a été améliorée encore pour certains détails. La voiture conserve la facilité de conduite, la simplicité d’organes qui lui ont valu son succès. (Voir dans Omnia, décembre 190G, la description complète des types Lorraine-Dié-trich 1907.)
- Les moteurs sont à 4 cylindres et de 1G,
- 24, 4o et Go chevaux. Cylindres fondus par groupes de deux, mais séparés et n’ayant (pic l’enveloppe d’eau commune. Allumage par magnéto Simms-Bosch à rupture. Robinet-jauge spécial permettant de s’assurer du niveau d’huile du carter. — Les moteurs, à partir de 24 chevaux, sont munis d’un décompresseur. -- Tension automatique de la courroie du ventilateur. — Graisseur alimenté automatiquement par un réservoir supplémentaire d’huile de 5 litres et caché sous le capot du moteur. — Carburateur à pulvérisation par double courant d’air. — Embrayage à segment métallique. — 4 vitesses et une marche arrière par le même levier.— Voitures remarquables par leur puissance, leur solidité et leur souplesse.
- Agents de « Lorraine-Diétrich »
- Paius (Seine). — Magasin de vente, 21, avenue des Champs-Elysées. — Auto-Palace, 77 bis, avenue de la Grande-Armée. — Rocli-Brault et Degrais, 36, rue Brunei. — Torchon et Meunier, 7, rue des Acacias.
- Départements. — Avignon (Vaucluse) : H. Mathieu, boulevard Saint-Roch. —• Béziers (Hérault): Béziers Automobiles, 11 et i3, avenue de Belfort . — Bordeaux (Gironde) : Fourcade et Cie, 21, rue du Jardin-des-Plantcs. — Grenoble (Isère): Magnat et Debon, 69, cours Saint-André. — Lille (Nord) : Dulieux et G16, 38, place du Théâtre. — Lyon (Rhône) : Ailloud et Dumond, 9, rue Duhamel. — Marseille (Bouches-du-Rhône) : Turcat, Méry et G'”, 2, boulevard Michelet.— Moncey (Doubs): Jules Magnin. — Nancy (Meurthe-et-Moselle) : Drouvillc et Ci0, 148, rue Saint-Dizier.
- -— Normandie : D’Estaintol, château de Monl->inçon, par Aull’ay (Seine-Inférieure).— Tou-ouse (Haute-Garonne): DeLaburthe, G3, boulevard Carnot.
- Etranger. — Arnhem (Hollande) : G. Houttuin, Velperveg. — Barcelone (Espagne) : Bové, 88, paseo de Gracia.— Bruxelles (Belgique) : Bostyn et Cle, 9, rue de Livourne. -- Bucarest (Roumanie) : Alexandre Prager. — Buenos-Ayres (République Argentine) : Labordc et Ci0, 368/378, callo San Martin. — Lisbonne (Portugal) : Kendall et G10, 5G, rua del Roi. — Londres (Angleterre) : Jarrott et Lclts, 43, Créât Malborough Street. — New-York (Etats-Unis d’Amérique) : The De Diétrich lmporting G0, 8 W, 44 tli Street. — Bio de Janeiro (Brésil): Almeida, Ilaentjens-et Cia, 100, rua Marquez de Abrantes. — Strasbourg (Alsace-Lorraine) : E. Mathis, Finkmattstrasse, 23-25. — Turin (Italie) : Girard, galerie Nationale.
- Algérie et Tunisie. — Alger (Alger) : Gé-rin, 28, rue de la Liberté. — Tunis (Tunisie) : De Farconnct et Bouvier, 3, rue d’Autriche prolongée.
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- vente d’automobiles « de Diétrich », 3 West 44 tli Street, à New-York (Etats-Unis).
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- DIÉTRICH (De) et C'°, l'ers, aciers, fontes, à .Niederbronn (Alsace) ; et boulevard Magenta, Paris.
- DIETZ, lanlenics. — Voir Mestre et Blatgé, Paris.
- DIETZ COMPANY, l’ai>ri<|u<^ de phares et de lanternes, 27, Laiglit Street, à .New-York, (Ltals-lJnis).
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- et dont on ne considère que les potentiels, tandis que la force électromotrice est- toujours considérée comme la cause, comme la force génératrice d’un courant. Tension exprime une idée analogue. — Voir Force électromo-trice.
- DIFFÉRENTIEL. — Voir Boite de différentiel.
- DIFFÉRENTIELLE. .... ha dillèreu.
- BER C", amortisseurs île chocs, i.'ii/j, Hudson Street, llohoken (N. .1.) ( tals-Unis).
- DIFFERENCE DE POTENTIEL — (Voir, pour la notion de potentiel et de différence de potentiel l’article Chute de potentiel). Différence de potentiel ne doit pas être employé pour force électroniotrice, bien que les deux expressions désignent, la même grandeur. La dillêrence de potentiel s'applique a deux conducteurs à des potentiels dillcrents
- lielle d'une fonction est, le produit de la dérivée de cette fonction par l'accroissement de la variable. La dérivée d’une fonction est, la limite du rapport de l'accroissement de cette fonction à l'accroissement de la variable lorsque cet accroissement tend vers zéro. Ainsi y =: cos x est une fonction de. ,r, c'est-à-dire une expression prenant une valeur bien déterminée lorsqu’on donne à x une valeur déterminée.
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- I) I U
- — 2 ÿ3
- Supposons que x augmente d’une quantité Ax, en général la l'onction y augmente (algébriquement) d’une quantité A y. A la limite, c’est-à-dire lorsque Ax est tellement petit qu’on peut le considérer comme attei-
- , A y , , ,, . ,
- gnant zéro, on a : —- = y1 ou la dérivée
- de y. Dans l’exemple choisi, on a y1 =. sin x et la différentielle de la fonction primitive égale — sin x clx. On l’écrit :
- d cos x — — sin x dx
- DIFFUSION DES GAZ AU TRAVERS DES SOLIDES (Lois de la). — Les gaz peuvent se diffuser à travers les solides, en particulier au travers des membranes et des terres poreuses.
- On a constaté que :
- i° Les vitesses de pénétration de deux gaz au travers d’un même corps sont en raison inverse de la racine carrée des densités.
- C’est-à-dire qu’un gaz se diffuse d’autant plus rapidement que sa densité est petite.
- V_ \f7T V’ ~ VcT
- V désigne la vitesse de pénétration du gaz de densité d.
- V’ désigne la vitesse de pénétration du gaz de densité d'.
- 2° Pour un même gaz, la vitesse de pénétration est proportionnelle à la différence de pression entre les deux parois du coiys solide et à un coefficient de frottement variable suivant la nature du gaz et celle du corps traversé.
- — Diffusion entre les qaz (La). —- Loi de Berlhollet :
- Les gaz, entre lesquels il n'y a pas d’action chimique, se mélangent d’une façon intime ou permanente, et la force élastique du mélangé égale la somme des forces élastiques de chacun des gaz, considéré comme occupant tout le volume.
- Soit un récipient d’un volume égal à V et trois volumes égaux de gaz différents. v = v' — v” = V
- Si, en mettant successivement les trois gaz considérés dans le volume V, on a pour chacun d’eux des pressions correspondantes h, h’ et /i”, lorsqu’on réunira les trois gaz dans le volume V, la pression du mélange sera
- La condition sine qua non de"celtc loi est que les gaz mis en présence ne doivent avoir aucune action chimique l’un sur l’autre, auquel cas il peut y avoir ou contraction du volume ou augmentation.
- DILATATION DES GAZ (Lois de
- la)- La dilatation des gaz varie suivant que les gaz sont :
- i° à volume et à pression variables :
- 2° à volume constant et à pression variable ;
- 3° à volume variable et à pression constante.
- Suivant les conditions des gaz le coefficient de dilatation des gaz varie donc dans certaines proportions.
- i° Le coefficient de dilatation d’un gaz. sous pression constante, varie avec les limites de température. La variation est d’autant plus considérable que les gaz sont plus facilement liquéfiables.
- 2° A pression croissante et à température constante, le coefficient de dilatation des gaz augmente, passe par un maximum et diminue.
- 3° Si la température croit, le coefficient, de dilatation des gaz passe juir un maximum pour une certaine pression ; ce maximum a lieu à une température d’autant plus élevée que la pression est forte. L’accroissement de volume pour les températures élevées devient sensiblement proportionnel à l’accroissement de température.
- 4° Si la pression croit, le coefficient de dilatation croit aussi et pusse jiar un maximum d'autant moins prononcé que la tem-pérature est plus élevée.
- DILLEMANN Fils et C'°, projecteurs, 2.6, rue de Chabrol, Paris.
- DININ (A.), accumulateurs et voitures électriques, 2, quai National, à Puteaux (Seine). Tel. f)-i-o/|. Adr. tel. Accudinin-Puteaux. Maison à Paris : 4fJ, rue Saint-Ferdinand. Tel. Ü2(j-i/|.
- DINOIRD, garage, vente d'automobiles et de cycles, 35, rue Cuvelle, à Douai (Nord).
- DION {Ma rquis Albert de), l\6, avenue de la (irande-Arméc, Paris ; et à Maubreuil, par Carquefou (Loire-Inférieure). — Né à Nantes, le 9 mars i85(>. — Nombreuses décorations étrangères. — Député de la Loire-Inférieure. — Ingénieur-constructeur d'automobiles. Fonda- r"- tour et vice-président de l’A. C.
- F. Fondateur et président de la Chambre Syndicale Automobile.
- Fondateur principal et président d’honneur de l’Aéro - Club de France.
- Un des principaux promoteurs de l’industrie automobile en France. — Créateur et direct eur d'une usine à Puteaux r
- qui occupe 3 ooo ouvriers. La personnalité du marquis de Dion est trop connue du monde entier pour que nous insistions. Le marquis de Dion a, dès le début, été l’âme
- M. ll Marquis de Dion
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- agissante de noire industrie; a créé l'Automobile Club de France et popularisé l'automobile.
- DION (De), BOUTON et Cie, automobiles, 36, quai National, à Puteaux (Seine). Tél. 5yi-5i et Sig-ga. Adr. tél. Boulon-Puteaux.
- — Société en commandite simple. — Création de la Maison « de Dion, Bouton et Tré-pardoux », en 1882; de la Société de Dion, Bouton et C‘°, en iSg/J. — Directeur général : M. Charles Lccœur. Directeur delà publicité : M. Gallet. Sous-directeur commercial : M.Joua-chim. — Les usines couvrent une surface de 5o 000 mètres carrés, occupent 3 000 ouvriers, qui se partagent un salaire total do plus de 5 millions de francs, et utilisent, pour leurs machines-outils, dynamos, etc., une force de 1 000 chevaux-vapeur !
- — En 1901, les usines de Dion-Bouton fabriquent les modèles suivants :
- — 8 chevaux monocylindriques 100X120, à clapets commandés. Pompe à huile sur le moteur. — 3 vitesses et 1 marche arrière. Embrayage à plateaux.
- — 10 chevaux, 2 cylindres jumelés 80 X 120. 3 vitesses et 1 marche arrière.
- — i5 chevaux, 4 cylindres séparés, de goXioo. — 3 vitesses et 1 marche arrière.
- — 3o chevaux, 4 cylindres séparés, de iioXi3o. — 4 vitesses par 2 baladeurs et marciie arrière.
- Principaux Agents de la maison de Dion-Boulon.
- Paris.— Auto-Agence Cormier, 31, rue d'Anjou.—Auto-Staud, 20, rueDuret.—L’Auxiliaire-Automobile, 43, avenue de la Grande-Armée.
- — Bastaerl, 124, rue Lafayette. — Ferrandon, 5g, rue St-Lazare. — Guibert et Ci0, 10,-rue du Cloître-Notre-Dame. — L’Intermédiaire, 1 7, rue Monsigny.
- Départements. — Alais (Gard) : Cham-peyrache, boulevard Gambetta. — Amiens .(Somme) : Victor Charles, 14, esplanade de No-yon. — Aubusson (Creuse) : Danton, Manufacture du Got-Barbat. — Belfort (Territoire de Belfort) : Vilbois ctKcehl, 8, rue de la Banque.— Bordeaux (Gironde) : Soubiran, 5, cours de l’Intendance. Caen (Calvados) : Bence, 23, boulevard Bertrand. — Calais (Pas-de-Calais) : Agence commerciale d’automobiles du Nord,
- 1, rue du Four-à-Chaux. — Cannes (Alpes-Maritimes) : Auto-Car, boulevard Jean-IIibert.
- — Castres (Tarn) : Glieusi, 19, rue Hôpital-Vieux. — Charleville (Ardennes) : Froussart, 34, avenue Nationale. — Chartres (Eure-et-Loir) : Darcelle, 14, place des Epars. — Compiègne (Oise) : Cheviet, 9, rue Eugène-Floquet. — Dijon (Côte-d’Or) : Charton, 21, rue de Tivoli. —Evreux (Eure) : liée, 05, rue Joséphine. — Grenoble (Isère) : Magnat et Debon, 69, cours Saint-André. —Lille (Nord) : Agence commerciale d’automobiles du Nord,
- 36, rue de l'Hôpital—NIilitaire. — Limoges (Haute-Vienne) : Central-Garage, 6, boulevard de Fleurus. —- Lyon (Rhône) : Bonneton et Armand, 29, cours Morand. — Marseille (Bouches-du-Rhône) : Masse et Ci0, 24-26, cours Lieutaud. — Meaux (Scine-et-Marne) : Feillée, 17, rue du Grand-Cerf. — Melun (Scine-et-Marne) : Polisson et Troulct, 70, rue St-Barthélemy. — Monlargis (Loiret) : Cher-buy-Ouachée, avenue de la tiare. — Mouy (Oise) : Thiré-Lelèvrcs, 47, rue Léon-Bohanl.
- — Nancy (Meurthe-et-Moselle) : Schott, 3, rue Girardet. — Nantes (Loire-Inlèrieure) : Bertheau, 29, rue de Strasbourg. —Narbonne (Aude) : Araou Frères, avenue du Capitole. —• Nice (Alpes-Maritimes) : Auto-Car, 6, promenade des Anglais. — Orléans (Loiret) : Gonin, 47» rue Bannier. — Perpignan (Pyrénées-Orientales) : Siné, 17, rue du Rempart-Villeneuve. — Pont-Aude mer (Eure) : Stritter, 7, place Victor-Hugo. —- Reims (Marne) : Mathieu, 26, rue Buirette. — Rouen (Seine-Inférieure) : Ménager, 20, rue des Charrettes.
- — Saint-Etienne (Loire) : Guinet, 2, place Paul-Bert. — Saint-Mihiel (Meuse) : Humbert, 3, rue Fruitière. — Saint-Vallier (Drôme) : Platlier et, Paret, automobiles. — Sedan (Ardennes) : Froussart, avenue Philip-poteaux. — Soissons (Aisne) : Renée, automobiles. — Toulouse (Haute-Garonne) : Laporte et Fils, 17, rue du Rempart-St-Etiennc.
- — Tours (Indre-et-Loire) : Villeneuve, 3, avenue de Grammont. — Troyes (Aube) : Contant Frères, 2, faubourg Croncels. — Versailles (Seine-et-Oise) : Bouchoir, 1, avenue de Saint-Cloud. — Villcneuvc-sur-Lot (Lot-et-Garonne) : Bonneville, 3o, rue do la Convention.
- Algérie-Tunisie. — Alger (Algérie) : Gérin 12, boulevard Carnot. — Tunis (Tunisie) : Bouvier et de Tarado, 3, rue d’Autriche prolongée.
- Etranger.— Bâle (Suisse) : Schlotterbeck, 45, Stennenring. — Bucarest (Roumanie) : Ressel, 14, stradaCarol. — Bucnos-Ayres (République-Argentine) : Seguin, 3o8, Maipu (à Paris, 5, rue Laffitte). — Bruxelles (Belgique) : Etablissements Franeau, i5, rue Veydt (avenue Louise). — Genève (Suisse) : Perrot, Du val et Gle, 10, rue du Général-Dufour. — Lisbonne (Portugal; : Sociedade portugueza de Aulo-moveis, Ltd., 4 à 26, rua do Jardim do Regcdor.
- — Londres (Angleterre) : De Dion-Bouton, Ltd, 10, Great Malborough Rcgent Street. — Mulhouse (Alsace-Lorraine) : Deustche de Dion-Bouton, rue des Orphelins ; Victor Verly, place du Nouveau-Quartier. — Vienne (Autriche) : Furst Fritz, II Pratcrstrassc, 34-
- DION-BOUTON (De), cartes. — Voir
- Cartes de Dion-Bouton.
- DION-BOUTON (Journal, le De), fondé le ior décembre 1902 ; 36, quai National, à Puteaux (Seine). Rédacteur en chef : M. Gallet. Tél. 671-51 et 619-92.
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- DIOT Frères, garage, 4, place Voltaire, à Chàteauroux (Indre).
- DIRECT (Automobiles). —• Voir Construction Mécanique et d'Automobiles (Société Anonyme de), à Bruxelles.
- DIRECTION (à vis, à secteur, directe). — Pour les expressions : direction à vis, à secteur, à came conique, pour direction irréversible, voir Boite de direction.
- La direction est un organe d’importance considérable dans une voiture automobile, on le conçoit sans peine. Aussi la direction a-t-elle éLé de tout temps l'objet d’améliorations. Parmi les directions les plus originales
- Direction irréversible Comiot.
- A, rainuros en forme d’escargot. — B, secteur. — D, bras de direction. — E, enveloppe des organes. — F, tige solidaire du volant de direction et de l’escargot K.
- et les plus sûres, nous citerons celle de M. Comiot, qui a l’avantage d’èlre très simple, à rattrapage de jeu facile, et d’ètre absolument irréversible. Aucun choc sur les roues ne trouble le conducteur dans sa direction.
- Les constructeurs ne s’entendent pas sur
- l’inclinaison à donner à la colonne de direc-tion. La figure ci-dessous indique les angles
- __isp
- Angles formés par le corps de la direction et le
- tablier dans les voitures suivantes :
- 1. Bollée. — 2. Charron. — 3. Dclaunay Belleville.
- 4- Do Diétriçh. — 5. Fiat. — 6. Mercedes. —
- 7. Mors. — 8. Panhard. — 9. Brasier. —
- 10. Renault.
- tpie nous avons relevés sur dix châssis différents. — Voir Boite de direction.
- — Ariès. — Direction brevetée à rattrapage de jeu, 39, quai d’Argcntcuil, â Ville— neuvc-la-Garenne (Seine).
- — Charron, Lod, (direction à gauche, 14 chevaux), 7, rue Ampère, à Puteaux (Seine).
- — Comiot (C.), direction irréversible, 87. boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris.
- — Malicet et Blin, io3, avenue de la République, à Aubervilliers (Seine).
- DISJONCTEURS. — Appareils supprimant automatiquement le courant de charge d’une batterie d’accumulateurs lorsque celui-ci tombe au-dessous d’une certaine valeur. Ils servent à protéger la dynamo et la batterie contre toute inversion du courant produite par un ralentissement momentané du moteur. La batterie se déchargerait alors dans la dynamo, et la destruction do l’ensemble pourrait en résulter, indépendamment du changement de polarité de la machine (voir Dynamo, Excitation, Série et Shunt). Un disjoncteur ainsi défini est un disjoncteur à minima. Les
- CH/UN ES RENOLD CHASSIS v CÆT
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- disjoncteurs à maxirna, basés sur le même principe, sont des coupe-circuits automatiques {voir ce terme) empêchant toute augmentation dangereuse du courant dans le circuit où ils
- Un uisjonctkuii
- a, éleclro à 2 enroulements 6 et c. 6, enroulement série. — c, enroulement en dérivation. — <Z, levier interrupteur. — e, contrepoids déclanchant il quand le courant passant dans b est trop faible. — g, électro-conjoncleur, en dérivation sur la dynamo et fermant par h ; lorsque la force électromotrice est insuflisante, le circuit de l’enroulement c attire le levier d et forme le circuit de charge.
- sont placés. La figure montre urt disjoncteur-conjoncteur pour la charge des accumulateurs, rétablissant le courant, comme son nom l’indique, lorsque la force électromotrice de la machine est revenue à sa valeur normale.
- DISPONIBLE et L’OCCASION MENSUELLE (Le), revue, à Raisinés (Nord).
- DISSOUBRAY, engrenages taillés, 3a, rue de Malte, Paris. Tél. g33-ç)i.
- DISRUPTEUR. — Appareil servant à produire la disruplure, dont le dispositif de base est toujours un fil métallique présentant une solution de continuité, où jaillit l’étincelle dite de disrupture.
- DISRUPTURE. — Lorsqu’on n’attache pas le fil de bougie à la bougie elle-même d’un moteur, mais qu’on l’attache à une distance de 1 à 2 millimètres de la tète, de telle sorte qu’il y ait une solution de continuité dans le courant, on constate que les étincelles de la bougie sont tout aussi puissantes et produisent aussi bien l’allumage du mélange explosif. De plus, phénomène curieux, les encrassements de la bougie ne gênent plus en rien l’allumage.
- C’est ce phénomène électrique, dont l’explication technique a donné lieu à de nombreuses éontroverses, que l’on appelle disrupture. — Voir l’ouvrage L'Allumage, par Baudry de Saunier.
- DISSOLUTION. — Terme technique servant à désigner la transformation d’un
- corps solide à l’état liquide, ou encore l’incorporation d’un liquide dans un autre liquide. Exemple : la dissolution du sucre dans l’eau, la dissolution de l’huile dans la benzine, etc. En automobilisme et en cyclisme, le mot dissolution est spécialement réservé aux préparations de caoutchouc non vulcanisé ou à celles de gutta-percha et similaires liquéfiés au moyen d’un liquide volatil, convenablement choisi (benzine, etc.).
- — Dissolution des gaz dans les liquides. — Cette dissolution est soumise aux deux lois générales suivantes :
- Loi de Henry. — Il existe un rapport constant entre le volume du gaz dissout, mesuré à la pression extérieure après l’absorption, et le volume du liquide absorbant ou dissolvant. Ce rapport est le coefficient de solubilité du gaz dans le liquide employé.
- Loi de Dalton. — Lorsque plusieurs gaz sont dissous par un même liquide, chacun d’eux s’y trouve comme s’il était seul.
- DISTRIBUTEUR d’allumage. — Dans un allumage par bougies, on rencontre deux sortes de distributeurs : les distributeurs de primaire, ou allumeurs ; et les distributeurs de secondaire, auxquels on réserve généralement le nom de distributeurs. (Pour allumeurs, voir ce terme). Le rôle de ces deux catégories d'appareils est nettement défini à l’article Bobine (allumage par bobine et bougies). La construction des distributeurs est en tous points semblable à celle des allumeurs. Elle est môme simplifiée par le fait de la grande facilité de passage du courant à haute tension, qui 11’exige même pas le contact des plots, mais simplement leur proximité. 11 existe, en effet, des appareils où un doigt mobile, relié à une extrémité du circuit, passe simplement en regard des plots isolés reliés aux bougies (C. G. V.). La tendance actuelle est d’employer des frotteurs en charbon, dont le principal avantage est de ne pas être détériorés par les étincelles. — Voir Boudreaux.
- DISTRIBUTION (vapeur). — Le
- mécanisme de distribution d’un moteur à vapeur doit satisfaire à de multiples conditions : ouvrir l’admission avec une légère avance et aussi rapidement que possible ; la fermer instantanément au bout d’une certaine fraction de la course, qui représente l'introduction et qui est suivie de la détente. Puis ouvrir l’échappement avec une avance convenable, en créant à l’écoulement de la vapeur une aussi faible résistance que possible, et le refermer a>ant le point mon opposé pour laisser la compression s’opérer.
- — Moteur à explosions. — Dans ce genre de moteurs, les organes de distribution doivent assurer l’admission du mélange, son inflammation et l’échappement des produits de la combustion. Ces pnénomènes 11e se reproduisant que tous les quatre temps, c’est-à-dire tous les deux tours, les cames pu organes de com-
- Automobiles B EN Z, à Mannheim
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- DOM
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- mande sont montées sur un arbre (arbre de distribution) tournant deux l'ois moins vite que le moteur. En raison de la haute température des gaz, les tiroirs ou organes glissants ne sont pas d’un emploi facile. On 11e peut guère songer, tout au moins, à les appliquer a l'échappement. En l’ait, les soupapes sont uniquement employées en raison surtout de leur bonne étanchéité et des commodités d’entretien qu’elles présentent. Un simple rodage sufiit, en ell’et, à les remettre en état. Enlin, elles se prêtent ou plutôt se sont prêtées à la simplification des distributeurs par l’emploi de soupapes d’admission automatiques. Ces dernières sont de plus en plus rarement employées aujourd’hui, pour des raisons sur lesquelles nous 11e pouvons insister ici. Disons seulement que les soupapes « commandées » augmentent la précision du fonctionnement, diminuent le bruit, se prêtent aux grandes vitesses puisqu’elles 11e peuvent « s’all’oler » par inertie, et enfin permettent une légère augmentation de la puissance spécifique des moteurs.
- La distribution dans un moteur à explosions est en résumé l’ensemble des pignons et roues (tournant à 1/2 vitesse de celle des jiignons) ainsi que des arbres calés sur ces roues, et que des cames fixées à ces arbres, qui ouvrent et forment le passage des gaz dans les cylindres et qui établissent ou rompent le passage du courant électrique dans les cylindres. La distribution ti afse à la fois sur l’admission, l’échappement et l’allumage.
- DIVES (Société d'Electro-Métallurgie de),
- tubes de cuivre sans soudure, feuilles et fils.
- — Bureaux et siège social, 11, place de la Madeleine, Paris. Tel. 2G9-2G et 2G9-II4. — Usines à Dives (Calvados).
- DIVINA (Pièces embouties, marque La).
- — Voir Blanchart et C‘°, Paris.
- DODÉCAGONE. — Figure géométrique à douze angles. —Le côté du dodécagone régulier est donné par la lormulc : r \/ 2—V G.
- DOIGT. — On nomme quelquefois doigt ou doigt d'encliquetage le taquet ou le cliquet qui sert à maintenir par exemple un engrenage dans une position fixe, le doigt pénétrant en ce cas entre deux dents et empêchant ainsi la rotation de la roue dentée. — Voir Cliquet.
- Un doigt est aussi un ergot, un petit morceau de métal, qui lait saillie et qui sert à diriger une pièce pour assurer une bonne emprise sans déviation latérale.
- — Doigt de platine. — Dans les moteurs ù brûleurs, le cylindre était taraudé de façon à recevoir l’extrémité d’un tube-en platine, qui était souvent nommé doigt,. Doiut de platine à cause de sa forme
- de doigt de gant très exacte, et qui était porté à l’incandescence par un brûleur. — Voir Allumage et Brûleur.
- DOIGNON, machines-outils, fournitures pour canots automobiles, 11, rue Hoche, à Malakoff (Seine). Tél. ^i5-4a.
- DOLET-SOUVANT, garage, place du Marché-aux-Blés, à Loches (Indre-et-Loire).
- DOLIZY, machines-outils, 89, rue des Trois-Bornes, Paris. Tél. 93C-87.
- DOLL (Michel), auto-garage, vente d'automobiles, 58, Grande-Rue, à Mazamet (Tarn).
- DOLLAR. — Abréviation: $—Monnaie d'or américaine, valant 5,18 l’r. et pesant 1,67 gr. — Monnaie d’argent américaine,, valant 100 cents, ou 5 fr. 34, et pesant 20,^3 gr.
- DIXI-WAGEN, automobiles. — Voir Fahrzcugfabrik, (Allemagne).
- DIXOLINE, graisse pour engrenages. — Voir Wanncr et C1", Pans.
- DIXON (Joseph) CRUCIBLE C°, graphite pour lubrifier les moteurs, à Jersey City (N. J.), Etats-Unis. — Voir Wagner, Paris.
- DOBELLI (Spartaco), moteurs «à compression retardée et changement de vitesse progressif, vicolo Alboroni, h Rome (Italie). Tel. SiG5. Adr. tél. Dobelli-Ilome.
- DOBIE, garage, Wanvick Ifouse, à Castle-Douglas (Angleterre).
- DOCTEURS. — Au point de vue de la taxe sur les voitures automobiles, voir l’article : Médecins.
- DOLLARD (Pneumatiques), 18. rue Travcrsièrc, à Asnières (Seine). Tél. 34o.
- DOLOIS (Auto-Garage), vente d’automobiles, place Grcvy, à Dole (Jura).
- DOLORÈS COMPANY (The), construction d’automobiles, 21, boulevard des Capucines, Paris. Tél. 2,58-93. Adr. tél. Dolorès-Paris. Directeur: M. A. Ifutchinson.
- DOLSON (John) and Sons, automobiles « Dolson », à Charlotte (Michigan) .,.,tats-Unis.
- DOMANGE (A.) et Fils, pneumatique «Egide», courroies, engrenages en cuir vert, ql\, boulevard Voltaire, Paris. Tél. 901-10 et 901-01.
- DOMANGE Frères, aciers, à Demain. (Nord; ; et 30, avenue de la Grande-Armée,. Paris.
- Société anonyme des Automobiles de la DI 11 D ET
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- DONDER (L. de), vente d'automobiles, Pariserstrassc, à Metz (Alsace-Lorraine).
- DONINELLI (Honoré), fabrique de lunettes automobiles, 36, avenue de la Gare, àîsïce (Alpes-Maritimes).
- DONINELLI (Victor), fabrique de lunettes « Mercedes » pour automobilistes,
- 15, avenue de la Gare, à Nice (Alpcs-M aritimes).
- DONJON et Ci0, garage, 7, rue Joscph-Vernet, à Avignon (Vaucluse).
- DONNAY, garage, vente d’automobiles, avenue des Bassins, à Mous (Belgique).
- DONNE and WILLANS, vente d'automobiles, 29, Gillingham Street, à Londres (Angleterre).
- DOP (Moteurs et Automobiles). — Voir Pruvost (ür M.).
- DORA (Sociclà Industriale Italiana1, accumulateurs « Dora », et accumulateurs [tour traction « Majert » à Gènes (Italie).
- DORE Y (W.-II.) , vente d’automobiles et d'accessoires, 11\, rue Torricelli, Paris. Tel. 556-/17. Adr. tel. Yerod-Paris.
- DORIOT, FLANDRIN et C10, construction de voitures légères et de voiturettes automobiles, 12, rue lludri, à Courbevoie (Bécon-les-Bruycres) Seine.
- DORMANT. — Lorsqu'on se sert d’une poulie ou d'un palan, le dormant est la corde, le brin fixe, sur lequel 011 11e tire pas directement, par opposition au garant, brin tiré par la main du manœuvre.
- DORRIS MOTOR CAR C°, automobiles, 1210 N. Vandcvenler avenue, à SainL-Louis (Etats-Unis).
- DORSAY. — Si, d ans un coupé-baleau
- Dousay de voyage. — Carrosserie Laclaverie et Gâches.
- DOMBRET (Emile), 3g, cours Dalbrct, à Bordeaux (Gironde). — Né à Saint-Etienne,
- le 5 juillet 187/1. Directeur technique de la Société des Automobiles Motobloc. S’est toujours adonné à la mécanique de haute précision ; est entré comme chef de fabrication, puis est devenu directeur technique, à la Société Motobloc.
- DOMBRET-DESCHAMPS
- (Etablissements) outillage pour automobiles, 29,
- DOME. — Pièce métallique en forme do voûte. O11 l’utilise souvent en automobile comme départ de la circulation d’eau, sur le cylindre d’un moteur. Le dôme peut ordinairement être tourné sur sa base, pour faciliter le montage de la tuyauterie.
- DOMECQ-CÀZAUX et C10, ft phono-pompe », 44, rtic Saint-Ferdinand, Paris.
- DOMENGE Fils, garage, vente d’automobiles, square du Gigot, à Aix-les-Bains (Savoie).
- DOMMAGES - INTÉRÊTS. — Le
- chauffeur qui aura causé préjudice à quelqu'un (ou son mécanicien, dont il est responsable), sera passible envers celui-ci de dommages-intérêts. De môme il pourra poursuivre cri dommages-intérêts quiconque lui aura causé préjudice.
- M. Domduet
- rue des Vinaigriers, Paris.
- LACLAVERIE & GACHES
- CARROSSERIE de LUXE
- 9, Hue Montrosier, 9 A NEUILLY-SUR-SEINE
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- (voir Coupe), la partie de la caisse située au-dessous de la glace a peu de hauteur, et si le pied-de-coupè suit une ligne approximativement parallèle au pied-cormier' (pièce de bois formant arele commune au panneau de cote et au panneau du fond), le coupé-bateau prend, dans ce cas, le nom de dorsay.
- DORVAUX, éclairage électrique pour automobiles, 21, rue Saint-Sébastien, Paris. Tel. 931-12.
- DORY-STERNE, bandages élastiques pour roues d’automobiles, 182, rue de Rivoli, Paris.
- DOSEUR D’AIR (Le), pièce accessoire de carburateur. — Voir Grouvelle, Arquem-hourg et Ci0, 71, rue du Moulin-Vert, Paris.
- Le doseur d’air est une sorte de vanne circulaire constituée par de simples billes
- fermant, chacune selon son diamètre, des orifices d'air additionnel. Quand la dépression augmente dans la tuyauterie d’aspiration, la bille la plus légère se soulève et découvre le plus petit orifice. Et ainsi, proportionnellement à l'accroissement de la dépression, des billes de diamètres croissant se soulèvent pour découvrir des orifices de plus en plus grands.
- DOSSIER. — Le dossier d’ une voiture est généralement garni comme le coussin.
- Dans une voiture confortable, le dossier doit avoir une hauteur de 48 à 5o centimètres, au-dessus de la partie supérieure du coussin.
- DOUAI (Forges tfe), siège social, 52, boulevard Ilaussmann, Paris. Tél. 2/|5-42. Société Anonyme au capital de 3 000 000 francs, fondée en avril i8q4. — Composition du Conseil d'administration : MM. le général
- Ti—H
- Doseur d’air Grouvelle et Ar^uemuouro.
- A, entrée d’air constante. — G, pointeau de niveau constant. — D, bouchon de regard du gicleur. — E, E, couronne de billes du doseur. — f, flotteur. — G, II, orifices d’entrée de l’air additionnel. — L, tuyau d’amenée d essence. — Q, gicleur. — S, tuyau d’aspiration sur lequel se monte le réchauffeur. — T, T, canal d’aspiration à double cône. V, V, fenêtre d’entrée d’air additionnel.
- CHArNES RENOLD CHASSIS V, C;a£PJ!i!i!T
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- Sébert, membre de l'Institut; M. Pierre Arbel, fondateur et administrateur-délégué ; MM. Antoine Arbel, Adolphe Salle et Valluy. Administrateur-délégué : M. Pierre Arbel ; secrétaire général: M. Brochard; directeur commercial: M. Bajard; directeur technique : M. Pillon.
- Aciéries, forges, ajustage, emboutissage. Pièces de grosse forge pour la marine, la guerre, les chantiers de constructions navales. Châssis en tôle d’acier emboutie, système Arbel, de tous modèles. Roues pleines embouties, système Arbel, et roues élastiques équiflexibles, système Arbel, pour automobiles. Wagons de grande capacité en tôle d’acier emboutie, système Arbel, jusqu'à 5o tonnes de charge utile. Acier moulé, acier au nickel sous toutes formes, etc.
- DOUANE, machines-outils, 23, avenue Parmentier, Paris. Tél. 900-21.
- DOUANES. — Ce sont les droits perçus pour l’entrée ou la sortie d’un territoire sur certains produits ou marchandises taxés par l’Administration. — Au singulier, se dit de l'Administration chargée du recouvrement même de la taxe.
- A leur entrée en France, les cycles et les motocycles étrangers, ainsi (pie les pièces de vélocipèdes , paient 220 francs (tarif minimum) ou 2Ôo francs (tarif maximum) par 100 kilogrammes pour droits de douane. Ces droits sont remboursables à la sortie du territoire (quel que soit le bureau de douane) sur présentation du récépissé délivré à l’entrée.
- Les membres du Touring-Club de France résidant à l’étranger, qui viennent excursion-11er en France, sont admis à pénétrer sur le territoire français avec leurs machines, sans avoir à consigner les droits d'entrée, sur simple présentation de leur carte de sociétaire de l’année en cours. Tous les cyclistes et motocyclistes étrangers doivent néanmoins, si leur séjour en France ne dépasse pas trois mois consécutifs, conformément aux dispositions de l'article 4 du décret du 10 décembre 1898, se munir d'un permis de circulation, timbré à o JV. Go. Cette pièce est délivrée aux frais des intéressés par le bureau des douanes du service d’entrée. Dans le cas où le séjour des voyageurs se prolongerait au delà du délai sus-indiqué, ils seraient tenus de faire apposer sur leur véhicule la plaque de contrôle prévue par l'article ier du décret précité. Cette plaque est- délivrée par tout percepteur après versement total de la taxe exigible.
- — Les voitures automobiles pesant plus de i2Ô kilogrammes et servant au transport des personnes paient 5o francs (tarif minimum) et Go francs (tarif maximum), les 100 kilogrammes. Si leur poids est inférieur à 125 kilogrammes, le tarif applicable est de 120 francs (tarif minimum) et i5o francs (tarif maximum) par 100 kilogrammes.
- Les touristes étrangers venant faire en France un séjour momentané avec leurs automobiles doivent déposer à la douane la caution demandée, laquelle est restituée par n'importe quel bureau, à la sortie. Les automobilistes munis de triptyques sont dispensés de ces formalités.
- Tout récemment, la Direction générale des douanes a décidé que les touristes venant de l’étranger en France, avec leurs voitures automobiles, pourront désormais aller et venir sans être obligés de s'arrêter à la frontière pour se faire rembourser la somme consignée comme droit d'entrée.
- 11 leur suffira de faire viser à chaque [tassage la pièce qui leur aura été délivrée en entrant la première fois, et ils n'auront plus à demander la restitution de leur dépôt qu’au retour définitif à l'étranger, dans le délai prescrit.
- A l’exception de l'Allemagne, du Luxembourg, des Pays-Bas, du Portugal, du Danemark et de l’Angleterre, où les bicyclettes 11e paient aucun droit si l’on s'en sert comme instruments de voyage, les cyclistes allant de France à l’étranger doivent déposer des droits à la douane étrangère.
- Les membres du T. G. F. porteurs de leur carte de l’année, légalisée, et indiquant le numéro de leur machine, sont dispensés de ces formalités pour la Belgique, la Suisse et l’Italie. A la sortie de France, ne pas manquer de faire plomber sa bicyclette à la douane française.
- En Autriche-Hongrie, les droits de douane sont de G2 fr. 5o par machine; en Espagne, de 7 pesetas par 10 kilogrammes; aux Etats-Unis, 45 0/0 de la valeur de la machine. Sauf pour les Etats-Unis, les droits sont remboursés à la sortie sur présentation du passavant délivré à l’entrée.
- — Les automobiles allant de France à l'él ranger sont- également soumises à des droits de douane à l'entrée de tous les pays, excepté l’Angleterre où l’entrée est absolument libre.
- Ces droits sont remboursés à la sortie par le bureau de douane par lequel on quitte le territoire. Ils sont de :
- Allemagne : 8 marks par 100 kilogrammes ; Belgique : 12 0/0 de la valeur; Espagne : sur le moteur, 18 fr. 5o les 100 kilogrammes; sur les voitures, suivant leur forme : voitures à 4 places, landaus, 1 000 pesetas la pièce ; berlines, omnibus de plus de i5 places, 3i2 pesetas 5o, la pièce; Etats-Unis : l\5 0/0 de la valeur; Grèce : voitures à 3 roues : 3oo francs! à 4 roues : 4oo francs; Italie : motocycles à 2 ou 3 roues : 42 francs, la pièce ; voitures pesant jusqu’à 5oo kg., 200 fr. ; de 5oi à 1000 kg., 4oo fr.; de 1001 kg. et au-dessus, Goo francs; Russie : motocycles (une place) : 27 roubles, plus les droits sur les machines, 12,80 roubles par 100 kilogrammes, soit 106 francs pour un motocycle de 100 kilogrammes; voitures et voiturettes à 4 roues : à 2 places, 1G2 roubles ou 432 francs; à
- L. BONNEVILLE
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- 4 places, 23^,Go roubles ou 033 francs ; Suède : i5 0/0 de la valeur pour importation définitive et 5o 0/0 pour importation temporaire. Cette dernière consignation est remboursée à la sortie sur présentation du reçu délivré à Tentrée par n’importe quel bureau, mais plus facilement par le bureau d'entrée. Suisse : (io francs par 100 kilogrammes sur le poids brut de la voiture ou l\ francs par 100 kilogrammes sur le poids du moteur, si ce poids peut etre déterminé exactement; Turquie : 8 0/0 de la valeur.— Voir Tarif des Douanes, Triptyques et Zones franches.
- Le service des douanes françaises est tenu de percevoir les droits d’entrée sur les combustibles (pétrole, essence, alcool, etc.) contenus dans le réservoir des moteurs des automobiles ou motocycles pénétrant en France. Cette perception devant etre faite exclusivement par les agents du service sédentaire, il s’ensuit nécessairement que les automobilistes et motocyclistes ne peuvent pénétrer en France que pendant les heures d’ouverture des bureaux.
- Ges heures sont :
- i° Four la période du ior avril au ior octobre : de 8 b. à midi et de 2 h. à 7 h. du soir ;
- 2° Pour la période du 101 octobre au Ier avril : de 8 h. à midi et de 2 h. à G h. du soir.
- Les bureaux sont fermés les dimanches et jours de le te.
- — Ronneville, 52, boulevard Carnot, Toulouse (Haute-Garonne). — Agence en douane.
- DOUANES (Direction générale des), pavillon de Rohan, palais du Louvre, à Paris. Tél. io5-32. Directeur général : Brunet. Douane centrale, 11, rue de la Douane,
- Paris, bureau spécial pour admissions temporaires, passavants, retours, etc., d’automobiles. — Voir Tarif des Douanes.
- DOUANES ÉTRANGÈRES. — (Nota. — Les droits de douane étant susceptibles d'être changés continuellement par de nouvelles conventions internationales, ne sont indiqués ici quà titre de simple renseignement, sans aucune garantie).
- — Automobiles. — Les droits de douane qu’ont à acquitter les voitures automobiles et les motocycles fabriqués en France, à leur entrée en pays étrangers, sont :
- — Allemagne :
- — 125 francs, par 100 kilogrammes, pour un poids net par unité de moins de 5o kilogrammes ;
- — (j3 francs ^5, pour un poids net par unité de 5o à 100 kilogrammes;
- — 87 francs 5o, pour un poids net par unité de 100 à 200 kilogrammes;
- — 5o francs, pour un poids net par unité de 25o à 5oo kilogrammmes ;
- — 3i francs 20, pour un poids net par unité de 5oo à 1 000 kilogrammes ;
- — 18 francs ^5, pour un poids net par unité de plus de 1 000 kilogrammes.
- — Australie : 20 0/0 de la valeur.
- — Autriche-Hongrie : i5o couronnes, par 100 kilogrammes, pour les automobiles 110 dépassant pas 4<)0 kilogrammes.
- 120 couronnes, par 100 kilogrammes, poulies automobiles pesant de /joo à 1 800 kilogrammes.
- 100 couronnes, par 100 kilogrammes, pour les automobiles pesant de 1 800 à 3 200 kilogrammes.
- — Belgique : 12 0/0 de la valeur.
- — Bolivie : 25 0/0 de la valeur.
- — Brésil : Go 0/0 de la valeur.
- — Canada : 35 0/0 de la valeur.
- — Chine : 5 0/0 de la valeur.
- — Colombie : o franc i5 par kilogramme.
- — Cuba : 25 0/0 de la valeur, plus une-surtaxe de 20 0/0.
- — Danemark : 83 francs 4o la pièce.
- — Egypte : 8 0/0 de la valeur.
- — Equateur : o franc 20 par kilogramme.
- — Espagne : 1 000 francs la pièce.
- — Grèce : 3oo francs la pièce.
- — Indes Néerlandaises : G 0/0 de la valeur.
- — Italie : 200 francs la pièce (moins de-5oo kilogrammes) ; 4°° francs (de 5oo à 1 000* kilogrammes) ; Goo francs (plus de 1 000 kilogrammes).
- — Japon : 10 0/0 de la valeur.
- — Maroc : 10 0/0 de la valeur.
- — Mexique : 3 francs 3o par kilogramme (moins de 25o kilogrammes) ; 2 francs ^5 (200 à ^5o kilogrammes) ; 2 francs 20 (plus-de 700 kilogrammes); chacun des 25o premiers kilogrammes payant toujours 3 francs 3o* par kilogramme, et au delà 2 francs y~) jusqu’à ^5o kilogrammes.
- — Nicaragua : 1 franc par kilogramme.
- — Norvège : 12 0/0 de la valeur.
- — Paraguay : 55 0/0 de la valeur.
- — Pays-Bas : 5 0/0 de la valeur.
- — Perse : 10 0/0 de la valeur.
- — Portugal : G72 francs la pièce.
- — République de Costa-Rica : o franc 52. par kilogramme.
- — République Dominicaine : 200 francs, la pièce.
- — République de Honduras: 0 franc20 par kilogramme.
- — Roumanie : 180 francs par 100 kilogrammes (moins de 100 kilogrammes);. 100 francs (de 100 a a5o kilogrammes) ; 120 francs (de 25o à 5oo kilogrammes^ (jo francs (de 5oo à 1 000 kilogrammes) Go francs (au-dessus de 1 000 kilogrammes) ; 180 francs (pièces détachées), par 100 kilogrammes.
- — Russie : 58G francs (à 4 places) ; 3^3 francs, (moins de 4 places); 18G francs (châssis); 53 francs (motocyclettes à 2 roues); i5G francs-^motocycles à 3 roues); 3^2 francs (motocycles à 4 roues).
- — Serbie : 100 francs la pièce. ,
- — Siam : 3 0/0 de la valeur.
- — Suède : i5 0/0 de la valeur.
- — Suisse : l\o francs par 100 kilogrammes (non recouverts de cuir et non rem-
- GLADIATOR 1907
- 4 TYPES
- 14. 18, 24 et 30-35 chevaux
- 4 *T 6 CYLINDIIXS
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- bourrés) ; Go francs par roo kilogrammes (recouverts de cuir ou rembourrés).
- — Turquie : 8 o/o de la valeur.
- — Union Douanière Sud-Africaine . : 5 livres, par ioo kilogrammes.
- — Uruguay : 48 o/o delà valeur.
- — Venezuela : o franc 10 par kilogramme.
- — Zanzibar : 5 o/o de la valeur.
- — Vélocipèdes. — Les droits de douane subis par les vélocipèdes et les pièces dé lâchées fabriqués en France, à leur entrée en pays étranger, sont de :
- — Allemagne : i2Ô francs la pièce.
- — Australie : 20 0/0 de la valeur.
- — Autriche-Hongrie : 187 francs 5o la pièce, s'ils sont garnis en cuir et rembourrés ; ou (>2 francs 5o, s’ils 11c sont ni garnis ni rembourrés.
- — Belgique : 12 0/0 de la valeur.
- — Bolivie : 35 0/0 à évaluer.
- — Brésil : 25 0/0 de la valeur.
- — Canada : 3o 0/0 de la valeur.
- — Chine : 3 baïwkans taëls (environ
- i!\ francs).
- — Colombie : 1 franc o3 par kilogramme.
- — Cuba : 20 0/0 de la valeur, plus une surtaxe de 25 0/0.
- — Egypte : 8 0/0 de la valeur.
- — Équateur : 1 fr. 25 par kilogramme.
- — Espagne : 70 francs par 100 kilogrammes.
- — Grèce : 20 francs la pièce.
- — Ilaïli : 10 francs la pièce.
- — Italie : 35 francs la pièce (à 2 roues) ; 42 francs la pièce (à 3 roues); 100 francs, par 100 kilogrammes (pièces détachées).
- — Japon : 10 0/0 de la valeur.
- — Maroc : 10 0/0 de la valeur.
- —- Mexique : 5 francs 5o par kilogramme (vélocipèdes et pièces détachées); 1 franc 5o (tricycles sans jantes de caoutchouc.
- — Nicaragua : 1 franc 5o par kilogramme.
- —• Norvège: l\0. francs, la pièce ; 3 francs 5o par kilogramme (pièces détachées).
- — Perse : 10 0/0 de la valeur.
- — Portugal : 27 0/0 de la valeur.
- — Bèpubliquc de Cosla-Rica : 2 franc 88 par kilogramme.
- — République Dominicaine : 5o francs la pièce.
- — République de Honduras : 2 lianes par kilogramme.
- — Roumanie : 220 francs par 100 kilogrammes.
- — Russie : 80 francs la pièce.
- — Serbie : 3ofrancs (bicyclettes) ; Go francs (tandems).
- — Siatn : 3 0/0 de la valeur.
- — Suède : 34 francs j5 la pièce ;
- 2 francs 78 par kilogramme (pièces détachées).
- — Suisse: 12 francs et 20 francs la pièce (suivant origine) ; 25 francs et 35 francs (tricycles et quadricycles).
- — Turquie : 8 0/0 de la valeur.
- — Union Douanière Sud - Africaine : 12 livres 10 par 100 kilogrammes,
- — Uruguay : l\& 0/0 de la valeur.
- — Venezuela : o franc ^5 par kilogramme.
- — Zanzibar : 5 0/0 de la valeur.
- (Extraits* en partie, de VAnnuaire du Commerce Didot-Bottin.)
- DOUHAIRET, garage, place du Port-Villiers, à Châlon-sur-Saôue (Saône-et-Loire).
- DOUBLE-PHAÉTON. — Voiture découverte ayant deux sièges de maîtres, parallèles, à deux places (celui d’arrière quelquefois à trois places) et faisant tous deux face à la route. L’entrée des places intérieures se fait très rarement par l’arrière, le plus souvent par le côté ou par l’avant. Dans ce dernier cas, une des places de la banquette avant pivote ou bascide autour d’un axe pour permettre d’accéder aux places arrière. C’est le type de voiture découverte le plus employé actuellement en automobile.
- L’arrière d’un double-phaéton peut comporter des banquettes rondes ou carrées. Toutes les fois que la parclose sera carrée, la voi-
- Dolule-Phakton, avec un siège de SPIDER D, dais. — S, spider.
- turc sera dénommée double-phaéton coins carrés, même si l'entrée s'en effectue par l'arrière.
- Le double-phaéton est transformé en tonneau s’il réunit en même temps ces trois dis-
- Douule-Phakton. avec l’entrée
- PAR ARRIÈRE J
- positifs : entrée s'effectuant par l’arrière, coins arrondis, et brisements de la banquette arrière se rattachant au siège avant.
- Les brisements (côtés latéraux des banquettes) du double-phaéton peuvent 11e pas se raccorder au dos du siège-avant ; tandis que, dans le tonneau, ils forment toujours une enceinte fermée, un grand baquet, une sorte de tonneau coupe en deux par le milieu.
- AUTO-GÉNÉRALE J SALLERON Automobiles Brasier
- 16i rue Duret — PARIS "ÆSSk LÉOJ'l I30LLÉE
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- Le doublc-phaéton comporte quelquefois un troisième siège à l’arrière, un siège dè spi-der pour domestique.
- Les voitures automobiles genre double-phaéton ne doivent pas être taxées, au point de vue transport par chemin de 1er, à o fr. 32, mais à o l‘r. 25, par kilomètre. (Jugement du Tribunal de Commerce, 14 novembre 1904.)
- DOUÉ (Emile), ingénieur, 5o, rue Per-golèse, Paris. — Membre fondateur de la Chambre Syndicale des Inventeurs.
- DOUILLE. — Les douilles sont des bouts de tube qui servent à assembler des tiges ou des tubes, soit entre eux, soit avec d’autres pièces. Les douilles sont ou cylindriques ou coniques; les pièces auxquelles elles sont liées sont assemblées avec elles par goupillage, brasage, soudure, vis de ser-
- rage, clavettes, etc. Les douilles sont en réalité des manchons intérieurs ou extérieurs à la pièce à laquelle ils sortt unis (fig. 1).
- Les roues en bois avaient, souvent autrefois leurs rais R (fig. 2) ceinturés par une douille en métal D (acier ou bronze) qui les réunissait à la jante J.
- DOXSEY, garage, Saint-George’s Parade, à Cheltcnham (Angleterre).
- DOZE et FONTANA, garage, 8, boulevard Carnot, à Cannes (Alpes-Maritimes).
- DRAEGER Frères, imprii nerie, clichés industriels, 4G, rue de Bagncux, au Grand-Montrouge (Seine). Tel. ^iS-fiG.
- DRAIS. — Le baron Brais de Sauerbron, « agriculteur-ingénieur » de Bade, modifia, en 1818, le célérifère en le dotant d’un gouvernail pour conduire la roue d’avant et lui donna le nom de draisienne. Il mourut dans un couvent à Carlsruhe, en 1851.
- DRAISIENNE. — Célérifère modifié
- NE DRAISIENNE
- par le baron Drais, en 1818. La modification consista surtout en l’adjonction a un gouvernail.
- DRAISINE. —Voitures automotrices circulant sur rails et employées ordinairement pour la visite dos voies. Les premières draisines étaient des sortes de cycles mus à bras ou aux pieds. Il s’en est fait d’automotrices depuis les applications du moteur à explosions aux voitures automobiles. Cet instrument doit pouvoir, théoriquement, être déraillé très rapidement, par ceux qui le montent, à l’approche d’un train ou d’un obstacle. Un des derniers modèles construits est celui de M. Campagne. Sa draisine, construite pour la ligne Sfax-Gafsa, est spécialement utilisée sur des chevalets provisoires, lors de la destruction partielle de la voie ferrée. — Voir Purrey.
- — Ateliers Germain, à Monceau-su r-Sam-bre, par Marchienne-au-Pont (Belgique).
- DRANCE, garage, vente d’automobiles, 38, quai Gaston-Boulet, à Rouen (Seine-inférieure).
- DRAYCOTT MOTOR C°,garage, vente d’automobiles, Draycott Mills, à Derby (Angleterre).
- DRESCHER (Willy), cuirs pour carrosserie automobile, i4, rue des Mathurins, Paris. Tél. 22G-72.
- DRESSER. — Dresser, c’est rendre plane une pièce métallique à la raboteuse ou à la fraise, en en enlevant, ordinairement avec la lime, les bavures ou les défectuosités de la surface.
- DREUX, garage, 2,5. rue Hugues-Legrand, à Provins (Seine-et-Marne).
- DREVDAL, BINOCHE et O, accessoires et bobines d’allumage, 3o, rue Amelot, Paris. Tél. g3i-42.
- DREWITT, garage, vente d’automobiles, Northfield End, à Henley-on-Thames (Angleterre).
- DREYE, garage, vente d’automobiles, 21, rue des Rôtisseurs, à Cambrai (Nord).
- DREYFUS Frères (Société métallurgique de la Seine), pièces détachées pour automobiles, fers, aciers, 11 bis, rue d’Abbeville, Paris. Tél. 9.oi-ol\.
- DRIGUET Aîné, carrosserie automobile, GG, boulevard de l’Hôpital, Paris. Tél. 8o3-io. Maison fondée en 1824.
- DRIGUET Jeune, carrosserie automobile, 158, boulevard de la Gare, Paris.
- Tél. 821-85.
- DRILLE. — Instrument servant à percer
- l’s imu.i.E
- de petits trous dans le bois ou le métal, au moyen d’un foret animé d’un mouvement
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- 1) U B
- rotatif alternatif. Pour les trous d'un diamètre supérieur à 2 millimètres, cet instrument n’est pas assez puissant; on doit alors se servir des machines à percer.
- DROIT. — Un angle droit est formé par une ligne droite perpendiculaire à une autre droite. Il mesure gou (quart de la circonférence).
- DROITE. — Mot employé pour ligne droite. La ligne droite possède des propriétés élémentaires et évidentes constituant des notions indémontrables. On définit vulgairement la ligne droite : « une ligne qui est le plus court chemin d’un point à un autre ».
- DROSSES. — Filins d’acier qui transmettent au gouvernail d’un canot automobile les manœvres de commande.
- œ —-*(. .i — '•scvnn
- DROUARD, imprimerie industrielle, papeterie, 3, rue Saint-Benoit, Paris. Tél. 723-70.
- DROUELLE (G.) et Cle, vente d’automobiles et de voitures électriques, 90, avenue de la République, Paris. Tél. 916-37.
- DROUET, mica en gros, 101, rue de la Glacière, Paris. Tél. 818-28.
- DROUIN (Paul), 210, rue du Faubourg-Sainl-Dènis, Paris, — Né à Paris, le 4 août 1870. — Officier d’Acadcmie.—Rédacteur en
- chef de l’Echo des Sports (qu’il a fondé, le 25 septembre igo4).
- A n cio n r é-daeteur à de nombreux journaux ou revues : Paris-Vélo, le Journal des Sports, la Bicyclette (i8g3 à 1898), le Fe7o (1898-1904); A collaboré à divers journaux quotidiens et hebdomadaires; ex-membre, ex-président de nom-M. Paul Dnou in breuses sociétés
- sportives de i8g3 à 1900.
- DROUNAU, garage, vente d’automobiles, impasse Saint-Martin, à Cognac (Charente).
- DRZEWIECKI (Stéphane), 5, rue Gus-tave-Zédé, Paris. — Né à Kunka (Russie), en 1844. — Chevalier de la Légion d’honneur, officier de l’Instruction publique ; ordres de Saint-Vladimir, Saint-Georges, etc. — Ingénieur. — Pionnier de l’aviation et de la navigation sous-marine. S’est spécialisé actuelle-
- ment dans l’étude des bateaux sous-marins et appareils lance-torpilles qu’il construit en Russie et en France.
- DUBAR et MOTELEY, emballages d’automobiles, 6 et 7, rue d’Engliien, Paris. Tél. 161-og.
- DUBARRY. fonderie de fer et, d’acier, 127, avenue Philippe-Auguste, Paris. Tél. 912-66.
- DUBERNET. garage, place Grammont, à Pau (Basses-Pyrénées).
- DUBIED (E.) et C‘% visserie de précision, bougies, boulons de sécurité, valves, à Couvet (Suisse) ; et à Pontarlier (Doubs). — Adr. Tél. Dubied et Cie-Couvel. Tél. : Dubied et Ç'^-Couvet.
- DUBOIS (A), fabrique de camions automobiles, 7 à 13, rue Saint-Arnaud, Paris. Tél. 712-63.
- DUBOIS ‘Jules), 29, avenue de la Grande-Armée. — Né ,à Paris, en 1862. — Ancien coureur à pied, s’adonna au grand bi, puis à la bicyclette ; remporta de très nombreux succès sur ces deux sortes de machines ; se rencontra souvent en course avec Duncan, de Civry, Tcr-ront, Stéphane,
- Charron, Echa-lié, etc. Courut Paris-Brest,
- Paris - Nantes -Rouen, lit (en 1902) 5oo kilomètres sur piste eu 17 heures, record magnifique à cette époque, gagna Paris -Trouville, c. o u r ut B 0 r -d e au x-Pa r is ,
- Paris-Ostende, etc. Très souvent vainqueur, très souvent poursuivi par la « guigne », Dubois fonda la maison de cycles a Rouxel et, Dubois » ; puis abandonna définitivement le cyclisme pour l’automobile, en 1899. —• Actuellement, agent commercial à la Société Ilérald.
- DUBOIS, garage, rue du Chemin-de-Fer, à Lagny (Seine-et-Marne).
- DUBOIS, garage, vente d’automobiles, au Mayet-de-Montagne (Allier).
- DUBOIS (Paul), machines-outils et accessoires, 26, rue Corbeau, Paris. Tél. 422-3o. — Maison fondée en 1842.
- DUBOIS et Cle, garage, 58, rue du Gazomètre, à Tours (Indre-et-Loire).
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- DUBOIS (Usines M), fabrique d'automobiles, 3a, rue de la Boule-d'Or, à Niort (Deux-Sèvres). Tel. ^3. Adr. tel. Dubaulo-Niort.
- DUBONNET (Marie-Aimé, dit Marins), 78, avenue Malakoff, Paris. Tel. Ogo-65. —
- Né à Paris, le 26 août 1855. — Chef de la maison Dubonnct.— Membre actif ou honoraire, président actif ou honoraire de nombreuses sociétés sportives. Membre de l’Académie des Sports. — S'intéresse à tous les sports : aviron, escrime, sports athlétiques, lutte, automobile, bateau à pétrole, clc. Pratique tous les sports et aide de toutes ses lorccs <à leur développement.
- DUBOUT et Ci0, garage, vente d’auto-snobiles, 83, boulevard-Daunou, a Boulognee sur-Mer (Pas-de-Calais). Tel. i-64-
- DUBREUIL et PARMENTIER, vêtements pour mécaniciens. 34 et 3b, rue Montorgueil, Paris. Tel. 273-G2.
- DUBRULLE (Louis\ 28 bis, rue de Villeneuve, à Clichy (Seine). — Un de nos
- meilleurs spécialistes du graissage. Tél. 42 Clichy. Adr. tél. Dubrulle- Graisseur - Clichy- — Propriétaire de sa maison, fondée le ior mai 1898. — Fabrique de graisseurs.
- DUBUC-GUILLEMIN,
- garage, vente d'automobiles, à Dole (Jura).
- DUC. — Voiture découverte à deux places de maîtres à l’avant, tet comportant généralement un siège de spider à l’arrière, réservé exclusivement au domestique.
- Lorsque la voiture appelée mylord (voir ce mot) n’a pas de siège à l’avant pour le domestique et qu’elle est conduite par le maître lui-mème, elle perd le nom de mylord et
- s’appelle duc, à moins toutefois que cette banquette n’ait une forme rotonde (coins
- arrondis), auquel cas cette voilure est nommée phaèlon si elle a une capote.
- De même que le coupé (voir ce mol), le duc peut être duc-carre ou duc-bateau.
- DUCASBLE, représentant de MM. En-glebert et C'°, pneumatiques, 150, avenue Malakoff, Paris, Tél. 072-08.
- DUCASBLE (Sociétéde l’Automatique), bandages démontables, 5, avenue du Boule, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- DUCASSE (Albert), l\, cours de Gotir-gues, à Bordeaux (Gironde). —Né à Bordeaux, le 12 août 1874- — Administrateur-délégué de la Société des Automobiles Motobloc. — Après de solides études de droit, fut attiré par l'industrie nouvelle de l’automobile dont il fut un des premiers fervents. — Un des fondateurs de la Société Motobloc.
- DUCELLIER (Gabriel), 2.3, passage Du-bail, Paris. Tél. 4o4-G8. — Né en 18G2. — Créateur et fabricant des phares qui portent son nom; sportsman distingué; membre de toutes les Chambres syndicales de l’industrie de l’automobile et du cycle.
- G. Du cellier débuta dans l'industrie à l’àge de iGans,en 1878, dans la manufacture de lanternes dont il est actuellement le directeur et le propriétaire ; il compte aujourd’hui vingt-sept ans de pratique industrielle. — Membre du Jury (Paris 1900 et Milan 190G). — Grand Prix (Liège ipoG). La maison Ducellier fut fondée en i83o pour la
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- M. G. Ducei.i.ieh
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- fabrication des lanternes de voilures ; elle se transforma en 1887 en « Société Difcellier et Cle » ; puis devint, en 1893, la propriété de M. Gabriel Ducellier, qui lui donna sa raison sociale actuelle : « Manufacture des Phares Ducellier ». — Fabrication de phares à acétylène, de générateurs, de projecteurs, de lanternes à essence au pétrole et à l'électricité. Projecteurs à lumière oxy-cthérique. Projecteurs à éclipse, etc.
- La « Manufacture des phares Ducellier » occupe 3oo ouvriers et couvre une superficie de 1 000 mètres carrés.
- DUCHESNE (Louis), à Epinay (Seine).
- — i\é à Epinay, le 19 avril 1849. — Officier de l’Instruction publique, chevalier du Mérite agricole. -- Membre du Conseil du T. G. F.; secré-I a i ro-a rchivistc du T. G. F. —Auteur des cartes cycliste et automobile de l’Etat-Major au 8o/ooo° des environs de Paris.
- M. ]>i;ciii:sm: DUCHÉNE
- (manivelle). —
- Voir Monluuban et. Marchandier.
- DUCLOS (Albert),' vente d'automobiles, à Brionne (Eure).
- DUCOMMUN (Ateliers de constructions mécaniques ci-devant), camions automobiles, machines-outils, tours, à Mulhouse (Alsace) ; et 18, boulevard Magenta, Paris.
- DUCOUDUN, phares, 101, rue du Faubourg-Saint-Denis, Paris.
- DUCREUX et MARTIN, lanternes et phares, !\-j, rue Montesquieu, à Lyon (Rhône).
- DU CROS (Harvey). 14, Regent Street, à Londres (Angleterre). Né à Dublin (Irlande), le 8 septembre 18 y G. — Membre de l'Automobile Club de France ; Membre de l’A. G. de Grande-Bretagne. Concessionnaire exclusif des Panhard-Levassor pour l’Angleterre. Président de Dunlop Pneumatic Tyre C°, Ltd, et de la Société Française des cycles Clément et Gladiator.
- Succursales : 1, rue des Acacias, Paris ; et i5, South King Street, à Dublin (Irlande).
- DUCROS MERCÉDÈS, vente d'automobiles « Mercédès », Long Acre, à Londres (Angleterre).
- DUCROT Frères, quincaillerie pour carrosserie, 46, rue du Rocher, Paris. Tél. 565-23.
- DUDERSTADT METALLWA-RENFABRIK, 1 èrrures pour carrosserie automobile, à Esslingen (Wurtemberg).
- DUDOY, garage, vente d’automobiles, à Gisors (Eure).
- DUERR and C°, vente d'automobiles, Broadway et 58 th. Street, à New-York (Etats-Unis).
- DUFAU et Cin, carrosserie automobile et fabrique de roues, 267, rue Judaïque, à Bordeaux (Gironde).
- DUFAUX (II. et A.) et Ci0, moteurs légers et bicyclettes à moteurs La Mo/.osu-coche et motocyclettes, route des Acacias, à Genève (Suisse). Tel. 4338. Adr. tel. : Moto-sacoche-Genève. — Société Anonyme au capital de 2 millions de francs. — Succursale : 20g, boulevard Péreire, Paris.
- DUFAUX (Henri et Armand), nés à Genève, le premier, le 18 septembre 18^9; le second, le i3 janvier i883. — Petits-fils du célèbre polémiste
- I lenri Rochefort.—
- Se sont adonnés de très bonne heure à la mécanique ; et , après avoir porté leurs efforts sur la création de bicyclettes à moteur, ont inventé
- II Motosacoche , dont ils avaient jeté les bases dès 1899. — Une Société anonyme, au capital de 2 millions, s’est constituée à Genève pour exploiter les brevets Dufaux. Cette Société occupe actuellement 4oo ouvriers; et, les commandes étant toujours de plus en plus nombreuses, une nouvelle Société au môme capital se forme egalement à Turin.
- — Toujours à la recherche du nouveau, en mécanique, MM. Dufaux ont fait, avec succès, de nombreux essais d’aviation , et ont construit un fort intéressant hélicoptère aéroplane.
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- (Georges), négociant, 90, avenue des Champs-Elysées, Paris. Tél. 522-54-
- M. IIknri Dufaux
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- DUFF Mfg C°, fabrique de crics “Duff”, à Alleghany (Pennsylvania), Etats-Unis.
- DUFOUIL, garage, 29, rue Thiers, à Vannes (Morbihan).
- DUFOUR (C.), pneumatiques antidérapants cuir Le Marquis, 23, rue de la Cerisaie, à Charenton (Seine). Tel. 147• Adr. tel. Pneu-matiques-Charenton. Maison de vente : 26, rue de Turin, Paris. Toi. 284-4-6.
- DUFOUR (Carlo), canots automobiles, moteurs de marine, à Gènes (Italie).
- DUFOUR (G.), carrosserie automobile, garage, 61, rue Victor-Iiugo, à Périgucux (Dordogne). ;
- DUFOUR (Socié lé Anonyme des Camions et Moteurs), fabrique de camions automobiles, 19, rue de la République, à Marseille (Bouches-du-Rhône).
- DUGAD, vente d’automobiles et de cycles, 4, rue Morand, à Besancon (Doubs).
- DUGAS, vêtements do sports, 10, boulevard Sébastopol, Paris.
- DUGNAT, gara g e, 9, rue de l'IIôtcl—de— Ville, à Dieppe (Seine-Inférieure).
- DUHAMEL (Charles), garage, x3, quai du Pothuis, à Pontoise (Seine-et-Oise). Tel. 107. Adr. tél. Duhamel-Autos-Pontoise.
- a •=. 1,077, r coefficient de rayonnement (2,77 pour la tôle ordinaire, f coefficient de convection, variable suivant la vitesse de déplacement de l’air devant la paroi chaude.
- DUMAS (Stéphane), 10, rue Emile, à Saint-Etienne (Loire). Tél. 88. -— Né à Saint-Etienne, le 24 février i8G5. Officier d’Académic. — Secrétaire général et l'un des principau x fondateurs de l’Au-lomobilerClub f'o-rézien ; s’occupe spécialement d'organisation de courses, de concours.
- — Collaborateur à de nombreux journaux sportifs.
- DUMAS , garage, rue de l’Iler-mitage-, a Tain (Drôme).
- _ M. Siérn.vMi Dumas
- DUMESNIL et DURAND
- aciers à cémenter — Voir Durand (.-!•), successeur.
- DULAC, mécanicien-constructeur, 189, avenue Gambetta, Paris. Tél. 921-76.
- DUMETZ, garage, 8, (Pas-de-Calais).
- me Ghanzy, à Arras
- DULIEUX et Cle, garage, vente d’automobiles, 38, place du Théâtre, à Lille (Nord).
- DULONG et PETIT (Formule de).— Cette formule, modifiée parPequelet, permet de trouver la quantité de chaleur échangée au travers d’une paroi par un lluide avec un autre fluide présentant avec lui une différence de température.
- Cette formule, qui comprend la chaleur émise par rayonnement et par convection, donne pour la valeur M de la quantité de chaleur transmise en calories M = QS (T*—T.)
- Q étant le coefficient de transmission.
- S la surface du corps.
- Tt la température du corps chaud.
- T0 la température du corps froid.
- Le coefficient de transmission est fonction du coefficient do rayonnement et de celui de convection. Il varie entre 8 et i5 calories, par mètre carré de surface, par heure et par degré de différence de température.
- Le ..coefficient de transmission Q est donné par
- T0( T—T0 n mua \a Q = M
- r -f-
- o,5Ô2 (Ti—To)1,233 , T,—T„ '
- DUMOND (G.), carrosserie automobile, 4o, rue dcVilIcjust, Paris. Tél. 56o-8/|.
- DUMONT (Gu slave), de la maison Ar-mengaud Aine, 21, boulevard Poissonnière, Paris. Tél. 111-9/1.
- DUMONT (Paul), 177,1-00 deGourcelles, à Levallois-Pcrret (Seine). Tél. 534-41- —Né à Saint-Paul (Pas-de-Calais), le 20 février 1878. — Ingénieur civil des Mines. - Ingénieur de la maison Bayard-Clëment, 33, quai Michelet, à Levallois-Pcrret (Seine).
- DUMONT, vente d'automobiles, réparations, impasse Laugier, Paris.
- DUMONT, garage, 20, boulevard des Ecoles, à Lens (Pas-de-Calais).
- DUMONT et C*'’, garage, 9, rue Grande, à Evreux (Eure).
- DUMONTP ALLIER (L ouis), secrétaire général de l’Automobile Club de France, 22, rue de Tocqueville, Paris. — Chevalier de la Légion d’honneur.
- DUMOULIN, 1 miles et graisses pour automobiles, 18, rue de Normandie, à Asnières (Seine). Tél. 203.
- Société anonyme des Automobiles de la EJ I 11 EJ C
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- DUNCAN (lie rbert-Osbaldeston), 9, impasse Bayèn, Paris. Tel. 084-62. -- Né à Londres, le 22 novembre 1862. — Administrateur pour la France de la Société « De Dion-Bouton Limited», de Londres, agent exclusif pour l’Angleterre et les colonies anglaises. — Ancien directeur pour la France et l’Espagne de la Compagnie des M. Duncan cycles Rudge Cy-
- cle C° Limited, de Coventry ; ancien directeur pour la France des cycles Humbcr et C°, de Bee.ston (Angleterre). Célèbre coureur cycliste (i885-i8g5).
- DUNCAN, forges portatives, 168, boulevard de la Villette, Paris. Tel. 4oi-5i.
- DUNHILL (Alfred), Ld, fabrique de phares et do lanternes, 35g, Euston Road, à Londres (Angleterre). — Succursales à Manchester et à Edimbourg.
- DUNLOP. — Vétérinaire irlandais qui réalisa le premier pneumatique de bicyclette pratique vers 188G.
- DUNLOP (Société / 'rançaise des Pneumatiques), 14, rue Piccini (avenue Malakoll), Paris. Tel. 5o2-GG et 679-67. Adr. tél. Pneu-matic-Paris. — Usines à Argenteuil (Seine-et^Oise). Société Anonyme, fondée en i8g3, au capital de 2 5oo 000. francs. Directeur : M. II. G. Price; directeur technique : M. II. Gooding ; directeurs commerciaux : MM. R. Walckcr et L. Tronchon.
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- — Abbeville (Somme) : Mouillard, 34, faubourg de la Portcletto. — Caron, 1, avenue du Rivage. — Agen (Lot-et-Garonne) : Labar-rère, 2 bis, boulevard de la République. — Amiens (Somme) : Société des Etablissements Strock, 18, 20, 22, boulevard du Port.— Corroyer et Huet, 2, rue Saint-Honoré. — Victor. i4, Esplanade Noyon. — Angers (Maine-et-Loire) : Grégoire, 4 bis, rue Billion. — Ançjoulèmc (Charente) : Brizzi, 5, rue Fan-l'relin.—Arras (Pas-de-Calais) : Delansorne, 97, rue Saint-Aubert. — Avignon (Vaucluse) : Martin, boulevard Saint-Roch. — Ait-les-Thermes (Ariège) : Rodes. — Bar-le-Duc (Meuse) : Foulon, 9, rue du Cygne. — Bayonne (Basses-Pyrénées) : Moulia, 53, quai des Basques. — Beauvais (Oise) : Dupont-Beaudet, fin, rue d’Amiens.— Belfort
- (Territoire de) : Vilbois et Koclil, rue de la Banque. — Besançon (Doubs) : Roussel, 107, Grande-Rue. — Biarritz (Basses-Pyrénées) : Mabon, avenue de la Négresse. — Bordeaux (Gironde) : Fauveaud, io5, rue Paulin. — Central - Garage Fondaudège, place Fondaudège. — Brest (Finistère) : Renouvel, 17, rue de Paris. — Caen (Calvados) : Vasseur, 6, rue Singer. — Cannes (Alpes-Maritimes) : Cannes-Automobiles, boulevard Jean - llibert. — Carcassonne (Aude) : Rougé, boulevard Omer-Sarrault. — Châlons-sur-Marne (Marne) : Hauser, place de l’Hôtel-dc-Ville. — Chalon-sur-Saône ( Saône-et-Loire ) : Douhairet, place Port-Villiers. — Chambéry (Savoie) : Montet, 4, rue Porte-Reine. — Cherbourg (Manche) : Gros, 28, quai de Caligny. — Charleville-Mézières (Ardennes) : Froussart, boulevard des Deux-Villes. — Châteauroux (Indre) : Diot, 4, place Voltaire — Châteauroux (Indre) : Jaidin, avenue de la Gare. — Etablissements P. N., 1, rue Victor-Hugo. —-
- Draguignan (Var) : Bouycr, iG, avenue Carnot. — Evreux (Eure) : liée, 67, rue Joséphine. — Fontainebleau (Seinc-et-Marne) : Lévy-Cavaignae, 15, rue Grande. — Grenoble (Isère) : Ailloud-Barrct, 8, cours Berriat.
- — Houlgate (Calvados) : Leralu. — Le Havre (Seine-lnlérieure) : Molon, i5g, rue Victor Hugo. — Burton, g, rue Béranger.
- — Lille (Nord) : Delansorne, gf>, rue Nationale. — Lille (Nord) : Agence Centrale d’Au-tos, 3G, rue de lTIôpital-Militairc. — Central Garage, 3, boulevard de Fleurus. — Lyon (Rhône): Compagnie Dunlop, 181, avenue de Saxe. — Chaverondier et C‘°, 5G, quai Saint-Vincent. — Lorient (Morbihan) : Augereau, 15, rue des Fontaines. — Mans (Le) (Sarthe) : Pineau et Ragot, 107, rue Nationale. — Manies (Scine-et-Oisc) : Darnis, iG, avenue de la République. — Marseille (Bouches-du-Rhône) : Larchevèque, 5g, allée des Capucines. — Monte-Carie (Principauté de Monaco) : Sporting - Garage , boulevard du Midi. — Montpellier (Hérault) : Montpellier-Automobile, 5G, avenue de Toulouse. — -Moulins (Allier) : Ghapier, 11, rue Gambetta.
- — Nancy (Meurthe-et-Moselle) : Drouville et Ci0, 9, rue de la Constitution. — Nantes (Loire-Inférieure) : Chéreau, 12g, rue de Rennes. — Nice (Alpes-Maritimes) : Delau-nay Belleville, 4> rue Meyerbeer. — Garage Garin, G, rue Chauvin. — Guillet, avenue Malausséna. — Niec-Automobile, G. promenade des Anglais. — Nimes (Gard) : Cham-peyrache, i3, avenue Pcuchères. — Orléans (Loiret) : Bourdicr-Villcvé, 102, rue Bannier.
- — Poitiers (Vienne) : Gril aîné, 34, rue Carnot. — Reims (Marne) : Mathieu, 2G, rue Buirettc. — Rennes (llle-et-Vilaine) : Tontine et C'°, 1, avenue de la Gare. — Rouen (Seine-Inléricure) : Drancé, 38, quai Gaston-Boulet.
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- Charrettes. — Mouchon et Durand, îG, quai Gaston - Roulié. — Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) : Poi’talier, i4, rue des Cordiers. •— Soissons (Aisne) : Laridan, 60, rue Saint-Martin. — Toulon (Var) : Laugier, 35, route de Lavalette. — Toulouse (Haute-Garonne) : Compagnie Dunlop, 18, boulevard CarnoL. — Bébéli, rue d’Aubusson. — A. Soulet et Cl0, 52 bis, allées Lafayette. — Soulet, 5^, allées Lafayette. — Tours (Indre-et-Loire) : Bru-neau, 12, rue Victor-Hugo. — Prigent, 9, rue d’Entraigues. — Villeneuve, 3, avenue de Grammont. — Troyes (Aube) : Contant, 2, faubourg Croncels. — Vannes (Morbihan) : Roger, 6, rue d’Auray. — Vierzon (Cher) : Rossignol-Couleudrat, rue et quai de Gros-sous.
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- DÜNOD (IL) et PINAT (E), libraires-éditeurs, 49, quai des Grands-Augustins, Paris. Tel. 819-38. Editeurs de La Vie Automobile.
- DUPEROUX, garage, iti, rue du Commerce, à Nevers (Nièvre).
- DUPLEX (Compagnie pour la fabrication des moteurs à gaz et à pétrole), i3o, rue Lafayette, Paris. Tél. 4°5-I7- Adr. tel. Moto-duplex-Paris. Société Anonyme, au capital de i3ooooo francs. Directeur : M. Calmettcs. — Usines : à Ferrière-la-Grande, près Mau-beuge (Nord).
- DUPLEX IGNITION Cu, bougies d’allumage, i555, Broadway, New-York (Etats-Unis).
- DUPOIRIER, pièces détachées, 43, rue Claude-Decaen, Paris. Tél. 9.40-34.
- DUPONT (1), sirènes, 31, quai de Su-resnes, à Suresnes (Seine). Tél. 102.
- DUPONT (E.), carrosserie automobile, a5, boulevard de la Saussaye, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- DUPONT (L.), capotes de voitures, 78, rue Boissière, Paris. Editeur du Guide du Carrossier.
- DUPONT, garage, 70, rue Saint-Léonard, à Honlleur (Calvados).
- DUPONT, fabrique de lanternes, 4, rue Tesson, Paris. Tél. 4^3-88.
- DUPONT, garage, G, place au Fil, à Amiens (Somme).
- DUPONT Frères, pièces détachées pour cycles, et clés « Némo », 2GG, rue Nationale, à Lille (Nord).
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- DUPONT-BEAUDET, garage, 55, rue d’Amiens, à Beauvais (Oise).
- DUPONT-NOEL et Ci0, fonderie da fer, à Revin (Ardennes); et 51, avenue Gambetta, Paris.
- DUPRESSOIR (Paul-Charles), à Mau-beuge (Nord). — Né à Paris, le 24 septembre 18G4. Constructeur mécanicien de toutes pièces détachées pour automobiles ; moteurs ; châssis « Rolling ».
- DUQUESNE AMERICAN C°, automobiles, à Jameslown (New-York), Etats-Unis.
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- DURAND (Ch.), antidérapant amovible « Attila », silencieux « Ossant frères », accessoires, 178, boulevard Perdre, Paris. Tél. 547-78.
- DURAND (F.), outillage de précision, engrenages taillés, 80, rue Oberkampf, Paris.
- Tél. giG-54-
- DURAND (G.), canots automobiles, à Ballan (Indre-et-Loire).
- DURAND (P.), accessoires pour automobiles, 3o, rue Chalgrin, (Paris, iGc).
- DURAND, garage, vente d'automobiles et de cycles, 7, quai Branoas, à Nantes (Loire-Inférieure). Tél. 5-gi. Adr. tél. Durand-Cycles-N unies.
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- DURAND, garage, rue du Pont, à Tonnerre (Yonne).
- DURAND Fils et PASSOT, cuirs chromés pour antidérapants, 39, rue de Châ-teau-Landon, Paris.
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- DURAND-VINET, machines-outils, 21, rue Stendhal, Paris. Tél. 910-27.
- DURANDAL (La), antidérapant amovible, à Lécluse (Nord); et 11, boulevard de Strasbourg, Paris. Tél. 433-i9. Adr. tél. Durandal-Lecluse.
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- DURA Y. — Né en Belgique, en 1880. — Remporta, en courses automobiles, do nombreux succès sur voitures Gobron-Brillié, Dar-racq, deDiétrich. Troisième dans la Coupe Van-derbilt 190G. Premier, au circuit des Ardennes 190G, sur voiture Lorraine-Diétrich.
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- crins et lames pour garnitures de carrosserie, i dû, rue Sedaine, Paris. Tel. poü-ôfi. [
- DUTIRON et Fils, vente de motocy- j dettes, rue du Lliàleau, à Rabnslens-de-Ri-gorre (Hautes-Pyrénées).
- DUTRIEUX et C"', protecteurs antidé- : rapants (( l’Ancre », au Quesnoy (.Nord). j
- DUVAL {Maurice), d, place Ed.-Clapa- [ rède, à Genève (Suisse). Tél. itioü. - Né à Genève, le n(i novembre 1879. — Administra-
- tour-délégué de la Société Anonyme Perrod, Du val et. Cie.
- DUVAL, joints et garnitures métalliques pour moteurs, 5a, rue de Dunkerque, Paris. Tél. /jali-aÿ.
- DUVAL-PIHET, ingénieur-mécanicien, machines-outils, 8, rue Neuve - Popincourt, Paris. Tél. yoi-8(>.
- DUVERDREY, vente d'automobiles et de cycles, d/j, rue de I Ilûtel-de-Ville, à Monl-mirail (Marne). Adr. lél. buverdrey-Monlmi-rail-Marne.
- DU VIGNEAU DE LANNEAU, 51,
- boulevard Péreire, Paris l’él. 15—2-13. Directeur il • l'Ecole préparatoire a l'Ecole Centrale ; Président de Y Union des Sociétés Françaises de Sports A thléliyues. ( llievalier de la Légion d'honneur, officier de l'Instruction pu bliqtie.
- DUVINAGE (C.), jantes en bois, ada, rue dos Longues-llaies, à Roubaix (Nord).
- D. W. F. (billes en acier et roulements). — Voir (iluenzer et C'C Paris.
- DYER, ingénieur-mécanicien, 7, passage Corbeau, Paris. Tél. /|dd-o8.
- DYKE (.l.-L.i, labriipie d'accessoires pour automobiles, à Saint-Louis (Etats-Unis).
- DYLE et BACALAN (Société Ano-.nyrne de Travaux1, châssis emboutis, pièces de forge, canots automobiles, à Louvain (Rel-gique). Siège social: 1.5, avenue Matignon, Paris. Tél. 5i(i-i8. Société Anonyme au capital de 10 5oo 000 francs.
- DYNAMIC, pneumatiques. — Voir llirtz, Michel-Lévy et Bloch, Paris.
- DYNAMO. Générateur mécanique d'électricité basé sur l’induction électromagnétique produite dans le champ d un électroaimant .
- Les dynamos fournissent du courant alternatif ou du courant continu. Dans le premier cas, on les appelle dynamos à courant alternatifs ou alternateurs. Dans le deuxième cas. 011 les appelle dvnamos a courant continu ou jilus simplement dynamos.
- Une dynamo comprend deux parties essentielles: l'inducteur, destiné a produire le champ magnétique où se développent, les phénomènes d'induction, et l'induit constitué parles conducleursoù se créent les forces é.-m. induites. L'inducteur est généralement fixe, et l'induit mobile. La partie fixe s'appelle stator et la partie mobile rotor.
- DYNAMOMÈTRE. — Appareil servant à mesurer la force transmise ou produite par un appareil récepteur ou moteur.
- Il y a deux sortes de dynamomètres : les dynamomètres d'absorption et. les dynamomètres de transmission.
- Les dynamomètres (Tahsor)d ion dépensent le plus souvent le travail par frottements.
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- I) Y N
- 2<)3
- D Y N
- Le type le plus connu est le frein dynamométrique de Prony i figure i ) qui sert à la mesure du travail efFectil' des moteurs.
- Le frein de Prony est constitué par une poulie A (fig. t) qu'on place sur l’arbre B du moteur dont on veut mesurer la puissance. La poulie A peut être le volant du moteur. Sur cette poulie on place des sabots en bois G appliqués par une bande de tôle D dont, les extrémités sont reliées à une pièce de bois L à l'aide de tiges à crochets dont, une partit; est filetée. Cette pièce de bois E porte à sa partie supérieure une partit; F sur laquelle vient s'appuyer la poulie A.
- L'extrémité libre de la pièce IC porte un plateau dans lequel on peut, placer des poids, ou bien un poids coulissant, sur la longueur de E.
- L'appareil étant monté, on mot le moteur en marche et on lui laisse atteindre sa vitesse de régime. Puis on serre les sabots sur le volant. A ce moment, le bras du levier E tend à être entraîné dans le sens de la rotation ; pour L'empêcher d’obéir, on place deux taquets G et G’destinés à l’arrêter. On charge alors le plateau II à l’aide de poids de façon à maintenir le bras horizontal.
- Le dynamomètre mesure la force en déterminant le chemin parcouru par le point, d’application et la durée de la mesure. On calcule le travail et la puissance fournis par la force. En se basant sur la figure et en désignant par :
- F la force de frottement à la circonférence de la poulie ;
- R le rayon de la poulie;
- p le poids placé en II et maintenant le levier horizontal pour une puissance P produite sur l’arbre moteur;
- Fitf- 1
- l’m.i.N ni: Puony
- p1 la tare du frein, équilibrant le levier «à vide ;
- to la vitesse de l’arbre B en tours par minute,
- on a pour valeur de la puissance, quand le fléau est horizontal :
- Pi =
- P, =
- (pi 4 p{) L X ^ X (0
- Go
- kgrn par seconde.
- 4 4 P{) L X ‘2 k X chevaux - va-Go X 7;> peur.
- 2 TT
- (io X
- o.oo 13q5
- V, = (', + ,>‘)1:,x.l’tX“
- Go X 100
- 2 TT
- 0,001 o/| 7
- Go X 100
- On aura la valeur de p1, ou tare du frein, en se servant de poids marqués pour équilibrer le levier à vide.
- Afin de fixer les idées, supposons que l’on ait trouvé les résultats suivants dans les essais :
- Tare du frein (p1) 1,700 kg.
- Poids mis dans le plateau (p) 7,20 kg. Vitesse en tours par minute (or) 700 1 ours-minute.
- Longueur du bras du levier, 0,8 mètre.
- On aura donc :
- _ ip X P1) L X « * ^ „
- 1 “ " Go
- (7,an 4- G7*r>) 0,8 X G,2882 X 700 Go
- P m ôG5,r> kilogrammètres par seconde, ou P — r>,Goô poncelels,
- ou 1
- ,5 3 9 chevaux-vapeur.
- 11 (‘st nécessaire, afin d’avoir un résultat sérieux, de faire l’essai pendant au moins une dizaine de minutes consécutives. Pendant ce temps, il arrive toujours que la force de frottement diminue, par suite de la variation du serrage des sabots; or, il est nécessaire que cette force reste constante puisque, l’appareil étant en charge (taries poids, la somme de ceux-ci devenant supérieure à la force de frottement, le levier ne serait plus en équilibre. O11 corrige cet inconvénient en resserrant les écrous.
- Afin d’éviter les secousses, 011 a soin de
- placer des disques de caoutchouc sous les rondelles. Les taquets G et G’ empêchent en outre le bras E de prendre des positions dangereuses quand l’équilibre est rompu.
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- d’Automobiles
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- I) Y N
- ]) Y N
- — 294 —
- Le frottement des sabots sur la poulie produit naturellement un certain échatfffe-ment ; le travail mécanique étant ici transformé en chaleur, il faut avoir soin, pour éviter le grippage, de lubrifier les parties frottantes avec de l’eau de savon.
- Le frein à corde (fig. 3) est un dynamomètre d’absorption dont les mesures s’effectuent avec un dynamomètre de transmission.
- Si R est le rayon du volant calé sur l'arbre moteur,
- r le rayon de la corde,
- o> la vitesse de l'arbre en tours par minute,
- p le poids placé en D, suffisamment grand pour ne pas cire enlevé par la rotation du volant,
- l’indication d’équilibre du dynamomètre de transmission correspondante a une puissance P,
- p __ (p — p{) 2 77 (R -f- r) o) kgm.par
- (>o seconde.
- Pi — 0,001395 (p — ;>*) (R -f- r) 10
- chevaux-
- vapeur.
- P* = 0,0010/17 (p —p{) (R?’)-w poncelets.
- Une dynamo génératrice dont on connaît le rendement t) est un excellent dynamomètre d’absoption.
- U différence de potentiel de la dynamo.
- I intensité du courant produit.
- Pi
- U
- >3G x n
- chevaux-vapeur.
- Pi
- U J
- poncelets.
- s interet l'ar-
- ,9Sl X V
- Les dynamomètres de transmission posent par exemple entre un moteur bre qu’il commande, ou entre deux poulies contiguës ayant meme axe et dont les faces sont voisines. Ces dynamomètres font connaître par la flexion d'un ressort la grandeur de la force qui les traverse. Alors que les premiers prennent, la place des appareils commandés par le moteur, ceux-ci peuvent fonctionner pendant, la marche utile.
- Ces appareils sont gradués en kilogrammes et sont employés soit pour mesurer des efforts de compression ou des efforts de traction. Ce sont, eux qu'on emploie pour mesu-
- rer l’effort nécessaire à vaincre la résistance au roulement d’un véhicule sur rails ou sur routes.
- Les balances dites à ressorts ou pesons sont des dynamomètres.
- On peut citer les dynamomètres Leroy, Régnier, Watt, Dollfus-Micg, Ilirn, Piguet (dit compas dynamométrique), Morin. Les dynamomètres Morin sont, ou à courbes, qui par planimétrage donnent le travail, ou à compteur, qui donnent le travail par lecture directe.
- On emploie aussi, pour mesurer l’effort de traction ou couple moteur exercé sur un véhicule, des dynamomètres de transmission, (type Richard), agissant par compression de l’eau mesurée par un manomètre, ou des pendules dynamoinélriqucs {type Desdouits) mesurant et inscrivant automatiquement les accélérations des véhicules en mouvement par suite d’une traction extérieure. De la connaissance de l'accélération on déduit la vitesse et l'effort moteur.
- Dans le cas de la traction électrique, un ampèremètre peut être employé comme dynamomètre.
- Au point de vue système G. G. S. pur, le mot dynamomètre, c’est-à-dire mesure des dynes, n’est exact qu'avec les dynamomètres de transmission qui mesurent les forces. 11 est étendu par défaut à ceux d'absorption qui sont plutôt des puissances-mètres.
- DYNE. — Nom de l’unité de mesure do la force dans le système G. G. S. — Voir ce mot.
- C'est la force qui, appliquée à la masse du gramme, lui imprimerait une accélération de un centimètre par seconde.
- L’accélération due à la pesanteur pour un corps tombant dans le A'ide étant, à Paris, de 980,88 cm. p. s. p. s., la force exercée par la pesanteur sur un corps ou poids du corps se mesure en grammes. Le gramme vaut à Paris 980,88 dynes.
- DYNE : CM-. — Abréviation de Dyne par centimètre carré.
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- E
- E. — Lettre indiquant que le véhicule qui a porte dépend de l'arrondissement minéralogique de Paris.
- E, e. — Symbole de force éleclronw-trice.
- e. — Base des logarithmes népériens.
- e — V X — (Espace parcouru — vitesse X lemps (mouvement uniforme).
- s. — (Prononcez <( epsilonn »). — Symbole d'élongation.
- 7). — (Prononcez <x heta >)). — Symbole de rendement.
- EADIE, fabrique de pièces détachées, à Redditch (Angleterre). — Directeur et agent exclusif en France : C. Comiof 87, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris. Tel. 5o3-26.
- EATON et Cio, accessoires, à Birmingham (Angleterre).
- EAU. - t lorps composé résultant, de la combinaison chimique de l’hydrogène avec l’oxygène, 2 parties en volume ou 2 parties en poids d’hydrogène, pour 1 partie en volume ou iG parties eu poids d’oxygène.
- Formule 1PO — protoxyde d'hydrogène.
- ----- Eau acidulée. — L’eau acidulée employée pour constituer le liquide électrolytique des accumulateurs est préparée en diluant, dans de l’eau aussi pure (pie possible, de l’acide sulfurique exempt d’arsenic (soit l’acide pur, soit acide au soufre, mais jamais acide du commerce, trop impur pour cet usage). Les proportions respectives d’eau cl d’acide varient selon la densité prescrite par les constructeurs d’accumulateurs. C’est, ordinairement 20°, 2o°, 28° et meme 3o° degrés Baume.
- Ces densités aréométriques correspondent à des teneurs centésimales :
- 20° Baume : 21 à 22 0/0 d’acide sulfurique. 38 à 79 0/0 d’eau.
- 20° Baumé : 28 à 29 0/0 «l’acide sulfurique 72 à 71 0/0 d'eau.
- 28° Baumé : 82 à 33 0/0 d'acide sulfurique, 68 à 67 0/0 d'eau.
- 3o° Baumé : 35 à 3G 0/0 d'acide sulfurique, 65 5 6/j 0/0 d’eau.
- — Eau à souder. — Est constituée par une dissolution de chlorure de zinc ou, ce qui revient au meme, d’acide chlorhydrique (esprit de sel) saturé (décomposé) par des rognures de zinc. La solution sert comme décapant et
- désoxydant pour sondera l’étain, ou au phmib-étain. le cuivre, le zinc, le plomb et leurs idliages. Quelquefois l'eau à souder, à base de chlorure de zinc, est additionnée en plus de chlorure stanneux ou prolochlorure d’étain ; ce dernier renforce l'action désoxydante. Le produit zinco-stanneux est vendu en droguerie sous le nom de <(. Liqueur de Kunwald ».
- ----- Eau de cuivre. — Solution de 76 grammes d’acide oxalique dans 1 000 grammes d’eau, tenant en suspension du lripolit qui sert à nettoyer les garnitures en cuivre.
- — Eau de savon. — On fait une excellente eau de savon pour humecter les tarauds, forets, etc., pendant, leur travail, en versant 1 litre d'huile et !\ kilogrammes de savon noir dans 100 litres d’eau. S’eu servir après dissolution complète du savon qu’on peut activer on faisant chnuiVer le mélange, tout on le brassant avec uni1 spatule.
- EAUX-VIVES (Garage des), vente d'automobiles, 10, rue Muzy. à Genève (Suisse).
- EBARBER. - Enlever à la meule, au burin ou à la lime, les bavures d’une pièce de fonderie, les aspérités, les éharbes de lames métalliques ou de pièces dégrossies au tour.
- EBERHARDT, vente d'automobiles, 12, Amalienstrasse, à Carlsruhe (Allemagne).
- ÉBONITE. — Synonyme : caoutchouc durci\ Produit constitué par un mélange de caoutchouc avec une proportion de soufre assez considérable pour obtenir une vulcanisation (voir ce mot) très poussée ; ou obtient ainsi un produit dur et peu élastique, de couleur foncée, susceptible de prendre un poli durable et résistant. L’ébonite est utilisée en automobilisme surtout comme isolant électrique (bobine, piles, magnéto, etc.).
- EBSTEIN Aillé, fabrique de limes, 71, rue de la Roquette, Paris.
- EBSTEIN Jeune, fabrique de limes, i42, rue du Faubourg-Saint-Denis, Paris.
- ÉBULLITION (Lois de Y) - 1* Un
- meme liquide bout toujours à la même température sous une même pression;
- 2° La température reste constante pendant toute la durée de /'ébullition et est égale au point d'ébullition ;
- 3° U?i liquide absorbe pendant son ébul-
- SACS CHAUFFEUR de
- Louis VUITTON
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- E G A
- E G L
- — 298 --
- lition une certaine quantité de chaleur qu'on appelle chaleur latente de vaporisation et qui est une constante pour chaque corps.
- Quand le liquide à porter à l’ébullition est un mélange de plusieurs corps, il y a lieu de considérer indépendamment les principes suivants :
- i° Quand les liquides mélangés ne se dissolvent ]>as l'un dans l'autre, le point d'ébullition peut être plus bas que celui du liquide le plus volatil :
- ü° Quand les liquides se dissolvent, le point, d'ébullition est intermédiaire ; le liquide le plus volatil passe d'abord. (Distillation fractionnée).
- On peut élever le point, d’ébullition d’un liquide en lui faisant, dissoudre un sel quelconque.
- Si on chauffe un liquide enfermé dans un récipient clos, le point, d'ébullition est d’autant plus élevé que la pression supportée .par ce liquide est plus grande. L’eau ne bout qu’à 1200, si elle subit une pression do deux atmosphères, etc. — Voir ce mot.
- ECALARD. glaces pour carrosserie,
- 71), avenue des 'l'ornes, Paris. Tél. 087-13.
- i venue du — X é à
- -Médaille de sauvetage.
- ECHALIE (Maurice), ^ 38,
- Houle, Neuilly-sur-Seine (Seine Dijon, le 3 avril îSGq
- — Fondateur et administrateur -délégué de la Gontin enl al, Société française de caoutchouc manufacturé. — Ancien étudiant, en médecine ; ancien directeur de la maison Vital, au début des pneumatiques de route. — Membre de l’A. C. F. — Sportsman distingué, ancien champion de M. Loiim.if. France du tri-
- cycle.
- ECHANCRURE. - Certaines pièces mécaniques portent des échancrures sur leur
- périphérie; telles sont les cames d'allumage qui établissent ou rompent le circuit élec-
- trique, suivant que le talon du trcmbleur T est, ou non, tombé dans leur échancrure E. (Allumeur de Dion-Bouton.) On appelle échancrure la partie nettement en retrait, que porto une came ou une pièce quelconque.
- ÉCHAPPEMENT. — Période de la distribution d’un moteur pendant laquelle, les fluides usés sont rejetés au dehors du cylindre (voir Distribution, pour les mécanismes de commande de l’échappement). L’échappement d'un moteur, qu’il soit à vapeur ou à combustion intérieure, doit se faire par des orifices de large section de manière à éviter toute contrcpression nuisible. Quand il y a lieu de supprimer le bruit do la décharge, comme c’est le cas pour les automobiles et, pour les moteurs installés dans les villes, on dirige l’échappement dans un silencieux. — Voir ce terme.
- L’un des meilleurs silencieux qui existent actuellement est celui de M. André Bizeul (voir ce nom). Les essais qui ont, été faits de cet appareil au Laboratoire officiel de l’A. C. F. ont démontré que, tout, en atténuant considérablement le bruit, ce silencieux n’absorbe qu’une puissance pratiquement, nulle. Le moteur du Laboratoire mesurant i4o d’alésage et 160 de course, tournant à 800 tours à la minute, donna, à échappement libre, 80 volts et Go ampères ; le mémo moteur, muni du silencieux Bizeul, donna, à la même vitesse, 80 volts eL 58 ampères. Dans un autre essai à C5o tours, l’échappomemeul libre donna 70 ampères, et le silencieux Bizeul Gq. La perte n’est, donc que de 1/70 à 65o tours et de 2/60 à 800 tours, ce qui est tout à fait insignifiant. (Essais, du i3 octobre iqoG).|
- Aucun silencieux n’a encore fourni un semblable rendement officiellement constaté.
- — Bizeul (A.), à Bazas (Gironde).
- ECHARD (F.), représentant, du pneumatique Clincher, 10, rue de Bécon, à Courbevoie (Seine).
- ÉCHO DE PARIS (L’), journal quotidien, G, place de l’Opéra, Paris. Tél. ioi-52.
- ÉCHO DES SPORTS (/V), journal hebdomadaire, i3, rue du Faubourg-Montmartre, Paris. Tél. 42G-70, Directeur : M. IL Marquas. Rédacteur en chef : M. Paul Drouin.
- ÉCLAIR (Té), bobine d'allumage. —Voir Ilenriquc (J.-F.), Paris.
- ÉCLAIR (L’), journal quotidien, 10, Faubourg-Montmartre, Paris. Tél. 102-20. — Rédacteur sportif : M. Sasportas.
- ÉCLAIR 1Vaire de pneumatique). — Voir Yadon, à Lyon.
- ÉCLAIR (Usine L'), réparations vulcanisées des pneumatiques, 2.4, rue de la Tuilerie, à Surosnes (Seine). Tél. 80.
- [chauffeurs “blouses tobrilhonI
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- ÉCLAIRAGE. — « T outc automobile sera munie à l’avant d'un feu blanc et d’un feu vert. » (Art. i5, \ 2 du decret du 10 mars j899')
- « Tout train (entendre par Là automobile remorquant d’autres véhicules) portera, la nuit, un feu rouge à l’arrière, sans préjudice du feu blanc et (lu feu vert prévus par l’ar-licle i5. » (Art. 23, même décret.)
- Par ces mots « la nuit », il faut entendre : dès l'instant où l'obscurité commence.
- Le décret du 10 septembre 1901, qui prescrit le port de numéros d'immatriculation pour les voitures capables de dépasser 3o kilomètres à l’heure, ayant laissé au ministre des Travaux publics le soin do üxer le mode d’éclairage des plaques portant ces numéros-M. Pierre Baudin prenait le 11 septembre 1901 un arrêté portant les prescriptions suivantes :
- Art. 4- — « La plaque d’arrière sera éclairée pendant la nuit par réflexion avec une intensité qui permette de lire le numéro d’ordre aux mêmes distances que le jour. Toutefois on pourra, pendant la nuit, substituer à la plaque d’arrière une lanterne qui éclairera par transparence un verre laiteux recouvert d’une plaque ajourée, de manière que les caractères constituant le numéro se détachent
- Un I'H.wu: Ai.fha tyit: ujiij
- en clair sur le fond obscur avec les dimensions réglementaires. » — Voir Plaques.
- « Les plaques d’arrière des motocyclettes ne sont pas astreintes à l'éclairage pendant la nuit. » (Arrêté du 12 décembre 1901, art. 2.)
- L’éclairage des automobiles est une nécessité absolue; les lanternes forment de véritables « feux de position », qui indiquent si le véhicule s’avance (feux blanc et vert), ou
- s’il s’éloigne (feu rouge). Il no faut aucunement compter sur les lanternes ordinaires à pétrole pour éclairer la ixmte d’une façon suffisante et prévenir à temps le conducteur d’un obstacle subit : le phare à acétylène ou électrique est, indispensable pour la plus petite course de nuit. La lumière électrique est obtenue soit par accumulateurs, soit par une petite dynamo actionnée par le moteur.
- L'éclairage d’une source lumineuse se mesure en bougies. — Voir ce mot.
- — Besnard, Maris et Antoine, phares à « éclipses », 60, boulevard Beaumarchais, Paris.
- — Boas. Rodrigues et C'° (Alpha), 67, boulevard de Cliaronnc, Paris.
- — Comiot (G.), 87, boulevard Gouvion-Saint-Gyr, Paris.
- — Desponts, i5o, rue Victor-Hugo, à Le-vallois-Perrel. (Seine).
- —- Ducellier, 2.5, passage Dubail, Paris.
- — Mégevet et G'0, 7, rue de Malat.rox, Genève (Suisse).
- — Mii.dé Fils et G'", Go, rue Dcsrcnamles, Paris (Signaux lumineux).
- — Purrey (F.), 21, boulevard J.-.L-Bosc, à Bordeaux (Gironde).
- ÉCLISSE. -Plaque de fer boulonnée servant à réunir entre eux deux rails ou doux parties d’une pièce mécanique telle que la jante d’un grand volant.
- ÉCOLE CENTRALE DES ARTS 1 ET MANUFACTURES, 1, rue Montgol-i fier, Paris. Té!. nS-qo.
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- (M. Maleville, directeur), 23, rue Louis-Blanc, Levallois-Perret (Seine’l.— Maison fondée en igo3. — Réparations, transformations, vente d’automobiles.
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- Desrenaudes, Paris.
- ÉCOLE DE CHAUFFEURS, 207, me Balayette, Paris.
- ÉCOLE DE CHAUFFEURS, 10, me
- Gavallotli, Paris.
- ÉCOLE DE CHAUFFEURS, 4, me
- Gamille-Tahan, Paris.
- ÉCOLE DE CHAUFFEURS FRIEDLAND, !\, avenue Friedland, Paris. Tel. 573-01.
- ÉCOLE DE CHAUFFEURS « MARGARITA )), 12G, boulevard de Gourcellcs, Paris,
- ECOLE FRANÇAISE D’AUTOMOBILE, 4o, me Guersant, Paris,
- ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, 28, me des Saints-Pères, Paris. Tél. 72.5-10. — Laboratoire d’essais: tél. 698-44.
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- ÉCOLE NORMALE PROFESSIONNELLE de mécaniciens-conducteurs d’automobiles, 44, rue Laugier, Paris.
- ÉCOLE POLYTECHNIQUE, ."> et 21.
- rue Descaries, Paris. Tel. 8i5-5i.
- ÉCONOME (//), protecteurs antidérapants. — Voir Mauvillier, Paris.
- ÉCONOMIE (Voitureltes). — Voir Le-pape, Paris.
- ECORCHURES. — Les écorchures ne sont pas toujours anodines; elles peuvent s'envenimer gravement au contact d’un pneumatique que Ton démonte. Toutes les souillures du sol, si riches en microbes dangereux, peuvent, contaminer gravement la plaie et déterminer meme parfois le tétanos.
- 11 importe donc de les protéger de tout contact nuisible et de les anliseptiscr.
- ÉCOUANE ou ÉCOINE. — L Une ou
- râpe à grosse taille non croisée qui, droite ou courbée, sert pour lé travail du bois ou des métaux « tendres ».
- ÉCRAN MAGNÉTIQUE . — Masse de fer évidée, placée à l'intérieur d'un champ magnétique pour absorber ses lignes de force et soustraire les appareils qu'elle renferme a rinlluence de ce champ. Les écrans magnétiques servent à protéger l’aiguille aimantée des galvanomètres contre les perturbations dues aux masses magnétiques environnantes.
- ÉCRITURE D’UN NOMBRE. — La
- confusion des expressions, notations et symboles fera bientôt, si on n'y met énergiquement bon ordre, (pie les techniciens entre eux et leurs lecteurs ne se comprendront plus du tout. C'est ainsi que i2,5oo kilomètres 11e doivent pas être lus : douze mille cinq cents kilomètres, mais douze kilomètres, cinq cents mètres. C'est là ht bonne et vraie notation, qui veut que les nombres entiers soient séparés par tranches de trois chiffres sans point de séparation, alin qu'on les lise plus aisément, et que la virgule sépare les nombres entiers des nombres décimaux. C'est ainsi que 11 5Go kilomètres se prononce onze mille cinq cent soixante kilomètres, et que ii,5Go kilomètres se prononce 1 i kilomètres, cinq cent soixante mètres.
- Une écriture de nombre encore plus logique paraît être celle où l'on indiquerait l'unité de mesure avant les chiffres, comme le font les Anglais, qui écrivent par exemple : £ 9,16. On voit ainsi de suite les livres sterling, les shillings et les pence. Cette notation est. évidemment plus commode que si l'on écrivait : 9 £, 16 ou 9,16 £. — De meme, on devrait écrire Kilogrammes 834,09 ou Francs i3G,iS, etc., etc.
- ÉCROU. — Petite pièce d'acier, fer ou bronze, percée en son centre d'un trou cylindrique taraudé d’un sillon en hélice, qui est destinée à être montée sur la partie iiletée, au même pas, d’une vis ou d'un boulon, et dont le but est de maintenir énergiquement
- Ecrou Ecrou A SIX PANS
- entre elles deux pièces mécaniques. On lés serre au moyen de clés (voir ce mot), dont la taille et par suite la puissance doivent etre proportionnées au diamètre du boulon.
- La plupart des écrous utilisés en mécanique ont latéralement six faces, appelées pans; l'intersection des pans se nomme angle; le filetage intérieur est un filetage femelle par opposition avec le filetage du boulon sur lequel il se visse, qui porte un filetage mâle.
- Les écrous peuvent, etre ronds, carrés, creux, fendus, à six pans, à entailles, à en-
- EciVOU 110NP A El’. K OC CAHUK
- KNCOCHK.S
- coches, à oreilles, etc. Les écrous sont ordinairement pris dans des barres de métal profilées à G pans; l'ouvrier n'a, de cette façon, qu'à tronçonner et percer les trous, l’extérieur se trouvant terminé. Malheureusement, le tréfilage produit un écrouissage du métal qui ôte à l’écrou une partie de son élasticité; aussi, quelques grands constructeurs préfèrent-ils faire prendre leurs écrous dans des barres rondes et faire exécuter ensuite les six pans à la fraise, moyen plus coûteux, mais plus sur.
- La trépidation a vite fait, sur les voitures automobiles, de desserrer les écrous les
- Ecrou a orkiuiæs
- mieux serrés. Aussi, jours être maintenu procédés suivants :
- Ecrou oouriluk
- tout écrou doit-il tou-en place par l'un des
- ECOLE A. M
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- iy Par im contre-écrou, généralement moins épais que l'ccrou, et quivicnl le serrer contre les iilets du boulon;
- a° Par une rondelle qui, par son élasticité, repousse l'écrou contre les iilets par un effet inverse de celui (pie produit le contre-écrou.
- ,‘P Par un petit ressort d'acier jouant le rôle de la rondelle, et nommé parfois rondelle Grover;
- /|,J Par une goupille fen-due, procédé de beaucoup le j>11ïs répandu ;
- Par un frein, petite plaque de fer enserrant une partie de l'écrou.
- De nombreux inventeurs ont proposé des écrous dits indesserrahles, dérivant plus ou moins de la combinaison de ces dispositifs. Citons parmi les plus connus, le contre-écrou Minne et la clavette normande.
- On appelle écrou à lanterne une pièce métallique K dont les deux extrémités sont liletécs intérieurement, en sens inverse. Si l'on engage dansées extrémités deux pièces liletées bel si l'on fait tourner ensuite Yecrou à lanterne au moyen d'une broche ou d'une clé, ces pièces se rapprocheront ou s'éloigneront Punc de l’autre, suivant le sens de rotation. (Dispositif très employé pour tendre deux bouts de fil, ou pour agrandir ou diminuer le diamètre d’un cerceau métallique).
- Un écrou est dit foiré, lorsque ses filets sont écrasés, ce qui rend impossible son remontage sur le boulon.
- - Binet et Cl\ (i, rue de Jarenle, Paris.
- - Gomiot (C.), 8^, boulevard Gouvion-Saint-Cyr. Paris.
- - Glaenzku et G1*', do, boulevard de Si ras-bourg, Paris.
- ÉCROUIR. — Opération métallurgique ayant l'inconvénient de provoquer Y écrouissage d’un métal,c’est-à-dire de lui communiquer une aigreur spéciale en le soumettant, par étirage, laminage, martelage, compression, etc., à des opérations qui dépassent sa limite d'élasticité. Exemple : un fil de cuivre, étant étiré à froid, s’écrouit et. devient ainsi cassant. Pour détruire l'effet de l'écrouissage, on •chauffe le métal écroui. Le recuit, ainsi produit, rétablit l’équilibre moléculaire du métal et lui restitue sa douceur.
- ÉCUANTEUR. - Les roues eu bois •des voitures sont ordinairement légèrement éeuéesj c’est-à-dire (pic, pour les rendre résistantes aux chocs’ latéraux, on leur donne de Yécuanteur : la jante ne se trouve pas alors exactement au-dessus du centre du moyeu, mais elle est déportée légèrement en dehors.
- J\<n'i; i';cia:K
- On admettait autrefois que Yécuanteur devait être égal au douzième du diamètre, c'est-à-dire que les deux plans parallèles dans lesquels se trouvent les pieds et les bouts des rais devaient être séparés par une distance égale au douzième du diamètre de la roue. Au jourd'hui, les roues éeuées ne le sont au plus que du quinzième. (L'éeuan-teur a été très exagérée dans la figure, pour en faciliter la compréhension.)
- L'écuanteur* equant âge ou devers, est actuellement calculé par les carrossiers à raison de (i centimètres par ioo centimètres du diamètre delà roue, pour les voilures attelées : ainsi une roue de i m. 20 sera éenée de i ,ao X h — 7 cm. .
- Dans les voitures aulo-mohiles,!'écuanteur est toujours beaucoup moindre. Kl menu*, si la voilure comporte une transmission par cardans, les roues motrices ne sont pas éeuées du tout, leur plan devant obligatoirement etre vertical, sauf rares exceptions. — Voir Carrossage.
- ÉCUÉE (Roue). — Y oir Ecuanteur.
- EDELINE (IIX appareils de levage, vérins, 10S, rue de la Réunion, Paris. Tel. 916-09.
- EDELINE (L.) {Manufacture générale de caoutchouc), pneumatiques «. Gallus », t\Wy quai National, à Puteaux (Seine). Tél. 5o2-8o (Usines) ; et **.82, boulevard Pereire, Paris. Tél. 558-28 (Magasin).
- EDGE (Sehogn-Francis), j'i, New Burlington Street, à Londres (Angleterre). Tél.
- 13708 et i 709, Ger-rard. Adr. tél. :
- Nitrifier - London. Né à Sîdney,
- (m 18G8. — Di-
- recteurgénéral de la >S. F. Edge Limited, automobiles « Napicr ».
- -—Ancien coureur cycliste ; nom -breux records sur roule. Directeur des « Pneumatiques Dunlop », en 189b. — Gagna la Coupe Gordon-Bennett en 1902, sur une N’apier /|0 chevaux.
- Courut la Coupe Gordon-Bennett en 1908 et 190/1 sur voitures Napier. - Gagna de nombreuses courses de canots automobiles.
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- Magnètosà Basse Tension
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- EDISON (Thomas A.) Mfg C°, accuinula-teurs électriques, appareils iFallumage, 20, Lakeside avenue, à Orange (N.-J.), Etats-Unis.
- EDLER (Xavier), moteurs à pétrole, à Hirson (Aisne).
- EDMOND, a plusieurs lois couru avec succès pour la maison Renault frères. Courut autrefois pour la maison Darracq. —- i3g, rue du Point-du-Jour, Billancourt (Seine).
- EDMUNDS-METZEL Mfg C°, fabrique d’outillage pour automobiles, i/pj, Jefferson Street, à Chicago (Etats-Unis).
- EDMUNDS et JONES Mfg C°, fabrique de phares et de lanternes E. et J., à Détroit (Michigan), Etats-Unis.
- EDO (Su spcnsion), 181, boulevard Péreirc, Paris. — La suspension Edo amortit les chocs par le freinage des ressorts. Ce freinage a lieu seulement lorsque les ressorts se relèvent et laisse à ceux-ci toute liberté au moment où leur action peut être eflicaco. — Directeur :
- AI. F orestier.
- EDOUX et C10, monte-charges et pompes, yi, rue Lecourbe, Paris.
- Suspension Tel. roS-^S.
- Edo
- EDUCATION PHYSIQUE
- (V), journal sportif, ^0, rue de Suflïcn, Paris.
- EDWARDS and Cu, 1 unettes d’automobile, 5o, passage des Panoramas, Paris.
- E. et J. LAMPS, phares et lanternes.— Voir Edmunds et Jones Mfg.
- E. F., réfroidisseurs. — Voir Establie Frères.
- EFFET (vapeur), double, triple. — On dit qu’un moteur à vapeur fonctionne à simple effet lorsque la vapeur n’agit sur le piston que dans un sens (généralement le sens de haut en bas pour les moteurs pilons). Un moteur est à double ejfet lorsque la vapeur agit alternativement sur les deux faces du piston. C’est le cas de la majorité des machines à vapeur. En général l’emploi du simple effet est réservé aux moteurs à très grande vitesse, où il permet d’éviter les chocs dus au changement de direction de l'effort dans les machines à double effet. En raison meme de leur fonctionnement, les machines à simple effet sont moins régulières que celles à double effet et ne peuvent démarrer dans toutes les positions. Pour ces deux raisons, et au point de vue de l'équilibrage, il convient de les construire avec deux cylindres jumelés (manivelle à i8o°) ou préférablement avec trois cylindres (manivelle à 1200).
- EFFORTS (au point de vue mécanique). — Effort au point de vue mécanique est synonyme de force. On emploie plus spécialement le mot effort en résistance des matériaux pour désigner les forces que supporte ! une pièce. La connaissance exacte de Ces efforts et de leur nature (couples, efforts de flexion, de torsion, de cisaillement) est de la plus haute importance au point de vue du calcul des dimensions de la pièce. Dans un grand nombre de cas, on détermine aisément et rapidement ces efforts par des procédés graphiques (statique graphique), notamment les efforts de flexion (châssis de voitures automobiles, vilebrequins de moteurs, poutres métalliques, etc.). —• Voir Force.
- — Efforts (de compression, de flexion, de torsion, etc.). — Voir ces mots.
- E. G. A. (Automobiles). — Voir Entrepôt général de TAutomobile, Paris.
- EGIDE, pneumatiques. — Voir Domange et Fils.
- EGRISE. Ce mot, en passant dans le langage de la mécanique, a quelque peu changé de signification. Égriser le marbre signifie lui faire subir un premier polissage à l’aide du grès. On dit en mécanique qu’une pièce, une cuvette par exemple, est égrisée, quand la cémentation qui la recouvrait a été en partir détruite, en laissant ainsi une surface granuleuse là où elle devrait être polie.
- EGYPTE (Société Anonyme des Grands j Garages d’), commerce d’automobiles, 8, rue j Marouf, au Caire (Egypte). — Directeur : j M. A. Commanos.
- ! EGYPTIAN MOTOR TRACTION
- : C°, service d’omnibus automobiles, à Alexandrie (Egypte). Adr. tél. Paraskévas-Alexan-j drie.
- | ÉGYPTIENNE D ÉLECTRICITÉ
- (Société Anonyme), Ifi, rue du Rocher, Paris, j Adr. tél. Permutalor-Paris. — Siège social, j à Alexandrie (Egypte). Société créée en 1900, au capital de l\t\ 000 liv. sterling. — Président du conseil d’administration : M. Porlay bey. — Electricité en général. —- Transformateurs de courant alternatif en continu ; postes de charges pour accumulateurs.
- E. H., lampes électriques. — Voir Ilirsch (E.), Paris.
- EHRARDT - DECAUVILLE , vente i d’automobiles “Decauville”, 20, Reichsstrasse, , à Düsseldorf (Allemagne) ; et à Zella Saint-i Biaise (Allemagne).
- | EHRNGARD, DELBECQUE et C“,
- carrosserie pour automobiles, 24, rue Duret, j Paris.
- E. H. V. COMPANY, automobiles “ Compound ’’, à Middletown (Connecticut), Etats-Unis.
- Les Automobiles “ LORRAINE-DIETRICH
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- E. I. C., appareils d’allumage. — Voir Electric Ignilion C".
- E. I. C-, bobines cl bougies d’allumage.— Voir Hirsch [Etienne), Paris.
- EICKEN [R. de), allumage électrique, 3g, boulevard Voltaire, à Asnières (Seine).
- EICKEN et Cie, aciers, à Ilagen (Wesl-phalie) ; et ig, rue d’Hauteville, Paris.
- EICHMANN, vente d’automobiles, 3o, Alexander strasse, à Stuttgart (Allemagne).
- EISEMANN (Ernest) und Cu, fabrique de magnétos, à Stuttgart (Allemagne). — Voir Neubauer et Farmun et Lavulette et Cie, Paris.
- EISENACH FAHRZEU GF ABRIK
- A. G., fabrique d’automobiles « Dixi-Wagen », à Eisenacli (ürand-Duché de Saxe-Weimar).
- EISENMENGER, insignes pour automobiles, 5, rue Chapon, Paris.
- E. 1.1., accumulateur. — Voir Jeantaud.
- ÉJECTEUR. — Mécanisme qui fait sortir brusquement et automatiquement une pièce d’une autre.
- Appareil utilisant la puissance vive d’un jet de liquide ou de vapeur pour aspirer ou élever un iluide. C’est une sorte d’injecleur aspirant. — Voir Injecteur.
- E. L. (Roue élastique). — Voir Lévi (Edmond) et Roue.
- ELAN (V). pneu-cuir. — Voir Prun-gtiaud.
- ELASTÈS (Société Française de Caoutchouc artificiel), 212, boulevard Péreire, Paris. Tél. 564-88 et 5aG-35. Adr. tél. Elastès-Paris.
- ÉLASTICITÉ. — Propriété générale des corps, en vertu de laquelle ils sont susceptibles, dans une certaine limite, de reprendre leur forme primitive, lorsque la force extérieure qui les déformait a cessé d'agir. Tant que cette force extérieure 11’est pas plus grande que les forces intérieures maintenant les molécules entre elles, les corps reprennent leur forme.
- Les forces peuvent s'exercer sur les corps par traction, compression, cisaillement, torsion et flexion.
- On nomme limite d'élasticité, pour un corps quelconque, le point au delà duquel il garde la forme produite par la force agissante ; il y a déformation permanente, au delà de laquelle se produit la rupture pour une certaine charge, dite charge de rupture.
- Relativement au travail par traction ou par compression, on donne le nom de coefficient ou module d’élasticité au rapport constant qui existe entre la charge par unité de surface et l’allongement ou le raccourcissement par unité de longueur. Ce coefficient est variable avec la température.
- ELBRECHT et C°, vente d’automobiles, 4?, Falkenstrasse, à Brème (Allemagne).
- ELCO (Canots automobiles électriques). — Voir Electric Launch C°.
- ELDBRIDGE (Dynamos). — Voir Elec-trical Mfg C°.
- ELDIN (Louis-Alphonse), 55, chemin des Pins, à Lyon (Rhône). — .\é à Lyon, en
- 1864. — Ancien représentant de la Société Nouvelle du Moteur Charron ; puis de la Maison des Automobiles Peugeot. Ancien chef de service des essais aux usines Rochel-Schnei-der. Un des créateurs de l’industrie automobile à Lyon.
- ELECTRA (Soupape électrique). — Voir Despaigne (G.).
- ÉLECTRIC, pneumatiques. — Voir Téléphones (Société Industrielle des), Paris.
- ÉLECTRIC ACCUMULATOR, revue scientifique, 8, St-Ann’s Road, Wandsworth, à Londres (Angleterre). Adr. tél. Elcclrolyl-Londres.
- ELECTRIC IGNITION C% appareils d’allumage E. J. C., Sampson Road North, a Birmingham (Angleterre).
- ELECTRIC LAUNCH Cu. canots automobiles électriques « Elco», Maine office and Works, avenue A, à Rayonne (N.-J.i, Etats-Unis.
- ELECTRICAL Mfg Cu, dynamos « Eld -bridge», à Eldbridgo (New-York), Etats-Unis.
- ELECTRIC VEHICLE C", voitures électriques “Columbia” et. petite voiture électrique “ Runabout ”, à Hartford (Connecticut), Etats-Unis.
- ÉLECTRICIENS (Société Internationale desi, 12, rue de Staël, Paris. Tél. ^08-68.
- ÉLECTRICITÉ. — N om sous lequel on désigne la cause d’un ensemble de phénomènes dus à une forme particulière de l’énergie-
- On donne le nom d'électrostatique à l’étude des propriétés des corps chargés d'électricité et dont les charges sont supposées en équilibre.
- O11 donne le nom A'éleclrodynamique a l’étude des propriétés des corps dont les potentiels sont différents et entre lesquels s’établit un courant.
- ÉLECTRICITÉ (Compagnie Générale d'), motocyclettes et tri-cars “ Ivry ”, 5, rue Boudreau, Paris.
- ÉLECTRICITÉ (Compagnie Internationale d’), dynamos et moteurs, 141, rue La-layetlc, Paris. Tél. 418-44-
- ÉLECTRICITÉ (Société Alsacienne d'), compteurs et inanographes, 10, Regenbogen-gasse, à Strasbourg (Alsace).
- MOYEU
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- j tout. Çou»ion-5t-Cyr, Paris
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- ELECTRICITE INDUSTRIELLE
- (Ecole Pratique d'), cours d’automobile, 53, rue Belliard, Paris.
- ÉLECTRICITÉ DE CREIL (Compagnie Générale d"), traction électrique, transport d'énergie, compteurs, 7/1, rue Saint-La/.are, Paris. — Société Anonyme au capital do 7 5oo ooo Iranes.
- ÉLECTRINE LEPRÉTRE, alcool dénaturé, i5, rue Barbes, à Montrouge (Seine). Tel. 71.4-98. •—• Voir Leprêlre.
- ÉLECTRIQUE (Compagnie Générale), accumulateurs électriques (!. (i. 11., rue
- Oherlin, à Nancy; et rue J,o Pelotier, l’aris. Tel. 28,4-27.
- ÉLECTRIQUE (Société Anonyme l'), x oit lires électriques (( Gallia >), 17, rue Jean-Goujon, l’aris. Tél. '>09-71. Adr. tel. Lectric-Paris. - Société Anonyme, fondée en 1898, au capital de 2 85o 000 francs. Directeur : M. Louis Lavirotle.
- ÉLECTRO-AIMANT. -- Appareil essentiellement composé d’une bobine entourant un noyau de fer. Le champ dû a la bobine induit dans le noyau un llux beaucoup plus considérable, que celui qu'il induirait dans l’air, en raison delà grande perméabilité du 1er. Eii supprimant le courant,, 011 supprime la plus grande partie de l'aimantation du noyau. L'aimantation résiduelle ou aimantation rémanente dépend de la nature du noyau. Elle est, miniuia pour le fer doux et inaxinia pour l'acier dur. Un noyau de ce dernier métal, aimanté par le passage d'un courant, conserve une proportion notable do magnétisme et constitue un aimant permanent. C’est ainsi qu’on procède pour aimanter les fers à cheval en acier trempé qui constituent les aimants dans les magnétos d'allumage.
- ÉLECTRO-CARDINET, garage, vente d'automobiles, /19, rue Cardinet, l’aris. Tél. ,V|2-fi8 et 081-97.
- ÉLECTRO-CHIMIE (Compagnie Générale d’), fabrique de carbure de calcium et de ferro-silicium, à Bozel (Savoie) ; et 08, rue Caumarlin, l’aris. Tél. '>,11-87.
- ÉLECTRODES. — D'une façon générale on appelle électrodes les conducteurs qui, plongés dans une solution acide, basique ou saline, sont, le siège de phénomènes électrolytiques (voir Eleclrolyse). L’électrode positive est. Y anode, et l'électrode négative la cathode (électrodes des cuves galvanoplas-liques, des fours électro-métallurgiques ou électro-chimiques, électrodes des accumulateurs). On étend cette appellation aux conducteurs servant à étudier la décharge: électrodes d'un tube de Urooke, etc. — Voir Décharge.
- ÉLECTRO-DYNAMIQUE. — Ensemble des lois qui régissent, l’action mécanique des' courants entre eux. Un courant développe un champ magnétique dont les lignes de force circulaires entourent le conducteur où il circule. Le sens de ces lignes do
- ^A/vQ
- l'ii;
- force est donné par la règle de Maxwel : Le sens des lignes de force est celui dans lequel doit tourner un tire-bouchon pour se déplacer dans le sens du courant (lig. 1).
- Le champ d'un courant, est de même nature que celui d'un aimant, et en a toutes les propriétés. Les phénomènes d'attraction et, de répulsion sont régis par les lois (l'Ampère :
- /" Deux courants parallèles de même sens s'attirent, deux courants parallèles de sens contraire se repoussent ;
- 2U Deux courants, faisant entre eux un angle, s'attirent et tendent à se, placer parallèlement quand ils s’approchent ou s’éloignent tous deux du sommet de l'angle ; Us se repoussent si l’un s’ajrproche du sommet tandis que l'autre s'en éloigne.
- 3° Deux courants rect ilignes et parallèles agissent l’un sur l'autre avec une force proportionnelle au produit de leurs intensités par leurs longueurs, divisé par le carré de leur distance.
- L’action mutuelle (les courants circulaires et parallèles d’un solénoïde (lig. 2) modifie le champ de chacun d'eux pour donner un champ résultant représenté par la ligure. U11 solénoïde est donc, assimilable à un aimant.
- l'i K «
- On peut en trouver les pôles en appliquant la règle (1e Maxwel ou en faisant, intervenir le bonhomme (l’Ampère. Mais il est, plus simple de se rappeler que lorsqu'on regarde le pôle nord, le courant, tourne en sens inverse des aiguilles d'une montre, et vice versa.
- ÉLECTRO-INDUSTRIELLE (lé), appareils électriques d’allumage, (W\, avenue Parmentier, Paris. Tél. 9.38-19. Adr. tél. Elec-tricl-Paris.
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- ÉLECTROLYSE. — Décomposition chimique d’un corps sous l'action d’un courant. On opère généralement sur une dissolution
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- du corps à décomposer ou électrolyte. Les conducteurs positif et négatif amenant le courant s’appellent respectivement anode et ca-thode. Les corps mis en liberté, ou ions, se portant à l’anode sont des unions, et ceux qui se portent à la cathode des caillions. Le poids d’électrolyte décomposé par le courant est proportionnel a la quantité d’électricité dépensée. Les poids d'unions et de catliions mis en liberté sont chimiquement équivalents. (Faraday).
- Equivalent électro-chimique. — Rapport de la quantité d'électricité a la masse d'électrolyte décomposée. L'équivalent électro-chimique est proportionnel à l'équivalent chimique.
- Force électromolricc de polarisation. — Force électromolricc au-dessous de laquelle l’électrolyse ne peut avoir lieu. Elle est proportionnelle à la chaleur de combinaison de l’électrolyte.
- ÉLECTROLYSE FRANÇAISE (L1),
- oxygène et hydrogène purs, 9, rue de la Chausséc-d’Antin, Paris. Tél. aiS-Gy.
- ÉLECTROLYTE. — Corps composé électrolysable, généralement à l’état de dissolution, ou fondu par la chaleur, notamment pour les- minerais. — Voir Electrolyse.
- ÉLECTRO-MAGNÉTISME. — Etude de l’action mutuelle des aimants et des courants. Un courant développe un champ magnétique dont les lignes de force circulaires entourent le conducteur où il circule. Le sens des lignes de force est donné par la règle du tire-bouchon de Maxwel (voir Electro-dynamique). Les courants pouvant être assimilés aux aimants, l'attraction ou la répulsion des lignes de force, de sens inverse ou parallèle, permet d'en déduire a priori les lois de l’action mutuelle des aimants et des courants, lois vérifiées par l’expérience. La première de ces lois, relative à l'action d’un courant sur une aiguille aimantée, a été trouvée par Œrstcd (voir Dévialimi). Le calcul des forces attractives et répulsives en jeu sert de base à tous les appareils de mesure (galvanomètres et instruments dérivés, etc.). Enfin, une catégorie de phénomènes électro-magnétiques, découverts par Faraday, les phénomènes d'induction électromagnétique, constitue le point de départ de presque toutes les applications industrielles de l’électricité. — Voir Induction élcctro magnétique.
- ÉLECTRO-MATÉRIEL {L'), spécialité d’isolants, mica, micanite, fibre, 10, rue Réranger, Paris. Tél. 3oo-8â.
- ÉLECTRO - MÉTALLURGIQUE FRANÇAISE (Société), aciers, aluminium, fcrro-chrôme. à Frogcs (Isère) ; et 3o, rue du Rocher, Paris. Tél. 5iSociété Anonyme au capital de 8 millions.
- ÉLECTROMÈTRE. -- Appareil servant à mesurer les différences de potentiel et basé sur les actions électrostatiques. Les autres appareils de mesure des différences de potentiel sont basés :
- Galvanomètres : sur les actions électromagnétiques.
- Electrodynamomètres : sur les actions électrodynamiques.
- Voltmètres thermiques : sur les actions thermiques.
- Les électromètres se composent essentiellement de quadrants fixes entre lesquels se déplace une armature mobile. O11 met les quadrants et l'armature en communication avec les conducteurs dont il s’agit de mesurer la différence de potentiel. Les charges statiques d'électricité que prennent les quadrants et l’armature exercent entre elles un effort équilibré par un effort antagoniste équivalent, d'où l’on déduit la différence de potentiel cherchée.
- La figure représente Fun des modèles de l’éleclromètre ou voltmètre électrostatique de lord Iïelvin, à lecture directe.
- Ce type convient aux forces électromotrices de
- 4o à 800 volts. 11 est surtout employé pour les courants alternatifs. 11 est formé d'une série de quadrants superposés a, entre lesquels se déplace une série de palettes b, suspendues en c à un fil transmettant l’eflort de torsion et le courant. Les oscillations sont amorties par un disque d fixé à la partie mobile et plongé dans un liquide.
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- Helvin
- ÉLECTROMÉTRIE USUELLE (//), appareils de mesures électriques, 81, boulevard Voltaire, Paris. Tél. Q22-53.
- ÉLECTROMOBILE. — Terme servant à désigner d'une façon générale une automobile à moteur électrique. On dit automotrice électrique lorsqu’il s’agit des véhicules de chemin de fer et de tramways transportant des voyageurs ou des bagages. Les locomotives électriques sont des tracteurs attelés au train et ne transportant ni voyageurs, ni bagages.
- Les électromobiles proprement dits peuvent être classés comme suit :
- Voitures à accumulateurs (accumobiles).
- Voitures pétroléo-clectriques (a .* mixtes ; b : il transmission électrique).
- Les voitures à accumulateurs sont les plus répandues. Elles comportent généralement une batterie de 44 éléments pouvant être chargée sur un secteur à 110 volts. Leurs moteurs sont par suite alimentés à 88 volts environ. Les voitures modernes sont toutes établies avec deux moteurs, ou avec un
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- moteur à deux collecteurs. Cette disposition permet de régler la vitesse par le couplagp des
- moteurs en série ou en parallèle, avec ou sans résistance, sans toucher à la batterie. L’ancien procédé de couplage des éléments avait le très grave défaut de les faire travailler intégralement. Les moteurs sont toujours du type série (voir Moteurs électriques à courant continu), quelquefois du type com-pound lorsqu’on vent faire do la récupération en freinage ou en descente. Les changements de couplage s'effectuent par le moyen d’un combinateur ou contrôleur (voir Combina-teur). La transmission se fait toujours par engrenages. 11 vaut mieux ne pas se servir de la chaîne toujours trop bruyante dans une voiture de luxe. Le dispositif employé varie
- Transmission par chaîne
- suivant que la voiture comporte deux moteurs ou un moteur à deux collecteurs. Dans le premier cas, le diilérentiel est supprimé et l’on attaque individuellement chaque roue avant ou arrière par un moteur. La suspension de celui-ci est toujours élastique (fig. i) (Kriégcr). Dans le deuxième cas, on adopte la transmission par chaîne (fig. 2) ou bien on commande le différentiel, soit par pignons droits, le moteur étant suspendu élastique-
- lü*. :»
- Tuansmission tau cahijans
- ment à l’essieu, soit par pignons coniques et cardan, le moteur étant fixé au châssis (fig. 3). La disposition de la figure 3 est rationnelle
- à plusieurs points de vue. Le moteur est mieux à sa place et mieux suspendu qu’attaché à un essieu, et les engrenages sont dans l’huile des carters, ce qui 11’est pas toujours le cas dans les autres dispositifs. Le dispositif Mildé, comportant un moteur suspendu à l’essieu arrière, avec inducteur unique et deux induits séparés, attaquant individuellement une roue motrice, est intéressant et présente le grand avantage de supprimer le différentiel.
- ÉLECTROMOBILE C", Ltd, voitures électriques, y, Curzon Street, a Londres (Angleterre). Adr. tel. Monopolise - London. Tél. 6-85o.
- Succursale : l\y bis, rue do Villiers, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tél. 55y-y5. Adr. tél. Mo-nopolize-Ncuilly-sur-Seinc.
- ÉLECTROMOBILE SCHEELE, voitures électriques, à Colognc-sur-le-Rhin (Allemagne).
- ÉLECTROMOBILES (Compagnie Française de voitures), 49, rue Cardinet, garage, vente de voilures automobiles, Paris. Tél. 542-68. — Société Anonyme au capital de 900000 francs, fondée on 1898.
- ÉLECTROMOTION, Société Anonyme Française L’), construction do voitures électriques. — Usine, garage et siège social : 5, route de la Révolte, à Neuilly-sur-Seine (Seine) ; bureau commercial : 54, avenue Montaigne, Paris. Tél. 5/j5-46 et 545-oG. Adr. tél. Motion-Paris. — Société Anonyme au capital de 1 000 000 de francs. — Président du Conseil d’administration : M. Michel Ephrussi ; vice-président : M. G. Osthcimcr ; administrateur délégué: M. Alfred Stern.
- ÉLECTRON. — Nom donné, dans do récentes théories sur la matière et sur l’énergie électrique, aux particules infiniment petites dont seraient composés les corps. Un corps à l'état neutre serait constitué par des électrons positifs et négatifs en équilibre. Sous l'influence d’énergies extérieures, les électrons négatifs se détacheraient pour communiquer aux corps voisins une charge négative, le corps primitivement neutre restant chargé positivement. L’attraction universelle, l’affinité chimique, seraient des formes de l’action électrique (Lodge, Elcctrical Engi-neers, 27 novembre 1902).
- ÉLECTROPHONE (L'), trompe électrique. — Voir Contai.
- ÉLECTRO-TUBE, accumulateurs. — Voir Hancire (A.), Lcvallois-Perret (Seine).
- ÉLÉGANTE (//), automobiles. — Voir Mercier (J.-IL), Paris.
- Automobiles RFNAIIIT FR FR F c Billancourt
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- ELEVATOR
- Appareil permettant de soulever instanlane'ment la carrosserie de dessus le châssis, en mettant ce dernier complètement à nu.
- On évite ainsi l’inconvénient de se coucher sous la voiture et on a, à portée de la main, l’accès de toute pièce. Les mécaniciens, d’autre part, n’ont plus à ouvrir les portes, à enlever les tapis et planchers, opérations qui dégradent les garnitures. — ELEVATOR a pour concessionnaire exclusif : —————•
- M. Victor MATHIEU
- 18, rue Saint-Ferdinand — PARIS
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- ELEMENT (au point de vue électricité). — En électricité le mot élément sert à désigner l’une des piles ou l’un des accumulateurs considéré individuellement. Il s’applique toujours à l’unité.
- ÉLÉMENTS D’AUTOMOBILE, —
- Ouvrage de Baudry de Saunier, de 200 pages et 3o gravures, donnant l’explication élémentaire des phénomènes mis en jeu dans les voitures à pétrole, à vapeur et à électricité. En vente aux « Ouvrages Baudry de Saunier », 20, rueDuret, Paris. Prix : 2IV. 5o ; franco 3 francs.
- ÉLÉVATION (En). — Un dessin est dit en élévation, lorsque l’objet qu’il représente est debout, se présente tel qu’il sera, une fois terminé : par exemple une maison, une voiture, vues de face ou de profil. Une élévation peut aussi etre vue en coupe. Le plan est la projection horizontale de Y élévation.
- ELEVATOR THOMAS, (S.). Patent,
- appareil pour soulever les voitures. — Voir Mathieu (Victor), 18, rue Saint-Ferdinand, Paris; et l’annonce ci-contre.
- ÉLIMINATOIRES. — Épreuves ayant pour objet d’éliminer ceux des concurrents qui, s’étant présentés pour un concours important, 11e réunissent pas les qualités voulues. — S’applique indifféremment aux autos, motos, etc. — Voir les Eliminatoires à la Deuxième Partie de l’Annual.
- ÉLINGUE. —On nomme ainsi une corde généralement sans fin, servant à attacher les pièces1 lourdes pour les soulever.
- ELLA, appareils d’allumage. — Voir Ancel, Paris.
- ELLIOT RANNEY and C“, garage, vente d’automobiles, i85i , Broadway, à New-York (Etats-Unis).
- ELLIPSE — L icu des points dont la somme des distances à deux points fixes, appelés foyers, est constante.
- Pour tracer une ellipse par points, on décrit
- Tracé d’une ellipse
- du centre O deux cercles, ayant comme diamètres les deux axes AB, CD de l’ellipse.
- Puis, après avoir mené un rayon quelconque OE, on trace du point E une ligne EG, parallèle au petit axe AB, et du point M, un» ligne parallèle au grand axe DC. Le point d’intersection G de ces deux lignes l’ait partie de l’ellipse, dont on déterminera quelques points par la meme méthode.
- ELLIS, garage, vente d’automobiles, 26, Bell Street, à Henley-on-Thames (Angleterre).
- ELMORE Manufacturing C°, automobiles, 120/1, Amanda Street, Clyde (Ohio), Etats-Unis.
- ELOI (René), Contentieux de l’Automobile, 10, rue Poisson, Paris. Tél. 505-82.
- ELONGATION. — Amplitude de l’angle décrit par un appareil de mesure qui part du zéro pour aboutir a une valeur maxima.
- Le mot est surtout employé pour les galvanomètres où la valeur de l’élongation sert précisément à indiquer la valeur du courant passant dans le galvanomètre.
- ELSAVA, moteurs. — Voir Volker et Prïtgel.
- ELSWORTH AUTOMOBILE C\
- automobiles, 24, Manningham Lane, à Brad-ford (Angleterre’.
- ELWELL (Etablissements), machines-outils, moteurs, 194, avenue de Paris, à la Plaine-Saint-Denis (Seine). Tél. 409-69.
- ÉLYSÉE AUTO-CAR, garage, vente, achat et location d’automobiles, 11, rue de Berri, Paris. Tél. 587-40. Adr. tél. Otocar-Paris. — Succursales à Cannes, Nice, Menton. — Société Anonyme fondée le 8 août 190G, au capital de 1 25o 000 francs.
- ÉLYSÉE AUTOMOBILE PALACE
- garage, commerce d'automobiles, 34, avenue des Champs-Elysées, Paris. — Directeur : M. Dopasse.
- ÉLYSÉE-GARAGE, vente d’automobiles, garage, 11, rue do Berry, Paris. Tél. 587-/10. — Directeurs : MM. Porte, Bousquet, Pélissier et Ci0.
- ÉMAILLAGE. — Opération ayant pour but de recouvrir la surface des métaux d’enduits non métalliques, d’aspect plus ou moins vernissé.
- Nous distinguerons : i° l’émaillage vilrifié consistant à recouvrir, à la température du rouge, la surface du métal (le plus souvent fer ou fonte) d’une couche de matières vitri-fialdes assez analogues au verre ; 20 Y émaillage-ver 7iis s âge consistant à recouvrir le métal, à des températures peu élevées, au moyen de vernis plus ou moins colorés. Ce dernier émaillage, applicable aux cadres de bicyclettes et aux châssis, ou encore
- La Revne la meilleure et la plu» lue ? “ O JVÏ KTI A. ”
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- aux caisses de carrosserie automobile, peut être pratiqué soit à froid à une température de à 5o° (étuve chauffée), soit au four vers i5o° (émaillage au four). La base de ce genre d’émaillage est constituée par des résines plus ou moins dures (copals, succins), dissoutes dans des solvants appropriés (essences, huiles siccatives).
- EMBALLAGE. — Le mot emballage, qu’on appelle aussi quelquefois enlevage, est employé par contraste avec le mot train pour qualifier les accélérations de vitesse provoquées par un effort momentané des coureurs, soit au cours de l'épreuve, soit spécialement au moment de la lutte finale.
- h'emballage est la partie la plus importante de la course et celle d’où dépend ordinairement son issue.
- EMBALLER — On dit qu'un moteur emballe ou s'emballe, lorsqu’il dépasse un nombre de tours à la minute que lui interdit son “régime normal”, soit parce qu’il ne possède pas de régulateur, soit parce que le régulateur (voir ce mot) a son action annihilée volontairement par le conducteur de la voiture au moyen de la pédale d'accélération, ou involontairement par un déréglage accidentel.
- EMBASE. — Renflement d’un arbre de transmission, destiné à servir de point d’appui ou de butée à une autre pièce.
- EMBATTAGE ou EMBATAGE. — Le charron ayant terminé la partie “ bois ” de sa roue, chaulfe le bandage de fer, et procède à Y embattage h chaud; c’est-à-dire qu’il cercle rapidement la roue et la refroidit immédiatement en la couvrant d’eau. Le 1er, se contractant aussitôt, serre énergiquement les uns contre les autres tous les assemblages de bois composant la roue. Le charron pose ensuite des rivets à “ têtes noyées ” dans la jante de fer qui unissent intimement le métal au bois.
- L’embattage des roues est actuellement fait souvent aussi à froid. Le cercle métallique, plus grand que la jante en bois, est monté sur cette jante au moyen d'une série de petites presses très puissantes qui en compriment « à froid » la périphérie et en diminuent ainsi le diamètre. Ce procédé, relativement nouveau, permet plusieurs rechdtrages successifs, sans qu'on soit obligé de démonter, comme autrefois, toutes les parties « bois », jante et rais, constituant la roue.
- EMBOITEMENT. — Se dit de deux pièces qui se réunissent par la pénétration de l’une dans l'autre, par exemple d’une pièce cylindrique pénétrant dans un autre cylindre
- de diamètre légèrement supérieur. — On dit quelquefois emboîtage.
- EMBOUTISSAGE. — Travail consistant à obtenir par pression des parties concaves dans des tôles métalliques, d’acier ou de cuivre en particulier, par une ou plusieurs passes successives, à froid ou à chaud.
- Le prix de revient fort élevé des outils à emboutir ne permet pas d’employer ce mode de fabrication pour de petites quantités; aussi est-il encore assez peu usité en matière d'automobile.
- Pourtant quelques grandes pièces sont ainsi obtenues; les châssis en tôle d'acier sont en tôle emboutie. De même, quelques constructeurs font actuellement leurs cônes de friction de cette façon. Et il est à souhaiter dans l'intérêt de tous que cette fabrication se généralise dans la construction des véhicules automobiles.
- — Delaunay IÎelleville, à S’-Denis (Seine).
- — Forges de Douai, 52, boulevard Iïauss-mann, Paris.
- — (inos, 21, rue de Champagne, à Saint-Etienne (Loire).
- EMBRAYAGE. — Mécanisme servant à relier à volonté un arbre ou un organe de transmission au moteur qui l’entraîne. Il ne faut donc pas confondre embrayage avec accouplement, ces derniers appareils procurant une liaison continue. Quand on veut réunir la transmission au moteur, l'un et l’autre étant arretés, ou quand on ne craint pas les chocs, on emploie un embrayage à griffes (prise directe des boîtes à engrenages, etc.). Quand, au contraire, une grande progressivité est nécessaire, on emploie exclusivement des embrayages à friction qui patinent jusqu’à ce que l'entraînement intégral ait lieu. Un exemple de ces appareils est donné à Cône d'embrayage. Ce sont les plus répandus parce que les plus simples, mais ce ne sont pas les seuls employés. En automobile, notamment, on les abandonne quelque peu pour les embrayages à segments extensibles et à hélice, à friction entièrement métallique qui semblent mieux se prêter à la transmission des grosses puissances, tout au moins avec une plus grande douceur. La figure donne un exemple d’embrayage à segment ex’ensiblc sur les voitures Berliet.
- Le volant ventilateur Y porte, en son milieu, un moyeu T à l'intérieur duquel viennent frictionner puis adhérer deux segments métalliques B, C. L’entraînement est donc obtenu par l'adhérence de deux pièces cylindriques et métalliques et l’huile n’a sur l’appareil d’autre effet que d’améliorer son fonctionnement, aussi est-il muni d'un orifice spécial de graissage. Le fonctionnement est. d'ailleurs, des plus simples. La figure le fait comprendre aisément. Les deux
- CHASSIS EMBOUTIS ARBEL
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- TYi'i; njoO.
- A, articulation du segment B G. — D, doigt d’embrayage. — d, nez. — E, point d’articu-J lation. — Vf levier écarté par l'introduction
- G, plaque portant le mécanisme d’embrayage. — H, bout in. — I, pédale. — J, arbre de la boîte (les vitesses. — mandant le doigt 1). — L, butée à billes. — j\1, bec. -— r lequel peut être déplacé l’écrou de réglage S.— H, ressort — T, moyeu du volant. — U, palier de la boîte des vitesses.
- du doigt.
- vitesses
- SciIKMA d'un KMIUIAYAOK A HONDKI.I.ES
- À, cage portant les rondelles v solidaires du moteur. — C, pièce commandée par le ressort et venant serrer les rondelles les unes contre les autres. — 1), ressort. — G, noyau poitant les rondelles x solidaires de la boîte des vitesses, — V, volant du moteur.
- segments B et G sont articulés en un point commun A, de telle façon que si Ton écarte le levier F vers la gauche (voirie haut de la figure), ils s’écartent eux-mémes l’un de l’autre ; et qu’au contraire, si l’on permet à leur élasticité naturelle d’agir (car il est question en réalité d’un seul segment, comparable si l’on veut à un segment de piston), les deux branches se rapprochent. On comprend, en outre, que l’écartement des deux branches est d’autant plus grand que le déplacement du levier F est plus accentué vers la gauche. Ce déplacement est obtenu par un doigt de métal D, au bec pointu, qui s'insère d’abord par son extrême pointe dans le jour que porte à droite le levier F thaut de la figure), puis en forçant de plus en plus jusqu’à ce que l’embrayage total se produise. Le doigt 1 est constamment poussé a fond dans le système d’embrayage par un res-sortà boudin B. Un grand levier P N M, commandé en P par le pied du conducteur, et articulé en N, vient, pour le débrayage, pousser eu arrière, au moyen du bec M, le doigt D. La maison BerlieL n'applique plus, en 1903;, que l'embrayage à disques dont on trouvera la description plus loin. — Voir Cône, Segment s y etc., etc.
- L’embrayage à segment de la maison Cottm et Desgoutlcs est particulièrement soigné. 11 est hermét ique, fond ionne dans l’huile et ne donne aucune réaction aux arbres dos deux organes qu'il solidarise.
- Outre les embrayages à cône et à segments extensibles, il existe une troisième classe d’em-bravage qui tend à se répandre de plus en plus :
- LA PLUS JOLIE VOITURE DE VILLE EST LA 14 CHEVAUX
- à châssis cintré et surbaissé
- BERLIET
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- l’embrayage dit à disques, à rondelles, à plateaux, à plaques, car on lui donne indistinctement ces noms.-—Voir Rondelles.
- Quel est le principe d’un appareil d'embrayage à rondelles ?
- Le volant du moteur porte, tournée du
- millimètre environ, peuvent donc se déplacer dans cette cage dans le sens de la profondeur.
- D’autre part l’arbre primaire de la boîte des vitesses porte un tambour G muni de rainures analogues, mais creusées à l’exté-
- Coi'PE DANS LAPPAUEIL d’emuhayagk Paniiahd et Leyassoh appliqué a toutes les voulues
- DE CETTE MAISON EN I<JO}.
- A, cuvette d’entraînement portant les rondelles solidaires du moteur. — B, tambour d’entraînement portant les rondelles solidaires de la boîte des vitesses. — G, plateau de poussée des rondelles. — D, ressort d’embrayage.
- — E, bouchon transmettant la poussée du ressort au plateau G par la clavette F. — f., rainure de déplacement de F. — G, plateau solidaire de l’arbre G’. — 11, manchon conique d’assemblage. — /i, clavette d’entrainement du manchon. — 1, clavette des plateaux d’assemblage. — J, écrou de serrage du manchon conique. — K, rallonge, — L, bouchon de liège. — M, extrémité du vilebrequin. — N, rondelles en acier. — O, cuvette de protection de l’embrayage. — P, fourchette de l’embrayage. — <v), couvercle en laiton. — R, larmier. — V, volant. — X, disque d’appui à billes de la fourchette. — i, trous de sortie de l’huile. — n, un des boulons fixant le couvercle en laiton. — m, boulons de fixation du volant sur le vilebrequin. — r, plaques solidaires du moteur.
- — x, plaques solidaires de la boite des vitesses.
- côté de la voiture, une cage centrale A (v. lig.j ui est pourvue intérieurement, de rainures roites parallèles à Taxe du moteur. Dans ces rainures viennent s’engager les tenons de rondelles d’acier dur ; ces rondelles, au nombre d'une vingtaine et épaisses d’un
- rieur. Dans ces rainures viennent se loger les tenons, tournés cette fois vers l’intérieur, x, d’une autre vingtaine de rondelles qui peuvent également avoir un déplacement longitudinal.
- Les quarante rondelles sont au montage
- Des Anciens Établissements PANHARD & LEVASSOR
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- disposées de telle sorte qu’elles s’enchevêtrent, une rondelle de G étant placée entre deux rondelles de A et réciproquement.
- L'enchevêtrement étant ainsi réalisé, si une pesée énergique s’exerce sur toutes ces rondelles dans la direction du moteur, elles patinent d’abord un peu les unes sur les autres, [mis se solidarisent. Il y a d’abord embrayage progressif’, puis embrayage total. Le ressort D qui appuie la pièce». G sur les rondelles n'a pas d'autre effet.
- — La question de l’embrayage est une des plus difficiles en matière de construction automobile.
- Une nouvelle classe peut être appelée à un grand avenir: ce sont les embrayages hydrauliques basés sur la réaction d'une pompe, travaillant dans un circuit fermé de résistance réglable depuis zéro (débrayage) jusqu'à l'infini (embrayage), dont la partie mobile est attelée à un arbre et la partie généralement fixe à l'autre arbre.
- — Benz et Cie, à Mannheim (Allemagne).
- — Beuliet (embrayage métallique), 12, chemin des Quatre-Maisons, à Lyon-Monplaisir (Rhône).
- — Clément-Glaimatou (ombravage à lamelles), au Pré-Saint-Gervais (Seine).
- — Cottin et Desgouttes , place du Ba-ehut, à Lyon (Rhône).
- — De Dion-Bouton et Gie (embrayage à plateaux), 3G, quai National, à Puteaux (Seine).
- - Métallukgique (La) (embrayage métallique), à Marchiennc-au-Pont, près Gharleroi (Belgique).
- --Zust {Roberto). ^o via Borgognone, à
- Milan
- EMBREVEMENT.
- — Assemblage
- de
- N KMUIU’.VKMIINT
- bois par rainure a et languette b. Les angles des châssis en bois sont em-bvevés de façon à recevoir les tenons des pièces à réunir entre elles. L’c m b rêve me lit, est simple, s'il est formé d’une seule etc. —
- languette; double, s’il en a deux, On dit quelquefois embreuvement.
- EMCEE
- [Marcel).
- ( Moteurs ).
- Voir Capte t
- Voir
- EMERAUDE, motocyclettes. -Fournier, à Nantes (Loire-Inférieure).
- EMERI. — Minerai que I on extrait en divers endroits, surtout à Naxos (Grèce). Est constitué par de l'alumine ou oxyde d'aluminium Al 0:î coloré en noir par des impuretés et, notamment, par de l'oxyde de fer. Le minéral émeri est concassé, broyé et amené par lévigation à l’état pulvérulent. Dans le commerce, la finesse de la poudre
- d'émeri est désignée par des numéros allant de i à 120. Le numéro 120 est à peu près impalpable. La poudre d’émeri agglutinée au moyen de colle forte, étendue préalablement sur du papier ou de la toile, constitue le papier ou toile-émeri.
- L’émeri sert au polissage des métaux, du verre, du cristal, etc. (bouchage à l'émeri).
- E11 automobilisme, il est spécialement utilisé par les chauffeurs pour polir et roder sur leur siège les surfaces des soupapes du moteur. La poudre d’émeri est, à cet effet, délayée dans de l’eau, dans de l’huile ou dans du pétrole.
- On trouve depuis quelques années dans le commerce une variété d'émeri, de couleur rose, transparente, d’une constitution presque identique aux rubis des joailliers. C'est le corubis, obtenu artificiellement dans les opérations métallurgiques de 1’ (( aluminothermie ». Ce produit peut servir également au rodage des soupapes; il en est de meme du carborundum et du corindon. — Voir ces mots.
- EMERI et de MACHINES (.Fabriques Réimies d*), produits et machines à mouler, 8, boulevard Richard-Lcnoir, Paris.
- ÉMERIS et PRODUITS A POLIR
- {Compagnie Centrale des), meules, 135, boulevard Serrurier, Paris. Tél. /|o3~94.
- EMERY {Martin), garage, vente d'automobiles, place de la République, à Sens (Yonne).
- EMMANCHEMENT. — Se dit de toute opération ou tout dispositif ayant pour résultat la liaison de deux pièces mécaniques par la pénétration de l’une dans l'autre : emman-
- ScilHMA 1> UN emmanciiumknt a touiinevis.
- A et B, parties à réunir. — G et D, arbres. —
- T, tournevis.
- chôment d'un marteau sur son manche, emmanchement de deux tubes de diamètres différents, emmanchement “à tournevis” de deux arbres de transmission, etc.
- Los raccords réunissant les extrémités des tubes de bicyclettes sont de véritables emmanchements ; ordinairement les tubes sont introduits dans les raccords, goupillés, puis brasés. La brasure étant une operation fort délicate, on a proposé de visser dans les raccords préalablement filetés l'extrémité des tubes taraudés et garnis d'étain qu'on n’a plus qu'à faire fondre à la lampe pour avoir un emmanchement extrêmement résistant.
- [AüTOMMkis CLEMENT
- Direction Usines au PRÉ-SAINT-GERVAIS
- (Seine)
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- ÉMOUDRE. — Aiguiser un instrument à la meule, ou user une pièce mécanique sur la meule pour la polir.
- EMPATTEMENT. — h" empattement. d’une voiture est la distance « comprise « entre l'axe do la roue avant et celui de la « roue arrière. Cette mesure est prise sur le « sol aux points du contact, la roue avant « étant bien droite, c’est-à-dire dans un plan * exactement parallèle à celui de la roue « arrière. En cas de contestation, on mesure « cette distance du côté droit, puis du côté « gauche, et on prend la moyenne. » (Définition des Compagnies de chemin de 1er).
- Depuis juin 190/1, les automobiles peuvent être transportées en chemin de fer d’après un tarif, moins onéreux que l’ancien pour les chauffeurs, basé sur Y empattement du véhicule. — Voir Transports.
- EMPIRE, roue à ressorts. — Voir Metropolitan Engineering Association.
- EMPLATRE. — Pièce en cuir et toile spéciale caoutchoutée, préparée pour être collée à Yintêrieuv de Y enveloppe et boucher provisoirement un trou causé par une coupure ou un éclatement. Cet emplâtre a pour
- but d'empêcher la chambre à air de faire hernie au travers de l’enveloppe; il constitue une réparation provisoire.
- L’emplàtre doit dépasser la plaie de cinq centimètres environ dans chaque sens ; on le colle au moyen de la dissolution ordinaire.
- Les emplâtres sont ou simples, ou à bavettes ; dans ce dernier cas, ils sont prolongés par des languettes de cuir qui se prennent sous les talons de l’enveloppe et qui offrent ainsi une résistance supérieure à la traction, lors uc le pneumatique est regonflé.
- — Emplâtre « à bavettes » Continental. — Plaquette de caoutchouc et toile, à placer à l’intérieur des enveloppes perforées pour
- «MBan^amT" •«M 'W'uwAnw\'y-sna»
- Kmplatiu; a navettes « continental »
- soulager de la pression intérieure l’endroit ésé. Les extrémités dites « bavettes » se
- trouvent pincées entre la jante et les talons et supportent ainsi la plus grande partie de la pression intérieure.
- EMPORIO CICLISTICO, vente d’automobiles et de cycles, 7, piazza Vittorio Ema-nuele, à Pérouse (Italie).
- EMPORTE-PIÈCE. —* Cylindre métallique dont un des côtés, coupant, sert à découper une rondelle dans un cuir. Ne sert en automobile que pour les rares voitures ayant encore une courroie de transmission. 11 existe des emporte-pièces spécialement fabriqués pour percer des trous dans les courroies trapézoïdales de motocyclettes, opération très difficile sans cet instrument.
- On fabrique aisément, dans les ateliers, des emporte-pièces cylindriques avec des bouts de tube d’acier dont on aiguise une des extrémités à la meule.
- EMPREZA AUTOMOBILISTICA PORTUGUEZA, vente d’automobiles, avo-nida Navarre, à Coimbra (Portugal). Tel. 58. Adr. Lél. Automoveis-Coimbra.
- EMPTAS, fabrique de ressorts, rue Saint-Maur, Paris.
- EMRESS (Camions automobiles). — Voir Ilagen, Paris.
- ENAULT (Robert)^ insignes et plaquettes, 41, rue Turbigo, Paris.
- ENCLANCHEMENT ou ENCLENCHEMENT. — Dispositif mécanique, réunissant deux pièces, au moyen d'une encoche et d'un doigt pénétrant dans cette encoche ou enclenche, et disposés de telle façon qu'on puisse à volonté faire cesser immédiatement la liaison de ces deux pièces.
- ENCLUME- — h'enclume est en fer, avec ses extrémités aciérées et trempées; une bonne enclume doit rendre un joli son clair sous le marteau.
- On distingue dans nue enclume : le corps avec la table polie, à la partie supérieure : et les cornes ou bigornes coniques, rondes, carrées ou pyramidales. Les angles doivent être vils; ouïes utilise fréquemment dans les travaux de lorge. L’enclume porte aussi un trou carré, servant soit à tenir des outils accessoires, soit à percer des trous. — On place l'enclume sur un billot de bois (chêne ordinairement) appelé chabolle.
- Les enclumes d’établi se nomment : tas.
- — On appelle aussi enclume une petite pièce métallique, sur laquelle vient lrapper un levier appelé marteau, qui établit momentanément par son contact la fermeture d'un circuit électrique.
- B. cornes.
- corps.
- O, Trou carré. —T, table.
- Prière de lire avec soin
- La Préface ; notes Importantes
- (pagres 8 à 16) du présent volume.
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- ENCOCHE. — Entaille pratiquée sur une
- pièce mécanique et ayant souvent pour but de limiter la rotation de cette pièce autour d’un axe (boîte iY allumeur, manettes, etc.). — Voir Cran.
- ENCOMBREMENT. -- En général, distance comprise entre les deux points extrêmes d’une pièce dans ses deux sens principaux (longueur et largeur). — Souvent c. Kr^ot. — K, Encoche. le mot encombrement évoque l'idée d'une seule dimension, la longueur : « ce moteur à 4 cylindres a un encombrement de 90 centimètres », mesuré de barrière du tablier à bavant du châssis.
- encombrement d'une voiture est la distance qui sépare les deux points latéraux les plus éloignés, ordinairement déterminés par les lignes verticales tangentes à l'extérieur des pneumatiques.
- ENCOURAGEMENT POUR L INDUSTRIE NATIONALE {Société </’), 44» rue de Rennes, Paris.
- ÉNERGIE. — L’ énergie est cette force mystérieuse invisible et impalpable qui nous fait tous agir et de laquelle nous 11e connaissons rien... ou si peu ! Donner une définition d’une chose que l’on 11e connaît pas est bien difficile; aussi donne-t-on le nom d’énergie à j toute cause qui tend à produire un travail, à surmonter un obstacle, à produire un effet visible et durable.
- | L’énergie se distingue sous deux manières 1 d’être différentes : l'énergie potentielle ou latente. Exemple: U11 ressort tendu, une masse suspendue capable par sa chute de produire un travail, un morceau de charbon, etc. -— et Vénergie actuelle, celle qui se manifeste par ses effets : un moteur en mouvement, la chute d’un corps, la production de la chaleur, de la lumière, etc.
- La conservation de l'énergie est un des grands principes de la science moderne. L’énergie se transforme et 11e disparaît jamais.
- On peut distinguer de nombreuses formes de l’énergie : Vénergie mécanique, Vénergie calorifique, Vénergie électrique, Vénergie chimique, la lumière, le son, etc. Toutes ces formes peuvent se transformer : le frottement engendre la chaleur (énergie mécanique ou calorifique), la combustion d’un gaz détonant dans le moteur à essence produit de la force motrice (énergie thermique ou énergie mécanique), deux corps en se combinant absorbent ou dégagent de la chaleur (énergie chimique ou énergie thermique), la dynamo transforme l'énergie mécanique en énergie électrique, la pile l’énergie chimique en électrique, etc.
- ENDOTHERMIQUES. — Corps dont ; la décomposition absorbe une certaine <juan- ' tité de chaleur. C’est, le cas de la majorité des corps composés, qui dégagent un certain nombre de calories au moment de leur j formation ; calories iju’on doit leur restituer ] quand la décomposition s'effectue parla elia- < leur. Exemple : la formation du sulfure de fer dégage une certaine quantité de chaleur, qu'il faudra dépenser, sans élévation de tem- ! pératurc, dans le grillage ou décomposition du sulfure par la chaleur.
- ENDUITS ADHÉSIFS. — Ce sont des corps dont 011 se sert pour augmenter l'adhérence de la courroie sur les poulies, ou celle du cône d'embrayage. On a proposé mille recettes plus ou moins merveilleuses; on emploie de la résine le plus souvent, quelquefois du talc, de la craie, de la plombagine, du sable fin, voire même du sucre, ïrocédés dont leurs inventeurs disent tous e plus grand bien. - Eu user le moins possible.
- ( ENERGIA ELECTRICA {La), revue d’électricité, 5, Flaza de Isabel II, à Madrid ^Espagne). j
- ÉNERGIE ELECTRO-MÉCA-NIQUE (L’), machines-outils, 2, rue Delau-nay, à Suresnes (Seine). Tél. io3.
- ÉNERGIQUE (L’), accumulateur mixte. — Commelin, Viau et Cie, 43, rue de Lévis, Paris. Tél. 082-93.
- L’aecu-mixte Y Energique se distingue des autres accumulateurs en ce qu’il fonctionne comme un accu â la charge et une pile à la décharge, d'où le nom d’aecu-mixte qui lui a été donné par ses inventeurs.
- Cet accumulateur 11e se décharge que lorsqu'il est mis en travail ; il conserve sa charge même durant plusieurs années, et son mode fractionné de décharge au moyen de bâtonnets d’un alliage spécial permet à l’automobiliste de toujours savoir quelle quantité d’électricité lui reste dans son accumulateur et aussi, en cas de court-circuit, de ne pas vider sa batterie entièrement.
- ENFER et ses Fils, forges portatives. — Voir Landemard, Aubert et Cle.
- ENFER Jeune, forges portatives. — Voir Air et Feu [ Établissements).
- | AUTOMOBILES ARIËS
- 39, quai d’Argenteull, 39
- VILLENEUVE-LA-8ARENHE
- par risle-Salnt-Denis (Seine).
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- ENFIELD AUTOCAR C°, fabrique j d'automobiles, à Redditch, Angleterre.
- ENFOURCHEMENT. — Assemblage de deux pièces de bois A et B placées bout à bout. La mortaise M n’a que trois faces et
- K.nfoluciiemen T
- monte jusqu'à rcxtrémité du bois. Le haut du tenon T forme arasement avec le reste de la pièce de bois.
- ENGAGEMENTS (Courses). — En
- matière de courses automobiles, rengagement d’un véhicule ne peut se faire que s’il est conforme à la définition de sa catégorie au point de vue de la cylindrée maxima, etc.
- L’engagement ne peut avoir lieu qu’autant que le coureur est en règle avec le club faisant disputer la course (au point de vue licence, etc.) et suppose sa promesse tacite de se conformer en tous points aux règlements et de se soumettre à la décision des juges et arbitres.
- ENGELHARD, chef de la publicité de la maison Michelin et Ci0, ion, boulevard Percirc, Paris.
- ENGELHARDT, chef du bureau des études de Lorraine-Dièivich, ia, avenue de Madrid, Neuilly-sur-Seine. j
- EN GILBERGE, garage, vente d'auto- j mobiles, boulevard Thiers. à Grasse (Alpes-Maritimes).
- ENGLEBERT Fils et Cil\ pneumatiques, 29, rue des Venues, à Liège (Belgique) ; et rue Oger, à Givct (Ardennes). Adr. tel. Gaouichouc-Givet. Représentant : M. Du- ! casble, if>6, av. Malakolf, Paris. Tel. 072-08.
- ENGRENAGES. — Les engrenages sont des organes de transmission de mouvement dérivés des solides de friction (cylindres et cônes de friction) par l'addition des dents qui arment leur surface et empêchent le glissement de se produire en engrenant dans les creux correspondants de la roue conjuguée. On les emploie à l’exclusion de tout autre mode de transmission lorsqu'il s'agit de transmettre sans glissement de grandes puissances entre deux arbres rapproches ou encore lorsque le
- i
- rapport des vitesses angulaires doit rester absolument invariable (comme, par exemple dans la distribution d’un moteur à gaz). Suivant la position relative des arbres connectés, on peut classer les engrenages en plusieurs catégories. Nous ne retiendrons que les plus importantes, et, par conséquent, celles qui sont d’un usage courant.
- Nous diviserons tout d’abord les engrenages en deux classes : ceux qui relient deux arbres dans un même plan et ceux qui relient deux arbres situés dans des plans différents.
- (a) Arbres situes dans tin même plan. - - Quand les axes sont parallèles, on a des engrenages cylindriques à denture extérieure ou intérieure, droite simple ou à chevrons (fig.
- Kîjr. I
- Engrenage a
- DENTURE A CHEVRONS
- ou hélicoïdale. Ces engrenages sont les plus répandus ; on en trouve des exemples dans la distribution des moteurs et dans la boîte à engrenages des automobiles. Nous avons donné des notions générales sur les dents, leurs divers éléments, le tracé de leur denture, etc., à l’article Dent. — Voir ce mot.
- Quand les axes sont concourants, d’équerre ou non, on a des engrenages coniques à denture droite, hélicoïdale simple ou à chevrons. La figure 2 est un exemple de ces roues choisi dans les séries de la maison Piat. Le tracé des dents s’effectue absolument comme s’il s’agissait d'engrenages cylindriques ordinaires. O11 développe les cônes de tête extérieurs (voir la légende de la figure 2), ce qui donne deux secteurs tangents sur lesquels on trace les dents. O11 reporte le tracé sur les cônes eux-mêmes, et la surface de la dent est engendrée par une droite ou génératrice s’appuyant, d’une part, sur le profil de la dent, ou directrice, et sur le point de concours des axes. Au point de vue géométrique, c’est donc une surface conique. A l’atelier, cette surface est obtenue au moyen de machines spéciales : Brown et Sharpe, Monneret. Ernault, etc., dont l'outil est un couteau travaillant à la fat;on d’un burin de mortaiseuse. O11 essaie actuellement, avec succès, de remplacer les machines par des outils se rattachant aux fraiseuses. Le point délicat en est dans la fraise elle-même, qui doit avoir un profil variable, et se trouve être, par suite, d'une fabrication chère et compliquée. Les applications des engrenages coniques sont fort nombreuses : transmissions de voitures automobiles, différentiels à pignons coniques, changements de marche, « retours rapides » des raboteuses, transmissions de moteurs hydrauliques, d'appareils de levage, etc., etc.
- Société anonyme des Automobiles
- LYON
- de la
- BUIREl
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- (b) Les axes sont situés dans des plans différents. — Dans ce cas, le type d'engrenages à adopter dépend plutôt du rapport des vitesses angulaires et aussi de l'effort à Lrans-
- lùg. 2. — En
- GIIKNAGKS D ANGLE
- aii^It* des axes = <)0°. — b, eône de tète extérieur. --
- m, pas extérieur.
- diamètre primitif extérieur.—pt din-— 7, diamètre primitif intérieur. —
- r, cône de tète intérieur. — ?, alésage.
- 71
- pas
- o.
- intérieur, mètre primitif moyen, m, longueur des dents.
- E
- N(i KEN AGES II El. ICO] I) A T X
- mettre. On se trouve, en effet, en présence des engrenages cylindriques à denture héli-coïdale, des engrenages à vis sans fin ou globique et des engrenages hypcrboldides.
- Pour des rapports de vitesse ne différant pas beaucoup de fumte, il convient d’employer les engrenages hélicoïdaux ou hyperboliques, ces derniers étant plutôt réservés aux gros efforts pour la raison qu’ils fonctionnent sans frottement. Par contre, les engrenages hélicoïdaux se prêtent à une fabrication extrêmement précise, et, convenablement montés et garnis, donnent un fonctionnement irréprochable. Ce sont des engrenages de précision. La figure 3 est un exemple dans le cas où les axes sont d’équerre (comme pour la commande de l'arbre de distribution des moteurs à gaz).. Les pas sont à gauche, les libelles f f et f f ndiquent le sens de rotation. On voit que les dents sont des portions de filets de vis hélicoïdale. On pourrait en effet, à la rigueur, les obtenir sur le tour. En pratique, on les ob:icnt à la fraiseuse. Dans le fonctionnement, les dents glissent les unes sur les autres, ce qui nécessite une exécution parfaite, un montage rigoureux et un graissage absolvant. L’avantage de ces engrenages consiste dans leur extrême douceur et dans la continuité de leur conduite, ce qui évite totalement les chocs et les vibrations. Ils produisent sur les arbres une poussée longitudinale qu’il est nécessaire d’absorber au moyen d’une butée, de préférence à billes.
- Roue et vis sa?is fin. — C’est un cas particulier de l’engrenage précédent, lorsque le pignon a un diamètre primitif suffisamment réduit pour que ses dents, au lieu d’être des portions d’hélices parallèles, ne forment plus qu’un filet, continu. Le pignon devient donc une vis sans fin à un ou plusieurs filets.
- Quand la denture do la roue est modifiée de façon à épouser la vis d’une façon plus étendue, par la creusure de sa surface cylindrique, on a la vis tangente surtout réservée aux gros efforts. La figure !\ en est un exemple. Le dispositif à vis sa?is fin ou à vis tangente est un démultipli-cateur puissant. Il jouit de plus, dans certaines conditions, d'une irréversibilité absolue, c’est-à-dire que si la vis commande la roue, la roue ne saurait commander la vis.
- On l’applique, par conséquent, aux appareils où, comme dans les vannages, grues et crics, doit pas provoquer l'inversion du mouvement
- Fig. 4
- 1\oue et vis TANGKNlK
- roue hélicoïdale à denture évidéc.— b. vis sans fin.
- la résistance en
- Lisez
- tous les mois
- Le BULLETIN OFFICIEL daoto (6 francs far an)
- 20, nu Dur si, PARIS.
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- quand la puissance cesse ou diminue. Dans cet ordre d’idées, son application la plus large a été laite aux directions d’automobiles, où l’on tend d’ailleurs à le remplacer par le dispositif vis et écrou, également irréversible, pour des raisons de difficulté d’exécution et surtout de suppression du jeu. Quand l’engrenage à vis sans lin ou à vis tangente est utilisé comme démultiplicateur, il convient d'exécuter la roue en bronze dur et la vis en acier trempé, et de faire tourner le tout dans un carter plein d’huile. On équilibre la poussée longitudinale de la vis au moyen d’une butée à billes. A condition de marcher avec une grande vitesse linéaire de la vis et une faible pression relative, le rendement est excellent et peut atteindre 87 0/0. O11 rencontre ce dispositif dans la démultiplication de première commande de nombreux moteurs électriques ou dans les mouvements de ponts roulants, etc.
- — Caplain-Bergeu et Cie, 8G, quai Jem-mapes, Paris.
- — Comiot (Ch.), direction irréversible, 87, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris.
- — MalicetetBiux, io3.ruedela République, à Aubervilliers (Seine).
- — Engrenages toujours en prise. — Se dit des changements de multiplication où les engrenages ont leurs dents constamment engagées les unes dans les autres. Ce sont les appareils à embrayages multiples, par friction ou par griffes, et les appareils à satellites ou du type planétaire.
- ENLEVAGE. — Voir Emballage.
- ENNÉAGONE. — Figure géométrique à neuf angles. Si r représente le rayon du cercle circonscrit, le côté est égal à : 2 r sin 20°.
- ENROULEMENT. — Pour enroulement des induits de dynamos, à anneau, à tambour, bipolaires on multipolaires, en parallèle, en série, en séries parallèles, ondulé ou imbriqué, pour enroulement série, shunt-compound ou hypcrcompound des inducteurs, voir Dynamo. Pour enroulement des induits d’alternateurs, des alternomoteurs des bobines, électro-aimants et transformateurs, voir ces termes.
- ENTAILLE. — Les enveloppes des pneumatiques portent toujours une entaille ou encoche, pour offrir, au montage, un logement à la valve de la chambre à air.
- ENTIBOIS. — (Synonymes : estibois, étiboiSy èlibot, bois à limer.) — Morceau de bois qu'on place dans les mâchoires de l’étau, ou petit billot, qui sert de point d'appui à une pièce que l'on doit limer ou à une tige métallique dont on u aiguise ” la pointe avant de la passer dans un trou de filière.
- ENTOILAGE. — Voir Carcasse Ae pneumatique.
- Le V formant la tète des boulons de sécu-rité est garni de toile caoutchoutée pour éviter le contact du métal formant cette tete avec les toiles de l’enveloppe ou avec la chambre à air. Lorsque cet entoilage est détérioré, les boulons de sécurité doivent être remplacés et être envoyés à l'usine, où le travail do réentoilage est fait avec des moules spéciaux, indispensables pour la bonne réussite de cette petite opération
- ENTONNOIR. — 1 jü même entonnoir sert à l’eau et à l’essence, aussi nécessaire à l'une qu’à l'autre à la condition qu'il soit garni en son fond d'un tamis très fin pour retenir les grains de soudure, les petites parcelles de liège ou de caoutchouc que renferment souvent les bidons d’essence, ou les petites brindilles, petites pierres ou débris de feuilles que contient l’eau.
- L’entonnoir le plus pratique, non seulement est garni d’un tamis T, mais encore possède des rebords R, formant gouttière à l’intérieur. Cette disposition empêche les projections de liquide sur la partie de la caisse qui enferme l’entonnoir.
- — Boas, Rodiugues et Ci0, 67, boulevard de Charonne, Paris.
- ENTOURAGE. — Mot employé autrefois pour désigner le capot entourant le moteui'i
- ENTRAINEMENT MÉCANIQUE.
- — Dans les courses cyclistes avec entraîneurs, on a substitué l’entraînement mécanique à l'entraînement humain dans le but d'augmenter la vitesse et aussi la régularité de marche.
- ENTRÉE DE CAISSE OU DE CARROSSERIE. — La dist ance comprise entre le tablier T du moteur (vulgo, le garde-crotte) et la ligne verticale, menée tan-gentiellement à l’avant de la roue arrière R, est appelée entrée de carrosserie ou entrée de caisse, et quelquefois cote tan-gentielle.
- On appelle aussi entrée de caisse un petit panneau mobile en cuir ou en tôle E maintenu par des vis ou des tourniquets, qui, dans quelques trop rares voitures, ferme de chaque côté la partie inférieure de Ventrée des places « avant » et dont Futilité est do pro
- EXIGEZ DES
- CHAINES
- mnm
- sur vos
- CHASSIS
- C. COMIOT
- Agent general
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- tégcr efficacement les jambes des voyageurs -contre la poussière et le vent. *
- JCnirov de cmsso.
- ENTRÉE DE DENTS.1 - La denture des engrenages qui constituent un baladeur, ou sont en rapport avec lui, subit ordinairement une modification qui a pour but de
- faciliter l'emprise et (pii consiste à donner de Ventrée aux dents. On abat et, on arrondit plus ou moins les bords de la dent afin que les engrenages ne se choquent plus par des surfaces planes (figure i), mais par des surfaces légèrement en pointe (figure a). On voit que rentrée a ainsi formée est plus grande que l'entrée normale b.
- On ne donne d'entrée aux dentures que sur un seul côté lorsque l'engrenage n’est attaqué par le baladeur que sur une seule face.
- Quelquefois, au lieu d'abattre un peu de la dent, on rogne une dent sur deux selon la .longueur. Quelquefois encore on ne donne
- d'entrée qu'à un seul des deux engrenages. Le dus fréquemment les dents sont arrondies sur es deux engrenages destinés à se pénétrer.
- L’agrandissement, de l’entrée de la denture présente un inconvénient : il diminue la longueur utile l des dents et cause ainsi leur usure plus rapide.
- ENTRÉE LATÉRALE. — 11 est nécessaire, afin qu’on puisse accéder aux places arrière d’une voiture au moyen de portes s’ouvrant sur le côté (entrée latérale) que le châssis ait au minimum 2 m. 5o de long.
- L'empattement (distance séparant le centre de la roue avant du centre de la roue arrière) sera de 2 m. 70 avec des roues de 90 centimètres,longueur raisonnable qui permet d’avoir une voiture encore maniable et pas trop encombrante. O11 pourra arriver à un empattement de 2 m. 4o seulement pour un châssis à un cylindre avec des roues de 800, et de 2 m. 5o pour un châssis à deux cylindres.
- Pour que la porte ait une longueur suffisante et soit d’un accès facile, il faut que la verticale tangente à la partie antérieure de la roue arrière se trouve à 1 m. 60 du tablier pour des roues de 90 centimètres de diamètre, et à 1 m. 5o pour des roues de 80 centimètres. Ces deux cotes ne peuvent absolument pas être réduites. Autrement il serait impossible d’ouvrir complètement la porte.
- ENTREFER. —• Espace d’air appartenant au circuit magnétique d'un aimant ou d’un électro-aimant. En raison de la grande résistance opposée par l’air au passage du flux, il y a lieu de réduire les entrefers au minimum. Dans les armatures d’électros (voir Electro-aimant)y on y parvient en dressant correctement les surfaces en contact, de même que dans les joints des inducteurs de dynamos. Dans les dynamos et les alternateurs, on appelle spécialement entrefer l’espace compris entre les pièces polaires et l’armature de l’induit. — Voir Dynamo.
- ENTREPOT D IVRY, alcool dénaturé “ Soleil”, 71, quai d’Ivry, à Ivry-Port (Seine). Tél. 802-10 et 8o2-58.
- ENTREPOT GÉNÉRAL DE L’AUTOMOBILE, voitures et canots “ Lucia ”, et voitures “ E. G. A. ”, 209, boulevard Pé-rcire, Paris. Tél. 690-38.
- ENTREPOT MÉTALLURGIQUE
- (L’), radiateurs, 5, passage de l’Industrie, Paris.
- ENTRETOISE. — On appelle entretoise toute pièce métallique qui sert à relier deux organes mécaniques et à les rendre plus
- Entretoise
- Kntivktoise de chaîne
- forts et plus solides, ou qui assure un écartement constant entre deux pièces. Par exemple Ventretoise de chaîne (appelée aussi
- Automobiles delaunay belleville
- SAINT. DENIS. SUIl-SEINE
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- goujon d'assemblage), qui réunit les deux flasques du maillon en maintenant en même temps l’écartement, nécessaire; Yentretoise
- Entretoise
- Emketoise pi: capue de motocyclette
- d'un cadre de motocyclette réunissant le tube ; central G au tube diagonal D; Yentretoise \ d’un châssis dé voiture qui porte les pédales j de freins, ;les organes commandant l'em- ! brayage, etc.
- ENTURE. - - On nomme ainsi en carrosserie l'adjonction d’une pièce de bois dans un brancard de caisse pour l’allonger ou en modifier la forme. — Voir Embrèvement.
- ENVELOPPE. — La partie extérieure du pneumatique est appelée enveloppe et quelquefois bandage; elle sert à supporter les efforts et l’usure causés par le roulement sur le sol et, à envelopper, à protéger la chambre à air, tout, en la maintenant. C’est Y enveloppe qui, ayant à résister à de
- Une Enveloppe
- multiples causes de destruction, subit le plus grand nombre des accidents de la route ; aussi doit-elle être construite avec très grand soin, et les parties qui la composent doivent-elles être vérifiées minutieusement.
- \Jenveloppe se compose de deux parties : la carcasse et le croissant.
- La carcasse comprend : les talons, les toiles, | les bandes protectrices, la gomme. |
- Le croissant comprend : la gomme de roulement, les toiles ou protecteurs.
- Les talons sont la partie qui vient s’encastrer dans les crochets de la jante et qui est maintenue en place dans celle-ci par la pression de la chambre à air gonflée.
- Les toiles enveloppent le talon et forment la carcasse.
- Les bandes protectrices sont appliquées sur le talon et sur les Enveloppe (coupe d’une) flancs de 1 cuve- ,\f accrochage. — B, croissant, loppe; elles pro- _ cf carcasse. — F, toiles,
- tègent, les toiles P, pointe du talon. — T,
- contre les cisail- talon, lements produits
- par la jante et les flancs du pneumatique contre les coupures causées par les cailloux ou par d’autres objets pouvant les détériorer.
- La gomme est un protecteur de la carcasse contre l’humidité, la bouc, l’eau de pluie, qui feraient pourrir les fils de l’enveloppe.
- La gomme de roulement ou de surface, appropriée au travail qu’elle est appelée à subir, est préparée spécialement pour cet, usage; elle est grise ou noire.
- Les protecteurs sont des toiles noyées dans l’épaisseur du croissant, près de la carcasse. Lorsque, par suite d’une usure normale, la première toile est détruite et que la deuxième toile devient apparente, ceci indique que le moment est venu de faire remplacer le croissant, travail qui ne peut, être exécuté qu'à l’usine.
- Pour exprimer les dimensions d'une enveloppe, on se sert de deux chiffres accolés (par exemple ^5oX85), le premier, chiffre indiquant en millimètres le diamètre (^5omm) de la roue, pris extérieurement au pneumatique gonflé, le second chiffre (85mm) indiquant la hauteur B du <( boudin pneumatique ».
- Les enveloppes, tout en conservant un même diamètre (^5omm par exemple) sont fabriquées d’épaisseurs différentes : il en existe plusieurs types désignés par léger, renforcé y extra-fort, que l’on choisit suivant le poids qu’elles auront à supporter et la vitesse que fournira la voiture.
- Il y a aussi des dénominations différentes correspondant aux véhicules sur lesquels les pneumatiques doivent être montés, ou suivant le travail qu'ils doivent supporter. C’est ainsi qu'on distingue les enveloppes pour voitures « de course », pour les voitures, les voiturettes, les motocycles, les motocyclettes, les tandems, les bicyclettes (ces dernières à talons ou à tringles, suivant la conformation des talons).
- Pneu LIBERTY - WOLBER
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- Sur la plupart des enveloppes, le croissant est vulcanisé ; sur d’autres, il est simplement rapporté sur la carcasse au moyen d’un enduit spécial et par un procédé dénommé collage à froid; les enveloppes sont alors désignées sous le nom d’enveloppes à croissants moulés ou à croissants rapportés. Le procédé par vulcanisation est de beaucoup préférable.
- Lorsqu’une enveloppe a éclaté, ou qu’elle est fortement coupée, on peut fermer provisoirement cette déchirure au moyen d'un emplâtre et d'une guêtre (voir ces mots) et gagner ainsi l'étape où l’on réparera l’enveloppe.., ou on la changera contre une neuve. — Voir Carcasse, Croissant.
- — Continental, i/j6, avenue Malakoff, Paris.
- - Dunlop, i4, rue Piccini, Paris,
- — Michelin et Cio, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- — WoLBien, à Vailly-sur-Aisne (Aisne).
- — Enveloppe du cylindre. — Dans les moteurs à explosions, le cylindre est entouré, enveloppé par un autre cylindre de plus grand diamètre, rapporté ou 44 venu de fonte”; il est ainsi formé un espace intermédiaire dans lequel circule l’eau destinée à abaisser la température du cylindre où se meut le piston.
- Enveloppe de ballon. — Se lait soit en colon, en ponghéc, en soie du Japon, en soie française, en baudruche ou en tissu caoutchouté Ces divers tissus, sauf le dernier, sont enduits de vernis à ballon à base d’huile de lin qui les rend imperméables aux gaz. Les enveloppes de ballons sphériques sont constituées par des panneaux d’étoffe cousus et chevauchés ou par de longs fuseaux assemblés par les bords. Les enveloppes de ballons allongés sont coupées et assemblées suivant des épures appropriées à la forme à obtenir. L’enveloppe des sphériques porte à son pôle supérieur la soupape démontable ou non, à son pôle inférieur un évidement circulaire dans lequel s'encastre le cercle d'appendice prolongé par la manche d'appendice ; elle est souvent munie, dans les ballons récents, du volet de déchirure.
- ENZ, garage, rue de la Tour, à Etretal (Seine-Inférieure).
- EOLE, pneumatique. — Voir Sternberg.
- EOLINE, essence pour automobiles. — Raffinerie de pétrole du Nord, à Croix-Was-quehal (Nord).
- ÉPAISSEUR DES TOLES (de dy-
- namol. — Pour le bobinage des induits en anneau et en tambour, on emploie universellement des disques estampés dans de la tôle de fer doux. L’épaisseur ordinaire de ces feuilles est de i à 2 m/m ; quelques constructeurs adoptent 3 m/m.
- Ces tôles peuvent etre lisses, à dents ou h trous.
- agrandir
- EPANOUIR.
- une de
- extrémités, soit en le battant au marteau pour exécuter un collet, soit en enfonçant un mandrin d’un diamètre supérieur au diamètre intérieur de ce tube. C'est une opération qui est souvent faite soit pour le montage d’un tube avec un écrou creux, soit pour souder perpendiculairement un tube sur un autre tube, soit pour fabriquer des clés dites
- Epanouir un tube, c’est ses
- T
- une EPANOUI
- “ en bout ”, etc
- EPATANT
- Roland et CiB.
- (Zé), pneumatiques. — Voir
- ^ EPAULEMENT — Se dit de la partie d’une pièce mécanique dont les dimensions sont brusquement diminuées; c’est ainsi que, pour obtenir la panne d’un marteau (le petit E E
- bout), on épaule à la forge un morceau d’acier carré. Faire un épaulement, c’est donc faire une échancrure ou réduire la matière d’une pièce
- A, arbre.
- E
- épaulement
- à la lime, au b
- un n
- la forge, etc.
- O11 appelle aussi épaulement une partie saillante, en forme d’un anneau ou de bourrelet,, qu’on ménage souvent sur un arbre pour l'empêcher de glisser latéralement dans son coussinet..
- ÉPHÈSE (Soupapes et Rondelles). — Voir Blanc et Cic, à Saint-Etienne.
- ÉPONGE (de platine). — Platine métallique obtenu sous une forme poreuse plus ou moins cohérente, d'où la désignation d’éponge de platine, par la calcination de sels de platine et, notamment, du chlorure double de platine et d'ammonium. L’éponge de platine possède les propriétés dites catalytiques de provoquer l’inflammation des mélanges d’oxygène ou d'air avec l’hydrogène, les hydrocarbures gazéifiés, l’oxyde de carbone, etc. L’allumage des moteurs à explosions dit « catalytique )> est basé sur ces propriétés spongieuses du platine pur ou plus ou moins allié aux métaux (rhodium, ruthénium, etc.) de la famille platiniquc. — Voir l'ouvrage VAllumage3 par B. de S.
- ÉPURE. — Dessin au trait, exact, terminé (par opposition à croquis), en grandeur naturelle, ou à échelle réduite, sur lequel on peut prendre des mesures exactes. Une épure est effectuée ordinairement sur pa-
- Sans Rivales : les ZUST
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-
- E P I
- E Q II
- — 3a i —
- pier; quelquefois sur tôle que l’on découpe ensuite pour servir de modèle ou de patron à des organes particuliers.
- Ces tracés sont faits avec la plus grande précision, car ils déterminent une fois pour toutes la forme et les dimensions de la série de pièces à construire.
- ÉPICYCLÔÏDE. — Courbe engendrée par un point quelconque P d’une circonférence
- p.,(
- I’, 1”, P”, P”', cpicycloïde
- roulant, sans glisser, sur une autre circonférence, extérieurement ou intérieurement.
- EQUATEUR, graisses et huiles minérales, — Voir Lebrasseur et C'\
- ÉQUERRE. —• Instrument formant un angle droit et servant soit à vérifier les angles
- Kig. 2
- Equerre tour six i-ans
- d’une pièce mécanique, soit à tracer ces angles (fig. i). L’angle indiqué par l’équerre mesure exactement 90°. Pourtant, par exten-
- Equerre ordinaire
- Pig- 3
- '"ausse équerre
- sion, une equerre peut indiquer un anglo autre que l angle droit ; c’est ainsi qu’il
- existe des équerres à 6 pans (fig. 2), pour mesurer les angles des boulons, et des équerres, dites fausses équerres ou sauterelles (fig. 3), dont l’angle est modifiable à volonté : ces dernières sont en réalité de véritables rapporteurs d’angles.
- On donne aussi le nom d'équerres à des pièces métalliques E, ordinairement en fonte d’acier, qui servent de points de jonction et de supports à anglo droit à des pièces mécaniques.
- On dit qu’une pièce est “ d’équerre ” avec une autre, lorsque ces deux pièces forment entre elles un angle droit.
- ÉQUILIBRE. — Il existe trois étals différents d’équilibre : l'équilibre stable, dans lequel le centre de gravité est plus bas que le point de suspension (balancier d’une horloge) ; l'équilibre instable, dans lequel el centre de gravité est au-dessus du point de suspension (œuf reposant sur plan horizontal, le grand axe étant vertical) ; l'équilibre indifférent, lorsque le centre de gravité coïncide toujours avec le centre du corps (sphère reposant sur un plan horizontal). (Texier et Dutheil.)
- ÉQUILIBRÉS (moteurs). — Un moteur est équilibré lorsqu’il marche sans trépidation. La question de l’équilibrage est très complexe et ne peut être résolue avec rigueur que par l’emploi de dispositifs spéciaux (il n’est question ici bien entendu que des moteurs à pistons ; les moteurs à mouvement continu, tels que les turbines et les dynamos, étant naturellement équilibrés). Elle a été étudiée notamment par M. Witz dans son Traité des moteurs à gaz. De ces travaux il résulte que les conditions nécessaires et suffisantes à l’équilibrage d’un moteur sont : i° que la résultante des forces centrifuges, dues aux masses en rotation soit nulle; 20 que la résultante des forces d’inertie des pièces en mouvement alternatif soit nulle ; 3° que le couple réaction du couple moteur soit équilibré par un couple égal et contraire ; 4° enfin ces conditions doivent être satisfaites par 11’importe quelle position ; et les forces opposées qui s’annulent doivent être dans un même plan. Examinons rapidement comment elles sont remplies dans les divers types de moteurs usuels :
- à) Dans le motocylindrique, la première seule est remplie en équilibrant par un contrepoids la masse de la manivelle et une fraction plus ou moins heureusement choisie de celle de la bielle. On atténue la force d’inertie par l’emploi d’organes mobiles très
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- légers (bielles et pistons) et les variations brusques des réactions du couple nloteur par l'emploi d’un volant puissant.
- b) Dans le deux-cylindres, deux cas sont à considérer suivant que les manivelles sont, à o° (fig. i) ou à i8o°(fig. 2); dans le premier cas on se trouve, au point de vue de l’équilibrage, exactement dans les memes conditions que pour un monocylindrique. Les va-
- Fig. 1
- Schéma de l’équilibrage dans un moteur de Dion-Bouton à 2 cylindres.
- nations du couple moteur sont toutefois bien ipoins étendues en raison de ce qu'on obtient une explosion par tour. Notons que l’emploi d’un contrepoids dans le volant semble plutôt défectueux en ce sens que les efforts ne,sont pas dans un meme plan (4e principe). 11 s’ensuit que l'arbre tend à tourner cône et produit une usure anormale du palier en dehors
- Schéma do l’équilibrage dans un moteur Renault à 2 cylindres.
- des trépidations inévitables. Toujours les contrepoids doivent cire placés à la manivelle. Dans le deuxième cas, les forces d’inertie sont équilibrées, ainsi que les forces centrifuges, mais dans des plans différents. Il s’ensuit des oscillations du moteur dans le sens longitudinal. Il est vrai que ces oscillations sont moins gênantes sur une voiture
- que les oscillations transversales. Or, dans le cas du moteur considéré, ces oscillations atteignent une plus grande valeur que dans le précédent en raison, des variations considérables du couple, créées par la dissymétrie des temps moteurs qui sont en effet consécutifs et suivis de deux temps passifs. En raison de ces inconvénients, le moteur à 180° semble nettement inférieur au point de vue de la régularité, sinon à celui île.l’équilibrage, au moteur à o°. Le premier est employé chez Panhard, Dccauville, etc. ; le second chez Richard-Brasier.
- Fig- 3
- Equilibrage dans un !\ cylindres Delaunay Bkllkville
- c) La disposition des moteurs à 4 cylindres verticaux est clairement représentée par la figure 3. Les efforts d’inertie et centrifuges sont équilibrés, et dans le même plan„ puisque les pistons qui se déplacent dans le meme sens sont symétriquement placés par rapport au centre du moteur. Les couples ne sont pas équilibrés. O11 atténue leur brusque variation par l’emploi d’un réglage progressif, tel que celui généralement usité, le réglage sur l’admission, et par l’emploi d’un volant puissant. Cette remarque s’applique
- Équilibrage dans un moteur horizontal Bardon
- évidemment aux moteurs à 1 et 2 cylindres déjà décrits.
- d) Le moteur Bardon, à cylindre horizontal et deux pistons opposés (fig. 4) est établi suivant le schéma indiqué par M. Crozet en
- Automobiles RENAULT FRÈRES Ril!Srt
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- «r
- E Q U — 3^3 — E Q U
- vue de l’équilibrage complet. Les pistons se déplaçant de chaque côté d’une chambre d’explosion commune attaquent deux arbres vilebrequins tournant en sens inverse et solidarisés par l’arbre longitudinal de commande. On équilibre les forces centrifuges par l’addition de contrepoids aux manivelles. Les forces d'inertie et les réactions sont équilibrées naturellement.
- e) Le moteur Gobron (fig. 5), également à pistons opposés, dont l’un attaque la manivelle centrale au moyen d’une courte bielle en compression, tandis que l’autre attaque les manivelles latérales au moyen de deux longues bielles en traction, ne comporte qu’un seul
- fie-, ô
- Equilibrage dans un moteur GoBuoN-Bnir.i.ié à 2 pistons par cylindre
- arbre, ce qui ne permet pas d’équilibrer les réactions. 11 en est de meme des moteurs à pistons opposés dans un cylindre horizontal attaquant l’arbre central placé en dessous par bielles et balanciers. Ces dispositifs sont d’ailleurs peu répandus.
- Disons, avant de terminer, un mot des 3-cylindres. Lorsqu’ils sont avec manivelles à i20°, les temps moteurs se suivent à intervalles égaux et les ell'orts d’inertie et centrifuges s'équilibrent approximativement, mais dans des plans différents, ce qui donne du tangage. On peut d'ailleurs équilibrer les efforts centrifuges dans leur plan par des contrepoids aux manivelles. On a des exemples de ces moteurs chez Westinghouse (moteurs fixes), Louet et Panhard. Les réactions ne sont pas toujours équilibrées. En somme, ce moteur est légèrement inférieur au 4-cylin-dres. 11 est moins coûteux et peut ne com-jorter que deux paliers. Lorsqu’on veut équi-ibrer tous les ell'orts dans un même plan, on adopte le dispositif de M. Marcel Gaplet, qui ressemble un peu au moteur compound Roser-Mazurier avec cylindre central do détente des
- gaz brûlés. Les manivelles extrêmes étant à i8o° degrés de la centrale, on peut, en augmentant judicieusement le poids do cette dernière et de son piston, équilibrer les efforts centrifuges et d’inertie dans un même plan, tout comme dans lo /(--cylindres. Au point de vue réaction, on est en infériorité sur le moteur à manivelles à 1200 à cause de la répartition irrégulière des temps moteurs qui se suivent trois par trois avec un temps passif intercalé, comme par exemple dans le moteur fixe Letombe. On pourrait à ce sujet faire les mêmes remarques que pour les 2-cy-lindres à o et i8o°, et nous croyons que, tout bien pesé, les manivelles à iao° sont préférables, surtout si le moteur est court, ce qui a lieu généralement. Il est d’ailleurs peu logique d’augmenter ,à volonté le poids d’une manivelle et d’un piston. Dans le lloser-Ma-zurier ce résultat est obtenu par lo fait que le cylindre central, étant un cylindre de dé- _ tente, est de grand diamètre. Enfin les temps I s'y succèdent comme dans un 4-cylindres, Je piston central recevant alternativement réchauffement dos cylindres exlrcmes.
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- ÉQUIVALENT CALORIFIQUE. —
- On appelle ainsi le travail nécessaire pour produire une grande calorie ; lorsqu’on transforme ce travail mécanique en chaleur, on l’exprime en kilogrammètres.
- Le travail a une unité de mesure : lo Icilo-grammètre. — La chaleur en a une également : la calorie, quantité de chaleur nécessaire pour éléver do i degré centigrade la température de i kilogramme d'eau.
- Ces deux mesures se comparent : une calorie vaut 4a5 kilogrammètres (c’cst l’équivalent mécanique de la calorie). Un corps qui renferme io calories est donc capable de produire un travail de 4 a5o kilogrammètres.
- Inversement i kilogrammètre équivaut à la 425“° partie d'une calorie (c’est l'équivalent calorifique du kilogrammètre).
- Les expériences et calculs fait par Joule, et après lui par lolle et Iiirn, ont toujours donné un résultat très scnsiblcmeut constant : lo nombre 4a5 kilogrammètres, comme équivalent mécanique de la chaleur.
- — Équivalents chimiques. — Cette notation n’est plus employée et est remplacée par celle des poids atomiques, que l’on trouve dans tous les formulaires de chimie.
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- N
- ÉQU — 324--- ÉRG
- - Équivalents électrochimiques. — Un courant électrique traversant une solution^ métallique décompose cette solution : le méta _ se porte au pôle négatif (caLhode) où il s libère sous forme métallique ordinaire, et le radial du sel métallique qui constituait la solution se porte au contraire au positif (anode). Le poids de métal libéré à la cathode s’exprime par V — z i t, c’est-à-dire dépend du temps t, ce qui est évident, de l’intensité i du courant, ce qui se conçoit, et d’un facteur z dépendant de la nature du métal et que l’on appelle équivalent électrochimique. Les formulaires d’électricité ou de chimie renferment la valeur numérique de ce facteur pour les différents métaux.
- En pratique, on se sert beaucoup plus souvent de l’équivalent élcclrochimique en grammes par ampère-heure ; par exemple i ampère-heure dépose i,og4 gramme de nickel: si dans un bain de nickelage on emploie un courant constant de 5 ampères, pendant !\ heures, on aura donc déposé 5 X 4 X 1,09.4 21,88 grammes de nickel.
- — Équivalents thermochimiques. — Toute réaction chimique ou physique met en jeu une certaine quantité de chaleur, soit qu’elle absorbe des calories, soit qu’elle en dégage. Suivant les cas, l'équivalent thermo-chimique, terme inusité, prend un nom spécial qui est employé de préférence en pratique, par exemple : chaleur de formation, chaleur de dissolution, chaleur de décomposition, chaleur spécifique, chaleur de fusion, de vaporisation, chaleur de combustion, encore plus connue sous le nom de puissance calorifique des combustibles, etc. M. Berthelot a fourni la plupart des chiffres usités dans le calcul de ces différents facteurs ; on les trouve dans les formulaires de chimie et de physique.
- ERÉOSO Frères, garage, vente d’automobiles, 9, rue Croix-de-Marbre, à Nice ; Alpes-Maritimes)»
- ERG. — L'erg est l'unité G. G. S. de Travail. C’est le travail produit par l’unité de force ou dyne, dont le point d'application se déplace suivant sa direction sur une longueur de i centimètre. Son synonyme est dyne-centimètre.
- L’erg étant une quantité très petite, on emploie le plus souvent le mégerg qui vaut i ooo ooo ergs.
- En pratique, on emploie \c kilogrammètre, La force exercée par la pesanteur sur i kilogramme étant de 981 ooo dynes et le mètre étant de 100 centimètres, le kilogrammètre vaut donc 98 100 ooo ergs ou 98,1 mégergs.
- lierg par seconde est l’unité C. G. S. de puissance ; c’est la puissance produite par la dyne agissant sur une longueur de 1 centimètre pendant un temps (le 1 seconde. Le mégerg par seconde vaut 1 ooo ooo ergs par seconde.
- Le kilogrammètre par seconde vaut 98,1 mégergs par seconde.
- Le cheval-vapeur vaut ^5 kilogrammètres par seconde ou 7 3,07,5 mégergs par seconde.
- Le poncelet vaut 100 kilogrammètres par seconde ou 9 810 mégergs par seconde.
- Le horse-power (H P) vaut 70, 9 kilogrammètres par seconde ou 7 445,8 mégergs par seconde.
- — Erg : s. — Abréviation de : Et'g par seconde.
- ERGOT. — On appelle ergot une petite saillie qui, placée sur une pièce mécanique, telle qu’un arbre, cmpcche la rotation d’une
- E
- A, ergot mal placé. — B, E, ergots liien placés.
- autre pièce autour de cet, arbre ; c’est en quelque sorte une petite clavette.
- Un ergot est souvent taillé dans la masse d'un boulon près de la tète, ou rapporté dans un trou taraudé ; il est destiné à empêcher le boulon de tourner lorsqu’on exécute son serrage. A cet effet, un embrèvement, ou petite entaille, est fait au bédane et pratiqué dans la lace
- E, ergots (le boulons do carrosserie.
- de la pièce sur laquelle doit reposer la tête du boulon : c’est dans cette entaille que se loge l’ergot qui, alors prisonnier, empêche la rotation du boulon pendant le serrage.
- Quand l’ergot est rapporté, il 11e doit pas être placé sur le corps du boulon, car il l’affaiblit et provoque la rupture de la tète. 11 doit être placé dans la tète même.
- ERGOT, pneumatiques. —• Voir Gorgeol, Paris.
- Prière de lire avec soin
- La Préface & Ilotes Importantes du présent volume
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- E R N
- 325
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- ERNAULT (II.), machines-outils, taille d'engrenages, 1^3, rue d’Alésia, Paris. Tel-7ï3-i9.
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- ERTEE-SMITH, indicateur de vitesse.
- — Voir Talbot (Romain).
- ESCANDE (Louis), ingénieur, représentant des Forges dTIautmont, 26, avenue Trudaine, Paris. Tél. 167-87.
- ESCARGUEL, garage, iK, rue de la Mairie, à Carcassonne (Aude).
- ESCHMANN et Ci0, vernis Standard ’’ pour la carrosserie, à Puteaux (Seine).
- ESNAULT, amortisseur R. E. P., 37, rue des Abondances, à Boulogne-sur-Scine (Seine).
- ESPACES (Lois des). —- Dans le mouvement uniforme, les espaces parcourus par un mobile sont proportionnels aux temps employés à les parcourir.
- Dans le mouvement uniformément varié, les espaces parcourus par un mobile sont proportionnels aux carrés des temps employés à les parcourir.
- ESPERIA (Automobiles). — Voir Socielà Automobile Lombarda.
- ESPINE (/>’), ACHARD et C in, camions automobiles D. A. C., machines-outils, 5a, quai de la Marne, Paris. Tél. l\I\9.-l\9..
- ESPINOSA, constructeur d’aérostals, 36. rue du Bois, «à Levallois-Perret (Seine).
- ESPITALLIER (Lieutenant-colonel), écrivain technique, 22, rue de Saint-Pétersbourg, Paris.
- ESPRIT DE SEL. — Nom vulgaire de l’acide chlorhydrique.
- — Esprit de sel (décomposé). — Voir Chlorure de zinc et Acide chlorhydrique.
- ESSAIS DE MACHINES. — Voir Laboratoire ministériel et Laboratoire de TA. C. F.
- ESSE. — Cheville en 1er qu'on enfonce dans un trou percé à l’extrémité de la fusée et qui sert à retenir les roues des charrettes sur la fusée.
- E, esse. — V. fusée.
- ESSENCE MINERALE. — Ilyd roc arbore provenant de la distillation du pétrole. D’après la loi (le 1878, sont essences les produits de la distillation du pétrole, du goudron et des schistes, inflammables au-dessous de 35°.
- Rappelons qu’il est interdit d'envoyer au ruisseau ou à l’égout les résidus d'essence (article 20 de la loi du 21 juin 1898 sur le Code rural, défendant de laisser écouler, de répandre ou de jeter sur les places et voies publiques des substances susceptibles de nuire à la salubrité publique; et arreté de la Ville de Paris du 22 juin 1904, défendant d’introduire dans les égouts des détritus solides ou liquides et des matières quelconques pouvant émettre des vapeurs ou gaz incommodes, dangereux ou inflammables).
- 31 est donc absolument interdit d’écouler, soit à l’égout, soit au ruisseau, les liquides résiduaires des automobiles, sous peine d'être justiciable correctionnellement du Tribunal de simple police et sous peine d'étre civilement responsable des accidents causés par l’essence ou par les vapeurs d'essence formant avec l’air un composé explosible.
- — Dkutsch (Les Fils de A.), Ho, rue «h» Chatenudun, Paris
- - Essence (l)ensité de T). De n< m-breux chauifeurs estiment la « qualité » de l’essence à son « degré densimétrique » : essence légère, bonne essence; essence lourde, mauvaise essence. — C’est là un préjugé contre lequel 011 doit réagir : la (jualilé de Y essence consiste dans son homogénéité, non dans son degré densimétrique.
- De plus, l’essence Gqo degrés vaut 36 francs alors que la 715 degrés vaut 26 francs, ce qui n’empêche pas de préférer logiquement une essence lourde, mais homogène, à un mélange de produits légers, extra-légers et demi-lourds.
- Notons d’ailleurs qu'à l'économie réalisée' sur le prix d’achat, du litre, il faut en ajouter une autre, provenant de l'augmentation du pouvoir comburant et de la suppression des pertes par volatilisation.
- Comparons deux essences extra-pures d'origine strictement paraffénique (type américain i, correspondant à deux carbures voisins de série saturée, par exemple C(i 1114 et C7 Hir>.
- Chacune de ces formules représente le même volume d’essence; voyons comment ces volumes égaux se comportent . Leurs formules d'explosion sont les suivantes :
- Cfi II14 4- 19 (O) . . fi CO- + 7 II2 O
- C7 1I1(Î -f 2*1 (O) == 7 CO2 4- « 112 0
- D'où l’on déduirait par approximation, si l’on faisait intervenir dans ces formules les coefficients calorimétriques, que G molécules d’essence 71G degrés travaillent comme 7 molécules G85 degrés. — En résumé :
- Une essence 74S degrés vaut une essence légère à la seule condition d'être parfaitement homogène. Elle coûte 2o 0/0 moins cher; elle consomme 4/7 en moins. — (D’après M. A. Théry; extraits de La Locomotion Automobile). - Voir Douanes et Chaleur.
- riVIOTO-NAPHTA du n)oi)de
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- - 32G
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- ESSIEU. —• Les essieux employés pour le montage des voitures automobiles sont de deux genres : les essieux directeurs, à l’avant ; et les essieux porteurs, à l’arrière.
- automobiles il y en a deux, une de chaque côté, donnant la direction chacune à une roue d’avant. Le motif de cette disposition a été la nécessité de braquer les roues pour virer dans un court rayon sans pratiquer dans les châssis et les caisses des passages pour les roues et surtout, au début, d’augmenter la base de sustentation qui, dans le système à
- 9 f ? H C E C PM
- G, corps. — IC, essieu. — F, fusée. — II, chanfreins. — M, moyeu. — O, écrou. P, patins.
- Beaucoup de constructeurs emploient encore les essieux à fusées lisses, du système dit patent à huile ; mais on utilise de plus en plus les moyeux à billes, qui sont nettement supérieurs lors des démarrages. Ils exigent absolument que les roues soient munies de bandages pneumatiques.
- Le métal qui convient le mieux à la fabrication des essieux n’est ni l'acier doux ni
- Fig. a
- B, bossago. —G, corps. — E. écrou (le fixage.—
- F, fuscc. — II, chanfrein. — P, patin. — It, rondelle.
- 1
- même l'acier demi-doux ; c’est le fer à grain fin qui donne environ 35 kilogrammes de résistance à la rupture par traction par millimètre carré (fer de Lancashire, de préférence).
- Les essieux sont ordinairement faits de deux bouts qu'on réunit ensuite par soudure a la forge.
- L’essieu se compose de plusieurs parties : le corps qui porte presque toujours des chanfreins pour l'alléger, le patin sur lequel se posent les ressorts, la rondelle (appelée quelquefois heurtequin), qui sert de butée au moyeu, et la fusée, cémentée et trempée, sur laquelle tourne la roue. La distance qui sépare le bord intérieur do la rondelle de la partie extérieure du patin s’appelle le carré de l’essieu.
- Les essieux directeurs, appelés aussi essieux brisés, sont de véritables avant-trains, comme ceux des voitures attelées ; en dehors de leur fonction qui consiste à supporter l'avant des voitures, ils ont aussi celle de donner la direction aux véhicules. La seule différence consiste en ce que, dans les voitures attelées, il 11'y a qu'une seule articulation au centre, tandis que dans les voitures
- cheville ouvrière, peut être réduite à un triangle dans un virage à angle droit, tandis que, dans le système à essieu brisé, elle est toujours un rectangle. — Voir Avant-train.
- Les essieux arrière des voitures automobiles à transmission par chaînes ne diffèrent pas sensiblement de ceux des voitures attelées. On en fait les fusées, et surtout les corps, assez renforcés pour résister aux efforts provenant du moteur. Au deux bouts, derrière les rondelles, sont des bossages percés d’un trou a, pour fixer les bielles qui servent à la tension des chaînes.
- En général, l’essieu arrière, à corps droit, convient aux voitures qui sont montées sus roues d'égal diamètre; a celles dont les roues d’arrière sont plus grandes que celles d'avant, on met l’essieu coudé. La position des patins et des coudes par rapport au corps de l’essieu dépend du montage que l’on fait à l’arrière-train.
- Les essieux arrière tournants, portant le différentiel, sont de véritables arbres de machines et, par suite, ne doivent pas être compris dans la catégorie des essieux proprement dits ; ils sont de t ypes très variés, en une ou deux pièces, suivant les dispositions mécaniques adoptées par les constructeurs : un des meilleurs et des plus connus est celui qui a été inventé et qui est employé par la maison de Dion-Bouton, type dit « «à fusée creuse ».
- Pour des cas spéciaux, notamment pour certaines voitures de courses, la nécessité de réduire les poids a fait employer des essieux creux en acier à faible teneur de nickel. La maison Lemoine s'est, fait une véritable spécialité de ces essieux creux, puissants et légers tout à la fois, qui, essayés jusqu'à 2 200 kilogrammes, fléchissent, au milieu du corps, de i5 m/m sans atteindre la limite d’élasticité, avec pertes de flèche nulles.
- — Essieux tournants. — Cette expression, autrefois usitée pour désigner les ponts arrière de voitures à cardans, manque quelque peu de précision, car, en fait, le tube rigide entourant l’arbre différentiel, et qui joue le rôle d’essieu, 11e tourne pas. C’est en quelque
- Voitures MORS» 48, rue du Théâtre - PARIS
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-
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- É T A
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- sorte un essieu creux, renfermant l’axe différentiel sur lequel sont montées les roues motrices. On appelle souvent ces essieux : essieux
- moteurs: à tort, car il en résulte une conlu- J sion avec les essieux ordinaires à chaîne. Le nom qui leur convient le mieux est celui de pont arrière. Avec l’augmentation constante de la puissance des moteurs et du poids des carrosseries, les ponts arrière ont subi de grands perfectionnements, destinés à soustraire la transmission aux efforts parasites résultant de l'inévitable flexion de l’essieu. La figure 4 montre l’essieu des voitures Bari-quand. La partie rigide est composée de deux corps tubulaires E, situés l’un derrière l’autre et supportant le châssis par l’intermédiaire de ressorts s’appuyant sur les patins D. Au milieu du double essieu ainsi constitué se trouve la boîte des vitesses et du différentiel G. L’arbre qui en émerge est terminé par deux joints sphériques B, d’où partent les axes moteurs AA entraînant les roues. Ces axes sont inclinés sur l'horizontale afin d’obtenir l’équanteur des roues. Les roulements à billes II sont enfermés dans une boîte à rotule D, emprisonnée dans une cavité sphérique F et tenue en place au moyen de l’écrou G. Il s’ensuit que le roulement prend de lui-mème la position qui lui convient et que, dans le cas d’une déformation permanente ou passagère de l’essieu, la position seule des axes A varie ; la rotule sphérique suit le mouvement de l’arbre, et le roulement des billes est toujours normal. — Voir Pont arrière.
- — Ariès (Automobiles), 3g, quai d’Argen-teuil, à Villeneuve-la-Garenne (Seine).
- — Caplain-Berger et G10, 86, quai Jem-
- mapes, Paris. j
- — Ciiénard et Walcker (Etablissements), )
- 7, rue de Normandie, Asnières (Seine). j
- — de Dion Bouton et Ci0, 36, quai National, |
- à Puteaux (Seine). j
- ESTABLIE Frères et ESTABLIE
- (Louis), refroidisseurs “Coupe-Vent” et capots, 11, quai Valmy, Paris. Tel. g3i-52.
- ESTAMPAGE ET DE FERRURES DU NORD-
- EST (Manufacture d), à Mé-zières (Ardennes). — Agent : M. Riché, 1, rue Abel, Paris.
- ESTAMPAGE (Manufacture Ardennaise d) (Demangel fils ainé), à Charleville (Ardennes).
- ESTAMPE SPORTIVE ARTISTIQUE (V), marque E. G. A. — Voir Névilet Ci0, éditeurs.
- ESTAMPER. —7 C’est imprimer au marteau-pilon ou à la presse hydraulique un relief sur une plaque de tôle ou sur un bloc d’acier et presque toujours découper en même temps cette plaque ou ce bloc.
- L’estampeur fait fabriquer par des graveurs spéciaux des moules burinés dans des blocs d’acier extrêmement résistant, qu’on nomme matrices ou estampes. Comme dans les timbres à sec, la matrice, bloc inférieur, a une contre-partie, bloc supérieur ; et c’est entre ces deux masses que la tôle incandescente ou le lingot d’acier sont portés pour être forcés à épouser, par choc ou par pression, la forme de la matrice et à se mouler exactement dans les creux ménagés. — Voir Etampe.
- ESTIBOIS. — Voir Entibois.
- ESTIER (Henri), 34, avenue de Messine, Paris. Tél. 682-10. — Né à Marseille, en 1862. — Officier de la Légion d’honneur. — Vice-président de la Société Lorraine des Anciens Etablissements de Diélrich et C10, à Lunéville. — Ancien membre de la Chambre de Commerce de Marseille.
- — Diétricii (Lorraine), 12, avenue de Madrid, Neuilly-sur-Seine (Seine), et à Lunéville.
- ÉTABLI. — Grande table de bois dur, en chêne ordinairement, sur laquelle l’ouvrier établit et travaille les pièces qu’il doit façonner et les outils dont il se sert couramment. L’établi a ordinairement une épaisseur de 6 à 8 centimètres ; sa face supérieure est placée à 76 centimètres du sol environ._
- ÉTABLISSEMENT D’UN COURANT. — Dans la production des courants induits au moyen d’un courant inducteur continu, comme c’est le cas dans les bobines d’allumage, il y a lieu d’établir le courant inducteur, ou primaire, à l’instant précis où le courant induit doit donner une étincelle à . la bougie. On y parvient par le moyen d’un interrupteur mécanique commandé par le
- âr\ a
- Fig. 4
- Essieu type Baiiiquand.
- A, A, essieu tournant. — C. différentiel. — D, boîtes à billes. E, E, essieu fixe. — L, tambour. — M, fusée. — N, coussinets. — O. patin de ressorts.
- Voilures solides, silencieuses et bon marché CHENARD
- 7, rue de Normandie, ASNIÈRES (Seine) 6c WALCKER
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- moteur, ou d'uu interrupteur magnétique (trembleur) fonctionnant parallèlement è un distributeur toujours commandé par le moteur (voir Bobine). Dans le cas d’une magnéto à bougie, le courant primaire est établi par un distributeur calé sur son arbre et fonctionnant synchroniquement avec le moteur.
- ÉTABLISSEMENT D UN PORT. —
- On appelle établissement d'un port l’heure a laquelle la haute met arrive dans ce port, les jours de syzygies ; c’est le retard de la marée sur le passage des deux astres ayant la même ascension droite.
- En dehors des jours de syzygies, la marée avance ou retarde relativement à la position de la lune et à sa parallaxe (voir Marées).
- Les valeurs déterminées au moyen des établissements et des unités de hauteur ne sauraient avoir la précision de celles obtenues par l’emploi de formules plus compliquées ; les premières 11e peuvent être considérées que comme approximatives; aussi nous engageons les capitaines commandant des navires à grand tirant d’eau à consulter dans les cas douteux Y Annuaire des marées publié par le Service hydrographique.(Extraits de la Connaissance des Temps).
- ÉTAGEMENT. — Arnii icissenient pratiqué à l’extrémité des lames ou feuilles des ressorts qui suspendent une voiture. — Voir Ressorts de voiture.
- ÉTAIN. — t lorps simple métallique blanc, le plus fusible des métaux usuels, 238°G. Allié au cuivre, constitue le bronze. Au plomb, donne les différentes soudures des ferblantiers et plombiers. Etendu sur le fer, constitue le fer-blanc (ne pas confondre avec le fer recouvert de zinc : fer galvanisé). L’étain, maintenu en fusion au contact de l’oxygène atmosphérique (air), s’oxyde plus ou moins complètement et passe à l’état, d’oxydes stanneux et stannique, flottant sous l’aspect d’une crasse sur le métal fondu. La crasse oxydée constitue la potée d'étain, utilisée pour le polissage des métaux.
- ÉTALON.--Mesure lixe servant d’unité ou de comparaison. C’est ainsi que chaque usine doit posséder un mètre, constitué par une règle d’acier rigoureusement graduée, qui sert de comparaison, d'étalon pour les autres mètres en usage dans l’usine.
- La précision des mètres étalons peut, sur demande, être vérifiée au Conservatoire des Arts et Métiers ; celte précision atteint ordinairement le vingtième de millimètre.
- Citons, comme autre exemple, Y étalon Violley utilisé en physique : « c’est l’intensité dans une direction normale d’un centimètre • carré de la surface d’un bain de platine à sa température de fusion ». L’étalon Violle vaut 2,08 cnrcels. Depuis 1889, l’unité pra-
- tique d’intensité lumineuse est la bougie, décimale, qui vaut 1/20 de cet étalon.
- ÉTAMAGE. — V étain étant appliqué en surfaces plus ou moins épaisses sur le fer ou sur le cuivre, soit par fusion, soit par voie électro-chimique, donne le cuivre étamé ou le fer étamé (fer-blanc). 11 se forme des alliages plus ou moins cristallins sur le fer et le cuivre, qui deviennent apparents quand la couche superficielle do l’étamage est attaquée par un réactif acide (moiré métallique).
- ETAMBOT. — Pièce de bois ou de métal, qui forme l’arrière de la coque d’un canot automobile.
- ÉTAMPE. — h'étampe de forgeron est une pièce d’acier portant sur sa largeur une moulure ou cannelure ; elle sert à étirer le métal sous forme de bourrelet, à souder à chaud des pièces rondes ou demi-rondes, etc.
- Les ètampes vont généralement par paires. h'étampe de dessous A se place sur le trou carré de l’enclume et y est fixée par un appendice légèrement recourbé que l’on nomme bëquillle ou queue B ; cette étampe est en fer, en fer aciéré ou en acier ; elle ne doit pas ctre trempée trop sec. h'étampe de dessus C, munie d’un œil O pour un manche court, possède une forme symétrique à la première et est faite de meme métal, mais n’est souvent pas trempée; dans tous les cas,
- Etampes
- ni l'œil ni la tète, destinés à recevoir le choc ^ du marteau, ne doivent être trempés.
- \ Les maréchaux-ferrants donnent le nom d'étampe au poinçon qui leur sert à percer les trous dans les fers à cheval.
- ÉTAU. — Instru ment formé de deux mâchoires d’acier qu’on rapproche, plus ou moins, au moyen d’une vis, pour serrer et maintenir dans la position désirée une pièce que l’on doit travailler. On distingue Y étau ordinaire K (fig. 1), ou étau à pied ; l’étau à agrafes, au moyen desquelles on le fixe en un point quelconque de l’établi ; l’étau à chaud, souvent à deux pieds, plus robuste que l’étau ordinaire, parce qu’il doit résister aux coups du marteau de forge ; l’étau parallèle, dont les mâchoires avancent et reculent en conservant leurs faces parallèles ; l’étau à main B (fig. 2), dont on se sert pour les petites pièces
- Lisez n
- chique semaine
- OMNIA
- REVUE PRATIQUE DE LOCOMOTION
- Rédacteur en Chef: L. BftUDRY de SAUNIER 20, rut Duret, Paris
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- et qui peut rendre de grands services pour une réparation sur la route.
- Les mâchoires, ou mors M, sont striées intérieurement pour empêcher le glissement
- M
- Eig. 2 Etau a main
- Fig. 3 Mokdaciii'.s
- ÉTIBOIS. — Voir Entibois.
- ETIEN, garage, vente d’automobiles. 10, place Saint-Jean, à Niort (Deux-Sèvres).
- ÉTINCELLE. — Forme de la déchargé disruptive entre deux conducteurs (voir Décharge). En automobile, on considère tout spécialement les étincelles servant à l'allumage du mélange tonnant des moteurs à essence. On peut diviser les étincelles d’allumage en étincelles de tension et étincelles de rupture. Les premières jaillissent entre les pointes fixes d’une bougie et nécessitent un courant de haute tension (au moins 5 000 volts), produit par un transformateur (bobine) ou le secondaire d’une magnéto a bougie. Les secondes jaillissent entre un inflammateur de nickel et une palette de rupture amenés en contact et séparés brusquement. On les obtient avec quelques volts, au lancé des moteurs, la magnéto n’ayant à ce moment qu’une très faible partie de sa force électromotrice maxima, qui ne dépasse souvent pas 80 volts. Ce sont des étincelles d’extra-courant de rupture, dues à la self-induction de l’induit de la magnéto. — Voir l’ouvrage U Allumage, par B. de S.
- des pièces, et trempées. Lorsque la pièce à travailler est délicate ou de métal peu dur, il faut toujours avoir soin, avant d'effectuer le serrage, de placer sur la face interne des mâchoires des garnitures, appelées morda-ches N, formées de plaques recourbées en plomb, en cuivre, en tôle ou en bois, qui servent en même temps à protéger 1 es mors M de l’étau contre les coups de marteau, de burin, de lime, etc.
- — Etaux-limeurs.— Ce sont des raboteuses où la pièce est fixe et l’outil mobile. Ils sont plus spécialement désignés pour les jctits travaux. Les étaux-limeurs ont, comme es raboteuses, un retour rapide, mais obtenu plus simplement que dans celles-ci (généralement par came) et ne possèdent guère comme avance automatique que le mouvement transversal du chariot déterminant la largeur des saignées. Quelques étaux-limeurs modernes sont aussi pourvus d’une avance verticale de l’outil.
- ÉTHER. — Les éthers de l’alcool sont nombrèux (éthers nitrique, chlorhydrique, acétique, etc.). Communément on désigne sous le nom d'éther sulfurique l’oxyde d’éthyle (C2H5)20, obtenu par l’action de l’a-cido sulfurique sur l’alcool à iliO°-ili5° C.
- L’éther sulfurique peut être utilisé en automobilisme comme adjuvant dans la confection de la dissolution. 11 a été proposé comme carburant pour les moteurs 18000 calories). 11 peut servir en hiver, par les grands froids, pour obtenir les premières explosions servant à mettre le moteur en marche. Il bout en effet vers 34° C.
- ETIRER. — Etirer est une opération qui a pour but d’allonger un fil métallique par traction, tout en le faisant passer à travers un trou de diamètre plus petit que lésion, percé dans une filière-, c’est par ce procédé qu’on obtient des fils de plus en plus fins, suivant le diamètre des trous de la filière. — Voir Banc à étirer.
- Cette opération est quelquefois exécutée pour des tubes épais et de petit diamètre ; ils sont étirés à chaud ou à froid.
- ETNA (générateur à acétylène). — Voir Phares-Optique (Société des).
- ÉTOILE, motocyclettes. — Voir Sainl-Germain, Paris.
- ÉTOILE (Garage de l'), location d’automobiles, 2Ô2, rue du Faubourg-Saint-Honoré, Paris. Tél. 547-1i-
- ÉTOILE, pii es sèches. Voir Carbone (Le).
- ETOQUIAU. — Petit tenon de fer, rive ou embouti dans une feuille de ressort de voiture, et traversant la feuille superposée pour la maintenir en place et. empêcher son déplacement latéral. — O11 dit aussi : eslo-quiau, éloquereau, étoqueau.
- ÉTOUPE. — h'étoupe, de même (pie la filasse, très employée autrefois pour faire des joints dans la circulation d’eau ou dans les pompes, est actuellement complètement abandonnée ; les joints à l’étoupe sont remplacés par des joints composés d’amiante en fil ou en carton, encadrés ou enveloppés par une feuille mince de cuivre.
- Des Anciens Établissements PANHARD & LEVASSOR
- VOITURES, CANOTS, MOTEURS. - 19, Avenue d’ivry - PARIS
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- ÉTRANGÈRE (Automobiles de provenance). — Pour les voitures de'provenance étrangère, l’examen du Service des Mines est fait avant la mise en service en France, sur le point du territoire désigné par le propriétaire de la voiture.
- ÉTRANGLEMENT. — On appelle étranglement la diminution du diamètre d’un tube, soit brusque, soit raccordée par une pente convenable. 11 a pour but d’augmenter la rapidité d’écoulement d’un fluide ou d’un liquide.
- ÉTRANGLEUR. — On désigne sous le nom d'étrangleur tout dispositif, tel que valve, papillon, boisseau, etc., qui a pour but de diminuer à la volonté du conducteur la section d’un tube, et, par suite, la quantité du fluide ou du liquide qui passe dans ce tube dans un temps donné. L'étrangleur est un robinet, actionné dans les moteurs à * explosions, soit à la main par une manette de commande, soit automatiquement par le régula, leur.
- ETRAVE. — Pièce de bois verticale, d’ordinaire un peu arrondie, qui forme l’avant de la coque d’un canot automobile.
- ÉTRIER. — On appelle étrier une pièce mécanique E affectant plus ou moins la forme d’un étrier de cavalier. 11 sert à réunir deux organes mécaniques et à les maintenir en place au moyen d’une vis de serrage V ou
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- K. étrier. — AI. écrou 10, étrier. — V.
- N, boulon prisonnier. tête de vis.
- S, soupapes d’admission.
- d’un écrou M, assurant un bloquage énergique. h'étrier est très employé dans les moteurs à explosions pour maintenir sur leurs sièges les soupapes d’admission en particulier. — Voir Bride.
- ETTORE NAGLIATI, vente d'automobiles, garage, 8, via Ponte aile Mosse, à Florence (Italie).
- ÉTUDES MÉCANIQUES (Société Ouvrière d'), transformations et réparations d’automobiles, Si, boulevard do la République, à la Garenne-Colombes (Seine).
- ÉTUDIANTS DE PARIS (Association Athlétique des), 43, rue des Ecoles, Paris.
- ÉTUI. — Dans une voiture bien tenue, les pièces de rechange fragiles, telles que bougies, clapets, etc., ne doivent pas être logées péle-mèle avec les outils que peut contenir la sacoche; elles doivent toujours être enveloppées de chiffons et placées dans une boîte réservée à cet usage. Il est encore beaucoup mieux de placer chaque pièce, en particulier les bougies, dans des étuis de bois, légers et bon marché, qui les garantis-tissent de tout contact nuisible.
- EUDELIN (Maurice), G, rue Ilip-polyte - Lebas, Paris. Tél. 58g-y4- Né a Paris le 2.5 mai
- i8^4- — Fabri-
- cant de voi-turcs automobiles. S’estconsacré depuis 1898 à l'automobilisme, et, en particulier, à I l’étude et à la { construction d’un I moteur à essence « à vitesse variable et à travail constant » permettant la suppression d 11 changement do ! vitesse sur les : voitures automo-: biles.
- M. Mauuice Eudki.in
- EUDELIN (Maison M.), construction de voitures automobiles, 3a bis, rue Desrenaudes, Paris. Tél. 589-74. Adr. tél. Eudauto-Pari,s.
- — Usine à Joinville-lc-Pont (Seine). — Maison fondée en janvier 1906. — Directeur : M. Eudclin ; directeur technique : M. Pes-tourie. — Construction de châssis très soignés, montés avec moteurs Bariquand et Marre.
- — Caractéristiques des voitures Eudelin pour 4907 : 3 types : 12X16, a5x3o, 35X45 chevaux. — Châssis en tôle emboutie. --Moteur à 4 cylindres séparés, soupapes commandées, carburateur automatique, magnéto Eisemann. — Embrayage métallique à plaques.
- — Changement de vitesse à deux trains baladeurs.
- EULER (Auguste), agent pour les magnétos Bobert Bosch (de Stuttgart), à Franc-fort-sur le-Mein (Allemagne).
- EUREKA (Automobiles), 210 1er, boulevard Péreire, Paris. Tél. 555-gi.
- EUREKA (Pneumatiques).—Voir Chauvin (Louis), Paris.
- EUROPE (Garage de V), vente d'automobiles, 3, rue Bernouilli, Paris.
- M.
- EUDELIN
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- E V A
- E V AN S VILLE AUTOMOBILE O,
- fabrique d’automobiles à transmissions à plateaux, à Evansville (Iruliana), Etats-Unis.
- ÉVAPORATION. — Phénomène physique, par lequel un corps passe de l’état
- proportionnelle à la pression atmosphérique
- Les vapeurs peuvent être ou saturées ou non saturées, suivant que le liquide ne peut pas s’évaporer complètement ou peut s’évaporer.
- CHASSIS KIJDKUN, TYPE 1 <)<>>, VU EN PLAN VERTICAL ET EN l'LAN HORIZONTAL.
- A, radiateur. — Ji, ventilateur. — O, G\ tuyaux d’eau. — D, tube isolant renfermant les lils de la magnéto. — E. magnéto. — E, carburateur. — <j% direction. — <7, manette commandant l’admission des gaz. — G’, manette d’avance à l’allumage. — H, collecteur d’échappement. — \\ réservoir d’huile.
- — I, rampe de graissage. — t, excentrique actionnant la pompe à huile ï. — i\ pompe à huile à piston.
- — J, pédale de débrayage. — .1’, pédale de frein sur le différentiel. — .1”, pédale d’accélérateur. — K, volant du moteur. — K’, embrayage métallique. — L, levier de changement de vitesse. — L’ levier de frein. — M, cardan. — N, changement, de vitesse. — O, silencieux. — ()’, tuyau d’échappement.— P, frein do différentiel. — (J, arbre (le commande. — Q\ Q”, cardans. — H, pont arrière. — S, S’, longerons en tôle du châssis. — Z, Z’, freins sur les roues.
- liquide à l’état gazeux, ou plutôt à l’état de vapeur.
- — Évaporation (Lois de l1) — 4° La vitesse de Vévaporation d'un liquide est proportionnelle à la surface du liquide, à la différence entre la. tension viaxima à la température ordinaire et la tension de ce liquide dans Vatmosphère, et inversement,
- 2° La tension maxima d'un liquide est la tension que possède la vapeur saturée du liquide.
- — Dans l'évaporation proprement dite, le liquide est vaporisé uniquement par sa surface. Un corps ne peut passer à l’état gazeux sans absorber de la chaleur ; ce corps se refroidit donc, et d’autant plus que son évaporation est plus rapide.
- cuaineIîRENOLD ch® i-"ci9S;ST
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- E X C
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- Le carburateur à léchage consiste en un
- simple réservoir R contenant de l’essence, sur la surl'ace de laquelle passe un courant d’air appelé par l’aspiration du mo • tour. Cet air lèche l’essence et en provoque l’évaporation ; il se charge ainsi de molécules gazeuses et se transl'orme en mélange explosif. Par cette évaporation rapide, l’essence aurait bientôt sa température assez abaissée pour ne pouvoir plus se transformer en vapeur, si l’on ne prenait pas le soin de la réchauffer au moyen d’un tube PC, qui traverse la masse de l’essence et est réchauffé par une dérivation du tube d’é-cliappeinent T.
- ÉVENTAIL de
- voiture. — Ensemble de ferrures, articulées comme un éventail, et servant à supporter la capote d'une voilure, dont ils permettent, l’ouverture ou la fermeture. — Voir Capote.
- EVERLING. huiles minérales, rue (iustave-Zédé, Paris.
- Tel. 68o-3/,.
- ÉVIDEMENT. —- faire un évidement a une pièce mécanique, c’est retirer une
- l'.VKM AU. DK CAIMII i:
- m: vorrriiK
- <)ahih;iiatkuu a i.kchac.e
- A. tube d’aspiration. — B, (i, lubo de réchauffage. — B, ré-servoi àrossencc. — T, tuyau d’échappement.
- partie de la masse métallique qui la compose pour la rendre plus légère ou lui donner une lorrne plus esthétique, sans toutefois nuire à
- sa solidité. Un évidement, c’est un dégagement creusé dans une masse sans la traverser; ainsi, dans beaucoup de moteurs, les bielles ont leur tige évidée ; ainsi, un engrenage E, dont le moyeu est relié à la couronne par des bras B, est dit évidé.
- E. V. M., pièces détachées. —Voir Vav-zelle, Morel et Ci0.
- EVRARD (Appareils d’allumage électrique). — Voir Pupille, Paris.
- EXAMENS pour l’obtention du certificat de capacité (carte rose).— Voir Certificat de capacité.
- EXCELSIOR (Canots Automobiles). — Voir Celle, à Evian-les-Bains.
- EXCELSIOR, joints métalliques. — Voir Curtrj et Sapin, à Lyon.
- EXCELSIOR, protecteur antidérapant. Voir Fessoiral, à Versailles (Scine-et-Oise).
- EXCELSIOR (Pneumatiques), fabrique à llanovre-Limmor (Allemagne). —- Représentants : M. Rcichlé, à Paris ; et Kley, à Bruxelles.
- EXCELSIOR (lé), extincteur instantané, i3(j, rue Balayette, Paris.
- EXCELSIOR SUPPLY C°, accessoires pour automobiles, 2.33, Randolph Street, à Chicago (Etats-Unis).
- EXCENTRIQUE. — Organe de transformation de mouvement transformant le circulaire continu en rectiligne alternatif. L’excentrique est irréversible, c’est-à-dire qu’il ne saurait produire la transformation inverse, à l’encontre du dispositif bielle et manivelle, identique au point de vue cinématique. Au point de vue technologique, l’excentrique est constitué par une manivelle dont le bouton
- KxcKNTiunri;
- Vf DK l'ACK Vf DK PUOKIL
- se serait agrandi jusqu'à embrasser l’axe de rotation. Le disque A, ou poulie d’excentrique, est calé sur l’arbre B au moyen d’une clavette. 11 est entouré à frottement doux par un collier C généralement profilé, comme l’indique la figure, pour former réservoir d’huile à la partie inférieure et sur lequel on rapporte par deux goujons ou par
- Voitures MORS» 48, rue du Théâtre - PARIS
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- tout autre moyen la barre D, ou tige d’excentrique, munie à son autre extrémité d’une chape d’articulation. Le fonctionnement est facile à comprendre. La course ou déplacement maximum de la barre d’excentrique est égale au double de Y excentricité e. L’excentricité est la distance qui sépare le centre de l’arbre de celui du disque d’excentrique. On conçoit que si l’on agit sur la tige pour faire tourner l’arbre, le frottement développé à la circonférence du collier est suffisant pour s’opposer au mouvement, d’où l’irréversibilité du système. Dans le fonctionnement normal, le travail de frottement est d’ailleurs toujours considérable, ce qui fait proscrire l’excentrique dans le cas de gros efforts. On emploie surtout l’excentrique dans les distributions de machines à vapeur et dans la commande des petites pompes.
- EXCITATION. — Pour excitation des alternateurs et des dynamos, voir chacun de ces deux termes. Pour excitation des élec-tromoleurs, voir Moteurs électriques.
- EXCURSIONS AUTOMOBILES
- {Société d'), vente d’automobiles, garage, avenue Bois-Louis, à Pau (Basses-Pyrénées).
- EXIDE {Accumulateurs). — Voir Electric Vehicle C“, Etats-Unis.
- EXOTHERMIQUE. — Corps dont la décomposition dégage une certaine quantité de chaleur. C’est le cas des explosifs, qui absorbent un certain nombre de calories au moment de leur formation, calories restituées dans leur décomposition. Ce sont par suite des composés essentiellement instables se décomposant par voie d’explosion sous l’influence de causes initiales, c’est-à-dire n’intervenant pas par une dépense d’énergie proportionnelle au poids d’explosif décomposé, mais en amorçant simplement la décomposition, choc, étincelle électrique, etc.
- EXPERT. — Personne plus spécialement compétente en telle ou telle matière, agréée par les tribunaux et destinée à trancher les questions techniques pour lesquelles les juges no sauraient naturellement émettre leur avis. Ainsi, en matière d’automobile, le montant des dégâts d’un accident sera évalué par un expert, et dans le cas d’une vente avec garantie, le bon fonctionnement sera apprécié par un expert en cas de contestation de la part de l’acheteur.
- . EXPERT - BEZANÇON , accumulateurs, 187, rue du Château-des-Bentiers, Paris. Tel. 8oo-34 et 8oo-36.
- EXPLOSION (dans les moteurs). —
- Au point de vue général, une explosion ne diffère d’une combustion que par la durée. Une combustion a une durée finie, tandis qu’une explosion est presque instantanée. 11 s’ensuit que si l’on considère l’explosion d’un corps enfermé dans une enceinte, la capacité de celle-ci 11e pouvant pas varierinslantanément, l’explo-
- sion a lieu à volume constant. C’est généralement ce que l’on admet dans les moteurs. Cependant la propagation do la combustion a lieu sous forme d’onde (Berthelot et Vieille), et bien que la vitesse soit très grande au sein d’un mélange réunissant le maximum de conditions favorables, on ne saurait négliger sa durée vis-à-vis de celle très petite d’un coup de piston dans un moteur d’automobile. L’examen d’un diagramme le montre fort clairement. La durée de l’explosion est dans les meilleures conditions de l’ordre du centième do seconde. Elle varie avec la richesse du mélange, le degré de compression et sa température finale, la forme de la culasse et l’énergie de l’étincelle. Au point de vue du rendement, on sait qu’il y a avantage à la réduire le plus possible. L’expérience a permis do conclure que la pression explosive égale environ 4 lois la pression de compression, et qu’aux pressions usuelles la température; dépasse souvent 1 8oo°, c’est-à-dire qu’elle est considérable. La compression étant en moyenne de 5 kilogrammes, la pression explosive atteint 20 kilogrammes environ.
- EXPORTATIONS. - D’après le « Bulletin officiel du Ministère du Commerce », les exportations et les importations de la France pour les six premiers mois, comparés, des années iqo/j, 1900 et 1906, sont les suivantes :
- Automobiles.
- En
- E
- liai 1900
- Eu 190(1
- Exportât.
- Importât.
- Exportit.
- Importât.
- aü 8i3 000 4q o35 000 68 196 000 1 641 000 2 109 000 .4 262 000
- Mol ocy clés.
- En 1904 En Eu 190O
- 2 OOO
- :«8 000
- 78 000
- 36 000
- Bicyclettes.
- En 1904 En 190.0
- Oo3 000 3 000
- En 1906
- Exportât. 3 i36 000 3 275 000 3 602 000 Importât. 3 880 000 3 82.4 000 4 36G 000
- La France a donc^ d’après ces chiffres officiels, augmenté son exportation, et cela malgré les grèves, de :
- Automobiles...... 19 161 000 francs.
- Motocyclettes .... 276 000 —•
- Bicyclettes...... .'I27 000 . —
- soit une augmentation totale de : 19 y63 000 fr., pour les six premiers mois de l’année 1906.
- Les neufs premiers mois de 1906, comparés avec les mêmes mois de 1904 et igo5 ont donné une augmentation de 27,694,000 francs pour les exportations d’automobiles (au total ; io3,43o,ooo francs) ; et une augmentation de 3,ioo,ooo francs pour les importations (au total; 6, 414,ooo francs).
- La principale clientèle de la France pour les automobiles est l’Angleterre et les Colonies anglaises.
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- — Bonneville, exportateur, 5a, boulevard Carnot, à Toulouse (Haute-Garonne). '
- — Glaenziîu et C'“, exportateurs, 35, boulevard de Strasbourg, Paris.
- EXPOSANT. — Chiffre indiquant la puissance a laquelle est élevé un nombre. Ce chiffre est écrit en petits caractères à droite et en haut du dernier chiffre du nombre. Ainsi, 5i3 signifie 5i X 5i X5i = i32 G5i; ainsi, (45, 3)^ signifie 45, 3X45, 3 = 2 052,0(J.
- EXPOSITION INTERNATIONALE de l’Automobile, du Cycle et des Sports. — Durée du 7 au a3 décembre 1906.
- Comité d'organisation. — Président d’honneur : M. le baron de Zuylen deNycvelt; président: M. Rives; vice-présidents: MM. le marquis de Dion, Darracq, Poirier.
- Commission exécutive. — Président, commissaire général délégué: M. G. Rives; vice-président : M. A. Ballif ; trésorier : M. A. Lehideux-Vernimmen : adjoint au commissaire général: M. Martin du Gard; membres : MM. P. Max Richard, Chapelle, II. Petit ; membres suppléants : MM. Bocandé, Hammond.
- L’Exposition est organisée au Grand-Palais (Champs-Elyseés) et à l'Esplanade des Invalides ; elle est ouverte, tous les jours, do 10 heures du malin à 7 heures du soir.
- Le droit d'entrée est fixé pour le public à :
- 4 franc par personne, sauf le vendredi et jours exceptionnels ;
- 3 francs par personne, le vendredi matin ;
- 6’ francs par personne le vendredi, à partir de midi.
- Les demandes de renseignements et d’emplacements faites par les exposants doivent être adressées au Commissariat général de l’Exposition, (i, place de la Concorde, avant le 20 septembre. Les droits sont dus, dès l’inscription; ils so.t payables moitié à l'admission, moitié aussitôt la répartition des emplacements, le non-paiement à cette date entraînant la déchéance au droit de l’emplacement — Voir Salon.
- EXPRESS, voiturettes. — Voir Griès et Huet.
- EXTENSION des matériaux. — Voir Traction des matériaux.
- EXTINCTEURS (d’incendie).—Appareils portatifs employés pour combattre et étouffer les commencements d’incendie. Sont établis do la façon suivante : un réservoir métallique portatif de 2 à 3 litres de capacité est rempli d’une solution aqueuse de bicarbonate de soude ; dans cette solution est immergée une ainpoulo en verre à paroi fragile renfermant un acide (acide chlorhydrique). Lors de l’emploi, on casse l’ampoule par un choc extérieur, l'acide agit sur le bicarbonate eu produisant de l’acide carbonique
- sous pression et de l’eau salée ; la pression fait sortir l’eau et l’acide carbonique par un orifice conique éjcctcur établi sous la paroi de l’appareil. D’autres extincteurs plus simples sont établis avec des flacons de formes diverses, aisément fragiles, contenant des produits extincteurs tels quo : solutions salines (sel ammoniac), ignifugeantes ou anticombustibles (acide sulfureux, chlorure de carbone). Pour éteindre les incendies de pétrole ou des essences, les meilleurs extincteurs sont ceux à base de chlorure de carbone. Les matières inertes, telles que le sable, les cendres, la terre sèche et analogues, sont également utilisables pour étouffer l’inflammation du pétrole et des essences.
- EXTRA (Société L'). — Voir Daguin, Géraud et Porcabeuf.
- EXTRA-COURANT.—Courant induit se développant dans un circuit traversé par un courant variable.
- Soit un circuit a (voir figure), comprenant une bobine b, destinée à augmenter la self-induction,et parcouru par le courant d’une pile P. Si au moyen de l’interrupteur Ion établit le courant, il y a production dans la bobine b d’un courant induit inverse , on extra-courant de fermeture pouvant cire constaté par un galvanomètre G, placé en dérivation. (Voir le volume L'Allumage, par B. do S.). L’aiguille, préalablement butée en avant de sa position d’équilibre, est lancée au delà de celte position, ce qui indique bien la superposition dans le galvanomètre du courant venant de la pile, et de celui de sens inverse, venant de la bobine. En ouvrant le circuit, il y a production d’un extra-courant de rupture direct, constaté par une impulsion inverse de l’aiguille du galvanomètre, préalablement butée en arrière de zéro. C’est l'cxtra-courant de rupture du courant induit, qui donne l’étincelle d’arrachement dans l’allumage à magnéto ordinaire. L'cxtra-courant est. en raison directe de la self-induction de l’induit et de la vitesse de rupture.
- EYQUEM (Maurice), 191, boulevard Pé-rcirc, Paris. — Né de parents français, à Ivrée (Italie), en juin 1858. Officier d’Aca-démie. — Directeur-propriétaire de la Maison Eyquem. Tél. 508-77. Adr. tel. Limograplie-Paris. — Dynamos et phares d’éclairage.
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- b, Bobine. — (J, Galvanomètre. — P, Pile.
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- F. — Lettre indiquant que le véhicule qui j la porte dépend de l'arrondissement minéralogique de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- F. — Abréviation de farad et de force.
- Fe. — Symbole de puissance effective.
- —-Symbole de force magnètomotricc.
- f. — Symbole de fonction et de force.
- f e m.— Symbole de force électromotrice.
- <I> — (Prononcez : « Grand, Phi »). -—Symbole de flux de force magnétique.
- fr. — Abréviation de franc.
- FABBRE et GAGLIARDI (Société Anonima), vente d’automobiles et d’accessoires, garages, 21, piazza Maccllo, à Milan (Italie). Tel. 787. g3-58 et 33— 13. Adr.,tél. Fabbre-Milan. — Succursales : n, via Sa-luzzo, Turin ; via Maragliano, Genova ; 10, piazza Cavour, Rome.
- FABBRICA AUTOMOBILI STANDARD, construction d’automobiles, à Turin (Italie). — Voir Standard.
- FABBRICA DI AUTOMOBILI FLORENTIA, construction de voitures et do canots automobiles, 2l\, via Ponte all’asse, a Florence (Italie). Tel. S/jG. Adr. tél. Auloflorenlia. — SociéLé Anonyme par actions, au capital de 2000000 de lires, fondée en avril igo3. — Chantiers de constructions navales à Spezzia et à Venise. — -Agence-Garage à Milan.
- Représentants de FLorentia :
- Pour la France: M. Emile, Ouzou, 2/ji, boulevard Péreire, Paris.
- Pour P Angleterre : M. Maurice de Brou, 76, Beaufot Mansions, London.
- Pour VAllemagne et la Suisse : M. E. Matins, 23, Finkmattstrasse, à Strasbourg (Alsace).
- FABBRICA DI AUTOMOBILI ITALA, voitures automobiles de 18, 24 et, 5o chevaux-vapeur, via Pctrarca, à Turin (Italie). Tél. 18-06. Adr. tél. ltala-Torino. Société Anonyme, fondée en 1904, au capital de 3 millions de lires. —- Composition du Conseil d'administration : MM. G. B. Figari, Cesare Figari, Mai chese Gm0 Durazzo Pallavicini, Fubini Léone, Cav. Andrea Cortcse, Avv. Riccardo Cattanco, Guido Bigio. — Cette marque tient la tete de la fabrication italienne pour son élégance et sa solidité. — Voir Itala.
- — - Agents de la Société « Itala » :
- France : Paris-Automobile, Henry Fournier, directeur, 48 et 5o, rue d’Anjou, Paris. Concessionnaire pour la France.
- — Italie : Autocommerciale, 3i, via Pctrarca, Turin.
- -Allemagne: Auto-Alliance, 3g, Unter den Linden, Berlin.
- — Angleterre: Itala Automobiles Ltd, 89, Wigmore Street. Londres.
- — Etats-Unis : Itala Import C°, 41, West, 55 Street. New-York.
- — Autriche : Ign. Waneck, Karntering II. Vienne.
- FABBRICA IT ALI AN A AUTO-MOBILI TORINO (Automobiles FIAT), 35, corso Dante, à Turin (Italie). Adr. tél. Fiat-Torino. Tél. 20-o3. Société Anonyme, au capital de 9 000 000 de lires. — Président : M. le chevalier Scarliotti. — Directeur : M. l’ingénieur Marchesi. — Succursale pour Paris : 7 et 9, route de la Révolte, à Leval-lois.
- Liste des Agents et Sous-Agents de ïa F. I. A. T.
- — Amsterdam (Hollande) : Vervey et L11-gard.— Barcelone (Espagne) : Juan Sacias du Zangal, g4, paseo de Gracia. — Berlin (Allemagne) : Daedrich et Siebert, G8a, Unter den Linden. —Bologne (Italie) : GiaziaetFio-rini, Porte d'Azegiio. — Bombay (Ilindous-tan) : The Bombay Motor Car. — Breslau (Allemagne): Fritz Vogler, 85, Gartenstrasse.
- — Bruxelles (Belgique) : E. Midders de Bagenrieux, 120, avenue Louise. •—Bucarest
- (Roumanie) : Alexandre Prager, g, calea Victoriel. — Buenos-Ayres (Republique Argentine) : E. Gismondi, Barraeas al Sud.
- — Cannsladl (Allemagne) : Andréas Veigel, 5, Waiblinyerstrasse. — Colmar (Alsace-Lorraine) : Widerkehr, 28, Slanislaustrasse. —-Dresde (Allemagne) : Robert Vieveg, Auto-Palace, Ecke Sidonien et Christianensstrasse.
- — Florence (Italie) : Société dei Garages Riuniti, via Porte Nuove, 8. — Francfort -sur-le-Mein (Allemagne) : Auto-Palast, Kai-serstrasse. — Gènes (Italie) : Socielà dei Garages Riuniti, via Francesco Ferruccio, 5.
- — Genève (Suisse) : A. Carfagni, Garage Moderne, 3o-36, rue de Monthoux. Gorlitz (Allemagne) : Autornobil Central, 9, An der Frauednkirche. — Ilaarlem (Hollande): Vervey et Lugard, I Koopmann Daake W. .......
- Hambourg (Allemagne) : Zeehenlmayer et
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- C°, Alsterglreis. Iluuuvre (Allemagne) :
- Cari Ileinl'eld, Locazlone F. I. A. T. — liar-rogale (Angleterre) : H Johnson cl C°, Ltd, Cambridge Street. — Haye (Hollande) : Ver-vey et Lugard, Automobiel Mij. - — Karlsruhe (Allemagne): Herman Lucke, G3, Amalien-strasse. — Kharkow (Russie) : Herman Meyer, 20, Maziowecka. Cologne (Allemagne) : J.-W. Untermohle, G.ni. 1). II. Leipzig (Allemagne) ; Automobiliuni, 2, Drusdenstrasse. Lisbonne (Portugal) :
- Sociedado Porlugueza de Autoinoteis Limita la. /1-2G, rua do Jardin do llegedor. — Londres (Angleterre) : Fiat Motors, Ltd, Long Acre. — Luxembourg (Grand-Duché) ; Jean-Pierre Klein, villa Louvigny-Parc. Manchester (Angleterre) : Newton Bonnet et Carlisle, Ltd, 35, King slrcet West. -Mannheim (Allemagne) : A. Kienle. — Marseille (France) : Rousseliôre, 16, avenue du Prado. — Metz (Alsace-Lorraine) : Chevalier et Fils, G, rue de la Caserne. - Mexique (Amérique : (Fulncs Lasage ou Lange. - Milan (Italie) : Socictà dei Garages Riuniti, 35 A, Foro Bonaparte. — Moscou (Russie) : The-odor Zemlicka, 5, Grande Dmitrovska. Mulhouse (Alsace-Lorraine) : Georges Chà-tel, 31, passage Central. — Monaco (Principauté de : Cari Weiss, i5, Dachauerstrasse.
- Naples (Italie) : Socielà dei Garages Riuniti. - Newcastle (Angleterre) : Northern Conties Motor, 27, Piigram Street. - New-York (Etats-Unis) : The Hol-Tan C°, Broadway and 5Gth Street. — Norlhampton (Angleterre) : Pyleley Autocar C°, Ltd, Sheep Street.
- - Oberhausen (Allemagne) ; Ernst lbald, 3G, Grensstrasse. -- Paris (France) : Garage Fiat, 7 et 9, route de la Révolte, Lcvallois-l’crret. — Paris (France) : Société Franco-Américaine d’Automobiles, g5, boulevard Gouvion-Saint-Cyr. — Pérouse (Italie) : Em-porio Ciclistieo. — Porto (Portugal; : Teixoira et Innao, 1.55, rua de sa de Badeira. Home (Italie) : Società dei Garages Riuniti, 5G, viaFlaminia. — Saint-Pétersbourg (Russie) : Herman Meyer, 20, Maziowecka. — Saint-Sébastien (Espagne) : Urcola et Vignau, Gran Via Barros dei Gros. — Scheweningen (Hollande) : Vcrvoy et Lugard, Garage Palace Hôtel. — Stockholm (Suède) : Wicklunds Velociped Fabrik, 7, Bisger Jarlagaton. -Strasbourg (Alsace-Lorraine) : E. E. C. Matins, 23-20, Finkinattstrasse. - Turin (Italie) : Società dei Garages Riuniti, iG, corso Massimo d’Azeglio. - Varsovie (Russie) : Herman Meyer, 20, Maziowecka. — Vienne (Autriche) : Fiat Automobile, 20, Parkring.
- - Zeist (Hollande) : Yervcy et Lugard. — Zurich (Suisse) : Badertscher et C°, iG, Goethestrasse.
- FABBRICA LIGURE DI AUTO-MOBILI GENOVA, construction d'automobiles F. L. A. G. — Siège social à Gcnes (Italie); usines à Spezzia. — Société au capital de 4 000 000 de lires. — Construction de
- châssis de 1G, 4o et 70 chevaux, de voitures, omnibus, camions et canots automobiles.
- FABBRICA TORINESE AUTOMOBILE lubrique d’automobiles de tourisme, 5G, corso Massino D’Azeglio, à Turin (Italie). — Tél. 1874.— Société Anonyme, au capital do 1000000 de lires.
- FABBRICA TORINESE DI CHASSIS, 17, corso Firenze, à Turin (Italie).
- r* FABENS (Raoul), directeur de Tous les Sports; collaborateur à la Revue de Paris, aux Sports, à la Vie au Grand Air, etc., 57, rue de Clicliy, Paris.
- FABRE et WORMSER, accumulateurs Sclnnitt, 20, rue Brunei, Paris. Tél.
- 549-76.
- FABRICANTS DE CYCLES (Syndicat des), siège social : cité Rougemont, Paris. Président : M. Cohendet; vice-présidents : MM. Hammond et Poirricr.
- FABRICANTS (L’Union des) pour la Protection internationale de la Propriété Industrielle, 89, rue Saint-Lazare (4, avenue du Coq), Paris.
- FABRIQUE NATIONALE D’ARMES DE GUERRE, automobiles et motocyclettes. — Voir Armes de guerre.
- F. A. C-, ampèremètres et voltmètres. — Voir Fauvin et, Amiot.
- FACE. — O11 donne le nom do faces a des lanternes, à des phares à acétylène qui ont leur générateur de gaz séparé d’eux et qui 11e servent alors (pic (1e réflecteurs, de projecteurs de lumière indépendants de la source lumineuse.
- — Bléuiot, 16, rue Duret, Paris.
- Boas, Rodhic.ues et Cie, 67, boulevard de Claironne, Paris.
- - Duceelieh, a5, passage Dubail, Paris.
- F. A. C. R. — Voir Fédération des Automobile-Clubs Régionaux de France.
- FAFIOTTE (Paul\ 2,ruoLainarck, Paris. Tél. 4t>3-37 . —
- Né le 10 février 18G8, à Mantes.
- Publiciste aux Sports ; secrétaire général du K Home Car Club de France ». Ancien rédacteur au
- Vélo (1893-1901),
- [mis à 1 ’ A u t 0 (1901-1904).
- FAGARD ,
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- que).
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- FAFNIR, moteurs. — Voir Aachener Stahlwarenfabrik A G., à Aix-la-Chapelle; Seignol et Scarle, Paris, et Rogers et, C‘°, Paris.
- FAGET, 43, rue du Rocher, Paris. Membre du Conseil d’administration de la Société Anonyme égyptienne <TElectricité, à Paris.
- FAGNON et ZIMMER, tubes en acier, 44, rue des Vinaigriers, Paris. — Tél. 435-Q7.
- FAHRRADWERKE WELT R AD,
- A. G., fabrique do motocyclettes, à Schœnc-beck (Saxe).
- FAHRZEUG {Bas), journal automobile, édité par Cari Bohl, à Eisenach (Allemagne).
- F AHRZEUG-FABRIK EISENACH,
- fabrique d’automobiles « Dixi-Wagcn », à Ei-senacb (Allemagne).
- FAIRE LA DEMOISELLE. — Expression d’atelier, s’appliquant à une pièce de tour qui, mal centrée, se dandine de droite et de gauche.
- FALCONNET (Henri), Go, avenue Mala-koff, Paris. Tél. G8i-i4- — Né à Paris, en 18G7. Chevalier de la Légion d’honneur. Ingénieur dos Arts et Manufactures. AdminisLra-teur-directeur général de la Société des Etablissements Falconnct-Pérodeaud. Ancien ingénieur aux Forges et Chantiers de la Méditerranée.
- FALCONNET-PÉRODE AUD (Société Anonyme des Etablissements), pneumatiques, bandage Compound, !\, place Carnot, à Choisy-le-Roi (Seine). Tél. 14. Adr. tél. Caoutchouc-Choisy. Bureaux : 17g, rue de la Pompe, Paris. Tél. 027-76 et 555-6g. Adr. tél. Fatespero-Paris.
- FAMECHON (Georges), 5, place Saint-François-Xavier, Paris. Tél. 732-80. Né à Paris, le 24 janvier 1861. Chevalier de la Légion d’honneur et du Mérite agricole ; officier d’Académic.
- FALLÛT, administrateur délégué de la Société des automobiles Peugeot, 83, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris.
- FARAD. — Unité C. G. S. de capacité électrique, ainsi appelée d’après le physicien anglais de ce nom. — Voir Capacité électrique.
- FARAMOND (R. de), moteurs « Priest-inan » à pclrole pour la marine, 54, avenue do Breleuil, Paris. — Tél. 701-38.
- FARCONNET (De) et BOUVIER,
- garage, vente d’automobiles, rue d’Autriche prolongée, à Tunis (Tunisie).
- FARCOT Frères et Ci0, moteurs et dynamos, à Saint-Ouen (Seine). Tél. 5o4-55.
- FARCY (De) et PI AU, garage, vente d'automobiles, 114, rue Saint-Jacques, à Angers (Maine-et-Loire).
- FARGÈRE (Vital) Aîné, manufacture française de joints mélalloplastiques, 3, rue Paillon, à Saint-Etienne (Loire). — Joints pour vapeur, gaz, air chaud ou comprimé, eau chaude ou froide, etc.
- FARMAN (Diclc), 28, rue Marbeau, Paris. — Ingénieur-mécanieien-élcctricicn ; membre fondateur de l’A. C. F. Directeur de la maison Farman frères.
- FARMAN (Henri), 10, rue Nolre-Dame-de-L orelte, Paris. Membre de l'A. C. F. Associé de la maison Farman frères.
- FARMAN (Mau rice), 90, avenue de Villiers, Paris. — Né à Paris, on 1877. Directeur du Palais del'Automobile. Coureur automobile réputé.
- FARMAN Frères, vente d’automobiles, 22, avenue de la Grande-Année, Paris. Tél. 559-o5. Adr. tél. Farmotors-Paris.
- FAROUX (Charles-Ernest), 16, rue Ba-chaumont, Paris. — Né à Noyon, le 20 décembre 1873. — Rédacteur à L'Auto. — Rédacteur en chef du Poids Lourd. —Ancien élève de l’Ecole Polytechnique (1892). Docteur ès sciences mathématiques. Ancien ingénieur à la Compagnie Générale des Omnibus ; chimiste aux Mines d’or de Sa-cramento ; ingénieur des Tramways de Mi 1 -waukee ; ingénieur-conseil, etc.
- F. A. S. (Automobiles). —
- Voir Standard,
- Italie.
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- BLE HOUSE' vêtements de sports, 16, boulevard Montmartre, Paris. Tél. 208-54.
- FATTIER, garage, vente d’automobiles, rue de Lyon, à Mâcon (Saône-et-Loire).
- FAUCONNIER, garage, vente d’automobiles, boulevard de la République, à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône).
- FAUGÉ, garage, vente d’automobiles, g3, boulevard Gamnetta, à Cahors (Lot).
- FAUGÉ, garage, vente d’automobiles, 2, rue Verdi, à Nice (Alpes-Maritimes).
- FAULQUIER, garage, vente d’automobiles, 5G, avenue de Toulouse, à Montpellier (Hérault). Tél. 1-08.
- FAURAX, carrosserie automobile, 5, avenue de Noailles, à Lyon (Rhône).
- FAURE, garage, vente d’automobiles, 5, square des Postes, à Grenoble (Isère).
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- FAURE (A.), fabrique d’automobiles et de pièces détachées, rue de Toulon, à' Lyon (Rhône).
- FAURE (Jacques), 32, rue Washington, Paris. — Né à Bcllevue en i8^3. Après un séjour en Angleterre où il contracte le goût des sports athlétiques dont il fut un brillant champion, grand amateur de yachting à voiles et plus récemment de yachting automobile, a conquis comme aéronaute la plus légitime notoriété. Obtient de magnifiques résultats dans les concours de l’Exposition de 1900. où il réussit à se classer troisième dans l’ensemble des épreuves. A exécuté quatre traversées aériennes d’Angleterre en France (trois en iqo5) dont la plus curieuse fut Londres-Paris en (i h. 3o (10 février igo5). Gagna brillamment le premier Grand Prix de l’Aéro-Club de France, Paris-Kirchdrauf (Hongrie). 1 3i/|. kilomètres, en 18 h. G’, les i5-id octobre 1900. Par son audace, son sang-froid et ses capacités techniques, M. Jacques Faure est un des plus brillants représentants de notre école française d'aérostation.
- FAURE (P aul), vente d’automobiles, 79, boulevard Gouvion- Saint-Gyr, Paris. Tél. 582-92.
- FAURE et GACON, pièces détachées pour carrosserie automobile, 17, chemin Combe-Blanche, à Lyon (Rhône).
- FAURE Père et Fils, capots et, réservoirs, à Reviu (Ardennes); et 11, avenue Gambetta, Paris.
- FAUTEUIL AUTOMOBILE (Le)
- inventé par Costautini. — Voir Progrès Automobile (Le), Paris.
- FAUVEL Frères et MAILLARD,
- vente d’automobiles et d’accessoires. 280 Pitt Street, à Sydney (Australie). Tél. 2.55.
- F AU VE AUD, garage, vente d’automobiles, io5, rue Paulin, à Bordeaux (Gironde).
- FAUVIN et AMIOT (Compagnie F. A. €), appareils de mesures électriques, 81, rue Saint-Maur, Paris.
- FAUX-CHASSIS.— Cadre rectangulaire situé dans un plan horizontal inférieur à celui du châssis et servant à supporter le moteur et la boite des vitesses. Le faux-châssis est soutenu par des pattes se rattachant obliquement au châssis principal et augmentant la rigidité de l’ensemble, qui figure une sorte de poutre armée.
- FAVA, garage, vente d’automobiles, 81, rue de la Paroisse, à Versailles (Seine-et-Oise).
- FAVRE, vernis pour la carrosserie, 2, rue des Sept-Arpenls, au Pré-Saint-Gervais Seine). Tel. 415-63.
- FAVRESSE garage, vente d’automobiles, 10, rue Bisson, à Saint-Quentin (Aisne).
- FAY and BOWEN ENGINE C°, moteurs de marine, 80, Lake Street, à Geneva N.-Y.). Etats-Unis.
- FAYE-BERNARD, pompes à air, 24, rue André-del-Sarte, Paris.
- FAYMOREAU (De), commerce d’automobiles. 3g, boulevard des Capucines, Paris. Tél. 244-21.
- FEBVREL et Cle, roues en bois, 83 bis, rue Gravel, à Levallois-Perret (Seine).
- FÉDÉRATION DES AUTOMOBILE-CLUBS RÉGIONAUX DE FRANCE, 8, place de la Concorde, Paris. — Voir Automobile-Clubs Régionaux.
- FEEDER. — Mot anglais qui signifie alimenleur, nourrisseur. Le terme est devenu français et son application courante en élec-trolcchnique. On désigne sous le nom de feeders les câbles ou conducteurs électriques conduisant directement le courant depuis la station centrale jusqu’en certains points déterminés du réseau de distribution.
- FEET, pluriel du mot anglais foot, pied (mesure de longueur).
- FEILLÉE, garage, vente d'automobiles, rue du Grand-Cerf, à Meaux (Seine-et-Marne).
- FELBFR Fils, carrosserie automobile, 4o, avenue des Champs-Elysées, Paris. Tél. 510-46.
- FÉLICE (R. de), appareil pare-éclate-ment, iG, rue Dufétel, à Versailles (Scine-et-Oise).
- FELLER und C°, machines-outils, à Halle-sur-Saale (Allemagne).
- FENAILLE et DESPEAUX, raffi-neurs de pétrole. essence pour moteurs “• Bcnzo-Moteur ”, 11, rue du Conservatoire. Paris. Tél. 117-84.
- FENÊTRE. — En mécanique on donne le nom de fenetre à une lumière ou à une ouverture, généralement rectangulaire, pratiquée dans une paroi pour l’écoulement d'un fluide.
- — Par extension, on donne le nom de fenêtres on créneaux aux fentes pratiquées dans un écrou pour le passage d’une goupille qui l’empeche de se desserrer.
- FENOUILLET et C‘°, roue élastique â rayons fixes, 44> cours Gambetta, à Lyon (Rhône).
- La Revue a mcilleurr et la i>lu- lur ' “'OlVTNfl A”
- La *-eule dont on fasse collecion? *4 O3VTI JSl. ”
- Rédacteur en Chef : L. BAUDRY de SAUNIER, 10, rue Duret, Paris (IX francs par an)
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- ‘ ” ’ '1 Tél. 4i5-Ga et
- .{ 438-59. — Né à
- j Penzance (Angleterre), le 28 août 1862. Administrateur de la Société Française des cycles Clé-ment-Gladiator. Administrateur de la Société Française des Pneumatiques Dunlop et de la Société des Anciens Ateliers Vinot et Deguingand. M. Fenton a été, dès l’origine, un des organisateurs les mieux avisés de l’industrie automobile et est toujours demeuré l’un de ses représentants les plus en vue.
- M. Fenton,
- FENWICK Frères et Ci0, machines-outils américaines, représentants de cinq principales fabriques, telles que: Brown et Sharpe, Pratt et Wittney, Bullard, Reed, W. F. et J. BarneSy 8, rue de Rocroy, Paris. Tél. 427-G2. Adr. tél. Fenwick-Paris.
- FER — Corps simple métallique, d’un aspect et de propriétés connues de tout le monde. Le fer fond vers 1 5oo°. Allié au carbone dans la proportion de 2 à 5 0/0 de carbone, il constitue le fer carburé ou fonte de fer. On distingue : la fonte grise, fusible vers 1 200°, très propre au moulage, douce, grenue, et la fonte blanchey fusible vers i,o5o° à 1 ioo°, lamelleuse, cassante, peu utilisable pour les moulages, et réservée à la fabrication de l’acier et du fer.
- Le fer ne contenant que o,oo5 à o,oi5 0/0 de carbone, donne l'acier (voir ce mot) fusible de 1 35o° à 1 4-5o° environ. L’acier se différencie du fer notamment par sa faculté d’acquérir des propriétés toutes différentes de dureté, d’élasticité, etc., sous l’action d’un refroidissement brusque : Trempe {voir ce mot).
- Le fer contenant des proportions très faibles de carbone, 0,002 à o,oo5, durcit un peu à la trempe et constitue le fer aciéreuXy ou acier extra-doux.
- Les propriétés du fer sont également très modifiées par d’autres corps simples que le carbone et a des doses très faibles ; tels sont: le soufre, le phosphore, l’arsenic, le manganèse, le chrome, le tungstène, etc. — Voir Acier.
- — Fer Doux. — Lo fer presque pur, et en tout cas à peu près exempt de carbone, constitue lo fer doux. Le fer doux possède la propriété de s’aimanter passagèrement sous l’influence magnétisante d’un courant électrique (électro-aimant) convenablement dirigé,
- ou sous l’influence d’un aimant. L’action magnétisante cessant, l’aimantation du fer disparaît. Au contraire, l’acier aimanté conserve son magnétisme fort longtemps, la cause magnétisante ayant cessé. Ces propriétés du fer doux sont mises à contribution en automobilisme dans les bobines d’allumage (fer doux du noyau) et les dynamos. Celles de l’acier, dans les magnétos d’allumage (aimants permanents).
- — Fer blanc. — Fer recouvert d’une couche d’étain par immersion dans l’étain en fusion ou dans un bain galvanoplastique d’un sel d’étain.
- — Fer galvanisé. — Fer recouvert d’une couche de zinc par des procédés analogues a ceux employés pour la fabrication du fer blanc.
- — Fer profilé. — On donne le nom de fers profilés à tous ceux qui ne sont ni ronds ni carres ni plats, bien que les ronds et les carrés soient des profils, pourrait-on ajouter. Les fers profilés ont des sections en l, en T, en I ou en t ; on les appelle respectivement des cornières, des tés, des doubles tés ou fers à j et des fers à U-
- FERACIER [Le), métal extra-résistant pour automobiles, 9, rue Gandon, Paris.
- FER A SOUDER. — Outil constitué par un bloc en cuivre rouge (affectant vaguement la forme du bloc d’un marteau) maintenu emmanché au moyen d’une tige de fer et d’une poignée en bois. Le fer *à souder a pour mission — après avoir été fortement chauffé au feu et avoir été enduit de soudure d’étain a son extrémité décapée par frottement contre un fragment de sel ammoniac — de chauffer par contact les surfaces à souder et d’y déposer la soudure en fusion ; puis d’en façonner le dépôt.
- FERBER {capitaine F.), 1, chemin de la Glacière, à Rellevue (Seine-et-Oise). — Né à Lyon en 1862. Entré dans l’artillerie à sa sortie de Polytechnique, F. Ferber est frappé des expériences de vol plané de Lilienthal et est le premier en France à les répéter alors qu’il commandait à Nice la 170 batterie alpine. 11 imagine et construit, à scs frais, plusieurs aéroplanes successivement améliorés, à bord desquels il accomplit des glissades aériennes progressives, et un curieux aérodrome ou manège d’essais pour ce type d’appareils. Détaché au Parc aérostatique de Chalais-Meudon, il a récemment réussi à passer de l’aéroplane sans moteur, mù par la simple pesanteur, à l’appareil complet, à l’aéroplane à moteur.
- FERBLANTIERS RÉUNIS (Association Générale des Ouvriers) ^ fabrique de lanternes, i5, rue des Trois-Borncs, Paris.
- FERMOIR. — Ciseau dont le tranchant est formé par la réunion de deux biseaux, qui sert à faire des mortaises, à ébaucher des tenons, etc., dans du bois.
- SOUDURE AUTOGENE de la fonte et de l’Aluminium garantie.
- CHAUSSELAT, 11, 12, 13, rue Princesse, PARIS - Téléph. 825-39
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- F E R. — 3/,2
- FERNIQUE Fils, photograveur, 3i, nu île Fleurus, Paris. — Tel. 70/1-00. '
- FÉRON-VIBERT, ingénieurs, construction d’automobiles, à Soissons (Aisne).
- FERRAND {Charles), 48, rue de Grenelle, Paris.—Né à Amiens, le 6 novembre 1859.
- Chevalier delà Légion d’honneur. — Ingénieur E. C. P. (promotion 1880). — Ingénieur eu chef de le Marine. - Ancien chef du Bureau technique des Constructions navales au ministère de la Marine. — Secrétaire général de l’Association technique maritime.
- FERRAND, ingénieur-constructeur, 124, boulevard Bichard-Lenoir, Paris.—-Tel. 922-80.
- FERRAND (1 rve), fabrique do lampes portatives à acétylène, 19, boulevard de Vaugirard, Paris.
- FERRANDON, vente d’automobiles, 5g, rue Saint-Lazare, Paris. Tel. 217-91.
- FERRARI et CP, vente d’automobiles, garage, G, via Ponte Seveso, à Milan (Italie).
- FERRAZ, roue élastique, 13, rue Cuvier, à Lyon (Rliône).
- FERRET, garage, vente d’automobiles, 1, rue de Saône, à Mâcon (Saône-et-Loire).
- FERRET et LIVET, mécanique de précision pour . voilures et canots automobiles. g3, rue Oberkainpf, Paris.
- FERRETTI, accessoires pour automobiles, 151, via dei Fiori, à Turin (Italie).
- FERREtlR. — Ouvrier spécialiste, en carrosserie, pour capotage de landaus, lan-daulets et portes de carrosserie.
- FERRO-ALUMINIUM. — Alliage de fer et d’aluminium, employé en métallurgie pour l’affinage du fer.
- FERRO-CHROME. — Le ferro-chrome est un composé fcrro-métallique contenant du chrome en proportion variant de 10 à 60 0/0.
- Le chrome, comme le tungstène, communique à l’acier des propriétés spéciales, augmente son élasticité et sa résistance mécanique. Les aciers chromés obtenus par l’adjonction de ferro-chrome atteignent aisément une charge de rupture de 120 kilogrammes par millimètre carré.
- FERRO-MANGANÈSE. — Les alliages du fer et du manganèse constituent des fontes spéciales dites spiegels, lorsque la teneur en manganèse ne dépasse pas 3o 0/0 ; silico-spiegels lorsque l’ensemble du manganèse et du silicium contenus n’excède pas 36 0/0 ; ferro-manganèse lorsque la teneur en manganèse va jusqu’à 85 0/0.
- Le ferro-manganèse joue un rôle important dans la métallurgie du fer; le manganèse est en effet, plus oxydable que le fer et en permet l'affinage. 11 empêche les soufflures.
- Le manganèse introduit dans l’acier lui donne des qualités spéciales tant au point de
- vue mécanique qu’électrique. De petites quantités augmentent sa résistance à la traction, mais il faut que la teneur en carbone diminue. A plus de 1 0/0 de manganèse, l’acier devient dur et cassant; avec 4 ou 5 0/0, cette propriété est exagérée. Au contraire, avec 8 à i5 0/0 de manganèse, l’acier se comporte tout différemment. Un acier au manganèse contenant 12 0/0 de ce métal et 1 0/0 de carbone arrive à acquérir, suivant les procédés de forge et de trempe, une grande résistance mécanique; sa charge à la rupture varie de 5 700 kilogrammes par centimètre carré jus-10 5oo kilogrammes par centimètre carré. Le même acier à 12 0/0 de manganèse a une perméabilité magnétique presque égale à celle de l’air; la présence de ce métal dans l’acier diminue donc sa perméabilité ; elle augmente sa résistivité qui dans le cas de l’acier à 12 0/0 atteint G7 inicrohms-centimètres, alors que la résistivité du fer varie de 9 à 10 mi-crohms-centimètres.
- FERRO-NICKEL. — Alliage de fer ou do nickel employé fréquemment dans l’industrie électrique pour la construction des rhéostats. Sa résistivité augmente avec la teneur en nickel.
- L’acier au nickel à 4,5 0/0 de ce métal a une résistivité de 29,5 microhms-cenlimèlres. On fabrique des ferro-nickels ayant des résistivités de 8G (rhéostatine B) cl de 78 microhms-cenlimètres (type II X). Ce dernier se rompt sous une charge de 8 000 kilogrammes par centimètre carré.
- FERRO-NICKEL {Société Anonyme le), nickel pur, acier-nickel et ferro-nickel, 10, rue Louvois, Paris ; et dépôt, 17, rue du Pont-aux-Choux, Paris. — Pièces détachées pour automobiles. — Société Anonyme, au capital de 2 5oo 000 francs.
- FERRON, vannerie spéciale pour automobiles, 3, passage du Buisson-Saint-Louis, Paris.
- FERRO-SILICIUM. — Alliage de fer et de silicium (métalloïde de la silice et du sable) employé dans la métallurgie du fer.
- FERRURES. — Les ferrures sont, par délinition, toutes pièces en fer travaillées à la forge.
- En carrosserie, les ferrures sont particulièrement les pièces métalliques qui consolident la caisse (formée de membrures de bois, cintrées selon la demande ou l’esthétique, et réunies entre elles par des placages nommés panneaux) et la lient au châssis.
- — Les ferrures de voitures, fabriquées à l’étranger, subissent, à leur entrée en France, un droit de douane de 10 francs (tarif minimum) ou de i5 francs (tarif maximum), par 100 kilogrammes.
- FERRUS {Léonce-Aimé), 1, place Saint-Thomas-d’Aquin, Paris. Tel. 729-69. — Né à
- La Préfaça £ Hôtes Importantes du présent volume.
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- Paris, le 28 avril 1857. Chevalier de la Légion d’honneur, officier d’Académie, du Cambodge, etc.
- Chef d’escadron d’artillerie à la Section technique do l’Artillerie. Directeur de la Revue d'artillerie. Membre de la Commission militaire des automobiles ; membre de la Commission technique de l'A. C. F. et du Comité technique du T. G. F. Ancien élève de l’Ecole polytechnique. Membre actif de quantité de commissions concernant, l’automobile.
- F. et S., marque de fabrique de Fichlcl et Sachs (Allemagne).
- F. et S.-W. H., roulements à billes. — Voir Ilénon et Mestre, Paris.
- FEU. — Le mot feu est souvent pris dans le sens de fanal, de lanterne.
- — Feu de forge. — Dispositif de chauffage permettant d’obtenir de hautes températures. Schématiquement est réalisé par une cavité en matière réfractaire (briques, argile
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- Kiachks dk Paris
- Landaui.kt, a strapontin, sur châssis Hcnault Frères.
- F. E. R. T., automobiles. — Voir Anto-nielli et Ugonino, à Turin (Italie).
- FÉRY et BOISSET, clichés industriels, 14, rue Suger, Paris. Tel. 819-22.
- FESSOIRAT, antidérapants “ Excelsior ”, 5, rue des Marais, Versailles (Seine-et-Oise). Tél. 396.
- FESTA (Carlo) et C'“, vente d’autr>-mobiles, 67, via Due Macelli, à Rome (Italie).
- remplie de charbon partiellement en combustion. On insuflle dans la masse un courant, d’air atmosphérique sous pression. On réalise de cette façon des phénomènes de combustion dégageant le maximum de chaleur produite par l’oxydation du carbone. Le feu de forge permet d’obtenir la température de fusion du fer (1 5oo° C.) et même la fusion du platine et du chrome (1700-1800°) quand 011 se sert, comme combustible, de charbon dur et suffisamment pur (charbon des cornues).
- Automobiles RENAULT FRERES K“
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- FEUILLARD. — F cr plat, très mince par rapport à sa largeur, et vendu en barres.
- FEUILLE DE RESSORT. — Voir Ressorts de voilure.
- FEUILLE DE SAUGE. — Lime de
- I.IMi: K N FI-XILLE DU SACHE
- forme très allongée et coupant sur scs deux côtés.
- FEUILLES (caoutchouc en). — Caoutchouc vulcanise après préparation en feuilles minces, qui servent à faire, sur route, les réparations des perforations ou des crevaisons do la chambre à air; ces feuilles sont collées sur la chambre à air percée, au moyen de dissolution do caoutchouc. — Voir Caoutchouc.
- FEUILLURE. — Entaille longitudinale pratiquée dans une pièce de bois, une [lierre ou un métal et destinée à former joint ou assemblage.
- FEVOLI (Villorio) et C°, garage, vente d'automobiles, à Livourne (Italie).
- FEYMOREAU {De), 3<), boulevard des Capucines, Paris. — Agent de la SociéLé Luc Court et C'">.
- F. G., crics. Voir Guitel (F.), Paris.
- FIACRES AUTOMOBILES. — Voir Voitures de place automobiles. — Nous donnons ci-contre les cotes des châssis Renault Frères et des caisses qui sont employées par la Compagnie Française d'Automobiles de place.
- L’industrie du fiacre aulomobilc a été pratiquement inaugurée par la maison Renault. Le petit fiacre parisien de 190G a décidé de l’essor do cette industrie.
- — Automobiles Inijustiuuls (Société Générale des), 3, rue Vignon, Paris.
- Renault fkèiuss, i3(j, rue du Point-du-•lour, à Billancourt (Seine).
- F. I. A. T. — Voir Fabbrica ltaliana di Aulomobili.
- — Paius-Automobile (Société Anonyme;, /|8 et 5o, rue d’Anjou, Paris.
- FIAT ANSALDI {Società Aulomobili). — Transformée, en avril iyoG, en : Brevetli Fiat (Socielà Aulomobili).
- FIAT MOTORS, Ltd, vente d'automobiles F. I. A. T., 3^, Long Acre, à Londres (Angleterre).
- FIBRE. — Matière artificielle obtenue par le traitement des matières cellulosiques (papier, etc.) par le chlorure de zinc, selon des procédés gardés secrets par les fabricants. La fibre vulcanisée, assez semblable à
- un bois dur ou à l’ébonitc, est très employée comme matière isolante dure dans la construction des appareils électriques.
- FIBRE-CUIR {de Grégaud), antidérapant. — Voir Long {II.) Fils.
- FIBRE-EAU, garniture hydraulique. — Voir Ilauchard, Paris.
- FIBRE NEUTRE. — Quand un corps travaille à la flexion (voir Flasticité), toutes les fibres 11e travaillent pas également. Si on considère par exemple une poutre se courbant sous un effort quelconque, les fibres les plus près du centre do courbure se compriment, tandis que celles placées sur la face opposée se tendent. La fibre neutre se trouve au centre de gravité de la section transversale du corps.
- FIBRE VULCANISÉE américaine, pour engrenages, coussinets, clapets de pompe. — Voir Industrie Internationale (L’).
- FICHE. — On appelle fiche de sécurité ou de sûreté une sorte de gros clou en cuivre F dont on se sert parfois comme interrupteur de courant primaire.
- Le fil parcouru par le courant électrique est sectionné aux points C et D ; le courant ne peut être établi qu'en réunissant le fil A au iil B, ce qui est fait très facilement en enfonçant la fiche métallique F dans leurs extrémités C et D. qui forment ressorts. — A
- Klein: ni: sécuiutk du Dion-Bouton (Anciens tricycles)
- l’arrêt, la fiche est retirée et le courant est, par conséquent, coupé.
- L’ensemble de cet interrupteur est monté sur une pièce d’ébonitc E, fixée sur le tube de la motocyclette par un collier M.
- FICHTEL und SACHS (Schweinfürler Praecision Kugerlager Wer/ce), moyeu à roue libre et frein « Torpédo », à Schwcin-furt-sur-Mein (Bavière). Tel. GG. — Adr. tel. Fichtel-Suchs-Schweinfurt. — Roulements à billes F. u. S- — Voir: Ilénon et Mestre, Paris.
- FIDELIA, voiture à vapeur, f\, rue Han-neloup, à Angers (Maine-et-Loire).
- i LA PLUS JOLIE VOITURE DE VILLE I EST LA 14 CHEVAUX
- I à châssis cintré et surbaissé
- BERLIET
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- FIDES (Fabbrica Automobili), marque Brasier, fabrique d'automobiles 44 Fidès ”, 3G, via del Tritone, à Rome (Italie) — Usines : viaMongincvro (Barriera di San Paolo), àTurin.
- - Société Anonyme au capital de 3 000 000 de lires.
- FIGARO (Le), journal quotidien, aG, rue Drouot, Paris. Tel. 102-47. — Rédacteur
- sportif: M. Franz Reichel. — Voir ce nom.
- FIGINI (Lvinï), fabrique de voitures et de canots automobiles, iG, vialeVolta,à Milan (Italie).
- FIL.— On désigne, sous le nom de fil, des barres métalliques (fer, acier, cuivre, etc.), cylindriques, de faible diamètre, qu’on obtient par étirage en les faisant passer successivement dans plusieurs filières de diamètre de plus en plus petit.
- — Fils électriques. — Nom courant donné aux « conducteurs » d’électricité. Dans la pratique courante, les « fils électriques » sont tous en cuivre, recouverts d’un enroulement de coton et d’une garniture isolante en gutta ou caoutchouc vulcanisé. Dans ce dernier cas ils sont toujours clamés afin d’éviter l’action du soufre de la vulcanisation. Les fils « souples » sont de petits cables constitués par un grand nombre de fils très lins.
- FIL BIAIS. — Pour résister aux déformations radiales et tangentielles qu’ont à subir les enveloppes des pneumatiques, quelques fabricants ont eu l’idée de se servir d’un entoilage judicieusement établi qui conserve en meme temps la souplesse et la force. Une solution rationnelle en a été donnée par remploi d’un entoilage dit tissu fil biais, ainsi nommé parce que les fils qui en constituent en quelque sorte la trame et la chaîne font un angle de t\o degrés environ avec les cercles et la ligne de roulement du pneumatique.
- FILET. — On sait qu'une vis est constituée par un noyau cylindrique dont la périphérie porte une saillie hélicoïdale alternant avec un creux. C’est précisément cette saillie qui constitue le filet. Au point dè vue géométrique, le filet est engendré par le déplacement hélicoïdal, autour du noyau, de sa section droite. Suivant que cette section est triangulaire, carrée, etc., la vis est dite à blets triangulaires ou carrés.
- En carrosserie, le filet est un accessoire de garniture ; il est formé d'un cordonnet de soie t ressé à claire-voie et fixé au pavillon intérieur d'une voiture pour qu’on puisse y déposer de petits colis.
- FILET D’AÉROSTAT. — Réseau de cordage qui emprisonne l’enveloppe et supporte la nacelle par l'intermédiaire du cercle de suspension. La grandeur des mailles varie suivant le cube, et, pour un meme filet, elle va en augmentant depuis le pôle supérieur jusqu’à la région équatoriale. Au-dessous, les mailles donnent naissance à des cordages en
- pattes d'oie dont les ramifications diminuant de nombre mais augmentant de grosseur, s’achèvent inférieurement par des cordages isolés appelés suspentes terminés par des boucles.
- E11 s’appliquant sur tout l’hémisphère supérieur du ballon, le filet soulage en grande partie l’enveloppe de F effort exercé sur elle par la pression intérieure.
- FILETAGE. — Action de creuser, dans le cylindre destiné à former une vis, la rainure hélicoïdale dégageant les filets. O11 donne à la partie travaillante de l’outil la forme de la rainure, et on l’anime d'un mouvement hélicoïdal ayant le pas meme de la vis à tailler. Suivant les cas, on opère le filetage au moyen d'1111 tour parallèle ou à fileter, ou au moyen d'une filière.
- FILIASI F rancesco), aéroplanes, à
- San Paolo Belsito, province de Caserta (Italie).
- FILIÈRE. — Outil servant à fileter à la main les vis de faible et moyenne dimensions quand il est impossible ou quand il n’y a pas avantage à les fileter sur le tour, comme dans le cas d'une seule pièce par exemple. Les filières simples se composent, comme l'indique la figure, de deux coussi-
- nets A travaillant, maintenus dans un cadre lî et pouvant être rapprochés l'un de l'autre par une vis G qui règle l’épaisseur de la matière enlevée à chaque passe, et enfin le diamètre lui-même du filetage. Au point de vue géométrique, les coussinets 11e sont autre chose que des portions d’écrou dans lesquels on a fait une saignée destinée à produire des arêtes coupantes. Les coussinets se font en acier trempé. Le cadre qui les maintient, et porte deux leviers servant à la faire tourner, se nomme un tourne-à-gauche*
- FILLIOL et Cie, fabrique de graisseurs, de réservoirs et de bouchons 44 le Rapide ”, 3q, rue de Paris, à Clichy (Seine).
- FILOGAMO et C°, accessoires pour automobiles, 2/g via dei Mille, à Turin (Italie).
- FILTZ (G.), moteurs et pièces détachées « Arion », à Juvisy-sur-Orge (Seine-et-Oise). Tél. 5G. Adr. tél. Filtz-Juvisy.
- FILTZ (J.), automobiles et moteurs, i3, avenue du Roule, <>Neuilly-sur-Seine (Seine). Tél. 517.
- FINET, lunettes pour automobilistes, 107, rue du Temple, Paris. Tél. 310-49.
- FIORINI, garage, vente d’automobiles, 10, via Belle Arti, à Bologne (Italie).
- AUTOMOBILES
- ARIES
- 39, quai d’Argenteuil, 39
- VILLENEUVE-LA-GARENNE
- par Hsle-Saint-Denis (Seine).
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- F I, E
- FIRESTONE TIRE and RUBBER C“, pneumatiques à jantes démontables, à Akron (Ohio), Etats-Unis.
- FIRME. •—• Mot assez peu employé qui signifie maison dans le sens de raison sociale, de marque de fabrique, etc.
- FIRMINY (Société Anonyme des Aciéries et Forges de), essieux, ressorts, pièces détachées pour automobiles, à Firminy (Loire).
- FISCHER (Joseph), fabrique de skis et de traineaux, à Frisbourg-en-Brisgau (Allemagne).
- FISK RUBBER C°, pneumatiques à jantes démontables, Chicopec Falls (Massachusetts), Etats-Unis.
- FISSURES. — Il arrive parfois en hiver que l’eau de réfrigération contenue dans le cylindre vient à geler et provoque ainsi une fissure dans la culasse. Si la fente n’est pas trop large, on peut très bien la réparer en utilisant la propriété que possèdent certains sels de se décomposer et de se précipiter au contact du fer métallique. — Voir Recettes du Chauffeur, par B. de S.
- FITTE et DORNE, commerce d'automobiles, Oi, boulevard Carnot, à Toulouse (Haute-Garonne).
- FIVES-LILLE (Compagnie de), constructions mécaniques, à Fives-Lille (Nord) et à Givors (Rhône). — Succursale, 64, rue Caurnarlin, Paria. — Société Anonyme au capital do 12 millions de francs.
- FIX, produit pour la suppression de la poussière. — Voir Rcinach (E.) et Ci0, Milan.
- FIXATOR, levier-manette. — Voir Bowden, Paris.
- F. J., appareils à souder. — Voir Fouil-loud et C'°, Paris.
- F. L. A. G., (automobiles). —Voir Fabbrica Ligure di Aut.omobili Genova.
- FLAIG, garage, vente d’automobiles, if>, via Moscova, à Milan (Italie).
- FLAMENT, garage, vente d’automobiles, 15, rue Galignani, à Corbeil (Seino-et-Oisc).
- FLAMENT-FONTAINE (Jules), constructeur-mécanicien, à Dompierre (Nord).
- FLAMME. — Gaz ou vapeur en combustion vive. La flamme, étant envisagée au point de vue de sa production au moyen des chalumeaux (voyez ce mot) comme facteur de chauffage pour les opérations de soudure, de brasage et analogues, pej.it être classifiée en flamme ou feu de réduction et en flamme ou feu A'oxydation. La flamme de réduction est constituée par les parties internes de la flamme situées à peu de distance de l’orifice du chalumeau ; la température y est assez élevée, mais l’oxydation le plus souvent 11’y
- est pas totale ; il y préexiste des vapeurs des combustibles non complètement brûlés ; ceux-ci agissent comme réducteurs, c’est-à-dire comme désoxydants. La flamme d’oxydation est située à l’extrémité du dard du chalumeau, là où la flamme, se trouvant en contact avec l’air atmosphérique, les vapeurs combustibles y sont complètement brûlées, et il y a excès du comburant agissant comme oxydant. Dans les chalumeaux alimentés par des gaz comburants ou vapeurs combustibles et comburants (exemple : chalumeau à hydrogène et oxygène), il est facile de faire varier les propriétés oxydantes ou réductrices de la flamme en augmentant l’admission de gaz comburant ou celle de gaz combustible.
- FLANDRIN et Cie, garage, vente d’automobiles, à Saint-Omer (Pas-de-Calais).
- FLANET, garage, 6, rue d’Isly, Paris.
- FLASQUE (substantif masculin). —Nom que l’on dorme, notamment dans les bâtis des machines, aux parties en forme de plaque et
- E, écrou. — .1, flasque, — T, boulon d’assemblage.
- situées verticalement, surtout lorsqu’on en considère deux qui sont voisines et surtout parallèles.
- Les côtés d’un maillon de chaîne se nomment aussi des flasques.
- FLÈCHE. — Voir Ressort (Flèche de).
- FLEMING et Cle, accessoires pour automobiles, « Pneu-Cure », « Grapholine », ad, rue Vicq-d’Azir, Paris. Tél. 433-46. Adr. tel. Graplioline-Paris.
- FLEUR du cuir. — Côté du cuir où sc trouvaient les poils, avant l’épilage de la peau.
- FLEURET A ARCHET. — Voir Arçon.
- FLEXIBLE (transmission flexible).
- — On peut classer les transmissions flexibles en deux groupes, suivant qu’il s’agit de transmettre un effort de torsion ou de traction. Dans le premier cas, on emploie les arbres flexibles qui servent à lier un outil à son moteur, la position relative de ce dernier étant quelconque. Les flexibles sont généralement constitués par deux âmes de fils d’acier, enroulés en spirale très serrée dans deux sens opposés.
- Les inconvénients des flexibles à ressort ont empêché le développement que leurs qualités permettaient d’espérer (charpentes mé-
- fPANHARn-l FVAÇÇflR - auto-palace
- I I HliriHnU LLlnOOUIl 77 bis, Av. de la Gde-Armée, PARIS - Tél. 524
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- tallicjues, chaudronnerie, constructions navales, etc.). En fait, les outils à commande électrique ou pneumatique leur opposent une concurrence sérieuse
- Dans le cas d’efforts de traction à transmettre dans une direction quelconque, on peut employer avec succès la transmission Bowdcn. Celte transmission Bowden se compose d’une âme en corde à piano galvanisée glissant dans un tube flexible, mais incompressible, dont les extrémités sont fixes ; ce tube est réalisé au moyen de fil d’acier enroulé de façon à constituer une sorte de ressort à boudin dont les spires se toucheraient. Le fil étant très fin, la flexibilité est parfaite, et -> q l’on conçoit que le système soit parfaitement incompres-SciiÉMiV d’un siblc. figure montre un
- fluxiui.e schéma de transmission
- Bowden. On voit que le tube est maintenu entre deux butées CC. En tirant sur l’extrémité libre D du câble A, on produit à l’autre bout tel mouvement que l’on désire. On tire par exemple sur un levier, comme l'indique la figure. Un ressort de rappel est nécessaire pour ramener le tout en place quand on cesse d’agir sur le point D. La transmission Bowden a reçu une application importante à la commande des freins de bicyclettes. Son emploi est d’ailleurs commode dans un grand nombre de cas en automobile.
- FLINIAUX, garage, vente d'automobiles, 3q, rue des Carmes, à Cambrai (Nord),
- FLINOIS et BONNEL, travaux mécaniques en tous genres, vente d’automobiles et de moteurs « Centaure », 10 bis, boulevard de la Révolte, Neuilly-sur-Seine (Seine).
- FLINSCH und C°, vente d’automobiles « Mercédès », 20, Neue Mainzerstrasse, à Francforl-sur-le-Meiu (Allemagne). Tél. 3855.
- FLOQUET Frères, garage, vente d’automobiles, à Duvy (Oise).
- FLORENTIA. — Voir Fabbrica di Automobili « Florentia ».
- FLOTTE D’ANGLETERRE (A la), outillage. — Voir Maréchal (Maison J.).
- FLOTTEMENT. — Une chaîne ou une courroie ne doivent être ni trop tendues, ni trop lâches.
- On admet généralement qu’une chaîne possède un flottement suffisant, lorsque son brin inférieur peut être soulevé à la main de 3 ou 4 centimètres. Une courroie est suffisamment tendue dès qu’il y a entraînement sans glissement ; une courroie trop tendue peut amener la flexion d’un arbre et rend très difficiles les débrayages effectués par glissement de la courroie, de la poulie active sur la poulie folle.
- FLOTTEUR. — Le flotteur est un organe creux, formé de parois de métal extrêmement minces et soudées ensemble. Il a pour fonction d’assurer un niveau constant
- FLEXIBLES ( Compagnie Française des transmissions), IfG, boulevard Ilaussmann, Paris.
- FLEXION. — Dans le calcul de la flexion on fait intervenir le moment d’inertie du profil du corps (voir Moment d'inertie), la libre neutre du corps (voir ce mot), et l’on considère les fibres de celui-ci qui travaillent le plus pendant la flexion.
- Le module de section est le rapport — du
- moment d’inertie du profil I a, la distance v comprise entre la fibre la plus fatiguée et la fibre neutre.
- Le moment fléchissant est égal à
- E i
- où E désigne le coefficient d’élasticité, i l’allongement proportionnel et p le rayon de la fibre neutre.
- Il existe d’ailleurs des tables donnant les
- valeurs de L -, p- pour les divers profils de
- fers. La flexion joue un rôle important dans les constructions.
- KlOTTEUII DE CAlllIUHA TECH
- A, arrivée de l’essence. — B, pointeau obturateur. — C, chambre du flotteur.
- — K, flotteur cylindrique. — G. tige-guide. — H, tube relié à l’ajutage.
- do l’essence qui, dans un carburateur, arrive a Y ajutage. 11 nage dans sa chambre dans
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- F L U
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- F 0 N
- D
- l'essence, de sorte que, si celle-ci vient à baisser de niveau, il dégage par son mouvement de descente un orifice par lequel pénètre
- de l’essence qui le fait remonter à nouveau, en le forçant à refermer et à tenir bouchée l’entrée du liquide, tant que le niveau n’aura pas baissé.
- Le flotteur fait ainsi partie des organes régulateurs, constituant pour le carburateur une sorte de robinet a ouverture automatique, permettant 1 arrivée au carburateur de l’essence, suivant les besoins du moteur.
- Le flotteur est ordinairement constitué par un cylindre 1< (iig. j) très léger de laiton,
- >%• a
- J), flotteur annulaire de Dion-Bouton.
- Le
- fermé hermétiquement sur toutes scs laces, flotteur du carburateur de Dion- ç.
- Bouton F est annulaire (fig. 2).
- Les flotteurs exercent leur action soit au moyen d’une lige conique B (lig. i), soi t au moy o n d’un cl a [) e t O ( lig . 3 ) q u ’ i 1 s portent à la partie supérieure ou intérieure et qui obstrue ou laisse ouverte l’arrivée d’essence, soit au moyen &'\u\ pointeau qu’ils soulèvent en .actionnant des bielletles (voir ce mot) lorsque, le niveau d’essence diminuant, ils viennent reposer sur elles et les forcent à relever le pointeau obturateur.
- A’xve/i rp.
- l’iff. 3
- C, chambre du llolleur. — I<’, flotteur entraînant dans son ascension le clapet de fermeture O.
- FLUIDE. — Corps qui coule, qui n’a pas de forme déterminée, et prend celle du récipient qui le contient. Les gaz rentrent dans cette définition et présentent en outre la propriété de n’avoir pas do volume déterminé, car ils occupent toujours le plus grand volume possible. Les fluides, qui comprennent par conséquent les liquides et les gaz, sont donc caractérisés parla mobilité de leurs molécules. Cette mobilité est d’ailleurs des plus variables, et l’on ne peut établir une nomenclature rigoureuse des fluides par le fait qu’il se trouve des corps intermédiaires n’ayant pas non plus de forme déterminée et que l’on ne saurait cependant pas appeler des fluides, par exemple les pâtes, les sirops, les sables. D’ailleurs, il est généralement possible d’amener un corps
- à l’état fluide sous l’effet d'une augmentation de température ou de pression.
- La mobilité des fluides liquides est caractérisée par leur viscosité. On peut mesurer la viscosité en comptant le nombre de gouttes qui s’écoulent, dans une unité de temps, par un orilice donné et dans des conditions données.
- FLUX DE FORCE, FLUX MAGNETIQUE, FLUX D INDUCTION.
- — Voir Aimant et Ligne de force.
- FLYING STAR (Automobiles), 106,
- avenue de la République, Paris. Tél. <)43-54.
- F. N., motocyclettes. — Voir Armes (Fabrique Nationale d’), d’IIerstal.
- FOGARTY, vente d’automobiles. i/ja West 38 th. Street, à New-York (Etats-Unis).
- FOIRER. — Se dit d’une vis ou d’un écrou dont le filet est usé, défaut qui fait que l’écrou n’avance pas sur sa tige quand on le serre, ou que la vis ne mord pas dans son logement.
- FONCEL, garage, boulevard du Sichon, à Vichy (Allier).
- FONCLAUSE, JACQUEMET et Cu,
- cornets avertisseurs, 8i, rue Saint-Maur, Paris. Tél. 919-/16.
- FONCTION ; ÊTRE FONCTION DE... — Etant donnée une expression algébrique contenant une variable x, à chaque valeur do x correspond une valeur y de l’expression (en général, car ce 11’est pas toujours vrai). Il s’ensuit que la valeur do cette expression est fonction de celle de x, et l’on dira que c’est une fonction de x. Ainsi y = sin x est une fonction de x caractérisée par le fait qu’à une valeur de x correspond une valeur y de la fonction égale au sinus de la précédente. On symbolise une fonction par y=f(x). Etre fonction de... a évidemment, le sens qui vient de lui être donné dans cette explication. Ainsi : dire que y est fonction de X signifie que y est lié à x par une relation qui fait que les valeurs de y dépendent de celles de x. Cette expression est, en mathématiques, en mécanique ou en électricité, do l’emploi le plus général.
- FOND DE COURSE (Echappement
- à). — Voir Echappement à air libre.
- FONDANAICHE, directeur commercial do la Maison Emile Potron, 29, rue Riquet, Paris.
- FONDANTS. — Produits chimiques susceptibles, par leur fusibilité et leurs propriétés réductrices (désoxydants), d’agir à la manière du borax dans les opérations do la soudure, de la brasure ou de la fusion des métaux. Parmi les fondants, nous citerons : le chlorure de zinc, la résine, la stéarine, le borax, la crème détartré, le sel "de phosphore, les fluorures alcalins ou alcalino-terreux, l’a-
- Visitea; _ ï H 3 H I
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- eide silicique, le verre pilé. — Voir Borax et Chlorure de zinc.
- FONDAÜDÈGE (Central-Garage), vente d’automobiles, 16, place Fondaudège, à Bordeaux (Gironde).
- FONDEUR (IL), outillage mécanique, palmers, pieds à coulisse, machines-outils, t>7, rue Oberkampf, Paris. Tél. 915-64*
- FONDS. — Le fond d’une voiture, mot qui a donné lieu à d’innombrables interprétations, malentendus, et... procès, signifie siège de maître. Un coupé, comportant un siègo do domestique et une banquette de maître, est voiture à un fond; une berline, un omnibus, etc., une voiture à deux-fonds.
- Les transports de voitures en chemin de 1er sont actuellement laits, au choix de l'expéditeur, suivant ce tarif des fonds ou suivant un tarif basé sur Y empattement du véhicule.
- - Voir Transports.
- La Cour de Cassation (arrêt en date du 3 août 1906) a décrété que le terme deux fonds ne s’applique pas aux planchers horizontaux, mais aux parois verticales, aux dossiers en un mot.
- FONTAINE, plaques gravées, 17, rue des Filles-du-Oalvaire, Paris.
- FONTAINE et Cic, garage, rue dos Bains, à Iloulgate-Beuzeval (Calvados).
- FONTE DE FER. — Voir Fer.
- FOOT (pied), au pluriel feet. — Mesure anglaise de longueur, valant i/3 du yard, soit o m. 3o/|.
- FORAGE. — Action de forer, c'est-à-dire de percer un trou. O11 se sert d’un foret ou mèche (voir Foret) actionné par une machine à percer ou une perceuse.
- FORCE. — Se désigne aussi sous le nom à'effort. Une force ou effort est la « cause » qui a pour « effet » un mouvement ou qui tend a modifier un mouvement.
- Toute force exige, pour être définie, trois conditions : i° son point d’application ; 20 sa direction ; 3° son intensité. L’intensité d’une force s’exprime en kilogrammes ; il ne faut pas la confondre avec le résultat de l’effort, qui est un travail, lequel s’exprime en kilogrammètres, et encore moins avec la puissance, qui est le travail exécuté pendant Punité de temps et qui s’exprime en kilo-grammètres par seconde.
- L’application d'une force a pour but de provoquer un mouvement, et l’on peut dire que tout le but de la mécanique appliquée consiste a étudier de quelle façon se mouvra le corps envisagé lorsqu’on lui appliquera un système de forces quelconque.
- Moment. — Le moment d’une force est le produit de l’intensité de la force en kilogrammes par son bras de levier en mètres.
- Couple.— Quand deux forces égales, parallèles et de sens contraire, sont appliquées en deux points a et h du corps, ou lorsque toutes les forces appliquées se réduisent à deux remplissant ces conditions, il 11e peut y avoir de résultante unique, et le corps, au lieu de prendre un mouvement de translation dans la direction de cette résultante, est tenté de prendre un mouvement, de rotation autour du point c, joignant le point d’application des deux forces jusqu'à ce que la direction de ab se confonde avec celles des forces.
- Le moment d’un couple est égal au produit de l'intensité de la force par le bras de levier ab.
- — Force centrifuge. — Force qui tend à éloigner du centre les points matériels d’un système tournant, et à détruire, par conséquent, ce système. La force centrifuge est d'autant plus grande que le rayon de la circonférence décrite par le corps est plus petit, que la masse de ce corps est plus grande et que la vitesse avec laquelle il tourne est plus grande (elle est proportionnelle au carré do la vitesse).
- — Force centripète. — Force qui tend à attirer les points matériels d’un système tournant vers le centre de rotation.
- Considérons un point A tournant autour de O comme centre; il est sollicité à s’échap-
- , O
- Force centripète
- per suivant la tangente F, mais est retenu par la cohésion du corps tournant; il faut donc admettre qu'une force F att ire le point A vers le centre; c’est la force centripète.
- — Force d’inertie.— Résulte de l’inertie de la matière; un corps au repos restera éternellement tel si aucune force 11e le met en mouvement; un corps en mouvement restera éternellement tel si aucune résistance ne provoque son arrêt.
- — Force d'un moteur. — Expression impropre : on ne doit pas dire la force, mais la puissance d’un moteur. — Voir ce mot.
- — Fot'ce vive. — On appelle force vive ou puissance vive d’un corps en mouvement le
- Un couple
- Automobiles delaunay belleville
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- produit de sa masse par le carré de sa vitesse, soit mv-. *
- — Force èlectromotrice. — Force électrique qui détermine le passage du courant dans un circuit. L’analogie hydraulique est l’explication classique servant a démontrer la façon d'agir de la force électromotrice. Si nous prenons deux vases communicants a et 6, il va s’établir un courant d’eau dans le sens de 1e flèche, courant dont l'intensité sera directement proportionnelle à la différence de niveau, et, inversement à la résistance présentée par le tuyau c, résistance qui, pour être vaincue, absorbera une certaine quantité d’énergie.
- De même dans le cas du circuit électrique, la force électromotrice engendre un cotirant dont l'intensité dépend de la différence de potentiel entre deux points et de la résistance électrique entre ces points.
- (Jette résistance occasionne une chute ou perte en volts égale au produit de la résistance par l’intensité.
- La force électromotrice et la différence de potentiel s’évaluent en volts. — Voir Intensité de courant et Voltage.
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- DK POTENTIEL
- — Force magnétisante. - Force nécessaire pour créer dans un circuit magnétique une induction donnée.
- Cette force magnétique est d'autant plus considérable que le milieu est moins perméable, c'est-à-dire s’oppose davantage au passage des lignes de force.
- Le fer doux est très perméable et la fonte beaucoup moins; enfin l’air et les matériaux non magnétiques sont très peu perméables. Voici le tableau des forces magnétisantes, en ampère-tours, nécessaires pour créer une induction donnée dans ces divers milieux :
- . AMPÈRE-TOURS PMI CM ÀMPÈRE-TOliRS PAR CM
- i=: a —^ ZZ 3 ——
- e-p «-1 c— Fer e_i U-> e_ Fer
- *=» cd >r; «a. Air Fonte doux A ers eu Air Fonte doux
- 1000 800 I I OOO 8000 233,6 5,v.
- 2000 1600 - - — I 2000 — — 6,8
- 3ooo 2400 . — 13ooo — —
- 4000 3200 4,0 1 /jOOO - — 13,6
- 5ooo 4000 8,o 1,6 IÔOOO — — 22,8
- 6000 4800 17,2 U9r> 160OO — 4 r ,6
- 7000 f)Goo 33,6 64,0 2,3 I7OOO — 84,«>
- 8000 64oo l8000 - — l60,0
- 9000 7200 101,6 3,2 IQOOO — — 28o,0
- 10000 8000 i5o,/( 4,0
- — Force magnétomotrice. — C’est la force magnétique nécessaire pour faire passer dans un circuit magnétique de longueur donnée un flux d’induction de valeur donnée ; la force magnémotriee par unité de longueur, c’est-à-dire par centimètre, s'appelle force
- magnétisante. En théorie, on évalue les forces magnétisantes en gilberts et en pratique en ampère-tours. — Voir Ligne de force et Ampère-tour*
- FORCE MOTRICE ÉCONOMIQUE
- (La), carburateurs et auto-saturateur Ilenne-butfe, i(i, rue de Chartres, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Société Anonyme d’initiative, au capital de üoo ooo francs, fondée le i5 décembre iqod. — Membres du Conseil d’administration : MM. Paul Dubois, ingénieur en chef des Ponts et Chaussées, président; G. Rayer, J. Bréchard, L. Geugmcr, H. Ilennebufte (administrateur délégué).
- FORD MOTOR C°, fabrique d’automobiles, à Détroit (Michigan), Etats-Unis. — Succursale : G, via Pontc-Scvero, à Milan (Italie).
- FORDWARD (Moteurs), n, rue de Chà-teaudun, Paris.
- FORERIE PORTATIVE. —Machine-outil qu’on peut facilement déplacer et qu’on monte sur la pièce meme que l’on veut percer. — Voir C de serrurier.
- FOREST (G.) et Ciô {Ancienne Maison Gillet et Forest, fondée en iSite), ingénieur, constructeur de lanternes, radiateurs pour automobiles, appareils d’éclairage et de chauffage pour Compagnies do Chemins de fer, la Marine et la Guerre, ‘3 a, boulevard Henri-IV, Paris. Tél. 12G-G7. Adr. tél. Tclligs-Paris.
- FOREST (Lewis), garage, vente d’automobiles, o, boulevard de Versailles, à Sures-nes (Seine).
- FOREST CITY MOTOR. CAR C°, fabrique d'automobiles “Jowell”, à Massillon (Ohio), Etats-Unis.
- FORESTIER, d irceteuv de la Suspension
- Edo. -- Voir Edo.
- FORET. — Outil servant à percer ou forer les trous dans le métal, le bois, le marbre, etc., et agissant par rotation, ce qui le distingue du poinçon qui, lui, agit à la façon d’un emporte-pièce.
- Pour le perçage des métaux, les forets les plus employés sont les forets américains. Ces forets sont constitués par une broche cylindrique, en acier trempé, du diamètre du trou à percer, et à la périphérie de laquelle on a creusé une ou plusieurs rainures hélicoïdales dont l’intersection avec la surface cylindrique donne des arêtes coupantes. Le profil de ces rainures n’est pas symétrique, de sorte que le foret ne travaille que dans un sens, à droite ou à gauche. La forme hélicoïdale des rainures assure une continuité et une douceur de américain. coupe difficiles à obtenir avec des rainures
- Un Fouet
- G. FOREST & C
- PHARES
- Radiateurs
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- 32, Boul. Henri-IV PAR1S-I26-67
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- droites. Les forets américains se fabriquent couramment à toutes les dimensions comprises entre 3 dixièmes de millimètre et 5o milli- | mètres.
- FORGE. — Foyer en briques réfractaires ou en fonte, en forme de cuvclLe, où l'on j produit une haute température au moyen de la combustion d’une niasse de charbon ou de coke, activée par le vent débité par une tuyère et servant à chauffer le métal que l'on désire forger, c'est-à-dire façonner, grâce au ramollissement que produit la chaleur.
- — Forges de Douai, 5:i, boulevard Ilauss-mann, Paris.
- —Glaenzeh kt Perueaud, i, avenue de la République, Paris.
- — Veiuudlbux Frères, Forges de Lorette, à Lorette (Loire).
- FORGER. — Opération métallurgique, principalement appliquée au fer, basée sur la malléabilité des métaux à des températures appropriées. Le lbrgoage s’ell'ectue au moyen d’un outil agissant comme support de la pièce à forger, c’est l'enclume, et d’un outil fonctionnant comme masse pesante pour comprimer la pièce sur l’enclume, c’est le marteau.
- FORGES DE DOUAI. — Voir Douai (Forges de).
- FORGES DE CHATENOIS, essieux et ressorts. — Voir Yermol.
- FORGES et ACIÉRIES DE LA LOIRE. — V oir Binoche et Aubert, Paris.
- FORGES et ATELIERS DU NORD,
- châssis d’automobiles, rue des Jardins-Caulicr, à Lille (Nord). Tel. 102. Usines à Tourcoing (Nord). Société Anonyme, au capital de :?5o 000 francs.
- FORGES STÉPHANOISES. - Voir Blanc (F.) et Ci0, rue Barrouin, Le Marais, Saint-Etienne (Loire).
- FORMON (René de), agent général des automobiles Underbcrg (Marque Y Hermine de Bretagne), 2.1'ibis, boulevard St-Germain, Paris.
- FORNAS (£,.), moteurs de marine à pétrole, g, rue de Lorraine, Paris. Tél. /|3i-aG.
- FORNIER (De), antidérapants, g, av. de la Capelette, à Marseille (Bouches-du-Rhône). Adr. tél. Defornier-Marseille. Agence : 19, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél. 53^-53.
- FORT, garage, vente d'automobiles, à Montargis (Loiret).
- FORTIER - BEAULIEU Jeune,
- enveloppe cuir Oplima, 3, rue des Tanneries, à Roanne (Loire). Tél. 8. Adr. tél. Beaulieu-Roanne.
- FORTIN (A.), émeris et produits à polir, 3:i, rue Sedaine, Paris. Tél. 90/1-9.3.
- FOSSÉ-RAMEAU, entreprises générales dans les Expositions, 13, passage des Panoramas, Paris.
- FOSSIER, vente d’automobiles, 22, rue Brochant, Paris.
- FOUBERT et VILLENEUVE, graisses consistantes, huiles minérales, 5i, boulevard Saint-Jacques, Paris. Tél. 824-25.
- FOUCHÉ (Chalumeau), soudure de tous métaux. — Voir Javal, Paris.
- FOUGERAT, chambres indégonflables Le Sphinx et réparations vulcanisées, a N euv y - s u r-Loire (Nièvre).
- Adr. tél. Bougerai -Neuvy-sur-Loire.
- FOUILLA-
- RON (Gustave), constructeur d’automobiles, 54,rue de Villiers, à Lc-vallois - Perret (Seine). Téléph.
- 009-8/1. — Officier de l’Instruction publique. Inventeur de la v oilure a M. Focii.i.akon.
- poulies extensibles et de la chaîne-courroie.
- FOUILLARON (CL), voit,, rcs automobiles, camions et voitures de livraison, 54, rue de Villiers, à Levallois-Perret (Seine). Tél. 009-84. Adr. tél. Fouillaron-Levallois-Perret. — Maison fondée en 1900. Directeur : M. G. l'ouillaron. Directeur technique : M. Jousse. Directeur commercial : M. Devert.
- Construction de voitures automobiles à changement de vitesse progressif. Types des châssis pour 1907 : G chevaux (3 q5o fr.); 8/9 chevaux (4 300 lr.); 8-10 chevaux, 4 cylindres (Gooo fr.) ; 12 chevaux, 2 cylindres
- (G800IV.) ; i2-i4chevaux, 4cylindres(8000fr.); i5-i8 chevaux, 4 cylindres (10 000 fr.).
- FOUILLARON, garage, vente d’automobiles, 49, me Boisnet, à Angers (Maine-et-Loire).
- FOUILLOUD et Ci0, appareils à souder, 87, rue de la Roquette, Paris. Tél. 917-52.
- FOUILLOY (J.), protecteurs antidérapants, i4, rue Neuve -Popincourt, Paris. Tél. 928-8G.
- FOULLEY, avant-trains, 2/1, rue de Loos, Paris.
- FOULON (L.), fonderie pour automobiles et constructions mécaniques, à Nogent-le-Roi (Eure-et-Loir). Tél. i5.
- Fours et Forges chauffés au gaz et au charbon h&gpEarrIauo
- PARIS — 1, Avenue de la République — PARIS
- ]
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- FOULON, garage, vente d’automobiles, rue du Cygne, à Bar-le-Due (Meuse). *
- FOULQUIER, garage, vente d'automobiles. io, boulevard Victor-Hugo, à Nirnes (Card).
- FOURCADE, garage, vente d'automobiles, rue Rempart-Villeneuve, à Perpignan (Pyrénées-Orientales).
- FOURCADE et Cle, commerce d'automobiles, 21, rue du Jardin-des-Planles, à Bordeaux (Gironde).
- FOURCHAMBAULT et LA PIQUE
- (.Fonderies de). — Voir Magnard et C‘° (Nièvre).
- FOURCHE. — Pièce en l'orme de V renversé, entre les branches de laquelle tourne une roue.
- FOURCHETTE.— Petite Fourche d'acier Forgé qui sert a conduire une courroie d’une poulie à une autre poulie.
- F' Pièce d’acier F dont les deux
- branches M et M’ pénètrent dans r,i [U m la rainure circulaire creusée dans un manchon d’engrenages et promènent celui-ci a la volonté du conducteur, dans la boite des vitesses (lig. i). C’est au moyen de la fourchette, actionnée du siège au moyen d'une pédale, que le conducteur amène l’emprise des roues dentées actionnées par le moteur dans les engrenages des changements de vitesse et de marche. — Voir Baïladeur.
- Les Fourchettes sont aussi utilisées (lig. 2) pour actionner des pièces (cône d’embrayage)
- Fig.
- Vue de profil.
- lu
- Ug.
- Vue de face.
- ou des tiges T (de carburateur, etc.) qui, lorsque l’action de la Fourchette commandée par le conducteur cesse, sont ramenées «à leur position première au moyen d’un ressort R.
- FOURMI (La), moteur, à Courtrai (Belgique), et ç), rue Mogador, Paris.
- FOURNEL, garage, vente d'automobiles, 55, rue Nationale, à Constantinc (Algérie).
- FOURNIER, garage, vente d'automobiles, avenue de Pézenas, à Béziers (Hérault).
- FOURNIER (Achille), 1, rue du Midi, à Neuilly-sur-Seine (Seine). — Né au Mans, le G Février 18G8. Mécanicien et coureur de valeur.
- FOURNIER (G ), motocyclettes <( Emeraude », 20, rue de Versailles, à Nantes (Loire-Inférieure).
- FOURNIER (Henry), 1, rue du Midi, à Neuilly-sur-Seine vSeine). — Né au Mans, le i3 avril 1871, est le célèbre vainqueur d e Paris-Bordeaux et de Paris-Berlin.
- Henry Fournier Fut d'abord m é e a 11 i c ie n chez son père, au Mans.
- A la suite de plusieurs succès cyclistes,
- Charron l'emmène à Paris et le fait entrer à la maison Clément. C’est là pour Fournier le point de déparL d’une longue série de succès.
- Après avoir gagné le Championnat de France amateurs en 1891 et, la meme année, le Championnat de France professionnels, Fournier a un match avec Gassignard et le bat dans les deux manches; puis il remporte à Buffalo une course de primes, gagnant, toutes les primes et la finale devant un lot, composé des meilleurs spécialistes de l’époque, parmi lesquels Charron, Médingcr, An-toni, Maurice Farman, Levegh, etc. (1892).
- 11 remporte ensuite de nombreuses courses et son succès va toujours grandissant jusqu'à la fin de l’année, moment auquel il part, au service militaire. A son retour du service (lin 1895). il se met en rapport avec Charron, qui lui-meme débute dans l'automobile, et dans les magasins duquel il trouva les meilleures voitures de l’époque, puis il apprend à conduire b s tricycles de Dion qui font alors leur apparition.
- Quelque temps après (en 1896), Fournier part pour l’Amérique, emportant avec lui une bicyclette de Dion à moteur, la première, croyons-nous, qui ait été importée aux Etats-Unis.
- 11 rentre ensuite en France où il ne reste que très peu de temps, son ami Charron lui ayant demandé d’aller en Angleterre apprendre le mécanisme et la conduite des automobiles au major Laycock. Ce dernier achète, sur les conscds de Fournier, une voiture de course a la maison Mors, puis la pret‘* à son professeur pour disputer la course Paris-Bordeaux. Fournier gagne cette importante épreuve, et la meme année remporte encore la victoire dans Paris-Berlin (1901).
- Ce sont là les deux plus belles victoires de la carrière de Henry Fournier.
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- Après ces retentissant,s succès, il repart en Amérique pour la seconde fois et y établit le record du monde du mille.
- De retour en France, Fournier entra en pourparlers avec MM. Civet et Rabourdin, avec lesquels il fonda la Société et le garage Paris-Automobile, qui est devenu un des centres les plus connus de notre industrie et de notre monde.
- Ajoutons que Henry Fournier prit part aux courses de canots automobiles et remporta la viotoire dans le meeting- de Lucerne en 190.4 et devint, cette même année, détenteur de la Coupe Gaston Monier.
- FOURNIER {Maurice). — Né au Mans, le 3o décembre 1880. Comme ses frères, débuta dans la maison paternelle, au Mans. A partir de 1S9G, Maurice Fournier ligure avec succès dans nombre d’épreuves cyclistes. Vient à Paris en 1901 et se lance dans les courses de motocyclettes sur pistes. En igo3, court Paris-Madrid et le Circuit des Ardennes belges sur voiturette Clément ; gagne le Championnat du monde de motocyclettes, battant, tous les records du monde de un à dix kilomètres. Dispute, en 1904. le Circuit «les Ardennes belges sur une Ilolch/ciss et, le Meeting du Mont Venloux sur une Wolseley.
- FOURNIER [Raymond], chroniqueur sportif à Y Autorité, n-j, rue Réaumur, Paris.
- FOURNIER {F.) et KNOPF, moteurs “ Usona ” et canots automobiles, io3, rue Lafayetle, Paris. Tél. 417-9G.
- FOURNIER et PIONCHON, engrenages taillés, directions irréversibles, pièces détachées pour automobiles, l\2 bis, rue Sébastopol, à Lyon (Rhône). Tél. 20-08.
- FOURNIER, OSTERTAG et LE BOULENGER, étoffes et cuirs pour la carrosserie, 3, rue Taylor, Paris.
- FOURNITURES POUR LA MARINE. — Voir Jessé {de) et Cle.
- FOURRAGÈRE. —Dispositif placé l’arrière des voitures pour y loger et maintenir en place les bandages de rechange, les malles, etc. °
- — Vuitton (Georges), 1, rue Scribe, Paris.
- FOURRE, roues en bois, 9, passage Ménilmonlanl, Paris. Tél. 922-14.
- FOURREAU. — N om donné à chacune des deux branches de la fourche «1e direction d’une bicyclette. — Voir Cadre de bicyclette.
- FOURRER. — Fourrer un tube, c'est le remplir de sable ou d'une substance fusible et malléable (résine, plomb, etc.) pour pouvoir le courber, le cintrer facilement.
- FOURRIÈRE. — La four rière est un dépôt spécial, sis 19, rue de Pontoise, à Paris, où sont placés les objets saisis ou abandonnés sur la voie publique. Les bureaux sont ouverts, tous les jours, de 9 à 4 heures
- Dans les départements, il est rare qu’il y ait un service de fourrière organisé ; le dépôt se fait soit dans les grell'es, soit dans les mairies, soit dans les commissariats de police ou les gendarmeries.
- La mise en fourrière d’une voiture automobile dont le propriétaire est connu est un fait très rare, car la police se montre en général bienveillante. Toutefois, elle peut avoir lieu lorsque le mécanicien ne peut justifier de la légitime propriété de la voiture 'qu’il conduit, ou lorsque sa voiture 11e porte pas les plaques réglementaires.
- FOURRURE. — Morceau métallique, qui cale une pièce ou remplit un vide.
- Lorsqu'on renforce un tube par un autre tube, ce dernier prend le nom de fourrure-, il en est de meme d’un morceau de bois enfoncé dans un tube de fourche, par exemple, pour le renforcer.
- FOUSSADIER, garage, vente d’aulomo-biles, place du Champ-de-Foire, à Fontenay-le-Comte (Vendée).
- FOUSSAT et C10, machines-outils, 20, rue Boudet, à Bordeaux (Gironde).
- FOYER (optique). — On désigne sous le nom de foyers d’un miroir courbe les points où vont concourir les rayons réfléchis ou leur prolongement.
- — O11 donne le nom de foyer, en machines à vapeur, à l’organe «jui émet la chaleur destinée à porter l’eau à l'ébullition dans la chaudière. Chez Serpollet, le foyer est constitué par des brûleurs.
- FRAENKEL {IL), vêlements «1e sport, 28, rue du Quatre-Septembre ; succursale, 5o, avenue «1e la Grande-Armée, Paris.
- FRAIGNAC {Auguste), ingénieur, automobiles Fraignac, 9, rue Devès, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- FRAISE. — Sorte de scie, circulaire dont les formes varient à l'infini. Les fraises doivent être faites avec un acier d’excellente
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- qualité prenant bien la trempe. La plus grande difficulté pour obtenir une bonne fraise est de la bien tremper.
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- Les fraises sont employées en mécanique pour dresser des surfaces et les rendre rigoureusement planes, pour aléser des trous, tailler des engrenages, faire des logements de clavettes, etc.
- Les fraises peuvent être ramenées à quatre types distincts : les fraises axiales, radiales, angulaires et de forme.
- a) Les fraises axiales dans lesquelles la surface coupante est parallèle à l'axe de la fraise qui est dentée sur sa périphérie seulement. Ces dents peuvent être droites ou hélicoïdales.
- b) Les fraises radiales dans lesquelles la surface coupante est perpendiculaire à l'axe et, où par suite les dents travaillent dans un plan transversal. Les fraises en bout, fraises de face, appartiennent à cette classe.
- c) Les fraises angulaires dans lesquelles la surface coupante n’est ni parallèle ni perpendiculaire à l'axe et fait par suite un angle quelconque avec cet axe. Fréquemment, Tes fraises comprennent des angles différents de chaque coté de leur milieu. Pour éviter les erreurs, on indique cet angle sur chaque face.
- d) Les fraises de forme dans lesquelles la surface coupante affecte une forme irrégu-
- - D
- Fig* 2
- A, arête tranchante. — 0, partie tic la denture ayant un profil constant. — I), face d’aflutago.
- lière comprenant des parties droites ou courbes. Les fraises à tailler les engrenages en sont un exemple.
- Fraises ù profil constant ou à denture dégagée. — Ce sont les fraises dont le profil reste constant en dépit de Fusure et des affûtages successifs. La fraise tournant dans le sens de la flèche (fig. 2 et 3), les arctes coupantes telles que A sont prolongées par la surface C qu’elles engendreraient en tournant autour de l'axe, suivie d'un évidement destiné au dégagement du copeau. Lorsque par suite d'usure l'arête A est émoussée, la surface G n’est pas altérée et il suffit pour rendre à la fraise tout son tranchant sans modifier son profil de l’affûter avec une meule ou molette de profil convenable qui agit par sa face verticale D pour faire disparaître l’arête émoussée.
- Les premières fraises furent créées pour évaser l’extrémité d'un trou cylindrique et
- Fig* y
- Affûtage d’ukk fraise a profil
- CONSTANT
- À, arêtes coupantes prolongées jusqu’en C.
- avaient la forme d’un cône à arêtes coupantes ressemblant vaguement à une fraise, d’où leur nom.
- — Glaenzeu et Pkuheàud, fraises en tous genres, i, avenue de la République, Paris.
- FRAISEUSE. — Voir Machines-outils et Machines à fraiser.
- — Besse, 3q, rue de Lappc, Paris.
- — Glaexzeh et Perheaud, i, avenue de la République, Paris.
- FRANC. — (Abréviation : fi\). — Pièce de monnaie en alliage d’argent et de cuivre, constituant l’unité monétaire employée en France et dans ses colonies (lois du 18 Germinal an III, du 28 Thermidor an III et du 7 Germinal an XI).— Une pièce de 1 franc a un diamètre de 28 millimètres, pèse 5 grammes, au titre (de 900, autrefois) 835 millièmes d’argent fin, actuellement, depuis la loi du 1/4. juillet 18GG. — La pièce de 5 francs a un diamètre de 87 millimètres et pèse 25 grammes, au titre de 900/1000 d’argent fin.
- Il ne peut être émis de pièces d’argent de 2 fr., 1 fr., o fr. 5o, o fr. 20, que pour une valeur correspondant à G francs par habitant (Convention du 6 novembre 1885, entre la France, l’Italie, la Grèce et la Suisse; et du 3o décembre 1885 avec la Belgique).
- Toutes les pièces divisionnaires françaises de 2 francs et de 1 franc, portant un millésime antérieur à 18GG, ont été démonétisées et 11’ont plus cours.
- La circulation en France des monnaies divisionnaires (en dessous de 5 francs) d’argent italiennes est interdite depuis le 25 juillet 1894. — Voir Monnaies.
- FRANC-BORD. — Hauteur de la coque proprement dite d’un canot automobile au-dessus du plan d'eau.
- FRANÇAIS (Le)y bandage démontable. — Voir Bandages démontables (Société des).
- FRANÇAISE DES CYCLES ET AUTOMOBILES (Compagnie), vente d’automobiles, G, rue Francœur, Paris. Tél. 553-91
- MÈCHES, THRHUDS. HLÉSOIRS, FRAISES de précision H- 2lpeerrI?ud
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- FRANÇAISE (Société La), marque «Diamant », cycles et pièces détachées, u,rue Brunei, Paris. Tél. 523-56. Adr. Tél. Diamant-Paris. — Société en nom collectif, fondée en 1889, au capital de 1 Gooooo francs. — Directeurs : MM. llammond et Mouter. — Cycles Paris-Brest avec nouveaux roulements brevetés S. G. D. G. — Succursales: 16, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél. 528-58; et G bis, rue du Quatre-Septembre, Paris, Tél. 3 o 4-6 6.
- FRANÇAISE ÉLECTRIQUE (La), dynamos et moteurs, gg, rue de Crimée, Paris. Tél. 404-28 et 4ao-o5. Adr. Tél. Polyphase-Paris.
- FRANCE, garage, vente d'automobiles, 5g, faubourg Bannier, à Orléans (Loiret).
- FRANCE AUTOMOBILE (La), journal hebdomadaire (M. P. Meyan, directeur), 68, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél. 543-10.
- FRANCIA (Antidérapants), 8 bis, avenue Gambetta, à Courbevoie (Seine).
- FRANCIS, garage, rue de Pont-l’Evèquc, à Trouvillc (Calvados).
- FRANCK-VALÉRY Frères, lunettes pour automobilistes, 25, boulevard des Capucines, Paris. Tél. 292-54.
- FRANCO-AMÉRICAINE D’AUTOMOBILES (Société), E. Lamberjaclc directeur, 9.0, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris. Tél. 555-33. Société Anonyme fondée en 1902, au capital de 200 000 francs.
- FRANÇOIS (A.), machines-outils, 3G, boulevard Voltaire, Paris. Tél. g3o-48.
- FRANCOTTE, garage, vente d’automobiles, place de la Station, à Namur (Belgique).
- FRANEAU (Etablissements), fabrique d’automobiles et carrosserie automobile, i5, rue Veydl (avenue Louise), à Bruxelles (Belgique). Tél. 4294.
- FRANK (Albert) METALLWAREN-FABRIK, plia res “ Frankonia ”, à Beier-lcld (Saxe).
- FRANKLIN (II. II.) Mfg C°, fabrique d’automobiles, à Syracuse, New-York (Etats-Unis).
- FRANKONIA (Phares). — Voir Frank (Albert), Allemagne.
- FRAPIER, garage, vente d’automobiles, rue Nationale, à Cholet (Maine-et-Loire).
- FRAPPIER, garage, vente d’automobiles, 20, rue des Sables-d’Olonne, à La Roche-sur-Yon (Vendée).
- FRAUENBERG (Jean-Pierre), 25, rueDe-mours, Paris. — Néle3o août 1880, àEtlelbrück, (Grand-Duché de Luxembourg).
- Agent général, depuis igo5, pour la France et ses colonies de la maison de Fries et Cie, constructeurs et importateurs de machines-outils. Fondateur et directeur, depuis 1906, do la succursale en France de cette importante maison.
- FRAYER-MILLER MOTOR CAR C°,
- fabrique d’automobiles à refroidissement par l’air, Broadway et G5 th Street, à New-York (Etats-Unis).
- FREINAGE et CONSTRUCTIONS MECANIQUES (Société Générale de), engrenages taillés et pièces détachées, 22.5, rue du Vieux-Pont-de-Sèvres, à Billancourt (Seine). — Tél. G85-Gg.
- FREIN. — Dispositif pouvant produire un frottement destiné à modérer la vitesse ou à produire l’arrêt progressif d’un organe en mouvement. Le frottement est généralement produit .à la circonférence d’une pièce circulaire animée d'un mouvement continu (roues, tambours, poulies) et autant que possible en un endroit où la vitesse est très grande. Le règlement de circulation stipule que les automobiles doivent être munies de deux freins indépendants. Dans les voitures à vapeur, le renversement de la marche tient lieu d’un frein. 11 en est de même avec les électriques où plus exactement on utilise des crans de freinage électrique, la marche arrière constituant un frein d’une brutalité considérable. Dans la voiture à pétrole, il n’est pas possible d’utiliser le moteur comme un frein très sérieux, au point de vue de la rapidité de son action tout au moins. On peut toutefois couper l’allumage, ce qui est commode et rapide, mais peu économique, ou préférablement fermer totalement l’admission par le régulateur ou les soupapes lorsque celles-ci sont à levée variable. Quoi qu’il en soit, les voitures à pétrole possèdent toujours au moins les deux freins réglementaires. L’un agit sur le différentiel et 1 autre sur les roues arrière. On a longuement discuté sur l’opportunité d’un frein qui ne débraie pas et la conclusion fut affirmative. Aussi les voitures munies de trois freins -sont-elles généralement équipées comme suit : deux freins à pédale sur diffé-
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- rentiel dont Fun débraie automatiquement le moteur, un frein à levier sur roues avec débrayage. Quand il n'y a que deux freins, comme c'est généralement le cas, il vaut mieux que le frein à pédale ne débraie pas, ou alors on le munit d'un verrou qui l’asservit à volonté. Les freins doivent également être aussi eflicaces dans la marche arrière (pie dans la marche avant, ce qui a fait proscrire le frein à lame à enroulement du type classique. Les types de frein actuellement employés se sont tellement unifiés qu'on peut résumer d'un mot la question : freins du différentiel à mâchoires ou â segments extensibles et freins sur roues à segments extensibles.
- La figure représente le frein à pédale sur le différentiel des voitures Glémcnt-Gladiator.
- Flir.IN LXTLNSIBLK TYPE
- Cl elmknt-Gladiatoh
- A, arbre du différentiel entraîné par la roue de chaîne B.
- 11 est du type universellement employé â segments extensibles J qui, sous l'action d'un excentrique commandé par le bras C, pivotent autour de K, s'écartent et viennent frotter énergiquement contre la paroi du tambour P solidaire de la roue dentée de chaîne H; FF sont les ressorts de rappel, K l'articulation des segments et G le levier de commande clavelé sur l’axe de la came à deux bossages qui écarte les segments.
- Les freins de la plupart des types de voitures sont, comme nous l'avons déjà dit, analogues à celui qui vient d’être décrit, sauf en ce qui concerne la commande.
- La question des freins est l'une des plus importantes et des plus difficiles à résoudre qui soient en automobile. 11 est en effet, indispensable que Faction des freins soit décisive et cependant non brutale; qu'ils emmagasinent rapidement une grande quantité d'énergie qui se transforme en chaleur, et que cependant cette grande quantité de chaleur ne nuise pas à leur fonctionnement ; qu'ils soient précis et ne se dérèglent que lentement malgré la poussière et la boue. La ques-
- tion est fort travaillée depuis dix ans et cependant presque tous les ans on voit apparaître des dispositifs nouveaux. Le frein « intérieur », s’étendant à l'intérieur d'une couronne, semble actuellement grand favori.
- — Berliet (Automobiles), 12, chemin des Quatrc-Maisons, à Lyon (Rhône).
- — Delaunày Belleville (Automobiles), à Saint-Denis (Seine).
- — Diétiucii (Lorraine-), 12, avenue de Madrid, Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Teruot et C‘°, spécialité de freins pour bicyclettes, 2, rue André-Colamban, à Dijon (Côte-d'Or).
- FREIN D'ÉCROU. — Pièce de formes diverses qui est fixée auprès d’un écrou et qui
- Goupille
- „ / Freùt
- Frein d'i-xkou
- embrasse 4 ou fi de ses faces, pour l'empêcher de se desserrer.
- FREIN DE PRONY. — Appareil servant à mesurer la puissance effective d’un moteur, c’est-à-dire la puissance réellement fournie sur son arbre, qu’il ne faut pas confondre avec la puissance indiquée. La puissance indiquée d'un moteur est celle produite sur le piston; on la déduit du diagramme. On sait que celui-ci est la courbe des pressions dans le cylindre avec abscisses proportionnelles aux déplacements du piston. On la relève avec un indicateur ordinaire pour les moteurs lents et avec un manoqraphe pour les moteurs rapides. Le quotientde la puissance effective par la puissance indiquée définit le rendement mécanique ou organique du moteur. G’cst une grandeur intéressante à connaître au premier chef, le résidu représentant les résistances passives du moteur (frottements, etc.) qu'il y a évidemment intérêt, à réduire au minimum. Pour cette raison, les deux essais se complètent mutuellement, le plus immédiatement utile étant celui « au frein » qui donne précisément la puissance effective. 11 ne donne toutefois qu'un chiffre, alors (pie l'essai au manographe donne des indications précises sur les phénomènes qui se produisent au cylindre et permet, par suite, de faire telle correction, tel réglage que l'on jugera nécessaire, et (pii se traduira par une augmentation de la puissance effective.
- “ FREIN-PINCE. — Voir Roblol (S.), à Lyon.
- p“,-r La Préface & notes Importantes du présent rolume
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- PREMIER, huiles minérales pour moteurs, Gi, quai de Valmy, Paris. Tel. 402-61.
- FRÉMINVILLE (De), 19, avenue d’Ivry (Seine). — Ingénieur à la maison Panhard et Levassor.
- FRENCH - BREWSTER ( Établissements), frein d'écrou « Sperling », 9, rue Saint-Sébastien, Paris. Tel. 927-19.
- FRÉQUENCE. — C'est le nombre de périodes, par seconde, d'un courant alternatif. La forme du courant alternatif est bien connue ; la période, comme l’indique le croquis, est constituée par deux alternances de sens contraire. Aux basses fréquences, les lampes,
- et surtout les lampes à arc, présentent des fluctuations lumineuses très désagréables à l’œil. Pour éviter cette impression, il faut une fréquence supérieure à 5o périodes par seconde.
- FRERA {Société Anonima), vente d'automobiles, motocyclettes « Frera », 33, via Carlo Alberto, à Milan (Italie). — Société Anonyme au capital de 1 260 000 lires. — Succursales à Turin, Florence et Tradate.
- FRESNAYE (André-Henry de la), 87, avenue de Neuilly, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tel. 4 58, Neuilly. — Né le 8 mars 1870, à Saint-Nizicr (Loire). — Directeur de la maison H. de la Fresnaye et. Ci0.
- FRESNAYE (IL de la) et C1(î, garage, bureaux et ateliers : 16, rue du Débarcadère, Paris. Tél. 5G4-G3. — Magasin d’exposition : 12, boulevard de la Madeleine. Ateliers de réparation (à partir du i5 février 1907) : rue Danton, à Levallois-Perret (Seine). — Agents directs des A utomobiles Hochet-Schneider (voitures de iG et 20 IIP, à cadran ; de 3o, !\o et 70 HP, à chaînes (4 et 6 cylindres).
- FRETTE.— L icn métallique qui renforce certaines pièces ou en réunit plusieurs en faisceau.
- La virole d'un manche d'outil est une frette, au meme titre que la couronne garnissant la tète d'un pieu de pilotis.
- Les frettes, sur du bois, se posent le plus souvent à chaud, afin que la rétraction du métal pendant le refroidissement produise d'elle-mème un serrage énergique.
- — Couronne de fer fixée à l'extrémité du moyeu d'une voiture.
- FREYDIER (VvelL) et C‘V fabrique de boulons, 9, passage llébrard (204, rue Saint— Maur), Paris. Tél. 421-69.
- FRICTION — Friction est synonyme de frottement.La. friction trouve son explication dans les embrayages, freins, dans les commandes par friction directe (galets de friction) ou par lien souple (corde, courroie) et enfin dans le déplacement même, par exemple, d'une automobile sur le sol, déplacement qui 11e saurait avoir lieu sans l'adhérence des roues au sol.
- FRIEDLAND (Garage), école de chauffeurs, 4, avenue Friedland, Paris. Tél. 078-15.— Directeur-propriétaire : M. O. Cacadier.
- FRIEDRICH, accumulateurs Hubert, 77, rue de Charonne, Paris.
- FRIES (De) et Cirt, 19, rue de Rocroy, Paris. Tél. 446-53. — Adr. tél. Aléscuse-Paris. — Constructeurs et importateurs de machines-outils ; spécialité de machines automatiques à tailler les engrenages droits et coniques, de tours spéciaux à usiner les vilebrequins, de tours combinés à tourelle revolver carrée et hexagonale oblique ; de marteaux-pilons pneumatiques et à vapeur. Installations complètes. Usine importante à ileerdtle-Diis-scldorfl' (Allemagne), d'une superficie de 05 000 mètres carrés, (irand Prix et Médaille d'or aux Expositions de Liège et de Milan 190G.— Directeur à Paris: M. Frauenbcrg.
- FRIES et GERMAIN, motocyclettes, 62, rue de Strasbourg, à Vincenncs (Seine).
- FRIES et HOPFINGER, billes en acier. — Voir Schildge (E).
- FRINGALAGE. — Mouvement qui entraîne le véhicule vers le bord de la route et perpendiculairement à son axe; le fringaluge sc produit particulièrement sur les routes qui présentent un bombement ou un devers trop prononcés, surtout si le revêtement de la chaussée est glissant.
- Les curatifs sont les mêmes que pour le dérapagc\ en outre, il faut avoir soin de sc maintenir, autant que possible, au milieu de la route. — Voir Dérapage.
- FRISWELL, vente d'automobiles, 1, Al-bany Street, Londres (Angleterre).
- FROISSARD, publiciste, 37, Barbican E.C., Londres (Angleterre).
- FROMENT, garage, vente d'automobiles, 20, Grande-Rue, à Géradmcr (Vosges).
- FROST (Harvey) et C°, Ltd, appareils à vulcaniser, marque IL F., 3q, Great Eastern Street, à Londres (Angleterre). — Voir Brown-Brothers, Paris.
- FROTTEMENT. — Il peut y avoir frottement, soit par roulement, soit par glissement. On désigne sous ce nom de frottement la ré-
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- sistancc qui se produit à la surface de deux corps quand on les fait glisser ou rouler l’un sur l’autre. ,
- La connaissance du frottement de roulement est utile pour l’étude du roulement et delà traction des véhicules : celle du frottement de glissement pour l’étude des conditions d’établissement des transmissions, paliers, moteurs, freins, etc.
- Le frottement est proportionnel à la force qui assure le contact des deux corps et à leur coefficient de frottement. 11 est sensiblement indépendant de la vitesse et de l’étendue des surfaces en contact.
- On appelle angle de frottement (tp) l’angle que la résultante du frottement et de la force de contact fait avec la normale. La tangente de cet angle est le coefficient de frottement (f = tg tp).
- FROUSSART, garage, vente d'automobiles, 34, route Nationale, à Charlevillc (Ardennes).
- FROUSSART, garage, vente d’automobiles, avenue Philippotcaux, à Sedan (Ardennes).
- FRUCHARD, fabrique de ressorts, 81, rue des Partants, Paris. Tel. 929-11.
- FRYER et Cl0, tubes en cuivre sans soudure, /|5, rue du Faubourg Saint-Antoine, Paris.
- F. S. A. F., abi •éviation de Fédération des Sociétés Athlétiques de France.
- F. S. W. H., roulements à billes. — Voir Ilénon et Mestre.
- FUANT, appareils d’échappement libre, 38 bis, rue Brunei, Paris.
- FULGUR (Magnétos). — Voir Glaenzer et C‘°, 35, boulevard de Strasbourg, Paris.
- FULGUR (Moteurs et Motocyclettes). — Voir Journaux (J.), Paris.
- FULLE, garage, vente d’automobiles, 5, rue de l'Obélisque, à Marseille (Bouches-du-Rhône).
- FULMEN (Soci été Nouvelle des Accumulateurs), 18, quai de Clichy, à Clichy (Seine). Tel. 5n-86. Adr. tel. : Fulmen-Cli-chy-La Garenne. — Dépôt pour les accumulateurs d’allumage : Pércz et Cle, Paris.
- FUMEE. — L es automobiles ne doivent (s. pas répandre d’odeurs incommodes » (décret du io mars 1899).
- Le propriétaire d’une voiture automobile, même conduite par un mécanicien, est responsable pénalement de la fumée émise par sa voiture. Le procès-verbal du Service des Mines (quelque étonnant que cela puisse pa-
- raître), qui a accepté le type de sa voiture et son mode de graissage, ne le met nullement <à l’abri d’une poursuite judiciaire qui n’a d’autre cause, le plus souvent, qu’un défaut organique du moteur, défaut qu’a tacitement toléré le Service des Mines! (Tribunal de simple police de la Seine, 47 octobre 4903).
- FUMERY, système do suspension, 3o?, avenue Brugrnann, à Bruxelles (Belgique).
- FUNKE (A. IL), phares, trompes, accessoires, 83, Chambers Street, à New-York (Etats-Unis).
- FURAN (Société Anonyme des Ateliers du), anciens Etablissements Jussy (marque S. A. F.g fabrique de motocyclettes et cycles, moyeu “ Volo ”, pièces détachées, 4, rue Bar-rouin, à Saint-Etienne (Loire). Tél. 86. Adr. tél. Ateliers-Furan-Sainl-Etienne.— Société Anonyme, au eapi:al de 1 260 000 francs. — Administrateur-directeur: M. O. Robert.
- F. U. S. (Marque), roulements à billes, pièces détachées. — Voir Fichlel und Sachs, Allemagne.
- FUSEE. — Extrémité de l'essieu sur laquelle tourne la roue d'une voiture ; la fusée est cémentée et trempée ; elle se termine par un filetage sur lequel est monté un écrou de fixage.
- FUSION (Lois de la). — i° Un corps entre en fusion, pour une meme pression, toujours à la même température (point de fusion);
- 20 La température reste constante tout le temps que dure la fusion ;
- 3° Tout corps passant de l’état solide à l'état liquide absorbe une certaine quantité de chaleur, transformée en travail. C’est la chaleur latente de fusion.
- Les principales températures de fusion sont, pour les métaux et alliages: acier, 1 4oo°; aluminium, 6oo° ; bronze, 900°; cuivre, 1 o54° ; laiton, ioi5°; fer doux, 1600°; fonte grise, 12200; étain, 226°; or, io45°; argent, g54°; plomb, 335°; platine, 1 ^^5° ; zinc, 4i2°. Certains alliages métalliques à base de plomb, (l'étain et de bismuth, fondent à des températures inférieures à celle de l’eau bouillante (ioo°) ; tels sont les alliages de Wood et similaires.
- FU SI (A.) et C°, vente d’automobiles et de motocyclettes, 16, piazza Caslello, à Milan (Italie). Tél. 7-90. Adr. tél. Achille-Fusi-Mi-tano. — Directeur: M. Achille Fusi.
- FUSSIEN, vente d'automobiles, 6, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- FUT. — Pièce cylindrique verticale affectant la forme d’un lut de colonne. On donnera, par exemple, ce nom à la colonne creuse constituant le bâti vertical cylindrique de certaines machines-outils.
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- G
- G. — LcUrc indiquant que le véhiculé qui la porte dépend de l'arrondissement minéralogique de Paris.
- G. — Symbole de conductance.
- g. — Symbole de Y accélération due à la pesanteur. — A Paris g = 9 m. 8088.
- g. — Abréviation de gramme.
- y (prononcez : gamma). — Symbole de conductibilité.
- g-d. — Abréviation de gramme-degré.
- g-end. — Abréviation de gramme-masse-centimètre carré.
- G. A.—Voir Grouvelle et Arquembourg, Paris.
- GABARIT. — Sorte de patron, destiné il reproduire les formes ou contours qu'011 a besoin de relever ou de conserver dans un objet, en vue de la fabrication de plusieurs autres objets semblables ou en vue de vérification. Ces sortes de gabarits sont faits d'une planche, d'une feuille (le métal, d'une vergette de fer ou de plomb, etc.
- GABORIAU, BOURGUIGNON et
- CiG, moteurs « Conqueror », 8, rue des
- Ecluses-Saint-Martin, Paris.
- GACHES i Louis) i 9, rue Montrosicr, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tel. 563-83. — Né à Toulouse, le 18 juin 1876. Co-directeur de la carrosserie de luxe Laclaverie et Gâches. — Ancien dessinateur, puis chef des Ateliers de la maison Kellner et ses /ils (mars 1900 à avril 1906).
- GADET, garage, vente d'automobiles, 10, place de la Comédie, à Bourg (Ain).
- GADOT (P.), accumulateurs « Gadot » et lampes électriques « M. S. », 90, route de la Révolte, à Levallois-Perret (Seine). Tel. ni 8-3 g.
- GAG et LIP ART. acier « Diamant », !\2, rue de Chabrol, Paris.
- GAGNIÈRE, fonderie d'aluminium, i/|-, rue Ob e rk a m p f, Pa ri s.
- GAIFFE (G.), appareils de mesures électriques, 9, rue Méchain, Paris, tel. Sio-3i.
- GAIGNARD-AMELOT, roue élastique et u pneu d'acier ", inyj'ue de Presbourg, Paris.
- GAILLARD (A.), mécanique générale pour automobiles, travaux à façon, 07, rue Scrvan, Paris.
- GAILLARDET ( Frédéric-Henri ), 4, place Wagram, Paris. — Né à Paris, le 23 décembre 1809. — Ingénieur de la Société des cycles et automobiles La Française. Administrateur de TA. G. A.; ingénieur-conseil de la maison Mildé pour les moteurs à pétrole. — Débuta, dans l'industrie électrique, en 1881, sous la direction de Marcel Deprez.
- — Ancien ingénieur à la maison de Dion-Bouton (1898 à 1892).
- GAILLARDET. vente de la suspension rationnelle te Pessonneaux », .4, place Wagram, Paris.
- GAILLARD, garage, vente d'automobiles, place du Val, à Provins (Seine-et-Marne).
- GAILLY Frères, fonte d'acier, rue de l’Abreuvoir, à Charleville (Ardennes).
- GALALITHE. — Nouvelle matière plastique destinée à servir aux mêmes usages que le celluloïd, sans être inflammable comme celui-ci. Est fabriquée au moyen de la caséine (contenue dans le lait des mammifères) mélangée avec de la chaux ou des bases métalliques. Le mélange convenablement insolubilisé par le formol, puis laminé et comprimé, peut être percé, tourné, scié, poli. Son aspect est semblable à celui de la corne ou du celluloïd. Utilisable pour les accessoires de la carrosserie automobile.
- GALBORD. — Celle des virures qui touche la quille d'un canot automobile.
- GALE (The), automobiles. — Voir IVes-tern Tool Works.
- GALERIE—B âti en fer, trcillagé en fil de fer, qui se pose sur le pavillon ou sur le dais des voitures et qui sert à retenir en place les enveloppes des pneumatiques ou les bagages légers déposés sur le toit. Généralement, les extrémités de ce bâti en fer, de cette galerie, sont terminées à l'avant par deux crosses plaquées en cuivre.
- GALERIES AUTOMOBILES (Les).
- — Voir Rival La et Cie.
- GALET.— Petit cylindre, de faible épaisseur relativement à son diamètre, place à l'extrémité d'une tige ou d’un levier dans les commandes par cames (admission, échappement des moteurs, etc.) (voir aussi cames), et destiné à remplacer le frottement de glisse-
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- ment par le lïoltcmcnt (le roulement de sa périphérie sur lo parcours de la camc( Les galets se font toujours en acier trempé.
- — Galet de friction. —Disque dont la circonférence est garnie de cuir et qui reçoit le mouvement de rotation d'un volant ou d’un plateau par simple friction.
- GALLAHER, location et vente d’automobiles, il, rue d’Alger, Paris.
- GALLAHER, vente d'automobiles, a.3o West 58 lli. Street, à New-York (Etats-Unis).
- GALLE (Ancienne Maison), (E. Benoit, successeur), fabrique de chaînes pour automobiles, 8/|. rue Oberkampf, Paris.
- GALLÉ, carrosserie automobile, 8o. Grande-Rue. à Boulognc-sur-Seine (Seine). Tel. a/|.
- GALLERAND, carrosserie automobile et capotes de voitures, i, rue Doullay, à No-genl-lc-Rotrou (Eure-et-Loir).
- GALLET (Henri), i, rue Théophile-Gautier, à Neuilly-sur-Seine (Seine). — Né à Caen,
- le ig octobre 1872. — Avocat, docteur en droit. — Chef des services du « Contentieux » et de la « Publicité » de la maison de Dion-Boulon et C’i0, à Puteaux.
- GALLET,
- vente d’automobiles, 22, rue d ’Or 1 c a n s, à N e u i 1-ly-sur-Seine (Seine).
- G ALLIA
- (Société des Voitures électriques). — Voir
- GALLIA (Société Anonyme La), tubes en acier sans soudure, chaînes, 34, quai de Suresnes, à Surcsnes (Seine). Tel. 82. — Dépôt : G4, rue Amelot, Paris. Tel. ga3-o3.
- GALLIA ELECTRIC CARRIAGES,
- vente d'automobiles « Galba », i.r)2 West 38 th. Street, à New-York (Etats-Unis).
- GALLIEN ET SARDA, constructeurs de voiturettes. — Voir Werner, à Lcvallois-Perret.
- GALLIETTE (Voilurclte électrique). — Voir Electrique (L’), Paris.
- GALLINARI et C", canots automobiles, à Livourne (Italie). — Agent : de la Fresnaye, Paris.
- GALLONIER et HAMM, monte-voitures, monte-charges, 15, rue de la Banque, Paris. Tel. 3i8-o3.
- GALLUS, pneumatiques. — Voir Ede^ line, à Puteaux (Seine).
- GALLY Frères, clouterie mécanique, rue de l’Abreuvoir, à Charlcvillc (Ardennes).
- GALVANISATION. — Voir Fer galvanisé.
- GALVANOMÈTRE — Appareil de laboratoire qui sert à déceler la présence d’un courant par l’action qu’il exerce sur l’aiguille aimantée.
- U11 galvanomètre comprend en principe un aimant faisant office d’aiguille aimantée, et une bobine dans laquelle passe le courant; plus ce courant est intense, plus grande est la déviation ou élongation de l’aiguille.
- GALVANOPLASTIE. — Ensemble des méthodes ou des procédés électrolyliques, à l’aide desquels on obtient au sein de dissolutions salines (bains) des dépôts métalliques adhérents ou non, mais uniformes et doués de cohésion. La galvanoplastie se subdivise : i° En galvanoplastie proprement dite, comportant la reproduction d’un objet quelconque, métallique ou non, tel un bas-relief,au moyeu d’un dépôt non adhérent métallique. Quand il s’agit de reproduire une composition typographique ou des gravures, l’ensemble des procédés galvanoplastiquos constitue Yélec-trolypie-, 20 eu galvanostégie comportant le dépôt adhérent d’un métal sur un autre métal, tel le nickelage du fer ou du cuivre ; 3“ en galvanotypie comportant le dépôt d’un métal sur un corps isolant rendu bon conducteur de l’électricité. Exemple : recouvrir de cuivre une statuette en plâtre.
- La galvanostégie est à peu près seule employée eu construction automobile.
- GAMAGE, Ltd, vêtements de sport, 126, ITolborn, à Londres E. G. (Angleterre).
- GAMAIN et Ci0 (Société Anonyme des Anciens Ateliers), pièces détachées pour automobiles, 4, rue de la Limite, à Liège (Bel-gique).
- GAMBETTA (Garage), vente d'automobiles, boulevard Gambetta, à Nice (Alpes-Maritimes).
- GAMET, moteurs et, carburateurs, 5 bis, place Voltaire, Paris. Tél. 929-07.
- GARAGE AUTO-STAND vente d’automobiles ; spécialité de voitures de Dion-Bouton. Directeur : M. Pércaux, 20, r. Duret, Paris. Tél. 534-55. Adr. tél. Autosland-Paris.
- GARAGE CARDS, vente d’automobiles, garage, Flaliron Building, New-York (Etats-Unis).
- GARAGE CENTRAL D’AUTOMOBILES, vente d’automobiles, 4, rue Buffault, Paris. Tél. 307-52.
- GARAGE CENTRAL, vente d’automobiles, rue du Progrès, à Dijon (Côte-d’Or).
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- GARAGE CENTRAL, vente d’automobiles, 47, rue Bannier, à Orléans (Loiret).
- GARAGE DE L’AUTO-PALACE,
- 77 bis, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tel. 524-27. Adr. tél. Autopalace-Paris.
- GARAGE DE PARIS-AUTOMO -BILE, 5o, rue d’Anjou, Paris. Tél. 240-18. Adr. tél. Pariaulo. — Directeur ; M. Henry Fournier.
- GARAGE DE LA FRESNAYE,
- vente d’automobiles “ Rochct-Scbneider ", i5, rue du Débarcadère, Paris. Tél. 780-60.
- GARAGE DESRENAUDES , vente d’automobiles, directeur : M. Corbin, 23, rue Desrcnaudes, Paris.
- GARAGE DU BOIS DE BOULOGNE, vente d’automobiles, 19, rue Durci, Paris.
- GARAGE DU PARC-MONCEAU,
- 28 et 3o, rue Guyot, Annexe de Y Intermédiaire. — Grand garage, avec stalles, box et ateliers de réparations pour voilures Panhard, Renault, de Dion, etc. Tél. 553—49-Adr. tél. Autosinter-Paris.
- GARAGE MALEVILLE, 28, rue
- Louis-Blanc, à Levallois-Perret (Seine).
- GARAGE DU PALAIS DE L’AUTOMOBILE , commerce d’automobiles, 218, boulevard Péreirc, Paris. Tél. 534-51. Adr. tél. Palaisolo-Paris.
- GARAGE SAINT-ANTOINE, commerce d’automobiles, 16, rue Saint-Antoine, Paris. Tél. 250-19.
- GARAGE SAINT-LAZARE, commerce d’automobiles, 12 bis, passage Tivoli, Paris.
- GARAGE SALLERON et Ci0, (Auto-Générale), commerce de voitures automobiles et réparations, 16, rue Duret, Paris. Tél. 679-14.
- GARAGES. — Les directeurs de garages sont soumis, à l’égard des chauffeurs qui leur confient leurs voitures, aux règles du Code civil sur le dépôt.
- Ils doivent veiller sur les voitures et ne les remettre qu'à ceux à qui elles appartiennent, sinon leur responsabilité est engagée ; ils répondent aussi des avaries et de l’mcendie dont elles peuvent être l’objet, sauf seulement le cas de force majeure.
- S'ils découvrent qu’une voiture déposée chez eux est une voilure volée et qu’ils en connaissent le propriétaire, ils ont l’obligation formelle de prévenir celui-ci, et ne peuvent la remettre au déposant que si ce propriétaire 11e la réclame pas.
- (Consulter sur cette question U Automobile devant la Justice, par Imbrecq, librairie Dunod).
- Dans un garage de bicyclettes commun à tous les habitants d’une même maison, le
- propriétaire de l’immeuble 11’est responsable, en cas de vol d’une machine, que si le concierge, son préposé, détient seul la clef du garage. (Jugement du Tribunal do paix de Paris, 28 avril igo5).
- — Garages (Classement des). — Le rapport du Comité consultatif des Arts et Manufactures a conclu (septembre 1906) à la non-nécessité du classement des dépôts d’essence, faits dans les garages, comme établissements dangereux. Par suite de cet avis, les garages sont réglementés simplement par le décret du ig mai 1873 concernant les dépôts ou cn-trepôls de pétroles, essences et autres hydrocarbures, malgré la grande quantité d’essence qui peut être emmagasinée par le propriétaire du garage et de celle qui est renfermée dans les réservoirs des automobiles.
- — Auto-Palace (Société de l’). 77 bis, avenue de la Grande-Année, Paris.
- — Auto-Stand, 20, rue Durci, Paris.
- — Bousquet et Ci<!, 90, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- — De la Fhesnaye et G,e, i5, rue du Débarcadère, Paris.
- — Loisel (UIntermédiaire), 17, rue
- Monsigny, Paris.
- — Maleville, 23, rue Louis-Blanc, à Lc-vallois-Perret (Seine).
- — Salleron, 16, rue Duret, Paris.
- — Suuéiune (La), 8, boulevard de Vaugi-rard, Paris. Construction de garages économiques, légers, démontables, en panneaux de liège aggloméré.
- GARAGES INTERNATIONAUX
- (Société Anonyme des), commerce d’automobiles, piazza Cavour, à Rome (Italie).
- GARAGES (Société Anonyme des Grands), 87, av. de la Grande-Armée, Paris. Tél. .622-92.
- GARAGES RÉUNIS (Fiat, Alberti, Sorero). — Société Anonyme, au capital de 2 5oo 000 lires. Siège central: 16, corso Massimo d’Azeglio, à Turin (Italie). Tél. i3o5. — Succursales à Florence, Rome, Milan, Gènes, Naples, Padoue. Directeur du Siège central : M. Luigi Storero.
- GARANT. — Lorsqu’une corde est engagée dans un palan, le garant est le brin (la partie avec laquelle on tire) par opposition au courant (partie de la corde allant de la poulie supérieure à la poulie inférieure, et réciproquement). — Voir Palan.
- GARANTIE. — Dans une voiture, la garantie est Yintervallc nécessaire que le carrossier doit observer entre la partie supérieure des roues arrière et les parties inférieures de la caisse qui débordent en faisant saillie au-dessus de ces roues. La garantie est indispensable pour permettre la plongée do la caisse sans choc, au passage d’un obstacle.
- GARAGE MALEVILLE
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- - 3 G 4- —
- On admet généralement que la garantie à observer, uvec tous les ressorts do voiture, est : l’ouverture de la pincette, plus i centimètre. — Dans les montages à trois ressorts, la garantie imposée est égale à la flèche du ressort arrière, plus la ilèchc du ressort de côté, plus i centimètre.
- GARAVAGLIA, garage, commerce d'automobiles, ifi, via Dante, â Milan (Italie).
- GARCEAU, garage, commerce d'automobiles, ifi. place Fondaudège, à Bordeaux (Gironde). Tel. iy-37.
- GARCHEY, roues élastiques, 3q, rue La Bruyère, Paris. Tél. 2o()-;kj.
- GARCIA et GOMEZ, vente de pneumatiques, 5o, calle de Balmes. à Barcelone (Espagne).
- GARCIN et RENAULT, voitures électriques et accumulateurs, n, cité Bertrand, Paris. Tél. <ji6-3y.
- GARDE-CROTTE. — Expression inexacte lorsqu'elle est employée pour désigner dans une automobile le tablier, ou tableau, ou planche verticale. Ce terme doit être réservé aux voitures attelées.
- GARDINI PASTEUR et C°, garage, commerce d'automobiles, à Gênes (Italie).
- GARDY, pièces de tours pour automobiles, aux Condreàux, par Montfermeil (Seine-et-Marne).
- GARDY- BATAULT (Auto-Amortisseur). i3, rue Caumartin, Paris. Tél. 233-03.
- GARE MONTPARNASSE (Garage de la), commerce d'automobiles, i34, rue de Yaugirard, Paris. Tel. 71/1-19.
- GARFIELD AUTOMOBILE C°, automobiles, 11 qq, Garlicld boulevard, à Chicago (Illinois), Etats-Unis.
- GARFORD C° (The), pièces détachées pour automobiles à Elyria (Ohio), Etats-Unis.
- GA RI EL (Charles-Marie) y fi, rv.c Hdouard-Detaille, Paris. Tél. 010-27. — Né à Paris, le 9 août i8/ji. — Commandeur de la Légion d'honneur. — Inspecteur général des Ponts et Chaussées; professeur à l'Académie de médecine ; membre de l'Académie de médecine. — Membre du Conseil d’administration du T. G. F.
- GARIN (Ga rage), commerce d'automobiles, square du Gigot, à Aix-les-Bains (llaute-(Savoie); et rue Hotel-des-Postes, à Nice Alpes-Maritimes).
- GARNIER (A.), graveur de plaques d'automobiles, 8, rue Fontainc-au-Roi, Paris.
- GARNIER (A.) {Elablissenie77ts), carrosserie automobile, 58, rue de la Glacière, Paris. Tél. 804-02.
- GARNIER (Paul), ind ieateurs dynamo-métriques et compteurs de tours, *ifi, rue
- Taitbout, Paris. Tél. 215-53. — Directeurs: MM. Blat-Garnier et Chevalier.
- GARNIER et FAURE-BEAULIEU,
- moteurs à gaz, 54, avenue de la République, Paris. Tél. yo3-25 et 940-20.
- GARNISSAGE. — Terme inexact lorsqu'il est employé en carrosserie, au lieu du mot garniture. — Terme exact, lorsqu’on s’en sert pour désigner l'opération qui consiste à faire le plein des réservoirs d’essence, d’huile ou d’eau contenus dans une voiture automobile et à mettre d'une façon complète ce véhicule en état de prendre la route.
- GARNITURE. — Pièce en caoutchouc destinée à remplir le vide laissé entre Y accrochage et le manchon-guêtre, quand le talon de l’enveloppe est coupé.
- La garniture est appelée bourrelet par quelques fabricants de pneumatiques.
- — Partie tapisserie dans une voiture automobile, exécutée par les garnissant qui capitonnent la caisse, tendent les cuirs et les draps, clouent les galons, ajustentlcs capotes, tabliers, etc.
- — O11 donne encore le nom de garnitures à des matières telles qu’étoupe, filasse, amiante, fils métalliques tressés, etc., dont on garnit les boites de presse-étoupe de-machines à vapeur ou de pompes.
- — Fàrgkhe. joints métaloplastiques, 3, rue Paillon, à Saint-Etienne (Loire).
- GARRIDO (Joao) , commerce d'automobiles, ifi, rua de Passos Manocf, à Porto (Portugal).
- GAS-AU-LEC, automobiles. — Voir Corwin Manufacturing C°.
- GASNE, aciers et fers, 83, rue du Fau-bourg-du-Temple, Paris. Tél. /|2o-(io.
- GASSIER (Marcel), commerce d’automobiles, 10, rue Charcot, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tél. fi^fi-q/j.
- GAST (Madame Y'* Camille Cresjnn du), 12, rue Leroux, Paris. Tél. 531 -71.— Officier de l'Instruction P u b 1 > (j u e . —
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- sur le (( Camille », classé premier. — Fervente de l'équitation, remporta de nombreux prix et médailles aux concours hippiques de France et de Belgique. — Membre de nombreuses Sociétés sportives.
- GATIE, garage, commerce d'automobiles, 0)5, rue Grande, à Fontainebleau (Seine-et-Marne).
- GATINET, garage, commerce d’automobiles, 12, place de la Ilalle-aux-Blés, à Rennes (Ille-et-Vilaine).
- GAUBERT, huiles minérales, essences et, accessoires pour automobiles, 4o, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél. 564-74-
- GAUBERT (Cycles et Automobiles). — Voir Chanon, Paris.
- GAUCHOT, moteurs, 26, rue du Bois, à Vincenncs (Seine).
- GAUD Frères, garage, commerce d’automobiles, à Juvisy (Seinc-et-Oise).
- GAUDEMARD ()7c/o r\, commerce d’automobiles et de cycles, place des Palmiers, à Ollioules (Var).
- GAUDICHARD, cl ironométreur officiel de l’A. C. F., 319, rue du Faubourg-Sainl-Antoine, Paris.
- GAULOIS (Le), journal quotidien, 2. rue Drouot. Paris. Tel. 102-36 et. 102-37. — Rédacteur pour la partie automobile : M. Maurice Méry.
- GAULOIS (Le), pneumatiques. — Voir Rcrgougnan, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme.)
- GAULOIS TYRE, Ltd, pneumatiques, 60. Great Malborough Street, à Londres (Angleterre). Tél. 548o et 5486 Gerrard. Adr. tél. Goalwase-Lo?i<lon.
- GAUMONT et Clc, appareils de photographie, 57, rue Sainl-Roch, Paris.
- GAUSS. — Unité C. G. S. d’induction magnétique ou flux magnétique, ainsi appelée (lu nom du physicien allemand.— Voir Ligne de force.
- GAUTHERON et MOUGIN (P.), garage et commerce d’automobiles, 145, avenue de Saxe, à Lyon (Rhône).
- GAUTHIER, lunettes pour automobilistes, 41, rue des Francs-Bourgeois, Paris.
- GAUTHIER, carrosserie automobile, joy, rue Emile-Zola, à Lyon (Rhône).
- GAUTHIER (Eugène-Emile), 69, boulevard de Charonne, Paris. Tél. 905-07. Ingénieur des Arts et Manufactures. Associé de la Maison Boas, Rodrigues et Cie, chargé des services techniques et de la fabrication.
- GAUTHIER, accessoires et pièces détachées. 11, rue Taine, Paris.
- GAUTHIER CAMP. commerce d’automobiles, 3, rue des Acacias, Paris.
- GAUTHIER et Cie, automobiles d’occasion, i3, rue Labié, Paris. Tél. 586-78.
- GAUTHIER et C‘“, fabrique de joints métalliques et d’accessoires pour automobiles. 02, cours Lafayette prolongé, à Villeurbanne. près Lyon (Rhône). Tél. io-5o. Adr. tél. Joints-Lyon.
- GAUTHIER et C°, fournitures pour automobiles, représentants de fabriques, 60, Great Malborough Street, à Londres W. (Angleterre). Tél. 5480 et 5486 Gerrard.
- GAUTHIER (J.) et TRENTELI-VRES (//.), pièces détachées et accessoires, 3o, rue de Malines, à Bruxelles (Belgique). Tél. 4-933. Adr. tél. Joints-Bruxelles.
- GAUTIER, commerce d’automobiles, 112, boulevard de Courbevoie, à Courbevoie (Seine). Tél. 106.
- GAUTIER (Paul), fournitures pour automobiles et pour cycles. 11, rue Taine, Paris.
- GAUTIER (Boue élastique), à Argenton-sur-Creuse (Indre).
- GAUTIER, outillage pour automobiles, 5, rue Rocliechouart, Paris. Tél. 212-82.
- GAUTIER-BOUCHARD, vernis pour carrosserie, quai du Canal-Saint-Denis, à Au-bervilliers (Seine). Tél. 4i3.oo.
- GAUTIER et Ci0, menuiserie pour carrosserie automobile. 43. rue Kléber, à Le-vallois-Perrcl (Seine). Tél. 79.
- GAUTIER et TACHER, garage, commerce d’automobiles, place Beaulieu, à Cognac (Charente).
- GAUTREAU Frères, ingénieurs-mécaniciens, à Dourdan (Seiivf-et-Oise). Tél. 18. Adr. tél. Gaulreau-Bourdan. — Société en nom collectif, fondée le iü juillet 1901. Directeur, M. Léopold Gautreau, ingénieur E. C. P. Directeur technique : M. Théophile Gautreau, ingénieur civil.
- GAYAUD (Octave), i56, avenue Malakolf, Paris. Tél. 572-08. Adr. tel. Eabrinal-Paris. — Né à Vierzon, le i4 septembre iS65. Directeur, pour la France, depuis 1901, de la succursale à Paris de la Fabrique Nationale d'Armes de guerre, marque F. N. (Ilerstal-lez-Liége, Belgique).
- GAZ. — En automobilisme, on distingue les gaz de Y admission et les gaz de l'éc/taji-pement.
- i° Les gaz de Vadmission sont produits dans les différents systèmes de carburation, par le mélange de l’air atmosphérique (oxygène 20 0/0, azote 80 0/0) avec les combustibles : essence, pétrole ou alcool, plus ou moins vaporisés. Ces gaz sont donc constitués par un mélange plus ou moins intime d’oxygène, d’azote, do vapeur d’eau atmosphérique et de vapeurs d’essence, d’alcool, etc.
- Lej Automobiles “ Lorraine-Dietrich”
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- Il en résulte un mélange de produits comburants et combustibles susceptible de brûler avec explosion, chaleur et lumière dès qu’il est porté à une température suffisante par compression brusque et mis en contact avec un corps, catalytique ou incandescent, ou une llamme, ou une étincelle électrique.
- a0 Les gaz de l'échappement sont constitués par les produits de la combustion du mélange gazeux de l’admission, qui, après leur expansion dans le cylindre, sont rejetés à l’extérieur après détente partielle dans le silencieux. Ces gaz contiennent donc, portés à une température plus ou moins élevée (i aoo° à 5oo'J), les produits gazeux do l'admission demeurés inaltérés : (A) l’azote ; (B) les imbrùlés, oxygène et hydrocarbures; (G) les produits transformés résultant de la combustion du carbone et de l’hydrogène des comburants : vapeur d’eau (IPO), acide carbonique (CO2), oxyde de carbone (CO).
- GAZ A LA CAMPAGNE, générateurs de gaz, 29, rue Baudin, à Levallois-Pcrrct (Seine).
- GAZ CARBONIQUE LIQUÉFIÉ
- (Compagnie Parisienne du), 52, avenue Daumesnil, Paris.
- GAZ ENGINE and POWER C°,
- canots automobiles, à New-York (Etats-Unis) ; et 22, avenue d’Italie, Paris.
- GAZ INDUSTRIELS (Société des), 29, rue Claude-Vellel’aux, Paris.
- GAZETTE SPORTIVE DE BORDEAUX ET DU SUD-OUEST, 10,
- place d’Aquitaine, Bordeaux (Gironde). --Directeur : M. Pli. Jumaud.
- GAZOGÈNE. — Appareil destiné à « produire un gaz ». — E11 automobile, ce mot est peu employé ; il est remplacé par le mot générateur, plus usité. — Voir Phare.
- GAZOLINE. — Désig nation commerciale des essences de pétrole constituées par la portion des hydrocarbures extraits du pétrole par distillation vers 70° :l i2o°G. Densité moyenne : 0,710.
- D’autre part, certains chimistes appellent gazoline un éther du pétrole. La gazolinc serait la partie la plus volatile que renferme le naplite ou pétrole au sortir de terre. La densité de l’étner de pétrole est d’environ o,05o.
- GAZOTHERMIQUES (moteurs). —
- Dénomination technique des moteurs dits à explosions ou à combustion interne, dans lesquels le mélange gazeux (air et hydrocarbure mélangés en proportions convenables par le carburateur) est enflammé ordinairement par une étincelle électrique, quelquefois par un brûleur ou une llamme. explose et chasse violemment, par suite de l'augmentation considérable du volume des gaz portés à très liante température, le piston, qui entraîne la rotation de Yarbre
- du moteur auquel il est relié par une bielle. — Voir Moteur.
- GAZZETTA DELLO SPORT, revue, 10, via Santa Radegonda, à Milan (Italie).
- G. C-, accumulateurs.—Voir Ghagnaud (G.).
- G. C., moyeu deux vitesses. — Voir Glaenzer et C'°.
- GÉBERT, di recteur de YIndustrie Véloci-pèdique et Automobile, 70, rue Vieille-du-Temple, Paris.
- GEBRÜDER BEISSBARTH, construction de moteurs, 2, Kohlstrasse, à Munich (Bavière).
- GELAS , commerce d’automobiles, 19, rue du Champ-de-Foire, le Havre (Seine-Inférieure).
- GÉNARD et C'°, antidérapants, 133, rue de la Pompe, Paris. Tél. 683-3o.
- GENERAL AUTOMOBILES AGENCY, commerce d’automobiles, 6, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- GENESTEIX, allumage électrique, Go, rue du Rendez-Vous, Paris.
- GÉNÉRATEUR DE VAPEUR. —
- Expression synonyme et très souvent employée pour désigner une chaudière à vapeur.
- Les générateurs les plus connus en automobile sont ceux de Serpollct et de Purrey.
- — Daiuiacq-Seiu'ollet, 9, rue Stendhal, Paris.
- — PumiEY (Valentin), 21, boulevard J.-J. Bosc, à Bordeaux (Gironde).
- — Générateur d’acétylène. — C’est l’appareil dans lequel se produit le gaz acétylène, par suite de l’attaque du carbure de calcium par l’eau; en automobile, c’est « l’usine à gaz » que porte la voiture et qui alimente les phares. — Voir ce mot,
- — Générateur électrique. — Tout appareil produisant de l’électricité. On distingue :
- u) Les générateurs mécaniques / dynamos ou alternateurs;
- b) Les générateurs thermiques: piles thermo-électriques transformant directement la chaleur en électricité ;
- c) Les générateurs chimiques : piles hydro-électriques ou piles à électrolyte de sels fondus.
- Les accumulateurs ne sont pas des générateurs d’électricité, puisque leur rôle se borne à emmagasiner, puis à restituer l’énergie électrique. Ils sont des transformateurs.
- GÉNÉRATRICE (Electricité). — Eu
- électricité les génératrices sont les appareils destinés à la production de l’énergie électrique.
- On peut classer les génératrices comme suit, d'après le mode de transformation utilisé pour obtenir l’énergie électrique :
- i° Générateurs mécaniques comprenant
- AUTO-GÉNÉRALE J. $ALLERON A^oHIb Brasier
- 16, rue Duret — PARIS Dimct»» LEOJ^ sOLLEE
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- les machines d'induction électrostatique et les machines d’induction électromagnétique.
- 20 Générateurs thermiques ou piles thermo-électriques.
- 3° Générateurs chimiques ou piles hydroélectriques.
- GENEVET et C"\ accessoires pour automobiles, g, rue d’Edimbourg, Paris.
- GENIES, garage, commerce d’automobiles, rue Chai-des-Farines, à Bordeaux (Gironde).
- GENIES (F ’euve), fabrique de lanternes pour automobiles, 3<j, rue de la Grangc-aux-Belles, Paris.
- GENOU. — Articulation composée d’une pièce convexe G emboîtée à frottement doux dans une autre pièce concave P et permettant à un arbre moteur de prendre un
- Profil
- certain jeu ou de transmettre une force dans une direction autre que celle de l’arbre primitif. — Un joint à la cardan est formé d’un double genou.
- GENOUD et Fils, tubes pour radiateurs, à Saint-Glande (Jura) ; et 1 G, avenue Jules-Janin, Paris.
- GENOUILLÈRE. — Une genouillère est un joint à rotation, analogue à un genou
- Profil
- Gk.voiim.khe
- T, tube pivotant dans lo tube R R, qui forme charnière.
- (voir ce mot), avec cette différence que la genouillère s’applique à deux tubes au 1 ietied
- deux arbres; c’est l'articulation qui permet à un tube ou à un tuyau do prendre une direction autre que celle du tube qui le précède.
- GENTEUR, manufacture d’appareils électriques, 122 avenue Philippe-Auguste, Paris. Tél. 9/1 o-33.
- GENTIL et Cle, vente d’accessoires et pièces détachées, 35, rue Garnier, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tél. 552-62.
- GEOFFROY et DELORE, accumulateurs Alpha-Oméga, câbles électriques, 28, rue des Chasses, à Clicliy (Seine). Tél. 5o3-^t et 5o3-^3.
- GEORGE ( IV.), vente d’automobiles, 211, boulevard Péreire, Paris.
- GEORGE Fils, malles et bagages étanches pour automobiles, 58, rue Chariot Paris. Tél. 298-7.5.
- GEORGE and JOB U ING, vente d’automobiles “Argylls”, South Street, à N’ew-eastlc-on-Ty 11c (Angleterre).
- GEORGES RICHARD (Anciens Etablissements). — Voir Trèfle à Quatre Feuilles (Le).
- GERARD, garage, commerce d’automobiles, 4o, place Gambetta, à Bergerac (Dordogne).
- GERARD (//.), ingénieur- mécanicien, 16, rue des Grandes-Carrières, Paris.
- GÉRARD (Maison), vêtements de sports, i5, place de la République, Paris. Tél. ii/|-io.
- GERARDIN, garage, commerce d’automobiles, 3, rue de la Croix, à Saint-Dié (Vosges).
- GERCES. — P etit.es fentes se produisant parfois dans les pièces de fonte, au moment de leur refroidissement, ou sur les parties angulaires des pièces en fer qui ont été mal forgées. —- Voir Criques.
- GÉRIN, garage, commerce d’automobiles, 2/), rue de la Liberté, à Alger (Algérie).
- GERKINET (J. et K.). constructeurs-mécaniciens, voitures automobiles, pièces détachées, à Jeumont (Nord). Tél. 9; et à Ilcrstal (Belgique).
- GERLACH, montage de roues, 16, rue Saint-Antoine, Paris.
- GERMAIN (Société Anonyme des Ateliers), à Monccau-sur-Sambre, par Marchicnnc-au-Pont, près Gharleroi (Belgique). Tél. 3/jo Charleroi. Adr. tél. Germain -Marchienne-au-Pont. — Société Anonyme, fondée en 1874» au capital de 2 millions de francs. — Président du Conseil d’administration : M. Paul Dewandre, ingénieur; directeur: M. Guillaume Van de Poel ; directeur technique : M. Emile Masui ; directeur commercial : .M. le chevalier Armand de Spirlet.
- UJVC Châssis 14-20 GERMAIN Chalnless à 9 000 francs
- Société Anonyme des ATELIERS GERMAIN, Monceau-sur-S ambre (Belgique)
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- Atelier de construction (le matériel roulant pour voies ferrées et d'automobiles. —'Châssis Germain-Standard de 16, 2/4. et 35 chevaux.
- Nouveaux types de châssis pour 1907 : i/j-20 chevaux, 4 cylindres, et Go chevaux, G cylindres, Germain-Chainless ; châssis embouti; transmission par cardan; pont spécial très robuste ; trois vitesses et prise directe; billes partout; deux allumages, etc.
- — Les Ateliers Germain ont remporté, à nouveau, pendant l'année 190G, de nombreux succès sportifs â Ostcnde, Schcveningue, Coupe llerkomer, Coupe de Liedekerke. Origny-Sainle-Benoîte, Blackpool, Aston-Ilill, Spa, etc.
- GERMAIN, achat de déchets de caoutchouc, 27, rue de Bagnolet, aux Lilas (Seine). Tél. 10.
- GERMAIN, automobiles, 1, Ilanovcr Court, Hanover Street, à Londres (Angleterre).
- G. et J. TIRE C°, pneumatiques, â In-dianopolîs (Indiana), Etats-Unis. — Nombreuses succursales en Amérique.
- GETTING et JONAS, courroies Titan. G, rue Coquenard, à La Briche-Saint-Denis (Seine). Tél. 04. Adr. tél. Cuir-Armé Saint-Denis.
- GHEL.FI et CiP, meules en grès, 7, rue Chariot,, Paris,
- GHIRARDI (Giuseppe), â Bcrgamo (Italie). — Directeur général de la Socield Automobili Bombarda ^ qui fabrique les voilures « Esperia », d’après ses brevets personnels. — Ingénieur-mécanicien, sorti en 1900 de l’Ecole des Ingénieurs de Gand (Belgique). — Né à Milan, le 18 juin 1876.
- GIANOLI (L ouis), bobines d'allumage, magnétos, piles sèches (( Ilellescn », bougies. 2O. boulevard Magenta, Paris. Tél.440-08. Adr. tél. Gianolaco-Paris. Maison fondée 0111893;, marque G. L. — Ateliers : /jo, quai Jemmapes, Paris.
- GIBAUD. fabriq ne de magnétos, 202, rue du Faubourg-Saint - Honoré, Paris. Tél. 0/17-11.
- GICLAGE. — Jaillissement d'un liquide sortant d'un tube ou d'un orifice de très petit diamètre. Ce jaillissement est causé soit par une pression exercée sur la surface du liquide (exemple : réservoir d'essence sous pression), soit par une dépression produite au devant de l'orifice (giclage déterminé dans un carburateur par l'aspiration du moteur).
- GICLEUR. — Mot employé comme synonyme d'ajutage.
- MM. G rouvellc et Arquembourg ont fait de longues études pour déterminer l'importance énorme que possède la section du gicleur sur l'économie du moteur; ils ont démontré qu'une augmentation ou une diminution de diamètre
- d'un dixième de millimètre suffisait â faire varier considérablement la puissance du moteur.
- Il ne faut pas perdre de vue que, dans deux tubes différents, ce ne sont pas les diamètres des orifices qui doivent être comparés, mais les sections correspondantes. La section d'un orifice de 12, par exemple, étant de n3, et celle d'un orifice de 9 étant de G3, 011 peut dire que la consommation sera presque double, si l’on substitue â l'orifice de 9 un orifice de 12 ; et, dans bien des cas, la puissance sera la même, tandis que la consommation d’essence aura énormément augmenté en pure perte.
- La plupart des constructeurs règlent leurs carburateurs de manière que le niveau d’essence se trouve à 2 millimètres ou à 3 millimètres au-dessous de l'orifice du gicleur. — Voir Ajutage.
- GIEHAN MANUFACTURING Cü,
- compteurs de tours, « Speedometer », 1007, Broadway, à New-York (Etats-Unis).
- GIFFARD (Pierre), organisateur de la course Paris-Brest au Petit Journal en 1887. Fondateur du Vélo (voir 0011101)0111892.
- GIFFARD (Victor). — Voir Daguin, Géraud, Porcabeuf.
- _ GIFFRE (Société Electro-Chimique du), fabrique de carbure de calcium, électro-métallurgie, à Saint-Jeoirc (Haute-Savoie). — Société Anonyme au capital de 1 025000 fr.
- GIGUET Frères, bougies d’allumage, 3o, boulevard de Châteaudun, à Saint-Denis (Seine). Tél. 82.
- GILBERT. — Unité C. G. S. de force magnétomotrice, du nom porté par ce physicien. U11 gilberl vaut 0,8 ampère-tour.— Voir A mpère-lour.
- GILBERT MANUFACTURING C°,
- pneumatiques, à New-Haven (Connecticut), Etats-Unis.
- GILBIN, ROYNETTE et Ci0, fonderie de fer, cylindres pour moteurs, à Vrigne-aux-Bois (Ardennes).
- GILLET, ferru res et cuivrerics pour carrosserie automobile, 1G7, boulevard de la Villettc, Paris.
- GILLET (René), motocyclettes, io, villa Collet, rue Didot, Paris.
- GILLET et FOREST, phares, réservoirs, capots. —Voir Forest et C[0. Paris.
- GILLET-FOREST [Sodé té des Automobiles), 70, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél. 540-38 ; et 23, quai Carnot, à Saint-Cloud (Seine-et-Oise). Tél. G. Adr. Tél. Automobile-Saint-Cloud. Société Anonyme au capital de 5oo 000 francs, fondée en 1889. Directeur administrateur : M. 0. Bocandé. Directeurs techniques : MM. 0. Bocandé et
- MAGNETOS GIANOLI
- Bté 8. G. D. G. ei\ France et à l’Etranger
- PARIS
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- Lucien Périsse, ingénieur-conseil. — Voitures de tourisme, camions et omnibus automobiles.
- GILLIARD (Ernest), associé de la maison ,/. Sapène et Ci0, 58, rue Taitbout, Paris.
- GILLOTTE, carrosserie automobile, capotes de voilure, 88, rue de Villicrs, à Leval-lois-Perret (Seine). Tél. 8o.
- GILLOUARD, garage, commerce d’automobiles, rue de la Gare, à Angers (Maine-et-Loire).
- GIMPEL, représentant de fabriques, 4", rue du Caire, Paris.
- GIONNET, garage, commerce d’auto-mobiles, 5(3, rue de Paris, à Saint-Germain-en-Laye (Seine-et-Oisc).
- GIRARD, mécanicien, commerce d’auto- ^ mobiles, à Falaise (Calvados).
- GIRARD, garage, commerce d'automobiles, î(>, rue du Bourg-Neuf, à Blois (Loir-et-Cber).
- GIRARD, pièces estampées, clés, /jf>, rue Laugier, Paris.
- GIRARDOT (Léonce), i5, avenue Jcanne-d’Arc, au Cbesnay (Seine-et-Oise). Tél. 24.
- N é à Paris, le 3 o avril 18G/j. — Un des plus anciens parmi les premiers promoteurs de l'industrie au-lOinobile ; a pris pari à toutes les grandes courses automobiles et a remporté de nombreuses victoires.
- GIRAUD AÎNÉ, directeurs des “ Moteurs Bucbet ", 4q, rueGrcflTulbe, à Lcvallois-Perret (Seine).
- GIRAUD (Alfred), 34, place Bellecour, à Lyon (Bbône). Né à Tliizy (Rhône), le 24 avril 18G8. — Fondé do pouvoirs, commanditaire des Etablissements Beriiet depuis 1899, dale de leur fondation.
- GIRAUD (Et iennc-Edouard), 27, rue Durct, Paris. Tél. O79-03. — Né à Rochefort-sur-Mer, le 10 novembre 1865. — Membre du Conseil d’Administration de la Société Char-von, Ltd. Membre du Comité de FÀ.C. F. et de la Commission sportive.
- GIRAUD, ga rage, vente d'automobiles, 102, boulevard Gassendi, à Digne (Basses-Alpes).
- GIRIP, gonfleur automatique pour pneumatiques.— Voir Grouvelle (./.), //. Arquem-bourg et Ci0, 71, rue du Moulin-Vert, Paris.
- GIRON (E.) et Ci0, cycles et automobiles “llallot”, pneumatiques Atlantic ”, 38, rue Vaneau, Paris. Tél. 722-20. Adr. tél. Girallol-Paris.
- GIROUX, garage, commerce d'automobiles, 12, rue Thiers, à Tarbes (Hautes-Pyrénées).
- GIRY, paniers pour automobiles, 35, rue Vaneau, Paris. Tél. 700-98.
- GIRY, garage, commerce d’automobiles, rue Foyatier, à Saint-Etienne (Loire).
- GIVAUDAN , garage, commerce d'automobiles, fabrique de moteurs, /jo, rue Sainte-Geneviève, Lyon (Rhône).
- G. L., appareils d'allumage. — Voir Gîa-noli.
- GLACE. —• On dit. que deux surfaces forment glace, que la glace est obtenue, etc., lorsque ces deux surfaces sont complètement polies et brillantes, sans aucune tache ou piqûre. Les clapets d'un moteur, s'ils ont été bien rodés, forment glace d'eux-mèmes au bout de quelques heures de marche.
- — Carrosserie. — En général, les glaces garnissant les voitures automobiles ne sont pas biseautées, pour cause de plus grande légèreté et de commodité.
- En automobile, les glaces sont entourées de cadres en bois, appelés châssis de glace, vernis au tampon au lieu d'etre garnis en drap comme le sont ordinairement les cadres des voitures attelées.
- La petite glace disposée dans le panneau arrière d’une voiture fermée s'appelle une Innette. — Les glaces peuvent être plus ou moins protégées contre la pluie par des gouttières., en bois ou en métal, faisant saillie au-dessus d'elles.
- GLACHANT, pièces détachées, 65, route des Petits-Ponts, à Pantin (Seine). Tél. 43i-73.
- GLACIER (Métal anti-friction), 22, rue de Londres, Paris. Tél. 23o-6i.
- GLADIATOR (Cycles et Automobiles), 76, Grande-Rue. au Pre-Saint-Gervais (Seine). Tél. 4*54)2 et 438-59. Adr. tél. Gladiator-Pré-Saint-Gervais. — Maison fondée en 1892.
- — Directeur commercial : M. G. Lexccllent.
- — Voir Clément et Gladiator.
- GLADIATOR (Huile minérale), 17, rue des Bateliers, à Clichy (Seine).
- GLADSTON et BARRY, commissionnaires, vente d'accessoires pour automobiles, 24, rue des Pelits-IIotels, Paris.
- GLAENZER (Camille), 13, rue Daru, Paris. Tél. 44<>-i3. — Né h Paris, le 11 dé-
- Amiomqbiles GLADIATOR
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- ccmbre x 851. — Associé de la Maison Glaen-zcr et Ci0. '
- GLAENZER et Cic, 35, boulevard de Strasbourg, Paris. Tel. 44o-i3. Adr. tel. Glaenlourd-Paris. Société en nom collcctil', l'ondée en 1838. — Directeurs associés : MM. Camille et Frank Glaenzer. Directeur : M. Pigelet (automobiles et vélocipédie). •—• Directeur technique : M. Riebe, ingénieur. — Importation et exportation. — Roulements à billes 1). W. F. et butées à billes D. W. F. avec cages élastiques ; billes D. W. F. ; paliers de transmission à billes D. W. F. —Moyeux •2 vitesses W. F. W. avec li'ein externe ou interne ; moyeux libres et frein sur jante W. F. W. — Dynamo Dayton pour éclairage ; réducteurs de vitesse ; essieux moteurs, etc.
- GLAENZER et PERREAUD, machines-outils de précision, indicateurs de vitesse, odomètres, outils pneumatiques, moteurs, gazogènes, machines à mouler, machines à décaper au jet de sable, marteaux-pilons, perceuses, crics, fours et forges, mèches, calibres, poulies embouties, grues roulantes, etc..., 1, avenue do la Répu-
- blique et Gi, rue de Malte, Paris. Tél. (j.'li-Ga et <j3i-G/|. Adr. tel. Blakcnilcs-Paris.
- GLASER, fabrique de motocyclettes, Uni-versilalsstrassc, à Rerlin (Allemagne).
- GLATTHARD , garage, commerce d'automobiles, rue le la Place-d'Armes, à Neuchâtel (Suisse).
- GLIDE (The), automobiles. — Voir Bar-tholomew C°, Etats-Unis.
- GLISSIÈRE. — Partie d'une pièce mécanique qui, dressée ou creusée, forme une rainure longitudinale destinée à guider et a empêcher de dévier une autre pièce, appelée coulisseau, se déplaçant dans cette rainure. — Voir Coulisseau.
- GLOBE AUTOMOBILE EXPOR-TERS , commerce d'automobiles. — Voir Suberbie, Paris.
- GLOBE-TROTTER (Le), journal hebdomadaire illustré, 4, rue de la Vrilliôre, Paris.
- GLOCKNER (Carlo), commerce d’automobiles, 3ç). via Sollerino, à Milan (Italie).
- GLORIUS . — Voir Allumeur électro-catalytique.
- GLOVER (W. T.) et C"\ appt xreils pour la vulcanisation des pneumatiques, Trall’ord Park, à Manchester (Angleterre).
- GLYCÉRINE. — Alcool Diatomique’ existant dans les corps gras (huiles, suifs, etc.) associé aux acides stéariques, olciqucs, etc., sous la forme d’éthers dits gdyccrides. Est très employé en automobilisme comme anticongélateur (voir ce mot). Dose : 3o à /|0 0,0 de l’eau de réfrigération.
- GLYCO (Société du Métal), métal antifriction, 2, cité Riverin, Paris. Tel. t\i^-l\l\.
- GLUCK, commerce d’automobiles, 4y> Pragerstrasse, à Dresde (Allemagne).
- G. M., rad ialeurs. —Voir Moreux et Perrot.
- G. M. B., antid drapants. — Voir Méné-gault-Bassel, à Arcueil.
- GNOME (Société des Moteurs), jy, rue Laffitte, Paris Tél. i3y-^G. Adr. tél Gnome-Paris. — Administrateurs : M.M. Louis Seguin et Luquct de Saint-Germain. —. Société Anonyme, an capital de 800000 francs.
- GOBRON (Gustave), 1/17, rue de Long-champ, Paris. Tel. 690-97. — Né à Ruzancy, en 1846.— Chevalier de la Légion d’honneur.
- — Ancien député. — Président du Conseil général des Ardennes. — Fondateur et président de la Société des Automobiles Gu-bron-Brillié.
- GOBRON-BRILLIÉ (Société des Automobiles), 13, quai de Boulogne, à Boulogne-sur-Scine (Seine).
- Tél. 6)89-01 .Adr. tél. Gobron-Bil-lancourt. — Société Anonyme, fondée en mai 1900, au capital de un million de francs.
- — Président du Conseil d'administration : M. Gobron.
- GODARD (Louis).— 170, rue Legendre, Paris. — Né à Paris, de la dynastie atmosphérique des Godard. Aéronaute-construc-tcur, a apporte à la construction des ballons plusieurs perfectionnements. A exécuté de très nombreuses ascensions dont plusieurs remarquables. Fut le second de M. Jacques Balsan lors de l’établissement, par ce dernier, du record d’altitude français et dans son voyage. Vincenncs-Copotchno(Russie), 9-10 octobre 1900, sans compter les autres grandes traversées aeriennes qui lui sont personnelles. Acronaute expert de T Aéro-Club.
- M. Gobuon
- "Machines à mouler hydrauliques et à la main H & pÊrreaÙd
- PARIS — 1, Avenue de la République — PARIS
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- Vastes ateliers pour la construction des ballons libres, captifs et dirigeables, au pont de Saint-Ouen, à Saint-Ouen (Seine). — Bu-rcaux : 170, rue Legendre, Paris. Adr. tel. Louis-Godaril-Paris.
- GODARD (L ouis Brancklé, successeur),
- commerce d'automobiles et de cycles, 17, rue Sain t, -M a r tin. à Troyes (Aube) .
- GODDET
- (Victor), G, rue Veptadour, Paris. Tel. 290 -96. — Né à Paris, le 21 octobre 18G8. — Officier d'A-cadémie. — Administrateur du journal L’Auto et du Vélodrome d'Hiver.
- GODET. — On appelle quelquefois godet une pièce cylindrique, en forme de capuenon O, qui recouvre et maintient en place une autre pièce, telle qu'un ressort R, dont elle limite la course ou le déplacement.
- GODIN, représentant de fabriques, commerce d’accessoires pour automobiles, 1, lied Lion square, llolborn, à Londres W. G. (Angleterre). Tel. 61597 Central. Adr. tel. Cons-taincr-London.
- J
- Un godet de ressort
- M. Victor (ioddet
- et 37. boulevard de Strasbourg, à Pari Tel. 1 -12.
- GOLA et CONELLI {ingénieurs). Société Anonyme pour la construction et l'entretien des routes, 16, via Dante, à Milan (Italie).
- GOLDSCHMITT (Robert), camions à vapeur. — Voir Parelle, llruxelles.
- GOLIATH, (Compagnie Française des Antidérapants), usine à Suresncs (Seine). -- Pureaux cl magasin de vente : 18, avenue de l'Alma, Paris. Tél. (>71 -33. Adr. tél Go-lianti-Paris. —Société au capital de 200 000 francs. — “ Le Goliath ” n'est pas un pneu-cuir
- GOMME LAQUE. — Matière résinoï-dale produite par l’exsudation de différents végétaux des pays chauds, sous la piqûre d'un insecte (le cocus lacca). Le produit, traité par des réactifs blanchissants tels que le chlore, donne la gomme-laque blanche. La gomme-laque est employée dans la confection des vernis de carrosserie et d’ébénisterie. Mélangée avec la poudre de mica, elle donne la « micanile », produit isolant, employé pour les bobines d'allumage. Dissoute dans l'alcool ou autre véhicule approprié, et additionnée: d'aluminium en poudre impalpable, elle donne la peinture argentée employée pour peindre les moteurs.
- GONDOIN (Jacques), 21, rue de laPull’a, à Nice (Alpes-Maritimes). — Né à Paris, en i865. — Fondateur de l’Automobile-Club de Nice, dont il est actuellement président honoraire. — Chimiste en chef du Laboratoire des douanes do Nice.
- GONDRAND Frères (Société Anonyme Internationale de Transports), transports spéciaux d'automobiles et, de gros matériel d'usines, 22, rue de la Douane, Paris. Tél. 4/10-10 et /|/(o-11. Adr. tel. Gondrand-Paris. — Directeurs : MM. Siesto cl Drouin.
- GODON et BRETON, plaques gravées, 29, avenue de la République, Paris. Tél. 93G-7O.
- GOETTSCH et C°, garage, commerce d'automobiles, à Utrccht (Pays-Bas).
- GOETZ (A.), commerce d’automobiles, à Chaux-de-Fonds (Suisse).
- GOETZ et Ci0, modeleurs, 13, Grande-Rue, à Asnières (Seine).
- GOGUEL et Ci0, fonderie de for, fabrique dej rivets, à Montbéliard (Doubs) ;
- GONFLAGE..—O11 doit gonfler beaucoup les pneumatiques, proportionnellement, au poids qu'ils doivent supporter, naturellement, mais en tout état de cause beaucoup. Un pneu insuffisamment gonflé s’abîme extrêmement vite, en se coupant à l’accrochage et en se cisaillant entre le sol et la jante métallique,
- La maison Michelin et Cl0 recommande de toujours maintenir les pneumatiques à une pression constante. E11 effet., dans un pneumatique trop mou, la toile se brise, tandis qu’un pneumatique trop gonflé éclate par suite de la diminution de résistance des toiles et de l'augmentation de pression résultant de I la chaleur de roulement.
- 'A ntidérapant • • GOLIATH
- 18, avanufl de l’Alma.
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- G 0 N
- G 0 T
- — 3^2 —
- TABLEAU DE GONFLAGE ET D'AFFAISStMENT
- POIDS maximum que peuvent supporter les pneus et pression à laquelle il faut les gonfler. Affaissement maximum qu’ils doivent présenter en charge.
- ’-S TYPE VOITUKETTE EXTRA-TOUT OU VOITURE
- 0 CÛ Maximum Lorsque 11 faut Maximum
- du poids c’alîaisscuiint
- s Oi à faire supporter le pneu supporte : le gonller pneus pneus
- c-D IU! pRfll a plats ronds
- KILOS KILOS KILOS m/m m; ni
- (>r. 2;5 100 à 200 200 à 2^5 3.5 4.5 44 02
- 100 à 200 3,5
- 220 4, » 01
- 200 à 2 20
- 200 à 200 4, fio
- 8:> 3oo 2.5o à 3oo 4,5 »
- !\ 00 '.ïlîo à .'Fin 4, à 5, 58
- 0° 3 5o à /|5o 5, à 5, 02
- 10.1 020 3oo à /(ôo 40011020 4, à [>,_ 0, à 0,0 (i8 «G
- 120 (ioo 4oo à 5oo fioo à (ioo 4,5 à 5,_ f», à 0,0 />
- 135 «;» 000 à (ioo 600 à ti'jh il, à 5,5 5,5 à (>, 8; »
- 000 à (ioo 0, y 4
- 15o ^00 05o à 700 5, I I(>
- T VI MC VOITURETTK HKNKOIWB
- f Maximum du poids à faire supporter au pneu Lorsque le pneu supporte : 11 faut le gonlier à e % .1 § e? &
- KILOS KILOS KILOS 111/ 111
- (i 5 170 100 à ijo ijo à 170 2,0 3, 5o
- 170 100 à îjo 14o à 170 • 2,5 3, 51
- 85 220 i5o à 180 180 à 220 3, 3,5 54
- TYP E YOITURETTE LEGER
- (15 IOO 5o à 80 80 à 100 2^ 2,5 5o
- 7r> 120 5o à 80 80 à 120 a, 2,5 51
- 85 14<) (io à 100 100 à 14 ( i 2,5 3, 54
- Pour reconnaître si la pression exacte est atteinte, il est absolument nécessaire d'avoir une pompe à air munie d'un excellent manomètre.
- — Pour permettre aux chauffeurs de vérifie rapidement, si le gonflage de leurs pneus est
- suffisant, la maison Michelin a créé un appareil très pratique appelé Contrôleur de pression. — Voir ce mot.
- GONFLEUR MÉCANIQUE. — Appareil mû par le moteur et donnant de l’air sous pression pour le gonflage des pneumatiques. 11 remplace la pompe a bras.
- — Alpha, 67, boulevard de Charonne, Paris.
- •— Ghup. — Grouvelle, Arquembourg et
- Cl0, 71, rue du Moulin-Vert, Paris.
- — Miciielix et Ci0, à Clermont-Ferrand.
- GONTHIER, garage, commerce d’automobiles, 29, cours Montaigne, à Périgueux (Dordogne).
- GOODRICH (B. F.) C° {The), pneumatiques à jante démontable, à Akron (Ohio), Etats-Unis.
- GOODYEAR TIRE and RUBBER C°, pneumatiques à jante démontable, Frecdom Street, à Akron (Ohio) (Etats-Unis).
- GORCE, garage, commerce d’aulomobiles, place de .lande, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- GORCY {Société Métallurgique de), fers, fonte, aciers, à Gorey, par Longwy (Meurthe-et-Moselle) ; et 81, rue de Maubeuge, Paris.
- GORDON-BENNETT (James), directeur du Neio-Yor/c Herald, fondateur de la Coupe Gordon-Bennett, ioj, avenue des Champs-Elysées, Paris. Tel. fiiG-a/j.
- GORGE. — Une gorge est une rainure plus ou moins profonde pratiquée sur la périphérie d’une roue ou d’une poulie, dans laquelle vient s’engager une corde ou une courroie qui reçoit ou transmet un mouvement.
- GORGEOT, pneumatique increvable “Ergot”, 28, rue Saintc-Croix-de-la-Breton-ncrie, Paris.
- GORICKE {Motocyclettes). — Voir Bie-lefelder-Gôricke (Allemagne).
- GORLITZ {Automobil-Cenirale), commerce d’automobiles, 19, An der Frauen-kirelic, Gorlitz (Allemagne).
- GOSSE, garage, à Deauville-sur-Mer (Calvados).
- GOTHAM AUTO C°, commerce d’automobiles, i655, Broadway, à New-York (Etats-Unis).
- GOTHANIA, pneumat iques fabriqués par Vereinigte Ilanfschlauch und Gum-miwaaren-Fabriken A. G-, à Gotha (Allemagne).
- GOTTELAND, ga rage, commerce d’automobiles, 3o, rue de Genève, à Aix-les-Bains (Savoie).
- GOTTSCHALK {Isidore) , tannerie de cuirs au chrome pour antidérapants, à Saint-
- CARBURATEUR G. A.
- J. GROUVELLE, H. ARQUEMBOURG & Cifl
- 71, mm do Moulln-Yert, PARIS
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- Ainand-lcs-Eaux (Nord). — Tel. 3o. Adr. tel. Gottschalk-Saint-Amand-les-Eaux.
- GOUDRON. — Matières hydrocarbonées (CRD) plus ou moins visqueuses, odorantes et colorées restant dans les cornues de distillation ou dans les appareils de condensation dans les opérations de distillation de la houille, du bois ou des pétroles. En automobilisme, le goudron brut est employé en épandage sur les routes (voir Goudronnage) pour combattre la poussière.
- GOUDRONNAGE. — Désigne en matière d’automobilisme les différents procédés mis en œuvre pour fixer, plus ou moins, la poussière des routes et augmenter son adhérence sur le sol. L’idée de combattre, par un liquide plus ou moins visqueux, la poussière sur les routes et chaussées est assez ancienne, elle remonte à la seconde moitié du xix° siècle. Elle est duc à Jobart, chimiste belge, qui préconisa l'arrosage des chaussées de Bruxelles au moyen de dissolution de chlorure de calcium (CaCl2).
- GOULART et C10, lunettes de route du docteur Détourbe, 33, rue de la Roquette, Paris.
- GOULEAU, roues libres G. R. pour cycles, tiges à ressorts et suspension, Gy, boulevard Barbés, Paris.
- GOUPILLE. — Tige de métal cylindrique ou légèrement conique que l’on place au ras d'un écrou pour l'empècher de se desserrer, pour retenir une rondelle sur son axe, etc., ou servant à faire des clavetages soumis à de faibles efforts (clavetage des cames d'allumage, entraînement des pompes de circulation d'eau, etc.). Dans la première catégorie des applications que nous venons de citer, la goupille est généralement fendue et fabriquée avec du fil demi-rond replié sur lui-mcmc.
- —©-
- GOUET (A.), fabrique d'antidérapants, cuirs pour carrosserie, 32 bisyrue Sorbier, Paris.
- GOUIRAND, commerce d'automobiles et de cycles, 38, rue du Bois, à Levallois-Perret (Seine). Tel. 111\.
- GOUJON. — IJn goujon est une petite pièce métallique taraudée formant ergot, une petite cheville, un boulon prisonnier, etc., qui sert à entraîner une autre pièce sur un arbre, ou qui est utilisée comme repère (as-cemblage de deux pièces l’une sur l’autre), somme liaison (goujon de chaîne), comme axe de rotation (goujon de charnière), etc.
- — En carrosserie, on appelle goujon de capote une pièce métallique (voir figure), sur
- Goujon de capote monte.
- laquelle se fixent les compas ou tendeurs de la capote.
- GOUJON, construction et réparation d’automobiles, 53, rue Borghèse, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
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- T*
- Goupille tendue
- Goupille conique
- Une extrémité est en forme de boucle et l’autre est ouverte après la mise en place pour servir d'arrêt.
- GOUPILLON. — Tringle de fil de fer garnie d'amiante à une de ses extrémités, dont on se servait autrefois pour allumer les brûleurs des moteurs à explosions, et que certains constructeurs utilisent encore pour chauffer, avant le départ, les carburateurs à alcool.
- GOUSSET. — I œs goussets G sont des pièces de renfort, en forme d'équerres, qui consolident les assemblages d'angles d'une grande pièce métallique telle qu’un châssis G en tùle d'acier emboutie. Les goussets sont ou rapportés et assemblés au châssis par des rivets, ou emboutis en même temps que le châssis lui-même, ou même quelquefois soudés (par soudure autogène).
- GOUTALLIER, pièces détachées et accessoires pour canots automobiles, 7, rue de Bagnolet, à Vinccnncs (Seine). Tel. yl\.
- GOUTTE DE PLATINE. — On appelle goutte une petite plaque de platine cylin-
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- SciIKMA d’un CHASSIS A GOUSSET
- SACS CHAUFFEUR de LOUIS VUITTON
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- drique et de peu d'épaisseur, qui est rivée £ur le trembleur et qui forme contact électrique avec la vis 'platinée ou avec un marteau de rupture de courant.
- GOUTTE DE SUIF. — On dit qu’un arbre, un boulon, une vis, un boulon de contact électrique, ele., sont terminés en (foutte de suif, quand leur extrémité est très légèrement bombée et ressemble quelque peu à une goutte de suif froide.
- GOUTTE FROIDE. — La goutte froide est un défaut grave qui se produit dans une >ièee de fonte et qui en diminue considéra-dement la résistance.
- GOUTTIÈRE. — En carrosserie, une gouttière (ou plus exactement un jet d'eau) estune petite moulure en bois, faisant, saillie de G à 7 millimètres, (pii est posée au-dessus des glaces d’avant, dans une voiture fermée. Elle a pour utilité d’empèclier la pluie de couler sur les glaces « en brouillant » la vue des personnes occupant les places d’intérieur.
- On place quelquefois aussi, sur les cotés latéraux des voitures fermées, des gouttières métalliques, de plus grande dimension, qui sont lixées au pavillon et remplissent le même but. — La lunette (petite ouverture percée dans le panneau arrière et munie d'une glace) est elle-même ordinairement entourée d’un cadre métallique en forme de gouttière.
- — On appelle parfois gouttière une sorte de tablier inférieur, une grande plaque de Voie cintrée, placée sous la voiture, allant d'un longeron à l'autre et souvent démontable, qui protège contre l'eau et la boue le dessous du moteur et tous les organes mécaniques situés sous le véhicule automobile. Quelques personnes le désignent sous le nom de cuirasse.
- GOUVERNAIL. — M ot synonyme de guidon, mais 1res rarement usité. Ce terme était employé spécialement pour le grand bicycle et quelquefois pour la bicyclette.
- GOUVERNEUR, outillage de précision, filières, machines à tarauder, 99, rue des Couronnes, Paris.
- GOUX, garage, commerce d’automobiles, 20, avenue de la Gare, â Epinal (Vosges).
- GOVAN, changement de vitesse. — Voir Ilozicr, à Glascow (Angleterre).
- GO YARD, articles de voyage, 233, rue Saint-Honoré, Paris.
- GOYON, motocyclettes, G5, avenue de La Bourdonnais, Paris. Tél. 725-15.
- GRADE. — Un grade est une mesure d'angle, une des divisions du cercle partagé en 4oo parties égales (au lieu de 3Go degrés, division usuelle). Cette façon de diviser le cercle en /joo grades, plus logique au point de vue système métrique, est employée assez
- souvent, notamment par la Marine et par le Service géographique de l’armée.
- Une circonférence = 2 tu radians, ou 3Go degrés, ou 4oo grades.
- DEGRÉS GRADES DEGRÉS « GRADES
- i vaut no valent 77)7777
- 2 valent 2,2222 80 — 88,8888
- 3 — 3,3333 90 100,0000
- /,. - IxMhh 100 111,1111
- 5 5,57)0"» 120 133,3333
- G G,GGGG 1G0 *77^7777
- 7 7*7777 180 -- 200,0000
- 8 — 8,8888 200 - 222,2222
- 9 10,0000 200
- 10 - - 11,1111 270 - - 3oo,oooo
- 20 — 22,2222 3oo 333,3333
- :*o — 33,3333 320 355,5555
- f\ 0 — 3 '111 sii.iin
- OO 00,0000 35o 388,8888
- Go — GG,GGGG 3Go - 4oo,oooo
- Un grade indique aussi la centième partie d’une échelle métrique divisée en cent parties égales. On dit, par exemple : « ce thermomètre marque 30 grades [ou degrés).
- GRADIN. — Une pièce mécanique est dite en gradins, lorsque ses différentes parties sont disposées, les unes par rapport aux autres, eu forme d'escalier ; par exemple, des poulies de différents diamètres montées sur un même arbre de transmission.
- GRADUER. — Graduer, c’est diviser une longueur ou un volume en plusieurs parties égales, c’est marquer des grades ou des degrés sur un cercle..., <( graduer une tige métallique, un réservoir », etc.
- GRAF et STIFT, const ruct ion d'automobiles, 70, Weinbcrggasse, à Vienne (Autriche). Tél. 20“/j2/1. Adr. tél. Grâf, Stift-Wien XIX.
- GRAFFAN (C.), machines-outils, pièces dé'achées pour automobiles, l\, Grande-Rue, au Grand-Montrouge (Seine). Tél. 712-/17.
- GRAHAM C°, tampons à ressorts pour la suspension des wagons et tramways, à Boston (Etats-Unis).
- GRAIN. — Rondelle d’acier trempé, généralement de forme lenticulaire, servant de butée à un arbre dans une crapaudinc ou dans un palier de butée.
- — Grain. —Ancien poids français valant 1/24 de scrupule, soit o gramme, o53.
- — Grain d'orge. — Outil à main et outil de tour, ayant son extrémité taillée en forme d’angle aigu et servant à dresser les extrémités des pièces métalliques et à y ménager des parties angulaires.
- GRAISSEURS DUBRULLP
- 28 bis, rue Villeneuve * ni ifîHY **
- à CLICHY
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- GRAINDORGE {U électrométrie usuelle), appareils de mesures électriques, Si, boulevard Voltaire, Paris. Tel. 922-53.
- GRAISSAGE. — Au point de vue automobile, le graissage consiste dans la lubrification des pièces en mouvement dans une machine. Du bon graissage dépend en grande partie la bonne marche d'une machine. Or, le bon graissage dépend lui-même de la qualité de l'huile et de la perfection de l’appareil qui la débile et. la force à pénétrer partout. Nous ne pouvons entrer ici dans les longs détails que comporte un tel sujet.. Nous rappellerons à nos lecteurs que les graisseurs les plus réputés en automobile sont ceux de Dubrulle et de Henry. Nous leur rappellerons aussi le très remarquable graissage sous pression des voitures Delaunay Bellevillc.
- — Delaunay Belleville, à Saint-Denis (Seine).
- — Dubrulle, 28 bis, rue Villeneuve, Clichy-la-Garenne (Seine).
- — IIenry, 117, boul. de la Villette, Paris.
- GRAISSES. — L es matières grasses employées à titre d'agent de lubrification en automobilisme, sont constituées par des hydrocarbures visqueux, analogues à la vaseline, que l'on obtient à la fin de la distillation des pétroles (voir Pétroles et Huiles). Pour donner h ces produits une onctuosité spéciale, très adaptée au graissage, à la température ordinaire (engrenage des changements de vitesse, du différentiel, etc.), 011 les transforme le plus souvent en graisses consistantes.
- GRAISSEURS. — De nombreux constructeurs font la lubrification des organes de leurs voitures par de la graisse.
- G G H
- Graisseurs Stauffku
- Cette graisse étant dure et ne devant d’ailleurs se consommer que progressivement, il a fallu trouver pour ces petits graisseurs un dispositif qui exerçât constamment sur la graisse une pression et la forçât à venir sans arrêt au contact des points à lubrifier.
- Le graisseur Stauffer ou compresseur est l'adroite réalisation de cette idée. 11 se compose d’un chapeau G qu’on remplit entièrement de graisse ; cela fait, on le visse sur son embase E. La graisse H, so trouvant ainsi comprimée entre le chapeau et l’em-
- base, no peut s’échapper que par l’orifice O qui la conduit au point à lubrifier.
- Les compresseurs de graisse existent en modèles innombrables; ils sont tous basés sur le même principe.
- — Desponts, 100, rue Victor-Hugo, à Le-vallois-Perrel (Seine).
- — Dubrulle, 28 bis, rue Villeneuve, à Cliehy (Seine).
- — Henry, 177, boul. de la VilleUe, Paris.
- — Hirsch (Etienne), 26, rue de Crussol, Paris.
- — 1 Iijssenot et Raynaud, 89, rue de la Boétie, Paris.
- GRAMME (symbole: <7).— Unité de mesure de poids. Depuis 1881, le gramme est Yuniié de masse ainsi défini : la masse d’un centimètre cube d’eau chimiquement pure, pesée dans le vide, à la température de f\ degrés centigrades (température du maximum de densité de l’eau). Pratiquement, les physiciens considèrent le gramme comme étant la millième partie de la masse du bloc de platine iridié qui est conservé au Bureau des Poids et Mesures et qui a été nommé Kilogramme international.
- Le gramme, on poids du centimètre cube d’eau, à Paris, vaut 981 dynes. Le gramme vaut 15,4323 grains troy (Angleterre).
- — Gramme-degré. — Unité de masse et de température auxquelles on rapporte la chaleur spécifique ou capacité calorifique des différents corps. La quantité de chaleur qu'il faut céder à un gramme d'un corps pour élever sa température de 1 degre ou sa capacité calorifique par gramme-degré s’appelle petite calorie, pour la distinguer de la (grande calorie qui correspond au kilogramme-degré.
- GRAMME (Société), moteurs et appareils électriques, accumulateurs, petites dynamos spéciales pour l’éclairage direct des voitures automobiles, 20, rue d’ilautpoul, Paris. Tél. !\02-01. Adr. tel. Gramme-Paris. — Société Anonyme, au capital de 2 3oo 000 francs. Directeur et président du Conseil d'administration : M. Javaux ; sous-directeur: M. Alfred Barbou.
- GRAMMONT (Alexandre), à Ponl-de-Chéruy (Isère). Adr. tél. Grammont-Pont-de-Ghéruy. Affinage et laminage de métaux ; câbles; caoutchouc industriel et pneumatiques; installation de stations électriques, dynamos.
- GRAND, commerce d'automobiles, garage, â Lons-lc-Saulnier (.Jura).
- GRAND PALACE GARAGE , commerce d’automobiles, 71, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- GRANDE MAISON (A la), vêtements de sports, 7, rue Croix-des-Petits-Champs, Paris. Tél. i3i-Go.
- HUSSENOT s RAYNAUD
- FOURNITURES GÉNÉRALES pour Automobiles
- Voir aux Annonces.
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- GRANGE, modeleur sur bois, 17, rue Marqfoy, Paris. '
- GRAPHIQUE (Calcul). — Procédé de calcul consistant à représenter les grandeurs à l’aide de lignes cl à faire sur c.cs lignes, que l’on donne soit en grandeur seule, soit, avec leur direction, les operations habituelles de l'arithmétique : addition, soustraction, multiplication, division, puissances, racines, etc., en se servant des théorèmes de la géométrie. On donne aux droites qui servent à ces calculs tantôt le nom de grandeurs géométriques, tantôt celui de vecteurs.
- — Graphique de marche. — Figure représentant les positions de l'objet en mouvement en fonction du temps. S'emploie en particulier dans rétablissement, et l’exploitation dos chemins de fer et des tramways.
- Le graphique de marche peut être appliqué aux automobiles pour se rendre compte du trajet parcouru et des vitesses moyennes obtenues.
- GRAPHITE. — Synonyme Plombagine ou Mine de plomb. Est constitué par une variété allotropique du carbon ou carbone dite graphitoïde, intermédiaire entre le carbone cristallisé (diamant) et le carbone amorphe (houille, charbons de bois, etc.). Le graphite est utilisé en automobilisme pour enduire (saucer) les surfaces des joints (amiante, papier), et aussi comme agent de lubrifaction à l’instar des huiles et graisses.
- GRATTAGE. —- Ajustage effectué au rattoir. Le grattoir ne permet que d’enlever e très faibles épaisseurs de métal. 11 est uniquement employé au finissage de pièces déjà ajustées par les moyens ordinaires et demandant une grande précision, telles que les glaces de tiroirs de distribution de vapeur, segments de piston, papillons de réglage, etc.
- GRATTOIR. — Outil servant à terminer complètement les pièces fi nies à la lime, à relever leurs dernières aspérités ou à tracer de petites cavités, de petits canaux, pour assurer la circulation de l'huile dans les coussinets ou autres pièces analogues.
- Les grattoirs ont des formes très différentes suivant le travail auquel ils sont destinés. Le grattoir le plus employé est le grattoir triangulaire qui, formant un excellent outil, est fabriqué couramment avec un vieux tiers-]Mint qui est trempé très dur, all'uté, puis passé à la pierre à l’huile.
- GRAUER et Ci0 (Etablissements), produits pour polir, carbure de calcium, 76, boulevard Richard-Lenoir, Paris. Tel. 901-06.
- GRA VIGNY (Usines de), fabrique de jantes, à Gravigny (Eure), et 4 G rue de l’Echiquier, Paris. Tél. 113-34-
- GRAY and DAVIS, fabrique de phares, àAmesbury (Massachusetts), Etats-Unis.
- GRAZIA et FIORINI. garage, commerce d’automobiles, 17, via lndipendenza, a Pologne (Italie).
- GRAZIANI et C‘°, con mcrce d’automobiles. G, via San-Pietro, à Padoue (Italie).
- GRAY MOTOR C°, fabrique de moteurs de marine, à Détroit (Michigan), Etats-Unis.
- GREEN and HOUCK, fabrique de phares « The Autoclipse », 7, Snow llill, Londres (Angleterre).
- GRÉGAUD, antidérapants. — Voir Long /ils.
- GREGOIRE, garage, commerce d'automobiles, rue Bull'on, à Angers (Maine-et-Loire).
- GRÉGOIRE (Automobiles), Société Anonyme, au capital de 1200000 francs, 55, boulevard Devaux, à Poissy (Seine-et-Oise). Tél. 24. Adr. tél. Grégoire-Poissy. — Siège social : 21, rue Godot-de-Mauroi, Paris. — Président du Conseil d’administration : M. J. Lamaizière ; administrateur-délégué : M. .1. Grégoire.
- — Caractéristiques des châssis Grégoire et Cl°, pour 4907 :
- Moteur Cylindres Alésage Course
- 8 X 10 chevaux 2 90 120
- 10 X >4 chevaux 4 >5 100
- i4X20 chevaux 4 90 120
- Soupapes commandées, au 8X 10 et au i j X20 chevaux. — Vilebrequin monté à billes. — Transmission par cardan. — Changements de vitesse à 1 baladeur (à 2 baladeurs, dans le i,jx 20 chevaux). — Pont arrière à billes. — Deux freins. — Châssis embouti. — Roues bois.
- GREMAUD (Joseph) , commerce d’automobiles, à Bulle (Suisse).
- GRENADE HARDEN {Société Française delà), fabrique d’extincteurs d’incendie, 53, rue des Matlmrins, Paris. Tél. i52-2.5.
- GRENIER et MERCIER, fabrique de radiateurs, 233, boulevard Voltaire, Paris.
- GRESSE-AUTOMOBIL.ES, commerce d'automobiles, 22, rue Tailbout, Paris. Tél. 234-38.
- GRÈVE et C'\ fabrique de jantes en bois, à Bourg-de-Péage (Drôme).
- GRIÈS et HUET, voitureltes Express, à Lille-Saint-Maurice (Nord).
- GRIEU et BÉNÈCHE, pièces détachées pour automobiles, 99, rue de Flandre, Paris. Tél. 423~91.
- GRIFFAULT, accessoires pour auto-mobileâ,, bougies, 120, boulevard de Cour-celles, Paris. Tél. 505-4".
- OMNI A
- 20, rue Duret, PARIS
- Rédacteur en Chef.: L. BAUDRY de SAUNIER
- est le meilleur journal d’automobile
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- C. Il I
- G K 0
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- GRIFFAULT, capotes, dais, pare-brise, 274, route de la Révolte, à Lcvallois-Pcrret (Seine). Tel. 563-44- Adr. tel. GrifJaulL-Le-vallois-Perrct.—'Directeur: M. Ch. Brunard.
- GRIFFE. — La griffe, qui sert aux forgerons pour cintrer le fer (fig. 1) est d’un emploi frequent en mécanique : elle sert pour redresser une pièce, un marchepied, pour cintrer une tige, etc. C’est un outil très simple, composé d'une barre de fer, à la tète de laquelle sont deux forts tenons A et B, ou A’ et B’, très saillants ; l’écartement des tenons est proportionné à la pièce qu’on veut cintrer.
- Pour s’en servir, on place la pièce dans la mâchoire fixe que forment les deux tenons et on agit sur le levier. O11 emploie très souvent
- Fig 3.
- deux griffes simultanément, en opposant l’effet de l’une à celui de l'autre.
- La griffe de plombier-zingueur (fig. 2), recourbée et taillée en biseau, sert à couper le zinc en feuilles.
- Dans la marine, on donne le nom de griffes aux crocs qui terminent les palans (fig. 3).
- O11 appelle griffes, en mécanique, les dents terminant un manchon pouvant coulisser le long d’un arbre et destinées à produire l'entraînement du manchon analogue, placé dans le prolongement du premier. Les manchons à griffes ne sont donc autre chose qu'un emorayage non progressif. On les rencontre notamment en automobile où ils assurent la « prise directe » en grande vitesse. — Voir Boite des vitesses.
- GRIFFON (Soci été), cycles, motocyclettes et tricars, /|0, rue Louis-Blanc, à Courbevoie (Seine). Tel. 5q. Adr. tel. Griffon-Courbevoie ; et 22. avenue de la Grande-Armée, Paris. Société de constructions mécaniques, au capital de 5 000000 de francs. — Directeur : M. Mathieu. — Concessionnaires des moteurs Zedel.
- Les différents types que cette Société établit pour la saison 1907 sont les suivants
- motocyclettes un cylindre, 2 chevaux 3/4 et 3 chevaux 1/2 ; motocyclettes 2 cylindres,
- 3 chevaux 1/2 et 5 chevaux; tri-cars moteur
- 4 chevaux avec refroidissement par circulation d’eau.
- GRIGAUT, garage, commerce d'automobiles, 68, rue du Connétable, à Chantilly (Oise).
- GRIL Aîné, garage, commerce d'automobiles, 36, rue Carnot, à Poitiers (Vienne).
- GRIMAR (F ), machines-outils, 32, passage Raoul, Paris. Tél. 924-72.
- GRIMAULT, LE SOUFACHÉ et FELIX, mécaniciens, construction de moteurs, 66, quai de Jemmapes, Paris. Tél.
- 421-99.
- GRIMMEISEN (Ch. et G.) et GUYOT
- (/!.), pliures, radiateurs, réservoirs, 92, rue du Faubourg-du-Temnle (1, passage Piver), Paris. Tél. 936-82.
- GRIMOIN-SANSON («.), automobiles et moteurs, i32, avenue d’Orléans, Paris.
- GRIPPER. — Deux surfaces frottantes grippent lorsque, par suite d'un échauffe-ment, d’un manque d'huile, d'une trop grande surcharge, ou, pour toutes ces causes réunies, le frottement devient suffisamment énergique pour altérer les surfaces en contact jui se rayent et se détériorent mutuellement.
- GRIS, ingénieur ; directeur de la Société Anonyme des Automobiles de la Buire, 8, rue Victor-IIugo, «à Lyon (Rhône).
- GRISARD et RICAT, fonderie de fer pour automobiles, à Vrigne-aux-Bois (Ardennes); et 2, rue Albouy, Paris.
- GRISET, fonderie d’aluminium, plaqué d'argent, pour lanternes, 123, rue Oberkampf, Paris. Tél. 902-01.
- GRIVOLAS, compteurs de tours, baromètres et thermomètres enregistreurs, 324, rue Saint-Martin, Paris. Tél. 267-48.
- GRIVOLAS (Société), construction d'appareils électriques, 16, rue Montgolfier, Paris.
- GRŒNER, allumage Auto-Teil, 65, rue de Turcnne, Paris.
- GROS, président du Conseil d’administration des Automobiles de la Buire, 8, r. Victor-llugo, à Lyon (Rhône).
- GROS (F.), châssis automobile à 6 roues, 56, boulevard Barbés, Paris.
- GROS, garage, commerce d’automobiles, 3o, quai de Coligny, à Cherbourg (Manche).
- GROS, construction de moteurs pour motocyclettes, 9, rue des Immeubles-Industriels, Paris.
- EXIGEZ
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- Roue libre et FREIN
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- GROS (Claudius), ne à Lyon, le 2 octobre i855. — Directeur des Usines P'oré-ziennes, découpage et emboutissage de tous
- métaux ; spécialité do moyeux emboutis et do pignons en acier découpé, 21, rue de Champagne, à Sa i n t-E t i c n n e (Loire). — Cette importante maison , l'ondée en 1900, s'est spécialisée dans la fa-brication des piè-c e s détachées : elle occupe actuellement plus de 200 ouvriers.
- GROSE (The New ), antidérapants, à N01 thampton (Angleterre).
- GROSLIER, caoutchouc manufacturé, réparations de pneumatiques, 207, boulevard Voltaire, Paris.
- GROSNE (Anciens ateliers de la), motocyclettes. — Voir C/ui]>elle (de la) frères et Vandelet, Paris.
- GROSSELIN, protecteurs de peumati-ques, 20, rue de Londres, Paris. Tél. i34-2y-
- GROUPES ÉLECTROGÈNES. —
- Blocs composés d'un moteur et d’une dvnamo ! et de leurs annexes et destinés à engendrer I un courant électrique (notamment pour l'éclairage). Les groupes électrogènes permettent aux particuliers éloignés de toute source électrique de « l'aire » eux-memes leur lumière.
- — Aiuès, ,‘hj, quai d'Argenteuil, à Villcneuve-la-Garenne.
- — Behliet, 12, chemin des Qualrc-Mai-sons, à Lyon (Rhône).
- — - Clé.ment-Bayaiid, quai Michelet, à Leval-lois-Perrct t^Seine).
- — Clément-Gladiatoh, au Pré-Saint-Gervais (SeincL
- I)ei,aunay Beli.eville, usine de l’Ermitage, à Saint-Denis (Seine).
- — De Dikthicii et O", 12, av. de Madrid, Neuilly.
- — Diî Dion-Bouton, 36, quai National, à Puteaux (Seine).
- — Heinz ctCi0, accumulateurs, 27, rue Gavé, à Levallois-Perret (Seine).
- —Renault Eiièhes, 13g, r. du Point-du-Jour, à Billancourt (Seine).
- — Rochet—Schneideii, 5^, chemin Feuillat, à Lyon (Rhône).
- GROUT, fabrique de meules on grès, g5, rue de la Roquette, Paris. Tél. 920-20.
- j GROUT BROTHERS AUTOMOBILE C°, construction d’automol)iles“Grout”, à Orange (Massachusetts), Etats-Unis.
- GROUVELLiJw/es) E;i, me d u Moulin-Vert, Paris.
- Tél. ^00-89. — Né à Paris, le 21 novembre 18/10. —
- Chevalier do la Légion d'honneur; oflicicr d’Acadé-mie. —Professeur du cours de physique industrielle à l’Ecole Centrale.
- Ingénieur - cons -Iructeur (t appareils do chaulfagc et de ventilation et d'appareils accessoires d’auLo-mohiles. —Ancien élève de l'Ecole Centrale (1861).
- Membre du jury de l'Exposition 1889; président du Comité et Grand-Prix à l’Exposition de 1900. — Associé de son frère en 1861 ; successeur en 1866. — Grand-Prix à l’Exposition de Liège.
- GROUVELLE (./.), ARQUEM-BOURG(h) etC1", ingénieurs-constructeurs, 71, rue du Moulin-Vert, Paris. Tél. ^00-89. Adr. tél. Grouvarq-Paris. Marque « G. A. ».
- La Maison Grouvclle a été fondée, en 1829, par M. Philippe Grouvclle père pour s’occu-! per de toutes les questions de chaulfagc et de ventilation. M. Jules Grouvclle, associé à son père en 1861, a dirigé seul la maison, de 1866 à. 1890, date de la formation de la So-1 ciété actuelle. — Directeur de la branche automobile : M. E. Braud.
- La Société a appliqué à l’automobile les petits tubes à ailettes inventés par elle ; puis, aux refroidisseurs, elle a successivement ajouté la fabrication d’une série d'appareils spéciaux pour automobiles, tel (pic pompes, carburateurs, régulateurs de vitesse, gonfleurs « Girip », “ doseur d’air” pour carburateurs, etc. etc., et- est devenue une des plus importantes de l'industrie automobile.
- GRUMEZ, garage, commerce d'automobiles, i/), Grande-Rue, à Monlreuil-sur-Mer (Pas-de-Calais).
- GRUMMER, carrosserie automobile, 26, rue Cambacérès, Paris. Tél. 15—-56.
- GRUN (Ilugo), commerce d'automobiles, Adolfstrasse, à Wiesbaden (Allemagne).
- GRUS (Georges-Félix), 9, boulevard Ma-lesherbes, Paris. Tél. 316-9;). — Né à Saint-Cloud, le 10 juin 1878. —Sportsman cl négociant en automobiles.. — Directeur de la maison Gras, Cabarrus et Cle.
- M. Claudius Gros.
- M. Gkouvelle.
- f TOUJOURS I ’ A IVI IVI I I A I EN ÉCRIVANT
- 1 CITER L MIX l\ UftL AUX FABRICANTS
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- GRUS (G.), CABARRUS (L.) et C'% venle d’automobiles Renault Frères, 9, boulevard Maleshcrbes, Paris. Tel. 3i6-g5. Adr. tél. Autorenos-Paris. — Succursales : plaec Mozart, à Nice, et 20, cours Lieutaud, à Marseille.
- GUANZINI, paniers pour automobiles, 15, avenue Parmentier, Paris.
- GUBERT Frères, fabrique du savon anticambouis « Saponoff », à Draguignan (Var). _
- GUÉDON (Josejth), moteurs de marine “ Monarcli ”, canots automobiles, à Bordeaux (Gironde).
- GUELDRY, pneumatique « Métallique », !\ï, rue Saint-Ferdinand, Paris. Tél. 028-0.4.
- GUÉLIN (Bandage élastique). — Voir Ramier et Muuberqué.
- GUENÉE et C1*, macbines-oulils, électro-aimants, i4, r. des Bois, Paris. Tél. /|ig-55.
- GUÉNET, bobines d’allumage, bougies, 5, rue Montmorency, Paris.
- GUENSER, garage, commerce d’automobiles, Oo, rue Mozel, à Verdun (Meuse).
- GUÉRET (C.) et Cle, moteurs, ^2, boulevard de la Gare, Paris.
- GUÉRIN, garage, commerce d’automobiles, 272, rue de Créqui, à Lyon (Rhône).
- GUERIN, garage, commerce d’automobiles, i3,r. Beylc-Stendhal, à Grenoble (Isère).
- GUERIN, commerce d’automobiles et de cycles, 3o, boulevard de la Liberté, à Draguignan (Var).
- GUÉRIN, jantes C. M., poulies de transmission pour motocyclettes, 2, rue de Pantin, à Bagnolet (Seine).
- GUERRY, motocyletles, 11 G, boulevard de Grenelle, Paris.
- GUÉTAT, refroidisseur « le Polaire », h, rue Boulard, Neuilly-sur-Seino (Seine1. Tél. 485. '
- GUÊTRE. — Appareil destiné à faire une réparation provisoire à l'enveloppe d’un pneumatique coupée accidentellement ou éclatée. La guêtre, appelée aussi manchon-guêtre, se compose d’une enveloppe en cuir ou en caoutchouc qui porte des œillets et un lacet au moyen desquels on l’applique fortement sur l’enveloppe coupée, en laçant par dessus la jante. Il est essentiel do dégonfler le pneumatique à un kilo environ avant de lacer le manchon-guètro et de le gonfler ensuite à bloc : faute de quoi, au roulement, la poussière et la boue s’introduiront entre le manchon et l’enveloppe.
- Lorsque la réparation doit être faite près du talon qui est déchiré ou arraché, il faut avoir soin d’employer la garniture spéciale destinée à cet usage.
- La guêtre est quelquefois appelée caparaçon par quelques fabricants de pneumatiques.
- C, chambre à air. — E, enveloppe. — J, jante. — L, lacet. — M, guêtre. — R, rai de la roue.
- — Bande-guêtre Continental. — Lanière en caoutchouc avec insertion de toiles, destinée à èlre roulée autour du pneumatique ayant subi une coupure, pour éviter que la chambre à air 11e fasse irruption et que la poussière et l’humidité 11’entrent. Se termine par deux lanières à boucles, permettant de fixer les deux extrémités de l’appareil aux rais de la roue. — Réparation provisoire permettant de faire environ 1 000 km. avec une enveloppe coupée.
- GUEULARD. — Dans les voitures à vapeur Scrpollet, le gueulard est une ouverture ménagée dans le panier en forme à'entonnoir par lequel s’engouffre le courant d’air produit par la marche, courant d’air qui passe par-dessous les becs du brûleur pour les alimenter.
- GUEURY, ferrures et cuivrerie pour carrosserie automobile, 1, rue de la Roquette, Paris
- GUGLIELMINETTI {Docteur), fondateur de la Ligue contre la poussière des routes. Chevalier de la Légion d’honneur, 76, avenue Malakoff, Paris.
- GUI (Le), marque de fabrique de Guille-min et Clc.
- GUIBERT, MAILLARD et Ci0, garage, commerce d’automobiles, 10 et 20, rue du Cloître-Notre-Dame, Paris. Tél. 820-29.
- GUIBERT, voitures électriques, 11, cité Bertrand (90, avenue de la République), Paris.
- GUICHET. — Petite ouverture cylindrique ménagée dans un tube ou dans une pièce mécanique, et fermée ou non par un cache-poussière ou par un petit clapet automatique. — Voir Volet.
- ADTOMOBILES ROCHET-SCHNEIDER
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- GUIDE (mécanique). — On appelle guide, en mécanique, toute pièce astreignant un organe mobile à suivre la loi du mouvement, pour lequel il a été établi. Les guides les plus généralement répandus sont les guides du mouvement rectiligne.
- GUIDEROPE. — Engin aéronautique inventé par l'acronaute Green, consistant en un cordage d'un diamètre variable suivant le cube du ballon et d une longueur de (io à i (jo mètres qui sert à équilibrer le ballon près du sol ou de l’eau et à faciliter les manœuvres d'atterrissage. Dès qu'une partie du guideropc traîne à terre ou sur l'eau l'aérostat se trouve délesté d'autant et la descente se trouve ainsi modérée ou mémo enrayée.
- GUIDES. — Les guides publics jusqu’à ce jour ont été plutôt rédigés pour le véloei-pédistc <pie pour l’automobiliste ; nous n’avons pas encore vu paraître la publication absolument spéciale qui serait d’un si grand intérêt pour les touristes.
- Parmi les guides les plus connus, nous citerons : les guides Baroncclli et Berlot, très complets au point de vue de la description de la route; les guides Biedekcr, Conly et Jeanne, fournissant, beaucoup de très utiles renseignements, mais peu de détails, malheureusement, sur la route au point de vue automobile; les « Routes de France », publication de la maison T aride, classant les localités par ordre alphabétique ; Y Annuaire de route, édité par l’Automobile Club de France ; Y Annuaire du Touring-Club ; le guide Michelin et le guide Continental, ces quatre derniers ouvrages contenant, outre divers renseignements relatifs à la circulation des automobiles, une liste complète des hôtels, mécaniciens, dépôts d'essence, de pneumatiques, stations électriques, etc.
- Il ne faut pas oublier, parmi les guides, quelques publications excellentes, encore trop rares, éditées par des Syndicats d’initiative, tels (pie ceux de la Savoie, du Dauphiné et de Y Auvergne. — Voir Cartes.
- — Guides Michelin. — Michelin édite annuellement, deux guides destinés aux chauffeurs et touristes :
- Le Guide Michelin pour la France (tirage (io ooo exemplaires) paraît au printemps; il est, distribué gratuitement (franco contre le prix du port, : o fr. Go, Michelin, Clermont-Ferrand).
- Le Guide Michelin, pour la Belgique, la Hollande, le Luxembourg, l'Alsace et les bords du Iihin, est vendu i franc en France (franco i fr. Go) et distribué gratuitement, dans les pays auxquels il correspond.
- En préparation : Un guide pour la Suisse, le Tyrol et le nord de l’Italie.
- Ces guides renferment tous les renseignements indispensables aux chauffeurs et touristes ;
- Plans détaillés des villes principales, cartes,
- curiosités à voir, distances des dillércntes villes entre elles, état des roules, excursions, hôtels (prix et aménagements), mécaniciens, dépôts d’essence, liste des dépositaires du stock Michelin, douanes, bacs, etc., etc.
- Pour l’envoi de renseignements ou de corrections concernant, ces guides, écrire à Michelin-Guide, io5, boulevard Pércirc, Paris.
- — Guide-routier Continental, i46, avenue de Malakolf, Paris.
- — Guides Bædecker, librairie Ollcndorf, 5o, rue do la Chaussée-d’Antin, Paris.
- — Guides Baroncelli, guides vélocipcdi-ipies, 8, rue des Saussaies, Paris.
- . — Guides Bertot, Charles Memlcl, éditeur, 118, rue d'Assas, Paris.
- — Guides Conty, 12, rue Auber, Paris.
- Tél. 118-84.
- — Guides Joanne, édités par Hachette et Ci0, 79, boulevard Saint-Germain, Paris.
- -- Guides Miriam, n, rue de Renie, Paris.
- — Guides T aride, 18, boulevard Saint-Denis, Paris. Tél. 43G-22.
- GUIDE DU CARROSSIER (Le). — Dupont (L.), éditeur, 78, rue Roissière, Paris.
- GUIDONS ARTICULÉS. — Voir Cha-vanet, à Saint-Etienne.
- GUIDON NAUTIQUE du T. C. F.—
- Voir Pavillon nautique.
- GUIDON VÉLOCIPÉDIQUE PARISIEN (Le), 9, boulevard Saint-Denis, Paris.
- GUIGNAN Frères, transports d’automobiles, 1, rue de Rocroy, Paris. Tél. 438-o4-Adr. tél. Frcguignan-Paris.
- GUIGOU, gainerie pour automobiles, 21, rue du Cherchc-Midi, Paris.
- GUILBERT, appareils à souder, 3g, rue des Archives, Paris.
- GUILLAUME ( Paul) et MEINNIER,
- pneumatiques,
- Gi, boulevard Sébastopol , Paris.
- Tél. 219-81.
- GUILLEL-MON, h-j, boulevard Lamies,
- Paris. — Né en 1870. — Ancien élève des Hautes Etudes commerciales. — Directeur général M. (îuii.i.f.i.mon.
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- et fondé de pouvoirs de M. A. Clément (Automobiles Buyard). Ancien administrateur de la Société Anonyme d’Electricité et d’Auto-mobiles Mors, de 1898, date de sa fondation, jusqu’en kjo3. Sporlsman de la première heure ; une des notabilités du monde automobile. — Conseiller du Commerce extérieur.
- GUILLEMANT (Eve C.), chaudronnerie pour automobiles, 4o. (piai de la Loire, Paris. Tel. /|oi-C)2.
- GUILLEMANT - DISSAUX, garage, commerce d'automobiles, 26, boulevard Fré-déric-Degcorges, à Béthune (Pas-de-Calais).
- GUILLEMIN (II.) et Cie, construction d'automobiles, niari[ue “Le Gui”, 10, rue de Metz, à Courbevoie (Seine). Tel. 180, Courbevoie.
- GUILLEMOT et MORIN, malles et articles de voyage, 23, rue Saint-Koch, Paris.
- GUILLERME, ingénieur -électricien, 38, rue de Lancry, Paris. Tél. 44°'3o.
- GUILLERY et Ci0, quincaillerie pour carrosserie automobile, 10/g quai Jemmapes, Paris.
- GUILLET (Léon), 17, avenue Carnot, Paris. — Né à Saint-Nazaire, le 11 juillet 1878. — Oflieier (l'Académie. — Ingénieur-directeur des Laboratoires et Services chimiques des usines de Dion et Boulon. Docteur ès-sciences, ingénieur des Arts et Manufactures, conseil d’usines métallurgiques, membre du Comité de la Société des Ingénieurs civils de France. Correspondant de la Société d'Eucou-ragement pour l’Industrie Nationale.
- GUILLET, garage, commerce d’automobiles, avenue Malausséna, à Nice (Alpes-Maritimes).
- GUILLET Fils et Cu\ machines-outils pour la carrosserie automobile, à Auxerre (Yonne); et, a, boulevard Magenta, Paris. Tél. 4/10-29.
- GUILLIOT et Fils, machines-outils, 2, boulevard Magenta, Paris. Tél. 440-29.
- GUILLON et CÉSAR, nickelage, émaillage, 187, rue Oberkampf, Paris.
- GUILLOREAU. garage, commerce d’automobiles, 29, rue d’Alger, le Mans (Sarlhe).
- GUILLOT, moteurs et accessoires, 7/;, rue d'Alésia, Paris.
- GUILLOT, cartes routières, 18, rue do la Chaussée-d'Anlin, Paris.
- GUILLOUT, garage, commerce d'automobiles, 9, rue de la Banque, à Chàlon-sur-Saône (Saône-et-Loire).
- GUIN et Fils, garage, commerce d'automobiles, îô, rue Saint-Martin, à Nevers (Nièvre).
- GUINARD, garage, commerce d'automobiles, 3i, boulevard du Cours, à Com-piègne (Oise).
- GUINARD et Ci0, matériel de campement, articles de sport, 10, rue d’Argenleuil, Paris. Tél. 21 G-17.
- GUINEE, monnaie anglaise valant 21 shillings, soit 2O IV. 38.
- GUINET, garage, commerce d'automobiles, 2, place Paul-Bcrl, à Saint Etienne (Loire). Tél. 53a.
- GUINOT, commerce d’automobiles, 202, rue du Faubourg-Saint-Denis, Paris. Tel. 410-6 7.
- GUINOT, garage, commerce d'automobiles, 8, place de la Halle, à Senlis (Oise).
- GUIOT , carrosserie automobile, 96, rue Laurislon, Paris.
- GUIPER. — Entourer d'un ou de plusieurs tours de coton, pour l'isoler, un lil destiné au passage d'un courant électrique (dans les bobines et induits spécialement).
- GUITARD, courroie-chaîne pour motocyclettes, 11, rue du Pot-de-Fer, Paris.
- GUITEL, outilli ige, machines à percer, crics, 3o8, rue Saint-Martin, Paris. Tél. 10G-0G.
- GUITERMAN, PÉTARD and C“, Ltd,
- vulcanisation du caoutchouc, moyeu “LcTlior”, 79, rue des Archives, Paris. Tel. 22O-08.
- GUITTET (Georges), fabrique de vernis pour la carrosserie, 2, cité Paradis, Paris.
- GULLIET (Claude-Marie), 101, avenue de Saint-Germain, à Puteaux (Seine). — Né à Dolomieu, le 1er juin 1870. — Oflieier du Medjidié. — Ingénieur-électricien des usines de Dion-Bouton-, expert près les Tribunaux. — Ancien directeur des Tramways électriques de Nice, puis de Bennes; ancien ingénieur de la Compagnie Générale des Voilures à Paris.
- GUSTIN Fils aîné, fonderie d'acier et d'aluminium, à Deville (Ardennes) : agent : M. lleiser, 5, boulevard Arago, Paris.
- GUSTIN, MALHERBE et C,e, fonderie d'acier, à la Longue-IIaye, près Montbermé (Ardennes).
- GUTMANN (Alfred), machines à jet de sable, à Hambourg-Ottensen (Allemagne).
- GUTTACOL (Le), bandages pneumatiques, et dissolution. —Voir Katz (Victor).
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- GUTTACHROME. — Voir Néron.
- GUTTA - PERCHA. — Mal ière résineuse, très peu élastique, d’une composition chimique voisine de celle du caoutchouc, donc mélange d’hydrocarbures solides. Se ramollit et devient fluide vers 8o°, puis redurcit par refroidissement. N'est pas vulcanisable pratiquement. Très employée comme matière isolante dans la construction des appareils électriques.
- Dépourvue d'élasticité, mais extensible et devenant plastique à une température inférieure à celle de l'ébullition de l'eau, la gutla-percha conduit mal l'électricité ; elle résiste à la plupart des acides, se dissout facilement dans le sulfure de carbone, le chloroforme, la benzine, les essences ; elle conserve scs propriétés meme à une température inférieure à o\ mais devient peu à peu cassante à l’air. — On emploie lagutla-percha comme matière isolante pour les cables ou fils électriques ; on l'utilise aussi dans la fabrication de certaines courroies de transmission, etc. (Extraits du Nouveau Larousse illustré).
- La gutta-percha, à l'état brut, est exempte de droits de douane, à son entrée en France.
- GUTTMANN (Oscar), commerce d'automobiles, 41, boulevard lïaussmann, Paris. Tél. 12/1-09. Adr. tél. Osgutt-Paris.
- GUY, pro jecteurs à acétylène, 200, rue de Grimée, Paris.
- GUYARD et MULLER, phares et lanternes, 45, rue des Vinaigriers, Paris. Tél. 4o5-io.
- GUYENOT, huiles minérales et fournitures pour usines, 1, rue du Printemps, Paris. Tél. 022-80.
- GUYON ET Ciû, fabrique de lanternes et bougies la Lucia ”, 3^, rue Sainte-Croix-de-la-Prelonnene, Paris.
- GUYONNET (Adolphe-Jules), i5G, boulevard Malesberbes, Paris. Tél. 549-78. — Né à Paris, en 1860. Décoré du Mérite agricole. —• Directeur commercial de la Société Lorraine des Etablissements de Diétvich et Cie (de Lunéville), à Neuilly-sur-Seine. — Ancien agent commercial de la Maison Parisienne, système lîenz (1896 à 1902) ; ancien directeur de Y Auto-Palace, en 1908. Membre de F Automobile-Club de France.
- GUYONNET, accessoires pour automobiles, 10, rue de Rome, Paris
- GUYOT, fils et câbles pour l'électricité, 182, boulevard de la Vilette, Paris. Tél. t\oi-/|0.
- GYMNASTIQUE DE FRANCE
- (Union des Sociétés de), 9, rue Saulnier, Paris.
- GYPTIS, fabrique d’automobiles et de moteurs. —• Voir Meynadier (P.).
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- H. — I jCtlre indiquant, que le véhicule qui la porte dépend de l'arrondissement minéralogique de Chambéry (Savoie).
- H. — Ain •évial.ion de henry (électricité).
- H. — Sj unbole de force magnétisante ; symbole d'intensité de champ.
- h. — Symbole de hauteur; symbole d'hecto; symbole d'heure.
- H.-P. — Abréviation de horse-power. — Voir ce mot.
- HAARBLEICHER (Lucien), 68, avenue d’Iéna, Paris. Tel. 5io-34. — Né à Paris, le 3 avril 187/1. Directeur commercial de la Société Anonyme d’électricité et d'automobiles Mors. Ancien élève de l’Ecole polytechnique (1896) ; fait partie de la Société Mors depuis 1898.
- HAARBLEICHER (Pau}), 68, avenue d’Iéna, Paris. Tel. ftio-3/j. — Né le 22 décembre i838. Président, du Conseil d’administration de la Société Mors.
- HACHETTE et Ci0, libraires-éditeurs, cartes et “ Atlas-Guide ”, 79, boulevard Saint-Germain, Paris. Tel. 807-68, 807-69 01,807-71. Adr. tél. Hacheci-Paris.
- HAENSEL (André), essieux et, pièces détachées, 19, rue Tréfilerie, à Saint-Etienne (Loire).
- HAESSLER et BILLARD, pièces détachées, emboutissage à façon, 20, rue des Envierges, Paris. Tél. 987-08.
- H AGEN (So ciélé Française des Camions automobiles),‘ii, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél. 56i-65. Société Anonyme au capital de 200 000 francs, fondée en igo3.
- HAGEN (Gollfried), construction de voitures élecriques, à Kalk, près Cologne-sur-le-Rbin (Allemagne).
- HAGNAUER, commerce d’automobiles, a3, rue La Boétie, Paris.
- HAGUENAUER Ainé (Les fils de M.), couleurs et, vernis pour la carrosserie, 55, rue Bichat, Paris. Tél. /|23-93.
- HAGUENAUER et BELLANGER.
- — Voir Bellanger.
- HAIGH and C°, garage, commerce d’automobiles, 56, West Street, à Sheffield (Angleterre).
- H AL AGE. — Les chemins de balaye et les digues sont interdits, en principe, aux automobiles et aux bicyclettes.
- HALBERIN et C°, lunettes pour automobilistes, /(, Anley Road West Kensing-ton Court, à Londres (Angleterre).
- HALLOT, automobiles. — Voir Giron et Cie.
- HALPHEN, accumulateurs èleet riques, 3a, rue Pierrot, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- HAM MANUFACTURING C\ fabrique de phares “llam ”, à Rochester (New-York), Etats-Unis.
- HAMBURGER, carrosserie automobile, à Râle (Suisse).
- HAMELLE (IL), mécanicien, fabricant de graisseurs ; domicile particulier, 10, rue d’Anjou, Paris. Tél. 222-81. — Officier de la Légion d’honneur.
- HAMELLE (Henry), valvoline et graisses minérales, graisseurs, machines-outils, aciers, 21, quai de Valmy, Paris. Tél. 982-16.
- HAMELLE ( llem 'y), pneumatiques, caoutchouc manufacturé, 5, rue du l’anbourg-Poissonnière, Paris. Tél. 1.48-86.
- HAMELLE (Paul), à Orléans (Loiret’). — Né à Mer (Loir-et-Cher), le 21 décembre 1863. Vice-président du Conseil de préfecture du Loiret. Licencié ès lettres et en droit. Collaborateur à plusieurs journaux sportifs.
- HAMILTON, commerce d'automobiles, 4o, rue Jean-Goujon, Paris.
- HAMM. BONNES et Ci0, carrosserie automobile, 18, rue du Rhin, Paris. Tél. 435-/|i.
- HAMMER MOTOR C°, construction d'automobiles. 1280, Majestic Building, à Détroit (Michigan), Etats-Unis.
- HAMMOND, 11, rue Brunei, Paris. — Chevalier de la Légion d’honneur. — Codirecteur de la Société « La Française ».
- HAMMOND, MOUTER et C", pièces détachées Diamant. — Voir Française (Société la), 11, rue Brunei, Paris.
- HAMON, garage, commerce d’automobiles, 9, rue de la Louvière, à Rambouillet (Seine-et-Oise).
- BOUGIE MICA (fl
- SPÉCIALE POUR MAGNETO
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- II A N
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- HANAIRE (Social é des Accumulateurs),
- 7, me Danton, à Levallois-Perret (Seine).
- HANCIAU, fournitures générales pour l'électricité, igü, rue de la Convention, Paris.
- HANCIAU (G.), “ Omnium des Assurances”, 09, rue de Cliàleandun, Paris.
- HANDICAP. — Course dans laquelle les coureurs les plus forts doivent accorder à leurs concurrents des rendements proportionnés à leurs forces respectives.
- 11 y a deux espèces de handicaps : les handicaps de temps et les handicaps de distance. Les premiers sont ceux où les rendements sont calculés en heures, minutes ou secondes ; ils sont employés dans les courses sur route où les coureurs sont trop espacés pour qu'ils puissent voir tous ensemble le starter et recevoir de lui un départ simultané. J.es seconds sont réservés aux épreuves sur piste, où tous les coureurs sont sous l’œil du starter et peuvent partir en meme temps à son signal.
- Le coureur qui a l'intégralité du temps ou de la distance à accomplir s’appelle scratch.
- HANDICAPEUR. — Commissaire des courses chargé de faire les handicaps et qui doit avoir la compétence nécessaire pour indiquer des rendements tellement bien proportionnés (pie tous les coureurs aient des chances égales de gagner la course.
- Les rendements se font généralement d’après les résultats des performances publiques des coureurs.
- HANNING (IV.), agent, de Smith et Covcntri/, machines-outils, 17, rue de Mau-beuge, Paris. Tél. 2i3-3/|.
- HANNOTEAU, nickelage cl émaillage,
- 1 G, rue Durci, Paris.
- HANNOVERSCHE ACTIEN-GUM-MIWAAREN FABRIK, fabrique de pneumatiques “Matador”, à Hanovre-Linden (Allemagne'.
- HANNOVERSCHE MASCHINEN-BRAU AKTIENGESELLSCHAFT,
- rorm Gconj Etjcslor/f, fabrique d’automobiles à vapeur, à Linden, vor llannover (Allemagne).
- HANNOYER (Léon), 3g, rue Fouqucl, à Levallois-Perret (Seine). —Ingénieur K. C. P. Essieux, ressorts et. ferrures pour automobiles, marque A. C. A. IL, 3g, rue Fouquet, à Levallois-Perret (Seine). Tél. 3o/|-G(>. Adr. tél. llannoijer-Lcvallois. Maison fondée en 18/17.
- HANRIOT i71c»é). — Né a Voûte (Haute-Saône), en 187G. A couru d’abord à bicyclette dans la région de l'Est, a pris part ensuite à différentes courses automobiles : Paris-Vienne, Circuits des Ardennes, 190a, igo3, 190/n 190.G. Détenteur des records du monde du mille, du kilomètre et des 10 kilomètres, départ arreté,
- pour voilure légère, à Oslende, en igo4-Dans la course des 10 kilomètres, a atteint la. vitesse de 12G kilomètres à l’heure ; igo4, Coupe du baron de Caters, à Doullens ; igo5, record du monde du kilomètre, à Arras, etc.
- HANRIOT et Cie, construction d'automobiles, roulements annulaires, marque 11.W., 11, rue Doscombcs, Paris. Tél. 538-o6.
- HANZER Frères, boulons , écrous, soupapes, 4, rue Baudin, à Petit-Ivry (Seine). Tél. 8oa-/|3.
- HARAUCOURT (Société Anowjme des-Fonderies et Ateliers de), pièces détachées-de fonte et d’acier, à Haraucourl (Ardennes),, et i/|, rue Godefroy, Paris. Tél. 8a3-58.
- HARBURG TIRE C", pneumatiques succursale de “ Ilarburg-YVien ”, a3a W. 38' tli. Street, à New-York (Etats-Unis).
- HARBURG-WIEN (Vereinigte Gum-mitraaren Fabriken), fabrique des pneumatiques “ Harbourg ”, à Ilarbourg (Hanovre).
- HARBURGER-EISENWERK, machines pour la fabrication du caoutchouc, pneumatiques , à llarburg-sur-Elbe ( Allemagne) ; et 22, rue de Tocqueville, Paris.
- HARDEN (Société Française des Extincteurs) “ L’Automatie ”, 33, rue des Matlmrins,. Paris. Tél. 132-aô. Adr. tél. Urborbi-Paris.
- HARDING, accessoires, courroies de-motocyclettes “ Watawata ”, 71, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- HARDY (IL), motocyclettes, i3> bis,, cours de Vincennes, Paris.
- HARDY, garage, commerce d'automobiles, place de la Mairie, à Laval (Mayenne).
- HARDY, CAPITAINE et Ci0, pièces détachées en fonte malléable, à Nouzon (Ardennes) ; et 188, rue du Faubourg-St-Martin, Paris.
- HARDY PATENT PICK C", aciers, à Shcffield (Angleterre); et 2/1, boulevard. Barbés, Paris.
- HARLAND (IV1") et Son, vernis pour la carrosserie, 29, rue Durci, Paris.
- HARMEL, TOUSSAINT et C‘“, fabrique de pneumatiques antidérapants et de-cuirs chromés pour l'automobile, 8 bis, avertie Gambetta, à Courbevoie (Seine). Tél. iGG. Adr. tél. llarmel-Courbevoie.
- HARRISON WAGON C", construction, d’automobiles, i3o, North Street, Grand Ra-pids (Michigan), Etats-Unis.
- HARTFORD RUBBER WORKS C",
- fabrique de pneumatiques, à Hartford (Connecticut) Etats-Unis.
- LES
- DEJEUNERS AUTO de
- LOUIS VUITTON
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- Il A II
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- HARTFORD SUSPENSION C\ suspension Truffaull—Hartford pour automobiles, commerce d'automobiles, 6-j, Vcstry Street, à New-York (Etats-Unis).
- HARTMANN (Hans), commerce d'automobiles, à Eisenach (Allemagne).
- HARTOG (Etablissements Georges), vernis pour la carrosserie, i(>, rue de Londres, Paris.
- HARVEY DU CROS, automobiles, i/|, Regont Street, Londres. —Voir Du Gros.
- HASBROUCK MOTOR WORKS,
- construction de moteurs, à New-London (Connecticut) Etats-Unis.
- HASENCLEVER SOHNE, machines-outils, à Düsseldori (Allemagne).
- HATCHER AUTO PARTS C°, fabri-<pie d'accessoires pour automobiles, à Cleve-land (t)bio) Etats-Unis.
- HATTERSLEY et DAVIDSON,
- pompes Gompôund. — Voir Mestre et Blatgé.
- HAUBAN. — Câbles ou tubes d'acier, l'orlcment tendus par des vis ou des écrous, le long d’autres pièces de grande portée, qu'ils sont chargés de consolider en empêchant leur flexion : c est le principe de la poutre armée, très souvent utilisé dans les châssis allongés de voitures automobiles.
- HAUCHARD, garniture hydraulique Fibrc-1 uni, i!\t\, rue du Rac, Paris.
- HAUFEURT et Ci0, poudres à braser, 68, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- HAUFEURT Frères, accessoires pour automobiles, 70, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- HAUPTMANN (E leclrolechnische Fa-hrik Leipzig), construction de moteurs électriques et de dynamos, 12, Elisenstrassc, à Leipzig (Allemagne).
- HAUSER, garage, commerce d’automobiles, place de 1'I lôtel—cle-Ville, à Châlons-sur-Marne (Marne).
- HAUSLER, garage, commerce d'automobiles, 20, Thierschstrasse, à Munich (Allemagne).
- HAUSMANN, caoutchouc manufacturé et pneumatiques “ Le National ”, /|.‘3, rue Grenela, Paris. Tél. 1 /|5-q4.
- HAUTIER, automobiles, 13, rue Théophile-Gauthier, Paris. Tél. G8(i-5^.
- HAUTMONT (Ateliers de Construction et Forges d'), châssis emboutis, à llautmont (Nord) ; et 2(1, avenue Trudainc, Paris. Tél. i57-8;-
- HAWKEYE WRENCH C°, fabrique d’outils, à Marshalltown (lowa), Etats-Unis.
- HAYDEN AUTOMATIC and EQUIPMENT Cu, fabrique de pièces détachées pour l’automobile, freins, 26, Cortlandt Street, à New-York (Etats-Unis).
- HAYES (James), (Brilish Motor and Engineering C°,Lld). construction d’automobiles, 19, Ruekingham Street, Slrand, à Londres (Angleterre).
- HAYNES AUTOMOBILE C“ (The),
- construction d’automobiles, à Kokomo (I11-diana), Etats-Unis; et i^iô Broadway, à New-York.
- HAZARD, construction de pièces détachées, 29, rue des Trois-Bornes, Paris.
- H. B., 1 rein. — Voir llinstin Frères.
- H. B., réservoirs et accessoires. — Voir B ut lier et C'°, Paris.
- H. D., indicateur-compteur. —Voir Hirsch (Etienne).
- HEALY LEATHER TIRE C», fabrique d'antidérapants « llcaly », 88, Gold Street, à New-York (Etats-Unis).
- HEATH. — Gentleman ayant pris part à de nombreuses courses depuis le début de l'automobilisme. — Arrivé second dans la Coupe Yanderbilt, en 1900, sur voiture Pan-hard et Levassor.
- HEBDEN, garage, commerce d’automobiles, 3, Briggate, à Lceds (Angleterre).
- HECTO. —• (Symbole : h.). — Préfixe indiquant que l’unité est multipliée par cent : « un hectolitre - cent litres ».
- HECTOWATT-HEURE. — Unité d’énergie électrique valant 100 watts-heure. Cette unité est généralement prise comme base dans la tarification de l’énergie électrique. Les compteurs électriques sont gradués eu hectowatts et kilowatts.
- HEDIN, vernis pour la carrosserie, 3, rue Saint-Nicolas, Paris.
- HEE, garage, commerce d'automobiles, fabrique de colliers de serrage, f>-, rue José-qdiine, à Evrcux (Eure). — Adr. tél. llce-Fvreitx.
- HEINEMANN (Gebr.) , construction de machines-outils et de tours, à Saint-Gcorgeu (grand-duché de Bade).
- HEINTZ (L.), mécanicien-constructeur, 99, boulevard Diderot, Paris.
- HEINTZ-BOUCHARDEAU, garage, vente et location d’automobiles, ii/j bis, rue d'Entrai gués, à Tours (Indre-et-Loire). Tél. 2-08.
- LATEUR
- 27, rue Cavé, LEVALLOIS (Seine)
- U
- HEINZ
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- HEINZ {Alfred), 27, rue Gavé, à Lcval-lois-PeiTot (Seine). Tel. 5,iy-~>8. —Né à l’iris,
- le a/| janvier 1805. —Directeur-gérant de la Société des Accumulateurs Heinz. ----- A débuté dans l’électricité sous les ordres de Camille Faure et de J. Raffard, en 1884; a dirigé la fabrication des accumulateurs Faure (1887 à 1900); a fondé la Société Heinz en 1900.
- HEINZ [Alfred) et C'°, accumulateurs, 27, rue Gavé, à Lcvallois-Perret(Seine'). Tel. 537-58. Adr. tél. Ifeinz-Levallois. Société en commandite, fondée en 1900, au capital de 555 000 francs. Président, du conseil d’administration : M. L. Chardeyron. Membres du conseil : MM. F. d’Ilarcourt, Ch. Wildé, A. Courtant. Directeur : M. Alfred Heinz. — Accumulateurs électriques : 00 W.-II. au kilo brut; plaques Planté, etc. La Société Heinz fournit, seule, le service électrique postal de Paris dont les jf> automobiles parcourent, annuellement 000 000 kilomètres.
- HEINZE ELECTRIC C>, appareils d'allumage électriques, à Lowell (Massachusetts), Etats-Unis.
- HEISER (IF.), représentant, de la maison (Justin Fils ainé, 5, boulevard Arago, Paris.
- HELBE, marque de fabrique composée par les initiales des deux fondateurs de la maison Levecque et Ilodenreider. Construction d’automobiles, 19, rue de la Mairie, à Boulogne-sur-Seine (Seine). Tél. i(ï(>.
- HELENA, trousse démonte-jmeus. — Voir Lacoste (,/.) et C’ie.
- HELE-SHAW PATENT CLUTCH C°, Ltd, embrayages progressifs, à Liver-pool (Angleterre) ; et 3o, rue de Londres, Paris.
- HÉLICE. —Au point de vue géométrique, l'hélice cylindrique droite à pas constant est le lieu des points dont l'ordonnée et l’abscisse curviligne sont dans un rapport constant.
- Le pas est la distance qui sépare deux filets ou spires d'bélice consécutifs mesurée sur une génératrice quelconque. Une hélice est à droite ou à gauche, suivant qu’on la voit s’éloigner en tournant à droite ou à gauche lorsqu’on regarde une des bases du cylindre.
- Eu réalité, ce n’est pas l’hélice, simple ligne sans épaisseur, mais les surfaces dérivées de l'hélice, ou héliedides, qui ont reçu des applications mécaniques, telles que les vis, écrous, hélices de navires, etc. — Voir Hélicoide.
- — Hélice réversible. — On donne ce nom à des hélices spéciales appliquées à dos bateaux et dont le pas peut être, au moyen d’une disposition spéciale, modifié rapidement non seulement dans sa longueur mais moine dans sa direction. Une telle hélice donne au bateau des vitesses variables en avant,, le stop, et des vitesses variables en arrière. Elle est réversible.
- — De Jessé et C‘% 7, rue Collange, à Lc-vallois-Perrel (Seine). Hélices réversibles « Simplex » et tous accessoires pour canots automobiles.
- HÉLICE-CLUB DE FRANCE, i5,
- rue de Suresnes, Paris.
- HÉLICOIDE.-Surface engendrée parunc droite occupant une position quelconque par rapport à un axe et, se déplaçant d'un mouvement hélicoïdal autour de cet axe. — O11 distingue les hélicoidcs obliques à l'axe et les héliedides normales à l'axe, dont les applications mécaniques sont la vis à filets triangulaires et la vis à lilets carrés.
- Les hélices de navire ou hélices propulsives sont formées de surfaces courbes dérivant de l’hélicoïdc gauche sur lesquelles nous 11e pouvons fournir de données géométriques sans sortir du cadre de cet ouvrage.
- 11 en est de même des ventilateurs employés au soufflage des radiateurs sur les automobiles.
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- HELLER et COUDRAY, groupes électrogènes, 18, cité Trévise, Paris. Tel. i(i o-â;).
- HELLESEN, pile sèche. — Voir Gia-noli (L.).
- HELMKE, commerce d'automobiles, 3a, Blaubach, à Cologne (Alleinagne).
- HÉLIOS (A utomobiles). —Voir llusscnnl et Raynaud, Paris.
- HELLOUIN, garage, place de l'Ilôlel-de-Ville, à Sl-Valéry-en-Caux (Seine-Inférieure).
- HÉLOIN, garage, commerce d'aulomo-hiles. /|3, rue de Montataire, à Creil (Oise).
- HÉMERY {Victor). -- Né au Mans, le 18 novembre 187G. Débuta dans la maison Léon Bollée, où il resta pendant sept ans en qualité de dessinateur. Entra, en 1899, à la maison Darracq ; d’abord contremaître de la mise au point, il s’occupa ensuite des voitures de course. Débuta dans le Circuit du Nord en 1902. courut Paris-Madrid en 1908, le Circuit, des Ardennes belges en iqo4- Gagna (190G) le Circuit des Ardennes belges et la Coupe Vanderbilt.
- HÉNAULT, gar age, commerce' d'automobiles. rue du Poids-du-Boi, à Blois (Loir-et-Cher).
- HENDÉCAGONE ou ENDÉCA-GONE. — Figure géométrique à onze angles égaux.
- HÉNING (-1.), outillage pour automobiles, 19, rue Froidmont, à Liège (Belgique).
- HENNEBUTTE (Henri), 127, rue la Tour, Paris. — Né à Bayonne, le 2 février 1840. — A effectué de nombreux travaux chimiques concernant les produits chimiques, agricoles et industriels, notamment la baryte, les sels ammoniacaux, le sulfate de cuivre, etc. Inventeur de perfectionnements remarqués dans les carburateurs.
- HENNEGRAVE (Charles), 82, rue Bennequin, Paris. Tél. 332-35. — Né à Bré-thcnville, en août, 1807. — Ingénieur des Arts et (Manufactures. Propriétaire-directeur de la Compagnie de Fabrication française du nickel; et co-associé de l'Allumage électrique C. IL ° 1
- HENNEGRAVE et AGNUS, allumage électrique G. IL, 3o, rue Perricr, à Levallois-Perret (Seine). Tél. 532-23. Adr. tél. Chag-Lecallois. — Société en participation, fondée en avril 1904.— Fabrique de bougies et d'in-ilammaleurs, spécialité en mica. Prises de courants; interrupteurs; magnétos. Tampons d allumage. Bobines.
- HENNEQUIN ( Félicien-Joseph ), 42, rue de Bourgogne, Paris. — Né à Boulogne-sur-Mer, le i5 décembre 1848. Officier de la Légion d honneur ; officier de l'Instruction
- publique et, du Mérite agricole. — Chef ce bureau au Ministère de l'Intérieur, secrétaire général de la Commission extraparlementaire de la circulation des automobiles. — Membre de l'Institut, international de statistique.
- HENNOCQUE et Cie (Garage-Palace), commerce d’automobiles, 12 et 1.4, rue de Ballore et rue Bélin, h Vichy (Allier). Tél. 0-100.
- HENNOCQUE et C1” (Garage-Palace), commerce d'automobiles, place Ste-Dcvolte, à Monte-Carlo (Principauté de Monaco).
- HÉNON (Albert), propriétaire des usines Albert llénon /ils, à Cons-la-Grandville (.,r-dennes). — Né le 21 février 18(19.
- HÉNON (Albert) Fils, à Cons-la-Grandville, par Ncufmanil (Ardennes). — Adr. tél. llénon-fils-Ncufm an il. — Châssis montés sans moteurs; pièces diverses pour châssis et carrosserie; pièces estampées. — Maison fondée en 1871.
- HÉNON Frères, ferrures pour carrosserie (inan/ue II. F.), à Cons-la-Grandville (Ardennes).
- HÉNON-HARDY (Fvo), fonderie do Ionie, à Nouzon (Ardennes) ; et 90, boulevard Beaumarchais, Paris.
- HÉNON et MESTRE , accessoires, moyeu « Torpédo » et roulements à billes F. S.-WML, 1, av. Alphand, Paris. Tél. 5^3-51. Adr. tél. Roulements-Paris. Société en nom collectif, fondée en juin 1905. — Directeur commercial et co-associé : M. E. Mestre.
- HENRICKS NOVELTY C", construction de magnétos, 181 S. Capital avenue, à lndianopolis (Imliana), Etats-Unis.
- HENRIOD et C,e, voilures et canots automobiles, 117, avenue du Boule, Neuilly-sur-Seine (Seine). Tél. 29G.
- HENRIONNET, garage, commerce d'automobiles, i34, boulevard de la Bochelle, à Bar-lc-Duc (Meuse).
- HENRIQUE (Jean-Frédéric), !\i, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél. 070-19.
- — Né à Cuba, le 28 août i803. Constructeur électricien. Ancien directeur en Russie de la Société française des Cycles Clément et Gla-diator. Ancien directeur du Magasin de Paris; de la même Société. — A repris, à son compte, depuis 1902, la succursale de la maison Lechmehé. Grande spécialité d'accessoires pour automobiles, piles, magnétos, accumulateurs, bougies.
- HENRY. — Unité de coefficient d’induction (appelée du nom du physicien anglais), qui sert à mesurer la valeur de la self-induc-tion et de l’induction mutuelle des circuits.
- — Voir St,- -induction.
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- -- 3y° —
- HENRY. menuisier en voitures auloi'no-bilcs, (>7, boulevard de Coureelles, Paris.
- HENRY (P.), machines à nieuler, 21, passage des Favorites, Paris.
- HENRY (/{.'), appareils de graissage, 117, boulevard delà Vil lotie, Paris. Tel. l\ 18-00. Adr. tel. Oléopolym-Paris. Maison l'ondée en 1860. Directeur technique : M. Hochgesaud.
- — Appareils de graissage de construction perfectionnée, brevetés S. Cl. D. (l.,pour lotîtes machines et automobiles.
- HENRY, LENUD et Cic, lampes élee-tritpies pour automobiles, 5i, rue de Tu— renne, Paris.
- HENSEMBERGER (Giovanni), fabrique d'accumulateurs électriques, à Monza (Lombardie), Italie.
- HÉRALD MOTOR C°, Ltd, [The . I nqlo-Erench), construction d'automobiles et de moteurs, 29, avenue de la tlrande-Armée, Paris. Tt'-l. (>79-34. Adr. tel. Herald ic-Paris ; et. i), rue Carnot, à Lcvallois-Penvl, Seine. Tel. 558-^5.
- HÉRAULT, antidérapants, “ Cercle Vitesse”, J20, boulevard Magenta. Paris. Tel. /|33-^0. — Usine à Béthisy (Oise),
- HERBERT, machines-outils, /j7, boulevard Magenta, Paris. Tel.
- HERCHER, garage, commerce d'automobiles, place des Arts, à Rouen (Seine-Inférieure).
- HERCULE, dy namos et électro-moteurs. \’oir Lulèce Electrique, Paris.
- HERCULE (Collet), colliers de serrage pour tuyaux. —• Voir Erench-Brewsler.
- HERCULES, antidérapant. — Voir He-nouurd et G'0, à Suresncs.
- HERDTLÉ et BRUNE AU, motocyclettes légères avec moteurs à ailettes ou à refroidissement à eau, allumage par magnétos, accumulateurs, 38 bis, rue de la Chine, Paris. Tel. <jio-/|3.
- HERING und RICHARD, construction d'automobiles ' Rex-Simplex ”, à Ron-neluirg (Saxe-Allenbourg) ; et 97, Alcxan-drinenstrasse, à Rerlin.
- HÉRISSON (.1.), embrayage progressif.
- — Voir Y'xjuié (E.), Paris.
- HERLICQ, canots automobiles, moteurs, *' Capitaine ", 09, rue de Flandre, Paris.
- HERMANN-LACHAPELLE (Société des Atteints Etablissements), construction de canots automobiles, 31, rue Roi-uod, Paris.
- HERMÉTIC (/.’), anti-crevaison, i5, avenue Mac-Mahon, Paris.
- HERMÈS (Société Italienne d'Automobiles). Usine : 6iï, rue Laircsse, à Liège (Belgique), (à partir de mai 1907, transférée à Brcssoux-lez-Liége) ; et usine à Naples (Italie). Tél. 554-Licge. Adr. tél. Ilermès ( Liér/e ou Naples). — Société Anonyme, fondée le 10 juillet 190b, au capital de 2000000 de lires. — Président : M. le sénateur amiral Frigcrio. — Directeurs : à Liège, M. Paul llutinel, ingénieur; à Naples, M. Paul Vesca-voli, ingénieur.
- Construction d’automobiles (marque H. I. S. ,1.1, à moteur vertical à l\ cylindres jumelés, soupapes commandées, transmission à cardan.
- HERMINE DE BRETAGNE, marque de fabrique des automobiles Undcrberq cl Cw.
- HERNIE. — Gonflement anormal et localisé d’une partie de la chambre à air ou de Y enveloppe, qui peuvent éclater facilement en ce point affaibli.
- HEROLD (A), lanternes et accessoires, o, allée Erasme, à Villemomble (Seine).
- HERPIN, garage, vente d’automobiles, à Vibrave (Sarlho).
- HERST AL - LEZ - LIÈGE ( Fabrique Nationale d'Armes de querre d'), automobiles et, pièces détachées. — Voir Armes de Guerre (Fabrique Nationale d'), if>(>, avenue Malakoll’, Paris. Tél. 072-08.
- HERSTAL-LEZ-LIÉGE (,/. cl tf. Ger-kinel), fabrique de pièces détachées et d’accessoires. — Voir Gerkinet (J. et H.).
- HERTZOG (Rudolplt), vêtements de sports, 15, Brcifcrstrassc, à Berlin (Allcma-gne).
- HÉRUBEL Fils, pneumatiques, 22, rue des Arts, a Lcvallois-Perrel (Seine).
- HERVÉ (Henri), 1, rue Ilautcfeuille, Paris. — Un des ingénieurs les plus estimés dans les questions aéronautiques. Dès i88(>, traverse le Pas-de-Calais dans son ballon Le National, muni d'appareils stabilisateurs inventés par lui, demeurant, 2/1 heures au-dessus des Ilots. C’était le premier et glorieux essai de l'aéronautique maritime.
- Eu 1902, il devient, le collaborateur du comte de La Vaulx, converti à ses idées, et exécute avec lui eu 1902-03-0/1, avec les Méditerranéen Ici II, des expériences de déviation dépendante et indépendante au cours desquels fut, établi, par !\i h. .V, le record de durée en ballon.
- Un lui doit en outre une ancre excellente, dite « à jas actif », une étude de dirigeable stabilisé par gouvernail pneumatique, de nombreuses et savantes études techniques parues dans la Revue del'Aéronautique, etc...
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- HERVE, garage, ronmierre d'automc-bilcs, 29, place de l'Ilotcl-de-Ville, à Yvclot (Seine-Inférieure).
- HERVÉ et LAEMMENHIRT, dessinateurs industriels, o!\, rue de Bondy, Paris. Tel. /|o3-58.
- HERVEIN - TYBERGHEIN, garage, commerce d’automobiles el de cycles, t\, rue des Ursulines, à Tourcoing (Nord).
- HERZ and C°, appareils d'allumage, ao3, Balayette streel, à New-York (Etats-Unis).
- HESLOUIN, nickelage, cuivrage, b, impasse Saint-Ambroise, Paris.
- HESS et PERINO, garage, commerce ^d'automobiles, corso Dante, angolo via Tepolo, à Turin (Italie).
- HESSELMAN and C°, garage, commerce d’automobiles, à Melbourne (Australie).
- HEULIN, vente et réparations d’automobiles, rue Leroy, à Mondoubleau (Loir-et-Cher).
- HEURE (Symbole: h). — L’heure légale en France et en Algérie est l'heuro “ temps moyen ” de Paris (heure de l’Observatoire), suivant la loi du i5 mars 1891. C’est l'heure indiquée par les horloges extérieures des gares de chemin de fer.
- L’heure légale pour l'Angleterre, la Belgique, la Hollande, l'Espagne, est l'heure de l Europe Occidentale (“ temps moyen ” de Greenwich), cpii retarde de 9 minutes 21 sur l'heure légale française.
- L’heure légale pour l’Allemagne, l’Autri-che-Hongric, le Danemark, l’Italie, la Suisse, est l'heure de l'Europe Centrale, qui avance de 5o minutes 3g sur l’heuro légale française.
- Au même instant, l'heure de Paris est plus petite que dans un lieu à l’est el, plus grande que dans un lieu à l’ouest. Le temps moyen d’un lieu s’exprime en temps de Paris à l'aide de la longitude géographique de ce lieu, réduite en temps.
- Ainsi, pour un lieu à l'est de Paris, il faut retrancher sa longitude en temps du temps donné, et l'on aura l'heure correspondante de Paris: si le lieu est à Y ouest de Paris, au temps donné, il faut ajouter sa longitude en temps, et la somme sera l'heure de Paris. {Extraits de la Connaissance des Temps).
- HEURTAUX, outillage pour automobiles, 09, avenue de Clioisy, Paris.
- HEURTEQUIN.
- •d’une fusée de voiture contre laquelle vient s’appuyer une des joues du moyeu de la roue.
- — Voir Larousse illustré.
- HEXAGONE. — Polygone de six côtés — L’hexagone régulier, inscrit dans un cercle, a comme cotés le rayon meme du cercle, l’angle au centre étant de (io°, puisqu'il correspond au sixième de la circonférence.
- HEXE {Automobiles). —
- Yoiivl chcnbach and C° (Allemagne).
- HEYMANN, accumulateurs électriques “Saturne”, 19, avenue de la Uépublique, Paris.
- H. F. “CAR” VULCANIZER, appareils à vulcaniser les pneumatiques. — Voir Frost (Harvey1 and C", Angleterre; et Brown. Brothers, Paris.
- HIARD, machines-outils, 5(5, avenue de Clioisy, Paris.
- HILAIRE, garage, commerce d’automobiles, /|, rue Saint-Dominique, àNimes (Gard).
- HILBIG et Cie, outillage pour automobiles, 18, rue Sauvai, Paris. Té). 210-80.
- HILD 1/?.), accessoires, robinets d’essence à serrure, à Norwaek (Connecticut), Etats-Unis.
- HILFIGER, garage, commerce d’automobiles, 20, Judengasse, à Colmar (Alsace-Lorraine).
- HILOIRE. — Pièce, généralement, en l'renc ou en teck, formant le rebord du cockpit d'un canot automobile.
- HINSTIN Frères, accessoires pour automobiles, 2ü3, rue du Faubourg-Saint-Denis, Paris. Tel. t\!\'ù-yj.
- HINSTIN {Paul) et LEHMANN (.1.), machines-outils, 10, rue Béranger, Paris.
- HIRONDELLE (Lj, cycles. — Voir Armes el Cycles {Manufacture (T), à Saint-Etienne.
- HIRSCH (EtienneL 2(1, rue de Crussol, Paris. — Né à Paris, le i3 décembre i853. Spécialisé avec succès, depuis 189-, dans l'étude des pièces et accessoires pratiques pour l’automobile. Lampes électriques E. II. Boulons Desacres. Indicateur compteur II. D. Graisseurs Sccuritas. Bougies E. I. C.
- HIRSCHMANN (Mathieu), vente de pneumatiques, achat de déchets de caoutchouc, 2, rue de Marseille, Paris. Tél. 410-/17. Adr. tel. Scrap-Paris.
- — Embase cylindrique
- F, fusée de la roue. — H, lieurtequin.
- Boulons et Ecrous indesserrables DESACRES, Brevetés S. G. 0. G.
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- HIRSON (Soci été Anonyme des Fonderies d’), pièces dé lâchées, à Flirson (Aisne) ; et 8, me Dieu, Paris.
- HIRT iAlbert), moteurs à pétrole, 56, boulevard Magenta, Paris. Tel. 44o-46.
- HIRTZ, MICHEL-LÉVY et BLOCH,
- pneumatiques “Dynamic”, caoutchouc manu facturé, 34, rue Piat, Paris. Tel. y35-i6. Adr. tél. Bapiamel-Paris.
- H. I. S. A. (Automobiles1. —Voir Hermès (Société Italienne d'Automobiles).
- HISPANO-SUIZA (L a), construction d'automobiles, système “Birkigt”, 54, Flori-dablanca, à Parcelone (Espagne).
- HIVERGE et Cin, fonderie d'acier u Fcra-cier”, y, rue (hindou, Paris. Tél. 8oy-8o.
- H. M. E- (Accumulateurs électriques), 2, rue Ilippolyte-Lebas, Paris. Tél. i.jo-ho.
- H. M. L., crics, lanternes, bougies. — Voir Miller (IB), à Ilazebrouck.
- HQCHGESAND {Jean), i3y, boulevard de la Villcttc, Paris. — ISé à Mayence, le 6 septembre 1802. Directeur technique de la maison R. Henry. Inventeur du graisseur avec arrêt et mise en marche instantanée par le « bouton à bascule », appareil universellement connu et employé, ainsi que de nombreux appareils basés sur les mômes principes.
- HOCHON, vannerie pour automobiles, 10, rue Pierre-Lcscot, Paris. Tél. 216-88.
- HOFFECKER SPEED and MILE REGISTER C”, indicateurs de vitesse, Parle square Motor Mari, à Hoston (Massachusetts), Etats-Unis.
- HOFFER (F.), représentant de Kugel/'a-brik Fischer, billes d'acier, 38 bis, rue Vi-vienne, Paris.
- HOFFMANN, billes d'acier. — Voir liollet et Ch>.
- HOFFMANN Mfg C°, Ldt, roulements à billes, à Chelmsford (Essex), Angleterre.
- HOLDAM (Joint de). — Synonyme de Cardan (joint de).
- HOLDEN et Fils, cuirs pour la carrosserie, 18, rue Cauniartin, Paris.
- HOLDEN and Sons, Ltd, vernis pour carrosserie, à Birmingham (Angleterre); et n'\ rue du Bailly, à la Plaine-Saint-Denis (Seine). Tél. 424-08.
- HOLDFAST, rivets tubulaires. — Voir United Shoe Mfg Cv.
- HOLLAND AUTOMOBILE, commerce d’automobiles, 5i, Stationsweg, à la Haye (Hollande).
- HOLLAND PARK MOTOR C°, commerce d’automobiles, 124, Holland Parle avenue, à Londres (Angleterre).
- HOLLEY BROS C°, carburateurs, 664, Beaubien Street, à Détroit (Michigan), Etats-Unis.
- HOLLEY et C16, commerce d’automobiles, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- HOLMES-SCHMIDT MOTOR C°,
- vente d’automobiles “ Glidc ”, i5oa, Michigan avenue, à Chicago (Etats-Unis).
- HOLSMAN AUTOMOBILE C°, construction d'automobiles, à Chicago (Illinois), Etats-Unis.
- HOL TAN C°, commerce d'automobiles, Broadway et 56 lli. Street., à New-York (Etats-Unis).
- HOLTZER (Jacob), et Ci0, aciers fondus et corroyés, pièces de forge, 43, rue des Marais, Paris. Tél. 44o~49-
- HOLZ (Julius), pièces détachées, accessoires pour automobiles, 108, rue Faider, avenue Louise, à Bruxelles (Belgique).
- HOMÉCOURT (Forges d'). — Voir Ma-riïie et d’IIomécourt (Forges et Aciéries de la).
- HOMMEN (IB), bobines d’allumage, magnétos, 38, rue de Turennc, Paris. Tel. 32/1-77.
- HOMOLOGUES (Composés). — Les
- composés dits homologues sont ceux qui jouissent de propriétés physiques et chimiques analogues, bien que renfermant, un certain nombre d'atomes de carbone et d'hydrogène en plus ou en moins.
- Par exemple : les hydrocarbures méthane, élbane et propane sont homologues. De meme pour les alcools et, les phénols qui, dérivés des hydrocarbures, sont divisés en séries homologues.
- HOND (A.), outillage pour automobiles, 282, avenue Daumesnil, Paris.
- HONNET (Georges), directeur de la succursale de la Société des Automobiles Delahaye, 12, avenue de la Grande-Armée.
- HOOKE (Joint de). — Voir Cardan.
- HOPPENSTEDT, embrayages à fric-ty.n “ Hermann ’ , 23, rue d’Hautevillo, lhuis.
- HORCH und C° ( Moiorvoage-sjvet (A.-G.), construction d’automobiles, à Zwioku.: (Saxe'.
- HORME et DE LA BUIRE (Société des Etablissements de /’), ateliers de constructions mécaniques et fonderies, 6, rue Victor-Hugo, à Lyon (Rhône).
- HORMIGA, construction d’automobiles “ llormiga ”. —Voir Alvargonzàlez (D. V.), Espagne.
- HORN (Gabriel) Mfg C°, fabrique d’avertisseurs à plusieurs sons, 978, Ilamilton Street, à Cleveland (Ohio), Etats-Unis.
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- HORSELESS AGE (The), journal auto-mobile, 9, Murray Street, à New-York (Etats-Unis).
- HORSE-POWER. — Locution anglaise signifiant « cheval-puissance ». — Le horse-power, dont l’abréviation est IL P. (abréviation acceptée par snobisme et fort a la mode actuellement en France), sert à mesurer la puissance d’un moteur. Le horse-power vaut 70,9 kilogrammètres par seconde, soit 1,0189 cheval-vapeur; en chiffres ronds, on admet généralement 76 kilogrammètres (nous rappelons que le cheval-vapeur vaut 78 kilogrammètres à la seconde).
- La véritable unité de puissance, logique, officiellement reconnue, en concordance avec le système métrique, est le poncelel de 100 kilogrammètres par seconde ou le kilowatt. — Voir ces mots.
- HORSFALL and BICKHAM, construction d'automobiles, Bridgewater Works, Pendleton, Manchester (Angleterre).
- HORSTMANN, aciers , outillage , mèches, 81, rue Saint-Maur, Paris. Tel. 910-93. Adr. Tel. Acieroxo-Paris.
- HORSTMANN Fils, cuivrcrie et accessoires pour carrosserie automobile, pièces plaquées, i/jb, rue Saint-Maur, Paris. Tel. 987-18.
- HOSPITALIER (Edouard), 212 1er, boulevard Péreire, Paris. Tel. 536-02. — Né à Sedan, le 21\ août 1862. — Chevalier de la Légion (J’honneur. — Professeur à FEcole de physique et de chimie industrielles de la ville de Paris (depuis (1882) ; rédacteur en chef de PIndustrie Electrique. Co-inventeur du manographe et de l’ondographe. — Expert près le Tribunal civil de la Seine et la Cour d'appel. — Vice-président de la Commission technique de PA. C. F.
- HOTCHKIN, amortisseurs de chocs, 4020, Lake avenue, à Chicago (Illinois), Etats-Unis.
- HOTCHKISS et C1^0 (Société Anonyme des Anciens Etablissements), 23 bis, avenue des Champs-Elysées, Paris. Tel. 674-82. Adr. tél. Hotchoto-Paris. — Société Anonyme, fondée (1876-1887) au capital de 6 000 000 de francs. — Usine : 6, route de Gonesse, à Saint-Denis (Seine). — Automobiles 25-35 chevaux à 4 cylindres, 35-45 chevaux à 6 cylindres, à cardan, carburateur mécanique, changement de vitesse à 2 t rains balladcurs, très souples et silencieuses. — Marque fort réputée.
- HOTCHKISS, vente de voitures Ilotchkiss, a3i W. /,o th. Street, à New-York (Etats-Unis).
- HOTELS. — On nomme hôtels des maisons qui reçoivent les voyageurs et leur fournissent le coucher et le vivre moyennant une rétribution.
- L’hôtel est le corrélatif du voyage ; l'un ne se développe pas sans l'autre.
- HOUBEN (Théodore), antidérapants La Perfecta, à Vei'viers (Belgique). — Succursale : 28, rue Brunei, Paris. Tél. 660-26.
- HOUILLE (ou Charbon de terre). — Sous ce mot 011 désigne les nombreuses variétés minéralogiques de charbons fossiles. Les houilles sont constituées chimiquement par du carbone amorphe avec des quantités moindres de matières minérales (cendres) et de matières hydrocarbonées (hydrocarbures).
- HOUNSFIELD Fils, fabrique de mèches et d'outillage, 8, rue de Lancry, Paris.
- HOUROUX, garage, commerce d'automobiles, 3q, rue de Paris, à Avallon l Yonnej.
- HOURY (Ch.), membre fondateur de PA. C. F.
- HOURY et FILLEUL-BROHY, fils et câbles isolés pour toutes les applications de l’électricité, 60, rue de Provence, Paris. Tél. 109-36. Adr. tél. Luxois-Paris.
- HOUSE S COLD TIRE SETTER C\
- machines à cercler les roues à froid, à Saint-Louis (Etats-Unis).
- HOUSSE. — L a housse ou chemise-housse est une sorte de sac, de couverture en toile imperméable, dont on se sert pour recou-
- II, housse « Continental » protégeant l’enveloppe E. — L, lacet cio serrage.
- vrir les e?iveloppes de rechange afin de les préserver de toute atteinte nuisible avant leur emploi.
- Des housses en toile sont aussi employées assez souvent pour recouvrir les sièges d’une voiture lorsqu’ils ne sont pas occupés et pour en protéger les cuirs ou draps de nuance fragile.
- HOZIER ENGINEERING C°, Ltd,
- automobiles “ Argyll ”, à Glascow, Angleterre; et 23, rue Jiulî’ault, Paris.
- [VOITURES HOTCHKISS
- 23^ av. des Champs-Elysées
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- H. P. — Ab! Aviation de tiorse-power. — Voir ce mot.
- HUARD, machines à mouler, 53, rue des Pcrichaux, Paris. Tel. 782-75.
- HUBER {Tony), 7, avenue d'Eylau, Paris. — Né à Paris, en 187/1. — Chevalier du Mérite agricole. — Ingénieur des Arts cl Manu-i'acturcs ; gérant de la Société A. Peugeot, Tony lluber et C‘°. — Ancien gérant de la Société P. Morisse et Cle; a créé les Ateliers Tony lluber en 1902 cl fondé la Société A. Peugeot, Tony lluber et C'10, avec M. Armand Peugeot en 1900.
- HUBER {Tony), automobiles. •— Voir Peugeot (yl.), Tony lluber et O-,
- HUBERT, accumulateurs, 77, rue de Charonne, Paris.
- HUBERT, compteurs, manomètres, 2, rue Sibour, Paris. Tel. 44o-6o.
- HUBIN {F élix) {Fonderies et Laminoirs (Vilar/leur), tubes en cuivre sans soudure, à llarlleur (Seine-Inférieure); et 14, rue de Tu-renne. Paris. Tel. 202-67.
- HUCHET, fonderie de cuivre, 10, rue Claude-Vellefaux, Paris. Tél. .421-37.
- HUDSON {Piles sèches). — Voir Carbone (Société Le).
- HUE, b aromèlres altimétriques, 63, rue des Archives, Paris.
- HUET (Jules), fonderie de fer, à Viviers-au-Court (Ardennes) ; et 35o, rue des Pyrénées, Paris.
- HUET-GOUJON, commerce d’automobiles, 12, rue de la Gare, à Anccnis (Loire-Inlérieure).
- HUG {Paul), aciers, limes, 37, rue de
- Lyon, Paris. Tél. 922-09.
- HUGÉ {Paul-Joseph), 20.3, boulevard Pé-reirc, Paris. — Né à Paris, le 20 décembre 1876. —• Directeur com-mcrcial de la maison Renault frères. — Docteur en droit.
- HUGON. —
- Le premier moteur à gaz qui ait été construit et qui ait fonctionné n’est pas dû à Lenoir, ainsi qu’on l’a cru longtemps, mais bien h Ilugon qui, à l’Exposition Universelle de 1867, 11’avait pas moins de six moteurs en marche.
- Le brevet Ilugon est d’ailleurs anterieur de 18 mois à celui do Lenoir. Le moteur Ilugon fonctionnait au gaz d’éclairage ; il était à eleux temps et à double effet, c’est-à-dire que les explosions se produisaient alternativement sur l’une et sur l’autre face du piston. allumage se faisait par des becs de gaz promeneurs, et la distribution s’accomplissait par des tiroirs, comme dans une machine à vapeur.
- HUGONNET et THÉVENOD, garage, commerce d’automobiles, place de la Liberté, à Lons-le-Saunier (Jura). Tél. 0-08. Adr. tel. Autogarage-Lons-le-Saunier.
- HUGOT, consl ructcur des voiturettes « la Simplette », 68, rue Michel-Bizot. Paris.
- HUGUET {William), 76, rue Taitbout, Paris. Tél. ii2-/|5. — Officier d’Académic. — Co-dircetcur-gérant de la Société lluguet., Minart et C‘°.
- HUGUET, MINART et Ci0, agents de publicité, 4, rue Scribe, Paris. Tél. 112-45.
- HUILAGE. — Terme désignant une variété de goudronnage des routes (voir ce mot) au moyen de produits purement huileux, mais non adhésifs, tels que les huiles de pétrole.
- HUILES MINÉRALES DE GRAISSAGE. — Ces huiles sont constituées par des hydrocarbures (C"Hn) passant à la distillation des pétroles de 200° à 4oo° C.
- Les produits dits commercialement : huiles à cylindres, valvolincs, etc., sont les huiles minérales les plus consistantes et les plus butyreuses, et par conséquent conservant leurs qualités de viscosité lubrifiante jusqu’à des températures élevées ; ce sont celles qui passent vers les points les plus élevés de la distillation des pétroles. Les huiles do graissage sont plus ou moins colorées en nrun.
- — Huile A. D . — Voir Deutsch {les Fils de A.).
- — Huile D. — Voir Huiles minérales de Colombes.
- — Huile D. B. {de Dion-Bouton et C'c), fabriquée parla Pittsburg Lubricaling Oil C°, 36, quai National, à Puteaux (Seine).
- — Huile F. D. — Voir Fenaillc et Despeaux.
- — Huile “ La Préférée ”. — Voir Constant et Ci0.
- — Huiles minérales de Colombes {Société des), 60,: rue Saint-Lazare, Paris. Tél. 258-64 et 2.58-65. Usine à la Garennc-Bezons (Seine).
- — Huile P. B. — Voir Leprêlre.
- — Huile Rigal. — Voir Juillet et Ci0.
- — Huiles Vitesse (Cie des), rue des Minimes, à Courbevoie (Seine). Adr. tel. Fram-Courbevoie.
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- — Huiles loui'des et légères. — Les huiles lourdes sont des hydrocarbures à liant point d’ébullition extraits du goudron de houille (voir ce mot), qui passent à la distillation après les huiles légères, celles-ci constituées principalement par des hydrocarbures plus volatils (benzols). Les huiles légères sont utilisées pour l’obtention de la benzine, du toluène, etc., agents de production des matières colorantes artificielles. Les huiles lourdes produisent la naphtaline et analogues, puis des huiles employées en industrie (injections anl.i-putrclianlcs des bois-traverses des chemins •de fer).
- — Huiles de schistes. — Hydrocarbures plus ou moins huileux et visqueux extraits par distillation des schistes bitumineux (Ecosse, France, Autriche) ; servent à l’éclairage et au graissage.
- — Huiles de résine. — Hydrocarbures extraits par distillation à haute température de la résine (colophane). On obtient comme produits des hydrocarbures les essences usitées comme succédanés do l’essence de térébenthine. Les huiles blondes, bleues et vertes sont utilisées pour le graissage.
- — Huile de lin. — Matière grasse, de la famille des glycéridcs, d’origine végétale, extraite des graines de lin. L’huile de lin est /huile siccative par excellence, c’est-à-dire l ’huile susceptible de s’épaissir et do sécher au contact de l’air. On augmente les propriétés siccatives de l’huile do lin par un
- chauffage doux et prolongé au contact de l'air. On obtient ainsi de l’huile de lin cuite. L’huile de lin chauffée très longtemps au contact de l’air, avec ou sans réactifs oxydants, se transforme en une masse noire brunâtre, plastique et élastique, de propriétés •extérieures très semblables à celles du caoutchouc. Cette matière, dite caoutchouc des huiles, entre, à titre de « factice », comme matière additionnelle dans la composition du caoutchouc vulcanisé, bandages caoutchoutés. L’huile de lin très épaissie sert également a imbiber les feuilles de papier, de carton ou d’amiante destinées à établir les joints des cylindres des moteurs.
- — Huile de pétrole. — On désigne plus particulièrement sous ce nom les hydrocarbures du pétrole recueillis à la distillation do i5o° à 280°, ayant une densité do 0,78 à 0,81 et 11e s’enflammant qn’au-dessus de 35° C. Ces hydrocarbures, plus ou moins
- épurés et désodorisés par agitations successives avec do l’acide sulfurique puis de la soude, sont utilisés dans les appareils d’éclairage agencés sous forme de lampe à mèches et, cheminée en verre. Ils constituent l’huile solaire ou l’huile lampante, vulgairement « le pétrole », par opposition à « l’essence ».
- HUILLET et Cle, lunettes pour automobilistes, 20, rue Sainte-Croix de la Breton-nerie, Paris.
- HUILLET (L ouis), carrosserie automobile, 4, avenue Montsouris, Paris. Tél. 824-32.
- HUILLIER (Georges), 83, avenue Ma-lakolf, Paris. Tél. 682-12.—Né à Bagneux, le 12 mai 1870. Administrateur de la Société d’Electricité et d’A u tomobiles Mors. Administrateur des Etablissements J.-J.
- Carnaud et Forges de Basse-Indre. Membre du Comité de la C o m mission sportive, de tourisme, de concours, cl,c., de l’A. C. F. — Licencié en droit.
- Prit part à de n o m hrcuses courses automobiles, Paris-Dicppe, Paris-
- Trouville (icren 1897), cle- ~ Inventeur de plusieurs perfectionnements, tels que le « tonneau », le « pare-brise », etc.
- HUITRIC, garage, commerce d'automobiles. 11, rue Carnot, à Morlaix (Finistère).
- M. Georges IIuillier.
- HUMBER, Ltd, construction d’automobiles et de cycles, à Covenlrv et à Beeston (Angleterre). Agents en France : Petit (II.) et C'°, 23, avenue des Champs-Elysées, Paris. Tél. 512-09.
- HUMBER-BEESTON, cycles. — Voir Petit (II.) et C10, Paris.
- HUMBERT, garage, commerce d’automobiles , 5, rue Fruit ière, à Saint-Mihiel (Meuse).
- HUMPFNER (M.), accessoires et outillage, 1, Sachsenhauscr, à Francfort-sur-le-Mein (Allemagne).
- HUNTSMAN, aciers, 246, rue de Bercy, Paris.
- HURÉ, machines-outils pour le travail des métaux, 218, rue Lafayclte, Paris. Tél. 4o3-05. Adr. tél. IIu ) •é-Const r uct eu r-Paris.
- HURET, garage, commerce d’automobiles, 65, rue Nationale, à Lille fNord).
- HURTU (Compagnie des Automobiles), 29. avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél. 028-27. Usine à' Rueil (S.-et-O.). Maison fondée en 1899 pour succéder à la maison llurtu et. Diligeon. — Directeur: M. Poirier, ingénieur E. C. P.
- HUSSENOT (Gaston), de la maison Ilussenot et Raynaud, 39, rue La Boétie, Paris. Tél. 58o-88.
- Voilures MORS, 48, rue du Théâtre PARIS
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- HUSSENOT et RAYNAUD, 3<>, rue La Boétie, Paris. Tel. 58o-88. Adr. tel. Hdiosnot-Paris. -- Société en nom collectif, fondée ou igoS. — Fournitures générales pour automobiles; pièces détachées.—Agents pour la France de la lanterne arrière « Dépendance ».—Agents généraux de F « Auto-Alarme Weber ». — Silencieux « de Retz ».— Accumulateurs, bobines et bougies « Régin a ». — Très grand stock de toutes fournitures et pièces détachées pour automobiles.
- HUSSON, THÉVIGNOT et Cie, fers et aciers, au Closmortier (Ilaule-Marne) : et 2, place do la Sorbonne, Paris.
- HUTCHINSON (Etablissements), pneumatiques, 60. rue Saint-Lazare, Paris. Tél. iay-50 et 29(1-80. Adr. tél. Ilulchinson-Paris. Société Anonyme, fondée en 1898, au capital de 5 millions de francs. Président du Conseil d'administration : M. A. Adam, député. Directeur administratif : M. J. Sée ; directeur commercial: M. E. Ducas ; directeur technique: M. (1. Bouquillou. — Caoutchouc m mufact uré ; pneumatiques d'automobiles et de voitures ; articles de vélocipédic et de sport ; chaussures en caoutchouc, vêtements, etc., etc. — Nombreuses succursales en France et à l'Etranger.
- HUTINEL (Paul-Henri), 11G, rue Lai-ressc, à Liège (Belgique). — Né aux Riccys (Aube), le 19 mai 18G7. — Directeur-gérant de la Société Hermès, Société italienne pour la construction des automobiles. — Ancien ingénieur aux Automobiles Hochet et Schneider (1899 i\ igo3) ; ancien ingénieur en chef chez A. Clément-Bayard (de igo3 à 1906). Décédé en décembre 1906.
- HUTTIS und HARDEBECK, construction d'automobiles, à Aix-la-Chapelle (Allemagne).
- HUTTON, Ltd, commerce d'automobiles, 81, Shaftesburg avenue, à Londres W. (Angleterre). •
- H. W., pièces détachées. — Voir Hanriot et Cie.
- HYBGEN, garage, commerce d'automobiles, 1, rue des Bordes, à Provins (Seinc-et-Mnrne).
- HYDRA (Société Electrique), pile, bougie et lampe Hydra, 60, boulevard de Cli— chy, Paris. Tél. ü/1/1-88. Adr. tél. Hydra-Paris. — Société fondée en juin 189g. Directeurs : MM. E. Meyer et O. Kopp.
- HYDRA (Société de la Magnéto), siège social et usine : 34, rue Pierrot, à Neuilly-sur-Seine (Seine). — Construction de magnétos à haute et à basse tension. — Société Anonyme au capital de 80 000 francs. — Président du Conseil d’administration : M. J. Bertin ; at.ministrateur-délégué : M. A. Alphen; administrateurs : MM. R. Boas et O. Ivopp.
- HYDROCARBURES - Synonyme do carbures d'hydrogène). — Composés organiques constitués par la combinaison du carbone et de l’hydrogène. On classifie habituellement les hydrocarbures : r° en IL de la série ghasse comportant: (A) les H. saturés ou paraffiniques (générateurs des pétroles), (B) les hydrocarbures élhyléniques, (C) les hydrocarbures acétyléniques (acétylène) ; 2“ en IL de la série aiiomatique comportant benzine, toluène, naphtaline, etc. ; 3° en H. de la série terpénique, comprenant les comburants généraux de l’csscnco de térébenthine, du caoutchouc, de la gutla-percha, etc.
- HYDROGÈNE. — Métal ( gazeux). Symbole chimique 11. Poids atomique = 1. Le plus léger des gaz connus, gaz conducteur de la chaleur et de l'électricité ; est universellement répandu dans la nature eu combinaison avec l’oxygène sous la forme de protoxyde d'hydrogène ou eau (symbole IPO).
- Le mélange d’hydrogène avec l'oxygène dans la proportion de 2 volumes du premier pour 1 volume du second, constitue le composé qui, sous le minimum de poids, est susceptible do dégager par inflammation le maximum d’énergie. Il est, en effet, incomparablement plus fort quo la poudre, les nilro-glycérines, i'acide picriquo (mélinite). Celte réaction est mise à contribution, sous une forme très atténuée, dans les moteurs à explosions qui utilisent les vapeurs d’hydrogène, associées au carbone (hydrocarbure) pour les mélanger à l'oxygène, non pas pur, mais dilué dans de l’azote (provenant de l’air atmosphérique).
- HYPOTÉNUSE. — Côté d'un triangle rectangle opposé à l'angle droit, et qui est
- le plus grand des trois côtés.
- «Le carré « construit sur « Y hypoténuse « d’un triangle « rectangle est (( équivalent à « la somme des « carrés cons-« traits sur les deux autres côtés. »
- HYSLOP BROTHERS, fabrique d’accessoires pour automobiles, à Toronto (Canada) .
- HYSTÉRÉSIS. — Ce nom a été donné par le physicien anglais Ewing au phénomène de rémanence, ou de retard à la désaimantation que possède à un point très faible le fer doux et que possède à un point très grand l’acier.
- H. Z., pièces détachées. — Voir llanzer frères.
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- I. — Lettre indiquant que le véhicule qui la porte dépend de l'arrondissement minéralogique de Paris.
- I. — Symbole (l'intensité de centrant, i. — Symbole d'intensité.
- I
- E
- n
- c’est-à-dire que Yintensité d’un
- courant est égale à sa force clectromotricc divisée par la résistance du circuit dans lequel passe ce courant. (Loi de. Ohm.)
- IBIS (Automobiles), 20, rue de Cour-celles, Paris. Tel. 544-84. — Basset et Me-line, constructeurs.
- IDÉAL (Allumeur). — Voir Aufière, Paris.
- IDÉAL, antidérapant. — Voir Prient, à Marseille.
- IDÉAL, canot automobile. — Voir Robin (F.), Paris.
- IDÉAL, tri-cars et voilurettes. — Voir Bonin (/?.), Paris.
- ILIYNE-BERLINE, magnétos, accumulateurs R. I. B., 8, rue des Dunes. Paris. Tel. 421-87.
- ILLUSTRATION (U), journal hebdomadaire illustré, 13, rue Saint-Georges, Paris. Tel. i3y-3o. Directeur : M. René Baschet,. — Secrétaire de la rédaction : M. Normand.
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- IMBRECQ
- (Joseph). — 42. rue du Bac, Paris. Tcléph. 718-81. Avocat à la Cour, spécialiste en questions d’automobilisme. — Ancien collaborateur au Vélo. Collaborateur à la revue Omnia et à Y Annual Baudry r. — Auteur des ouvrages sui-
- vants : L'Automobile devant la Justice, Les IÀtie/es de l’Automobile (en collaboration avec M. Lucien Périsse) . Le Code du Chauffeur. — Avocat-conseil de plusieurs associations automobiles.
- IMMOBILE (L ), arrache-clous, 10, rue Bayard, à Toulouse (llaute-Garonnc).
- IMPÉDANCE.—L'impédance estla valeur de la résistance effective qu’oppose un circuit électrique au passage du courant alternatif. Cette résistance 11'est en effet pas égale à la résistance électrique proprement dite du circuit; outre la résistance linéaire, en effet, la self-induction et l’induction mutuelle s’opposent aussi au passage du courant et, ces effets d’induction variant d’après la fréquence, l’impédance d'une ligne à courant alternatif varie également d'après la fréquence. Les formulaires d’électricité donnent la valeur du facteur d’impédahee en fonction de la fréquence et de la distance des fils. — Voir Conducteur (courants alternatifs) et Réactance.
- IMPERATOR, antidérapant ferré. — 'Voir Babert et C10.
- IMPERIA (Automobiles). — Voir Pied-bœuf (Liège) ; et Saunion-Buisson, Paris.
- IMPERIAL MOTOR WORKS, automobiles, 5, Holdenlmrsl Road, à Bourne-mouth (Angleterre).
- IMPERIAL TYRE and RUBBER
- C°, pneumatiques, Brooke Street, Holborn E. G., Londres (Angleterre').
- IMPERIAL WHEEL C°, fabrique de roues en bois, à Flint (Michigan), Etats-Unis.
- IMPERMÉABILISATION. — Constitue l’ensemble des différents procédés susceptibles de rendre les tissus imperméables à à l’eau.
- — Belle Jardinière, 2, rue du Pont-Neuf, Paris.
- — Bergougnan et C10, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- — Michelin, Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- IMPORTATIONS. — Voir l’article Exportations.
- IMPOTS. — Toute voiture ou voilurette automobile est soumise à une taxe double : elle paie un premier droit proportionnel au
- ___^1-, .. .
- SACS CHAUFFEUR de LOUIS VUITTON
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- nombre de places qu’elle comporte et à la population de la commune où elle est imposée, et un second droit de cinq francs par clie'val ou par fraction de cheval-vapeur.
- Le tableau de ces taxes peut se présenter ainsi :
- Voitures Voitures 5 fr. par
- à à plus de cheval mi fraction
- 2 places 2 places de cheval
- Paris 5o fr. (jo fr. 5 IV.
- Communes de plus de /jo ooo
- habitants . /|() 5
- Communes cie 20 001 à /|0 000
- habitants ;io Ou 5
- Communes (le 10 001 à 20 000
- habitants 2 5 5o 5
- Communes de io ooo habitants
- et au-dessous 20 /,o 5
- A cela s'ajoute encore un droit de 5 o/o pour le fonds de non-valeurs.
- De plus, à Paris, on paie une taxe de remplacement égale à celle perçue par l’Etal ; cette taxe peut cire instituée dans toutes les autres villes qui suppriment l’octroi sur les boissons hygiéniques, sous réserve de l’autorisation préfectorale.
- Ne sont assujetties à l’impôt que les voitures servant au transport des personnes.
- En sont complètement exemptes, quoique servant au transport des personnes, les voitures faisant exclusivement le service do voitures publiques, celles possédées par les marchands de voitures et exclusivement destinées à la vente ou à la location, et celles possédées en vertu des règlements militaires.
- Bénéficient d’une exemption de moitié, les voitures habituellement employées au service de l’agriculture ou d’une profession patentée, exception faite pour certaines professions comme celles des avocats, architectes, avoués, ingénieurs civils et autres non admis à l’exemption ; les médecins et vétérinaires au contraire bénéficient de l’exemption de moitié.
- Taxe est duc pour l’année entière pour toute voiture que l’on possédait au icr janvier. Pour toute voiture acquise en cours d’année, taxe due à partir du ipr du mois pendant lequel on en est devenu possesseur. Si l’on remplace une voiture par une autre plus imposable, on doit la différence en plus à partir du ior du mois dans lequel le remplacement a eu lieu.
- Non seulement la propriété, mais la possession d’une automobile, même dont on ne se sert pas, rend passible de la taxe.
- INCANDESCENCE. — Etat d’un corps solide, liquide ou gazeux, porté à une température suffisante pour émettre des radiations lumineuses. Exemple : du fer rouge, de la fonte en fusion, la flamme d'une bougie.
- Les moteurs dont l’allumage était effectué par communication du cylindre avec un doigt de platine chauffé au rouge clair, moteurs du reste abandonnés par l’industrie automobile, élaient dit à allumage par incandescence.
- INCHAUSPÉ, moteurs, 106, avenue de la République, Paris.
- INCH OU POUCE. — Mesure anglaise de longueur, valant i/36 du yard,, ou 1/12 du pied, soit 2 cm., 53.
- INCREVABLE. — Se dit d’un pneumatique dans lequel la chambre à air est protégée contre les perforations parun dispositif quelconque (lamelles d’acier, bandes de colon, elc., etc.).
- INDIA RUBBER, GUTTA PERCHA et TELEGRAPH WORKS C°, Ltd, pneumatiques “ le Persan ” et caoutchouc manufacturé, 97, boulevard Sébastopol, Paris. Tel. i3^-G2. — Usine à Persan (Seine-et-Oise). — Maison fondée en 1854 par M. Silver qui a donné son nom à la ville de Silvertown, en Angleterre. — Siège social à Londres. — Cette Compagnie a des succursales dans le monde entier ; elle occupe 4 5oo ouvriers en Angleterre et 800 ouvriers en France et possède une véritable flottille de navires pour l’exportation de ses produits. — L’India Rubber C° fabrique les pneumatiques, le caoutchouc industriel, la gutta-percha, le câble électrique, etc., et fournit les Postes et Télégraphes de France. —- Fabrique depuis i5 ans le pneumatique “ Persan ”, universellement connu et apprécié.
- INDIAN MOTOCYCLE HENDEE
- MfÇ C°, construction de motocyclettes, à Spnngfield (Massachusetts), Etats-Unis.
- INDIANA AUTO C°, construction d’automobiles, à Indianapolis (Indiana), Etats-Unis.
- INDICATEURS DE PENTE. — Voir Glaenzer et Cl° et Chauvin et Arnoux.
- INDICATEUR DE PRESSION. —
- Appareil très utile, mais trop rarement employé, particulièrement pour indiquer la pression de l’eau exercée par la pompe ou la pression de l’air dans les chambres des pneumatiques. — Voir Gonflage et Manomètre.
- INDICATEUR DE VITESSE. — Appareil servant à indiquer à tout moment la vitesse exacte à laquelle roule la voiture sur laquelle cet appareil est monté.
- — Chauvin otl Aiinoux, 186, rue Championne!, Paris.
- — llmscii (Et.), 26, rue de Crussol, Paris.
- INDICATRICE (L‘), bobine d’allumage. — Voir Durand.
- INDUCTANCE. — Coefficient d’induction d’un circuit. L’inductance se mesure en henrys, qui valent io9 unités C.G.S. d’induc-
- PNEU LE “ PERSAN
- ” 97, Boulevard Sébastopol
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- tance. L'inductance et l'impédance (voir ce mot) interviennent dans le calcul des lignes destinées à transporter des courants alternatifs.
- INDUCTEUR. — Partie d’une dynamo ou d’une magnéto fournissant le champ magnétique nécessaire au fonctionnement de l'appareil. Dans les dynamos proprement dites, l’inducteur est un électro-aimant, et le courant produisant le champ magnétique dans l’inducteur est appelé courant d'excitation.
- Dans une magnéto, l’inducteur n’est pas un électro-aimant, mais un aimant permanent artificiel. — Voir Electro-aimant, Ampère-tour, Ligne de force, Aimant artificiel.
- INDUCTION. — Ensemble do phénomènes dont la connaissance a permis à l’industrie électrique de prendre le développement qu’on lui connaît.
- Un conducteur parcouru par un courant électrique engendre autour de lui des lignes de force; il crée un champ magnétique. Si l’on approche ce conducteur d’un autre champ magnétique, il se produit des attractions ou des répulsions suivant le cas.
- En fait, les lois de l’électro-dynamique nous apprennent que, si l’on place dans un champ magnétique un conducteur parcouru par un courant, on peut produire à volonté le déplacement soit du conducteur, soit de l’aimant. Cette constatation a une réciproque, et c’est ce te réciproque qui constitue la loi fondamentale des machines électriques.
- « Lorsqu'on déplace un conducteur dans un champ magnétique, on engendre dans ce conducteur une force électromotrice qui dure autant que le déplacement. y>
- La force électromotrice créée, il ne reste bien entendu qu’à réunir les deux extrémités du conducteur pour avoir un courant électrique.
- C’est cette action du champ magnétique sur les conducteurs que l’on désigne sous le nom d’induction électro-magnélique. La valeur de la force électromotrice induite dépend de la valeur du flux coupé par une spire, et du nombre de spires en série du conducteur. On peut donc obtenir telle valeur voulue de la force électro-motrice. — Voir Bobine, Dynamo, Magnéto, Moteur électrique.
- — Induction (Loi de 1'), — Indépendamment des lois générales énoncées par Maxwell, Lenz, Faraday, Ilelmhotz et lord Kelvin, la loi générale de Yinduction électro-magnélique s’énonce ainsi :
- Toute variation du flux de force, embrassé par un circuit fermé, donne naissance à un courant d'induction dont la durée est égale à celle de la variation du flux.
- Cette loi primordiale signifie que, lorsqu’un circuit fermé se déplace dans un champ magnétique en embrassant par la surface qu’il limite un flux qui est égal au produit de l’intensité magnétique par ladite surface, il devient siège d’un courant, à condition que son déplacement donne naissance à une variation du flux.
- INDUIT. — Partie d’une dynamo ou d’une magnéto soumise à l’influence du champ magnétique développé par Y in duc leur. Par suite des phénomènes d'induction (voir ce mot), il se crée dans les enroulements de l’induit, une force élcctromolrice (voir ce mot) qui engendre le courant électrique utilisable.
- Dans toutes les dynamos ou moteurs à courants continus, l’inducteur est fixe et l’induit mobile ; dans les alternateurs ou moteurs à courant alternatif, on emploie fréquemment la disposition inverse : inducteur tournant et induit fixe, et quelquefois même l’inducteur et l’enroulement induit fixes, le fer seul de l’induit étant mobile.
- INDUSTRIAL MOTOR REVIEW
- (The), revue technique, 89, Fleet Street, à Londres (Angleterre).
- INDUSTRIE COSMOPOLITE (IJ),
- revue hebdomadaire, 45> via Federico Cesi, à Home (Italie).
- INDUSTRIE ÉLECTRIQUE (L), revue scientifique, g, rue de Fleuras, Paris. Tel. 704-23. — Rédaction : 212 ter, boulevard Péreire, Paris. Tél. 536-02.
- INDUSTRIE ÉLECTRIQUE ET MECANIQUE (Compagnie de T), construction d’automobiles C. I. E. M., à Genève (Suisse).
- INDUSTRIE INTERNATIONALE
- (IJ), isolants et fibre, outils pneumatiques, 20, rue Saint-Georges, Paris. Tél. 213-76 et 236-23.
- INDUSTRIE VÉLOCIPÉDIQUE et AUTOMOBILE (Journal IJ), M. F. Gé-bert, directeur, 76, rue Vieille-du-Temple, Paris.
- INDUSTRIELS DE FRANCE (Asso-cialion des), 3, rue de Lutèce, Paris.
- INFINI. — Se dit par opposition à « fini » c’est-à-dire limité. Dans le calcul, on se sert souvent de la notion d'infini pour généraliser une loi qui a été démontrée pour un cas particulier fini.
- Dans les calculs non plus analytiques mais graphiques, qui sont plus aisés à concevoir, l’infini se représente très facilement par deux lignes qui se côtoient sans jamais se rencontrer. Exemple : les branches d’une parabole ou d’une hyperbole par rapport à leurs asymptotes.
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- INFLAMMATEUR. — Tige mélalliquo isolée réunie à la 'magnéto cl servant à produire l'étincelle do rupture dans l’allumage à liasse tension. L'étincelle jaillit entre l’inflamina-teur et la palette de rupture en communication avec la masse.
- Pour plus de détails, voir Y Allumage dans les moteurs à explosions, par Bail dry de Saunier.
- -- 11 lî N N lî G H A V E E T
- Agnus, 3o, rue l’errier, à Levallois-Perret (Seine).
- — Lacoste et Ci0, 28, boulevard de Strasbourg, Paris.
- — Nii.mei.ioh (SociéLé), !\-j, rue Lacordaire, Paris.
- ÏNlT.AMMATKUH UN MICA - SlMMS - BOSCH, ill-
- llènncgravc et Agnus. Ilammateurs , 22, rue
- Violet, Paris.
- INGEGNERIA FERROVIARIA il'), revue technique, 3<)7, corso Umberto, à Borne (Italie).
- INGÉNIEURS CIVILS DE FRANCE
- (,Société des), 19, rue Blanche, Paris.
- INGERSOLL SERGEANT C°, outils pneumatiques, 5i, rue de la Ghaussée-d’An-tiiij Paris.
- ININFLAMMABILITÉ (/,’), extincteurs d’incendie, 102, rue du Faubourg-Poissonnière; Paris.
- INJECTEUR (Giffard).—Appareil d'alimentation des chaudières à vapeur basé sur l’entraînement do l’eau par communication do puissance vive.
- INSIGNE. — C’ est, en ce qui nous concerne, le signe caractéristique d’une association- de tourisme ou de sport permettant à tous ses membres de se reconnaître entre eux.
- L’insigne du T. C. F., que l’on peut considérer comme le plus répandu en France, se compose d’une roue en métal nickelé portant sur la face antérieure les trois lettres T. C. F. entrelacées et en émail : la iro rouge, la 20 Meue, la 3e blanche.
- INSTALLATIONS COMPLÈTES D’USINES. — Voir Fries {De) et Cie (machines-outils) ; et La Subérine (constructions d’usines et de garages économiques on panneaux de liège aggloméré).
- INSTITUT MARITIME (IY). — Cours et exercices pratiques, 3g, boulevard des Capucines, Paris.
- INSTONE (C.), manager de « Daimler Motor Works », à Coventry (Angleterre). .
- INTÉGRALES. — J Y intégrale d’une fonction est une autre fonction dont la première est la différentielle. Ou la représente
- par le signe j. Ainsi on a :
- j cos x d x = sm x -)- c
- Or la différentielle de sin x égalé cos a; dx.
- (Pour la notion de fonction, de différentielle, voir chacun de cos termes).
- La recherche des intégrales constitue la base du calcul intégral dont les ressources sont infinies. Ses applications les plus importantes se trouvent en mécanique et surtout en électricité, notamment dans la recherche de l’aire comprise sous une courbe plane.
- INTENSITÉ DE CHAMP. — Peut
- encore être appelée intensité d’aimantation bien que les deux quantités ne soient pas rigoureusement semblables. Dans la pratique courante, ces expressions servent fréquemment à désigner la force magnétisante-, le symbole de l’intensité de champ H est le même que celui de la force magnétisante.
- INTENSITÉ DE COURANT. — L’intensité d’un courant électrique correspond à la notion de grandeur, d’intensité d’effet. U11 exemple fait encore mieux comprendre la valeur de cette expression. Pour décomposer de l’eau, par exemple, il faut un voltage déterminé; tant que ce voltage n’est pas atteint, la décomposition 11’a pas lieu. Mais lorsque le voltage nécessaire est- atteint, la quantité d’eau décomposée dépend de l’intensité : plus grande sera cette intensité, plus grand aussi sera le volume d’eau décomposé.
- INTENSITÉ DE LA PESANTEUR. — C as particulier de l'attraction universelle, grâce auquel les corps nous paraissent pesants. Les corps s'attirent en raison directe de leur masse ; la masse de la terre étant beaucoup plus considérable que celle des objets qui sont à sa surface, ceux-ci se trouvent attirés vers le centre de la terre avec, une force dont l’intensité est égale au poids du corps envisagé et avec une vitesse dont, l’accélération g est égale à 9,81 m. par seconde à Paris.
- INTERCHANGEABLE. — Deux pièces mécaniques sont dites interchangeables lorsqu'elles peuvent être mises en place sur une machine, à la place l’une de l'autre, sans qu’011 ait besoin de leur faire subir aucune retouche et aucun ajustage. Cet avantage très précieux de l'interchangeabilité de toutes les pièces d'un même modèle est obtenu par le travail des machines-outils substitué au travail manuel donnant toujours des résultats nécessairement moins exacts.
- INTERMÉDIAIRE {IY), 17, rue Mon-signy, tél. 108-70 ; 136, avenue Malakoff, tél. 679-13 ; garage et ateliers: 28 et 3o, rue
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- *Guyot, tel. 553-49, Paris. Adr. tel. Autosinler-.Paris.
- Maison fondée le iorjanvier i8g5, par M. G. ILoisel, directeur-propriétaire.
- Directeur, rue Monsigny : M. L. Muller; directeur, avenue Malakolf : M. L. Moncanis .
- Automobiles de toutes marques, motocyclcs et cycles ; rayons d’accessoires.
- Exposition permanente d'automobiles prêtes à livrer : 136, avenue Malakoff, Paris.
- INTERMÉDIAIRE (U), garage, commerce d’automobiles, 4, place Castellane, à Marseille (Bouches-du-Rhône).
- INTERMÉDIAIRE AUTOMOBILE ALGÉRIEN et TUNISIEN (L’), revue bi-uicnsuelle, 3g, rue d’Isly, à Alger (Algérie).
- — Directeur : M. Paul Mayeur.
- INTERMÉDIAIRE CENTRAL MÉ-’TALLURGIQUE, fabrique de phares, 17, rue de l’Aqueduc, Paris.
- INTERNATIONAL AUTOMOBILES , commerce d’automobiles, (>8, rue Saint-’Charles, Paris. Tel. 7.33-g3.
- INTERNATIONAL GARAGE , commerce d’automobiles, 3, via Morone, à Milan (Italie).
- INTERNATIONAL MOTOR BOAT.
- — Voir Jessé (de) et Cie.
- INTERNATIONAL MOTOR CAR SUPPLY C°, accessoires et pièces déta-• cliées, l)i, W. 33 d. Street, à New-York City (Elats-Unish
- INTERPOLATION . — Terme employé en mathématiques pour désigner l’operation consistant à trouver les termes intermédiaires d’une série de nombres ou de mesures par d’autres nombres qui suivent une Uoi identique aux premiers.
- INTERRUPTEUR. — Nom donné en électro-technique à un appareil destiné à interrompre le passage du courant. 11 est assimilable au robinet d’une conduite d’eau, à ceci près cependant que sa fonction est uniquement de couper ou d’ouvrir le circuit •et non pas de régler l’intensité du débit qui traverse ce circuit.
- Fermer l’interrupteur, c’est ouvrir le passage au courant; ouvrir l’interrupteur, c’est •couper le circuit et fermer le passage au cou-.rant.
- — Gomiot (C.), 87, boulevard Gouvion-Saint-Gyr, Paris.
- — IIennegrave et Agnus, 3o, rue Perrier, Levallois-Perret (Seine).
- — IIenrique, l)i, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Lacoste et Ci0, 28, boulevard de Stras-'bourg, Paris.
- — La Française, ii, rue Brunei, Paris.
- — Mestre et Blatgê, 5, rue Brunei, Paris.
- INTRANSIGEANT (Id), journal quotidien, 142, rue Montmartre, Paris. Tél. 102-33.
- INVENTEURS (Exposition des petits) . — Cette Exposition a été organisée, au mois de mars 1904, à la Grande-Roue, par le journal l’Auto, pour rendre service à des travailleurs modestes et partant intéressants, auxquels elle permettait de présenter au public des appareils presque toujours originaux et pratiques. Devenue annuelle, elle a eu lieu en 1905 et en 1906.
- INVENTIONS AUTOMOBILES (So-cièlè Anonyme d'), auto-amortisseur “Gardy-Batault”, accessoires, marque S.A.D. L A., i3, rue Caumartin, Paris. Tél. 237-07. Adr. tél. Sadiauto-Paris.
- INVENTION (Brevets d’). —Les brevets d’invention sont soumis à la loi du 5 juillet i844, modifiée par la loi du 7 avril 1902. Un arrêté du ministre du Commerce, du 11 août 1903, détermine les conditions de forme, dimensions et rédactions que devront présenter les descriptions et dessins déposés à l’appui d’une demande de brevet, ainsi que les prix de vente des fascicules imprimés et conditions de publication du catalogue, ainsi ipie les conditions à remplir par ceux qui, ayant déposé une demande de brevet en France et désirant déposer à l’étranger dos demandes analogues avant la délivrance du brevet français, voudront obtenir une copie officielle des documents afférents à leur demande en France.
- INVENTIONS ILLUSTRÉES (Les), journal hebdomadaire, 8, rue du Débarcadère, Paris.
- INVENTIONS NOUVELLES (Les),
- machines-outils, accessoires, outillage, a3, rue Brunei, Paris.
- INVERSE. — O11 appelle inverse d’un nombre le quotient de l’unité par ce nombre.
- L’inverse de 4 est y — 0,25.
- 4
- L’inverse est aussi désigné par le mot ré-ciproquc qui lui est synonyme : — est l'inverse ou la réciproque du nombre n.
- INVERSEUR. — Appareil employé en électrotechnique pour renverser à volonté la polarité du courant aboutissant à un récepteur quelconque.
- Les inverseurs sont surtout employés pour les travaux d’électrolyse, avec les accumulateurs, et enfin pour produire le changement du sens de rotation des moteurs électriques.
- INVICTA, bobines, accumulateurs, magnétos “Watt”, 5, rue Devès,-à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tél. 5G3-o3. Adr. tél. In-vicla-Neuilly.
- Exposition d'Automobiles :
- 136, AVEN.MALAKOFF
- TÉLÉPH. 679-13
- L'INTERMEDIAIRE"
- TÉLÉPH. IO3-7O
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- INVICTUS, chambres à air “ InvictuS", g4, rue Lecourbe, Paris.
- INVULNÉRABLE (U), protecteur pour pneumatiques. — Voir Portier-Beaulieu.
- IONS. — I ms ion* sont les deux parties (métal et radical) suivant lesquelles se fractionne la dissolution d’un sel décomposé par un courant électrique (électrolyse). Les unions se rendent à l’anode, les cathions à la cathode. — Voir ces mots.
- IRIDIUM. — Corps simple métallique, de la famille du platine, offrant de grandes analogies avec ce métal, mais toutefois plus dur et plus résistant encore aux réactifs chimiques (acide sulfurique bouillant, eau régale). On emploie l’iridium pour durcir le platine. L’alliage de platine iridié est le plus ordinairement établi avec io o/o d’iridium.
- IRIS, automobiles. — Voir Leyros et. Knowlcs Ltd.
- IRIS, motocyclette, 71 bis, avenue do la Grande-Armée, Paris. Tel. 568-45.
- ISAMBERT {Charles), 34, me de Provence, Paris; et 7, rue des Côtes, à Chartres. — Chef du secrétariat de Y Union des Sociétés Françaises de Sports Athlétiques. Officier d’Académie.
- ISNARD, fournitures générales pour l’industrie, 3(i. avenue d’Alsace-Lorraine, à Grenoble (Isère). Tel. G-85. Adr. tel. Isnard-Courroics-Grenoble.
- ISNARD, garage commerce d'automobiles, /|3, route Nationale, à Hydres (Var).
- ISOCÈLE. — Un triangle isocèle est un triangle dont deux des côtés sont égaux entre eux; les angles opposés Sommet
- aux côtés égaux sont égaux ; la perpendiculaire abaissée du sommet. sur la base divise celte base en deux parties égales.
- ISOCHRONE. —
- Mot signifiant : ? qui est exécute dans des temps égaux » ; il est. synonyme, pour les moteurs, del’ex- Tiuanom-: isocki.k pression équilibré. —
- Voir Régulateur et Equilibrés {Moteurs).
- ISOLANTS. — Corps ynauvais conducteurs de l'électricité qui servent à entourer les fils dans lesquels passe un courant électrique pour les isoler de tout contact avec les corps bons conducteurs. — Le mot diélectrique est synonyme du mot isolant.
- — Subéhinr (La). <8, boulevard de Vaugi-rard. Matériaux isolants en liège aggloméré.
- ISOLANTS {Manufacture d'). Compagnie générale d’électricité, 5, rue Boudreau, Paris. Tel. 22.5-84•
- ISOTTA FRASCHINI (Fabbrica Au-tomobili). Société Anonyme, au capital de 2 000 000 de francs, entièrement versé. — Usines et bureaux, à Milan (Italie), 79, rue Monte Posa. Tel. 30-74. Adr. tél. Automobili-Milano. — Agents : Elysée Auto-Car, 11, rue de Berri, Pans.
- ISS AUD, garage, commerce d’aulomo-biles, 3G, boulevard Thiers, à Boyau (Cha-rente-Infcrieure). Tél. 10G.
- ITALA. — Voir Fabbrica di Aulomobili Ilala. — Le concessionnaire de cette firme pour la France est. Paris-Automobile, M. Henry Fournier, directeur, 48, rue d’Anjou, Paris. Tél. 240-18 et 314-27. Adr. tél. Pa~ riaulo-Paris.— Les voitures Ilala passent, avec juste raison, pour de remarquables spécimens de construction logique et simple.
- — Voici les particularités essentielles des voitures Itala 1907 : Le châssis est en tôle d’acier emboutie indéformable et est rétréci à l’avant. Tous les organes mécaniques de la voiture, tels que moteur et changement de vitesse, sont lixés au châssis et d’un démontage très facile. Les pattes du moteur, exceptionnellement, robustes, forment entretoise à l’avant. La largeur de voie est de 1 m. l\° pour tous les types ; tous les châssis permettent l’entrée latérale.
- Les dimensions des roues et des pneumatiques sont les suivantes :
- 880 X 120 à l’arrière.
- 870 X 90 à l’avant pour les 18 IIP.
- 87.5 X io5 à l’avant pour les 24 et 5o HP.
- Le moteur a quatre cylindres verticaux jumelés pour tous les types; la puissance est. de 18-24 et 5o HP respectivement pour les trois modèles. Les deux groupes de soupapes — à gauche celles d'admission, à droite celles d’échappement — sont commandés mécaniquement.
- Les engrenages de distribution, la commande de la magnéto et celle de la pompe centrifuge, sont complètement enfermés dans un carter.
- L’allumage se produit par magnéto à basse tension, placée à gauche du moteur et. bien éloignée de l’échappement. Le dispositif de l'allumage est breveté; le mouvement des rupteurs est obtenu à l’aide d’excentriques montés sur une tige verticale, qui engrène avec l’arbre à cames moyennant une vis sans fin. Une manette placée sur le volant de direction permet de varier l’instant de l’allumage par la variation de l’angle de calage.
- Le carburateur est breveté, du même type pour les differents modèles, et absolument automatique. Une manette placée sur le volant de direction permet de varier la quantité de mélange introduit dans le moteur; une petite
- SOLEMENT LA SUBERINE SÏÏliSœ
- Matériaux en liège aggliunèré pour isolement des constnirlions. plafonnages û'usnte, nmenagementiie Ranges, isolement de moteurs, etc.
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- Châssis ITALA, 18-24 chevaux, type 1907
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- pédale placée à la portée du conducteur sert à emballer le moteur.
- Un dispositif, breveté commande mécaniquement, assure un courant d’huile continu aux coussinets du moteur. La quantité d’huile portée est exactement proportionnelle à la vitesse de rotation du moteur.
- Un décompresseur sur les soupapes d'échappement facilite la mise en marche du moteur. On refroidit l’eau de circulation à l’aide d’un radiateur type nid d'abeille.
- La circulation de l’eau entre les tubes est assurée par une pompe centrifuge à grand débit. La circulation de l'air est activée par un volant en forme de ventilateur. Pour en augmenter l’elfet, le volant porte, vissée à l'intérieur de la couronne, une seconde série d’ailettes.
- Un silencieux breveté conduit le gaz brûlé à la pression atmosphérique sans provoquer aucune contrcpression dans le moteur et ôte tout bruit à l'échappement. Un appareil spécial placé sur le tube d’échappement permet de se servir de l'échappement libre en pleine campagne.
- Moteur à G cylindres. — La grande nouveauté de la maison Itala pour 1907 est le moteur à G cylindres développant au frein plus de Go IIP.
- 11 est le plus l’amassé possible sans (pie son peu d'encombrement nuise à la solidité de toutes ses parties mécaniques, souple au point de permettre le démarrage en quatrième vitesse en côte, silencieux et léger.
- Le dispositif d’allumage des moteurs à 4 cylindres, grâce à sa simplicité, a pu être adopté pour les G cylindres : on a donc là l’al-lumago par rupteurs.
- Le prolongement du vilebrequin du moteur porte le volant, dont l'intérieur, de forme cylindrique à rainures, reçoit les plateaux en acier, destinés à l'accouplement de l'arbre moteur avec celui de transmission. U11 ressort à boudin à réaction interne produit l'adhérence entre les surfaces des plateaux et par suite l'entraînement de l’arbre de transmission. La commande est faite à l’aide de la pédale de gauche. L’embrayage se fait d’une façon très douce et progressive : le dispositif est breveté.
- Les connexions de la direction sont munies d’articulations à rotule avec dispositif spécial automatique et breveté qui permet le rattrapage du jeu qui pourrait se produire à l’usage.
- Dans la transmission du moteur à la boîte de vitesse est intercalé un joint ^spécial. Le changement comporte un seul levier de commande et trois baladeurs, dont deux pour les
- quatre marches AV et le troisième pour la marche Al\. Un dispositif spécial de sûreté breveté empêche tout déplacement des roues non engrenées. Les arbres sont montés sur roulements à billes et les engrenages, complètement à l’abri de la poussière, baignent continuellement dans l'huile.
- L’arbre de transmission porte, à l’extrémité, des joints à la caidan compensés, brevetés et spécialement étudiés pour éviter toute usure des pièces. Deux coupes en cuivre jaune protègent les joints de la poussière et de la boue et maintiennent le graissage-des pièces.
- L’arbre de transmission se termine par un pignon d’attache engrenant avec la couronne-montée sur la boîte de différentiel. A l'intérieur de cette boîte sont placés les pignons de l’arbre moteur et les satellites coniques. Les deux parties de l'essieu moteur, assemblées par la boîte du différentiel, sont enveloppées sur toute leur longueur dans les-tubcs et montées, ainsi que Farbre d’attache, sur roulements à billes. U11 dispositif spécial maintient les roues toujours parallèles. Les roues motrices sont fixées d’une manière rigide aux extrémités de l’essieu. Les patins-des ressorts sont articulés sur l'axe arrière, ce qui laisse aux ressorts toute leur souplesse.
- Les freins sont très puissants et fonctionnent aussi bien en avant qu’en arrière. Un. frein agit à la sortie de la boîte des vitesses : il est commandé par la pédale de droite. Pour empêcher que la poulie s'échauffe trop,, le constructeur la refroidit par un jet d’eau actionné par le mouvement même de la pédale.
- IVRY (Ateliers d') (Compagnie Générale d'Electricité), Société Anonyme au capital de 10 millions de francs, construction de motocyclettes et moteurs, 5, rue Boudreau, Paris. Tel. 220-84- — Usines à Ivry-Port (Seine).. Tel. 809-09.
- IXELLOISE DE CAOUTCHOUC et D’ANTIDERAPANTS ( Manu facture ), pneu-cuir « Dalila », 12, rue du Page, Bruxelles (Belgique). Tél. G715. Adr. tél. Joseph-Compagnie-Bruxelles.
- IXION, moteurs. — Voir Delochc.
- IZART {Julien), 4> avenue Sœur-Rosalie, Paris. — Né à Nîmes, le l\ décembre 1882. — Ingénieur civil des Mines ; secrétaire de lat Vie Automobile. — Collaborateur à YAnnuai Baudry de Saunier.
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- CHAINES RENOLD CS
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- Victorieuses dans les principaux concours
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- J. —Abréviation de joule.
- J.— Symbole A'intensité (Taimantation.
- JABLIN, garage, commerce d’automobiles, 7, rue de la Gare, à Châtcauroux (Indre).
- JABOULAY, mécanicien-constructeur, à Firminy (Loire).
- JACKSON (Usines), fabrique de pneumatiques, à Halluin (Nord); et 92, rue Richelieu, Paris.
- JACKSON AUTOMOBILE C°, fabrique d’automobiles, à Jackson, Michigan (Etats-Unis).
- JACOB, DELAFON et C'% générateurs d’eau chaude, i4, quai de la Râpée, Paris. Tel. 909-89.
- JACOBY et Ci0, accessoires pour auto-mohiles, “ Auto-Pile ”, U, rue Henri-II, à Lyon (Rhône).
- JACQUELIN (A.), moteur rotatif, à Tonnerre (Yonne).
- JACQUELIN (Edmond). — Né à San-tenay (Côte-d’Or), le 3i mai 187.5. — Coureur cycliste, champion de France et champion du Monde en 1900. Parmi ses plus retentissantes victoires, il faut citer ses succès dans les matchs du « Brassard », en 1896, et ses victoires sur Major Taylor, Cooper, Meyers, Lawson, etc.
- JACQUEMART (Fï0 Jules), fonte malléable, à Charleville (Ardennes); et 3i, boulevard Magenta, Paris.
- JACQUEMIER, odotachymètres, compteurs de tours, 5, rue du Faubourg-Poissonnière, Paris.
- JACQUEMIN, modeleur, i/j, rue Plan-chat, Paris. Tél. 928-35.
- JACQUET, garage, commerce d’automobiles, avenue de la Gare, à Montbéliard (Doubs).
- JACQUET-MAUREL, allumage électrique J. A/., 5, boulevard de la Seine, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tél. 90, Neuilly.
- JACQUIER et C'°, garage, 4> rue Buf-l’ault, Paris.
- JACQUIN, garage, commerce d’automobiles , place Sainte-Dévote, à Monte-Carlo (Principauté de Monaco).
- JACQUOT, commerce d automobiles, 3o, rue des Bourdonnais, Paris.
- JACQUOT (Louis), fondé de pouvoir et directeur technique do la Maison Louis liesse (machines-outils), 3q, rue de Lappe, Paris.
- JACQUOT et TAVERDON, machines-outils, ni, rue de Palay, Paris.
- JAEGER-ROUOT, gar âge, commerce d’automobiles, 36, rue St-Laurent, à Epernay (Marne).
- JAEGGE (An ciens Etablissements), mécaniciens-constructeurs, 97, avenue deChoisy, Paris. Tél. 800-67.
- JAGER (Chas. J.) C°, construction de moteurs de marine, Cor. lligh and Battery-mareb Street, à Boston (Massachusetts), Etats-Unis.
- J ALLER AT, carrosserie automobile, 4.0, avenue d’Italie, Paris.
- JAMBE DE FORCE. — Pièce de bois ou de métal travaillant à la compression dans
- p)
- Une JAMBE DE FORCE CONSOLIDANT LK PONT A
- un assemblage et empêchant la flexion d’une autre pièce. Ce ternie est courant dans la charpente en bois et dans la charpente métallique. Un exemple de jambe de force est donné par la figure qui représente un châssis en tube rendu plus rigide par un tendeur qui soutient le tube en son milieu par l’intermédiaire d’une jambe de force A.
- JAMES (Mau ricc), appareils électriques, 62, rue Saint-Antoine, Paris.
- JAMES and BROWNE, automobiles, 39.5, Oxford Street, à Londres, \Y. (Angleterre).
- JANCA, accessoires pour cycles. 10, rue Boïcldieu, à Pantin i^Seine).
- J. and B., automobiles. — Voir James and Browne.
- JANIN, fabrique d'accumulateurs, 17, rue Pauquet, Paris.
- JANISCH {lie), pneumatiques, 44» avenue Victor-IIugo, Paris.
- SOCIÉTÉ DES ANCIENS ÉTABLISSEMENTS ADER, Ltd
- VOITURES 4 CYLINDRES VERTICAUX T?»7
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- — 4io —
- JANSSEN et Cie, carrosserie automobile, 1G0, boulevard de la Gare, Paris. '
- JANSSENS (Ancic?is Etablissements), machines-outils. — Voir Ilanning (W.).
- JANSSENS (A) (Ateliers), mécanique générale, à Saint-Nicolas (Belgique).
- JANSSENS, machines-outils, à Raismcs (Nord). Tel. io. Raismcs.
- JANTE. — C crcle extérieur d'une roue en bois ou en métal. — La jante pour bandages pneumatiques est formée par un cercle eu acier dont les rebords sont recourbés en crochets et qui se place par-dessus la jante en bois des roues, jante portée elle-même par les rais en bois. Cette jante métallique est parfois montée directement, sur des tiges ou rayons d'acier qui la réunissent au moyen métallique de la roue; le fond de la jante porte alors un ruban protecteur destiné à empêcher les extrémités des rayons ou les têtes des écrous de serrage d'abimer la chambre a air.
- Les talons de l'enveloppe des pneumatiques, ou les talons des caoutchoucs pleins, viennent se placer dans les crochets de la jante et y sont maintenus par la pression intérieure de l'air comprimé dans la chambre à air.
- Les jantes sont à fond plat pour les roues en bois, à fond rond pour les roues montées avec des rayons métalliques. Leurs formes et dimensions sont déterminées exactement pour chaque diamètre de pneumatique; on ne doit donc jamais monter une enveloppe sur une jante qui ne lui serait pas destinée.
- Les jantes les plus employées actuellement correspondent aux pneumatiques ayant les dimensions suivantes : les 05, les ^5, les 85, les 90, les io5, les 120, les i35 et les i5o. Leur désignation est faite en faisant précéder la section du pneumatique qui doit s’y placer par le diamètre extérieur de ce pneumatique gonflé. Ainsi on dit : une G5o,G5, une8io,go, etc. (Notons que, par exception, 011 peut monter sur les jantes de 05 des pneumatiques de y5 et
- pour enveloppes a tringles
- Jantes rouu mcyclettk
- sur celles de 90 des enveloppes de 85.). — Pour les bicyclettes, on construit des jantes en aluminium montées par-dessus des jantes en bois.
- — Jante (Fabrication de la). — L’acier doux qui constitue la jante arrive à l’usine-aspécialiste » en rouleaux de i5 mètres environ, rouleaux ressemblant exactement à d’énormes ressorts de montre (fig. 3). Om présente l'extrémité du rouleau à une ma-
- Vig. 3 Fig.
- chine à étirer et à emboutir qui dresse le-métal en bandes droites, retrousse ses bords, en façonnant les accrochages, et le coupe à, la longueur nécessaire, suivant le diamètre-des roues. Ces opérations (fig. 4) sont faites à froid.
- On porte ensuite ces bandes dans des fours en briques réfractaires, chauffés au gaz, où l’acier est porté à une haute température destinée à le rendre moins cassant.
- Aussitôt (jue le métal est refroidi, on procède au cintrage (fig. 5). Puis vient Vembec— quetage (fig. 0), opération qui consiste à. dresser en sifflet les deux parties extrêmes de la bande métallique devant s’épouser très-
- ^.VWVJVVIIIVH'. il v/v.v JJIWV^UV' UU » tvvt/iyo,.
- au dressage cl enfin au brasage. Quand cette-
- opération est terminée, il 11e reste plus qu’à décaper et polir la jante qui affecte alors sa, forme définitive et n’attend plus que son expédition chez le fabricant de pneumatiques.
- Dans l’atelier où sont fabriquées les roues en bois, on commence par tailler les rais et les mettre en place. O11 pose le moyeu, 011 le-cintre rigoureusement, on assemble la jante en bois prête à recevoir sa jante de fer sur laquelle on montera le pneumatique. La jante d’acier est chauffée au rouge, puis rapidement posée sur la roue en bois. Le retrait que subit le métal par son refroidissement, activé par une projection d’eau, suffit à faire-adhérer très énergiquement la jante do métal sur la jante de bois et à maintenir définitivement en place les différentes pièces qui constituent cette dernière. (D'après la Vie Auto— \ mobile.)
- AUTOMOBILES
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- par l’isle-Saint-Denis (Seine).
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- J A R
- — J antes démontables.— Le montage des pneumatiques sur les jantes métalliques étant chose parfois assez pénible, quelques constructeurs ont cherché à rendre cette opération moins désagréable, en créant la jante démontable, jante dont une partie, une des joues, peut so séparer de l'ensemble, sous forme de cercle, de cerceau métallique qui, après mise en place de l'enveloppe et de la chambre à air, se remonte sur la roue au moyen de ressorts, écrous, cercles de tension, etc.
- Il faut reconnaître que la jante démontable, c'est-à-dire dont une joue se démonte pour faciliter l’enlèvement de l’enveloppe et de la chambre, n’est pas aussi pratique, à beaucoup près, que la jante amovible, c’est-à-dire qui s’enlève en totalité (chambre et enveloppe comprises'! de la roue sur laquelle elle est montée.
- Dans le premier cas. en ell’el, on ne bénéficie que d’une petite facilité de montage et démontage de l’enveloppe et de la chambre, mais il faut procéder sur route à toutes les autres opérations pénibles qui escortent une crevaison (voir ce mot). Dans le second, on substitue un bandage tout prêt,, tout gonflé, a celui qui est mis hors de service.
- Jante amovible Michelin. — A l’occasion du Grand Prix de l’A. G. F., qui s’est, couru sur lo circuit, de la Sartlie les 26 et 25 juin igoG, la maison Michelin, en raison de l’obligation imposée aux coureurs par un nouveau règlement d’opérer les remplacements de pneumatiques en course par les moyens du bord, a muni les coureurs montés sur scs pneus d’une jante amovible de son invention, qui a permis aux coureurs de remplacer un pneumatique en 3 minutes. Cette invention lit sensation, et dans les courses suivantes tous les coureurs eurent recours à ce procédé’. L’Automobile Club de Franço s’en est mémo ému au point d'envisager la question de l'interdiction des jantes amovibles en course, en raison du handicap formidable des voitures non munies de ces jantes. -- Voir la description complète de la Jante amovible Michelin dans Omnia, revue pratique de locomotion, n° 4g.
- Jante {Rendement à la). — On appelle rendement à la jante, dans un véhicule automobile, lo rapport de la puissance effective, susceptible d'ètre recueillie sur les roues ou à la jante des roues, à la puissance du moteur. Ce rapport mesure en quelque sorte la perfection de la transmission puisque le rési’du indique les pertes dues aux engrenages, arbres, cardans intermédiaires de la transmission. Le rendement à la jante des voitures est assez faible (o,5o à o,65). Dans les voitures électriques on a couramment 0,80. Cette différence tient sans doute à la régularité du couple moteur et à la charge plus favorable des engrenages, les voitures électriques étant généralement de puissance restreinte. Leur transmission est aussi plus simple et comporte,
- en même temps que la prise directe, beaucoup moins de paliers et d’arbres intermédiaires soumis à des déformations inévitables. Le rendement à la jante se mesure au frein. — Voir Frein de Prony.
- JANTES AMOVIBLES M. L. (Société des), 112, rue de Richelieu, Paris. Tél. i3o-^4- Adr. tél. Jantamo-Paris. Directeur : M. G. Hermand, administrateur-délégué. — Société Anonyme, au capital de i5o 000 francs.
- JANTE DÉMONTABLE L. S. —
- Voir S lier, Paris.
- JANTES DÉMONTABLES « LE RÊVE », 45, boulevard Haussmann, Paris. Tél. io4-o5. Adr. tél. Indusmincs-Paris. Directeur commercial : M. Couinai liges.
- JANTES EN BOIS {Compagnie Franco-Américaine des), 4o, rue de l'Echiquier, Paris.
- JANTE VINET AMOVIBLE, a,
- avenue de Messine, Paris. Tél. 534-ga. Adr. tél. Amovine-Paris. — Directeur : M. Maurice Kapl’erer.
- JANUS {Société Parisienne de Constructions mécaniques), construction de moteurs ‘‘.Janus” et d’automobiles “Vulpès”, 170, boulevard National, à Clichy. Tél. 4 G. — Directeur : M. P.-V. Kaullinann.
- JANVIER (TC), né à Paris, en 1861. — Chevalier de la Légion d'honneur.— Constructeur de camions automobiles, 44i nie d’Alésia. Paris. Tél 8o3-oo. — A exposé, dès igo3, au Salon de l’Automobile, une voituro a six roues, dénommée « Voiture avant-train flexible ».
- JAPY (L.-P.) et C‘°, carburateurs rotatifs et pièces détachées, à Berne, par Se-loncourt (Doubs). Adr. tél. Japy-Seloncourl.
- JAPY Frères et Ci0, moteurs électriques, moteurs à pétrole, compteurs de voitures “Le Français ”, à Beaucourt (Territoire de Belfort) ; et 4, rue du Château-d’Eau, Paris. Tél. 440-71-
- JARDIN, garage, 8, place de la Madeleine, à Ycrneuil (Eure).
- JARDIN, roues pour cycles et automobiles, n4, rue d’Angoulème, Paris.
- JARDON, acier comprimé, 11, passage Dubail, Paris. Tél. 440-72.
- JARETÉ. — Se dit d’un écrou ou d’une vis, dont le corps a été tordu ou dont les filets sont abîmés. (Expression d’atelier.)
- JAROSLAW, mica et isolants, 5i, rue de Paradis, Paris. Tél. 2i5-34-
- JARRE, appareils d’allumage, pièces détachées, 9, rue Louis-le-Granu, Paris. Tél. i54-66.
- JARRE, vannerie pour automobiles, 10, rue Saint-Spire, à Corbeil (Seine-et-Oise).
- JARROTT {Charles), 45, Great Mal-boroug Street, à Londres (Angleterre). — Né en Angleterre, en 1875. Membre des Auto-
- rLORRftINE-DIÉTRICH
- - AUTO-PALACE -1
- 77 bis, Av. de la Gde-Arrçée, PARIS - Tél. 5*4-27 J
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- mobile-Clubs de France, d'Angleterre, d’Allemagne et d'Irlande. Directeur de «De Dion Bouton iimited A et de « Védrinelimited». Représenta l’Angleterre dans la Coupe Gordon-Bennett en itjû3 et 1904: et gagna le Circuit des Ardennes. Tel. e36e et i585 Gerrard. Adr. tel. J emidar-London.
- JARRY, garage, commerce d’automobiles, 5, place du Mûrier, à Angouleme (Charente).
- JARRY, nickelagc, émaillage, 4» rue des Immeubles-Industriels, Paris.
- JAUGE. - On désigne sous le nom général de jauge Ions les instruments servant à mesurer les longueurs ou les volumes. — Voir Calibre, Gabarit, Palmer, etc.
- JAUGE INTERNATIONALE (pour les bateaux). —-La formule de jauge internationale, définitivement adoptée par la Conférence de Londres, en iqoG, est la suivante :
- j, _j_ 15 (i -|- 3 (/ _)_ i Vs — F
- 2
- L : étant la longueur en unités linéaires.
- B : le bau en unités linéaires.
- 0 : le périmètre en unités linéaires.
- D : la différence du périmètre en unités linéaires.
- S : la surface de voilure en unités de surface.
- F : le franc bord en unités linéaires.
- — Longueur. — La longueur L, dans la formule de jauge, sera la longueur à la flottaison, à laquelle on ajoutera : i° la différence entre le périmètre de plat bord en plat bord, à l'extrémité avant de la flottaison, et deux fois la hauteur du franc bord prise au même endroit ; 20 un cinquième de la différence entre le périmètre de plat bord en plat bord à l'extrémité arrière de la flottaison, et deux lois le franc bord pris au même endroit.
- — Bail. — Le bau B sera pris hors bordé à sa plus grande largeur, y compris toute saillie extérieure.
- - Périmètre. — Le périmètre G sera la chaîne mesurée de plat bord à plat bord autour de la quille à l'endroit où cette mesure sera la plus forte, moins deux fois le franc bord au meme endroit. Ce point sera désigné sur le plat bord par une marque officielle (G). Si la mesure de chaîne se trouvait être la même à plusieurs endroits, on adopterait celui le plus proche du maître bau. Si la quille se trouvait creuser en l'endroit où passe la chaîne, on rétablirait par une ligne fictive la rectitude de la quille.
- — Différence du périmètre. — La différence de périmètre d dans la formule est la différence entre la chaîne, mesurée comme
- ci-dessus indiqué, et une autre chaîne prise au meme endroit, mais épousant les formes de la coque.
- — Surface de voilure. — La surface de voilure S sera prise suivant le règlement du Yacht Racing Association. Les espars devront être marqués d'une ligne noire comme cela se fait en Amérique.
- — Franc bord. —- Le franc bord dans la formule sera deux fois le franc bord mesuré à l’endroit où sera pris le périmètre, plus une fois le franc bord mesuré à l’avant de la flottaison, plus une fois le franc bord mesuré à l’arrière de la flottaison, le tout divisé par quatre.
- — Équipage. — Toutes les mesures seront prises sans équipage à bord.
- — Marques. — 11 a été admis que des marques visibles seraient indiquées sur la coque.
- — Immersion. Les mesures pour certificats de jauge devront être prises lorsque le yacht est immergé en eau de mer. Le comité se réserve d'autoriser dans certains cas que les yachts soient jaugés en eau douce.
- — Cabines, dimensions et aménagements. — Les grandes séries seront soumises à certaines règles, quant aux dimensions et aménagements des cabines.
- — Mats. — Les mâts en bois creux 11e sont pas autorisés dans les séries au-dessus de 10 mètres.
- — Classification des séries. — La Conle-
- mee de Londres a adopté les séries sui-
- antes : Pieds Nombre limité de
- Mètres anglais personnes à bord en course
- 20 82.0 pas de limite
- 20 Go. 7 20
- i5 h 9 a *4
- 12 3<J • 4 10
- 10 32.8 8
- 9 29.0 (i
- 8 2G.2 fi
- 1 G 23.0 4
- RL 1 3
- fi 1G. 4
- La Cou! lérence a décidé de recommander
- aux clubs d'encourager spécialement, dans les séries jusqu’à 10 mètres, celles de 5, G, 8 et 10 mètres.
- Les séries devront toujours courir séparément.
- — Échantillons. — Tous les yachts devront être construits d'après les tables uniformes d'échantillons des trois sociétés de classification : le Lloyd’s Register, le Germa-nischer Lloyd et le Bureau \ érit;..-, convenant à leurs différentes séries, ci h s yachts eon_
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- .1 K S
- struits ainsi seront classés R, cote indiquant que leur échantillonnage est tel que l'indique le réglement pour leur série.
- — Durée de la jauge. — La nouvelle formule de jauge internationale est en vigueur pour dix ans, du i'r janvier 1908 au 3i décembre 1917. La Conférence recommande cependant aux dirigeants, dans chaque pays, de mettre le nouveau réglement eu application aussitôt que possible.
- — Allégeance. — L'allégeance à appliquer entre les anciens bateaux de chaque série existante et les nouvelles séries internationales correspondantes sera décidée par chaque association dirigeante, dans les différents pays, et sera la meme pour tous les anciens bateaux de chaque série à condition que ces yachts correspondent toujours au certificat de jauge qui leur a été délivré lorsqu'ils ont été construits.
- Les anciens bateaux auront le droit de courir sous conditions spéciales jusqu’au 3i décembre 1909. Seront considérés comme anciens bateaux ceux qui auront été mis en chantiers avant le i3 juin 190(1.
- — Poids. — Le déplacement minimum, pour les séries de 5, G et 7 mètres, a été arrêté comme suit :
- 5 mètres........ ^5o kilogr.
- G mètres........ 1 aoo kilogr.
- y mètres........ 1 800 kilogr.
- (.Extrait du Yachting-Gazette, ii, rue Meyer-
- beer, Paris). — Voir Canot. Automobile.
- JAVAL (Société des Applications de l'Acétylène), soudure autogène, chalumeau “Fouché”, ah, rue Cadet, Paris. Tel. 291-G8.
- JA VAUX (E.), ingénieur. Directeur de la Société Gramme, 20, rue d'Ilautpoul,
- Paris.
- JA VET et Ci0, réservoirs et radiateurs, 33, rue du Poteau. Paris. Tel. 5o5-a8.
- J. C., chaînes. — Voir Conte (J.).
- JEAN, plaques (‘maillées, i3^, nie du Faubourg-Poissonnière, Paris. Tel. 149-3.5.
- JEAN, garage, commerce d’automobiles, place Carnot, à Avranches (Manche).
- JEAN (Stanislas), commerce de motocyclettes et de cycles, 33, place du Marché, à Draguignan (Var).
- JEAN-BART (Société des Voitures). — Voir Anciens Etablissements Prosper Lambert.
- JEANNIN, commerce d'automobiles, garage, 5, place du Palais, à Tours (Indre-et-Loire). — Tél. /1-28.
- JEANTAUD (Charles), ingénieur, ni, rue de Ponthieu, Paris. Tel. 52 1-24-—-Né à Limoges, le 23 décembre i843. Décédé le icr décembre 1 90O . Oflicier d’Académie, chevalier de la Légion d’honneur.
- Ancien président de la Chambre syndicale de l’Automobile. Construisit, en 1881, la première voiture électrique avec accumulateurs; inventa, en iqon, les accumulateurs E. I. !..
- JEANTET (Eugène), lunettes pour automobilistes, 238, Grande-Rue, à More/, (Jurak
- JEANTY, accumulateurs Saturne, à Sarcelles (S.-et-O.); et 3^, rue La lavette, Paris.
- JECK, carroserie automobile, à Prague (Bohémek'
- JEFFERY et C\ automobiles Itambler, à Kcnosha (Wisconsin), Etats-Unis; et 134 W-38 Street, à New-York.
- JELLINEK-MERCÉDÈS (Emile), industriel, villa Mercédès, à Nice (Alpes-Maritimes). — Né à Badcn (Autriche). Administrateur de la Daimler motoren Gesellschafl; administrateur de la Société Mercédès de Paris.
- JENATZY, célèbre coureur en automobile. -- Gagna, en igo3, la Coupe Gordon-Bennett, en Irlande; se classa 5° dans la Coupe Vandcrbilt 1906. — Inventeur cl
- constructeur du pneumatique qui porte son nom.
- JENATZY-LELEUX (C.), pneumatiques, 10, rue Stephcnson, à Bruxelles (Belgique). Tél. 34.
- Adr. tél. Jenatzy-Leleux - Bruxelles. — De Santa-Maria , agent pour la France,
- Chaussée - d ’An-tin, 6, Paris. Tél.
- 14G-90.
- JESSÉ-
- CHARLE-
- VAL (Marquis Paul de), 9, avenue Hoche, Paris.
- Tél. 535-o8. —
- Né le 4 avril i883.
- — Ingénieur-électricien. — Gérant M. dk .Ik.ssk.
- M. .Ir.ANTArn.
- RECORD
- de Consommation
- BERLIET
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-
-
- J E S
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- .1 0 l
- de la Société De Jessé et Cie; administrateur-délégué de la Société Anonyme La Sirène, constructions navales.
- JESSÉ (De) et Cl0, 7, rue Collango, à Levallois-Perret, (Seine). Tél. 583-8y. Adr. tel. Motohoal-Levallois. — Société en commandite fondée en janvier iyo5, au capital de aooooofr. — Directeur : M. de Jessé; directeur technique : M. Vacher. — Construction d'hélices réversibles Simplex, brevetées S. G. D. G., de 2 à 5oo chevaux.— Fabrique de tout ce qui concerne la navigation automobile, ancres, fanaux, paliers de butée, quincaillerie de marine, etc., changements •de marche. — Voir Hélice.
- JESSOP et Sons, aciers, 8, rue de Lancry, Paris.
- JET. — Métal en excédent qui, après refroidissement, d'une coulée, remplit les ouvertures par lesquelles a été versée la fonte.
- Petite barre de cuivre, longue de quelques centimètres qu’on interpose entre un boulon ou autre pièce iiletéeou fragile et le marteau d'acier.
- - Jet d'eau. •— Expression souvent employée en carrosserie à la place de gouttière.
- - Voir ce mot.
- JEU (de pièces). — On appelle jeu une réunion complète do toutes les petites pièces métalliques de rechange, telles que boulons, écrous, goupilles, joints, etc., de tailles et de diamètres différents, dont on peut avoir besoin sur route pour les réparations et que chaque voiture doit posséder dans son outillage.
- -Jeu utile et nuisible. — Le jeu est l'écart qui se trouve entre deux pièces montées l’une (‘.outre l’autre. Le jeu qui doit, exister, par exemple, entre un arbre et les coussinets des paliers qui lo supportent,, n’est pas quelconque. Un arbre de 3o millimètres, par exemple, ne saurait rentrer dans un coussinet de 3o. Le coussinet aura, par exemple, 3o,2, ce qui suppose 2 dixièmes de jeu sur le diamètre de l’arbre, pour qu’il puisse tourner librement sur une mince, couche d'huile de graissage. Les 2 dixièmes sont ce qu’on appelle le jeu utile.
- Lui jeu plus considérable serait un jeu nuisible, attendu qu’il serait la cause de chocs aux changements do direction des efforts agissant sur l’arbre, c’est-à-dire à chaque coup de piston dans un moteur. Or, les chocs, en dehors du bruit qu’ils produisent, ont comme conséquences l'ébranlement du mécanisme et le matage des parties en mouvement qui tendent à prendre de plus en plus de jeu.
- — Jeu (Rattrapage de). — Lorsque des coussinets sont en usage depuis longtemps, leur usure peut permettre un jeu, exagéré ou nuisible, de l'arbre qu’ils embrassent. L'action de ramener ce jeu à sa valeur utile, par exemple en servant des boulons ad hoc,
- se nomme rattrapage de jeu. Les coussinets à rattrapage de jeu sont formés de deux ou plusieurs pièces que l’on peut resserrer autour de l’arbre pour
- corriger l'usure, c'est-à-dire
- pour rattraper le jeu.
- JEU DE CAME.
- Schéma d'ln jeu de came
- A arbre portant la came G, excentrée à gauche. — J, J’, positions de la lige engagée dans la came. — K, K’, positions du pignon.
- — Dans un changement de vitesse, on obtient parfois l’attaque de telle ou telle roue dentée par le déplacement du pignon de l'arbre moteur, obtenu non par une fourchette de commande, mais par un jeu de came. La petite ligure annexée montre le rôle de la came G qui, très excentrée sur la gauche, amènera, lorsque l’arbre A tournera d'un quart de cercle suivant la llèche, le
- pignon K en K’, obligé qu'il est de prendre cette position par le recul de la tige engagée en J dans la came.
- JEUBERT, garage, commerce d'automobiles, 28, rue de Montcreau, à Sens (Yonne).
- JEUMONT (Usmes et Aciéries de), pièces détachées, acier magnétique, 12, rue Lafayette, Paris. Tél. 212-O0.
- JEWELL {The), automobiles. — Voir Forest City Motor Car C°, Etats-Unis.
- JIEL-LAVAL, vente d'automobiles. —-Voir Laval (Jiel).
- J. M., allumage. — Voir Jacquet-Maurel.
- JOBEZ (Charles), directeur aux usines Hochet-Schneider, chemin Feuillat, Lyon.
- JOHANNOT, fabrique d’outils et de la trousse “Héléna”, 5, place de Fusterie, à Genève (Suisse). — Agents : Lacoste et C’ie.
- JOHNSON and WRIGHT, garage, commerce d'automobiles, 23, Gold Street, à Xorthampton (Angleterre).
- JOHNSON (Henri) et Sons, transports d’automobiles, 24, rue Saint-Vincent-de-Paul, Paris. Tél. 436-4().
- JOINT. — Point où s’établit la jonction de deux pièces ; nous pouvons citer comme exemple le joint (l'autoclave, la jonction de deux brides, celle d’une culasse et d'un cylindre. Par extension, ce mot indique la matière plastique interposée et rendant hermétique la jonction de deux pièces canalisant un fluide : gaz, eau ou essence. Les joints employés en automobile sont le plus souvent en amiante, soit tressé en cordelettes, soit tissé en étoffes, soit superposé feuilles à feuilles pour former du carton, etc. Aujour-
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- •d’hui, on n’emploie plus guère que des joints métallo-plastiques, c’est-à-dire constitues par une plaque de carton ou de lil d’amiante recouverte d'une feuille de cuivre mince et souple. Les joints pour l’arrivée de l’essence sent quelquefois constitués par des rondelles de plomb ou d’étain. Pour les culasses et les •cylindres, on emploie soit des'papiers enduits •d’huile de lin cuite, soit simplement de l’huile cuite comme dans les anciens modèles Panhard.
- Dans beaucoup de carburateurs, le joint •est formé par la simple interposition de deux pièces coniques avec serrage par écrous. — Voir Durand, Comiot, Henrique, Mestre et Blatgé, La Française et tous les marchands d’accessoires.
- — Faugère (Vital) Aîné, fabrique de joints mélalloplastiques, 3, rue Paillon, à Saint-Etienne (Loire).
- JOINTS DE HOLDAM, DE HOOKE, UNIVERSEL. — Le joint de lloldam sert :à réunir deux arbres parallèles susceptibles <l’éprouver de légers déplacements transversaux. Le joint de lloldam est, employé sur les automobiles pour réunir les extrémités de l’arbre différentiel à l’axe des pignons •de chaîne. Ces axes subissent en effet des déplacements impossibles à éviter et dus aux déformations du châssis en marche.
- Le joint Universel sert à réunir deux arbres faisant entre eux un angle quelconque plus grand que i35°. Le joint, Universel de (dément permet, d’accoupler deux arbres faisant entre eux un angle plus petit, que qo°. Le joint le plus généralement employé est celui do Cardan.
- JOKLOP, accumulateurs électriques, 90, boulevard de Ménihnontanl, Paris. Tel. q4o-8o.
- JOLTROIS, de la Maison des Automobiles Peugeot, 83, boulevard Gouvion-St-Cyr, Paris.
- JOLLY (Auto-Garage du Centre), commerce d’automobiles, à Sedan 1 Ardennes).
- JOLY, antidérapants, ia3, boulevard Perdre, Paris. Tel. 543-3q.
- JOLY, appareils à acétylène, rue du Parc, à Morbecque (Nord).
- JOMAIN, ascenseurs pour voitures automobiles, 34, rue Brancion, Paris. Tel. 718-90 et 727-93.
- JONES, compteurs de tours pour automobiles, odomètres, specdomètres, 128 West 3a d. Street, à New-York (Etats-Unis).—Voir Glaenzer et Perreaud, Paris.
- JONES (John F.) et C'e, Compagnie Générale de Publicité, 3i bis, rue du Faubourg-Montmartre, Paris. Tél. 117-54 et 297-90.
- JONES (Oliver II.), représentant de American Locomotive Automobile G0, 4t>, avenue delà Grande-Armée, Paris. Tél. 588-30. Adr. tél. (ioggles-Paris.
- JONES ( Wil/ia m),, compteurs de tours, “the Speedistimeter’’, 112, N. Broad Street, à Philadelphie (Etats-Unis).
- JOOSS [Hugo) , commerce d’automobiles, 8, Kaulingerstrasse, à Munich (Allemagne). Adr. tél. Mercédès-Mïmchen.
- JORIS et DAMBRUN, machines-outils, tours, billes en acier, 23, boulevard Richard-Lenoir, Paris. Tél. 982-42.
- JOSEPH et C'°, pncumatiquc-cuir il l)a-lila ”. —- Voir Ixe/loise de Caoutchouc (Manufacture).
- JOSSE (II.), 1 trevets d’invention, 17, boulevard do la Madeleine, Paris. Tél. 11G-61.
- JOSSERAND et JACQUET, décolletage de précision, 28, rue Lasson, Paris.
- JOSSIN, commerce d’automobiles, 207, rue Lafayette, Paris.
- JOST, machines-outils, 1G1, rue des Partants, Paris. Tél. 910-70.
- JOUACHIM (Henri), 8, rue du Général-Ilenrion-Berthier, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Né à Champflcnry, le icr juillet 187b. — Officier d’Aeadémic. — Sous-directeur des Usines de Dion-Bouton et C“.
- JOUCLAS et Cl0, appareils d’allumage.
- — Voir Labansat, Paris.
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- poulie. — Quelques roues de voiture ne portent pas de rais en bois, mais sont formées par deux joues ou toiles métalliques réunissant le moyeu à la jante (roues Arbel, par exemple). — Désigne plus spécialement les côtés de la gorge d'une poulie.
- JOUFFRINEAU, garage, commerce d’automobiles, rue Sénarmont, à Dreux (Eure-et-Loir].
- JOUGLA, fabrique de papiers photographiques, 45, me de Rivoli, Paris. Tél. 106-75.
- JOURNAL {Le). 100, rue de Richelieu, Paris. Tél. io3-io.— Rédacteur sportif : Recordman.
- JOURNAUX y J.), motocyclettes et moteurs, 54, rue des (devenues, Paris. Tél. 709-73.
- JOURNU (Joseph-Marie), 3, rueVillaret-dc-Joyeuse, Paris.— Né à Lignan, le 21 mars 1868. — Attaché à la maison Delaunay Belle-ville.
- JOUSSEAUME. garage, commerce d’automobiles, 14, place Saint-Jean, à Niort (Deux-Sèvres).
- JOUVE Fils, cou nnerce d’automobiles et d’accessoires, 6, rue Pergolèse, Paris.
- JOVIN-CHARLIER, fonderie de fer, à Nouzon (Ardennes! ; et 26, boulevard Voltaire, Paris.
- J. P., antidérapants. —Voir Julien-Pinçon.
- J. R. (Société des Moteurs et Carburateurs au pétrole lampant), 97, avenue de Glicliy, Paris.
- JUBAUD, garage, commerce d'automobiles, 18, rue de l’Odet, à Quimper (Finistère).
- JUBÉ-RENAUD , garage, commerce d’automobiles, rue Grande, à Fontainebleau (Seiue-et--Marne).
- JUCHMÈS (Georyes), à Moisson, par la Roehc-Guyon (Seine-cl-Oisc). — Né à Paris, en 1874. Se distingua dans les concours de l’Exposition dont il fut plusieurs fois lauréat, devint en 1908 Faéronaute du ballon dirigeable Lebaiuly, dont il a conduit toutes les magnifiques ascensions.
- JUÉRY, tri-porteurs, 18, rue Rambuleau, Paris. Tél. 278-28.
- JULLIOTt//ewW),3, rue de Flandre, Paris. — Né à Fontainebleau en i855. Ancien élève de l'Ecole Centrale de Paris. Conçut en 1896 la première idée du célèbre dirigeable Lcbaudy dont il a établi les [dans et dont il est demeuré l'ingénieur.
- JUILLET (L.), huiles et graisses industrielles, huile “ Rigal ” et savon “ Rose-
- Mousse” pour chauffeurs, 29, avenue Bouci-caut, à Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire). Tél. 128. Adr. tél. Léoline-Ghalon.
- JULIEN, magnétos pour motocyclettes, 65, boulevard de Grenelle, Paris.
- JULIEN (J.), embrayages progressifs et changements de vitesse, 110, rue Saint-Maur, Paris.
- JULIEN-PINÇON et Ci0, antidérapants, pneu-cuir J. P., 54, boulevard Magenta ; et 7, passage Dubail, Paris. Tél. 44I-07-
- JULLIAN Frères , mécaniciens, constructeurs de pulvérisateurs, à Béziers (Hérault).
- JUMELE. — On dit que les cylindres d'un moteur sont jumelés lorsqu’ils sont formés deux à deux par un seul bloc commun. Il y a donc deux paires de cylindres jumelés dans un « quatre-cylindres » à cylindres jumelés.
- JUMELLE. — I jCS ressorts de suspension des voitures étant articulés à une de leurs extrémités sur un point fixe du châssis, il est indispensable, pour permettre l’allongement résultant de leur flexion, que l’autre extrémité puisse se mouvoir dans le sens de la longueur.
- Les pièces articulées, en forme de huit, qui relient de ce côté le ressort au châssis, sont toujours montées par paire et sont pour cette raison appelées jumelles.
- JUNGHAUS Frères, odotachymètres, compteurs de tours, 63, rue des Archives, Paris.
- JUNGMANN, accessoires pour automobiles, 8, Langenbeekstrasse, à Berlin (Allemagne).
- JUNIOR (Automobiles). — VoirFabbrica Torinese Automobili, Italie.
- JUPITER (Le), antidérapant. —Voir Va-don, à Lyon; et 207, boulevard Pércire, Paris.
- JUPITER, appareils d'allumage. — Voir Jarre (G.), Paris.
- JUPITER, phares et lanternes. — Voir Desponts, à Levallois-Perret (Seine).
- JUSSY (Société Anonyme des Etablissements de). — Voir Furan (Société Anonyme des Ateliers du).
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- K. — Symbole de moment d'inertie.
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- kg- — Abréviation de masse du kilogramme.
- kw. — Abréviation de kilowatt.
- kgm.-----Abréviation de kilogrammètre.
- . kg7d. — Abréviation de kilogramme-degré. ......
- kg : cm2. — Abréviation de kilogramme par centimètre carré.
- kgm : s. — Abréviation du kilogrammètre par seconde.
- x. — (Prononcez kappa.) — Symbole de susceptibilité magnétique.
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- KAMPMANN et C°, commissionnaires en accessoires d'automobiles, i3, rue Riclier, Paris. Tél. 109-43.
- KAPFERER (//eîirÿ), 24, rue de La Ro-cliefoucault, Paris. Tél. 227-00.— Agent général des Magnétos Bréguet ; représentant de la Jante amovible Vinet ; administrateur-délégué de la Société Anonyme des Vedettes Automobiles.
- KARLSRUHER WERKZENGMAS-CHINENFABRIK, construction de machines-outils, à Karlsruhe (Duché de Bade).
- KATZ, insignes et écussons sportifs, 4l boulevard Voltaire, Paris.
- KATZ (S.), lanternes et réservoirs, 7, rue du Dahomey, Paris.
- KATZ {Victor), pneumatiques, dissolution “le Guttacol”, 128, rue Saint-Denis, à Courbevoie (Seine). Tél. 88,
- KAYE, fabrique de burettes en acier dentelé sans soudure “Kaye”, g3, lligh Hol-born, à Londres W.-C. (Angleterre).
- K. D., motocyclettes. — Voir Keller-Dorian.
- KEELE and O, garage, commerce d'automobiles, 28, Brook Street, W., à Londres (Angleterre). Tél. 2206 Gerrârd. Adr. tél. Keelemotes-London.
- KELLER-DORI AN, motocyclettes K. D., 89 bis, rue du Dauphiné, à Lyon (Rhône).
- KELLER-FRIGOT (JS.), coussins pour carrosserie automobile, 153, rue du Faubourg-Saint-Honoré, Paris.
- KELLER, LELEUX et Ci0, fabrique de ferro-chromé, ferro-silicium, ..à. Livet (Isère); et 3, rue Vignon, Paris. Tél. 136—57-
- KELLNER
- (père), 125, avenue Mala-koff, Paris. Tél.
- 5o3-37- Chevalier de la Lé-ion d'honneur epuis 1887 ; décoré de l’Ordre de François-Joseph.
- Fondateur, en 1860, puis associé, en 1890, avec ses fils, de la maison Kellner et ses Fils.
- KELLNER {Georges), 126, avenue Ma-Iakoff, Paris. As>socié et directeur technique de la maison Kellner et ses Fils. — Président de la Chambre syndicale de la carrosserie ; vice-président du jury à l’Exposition de Saint-Louis et rapporteur de ce jury. Promoteur du tarif de chemin de fer dit à « l’empattement ». Auteur d’articles remarqués sur les perfectionnements à appor- M. Georges Kellner.
- [Sans Rivales s les ZUST
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- ter à la carrosserie automobile. — Collaborateur à Omnia, revue pratique de locomotion.
- vv
- KELLNER (Paul), 126,avenue Malakoff,
- Paris. Tel. 503-3?. — Associé et directeur commercial de la maison Kellner et ses Fils.
- KELLNER efr ses Fils,
- carrossiers, 120, avenue M a 1 a-kolï', Paris. Tel. 5o3-3?. Adr. tel. K e II n ercar-Paris. Usine modèle : 180,
- route de Versailles, à Boulo-gne-sur- Seine (Seine).
- M aison fondée en 18G0, par M. Kellner père, dans la cité Godot-de-Mauroi ; transférée rue Montaigne, puis boulevard Haussmann ; enfin, avenue Malakoif. M. Kellner est associé avec ses deux fils, depuis le ier janvier 1890.
- KELSCH et Cie, carrosserie automobile, 21, rue Fromont, a Levallois-Pcrret (Seine). Tél. 53?-?G. — Ateliers : 4?, rue Marjolin, à Levallois-Perret (vSeine).
- KEMPBER, appareils photographiques, 10, rue Yillehardouin, Paris.
- M. Paul Kellnf.u.
- KERRY, moteurs et cycles K, C., 211, à Shoreditch Street, Londres (Angleterre). Adr. tel. Akere?ie-Lo?ido?i.
- KESSERLING et CIc. construction de magnétos, à Scliaifhousc (Suisse).
- KIENLE commerce d'automobiles, à Mannheim (Allemagne).
- KIENTZY, machines pour la fabrication du caoutchouc, 18, rue de la Folie-Regnault, Paris. Tél. 902-92.
- KIESSLING et Ci0, machines-outils, 26, boulevard Beaumarchais, Paris.
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- KILO. — Préfixe indiquant que le mot qu'il précède est multiplié par mille : « un kilomètre — mille mètres ». — Le mot kilo est couramment, mais incorrectement employé comme syhonyme de kilogramme.
- KILOGRAMME. — (Abréviation: kg). Poids de mille grammes. Le kilogramme international est un certain poids de platine iridié conservé aux “Poids et Mesures”.
- Dans le système G. G. S., le poids d’un corps qui a une masse de 1 kilogramme est de 9,8i,io2 dynes, soit environ un mégadyne (un million de dynes) ; on désigne souvent le poids de ce corps par l’expression kilo-gramme-poids.
- Par rapport aux mesures anglaises, le kilogramme vaut: livres troy 2,0?; ou livre avoir-du-poids 2,20. .
- — Kilogramme-degi'é. — (Symbole : kg-d). — Voir Gramme-degré.
- — Kilogramme-force. — Force qui, agissant sur un kilogramme - masse, imprime Funité d’accélération.
- — Kilogramme-masse. — Multiple par mille de l'unité G. G. S. de masse : le gramme-masse.
- — Kilogramme par centimètre-carré. — (Abréviation : kg : cm-.) — Unité de pression. — Voir ce mot.
- KILOGRAMMÈTRE. — (Symbole : kgm.) — Unité de mesure de travail. Un kilogrammètre représente le travail nécessaire pour élever un kilogramme h la hauteur d'un mètre, quel que soit le iem]ts nécessaire pour effectuer ce travail.
- Si 011 compare entre elles les unités de mesure de la chaleur et du travail, la calorie (chaleur nécessaire pour élever de 1 degré centigrade la température de 1 kilogramme d’eau), et le kilogrammètre (travail nécessaire pour élever 1 kilogramme à un mètre), on arrive à déterminer quel est l’équivalent mécanique de la calorie, et, par suite, quel est l'équivalent calorifique du kilogrammètre.
- Une calorie équivautà 4a5 kilogrummètres ;
- un kilogrammètre équivaut à 7— de calorie.
- 4 20
- Si donc nous sommes en présence d’un corps qui renferme G 000 calories au kilogramme par exemple, nous pourrons conclure qu’il nous fournira théoriquement 2120000 kilo-grammètres, soit 28 333 chevaux pendant une seconde, ou [\-2 pendant une minute, ou 8 chevaux environ pendant 1 heure.
- Un kilogrammètre vaut : — de cheval va-
- peur ; -—r de calorie; 9,81 joules.
- 420
- (Dans le système C.G.S., le kilogrammètre représente le travail effectué par un kilogramme-poids tombant d'une hauteur de 1 mètre, soit 9,81 X I07 ergs).
- — Kilogrammètre par seconde. — (Abréviation : kgm : s). — Unité de mesure de puissance, représentant la puissance nécessaire pour effectuer un travail d'un kilogrammètre en taie seconde.
- Le cheval-vapeur vaut ?5 kilogrammètres par seconde ou ?36 watts.
- Le kilogrammètre par seconde représente de cheval-vapeur ou 9,81 watts.
- DÉJEUNERS AUTO de LOUIS VUITTON
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- — 421
- lv 0 1C
- KILOWATT. — Unité de puissance usitée en électrotechnique. Toutes les machines électriques ont leur puissance évaluée en kilowatt, comme les machines mécaniques ont la leur évaluée en chevaux-vapeur.
- 1 kilowatt vaut i,36 cheval.
- Cet écart cause une petite complication dans la pratique, et est d’autant plus fâcheux que le cheval-vapeur est une unité de puissance absolument arbitraire, puisqu’il correspond à ^5 kilogrammètres. Le poncelet, unité décimale, valant 100 kilogrammètres, (conformément au système décimal) devrait toujours être employé, car il correspond en outre au kilowatt (1 poncelet= 0,981 kilowatt).
- Le kilowatt équivaut à mille watts; une machine donnant 5oo ampères sous 2,5 volts est donc une machine de 12,5 kilowatts.
- KINGr DICK, clés et accessoires. — Voir Abingdon Works C°, à Birmingham (Angleterre).
- KINGFISHER (Société), graisses et huiles, 93, boulevard Victor-Ilugo, à Clichy (Seine). Tél. G4-
- KIRCHNER et Ci0, machines-outils, 77, rue Manin, Paris.
- KIRK M'* CP, construction d’automobiles, 9.5a, Oakwood avenue, Toledo (Ohio), Etats-Unis.
- !;vv'
- KISTMAECKERS (Henry-Alexandre), 22, avenue Jules-Janin, Paris. — Né le i3
- octobre 1872, en Belgique (Français). Ilommedc lettres, auteur dramatique. Fait de l’automobile depuis 1890(Pari s - M a r s c i 1 le sur première Peugeot do course 4 chev.) ; fit son apprentissage sur la route, puis l’acheva dans un atelier, où il se fit embaucher incognito pour connaître les dessous de l’automobilisme. Amateur de tous les sports : cyclisme, équitation, patinage, etc. Auteur applaudi de L'apprentissage de Lord Will et de Trirnm, Will and C°, romans comiques de l’automobile. Auteur dramatique réputé. Rédacteur aux Sports.
- M. Kistmaeckeus.
- KLEBER ( Auto-Agence), commerce
- d automobiles, 100, avenue Kléber, Paris.
- KLÉBER-FOREST, commerce d’automobiles et de cycles, G, rue Poisson, Paris.
- KLEIN, compteurs kilométriques, 8G, r;ic du Faubourg-Saint-Denis, Paris.
- KLEPP, accessoires pour machines, produits « Durit », compteurs, 54, boulevard Richard-Lenoir, Paris. Tél. 900-95.
- KLEY, vente de pneumatiques « Excel-sior », 135, boulevard Anspach, à Bruxelles (Belgique). Tél. 7677.
- KLUNZIGER et C°, construction d'automobiles, à Ileilhronn-sur-N'eckar (Wurtemberg).
- KNAP (Société Anonyme des Moteurs Georgia), à Troyes (Aube); et 15, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- KNOHAERT, amortisseurs, à Frelin-ghien (Nord).
- KNOX AUTOMOBILE CP , voitures et camions automobiles à refroidissement par l’air, à Springfield (Massachusetts), Etats-Unis.
- KNYFF (Chevalier René de), 31, rue De-mours, Paris. Tél. 551-24. Né à Anvers (Belgique), le 10 décembre i865. — Chevalier de la Légion d’honneur. — Administrateur de la Société Panhard et Le-vassor ; président de la Commission sportive de l’A. C. F. —
- M. de Knylï a été un des premiers apôtres de la locomotion mécanique sur route et est un de ses plus brillants sports-men.
- KNYFF
- (Gaëtan de), directeur de la Maison Outhe-nin - Chalandre,
- 4, rue de Chartres, à Neuilly-sur-Seine (-Seine).
- Chevalier Ri:ne de Knyff.
- KODAK (Easlmann), appareils photo-, graphiques pour touristes, 5, avenue de
- l’Opéra, Paris.
- KOECHLIN , administrateur de la Société Gobron-Brillié, i4, avenue de la Grande-Année, Paris.
- KOERTING, moteurs à gaz, fabriqués par Biétrix, Leflaive et Cie, à Saint-Etienne (Loire).
- KOKOMO RUBBER CP, pneumatiques à jantes démontables, à Ivokomo (Indiana), Etats-Unis.
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- K U S
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- KOLB (C.-E.), moteurs à deux temps.— Voir Victoria [moteurs). '
- KOPP (Oscar), Go, boulevard de Clichy, Paris. Tel. 544-88. Directeur de la Société Electrique Ilydra. — Né àSaint-Gall (Suisse), en i8^3.
- KORN, ferreur en voitures, 12, impasse Laugier, Paris.
- KORSTEN, appareils de photographie,
- 10, rue Le Brun, Paris.
- KOSMOS, antidérapant. — Voir Deitz (E.), Paris.
- KOSMOS (Engrenages). — Voir Piat et ses Fils, Paris.
- KOSSUTH et Cle, graveurs-imprimeurs,
- 11, rue des Petits-Hôtels, Paris. Tél. 429-11-
- KRAEMER et Cle, carrosserie automobile, i4, rue Galvani, Paris, Tél. 559-00.
- KRAUSS, tachymètres, 21, rue Albouy, { Paris. Tél. 44I-I5.
- KREBS (Constantin), 19, avenue d’Ivry, Paris. — Ancien commandant du génie, olli-cier de la Légion d honneur, directeur des Anciens Etablissements Panhard et Levas-sor. — Se fit connaître vers 1888 par de remarquables expériences d'aérostation en collaboration avec le colonel Renard (ballon dirigeable La France à moteur électrique).
- KREFF et HECKENBENNER, carrosserie automobile, ^3, rue de \illiers, à Levallois-Perret (Seine). — rlél. 5go-yG.
- KRIÉGER (Louis), 8, rue Cardinet, Paris. Né à Paris, le 28 mai 18G8. Chevalier de
- la Légion d’honneur : officier d’Académie. — Directeur technique delà Compagnie des Voilures Kriéger. Président de la Section de locomotion électrique de la Chambre Syndicale de l’Automobile. — Ingénieur de l’Ecole Centrale ; s’est spécialement adonné à la construction d’automobiles M. Kiuégeh. électriques à
- avant-trains moteurs ; a découvert, en 1896, les propriétés du nickel dans les accumulateurs alcalins et imaginé un accumulateur basé sur ces prin-
- cipes. Un des créateurs de la voiture électrique.
- KRIEGER (Compagnie Parisienne des Voitures électriques, procédés), 45, boulevard Haussmann, Paris. Usine, rue Volta, à Puteaux (Seine), Tél. 82. Magasin de vente : 48, rue La Boétie, Paris. Tél. 563-Gg et 5G8-g5. Adr. tél. Silenzioso-Paris. —Société Anonyme au capital de 3 millions de francs. — Direction générale : M. Jandrieux, administrateur-délégué. Direction technique : M. L. Kriéger. -
- KRIÉGER (Società Ilaliana Automo-bili), voitures électriques, accumulateurs, 46? corso Regina Margherita, à Turin (Italie). — Tél. 2169. — Société Anonyme, au capital d.e 900000 lires. Directeur général : M. F. Gu1-detti-Serra, ingénieur.
- KRIÉGER et BRASIER (Société des Garages), vente d’automobiles électriques Kriéger, 48, rue La Boétie, Paris, Tél. 560-69 et 568-g5. Adr. tél. Suaviter-Paris.
- KRUPP (Fried.), A. G., acier fondu pour outils, châssis’ emboutis, changements de vitesse, à Essen (Allemagne).-—Réprésentant: Robert Zapp, 143, avenue Parmentier, Paris.
- KRUPP (Fried.) AKTIEN GESELL-SCHAFT, construction d’automobiles à vapeur, à Kiel (Allemagne).
- KRUPP (Fried.) AKTIENGESELL-SCHAFT, fonderie de fer, roues en acier, appareils de levage, machines pour le travail du caoutchouc, à Magdebourg-Buckau (Allemagne).— Représentant: A. Bonehill, 117, boulevard Magenta, Paris.
- KUGELFABRIK FISCHER, A. G.,
- fabrique de billes en acier, à Schweinfurt-sur-Mein (Bavière). — Voir IlofJ'er, Paris.
- KUHLING (Ch.), agent général de la Compagnie Française des Antidérapants Goliath, 80, rue Saint-Lazare, Paris. Tél. 258-^6.
- — Goliath, 18, avenue de l’Alma, Paris. Tél. 63)1-33.
- KUNDTZ, jantes, 4o, rue de l’Echiquier, Paris.
- KUNTZ (E.), .moteurs de marine pour canots automobiles, 5, place de l’Aube, à Marseille (Bouches-du-Rhône).
- KUNTZ, garage, commerce d’automobiles, 19, rue de Constantine, à Alger (Algérie).
- KUSTNER et RETOR, constructeurs de la « Moto Rêvé », à Genève-Acacias (Suisse).
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- L. — Lettre indiquant que le véhicule qui la porte dépend de l'arrondissement minéralogique du Mans (Sartlie).
- L. Symbole de litre.
- L et l. — Symbole de coefficient d'induction ou de longueur.
- Lm. — Abréviation de coefficient d’induc-lion mutuelle.
- Ls. — Ab réviation de coefficient de self-induction.
- £. — Abréviation de livre sterling.
- LABADIE, ga rage, commerce d'automobiles, 4, rue Lordat, à Tarbes (Hautes-Pyrénées).
- LABANSAT (L ouis), appareils d’allumage, bobines, bougies, dynamos, 3, rue Las-Gases, Paris. Tél. 764-74• Adr. tel. Elec-tromèca-Paris.
- LABARRERE, garage, commerce d’automobiles, 4) boulevard de la République, à Agen (Lot-et-Garonne).
- L AB AUNE, carrosserie automobile, garage, 4o, rue Gambetta, à Roanne (Loire).
- LABBÉ Fils, moteurs et pièces détachées, 208, rue St-Maur, Paris. Tél. 433-tj8.
- LABBE, commerce d’automobiles et do cycles, 3 ter, rue de la République, à Saint-Maur (Seine).
- LABBEZ-BILLOT , garage, commerce d’automobiles, ?3, place du Marché, à Meaux (Seinc-et-Marne).
- LABITTE, bougies d’allumage, 2G, rue de Ménilmontant, Paris.
- LABOR, automobiles construites par Weyher et Richemond. — Voir Clèves (de) et Chevallier.
- LABORATOIRE CENTRAL D’É-LECTRICITE, 12, rue de Staël, Paris. Tél. 708-68.
- LABORATOIRE DE L’AUTOMOBILE CLUB DE FRANCE, 128, rue du Rois, à Lcvallois-Perret (Seine). Tél. 55g-88. — M. Georges Lumet (voir ce nom) est l’ingénieur chargé du Laboratoire. —• Les essais intéressants faits au Laboratoire de l’A. G. F. sont publiés tous les mois dans le Bulletin Officiel de la Commission technique de l'A. C. F. (administration, 20, rue Duret, Paris; abonnement : 6 francs par an).
- Le Laboratoire de l’A. C. F. rend les plus signalés services à tous les inventeurs et chercheurs. (Demander son tarif d’essais.)
- LABORATOIRE D’ESSAIS mécaniques , physiques et de machines
- (électricité exceptée). — Au Conservatoire des Arts et Métiers, 292, rue Saint-Martin, Paris. — Ouvert au public, de 8 à 6 heures.
- LABORATOIRE ÉLECTROTECHNIQUE, 122, boni. Léopold-II, à Bruxelles (Belgique).
- LABORATOIRE MINISTÉRIEL.
- — 11 existe, depuis le 22 février 1902, un laboratoire d'essais, appelé Station d’essais de machines agricoles (ministère de l’Agriculture), Igj, rue Jenner, à Paris, qui se charge d’ell'ectuer tous les essais possibles sur les moteurs, voitures automobiles, changements de vitesse, carburateurs, etc., moyennant une taxe perçue par le Trésor.
- LABORATOIRE MUNICIPAL DE CHIMIE, à la Préfecture de Police, caserne de la Cité, place du Parvis Notre-Dame, Paris. Tél. io5-o4- Directeur du Laboratoire: M. Ch. Girard.
- Le Laboratoire est ouvert de 11 b. à 3 b. Le public peut y déposer des échantillons à faire analyser. Le Laboratoire, entre autres services, est chargé de surveiller l’exécution du décret du 19 mai 187b, relatif à la vente des huiles de pétroles et des essences minérales pour automobiles et éclairage.
- LABOURDETTE( Maison Henri), carrosserie automobile de luxe,35, avenue des Champs-Elysées, à Paris. Télépli.
- 676-41. Adr. tél. lier il a b-Paris. —
- Usine : 68, boulevard de Courbevoie , à Courbevoie (Seine). Tél.
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- LABOUR-DETTE (Henri)
- 35, avenue des Champs-Elysées,
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- — Né à Paris, le Ier septembre i 855. Chevalier
- d Isabelle la Ca- M. Henri Labourdette.
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- l. A F
- (liolicjuc. — Membre de l'A. C. F. — Se-•crétaire de la Chambre syndicale des Carrossiers du département de la Seine ; president •de la Commission des Cours Professionnels de Carrosserie. — Chef de la Maison Henri Labourdette. — Fils de J.-B. Labourdette, fondateur de la Maison Labourdette.
- LABOURDETTE (Maison Berton-), carrosserie automobile, 183, rue de la Pompe, Paris. Tél. 5i2-85.— Ateliers: 81, rucArago, à Puteaux (Seine).
- LABOURIER (J), manufacture de lunettes, à-Morez (Jura).
- LABRE, garage, commerce d'automobiles, rue des Usines, à Montluçon (Allier).
- LABRE et PEYRI Fils, pièces détachées, carburateurs, 5o, rue Greifulbe, à Le-vallois-Perret (Seine).
- LACH AMBRE, construction d’aérostats, Voir Carton (E.) et Lachambre (Fïe).
- LA CHESNAIS (Alain de), sportsman, 22, rue Vauban, à Belfort (Territoire de Belfort) .
- LACKAWANNA, moteurs de marine.
- — Voir Perrot (Suisse).
- LACLAVERIE et GACHES, carrosserie de luxe pour voitures automobiles, 9, rue Montrosier; et 11, rue du Midi, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tél. 5G3-83. Maison fondée •on mai 1906.— Voir Gâches.
- LACOIN (Louis-Paul), 8, rue François-Millet, Paris. Tél. G77-47. — Né à Arcachon, le 2 mars i8G5. — Ingénieur des Arts et Manufactures. — Ancien directeur de forges et de fonderie ; a passé plusieurs années aux Aciéries de Longwy, puis chez de Diétrich à Lunéville. — Collaborateur à Omnia, revue pratique do locomotion. — Inventeur du châssis démontable pour automobiles. — Voir Court -( Luc) et C’10.
- LACOMBE, garage, commerce d’automobiles, G3, rue du Grand-Cerf, à Poitiers Vienne). Tél. i-23.
- LACOSTE, garage, commerce d'automobiles, rue Thicrs, à Villcncuvc-sur-Lot (Lot-et-Garonne).
- LACOSTE (Jean-Jules), 28, boulevard de Strasbourg, Paris. Tél. 441-21. — Né à Bourg, le 28 novembre 1861. — Directeur-gérant de la Société J. Lacoste et C'°. — A •commencé à s’occuper de l’industrie automobile en 1897, en fondant son importante maison de pièces détachées ; s’est fait une spécialité de l’allumage des moteurs à explosions.
- — Sportsman fervent ; a remporté de nombreux succès en rowing.
- LACOSTE (J.) et C", pièces détachées, accessoires de moteurs et d’appareils d’allumage, bobines, bougies, trousse Iléléna, borne “Sérisol”, etc., 28, boulevard de Stras-
- bourg, Paris. Tel. 441-21- Société fondée en janvier 1903. Ancienne maison Lacoste, fondée en 1897. — Succursale à Londres ; agences à New-York, Bruxelles et Francfort-sur-Mein.
- LACOSTE et C°, appareils d’allumage magnétos, 176, Shaltesbury avenue, à Londres W. G. (Angleterre).
- LACOSTE et BATMANN, Ltd, voitures automobiles et pièces détachées, i5, rue Danton, à Levallois-Perret (Seine). Tél. 55o-a4.
- LACOUTURE, bandages pneumatiques, 16, rue de la Raffinerie, à Saint-Quentin (Aisne). Tél. 17b. Adr. tél. Lacouture-Saint-Quenlin. Maison fondée en 1882.
- LACRE MOTOR CAR C°, Ltd {The), construction d’automobiles, 1, Poland Street, Oxford Street, à Londres W. (Angleterre).
- LACROIX et C10, chambres à air indégonflables, G, rue Francœur, Paris.
- LACROIX, garage, commerce d’automobiles, rue Victor-Hugo, à Villefranchc-sur-Saône (Rhône).
- LACROIX et LAVILLE (De) , construction d’automobiles à trois roues “La Nef”, garage, à Agen (Lot-et-Garonne).
- LADOUX, garage, commerce d’automobiles, rue Blalin, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- LADREYT (Emile), 182, boulevard Viclor-IIugo, à Glichy (Seine). —Né en i8^3. Ingénieur des Arts et Métiers. -— Directeur technique de la maison A. Clément (Automobiles Bayard).
- LAEIS, radiateurs et réservoirs, 86, rue de Villiers, à Levallois-Perret (Seine). Tél. 584-63.
- LAFARGUE, garage, commerce d’automobiles, 45, rue Croix-de-Seguey, à Bordeaux (Gironde).
- LAFFELY, ' garage, commerce d’automobiles, 55, rue Saint-Martin, à Bayeux (Calvados).
- LAFFITTE (Société des Plaques et Poudres à souder), 102, avenue Parmentier, Paris. Tél. 938-78.
- LAFFLY, ingénieur-constructeur, 82, rue du Vieux-Pont-de Sèvres, à Billancourt (Seine). Tél. GgG-Sg.
- LAFITOLE (O. de), Central-Garage, commerce d’automobiles, à Tarbes (Hautes-Pyrénées).
- LAFITTE, carrosserie automobile, garage, 124, cours du Médoc, à Bordeaux (Gironde).
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- LAFITTE {Pierre),
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- M. Pieiuie Lafitte
- 3, rue Villaret-de-Joyeuse, Paris. Tel. 556-73. —Né à Bordeaux, en 1872. — Editeur. — Secrétaire du Syndicat de la Presse périodi -que ; secrétaire de l'Académie des Sports ; directeur do journaux périodiques. — Chevalier de la Légion d’honneur.
- L A F O N
- {Veuve T.), cui-vreric et quincaillerie pour automobiles, 4» passage Moulin, Paris.
- LAFON et Ci6, garage, commerce d’automobiles, 18, rue Chanzy, à Libourne (Gironde).
- LAFONT, garage, 20, boulevard de la Caserne, à Issoire (Puy-de-Dôme).
- LAFONTAINE, pièces détachées, 7, rue Leregrattier, Paris.
- LAFONTAINE et C10,garage, commerce d’automobiles, Allées Marines, à -Bayonne (Basses-Pyrénées).
- LAFRETÉ {Gustave-Armand de), 108, avenue des Ternes, Paris. — Né à Paris, en
- 1866. — Publiciste à YEcho de Paris, au Chasseur Français, etc. — Membre fondateur du Ra-eing-Club de France ; président - fondateur du Motocycle-Club de France ; membre de l'A. C. F.
- LAGARDE’
- garage, com -mercc d’automobiles, rue du Palais, à Périgueux (Dordogne).
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- LAGÈRE et C10, cycles et pièces détachées, pneumatiques, marque “Olympia”, i4> rue Montgallet, Paris. Tél. 918-17.
- LAGOGUE Fils, garage, commerce d’automobiles, 10, rue Saint-Biaise, à Alençon (Orne).
- LAHAIVILLE, garage, commerce d'automobiles, 126, rue de Vêles, à Bar-le-Duc (Meuse).
- LAHAI3SSE (A. de), directeur de la Société Française des Camions Automobiles Hagen, 22, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél. 56i-65.
- LAIGRET, carrosserie automobile, i3, rue des Saintes-Maries, à Blois (Loir-eL-Clier).
- L AILL AULT, construction d'automobiles, 29, quai d'Asnières, à Asnières (Seine).
- LAINE, garage, commerce d’automobiles, 3a, quai d’Avesnièrcs, à Laval (Mayenne).
- LAINE {Félix), 9, rue Buflault, Paris. Tél. 210-42. — Né le 4 mars 1862. — Directeur-propriétaire du journal Cycle et Automobile Industriels. — Président du Syndicat général des Agents de Cycles et d’Automo-biles, dont il est le fondateur.
- LAIR-DELAY, garage, commerce d’automobiles, boulevard du Roneeray, à Angers (Maine-et-Loire).
- LAITON. — Alliage métallique constitué par le mélange du cuivre et du zinc, le plus habituellement dans la proportion de 2/3 de cuivre pour i/3 de zinc. L’alliage ainsi obtenu constitue le cuivre jaune, encore appelé : similor, chrysocale, tombac, or de Manheim. On ajoute quelquefois au laiton de faibles proportions d’autres métaux (étain, nickel, etc).
- LAKE et ELLIOT, fabrique du cric “ Millennium ” et d’accessoires, Albion Works, Braintrce, Essex (Angleterre).
- LALEUD, garage, commerce d’automobiles, 10, cours de la République, à Roanne (Loire).
- LALLEMENT (Etablissements), ressorts pour carrosserie, 13, rue Ambroise-Thomas, Paris. Tél. 129-37.
- LA MATHE {De), câbles électriques, à Gravellc-Saint-Mauricc (Seine); et 81, rue Réaumur, Paris.
- LAMAUDIÈRE, MAUGER et C'%
- motocyclettes, 4i passage Moitrier, à Leval-lois-Perrct (Seine).
- LAMBERJACK {Dominique), 108, avenue des Ternes, Paris. — Né à Paris, le 18 août 1878. Coureur réputé à motocyclette.
- LAMBERJACK {Emile), q5, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris. Tél. 555-33. — Né à Paris, le 17 juillet 1869. Débuta par la bicyclette qu’il quitta, dans le courant de 189.5, pour passer à l’automobile. Fonda, en 1902, la Société Franco-Américaine d’Automobiles, dont il est le directeur.
- LAMBERT {Prosper) {Établissements), construction d’automobiles, marque « Jean-Bart », 18, route de Cherbourg, à Nanterre (Seine). Tel. 3i. Adr. tél. Autolambert.
- LAMBERT (Automobiles). — Voir Buc-keye Mfg C°.
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- LAMBERT, commerce d'automobiles, iG, rue de Grammont, Paris. '
- LAMBIERGE et Ci0„ mécaniciens, 8, rue Bretonneau, à Tours (Indre-et-Loire). Tel. 3-25.
- LAMBLIN , commerce d’automobiles, 37, boulevard de la Senne, à Bruxelles (Belgique).
- LAMBLIN, garage, commerce d’automobiles, 15, rue Chabot-Charny, à Dijon (Côte-d'Or).
- LAMBOTTE, ga rage, commerce d’automobiles, G, rue Rabelais, à Lyon (Rhône). Tel. 19-43. Adr. tel. Pneumiclin-l.yon.
- LAMBRECHTS Jeune, garage, commerce d’automobiles, 9, rue .Pierre-Corneille, à Lille (Nord).
- LAMINER. — Laminer, c’est faire passer une barre de métal, à chaud généralement, quelquefois à froid, entre deux rouleaux d’acier appelés cylindres de laminoir tournant en sens inverse. Cette opération a pour but de donner aux barres métalliques des profils de formes très différentes ou d’aplatir le métal pour en fabriquer des tôles dont l’épaisseur est obtenue à volonté plus ou moins grande au moyen de boulons de serrage écartant ou rapprochant les cylindres compresseurs.
- LAMOTTE, garage, commerce d’automobiles, place de la Halle, à Laigle (Orne).
- LAMPE A INCANDESCENCE. —
- Le passage du courant dans un conducteur produit un dégagement de chaleur proportionnelle à la résistance et au carré de l’intensité. Si la résistance est élevée et le courant suffisamment intense, le dégagement de chaleur est suffisant, pour porter le conducteur au blanc éblouissant, d’où radiations lumineuses.
- Dans les lampes à incandescence ordinaires, le lil lumineux est constitué par un filament de carbone.
- — Hiîinz, rue Cave, à Lcvallois-Perret.
- — Ilmscii (El.), lampes électriques de voiture, 26, rue de Crussol, Paris.
- — Lampe à souder. — Les lampes à souder, alimentées le plus souvent à l’essence minérale, quelquefois ù l’alcool ou au pétrole, servent à l’exécution des soudures de conduites d’eau et de gaz.à la trempe des petits outils, à chauffer les fers à souder et à faire des petites brasures de tuyaux, raccords, etc. — Voir Chalumeau.
- — Longuemare Frères, 12, rue du Buisson-Saint-Louis, Paris.
- LAMPLUGH {Williams-Alfred), 93, avenue du Roule, Neuilly-sur-Seine (Seine). Tel. 504-67. —
- Né à Wolver-liampton (Angleterre), le 14 décembre 18GG.
- — A d mi n i s t râleur-délégué de la Maison Lam-plugh et C° et de la Maison Sur-gan, Ltd —Sport-sman distingué.
- LAMPLUGH
- et Ci0, carrosserie automobile,
- 8, rue Ernesl-Co-gnacq, à Leval-1 ois - Perret (Seine). Tel. M- Lampuioii.
- 604-67. Adr. Ici.
- Lamplugh - Levallois. — Usine : 32, rue Ureffulhe, à Levallois-Perrct (Seine). Tel. 48.
- — Société en commandite par actions, fondée en 1899, au capital de 280 000 francs. — Directeur : M. A. Lamplugh. — Membres du Conseil : MM. Charles Marreet René Coulon.
- LAMY, commerce d’automobiles, 160, rue Oberkampf, Paris. Tél. g23-o5.
- LAMY-TORRILHON
- (Henry - Gaspard), 10,rue du Faubourg - Pois -sonnière , Paris.
- Tél. 1G1-01. —
- Né à Clermont-Ferrand, le 8 juillet 1851. Officier d’Aoadémie.
- Administrateur -directeur de la Société des An ciens Etablissements Torrilhon.
- Vice-président de la Chambre syndicale des caoutchoucs. U11 des créateurs de l'industrie du caoutchouc en France.
- L AMY-TORRILHON {Marcel), 10, rue du Faubourg-Poissonnière, Paris ; et 24, boulevard de Villiers, à Lcvallois-Perret (Seine). — Né à Clermont-Ferrand, le 6 septembre 1878. —- Ingénieur-directeur des ateliers de Lcval-lois de la Société Anonyme des Anciens Etablissements J.-IL Torrilhon, caoutchouc manufacturé. — Ateliers de caoutchoutage des roues en bandes pleines. — Voir Torrilhon. Tél. 558-85.
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- LANCASTER MOTOR GARAGE,
- vente d'automobiles, 1, Lancaster Gâte, à Londres (Angleterre).
- LANCELIN, garage, commerce d’automobiles, 19, rue de Paris, à Tournan (Seine-•et-Marnc).
- LANCHESTER MOTOR C°, Ltd
- (The), construction d’automobiles, Sparkbrook etLiverpool Street, à Birmingham (Angleterre).
- LANCIA, célèbre coureur, s’est classé deuxième, sur voiture Fiai, dans la Coupe Vandcrbilt, 1906.
- LANDAU. — Voiture fermée à entrée latérale (pouvant se découvrir), portant un siège à l’avant et ayant, à l’intérieur, deux banquettes se faisant vis-à-vis et comportant deux grandes places chacune.
- Le landau peut être fermé entièrement, et momentanément, au moyen d’une capote arrière et d’une capote avant, ou partiellement avec l’une seulement de ces deux capotes. 11 peut être complètement découvert ; il porte, lorsqu’on le ferme, une glace sur chacune des faces latérales.
- Si la partie avant a sa capote remplacée par trois glaces, dans le genre du coupé
- Landau sun châssis Chahhon, Lu
- trois-quarts (voir ce mot), le landau prend le nom de landau cinq glaces (3 à l’avant et 2 aux portes). Ces glaces peuvent disparaître dans leurs coulants ou descentes ; les colonnes (montants des glaces) sont articulées à charnières pour pouvoir se rabattre : le landau peut ainsi se transformer en voiture complètement découverte.
- Le landau est dit carré lorsque les brisements (panneaux latéraux au-dessous de la ceinture) avant et arrière portent des angles vifs ; il est appelé landau deux-cintres, lorsque les angles des brisements sont arrondis.
- Une troisième forme, la plus courante en automobile, est celle dite landau-bateau, sans angles, avec les brisements formant une ligne ininterrompue, entièrement courbe. — Voir Coupé.
- Le landau n’est pas une voiture fort à conseiller en automobile, car cette forme do caisse est très lourde et très compliquée au point de vue des ferrures. La trépidation arrive à la disloquer facilement. Le landau ne peut être adopté pratiquement que sur des voitures peu rapides.
- LANDAULET. — Voiture fermée à deux places, pouvant se découvrir, et dont l’entrée se fait par le côté. Le landaulet est un coupé à deux places formé par une capote et des glaces, dont le dessus peut être rabattu en arrière pour découvrir la banquette intérieure.
- Landaulet
- Les montants qui soutiennent la glace avant peuvent se rabattre lorsque la glace a disparu dans ses coulants ou descentes de glace ; le landaulet forme alors une voiture entièrement découverte.
- — Belvallette, 21, rue Duret,, Paris.
- — Botiaux (Caiuiosseiue Tii.), 28, rue Gref-fulhe, à Levallois-Pcrret (Seine).
- — Kej.lneh et ses Fils, 120, avenue Mala-koff, Paris.
- — Lauouhdette (Henri), 35, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- — Laclaveiue et Gâches, 9, rue Montrosier, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Lamplugii et Cl0, 8, rue Erncst-Cognacq, à Levallois-Pcrret (Seine).
- — Rothschild , i3i , avenue Malakolf, Paris.
- :— Vin et et Boulogne, Gi, rue de Villiers, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Landaulet-limousine. — Voiture fermée à quatre places, pouvant se découvrir, avec entrée latérale et baie à l’arrière de la porte. Go modèle est, après la limousine, le type de voiture fermée le plus demandé.
- Landaulet-Limousink.
- — Landaulet-trois-quarts. — Cette voiture est un véritable coupé 3/4 (voj
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- LAN
- ce mot), ayant de même que lui quatre places intérieures et une baie formant avance, avec cette différence qu’il n’est fermé que
- Landaulet-tiiois-quarts
- par des organes mobiles, capotes et glaces, qui permettent d’en faire à volonté une voiture fermée ou entièrement découverte, lorsque la baie est carrée. Lorsque la baie est circulaire ou à coins arrondis, l'avance est toujours fixe et ne peut se rabattre. — Voir ces mots.
- Nous ferons au sujet du landaulet les mômes observations que pour le landau. Le landaulet est surtout une voiture de ville.
- — Partie en bois ou en fer d’une porte de voiture, qui se trouve à l’arrière du repos de la glace et qui maintient le châssis de glace dans sa position lorsque ce châssis est relevé.
- LANGUMIER, bobines d’allumage, 17, impasse Ilaxo, Paris.
- LANIER, échelles pliantes pour automobiles, marque “/a Libellule", banquettes, lits pliants, 17, rue Jouvenet, Paris. Tél. 687-42.
- LANIERE. — Sorte de cordon en cuir de vache qui sert à coudre et à assembler les deux extrémités d’une courroie ; la lanière est presque toujours remplacée actuellement par des agrafes métalliques.
- LANNES, carrosserie automobile, 10, rue Dutot, Paris.
- LANOLINE. — Substance blanc-jaunâtre, visqueuse, neutre, inodore, d’aspect gras, extraite du suint des moutons. Constituée par un mélange de corps gras et de cholestérine. Mise en dissolution dans la benzine ou l’essence, sert à réaliser Y imperméabilisation des tissus. — Voir ce mot.
- LANDEMARD, AUBERT et Cle, appareils pour braser, 10, rue de Rambouillet, Paris. Tél. 909-04.
- LANDOLT (Willy), ingénieur de la Direction des Usines Brasier, 17, avenue Victor-IIugo, Paris.
- LANGBEIN et C°, dynamos, moteurs électriques, 14> via Brera, à Milan (Italie).
- LANGE, métaux planés pour carrosserie, 1, boulevard Voltaire, Paris. Tél. 982-92.
- LANGET, mécanicien-électricien, ébo-nite, i4, rue Fallempin, Paris. Tél. 781-00.
- LANGLOIS {Anatole), 78, rue de Lille, Paris. —- Né à Angers, le 11 août 1844• Docteur en droit; ancien auditeur au Conseil d’Etat. Président du Conseil d'administration de la Société des Automobiles A ries.
- LANGUE D’ASPIC. — Une des formes les plus usitées du foret pour percer des trous à la machine.
- LANGUE DE CARPE — Outil ressemblant au burin ordinaire, mais dont il se différencie par son tranchant affûté non en ligne droite, mais en arc de cercle.
- LANGUETTE. — Petite pièce de laiton llexible qui, dans une trompe, vibre sous l’influence de l'air violemment comprimé dans la poire en caoutchouc par la main du chauffeur et produit un son amplifié par le tube conimie et le pavillon de la corne. — Voir Anche.
- •— Organe mobile qui, dans les lêcheurs, s’empare à chaque révolution de la goutte d’huile offerte par le graisseur.
- LANSAC et BOULIER, embrayages et changements de vitesse, i3, rue Louis-Blanc, à Levallois-Perret (Seine).
- LANSON {Marcel), né à Orléans (Loiret), le 24 juillet 1872. — Ingénieur des Arts-et Métiers (Angers 1888-1891); directeur technique de la Société des Etablissements Mieusset.
- LANTERNES. —• L’éclairage d’une voiture automobile est une question des plus complexes. La vitesse de marche du véhicule exige des lanternes très puissantes et dont la flamme puisse résister aux remous d’air les plus violents.
- Sur une voiture rapide, capable do 4o à l’heure par exemple, il est pratique d’installer de chaque côté une lanterne à pétrole de grande taille et au devant un phare, ou môme deux, à acétylène. Les deux premières (dont celle de gauche munie d’une bande verte pour obéir au Règlement) serviront en ville où la lumière est toujours suffisante et où la vitesse doit être très réduite. O11 ne devra compter raisonnablement pour éclairer la route que sur la lumière émise par le ou les phares, les lanternes 11e servant alors plus réellement que de simples feux indiquant la position de la voiture.
- -—• Les lanternes fabriquées à l’étranger subissent, à leur entrée en France, un droit de douane de : 45 francs (tarif minimum) ou de 60 francs (tarif maximum), par 100 kilogrammes.
- — Auto-Palace, 77 bis, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Besnard, Maris et Antoine, 60, boulevard Beaumarchais, Paris.
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- —• Boas, Rodrigues et Ci0, 67, boulevard de Charonne, Paris.
- — Comiot (C.), 87, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris.
- — Ducellier (G.), 25, passage Dubail. Paris.
- — Forest et C'e, 32, boulevard Heuri-lV, Paris.
- — Française (Société La), ij, rue Brunei, Paris.
- — Hussenot et Raynaud , 3g, rue La Boétie, Paris.
- — Mestre et Blatgé, 5, rue Brunei, Paris.
- — Star (lanternes), Bonneville, 52, boulevard Carnot, à Toulouse (Haute-Garonne).
- LANTERNIERS (Association coopérative des ouvriers), phares et lanternes, i4, rue Poncelet, Paris. Tél. 5o8-8o.
- LANUX et BOULANGER , carrosserie automobile, 5i, avenue de la Tranchée, à Saint-Symphorien, près Tours (Indre-et-Loire).
- LAPERTOT (P.), ingénieur, construction d’automobiles, (8, 12, 20, 3o, l\o IIP), moteurs désaxés, chaînes invisibles, i4 et 16, rue Désirée, à Saint-Etienne (Loire). Adr. tél. Aulolaperlot-Saint-Elicnnc.
- LAPIDAIRE. — On appelle lapidaire (quelquefois aussi lapideuse) une machine dont la base essentielle est un plateau, une meule tournant très rapidement, sur lequel on présente les objets ou parties métalliques I
- ui doivent être usées ou polies. La surface |
- e la meule est faite de plomb, d'émeri ou de cuivre rouge ; la substance « usante » est de l’émeri humecté d’eau que projette de temps à autre l’ouvrier sur le plateau tournant.
- LAPIPE, machines-outils, 143, rue Ohcr-kampf, Paris. Tél. 902-6G.
- LAPISSE et DALIGAULT, antidérapant amovible Néron, 32 ter, rue de Paris, à Elbeuf (Seine-Inférieure). Tél. 1—^4- Adr. tél. Nèron-Elbeuf.
- LAPSOLU (A.), bandage métallique pneumatique, 33, rue du Faubourg-Saint-Antoine, Paris.
- LARCHEVÊQUE (II.), garage, commerce d’automobiles, 5g, allée des Capucines, à Marseille (Bouches-du-Rhône).
- LARCHEVÊQUE, commerce d'automobiles et de cycles, 8G, rue Charles-Laffitte, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tél. gi.
- LARDON. — Morceau cylindrique, de très petit diamètre, de gomme vulcanisée, spé-C cialement préparée pour la réparation des petites A, lardon Michelin mis en perforations des
- place. — C, chambre à air. chambres à air.
- LARIDAN, garage, commerce d’automobiles, 60, rue Saint-Martin, à Soissons; (Aisne).
- LARIVE, fabrique de bougies d’allumage,.
- 19, rue Cail, Paris.
- LARRIVE Aîné, commerce d’automobiles et de cycles, iG, rue de la Liberté, à Cahors (Lot).
- LARROUMET et LAGARDE, garage, commerce d’automobiles, à Agen (Lot-et-Garonne).
- LARUELLE, garage, commerce d’automobiles, rue du Marché, à La Châtre (Indre).
- LASSEMBLÉE, commerce d’automobiles et de cycles, place des Capucines, à. Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais).
- LASSON (Louis), aciers et fers pour carrosserie, 122, rue du Faubourg-Saint-Martin, Paris. Tél. 402-88.
- LASSOUJADE, garage, commerce d’automobiles, 3, boulevard de la République, à Agen (Lot-et-Garonne).
- LATEX. — Expression botanique désignant la sève des végétaux. — Voir Caoutchouc.
- LATIL (Avant-train), construction d’automobiles, 9, rue Neuve-de-Villiers, à Leval-lois-Perret (Seine). Tél. 55o-43.
- LATITUDE. — Distance qui sépare un lieu de l’Equateur: suivant que la latitude est au-dessus (nord) ou au-dessous (sud) de cette ligne, elle est boréale ou australe. La latitude est comptée en degrés, minutes et secondes, à partir de l’Equateur, dont la ligne est cotée « zéro ».
- LAUGIER, garage, commerce d’automobiles, 35, route de la Valette, à Toulon (Var).
- LAULARD, f ers à souder, 34, passage Raoul, Paris. Tél. goo-5G.
- LAURENT, garage, i35, rue d’Alésia, Paris.
- LAURENT (G.) et C10, articles de sport, 58, boulevard Sébastopol, Paris.
- LAURENT (II.), manettes pour automobiles, 19, rue de Loos, Paris.
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- LAURENT Frères et ÇOLLOT, mo- '
- leurs à pétrole, à Dijon (Côte-d’Or) : et 23, ' boulevard Richard-Lenoir, Paris. " “
- LAURIN et KLÉMENT, construction do voiturettes automobiles, à Jungbunzlau (Autriche).
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- rage, 54, rue des Acacias, Paris. Tél. 53a-86
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- LAUSSEDAT (Aimé), colonel, 3, ave-nue de Messine, Paris. — Né à Moulinç, le 19 avril 1819. — Grand-officier de la Légion d'honneur. —Membre de l'Institut. ; directeur honoraire du Conservatoire des Arts et Métiers; président du conseil de l'Observatoire national de Paris ; ancien professeur de sciences appliquées à l'Ecole de guerre, etc.
- LAUTMANN, ingénieur-constructeur, engrenages taillés, 5, passage de l'Industrie, Paris. Tél. /jo5-g8.
- LAUTREC, garage, commerce d'automobiles, 8, boulevard de la Liberté, à Béziers (Hérault). -
- LAUTREC et VERRIEUX. garage; commerce d'automobiles, place Bardou, a Perpignan (Pyrénées-Orientales).
- LAUVERGNATet PESTEL, garage, commerce d'automobiles, rue de l'Echo, à Chatcauroux (Indre t.
- LAVAL, dit Jiel- Laval, commerce d'automobiles et, de cycles, garage, 5, cours du Chapeau-Bouge et 19, rue de Bcl-Orme, à Bordeaux (Gironde). Tél. 84 1. — Adr. tel. Jiel-Lava l-Bordea ax.
- LAVAL et TURCAS, carrosserie automobile, 11, rue Louis-Blanc, à Lcvallois-Perret (Seine).
- LAVALETTE et Cle, concessionnaires exclusifs pour la France jdes magnétos Eise-mann, jii bis, boulevard de Ménilmontant, Paris. Tel. 90^-54. Adr. tél. Allumaulo-Paris.
- LA VAULX (Comle Henry de), 120, av. des Champs-Elysées, Paris. Tél. 080-00. Né à Biervillc (Normandie), le 2 avril 1870.
- Chevalier de la L é gi o 11 d ' ho 11 -11 eur, o.fficier d'Académic. Célébré aéronaute. Première ascen -sion le 18 juillet 1898 en compagnie du comte de Castillon sous la direction de M. Mallet. Vice-président de F Aéro-Club de France dont il avait été un des promoteurs, il a exécuté près de deux cents ascensions dont certaines Font placé à la tête desaéronautes du monde entier. Recordman mondial de la distance avec Paris-Kowslychcw (Russie), 1 920
- kilomètres (9-11 octobre 1900); Grand Prix de l’Aéronautique de l'Exposition de 1900. Recordman mondial de la durée, l\i h. 5, à bord du Méditerranéen I (12-14 octobre 1901 ). Titulaire de nombreuses ascensions satisfaisant au moins à l’une des trois conditions suivantes: Distance, 5oo kilomètres; durée, 24 heures ; altitude, 5 000 mètres, parmi lesquelles nous citerons : Paris-Retzow (Poméranie) q3o kilomètres ; Vincennes-Wlodaneck (Russie) 1 23^ kilomètres ; Pala-vas à Capite à bord du Méditerranéen II, 3G heures ; Saint-Cloud à Ilull (Angleterre), la plus belle et la sixième des traversées du continent en AngleteiTC ; Saint-Cloud à Gleshcndorf (Cotes de la Baltique) 85o kilomètres ; détenteur actuel de la Coupe d/u u Gaulois” par 83o kilomètres, de Saint-Cloud à Pretszch-sur-Elbe (ier-2 avril), etc.
- Le comte de La Yaulx exécuta avec llcnri Hervé les belles expériences d'aéronautique maritime des Méditerranéen I et II en 1901-03-04. Il vulgarisa l'emploi du ballonnet à air, de la corde de déchirure, etc.
- A fait de nombreuses conférences qui ont répandu en France et à l'étranger, jusqu'en Amérique, le goût de la science et du sport aériens. O11 lui doit plusieurs ouvrages : Voyage en Patagonie, Seize mille kilomètres en ballon, relation attachante de ses voyages et un roman scientifique et d'aventures : Cent mille lieues dans les airs.
- Fondateur et vice-président de la Fédération Aéronautique internationale. Après avoir reçu le prix de l’Académie Française, fut lauréat de l'Académie des Sciences.
- LAVÈNE, avertisseur - sirène, 33, rue Notre-Dame-de-Lorette, Paris. Tél. 3i4-y5. Adr. tél. Lavcnauto-Paris.
- LAVERGNE (Gérard), 19, quai de la Fontaine, à Nîmes. — Né à Montredon, le ier septembre 1854. — Publiciste scientifique. — Ancien élève de l'Ecole polytechnique ; ingénieur civil des Mines ; collaborateur d Om-nia, de la Revue Générale des Sciences, du Génie Civil, de la Revue Industrielle, etc.
- LA VERNE, euivreries pour voilures et canots automobiles, accessoires, pompes, hélices, carburateurs, à Montataire (Oise); et i4, rue Godefroy, Paris. Tél. 823-58.
- LAVERTUJON (Henri), 26, avenue d'Eylau, Paris. Tél. G81-SO. — Né à Péri-gueux, le 19 avril 1800. — Avocat, journaliste, ancien député. —-Sénateur, administrateur de la Société des Anciens Etablissements Panhard-Levassor.
- LAVIGNE (Paul), moteurs et cycles, 80, rue de la Roquette, Paris.
- LAVIROTTE (Emile), 48, cours Morand, à Lyon (Rhône). — Né à Lyon, le
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- 3o novembre 1870. — Directeur commercial (et commanditaire) (les Etablisse-
- ments Berliet. — A fondé, en 18()4, avec M. Audibert, la première maison d’automo biles lyonnaise. Celle Société lut dissoute en 1901 ; l'usine fut rachetée par M. Lavi-rotte qui l’apporta en commandite à M. Berliet. — M. Lavirolte peul être considère comme l’un des f o n d a te u rs de l’industrie automobile à Lyon et l’une des tètes du commerce automobile français.
- LAVIROTTE iLouis), l\, nie Chambigcs, Paris. — Né à Lyon, en i8y3. — Frère du
- précédent.. — Di-
- recteur du Garage cl de l'Exploitation de la Société l’Elec-trique, 17, rue Jean - Goujon ; représentant général du Pneu-Cuir Sans-Peur.
- LAVOISIER , construction de cylindre:; de moteurs, 8, rue de Seine, à S u r c s n e s (Seine).
- M. Loris 1.AVIUOTTE LAWTON
- (J.-A.) and Cu, commerce d'automobiles, «7, Oxford Street, à Manchester (Angleterre).
- LAZORTHES, garage, commerce d’automobiles, /|7; rue Porte-Neuve, à Pau (Basses-Pyrénées'.
- D., changement de vitesse. — Voir Vulpcs.
- LEA (William) , commerce d'automobiles, i(i, Berry Street, à Liverpool (Angleterre).
- LÉAUTÉ {Henri), 20, boulevard de Cour-celles, Paris. —
- Membre do l'Institut ; administrateur délégué delà Société industrielle des Téléphones.
- LEBIGRE,
- garage, commerce d'automobiles, 4 1, boulevard de Strasbourg, le Havre (Seine - I n f é-ricure).
- LEBLANC
- (Clovis), iô, rue Bouchot, Paris.
- Tel. 7BB-O7. —
- Né à Lille, le ior janvier 1879. — Propriétaire-directeur de la Locomotion Automobile.
- LEBLANC {Maurice), 8, rue Crevaux, Paris. — Né à Rouen, le 11 décembre i8(i(j. — Homme de lettres ; auteur de plusieurs romans très remarqués,de nouvel 1 e s parues dans le Figaro, le Journal, le Gil-Blas et de contes sportifs dans Y Auto.
- LE BLANC
- et Fils, machines-outils, 02, rue du Bendcz-Vous, Paris. Tél.
- 912-01.
- LEBLANC
- (Garage Central), commerce, d'automobiles, f>, place (iodart, à Chàlons-sur-Marnc (Marne).
- LE BLANT. — Construisit, après de Dion-Bouton, un des premiers tracteurs à vapeur sur route (i8<j4).
- LE BLON (Hubert), 29, rue de Meurl m, à Billancourt (Seine). — Né à Paris, en août 1872. Coureur réputé.
- LEBLOND, cloches électriques, 37, rue Meslay, Paris. Tél. 209-53.
- LEBLOND (Société de la Pile), piles, fabrique de piles électriques à liquide non immobilisé, à Guignes-Rabulin ( Seine-et -Marne); dépôt: F10 Charron el Bellanger, Paris.
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- EEBRETON (Henri), collaborateur aux
- Sports, où il . estchargé, depuis (e ier août igo5, de la rubrique cycliste pour les amateurs.-
- L E B R E -TON, garage, commerce d’automobiles, rue de Périgueux, à An-, gouleme (Charente).
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- refroidisseurs, à Nantes (Loire-Inférieure) ; et G, rue des Dames, Paris.
- LEBRUN (C.) et LECOMTE (/TA, capots, radiateurs, réservoirs, 14? rue Victor-Hugo, à Puteaux (Seine).
- LE CALVEZ,' garage, commerce d’auto-mobilèSj- outillage, 8, rue de Valois, Paris. Tel. 310-87.
- LECARME, roue libre pour cycles, machines-outils, 118, rue de Vaugirard, Paris. Tel. 709-67.
- LECARME et PARTIOT, pièces détachées. — Voir Partiol, à Puteaux (Seine).
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- LÉCHAGE. — Dans les premiers carburateurs construits, l’air, aspiré par la dépression produite par la descente du piston dans le cylindre, circulait à l’état de lame mince au-dessus de l'essence contenue dans un réservoir, en la léchant pour ainsi dire. Il s’emparait de particules d’essence ainsi évaporée, pour constituer le mélange gazeux prêt à exploser dans le moteur. — Voir Evaporation et Carburateurs.
- LECHAT (P* J.) et‘C'% tissus pour pneumatiques, engrenages en cuir vert, courroies, 16, avenue de la République, Paris. Tel. 932-58.
- LE CHATELIER (L.), professeur à l’Ecole des Mines, 7,- rne du Regard, Paris.
- LÉCHEUR. — O11 emploie quelquefois, dans les moteurs fixes principalement, des
- graisseurs laissant tomber de l’huile goutte à goutte sur une< sorte de pinceau que vient lécher, à chaque révolution de l’arbre moteur, l’extrémité des tètes de bielles pour s’emparer de l’huile que contient ce pinceau et la distribuer par dé petits canaux à tous les points à graisser du vilebrequin.
- LE CHEVALIER-, Frères, carrosserie automobile, 33, rue des Cendriers, Paris. Tél. 902-80.
- LE CHEVALIER ’, garage, commerce d automobiles, 25, rue du Bois-Mcrsain, à Chartres (Eure-et-Loir).
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- 158, rue Cardinet, Paris. Tel- 607-03.
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- LECLERC, garage, commerce d’automobiles, 4o, rue Guersant, Paris. Tél. 559-17.
- LECŒUR (Charles), 35, rue de Paris, à Puteaux (Seine). — Né à Rouen, le 2 juillet 1873.Chevalier du Mérite agricole.
- Ingénieur des Arts et Manufactures. Directeur général des usines de Dion-Bouton et 6’10.
- M. Charles Lc-cœur a été précédé aux usines de Dion - Bouton par son père, qui fut, un collaborateur de la première heure et aida de tout son dévouement à l’é-d i fi c a tio n des grands établissements dePuteaux.
- LECOCQ, commerce d’automobiles, 11, rue Galvani, Paris.
- LECOMTE, garage, commerce d'automobiles, 9, place d’Armes, à Poitiers (Vienne).
- LECOQ (Agence Parisienne), commerce d’automobiles, 11, rue Galvani, Paris.
- LECOQ1 (Anciens. Etablissements Th.), pneumatiques, 71, rue Réaumur, Paris. Tél. 286-12.
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- LEFEBVRE, commerce d'automobiles et de cycles, 78, avenue de la République, Paris.
- LEFEBVRE (Albert) Fils, construction de graisseurs et de réservoirs, 5, rue Deltéral, au Pré-Saint-Gervais (Seine). Tel. /| 15-(>4. Adr. tel. Albert-Lefebvre-Pré-Saint-Gervais.
- LEFEBVRE (Edouard), vernis pour la carrosserie, 129, boulevard Sébastopol,' Paris.
- LEFEBVRE (Léon), voitures légères Prima, 110, rue du Bois, à Levallois-Perret (Seine). Tel. 530-35.
- LEFER(E.) , 3, rue du Mid i, à Vinccnnos (Seine). — Ingénieur-conseil, spécialiste en automobiles et moteurs thermiques. — Auteur dé nombreux et remarqués ouvrages techniques sur les moteurs. Collaborateur à Omnia, revue pratique de locomotion.
- LEFEVRE, commerce d’automobiles et do cycles, 3, rue de Chartres, à Neuilly-sur-Seine (Seine). — Ateliers : 4o bis, boulevard Bineau (Levallois-Perret).
- LEFÈVRE (Géo), 2.5, rue Béranger, Paris. Tél: 227-O8. — Né le 12 février 1833. Rédacteur à Y Au La, à la Vie ait Grand Air, au De Dion-Boulon, etc. Correspondant parisien du N eue s Wiener Tagblatt> et du Bcrlincr. Tag-blatt. Ancien rédacteur au Journal des Sports-, au Vélo, aux Armes . et Sports, etc.
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- La législation, applicable aux automobiles est déterminée par :
- i0 La loi du 3o mai 1851 sur la police du roulage et le décret du 10 août i85a ; 20 Les décrets des 10 mars 1899 et 10 septembre 1901 ; et 3° Les arretés ministériels des 11 septembre et 12 décembre 1901 portant des instructions sur l'apposition des plaques d’identité.
- A Paris, la circulation est, en outre réglementée par une ordonnance du Préfet de' police en date du 10 juillet 1900; et dans bien des communes les maires ont pris des arretés visant spécialement les automobiles.
- LEGRAND, réservoirs et capots, 108, rue de Flandre, Paris. Tel. 408-28.
- LEGRIS-BRENOT, robinetterie ..pour automobiles, t\y Allée-Verte, (58, rue Saint-Sabin), Paris. Tél. 9.10-97.
- LEGROS, gara ge,. commerce d’automobiles, 8, rue de France, à Fontainebleau *Scinc-ct-Marne).
- LEGROS, garage, commerce d'automobiles, 5, rue Morieux, à Pontarlier (Doubs).
- LEGROS (Albert), commerce de cycles et d’automobiles, 29,, rue Grande, à Auxonne (Côte-d’Or).
- LEGROS (B.) (Ateliers de construction), fabrique d’automobiles et. de moteurs à deux temps R. L. T., iG, rue de l’Inondation, àFé-camp (Seine-Inférieure). Adr. tél. Legros-Aulo-mobiles-F écamp .
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- LEHMANN {Ernest), directeur de “ La
- Métallurgique ”, automobiles, à Marchienne-au -Pont (Belgique). — Né en 1869. — Ingénieur: attaché depuis 1892 à la partie automobiles et bicyclettes; ancien métallurgiste.
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- LEJEUNE( I rcuve), pneumatiques, caoutchouc manufacturé, 32, passage Choiseul, Paris.
- LELEU,garage, commerce d'automobiles, (irande-Hue, à Estâmes (Nord).
- LELONG, ancien directeur de la Métropole (Acatène). Directeur commercial des Usines Darracq, à Suresnes (Seine).
- LELORIEUX, carrosserie automobile, 04, rue de VVagram. Paris. Tél 609-97.
- LEMAIRE. ingénieur-constructeur, 51, avenue de Versailles, Paris.
- LEMAIRE, garage, commerce d'automobiles, 28, rue du Pont, à Château-Thierry (Aisne).
- LEMAITRE, garage, carrosserie automobile, 2 T,, avenue de la tiare, à Autun (Saône-et-Loire).
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- LEMARCHAND {Abel), VINCENT et C10, voitures et canots automobiles, 4-quai Saint-Pierre, à Cannes (Alpes-Maritimes). Tél. i-58. — Adr. tél. Vincenl-Construction-Cannes,
- LEMARCHAND (Jules-Louis), 65, quai National, à Puteaux (Seine). •— Né à Paris, en janvier 1861. — Officier d’Académie ; chevalier du Mérite agricole. — Chef d’ateliers aux usines de Dion-Boulon, depuis 1897. — A débuté aux usines Decauville en 1877.
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- LE MELLE, machines-outils, outillage pour automobiles, 4a, rue Lafayette, Paris. Tél. 14i-56.
- LEMETAIS, mécanicien, fabrique de ressorts, 76, avenue Daumesnil, Paris. Tél. 926-n.
- LE MÉTAIS et Fils, accessoires et motocyclettes N. S. U., 3n, quai de Valmy, Paris. Tél. 441 —51.
- LEMNISCA-TE. — Courbe plane symétrique 011 forme de 8, employée pour des raccordements de voies ferrées.
- LEMOINE {Louis), 210, rue de Rivoli, Paris. Tél. 238-99. — Né à Paris, le 2 avril 1853. Officier de la Légion d’honneur ; officier d’Académie. Ingénieur des Arts et Manufactures; membre de la Chambre de commerce de Paris ; membre du Comité de I’A. G. F. et de la Commission technique.
- A la tète, depuis 1874, de la maison Lemoine qui a auj our d’hui une réputation mondiale.
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- LEMOINE, fabrique d’essieux et ressorts pour automobiles, 21, rue de Lappe, Paris. Tel. 900-01, 900-02 et 900-04. Adr. tél. Mel-noie-Paris. Usine : 45, boulevard Sadi-Car-not, à Ivry-Port (Seine). — Maison fondée en 1842. — Succursale : 8, rue Reine-Jeanne, à Nice (Alpes-Maritimes). — Directeur : M. Ed. Caspar.
- LEMOINE, freins. — Voir Paillard, à Vincennes (Seine).
- LEMOINE-BIÈS, soudures en tous genres, 74, rue du Temple, Paris. Tél. 24o-o3.
- LEMOINE et NAFFRECHOUX, carrosserie automobile. — Voir Na/frechoux.
- LEMOINE et PHILIPPE, cuirs chromés pour antidérapants, 4 U rue des Cordelières, Paris. Tél. 824-97.
- LEMONNIER, gara ge, commerce d'automobiles, vente de motocyclettes P. N’n à Paray-Douaville (Seine-et-Oise).
- LEMPEREUR, garage, commerce d’automobiles, 81, rue Joulfroy, Paris. Tel. 565-56.
- LEMPEREUR (Société du Protecteur antidérapant), 77, avenue de Villiers, Paris. Tél. 521-98. Adr. tél. Palempereur-Paris. Société Anonyme, fondée en mai 1904.
- LENFANT (L ouis) et C “, Auto-garage Commercial et Industriel, commerce d’automobiles, i4, rue Grande, à St-Dizier (Haute-Marne). Tél. 7.
- LENOIR, huiles « Succès » et « Graisse-line », 24, rue Michelet, à Pantin (Seine). Tél. 19.
- LENTILLES (éclairage). — On appelle lentilles des milieux réfringents limités par deux surfaces sphériques ou par une surface sphérique et une surface plane.
- L'axe principal est la droite qui passe par les centres de surfaces sphériques ou la perpendiculaire abaissée du centre sur la surface plane.
- Les lentilles sont convergentes ou à bord mince lorsqu’elles font converger les rayons vers l’axe. Elles sont divergentes ou à bord épais lorsqu’elles font diverger les rayons de l’axe.
- Dans le cas de rayons parallèles à l’axe principal, l’expérience et le calcul montrent que les rayons vont très sensiblement converger, après réfraction, en un point situé sur l’axe principal. Ge point est un foyer principal, et sa distance à la lentille est la distance focale principale. Elle dépend, pour une même lentille, des rayons de courbure de la surface et de l’indice de réfraction du corps transparent employé. Dans le cas d’un point lumineux situé au foyer principal, les rayons qui en émanent sont réfractés suivant un faisceau parallèle à l’axe principal. Cette dernière propriété est appliquée pour l’éclairage au oindans les phares d’automobiles.
- LENZ (Loi de). — L oi relative à l’induction électromagnétique, énoncée par Lenz
- en i834 :
- Toute variation du flux de force, embrassé par un circuit, développe dans ce circuit un courant induit qui tend à s’opposer au mouvement en vertu des réactions électromagnétiques.
- Cette loi peut être reliée à celle de Maxwell (voir Maxwell) et énoncée ainsi :
- Le sens du courant induit dans un circuit par une variation de flux donnée est tel qu’il s’oppose à chaque instant à la variation par le flux qu’il produit lui-même.
- La loi de Lenz est une loi fondamentale du fonctionnement des dynamos, tant comme génératrice que comme réceptrice.
- LEON (J. et M.), coiffures et chapeaux do sport, 21, rue Daunou ; et 88, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- LEON (L.-K.), lunettes pour automobilistes, 33, passage Joulfroy, Paris.
- LEON (Alfred) et C10, garage, commerce d’automobiles, cours du Jardin-Public, à Bordeaux (Gironde). Tél. 2671. Adr. tél. Garage-Léon-Bordeaux.
- LÉON-PETIT (Ernest-Paul), 7, rue de Messine, Paris. N — Né à Orléans, le 7 novembre 185/|. Chevalier do la Légion d’honneur ; officier de l’Instruction publique . Membre du Conseil d’administration du T. C. F. Homme de sport, conférencier bien connu , le docteur Léon-Petit est >ar dessus tout 'apôtre de la lutte contre la tuberculose en France ; c’est à son initiative que sont dus les hôpitaux j)r l^on-Pktit
- d’Ormesson, de
- Villiers-sur-Marne, de Noisy-le-Grand et le sanatorium du Mont-des-Oiseaux.
- LÉONI et C'e, pneumatiques “ Léoni ’’ et pièces détachées, 6, via San Giovani Laterano, a Milan (Italie).
- LEONIDA et Cic, commerce d’automobiles, 186, calea Victoriei, à Bucarest (Roumanie).
- LEPAPE (Ilippolyle), 7, rue Nollet, Paris. — Né à Paris, en janvier i85q. Ingénieur E. C. P. Un des fondateurs de l’industrie automobile. Fut d’abord attaché à des chantiers de constructions maritimes ; construisit ensuite des ascenseurs ; puis, à partir
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- •de 1891, des (automobiles. Inventeur de plusieurs moteurs, de carburateurs, .d’automobiles, etc. Créa un type de voiture qui courut Parisi-Berlin et arriva bien classée. A créé un (les meilleurs, moteurs à doux temps qui: existent. Collaborateur à 0milia,- revue -pratique de locomotion. — Voir Moteurs.
- LEPAULARD et Ci0. — Voir Chrome Français (Société du).
- LEPEIGNÉ, garage, commerce d'automobiles, place de la Barre, aux Sables-d'Olonne (Vendée).
- LEPELTIER, carrosserie automobile, commerce d’automobiles, garage, 7, rue de la Santé, à Bennes (llle-ct-Vilaine).
- LEPEZ (Santiago-Ruiz), commerce d’au-tomôbilcs, à Vigo (Espagne).
- LEPICIER, rep résontant de fabriques, 20, rue du Pont-Neuf, Paris.
- LÉPINE, ca rrosscrie automobile, 23, rue de Pcnlhièvre, Paris.
- LÉPINE, carrosserie automobile, i35, avenue de Versailles, Paris.
- LEPINE, compteurs pour automobiles et « Chronosport », 2, rue Vide-Gousset, Paris. Tel. 23G-92.
- LEPINGLE et C % carrosserie automobile, 4> 1-Lic üeorge-Sand, à Tours (Indre-et-Loire). Tel. 1-80.
- LE PRINCE, garage. commerco d’automobiles, 8, pjuai de Paris, à Rouen '(Seine-Inférieur b).
- LEPRÊTRE (Leon), 15, rue Barbés, à Montrouge (Seine). Tél. 71.4-93. — Né à Dun-
- ouge
- kerque, Te 3o mai agricole ; oflicier
- V#
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- AI. LEruiVmu
- 18GG. Chevalier du Mérite d'Académic. Chef de la maison L. Leprë-Ire et Cl8. Se préoccupa , dés la naissance de l'automobilisme, des nouveaux carburants ; appliqua le benzol aux moteurs à explosions. Fut aussi le promoteur de l’application de l'alcool industriel à la force motrice et à l'éclairage. Alcools dénaturés, la « Moto 1 i 11 c », huiles minérales.
- LEQUARRÉ (Léonard), ingénieur-directeur technique d'Officine Tur/meimer, à Milan (Italie).
- -LE QUERE, garage, - commerce d’automobiles, 10, rue du Légué, là 'SainL-Briou c (Côtes-du-Nord).
- LERAY, garage, commerce d’automobiles, 5, boulevard de l’Éperon, à Ghâteaubriant (Loire-Inférieure).
- LERÈDE (René), directeur de la Manufacture des Bougies Luthi, 29, rueiBrunei, Paris.—Né à Bourges, le 19 novembre 1-874*
- 'LEROUX (Georges-Auguste), 3, avenue Watteau, à Nogent-sur-Marne (Seine). —Né à Paris, le 25 juin 1861. — Officier (PAcadé mie. — Directeur général des services techniques de la Société des Automobiles Peugeot. —: Ingénieur des Arts et-Manufactures. Répétiteur du cours de machines techniques à l’Ecole Centrale; expert près le Conseil de préfecture de la Seine.
- LE ROUX (Hugues), !\~), rue de' Poissy, à Saint-Germain-en-Laye (Seine-et-Oise). Tel. 97. — Né au Havre, le 23 novembre 18G0. —
- Oflicier de la Légion d'honneur, oflicier du Mérite agricole, commandeur de plu-sieurs ordres é trangers. —
- Membre du Conseil supérieur des Colonies ; président de la Section A t h 1 é t i ([ u e de l’Académie des Sports. — Chargé de missions des Ministères des All'aires Etrangères, des Colonies, de l’Intérieur, de la Marine et de l’Instruction Publique.
- LEROUX Fils, carrosserie automobile, ôo, rue de Beauvais, à Amiens (Somme).
- LEROY, appareils photographiques « Le Stéréocycle », l\~j, rue du Rocher, Paris.
- LEROY,'Fils, fabrique de.graisseurs pour automobiles, 7, rue Danton, à Lcvallois-Per-rct (Seine). Tél. 523-07.
- LEROY-BARBIER, garage, commerce d’automobiles, u, rue Bournizet, à Vouziers (Ardennes).
- LE SAINT, garage, commerce d’automobiles, 5G, rue aux Ours, à Rouen (Seinc-Inléricure).
- .LESIOURD, fabrique de moteurs, réparations d’automobiles, rue Denfert-Rochcreau, à La Ferté-Beruard (Sarthe).
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- LESNA KUHLING, vente d’automobiles et de cycles, 200, boulevard .Péreire, Paris. Tél. 586-62.
- LESPINASSE, constructeur-mécanicien, commissionnaire en fournitures générales. 88, rue de la Folie-Méricourt, Paris. Tel. 937-58. Adr.lél. FerlesprParis.
- LESPINAT, moteurs, 2, rue Jeam-Lan-tier, Paris.
- les Moteurs thermiques “-Sultan”. —'Ingénieur des Arts et Manufactures. — Ancien ingénieur de la maison Meunier et Cle, puis de . lai .maison J..Delaunay, à Paris.
- LETOMBE, moteurs et gazogènes, 5?, rue d’Amsterdam, Paris.
- LETOURNEUR et MARCHAND,
- carrosserie automobile, ni4, boulevard Bi-neau, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- vLESTELLE, garage, commerce d’automobiles, 5G,.-rue'Victor-Hugo, à Tarbes (Hautes-Pyrénées).
- LETTRAZ, ga rage, commerce d'automobiles, quai E.-Cliapuis, à Annecy (Haute-Savoie).
- M.
- HvSTONNAT
- — Directeur de la Navigazctte.
- LE S T O NINA T ( liay -mond), ancien officier de marine, chevalier do la Légion d’honneur, officier d’Académie, chevalier du Mérite agricole, c o m ni a 11 d e u r du Nioham Il'ti-kar, etc.... —
- Membre du Conseil sup éric aide la marine marchande. —
- Chroniqueur naval au Journal et aux Sports.
- M. Piiniuu I.KIi:i.l:i:u (Maine-et-Loire).
- LE TEL -LIER (Pierre), 20, rue Sainl-Marc, Paris. — Né à Paris, en 1876. —- Directeur du journal Les Sports ; administrateur du journal Le Journal.
- LETEL-. LIER, garage, commerce d’auto mobiles, 2g. rue Saint-Nicolas, à Saumur
- LETELLIER, roue flexible à jante articulée « Tilly-Cornois », i4, rue de Bagneux, Paris.
- LETHIMONNIER (Léon),. 12, quai de la Mégisserie, Paris. —Né à Paris, le 26 septembre 18GG. — Administrateur de la Société
- LEULEY, garage, commerce kl’aeto-mobiles, 8, rue Dilot, ià 'SaiairElorentin (Yonne).
- LEVACHER (P.), vannerie pour automobiles, i3o, roule de Fontainebleau, au Kremlin - Bicétre (Seine).
- LEVAVAS-. SEUR, moteurs.
- — Voir Antoinette (Société).
- LEVA VASSEUR (Auto-Agence), garage, commerce d’automobiles, 11, avenue do la Négresse, à Biarritz (Basses Pyrénées).
- LÉVEC-QUE, 72, rue de l’Est, a Boulogne- sur - Seine (Seine). — Un des fondateurs de la marque Ilelbé.
- LEVÉE DE SOUPAPES. — Voir Soupapes.
- LE VEN, commerce d’automobiles, 18, rue de Ménilmontant, Paris.
- LEVERBE (A.), fonderie pour automobiles, 188, rue du Faubourg-Saint-Martin, Paris. Tel. 4°3-i2. •— Représentant de Crépel-IIardy.
- LÈVE-ROUE.— Synonyme de lève-auto, de cric; ce dernier mot est, de beaucoup, le plus employé.
- 'LEVEUGLE (IL), machines-outils modernes, tours, fraiseuses. 185, boulevard Voltaire, Paris. Tel. 9o3-3ij. Leveuglenri-Paris.
- M. Levavasseuk Inventeur
- des moteurs ‘‘Antoinette”.
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- LÉVI (Edmon i), directeur technique de la Société Française de la Roue E. Lv, 28,
- rue de Sablon-ville, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Adresse personnelle : 3o, rue
- Boissière, Paris. Tél. 08 i-23. — Né à Alexar Irie (Egypte), le 16 juin i883.
- LEVIERS.
- — Les leviers, en cinématique, sont des tiges rigides, servant à la transmission ou à la transformation d’un mouvement. M. Edmond Lkvi Le dispositif le
- plus répandu est celui de bielle et manivelle, qui sert à transformer le circulaire continu en circulaire ou en rec-
- tiligne alternatif, ou réciproquement. Les applications des leviers articulés sont fort nombreuses. On les rencontre dans la plupart des mécanismes et dans la commande des mouvements automatiques de machines-outils. La plus importante de leurs applications aux automobiles est le mécanisme de direction, composé d’1111 ensemble de leviers articulés. O11 les rencontre également en très grand nombre dans les distributions de moteurs à gaz et à vapeur (coulisses, détentes, etc.).
- LEVIER de démontage.--Synonymes : levier de montage, levier de pneu, dé-
- Lcvi
- er 11 crans
- Levier à fourche
- La icr à ba cule
- L'vicr i béquille l.KViiavs Michklin
- monte-pneu, etc. — Tous ces leviers sont des outils destinés à permettre et à faciliter le montage et le démontage de Y enveloppe du pneumatique sur la jante, sans trop grand effort. .
- Il existe une très grande variété de ces leviers (quelquefois en bois dur, le plus souvent en acier coulé) ; quelques-uns ont été construits spécialement dans le but d’éviter les accidents, tout en demandant l'effort minimum.
- Les principaux leviers sont : le levier à crans, le levier-fourche, le levier à bascule et le levier à béquille Michelin.
- Ils permettent de placer et d’enlever facilement, et sans crainte de se blesser, les boulons de sécurité, la valve, la chambre à air et l'enveloppe.
- — Levier Continental.— Modèle spécial formant double levier (breveté s. g. d. g.);
- Levier Continental
- facilite le montage des enveloppes sur janfces, évite tout danger de lésion des chambres à air, les bords des jantes servant de pivot.
- LÉVOCYCLETTE. — Bicyclette dans laquelle les manivelles, actionnées par les pieds du coureur, sont remplacées par des leviers.
- LEVOYET, garage, commerce d’automobiles, 1, place Saint-Pierre, à Dijon (Côte-d'Or).
- LEVRAULT, garage, commerce d’automobiles, 3, rue de la Gare, à Niort (Deux-Sèvres).
- LEVRAUX (E.), moteurs « Velox », 142, rue Oberkampf, Paris.
- LEVY, représentant de Desbenoit aîné et Muron, à Roanne, ‘antidérapants “Salvator” et “Celer”, 20G, boulevard Péreire, Paris.
- LEVY, commerce d’automobiles, 3o, rue Guersant, Paris.
- LEVY (L.), moteurs à pétrole, 92, boulevard Richard-Lcnoir, Paris. Tél. 916-91.
- LÉVY - CAVAIGNAC, garage, commerce d’automobiles, i3, rue Grande, à Fontainebleau (Scinc-et-Marne).
- LÉVY-FINGER (Les Eils de), couleurs pour carrosserie, à Dugny (Seine).
- LEWIS-AUTO C°, commerce d’automobiles, 484> Hancock Street, à Brooklyn (Etats-Unis).
- LEWIS, BERGER et Sons, Ltd, vernis pour la carrosserie, i4, rue Malhcr, Paris. Tél. 269-04.
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- (Seine). — Né à Paris, le 5 janvier 1871. — Directeur commercial des Cycles et Automobiles Clément et des Cycles et Automobile s üladialor.
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- S O N , garage, commerce d’automobiles, 29,rue Paul-Proust, à Niort (Deux-Sèvres).
- LHUGUE-NOT, traduc-tions techniques, 9, rue du Louvre,
- L. I. A. T. — Abréviation de Ligue Internationale des Associations Touristes.
- LIBELLULE ( Tri-car La). — Voir Solo-mayor (F. de), Paris.
- LIBERATOR, automobiles et motocyclettes, 2, rue Adolplie-Adam, Paris. Tél. ii2-o5. — Usine: !\j, rue Cartier-Brcsson, à Pantin (Seine). Tél. 418-69.
- LIBERTÉ (La), journal quotidien, 113, rue Réaumur, Paris. Tél. 102-17.
- LIBERTY WOLBER, pneumatiques.
- — Voir Wolbcr.
- LIBRAIRIE AUTOMOBILE, 27, rue
- Ballu, Paris.
- LIÈGE. — Le liège possède les plus remarquables propriétés d'isolement, propriétés dues essentiellement à sa constitution chimique et à la présence de la subérine, alcaloïde isolé par Chevreul, qui le différencie de la cellulose, en ce que le liège n’est pas altérable dans les milieux humides. D'autre part, il est doué d’une grande élasticité et d’une légèreté remarquable. Le poids de son volume apparent est le i/io" de celui de l’eau. — Ces diverses propriétés en font le corps isolant par excellence.
- On fabrique aujourd'hui des agglomérés de liège dont l’emploi se vulgarise de plus en plus pour constructions légères, garages, ateliers, etc.
- — La Subéiune, 8, boulevard de Vaugi-rard, Paris, matériaux isolants en liège aggloméré.
- LIÈGEOUTCHOUC, bandage élastique pour automobiles, 1, rue Villaret-dc-Joyeuse, Paris. Tél. 589-08.
- LIÈGES PLASTIQUES (Société Anonyme des), meules à polir, 12, place Vendôme, Paris. Tél. 291-17.
- LIEUE MARINE. — Mesure française de longueur, valant 3 milles marins, soit 5 557 mètres.
- LIEUTARD et BOUGON, lanternes et phares, 9, rue Claude-Velleiaux, Paris.
- LIGNE. — En géométrie, une ligne est un trait qui est considéré comme 11’ayant ni largeur, ni épaisseur, et dont la seule dimension est la longueur. Une ligne peut être
- O
- G
- Fig. 1
- Quelques lignes
- A, ligne droite. — B, courbe. — G, D et D\ parallèles. — E, oblique, pendiculuire. — G, verticale. — zontale.
- brisée. — —, V péril, hori-
- droite, courbe ou brisée-, par rapport à une autre ligne, elle peut être parallèle, oblique ou perpendiculaire. Une ligne est verticale ou horizontale, suivant qu’elle est perpendiculaire ou parallèle à l'horizon.
- — Ligne de force. — La ligne de force est la base sur laquelle repose l'explication
- Lignes de force
- [usez. L’ALLUMAGE rXZS*
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- L I (1
- kk 2 —
- L I G
- des -‘phénomènes magnétiques et / électromagnétiques. '
- Si, sur les pôles d’un aimant ou électroaimant en fer à cheval, on vient mettre de la limaille de 1er, celle-ci s’oriente à la façon indiquée par les lignes du croquis, figure a.
- — On a donné le nom de lignes de force à ces lignes dont l'ensemble constitue ' le champ magnétique, et, pour bien caractériser leur direction, on a admis qu’elles partaient du pôle nord pour se diriger vers le
- pôle sud, ce qu'in- N S
- diquent les flèches. Dès lors , on a la sensation de l'existence d’un certain mouvement de ma- S N
- gnetisme dont on
- ° V'us a
- pourra mesurer ®
- la valeur, et c'est Ciuccit MA<iNihi(>vE
- ainsi que l'on a
- créé l'hypothèse du circuit magnétique qui est analogue au circuit électrique.
- Le circuit magnétique est constitué par l'aimant ou inducteur et l'armature ou induit ; il est parcouru par un certain flux magnétique ou flux d'induction (comparable au courant électrique) dont l'intensité se mesure en unités appelées gauss (voir ce mot). En pratique, la valeur du llux par centimètre carré de section prend le nom d'induction.
- La force magnélo-molrice qui fait circuler le courant magnétique s'exprime en unités appelées gilberts (voir ce mot). En pratique, on ne fait jamais usage de cette unité: le champ magnétique étant toujours créé par un électro-aimant, il est plus commode d'exprimer la force magnétomo-
- Fig. 4
- LuîNKS DE l'OUCE
- tncc en ^ampere-
- tours (voir ce mol). La force magnélomotrice par centimètre de longueur ou de circuit s'appelle force magnétisante (symbole II).
- Enfin, toujours comme dans le cas du circuit électrique, le circuit magnétique présente une certaine résistance au passage du flux d'induction que l’on désigne sous le nom de réluctance (R), laquelle dépend de la perméabilité (voir ce mot) du milieu, comme la résistance électrique dépendait de la conductibilité. La réluctance se mesure en cvrsleds, du nom du physicien allemand. Finalement, toujours par analogie avec le courant électrique, la relation qui joint entre eux le llux, la force magnétomotrice et la réluctance, est la même que celle qui réu-
- nit : l'intensité, l.laî-force électromotrice et la résistance :
- Ces notions trouvent leur . application directe dans le calcul des 'dynamos ou des électro-vaimants. — Voir : Electro^aimant, An-neaii- de’ Gramme et ‘Dynamo.
- LIGNE DE CEINTURE. —ï Ligne d’une caisse de voiture qui, ordinairement marquée par une moulure, fait le tour de la carrosserie et se trouve entre les panneaux de portes, < les brisements, le .. panneau !de dossier et le coffre, d'une; part, les montants, les custodes et le panneau de lunette, 'd'autre part. — Voir Voiture.
- LIGUE DES CHAUFFEURS. — Cette Ligue a été fondée par un groupe d'automobilistes pour résister effectivement aux mesures arbitraires et aux abus dont les automobilistes sont souvent les victimes de la part des pouvoirs administratifs et. judiciaires.
- Le prix ,dc la cotisation annuelle est de 12 francs. Le siège de la Ligue est rue-Bergère, n° 3d, à Paris. Tél. 2GG-/)0. Président : M. II. Desgrange ; secrétaire général : M. Salomon.
- LIGUE INTERNATIONALE DES ASSOCIATIONS TOURISTES. — Secrétaire général : M. G. Pos, à Baarn, Hollande. — Les principales Associations touristes d’Europe ont constitué par leur réunion une Ligue Internationale (par abréviation : L. 1. A. T.), qui se réunit chaque année en un Congrès, où chacune d'elles est représentée par quelques délégués, et dans lequel sont étudiées les questions générales qui peuvent intéresser le tourisme international sous toutes ses formes.
- Fondée à Luxembourg, le l\ août 1898, la Ligne Internationale des'Associations touristes comprend à l'heure actuelle1 les grands Clubs suivants :
- Allemagne. — Deutscher Radfahrer Bund.
- — Deutscher Radfahrer Union. — Deutscher Touring-Club Munich. — Deutscher Motor-radfahre Vcreinigung.
- Angleterre. — The Touring-Club.
- Autriche. — Osterreichischer Touring-Club.
- Belgique. — Touring-Club de Belgique. — Ligue Vélocipédique Belge.
- Espagne. — Union Yelocipedica Espanola.
- France. — Union Vélocipédique de France.
- — Touring-Club de Fiance.
- Italie. — Touring-Club Italiano.
- Ldxembourg (Grand-Duché de);— Touring-
- Club Luxembourgeois.
- Russie. — Touring-Club de Russie. — Union Vélocipédique Russe.
- 'Suède.— Svenska Turislforcningcn.
- Suisse. — Touring-Club Suisse.
- — (Voir Touring^Clubs étrangers).
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- LIGUE MARITIME FRANÇAISE
- pour le idéveloppement de*, la marine militaire et de la marine marchande, 39,; boulevard des Capucines, Paris.
- LILLE et-BONNIÈRES (Société Ano-nymC',de), lmiles minérales ; essence laVa-porine,* *0, rue des - Pyramides, Paris. : Tel.
- 393-^3.
- LIMBE. — On nomme limbe le bord, la partie lourde, épaisse constituant la périphérie d’un volant: La matière qui rélie le limbe au moyeu se nomme la lorsque cette ma-
- tière n’est pas évidée.
- Le limbe est aussi la partie» extérieure du cercle gradue de certains instruments de précision.
- LIME. — L es limes, qu’elles soient employées pour les -métaux ou pour le bois, sont toujours en acier fondu et bien trempé ; les limes à bois portent généralement le nom de râpes. — La partie qui pénètre dans le manche se nomme soie.
- Les limes sont, parfois taillées à la main, le plus souvent à la machine. La taille est quelquefois simple, c’est-à-dire composée de traits parallèlles creusés dans un seul sens: mais elle est presque toujours croisée, ce qui signifie que les tailles parallèles sont super-
- i :
- Lime
- PLATE
- posées1 les unes aux autres en faisant un angle variable ainsi que l'écartement des traits parallèles. O11 distingue : la grosse taille, la bâtarde, la demi-batarde, la douce, la demi-douce, la très douce, etc.
- Suivant leur section, les principales limes sont dénommées : plates, 4/4 ou carreau,
- tiers-points, rondes ou .queue de rat, >demi-rondes, feuille de sauge, olive, etc.
- iLes limes «à .taille line s'encrassent facilement, surtout lorsqu’elles ont servi pour certains métaux tendres, comme le cuivre, dont les parties détachées remplissent les creux de la lime et L empêchent ainsi de mordre; on nettoie les limes avec une brosse en fils d’acier appelée carde.
- L'outillage d’une voiture comprendraatoujours un « jeu » de limes de tailles et de
- Lime ronde Lime Feuille
- ou oueui: de i\at demi-ronde de sauge
- formes différentes; ces limes seront soigneusement séparées les unes des autres par des chiffons, pour leur éviter des heurts réciproques qui auraient tôt fait de les détériorer complètement.
- LIMET et AUBERT, fabrique d'outils et do limes, 5, quai de Yalrny, Paris. Tél. (j3o-i3.
- LIMITE D’ÉLASTICITÉ (Voir Élasticité). — Point au delà duquel'les forces intérieures qui tendent à s’opposer aux déformations d'un corps soumis à des forces extérieures cessent d’etre proportionnelles aux déformations.
- Lorsque la limite d'élasticité a été dépassée, le corps garde la lbrmc à laquelle il a été amené par la force à laquelle il a été soumis.
- La charge qui a fait atteindre la limite d’élasticité s’appelle charge-limite d'élasticité.
- LIMOUSINE. — La limousine était à l’origine une voiture toujours découverte. Depuis quelques années, elle a été complètement transformée ce nom désigne actuellement toute voiture ordinairement fermée ou
- StéAn,eTh.BOTIA(IX
- MEDAILLE D’OR
- CARROSSERIES AUTOMOBILES
- de grand luxe
- Exposition Universelle de Saint-Louis, U. S.‘A. — * i;kvai.i.ois Sel»®)
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- abritée, qui we e/re rangée dqns un
- type de voiture bien défini : coupé, landau, omnibus, etc., quels qu’eu soient la forme,
- Limousine a entrée latérale
- les dimensions et le nombre des places. 11 existe trois types de limousine dénommés, d'après l’accès aux places intérieures : limousine à entrée latérale, ou à entrée par l’avant, ou a entrée par l’arrière.
- La dénomination de limousine a été donnée pour la première fois par un carrossier de Paris, originaire du Limousin, à une voiture de forme nouvelle qu’il venait de créer.
- Ce type de voiture est un des plus courants en carrosserie automobile. Les places de l’avant sont en effet abritées et les places de l’arrière sont ordinairement complètement closes. La glace qui sépare le plus souvent la banquette avant de la « guérite » arrière peut coulisser de haut en bas ou se relever au moyen de charnières horizontales. Le dessus de la limousine porte ordinairement une galerie à bagages.
- En somme, la limousine est disposée comme un tonneau ou un double-pbaéton, dont le toit ou pavillon est fixe et dont l’espace entre les quatre colonnes d’arrière est fermé par des panneaux vitrés au lieu de l’etre par des stores. — Voir Landau.
- — Belvallette, 21, rue Durct, Paris.
- — Botiaux (Carrosserie Th.), 28, rue Gref-l’ullie, Levallois-Perret (Seine).
- — KiiLLNEn, et ses EiLS, 125, avenue Malakoff, Paris.
- — Lahouivdette (Henri), 35, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- —- Laci.aveiue et Gâches, 9, rue Montrosier, Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Lamplugh et C'°, 8. rue Ernest-Cognacq, à Levallois-Perret (Seine).
- — Rothschild, 131, avenue Malakoff,
- Paris.
- — Vinet et Boulogne, 61, rue de Villiers, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- LINÉ (Victor), construction de machines-outils et de tours, à Albert (Somme); et 12, boulevard de Demain, Paris.
- LINK-BELT MACHINERY C°, plaques tournantes pour garages d’automobiles, à Chicago Œtats-Unis).
- LINOLEUM. — Matière imitant le cuir, utilisée pour la confection des tapis, et qui peut de ce chef servir dans les carrosseries automobiles. Le linoléum est fabriqué avec des huiles très siccatives (huile de lin), additionnées de poudre de liège. Le mélange est diversement coloré, selon les besoins, par addition de poudres colorantes (ocres, outremer, vermillon, etc.). La pâte est coulée sur un tissu plus ou moins serré formant support et trame, puis étalée sous forte pression.
- LINON (A telle) •s), construction d’automobiles, à Ensival-lez-Vervicrs (Belgique).
- LION (Le), pneumatiques. — Voir Wol-ber, à Levallois-Perret (Seine).
- LION, marque de fabrique des voiturettes automobiles, conntruites par Peugeot Frères (Les Fils de).
- LION D’OR, motocyclettes et cycles. — Voir Imbernotte, Paris.
- LIORE, modeleur, fabrique de volants pour automobiles, 6, rue Camille-Desmoulin, à Levallois-Perret (Seine).
- LIOT, savon anti-cambouis pour chauffeurs, 112, boulevard Rocliechouart, Paris.
- LIOTARD Frères, radiateurs, phares, capots, réservoirs, 22, rue de Lorraine, Paris. Tel. 414~G1 -
- LIOTE, commerce d’automobiles et de cycles, 44, rue Gambetta, à Nancy (Meurthe-et-Moselle).
- LIOUVILLE (Jacques), 35, rue de l'Université, Paris. Tel. 728-80. — Né à Paris, le 5 décembre 1879. — Docteur en médecine, licencié ès-sciences, océanographe. — Membre de l'Académie des Sports ; fondateur et président du Iloc/cey Club (1896), du Pélican Athlétic-Club 190b (boxe anglaise) ; membre d'honneur de l'Académie d'Epée, vice-président de la Société d'entraînement à l’escrime et au pistolet ; membre des comités de l’Aéro-Club, etc.
- LIPP (chronograplies) —Voir Lipmann Frères, à Besançon.
- LIPMANN Frères, chronomètres et chronograplies “ Lip ”, usine de la Mouillière, a Besançon (Doubs) ; et 9(1, boulevard Sébastopol, Paris. Tél. 3o2-5G.
- LIPTOT, bougies d'allumage, i3i, boulevard Voltaire, Pans.
- LIRE. — Monnaie italienne d'argent, pesant 5 grammes, et correspondant au franc.
- LISSES. — T riangles rectangulaires en bois, recouvrant à l’intérieur chacun des joints du bordé d'un canot automobile.
- LITHARGE. — Protoxyde de plomb cristallisé ; entre dans la constitution des plaques d'accumulateurs pour l’établissement des pastillages.
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- LIT! GrESDE L’AÜTÛM OBILE (Les), par Imbrecq et L. Perissé (II. Dunod et E. Pinat, éditeurs, 4g, quai des Grands-Augustins, Paris).
- LITRE (syn ibole : L). — Unité des mesures de capacité pour les liquides. Le litre a une contenance de i décimètre cube.
- Par rapport aux mesures anglaises, le litre vaut pint 1,76 ou gallon 0,220.
- La capacité d'un cylindre de moteur est souvent exprimée en litres; on dit par exemple : « Ce moteur a des cylindres d'une capacité d'un litre». — Voir Cylindrée, Tiers de litre.
- LITS PLIANTS pour automobilisme, tourisme, camping, etc. — Voir Montjardet, 21, rue Richelieu, Paris.
- LIVRE AVOIRDUPOIDS (ab révialion: Ibs), unité de poids en Angleterre. La livre avoirdujioids pèse 453 gr. 5q et vaut g 000 grains. Ses multiples sont la s loue qui équivaut à i/| lbs, le quarler qui équivaut à 2 stones et le quintal qui équivaut à t\ quarlers.
- LIVRE STERLING. — Voir.Souverain.
- LIVRE TROY impériale. — Poids anglais, valant 5 760 grains, soit 3^3 gr. 2/;.
- LLOYD ANGLO-FRANÇAIS, Compagnie d'Assurances, 55, rue Taitbout, Paris.
- LLOYD DE FRANCE, Compagnie d'Assurances contre les accidents, 5, rue Grétry, Paris.
- LOBET (L .), courroies de transmission, 80, roule de Flandre, à Pantin (Seine). Tel.
- LOBIN Aillé, cycles et accessoires, 3, boulevard Voltaire, Paris.
- LOBLEIN et KRAFFT , commerce d'automobiles, /|3, Sl-Joliannistrassc, à Nuremberg (Allemagne).
- LOCATI et TORRETTA. carrosserie pour automobiles, barriera di Nizza. à Turin (Italie).
- LOCATION AUTOMOBILE (La), garage, location et vente d’automobiles, 8, rue du Débarcadère, Paris. Tel. 089-61. Adr. tel. Autoblanc-Paris.
- LOCATION D’AUTOMOBILES. —
- Voir Ader.
- LOCKERT (Mme Juliette), directrice du journal Le Chauffeur, 9, rue Guénégaud, Paris. Tél. 821-/1/1.
- LOCKERT (L e), nomenclature des exposants du Salon de l'Automobile, 9, rue Guénégaud, Paris.
- LOCOMOBILE. — Machine à vapeur montée sur des roues pour pouvoir être facilement transportée d'un point à un antre; est d'un usage courant pour les travaux agricoles.
- LOCOMOBILE COMPANY OF AMERICA (The), construction d'automobiles, à Bridgeport (Connecticut), Etats-Unis. Nombreuses succursales : à Boston, Chicago, Philadelphie, etc.
- LOCOMOTION AUTOMOBILE (La), journal hebdomadaire, 15, rue Bouchot, Paris. Tél. 733-67. — Directeur : M. G. Leblanc. Rédacteur en chef : M. Marcel Plessix. — Principaux collaborateurs : MM. E. de Perro-dil, Maisonneuve. Bonnefoy. Journal fondé en 1890 par M. Raoul Vuillemot.
- LOCOMOTION ÉLECTRIQUE (Société de), construction de fiacres et d’omnibus électriques et à pétrole, 20, rue Vignon, à Paris. — Usines : rue de Rueil, à Colombes I Seine 1.
- LOCOMOTIVE. — Machine, quelquefois électrique ou à air comprimé, le plus souvent à vapeur, qui peut se déplacer par ses propres moyens sur des rails, en remorquant des voyageurs ou des marchandises placés dans des voitures ou des wagons. — Si la locomotive 11e roule pas sur des rails, elle prend habituellement le nom de tracteur.
- La première voiture à vapeur ayant circulé sur route a été construite en 1770 par Cu-gnot., ingénieur français. Cette voiture existe encore au Conservatoire des Arts et Métiers.
- LOCOMOTRICE (Société Anonyme La), construction de voitures automobiles, 35, rue des Venues, à Liège (Belgique). — Voir Pruneau (Etablissements).
- LOEB und C°, garage, commerce d’automobiles, 5, Grünslrasse, à Berlin (Allemagne).
- LOESER (E rnest), 5a, avenue de Neuillv, à Neuilly-sur-Seine (Seine). — Né à Trêves, le 16 mai 1876. Fondateur à Paris et administrateur-délégué de la Continental. — Membre de l’A. C. F.
- LOESER (Paul), 5a, avenue de Ncuilly, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Né à Trêves, le î" mars 1879. — Fondateur à Paris et fondé de pouvoirs de la Continental. — Membre de l’A. C. F. et de l’A. C. de Nice.
- LOEWENBERG (Ed.), accessoires, moyeu « Rotax » et roue libre K. L. M., i3a, rue du Faubourg-Saint-Denis, Paris. Tél.
- LOGAN CONSTRUCTION C°, construction d'automobiles, à Chillicothe (Ohioi, Etats-Unis. Nombreuses succursales "à New-York, Boston, etc.
- LOGARITHME DÉCIMAL. — Etant données deux progressions, l'une arithmétique et l'autre géométrique, la première commençant parzéro et la seconde par l’unité, et ayant, respectivement pour raison 1 et 10, un terme de rang n dans la progression géométrique a pour logarithme décimal le terme de rang n dans la progression arilhmé-
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- i-jne, la base du. système de logarithmes étant io;.
- Logarithmes o, i, a, 3, 4, 5...
- Nombres i, 10, ioo, i ooo, io,ooo,' iooooo.
- Pour avoir les logarithmes dés nombres intermédiaires, on intercale un certain nombre de termes entre ceux des progressions ci-dessus. Les résultats se trouvent dans des tables de logarithmes calculées depuis 4 jusqu'à 7 décimales, et pour les nombres compris de i à io ooo et même jusqu'à iio ooo. Les tables permettent d'écrire les logarithmes de tous les nombres usuels, en procédant par interpolations.
- Los propriétés mathématiques des logarithmes sont extrêmement importantes et trouvent leur application à des procédés rapides de calcul, dont la règle-à calcul est une réalisation matérielle.
- Table des logarithmes décimaux de 1 à 100-
- NOMBRES LOGARITHMES C/3 « C £ LOGARITHMES NOMBRES •fi ci c
- I 0 J 00000 35 1,54407 69 1,83885 !
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- 14 1,14 613 48 1,68124 82- 1,91881
- ' i5 1,17609 49 1,69020 83 1,91908
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- l8 I ,20027 52 1,71600 1,72428 86 i,9345o
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- 21 I,32222 I,34242 55 1,74o36 89 i,94939
- 22 56 *,743*9 9° 1,95424
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- 33 ><34 i- 1,5i85i 1,53i48 67 68 1,82607 1,8325i.
- Lorsqu’on désire avoir le logarithme népérien d’un, nombre, dont on en connaît le logarithme décimal, il suffit de multiplier ce dernier par le nombre 2,3o2fi.
- — Logarithme népérien< — Les logarithmes népériens, ou hyperboliques, ou naturels, .répondent à la même définition générale que les logarithmes décimaux, mais la raison de la progression arithmétique égale le nombre' e — 2,8026 au lieu de Limité; Les logarithmes supérieurs se représentent par L, et les logarithmes décimaux par log; on a les relations :
- L = 2,3o2fi log. log = o,/|343 L
- LOGEMENT. — Evidement pratiqué ou trou percé, fileté ou non, qui reçoit , et maintient une autre pièce fixe ou en mouvement.
- LOHNER et C°, commerce d’automobiles et carrosserie automobile-, 2, Forzellan-gasse-, à Vienne (Autriche).
- LOHR et BECKER; commerce d’automobiles, 70, Lohrstrasse, à Coblence (Allemagne).
- LOIRE (Forges et Aciéries de la), aciers et outillage. — Voir Forges de la L'oire.
- LOIS et SPORTS, revue mensuelle, 20, rue do la Pompe, Paris.
- LOISEL {Georges), 8, avenue des Ternes, Paris. Tél. 5y3-io-. Né à Paris, le 4 septembre 18G1. Directeur-propriétaire de L'Intermédiaire, — Un des fondateurs de l’industrie automobile (Maison créée le ior janvier 1896).
- LOITRON (changement de vitesse). — Degaille, 85, rue Ménilmontant, Paris.
- LOMBARDA (Società Automobili), construction d’automobiles, à Bergamo (Italie). Tél. 0-22. Adr. tél. Aulosal-Bergamo. — Société Anoyme par actions, au capital de 1 ooo ooo de lires. — Voir Esperia.
- LOMONT-HURTU, machines-outils, tours, à Albert (Somme) ; et 4, rue des Carmes, Paris.
- LONDON and PARISIAN MOTOR
- C°, commerce d’automobiles, 58, South Mol-ton Street, à Londres (Angleterre).
- LONDON MOTOR GARAGE CP,
- commerce d’automobiles, 33, Wardour Street, à Londres (Angleterre).
- LONDON RUBBER and PAC-KING.C0, pneumatiques, 27, Dean Street, à Newcastle-on-Tyne (Angleterre).
- LONG, fonderie d’aluminium, 207, boulevard Voltaire, Paris. Tél. 903-90.
- LONG Fils, protecteurs de pneumatiques « Fibre-Cuir » de E. Grégaud, 25, nmGide, à Levallois-Perret (Seine). Tél. 568-52.
- LONGERON. — Nom donné aux bandes d'acier formant le châssis (quelle qu’en soit la section), qui sont placées dans le sens do
- Exposition d’Automobiles :
- 136, AVEN. MALAKOFF téiApu. 679-13
- Maison principale :
- 17, RUE MONSiGNY, 17
- TÉLÉPH. IO3-7O
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- la longueur et supportent le moteur de la voiture et d’autres organes: Les longerons forment la partie la plus importante d’un châssis.
- LONGITUDE. — La longitude est la distance angulaire, mesurée sur un parallèle, qui sépare un point quelconque situé sur la surface terrestre d'un méridien arbitraire pris comme origine et coté zéro. Un méridien est un grand cercle passant par les pôles ; tous les points d’un même méridien sont considérés comme ayant même longitude.
- Le premier méridien arbitraire, en usage en France, est celui de Paris, qui passe par l’Observatoire. — Le méridien employé par presque tous les peuples est celui de l’Observatoire do Greenwich, en Angleterre : par rapport à celui-ci, la longitude de Paris est orientale et égale z° 20’ 13”, soit 9’ 20.
- LONGUEMARE (Fernand), 12, rue du Buisson-Saint-Louis Paris. Tel. lyzz-ij.
- Né à Bolbec, en 1860 . — Co - directeur de la maison Longue-mare Frères. — M b ni b r e d e l’A. C. F. ; de l'A. E O. F. ; de l’A. G. A. ; du T. G. F. et, du M. C. F. —Membre de la Commission des Concours de l'A. C. F.
- LONGUE-MARE (Georges), 12, rue du Buisson - Saint -Louis, Paris. Tel. 4 22-3y. — Né à Bolbec, en 18GG. —Co-directeur de la maison Longuemare-Frères. — Membrede la Société
- des Ingénieurs civils (igo5); de l'A. C. F. (1S0G); de l’A. E. C. F.; de l’A. G. A. et du T. C. F: — Vice-président, de l’Auto-Gycle Club de France.— Secrétaire de 1 a Commission des Concours de l’A. C. F ; membre de la • Commission technique et de la Commission d e tourisme de l’A.. C. FA
- LONGTJE-MARE (Frères), 12 et 14, rue du Bùisson-Saiut-Louis, Paris. Tel. 422-3?.—Successeurs,
- depuis le ior janvier 190?. de Ta maison Veuve L. Longuemare, fondée en 18^3. — Codirecteurs : MM. Fernand et Georges Longuemare. — Fabrication dos carburateurs utilisant l’essence, lé pétrole ou l’alcool pour tous genres de moteurs à explosions, pour motocyclettes, voitures, bateaux, moteurs fixes. — Fabrication de brûleurs, de libres, de robinetterie automobile, de réservoirs, de lampes à souder. — Nouveauté pour 1907 : Carburateur à prises d’air automatiques à frein pneumatique.
- LONGUEUR (symbole: L et l). — Dimension d’une chose ou d’une ligne, de l'une a l’autre extrémité; la plus grande des deux principales longueurs d’un objet.
- LONGWY (Société des Aciéries de), aciers, fers, fonte, à Mont-Saint-Martin (Meurthe-et-Moselle) ; 35, boulevard llauss-mann, Paris; ii4, boulevard Magenta, Paris. — Société Anonyme au'capital de 2.4 millions de francs.
- LOOPING THE LOOP (Colliers extensibles pour- ligatures de tuyaux). — Voir Comptoir général de Mécanique.
- LOPPART, commerce d'automobiles, 10, rue de Morkerke, à Bruxelles (Belgique!.
- LOREAU (Alfred), 2/|.‘3. boulevard Saint-Germain, Paris. Tel. "2(1-35. — Né à Ber-chères, le 20 décembre i844- —
- Chevalier de la Légion d’honneur, Mé rite agricole, etc. — Ingénieur E. G. IL, président de la Commission technique de l'A. C.
- .F., régent de la Banque de France, ancien président, de la Société des Ingénieurs civils de France, administrateur du P.-
- M. A. Loiieau
- 5LORENZ(Ma-
- chines-outils). — Voir Saachc (Ch.).
- LURETTE (Aciéries et. Forges de). — Voir Verpilleux frères.
- LORIN-, palans,., appareils de levage, â Doulaincourt, (Haute-Marne) ; et 5i, boulevard Richard-Lenoir, Paris. Tel. q32-?0.
- LORINET) garage, commerce -d'automobiles, 56, rue de la Gare, à Chaumont (Ilautc-Marne).
- LORRAIN* (Auto-garage), commerce d’automobiles;-.148, rue Saint-Dizier, à. Nancy (Meurthe-et-Moselle).
- M. VuntiASD Losovemahe
- M. ClF.OlUÏES -1 .ONfil’F.MAIlE*
- CIE & CYCLES & HllTOmOBILES
- 1 ?;23, Champs-Elysées — PARIS
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- LORRAIN (Moteurs Le). — Voir Felitco-lin et Valadier, à Nancy. ,
- LORRAINE-DIÉTRICH (Automobiles). — Voir Diélrich (de) et C{°.
- LORTHIOY, refroidisseurs, 8, rue de la Voûte, Paris.
- LOSANGE. — Parallélogramme dont les côtés sont égaux et dont les angles ne sont pas droits.
- Les diagonales du losange se coupent à angles droits.
- LOSTE , représentant des automobiles Fiat, g3, avenue des Champs-Elysées, Paris. Tél.
- LOSTE (Ernest), commerce d’automobiles,
- .‘i~, rue Brunei, Paris.
- Tel. 555-43.
- LOSTE et BONNET, garnie, commerce d’automobiles, g, allées de Tourny, à Bordeaux (Gironde).
- LOTTEAU Frères, garage, commerce d'automobiles, i/J, rue du l’ont, à Choisy-le-l\oi (Seine).
- LOUBRY Frères , garage, commerce d’automobiles, 3g, rue Ghamberlrand, à Sens l Yonne).
- LOUCHE, vente de motocyclettes et de cycles, a3, rue des Minimes, à Marseille (Bouehes-du-Bhùne).
- LOUET et BADIN, construction d'automobiles, go, avenue Gambetta, Paris. Tél. 92,3-43.
- LOUIS (L èon), sporlsman, ingénieur agronome, 8, place de la Mouillière, à Orléans (Loiret). Tél ion.
- LOUKAITIS. commerce d'automobiles, Boulac Street, Le Caire (Egypte).
- LOUP. — T enne d’atelier, désignant une pièce inan piéo qu'il faudra recommencer : et Faire un loup » ; is. celte pièce est un loup ».
- LOUVET (Charles-Lucien), 8g, boulevard National, à Clirhy. Tél. 283-41. —Né à Clichy, le fi mai 1876. —Ancien champion du tricycle. Aujourd’hui attaché à la maison de Dusnict. — Voir ce nom.
- LOUVRE (G) ’ands Magasins du), vêtements de sports, ifi4, rue de Rivoli, Paris. Tél. xi5-5^ et ii5-58.
- LOUYOT, tubes et fils métalliques,
- 16, rue de la Folie-Méricoitrl, Paris. —
- Tél. 901-17.
- LOUYOT et C‘6, répi mitions de pneumatiques, à Thieux, par Juilly (Seine-el-Marne).
- LOYAL (A.), radiateurs et condenseurs, 204, rue Saint-Maur, Paris. Tél. 416-45.
- LOYSEL (René), 20, rue des Capucines, Paris. Tél. 225-51. — Né à Coureelles, le i4 juillet 1851. — Architecte; membre de la Commission sportive de l’A. C. F. et de la Commission de tourisme. — Courses Paris-Amsterdam, Niec-Castellane, Paris-Berlin, Paris-Vienne, Paris-Madrid, etc.
- LOZACH, garage, commerce d’automobiles, 24, rue du Pont-Firmin, à Quimper (Finistère).
- LOZANO (Francesco), vente d’automobiles et d’accessoires, 14, paseo de Recoletos, à Madrid (Espagne).
- LOZIER, moteurs à essence, à deux temps. — Voir Bavjard, Paris.
- LOZIER MOTOR COMPANY, construction d’automobiles et de moteurs de marine, 1^33, Broadway, à New-York (Etats-Unis).
- L. S. M., vente d'automobiles et d’accessoires. — Voir Santa-Maria (L. de), Paris.
- LUBIN (Agence), voyages pratiques, 30, boulevard Ilaussmann, Paris. Tél. 116-07.
- LUBRIFICATION ou LUBRÉ-FACTION. — Synonyme de graissage. Opération technique ayant pour but d’appliquer des produits lubrifiants ou graissants à des organes mécaniques en mouvement, dans le but de réduire leurs frottements cl, par suite, leur échauficnicnt, en supprimant le grippage..
- La lubrification est basée sur la substitution du frottement d’un métal et d’un liquide onctueux au frottement direct de deux métaux.
- LUBRIFINE {La), huile minérale. — Voir Deutsch (Les Fils de A.).
- LUCAS, garage, commerce d'automobiles, rue des Roudiries, à Dinan (Côtes-du-Nord).
- LUCAS (Joseph), Ltd, fabrique de phares et de cornets, à Birmingham (Angleterre) ; et 22.4, Shaftcsbury avenue, à Londres \V. C. (Angleterre).
- LUC COURT et Cie , construction d’automobiles. — Voir Court (Luc) et C‘°.
- LUCE (F.), canots automobiles, au Petit-Gcnnevilliers (Seine).
- LUCETTE, construction d'automobiles et de cycles « Lucette », i53, avenue Parm.cn-tier, Paris.
- LUCILINE, pétrole. — Voir Deutsch (Les Fils de A.), Paris.
- Un losange
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- LUCINI, suspension élastique pour motocyclettes, 3, via Pelrarcha, à Milan (Italie).
- LUCKE, commerce d’automobiles, 65, Amalienstrassc, à Karlsruhe (Allemagne).
- LUCOTTE et Cie, commerce d'automobiles, rue Michel-Ange, Paris. Tel. 6y3-2^.
- LUMEN, aj>pareils d'allumage électrique. — Voir Lacoste (J.) et Ci0, Paris.
- LUMET (Georges), 128, rue du Bois, à Levallois-Perret (Seine). Tel. 55t)-8S. — Né
- à Nantes, le 10 novembre 1870. — Ingénieur des Arts et Manufactures ; ingénieur du Laboratoire de 1L1. C. F. et des services techniques de VA. C. F. —-Collaborateur à 0 mn ia, revue pratique de locomotion. — Secrétaire de la rédaction du Bulletin Officiel de la C0 m m is s ion teckniqne de CA. C. F.
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- LUNANT (J.), construction d'automobiles « La Mouette » et de moteurs, 218, avenue de Saxe, à Lyon (Rhône).
- LUNDIS DE MICHELIN. — Série d'articles techniques paraissant le lundi dans la plupart des revues sportives, où la maison Michelin l’ait part à ses clients des petits trucs ou des perfectionnements pouvant les intéresser et leur donne tous les conseils nécessaires pour tirer de leurs pneumatiques le meilleur parti possible. Ces Lundis ont eu dès l'origine un succès remarquable. Toute communication concernant les Lundis de Michelin doit être adressée à : Lundis de Michelin, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- LUNETIERS (Société des), fabrique de lunettes sportives, 6, rue Pastourelle, Paris.
- LUNETTE. — Pet ite ouverture munie d une glace qui est ménagée dans le panneau arrière d'iùie voiture fermée, panneau appelé par suite panneau de lunette. — Voir Voiture.
- — Outillage. — La lunette à suivre est une pièce de fonte qui se monte sur le porte-
- outil et sert à tenir la pièce à tourner à quelques millimètres de l'outil qui travaille.
- Il existe aussi des lunettes vérificatrices, dites de calibre, ou bagues, qui servent à mesurer les diamètres extérieurs; elles doivent être rigoureusement exactes et d’accord avec leurs tampons, qui, eux, servent à vérifier les diamètres intérieurs.
- ;— Hygiène. — Les lunettes sont très utiles pour protéger les yeux des automobilistes contre le choc de l'air dont les effets sont en raison directe de la vitesse; contre les contusions que peuvent produire la pluie, la neige, la grele; contre la poussière particulièrement qui peut facilement amener une inflammation de 1 œil assez sérieuse; contre les insectes minuscules, les mouches, les moucherons; contre le soleil enfin, qui exerce sur les organes de la vision une influence tellement violente qu'il faut absolument les en préserver par des verres à teinte fumée neutre, 11e donnant aucune nuance secondaire.
- La protection, pour être complète, doit exister non seulement en avant et en arrière, mais encore sur tout le pourtour de l'œil, entre le verre et la base d'application, en haut, en bas, en dedans et en dehors. Les contacts avec la figure seront établis de préférence avec une peau très douce, la peau chamoisée, par exemple.
- Le Dr Mirovitch, qui a particulièrement étudié la question des lunettes pour chauffeurs, a fait à l'Académie de médecine, le 20 avril ic)o5, un rapport dont nous extrayons les passages suivants :
- (( Les automobilistes marchant à grande vitesse souflrcnt notamment de la pression vive et constante de l'air et du vent; ils subissent, dans ces conditions, un vrai fouet-tage atmosphérique sur les parties antérieures du globe oculaire. Cette pression atmosphérique constitue une force mécanique considérable agissant comme agent de compression. En effet, le globe oculaire représente une sphère suspendue dans la partie antérieure de la cavité orbitaire, où il est lâchement attaché par la capsule de Tenon el par ses muscles moteurs; il y repose en arrière, vers le sommet de l'orbite, sur une sorte de coussinet moelleux de tissu cellulo-graisseux très élastique. Quand la force extérieure agissant sur l'œil n’est pas excessive, l’élasticité du coussinet adipeux du fond de l’orbite le soustrait à Faction nuisible de la compression. Mais lorsque la force comprimante est considérable cl persistante, le globe oculaire peut rompre l'élasticité de ce tissu cellulo-graisscux et se trouve alors serré entre les parois du sommet de l'orbite, oui lui opposent des plans résistants et solides. Il en résulterait, dans ce cas, non seulement une forte tension sanguine, mais encore une compression circulaire du globe, provoquant un changement dans ses axes.
- « La pression atmosphérique, qui agildirec-
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- tcmcnt sur le globe oculaire des automobilistes allant de Co à 80 kilomètres, et même plus à l’heure, représente en effet une force compressive considérable, qui peut, à la longue, provoquer un changement plus ou moins durable dans l’état fonctionnel de l’œil. Ge fait est d’une grande importance clinique, surtout dans le cas de myopie, et mériterait d’attirer l’attention toute particulière do la part des ophtalmologistes. »
- — Comiot (G.), 87, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris.
- —• Hussenot et Raynaud, 3q, rue La Boétie, Paris.
- — Santa-Maiiia (De), G, rue de la Cliaussée-d’Anlin, Paris.
- LUNETTES de roule du Dr Dé tourbe. — Voir Goulart et Cla et Bordé, Paris.
- LUNETTES SPORTIVES du docteur Mirovitch. — Voir Mirovilch.
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- son Boas, Rodrigues et C‘e, G7, boulevard de Charonne, Paris.
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- LUTHI (Manufacture de Bougies), 29, rue Brunei, Paris. Adr. tél. Bougiluthi-Paris. — Maison fondée en 1902 ; directeur : M. Le-rède.
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- « Paris, 40 octobre 4906.
- » Monsieur le rédacteur,
- » Voulez-vous me permettre de vous signaler, à la suite de votre compte rendu de la coupe de F « Auto », la remarquable performance réalisée par le cruiser de 2e série, le Nautilus B. V. Jacqueline, à moteur Boudrcaux-Verdet.
- » Ce cruiser a battu le record du monde dans sa première course à Juvisy, réalisant une vitesse de 27 kil. 424 à l'heure.
- » Faute de concurrents à Maisons-Laffitte, il a battu son propre record par 28 kil, 544 à l'heure.
- . » Pour expliquer les records de vitesse établis par le Nautilus B. V. Jacqueline, il est bon de savoir que le moteur Boudreaux-Verdet a un rendement supérieur de 20 0/0 à celui des autres moteurs, qu’il pèse 3o 0/0 de moins et qu’il tient 5o 0/0 moins de place.
- » Veuillez agréer, etc. » L. Boudreaux,
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- M. — Symbole de masse.
- xn. — Moment magnétique.
- m. — Abréviation de mètre ; de minute. Symbole à'intensité de pôle; de pôle magnétique.
- g. — (Prononcez: mu). — Symbole de perméabilité magnétique.
- m2. — Abréviation de mètre carré ; ni3, abréviation de mètre cube.
- mg.— Abréviation de milligramme ; mm, abréviation de millimètre ; m : s, abréviation de mètre par seconde ; m : s2, abréviation de mètre par seconde par seconde.
- MAAS, vente d’automobiles, 25, rue De-mours, Paris.
- M. A. B. — Marque de fabrique Malicet et Blin, Paris.
- MABLEY CAR, automobiles. — Voir Sunbeam Motor Car C°.
- MABON, garage, vente d’automobiles, à Biarritz (Basses-Pyrénées).
- MACÉRIENNE (La), bicyclettes et pièces détachées pour cycles, à Mézières ; et 78, boulevard Richard-Lenoir, Paris. Tél. 942-42. Adr. tél. Macérienne-Paris.
- MACHIELS (Baron de), directeur des Usines hochet, à Albert (Somme).
- MACHINE. — Ap pareil mécanique servant à produire des effets utiles déterminés.
- — Machines-Outils. — Appareils destinés au travail des métaux, ou du bois, par des irocédés entièrement mécaniques, en ne aissant à l’ouvrier que la conduite de la machine, et même, dans certains cas, seulement sa surveillance.
- L’invention des machines-outils 11’a pas été faite dans le but de réduire au minimum le rôle de l’ouvrier, mais bien dans celui d’assurer au travail une perfection qu’il ne saurait avoir sans cela.
- Une conséquence des machines-outils est Vinterchangeabilité des pièces. — Dans un appareil bien construit, quel qu’il soit, on doit pouvoir, à la suite d’un accident ou de l’usure, remplacer une pièce par une de rechange livrée par l’usine, sans avoir à donner un coup de lime ou de marteau. Cette condition exige précisément des pièces inter-
- changeables, c’est-à-dire rigoureusement conformes à un prototype, et ne pouvant être obtenues qu’au moyen des machines-outils.
- — Besse, 3g, rue de Lappe, Paris.
- — De Fries et Ci0, 19, rue de Rocroy, Paris.
- — Glaenzer et Perreaud, 1, avenue de la République. Paris.
- — Machines à bois. — Elles procèdent des mêmes principes que les machines a métaux.
- Les tours et perceuses ne diffèrent pas dans leurs grandes lignes de ceux employés pour les métaux. Ils sont généralement beaucoup plus simples et se prêtent à une grande vitesse tangcntielle, condition essentielle, avec la faible épaisseur des copeaux, d’un travail aisé et précis du bois.
- — Panhard et Levassor (Société des Anciens Etablissements), ig, avenue d'Ivry, Paris.
- — Machines à fileter. — Ces machines sont déduites du tour revolver. La poupée mobile 11’existe pas, de même que la vis-mère, et*la pièce est tenue entre les mordaches du mandrin de la poupée fixe. La manœuvre de la tourelle s’opère automatiquement ou à la main. Pour la fabrication des vis, cônes, petites pièces décolletées prises dans la barre, l’arbre est creux et la barre introduite en bout. Les pièces sont coupées et tombent dans une gouttière pendant que la barre avance automatiquement de la quantité voulue. Les machines de ce genre sont très employées dans la fabrication en série des petites pièces de cycle et d’automobile.]
- rr-Machines à fraiser. — Les machines à fraiser, ou plus simplement les fraiseuses, servent au travail des métaux et aussi du bois. Le travail est produit par des outils appelés fraises (voir ce mot), qui se montent sur la machine.
- Ces machines sont, actuellement, presque toutes munies de mouvements entiorement automatiques, de lelle sorte qu’un seul ouvrier peut conduire plusieurs machines.
- — Machines à mortaiser. — Ces machines, toujours disposées verticalement, ont un outil animé d’un mouvement rectiligne alternatif travaillant comme celui des raDO-teuses ou des étaux-limeurs. Ces machines comportent un bâti à banc horizontal portant un groupe de deux chariots à mouvements recti-
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- lignes perpendiculaires et un plateau à mouvement circulaire. Ces trois mouvements sont automatiques.
- — Machines à percer. — Cette machine constitue, avec le tour et la fraiseuse, l’un des éléments pour ainsi dire indispensables à un atelier de constructions mécaniques. La machine à percer ne sert pas seulement d’ailleurs â percer des trous, et, dans nombre de cas, elle est d’un emploi beaucoup plus avantageux que le tour pour l'alésage, le mandrinage et le taraudage.
- — Machines à raboter. — Elles servent au dressage des surfaces planes ou à courbure droite au moyen d’un outil à déplacement rectiligne agissant à la façon d’un rabot. Dans les raboteuses, l’outil est fixe et la pièce mobile. Le mouvement de translation de la table portant la pièce à travailler est généralement obtenu par pignon et crémaillère et le retour rapide à vide par changement de marche à doubles pignons coniques. 11 est déclanché automatiquement à la distance voulue, et instantanément pour éviter tout frottement des courroies, lorsque ce mode de transmission est employé.
- — Machine à rectifier à la meule. — La plupart des pièces mécaniques en acier soumises à un travail de frottement sont aujourd’hui cémentées et trempées. Or la trempe déforme en général les pièces, surtout si celles-ci sont de forme compliquée. L’opération, qui consiste à leur donner rigoureusement leurs dimensions définitives, constitue précisément la rectification, opération qui s'effectue à l’aide de meules généralement en corindon, seule matière qui, avec le grès, l’émeri, etc., puisse attaquer l’acier trempé. La disposition des machines, la forme des meules varient évidemment avec la forme des surfaces à rectifier.
- — Les machines-outils, fabriquées à l'étranger, subissent un droit de douane de io francs (tarif minimum) ou de 10 francs (tarif maximum, par 100 kilogrammes, lorsqu’elles pèsent plus de i ooo kilogrammes ; un droit de ifi francs ou de 20 francs, par 100 kilogrammes , lorsqu’elles pèsent de 200 à 1 000 kilogrammes: un droit de 5o francs ou de jo francs par 100 kilogrammes, lorsqu'elles pèsent moins de n5o kilogrammes.
- MACHINE DE GRAMME. — Voir Anneau de Gramme.
- MACHOIRE DE j CROCODILE. —
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- Mâchoire de crocodile.
- dont il faut éviter de se servir, cette clé abîmant très rapidement les angles des écrous.
- MACQUAIRE, bougies d’allumage et accessoires, 21, rue de Malle, Paris. Tél. 933-02.
- MADRID-AUTOMOBILES {Société Anonyme), garage, vente d’automobiles, calle de Miracruz, à Saint-Sébastien (Espagne).
- MAERTEN, automobiles, ij, rue Saint-Martin, à Troyes (Aube).
- MAES, photographie industrielle, ij, rue de la Chapelle, Paris. Tél. 3oj-j5.
- MAGAUD, fonderie d’aluminium, 3j, rue Creuzel, à Lyon (Rhône).
- MAGLIOLA et Figli, garage, 10, via Mezzini, à Riella (Italie).
- MAGNALIUM, alliages pour fonte, 14, rue Commines, Paris.
- MAGNARD et C‘% camions à vapeur, essieux, pièces forgées pour automobiles, Eourchambault (Nièvre) : et 20, Chaussée d’Antin, Paris.
- MAGNAT et DEBON, garage, vente d’automobiles et fabrique de bicyclettes rétro-directes, cours Saint-André, à Grenoble (Isère).
- MAGNE, garage, 1, quai Vauban, à Perpignan (Pyrcnées-Oricntales).
- MAGNETA {Société), magnétos, 110, rue Réaumur, Paris.
- MAGNÉTISME. — Voir Aimant, Electro-Aimant, Ligne de force.
- MAGNÉTO. — Générateur mécanique d’électricité basé sur l’induction électro-magnétique produite dans le champ d'un aimant. Une magnéto se compose de deux parties essentielles : l’inducteur et l’induit.
- Einducteur d’une magnéto est constitué par des aimants permanents, créant d’une façon permanente un champ magnétique même à l’état de repos absolu. C’est la différence essentielle existant entre la magnéto et la dynamo, où l’inductetir est un électroaimant. L'induit peut être défini : une boucle de fil conducteur tournant dans le champ magnétique créé par l’inducteur. La théorie de la transformation des énergies repose sur les trois règles suivantes : i° Toute variation du flux de force, embrassé par un circuit fermé (l'induit), produitun courant dont la durée est égale à celle de la variation du flux; 20 le courant qui naît dans l’induit est minimum quand le flux de force est maximum, et maximum quand le flux est minimum ; 3° une révolution complète de l’induit engendre un courant qui change de sens à moitié de la révolution, c'est-à-dire engendre un courant alternatif.
- Pratiquement, l’induit est constitué par un noyau de fer,.qui facilite le passage du fluide
- MAGNÉTOS A BOUGIES y
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- et. qui est entouré des spires délits. Mais toutes ces.spires réagissent l'une sur l'autre et produisent le phénomène de self-induction qui se manifeste, à la rupture du courant, par une étincelle d'autant plus brillante que l'intensité et la tension du courant principal étaient plus grandes et que la rupture a été plus brusque : c’est l'étincelle de rupture.
- Pour produire les variations du flux embrassé par l’induit, on peut, soit faire tourner l’induit dans le champ magnétique, soit faire tourner l'inducteur, soit faire tourner un volet introduit entre l'inducteur et l’induit, ces deux derniers restant lixes. La ligure
- est constitué par une bobine à double enroulement, comme celle employée dans l’allumage par accumulateurs. Le courant passant dans le gros bobinage produit dans le bobinage fin un courant secondaire, et l'on revient alors à l’allumage par bougies, lï suffit simplement, dans ce système, de produire la rotation de l’induit ou du volet dans le champ magnétique. Il convient également, de citer ici les types de magnéto à bougies qui envoient leurs courants primaires dans une bobine placée en dehors de la machine.
- (Pour tous les détails les plus complets sur les magnétos, leur entretien, leur dé-
- COL’FE VERTICALE U\NS CNE MAGNETO A BOUGIES SlMMS-BoSCH IÇJO^.
- A, couvercle du mécruvsme do rupture du primaire. — B, plaque de distribution du secondaire. —— C, étoile. — CO, collecteur. — G, balai tournant. — 1, ressort dans le fond du couvercle A. — .1, vis do fixation de l’interrupteur du primaire. — N, bout de l’arbre de l’induit. — O, balai du collecteur. — P, parnf u Ire — O, cloche. — S, plaque de couverture de l’induit — U, r me de distribution. — V, pignon de distribution — X, condensai ur. — Y, bobinages de l’induit. — «, vis molet°e fixant le ressort f. — b, vis molelée fixuit l’étoile. — /\ ressort fixant le ouverclo A. — gg, graisseurs.
- /i, butée sur le charbon \V. — r, un des secteurs de distribution du secondaire.
- ci-dessus représente une magnéto à induit tournant.
- Les magnétos servent, en automobile, à allumer le mélange gazeux. Elles sont de deux types, soit à rupture, type indiqué plus haut, soit à bougies.
- — Magnéto à rupture. — Dans cette magnéto, on utilise l'étincelle de rupture en la produisant dans l'intérieur du cylindre du moteur, à l’aide d'un doigt qui se sépare brusquement d'un tampon et rompt ainsi le courant principal. — Voir Rupture.
- — Magnéto à bougies. — Ici, l'induit
- montage, etc., voir l’ouvrage U Allumage, par B. de S.)
- — Cn.vNOLi, 26, boulevard Magenta, Paris. — IIennegrave et Agnus, 3o, rue Perrier, à
- Lcvallois-Perret (Seine).
- — IIemuque, l\ i, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Lacoste et Ci0, 28, boulevard de Strasbourg, Paris.
- — Mous (Société Anonyme), 48, rue du Théâtre, Paris.
- — Nieupout, 9, rue de Seine, à Surcsnes (Seine).
- Magnétos SIMMS-
- VOIR ANNONCE
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- M A G
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- M A I
- — Nilmeliok (Société), 4?> me Lacordaire, Paris.
- — Rogers et Cie, i, rue Saint-Georg'es,Paris.
- •— Simms-Boscii, 22, rue Violet, Paris.
- MAGNETO EISEMANN. — Voir La-
- valette et, C"‘.
- MAGNOLIA (Compagnie), métal anti-l'riction, üo, rue Taitbout, Paris. Tél. 25/4-01.
- MAGUIN (Société des Etablissements), construction de camions automobiles, à Charmes, près La Fcre (Aisne).
- MAHAN, attorney de l’Automobile-Club
- MAILLARD, ventes d’automobiles, 56, rue La Rochefoucauld. Paris.
- MAILLARD, garage, rue de Londres, à Paris-Plage (Pas-de-Calais).
- MAILLECHORT. — Alliage de'cuivre et de nickel, plus ou moins blanc, selon les proportions des deux métaux qui habituellement sont de i5 o/o de nickel et de 85 o/o do cuivre. Le mot maillcehort vient des deux ouvriers lyonnais Maillot et Chorru r qui l’ont inventé.
- On fait souvent entrer dans la composition
- Schéma des connu uns et de i.a iiihï mmi ion dans c.\k maunétu a m>cmi;s Simms-Boscii 1907.
- B, p’ru|iic do distribution du secondaire. — CO, collecteur. — E E, galets de rupture du primaire. — E, porte-balai tournant. — G, le balai. — K, levier de l’interrupteur du primaire. — N, arbre de commande de la magnéto. — O, balai du collecteur. — P, paralbudre. — S, plaque de fermeture de l’induit. — Y, bobinage. — X, condensateur. — vv, plots distributeurs du secon taire. — 1, 2, 3, 4> bougies.
- d’Amérique (Laxv-Oflicc), 5i, avenue Montaigne, Paris. Tél. 53o-^3.
- MAHELIN, g; irage, vente d’automobiles, 63, rue Pruderie-Petit, à Amiens (Somme).
- MAHOUT (L.), voitures automobiles, 2i3, boulevard Raspail, Paris.
- MAILLARD (Henri-Léon), i55, avenue Malakoff, Paris. — Né à Neuilly-sur-Seine, le 25 janvier 1867. Ingénieur des Arts et Manufactures ; ingénieur expert et conseil de YUrbaine et la Seine, la Providence, la Zurich. Ancien ingénieur de ta maison Clément.
- de l’alliage des proportions plus ou moins fortes de zinc dans le but, de diminuer le prix de revient; l’alliage devient alors une sorte de laiton (voir ce mot), additionné de nickel. En automobilisme, le maillcehort est utilisé iour les ferrures de carrosserie et pour es phares et lanternes.
- MAILLON. — Pièce en acier qui, dans une chaîne ordinaire, frotte sur les dents de la roue dentée, en pivotant, au-tour de son goujon d'assemblage, qui le lie aux deux flasques réunissant eux-memes un maillon au maillon suivant.
- Une voiture dans laquelle sont utilisées les
- fj.-F. HENRIQUE, Constr.-Électricien, ^
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- M A I — (58 — M A L
- chaînes doit toujours avoir
- l'.N M.UI.I.O.N DE CHAINE
- F, flasque. — G, goujon. M, maillon.
- dans son outillage quelques 'maillons de rechange. Il est fabriqué des maillons démontables qui simplifient énormément cette petite opération assez désagréable sur route.
- — Comiot (Chaînes Renold), 87, boulevard Gou -vion - Saint-Cyr, Paris.
- - Rater Fils Frères, à Saint-Chamond (Loire).
- MAILLOT, carrosserie automobile, 4g, n Paris. Tél. 407-91.
- MAIN. — On appelle main la pièce en fer ou acier qui réunit les ressorts de suspension au châssis, à l’avant ou à l’arrière d’une voiture. — Voir Ressorts de voiture.
- MAIN et Fils, capots, carters, résci" voirs, à Cerdon (Ain); et 2.4, rue Rcaurcpaire, Paris.
- MAIRE. garage, rue Morieux, à Pontar-lier (Doubs).
- MAIROT, garage, à Chaux-de-Fonds (Suisse).
- MAISONGRANDE et Cle, garage, vente d’accessoires, porte-phare tournant “ Argus ”, G, rue Delaàge, à Angers (Maine-et-Loire). Dépôts : 10, rue Martel ; et G, avenue Parmentier, Paris.
- MAISONNEUVE (Pierre). 64, rue de Neuilly, à Villemomble (Seine). Tél. 733-67. — Né à Paris, le 20 septembre 1882. — Secrétaire de la rédaction de la Locomotion Automobile ; collaborateur au ïlorseless Age de New-York, au Cosmos et autres revues scientifiques.
- MAISONNEUVE, fabrique de réservoirs et de capots, 5i, boulevard Richard-Lenoir, Paris. Tél. g33-o4-
- MAITRE-COUPLE. — Couple ou section transversale de surface maximum d’un canot automobile. Le maitre-couple immergé en est la portion limitée par le plan d’eau ; en marche, le maitre-couple immergé 11e coïncide pas avec le maître-couple de la coque. Il est plus à l'arrière, par suite do la tendance plus ou moins prononcée qu'ont les canots à s'acculer.
- MAITRE DE DANSE. — Compas d’épaisseur, appelé aussi maître à danser, parce que ses extrémités A et 3 ressemblent vaguement à des jambes dont les pieds
- seraient tournés plus ou moins gracieusement en dehors. — C’est un appareil très usité en mécanique ; il est indispensable pour prendre des mesures intérieures, telles que l’alésage d’un cylindre, etc.
- MAITRESSE-FEUILLE. — Voir Ressorts de voiture.
- MAITRESSE-LAME. — Expression impropre, employée quelquefois à la place de Maîtresse-feuille.
- — Voir Ressorts de voiture.
- MAITRUGUE, garage, Go, Grande-Rue, à Pontarlier (Doubs).
- MAJERT (Accumulateurs). — Voir Dora (Società Industriale Ilaliana).
- MAJESTIC, lanternes à acétylène. — Voir Miller (H.), à llazebrouck.
- MALADIÈRE (Forges de la). — Voir Routhéon et Dubrcuil.
- MALADRESSE. — Une simple maladresse suffit pour engager la responsabilité d’un conducteur d’automobile en cas d'accident. — Voir Accidents.
- MALAQUIN et POULIGNIER, accumulateurs, lanternes électriques, Ifi, rue Monsieur-le-Prince, Paris. — Tél. 809-G0.
- MALESSET, administrateur à la Société des automobiles Darracq, à Suresnes. — Officier de la Légion d’honneur.
- MALEVILLE (Ecole de Chauffeurs A. AL), garage, réparations, entretien, vente et location d’automobiles, 23, rue Louis-Iliane, à Levallois-Perret (Seine).
- MALEVILLE, garage, vente d'automobiles, à Libourne (Gironde).
- MALÉZIEUX (Société du Carburateur), 1, passage du Désir, Paris.
- MALICET (Paul), io3, avenue de la République, à Aubcrvillicrs (Seine). — Né à Paris, en 18G1. — Officier d’Académie. — Ingénieur A. et M. (Angers 1877-80). —Co-fon-datcur et administrateur des Ateliers de mécanique d’Aubervilliers. — Membre de la Chambre syndicale du cycle et de l'automobile et du Comité d’organisation des Salons annuels.
- MALICET et BLIN (Société des Etablissements), io3, av. de la République, à Aubcrvillicrs (Seine). Tél. 413-o3. Adr. tél. Mab-Aubervilliers. — Société Anonyme, fondée en 1900, au capital de 1 G5o 000 francs.
- — Marque de fabrique « M A B ».— Président du conseil d’administration : M. L. de Cha-lambert. Directeur : M. Blin. — (Hors con-
- Un m.utui: de danse
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- ïd’Automobiles
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- cours à Saint-Louis et à Milan. Grand prix, à Liège).
- L'indusirie principale des Etablissements Malicet et Blin consiste en la fourniture et le taillage d’engrenages de toutes sortes, droits, coniques, hélicoïdaux, etc., jusqu’au diamètre de 5 mètres. Ils fabriquent egalement les roulements annulaires à billes et, en général, toutes les pièces mécaniques intéressant les organes de transmission et de direction des voitures automobiles, c'est-à-dire des pièces détachées, avec ou sans châssis montés sans moteur. — Les etablissements Malicet et Blin sont fournisseurs de la Guerre et de la Marine, ainsi que des principaux ateliers d'automobiles et autres industries en général.
- MALICK und WALKOWS, machines-outils, 18, Administrasse, à Berlin (Allemagne).
- MALINGE, garage, vente d’automobiles, a3, rue Paul-Bert, à Angers (Maine-et-Loire).
- “ MALLE AUTOMOBILE ”. — Titre déposé par Louis Vuitton pour ses malles spéciales pour voitures automobiles. La première de ces malles fut exposée aux Tuileries, au Salon de l’Automobile de 1898.
- MALLES pour automobiles et, tourisme. — Voir Monjardet, Moynal, Vuitton.
- MALLET (Maurice), 10, route du Havre, à Puteaux (Seine). Tel. i36. — Ancien élève des Beaux-Arts, venu par goût à l'aérosta-tion, fut un de nos plus brillants pilotes avant de se confiner dans sa profession de conslruc-teur-aéronaute. Parmi ses plus beaux voyages citons seulement Paris-Vestcrwick (Suède) où il secondait le comte de Gastillon. M. Mallet fut un des premiers à comprendre quelle bienfaisante influence aurait sur le développement du sport aérien, l’accession de jeunes gens riches, enthousiastes et désintéressés. Compte avec fierté parmi ses élèves : le comte de Gastillon, le comte de La Vauix et beaucoup d’autres parmi nos premiers pilotes.
- MALLET, aciers, 67, rue du Chemin-Vert, Paris. Tel. 939-29.
- MALLET, garage, rue du Bassin, à Cherbourg (Manche).
- MALLET, garage, rue de la République, à Sarlat (Dordogne).
- MALLEVILLE, garage, 8, place Dc-cazes, à Libourne (Gironde).
- MALMEDIE et C10, MASCHINEN-FABRICK A. G., machines-outils, à Dus-seldorf-Oberbilk (Allemagne).
- MALO-LEBRETON, canots automobiles, 56, quai de Courbevoie, à Courbevoie (Seine).
- MALTBY AUTOMOBILE C°, vente d’automobiles, Clinton Street, à Brooklyn, New-York (Etats-Unis).
- MAL-TER, automobiles, 128, rue du Bois, à Levallois-Perret (Seine). Tél. 3o7-3g. Tel. 163.
- MALZINE (Recq de), engrenages et pièces détachées, àSclessin-Liége (Belgique).
- MAMAIN, garage, vente d’automobiles, 31, cours Lieutaud, à Marseille (Bouches-du-Rhône). Tél. 22-60.
- MAMY, appareils d’allumage, 1t\, rue Cail, Paris. Tél. 4o?-23.
- MAN (au pluriel men). — Mot signifiant homme, en anglais. Ce terme est très employé comme terminaison de noms sportifs, en particulier : « un sportsman, homme qui fait du sport ; un yachtman, homme qui fait du bateau », etc. Le mot tüo»ia?t(plu-riel women) signifie femme :
- « une velocewo-man », femme qui monte à bicyclette, etc...
- MANAUD
- (Léon), 83, rue Chauveau, à N e u i 11 y - s u r -Seine (Seine). —
- Né à Paris, le 19 s e p t e m b r e i8^3. — Chef de la rubrique athlétique au journal Y Auto. Membre du Conseil de l’Union des Sociétés Françaises des Sports athlétiques. — Chronométreur officiel de l’U. S. F. S. A. —
- MANCHE. — Les manches d’outils sont ordinairement en frêne, quelquefois en peuplier, cornouillier, tremble, etc. Ils ont une forme cylindrique, plate ou en poire ; ils sont ordinairement terminés par une bague en acier ou en bronze, appelée virole, destinée à empêcher les fibres du bois de s’écarter sous la pression exercée par la soie de l’outil qui pénètre dans le manche.
- MANCHESTER MOTOR SUPPLY
- C°, garage, vente d’automobiles, 18, Oxford Street, à Manchester (Angleterre).
- MANCHON, garage, vente d’automo-mobiles, 1 G, quai Gaston-Boulet, à Rouen (Seine-Inférieure).
- M. Léon Manacd
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- A, manche cylindrique. — H, manche en poire. — C, manche plat. — V, virole.
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- Les Malles Auto de
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- MANCHON D’ACCOUPLEMENT.
- — Organe de machine servant à l’accôuple-ment iixe ou momentané de deux arbres.
- Lorsque les manchons doivent être facilement démontés, on emploie de préférence les accouplements à plateaux boulonnés.
- Les accouplements qui permettent le débrayage à l'arrêt sont les accouplements à griffes ou à dents (voir Griffes). Ils fonctionnent aussi en marche, notamment sur les machines-outils, mais dans le cas d'efforts ne louvant dépasser le maximum prévu, et orsque la progressivité n’cst pas obligatoire. Il est bien évident qu’ils ne permettraient pas le démarrage d’une voiture. Aussi les emploie-t-on, dans ce cas, concurremment avec un embrayage à friction. — Voir Prise directe.
- MANCHON A ACCROCHAGE « CONTINENTAL «. — Sorte de chape en caoutchouc et toile, se moulant parfaitement sur les enveloppes ayant subi une coupure traversant ou non les toiles et les protégeant contre la pénétration de la poussière et de l'humidité. — Se üxe au moyen de crochets dans la jante. —Réparation provisoire permettant, à cause de l'épaisseur du caoutchouc, de rouler environ i 5oo kilomètres sur l’enveloppe du pneumatique coupée. — Voir Guêtre.
- MANCHON-GUÊTRE. — Enveloppe en cuir ou en toile caoutchoutée, destinée à réparer provisoirement une enveloppe de pneumatique éclatée ou perforée. — Voir Guêtre.
- MANÇON, garage et vente d’automobiles, 38, rue de la République, à Orléans (Loiret).
- MANDARD, garage, à Villcrs-sur-Mer (Calvados).
- MANDL (Rudolph), garage, vente d’automobiles et d’accessoires, IV, lleugasse, 5/|, à Vienne (Autriche). Adr. tel. Pneumiclin-Wien.
- MANDOLINE. — Carter qui entourait la commande de changements de vitesses dans les voitures Renault en 1908 et dont la forme assez spéciale lui avait fait donner dans les ateliers le nom de mandoline.
- MANDRIN. — Pièce cylindrique servant de support à une pièce creuse pour son montage sur les machines-outils.
- Plateau de tour à serrage concentrique par mâchoires ou mordachcs. — Voir Tour.
- MANÈGE VÉLOCIPÉDIQUE. —
- Petit (II.) et Cl°, 2.3, avenue des Champs-Elysées, Paris. Tel. 512-59.
- MANÉRA, garage, quai de Garavan, à Menton (Alpes-Maritimes).
- MANETON. — Voir Manivelle et Vilc-brequm. — Partie du vilebrequin sur laquelle est fixée la tète de bielle.
- MANETTES. — Petits leviers en métal poli, ou garnis de douilles en bois, qui sont placés sur ou sous le volant de direction d’une automobile et qui servent à régler ou
- contiôler, à la volonté du conducteur, les fonctions principales du moteur : carburation, admission du mélange gazeux, avance à l’allumage, etc.
- Les manettes tournent autour d’un pivot central et sont maintenues dans la position choisie au moyen d'une petite masse triangulaire d'acier qu’elles portent à leur partie inférieure et qui s’engage dans les crans d’un secteur, ou au moyen d’une pince à ressort.
- MANGANÈSE. — (Mn = 55). — Métal gris blanchâtre, brillant, et se conservant bien au contact de l’air, décomposant l’eau à ioo°.
- Le bioxyde de manganèse est employé pour la fabrication des aciers dits « au manganèse » et pour empêcher ou diminuer la polarisation des piles Leclanché et des piles « sèches ».
- MANGINI, MERELLO et C“ (Central-Garage), vente d’automobiles, à Gcnova (Italie).
- MANHATTAN BRASS C°, lanternes. — Voir Mestre et Blatgé.
- MANHEIMER, vêtements de sport, 6 et 7, Oberwallstrasse, à Berlin (Allemagne).
- MANIVELLE. — I jevier rigide calé par un bout à l’extrémité d'un arbre et articulé par l’autre à une bielle dans le but de transformer le mouvement de celle-ci en une rotation de l'arbre et inversement. — Voir Vilebrequin.
- — Manivelle de mise en marche. — Petite barre d’acier, terminée à une extrémité par une poignée à angle droit qui sert à le manœuvre, et à l’autre extrémité par un<_ grille de forme spéciale qui lui permet d'avoir prise sur l’arbre du moteur quand on l’enfonce lors de la mise en marche. Les dispositifs do liaison de la manivelle et de l’arbre moteur sont extrêmement nombreux.
- _ MANN (J.-J.) , 31, rue Vernet, Paris. — Né â Manchester, en i858. Ingénieur- électricien au « National Téléphone Cu Ltd », en 1882. Directeur de la Maison « Marshall et C°» , en 189/1, °ù *1 a créé les voitures automobiles Bel-size.— Ingénieur-conseil de la Société des Anciens Etablissements Ilotchkiss et Cie. en 1902; nommé directeur du Service Automobile de la même Maison en 1900. Membre de l’A. C. F., de l’A. 0. B. et de l’A. C. G. B. et I.
- M. Mann.
- [voitures HOTCHKISS
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- MANN and OVERTON, vente d’automobiles et d’accessoires, 7, Lower Belgrave Street, à Londres (Angleterre) ; et 4> Lincoln Place, à Dublin (Irlande).
- MANN EGERTON and C°, garage, vente d’automobiles, 3, Prince of Wales Road, à Norwiek (Angleterre).
- MANOGRAPHE. — Appareil construit par la Maison Carpentier, pour « inscrire les pressions « exercées dans les moteurs. Le manographe est base sur l'emploi des rayons lumineux comme index, et supprime les défauts inhérents aux indicateurs ordinaires : le rayon lumineux, étant sans aucune inertie, 11e peut donner lieu à aucun lancé perturbateur.
- MANOGRAPHES O. SCHULZE. —
- Voir Seignol (£.), Paris.
- MANOMÈTRES. — Instruments qui servent à mesurer la force élastique des gaz et des vapeurs. Suivant le mode employé pour équilibrer la pression, 011 distingue les manomètres à air libre, où l’on fait équilibre à cette pression par le poids d’une colonne liquide (eau ou mercure) qui s’élève dans un tube ouvert; les manomètres à air comprimé, où la pression est équilibrée par celle de l'air enfermé dans un tube clos ; et enfin les manomètres métalliques, où l’on utilise la déformation élastique d’un système métallique à parois minces et llexibles.
- — La pompe Michelin est munie d’un manomètre permettant de se rendre compte à chaque coup de pompe de la pression approximative atteinte dans le pneumatique. Il est bon de vérifier définitivement le gonflage des .pneumatiques au moyen du contrôleur de pression Michelin, muni également d’un manomètre. — Voir Contrôleur de pression et voir également Gonflage {Tableau de).
- Aucun moyen empirique 11e peut pratiquement remplacer le manomètre pour s'assurer du degré de gonflage : un bon manomètre est donc indispensable pour quiconque a le juste souci de ménager ses pneus.
- — TIussenot et Raynaud, 3g, rue La Boétie, Paris.
- MANON (Automobiles), 17, rue du Débarcadère, Paris.
- MANS (Albert), suspension pneumatique Amans, aux Lierres, à Diegliem (Belgique). Tél. 4^-i5, Bruxelles. Adr. tél. Mans-Die-gliem.
- MANS (De) Frères, antidérapants et pièces détachées, Le Chambon-Feugerolles (Loire); et 97, rue Lafayette, Paris.
- MANSBENDEL, garage, vente d’automobiles, 10, Backerstrasse, à Mulhouse (Alsace-Lorraine).
- MANSFELD et BERGER, garage, vente d’automobiles, Palmstrasse, à Dresde (Allemagne).
- MANUFACTURE GÉNÉRALE DE CAOUTCHOUC. — Voir Peter, Paris.
- MAN Y (Jules), secrétaire général de la Société des Téléphones, 2, av. de Villiers, Paris.
- MARBAIS, automobiles, 9, rue du Louvre, Paris. Tél. 298-32.
- MARBAIS et LASNIER, châssis d’automobiles, moteurs et motocyclettes, accessoires, G, rue Saint-Sabin, Paris.
- MARBRE. —Les marbres à dresser ou marbres à ajuster sont des plaques de fonte ou d’acier, très épaisses, parfaitement planes, rabotées et dressées avec le plus grand soin, sur lesquelles les ouvriers posent les pièces à ajuster pour avoir une base de traçage parfaitement exacte et déterminer les centres, îes longueurs, etc.
- MARCADET Fils, fabrique de boulons et d'écrous, à Gliàteau-Regnault (Ardennes).
- MARCEAU (Auto-Garage), vente d'automobiles, place Saint-Michel, à Chartres (Eure-et-Loir).
- MARCEL, moteur « Pégase », 289 ter, boulevard Péreirc, Paris. Tel. 535-79.
- MARCELLIN, BREST - DUFOUR,
- garage et vente d'automobiles, 29, avenue de Neuilly, à Neuilly-sur-Seine (Seine).Tél. .r>'3-p-o6.
- MARCHAND (Fabb rica Italiana di Vellure Aulomobili), fabrique d’automobiles, à Piacenza (Italie). Tél. 1-28. Adr. tél. Mar-chand-Piaccnza. — Société Anonyme au capital de 1 million de lires. Siège social à (ienes. — Châssis de 14, 20, 3o, 4o chevaux.
- MARCHAND, garage, veillé d'automobiles, 45, rue Carnot, à Versailles (Scine-et-Oise).
- MARCHAND et DREYFUS, fers et aciers, 100, quai de la Râpée, Paris. Tél. 909-34; et i5, rue Bufl’011, Paris.
- MARCHAND et LETOURNEUR,
- carrosserie automobile, 114, boulevard Bineau, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tél. 54o-4i.
- MARCHE ARRIÈRE. — L’article 5 du décret du 10 mars 1899 porte la disposition suivante : « Les automobiles dont le poids à vide excède 35o kilogrammes seront munies de dispositifs permettant la marche arrière ».
- La marche arrière en automobile s’obtient, pour les voitures à pétrole, par un jeu d’engrenages qui renverse le mouvement normal ; et pour les voitures à vapeur, par un renversement du sens do l'admission de la vapeur. — Voir Changement de marche.
- MARCHEPIED. —Le marchepied, proprement dit, est la ferrure de support qui, prise au châssis ou au corps de caisse d’une voiture, supporte la planche ou la tôle servant à monter. La tôle est appelée palette de marchepied et la planche planche-marchepied.
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- HUSSENOT & RAYNAUD
- FOURNITURES GÉNÉRALES pour Automobiles
- . . Hoir aux Annonces.
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- Les marchepieds des voitures sont ordinairement en 1er ou en acier coulé; quelquefois, les marchepieds arrière se replient sur eux-mcnies et sont dits « mécaniques ». Dans les voitures à entrée latérale, ils sont ordinairement formés par une longue planche portée par dos ferrures et recouverte de tissu caoutchouté qui empêche le pied de glisser ; ces derniers marchepieds servent souvent en même temps à porter la boîte des piles ou des accumulateurs, le générateur d’acétylène, la boîte à outils, etc.
- MARCHESINI et PALTRINIERI,
- garage, vente d’automobiles, 17, via Repub-nlicana, à Bologne (Italie).
- MARCIAL et GOFFIN, dessins et clichés industriels, 7, rue de Malte, Paris. Tel. q3i-28.
- MARCKE (Albert van), 34, avenue Berthet, à Sannois (S.-et-O.). — Né à Liège, le 20 février 1872. Représentant de la Société Anonyme des Anciens Etablissements llotch-kiss et C'\
- MARC-LE-FRANC. — Partage d’un salaire global entre plusieurs ouvriers, dans une proportion differente pour chacun d’eux, pour un travail exécuté en commun.
- MARCOUf/,) et BONNIN (E.), carrosserie commerciale automobile, 78, r. Riquot, Paris. Tel. 41Ü_33. Maison fondée en i83o.
- MARÉCHAL. vente de motocyclettes et de cycles, à Thiculoy-Saint-Antoine (Oise).
- MARECHAL, vernis pour carrosserie, à Vénissieux (Rhône) ; et 8, rue du Faubourg-Poissonnière, Paris. Tel. 319-96.
- MARÉCHAL (Maison ./.), outillage et quincaillerie, 118, boulevard Richard-Lenoir, Paris. Tel. 901-60. Adr. tel. Flotte-Paris.
- MARGARITA, école de chauffeurs, 126, boulevard de Courcelles, Paris.
- MARGUE, LEJEUNE et C'% pièces détachées pour automobiles, à Mézières (Ardennes). •
- MARILLIER et ROBELET, lu •evets d’invention, l\-i, boulevard Bonne-Nouvelle, Paris. Tél. 155-08.
- MARINE et D’HOMÉCOURT (Forges et Aciéries de la), châssis emboutis et pièces détachées pour automobiles, à Saint-Chamond (Loire) ; et 98, rue de la Victoire, Paris. Tél. 25^-38. — Société Anonyme, au capital de 28 millions.
- MARINIER (E rnest) , procédés de soudure autogène pour aluminium et tous métaux, 33, rue du Château, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- MARINIER (F.), tubes d’acier et jantes, 44, rue Saint-Maur, Paris. Tel. 902-00.
- MARINS (Aux), vêtements de sport, 7, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél. 523-5o.
- MARION MOTOR CAR C“, automobiles. à Indianopolis (Indiana), Etats-Unis.
- MARIOTTE - SEGATO , 12, avenue
- Victor-IIugo, Paris. Tél. O70-03. — Né à Trévise (Italie), le 3i décembre 1874. — Médaille de la campagne d’Abyssinie et décoration du Cambodge. — Directeur commercial do la Société Française de la Iioiie E. L. ; agent général de VElectromoHon.
- MARIOTTE (Loi de). — Pour une même température, les volumes occupés par une masse d'air sont inversement proportionnels aux pressions quelle supporte. La loi de Mariotte s’applique à l’air et aux gaz parfaits (difficilement liquéfiables) ; elle s’énonce encore de la façon suivante : Pour une même température, le produit des volumes d’une certaine masse d’air, par les pressions correspondantes quelle supporte, est une quantité constante.
- La densité d’un corps variant en sens inverse du volume, on peut dire que : Pour une même température, la densité de l’air est directement proportionnelle à la pression.
- La température ayant pour effet de faire varier les dimensions des corps, et, dans le cas des gaz, leur volume, Gay-Lussac a montré que la loi de Mariotte devait être modifiée en y introduisant l'influence de la variation do température.
- La loi de Mariotte s’applique aux gaz réputés permanents : hydrogène, oxygène, azote, oxyde de carbone, bioxyde d’azote, jusqu’à des pressions de 100 atmosphères. Les gaz facilement liquéfiables comme l’acide carbonique, le gaz ammoniac, l’anhydride sulfureux, la vapeur d’eau se compriment plus que ne l’indique la loi de Mariotte.
- MARK. — Monnaie allemande d’argent, pesant 5 gr. 55 et valant 100 pfennigs, soit 1 l’r. 11.
- MARKT et C>, Ltd, 107, avenue Parmentier, Paris. Tél. 919-59. Adr. tél. Lce-witz-Paris. Machines-outils.
- MARMIESSE, garage, rue Saint-James, à Cahors (Lot).
- MARMON, automobiles. —Voir Nordyke et Mar mon G0,
- MAROILLES (Société Anonyme des Tanneries et Corroieries de), cuirs pour carrosseries, à Maroilles (Nord).
- MAROLLE, garage, route de Mon-Idcc,. à Sedan (Ardennes).
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- Faites connaître vos corrections .4
- L’ANNUAL
- avant le 15 Octobre
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- MARON (Louis), né à Lyon, le io octobre 1869.— Précédemment vice-secrétaire de la
- Chambre de commerce française de Milan et attaché au Consulat de J?rance de Milan, chargé de l’intérim. -— S'est adonné à l'automobilisme depuis 1902, a fondé, en 190/), Y A g en ce Centrale pour la vente exclusive des voitures Renault frères, il\, avenue de laGde-Armée, Paris. — Tel. 56o-2 1. Adr.
- M. Maron. tél. Agenrenos-
- Paris.
- MAROT (Philippe), iG, rue Saint-Ferdinand, Paris. — Né le 3o mars 1872. Chevalier de l’ordre d'Isabelle la Catholique. Ancien élève diplômé de l’école de Cluses (mécanique de précision) ; ancien directeur du magasin de vente de la Société La Française ; ancien directeur technique des usines des Etablissements Pli. Marot, Gardon et Cie; a occupé des postes importants aux usines Védrine, Decauville, à Y Auto-Palace-, à l’usine d’électricité « Nilmelior », etc. A pris part avec succès à de nombreuses courses d’automobiles : Paris - Roubaix, Paris-Bordeaux, Paris-Vienne, Circuit du Nord, Circuit des Ardennes, etc. Collaborateur à YAn-nual Baudry de Saunier et à Otnnia, revue pratique de locomotion.
- MARQUART, garage, vente d’automobiles, 3, via Francesco Melzi, à Milan (Italie).
- MARQUART, pièces détachées *' Eadie”, 5, via Melcgnano, à Milan (Italie).
- MARQUER, accumulateurs et bobines, 31, rue Marcadel, Paris.
- MARQUES DE FABRIQUE. — Voir Propriété industrielle.
- MARQUES (Société des Grandes), garage et vente de voitures, n, rue Galvani, Paris. Tél. 532-36.
- MARQUIS (Le), antidérapant. — Voir Dufour (C.), à Gharenton.
- MARQUISE (Etablissements métallurgiques de), aciers, à Rinxent (Pas-de-Calais) et 27, rue Claudc-Vcllefaux, Paris.
- MARRIOT, garage, vente d'awtoma-biles, St-0\ven Street, à Hereford (Angleterre).
- MARSAN Frères, garage, 13, rue Wissocq, à Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais).
- MARSE (F.), avant-trains moteurs amovibles, 8, rue Ruhmkorir, Paris.
- MARTEAU. — Il existe une grande variété de marteaux, de formes et de poids très différents. Les plus employés en mécanique sont : le marteau d’ajusteur, le marteau dit « à main », le marteau à frapper devant, etc., etc.
- Les pièces métalliques qui portent un filetage ou qui ont des parties fragiles ne doivent être frappées que par des marteaux ou masses en plomb ou en laiton, ou par des maillets en bois qui ne peuvent les détériorer.
- Une voiture automobile doit toujours posséder dans son outillage un marteau d’acier, sans lequel les chasse-clavettes, poinçon, burin, etc., 11’ont plus d’emploi, et un marteau de cuivre pour le démontage des pièces fragiles ou filetées qui exigent des chocs violents pour se désunir.
- MARTEL, garage, rue Droite, à Sisteron (Basses-Alpes).
- MARTEL (Ch.) et THOMAS (L.), porcelaines pour bougies d’allumage, à Ester-nay (Marne). Adr. tél. Martel-Esternay.
- MARTHA (Léon), 2f\, rue duChamp-de-Mars, Paris. — Né à Strasbourg, le 29 mai 18/(8. Chevalier du Mérite agricole. Membre fondateur de l’A. G. A. S'est spécialisé dans l’élude et la fabrication des moteurs à alcool, des carburateurs, embrayages, etc. A remporté les premiers prix aux concours do voitures à l’alcool ; a inventé un gazéifica-teur universel à basse température dénommé le « Vacuum ».
- MARTIN (Aug.), machines-outils, 2.53, rue Saint-Martin, Paris.
- MARTIN Cl.), garage, vente d’automobiles, à Longny (Orne).
- MARTIN, garage, vente d’automobiles, r2, place de la République, à Sens (Yonne).
- MARTIN (Eugène), ingénieur-constructeur, vente d’automobiles-et de cycles, moteurs, 22, rue des Couteliers, à Toulouse, (Haute-Garonne).
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- Un manteau O, œi!. — P, panne. T, tête.
- «Mile RENAULT FRÈRES “S"1
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- MARTIN (Henri-Paul). 67, avenue Parmentier, Paris. — Né à Saint-Apollinaire (Côte-d’Or), le 21 octobre 1870. — Administrateur de la Société des Moteurs thermiques «à grande vitesse et de la Sultan Motor C°. à Springficld (Etats-Unis). — Ingénieur (Institut Agronomique et Ecole supérieure d’Electri-•cité).
- MARTIN (Louis), garage, vente d’automobiles, boulevard Saint-Roch, à Avignon (Vaucluse).
- MARTIN (Maurice), 5i, rue de Sois-sons, à Bordeaux (Gironde). — Né à Bordeaux le 26 mars 18G1. Officier de l’Instruction publique. Publiciste; rédacteur à la Petite Gironde et au Journal de l’Automobile. Ancien élève de l’Ecole supérieure de Commerce et d’industrie de Bordeaux. S’occupe de sport depuis vingt-cinq ans ; a parcouru à travers la France, en bicycle, tricycle ou bicyclette, [dus de 1 Go 000 kilomètres, particularité qui lui valut d’etre appelé par la revue du T. C. F. « le premier touriste de France ».
- M. M. Martin lut un des fondateurs de la presse sportive (collaborateur au Véloce-Sport, en 1885).
- MARTIN (Vue Ph.), huiles minérales, Tio, boulevard de Strasbourg, Paris. Tél. 442-22.
- MARTIN DU GARD, 6g, rue Sainte-Anne, Paris. Tél. 287-22. —• Né en i856. Ancien officier ministériel. Président de l’Association Générale Automobile.
- MARTIN (J.) et LEROY (II.), fonderie d’aluminium « Le Solidium », g3,
- rue de Cormcille, à Levallois-Perret (Seine’!. Tél. 10G.
- MARTIN et LETHIMONNIER, ingénieurs-constructeurs ; construction de moteurs c< Sultan » pour automobiles, canots et industrie; construction d’automobiles « Sultane », de turbines et dynamos, 32* ruo Félicien-David, Paris-Auteuil. Tél. G80-22. Adr. tél. Motosult-Paris. — Société en nom collectif, fondée en 1899.
- M. Maurice Martin
- Caractéristiques des châssis Martin et Lelhimonnier pour -1007 :
- Moteurs Cylindres
- 6-8 chevaux 2 g-12 chevaux 4
- 12-1G chevaux 4
- 20-3o chevaux 4 3o'4o chevaux 4
- Soupapes commandées; cylindres jumelés ; allumage par magnéto à haute tension.
- Allumage par rupture; soupapes automatiques.
- Allumage par rup-lure; soupapes d’admission attaquées par culbuteurs et ayant les axes excentrés pour varier l’admission.
- Sur tous les moteurs, un seul arbre à cames ; tous les châssis munis du nouvel embrayage à plateaux.
- MARTINE et Cle, garage, vente d’accessoires, place du Pont, à Tiouville-sur-Mer (Calvados).
- MARTINET et BIZE, aciers et fers pour carrosserie, i55, rue deCourcelles, Paris.
- MARTINET, 1 iscurs transparents pour cartes routières, 29, rue des Petites-Ecuries, Paris. Tél. 212-61.
- MARTINET (Léon) (Manufacture d'estampage et de ferrures du Nord-Est), pièces estampées pour automobiles, à Mé-zières (Ardennes).
- MARTINI AUTOMOBILE C°, Ltd,
- fabrique de voitures de tourisme, de camions et d’omnibus automobiles, à Saint-Biaise (Suisse) ; et à Fraucnfeld (Suisse). Adr. tél. Martinicar-Sainl-Blaise. Directeur général : M. A. do Martini.
- MARTINI (F.) et C° (Société par actions, ci-devant), omnibus et camions automobiles, à Fraucnfeld (Suisse). Cette Société a été réunie, en 1906, à. Martini Automobile 0°.
- MARTINI AUTOMOBIL VER-KAUFS GESELLSCHAFT, vente d’automobiles “ Martini ”, Automobil-Union, Berlin W. G2 (Allemagne).
- MARTINY (Manifatture), pneumatiques “ Bergougnan ”, 5, via Pietro Micca, à Turin (Italie) ; et 11, via Dante, à Milan.
- MARTISCHANG, commerce d’automobiles, 57, rue des Bourguignons, à Bois-Colombes (Seine).
- MARTY (Joseph), bougies d’allumage, château de Conilliac, par Lézignan (Aude).
- , MARVALDY, garage, vente d’accessoires, à Saint-Raphaël (Var).
- MARVILLE et Cie, huiles minérales la « Motorine », à Rueil (Seine-et-Oise).
- fu^, L’ALLUMAGE "“.•..“Si
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- MARX (F.), pièces délachées et moteurs « Monarque », 17, rue Ruhmkorff, Paris.
- MARZE, vente d’automobiles, garage, 8, rue Martinière, à Lyon (Rhône). Tel. 34-70. — Agent de Cotlin et Desgouttes.
- MASCOT [Automobiles). —VoirFarman Automobile C°, à Londres.
- MASFRAND (De) (Albert, Pierre), 84. rue du Faubourg-St-IIonoré, Paris. Tel. 276-20. — Né à Lavaraac, le i5 février 1872. Secrétaire de la rédaction de la revue YAérophile.
- MASI (Louis), de la maison II. de la Fresnaye, 15,- rue du Débarcadère, Paris.
- MASQUE. — Dans certains moteurs à explosions, 011 appelle masques des parties venues de fonte qui bouchent presque entièrement le plafond du carter du moteur, en ne laissantqu’une l'ent e étroite pour laisser pas-serla bielle. Les masques servent à empêcher les projections d’huile qui viendrait inonder le piston et qui pourrait remonter jusqu’à la chambre d’explosions.
- MASS et C° . articles de sport, 9, place de la Madeleine, Paris.
- MASS (The), automobiles. — Voir Lancaster Motor Garage.
- MASSARD, mécanicien-constructeur, 26, rue Coriolis, Paris. — Tél. 913-09.
- MASSE et Ci0, garage, vente d'automobiles, 26, cours Lieutaud, à Marseille (Bouches-du-Rhô ne).
- MASSE.—La notion de masse est importante au point de vue mécanique, et il faut bien se garder de la confondre avec le poids d’un corps, comme 011 le fait trop souvent.
- Le poids d’un corps est simplement l'eficl produit sur ce corps par une force d’attraction que l’on appelle pesanteur (voir Intensité de la pesanteur). Cette intensité de la pesanteur varie suivant la latitude, la terre n’étant pas parfaitement ronde. 11 en résulte donc que le poids d'un même corps n'est pas le même au pôle qu’a l'équateur.
- Contrairement au poids, la masse, elle, est invariable avec les lieux; on désigne sous ce nom le rapport constant qui existe entre la valeur d’une force et T accélération qu'elle communique au corps auquel on l’applique. Si nous exprimons le poids en kilogrammes U l’accélération de la pesanteur en mètres par seconde par seconde (cette accélération est, savons-nous, de 9 m. 81 à Paris), il en résulte que la masse d'un corps est obtenue en divisant son poids par 9,81, ce que l’on exprime P
- par m — — (g étant égal à 9,81).
- Au point de vue pratique, on fait usage de la masse toutes les fois qu’il s’agit d’estimer un mouvement, une vitesse, ou l'intensité d’une force. O11 fait, au contraire, usage du poids lorsqu'il s’agit d’estimer directement un travail ou une puissance.
- Exemple : un corps dont la masse est 4 est soumis à une force de 24 kilogrammes ; sous l’influence de cette force, il va prendre un mouvement accéléré dont l'accélération sera
- égale à -j- =6 mètres par seconde par seconde.
- S’il s’était agi d’élever verticalement un corps de masse égale, c’est-à-dire de poids égal à 4 X 9,81 = 39 kilogrammes, il aurait fallu appliquer au corps une force supérieure à 39 kilogrammes, afin de vaincre l’effet de la pesanteur.
- — Electricité. — La masse, c’est-à-dire le bloc métallique constitué par les organes du châssis et le châssis lui-mème, est toujours utilisée en automobile pour la simplification du montage de l'allumage électrique. Cette masse, étantbonne conductrice de l’électricité, remplace un fil. Les batteries, les magnétos, les interrupteurs, les bougies, etc. ont toujours un pôle à la masse. — Voir l’ouvrage L’Allumage, par B. de S.
- — Marteau en plomb ou en cuivre qui, suivant ses dimensions plus ou moins grandes, prend le nom de masse ou de massette. — Voir Marteau.
- MASSEY, machines-outils, marteaux-pilons, à Manchester (Angleterre).
- MASSICOT. — Variété d’oxyde de plomb analogue à la lit barge (voir ce mot), mais qui n'est pas cristallisé ; est amorphe.
- MASSOL (A. de) et Cl0, vente d’automobiles, 5g, rue La Boétie, Paris. Tél. 689-72.
- MASSON, groupes électrogènes, 26, rue de Senlis, à Asnières (Seine).
- MASSON, garage, 76, rue Poterie, à Vendôme (Loir-et-Cher) ’
- MASSON Fils, courroies de transmission, 52, rue Popineourl, Paris. Tél. 900-76.
- MASSON et C‘\ groupes éleclrogènes, 26, rue de Senlis, à Asnières (Seine).
- MASSONNET et Ci0, insignes et médailles pour sports, 64, rue du Faubourg-Saint-Denis, Paris. Tél. 442-27-
- MASTIC. — Mat ière plastique destinée à faire joint et 11e subissant pas de retrait en séchant. Sa composition est extrêmement variable selon que le mastic doit s’appliquer à l’eau, à la fonte, à une pièce chaude ou froide, à un acide, etc.
- — Mastic Michelin.—La maison Michelin et Ci0 vend à ses clients, pour réparer les trous superficiels ainsi que les petites coupures dans les enveloppes, une préparation nommée Mastic Michelin. On en remplit la plaie dont les lèvres se ferment et qui est en tout cas protégée à coup sûr contre l’infiltration de l’eau et l’introduction des corps étrangers ;or, on sait que rien n’est plus funeste aux toiles d’un pneumatique et ne le condamne plus sûrement à une fin prématurée que la pourriture des toiles amenant leur rupture.
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- MASTRILLI, garage, 4, via Mergellina, à Naples (Italie). '
- MASUI {Emile), i, rue de l'Hôpital, à Marchienne-au-Pont ( Belgique ). — Né à
- Bruxelles, le G mai 18G2. — Ingénieur en chef du service technique aux Ateliers Germain, à Moneeau-sur-Sambre. — Ingénieur-mécanicien diplômé de l’Ecole des Mines de Liège.
- MATADOR (Pneumatiques) — Voir Hannoversche A. Gummiiearen Fabri/c, à Hanovre; et Bernheim {Henri) cl Cie, Paiis.
- MATAGE. — Le mal âge consiste à refouler une matière en frappant de petits coups à sa surface, soit pour cacher un défaut ou une soudure, soit pour éviter des fuites ; on se sert alors d’un maloir.
- MATCH. — Pari fait entre deux coureurs ou deux sportsmen pour estimer réciproquement leurs forces.
- MATÉRIEL AGRICOLE et INDUSTRIEL {Société Française de), moteurs à alcool, 191, rue du Faubourg-Saint-Denis, Paris.
- MATHESON MOTOR CAR C°, fabrique d’automobiles, à Ilolyoke (Massachusetts), Etats-Unis; et 1G19, Broadway, à New-York.
- MATHEW and C°, garage, vente d'automobiles, 10-, lligh Street, à Beckcn-Mam (Angleterre).
- MATHEY, mécanicien, vente d’accessoires, Grande-Rue, à Ponlarlicr (Doubs).
- MATHIAN Frères, camions automobiles « Breton », /|3, rue de Berlin, Paris. Tel. 3oG-5o.
- MATHIEU, garage, 28, rue Buircltc, à Reims (Marne).
- MATHIEU, garage, vente d’automobiles, "4, boulevard de Strasbourg, à Toulon (VaF).
- MATHIEU, garage, 9, avenue de Belfort, à Béziers (Hérault).
- MATHIEU (II), garage, vente d’automobiles, boulevard Saint-Roeh, à Avignon (Vaucluse).
- MATHIEU, i4, rue Jean-Bapliste-Dumas, Paris. Agent général, pour la région de Paris, de la Manufacture de caoutchouc Wol-ber, 76, rue des Arts, à Lovallois-Pcrret (Seine). Tel. 53o-49-
- MATHIEU (Louis), "groupes électrogènes, 2, rue de Constantinople, Paris.
- MATHIEU (Paul), garage, vente d’automobiles, 4o, boulevard de la République, à Nîmes (Gard).
- MATHIEU (Victor), commerce d’automobiles, vente de YElevalor Thomas pour soulever les automobiles, 18, rue Saint- Ferdinand Paris. Tel. 5o3-53.
- Né à .Paris, le 24 novembre 1S G 5.
- En i8q3, secrétaire particulier de M. Clément.
- E11 189b, passe à la maison I Limbe r. En 18 9 G, fonde, 22,rue'Fait-bout, une maison où il obtient la représentation des Poclict - Schnci -dcr. Actuellement s’occupe de la vente pour tous pays des voilures Panhard, Renault el Dclaunay Bellcvillc.
- MATHIS (E.-E.-C.) (Aulo-Mathis-Pa-lace), vente d’automobiles cl d’accessoires, grand garage, 23 et 20, Finkmattstrasse, à Strasbourg (Alsace-Lorraine). Tel. G58 et 700. Adr. tel. Aulomathis-S/rasbourg. ;
- MATHOT, ingénieur, 10, rue du Ilelder, Paris ; et 24, rue Saint-Christophe, à Bruxelles (Belgique). Inventeur de l’enregistreur Maillot.
- MATIÈRE ACTIVE. — Pâte composée de minium et de lilharr/e servant à la constitution des plaques des accumulateurs électriques à oxyde rapporté. Cette pâte est placée sur la grille en plomb antimonié de la plaque et fortement comprimée au moyen d’une presse hydraulique. De la bonne composition et surtout de l’adhérence de celte matière dépend la durée de ce genre d’accumulateurs. Les plaques ainsi constituées sont toujours assez fragiles cl. ne conviennent que pour les charges et décharges lentes.
- MATIN (Le), journal quotidien, 4> boulevard Poissonnière, Paris. Tel. io3-o5.
- MATOIR. — Outil servant à égaliser ou à refouler la matière dans l’opération du matage. Principalement employés en chaudronnerie, les matoirs varient de forme à l’infini, suivant le travail.
- MATRICE. — Bloc de métal, ordinairement en acier, qui est destiné au découpage de la tôle, ou dans lequel sont pratiqués des évidements destinés à recevoir un métal (acier, 1er, bronze, etc.), qui y sera refoulé par une presse ou un marteau-pilon.
- MATTIOLI (Umberto), garage, vente d’automobiles, à Parme (Italie).
- M. Victor Mathieu.
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- MAUBOIRE, garage, vente d'automobiles, 9, rue Neuve, à Blois (Loir-et-Cher).
- MAUDIGUET, mécanicien, vente de motocyclettes, 271, avenue Daumesnil, Paris.
- MAUGER, garage, vente d'automobiles, à Dreux (Eure-et-Loir).
- MAUGER et Cie, fabrique de motocyclettes et d’automobiles “ Audax ”, 4, passage Moitrier, à Levallois-Perrel (Seine). Tel. 35.
- MAUGIN (A.), tubes métalliques cloisonnés, cadres de bicyclettes, châssis étirés, tubes marque R. E. L., 18, rue de Normandie, à Courbevoie (Seine). Tel. 18.4.
- MAUNY (de), garage, vente d'automobiles, 29, rue de la Pelleterie, à Nantes (Loire-Inférieure).
- MAURAIN ,garage, vente d'automobiles, 4o, avenue (iamhetta, à Saintes (Charente-Inférieure).
- MAUREL et Fils, caoutchouc manufacturé, vêtements en caoutchouc, i4o, rue de Rivoli, Paris. Tel. io(3-3(i.
- MAURER, garage, vente d'automobiles, Amthausgasse, à Berne (Suisse).
- MAURICE (G.) et WISNER, huiles pour moteurs, 29, rue de Neuilly, à Clichy "(Seine). Tel. 0(18-58.
- MAUVILLIER (/;.), transformation d'enveloppes usagées et fabrique d'antidérapants, ;>y, rue Bayen, Paris. Tel. 080-92.
- MAUXION et DEVINANT, motocyclettes M. 1)., 0, rue Jouvenel, Paris.
- MAX (Société des Accumulateurs), 33, rue Perrier, à Levallois-Perrct (Seine). Tel. 585-yS. — Directeur : M. Gaillard.
- MAXANT, appareils pour aérostats, baromètres, thermomètres, staloseopes, etc., 38, rue Belgrand, Paris. Tel. 928-29.
- MAXIM (Aéroplanes captifs), 207, boulevard Pereire, Paris. Tel. 535-02.
- MAXWELL BRISCOE MOTOR C°,
- automobiles, à Tarrytown, New-York (Etats-Unis).
- MAXWELL (Règle du tire-bouchon de). — Règle imaginée par le physicien anglais Maxwell et permettant soit de trouver la direction des lignes de force produites par
- SliNS DUS I.Ili.NKS DK ÎOIICE 1MUIDCITKK l'Ail LE COURANT
- un courant, soit le sens de la force électro-motrice induite.
- Dans le premier cas, le sens de la rotation du lire-bouchon pour lui faire suivre la direction des lignes donne le sens du courant. — Voir ligure.
- Dans le second cas, la force électromotrice est orientée dans le sens de la rotation du tire-bouchon, enfoncé dans le sens des lignes de force quand le llux décroît ; elle est orientée en sens contraire quand le llux croît.
- On sait qu’un tire-bouchon tourné dans le sens des aiguilles d’une montre avance dans le bouchon ; il recule quand on tourne en sens contraire.
- MAY (Jacques), 10, rue du l’aubourg-Montmartre, Paris. Tél. 22S-12. Collabore à VAuto depuis 1902, sous les noms de le « Téléphoniste », « J. Amy », etc. Rédacteur correspondant, à Paris, de la France, de Bordeaux.
- MAYBACH (Guillaume), à Cannstalt ( Wurtemberg ).
- — Né le 9 lévrier i84G. Diree-teur technique de 1 a Société Daimler - Moto -ren Gesells-chaft, à Unler-tuerkheim (Wurtemberg). Membre honoraire de la Société Automobile technique de Berlin.
- Ancien constructeur en chef de la « (îasmotoren-f a b r i k D c u l z »
- ( 1872 - 1882).
- Constructeur des automobiles Mercedes.
- MAYER, carrosserie automobile, x4, Schonfeldslrasse, à Munich (Allemagne).
- MAYER et SCHMIDT, machines-outils à rectilier et à mouler, 112, boulevard Richard-Lenoir, Paris ; et à Oll'enbaoli (Allemagne).
- MAYESKI, mécanicien-constructeur, 3, rue du Pas-de-la-Mule, Paris.
- MAYET, fabrique de roues, 2O, rue des Arts, à Levallois-Perrel (Seine). Tél. 119.
- MAYEUR, g; irage, vente d'automobiles, 4, rue de la Liberté, à Alger (Algérie).
- MAZELLIER, indicateurs de pression, 89, avenue de Neuilly, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- MAZET. g; irage, vente d'automobiles, fi, rue Rouget-de-I’Isle, à Lons-le-Saunier (Jura).
- MAZIÈRE {Victor), garage, vente d'automobiles. à Bergerac (Dordogne).
- MAZIÈRES (Société Anonyme des Usines de), petites pièces en fer de Suède coulé au creuset, à Mazières, près Bourges (Cher). Tél. o-o4- Adr. tel. Muzières-Hourges.
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- MAZOUILLIER, garage, rue de la République, à Draguignan (Var). '
- MAZURIER, vente d’automobiles, 22, rue Taitbout, Paris.
- MÉCANIQUE. — Etude du mouvement dans ses rapports avec les forces qui le produisent, et des forces en équilibre.
- La mécanique rationnelle comprend : la cinématique, où l’on étudie le mouvement indépendamment des forces qui le produisent, au seul point de vue géométrique par conséquent ; la dynamique, où l’on étudie les relations du mouvement avec les forces qui le >roduiscnt ; et la statique, cas particulier de a dynamique où le mouvement est nul, où l'on étudie par conséquent l'action des forces en équilibre dans un point ou dans un système matériel, La mécanique appliquée comprend les applications à la pratique des théories précédentes : résistance des matériaux et statique graphique, hydraulique, machines motrices, etc.
- MÉCANIQUE et de MOTEURS (Société Anonyme de), fabrique d’automobiles, à Liège (Belgique).
- MECCANICA MODERNA, représentation de fabriques. — Voir Courtial (Paul), à Milan (Italie).
- MEGA. — Préfixe indiquant que le terme qu'il précède est multiplié par un million : « un mégadyne, un mégolnn ».
- MÉGEVET (C.-Jules), né à Genève, le 10 août 187/1. — Chef de la maison C.-J. Mé-
- gevet et C°. — Premier fabricant en Suisse de pièces détachées pour l'industrie automobile, dès 1896. — Créateur et président depuis 1904 de la Chambre syndicale de l’Automobile et du Cycle en Suisse. Initiateur de la première Exposition d'Automobiles Genève 190”). — Membre du Comité Central de l’Automobile Club Suisse. Administrateur de la Société Suisse de Carrosserie. Fondateur de l’Union des Métallurgistes de Genève.
- MÉGEVET (C.-Jules) et C°. — Bureaux : 7 et 9, rue de Malatrex, Genève (Suisse). Tel. 570. Adr. tel. Mégevel-Suisse.
- {Code ABC, 5° édition). •— Usines : 10, rue )assier et 15, rue Bautte, à Genève. — Succursale à Bellegarde (Ain), France. —Maison
- fondée en 1869, par Emile Mégevet père, pour la fabrication des articles en métal ; s’est adonnée depuis 1896 à la fabrication d’articles pour automobiles, tels que phares, projecteurs électriques, radiateurs nid d'abeilles, tôlerie, pompes et petites pièces mécaniques. — Ces usines occupent plus de i5o ouvriers.
- La maison Mégevet et C° a repris, en 190G, les Chantiers de construction de canots automobiles Pickcr et C° et a créé de nombreux types de cruisers ; elle fabrique aussi tous les accessoires de bateaux.
- MEGHOM. — Mesure valant un million d'ohms.
- MÉGRET, mécanicien à façon, i4i, rue de Javel, Paris. Tel. 717-00.
- MÉGY, mécanicien ; embrayages progressifs, 84, avenue do Suffren, Paris.
- MEILLIÈRE, garage, 07, Faubourg de France, à Belfort (Territoire de Belfort).
- MEINEL, machines-outils, à Ilallc-sur-Saale (Allemagne).
- MEISSNER, hélices réversibles et fournitures pour canots automobiles, 6, Brods-chrangen, à Hambourg (Allemagne).
- MÉLANGE DES GAZ ET DES VAPEURS (Lois du). — Lorsqu’un liquide se vaporise dans un gaz, il prend une tension de vapeur égale à celle qu’il prendrait dans le vide. La tension du mélange est égale à la somme des tensions de chacun des corps.
- Cette loi est une loi expérimentale et non mathématique; elle 11’est applicable qu'aux gaz et vapeurs sans action chimique l’un sur l'autre.
- MÉLANGE DÉTONANT. — Voir
- Carburation.
- MÉLINE, carrosserie automobile, 3, imitasse des Deux-Cousins, Paris.
- MEMBRURES. — Pièces de bois, cintrées selon les exigences techniques ou esthétiques, réunies entre elles par des placages nommés panneaux, et consolidées par des ferrures ; cet ensemble forme la caisse d’une voiture.
- — Pièces en bois (orme, acacia ou frêne) courbées à la vapeur et appliquées à l’intérieur contre le bordé d'un canot automobile, dans les plans verticaux.
- MÉNAGER, vente d'automobiles, 4* rue Sarrette, Paris.
- MÉNAGER, garage, vente d’automobiles, 20, rue des Charrettes, à Rouen (Seine-lnlé-rieure).
- MENDELSSOHN et Cie, fabrique d’automobiles, fi, boulevard Bineau, à Levallois-Perret (Seine). Tel. 562-14.
- MÉNÉGAULT-BASSET, pneus-cuir <1 Ursus » antidérapants, cuirasse métallique G. M. B., 35, avenue Laplace, à Arcueil (Seine).
- M. Jui.es Mégevet.
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- MENEUR. — Pièce de tour servant à percer, à aléser, à dresser, etc.
- MÉNÉVEAU et
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- (Gaston), Ci, rue de Monceau, Paris. Télépli. 008-17. — Ne à Paris, le 22 mai 1S55. Officier de la Légion d'honneur . Député. Ingénieur. Membre de 1 'A. G. F., du Cercle des Chemins de 1er, etc.
- MENIER (l'e iri), 8,
- rue Alfred-de-Vigny, Paris. Tél. 5o8-2i. — Commandeur de la Légion d'honneur. Ingénieur; vice- président de l'A. C. F. ; président de la Commission du Yachting automobile de l’A. C. F.
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- jumelle réunissant un ressort do voilure à demi-pince lie à un ressort transversal placé à l'arrière.
- MÉPLAT. — Le mot méplat est un adjectif signifiant : qui a plus d'épaisseur d’un côté que de l’autre. O11 appelle souvent le fer en bande : fer méplat.
- En mécanique, faire un méplat, c’est limer suivant un plan une partie d'une surface cylindrique.
- MÉRAN Frères, accumulateurs N. S., if>5, rue du Faubourg-Poissonnière, Paris. Tél. 104-37 et 1G0-37.
- MERCÉDÈS DAIMLER MOTO-REN GESELLSCHAFT, construction d'automobiles « Mercédès ». à Unterluerkheim, près Cannstalt (Allemagne).
- — Vente d'automobiles Mercédès : Paris-Automouile (Henry Fournier!, 48, rue d’Anjou, Paris. — Voir Daimler Motoren Gesell-schaft.
- MERCÉDÈS (Société Française d’Automobiles), au capital de 5 millions de francs. Siège social et administration : 3q, rue La 1 Joëlie, Paris. Tél. 087-54. Adr. tél. Société Mercéd ès-Paris.
- MERCÉDÈS ÉLECTRIQUE (Société Anonyme au capital de G Goo 000 francs). Siège social et administration : 3q, rue La Boétie, Paris. Tél. 087-54.
- MERCÉDÈS (Lunettes). — Voir Doni-nelli ()ric/or), à Nice.
- MERCÉDÈS - PALACE, vente d'automobiles Mercédès, M. Charley, directeur, 70, avenue des Champs-Elysées, Paris. Tél. 5oq-3G et 549-77. Adr. tél. Àmcharley-Paris.
- MERCÉDÈS-PALACE, vente d'automobiles Mercédès. — Voir Xenci, à Milan et a Florence.
- MERCÉDÈS PALAST A. G., vente d’automobiles Mercédès, à Francfort-sur-le-Mein (Allemagne).
- MERCIER, fonderie d’aluminium, 5, rue Chaudron, Paris. Tél. 418-72.
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- — Saillie dont sont munies les clavettes à serrage destinées «à être montées en bout des arbres Ot servant à les chasser à coup de masse et aussi à les retirer ; on dit aussi nez, ou talon d’une clavette.
- MENTZER, garage, vente d'automobiles, 31, boulevard Séguin, à Oran (Algérie).
- MERCIER, carrosserie automobile, 19, rue Ordencr, Paris.
- MERCIER (J.-B.), voitures T « Elégante », G, rue Saint-Ferdinand, Paris. Tél. 5G5-3o.
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- de l'Instruction publique. Bédac-teur au Gaulois; a créé la lievae il'Art, le Sourire, etc.
- MÉRY (Paul), Sp, rue deTuren-ne, Paris. Tél. aâi-o.'L —• Né à Paris, le i5 novembre 18-G. Ol'licicr d'Acadé-mie. Rédacteur sportif au Gaulois, depuis 1899.
- Al. Allumer. Alibi y. MÉRY (S i-
- mon), à la Blan-carde, Marseille (Boucbcs-du-Rbône). Tél. 28-32. — Né à Marseille, en 1 8-4. Gérant de Turcat-Méry
- et C10, à Marseille ; directeur technique de la Société Lorraine-Diélrich.
- MERZ Frères, lunettes pour automobilistes i3y, rue du Paubourg-Saint-Denis, Paris.
- MERZ (Gebrüder), fabrique de lunettes pour automobilistes, à Francfort (Bodelheim), Allemagne.
- MÉSINGER Mfg C ”, fabrique d'antidérapants, i8or, First avenue, New-York City (Etal-Unis).
- MESMAY (Veuve A. de), fabrique d'automobiles, 30, quai Gayant, à Saint-Quentin (Aisne). Tél.
- MESSAIN (Henri), mécanicien, vente d’automobiles et d'accessoires, garage, à Maxcy-sur-Yaise (Meuse).
- MESSNER et BRETON, accessoires pour automobiles et cycles, ^8, rue des Archives, Paris. Tél. 3af>-3o.
- MESTRE (Emile), 0, rue Brunei, Paris. Tél. ;V,o-(io. Né à Paris, le 21 décembre 187.3. — Co-associé de la Maison Mestre et Blalgé et de la Maison Ilénon et Mestre. A fondé, ('il 1902, la maison d’accessoires et. de pièces détachées pour cycles et automobiles qui a pris rapidement une énorme extension.
- MESTRE et BLATGÉ, 5, rue Brunei, Paris. Tél. 545-03 et 545-Go. Adr. tél. Mesbla-Paris. Société en nom collectif, fondée le 8 juin 1902. — Agences pour la France des fabriques : l)ielz C° (lanternes), llatlersley et Davidson (pompes Compound et Britishj, Manhattan Brass 0° (lanternes Quecn), Swi/t Cycle C°, hld (cycles), Sans (vulcanisatcur), Gleason-Peters (pompes à air), Post et C° (porte-montres), Hubert (antidérapants et pneu-cuir Imperator), Michaud. (cric « Universel»); Hridyeporl Wood finishing C° (produits pour nettoyage de carrosserie), de Philadelphie; échappement libre le Mistral, etc.—Très grand stock d'accessoires, pièces détachées et d'outillage pour automobiles et cycles.
- MESURES (Unités de). — Le système actuel des mesures est basé sur l'emploi de trois unités fondamentales : tes unités de longueur, de masse cl de temps, qui servent à définir toutes les autres. Dans le système G. G. S., adopté par les congrès internationaux des électriciens de 1891 et 1898, les unités de longueur, de masse et de temps sont le centimètre, le gramme-masse et la seconde. On emploie souvent, comme unités pratiques le. mètre et le millimètre pour les longueurs, le kilogramme pour les masses et la minute ou l'heure pour les temps. O11 sait que le mètre est la dix-millionième partie un quart du méridien terrestre, que le gramme est la masse d'1111 centimètre cube d’eau pure à son maximum de densité (!\°) et. que la seconde est la 80 400" partie du jour solaire moyen.
- LANTERNES’DI ETZ” ^|-éVIintpas
- M EST RE et B L AT GÉ .5. Rue - BRUNEL. PAR I Sa
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- M E S
- M E S
- 4^71
- Les unités dérivées de ces trois unités fondamentales sont :
- U uni Lé de surface, (centimètre carré et pratiquement le mètre carré).
- Vunité de volume (centimètre cube et pratiquement le mètre cube).
- Vunité d'angle qui est le rapport delà longueur d'un arc compris dans cet angle ayant son sommet pour centre. L'unité C. G. S. est le radian ; c'est l'angle pour lequel la longueur de l'arc est égale au rayon. Les unités pratiques sont le degré, la minute et la seconde.
- radian
- 36o°____j-
- ---- = 5-° i/j 44
- 2 TZ
- Vunité de vitesse (centimètre par seconde) et en pratique mètre par seconde, par minute, ou kilomètre par heure.
- Vunité de vitesse angulaire (radian par seconde) et en pratique tour par seconde et par minute.
- io — —zzz 2 TT n radians pour n tours par seconde.
- L'unité d'accélération (centimètre par seconde) et en pratique mètre par seconde.
- Vunité dejbrce (force qui, appliquée à une masse d'un gramme, lui imprime une accélération de i cm. : sec; cette unité est la dyne, (pii vautà Paris 1/981° gramme-poids); en pratique, on emploie le gramme et le kilogramme (i gramme = 981 dynes).
- Vunité d'énergie ou de travail. — C’est le travail produit par une dyne dont le point d'application se déplace d'un centimètre. Cette unité est Y erg. En pratique, on emploie le ki-logrammètrc : i k^m— 98,1 mégergs (i mc-gerg— i million d ergs).
- Quand l’énergie se présente sous la forme thermique, ou emploie la calorie.
- \j énergie chimique se transforme intégralement en chaleur et s'exprime également en calories.
- Vénergie électrique peut être évaluée avec les unités précédentes, mais on fait usage en pratique d’unités spéciales telles que le joule. — Voir ce terme.
- Vunité de puissance. — Une certaine quantité d'énergie peut être produite ou dépensée en un temps plus ou moins long. La quantité d’énergie produite ou dépensée dans l'imité de temps définit la puissance ; l'imité C. G. S. de puissance est l'erg par seconde. L'unité pratique le kgm. : sec.
- Le cheval-vapeur vaut ^5 kgm. : sec., et le poncelet ioo kgm. : sec.
- La puissance électrique s’évalue en watts. — Voir ce terme.
- — Mesures de longueur. — En Allemagne, Autriche, Belgique, Danemark, Espagne, France, Italie, Portugal, Suisse : Système métrique.
- MOYEU
- VITESSES
- r FREIN
- Aux Etats-Unis d’Amérique et dans la Grande-Bretagne :
- înch (pouce) valant ~ du yard, soit 2,53 centimètres.
- Fool (pied), au pluriel feet, valant du
- yard, soit 3o,479 centimètres.
- Yard impérial, valant om,9i4-Mile (i 760 yards), valant 1 609'",3i.
- Mille marin (2029 yards), valant 1 855 mètres.
- L’emploi du système métrique est autorisé aux Etats-Unis et dans la Grande-Bretagne.
- En Russie :
- Pied, valant om,3o.
- Archine, valant Sagène, valant 2m,i3.
- Versée, valant 1 067 mètres.
- Anciennes mesures françaises :
- Ligne : 2mi,,,2 5. Pouce : on\o2~. Pied : om,32. Toise : i"Vj4-
- — Mesures de poids. — Système métrique employé dans les pays qui se servent de ce système pour les longueurs.
- Aux Etats-Unis d’Amérique et dans la Grande-Bretagne :
- Dram
- Ouncc (*e k* Hvre^, valant 28,3/19
- d'mmcej, valant 1,77 gramme.
- grammes.
- Livre avoirdupois (7 000 grains), valant 453,592 grammes.
- Quintal (112 livres), valant 5o,8o2 kilo-
- grammes.
- ï’cm (22.40 livres), valant 1 oiO,o48 kilogrammes.
- Livre troy impériale, valant 373,2.4 gram-
- mes.
- — Mesures de volume. — Système métrique employé dans les pays (pii se servent do ce système pour les longueurs.
- Aux Etats-Unis d’Amérique et dans la Grande-Bretagne :
- Pint de gulloii^, valant o,5G litre. Quart de gallonvalant 1,13 li
- litre.
- Gallon impérial, valant 4,54 litres.
- Bushel (8 gallons), valant 36,34 litres. (Extraits de l'Annuaire des Longitudes).
- — Mesures linéaires. — En mécanique, il est d'usage courant et absolu que toutes les mesures, cotes, etc., soient exprimées en millimètres et dixièmes de millimètre, au lieu de l'être en centimètres, suivant la coutume ordinaire dans les prises de
- rinir C. COWIIOT
- El A UlL. 87, boul. Çouvion-5t-Cyr, Firis
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- M E S
- M É T
- mesure. Ainsi l’on dira : « un orilice ,de 25 millimètres et non pas de 2,5 centimètres ; un arbre do 6 millimètres 8 dixièmes, ou 08 dixièmes, et non pas de o,68 centimètre.
- Les instruments les plus usités en mécanique pour prendre et reporter des mesures sont la règle graduée, le calibre ou pied à coulisse, le compas et le palmer.
- — Mesures usitées dans la marine :
- Lieue marine ou géographique :
- 1/200 du méridien.............. 5 555'"
- Mille marin : i/Oo6 du méridien. 1 852"'
- Brasse (5 pieds)................ i’",024
- Encablure nouvelle.................. 200"1
- Encablure ancienne.................. ig4‘"
- Nœud (mesure de vitesse)........ 1 852"'
- Tonneau de jauge.................... 283"'
- Mille anglais (ou mille terrestre
- français)...................... 1 O09"1
- Fathoin (2 yards)..................... im,8288
- Yard (3 pieds)...................... oin,ç)i44
- Pied (12 pouces)...................... om,3o48
- Pouce................................ o"',0245
- MESUREUR et Ci0, nickclage, polissage, décapage au sable, 128, rue Fazillau, à Leval-lois-Perret (Seine).
- MÉTALLO GRAPHIE MICROSCOPIQUE. — Nouvelle scienco qui a pour but d’étudier, avec l’aide du microscope, la physionomie très particulière à chacun d’eux que peuvent prendre les métaux ou leurs alliages, après préparation convenable.
- Le produit que l’on veut examiner est d’abord poli parfaitement, puis soumis à l'action d’un réactif chimique susceptible, par exemple, do dissoudre l’un des éléments constituant l’alliage et de laisser les autres intacts. O11 examine alors cette surface au microscope dont l’éclairage spécial permet l’observation par réflexion. C’est ainsi qu’on peut, en 5 à 6 minutes, conduire l’opération ci-dessus décrite, pour déterminer d’une façon très approchée la teneur en carbone d’un acier, par exemple. Un examen aussi rapide indiquera de meme si une fonte est phosphoreuse, détail très important au point de vue de sa résistance plus ou moins grande, etc.
- MÉTALLOÏDES. — Corps simples chimiques dont la combinaison avec l’hydrogène donne un composé volatil. O11 voit de suite la distinction entre les métalloïdes et les métaux. Ils se trouvent dans la nature soit à l’état gazeux comme l’oxygène, soit à l’état solide comme le carbone. Ils sont mauvais conducteurs de la chaleur et de l’électricité. Les métalloïdes se divisent en quatre classes, selon qu’un atome de ce corps demande un, deux, trois ou quatre atomes d’hydrogène pour former une molécule du composé volatil.
- i° Famille (monovalents) : fluor, chlore, brome, iode. Ex. : I1C1.
- 20 Famille (divalents) : oxygène, soufre, sélénium, tellure. Ex. : IPO.
- 3° Famille (trivalents) : azote, phosphore, arsenic, bore. Ex. : AzII3.
- 4° Famille (tétravalents) : carbone, silicium. Ex: CUL
- MÉTALLOPLASTIE (La), (Anciens Etablissements Adona'i-Martin), nickclage, émaillage, cuivrage, 44> rue Guersant, Paris. Tél. 527-89.
- MÉTALLOPLASTIQUE. — Les
- joints sont dits métalloplastiqucs lorsqu’ils sont constitués par une gouttière circulaire en cuivre dans laquelle sont emboutis, ou sertis, une cordelette ou un carton A'amiante.
- MÉTALLURGIE ( Société Française de), tubes sans sou .'tires, aluminium, 45, boulevard Haussmann, Paris. Tel. i4o-o3 et i4o-o5.
- MÉTALLURGIQUE (Société Anonyme de Construction La), fabrique de voitures, de camions cl d’omnibus automobiles. Société anonyme, au capital de G 000 000 de francs. Siège social: j, place de Louvain, à Bruxelles (Belgique), 'ici. g4o et 4 3o5. Adr. tel. Metal-Bru.relles. Usines à Marehienne-au-Pont, près Cliarleroi (Belgique). Tél. 5^5, Charleroi. Adr. tél. Métallurgique - Mar-chienne-au-Pont. — P:ésident du Conseil d’administration : M. Jules Carlier ; administrateur délégué : M. M. Auspach, ingénieur. — Directeur : M. Ernst Pet uann, ingénieur.
- Types pour 1907 : cliàsUs de grand tourisme de xo à 80 IIP ; transmission à cardan avec amortisseur de chocs, embrayage métallique ; moteurs excentres par rapport à l’arbre coudé, etc. Camions, fiacres, voitures de livraison, voitures-échelles (voir ce mot), pour tramways, etc. Le type 18-28 HP (4 cylindres i02-ii5) a gagné la Coupe de Liede-kerke en 1906 (428 kilomètres en 5 h. 27, soit une moyenne de près de 80 kilomètres à l’heure).
- MÉTALLURGIQUE CARS , vente d’automobiles“ Métallurgique”, e3o, Sliaftes-bury avenue, à Londres (Angleterre).
- MÉTALLURGIQUE DE LA SEINE
- (Société), aciers, 15, rue d’Abbeville, Paris. Tél. 25i-o4-
- MÉTAUX.. — Corps simples, doués do Yéclat métallique ; bons conducteurs de la chaleur et de l’électricité, tous caractères opposés à ceux des métalloïdes, deuxième famille des corps simples. O11 connaît actuellement 05 corps simples usuels répartis en i5 métalloïdes et 5o métaux.
- MÉTAUX (Compagnie Européenne des),
- aciers, 53, rue Condorcet, Paris. Tél. 134-33.
- MÉTAUX (Compagnie Française des), tubes, tubes à ailettes, métaux, 10, rue Volney, Paris. Tél. 247-84 et 247-80. — Société Anonyme, au capital de 25 millions de francs.
- MÉTAUX (Société Générale des), aciers, 11, rue de Rocroy, Paris. Tél. 420-92.
- Lisez
- tous les mois
- Le BDLLETIN OFFICIEL
- de la Commission tecimlqiie de l’fl. G. F.
- 20, rue Duret, PARIS. — (6 francs far an)
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- M E T
- — 4:3
- M E Y
- METEORE
- Frères.
- {Moteurs). — Voir Cu/forl
- METEORE, phares. METER, unité do
- -Voir Ruffin, Paris.
- allemande,
- mesure
- valant ioo centimètres. — Le centimètre s'appelle dus zentirneter, le millimètre dus mil lime ter et le décamètre, das dekameter.
- MÉTHYLÈNE. — En irnlust rie ce terme désigne les liquides impurs obtenus par la distillation sèche du bois.
- Le méthylène est employé d'après les prescriptions de l’administration des Contributions indirectes (régie), pour la dénaturation de l’alcool méthylique, destiné à établir l'alcool à brûler (éclairage, chauffage, force motrice). — Voir Su Majesté l'Alcool, par B. de S.
- MÈTRE. — (Symbole : M ou m.) — Mesure de longueur qui sert de base à tout l'ensemble des mesures appelé Système métrique, adopté parla France et par les principaux pays du monde (sauf les Etats-Unis d’Amérique, la Grande-Bretagne et la Russie), qui en autorisent pourtant l'emploi.
- « L'unité de est le centimètre qui est la centième partie de la longueur à o° d'une certaine règle de platine iridié, nommée le mètre international (déposée au Pavillon de Breteuil, à Sèvres). La forme de cette règle a été calculée de façon à présen-
- longueur
- Couru du
- Mitre International
- dont chaque face a une surface d'un mètre carré ; il vaut donc io ooo décimètres cubes ou ioo ooo ooo centimètres cubes.
- — Mètre par seconde. — Voir Vitesse.
- — Mètre par seconde par seconde.— Voir Accélération.
- MÉTROPOLE (Société La), cycles .lca-tène-Melropole, 2, rue Adolphe-Adam, Paris.
- MÉTROPOLITAINE (Cycles La). — Voir de Santu-Maria, Paris.
- MÉTROPOLITAN ENGINEERING ASSOCIATION, roue à ressorts « Empire »,
- 4, Quccn Victoria Street, à Londres.
- METTETAL, pièces détachées, boulons, vis, 17, rue Beaulreillis, Paris. Tel. 262-04.
- METTEZ (Kve), toiles pour housses d'automobiles, vêtements imperméables, 5, place de l'Uôtel-de-Ville, Paris. Tel. i/|0-53.
- METZELER et C'°, pneumatiques, à Munich (Allemagne).— Agent : M. G. Vieuille,
- 4, rue Mandar, Paris.
- METZELER (Pneumatiques). — Succursale : 12, Mariahill'erstrasse, à Vienne tAutriche).
- METZGER, garage, vente d'automobiles, .
- 5, llolienzollernstrasse, à Ivassel (Allemagne).
- MEUDON (Forges et Constructions mécaniques de), châssis et ferrures pour automobiles, i3, rue de Paris, à Meudon (Seine-et-Oise). Tél. 111 (Bellevuc).
- Mil !l!l im prir TmjTTTT II!11III ! 7TUj'l 111 TTTrjTTTT TTTTjTTU Tnrjrr.H : l'irp'ITC ,i:T!"
- t 2 3 iy 5 6 7 8 9 1
- Diiji.MiVnui (grandeur ive.le).
- ter le maximum de résistance à la flexion. La section droite rappelle un X et la longueur du mètre est définie par Xécartement de deux traits parallèles tracés vers les extrémités de la règle sur le plan P qui forme le fond de la ramure médiane. » (Physique de M. Chassagny).
- La longueur du mètre, qui a été défini autrefois : « la dix-millionième partie du quart du méridien terrestre », vaut, par rapport aux anciennes mesures de longueur françaises , o,5130^4 toises.
- Le mètre vaut i,og3 yard, ou 3,280 pieds anglais. — Le centimètre vaut o,3y3 pouce anglais.
- — Mètre carré (Symbole : nP). — Unité de superficie. Le mètre carré est un carré dont chaque côté a un mètre de longueur ; il vaut donc 100 décimètres carrés.
- — Mètre cube (Symbole : m3). — Unité de volume. Le mètre cube est un cube
- MEULER. — Voir Machines-outils, Machines à meuler et à rectifier.
- MEUNIER (Emile), appareils d'allumage électrique, 233, boulevard Pereire, Paris.
- MEUNIER et Cle, garage, boulevard Félix-Faure, à Beaulieu-sur-Mer (Alpes-Maritimes).
- MEUSIEN (Auto-garage), vente d'automobiles, fabrique de moteurs, 4, place du Marché, à Verdun (Meuse).
- MEYAN (Paul), 08, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél. f>43-io. — Né à Marseille, le icr décembre 1802. Directeur de la France Automobile.
- MEYER (Ernest), Go, boulevard de Clichy, Paris. Tél. 544~88. — Né à Paris, en 1877. — Directeur de la Société électrique lhjdra.
- MEYER, garage, vente d’automobiles, rue d’Orfeuil, à Châlons-sur-Marne (Marne).
- fPANUARn-l PVAÇÇflR -auto-palace
- IrHIiriHnU LLWHOOUll 77Dls,H.HlillClH-Al'm{l,P|HIS-Ta.52.t
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- MEYER, garage, veille d'automobiles, place du Casino, à Dieppe (Seinc-Inlérfeuro).
- MEYER, vente d'automobiles, 18, me d’Armenonville, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tel. /|ia.
- MEYER et HURAND, couleurs et vernis pour carrosserie automobile, 9O, rue des Frères-Ilerberl, à Levallois-Perret (Seine). Tel. bd 1-12.
- MEYERCORD C” i The), décalcomanie pour l'industrie, 00, av. de la République, Paris.
- MEYER et VALTER, pièces détachées pour automobiles, S, cité Guénot (boulevard Voltaire), Paris.
- MEYER-MAY ( Albert-Jacques), 18,
- avenue N'iel, Paris. Tel. boS-Oo. — Né le 27 juin 1870. Directeur des Constructions électriques à la Société industrielle des Téléphones.
- MAYGRET et MAXANT, fabrique d'accumulateurs, îo, rue de Courcelles, à Levallois-Perret (Seine). Tél. ”>29-70.
- MEYNADIER, automobiles et moteurs « Gyptis », dij, rue de la République, à Marseille (Rouelles—du-Rbone).
- MHO. — Voir Conductance.
- MIAMI CYCLE and Mfg C", cycles
- et motocyclettes, à Middlelown (Ohio1, Elals-luis.
- MICA. — Minerai appartenant à la famille minéralogique des micas, groupe de roches caractérisées par leur élasticité, constituées par de la silice combinée à des bases diverses.
- Le mica constitue un des meilleurs isolants ou diélectriques connus. De là son emploi pour établir les condensateurs (voir Bobines d'allumage), les collecteurs ou commutateurs inverseurs des dynamos ou magnétos, etc., et pour les bougies d'allumage.
- 1 Ien.ncghavi: et Agnes, do, rue Perrier, Levallois-Perret (Seine).
- MICANITE. — Produit artificiel, obtenu en mélangeant et fondant ensemble de la poudre de'mica et do la gomme-laque. Le mélange constitue un excellent isolant, utilisé dans la construction des bobines d'allumage.
- MICHAUD, cric; « Universel », à Aigre (Charente). — Voir Mestre et Illatgé.
- MICHAUT et MASSON, voie anisation du caoutchouc, 21, rue d'Aboukir, Paris. Tel. fub-72.
- MICHEL, administrateur-délégué de la Société d’électricité Xilmelior, 10. boulevard Victor-Hugo, à St-Germain (Seinc-et-Oiseb
- MICHEL [LéonI, piles *• Eurêka ”, lanternes électriques, 111, rue Saint-Antoine, Paris.
- MICHEL - JACKSON (.1.) (Usines), pneumatiques, à llalluin (Nord) ; et 92, rue de Richelieu, Paris. Tél. ido-ib.
- MICHELI (Pietro), fabrique de châssis automobiles, 1, via Soltoripa, à Gènes (Italie).
- MICHELIN (André -Jules), 10b, boulevard Péreire, Paris. Tél. 002-08.—Né.à Paris e 17 janvier 185d. Chevalier de la Légion,, d'honneur, officier d’Académie, officier de l'Ordre du Cambodge, ingénieur E. G. P., directeur commercial do la Société Michelin
- et C'°, représentant à Paris de la manufacture de Clermont, directeur de la Maison de-construction métalliqueA. Michelin, iib, rue de Bagnolet.An-ci en élève de l'Ecole Centrale tle Paris et de l’Ecole d e s Beaux-Arlsfsee-lion d’Arehitee-t, u r e ) , a n c i e n sous-chef de service de la Carie de France au ministère de 1 ’ 1 n I é r i e u r, membre; du Jury aux Expositions du Havre et df 1 n n s b r u c k (189.L. Rapporteur du Jury à l'Exposition de Bruxelles (1897). Membre du Comité d'admission de la classe do, groupe VI, à l’Exposition de 1900, ou h; Grand Prix fut décerné à la Maison Michelin et Ole. Membre du comité de I Automobile Club de France.
- M. A.ximii .MKMiia.i.N-
- MICHELIN (Edouard-Etienne), à Cler-mont-Ferrand (Puy-de-Dôme). Tél. 0-22. — Né à Clermont-Ferrand, le 2.8 juin 1809. —
- Gérant de la Société' Michelin et C'A Est ancien élève de 1 ’ E c o 1 e d e s Beaux-Arts (section de Peinture), licencié en droit. S'occupe actuellement de la partie technique et industrielle de la Société'.
- MICHELIN
- et Ci0. — Société en commandite au eapi- M. Kdocauü Michelin
- tal de i/| ooo 000 de francs.
- L'adresse de la Société; est à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).Tel.0-22. — Le représentant de la Société à Paris est M. André Michelin, 10b, boulevard Pereire. Tél. bo2-o8.
- BOUGIE MICA@
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- M I C
- — 4?5 -
- M I E
- M. Edouard Michelin, gérant de la Société, s'occupe de la partie technique et industrielle. Son Frère, M. André Michelin, ingénieur de l'Ecole Centrale, est le directeur commercial de la Société.
- L'usine de Clermont-Ferrand est un établissement modèle au point de vue de l’organisation industrielle pour la fabrication des articles en caoutchouc manufacturé et plus spécialement, des pneumatiques.
- Cette manufacture de caoutchouc, qui occupe actuellement plus de 3ooo ouvriers, lut, fondée en i83a par Barbier et Daubrée.
- Ces ateliers ont fabriqué successivement des fils de caoutchouc vierges et vulcanisés, des courroies de transmission et tout ce qui se rapporte aux industries qui emploient ce produit, spécialement aux industries chimiques, aux papeteries, aux sucreries, aux parfumeries, à la carrosserie et, enfin, aux cycles et automobiles.
- L’industrie du pneumatique est, à l'heure actuelle, de, beaucoup la fabrication la plus importante de la manufacture dont le développement rapide et, incessant, a obligé ses propriétaires à faire chaque année de nouveaux agrandissements et à augmenter sans cesse leur personnel.
- La maison Michelin est, représentée dans les principaux pays d’Europe et possède de nombreux « stocks» dans tous les pays.— Voir la liste complète dans le Guide Michelin.
- —_ Principales Agences de Michelin et CA, à VEtranger :
- A llemagne ; Franklürt-am-Main (Francfort-sur - le - Mein), ii(i, Mainzerlandstrasse. — Amérique : New-York, Michelin Products Sclling Companv Inc. 3i, 33, West, 3i si Street. — Autriche : Vienne, Agence Géné-rale Autrichienne (Rudolf Mandl), IV, lleu-gasse, —Belgique : Bruxelles, Agence
- (iénérale, Belge, 54, rue de Spa. — Espagne : Madrid, Agence (iénérale Espagnole, 12, Fernando VI. — Angleterre : Londres, Michelin lyre C° Ltd, 49-00 Sussex Place South Kensinglon S. W. — Italie : Milan, Agence (iénérale Italienne, via For» i/|. Bussie : Varsovie, de Tcherniadiefl', rue Lcszuo, 20. Suisse: ( lenève, Agence Générale Suisse, i3, rue du ( lénéral-Dufour. Suisse: Zurich, Agence (iénéiale Suisse, G, Waldma illustrasse.
- MICHELIN (Agence generale Belge des Pneumatiques), 5/|, rue de Spa, Bruxelles.
- MICHELIN (Agence générale Espagnole des Pneumatiques), 12, Fernando VI, à Madrid (Espagne).
- MICHELIN (Agence g énérule Suisse des Pneumatiques), i3, rue du Général-Dufour, à Genève (Suisse).
- MICHELIN (Agen zi a ltuiiana Pneuma-lici), 14, via Foro, à Milan (Italie). Tel. 1 y-3a-
- — Directeurs : MM. Vacearossi frères.
- MICHELIN et Ci0 (Pneumatiques), 11C, Mainzerlandstrasse, à Francfort-sur-lc-Mciu (Allemagne). Tél. /ji23.
- MICHELIN (Tire American Agency), pneumatiques Michelin, G West 29 th. Street,, a New-York (Etats-Unis). Tél. /|Gü^ Madison.
- MICHELIN TYRE C", pneumatiques. Michelin, 4y, Sussex place, South Kensinglon, à Londres (Angleterre).
- MICHEL-LÉVY(A)tr/ws/e), 26, rue Spon-lini, Paris. Tél. G88-98. — Né à Paris, le 7 août i8/|/|. Officier de la Légion d'honneur, membre de l'Institut, professeur au Collège de Franco, inspecteur général des Mines, ancien ingénieur en chef des Appareils à vapeur de la Seine (i88^ à 1898) et chargé, à ce titre, de la surveillance des automobiles pendant la période de naissance de celte industrie nouvelle qu’il protégea toujours de sa bienveillance éclairée.
- MICHIGAN AUTOMOBILE C’, fabrique d'automobiles, à Kalamazoo (Michigan), Etats-Unis.
- MICHOUD (F.), constructeur-mécanicien, garage, rue Gentil, à Yenne (Savoie).
- MICRO. — Préfixe indiquant, que le ternie qu'il précède est divisé par un million: un microhm, millionième partie d'ohm.
- MICROHM. — Millionième partie d'ohm.
- — Voir ce mol.
- MICRON. — Mesure de longueur valant 1 millième de millimètre ( symbole g) et. quelquefois 1 millionième de millimètre (symbole u p).
- MIDDLETON PNEUMATIC (The), Ltd, moyeu pneumatique, 21, Cale Street, Chelsca, à Londres (Angleterre).
- MIETZ et WEISS, moteurs de marine, marque M. W. — Voir Beuujard (G.), Paris.
- MIEUSSET (Société des Etablissements), châssis, camions et canots automobile.', 1Ü2 et 1 54, route d'Heyrieux, à Lyon.
- M. Micukl-Lkvy
- [automobiles MIEUSSET M1 fin lettre L»1
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- (Rhône). Tel. 3/1-73. Adr. tel. Automobiles Mieussel-Téléphone.
- Alaison l'ondée en 1867 ; transformée en Société Anonyme, le 29 décembre 190/1, au capital de 750 000 francs, porté, le 8 mars 1906, à 1 200 000 francs. Président du conseil d'administration : M. Nantas, chevalier de la Légion d'honneur. — Administrateur-délégué : M. Edouard Yerde de Lisle. — Administrateurs : MM. Bourdon, Brossel-IIeckel, Cliam-bosse et Durand. — Secrétaire général : M. ,1. l’étavy. — Directeur technique : M. Marcel Lanson. — Directeur commercial : M. Charles Annal.
- — Caractéristiques Mieussel, pour I0Ù7 :
- des Automobiles
- Moteurs Cylindres Alésage Course
- 7-9 chevaux 2 85 112
- 12-1G — 4 85 112
- 20-24 — h 1 o5 i3o
- 3o-4o — 4 I 25 i3o
- — Camions, pouvant porter un poids ellcc-t.if de 3 tonnes (120 X <5o); et groupes moteurs pour canots automobiles (20-24 et 3o-4o chevaux).
- Allumage par magnéto « Nilmelior » ; embrayage par cônes; l\ vitesses, dont deux en prise directe et marche arriére; refroidissement par radiateur « nid d’abeilles », pompe commandée par engrenages ; ventilateur. Soupapes commandées, interchangeables; direction irréversible, etc.
- MIHI (Mur que), appareils automatiques pour automobiles. —Voir Automatisme (lé).
- MILBLED (Charles), fonderie de fonte, à Dargnies (Somme) ; et 5o, rue delaChaus-sée-d'Antin, Paris.
- MILDÉ (Charles-Ferdinand), Go, r. Des-renaudes, Paris. — Né à Paris, le 20 septembre 18 ni. Of-lieier de la Légion d'honneur. — Gérant de la Société Ch. Mil-dé fils et C’i0 ; ancien président du Syndicat professionnel des industries électriques. — Créateur, à Paris, du premier secteur u'energie électrique.
- MILDÉ (Ch.) Fils et C10, automobiles électriques, Go, rue Desrenaudes, Paris. Tél. 017-35 et 5i7-3G. Adr. tél. Mildé-Pa-ris. Société en commandite, fondée en 1882, au capital de Goo 000 francs. — Directeurs : MM. Ch. Mildé, Aug. Courtaut, Dr Minvielle,
- Em. Mildé. — Constructions électriques et automobiles ; voiture postale, modèle officiel ; signaux lumineux pour voitures, éclairage électrique des voitures, etc.
- MILLE, carrosserie automobile, à M011-lélimar (Drôme).
- MILLE ANGLAIS. — Mesure de longueur, valant 1 760 yards, soit 1 Go9"',3i.
- MILLE et POURCEL, moteurs à gaz, Bourse du Commerce, rue du Louvre, Paris. Tél. 140-97.
- MILLE MARIN. — Mesure française de longueur, valant i/3 de lieue marine, soit 1 802 mètres.
- MILLE MARIN. — Mesure anglaise de longueur, valant 2 029 yards, soit 1 855 mètres.
- MILLENNIUM (Crics). — Voir Lake et Flliot (Angleterre).
- MILLER (Ch.) pièces détachées et accessoires pour automobiles, 97, Beade Street, à New-York (Etats-Unis).
- MILLER (II.), Ltd, lanternes, crics, bougies, clés, outillage pour automobiles, à Ilazcbrouck (Nord).
- MILLET garage, vente d'automobiles, 22, rue de la République, à Sens (Yonne).
- MILLET, garage, vente d'automobiles, faubourg des Ancêtres, à Belfort (Territoire de Belfort).
- MILLET (P), changements de vitesse, 18, rue Gambetta, à Persan (Seine-et-Oise).
- MILLEVILLE (Ch. de), sporlsman, inventeur d'un nouveau type de carrosserie automobile, château de Moulineau, par Pcr-ricrs-sur-Andelle (Eure).
- MILLI. — Préfixe indiquant que le terme qu'il précède est divisé par mille: un millimètre, millième partie du mètre.
- — Milligramme. — (Symbole : mg.). — Millième partie du gramme.
- — Millimètre. — (Symbole : ?nm.) — Millième partie du mètre. Le millimètre est la seule unité de mesure employée en mécanique.
- MILLION, étoiles et cuirs pour carrosserie automobile, 3G, rue de Boiuty. Paris.
- MILLION (li ené), ferrures pour carrosserie, i4, rue Pcrdonnet, Paris.
- MILLON - GUIET ( Établissements ), carrosserie automobile, 71, rue des Arts, à Levallois-Perret (Seine). Tél. 008-97.
- MILLOT, garage, vente d'automobiles, rue de Mantes, Meulan (Scine-el-Oise).
- MILLOT (Anciens Établissements), fabrique d'automobiles, ateliers de constructions et de fonderie, à Gray (Haute-Saône). Tél. G/|. Adr. tél. Millot-Gray.
- Signaux indicateurs lumineux
- pour
- VOITURES AUTOMOBILES
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- 60, rue Desrenaudes, 60 PARIS (Av. Nie!)
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- MILNES-DAIMLER, Ltd, automobiles, 221, Toltcnliam Court Road, Londres (Angleterre). Tel. 2268 Gerrard. Adr. tél. Mil-nesie-London.
- MILWAUKEE AUTO ENGINE et SUPPLY C'\ moteurs à pétrole, 706 Win-nebago Street,, à Mihvaukee (Wisconsin), Etats-Unis.
- MIMARD, à Saint-Etienne (Loire). — Président de la Chambre syndicale des fabricants de cycles de Saint-Etienne ; directeur du Chasseur Français.
- 'ue du Mont-Tha-bor, Paris. Tel. 280-88. — Né à Douai, le 17 juin i863. O f licier d’Académie. — F o n d a t e u r d u Cycle,',fie la Bicyclette, du Paris-Vélo, etc. — Co-directeur de la Maison Ilu-guet, Minart et C‘°, à Paris.
- MINERVA MOTORS,Ltd,
- automobiles et moteurs. — Siège social : 4°> Hol-born Viaduct, à Londres (Angleterre). — Bureaux à Anvcrs-Bcrchem (Belgique), 4.7, rue de la Pépinière. Tél. 2/|/j/|. Adr. tél. Minerva-Anvers. Société Anonyme au capital de 3 25o 000 francs. Directeur : M. de Jong. — Agence : 13, rue de Rcuilly, Paris.
- MINERVETTE, voiture légère. — Voir Minerva Motors.
- MINES DE SUÈDE (Aux), outillage pour automobiles, 5, rue Rochechouart, Paris. Tél. 212-82.
- MINIÈRE et INDUSTRIELLE (Compagnie), pneumatiques « Securitas », 9, rue du Président-Carnot, à Lyon (Rhône).
- MINIUM. — Oxyde de plomb dit salin ; est constitué par une combinaison de protoxyde (massicot) et de bioxyde de plomb (oxyde pur). Le minium est utilisé en automobilisme pour la confection d’un mastic pour joints, pour la peinture sous-jacente des ferrures et des caisses et pour la confection des plaques des accumulateurs d’allumage (pastillage).
- MINNE, écrous indesserrables. — Voir Boudraux, Paris.
- MINNES-DOBBIES C°, indicateurs-enregistreurs de pression, à Glascow (Angleterre) .
- MINODIER,garage, vente d’automobiles, 3, boulevard Bancel, à Valence-sur-Rhôno (Drôme).
- MINOT, émaillage et nickelage pour cycles et automobiles, l\4, rue Servait, Paris. Tél. 922-72.
- MINUTE (Symbole : %»,). •— Soixantième partie do l'heure legale. Soixantième partie d’un degré. La minute se désigne par une virgule placée en exposant : 66 5 signifient 66 minutes 5 secondes.
- MIRA, automobiles et motocyclettes, 20, rue d’Armenonville, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tél. !\ 12.
- MIRAL (Jacques-Henri), 32, rue Baudin, Paris. — Né à Bayonne, le 18 octobre 1879.
- R é d a c t e u r à l’Auto et au Matin. A débuté dans le journalisme en 1901, au Malin, comme rédacteur en second à la r u b r iq u e des sports ; s’occupe de l’automobile en général, à l'Auto, et s’est spécialisé particulièrement dans la navigation automobile.
- Ï MIRET et LECLERC, lu nettes pour automobilistes, 11, rue Pastourelle, Paris.
- MIRIAM (Guides), 7, rue de Berne, Paris. Tél. 317-01.
- MIRLORET et C10, fonderie de cuivre, 7, rue Vanier, à Suresnes (Seine). Tél. 36.
- MIROVITCH (lunettes sportives du Dr). — Dépôt général : 60, rue Taitbout, Paris. Tél. 232-42.
- MIRUS, motocyclettes. — Voir Amstoutz.
- MISE EN MARCHE. — Avant de mettre en marche un moteur à explosions, il faut prendre les précautions suivantes :
- S’assurer que le levier de débrayage est en position voulue, que les freins sont serrés, et que la manette d’avance à l’allumage est à son minimum de course.
- Ne jamais saisir la manivelle de mise en
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- rouie à deux mains, mais avec une seule main et en effaçant, le corps en arriéra. Enfin, ilctail capital, qui évitera bien des accidents, ne pas pousser la manivelle de haut en bas, «nais toujours la tirer de bas en haut.
- MODÈLES POUR FONDERIE. —
- Les modèles destines à la fonderie sont la reproduction exacte, en bois ou en métal, do la pièce moulée que l’on désire obtenir. Ils sont construits par un modeleur-mécanicien,
- A ESMi ici; 1ÎT A AMI CO.MI'UIMIi
- M, levier île démarrage. — N N, cotnmanle de mise en riale. — A, pompe d’air.
- Quelques conslructeurs ont cherché la mise eu marche automatique des moteurs pailles procédés très divers que nous ne pouvons décrire ici. Nous renverrons nos lecteurs à Omnia, revue pratique de locomotion (nos a et no).
- Mises en marche automatique :
- — Bkri.if.t. 12,chemin des Qualre-Maisons, à Lyon (Rhône).
- — Mous (Société Anonyme), /(S, rue du Théàlre, Paris.
- — Renault Fukuiïs, i.'lp, rue du Point-du-Jour, à Billancourt, (Seine).
- — T a ici-le a Quatre Feuilles (Le), avenue de la (irande-Armée, Paris.
- MISE EN SERVICE D’UNE AUTOMOBILE. — V oir Déclarations.
- MISSOTEN, garage, commerce d’auto-tomohiles, 2", place Madier-de-Monl jau, à Valcncc-sur-Rhônc (Drôme).
- MISTRAL {Voiture!le). — Voir Bozier.
- MITCHELL MOTOR CAR CA automobiles, à Racine, Wisconsin (Etats-Unis).
- M. L. {Juntes amovibles). — Voir Jantes amovibles M. L.
- MOBILE. — Point matériel se déplaçant dans l'espace suivant une trajectoire et servant à l’étndo du mouvement.
- MOBILOIL, huile minérale. — Voir Vacuum OU Company.
- MOCHÉ et HOSCHEDÉ, garage, commerce d’automobiles, ion, route de Paris, à Veruon (Eure).
- MODE ILLUSTRÉE (La), journal hebdomadaire, n(i, rue Jacob, Paris. Tél. 72/1-18. Directrice : Mmc Aline Raymond.
- d’après les dessins cotés qui lui sont remis par le constructeur. Le modèle comprend également les boites à noyaux. — Voir ce mot.
- Les modèles sont laits en bois massif ou en lames superposées et collées à contrc-lil les unes sur les autres.
- Lorsqu'on désire reproduire un modèle à un grand nombre d'exemplaires, 011 fait ordinairement un modèle métallique en régule ou en bronze.
- MODELEUR. — Spécialiste qui fabrique, d’après des dessins cotés, des modèles en bois ou en métal qui servent au fondeur à établir les pièces de fonderie.
- MODELEURS-MÉCANICIENS Uv-
- socialion Générale des), i/|,rue des Prairies, Paris.
- MODÉRATEURS. — Nom quelquefois donné aux régulateurs de vitesse des moteurs à vapeur, à gaz. ou hydrauliques. Ce terme est. peu précis, car le rôle des régulateurs est double puisqu’ils agissent, aussi comme accélérateurs lorsque la machine ralentit. —Voir lléyululeurs.
- MODERN-GARAGE, commerce d’automobiles, rue Ballorc, à Vichy (Allier).
- MODERN-GARAGE, commerce d’automobiles, k5, cours Tourny, à Bordeaux ((Ü-rondc).
- MODERN-GARAGE, commerce d’automobiles, 81, rue Blatin, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- MODERN-GARAGE , commerce d'automobiles, rue de la Pionnière, à Dinard (Ille-et-Vilaine).
- MODERN-GARAGE, 4, rue Croix-de-Marlire, à Nice (Alpes-Maritimes).
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- RECORD Con sommation
- BERLIET
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- MODERNE (Le), journal industriel et sportif, à Montrottier (Rhône).
- MŒBIUS (IL) et Fils, huile « Autol » pour moteurs, à Bâle (Suisse). — Voir Barthélemy et Cw, à Neuilly-sur-Seine.
- MOENUS (Société' A nonyme des Usines), •construction de machines pour le travail du cuir chromé, à Francfort-sur-lc-Mein (Allemagne). Tel. 565G. Adr. tel. Moenus-Frauc-fortmein.
- MOERMAN, commerce d'automobiles, garage, 9O, rue de Livourne, à Bruxelles (Belgique). Tel. 4G87.
- MOFFETT VEHICLE BE ARING C°,
- essieux à rouleaux et à billes, à Saginaw, Michigan (Etats-Unis).
- MOIS SCIENTIFIQUE et INDUSTRIEL (Le), revue. 8, rue Nouvelle, Paris.
- MOISSON, ingénieur, inventeur du carburateur Sthenos. — Voir Rogers.
- MOLÉCULE. — La plus petite quantité de matière qui puisse exister à l'état libre.
- MOLETÉ. — U 11e pièce est dite molelée quand elle a été passée à la molette à graver afin d’être pourvue d'aspérités régulières qui permettent à la main de faire un effort sur elle sans glisser.
- MOLETTE. — Petite roue A (fig. 1) en acier trempé qui est quelquefois montée à l’extrémité d’une lige (commande de soupape, etc.) et. qui reçoit la poussée du bossage d'une came, poussée qui a pour résultat de faire
- Kig. 1
- A, molette. — G, came. G, guide. — R, ressort.
- M
- fig. 2
- B, inolelle à graver. M, manche en bois.
- reculer à chaque fois cette tige, ramenée ensuite à sa place au moyen d'un ressort de rappel, en provoquant ainsi, par exemple, l'ouverture d’une soupape. — On lui donne ordinairement le nom de galet.
- On appelle molette à graver (fig. 2) une petite roue d’acier fortement trempée qui porte des filets, des cannelures, etc., tracés en creux sur sa périphérie et au moyen de laquelle on fait très rapidement au tour les
- filets, etc., que doivent porter des pièces en métal plus tendre, cuivre, bronze, etc., tels écrous, chapeaux, etc., moletés.
- MOLINE AUTOMOBILE COMPANY, construction d’automobiles, à East-Molinc (Illinois), Etats-Unis ; et 133 West, 38 th. Street, à New-York (Etats-Unis).
- MOLLE et Cic, garage, commerce d’automobiles, place Bayard, à Toulouse (Hautc-(iaronno).
- MOLLIER, construction d'automobiles, 209, avenue de Neuilly, .à Neuilly-sur-Seine ( Seine). Tél. 3/|—.
- MOLON (Léon), ‘‘ Grand garage de la Bourse ", commerce d’automobiles, in8 et 109, rue Victor-Hugo, le Havre (Seine-Inférieure). Tél. i-55. Adr. tél. Molonuulo-Uavrc.
- MOLZ (Etablissements), fonderie de cuivre, i4q, rue de Rennes, Paris. Tél. 707-/10.
- MOM, automobiles.— Voir Charotle, Paris.
- MONARCH, (Moteurs de marine). — Voir Gaédon (Joseph).
- MONARCH AUTOMOBILE C', construction d’automobiles, à Aurora (Illinois), Etats-Unis.
- MONARD (Alfred), (15, rue Michel-Ange, Paris.
- Tél. (18/,-45. —
- Né à Paris, le 1 7 novemb re 1869. Décoré du Mérite agricole.
- Ingénieur des Arts et Manufactures ; administrateur délégué et directeur de la Société l’Aster.
- A dininislratc u r de Y Auto. Ancien ingénieur de la maison Sauttcr-IIarlé.
- MONARQUE (La Marque), accessoires et pièces détachées, 11, rue La Boetic, Paris.
- MONCEAU (Omnium automobile), garage, 10O, rue Cardinet, Paris.
- MONCET et NAYROLLES, garage, commerce d'automobiles, 20, rue Racine, à Nantes (Loire-Inférieure). Tél. 91(1. Adr. tél. Grand-G a rage-Man tes.
- MONDELET, nickclage et polissage, 18, passage Raoul, Paris. Tél. 903-71.
- MONET, garage, commerce d'automobiles, quai du Nord, à Mâcon (Saône-et-Loire).
- MONIER (G.), cônes à friction, place Broca, à Sainle-Foy-la-Grande (Gironde).
- MONIER, SEITERT et POMME-RET, tubes en acier étirés, i j, rue Saint-
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- MONIN, (G.), fabrique de rivets, 88, rue do Vanves, Paris.
- MONIN et RINGUIER, changements de vitesse, 62 bis, Grande-Rue, à Boulogne-sur-Seine (Seine). Tel. 153.
- MONIOTTE Jeune, fonderie de fonte et d’acier, à Ronchamp (Haute-Saône).
- MONITEUR MARITIME ( Le), revue mensuelle, au Pccq (Seine-et-Oise). Directeur: II. Gharvet.
- MONITEUR MÉDICAL ET LA COTE AUTOMOBILE {réunis) (Le). — Transactions médicales et automobiles. — Drs G. Delacroix et R. Champly, 6, rue Saint-Florentin. Paris.
- MONJARDET (Georges), 21, rue de Richelieu, Paris. Tel. 299-02. — Né à Versailles, le 2 avril 18G7. — Créateur r et promoteur en France du sport le camping. — A fait de nombreux voyages en France et aux Colonies, et des ascensions multiples dans les Alpes et les Pyrénées, pour se rendre c 0 m p t e des besoins multiples des pratiquants de ce beau sport.
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- MONJARDET, carrosserie automobile, à Besançon (Doubs).
- MONMERQUÉ (Arthur), 8, rue du Parc, à Moudon (Seine-et-Oise). Tél. j5. Né à Paris, en i855. — Chevalier de la Légion d’honneur ; officier d’Académie. — Ingénieur en chef du contrôle des Compagnies de chemins do fer P.-L.-M., départementaux et Sud
- de la Franco. — Ancien élève de l'Ecole Polytechnique et de l’Ecole des Ponts et Chaussées.
- MONNERET, machines-outils et tours, à Albert (Somme); et 12, boulevard deDenain, Paris.
- MONNET et MOYNE, machines-outils, capots, 11,rue Torricelli, Paris. Tél. 5o8-G5.
- MONOCRIC (Le). — Voir Tourneur, Paris.
- MONOFILBIAIS (Le), ca rcasse de pneumatique. — Voir Nivet.
- MONOPOLE [Grai sse minérale). — Yo\r Slern-Sonnebron, Pantin.
- MONTAGE. — Act ion d'assembler les pièces détachées d’un appareil ou d’une machine quelconque. On désigne également par ce terme les pièces do bois ou do métal servant à maintenir dans sa position correcte la pièce en travail sur une machine-outil. L’importance des montages dans la pratique delà construction mécanique est considérable, notamment pour les pièces de forme compliquée (vilebrequins, cylindres, etc.).
- — Montage (de piles, d’accumulateurst. — Voir Quantité (en) et Tension (en).
- — Montage d'une voiture. — Opération qui consiste à ajuster une caisse et à la fixer sur son châssis.
- MONTANDON, aciers et ressorts, i5, rue Debcllcyme, Paris.
- MONTARIOL, membre de Y Association Générale Automobile,chargé de l’examen des candidats au certificat de conducteur, 8, place do la Concorde, Paris.
- MONTATAIRE (Forges et Fonderies de), aciers et fers, 16, rue Le Pelctier, Paris. Tel. 116-89. Adr. tél, Malaire-Paris.
- MONTAUBAN et M ARCHANDIER
- (Société Anonyme des Etablissements), moteurs « Vautour », 33, avenue Faidherbe, à St-Quentin (Aisne). Tel. 258. Adr. tél. Monlau-ban, Saint-Quentin. — Voir Tour and cl G'”, Suresnes.
- MONTAUT-MABILEAU, estampes, affiches, publicité par l’image, 8 !\, rue d’Amsterdam, Paris.
- MONTBARD ( Société Métallurgique de), tubes en acier sans soudure, soudure autogène, à Montbard (Côte-d'Or); et 11, place de la Madeleine, Paris. Tél. 228-52.
- MONTCHAL, représentant de la “ Moto-sacoche ”, 3q, via Vinccnzo Monti, à Milan (Italie).
- MONTÉE. — Expression impropre, employée à tort pour désigner une rampe. — Voir ce mot.
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- LA PERFECTION MÊME
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- MONTEFIORE (Compagnie, de), fonderie de bronze, à La Bidehe-Saml-Denis (Seine). Tel. 121 Saint-Denis.
- MONTEL et Cie, garage, commerce d’automobiles, 94, cours du l’rado, à Marseille I Bouches-du-Rhône).
- MONTET, garage, commerce d’automobiles, 4, nie Porte-Reine, à Chambéry (Savoie).
- MONTHERMÉ LAVAL-DIEU (Fonderies <le), fonderie de fer, 34, rue de Lan-cry, Paris.
- MONTPELLIER - AUTOMOBILE ,
- garage, commerce d’automobiles, 50, avenue de Toulouse, à Montpellier (Hérault). — Succursale : avenue de Pézenas, à Béziers (Hérault).
- MONTUPET et Ci0, fonderie d’aluminium, à Nogcnl-les-Vierges, près Creil(Oise).
- MOON MOTOR CAR C;, construction d'automobiles, Main Street, à Saint-Louis (Mo.) Etats-Unis.
- MOORE AUTOMOBILE C°, const ruction d’automobiles, 071, Kiflli avenue, à New-York (Etats-Unis).
- MORA (L.), moteurs et gazogènes, 27, rue des Récollets, Paris.
- MORAND, emballage d'automobiles, 4, impasse Rayon, Paris.
- MORANDUZZO et MOUGIN, garage, commerce d’automobiles, 10, quai des Bons-Enfants, à Epinal (Vosges).
- MORANE (Georges), 74, avenue Wa-
- ram, Paris. — Né à Paris, le 10 août 1874. —
- dministratcur délégué de la Dclahaye and C°, Ld, avec M. L. Desmarais.
- MORANE Aîné, machines-outils, machines à mouler, 10, rue du Banquier, Paris. Tél.8o3-i5et 81 o—U7. Adr. tél. Morane-Ainé-Paris.
- MORANE Jeune, presses hydrauliques, a3, rue Jenner, Paris. Tél. 8o3-oq. Adr. tél. Moran c-Jeune-Paris.
- MORDACHES. — En général, un étau, ou tout autre outil destiné a maintenir solidement par pression une pièce à travailler, a ses mords rayés pour empêcher celte pièce de glisser. Afin de ne pas abîmer cette dernière, surtout si elle est en métal tendre, 011 doit avoir soin de recouvrir les mords de nèees appelées mordachcs, qui sont généra-cment faites en plomb ou en cuivre, zinc, bois, voire même cuir ou liège. Les mordachcs en plomb sont ordinairement faites au moule. Dans tous les cas, ces pièces sont amovibles et peuvent être enlevées instantanément. — Voir Etau.
- MORDS ou MORS.—• Voir Mordaches.
- MOREAUX Aîné, fabrique de crics et de forges portatives, à Charlevillc (Ardennes).
- MOREAUX Fils, forges portatives, à Charlevillc (Ardennes) ; et 78, rue de l’Abbé-Groult, Paris.
- MOREL, mécanicien, 99, boulevard de Grenelle, Paris. Tél. 3711 —35.
- MOREL. carrosserie automobile, 26, rue Cambacérès, Paris. Tél. 15^-56.
- MOREL, carrosserie automobile, i53, boulevard National, à Clicliy (Seine).
- MOREL, caoutchouc manufacturé, Gi, passage du Havre, Paris. Tél. 113—13.
- MOREL Frères, pièces estampées et forgées pour automobiles, à Grand-Croix (Loire). Tél. 34 Saint-Chamond.
- MORELLE (A. et G.), motocyclettes, à Saint-Gobert (Aisne).
- MORET, fabrique de tubes en acier, 29, boulevard Voltaire, Paris.
- MOREUX et PERROT, radiateurs G. M. et capots, 20, rue Gravcl, à Levallois-Perrel (Seine).
- MORGAN and C°, Ltd, construction d’automobiles, 127, Long Acre (W. G.), à Londres (Angleterre).
- MORGAN and WRIGHT, fabrique de pneumatiques, à Chicago (Etats-Unis) ; et 2j4 W. 4^ lh. Street, à New-York.
- MORGON, garage, commerce d’automobiles, rue du Bastion, à Bourg (Ain).
- MORIEU (E.), dessinateur-graveur, i4», boulevard Raspail, Paris. Tél. 704-7.5.
- MORIN (Ed.-Ch.), successeur de Scluve-rund, réservoirs, pompes, valves de pneumatiques, graisseurs, 48, rue de l’Aqueduc, Paris. Tél. 34G-97. Adr. tél. Sclavalve-Paris.
- MORIN, construction d’instruments de précision, 11, rue Dulong, Paris.
- MORIN (J.), bois cintrés pour carrosserie, à Mohon (Ardennes).
- MORIN (K.), papiers d'emballage, 74, rue de la Verrerie, Paris. Tél. 128-07,
- MORISONS REVIEW, journal mensuel des Locomotions nouvelles, 109, rue Dambruggc, à Anvers (Belgique). Adr. tél. Morisons-Anvers.
- MORISSE Frères , construction d’automobiles, 2, boulevard Saint-Michel, à Etam-pes (S.-ct-Oise). Tél. 5i. Adr. tél. Morisse-E lampes.
- MORISSON et Ci0, commerce d’automobiles, 47, rue des Acacias, Paris.
- MORISSON BATTERY, accumulateurs, 1355, Railway Exchange Building, à Chicago (Illinois), Etats-Unis.
- MORLET, carrosserie automobile, à La-gnv (Seinc-et-Marnc).
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- MORROW, moyeu. J. II. B. — Voir Bennet (J.-II.), Paris.
- MORS (Emile), it\, boulevard Emile-Aubier, Paris. — Né à Paris, en i85g. Chevalier de la Légion d'honrour ; officier d’A-
- cadémie, chevalier du Mérite agricole. — Directeur technique de la Société d'automobiles Mors; vice-président de la Chambre syndicale de l'Automobile. — Ingénieur des Arts et Manufactures; construisit des voitures à vapeur en 1885, puis des voitures à essence. Les automobiles sorties en i8g(i de la Maison Mors lurent les premières voitures munies de l’allumage à rupture. Un des fondateurs de notre industrie.
- M. Kmii.u Mous.
- MORS (Société Anonyme d'Electricité et d'Automobiles), construction d’automobiles, 48, rue du Théâtre, Paris. Tel. 7io-43 et 710-64. Adr. tel. Automors-Paris. Société anonyme fondée en 1898, au capital de 4 millions de francs. — Président du Conseil d’administration : M. P. Ilaarbleichcr ; directeur général : M. Lapointe; directeur technique : M. E. Mors; directeur commercial : M. L. Haar-bleicher; directeur administratif : M. Ch. Schmitt.
- Constructeurs de voitures automobiles, de camions, d’omnibus et de canots automobiles, de 12 à 5o chevaux-vapeur; d’appareils relatifs à l’électricité, signaux de chemins de fer, téléphones, dynamos, etc. — Les voitures de cette maison gagnèrent, successivement les grandes courses de Paris-Toulouse (igoo), Paris-Bordeaux et Paris-Berlin (1901), Paris-Madrid (1903), se classèrent, dans les Eliminatoires (1904). La Maison Mors a renoncé à courir, pour se consacrer spécialement aux voitures de tourisme et aux véhicules industriels.
- Caractéristiques des châssis Mors pour l'année 1907 :
- Moteurs
- 10 chevaux i5 chevaux 17 chevaux 28 chevaux 45 chevaux 5o chevaux Camions 1 28 chevaux
- ou Omnibus | 17 chevaux
- Cylindres Alésage Course
- 4 75 9°
- 4 85. 100
- 4 87 125
- 4 108 i5o
- 4 125 i5o
- « 110 15o
- 4
- 4
- Carburateur automatique ; allumage par rupture par magnéto “Mors” à basse tension ou par bougies à haute tension. Châssis tôle emboutie. Embrayage cône à friction, ou métallique. Changements do vitesse par deux ou trois trains balladeurs, etc.
- Prix des châssis : 10 IIP à cardan : 8 5oo francs ; i5 IIP, à cardan : 11 5oo francs; 17 IIP, à chaînes : i3ooo francs; 28 IIP, à chaînes : 18000 francs; 43 HP, àchaînes : 2.5 000 francs ; et 5o MP, 6 cylindres, à chaînes : 3o 000 francs.
- Principaux Agents de la Société Mors
- Départements.— A bbcville (Somme) : Mouf-llard, automobiles. — Agen (Lot-et-Garonne) : Court, boulevard Carnot. — Alençon (Orne) : Saunier, place de la Pyramide. — Angers (Maine-et-Loire) : Maisongrande, Guerrier et Gi0, 5, avenue des Contades. — Audi (Gers) : Gazes, 5q, boulevard Sadi-Carnot.—Auxerre (Yonne) : Savory, 13, rue de l’Arquebuse. — Béziers (Hérault) ; Fournier, 5o, avenue de Pczenas. — Biarritz (Basses-Pyrénées) : Lcvavassour, 11, avenue de la Négresse. — Bordeaux (Gironde) : Garccau, ifi, place Fon-daudege. — Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais): Sergent, i4, rue Victor-Hugo. — Bourges (Cher) : Auroir, carrossier. — Caen (Calvados) : Vasseur, 6, rue Singer. — Cannes (Alpes-Maritimes) : Ortelli, boulevard Carnot.
- — Chalon-sur-Saône ( Saône-et-Loire ) : Guilloux, 9, rue de la Banque. — Charleville (Ardennes) : Froussart, 34, avenue Nationale.
- — Chartres (Eure-et-Loir) : Auto-Garage Marceau, 11, place Pasteur. —• Chàteauroux (Indre) : Jablin, 9, avenue do la Gare. — Dieppe (Seine-Inférieure) : Meyer, place du Casino. — Elbcuf (Seine-Inférieure) : Mottin, 4o, cours Carnot. — Evrevx (Eure) : liée, 55, rue Joséphine. — Figeac (Lot) : Lagarde, automobiles. — Fontainebleau (Seine-et-Marne) : Pontillon, a3, place. Denecourt.—- La Palisse (Allier) : Barnpit, automobiles. — Le Havre (Seine-Inférieure) : Molon, 159, rue Victor-Hugo. — Le Ma?is (Sarthe) : Dela-rocho, 72, avenue Thiers. — Lille (Nord) : Cordier, 3(i, rue de I’IIôpit.al—Militaire. •—• Limoges (Haute-Vienne) : Central Garage, 6, boulevard de Fleurus. — Lyon (Rhône) ; Collomb, 5, rue Vendôme. — Mâcon (Saône-et-Loire) : Fcrrcl, 1 bis, rue de Saône. — Marseille (Bouches-du-Rhône) : Mourgues, 4, place Castcllanc. — Montpellier (Hérault): Caraman, 8, rue de l’Observatoire. — Nice (Alpes-Maritimes) : Mrozowicki, 2, rue Croix-de-Marbro. — Orléans (Loiret) : France, Faubourg Banier. — Pau (Basses-Pyrénées) : Pommés, 17, rue de Lespy.— Reims (Marne) : Porté, 268, avenue de Laon.— Rouen (Seine-Inférieure) : Ménager, 20, rue des Charrettes.
- — Soissons (Aisne) : Renée, 6, place de la République. — Tarbes (Hautes-Pyrénées) : Lalitole, automobiles. — Toulon (Var) : Hamel, 7, boulevard Bazeilles. — Tourcoing (Nord) : Devouge, 353, boulevard Gambetta.
- Voitures MORS, 48, rue du Théâtre - PARIS
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- — Tours (Indre-et-Loire) : Villeneuve, 3, avenue de Grammont. — Trouville' (Calvados) : Bedel, automobiles. — Trouville (Calvados) : Chéringou, 88, rue des Bains. — Troyes (Aube): Coulant, 4, Faubourg Concrets. — Valence (Drôme) : Bouvier, carrossier. — Verdun (Meuse) : Gucnser, 5o, rue Mazel. — Vcrnon (Eure) : Mâché et Iloschédé, io5, route de Paris. — Vichy (Allier) : Ilcnnocque, 12, rue de Ballore.
- Éthangeu. — Bruxelles ^Belgique) : Ma-hieu, h, boulevard du Régent. — Londres (Angleterre) : Mors, limited, 55, Shaflesbury avenue. — Mulhouse (Alsace-Lorraine) : llalfinger et Hartmann.
- MORS (Spécialité de Voilures). — Voir Paris-Automobile, 5o, rue d’Anjou, Paris.
- MORS, Ltd, commerce d’automobiles, 55, Shaflcsbury avenue, Piccadilly Circus, à Londres | Angleterre).
- MORS AUTOMOBILE C°, commerce d’automobiles, n° 41 NVest 55 th. Street, à New-York (Etats-Unis).
- MORTAGNE (Clovis), ressorts, 4, rue du Font-aux-Choux, Paris.
- MORTAISE.
- Mortaise
- ioi, avenue Ggq-ôo. Né à P
- — Entaille pratiquée dans une pièce, de façon qu'elle puisse recevoir une partie saillante ou tenon d’une autre pièce. La réunion de la mortaise et du tenon forme un assemblage, qu’on termine en brasant, en goupillant ou en rivant.
- MORTIMER-MÉGRET (Comte Henry-Charles), Henri-Martin, Paris, Tel.
- 7 mars 1870. — Ancien officier.— Homme de lettres ; auteur du Manuel de Dion-Bouton, des Voilures d’occasion ; directeur de la Pratique automobile vulgarisée.
- MORTREUIL
- garage, commerce d’automobiles, 18, rue des Tisons, t\ Alençon (Orne).
- MORVAN
- Comte Moutimeiv-Mkguet ( Association
- touriste dit). Siège social : à Aulun (Saône-et-Loire).
- MORZE (Léopold), 8, rue Martinière, à Lyon (Rhône). Tél. 34-70. — Né à Aubcnas, le 27 septembre 1882. — Concessionnaire à Lyon dos voitures Collereau.
- MOSELEY (David) and Sons, construction de pneumatiques, Ardwick, Manchester (Angleterre).
- MOSES EADON Sons, aciers “Vingo”, à Sheflield (Angleterre) ; et .87, avenue de la République, Paris. Tél. g35-33.
- MOTEURINE, essence spéciale pour automobiles. — Baffinerie Paul Paix et G1', à Douai (Nord).
- MOTEURS (en général). — On appcllo moteur en général tout appareil transformateur d’énergie, fournissant de l’énergie mécanique en absorbant de l’énergie calorifique, électrique ou môme mécanique. O11 peut classer les moteurs, d’après le mode de transformation do l’énergie : en moteurs animés, en moteurs ou récepteurs hydrauliques, en moteurs, thermiques et en moteurs électriques.
- Les moteurs animés sont l’homme et les animaux.
- Les moteurs ou récepteurs hydrauliques comprennent les roues et les turbines. Ils ont une grande importance dans les régions pourvues de chutes d’eau où ils se prêtent tout particulièrement à la production économique do l’énergie électrique, l’agent le plus souple de distribution à distance de l’énergie. Ils comprennent les roues et les turbines. — Voir Turbines.
- Les moteurs thermiques sont, dans l’état actuel de l’industrie, les plus importants do tous. Ils comprennent les moteurs à vapeur, les moteurs à combustion intérieure (gaz, pétrole, alcool, etc.) et les moteurs à air chaud.
- Les moteurs à air comprimé sont classés à part.
- Les moteurs électriques ou électromolcurs transforment l’énergie électrique en énergie mécanique. Leur importance est chaque jour grandie par le développement de la traction électrique et les transports d’énergie à distance, notamment dans les ateliers et chantiers.
- — Moteurs à deux temps et à quatre temps. — Cos moteurs modernes à combustion intérieure fonctionnent tous avec une compression préalable du mélange. Ils 11e diffèrent au point do vue théorique que par le fait que les uns n’exigent que deux temps, c’est-à-dire deux courses du piston pour parcourir un cycle complet, tandis que les autres exigent quatre temps, c’est-à-dire quatre courses ou deux tours de l’arbro.
- Dans les premiers, une pompe accolée au cylindre moteur refoule dans ce dernier le mélange comprimé, et le fonctionnement s’opère comme suit: à la fin du ior temps (temps moteur), le piston découvre des orifices d’échap-poment, et les gaz brûlés sont expulsés au
- Moteurs au Çaz de Ville, au Çaz pauvre - gazogènes H & perre1aud
- PARIS — d, Avenue de la République — PARIS
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- dehors. Au début de la course de retour (a6 temps), les gaz frais sont ^foulés dans le cylindre et balayent les gaz brûlés jusqu'à ce que le piston ait recouvert les orifices d’échappement. Quelquefois, et mieux, le balayage est produit par un courant d’air atmosphérique (moteur Lepapc, par exemple). A partir de ce moment, la compression s'opère jusqu’à l'allumage qui précède le point mort, et l’explosion se produit, chassant le piston qui exécute le premier temps d’un nouveau cycle.
- Dans les seconds, le piston moteur aspire au premier temps le mélange combustible
- A'ous donnons ici la coupe d'un moteur à deux temps Lepape, qui a son cylindre et sa pompe parallèles et dans le même plan. Ce dispositif forme un élément d’un moteur à plusieurs cylindres parfaitement équilibré.
- — Moteurs à alcool. — Moteurs à combustion intérieure alimentés d’un mélange combustible d'air et de vapeurs d'alcool. Ils ne diffèrent pas sensiblement, en tant que construction, des moteurs ordinaires à essence (voir Moteurs à essence). 11 paraît toutefois plus avantageux d'allonger la course du piston relativement à l’alésage et d'augmenter
- pris à la pression extérieure. 11 en effectue la compression au deuxième temps, et, l’allumage se faisant un peu avant le point mort, la détente a lieu durant le troisième temps (temps moteur). L’échappement a lieu pendant le quatrième, durant lequel le piston refoule au dehors les gaz brûlés ; et le cycle recommence. Ce cycle, qui est le cycle à quatre temps, est dit aussi « cycle de Dean de Rochas », du nom de son inventeur.
- — Parmi les moteurs à explosions qui semblent appelés au meilleur avenir, on peut signaler le moteur Boudreaux-Verdet qui reçoit deux explosions sur un même piston. Ce moteur, à 4 cylindres, 2 pistons, 8 ehamTires d’explosion, 8 infiammatcurs, fonctionne avec moitié moins d’organes moteurs qu’un /(-cylindres ordinaire (voir Omnia). Sur le « Nautilus Jacqueline », un moteur Boudreaux-Verdet de 25 chevaux a donne une vitesse moyenne de a9 kilomètres à l’heure (record du monde).
- le taux de la compression, la détente de l'alcool étant plus longue que celle de l'essence, grâce sans doute à la vapeur d’eau contenue dans le mélange.
- Les moteurs à alcool nécessitent un carburateur spécial à réchauffage énergique en raison de la faible tension de vapeur de l’alcool à la température ordinaire. Lorsque ces carburateurs sont chauffés par les gaz d’échappement, ce qui arrive le plus souvent, la mise en marche est assez pénible cl nécessite le réchauffage préalable du carburateur au moyen d'un tampon d'amiante imbibé d’alcool enflammé.
- Certains appareils comportent une mise en marche à l'essence après laquelle on passe à l'alcool lorsque le moteur est chaud. La solution n’est pas très élégante et a le grave défaut d'exiger de l'essence, liquide proscrit à cause de son danger pour certaines applications spéciales, notamment à la marine. Les
- Automobiles RENAULT FRERES
- Billancourt
- (Seine)
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- carburateurs permettant le départ à d'alcool sont évidemment plus avantageux. Les plus parfaits doivent fonctionner sans récliaufï'age exagéré de l'air admis, ce qui diminue le poids
- Moteur a deux temps Boudreaux-Yerdet (Court;).
- A, partie du vilebrequin solidaire do F. — B G, parties du vilebrequin solidaires de K. — 1), tête de biolle. — K F, pistons. — 11, cylindre supérieur. = 1, cylindre intérieur.
- de la cylindrée et par suite la puissance spécifique du moteur. — Voir Sa Majesté l'Alcool> par B. de S.
- — Moteurs à essence. — Moteurs à combustion intérieure, où l'on utilise l’énergie calorifique contenue dans de l’air chargé a froid de vapeurs d'essence de pétrole (</ —o,G8o à 0,710). Les moteurs usuels sont presque tous à quatre temps et sont appliqués aux automobiles.
- Presque tous ces moteurs comportent des soupapes d'admission commandées mécaniquement. Les soupapes d'admission sont le plus souvent placées symétriquement aux soupapes d’échappement et commandées par un arbre à came spécial actionnant aussi le mécanisme d'allumage. La commande de l’admission permet un ronctionnement plus précis du moteur en produisant l’ouverture et la fermeture de la soupape exactement au point voulu, alors ([ue la soupape automatique s'affole par inertie et crée des retards et des remous. En outre, la soupape commandée 11e se colle pas et augmente la densité de la cylindrée, et, par suite, la puissance du moteur. Elle se prête aux petites allures et améliore surtout le fontionnement à grande vitesse. Enfin, elle débarrasse le moteur du reniflement désagréable des soupapes d'admission quand le moteur est ralenti.
- — Moteurs à naphtaline. — Moteurs à explosions dans lesquels on opère la mise en
- route au moyen d'essence, et qu'011 alimente ensuite des vapeurs de naphtaline produites dans un vase chauffe par l’échappement où tombent régulièrement des boulettes de ce corps.
- — Moteurs à pétrole. — Moteurs à combustion intérieure, où l’on utilise l’énergie calorifique contenue dans de l’air chargé de vapeurs de pétrole. Le pétrole généralement employé est le pétrole lampant (cl = 0,800).
- Au point de vue mécanique, les moteurs à pétrole diffèrent peu de leurs congénères à gaz ou à essence, et sont pour ainsi dire toujours à quatre temps. Le pétrole, ayant à la température ordinaire une tension de vapeur presque nulle, doit être vaporisé pour se mélanger avec l’air. Le pétrole est injecté par une pompe dans un vaporisateur chauffé au début par un brûleur et en marche par l'échappement, ou pulvérisé dans un injecteur traversé par de l’air chaud. Certains carburateurs modernes sont étudiés pour permettre le ronctionnement d’un moteur indistinctement avec tel ou tel liquide. Ils ont presque toujours pour inconvénient de réduire la valeur de la
- Moteur a deux temps Lepape (Coupe).
- A, cylindre moteur.— B, cylindre pompe — G, piston moteur. — 1), piston de pompe. — E, aspiration d’air. — F, refoulement de l’air au cylindre moteur. — G, tuyau de communication d’ai»- refoulé par la pompe au cylindre.— II, entrée de l’air au cylindre moteur. — 1, échappement des goz brûles. -— MM’, plaques de direction d’air frais venues <lc fonte sur le piston.
- cylindrée par le chauffage exagéré de l’air ou par la forte dépression parfois volontairement utilisée à produire l’évaporation du liquide à basse température.
- MlilMligLROCHET-SCHNEIDERjiMi
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- — Moteurs à vapeur — Moteurs thermiques produisant du travail en dépensant de la chaleur par l'intermédiaire de la vapeur d'eau. Malgré la concurrence formidable des moteurs à gaz et la supériorité économique de ces derniers dans nombre de cas, la machine à vapeur est le moteur le plus répandu pour les applications industrielles. Les applications où son avenir ne semble pas devoir être de sitôt menacé sont notamment les chemins de fer et la navigation, du moins en ce qui concerne les navires de grandes dimensions.
- Une machine à vapeur comprend essentiellement un générateur de vapeur ou chaudière, et un moteur où la force élastique de cette vapeur est utilisée pour produire le mouvement.
- Les générateurs ou chaudières dans lesquels on produit et emmagasine de la vapeur sous pression, au moyen de combustibles divers, se présentent sous un grand nombre, de formes. Les types les plus connus, et sur la description desquels nous ne pouvons insister, sont les types à bouilleurs avec ou sans faisceau tubulaire, à foyer et carneau intérieur (type Cornouailles, Lancashire), tubulaires et multitubulaires. Ces dernières sont des chaudières à tubes d'eau très répandus dans la grande industrie. Les types les plus répandus sont ceux de Bellevillc, Niclausse, Babcock et Vilcok, etc. On les emploie également dans la marine en raison de leur grande puissance spécifique et de leur grande rapidité de mise en pression.
- Les moteurs rotatifs à piston n'ont jamais pu se développer comme auraient pu le faire supposer 1ers avantages théoriques ; et cela surtout en raison des fuites impossibles à éviter avec un piston tournant, en forme de palette. Par contre, la turbine semble devoir etre le moteur de l’avenir tant par son économie que par sa régularité extraordinaire et aussi son faible poids.
- \ Les moteurs à vapeur à piston se composent essentiellement d'un cylindre où se déplace un [liston relié à l'arbre-manivelle par l'intermédiaire d’une tige et d'une bielle, ou ^directement par une bielle si le moteur est à simple effet comme un moteur à gaz.
- Dans les moteurs à double ell’et, infiniment plus répandus, la vapeur agit alternativement sur chaque face du piston, pendant que la face opposée est en communication avec l’échappement.
- — Moteurs électriques — On les divise en moteurs à courant continu et en moteurs à courant alternatif ou alternomoteurs.
- Les premiers ne sont autre chose qu'une dynamo (voir ce terme) à laquelle on fournit du courant pour recueillir l'énergie mécanique. On sait, en effet, que les dynamos sont réversibles.
- Le rendement d'une dynamo comme moteur étant sensiblement égal à son rendement comme génératrice, la puissance mécanique
- que l'on pourra recueillir sur l'arbre égale o,8o à o,q5 de la puissance électrique fournie aux bornes. — L’enroulement des moteurs varie suivant leurs applications.
- L’excitation indépendante peut être employée avec avantage dans les moteurs d'automobiles ou de tramways. Elle permet de récupérer en descente ou do freiner par le moteur sans inverser les connexions.
- L’excitation série est employée lorsqu'on n'a pas besoin d'une grande régularité et qu'il est nécessaire d'exercer un grand clfort aux démarrages (tramways, appareils de levage, etc.). Le sens de rotation d'une machine série est inverse de celui dans lequel elle tourne comme génératrice. Pour la faire tourner dans le même sens, il faut inverser les connexions de l'inducteur.
- L'excitation shunt est employée pour les moteurs à vitesse constante alimentés à potentiel constant. Le couple est nul au démarrage, ce qui est un inconvénient. La machine tourne dans le même sens comme moteur ou comme génératrice et jouit des mômes propriétés que l'excitation indépendante pour la récupération.
- L’excitation compound participe des propriétés des deux précédentes, dans le cas où es enroulements sont concordants.La vitesse est absolument constante avec l’enroulement différentiel, où les spires shunt sont prépondérantes, et la mise en marche automatique si l'effort résistant n’est pas t rop considérable. Des précautions spéciales sont nécessaires pour la mise en marche en raison de ce que l’enroulement série est, seul excité, ce qui fait tourner la machine à l'envers et la fait quelquefois osciller.
- — Moteurs longs, carrés, courts. -On appelle moteurs longs les moteurs à cylindres et pistons dont la course est supérieure à l'alésage ; moteurs carrés les moteurs dont la course est égale à l'alésage ; moteurs courts, les moteurs dont la course est inférieure à l'alésage. — Voir Puissance des moteurs.
- D'après un intéressant travail de M. Gérard Lavcrgne, les dimensions relatives de l’alésage et de la course dans les principaux moteurs d’automobiles (fin 1906) se divisaient en :
- 84 0/0 moteurs longs ;
- 22 0/0 moteurs carrés ;
- if\ 0/0 moteurs courts.
- -- Les moteurs à pétrole, à gaz, à air chaud, a air comprimé, fabriqués à l'étranger, subissent, à leur entrée en France, un droit de douane de 12 francs (tarif minimum) ou de 18 francs (tarif maximum) par 100 kilogrammes, lorsqu'ils pèsent plus de 200 kilogrammes ; ils paient un droit de douane de 20 fr. (tarif minimum) ou 3o francs (tarif maximum) lorsqu'ils pèsent moins de 200 kilogrammes.
- Moteurs pour industrie :
- — Adkii (Société des Automobiles), 4° 1er, avenue de Suffren. Paris.
- | Moteurs
- 4 Cylindres 6 Cylindres
- ROSSE L
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- •— Benz et G10, à Mannheim (Allemagne).
- — Berliist, 12, chemin des Quakrc-Mai-sons, à Lyon (Rhône).
- — Boudreaux-Verdet, 8, rue Ilautefeuillo, Paris.
- — Buire (Société de la), 8, rue Victor-Hugo, Lyon (Rhône'i.
- — Charron, Ltd, moteur à l\ cylindres en un seul bloc, r), rue Ampère, à Puteaux (Seine).
- •— Clément-Bayard, quai Michelet, à Le-vallois-Pcrret (Seine).
- — Clément-Gladiator, au Pré-St-Gcrvais (Seine).
- — Cotti.\ et Desgouttes, place du Bachot, à Lyon (Rhône).
- — Delaunay Bklleyillk (Automobiles), ;i Saint-Denis (Seine).
- — De Diétricii (Société' des Etablissements), 12, avenue de Madrid, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — De Dion-Bouton cl Gi0, 3G, quai National, à Puteaux (Seine).
- — Diesel (Moteurs). — Voir Cycle Diesel.
- —• Espeuia (Sociclà Lombarda), à Bergamo
- (Italie).
- — Eudelin , 3a bis, rue Dcsrcuaudes, Paris.
- — Geumai.n (Ateliers), à Monceau-sur-Sai libre, par Marchicnne - au - l’ont (Belgique).
- — Glaf.nzer et Perreaun, moteurs fixes, i , avenue de la République, Paris.
- -- Grégoire (Automobiles), 55, boulevard Devaux, à Poissy (Seine-el-Oise).
- IIotcukiss (Etablissements) et Glc, alibis, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- — Kiuéueu (Compagnie), /|5, boulevard Ibmssmann, Paris (moteurs électriques).
- •— Martinet Letiumonieu, 3:i, rue Félicien-David, Paris.
- — Métallurgique (La), à Marcbienne-au-Pont, ]irès Gbarleroi (Belgique).
- — Mieusset (Etablissements), 102, roule d’ileyricu, à Lyon (Rhône).
- — - Mors (Société des Automobiles), /|8, rue du Théâtre, Paris.
- - Pantz (Ch.), à Pont-à-Mousson (Meurthe-et-Moselle).
- — Panhard et Levassor (Société des Anciens Etablissements), 19, avenue d’ivry, Paris.
- — Pkugeot-Groizat (Sociclà), Tesoricra, à Turin (Italie).
- — Radia (Société). 12, rue Barbés, Leval-lois-l’errct (Seine).
- — Rossel et G1'', à Sochaux-Monlbéliard (Doubs).
- —- Rogers et Cic, 1, rue Saint-Georges, Paris.
- — Standard (Fabbrica Automobili), 20, corso Siccardi, Turin (Italie'.
- — Umc(Automobiles), 108, rue Saint-Maur, Paris.
- — Züst (Rouerto), /)o, via Borgognone, à Milan (Italie).
- Moteurs spéciaux pour canots :
- — Ariès, 3q, quai d’Argcnteuil, Ville-neuvc-la-Garcnne (Seine).
- — Renault Frères, i3q, rue du Poinl-du-Jour, à Billancourt.
- — Roguet et Schneider (Société Lyonnaise), 07, chemin Feuillat, à Lyon (Rhône).
- Moteurs à vapeur :
- — Serpoli.et (Darracq-), 9, rue Stendhal, Paris.
- MOTEURS ARDENNAIS, boulevard des Deux-Villes, à Gharlcvillc (Ardennes).
- MOTEURS et MACHINES (Fabrique (le), moteurs cl motocyclettes, à Romaimno-tier (Suisse).
- MOTOBENJOLINE. — Cayeux, fabricant.
- MOTOBLOG (Société Anonyme des Automobiles), 102, rue des Vivants, à Bor-deaux-La-Baslide (Gironde). Tel. 2.555. Adr. tél. Molobloc-Bordeaux. — Succursale : 8, rue Lafayclte, Paris. — Société Anonyme fondée le 19 avril 1902, au capital de G5o 000 lr. Directeur : M. Al. Durasse ; directeur technique : M. Em. Dombrel. — Voitures automobiles et moteurs de canots.
- — Auto-Stand, spécialité de voitures Mo-tobloc, 20, rue Durci, Paris.
- MOTO-CAR, garage, commerce d’automobiles, Go, rue de la Paix, à Nice (Alpes-Maritimes).
- MOTO-CLUB DE BELGIQUE (Ga-raye du), commerce d’automobiles, 11, boulevard du Régent, à Bruxelles (Belgique). Tél. GoG-.
- MOTOCYCLE. — Instrument cycliste, à deux, trois ou quatre roues, qui est actionné par un moteur. U11 molocycle peut ctre mis en marche soit au moyen de pédales, soit au moyen d’une manivelle ; il comporte ordinairement deux places, quelquefois une seule, ou trois. — Quelques personnes voient- dans le tricycle à moteur le type du inotocycle. — Voir Motocyclette.
- — Loisel (L’Intermédiaire), 17, rue M011-signy, Paris.
- MOTOCYCLE (Le), revue mensuelle, organe officiel du Molocycle Club de F rance, 5G, rue l’ergolèse, Paris.
- MOTOCYCLE CLUB DE FRANCE.
- 5G, rue l’ergolèse, Paris. Ce club édite un bulletin mensuel : Le Molocycle.
- MOTOCYCLETTE. — Instrument cycliste, à deux roues, qui est actionné par un moteur et est ordinairement muni de pédales.
- Le moteur entraîne la roue arrière au moyen d’une courroie (parfois au moyen d'une chaîne ou d’un arbre à cardans). <
- AUTOMOBILES A RIES
- 39, quai d’Argenteuil, 39
- VII LENEUVE-LA-GARENME
- par i’Isle Saint-Denis (Seine).
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- MM. Dul'aux, de Genève, ont installé tout l'appareil do propulsion de la motocyclette dans le cadre moine de la machine, comme dans une grande sacoche. D'où le nom de Molosacoche sous lequel est connue du monde entier celle petite automobile.
- La puissance des moteurs, qui sont ordinai-
- MOTOGODILLE. —Voir Troucheet Ci0, Paris.
- MOTOLÉINE, huile minérale. — Voir Guyenol (b.), Paris.
- MOTOLINE, alcool dénaturé. — Voir/ prêtre et Cic, à Montrouge.
- MoiOCYGLllfTE U PEUGEOT pRERES », ’JYRE ]()0~.
- renient à un cylindre, quelquefois à deux, voire meme à quatre, varie cuire 1 cheval 1 7| et 5 chevaux.
- Motocyclettes :
- — Ducaux et G1*, route des Acacias, Genève (Suisse).
- —• F hua n (Ateliers du), !\, rue Barrouin, à Saint-Etienne (Loire).
- — L'Intermédiaire, 17, rue Monsigny, Paris. — Motosacocue (La). — Du faux Frères et G’1*, rue des Acacias, à Genève (Suisse).
- — Peugeot Ehèhes (Les Fils de), à Yalcn-ligncy (Doubs).
- — Terrot et C1", à Dijon (Côte-d'Or).
- MOTOCYCLETTE (La),-revue, organe de l'Autocycle Club de France, 2, avenue Victoria, Paris.
- MOTOCYCLETTE ILLUSTRÉE
- (La), revue scientifique illustrée, 22, rue d’Angleterre, à Bruxelles (Belgique).
- MOTO-GARAGE DE LA GARE,
- commerce d'automobiles et de motocyclettes, boulevard du Quatre-Septembre, à Voiron (Isère).
- MOTONAPHTA, essence minérale. — Voir Deutsch (Les Fils de A.).
- MOTOR, journal d’automobile, 1789, Broadway, à New-York (Etats-Unis).
- MOTOR (The), journal d'automobile, hebdomadaire, 7, Rosebery Avenue, à Londres (Angleterre). — Directeur: M. Ed. Dangcr-lielu. — Rédacteurs : MM. Waller Groves et George F. Sharp. — Agents à Paris: MM. Smith et Cu, 2/jX, rue de Rivoli. — Rédacteur à Paris : M. W. Bradley, 38, avenue de Sufl’rcn.
- MOTOR, pneumatiques. — Voir Obersprce Gummiwerk (Allemagne).
- MOTOR AGE, revue d'automobile, i3o3, Michigan avenue, à Chicago (Etats-Unis).
- MOTOR BOAT (The), revue hebdomadaire, consacrée aux canots automobiles, 7, Roseberry avenue, à Londres (Angleterre). — Directeur: M. Ed. Dangerficld. — Rédacteur en chef : M. R. Markham.
- MOTORBOOT (Das), journal, 89, Lüt-/.owstrasse, Deutscbcs Kolonialbaus, à Berlin W. 35 (Allemagne).
- flVIOTO-NAPHTA L‘
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- — 490 —
- MOTORCAR C°, construction d'automobiles, 226, Twenty-First Street, à “Détroit (Michigan), Etats-Unis.
- MOTOR CAR C°, Ltd, construction d'automobiles, 168, Shaftesbury avenue, à Londres (Angleterre).
- MOTOR CAR EMPORIUM,Ltd (The), automobiles, Addison Road, Nortli, Londres (Angleterre).
- MOTOR CAR EQUIPMENT C°, accessoires pour automobiles, 55, Warren Street, à New-York (Etats-Unis).
- MOTOR CAR JOURNAL, 27, Charing Cross Road, à Londres (Angleterre).
- MOTOR CAR SUPPLY C°, accessoires pour automobiles, 1/127, Michigan avenue, à Chicago (Etats-Unis).
- MOTOR CAR WORLD (The), journal automobile, 78, Dunlop Street, à Glascow (Angleterre).
- MOTOR CYCLE {The), journal, 20,Tudor Street, à Londres (Angleterre).
- MOTO-RÊVE (Société de la), David et C'°, bicyclettes à moteur léger, chemin des Caroubiers, Acacias-Genève (Suisse).
- MOTOR HOUSE, commerce d’automobiles, 3i4, Euston Road, à Londres N. W. (Angleterre).
- MOTOR NEWS (î/tc), journal illustré, 34, Lower Abbey Street, à Dublin (Irlande).
- MOTOR TRAFFIC, revue mensuelle d’automobile, éditée par S. W. Merrikew, Times Building, à New-York (Etats-Unis). — Directeur : M. E. Schwarzkopf.
- MOTOR VEHICLE REPAIR and STORAGE C°, commerce d’automobiles ‘‘ Mitchell ”, 121, W. 3i st. Street, à New-York (Etats-Unis).
- MOTOR WAY (The), journal d'automobile, 21, Quincy Street, à Chicago (Illinois), (Etats-Unis).
- MOTOR REVIEW (The International), 3o, rue de Londres, Paris.
- MOTOR TRADER (The), journal d’automobile, ii), Wilson Street, à Londres (Angleterre).
- MOTOR WORLD and INDUSTRIAL VEHICLE RE VIEW (The), revue illustrée, 78, Dunlop Street, à Glascow (Angleterre).
- MOTORIA, commerce d’automobiles, 17, ITanover square, à Londres W. (Angleterre).
- MOTORINE, huile pour moteurs. — Voir Marville, à Rueil.
- MOTORING ILLUSTRATED (The), revue automobile, 11, Arundel Street, Strand, à Londres (Angleterre).
- MOTORIST and TRAVELLER
- (The), journal illustré, 12, Ilenrictta Street, Strand, à Londres (Angleterre).
- MOTORITIES, accessoires pour automobiles, 33, rue Marbeuf, Paris.
- MOTORWAGEN (Der), journal d’automobile, 11, Kurlurstenstrasse, à Berlin (Allemagne).
- MOTOSACOCHE (La), motocyclettes et petits moteurs. — Voir Dufaux Frères et Cie, à Genève.
- MOTO-SPIRITUS, alcool carburé pour moteurs. — Voir Blondel et Ilincelin, Paris.
- MOTOTRI-CONTAL, 64, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tel. 588-i3.
- MOTOYOLETTE (La), canots automobiles. — Voir Pahanel et Villem, Paris.
- MOTRICINE, essence minérale. — Voir Pétroles (Compagnie Industrielle des), Paris.
- MOTSINGER DEVICE Mfg C°, appa-reils d’allumage, à Pendonton (Indiana) Etats-Unis.
- MOTTE (Ch.) et C'e, motocyclettes et voitures, 2.5, rue de Courcelles, à Levallois-Perret (Seine). Tel. 544-84*
- MOTTIN (Gabriel), garage, 54, cours Carnot, à Elbeuf (Seine-Inférieure).
- MOTTIN (Henri), commerce d’automobiles et de cycles, garage, l\o, cours Carnot, à Elbeul' (Seine - Inférieure).
- Tél. 2.51.
- MOUETTE (La), voilure automobile. •— Voir Limant, à Lyon.
- MOUFFLARD, garage, commerce d’automobiles, faubourg de la Porlelette. à Abbeville (Somme). Tél. 4b*
- MOUFLE. — (Substantif féminin ; pourtant, quelqucs mécaniciens (lisent : un moullc). —
- La moufle est un appareil de levage constitué par un assemblage de poulies qui ont un axe de rotation commun et qui sont montées sur la même chape. — Voir Palan.
- MOUGEOTTE, machines-outils et moteurs, à Mclay, par Voisey (Haute-Marne).
- A, axe de rotation. — C, chape. — D, donnant. — G, garant. — P, poulies.
- MOUILLAUD , commerce d'automobiles, n, Zorrilla, à Madrid (Espagne). I
- ILES PREMIERS HORS CONCOURS PARIS 1900
- PHARES DUCELLIER
- LES SEULS IGRAND PRIX LIÈGE 1905
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- MOUILLE, commerce d'automobiles et de cycles, à Donzy (Nièvre).
- MOUILLON, moyeu rétro-direct, 3, rue llcndelet, à Dijon (Côte-’dOr).
- MOULES — Les moules de fonderie sont constitués par des cadres ou des caisses carrées en métal que le fondeur remplit de terre à mouler, dont il entoure les modèles en bois ou en métal. Ceci fait, les cadres sont portés à l’étuve où la terre séchera; les modèles sont ensuite retirés des moules en laissant leurs empreintes en creux qui seront remplies ultérieurement de fonte de fer, d’acier, de bronze, etc., à l'état liquide. Quand la coulée est refroidie, les moules sont brisés et les pièces de fonte sont retirées et expédiées à l'usine qui leur fera subir le travail d'ajustage et de montage. — Voir Modèles.
- MOULIA, garage, commerce d'automobiles, 53, quai des Basques, à Bayonne (Basses-Pyrénées).
- MOULIN (Aciéries et Forges du)} au Ghambon-Feugerolles (Loire) ; et 3a, rue du Faubourg-Poissonnière, Paris.
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- MOULINET RENARD. — Appareil servant à mesurer la puissance elfectivc d'un moteur en l’équilibrant par la résistance de 1 air sur des ailettes qu’il actionne. La figure le représente schématiquement. On voit qu’il se compose d’un arbre À tournant dans un manchon à billes B et pouvant être entraîné par le moteur au moyen d’un joint à tournevis C.
- Sur cet arbre est monté un bras D percé de trous rapprochés servant à fixer les palettes E. L’a p pareil étant réuni au moteur dont il s'agit, de mesurer la puissance, on modifie l'écartement des palettes j u sq u'à absorber intégralement celte puissance à la vitesse de régime du moteur. La résistance de l’air est de la forme kv° et la puissance de la forme fcv'K Le coefficient k est déterminé expérimentalement pour chaque trou.
- MOUNIÉE et
- mobiles. n
- Schéma d'un moulinet Renaud
- AL, arbro du moulinet. — R, douille fixe. — 1)1), supports des ailettes. — LF, ailettes.
- quai
- ANZANI, canots auto-d'Asnières, à Asnières
- (Seine).
- MOURGUE, garage, commerce d'automobiles, boulevard tle la Sous-Préfecture, à Issoirc (Puy-de-Dôme).
- MOUSSE DE PLATINE.
- Platine
- métallique à l'état de poudre extrêmement divisée, intermédiaire entre F « éponge de platine » et le « noir de platine ».
- MOUTER (Pierre), n, rue Brunei, Paris. Tél. 5a3-5(). Né à Briey, le 3i janvier 18G8. —
- Co-directeur de la Société La Française; administrateur de la Société V Auto-Palace. A fondé une maison de cycles en 1888, puis le premier garage et la première maison de vente d'automobiles à Paris, en i8q/|, qui existent aujourd’hui sous le nom d Auto— m. Piehke Moutkh
- Palace.
- MOUTONNET. — Partie du brancard d'une voiture qui se termine quelquefois, à l’arrière, par une pièce recourbée et sobrement sculptée en forme de crosse. — Voir Carrik et Grosso.
- MONTREUIL, commerce d'automobiles, à Alençon (Orne).
- MOUVEMENT (en général). — État d’un corps qui d’une façon continue occupe des positions différentes dans l'espace.
- — Mouvement absolu. — Mouvement d'un corps considéré relativement à un repère fixe dans l’espace.
- — Mouvement relatif.— Mouvement considéré relativement à un repère lui-mème mobile. C’est le cas le plus général. Ainsi l’étude du mouvement d'un corps à la surface de la terre est toujours faite en laissant de côté le mouvement, propre de la terre. De meme le mouvement du piston d’un moteur d’automobile sera étudié en iaisant abstraction du mouvement de la voiture, lui-même relatif.
- — Mouvement accéléré. — Un mouvement est accéléré lorsque l'espace parcouru par le mobile sur sa trajectoire augmente plus vite que le temps.
- — Mouvement alternatif. — Ensemble d’un mouvement direct suivi d’un mouvement rétrograde. Le mouvement est direct quand, le temps croissant, le mobile s'éloigne du point choisi comme origine des espaces sur sa trajectoire. 11 est rétrograde lorsqu’il s en rapproche.
- — Mouvement circulaire. — Mouvement d'un mobile dont la trajectoire est un cercle ou un arc de cercle. 11 est défini à un instant donné par sa vitesse angulaire, c'est-à-dire par l'angle décrit en l'imité de temps et par le rayon de la trajectoire.
- Force motrice, Éclairage Chauffage par l’ALGOOL
- LISFZ :
- SA MAJESTÉ L’ALCOOL
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- - Mouvement continu. — Mouvement pouvant théoriquement continuer indéfiniment dans le même sens. C’est le cas du mouvement circulaire d'un arbre ou du mouvement de translation d'un écrou se déplaçant le long d'une tige filetée, etc.
- - Mouvement curviligne.—Mouvement d'un point dont la trajectoire est une courbe plane ou gauche. C’est le mouvement le plus général d'un point lorsque la courbe est hélicoïdale (voir Mouvement hélicoïdal). Le mouvement circulaire est un cas particulier du mouvement curviligne.
- -- Mouvement différentiel. — Mouvement résultant de la combinaison de deux mouvements agissant dans le môme sens ou en sens contraire. On peut prendre pour exemple le mouvement du carter porte-train dans le différentiel.
- --Mouvement hélicoïdal. — C’est le mouvement le plus général d'un point. 11 se compose d'une rotation et d'une translation simultanées; cl la trajectoire du mobile est, pendant un temps infiniment petit, un arc d’hélice droite ou oblique.
- — Mouvement périodique. — Un mouvement varié est périodique quand les espaces parcourus pendant des temps égaux sont égaux, sans que, dans l'intervalle de ces temps, le mouvement soit uniforme. Le mouvement est varié quand le rapport des temps aux espaces parcourus n'est, pas constant. Le mouvement, du piston d'un moteur est périodique. 11 répond également à la définition du mouvement alternatif ; d'ailleurs la plupart des mouvements périodiques sont alternatifs.
- — Mouvement rectiligne. — Mouvement d'un point dont la trajectoire est une ligne droite.
- - Mouvement de translation. —Mouvement d'un point dans un plan dans sa forme la plus générale. Cette expression s'applique le plus souvent à un mouvement rectiligne.
- - Mouvement uniforme. — Mouvement d'un point se déplaçant sur sa trajectoire de quantités égales dans des temps égaux, quelque petits (pie soient ces temps.
- Mouvement varié. — Le mouvement est varié lorsque le mobile parcourt des espaces inégaux en des temps égaux. 11 est uniformément varié quand la vitesse varie de quantités égales en des temps égaux.quelque petits que soient ces temps. La quantité constante dont, la vitesse varie par seconde se nomme l'accélération. Quant l'accélération est positive, le mouvement est uniformément accéléré, et quand elle est négative, il est uniformément rétardé. Des exemples de ces deux mouvements sont respectivement donnés par le mouvement d'un corps pesant tombant librement dans le vide et lancé verticalement de bas en liant.
- MOYENNE. — La moyenne à l'heure d’une voiture s’obtient facilement en divisant la somme des kilomètres parcourus par la somme des heures qu’il a fallu pour les parcourir ; ainsi, 12G kilomètres parcourus en 3 h. 20, donnent une moyenne de marche de I 2 G M
- ---- = 3o,37o kilomètres à l’heure.
- 0,20
- La moyenne, commerciale est la moyenne obtenue à la fin d’une journée, par exemple, en comptant le temps écoulé depuis l’heure du départ jusqu'à l'heure de l’arrivée, y compris tous les arrêts provenant d’une cause quelconque.
- MOYEU. — L e centre de la roue d'une voiture quelconque (non automobile) est formée d'un noyau central en bois nommé le moyeu qui porte sur son pourtour des mortaises ou trous dans lesquels viennent se loger les pattes des rayons de bois nommes des rais, et qui tourne sur la fusée.
- Ce système primitif de moyeux en bois est complètement abandonné en automobile ; il est remplacé par le moyeu métallique, dit moyeu Artillerie, à larges joues qui enserrent le pied de chaque rai et que presse toute une série do boulons.
- Le moyeu appuie, par sa joue intérieure, sur la rondelle de l’essieu : et il est maintenu en place par un écrou, fendu et traversé par
- Moïku A111 n.i.iain: ((loupe)
- A, boulon. — H, boîte de l'essieu. — (1, écrou de serrage. — F. lilelage pour monter le chapeau. — M, moyeu.— H, rai.
- une goupille, qui est vissé sur le bout de la fusce. L'extrémité du moyeu est terminée par un filetage sur lequel se visse le chapeau, bouchon destiné à retenir l'huile ou la graisse et à empêcher la poussière et la boue de pénétrer dans la boîte de l’essieu, de produire le
- frippage des parties frottantes. Ce moyeu est it, moyeu patent. Tous les moyeux employés aujourd'hui eu automobile sont montés à billes.
- — Co.miot (Cn.), 87, boulevardGouvion-Saint-Cyr, Paris.
- '— Fuhan- (Ateliers du). l\. rue Ban'uu'n> à Saint-Etienne (Loire). *
- FF MOYEU ïîS EADIE
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- - Geaenzer et Ci0 (moyeu 2 vitesses W. F. W.), 35, boulevard.de Strasbourg, Paris.
- — Gros, moyeux emboutis, 21, rue de Champagne, à Saint-Etienne (Loire).
- MOYEU RIVIERRE [Société Anonyme du), 4o, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- MOYNAT (J. Coulembier Aîné), malles et articles de voyage spéciaux pour automobiles, 5, place du Théâtre-Français, Paris. Tel. 238-y4- Adr. tel. Moynamal-Paris.
- MOYNET, fabrique de limes, 4, rue des Ilaudrieltcs, Paris. Tel. 114-54.
- MOZEIKO , carrosserie automobile, 3q, rue Boissière, Paris.
- MROZOWICKI Frères, garage, commerce d'automobiles, 2, rue Croix-de-Marbro, à iNice (Alpes-Maritimes).
- MÜHLBACHER et Fils , carrosserie automobile de luxe, 63, avenue des Champs-Elysées, Paris. Tel. 5og-3o. Société en nom collectif; maison créée en iy85. — Ateliers : 19, rue Mesnil. Tel. (iy5-ii.-
- MULLER (E.), vice-président de l’A. C. F., 6, place de la Concorde, Paris.
- MULLER (E.), commerce d’automobiles, 22, rue de Picardie, Paris.
- MULLER, réparation de pneumatiques, 65, rue du Faubourg-Sainl-Denis, Paris.
- MULLER et C,e, bougies et inflamma-teur.s, 91, rue des Marais, Paris.
- MULLER Frères , garage, commerce d’automobiles, Nationalhof, à Lucerne (Suisse).
- MULLER et DESPIERRES, agents d’assurances, 26, rue Etienne-Marcel, Paris. Tel. 2.44-69.
- MULLER et ROGER, fonderie, 108, avenue Philippe-Auguste, Paris. Tel. 904-91.
- MULLOT, représentant de fabriques, agent des magnétos Unterberg, 99, rue de Dunkerque, Paris.
- MULTIPLICATION (transmissions).
- — Dans une transmission par engrenages ou par courroies, on appelle multiplication le rapport des vitesses de l’arbre moteur et de l’arbre commandé.
- — La multiplication d’une bicyclette est lo rapport du nombre do dents do la roue dentée du pédalier à celui du pignon de la
- TABLE DE MULTIPLICATION (de 1 à 20)
- 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 ‘6 17 18 19 20
- 2 4 6 8 10 12 il 16 18 20 22 24 26 28 30 32 31 36 38 4 U 2
- 3 6 9 12 15 18 21 21 27 30 33 36 39 12 15 18 51 51 57 60 3
- 4 8 12 16 20 21 28 32 36 40 41 18 52 56 60 61 68 72 76 to 4
- 5 ld 15 20 25 30 35 40 15 5(- 55 00 65 70 75 SO 85 90 95 100 5
- 6 12 18 24 30 36 42 18 54 ou 66 72 78 84 90 96 102 108 114 120 6
- 7 lt 2; 28 35 42 49 56 63 70 77 81 91 98 105 112 119 126 133 110 7
- 8 16 21 32 10 18 56 61 72 80 88 96 101 112 120 128 136 lit 152 160 8
- 9 18 27 36 45 51 63 72 81 90 99 108 117 126 135 141 153 162 171 180 9
- 10 20 30 10 50 60 7 U 80 90 100 110 120 130 140 450 160 170 180 190 200 10
- 11 22 33 41 55 66 77 88 99 110 121 132 113 151 16.» 176 187 198 209 220 11
- — — — —
- 12 21 36 18 60 72 81 96 108 120 132 1 11 156 168 180 192 204 216 228 240 12
- 13 26 39 52 65 78 91 101 117 130 113 156 169 182 195 208 221 23i 247 260 13
- 14 28 12 56 70 84 9s 112 126 110 154 168 182 196 210 224 238 252 266 280 14
- — — — — —
- 15 30 15 60 75 90 105 120 135 150 165 180 195 210 225 210 255 270 285 300 15
- 16 32 18 61 80 96 112 128 14l 160 176 192 208 221 210 256 272 288 301 320 16
- 17 31 51 68 85 102 119 136 153 170 187 201 221 238 255 272 289 306 323 340 17
- 18 36 51 72 90 108 126 lit 162 180 198 216 231 252 270 288 306 324 342 360 18
- — —
- 19 38 57 76 95 111 133 152 171 190 209 228 0.17 266 285 301 323 312 361 380 19
- 20 10 60 80 100 120 lit) 160 180 200 220 240 200 280 300 320 310 360 380 400 20
- ]
- Prière de lire avec soin
- La Préface & notes importantes
- (pages 8 à 16J du présent volume.
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- M UN - - /|</i — M Y K
- roue motrice. Ainsi la multiplication d’une bicyclette dont la roue dentée a 28 dents et le pignon g dents est 3,i. '
- Son développement serait pour une roue de -0
- 3,i/|i(i X 0,70 X 3,i — G,81 mètres.
- (Voir Démultiplication ci Développement.)
- MUNSIN and CHAPMAN , commerce d’automobiles “ Grout ”, 1855 Broadway,
- New-York (Etats-ITnis).
- MURPHY VARNISH C° (Amérique), vernis pour carrosserie. — Dépôt: 31, rue de Neuilly, à Cliehy (Seine).
- MUSSET (Lltj, garage, commerce d’automobiles , rue de la Sous-Prélecture , à Uonnnc (Loire).
- MUTEL et Cie, moteurs, ia/|, rue Saint-
- vue de retraites, l’allocation de secours extraordinaires, etc. La cotisation mensuelle est de 3 francs. —• S’adresser 8, place de la Concorde, à l’A. C. F.
- M. W., moteurs «à pétrole Campant, à deux temps. — Voir Bavjard, Paris.
- MYLORD. — Voiture découverte, ayant toujours un siège élevé de domestique à l’avant et une banquette à deux places, à l’arrière, placée parallèlement au siège, l'ace à la route. Quelquefois un strapontin, monté sur charnières pour pouvoir se dissimuler, est placé dos à dos avec le siège avant.
- Cette voiture a toujours une capote pouvant couvrir les places arrière : c’est le type du “ liacre ” parisien, hippomobile, découvert.
- La Victoria, à peu près semblable au mylord, s’en différencie par ce détail que son siège avant est une partie l'apportée, montée sur ferrures.
- Le mylord prend le nom de duc lorsque,
- Charles, Paris.Tél. 71/1-üG. Adr. lél. Molmul-Paris.
- MUTUELLE DES MÉCANICIENS CONDUCTEURS D’AUTOMOBILES
- (La). — Cette Association, présidée par le prince P. d’Arenherget patronnée par l’A. C. F., a pour but de procurer à ses adhérents : des soins gratuits, en cas do maladie ou d’accidents, l’établissement d'un office de placement gratuit, la constitution d’un fonds commun en
- le siège avant étant reporté à l'arrière comme siège de spider, la banquette se trouvant à l’avant est occupée par le maître lui-meme qui conduit, à condition toutefois que cette banquette 11e soit pas une rotonde (coins arrondis), auquel cas cette voiture est un phaéton.
- MYR (Bougies). —Voir Larive, Paris.
- MYRIA.—Préfixe indiquant que le terme qu’il précède est multiplié par dix mille. — Par exemple: « un myriamètre = 10.000 mètres».
- LORRAINEDIÉTRICH
- - AUTO-PALACE
- 77 bis, Av. de la Gde-Arntée, PARIS - Tél. 524-1
- ]
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-
- Automobiles
- MORS
- ©©O
- io&iSH.p.--4Cÿiiniir6s a cardan 17-28-45 H.P.-4C!llin(lres A CHAINES CINQUANTE CHEVAUX SIX CYLINDRES
- SIMPLES
- SOUPLES
- SILENCIEUSES
- -5- -ï-
- Essai sur simple demande
- SOCIÉTÉ ANONYME D’ÉLECTRICITÉ ET D’AUTOMOBILES
- MORS
- 48, rue du Théâtre, 48 — PARIS — Téléphone 710 43
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- Gagnante
- De la Coupe de LIEDEKERKE 1906
- 430 kilomètres en 5 heures 27 minutes
- Moyenne : 78,5 kilomètres à l’heure
- par une voiture 18-28 chevaux avec carrosserie de tourisme et 4 personnes
- LA MÉTALLURGIQUE
- (SOCIKT K A N O N Y .U k)
- Marcbienne - au - Pont - Belgique BRUXELLES
- Poids lourds et Poids moyens Automobiles
- Camions
- PA NTz
- R POHT-fl-MOUSSCm
- (MEURTHE-&-MOSELLE)
- Châssis pour Voitures industrielles et de commerce Châssis pour Omnibus
- CATALOGUE SUR DEMANDE
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- N
- N. — Lettre indiquant que le véhicule qui la porte dépend de l'arrondissement minéralogique de Nancy (Meurthe-et-Moselle).
- N et n. — Symboles de nombre abstrait.
- v (prononcez: nu). — Symbole do réluctivité.
- NACELLE. — Partie de l’appareil de locomotion aérienne destinée à recevoir les aéronautes. Plus spécialement, dans les aérostats, les nacelles sont de grands paniers cubiques en vannerie solide suspendus par S, io, 12 cordages, qui se trouvent pris et tressés dans la vannerie elle-même. Chacun de ces cordages, après être descendu dans une paroi verticale, parcourt le fond de la nacelle et va émerger de la paroi verticale opposée. Les extrémités libres se terminent par des boucles dans lesquelles sont passés les cabillots des cordages inférieurs du cercle de suspension.
- NACKE, construction d'automobiles, à Coswig (Saxe).
- NAEF (Carlo), machines-outils, 3i, via Alessandro Manzoni, à Milan (Italie!.
- NAFFRECHOUX, carrosserie automobile, capotes et glaces, i3^, rue de Grenelle, Paris. Tél. 720-07.
- N. A. G., automobiles.—Voir Nette Auto-mobil Gessellschaft.
- NAGLIATI (Ettorc), garage, commerce d’automobiles, (>, via Ponte aile Mosse, à Florence (Italie).
- NAIN, peintre en voitures automobiles, 38, ruo Brunei, Paris.
- NANTAISES (Aciéries), i3, rue Bias, à Nantes (Loire-Inférieure) ; et 97, rue La-fayette, Paris.
- NAPHTACYCLE, essence minérale pour automobiles. — Voir Pétroles (Compagnie Générale desJ, Marseille.
- NAPHTALINE (Synonyme : naphta-lène). — Hydrocarbure appartenant à la série aromatique. Formule G10 II8. Est extraite des huiles lourdes obtenues vers la fin de la distillation du goudron do houille. Point de fusion 790. Point d’ébullition 218°. So vaporise spontanément peu à peu au contact de l’air.
- Est insoluble dans l'eau, mais soluble dans l’alcool, l’éther, la benzine, les pétroles; a été proposée comme carburant dans les moteurs tonnants, pour remplacer économiquement les essences et les huiles lampantes. — Voir Moteurs.
- NAPIER MOTOR C° of AMERICA,
- automobiles, 743, Boylston Street (Boston) Etats-Unis.
- NA.PIER MOTORS, construction d’automobiles, 1.4, New Burlington Street, Regent Street, à Londres (Angleterre). Adr. tél. Ni-tri fier-London. Tél. 1708 et iy5g Gerrard. — Voir Edge (S. F.), Londres. —Voir Moteurs.
- NAPOLETANA AUTOMOBILI (So-cielà), commerce d’automobiles, 5G, piazza Mergellina, à Naples (Italie).
- NARDINI, pneumatiques “ Lanle ”, 11, rue Saint-Augustin, Paris.
- NASSIVET et ’Ci0, groupes éleelrogènes 17, quai Baco, à Nantes (Loire-Inférieure).
- NATANSON, caoutchouc manufacturé, toiles pour pneumatiques, 88, rue du Rocher, Paris. Tél. 083-79.
- NATHAN (G.), vêtements en cuir, 27, rue Saint-Sabin, Paris.
- NATHAN Frères, fabr ique d'ébonite et de fibre vulcanisée, G7, rue d'Hauteville, Paris. Tél. 291-00.
- NATIONAL (Le Pneu). — Voir llaus-mann, Paris.
- NATIONAL MOTOR VEHICLE C°,
- automobiles, 1000 East, 22 d. Street, à In-dianopolis (Indiana). Etats-Unis.
- NATTER (Victor), machines-outils, pièces détachées, i4, rue de Fonlarabie, Paris. Tél. 90/1-01.
- NATURE (Lu), journal illustré, 120, boulevard Saint-Germain, Paris.
- NAUD, garage, commerce d’automobiles, 61, boulevard de Blossac, à Châtellerault (Vienne).
- NAULIN et Fils, constructeurs-mécaniciens, 12, boulevard Félix-Faure, à Saint-Denis (Seine).
- NAUTILUS, canots automobiles. — Voir Blondeau (Seine-et-Oise).
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- NAVIGATION (Dit 'cction de la), au Ministère des Travaux Publics, 244, boulevard Saint-Germain, Paris. Tel. 727-02. — Jours de réception de M. le Directeur : mardi et vendredi (de 9 h. 1/2 à 11 h. 1/2).
- NAVIGATION AÉRIENNE (Société Française de), 10, rue de la Pépinière, Paris.
- NAVIGAZETTE, journal do sport nautique, 33, rue Jean-Jacques-l\ousseau, Paris. Tél. 274-93. Adr. tél. Navigazet-Paris. — Directeur : M. R. Lestonnat.
- NAZIONALE (La), carrosserie automobile, 42, via Bava, à Turin (Italie).
- NAZZARO, célèbre coureur, arrivé deuxième dans le Grand Prix de l’A. G. F., sur voiture Fiai.
- NECKARSULMER FAHRRAD -WERKE ACT. GES., motocyclettes, marque N. S. U., à Ncckarsulm (Wurtemberg). Représentants : Le Mêlais et fils, Paris.
- NEF (La), automobiles à trois roues. — Voir Lacroix el de Laville, Agen.
- NÉMO, clés et pièces détachées. — Voir Dupont Frères, à Lille.
- NÉMO, automobiles. — Voir Mécanique et Moteurs (Société Anonyme de), à Liège (Belgique).
- NENCI (Mercedes - Palace), commerce d'automobiles, 43, via Lorenzo Mascheroni, à Milan ; et 7, via Carlo Alberto, à Florence (Italie).
- NÉO - MÉTALLURGIE (La), ferro-chrome, 10, rue de Louvois, Paris.
- NEPTUNE (Pneu-Cuir), 24, rue M011-trosicr, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tél. 580-72.
- NÉRON. — Voir Tapisse et Daligault.
- NERVURE. — Saillie existant sur une pièce métallique, venue de fonte, pour consolider une paroi peu épaisse ou une partie de machine qui subit de grands ell’orts.
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- NEUE AUTOMOBIL GESELL-SCHAFT (marque N. A. G.), construction d’automobiles, 43, Dorotheenstrasse, à Berlin (Allemagne). Adr. tél. Marsmolor-Berlin. — Directeur : M. Gossi.
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- NEUMANN, construction de châssis emboutis, à Juvisy (Seine-et-Oise).
- NEUMANN (R. S.), lunettes, 7, Thavies Inn, Ilolhorn Circus, à Londres (Angleterre).
- NEUMEYER, courroies en cuir, 16, rue Pavée, Paris.
- NEUSS, carrosserie de luxe, 225, Fried-richstrasse, à Berlin (Allemagne).
- NEUSTADT AUTOMOBILE and SUPPLY C°, trompes électriques et accessoires, 82G South 18 th. Street, à Saint-Louis (États-Unis).
- NEVA (La), pneumatiques. — Voir Suss-mann, Paris.
- NEVEROUTH (The), phares fabriqués par Rose Mfg C°, 914, Arch. Street, à Philadelphie (Etats-Unis).
- NEVEU, garage, commerce d’automobiles, à Saint-Calais (Sarthe).
- NEVEU (J.) et C‘°, roues en hickory, 1G9, avenue du Roule, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tél. 270. Adr. tél. Neveu-Neuilly-sur-Seine.
- NEVEUR, lampes électriques pour automobiles, M. S., 53, rue de Maubeuge, Paris.
- NÉVIL et Ci0, éditeurs de YEsla?n]ie Sportive Artistique, 23, rue de la Chausséc-d’Antin, Paris.
- NEW-COMET, ventilateurs pour automobiles. — Voir Mégevel, Genève.
- NEW DEPARTURE, moyeu à roue libre. — Voir Dellheim (J.) et Cl°, Paris.
- NEWEY’S MIDLAND GARAGE,
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- NEWTON (Loi de). — Loi s’appliquant à la quantité de chaleur Lransmise au travers d’une paroi pour de petits écarts de température. — Voir Dulong et Petit (Loi de).
- NEWTON, BENNETT and CAR-LISLE, Ltd, commerce d’automobiles, garage, 35, King Street, à Manchester (Angleterre) .
- NEY (J.), machines-outils, 128, rue Saint-Maur, Paris.
- NEZ. — Partie d’un tour ou d’une machine à fraiser, sorte de fourreau dans lequel s’engagent et se trouvent maintenus une fraise, une mèche, un foret, etc.
- NÉZIÈRE (De la), commerce d’automobiles, 56, rue Pergolôse, Paris. j
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- NICE-AUTOMOBILE, garage, commerce d’automobiles, 6, promenade des Anglais, à Nice (Alpes-Maritimes).
- NICE-AUTOMOBILE, journal des Sports du Littoral, 4, avenue Malausséna, à Nice (Alpes-Maritimes). —Directeur : M. Maurice d’Orfeuil.
- NICKEL. — Corps simple métallique. Découvert en i^5i par Cronstcdt. Est extrait de minerais arséniés (Allemagne) ou do minerais silicatés et magnésies, ou garniérüc (Nouvelle-Calédonie). Métal blanc grisâtre, de cassure fibreuse, le plus dur des métaux usuels après lo manganèse et le chrome. Un peu moins fusible que le fer, magnétique, difficilement oxydable, est utilisé comme adjuvant, allié, ou non, au chrome, dans la métallurgie de l’acier (acier au nickel). Donno lo maillechort (voir ce mot). Est utilisé dans les opérations du nickelago sous la forme d’anodes en nickel pur ou carburé. Est utilisé à l’état d’oxyde dans les accumulateurs alcalins de Jungncr ou d’Edison.
- NICKEL (Le) [Société Anonyme), 26, rue Laffitte, Paris.
- NICKEL [Compagnie de Fabrication française du), nickel sous toutes scs formes, 32, rue Rennequin, Paris. Tel. 532-35. — Directeur : M. Ch. llenncgrave, ingénieur.
- NICKEL AGE. — Opération de la galva-nostégie, ayant pour but de recouvrir des métaux usuels, tels que le fer, la fonte, le cuivre, d’une couche adhérente de nickel pur, susceptible de leur communiquer un revêtement métallique blanc, brillant/ dur et peu altérable par l’humidité. Le nickelago des pièces de fer ou fonte est le plus souvent précédé d’un dépôt de cuivre intermédiaire (voir Cuivrage) destiné à augmenter l’adhérence du nickelage.
- Le nickelage s'effectue au moyen de dissolutions aqueuses d’un solde nickel, de préférence le sulfate de nickel ou le sulfate double de nickel et d'ammoniaque. Cette dissolution constitue le bain de nickelago. La pièce à nickclcr, préalablement dégraissée, puis, décapée avec grand soin, est reliée au pôle — ou cathode d’une source électrique do quelques volts (2 à 4 volts) (pile, accumulateur, dynamo). Le courant est formé dans un bain par une lame ou plaque de nickel reliée au pôle -\- et fonctionnant comme anode soluble, c’est-à-dire se dissolvant peu à peu dans le bain et lui restituant le nickel déposé sur la pièce à nickeler.
- Après quelques heures d’action, le dépôt de nickel est suffisamment épais. On sort du bain la pièce, 011 la lave à grande eau, puis on procède au polissage. — Voir ce mot.
- NICKELÉINE [La], produits pour le nickelage, 14, boulevard de la Villetlc, Paris.
- NICLAUSSE [J. et A.) [Société des Générateurs inexplosibles, « Brevets Ni-clausse »), construction d’automobiles, 24, rue des Ardennes^Paris. Tel. 4i5-oi et 4i5-o2. Adr. tél. Génerateur-Paris. — Société fondée en 1880 pour la construction de générateurs mullitubulaircs pour l’industrie cl la marine.
- NICOLAS, piles électriques, 18, rue Drouot, Paris. Tèl. 717-42.
- NICOLE (G.), appareils électriques, 89, rue de Flandre, Paris.
- NICOPYRE [Bougies d'allumage). — Voir Lavalette et Ci0, Paris.
- NID D’ABEILLES (radiateurs). —
- Les radiateurs à nid d’abeilles, ou radiateurs mullitubulaircs, sont essentiellement constitués d’un réservoir de faible épaisseur, dont les parois planes sont réunies par un grand nombre de tubes minces en laiton, généralement à section carrée, et traversés par l’air aspiré par un ventilateur ou produit par la marche du véhicule. L’espace compris entre les tubes contient l’eau à refroidir.
- Le nom vient de la ressemblance qu’ont ces appareils avec les collections d'alvéoles (gâteaux) qu'on trouve dans les ruches d’abeilles.
- NIEL [Compagnie des Moteurs), 54, rue de Châteaudun, Paris. Tél. 116-79. Adr. tel Motoniel-Paris. — Moteurs industriels à explosions.
- NIEL Fils, ga rage, commerce d’automobiles, 10, boulevard de la République, à Aix-cn-Provcnce (Bouches-du-Rhône).
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- NIEUPORT [Edouard), constructeur d’appareils d’allumage, 9, rue de Seine, a Suresnes (Seine).
- Tél. 85. — Né à Blidah (Algérie), le 2.4 août 1870.
- Après avoir fait de bonnes études, il sc lança dans le cyclisme professionnel où il sc fit rapidement une place prépondérante.
- 11 trouva sa véritable voie dans l’industrie électrique qui lui est redevable de nombreux appareils d'allumage qui portent son nom.
- NILMELIOR [Société d'Éleclricité), anciens Etablissements Bassée et Michel,
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- appareils électriques pour l'allumage des moteurs, !\rj, rue Lacordaire, Paris. Tel. 722-22. Adr. tel. Nilmelior-Paris. Société Anonyme au capital de 1 million de francs. — Président du Conseil d’administration : M. le baron de Zuylen. Administrateur délégué : M. Miclicl. Directeur : M. Ballereau. Directeur commercial : M. Sclioeller.
- Fabrication de bobines d’induction avec ou sans tremblcur ; avances ; magnétos à haute et à basse tension ; appareils de mesure (ampèremètres et voltmètres) ; piles et accumulateurs ; dynamos pour l’éclairage des voitures. — Magnétos à bougies fonctionnant avec transformateur séparé et permettant le double allumage avec départ au contact. La plus ancienne maison d’appareils d’allumage, créatrice de cette spécialité.
- NIL SUPRA, pièces détachées. — Voir Bar a et Pascault.
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- NITRATE. — Synonyme d'azotate.
- — Nitrate d'éthyle (synonyme : azotate d'éthyle ou éther nitrique). — Voir ces mots.
- NIVET (G.), pneumatiques « Le Radium» et tissus pour pneumatiques, 4o, rue Greffulhe, à Levallois-Perret (Seine). Tel. 025-34- Adr. tél. Nivel-Leuallois.
- N. J. W. {Ref ’roidisseur,s). — Voir Storr (Hugo), Paris.
- NOBLEMAIRE (G.), ingénieur en chef des Mines, directeur de la Compagnie des Chemins de fer P.-L.-M., 58, rue la Boétie, Paris.
- NOCHEVAU. — Expression nouvelle proposée par M. J. de Rey-Pailhade, au Congrès international de mécanique en 1900, pour remplacer les expressions IL P., cheval-vapeur; etc. La nouvelle unité de puissance, nommée nochevau, représenterait un travail de 100 kilogrammètres elle duc pendant 1/100.000 de jour (os,8G/|).
- Un cheval-vapeur vaudrait o,G48 nochevau; un nochevau équivaudrait donc à i,55 cheval-vapeur.
- NOE, pièces détachées, 12, rue Aline, à Adamvilie (Seine).
- NOËL (vl.J, plaques gravées pour automobiles, 99, rue du F’aubourg-Sainl-IIonoré, Paris.
- NOËL, cycles et motocyclettes, 38, avenue Daumcsnil, Paris.
- NOËL (Moteurs), à Provins (Seinc-ct-Marne) ; et 83, boulevard de Port-Royal, Paris.
- NOËL (Leon), représentant des Fonderies de l’Espérance, l\i, vue de Flandre, Paris. Tél. 432-67.
- NŒUD MARIN. — Vaut — du mille
- 120
- marin français, soit 10 mètres 43- — Chaque nœud du loch, filé pendant 3o secondes du sablier, correspond à une marche du bateau d’un mille marin, à l’heure. Par exemple, 7 nœuds filés en 3o secondes correspondent à une vitesse de 7 milles à l’heure, soit 12 9G/1 mètres.
- A proprement parler, le nœud marin est une unité de vitesse et non do longueur : c’est la vitesse d'un mille marin par heure. Parler de “ nœuds à l'heure ” constitue donc une incorrection.
- NOIX D’UN VILEBREQUIN. —
- Pièce munie de grilles, goupillée à l’extrémité avant de l’arbre moteur, et servant à la mise en marche par la manivelle. — Voir Griffés.
- NO-KO-RODE, désinfectant de l’essence et du pétrole, 220, Dcaborn Street, à Chicago (Illinois) Etats-Unis.
- NOMBRES. — Voir les Tables des Nombres aux mots Carrés, Cubes, Racines, Logarithmes, etc.
- ISOMUIUCS PlUiMIHHS »I3 I A I 000
- — Nombre abstrait. — Nombre qui n'est pas suivi du nom des unités qu’il représente et n’éveille par suite que l'idée de grandeur. Certains nombres sont essentiellement abstraits ; ce sont ceux qui expriment un rapport, comme par exemple le nombre ir, un sinus, une tangente, etc.
- NON-RÉVERSIBLE. — La sécurité de la direction d’une voiture est assurée par sa non-réversibilité. On entend par là quo l’appareil que le conducteur a en mains est irréversible, c’ost-â-dire construit de telle sorte ([tic les chocs imprimés aux roues par
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- les inégalités du sol, les pierres, clc., n’ont aucune action sur ses bras, n’influencent, en rien sa direction, alors que le conducteur peut, au contraire, imprimer aux roues tel déplacement qu'il lui plait. — Voir Direction.
- — Comiot (Ch.), directions irréversibles, 8-, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris.
- NORD (Garage du), commerce d’automobiles; an, rue de la Chapelle, Paris. Tel. 428-30.
- qu’il ne trouve pas en quantité suffisante dans les tubes do petit diamètre qui l’alimentent ordinairement ; la nourrice est, pour le moteur, un réservoir d’aliments dans lequel il peut puiser à volonté. — Voir l’ouvrage Recettes du Chauffeur, par B. de S.
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- NORD-AUTO, commerce d’automobiles, idy, rue du Faubourg-Saint-Denis, Paris. Tel. 434-"9.
- NORD - TOURISTE , bulletin officiel mensuel du Nord-Touriste cl de l'Automobile Club du Nord, 4, rue de la (lare, à Roubaix (Nord). Tel. 8o5.
- NORDYKE et MARMON C°, construction d’automobiles, à Indianopolis (India-na), Etats-Unis.
- normand, secrétaire de la rédaction de 1 Illustration , i3, rue Saint-Georges, Paris.
- NORMANDE (l.a), 'courroie trapézoïdale. — Voir Delà feu, Marie et
- NORTH BRITISH RUBBER C“, Ltd, fabrique dos pneumatiques Clincher, à Edimbourg (Angleterre). — Voir liayle (Ch.), Paris ; et Talbot, à Bruxelles.
- NORTHERN MANUFACTURING
- C°, construction d’automobiles, à Détroit (Etats-Unis).
- NOSOTTI, commerce d’automobiles, i5, via Ariberto, à .Milan (Italie). Tel. 38-o3.
- NOSSEREAU, garage, commerce d'automobiles, 8, rue de Rouen, à Saumur (Maine-et-Loire).
- NOTATIONS. — Voir Abréviations; et Ecriture d’un nombre.
- NOUE (Comte 0. de), 28, rue GrefTulhe, a Levallois-Eerret (Seinci. — A’é à Paris, en «863. Chevalier de la Légion d'honneur. — Nicc-présidcnt de la Société Anonyme Th. Rôti aux ; président de la Société du Moyeu Rivierre.
- NOUGEIN et BARBIE, glaces pour carrosserie, 2.4, rue. de Cliarcnton, Paris. Tél. 902-0.4.
- NOURRICE. — On appelle nourrice un réservoir à essence, une cloche à air, une poche à gaz en caoutchouc, etc. La nourrice est destinée à tenir en réserve, à la disposition de son nourrisson (ordinairement un moteur à explosions), une grande quantité des aliments dont il a besoin, air et essence, et
- NOUVELET et LACOMBE, moteurs, ni, quai d’Asnières, à Asnières (Seine).
- NOUZILLET, accessoires, -8, rue de Rome, Paris. Tél. 021-88.
- NOUZON (Société Française de petit Outillage de), pièces détachées, à Nouzon (Ardennes).
- NOVO
- Paris.
- Acier). — Voir Mamelle (U.),
- NOYAU. — En langage de fonderie, on appelle, d’une façon générale, noyaux ou cœurs, des “• pièces de sable”, moulées indépendamment de la pièce principale, destinées à être rapportées dans le moule principal pour donner des formes qu’un moulage direct ne pourrait procurer ; par exemple. et notamment, les évidements intérieurs de la pièce.
- Ces pièces de sable laissent, entre elles et les parois de l’empreinte donnée par le modèle, un espace vide que le métal en fusion viendra remplir, et qui correspond par conséquent à l’épaisseur de la pièce fondue.
- Une fois le métal coulé et refroidi. on enlève ces noyaux de sable, et il reste la pièce évidée suivant les dimensions vou-" lues. Ces pièces
- de sable, rapportées pour obtenir ces évidements, sont les noyaux, ou cœurs. Les prolongements a, b, c, d. du modèle sont les
- Le.. Modèle-
- c" 1 d.
- - “J
- b"
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- a fait ses preuves au TOURIST TROPHY 1906 Usines : PRÉ-SAINT-GERVAIS
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- N U M
- pariées de noyaux : ce sont eux qui donnent dans le moule les logements dans lesquels viendront reposer les noyaux.
- Les boites à noyaux sont des blocs pleins, généralement en bois, souvent en métal, quelquefois en d’autres matières, plâtre, etc., qui portent, en creux l’empreinte exacte du noyau à obtenir. Ces blocs s’ouvrent en deux ou plusieurs parties, réunies entre elles par des goujons, de façon à faciliter la sortie du noyau. On obtient, ce noyau en foulant du sable dans la boîte, au degré de consistance voulue pour qu’il s’y agglomère et donne une u pièce de sable ” reproduisant en relief exactement les formes du creux de la boîte. Un noyau peut être en plusieurs pièces, réunies entre (‘Mes par des armatures intérieures, ou lanternes, qui servent de support au sable.
- — En mécanique, on appelle noyau l’axe ou la partie cylindrique d’une vis qui est entourée de parties hélicoïdales en saillie, nommées filets.
- NOYÉ. — On dit qu'un carburateur est noyé, lorsque (le pointeau du carburateur n’agissant plus, c’est-à-dire ne fermant plus) l’essence emplit entièrement la chambre du flotteur, arrive, par conséquent, en trop grande quantité à Y ajutage et déborde, en coulant à terre.
- NOZAL Fils Aîné, essieux, ressorts pour la carrosserie, fers, 9, quai de l’assy, Paris. — Tel. (>91-62, 691-89, 691-96, 691-99; cl 182, avenue de Paris, à la Plaine-Saint-Denis (Seine). Tel. 430-89. — Marque “N. Z.”. Adr. tél. Nozafer-Paris.
- N. S., accumulateurs. — Voir Méran Frères, Paris.
- N. S. U., motocyclettes. — Voir Xecfcar-sulmer Fahrradwerke A. G. (Wurtemberg); et Le Metals et Fils, Paris.
- NUBE (Gard), machines-outils à fraiser, découper, estamper, à Oilenbach-sur-lc-Mein (Allemagne); et 92, boulevard Hichard-Le-noir, Paris.
- NUMÉROS. L es voilures automobiles, les motocyclcs et les motocyclettes, qui peuvent dépasser une vitesse de 3o kilomètres à l'heure, doivent obligatoirement porter, à l'avant et à l’arrière, des numéros matricules individuels, indiqués et imposés par le Service des Mines.
- Chaque automobile doit, en plus, être munie d’une plaque sur laquelle sont inscrits le nom du constructeur, la lettre de série et le numéro de la voiture sortant de l’usine ; par exemple : “X..., constructeur; voiture type II,
- numéro 163
- L'Administration des Mines lixe elle-même les numéros matricules qui sont formés d’un groupe de chiffres arabes suivis des lettres caractéristiques de chaque arrondissement minéralogique ; ils sont reproduits sur des plaques d'identité placées à l’avant et à l’arrière du véhicule, en caractères blancs sur fond noir, de dimensions déterminées. (Arrêté ministériel du 12 septembre 1901).
- — L'avant d'une voiture doit porter deux lanternes dont l'une à feu blanc et l’autre à feu vert. Ce feu vert est ordinairement, et facultativement, placé à la gauche de la voiture.
- Le verre vert équivalant à peu près à un véritable écran opaque, il est d'usage constant de disposer sur le verre blanc d'une des lanternes un tout petit secteur vert, ou une très étroite bande de verre vert qui met intelligemment le possesseur de la voiture à peu près en règle avec la loi.
- Inutile de rappeler que les lanternes ne servent que de feux de position et qu’un ou deux phares très puissants sont absolument indispensables, pour une course de nuit, si petite soit-elle, sur route.
- — L'avant d'une voiture doit porter une plaque placée en évidence dans un plan vertical à l'axe longitudinal du véhicule. Sur celte plaque, non éclairée obligatoirement la nuit, seront peints, en caractères blancs sur fond noir, un numéro d'immatriculation et des chiffres, indiqués par l'ingénieur en chef des Mines do l’arrondissement.
- Celle plaque aura les dimensions suivantes :
- Hauteur «les chiffres ou lettres.... ^5 m/ Ul
- Largeur uniforme du trait........... 12 —
- Largeur du chiffre ou de la lettre.. t\~y —
- Espace libre entre les chiff. ou les lell. 3o — Hauteur de la plaque................ 100 —
- — h'arrière de la voiture doit porter une plaque sur laquelle les chiffres et les lettres sont peints en caractères blancs sur fond noir, avec les dimensions suivantes :
- Hauteur des chiffres ou lettres........ 100 m/m
- Largeur uniforme du trait.............. i5 —
- Largeur du chiffre ou de la lettre..... Go —
- Espace libre entre les ch i ff. ou les lell. 35 —
- Hauteur de la plaque................... 120 —
- Le groupe des chiffres sera séparé des lettres par un trait horizontal, placé à moitié hauteur de la plaque, avec les dimensions suivantes :
- Largeur (sens vertical)........................ i5m m
- Longueur (sens liorizontal).................... 60 —
- Espace libre entre le trait et les chiffres
- ou lettres.................................. 35 —
- La plaque doit être éclairée, la nuit, par réflexion, ou au moyen d'une lanterne éclairant par transparence un verre laiteux recouvert d'une plaque ajourée, portant les lettres et chiffres. |
- F, filets. — N, noya u d’une vis.
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- etc., etc.
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- co (prononcez : oméga). — Symbole de vitesse angulaire.
- OBERSPRÉE (Gummiwerk), fabrique de pneumatiques « Motor », Obcrscliomvcide, près Berlin (Allemagne).
- OBLIN, vente d’Amsterdam, Paris.
- d'automobiles, Tel. 250-3r.
- 4 9,
- OBTURAN-TINE, mastic spécial pour pneumatiques. — Voir Dunlop, Paris.
- OBTUS. —
- Pn angle est, dit obtus lorsqu'il est plus grand qu’un a n gle droi l, c'est-à-dire qu 'i! mesure plus de 90 degrés.
- OBUS. — Petit clapet en caoutchouc, en forme A'obus conique (terminé par une aiguille servant, de guide), qui obture la valve de certaines chambres à air (Michelin).
- On appelle aussi obus une sorte de pointeau renversé, un clapet métallique en forme de cône qui, dans quelques carburateurs, ferme l’entrée de l’essence lorsque le flotteur a atteint, la hauteur normale dans sa chambre, sous la poussée de l’essence. —
- Voir Carburateur. A, aiguille.
- O, obus.
- OCCASION-SPORT (//)>
- journal, ^, rue de Provence, Paris.
- OCCLUSION (Lois de 1’). — Le phénomène, dit occlusion, est l’absorption d’un gaz par un corps solide; le gaz est retenu par le corps. On a constaté, par exemple, que le charbon de bois condense dans ses pores de grandes quantités do gaz; que la mousse de platine condense facilement, l’hydrogène, par exemple. L’absorption d’un gaz par un solide a lieu avec dégagement de chaleur, môme quand il 11’y a pas d’action chimique.
- Les lois suivantes régissent en quelque sorte les phénomènes A'occlusion :
- i° Tout corps solide saturé d’un gaz peut encore absorber une quantité déterminée d’itn autre gaz ;
- 20 Pour les gaz difficilement liquéfiables,
- la quantité de gaz absorbée est proportionnelle à la pression ;
- 3° L'élévation de température diminue Vintensité du phénomène ;
- 4° L’occlusion produit une élévation de température qui peut faciliter les combi-11 a isons chimiques.
- OCTOGONE. — Figure géométrique à huit angles. — La somme des angles intérieurs d’un octogone est égale à douze angles droits.
- Le côté do Yoclogonc régulier, inscrit dans un cercle de rayon r, est donné par la formule : o,-(if> B,
- 1\ étant, le rayon du cercle circonscrit.
- ODAM et Cie, produits spéciaux pour la soudure autogène, 131, rue d’Avron. Paris. Tél. 9.38-9/1.
- ODE, commerce d’automobiles, garage, place d’Armcs, à Toulon (Var).
- ODOMETER. — Voir Veeder Mfg. Etats-Unis ; et Glacnzer et Perreuud, Paris.
- OEKING et C°, machines-outils, à Dusseldorf (Allemagnel : et 22, boulevard Voltaire. Paris.
- ŒIL. — On appelle œil un trou non fileté, percé dans une pièce métallique et destiné à recevoir une autre pièce, telle qu’un manche ; par exemple : “ l’œil d'un marteau La
- queue d’un clapet, est ordinairement percée d'un œil dans lequel pénètre la clavette qui relient le ressort de rappel.
- OERSTEDT (Unité d’). — On a donné le nom A'Oerslcdl à l’unité servant à mesurer la résistance magnétique ou réluctance. •— Voir ce mot.
- ŒUVRE DU SIÈCLE (L'), revue bimensuelle, 1 bis, rue Lallier, Paris.
- OFFICE GÉNÉRAL D AUTOMOBILES, commerce d’automobiles, 2/1, avenue Carnot, Paris.
- OFFICE NATIONAL DU COMMERCE EXTERIEUR, 3, rue Feydeau, Paris.
- OGGIONI (S iront) et C°, commerce d’automobiles et d’accessoires, g, via Lesmi, à Milan (Italie).
- OHM. — L'ohm (du nom d'un savant allemand qui a fait progresser les questions électriques) est l’unité de mesure de la résis-
- SACS CHAUFFEUR de LOUIS VUITTON
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- tance, en éleclricilé. — L’ohm est la résistance qu’offre, à o° centigrade, une colonne de mercure de 106 cm. de longueur et de i m. m.* de section, ou pratiquement un fil de cuivre rouge ayant un millimètre de diamètre et 5o mètres de longueur.
- — Ohm (Loi d’). — Loi fondamentale du courant électrique. L’intensité I du courant électrique dans un conducteur est proportionnelle à la différence de potentiel U à ses extrémités et inversement proportionnelle à la résistance R du conducteur.
- Si la différence de potentiel est donnée en volts et la résistance en ohms, l’intensité est donnée en ampères.
- Olim a en outre montré que la résistance R d’un conducteur est proportionnelle à sa longueur L et inversement proportionnelle à sa section S ; elle est en outre proportionnelle à un facteur S dépendant de la nature du conducteur. Ce facteur qui mesure la résistance d’un conducteur ayant l’unité de section (c;?ia) et l’unité de longueur (cm) s’appelle résistance spécifique ou résistivité. 11 se mesure en ohm-centimètre ; le plus souvent, pour les corps conducteurs dont la résistivité est très petite, on emploie le microhm-centimètre, soit ioü ohm-centimètre ou o,ooo ooi ohm.
- OHM-CM. — Abréviation de Ohm-centimètre.
- OHMMÈTRE. — Appareil industriel servant à mesurer la résistance électrique des fils conducteurs.
- OILTONNE, huiles minérales. — Voir Martin (Kre Ch.), Paris.
- OLDANO, soudure autogène de tous métaux, brûleurs, 46 bis, rue Gravel, à Leval-lois-Perret (Seine).
- OLDSFIELD (J. et R.), fabrique des lanternes « la Dépendance », à Birmingham (Angleterre). — Agents : lïussenot et Raynaud, Paris.
- OLDSMOBILE, automobiles. — Voir Olds Motor Works.
- OLDS MOTOR WORKS, automobiles Oldsmobile, à Lensing(Michigan), Etats-Unis.
- OLÉO (Société Générale des Huiles et Fournitures industrielles), 38, rue de la Folie-Regnault, Paris. Tel. qo2-36. — Bougie « Oléo-Magnéto » et « Oléo Tète de Nègre » ; huile «Oléo-Moto» ; compteurs de tours, piles, graisseurs. — Adr. lél. Oléocyl-Paris.
- pLÉOBLITZ, huile minérale. — Voir Reinach (E.), à Milan (Italie).
- OLÉONAPHT ALINE, huile minérale. — Voir Fenaille et Despeaux, Paris.
- OLÉONAPHTES (Société des), huiles pour moteurs, 25, rue de la République, à Marseille (Bouches-du-Rhône).
- OLÉOPOLYMÈTRES. — Appareils de graissage à débits réguliers et réglables, qui peuvent avoir un nombre très variable de départs, points d’où l’huile, tombant goutte à goutte (souvent proportionnellement à la marche même du moteur), se rend par des tuyaux aux cylindres, tètes do bielles, paliers principaux, etc. — Voir Henry, à Paris.
- OLÉOVALVO, huile minérale. —• Voir Compère et Faucher, Paris.
- OLIER et Ci0, matériel pour la fabrication des pneumatiques, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) ; et i4, rue Pérouzet, à Ar-genteuil (Seine-et-Oise).
- OLIVE. — Pièce mécanique qui a la forme générale d’une olive. Les boules de régulateur ne sont pas toujours rondes ; malgré leur nom, elles sont très souvent en olives, plus faciles à loger dans leur boite que des sphères.
- OLIVE (P.), bougies d’allumage, i4, impasse Laugier, Paris.
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- OLIVIERI, construction d’automobiles, ù Palerme (Italie).
- OLMI, co-associé de la Maison Debeauve et. Olmi, appareils d'allumage électrique, 6G, rue de Sèvres, Paris.
- OLYMPIA, pièces détachées pour cycles. — Voir Lagère et Ci0.
- OMNIA, Revue pratique de locomotion, 20, rue Duret, Paris (iG“). Tél. G36-02. — Revue fondée, le ior janvier 1906, parM.Baudry de Saunier qui en est propriétaire. — Le prix de l’abonnement annuel est de 18 francs pour la France et les Colonies et de 23 francs pour l’Etranger. —Un numéro spécimen à'Omnia est envoyé gratuitement à toute personne qui en fait la demande. Adr. tél. Omnia-Paris.
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- voiture. Le nombre de places el le nombre de glaces sont variables. Les (leux banquettes intérieures sont disposées l’une en l'ace de l'autre, parallèllcmcnt au grand axe de la voiture. Un omnibus est un break fermé.
- L’omnibus n’a pas de spécification de forme. Il ne faut pas dire : « un omnibus-bateau, ou un omnibus deux cintres » ; on n’exprime que le nombre des places : « un omnibus à /|. é G places », etc.
- Si le siège du conducteur est recouvert par une capote, cette voiture est appeléo omnibus à capucine.
- La question des omnibus, tant pour les villes que pour la banlieue des villes, est de la plus liante importance, mais de solution très difficile malgré son apparente simplicité. Quelques maisons seulement ont trouvé des solutions heureuses, parmi lesquelles nous pouvons citer :
- — Aiuès (Société Anonyme), 3i), quai d’Ar-gcnteuil, à Villcncuvc-la-Garenue (Seine).
- —• Automobiles Industriels (Société Générale des), 3, rue Yignon, Paris.
- — Bayard-Clé ment, quai Michelet, à Lc-vallois-Pcrrct (Seine).
- — Benz et G'0, à Mannheim (Allemagne).
- — Beixliet, 12, chemin des Qualre-Maisons, à Lyon (Rhône).
- — Clément-Gladiatou, au Pré-Sainl-Gcrvais (Seine).
- — Diî Diétrich, 12, avenue de Madrid, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Métallurgique (La), à Marchicnno-au-Pont, près Gharlcroi (Belgique).
- — Paniiaud et. Levassoh (Société des Anciens Etablissements), iq. avenue d'Ivrv, Paris.
- — Pantz (Ch.), à Pont-à-Mousson (Meurthe-et-Moselle).
- —• Puuhey (V.), omnibus à vapeur. 21, boulevard J.-J. Bosc, à Bordeaux (Gironde).
- — Renault Frères, i.3q, rue du Point-du-Jour, à Billancourt (Seine).
- — Rogiiet et Schneider, by, chemin Fouillai, à Lyon (Rhône).
- — Züst (Roijerto), /|0, via Borgognone, à Milan (Italie).
- OMNIBUS AUTOMOBILES DE PARIS. — Voir Autobus.
- OMNIUM AUTOMOBILE, garage, commerce d’automobiles, 10G, rue Cardinct, Paris.
- OMNIUM DES ASSURANCES. —
- Voir llanciau, Paris.
- ONDE EXPLOSIVE. -Quand le mélange tonnant, dans un moteur, est allumé par l’inllammatcur, toute la niasse de la cylindrée ne prend pas feu au même instant, quoique la vitesse de propagation de la flamme soit extrêmement rapide et puisse atteindre 2 000 m. par seconde avec un mé-
- lange riche. Cette rapide propagation de l’inilammation ne s’opère que de proche en proche, d’une façon analogue à celle du son ; elle est désignée sous le nom d’onde explosive.
- ONGLET. — Deux pièces de bois sont dites “ assemblées à onglet”, lorsque les angles formant queue d’aronde ont chacun 45 degrés.
- — O11 désigne aussi, en géométrie, sous le nom d'onglet un angle dont l’ouverture est celle de la moitié d’un angle droit, soit l\b°.
- OPEL (Adam) AUTOMOBIL-WERKE, construction d’automobiles, à Rüssclshcim-sur-le-Mein (Allemagne) : et 20, Paulslrasse, à Berlin (Allemagne).
- OPEL-DARRACQ ( Aulomobil- Central), commerce d’automobiles, garage, G3, Graf Adolfstras.se, à Düsseldorf (Allemagne).
- OPÉRATEUR. — Laboulaye a donné le nom général d'opérateur à tout système actionné par un moteur et utilisant la puissance de ce moteur à une opération quelconque (la propulsion du véhicule, par exemple, dans le cas où il s'agit d’une automobile) .
- L’équilibre dynamique d'un moteur actionnant un opérateur est défini par l’égalité entre la puissance produite par ce moteur et la puissance absorbée par l'opérateur.
- OPÉRA - AUTOMOBILE , commerce d'automobiles, garage. — Voir Suberbie (L.), Paris.
- OPTIMA, enveloppe-cuir. — Voir For-lier-Beaulieu, à Roanne.
- OPTIQUE COMMERCIALE (U), fabrique de lentilles pour phares el lanternes, générateurs d'acétylène, y, rue de Malte, Paris. Tel. q33-/|3.
- O. R., phares. — Voir Phares-Optique.
- ORDONNÉE. — Voir Coordonnées.
- OREILLE. — On appelle oreille la partie isolée d’une masse qui sert le plus souvent d’articulation à un levier quelconque. Les carters de moteurs, de changement de vitesse, etc., sont ordinairement munis d'oreilles, ou renflements en saillie, qui reposent sur le châssis et dans lesquels passent les boulons d’assemblage qui les iixent au châssis.
- OREL, construction d’automobiles, i3o, rue de Saint-Germain, à Argcnleuil (Seine-ct-Oise) ; et 12, place de la Nation, Paris.
- ORGE VAL, garage, commerce d’automobiles, 23, rue de Paris, à Argentan (Orne).
- ORIENT (Automobiles). — Voir Wal-tham Mfg C°, Etats-Unis. |
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- ORION (Construction d'automobiles), llardtunnstrasse, à Zurich (Suisse).—Agence pour la France : ii5, rue de Paradis, à Marseille (Bouclies-du-Rhône).
- ORION (Società Ilalo-Svizzera), vente d’omnibus et de camions automobiles “ Orion”, 32, via Vincenzo Monti, à Bologne (Italie).
- ORLANDO F. WEBER C°, commerce d’automobiles, i322, Michigan avenue, à Chicago (Etats-Unis).
- ORLÉANS CARS, automobiles, Berry Street, à Liverpool (Angleterre).
- ORLY, carburateurs, 28, rue des Arts, à Levallois-Perret (Seine).
- ORMOND AUTOMOBILE C°, commerce d’automobiles, Jefferson avenue, à Brooklyn (Etats-Unis).
- ORNEMENTS (Société Française des), réservoirs et capots, 52, boulevard Richard-Lenoir, Paris.
- ORTEGA y GOYTRE, ingénieurs, commerce d’accessoires pour automobiles, 12, San Mateo, à Madrid (Espagne).
- ORTELLI, commerce d’automobiles, garage, boulevard Carnot, à Cannes (Alpes-Maritimes).
- O. S., tachymètres et odolachymètres. —• Voir Seignol et Searle, Paris.
- OSBORNAND C°, commerce d'automobiles, 6, Great Malborough Street, Regent Street, à Londres (Angleterre). Adr. tel. Os-bolor-London.
- OSMIUM. •— Corps simplo métallique, de la famille du platine, de couleur bleu indigo. très dur, un peu moins fusible que l’iridium. Entro dans la constitution de l’al-liago platinique pour l’allumage catalytique.
- OSMONT [Georges). — No à Paris, le 5 février 1854, coureur réputé.
- OSSANT Frères, silencieux, 4<J> rue de Paris, à Puteaux (Seine). — Voir Durand 178, boulevard Péreire, Paris.
- OSSUL [Pedro), fabrique de clefs en tube d'acier, io5, rue du Mans, à Courbevoie (Seine).
- O. T. A. V, voitureltes. — Voir Turck-hcimcr (Usines), à Milan (Italie).
- OTTO, construction de voitures et de canots automobiles, 2/12, rue Lecourbe, Paris. Tél. 518-91.
- OTTO (Compagnie Française des Moteurs à gaz), i35, rue de la Convention, Paris. Tél. 518-91.
- OTTO BENNETT MOTOR C°, accessoires pour automobiles, 8, Snow-Hill, à Londres (Angleterre).
- OTTOLINI, garage, commerce d’automobiles, 22, via Vivaio, à Milan (Italie). Tél. 15-39.
- OUDINET (G. et R.), bois cintrés pour carrosserie, à Molion (Ardennes).
- OUDOT Frères, pièces de forge, 12, rue de l’Argonne, Paris.
- OURAGAN ( Huiles minérales). — Voir Rastit (Société Henri).
- OURY-LABRADOR, fabrique et réparation de pneumatiques, i5, avenue Mac-Mahon, Paris. Tél. 5o8-52.
- OUTHENIN-CH AL ANDRE(M-),
- commerce d’automobiles, 4, rue de Chartres, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tél. 538-55- Adr. tél. Ghalandre-Ncuilly-sur-Seine; et 02, av. de la Grande-Armée, Paris. Tél. 511-45. Directeur : M. Gaëtan de Knyff.
- OUTILLAGE ( Société Française du petit), fabrique d’outils et accessoires pour l’automobile, à N'ouzon (Ardennes).
- OUTILLAGE (Société Franco-Américaine d'), machines-outils, mo’curs, 3i, boulevard Richard-Lenoir, Paris. Tél. 915-85.
- OUTILLAGE MODERNE (L ), fabrique d’outils, i36, rue Vercingétorix.
- OUTILS. — Aides, de métal ou de bois le plus souvent, qui servent à l'homme à exécuter la plupart de ses travaux. Une plume pour écrire et un rabot sont tous deux des outils. — Quand l’outil est de grosse dimension ou qu’il ne peut être entièrement manœuvré à la main, il prend le nom de « machine-outil ». — Le nombre des outils et des machines-outils est à peu près incalculable. 11 s'en crée tous les jours.
- — Les outils (emmanchés ou non) fabriqués à l’étranger, subissent, à leur entrée en France, un droit de douane de : 12 francs (tarif minimum) ou de 18 francs (tarif maximum), par 100 kilogrammes, lorsqu’ils sont en fer pur ; un droit de 22 francs ou de 25 francs, par 100 kilogrammes, lorsqu’ils sont en acier ou en fer rechargé d’acier ; un droit de 3o francs ou de 35 francs, par 100 kilogrammes, lorsqu’ils sont en cuivre.
- Le conducteur d’une automobile a besoin d’outils spéciaux assez nombreux. Il les trouvera notamment dans les maisons suivantes :
- — Auto-Palace, 55 bis, av. de la Grande-Armée, Paris.
- — Auto-Stand, 20, rue Duret, Paris.
- — Besse, 3g, rue de Lappe, Paris.
- — Comiot (G.) 85, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris.
- — De Fuies et Gi0, 19, rue de Rocroy, Paris.
- CHAINES RENOLD fîïïrîKS
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- —• Glaenzer et Perreaud, outils pneumatiques et outillage général, i, aveque de la République, Pans.
- — IIussenot et Raynaud, 3g, rue La Boétie, Paris.
- — Mestre et Beatgé, 5, r. Brunei, Paris.
- — Santa-Maria (De), G, rue de la Chaussée-d’Antin, Paris.
- — Société La Française, i i , rue Brunei, Paris.
- OUVRAGES BAUDRY DE SAUNIER. — Tous les ouvrages de M. Baudry de Saunier sont édités par lui-mème depuis 1893 et sont sa propriété. — Bureaux : 20, rue Duret, Paris. Tél. 67G-02. — L'Automobile théorique et pratique — Les Recettes du Chauffeur. — Le Manuel de la Bicyclette. — Les Motocyclettes. — L'Allumage dans les Moteurs à explosions. — Les Eléments d'Automobile. — L'Art de bien conduire une Automobile. — Omnia, revue pratique de locomotion. — L’Annual Baudry de Saunier (en Société).
- Les ouvrages Baudry de Saunier 11’ont aucun dépositaire général. Les particuliers, les libraires, agents, etc., doivent donc s’adresser directement 20, rue Duret, Paris, pour obtenir livraison de ces ouvrages.
- OUVRARD (C.) et Cle, fabrique de lanternes et phares, 24, rue de la Douane, Paris. Tél. 44o-a6.—Directeurs : M. Ouvrard et M. Villars.
- OUVRIERS (Association Générale des), fabrique de cornets avertisseurs, 81, rue Saint-Maur, Paris. Tél. 919-46.
- OUZOU et Cle, garage, commerce d'automobiles, 241, boulevard Pércire, Paris. Tél. 548-82. — Agents des automobiles Florcntia.
- OVALISATION. — Se dit d'un coussinet dont l’alésage a été déformé par l’usure
- et a pris une forme ovale, les efforts produisant l’usure agissant généralement dans une direction à peu près constante (tension de courroie, efforts transmis par la bielle, etc.).
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- OXYDE DE CARBONE. — Composé gazeux, formé par l’oxydation (ou combustion) imparfaite du carbone ou charbon ou des matières carbonées, sous l’action de l’oxygène ou do l’air atmosphérique. Symbolo CO. Extrêmement vénéneux et toxique, il agit sur l’économie humaine par les voies respiratoires en se fixant sur le globule sanguin et en empêchant les phénomènes vitaux d’absorption de' l’oxygène par le sang. 11 est d’autant plus dangereux qu’il est inodore et insipide et que sa présence dans l’air ambiant n’est pas décelée à nos sens. 11 y a donc lieu d’éviter le plus possible d’inhaler les gaz de l’échappe-ment toujours plus ou moins chargés de ce dangereux gaz.
- OXYGÈNE. — Corps simple mélalloï-dique. Symbole O. Poids atomique 16. Universellement répandu dans la nature, soit à l’état libre, en mélange avec l’azote et constituant l’air atmosphériquo, soit à l’état de combinaison avec l’hydrogène constituant les eaux (IPO),ou avec les métaux ou métalloïdes constituant l’écorce terrestre (chaux, argiles, sables, etc.).
- Est l’agent actif de toutes les combustions industrielles. — Voir Combustion.
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- P. — Lettre indiquant que le véhicule qui la porte fait partie de l’arrondissement minéralogique de Poitiers (Vienne).
- P. — Symbole de puissance.
- p. — Symbole de pression.
- tt (prononcez : pi).— Symbole représentant le rapport du diamètre à la circonférence voir {circonférence). — La valeur de ir = 3,i4i5q2()5/|.
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- '2 TT G,28819 TT2
- 4 TT 12,56637 I 7T;î 0,o3225
- 7T
- 1,07079 1
- 4 TU 0,07960
- 7T X 0,780.40 4 T* cc 00 VJ
- I O 00 oc TT2 9,8G9G0
- 7T;î 31,ooG3
- Voir Racines usuelles.
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- P ABOIS, garage, commerce d'automobiles, 5, boulevard Victor-IIugo, à Nantes (Loi-re-Inlérieure).
- PACHE, app; ireils d’alluinago, 6, rue des Naueltes, Paris. Tel. 922-15.
- PACKARD ELECTRIC C°, câbles pour l’électricité, à Warren (Ohio), Elals-Unis.
- PACKARD (MOTOR CAR C°, construction d’automobiles, à Détroit (Michigan), Etats-Unis ; et i54o, Broadway, à New-York.
- PADEY, garage, commerce d’automobiles, 7, rue Vcrsonnex, à Genève (Suisse).
- PADUS (Fa bbrica Automobili), construction d’automobiles, i5o, via Gottolengo, à .1 Turin (Italie). Tel. 2000. Adr. tél. Padus. Société Anonyme au capital de 4<>°ooo francs.
- PAGE MOTOR VEHICLE C°, construction d’automobiles, à Providence (B. I.), Etats-Unis.
- PAGIS (Henri), 27, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél. 073-08. Négociant en cycles. — Le nom dePagis est intimement lié à l’histoire de la vélocipédie dont il fut un des plus actifs propagateurs. S’adonnant au cyclisme, dès 18G9, il fut rédacteur à la Vie Sportive, à la
- Revue des Sports f • ,1
- au Sport Véloci-pédique, etc . : fonda, en 1881,
- VUnion Yéloci-pédique de F rance, dont il fut le président ( 1896 à 1901). — En 1900, a été président du Comité d’organisation des concours in-| I ernationaux de | v é 1 o c i p é d i e de | l’Exposition uni-! vcrscllc. — M .
- I ’ a gis a couru j avec succès, à I grand bicycle, de 1870 à 1890. — Ancien directeur commercial do la Compagnie Générale des Cycles et Automobiles Hochet.
- PAGIS et Cic, bicyclettes et motocyclettes « Hegina », 27, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tel. 07.3-08. Usine à Albert (Somme).
- PAILLARD (A.), freins Lemoine, 9, rue Daumesnil, à Vincennes (Seine).
- PAILLERET, garage, commerce d’automobiles, 8, place de l’Hotel-de-Ville, à St-Lliennc (Loire).
- PAILLET (Raoul), garage, commerce d’automobiles, n5G, boulevard de la Plage, à Arcachon (Gironde). Tel. 0-0G.
- PAILLETTE. — Nom qui est parfois donné au talon d’un trembleur frottant sur une came. — Voir Trembleur.
- RHÂRESu'lCÊTYLÈNE‘‘JUPITER”1™ÎS
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- PAILLON D’ARGENT. — Alliage de cuivre et d'argent, employé sous'la forme de rognures dans les opérations du brasage des métaux, en lieu et place de la brasure normale à base de cuivre et zinc.
- P. A. L., marque de fabrique de Potier, Aze. Lccorsier. Paris.
- PALAIS DE L’AUTOMOBILE, garage, 2i/|, 216, 218, boulevard Pércire ; el8i, boulevard (louvion St-Cyr, Paris. Tel. 53/j-5i et 559-79. Adr. tel. Palaisoto-Paris. Maison fondée en 1897. Directeurs : M. Ncubauer et M. Maurice Karman.
- PALAIS DE L AUTOMOBILE,
- commerce d'automobiles, 5^1, Fiftli avenue, à New-York (Etats-Unis).
- PALAIS DE L’AUTOMOBILE, garage, commerce d'automobiles. —\oir Masse et Cl°, Marseille.
- PALAIS DE L AUTOMOBILE, garage, commerce d'automobiles, 3i, nie Lé-pantc, à Nice (Alpes-Maritimes). Tel. 5-03. Adr. tel. Palais-Automobile-Nice.
- PALAIS DE L’AUTOMOBILE, garage, commerce d'automobiles, (h, boulevard Carnot, à Toulouse (Haute-Garonne). Tel. 3-oq. Adr. tel. Palaisauto-Toulouse. Succursale : Béziers-Automobile.
- PALAIS-ROYAL {Garage du), 8, rue de Valois, Paris. Tel. 310-87.
- PALAN. — Appareil de levage, composé de plusieurs poulies montées sur une chape commune, mais sur des axes de rotation
- non communs.— La corde ou brin prend des noms différents suivant sa position: la partie accrochée à la base de la chape supérieure se nomme d 0 r-mant, la partie sur laquelle on tire garant.
- PALERMI-TANI (Auto-mobili ), commerce d'aulomo-biles, 8 , via Galvani, à Païenne (Sicile).
- PALETTE
- Pièce de petites dimensions et généralement plate, q u i frictionne sur une .autre.
- Palette.
- un marchepied.
- B, brin ou cordc. - G, chape. — 1>, donnant. —G, garant. — P, palan.
- -• Plaque de loin lixér sur
- PALEWSKI et Cic, machines-outils électriques, G, square Pétrelle, Paris. Tel. 237-59.
- PALIER. — Partie horizontale d’une route : « Cette voilure fait du 60 en palier. »
- PALIER. — U11 palier est une pièce fixe destinée à supporter un arbre animé d’un mouvement de rotation. Quelquefois, il sert en meme temps de point d'appui à une butée ménagée sur l'arbre : par exemple dans l'arbre d'une Délice de navire. -- Eu automobile, tous les paliers sont aujourd'hui montés à billes (sauf, le plus souvent, ceux du moteur). — Voir Coussinets et Roulements.
- — Glaenzer et Ci0, paliers à billes, 35, boulevard de Strasbourg, 32, Paris.
- — Société Française des roulements a rilles, paliers à billes, 70, rue Franklin, à Ivry-Port (Seine).
- PALIER DE BUTÉE. 1 Tèce qui reçoit la poussée de l'hélice d’un canot automobile ; le palier de butée est ordinairement cannelé et à bain d'huile, ou, quelquefois, monté à billes.
- PALITA, garage, réparation d’automobiles, 3, avenue du Roule, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- PALLADIUM (Le), antidérapants, 1G, rue Durci., Paris.
- r PALLAS (pompes à air), 35, rue Jou-bert, Paris.
- PALLAVICINI DI PRIOLA et CAPPA (G.), construction d’automobiles « Aquila ». — Voir Aquila (Italie).
- PALLISSAUX (Adolphe-Guibert de)y agent de publicité, 18, rue delà Ghaussée-d'Anlin, Paris. Tel. 271-72. Né à Riom, le 5 novembre 18G7, — Médaille de sauvetage et palmes académiques. — S’occupe de publicité générale ; concessionnaire de la publicité dVlrwes et Sports et iV Armée et Marine. — Président d’honneur de l’A. V. A. — A pratiqué tous les sports et y a remporté de nombreux succès. —'Fondateur de l’yLssocm-tion Vélocipédique d'Amateurs ; ancien rédacteur sportif au Matin, à la Bicyclette, au Paris-Vélo, au Journal des Sports, etc. Membre de nombreux comités sportifs.
- PALMER. — Jauge ou calibre de haute précision qui sert à mesurer toutes les petites
- - J tjMoJuc v,&n.
- indiquant le ---- de millimètre
- épaisseurs et en particulier l'épaisseur des tôles. Gel appareil est basé sur l’écartement
- |Fait es connaître I J Ji MAI avant
- I vos corrections à La r\ IX IX La le 15 Octobre
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- exact que donnent deux pointes, dont Tune se déplacé par rapport à l’autre sous l’action d'un pas de vis parfaitement régulier, pointes entre lesquelles on place l’objet dont on veut déterminer l’épaisseur.
- Les pal mers ordinaires « donnent » le
- i
- — de millimètre; pour les travaux de haute
- précision, on se sert de paliners indiquant le
- 1
- --- de millimètres.
- 100
- PALMER AUTOMOBILE Mfg C°,
- construction d’automobiles, ^3i, Schofield Building, à Cleveland (Ohio), Etats-Unis.
- PALMER TYRE, Ltd (The), pneumatiques, 119, Shalïesbury avenue, à Londres (Angleterre). Adr. tel. Tyricord-London.
- PALONNIER. — Barro rigide destinée à répartir également l'effort sur les deux freins de roue des automobiles. La traction exercée par le levier de commande est appliquée au milieu du palonnicr et les tringles do commande des freins sont attachées aux extrémités. 11 s'ensuit que le palonnicr se comporte comme un fléau de balance où les deux efforts s’équilibrent exactement puisque leurs bras de levier sont égaux.
- PAN. — Face plane latérale d'un prisme. Pan e$L en outre synonyme de méplat.
- PANCHAUD, garage, commerce d’automobiles, rue de Genève, a Albertville (Savoie).
- PANHARD (L ouis-René), 5, rue Royale, Paris. — Né à Paris, le 27 mai i8/ji. Officier de la Légion d'honneur, chevalier du Mérite agricole. Fondateur de la maison Panhard et Levassor.
- PANHARD et LEVASSOR (Société Anonyme des anciens Etablissements), automobiles, Kj, avenue d'ivry, Paris. Tel. 8oo-/|5, 8oo~GG, 800-86 et 80.4-91. Adr. tél. Palevassor-Paris. —Société Anonyme fondée en 1897, au capital de 5 millions de francs. Composition du Conseil d'administration : MM. Ménard-Dorian, Prévost, Iloltzer, Pier-ron, 1\. de Knyff, R. Panhard, IL Panhard, Lavcrtujon, Garnier. — Directeur général : M. A. Krebs. — Fabrique de machines à bois, scies à ruban, scies circulaires, voitures automobiles, moteurs à essence. Une des maisons les plus importantes de notre industrie.
- Ateliers de réparations : 26 et 28, rue Nationale, Paris. — Usine annexe : 83, rue Ernest-Renan, à Reims. — American Brandi : Broadway et G2ntl St. N. W. Corner, à New-York (Etats-Unis).
- — Les modèles 1907 de la Société des Anciens Etablissements Panhard et Levassor sont les suivants : 18, 21\. 35 et 5o chevaux. Les célèbres Etablissements de l'avenue d'ivry ne construisent plus ni le 2, ni le 3, ni le G cylindres.
- Les quatre modèles 1907 sont tous à quatre cylindres et possèdent tous l’embrayage mé-
- tallique. lis sont refroidis par une circulation d'eau déterminée par une pompe à engrenages qui tourne à demi-vitesse de celle du moteur. L’allumage est celui d'Eisemann. Le graisseur est de la maison Dubrulle, à déclic, du modèle qu’a toujours préféré la marque Panhard. La transmission comporte quatre vitesses dont la quatrième en prise directe. Toutes les voitures sont à chaînes. Les châssis sont en bois armé.
- La maison Panhard s’est surtout appliquée cette année à augmenter la facilité d'accès et de démontage de tous les organes de ses voitures. Elle donne là une fois de plus l'exemple, un exemple qui sera suivi partons les constructeurs, espérons-le.
- Spécialité de voitures Panhard et Levassor :
- — Auto-Palace, 77 bis, avenue de la Grande-Armée, Paris. — Palais de l’Automobile, 218, boulevard Péreirc, Paris. —Paris-Automobile (Henry Fournier, directeur), /j8, rue d’Anjou, Paris.
- Agents de la Société Panhard et Levassor.
- Départements. —Aix-les-Bams (Savoie) : Domenge Fils, square du Gigot. — Angers (Maine ct-Loire) : ,1. Malinge, 23, rue Paul-Berl.
- — Béziers (Hérault ) : Laporte, rue Nationale. — Biarritz (Basses-Pyrénées) : Agence du Littoral, /(, avenue de Bayonne. — Bordeaux (Gironde) : II. Laffitte, 124, cours du Médoe. — Caen (Calvados) : Chevalier et Yavasscur, 8, rue Singer. Carcassonne (Aude) ; Plancard, 5, allée d’Iéna. — Chartres (Eure-et-Loir) ; Darcclle, i/|, place des Epars. — Chàtcau-roux (Indre): Jahlin, 7, rue de la Gare. -Cognac (Charente) : Drounau. — Compiègne (Oise) : Goinard, 31, boulevard du Cours. ~ Epemay (Marne) : Jaeger Rouol, 3G, rue Saint-Laurent. — Evrcux (Eure) : Ed. Hcc, 07, rue Joséphine. Grenoble (Isère) : Magnat et Debon, Gq, cours Saint-André. Grenoble (Isère) : Guérin, rue de Strasbourg.
- — Lyon (Rhône) : Christy Medecel et Ci0, i, place d’IIelvétie. — Mâcon (Saone-et-Loire) : Bertrand, 10, quai Nord. — Montpellier (Hérault) : Boissel, 28, rue des Grenadiers. — Moulins (Allier) : Chapier Jeune, 12, rue Gambetta. — Na?ites (Loire-Inlérieure): Garage Phébus, 3, rue Copernic. —Narbonne (Aude) : Laporte, boulevard du Collège. — Nice (Alpes-Maritimes) : Agence du Littoral, 35, rue de la Paix. — Orléans (Loiret) : Delaugère et Clayette. —Pont-VAbbé (Finistère) : Criou. — Reims (Marne) : Usine Panhard et Levassor, 8, rue Ernest-Renan. — Rouen (Seine-Inférieure) : Ménager, 20, rue des Charrettes. — Toulouse (Haute-Garonne) : Laporte et Fils, 17, rue du Rempart-Saint-Etienne. — Tourcoing (Nord) : Agence Commerciale du Nord, 353, boulevard Gambetta. — Tours (Indre-et-Loire) : Clément, i3, rue Richelieu. — Vernon (Eure): Moche et Hoschèdc, 1, rue
- Des Anciens Établissements PANHARD & LEVASSOR
- VOITURES, CANOTS, MOTEURS. - 19. Avenue dlyry — PARIS
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- (le la Gravelle. — Vichy (Allier) : Chassaing ut Forcel, boulevard du Sielion. '
- Fthangeu.—Arnhem (Hollande) : Stokvis, iti, 19, Oude Kraan. — Bruxelles (Belgique) : Compagnie Internationale d’Automobiles, i4, rue du Magistrat. — Lisbonne (Portugal) : Bicardo O’Neill, 128, rua d’El Bei 11°. — Londres (Angleterre) : Harvey du Gros, 14, logent Street. — Madrid (Espagne) : Bellamar et G1', 9, Felipe IV. — New-York (Etats-Unis) : American Brandi, Broadway and 62 ud. Street N. W. Gomer. — Strasbourg (Alsace-Lorraine) : E. E. G. Mathis, a3, 25, Finkmattstrasse. Suisse : E. IG G. Matins.
- PANIER. - Voiture découverte dont les bâtis et les côtés du corps de caisse sont laits en osier.
- PANIERS D’AUTOMOBILE. — Sur
- l’es ailes des voitures automobiles, on dispose quelquefois de longs paniers d’osier, garnis intérieurement contre la poussière et la pluie, et renfermant le plus communément des chambres à air et quelques outils légers.
- — Cohnon, 10, rue des Usines, Paris.
- PANNEAU DE DÉCHIRURE.
- Fente suivant un méridien ménagée sur une certaine longueur dans l'hémisphère supérieur del'envelopped'un6fl//on. Getto fente se trouve masquée par un panneau d’étoffo que l’aé-ronaute, en tirant sur une corde, dite corde de déchirure, peut, soit découdre (type français), soit décoller (type allemand employé aussi en France). Le ballon se trouve ainsi vidé instantanément. Le panneau de déchirure est employé à l’atterrissage pour vider instantanément le ballon et supprimer le traînage, soit après l'atterrissage, conjointement avec la soupape, comme moyen de dégonflement normal et rapide. Syn. : volet de déchirure, panneau ou volet d'arrachement, ou de miséricorde.
- PANNE. — Ar rôt d'une voiture se produisant malgré la volonté du conducteur. — Voir l’ouvrage Les Recettes du Chauffeur.
- PANNE. — Partie amincie d'un marteau. — Voir Marteau.
- PANNEAUX. - P; irties lisses de la carrosserie qui sont généralement, bordées par des moulures ou des nervures. — En carrosserie, on doit toujours prendre le soin de disposer, intérieurement aux grands panneaux de bois de la caisse, une série de petits carrés en bois nommés taquets, qui sont collés et sont destinés à empêcher le bois (1e « travailler » par suite de la résistance qu’offrent leurs libres contrariées.
- — Panneau de lunette. — Panneau arrière d’une voiture formée, ainsi appolé parce qu'on y ménage souvent une petite ouverture munie d’une glace, appelée lunette.
- Le panneau de lunette est limité latéralement par les doux pieds-cormiers (voir ce mot), limité à sa partie supérieure par le toit ou pavillon et à sa partie inférieure par la frise, qui limite le panneau de dossier. —
- PANNETTON (Etablissements), motocyclettes, à Morteau (Doubs).
- PANTASOTE. — Terme commercial désignant un simili-cuir obtenu artificiellement par des procédés tenus secrets par les inventeurs.
- PANTASOTE {Le), cuir artificiel. — Voir Peck et Cle, Paris.
- PANTASOTE COMPANY, cuir artificiel, 11, Broadway, à New-York (Etats-Unis).
- PANTZ {Ch.), constructeur de camions automobiles et de châssis d'automobiles, à Pont-à-Mousson (Meurthc-ct-Moselle). Tél. 29.
- C'a racl éris-tiques des Gain i 0 n s P a n 1 z pour 1007 :
- Châssis-camions de 1 000 kgr. (moteur 9-11 chevaux) ; de
- 2 000 kgr. (mo-I eu r 9-11 chevaux) ; de 2 800 kgr. (moteur 12-i5 chevaux); de
- 3 5oo kgr. (moteur 12-10 chevaux) ; châssis omnibus de 20 personnes (moteur 12-iû chevaux). — Gliâs-sis acier en U ; roues en bois, bandages en acier. —• Moteur à l’avant, horizontal, à quatre temps, 2 cylindres. Carburateur L011-guemare. Allumage par magnéto ou par bobines et accumulateurs. Circulation d’eau par thcrniosiphon sans pompe. - Direction irréversible à volant. l\. vitesses et marche arrière. — Charges utiles, de 1 5oo à !\ 000 kilogrammes.
- PANTZ, ingénieur-constructeur, 38, rue Sibuet, Paris. Tél. 912-12.
- PAPAULT et ROUELLE, fal iricants de modèles en réduction, i5(j, rue Ober-kampf, Paris.
- PAPIER ÉMERI. — Papier qui a été enduit sur une de ses faces au moyen d’une dissolution de colle forte ou de gélatine, destinée à agglutiner et fixer de la poudre d’émeri (voir ce mot) de grosseurs variables, que l’on y a saupoudrée.
- — Papier de verre. — Le même que le précédent, en remplaçant l’émeri par
- CORNON
- 10, Rue des Usines, PARIS, 15' — Téléphone : 700-06
- Anciennement 6, Avenue Bosquet (Cité do l’Alma)
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- du sable ou de la poudre de grès plus ou moins fine.
- — Papier pôle. — Papier destine à déceler le pôle positif ou négatif d’une pile ou d’un accumulatetir, ou à reconnaître la polarité des fils d’une canalisation parcourue par un courant. Ce papier est basé sur les réactions électrolytiques des sels et le transport des bases ou des métaux au pôle.
- — Papiei'S d'identité. — Tout chauffeur doit avoir constamment sur lui son certificat de capacité et le récépissé de déclaration de son véhicule. Il lui sera toujours très utile d'avoir, en plus des pièces d'identité officielles, telles que carte d'électeur , quittance de loyer, livret militaire, etc., la carte d'identité ou carte du Touring-Club, avec signature légalisée et photographie apostillée de la signature du titulaire. — Lorsqu’on se rend à l’étranger, il ne faut pas oublier, au passage de la frontière française, de se faire délivrer par la douane un passavant descriptif de la voiture, pour n'avoir pas à verser les droits d’entrée, au retour en France.
- PAPILLON. —Petite plaque métallique pouvant pivoter autour d’un axe et diminuer plus ou moins la section d’un tube. Les papillons sont très souvent employés dans les carburateurs pour obturer, dans des proportions variables, les tubes d’aspiration qui amènent au moteur le mélange gazeux-cxplo-sif, tubes dits d'admission ou d'alimentation.
- — On nomme aussi papillon une fraise mince servant à pratiquer des fentes et à sectionner des barres métalliques.
- — Quelques personnes donnent encore le nom de papillons aux boulons de sécurité qui maintiennent Y enveloppe des pneumatiques dans la jante métallique.
- PAPIN (A Ibert), constructeur - mécanicien, i(>, rue du Change, à l’ours (Indre-et-Loire).
- PARA - 1 .a qualité la plus estimée des caoutchoucs naturels est récoltée*au Hrcsil bassin de l'Amazone). Le mode de récolte et de coagulation par enfumages réitirés et successifs est considéré comme l’une des causes de l'excellente qualité de ce caoutchouc (voir ce mot), qu’on connaît dans le commerce sour le nom de para.
- PARABOLE. Courbe plane telle que le carré de l'ordonnée d’un point quclconquc est, proportionnel à son abscisse lorsqu’clle est rapportée à son axe de symétrie et à sa tangente au sommet comme axe dos .r et des //
- PARAFFINE. - - Mélange d’hydrocarbures solides de la famille des hydrocarbures dits saturés appartenant à la série grasse.
- La paraffine présente une résistance considérable aux réactifs les plus actifs, tels que l’acide
- sulfurique, le chlore, etc., d'où son nom \ paru ni (peu), affinis (d’affinité). Elle est remarquablement diélectrique, ou isolante. De là son emploi comme isolant dans la fabrication des bobines d’allumage. La paraffine, solide à la température ordinaire, fond vers 5o° centigrades. — Voir Cérésine et Ozokérite.
- PARALLÈLE. — Deux lignes sont dites parallèles lorsque, étant dans un même plan, elles peuvent être prolongées à Vinfini sans se rencontrer. Ces lignes peuvent être droites ou courbes. — Deux plans sont parallèles l’un à l’autre lorsque chacun des points d'mi plan est à égale distance de l'autre plan.
- Pauam.ki.hs
- A, droites parallèles. — H, courbes parallèles,
- P, P’, plans parallèles.
- En optique, on admet ordinairement que les rayons du soleil sont parallèles.
- PARALLÉLIPIPÈDE ou parallélépipède. — Prisme dont les bases sont formées
- pardes parallélogrammes égaux et parallèles. — La hauteur est la hauteur commune aux deux bases.
- PARALLÉLOGRAMME. - Quadrilatère dont les côtés opposés sont égaux et
- 1 \v a A1.1. Kl. (Xi II A M M1 :s
- AUTOMOBILES ARlES
- 39, quai d’Àrgenteuil, 39
- VILLENEUVE-LA-GARENNE
- par Wsle-Saint-Denis (Seine).
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- parallèles. — Les diagonales d’un parallélogramme se coupent mutucllcmenl en parties égales. La surface d’un parallélogramme est obtenue eu multipliant la base par la hauteur.
- PARANT Frères, direction irréversible, fxg, rue Chauveau, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tel. .021.
- PARAPLUIE DU CHAUFFEUR
- — Vêlement imperméable pour l'automobile, imaginé par (iustave Strôm. et vendu par la Belle Jardinière, 2, rue du Pont-Neuf, Paris.
- PARC DES PRINCES ^Vélodrome
- <lu), 5 Auteuil (Seine). Tel. 697-50.
- PARCHENNE, automobiles. —• Voir Chalon, à Neuilly-sur-Seine.
- PARCLOSE. — Cadre en bois sur lequel reposent les coussins d'une voiture, à une place quelconque avant ou arrière. Le nom de purclose est cependant plus particulièrement réservé aux [tiares des maîtres ; le cadre des places des domestiques se nomme ordinairement le 3/070. Voir Voilure.
- PARDEE JOHNSON-HAMILL C',
- commerce d'automobiles, 1218, Michigan avenue, à Chicago (Etats-l’nis).
- PARE-BRISE, système llui/lier, 8.3, avenue .Malakolf, Paris. Tel. 682-12.
- PARENT, meranir i en-consl rurl en r, à
- Charleville 1 Ardennes).
- PARENT, carrosserie automobile, à
- 1 orry-Sedan \ Ardennes).
- PARENT, t iceessou'es pour automobiles, ié, rue .Michel-Lecomte, Paris.
- PARETTE, vente de cannons à vapeur, système Robert ( loldsrhimtl, rue de l llolel-des-Monnaies, a lîruxidles ( Belgique).
- PARIS. Capitale de la France, chef-lieu du departement de la Seine. Sa superficie est de 7 800 hectares ; elle est limitée par une enceinte lortifire formant un périmètre d’environ ,‘15 kilomètres. Sa population est de
- 2 71.4 000 habitants (en iqoi).
- Paris se trouve à 48° éo’ 2” de latitude nord, à o°o’ de longitude (Observatoire de Paris), à 2° 20’ 13" de longitude orientale par rapport à l'observatoire de (ireenwich; à do mètres au-dessus du niveau de la mer. L'intensité de la pesanteur est. à Paris, de y"',81012.
- Paris est divisé en vingt arrondissements 1 °
- comprenant chacun quatre quartiers.
- [
- TABLEAU
- DKS ARRONDISSEMENTS ET QUARTIERS UE PARIS
- I LOUVRE XI. POPIN'OURT
- 1. St-Germ.-rAuxers 2. Halles. 3. Palais-Royal. '\. Place-Vendôme. 41. Folie-Méri court. 4.2. Saint-Ambroise. 43. Roquette. 44- Sainte-Marguerite
- II. BOURSE XII. RELTLLY.
- é. Caillou. 6. Vivien 11e. 7. Mail. 8. Bonne-Nouvelle. 45. Bcl-Air. 46. Picpus. 47. Bercy. 48. Quinzc-Vingts.
- 111. Ti;mi; XIII. GOBELINL
- y. Arls-el-Méliers. 10. Enfants-Rouges. 11. Archives. 12. Sainlc-Avoye. 4y. Salpétrière, éo. Gare. éi. Maison-Blanche, é2. Croulebarbe.
- iv. iiotel-de-viui: XIV. OBSERVATOIRE
- (3. Sainl-Merri. 1 \. Saint-t Servais, lé. Arsenal, ifi. Notre-Dame. 53. Montparnasse. é.4. Santé. éé. Pet i 1 -Mon 1 rouge. 56. Plaisance.
- V. PANTHÉON XV. VAElilRAIII)
- ij. Saint-Victor. 18. .lardin-des-Planles ly. Val-de-(iràee. 20. Sorbonne. .57. Saint-Lambert. 58. Neeker. 5y. Grenelle. 60. davel.
- VI. LUXEMBOURG XVI. PASSE
- 2 1. Monnaie. 22. Odéon. 28. N.-1).-des-Champs 2 4. St-< Ierm.-d.-Prés. 61. Auteuil. 62. .Muette. 63. Porte-Dauphine. 64- Trocadéro.
- VII. l’M.AIS-ROUlîBON XVII. RATItiN d.lES-MtiNCEAU
- 2.5. Sl-Thom.-d'Aquin 2(i. Invalides. 2-. Ecole-Militaire. 28. ( iros-Caillou. 65. Ternes. 66. Plaine-Monceau. 67. Balignolles. (!8. Epiuellcs.
- VIII. ELYSÉE XVIII. B ET l'E-M 0 NTM Ail T R t
- / « 2y. ( Ihamps-Elysées. 30. l’aub.-du-Roule. 31. Madeleine. 3a. Europe. 6y. ( irandes-Garrièi'es 70. Clignancourl. 71. Goutte-d'Or. 72. < ilia [telle.
- IX. OPÉRA XIX. BUHS-CIIAEMUNT
- 33. Saint-Georges. 3/|. Chaussée-d'Anl in. 35. Faub.-Montmartre 36. Roeheehouart. 73. Ville! 1 e. 74. Pont-dc-Flandre. 7.5. Amérique. 76. Combat.
- X. ENCLOS-SAINT-LAURENT XX. MÉN1LM0NTANT
- 3}. S'-Vinecnt-dc-Paul 38. Porte-Saint-Denis. 3y. Porte-St-Martin. /|0. I lôpilal-St-Louis. 77. Belleville. 78. Saint-Fargcau. 79. .Père-Lachaiso. 80. 'Charonne.
- SACS CHAUFFEUR de
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- P A S
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- Les chiffres romains (VII, XII) désignent les arrondissements ; les chiilres arabes (4, ia, 29) désignent les quartiers.
- Lorsque les rues sont perpendiculaires à la Seine, leur numéro!âge commence à partir du Ileuvc ; lorsqu’elles lui sont parallèles, les numéros suivent le cours de la Seine, (sauf la rue Lal'ayelte, les avenues qui partent de l’Etoile, etc.), les bas numéros commençant en amont. Quand on remonte une rue, les numéros impairs sont toujours à gauche, les numéros pairs à droite.
- PARIS, commerce d'automohiles, 7, rue de Normandie, Paris. Tel. jo^-iô.
- PARIS (/,.) et C'A fabrique de palans et d’appareils de levage, 19, rue Montera, Paris. Tel. 912-32.
- PARIS (Pneumatique Le\. — Voir Biol. (Jules).
- PARIS-AUTOMOBILE (Société Anonyme), jS et 5o, rue d'Anjou, Paris. Tel. :«4o-i8 et Adr. tel. Pariaitlo-Paris.
- Société Anonyme fondée en iqoi, au capital de 000 francs. Directeur : M. Henry Fournier. Composition du Conseil d'administration : MM. Henry Fournier, baron de Caters, Paul Délier.
- Garage pour !\00 voitures; vente de voilures automobiles ; spécialité de voilures Jtala, Mercedes, Fiat, Mors, Panhard et Levassor ; ateliers de réparations; poste de recharge électrique. — Voir Jtala.
- PARIS et D’OUTREAU (Aciéries de). i5i, rue Obcrkampf, Paris. Tel. 902-G7.
- PARIS-GARAGE, vente d'automohiles, 20, rue Hrunel, Paris. Tel. 533-12. Adr. tel. Garabrunel-Paris. Directeur : M. Yendel.
- PARIS-LUMIÈRE (Société Anonyme),
- lampes, 172, quai de Jcmmapes, Paris.
- PARIS-MOTO , commerce d’automohiles, 71, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tel. 508-45.
- PARIS - TAILLEUR, ve temenls de sport, 3, rue du Louvre, Paris.
- PARISIENNE D AUTOMOBILES
- (Société), 10, avenue do la Grande-Armée, Paris. Tél. 5o3-4o(i et 5o3-47- — Société Anonyme, fondée en 1900, au capital de 310 000 francs. - Président du Conseil d’administration et directeur technique: M. Ernest Couturier ; administrateur-délégué et directeur commercial : M. Marcel Roger. Garage, réparations, vente d’automobiles. Représentants des voitures Panbard-Levassor et Mors. — Magasins d’accessoires et de pièces détachées.
- PARISOT (F ), carrosserie automobile, Gi, avenue de Wagram, Paris.
- PARISOT, commerce de motocyclettes et, de cycles, 91, avenue Malakoif, Paris.
- PARQUIN(VyeE.) (Tours-Garage), commerce d’automobiles, G5 bis, rue Victor-Hugo, à Tours (Indre-et-Loire). Tel. 4-09.
- PARSONS, (Compagnie Française de T Antidérapant), 9, rue de Rocroy, Paris. Tél. 4o5-g i .
- PARSONS NON-SKID C°, Ltd, antidérapants démontables à chaînes, 17.0, Manor Street, Clapham (S. W.), Angleterre.
- PARTINIUM. — Alliage d’aluminium. de magnésium et de tungstène, employé en automobile pour les carters et quelquefois pour des panneaux de voiture. — Son nom provient du nom meme de son inventeur, M. Par Un. — Voir Puteaux (Fonderies deh
- PARTIOT, cémentation, soudure autogène, 441 quai National, à Puteaux (Seine). Tel. 120.
- PAS. Pour jias d’une vis, voir Filet. 17,v. Pour juts d'un engrenage, voir Dent <Fengrenage
- O11 appelle pas inverses les pas en sens contraire pratiqués sur une tige filetée, comme par exemple sur les tendeurs de chaîne pour voilure, etc.
- lTn pas est métrique lorsqu'il s'exprime par un nombre entier de millimétrés ou de subdivisions décimales du millimètre.
- PASCALIS, produits pour le nickelage, 5. rue Chapon, Paris. Tél. 1.37-10.
- PASSAVANT (de circulation). Le
- passavant est une pièce fournie par la douane française, qui porte la description générale de la voiture, des accessoires, des roues, des pneumatiques, le poids total de la voiture, etc., ainsi que l'origine et le numéro du moteur. Cette pièce constate officiellement que telle voiture est sortie île France à telle date, et qu’elle y peut l'entrer sans avoir de droits a acquitter.
- Le passavant est. valable pendant un an. 11 est fourni soit à la Douane centrale, à Paris, 11, rue de la Douane (s'y rendre avec la voilure), soit à l'une quelconque des douanes établies sur les frontières de terre ou de mer (sauf le dimanche).
- — Passavant. — Pour en faciliter rétablissement, l'automobiliste se précaulion-ncra, au préalable, d'un certificat du fabricant, ou autre document, mentionnant la description aussi complète que possible du véhicule. Mais les préposés de l'Administration des Douanes sont, en droit d’exiger la vérification de visu : il est prudent, par suite, de sc présenter avec la voilure meme.
- PASSELAC (-1), caoutchouc manufacturé, pneumatiques Ad lloc, 3, rue Kléber, à Saint-Oucn-sur-Seine (Seine). — Magasin : 35, boulevard Magenta, Paris.
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- PASSE-PARTOUT. — Longue brosse à manebe qui sert à laver les voitures et qui peut atteindre, du moins en théorie, tous les
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- organes extérieurs d'une automobile, en un mot passer partout.
- PASSE-PARTOUT (Le), antidérapant en cuir l'erré. — Voir Mestre et lilatgé.
- PASSE-PARTOUT (Société des Automobiles, Ltd), 18, avenue de la Révolte, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tel. 553—îij. Adr. tel. Passejutrlout-Xeuil/y-sur-Seine.
- PASSEPORT. — L usage des passeports à l'intérieur, obligatoire en France autrefois, est depuis longtemps tombé en désuétude.
- Les passeports à l'étranger sont, par traités réciproques, supprimés dans tous les pays avoisinant la France, mais ils peuvent toujours être rétablis, chaque pays étant libre de laisser pénétrer chez lui qui bon lui semble.
- Si l'on entreprend un long et lointain voyage à l’étranger, il sera toujours très utile de se munir d’un passeport, ce qui constitue une excellente pièce d'identité ayant caractère officiel.
- Les passeports à l'étranger sont, délivrés aux citoyens français par les préfets et les sous-préfets (coût : o fr. Go, en principal). A Paris, les passeports sont, délivrés et visés à la Prélecture de police (i" division, /p bureau).
- PASSERAND, garage, commerce d’automobiles, Ga, (irandc-Rue, à Montcreau (Seine-et-Marne).
- PASSERAT et RADIGUET. carrosserie automobile de luxe, lay, rue Michel-Bizot, Paris. Tel. qia-V'L
- PASSY [Garage de), commerce d'automobiles, 12, rue Eugène-Delacroix, Paris.
- PASTEUR (Garage), commerce d'automobiles, 07, avenue de Saxe, Paris. Tel. 708-00.
- PASTILLES. — Fragments de caoutchouc gris ou rouge, vulcanisé, découpé en tontes dimensions et formes, destinés à être appliqués et collés, au moyen de la dissolution (voir ce mot), sur les crevasses ou perforations des chambres à air.
- PASTORINE (La), vernis pour carrosserie, 15, rue Bleue, Paris. Tel. i/|8-oi.
- PATAKY (IL et lY.), brevets d'invention, 58, rue Lafayette, Paris.
- PATENT. —• Moyeu retenu sur la fusée au moyen de l’écrou terminant celte dernière.
- Le dispositif a fait l'objet, au commencement du xix“ siècle, d’un brevet anglais, patent, d’où son nom. — Voir Moyeu.
- PATIN. — Partie plane de l'essieu, formant plate-forme, sur laquelle est fixé le tasseau en bois qui supporte le ressort de suspension. — Voir Essieu.
- PATIN (Mécanique, freins). —Organe mobile guide entre deux glissières dans une machine à vapeur (patin de la crosse du piston). Patin sert aussi à désigner toute pièce de machine servant de support, et pouvant glisser sur la table qui lui sert d’assise, comme par exemple le patin ou semelle d’un chariot, de machine-outil.
- Patin est quelquefois employé pour désigner les sabots de freins dans les freins è sabot ou à mâchoires (freins de chemins de fer, etc.).
- — Tohiuliiox (Société Anonyme), patins de freins, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- PATIN (<>.), bandages élastiques, 10, rue Théophile-Gaul ier, Paris.
- PATIN AUTOMOBILE COSTAN-TINI. Voir Progrès Automobile.
- PATTES D’ARAIGNÉE. — Rainures P creusées dans l’intérieur des coussinets L et destinées à canaliser l’huile de graissage, en la répartissant autour des arbres en mouvement qui frottent sur ces coussinets. — Les pattes d'araignée sont indispensables p oui-un bon graissage et doivent être constamment maintenues en parfait, état de propret é.
- PATTE DU RAI. — Voir liais.
- PAULMIER (Charles-Ernest), 3G, bon levard Maillot, à Neuilly-sur-Seine ' (Seine). Tel. fioq-Ha. Né à Caen, le 2 avril i8/j8.— Député, conseiller général du Calvados.
- PATTISON ( Officine et Canlinert 'Sapotetani), canots automobiles, à Naples (Italie).
- PAVESI et CRESPI, carrosserie automobile, 5, via Ycttabbia, à Milan (Italie).
- PAVILLON. — Partie évasée qui termine une trompe. — Le pavillon est ordinairement obturé par une grille en fils de cuivre très fins, qui laisse passer le son, mais qui empêche la poussière de venir s’engager sous Y anche, en la rendant muette.
- Le diamètre des pavillons varie ordinairement entre 1G0 et 200 millimètres; quelques cornets ont leur pavillon dc^forme ovale.
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- — Ou appelle aussi pavillon le dessus, le toit, d’une voilure fermée. — Voir Dais.
- PAVILLON ET GUIDON DU T.C.F.
- — Le Touring-Club de France délivre à ses
- membres , propriétaires d'embarcations de plaisance, le droit de porter son guidon dans les conditions suivantes :
- La concession de guidon est accordée aux seuls (ïrmo.N Dr T. C. F. membres du Tou-
- ring-Club et exclusivement aux propriétaires d'embarcations de plaisance, Yachts, Embarcations à la voile et à l'aviron.
- — Les embarcations battant pavillon du Touring-Club ont droit, en plus des avantages rappelés ci-dessus :
- Aux garages et appontcmenls aménagés par le Touring-Club dans les ports et sur les rivières et canaux ;
- Aux garages en cours de route, dans la mesure du possible, dans les locaux des Sociétés nautiques et Sociétés maritimes adhérentes ;
- Aux bons offices des délégués et aux services des agents nautiques ;
- Au bénéfice des remises et conditions spécules obtenues par le Touring-Club pour les réapprovisionnements de toutes sortes.
- PAWLOWSKI (William-Adam-Gaston de), 33 bis, boni, de Clichy, Paris. Tél. «8o-3a.
- Né à Joigny, le \f\ juin 187/]. — O f fi c i e r (l'Académie. — Homme de lettres ; docteur en droit. Ancien élèvo de l’Ecole des Sciences politiques.Membre del’A.C. F.
- Ancien collaborateur au Paris-Vélo, à la Bicyclette, au Journal des Sports, à Y Echo de Paris, au
- -M. ru; Pawi.owski J OUVnul , au
- Rire, etc. Membre du Comité directeur de FIT. V. F.— Ancien directeur-rédacteur en chef du Vélo et du Journal de VAutomobile. — Attaché à la direction du journal VAvlo.
- PAX, huile minérale, 188, rue du Fait-bourg-Saint-Denis, Paris.
- PAYEN (G.) (Maison), vêtements de sports, 7, rue de la République, à Lyon (Rhône).
- PAYSSÉ, emballages d’automobiles, 7, rue Martel, Paris. Tél. 295-48.
- PAZ et SILVA, piles et appareils électriques, 55, rue Sainte-Anne, Paris. Tél. 273-1 1.
- P. B., huile minérale. — Voir Lepvétre (L.) et Cia.
- PEARSE, de la Compagnie des Magnétos Simms-Bosch. — Voir ce nom.
- PÉCHARD, menuisier en voitures, 9, rue Grefïulhe, à Levallois-Perret (Seine).
- PÉCHENART et VASSON, fabrique de boulons pour automobiles, à Chàteau-Re-gnault (Ardennes).—Représentant : M. Vasson, 19S, boulevard Pereire, Paris.
- PÉCHOUX, directeur de la Subérinc, 8, boulevard de Vaugirard, Paris. Tél. 708-07.
- PECK (Wiliiam-E.) et C‘\ représentants d’Olds Motor Works (Oldsmobile), fi, rue Ré-ranger, Paris. Tél. 3a.2-o3.
- PECKHAM (E.W.) MOTOR SYNDICATS, Ltd, commerce d’automobiles
- Maxwell ”, /|0, Sackville Street, Piccadilly, Londres W. (Angleterre).
- PECTOR, pneumatiques. — Voir Belfuy et Simon.
- PÉDALE. —La plupart des voitures automobiles possèdent trois pédales : la pédale de débrayage qui sert, à « couper » la liaison du moteur aux changements de vitesse ; la pédale de frein qui agit, ordinairement en débrayant d'abord, puis en freinant sur un tambour monté sur l'arbre moteur, à hauteur de la boîte des vitesses ; et la pédale d'accélération qui supprime l’action du régulateur, en permettant l'arrivée au moteur d’une plus grande quantité de mélange gazeux. Quelquefois, il y a deux pédales de freins, ce (pii fait quatre pédales. Quelquefois même il y a une pédale de lancement du moteur, ce qui ferait cinq pédales !
- PÉDALIER. — Axe d'acier aux bouts duquel sont montées en opposition deux manivelles à pédales actionnant un cycle.
- Sur un des côtés de cet axe, monté à billes dans la boite du pédalier, est calé un pignon denté qui se trouve dans le même plan qu’une roue de même denture calée sur le moyeu de la roue motrice. Une chaîne unit le pignon et la roue d’arrière, si bien que le cavalier, en appuyant sur les pédales, fait tourner l’axe du pignon et entraîne par conséquent la roue motrice.
- Dans les bicyclettes a à roue libre » et dans les motocyclettes, où les pieds 11’actionnent pas continuellement les pédales, le cavalier
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- est contraint d’étre pour ainsi dire debout sur scs pédales et de demeurer ;\vec <( un pied en l’air », position peu élégante et assez
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- A, cadre.— cône «le rc^lajje. •— M, manivelle.
- 1», roue dentée. — S, pn<Mmiali«{ue.
- fatigante. La maison Warner a eu l’idée d’appliquer à scs motocyclettes un pédalier per-reclionné, en deux parties maintenues par un puissant ressort à boudin, qui supprime complètement cet inconvénient et permet au cavalier, pendant, la bonne marche du moteur, d’avoir les deux pieds à la meme hauteur.
- .. Tkiuiot iît (.>, fl, rue André-Colomban,
- Dijon (Côte-d'Or).
- PEDERSEN MANUFACTURING
- C\ fabrique de, graisseurs, (ija, First avenue, à New-York (Etats-Unis).
- PEERLESS, motocyclettes, ij, rue de la Véga, Paris. Tél. yï/j-58.
- PEERLESS MOTOR CAR C°, automobiles, /|A, Lisbon Street, à Cleveland (Ohio), Plats-Unis.
- PÉFOURQUE, consl ruclion de voilu-l'etles, carrosserie automobile, ia.o, me Chevallier, à Levallois-Perrel (Seine).
- PÉGAMOID. — Matière artificielle, imitant, le cuir, obtenue par une fabrication analogue à celle du celluloïd (voir ce mot), c'est-à-dire au moyen des celluloses nitrées. mais en surcroit additionnées de produits (huiles siccatives) susceptibles de donner au pégamoid l'aspect, du cuir, sa souplesse et son imperméabilité. Est utilisée pour confectionner les courroies et garnitures de voilures automobiles.
- PÉGASE [Moteurs). — Noir Marcel (liaoul).
- PEIGNE. -Instrument denté, muni d’un manche, dont on se sert pour faire, sur le tour, les pas de vis intérieurs (taraudage) et extérieurs (filetage). Les peignes remplissent
- le meme office que la filière et le taraud ; mais leur travail, plus rapide, est aussi moins soigné ; ils ne sont guère employés que par les tourneurs en cuivre et en particulier par les robinettiers.
- PEIGNET-CHANGETJR, représentant d’industrie, 5q, rue de Maubeuge, Paris. Tél. a59-72.
- PEILLON, commerce d’automobiles et de cycles, route do Saint-Etienne, à Izieux, près Saint-Chamond (Loire).
- PEINTURES. — Les peintures utilisées en carrosserie de luxe sont, pour les couches d’impression et d’apprêt, à base de cé-rusc. Pour arriver à faire un fond lisse, on ponce ces couches d’impression à la pierre factice. La voilure reçoit, alors scs couches de couleur ou lehiles ; ces couches sont à base d’essence et de vernis.
- Après celte opération, on donne 3 ou j couches de vernis à polir.
- Après chaque couche de vernis, ou polit avec de la ponce soie (en poudre). La dernière couche de vends, dite à finir, donne le brillant après lequel on doit laisser écouler un laps de temps de j à 5 jours avant de sortir la voiture.
- PEKRUN [Maschinen Fabrik), fabrique de machines-outils, à Coswig, près Dresde (Allemagne). - Adr. tél. Vmwigsachsen.
- PELGRIMS, essieux et ressorts, i jd, rue Neuve, à Bruxelles (Belgique).
- PELICAN ATHLETIC CLUB, rue
- des Acacias, Paris. .- Président : M. .1, Lion-
- ville.
- PÉLISSIER, (Prosper-Julicn), io.a, boulevard Bincau, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tél. 58i-5G. — Né à Paris, le ai août 1877. — Directeur commercial de la Compagnie Française des Voitures èleclromobiles.
- PÉLISSON et TROULET, garage, commerce d’automobiles, -o, rue Sainl-Bar-| thélemy, à Melun (Seinc-el-Marne).
- PELLADEAU, garage, commerce d'automobiles, -o, rue de Saintes, à Angoulème (Charente).
- PELLETIER, appareils d’éclairage, 2-, rue Croix-Jordan, à Lyon (Rhône).
- PELLETIER et MONIER, accessoires de sports, 11, ruo Le Pelelicr. Paris.
- PELLORCE (Ed.), moteurs à gaz et à pétrole, fl.j, r. de Bécon, à Courbevoie (Seine).
- PELON, métal anlifrielion. rondelles « Grover », -fi, avenue de la République, Paris. Tél. qiü-iG.
- PELTIER, mécanicien-constructeur, avenue d’Orléans, à Charleville (Ardennes).
- PELTIER Frères, pneumatiques et antidérapants, 18, rue Caqlc-lléberf, à Courbevoie (Seine). Tél. fia.
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- PENA (Lorenzo Perez), commerce d’au-lomobiles, à Saint-Sébastien (Espagne).
- PENAU, mécanique de précision, 105, rue du Faubourg-Poissonnière, Paris.
- PENDULE. — Le pendule à seconde est. quelquefois employé pour mesurer le temps, en place d’un chronomètre. La longueur du pendule qui (( bal » exactement la seconde est à Paris de o"',9()38 centimètres.
- PENELLE Fils, garage, carrosserie automobile, 20, avenue Thicrs, à Melun \Seinc-et-Marne).
- PENELLE Père, garage, commerce d’automobiles, l\o, avenue Thicrs, à Melun (Soirie-et-Marne).
- PENNSYLVANIA RUBBER CJ, fabrique de pneumatiques, à Jeannette (Pa.), Etats-Unis; et 1 (i(i5 Broadway, à New-York (Etats-Unis).
- PENNY (au pluriel : pence). - - Monnaie anglaise valant o IV. 10.
- PENTE, - Le mot penle est le terme exact employé par le Service des Ponts et Chaussées pour désigner l’inclinaison d’une route considérée, au point de vue de la descente, terme impropre,
- PÉQUEUR, garage, commerce d'automobiles. a.i, rue de Paris, à Evreux (Eure).
- PÉRARD, pneumatiques, fabrique de vulcanisaleur à froid, 8, rue Barouillère, Paris.
- PERCER UN TROU. N oir Foratje <1 Machines à percer (machines-outils).
- — (li.AKN/.KK ht-Pekhuaud, spécialité de perceuses rapides, 1, avenue de la République, Paris.
- PERCE VAL, garage, commerce d'automobiles, boulevard de l'Avrolle, à Millau (Aveyron).
- PERDRIOLLAT, d ireelcur commercial de la Société des Automobiles Pila ru, 17,
- chemin do Mou-plaisir, à Grange-Rouge, Lyon (Rhône). - A débuté dans l'industrie automobile en entrant, en 189b, à la Société Roclict et. Sclmeidcr, oi'i il est l’esté plus do dix années ; après avoir été un des principaux collaborateurs, il y a été le chef du service commercial depuis 1902 jusqu'à juin 190(1. M. Peuduiom-at époque à laquelle
- il est entré à la Société Pilain, en qualité de directeur commercial.
- PÉRÉ Frères, commerce d’automobiles et de cycles, à Baignes (Charente).
- PÉREAUX (Georges-Victor), 2/1, r. Brunei, Paris. — Né à La Cassine, en septembre iStij. Propriétaire-directeur de l’Auto-Stand, garage, commerce d’automobiles et d’accessoires, spécialité de voitures de Dion-Bouton et Motnbloc, 20, nie Duret, Paris. Tel. 53/|-.r>f>.
- PERE ROMEU, commerce d'automobiles, 33h, Coi’cega, à Barcelone (Espagne).
- PERES ( Jact/ues), machines-outils et graisseurs, j(i, boulevard Magenta (Paris).
- PÉREZ et C"!, appareils électriques et accessoires, 5o, nie de Paradis, Paris. Tel. 282-21. Adr. tel. illectrauto-Paris.
- PERFECTA, protecteur antidérapant. — Voir llouben.
- PERFECTA, pièces détachées et accessoires, 2, rue Adolphe-Adam, Paris.
- PERFORMANCE. Résultat obtenu dans une épreuve sportive quelconque.
- PÉRIGNON et ROUGIER. commerce d'automobiles, i.3, rue Descombcs, Paris.
- PÉRIGNON, VIGNET et Ci0, fonderie. (le cuivre, 20, rue de Uha/.elles, Paris. Tél. “>i3-8i.
- PÉRILLAT [Jeun), 28, rue Vernier, Paris. Officier (l'Académie. Chef de la comptabilité de la Société <les Automobiles O. G. F ; expert-comptable près les Tribunaux.
- PÉRIN {Ateliers ), garage, commerce d'automobiles, boulevard des Beux-Villes, à ( Jiarleville 1 Ardennes).
- PÉRIODE. --- Temps qui s'écoule entre deux passages d'un courant alternatif à la meme, valeur et dans le même sens.
- Dans les courants alternatifs, les deux phases successives et opposées varient approximativement comme le sinus, et périodiquement reprennent le même sens et des valeurs (‘gales.
- PÉRIPHÉRIE. — P arlie extérieure d'un volant. — Ex. : « Ce volant tourne
- à une très grande vitesse, 200 mètres environ pur seconde à lu périjthérie », c’cst-à-dire que ce volant, supposé roulunl sur sa ]>erip/uh'ie sur 1111c route idéale, aurait parcouru un espace de, 200 mètres en une seconde.
- PÉRISSÉ (/ mcieu), (>7, rue d'Amsterdam, Paris. Tél. dij-Cij. — Né a Paris, le 21 juin 18(17. Chevalier de la Légion d'honneur. -Ingénieur des Arts et Manufactures; arbitre-rapporteur au Tribunal de, Comme'ce de la Seine; secrétaire de lu Commission technique de l’A. C. F.
- PERLEENE, métal aiilifriclion. — Voir .lH.se/ier [Gaston), Nancy.
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- PERMÉABILITÉ MAGNÉTIQUE.
- — Rapport qui existe entre la force Ynagnéti-santc II et le llux d'induction B produit. Le coefficient de perméabilité se désigne par la lettre g. Par définition, il est égal à i dans l’air, c’est-à-dire que dans l’air la force ma-gnétisanle est égale à l'induction. Pour les corps magnétiques, g est beaucoup plus grand que i, et pour les corps non magnétiques il est plus petit.--Voir Saturation magnétique.
- PERMÉAMÈTRE. Ap pareil servant a déterminer la perméabilité magnétique. On mesure la force nécessaire pour arracher l'échantillon à essayer d’un cadre en fer très doux, pendant le passage du courant dans un solénoïdc magnétisant, qui entoure le premier.
- PERMÉANCE. — Facteur inverse du facteur de réactance. — Voir ce mot.
- PERMIS de circulation. — Pièce délivrée (coût o l'r. Go) par le bureau des Douanes du service d’entrée, sur leur demande, aux voyageurs qui importent en France dos inotocycles.
- — Permis de circulation internationaux. — Le Touring-Club de France delivre des Permis de circulation internationaux à ceux de ses membres qui veulent voyager avec leurs voitures automobiles en Suisse, en Belgique ou en Italie.
- — Permis de conduire. — Pièce (pie tout conducteur d'automobile est obligé de posséder, et qui lui est délivrée par le préfet ou le sous-préfet de son domicile (à Paris, par la Préfecture de police), après qu’il en a fait la demande et qu’il a subi un examen de compétence automobile. — Voir Certificat de capacité.
- PERNIN , mécanicien-constructeur, 2G, rue d’Albouy, Paris.
- PÉRODEAUD (Maurice). l\, place Carnot, à Choisy-le-Boi (Seine). Tél. ij. — Né à Paris, en i8f>G. — Ingénieur K. P. ; directeur général de la Société des Flablissements Faleonnel-Pérodeaud.
- PÉRON, garage, commerce d'automobiles, <j, rue de l’Leaille, à Kpernay (Marne).
- PERPENDICULAIRE. - 1 âgne droite qui en rencontre une autre en formant deux
- NO, perpendiculaire au plan M par son pieil P.
- angles adjacents égaux entre eux (angles droits. — Une droite est perpendiculaire à un
- plan lorsqu'elle est perpendiculaire à toutes les droites menées, dans ce plan, par son pied.
- PERRENOUX (Adolphe). — Né à Genève, le a5 avril i86/|. — Directeur commercial de la Société de Construction d’Auto-mobiles L e Trèfle « Quatre Feuilles, 2)3, avenue de la Grande - Armée,
- Paris.
- P E R R I -CHET et BARON, carrosserie automobile, modèle spécial “double boggy ", boulevard d’Asnières,
- 21\ (Ilcdcla.latle, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- PERRIER et C‘°, vente d’automobiles, 18, rue Godot-dc-.Mauroy, Paris. Tel. 277-71.
- PERRIGOT (Jules), 78, rue d’Anjou, Paris. Tel. 23a-i7.
- — Né à Vimou-tiers, le 3 novembre 18G1.
- Chevalier de la Légion d’honneur.— Propriétaire de la papeterie d'Archcs (Vosges). Licencié en droit; ingénieur des Arts et Manufactures. •— Président de l’A. C.
- Vosgicn et de plusieurs sociétés sportives.
- Auteur du « Code de la route >'.
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- PERRIN, garage, commerce d'automobiles, place d’Armes, à Blidah (Algérie).
- PERRODIL (C. lie), ingénieur ; rédacteur aux Spoj'ls, 20, rue St-Marc, Paris.
- PERRODY et C‘% garage, commerce d'automobiles, 218, avenue de Saxe, à Lyon (Rhône).
- PERROT (E .), constructeur du moteur de marine “ Lackawanna", à Vevey (Suisse).
- PERROT (Gaston), 8, avenue Ch.-Bonnet, à Genève (Suisse). Tel. 2882. — Ne à Genève en 1870. — Administrateur délégué de la Société Anonyme Perrot, Durai et Cle. Membre du Comité de l’A. C. Suisse.
- PERROT (Henri), rue Galilée, à Ivry-sur-Seine. -— Né à Paris, le 21 août 1883. — Ancien élève de l’Ecole de Châlons (promotion 1899-1902). — Secrétaire de la direction des Anciens Etablissements Georges Richard.
- PERROT, DUVAL et Ci0 (Société Anonyme), automobiles de grandes marques; agents des voitures La Ruire. — Garage : 10, rue Général-Dufour, à Genève (Suisse). Tel. 2882. — Atelier : 11, chemin Gourgas, à Genève. Tel. i6o5. — Stock Michelin.
- PERROTTE, modeleur, ^3, rue Sainl-Maur, Paris. Tel. 928-09.
- PERROTTE, garage, commerce d'automobiles, rue d’Alençon, à Lisieux (Calvados).
- PERRUQUE. — Expression d’atelier. — Faire une perruque se dit du travail exécuté par un ouvrier pour son compte, tandis qu’il est payé par le patron pour faire un autre ouvrage .
- PERSAN (Forges de), ressorts, essieux, pièces détachées pour automobiles, 29, rue Biquet, Paris. Tél. 4o3-3o et 441-89. Directeur : M. E. Potron, ingénieur des Arts cl Manufactures, maître do forges.
- PERSAN (Le), pneumatique. — Voir India Rubber Gutta-Percha, Paris.
- PERTE DE CHARGE. — Quantité d’électricité perdue par un accumulateur qui reste au repos et se décharge à la longue sans causes apparentes.
- Se dit aussi de la différence de tension existante entre celle fournie par les dynamos et celle constatée à l’extrémité de la ligne.
- Désigne d’une manière générale la chute de pression créée par l’écoulement d’un fluide à travers un oriüce ou une conduite.
- PESANTEUR. — F orce qui attire tous les corps au centre de la terre. L’action de la pesanteur sur un corps est mesurée par le poids de ce corps. C’est une quantité constante en un lieu donné. La pesanteur, étant une force constante, imprime aux corps qui tombent librement dans le vide un mouvement uniformément accéléré dont l’accélération g égale mètres 9,81 à Paris. Tous les corps si-
- tués à la surface du globe étant attirés au centre de la terre, la direction de la pesanteur est celle de la verticale. Elle est indiquée par le fil à plomb. Le point d’application de la pesanteur sur un corps est le centre de gravité de ce corps. —Voir Centre.
- PESSONNEAUX, suspension rationnelle pour automobiles. — Voir Gaillarde!, Paris.
- PESSORT (Léon), groupes moteurs, rue Porte-Madeleine, à Orléans (Loiret).
- PÉTAVY (J.), né le 8 octobre 1875, à Lyon. — Administrateur démissionnaire de la Société des Etablissements Mieusset. Occupe actuellement les fondions de secrétaire général de cette meme Société, dans laquelle il est chargé spécialement du service de la publicité.
- PETERS (Louis), MITTEL-DEUTSCHE GUMMIWAREN-FABRIK. A. G , fabrique de pneumatiques, a Francl'ort-sur-le-Mein (Allemagne).-— Succursales à Paris, Berlin, Milan.
- PETER (Louis) (Manufacture Générale d.e Caoutchouc), jante démontable Simplex et ' pneumatiques, 107, rue de Gourcellcs, Paris. Tél. 54«-6o.
- PETERBOROUGH MOTOR C’,
- automobiles, à Peterborough (Angleterre).
- PETIET (baron Charles), 8, rue Tliéo-dore-de-Banville, Paris. Tél. 56G-9G ; et au Bois - Saint-Martin, par Villiers - sur-Marne (Seine-et-Oise).
- —• Né à Paris, le 20 janvier 1879. Fils et petit-fils de Centraux et d ingénieurs de la Compagnie des chemins de fer du Nord, dont son grand-père fut un des fondateurs. — Ingénieur des Arts et Manufactures (promotion 1901)
- — Après avoir fait un stage aux ateliers Pan-hard et Lcvas-sor, a fondé la Société Ariès qu'il dirige en cumulant les fonctions d’administratcur-délé-gué et de directeur.
- PETIT, garage, commerce d’automobiles, 44, rue de la Rochelle, à Bar-le-Duc (Meuse).
- PETIT, fabrique de motocyclettes et de moteurs, 3o6, rue de Vaugirard, Paris.
- PETIT, modeleur-dessinateur, 18, rue d’Allemagne, Paris.
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- PETIT, garage, commerce d'automobiles, 2, rue de Paris, a Suzanne (Marne). '
- PETIT, 19, avenue d'Ivry, Paris. Directeur des ateliers de la Société des Anciens Etablissements Punhard et Lcvassor.
- PETIT (A.), cycles et motocyclettes,
- 1 o/|, boulevard Sébastopol, Paris.
- PETIT (Alfred), voitures à vapeur Fi-delia, t\, rue llanneloup, à Angers (Maine-et-Loire).
- PETIT (Ilipjxdi/le), 2.3, av. des Champs-Elysées. Paris. Tel. 5i2-5 ). — Né à Cala-
- manc, en x 851. — Ollicier d’Aca-démie. — Membre du Comité de l'A. C. E.; cons-l ru e I c il r des cycles Georges Richard ; agent général pour la l'Yanoo tics cycles e I automobiles I Imnber Beeston.
- Ex - directeur des usines Hochet.— Emulateur du premier manège vélocipédi-<] ne à Paris. — Président de la Chain lire syndicale du Commerce de E automobile ; secrétaire du Syndicat des Fabricants de cycles ; arbitre au Tribunal de commerce de Paris.
- PETIT (//.) et C10, cycles cl automobiles, .>3, avenue des Champs-Elysées, Paris. Tel. 5i2-5q. Adr. tél. Cyclorich-Paris. Société en commandite, fondée en 1890. —- Directeur : M. II. Petit ; directeur commercial : M. F. Dennery. — Fabricants des cycles Georges Richard ; agents généraux de îlumbcr Bees-lon ; propriétaires du Manège Petit ; agents des automobiles UoLchkiss.
- PETIT-CHEVAL. — On appelle pelit-cheval, dans l'industrie, toute pompe à vapeur à action directe, c'est-à-dire dans laquelle les pistons sont montés sur une tige commune, sans mécanisme de transformation de mouvements, tel que bielle et manivelle.
- Ce terme désigne aussi le compresseur d'air des locomotives.
- PETITCOLIN et VALADIER,
- ponipes, moteurs « Le Lorrain », 34, rue Pasteur, à Nancy (Meurthe-ct-Mosclle).
- PETIT JOURNAL (Le), journal quotidien, 61, rue La layette, Paris. Tél. i23-oy.
- PETIT MATELOT (zD<)- vêtements de sport, l\i, ([liai d'Anjou, Paris. Tél. 822-08.— Succursale : 25, avenue de la Grande-Armée.
- PETIT PARISIEN (Le), journal quotidien, 18, rue d’Enghien, Paris. Tél. 110-00.
- PETITPAS et MESAIZE , cuivrcrie spéciale pour carrosserie automobile, 3, rue Rameau, à Versailles (Seine-et-Oisc).
- PETITES ANNALES judiciaires du Cycle et de l’Automobile (Les), bulletin ol'lieicl de la Ligne des Chauffeurs, 35, rue Bergère, Paris. Tél. 2GG-/10. -- Directeur : M. Edmond Lafon.
- PETITIMBERT , garage, commerce d’automobiles, 25. Grande-Rue de Bethléem, à Clamecy (Nièvre). Tél. 23.
- PÉTROLE. — Terme vulgaire servant à désigner les hydrocarbures volatils extraits par la distillation des pétroles bruts de i5o°à 280°. D'une densité de 0.38 à 0,81. Destinés à cire consommés comme agent d’éclairage dans les lampes à mèche et à cheminée en verre ou mica. En France, d’après la loi de 1878, le pétrole ne doit émettre de vapeurs inflammables qu’au-dessus de 35° C. Tout produit inflammable au-dessous de 35“ C est rangé dans la catégorie des essences. La loi française classifie donc, suivant leur inflammabilité en-dessous ou au-dessus do 35°, les produits hydrocarbonés en essences et en huiles, qu’il s’agisse d’hydrocarbures extraits du goudron, du pétrole ou des schistes. — Voir Essence.
- PÉTROLES (C ompagnie Générale des), « Naphtacÿclc », « Autovélinc », 2, rue Fon-gate, à Marseille (Bouches-du-Rhône).
- PÉTROLES (Compagnie Industrielle des), la « Motricine », 12, rue Blanche, Paris. Tél. 2-4-18. Adr. tél. Luxoil-Paris. Société Anonyme au capital de 10 5oo 000 francs entièrement versé.
- PEUGEOT (Armand), 29 bis, rue Denmuis, Paris. Tél. 5Gi-io. —Né à Yalcn-tigney, le 18 juin 18/pj. Officier de la Légion dhonneur; officier d’Aeadé mie. Industriel; président du Conseil d'administration de la Société Anonyme des Automobiles Peugeot. Conseiller général du canton d'Audincourt (Doubs) ; conseiller de commerce extérieur.
- A été, pendant vingt ans, gérant de la Société des Fils de Peugeot frères, où il a créé la branche « Vélocipèdes ». A créé, en 189.U, la Société Anonyme des Automobiles Peugeot. '
- fH. PETIT & CIE
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- 23, Cliamps-Elysëis — PARIS |
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- PEUGEOT (Robert), à Valenligney (Doubs). Né à Ilérimoneourt, le 21 juillet 1873.
- Ingénieur des Arts et Manufactures (promotion 1895). —L’un des trois gérants de la Société L e s Fils de Peugeot frères; administrateur desUsines de Valenligney (forges et laminoirs) et de Beau-lieu (vélocipèdes, motocyclettes et voitiircites automobiles).
- PEUGEOT
- et Cie, outillage,
- 11, rue des l'illes-du Calvaire,Paris. Tel. 253-Ga.
- PEUGEOT Frères (Les Fils de), fabrique de cycles, motocyclettes et voilu-rettes. à Valenligney (Doubs) ; et 38 bis, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél. 509-29. Société en commandite simple par actions, au capital de 12 millions de francs. —Gérants-directeurs : M. Eugène Peugeot, MM. Robert et Pierre Peugeot (ses deux lils). L’origine de cette maison remonte à 1819.
- Les trois usines do Terre-Blanche, de Beaulieu et de Valenligney fabriquent des articles très variés (6 000 tonnes do 1er cl d'acier manufacturés chaque année) et fournissent l’acier laminé, l’acier forgé, les scies, ressorts, buses, lames et outillage en tous genres. Ces usines occupent plus de 3 000 ouvriers qui jouissent de n,ombreux avantages, tels que caisse de retraite, coopérative, société immobilière par actions, société de musique, chorale, etc. Une des plus grandes usines d’Europe.
- Types de constructions pour FJ07 :
- — Bicyclettes « Lion ». — /j grandeurs de cadre: 62, 67, 62 et 67 centimètres ; frein « Autoloc » ; moyeu à deux vitesses, rétro-direct ; frein à conlre-pédalage. Bicyclette à deux vitesses automatiques, système Badois.
- — Motocyclettes. — 2 types : i° motocyclettes fortes, avec moteurs 2 chevaux 3/7), 3 chevaux 1/2 (1 cylindre); 3 chevaux 1/2,
- 5 chevaux et 7 chevaux (2 cylindres). — 20 motocyclettes légères, avec moteur de 1 cheval 3/4. — Deux freins ; fourche élastique.
- — Voiturclles. — 2 types : i° moteur de
- 6 chevaux (alésage 100, course 100); 20 moteur de 8 chevaux (alésage 110, course 110). — Empattement, : 2 mètres et 2 m, 12.—-Voie 1 m, i5. —- Largeur extérieure du châssis : o'".780. - !\ roues égales de 700/85. — Embrayage à cône renversé lixé après le volant extérieur. — Soupapes commandées. -Trois
- vitesses et marche arrière. — Transmission par chaînes. — Radiateur à tubes plats. — Allumage par accumulateurs ou par magnéto à basse tension. — La vitesse peut atteindre 45 kilomètres en palier: la dépense d’essence s’élève à 1 litre pour 12 kilomètres. — Carrosseries à deux et à quatre places.
- Agents des Fils de Peugeot Frères: Agen (Lot-et-Garonne) : Court, boulevard du Président-Carnot. — Amiens (Somme) : Veuve Victor, i4, esplanade Novon.—Angers (Maine-et-Loire): Gillouard, 8, rue de la Gare. A vignon (Vaucluse) : Martin, cycles cl automobiles. — Bordeaux (Gironde) : Bonnet, 7, allées dcTourny.—Bourges (Cher) : Auhard, i5,rue des Arènes. — Caen (Calvados) : Vasseur, 6, rue Singer. — Charleville (Nord) : Poulain, 5, avenue Nationale. — Chartres (Eure-et-Loir) : Lcchcvallier-Rousseaux, 2.5, rue du Bois-Merraiu. — Chaumont (Haute-Marne) : Lorinot, 5o, rue de la Gare. — Cherbourg (Manche) : Obe, 4>h rue de l’Abbaye. — Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme): Chopinet, 29, rue Blalin. — Epinal (Vosges) : Moranduz/.o et Mougin, quai des Bons-Enfants. — Evrcux (Eure) : liée, 53, rue Joséphine.
- La Ferté-sous-Jouarre (Seine-et-Marne) : Daussin, cycles. — Le Havre (Seine-Inférieure) : Lefebvre, 87, cours de la République.
- — JÂlle (Nord) : Delansorne, q5, rue Nationale.
- — Lisieux (Calvados) : Saint-Léger et Gauthier, rue de Trouville. — Lyon (Rhône) : Lecomte, i5, quai de Retz. — Marseille (Bcu-ches-du-Rhônc) : Andrillon, 118, rue de Rome.
- — Mantes (Seine-ct-Oiso) : Garnis, cycles et automobiles. — Monlargis (Loiret) : Dczorcl, 71, rue du Loinl. — Montpellier (Hérault) : Mougin, cycles. — Moulins (Allier): Chapier, 13, rue St-Martin. — Nancy ( Mcurthe-et-Me-scllo): Haumouchc, rue des Dominicains. -Nantes (Loire-Inférieure) : Durand, 7, quai Brar.cas. — Ncvers (Nièvre) : Guin, 13, rue Saint-Manin. — Nice (Alpes-Maritimes) : Audoly, p'acc Garibaldi. — Nîmes (Gard) : Bounal, 8, boulevard Alphonse-Daudet. Orléans (Loiret) : Alexis, 3, rue des Carmes. -Paris(Sid\w)-. Dabancourt, /|2,boul.du Mont palliasse ; Delisy. 235, rue du Failli.-St-Honoré.— Périgueux (Dordogne) : Gonlhier, 27, cours Montaigne. — Rennes (llle-ct-Vilaine) : lieck, 3, quai Lamartine. —Rouen (Seine-Inférieure) : Leroux, 5, rue Verle. — Tarbes (Hautes-Pyrénées) : Leslelle, 58, rue Victor-Hugo. — Tours (Indre-et-Loire) : Jeannin, place du Palais-dc-Justicc. --T oui 0 us c ( 11 a v t e-G a r e une) : Robin, 2, boulevard Carnot. — Fa/ence(Drôme): Jouvcl, 1, avenue Viclor-IIugo.
- PEUGEOT Frères (Les Fils de), chaînes et outillage, à Valenligney (Doubs) ; et 2, rue Béranger, Paris. Tél. 100-26.
- PEUGEOT (Société Anonyme des Automobiles). Sièue social : 83, boulevard Gou-vion-Saint-Cyr, Paris. Tél. 53i-35 et ôgi-o/j. Adr. tél. Automobiles-Peugeot-Paris. Société
- M. Hohert Peugeot
- Cycles - Motocyclettes - Voiturettesl
- 38 bis, avenue de la Grande-Armée I
- PEUGEOT
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- Anonyme par actions, au capital de 6 a5o ooo francs, l'ondée le 2 avril 1896. — Président : M. Armand Peugeot; administrateur délégué : M. R. Fallot; directeur technique : M. G. Leroux ; directeur commercial : M. P. Joltrois. — Usines à Audincourt (Doubs) et à Lille (Nord).
- Principaux Agents des « Automobiles Peugeot » .
- Paius (Seine). — Dabancourt, l\2, boulevard du Montparnasse. Delizy, 235, rue du Faubourg-Saint-IIonoré.
- Dépautements. — Succursale de Bordeaux (Gironde) : i5/j, rue de l'Eglisc-Saint-Scurin.— Succursale de Lyon (Rhône) : 2/18, avenue de Saxe. — Succursale de Marseille (Bouches-du-Rhône) : 135, rue de Rome. — Succursale de Nancy (Meurthe-et-Moselle) : q3, faubourg Saint-Georges. — Aix-les-Bains (Savoie) : Do-menge, place du Gigot.— Alais (Gard) : Cliam-peyrache, mécanicien. — Annonay (Ardèche) : Delon, Champ-de-Mars.—Avignon (Vaucluse): Martin, cyclos et automobiles. — Bar-le-l)uc (Meuse) : Antoine, 8, rue de La Rochelle. — Rayonne{Basses-Pyrénées) : Gambade, 3i, rue des Cordeliers. — Brignolles (Var), Brun, mécanicien. - Cavaillon (Vaucluse) : Rouget, mécanicien. — Chaumont (Haute-Marne) : Lorinel, 5o, rue de la Gare. — Chaumont (Haute-Marne) : Lorinet, ho, jilace des Capucins. — Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) : Ladoux-Quittard, 18, rue Blalin. — Dijon (Côte-d'Or) : Alizon, (18, rue du Bourg. — Epin al (Vosges) : Moranduzzo et Mougin, quai des Bons-Enfants. — Grenoble (Isère) : Magnat et Debon, Gg, cours Saint-André. — Guéret (Creuse): Brunet, place Bonnyaud. :— Lille (Nord) : Bathiat, 35, rue Inkermann. — Lons-le-Saunier (dura) : Ilugonnot et Thé-venod, route do Villeneuve. — Montbéliard (Doubs): Jacquel, avenue de la Gare.— Montpellier (Hérault) : Eaulquier, 56, avenue de Toulouse. — Moulins (Allier) : Chapier, 13, rue Saint-Martin. Moulins (Allier) : Henri Chapier aîné, 7, rue de la Batterie. - Nantes (Loire-Inférieure) : Moncet et Nayrolles, 20, rue Racine. — Nice (Alpes-Maritimes) : Car-mien, 22,rue du Congrès. — Oloron (Basses-Pyrénées) : Mouliot, Sylvain. — Bennes (111e-et-Vilainc) : Beck, 3, quai Lamartine.— Roanne (Loire): Pial, place Dorian. — Saint-Etienne (Loire): Guinet, 2, place Paul-Bert. — Toulon (Var) : Saunin, 19, rue Picot. — Toulouse ( Haute-Garonne): Soulet, 07, avenue Lafayette. — Tours (Indre-et-Loire) : llcintz, 114 bis, rue d'Entraigues. — Vernon (Eure) : Moche et Hosclule, 100, rue de Paris.
- Ai.ukiue. — Alger : Le Gerriez, 9, avenue Carnot. — Constantine : Gilbertas, 10, rue Caraman.
- Tunisie. — Tunis : Peyrard, rue d'Angleterre.
- Étuangek. — Budapest (Hongrie) : Fenyi-Vélodron. — lAsbonne (Portugal) : Albert Beau-
- valet etC10, 1, av. de la Liberté.—Londres (Angleterre) : Friswell, 1, Albany Street. — Mulhouse (Alsace-Lorraine) : Cbatel, 31, passage Central. - Munich (Allemagne) : Bcissbarth frères, 2, Kohlstrassc. — Passuic (Etats-Unis) : J.-W. Englaud. — Saigon (Cochin-cliine) : Vincent Ippolito. — Saint-Sebastien (Espagne) : Elorrio, Ubarcchena et Cie, garage Victoria. — Turin (Italie) : Société de Construction Italienne, licence Peugeot, 58, corso Massimo d’Azeglio. — Vienne (Autriche) : Brunnbauer et Solm, 53, Zicglcrgasse.
- PEUGEOT-CROIZAT, Société Anonyme italienne pour la construction des voitures automobiles avec la licence Peugeot, à Turin (La Tesoricra), Italie. — Capital, i5ooooo francs. — Usine-modèle, couvrant une surface de 60000 m- et munie de machines-outils les plus modernes et les plus perfectionnées.
- Caractéristiques des automobiles Peugeot-Croizat pour F.)07 : Châssis de 6, 7-8 (à un cylindre); 10-12 (à 2 cylindres) ; 12-16, 18-2/1, 3o-/|o, 5o-6o (à l\ cylindres). — Châssis en tôle emboutie. — Roues sur roulements â billes. - Soupapes commandées. — Allumage magnétique à basse tension par rupture. — Changement de vitesse par trois trains balladeurs ; la quatrième vitesse en prise directe. — Transmission par chaînes ; amortisseurs de chocs Trullault.
- PEUGEOT (A ),TONY HUBER etCi0, moteurs, canots automobiles, groupes clcc-trogènes, 56, rue du Vieux-Pont-de-Sèvres, â Billancourt (Seine). Tel. 683-45. Société en commandite. Directeurs : MM. Armand Peugeot et Tony Huber.
- PEYRARD, garage, commerce d’automobiles, rue d’Angleterre, à Tunis (Tunisie).
- PEYRAUD (M.), cycles et motocyclettes, 198, boulevard Voltaire, Paris.
- PÉZAIRE, garage, commerce d’automobiles, 4, rue Gornet-Boivin, à Romilly-sur-Scine (Aube).
- PFISTER, fabrique de voiturettes et de bateaux à moteurs, place Chauderon, à Lausanne (Suisse). Tél. 2194. Adr. tel. Otlomo-bile Lausanne.
- PHAÉTON. — Voiture découverte, le plus souvent avec capote, ayant une ban-
- l’iIAKTON
- quelle â deux places de maîtres â l’avant et généralement à l’arrière une place de dômes-
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- hussenot s Raynaud
- FOURNITURES GÉNÉRALES pour Automobiles
- Hoir aux Annonces.
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- tique fixée sur le bas de caisse de la voilure et entourée de tous côtés.
- Si le bas de caisse ne se raccorde pas au siège avant et si le siège de maître n’a pas de capote, la voiture est un spider.
- Lorsque la place arrière est transibrinée, de siège de domestique, en une large banquette à deux places, au moins aussi confortables que les places avant, la voilure devient par le l'ait un double-phaélon.
- Le siège avant d’un phaélon (appelé rotonde) est quelquefois orné de baluslres, baguettes de bois tournées et vernies; la voiture est alors dite phaélon à baluslres si celles-ci sont appliquées sur le panneau formant le pourtour de la rotonde.
- Si la rotonde est ajourée, le phaélon est dénommé phaéton à jour. — Voir Sjtider.
- Botialx (Carrosserie Th.), 28, rue Gref-l'ulhe. à Levallois-Perret (Seine).
- - Keli.ner ut sus Fils, i avenue .Mala-kolf, Paris.
- — Larouriiette (Henri). .30. avenue des Champs-Elysées, l’a ris.
- — Laclaveiue et Gâches, ç), rue Monlro-sier. à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- - Lami'lugii et Ci0, 8, rue Ernesl-Cognacq, à Levallois-Perret (Seine).
- Rothschild. i3i, avenue Malakoff, Paris.
- ---VlNIiT ET BOULOGNE. (il, me de YiHuTS,
- à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- PHAÉTON-WAGONNETTE. —
- Phaéton dont le siège arrière a été remplacé par un tonneau.
- PHARES. — Proj ecteui's destinés à l'éclairemcnt de la route suivie par une automobile. Ils sont alimentés, soit par l'acétylène, soit par l'électricité (accumulateurs ou dynamo). Lorsque les pliures sont alimentés par des générateurs séparés d'eux, ils prennent le nom de faces.
- « Les automobiles circulant sur la voie « publique ne doivent pas projeter de lumière « aveuglante. » (Ordonnance du préfet de police, en date du 2 mai ujon.)
- Les phares fabriqués à l’étranger subissent, à leur entrée en France, un droit de douane de : /j5 francs (tarif minimum) ou de Go francs (tarif maximum) par ioo kilogrammes.
- Phares :
- — Auto-Pai.ace, yy bis, avenue delaGrande-Armée, Paris.
- - Besnard, Maris et Antoine, Go, boule vard Beaumarchais, Paris (Phares à éclipse).
- — Boas, Uodhigues etC‘“ (Alpha), Gy, boulevard de Cliaronne, Paris.
- — Comiot (G.), 8y, boulevard Gouvion-Saint-Cvr, Paris.
- — Desponts, ino, rue Yictor-1 lugo, à Leval-lois-Perrct (Seine).
- — Ducei.heu, 2."), passage Dubail, Paris.
- — IIussenot et Raynaud, 3g, rue La Boétie, Paris.
- — Jessé (De) et G'*, fanaux pour la marine, y, rue Collange, à Levallois-Perret (Seine).
- — Mestre et Blatgk, 5, rue Brunei, Paris.
- — Société La Française, 11, rue Brunei, Paris.
- — Star, phares. — Bonneville, 52, boulevard Garnot, à Toulouse (llaute-Garonne).
- PHARES-OPTIQUE (Société des), fabrique de phares O. H., 33, rue Marbeuf, Paris. Tel. 5Gj-oi.
- PHARMACIE NORMALE, boîtes d'ambulance pour automobilistes, iy, rue Drouot, Paris. Tel. i/|8-/|~>.
- PHEBUS ((laçage), commerce d’automobiles, 3, rue Copernic, à Nantes (Loire-lnfc-rieure).
- PHÉBUS, phares. - Yoir Boas, lio<lciguës et Ci0.
- PHENIX, accumulateurs électriques, y, rua de la Boétie, Paris. Tél. 2iij-2y.
- PHÉNIX, huiles et graisses. — Yoir Lebrasseur et G10.
- PHILIPPE (Bougie), yy, avenue Ledru-Rollin, Paris. Tel. gji-aS.
- PHILIPPE (Raoul), moteurs, 3y, rue de Reuilly, Paris.
- PHILIPPEAU, plaques en relief, 2j rue Diderot, à Vincennes (Seine).
- PHILIPPON, fabrique de fils électriques •iG, rue Saint-Ferdinand, Paris. — Lsine à Guerbigny (Somme).
- PHILIPPON et Ci0, carrosserie, 9, rue de Sahlonville, à Ncuillv-sur-Seine (Seine. Tél. 5/|3-5/|.
- PHŒNIX (Société Anonyme du), machines-outils, 33, rue Grange-aux-Belles, Paris. Tél. /12G-02.
- PHONIX (Selbsfahrer-Verlrieb), fabrique d'automobiles, à Aix-la-Ghapelle (Allemagne).
- PHONO-POMPE, gonfleur de pneumatiques. — Yoir Domecy-Cazau.v et C'".
- PHOTOGRAPHIE (Appareils pour la photographie). — Voir Ylntermédiaire, iy, rue Monsigny, Paris.
- PHOTO-HALL, commerce d'appareils -photographiques, f>, rue Scribe, Paris. Tél. 2/10-02. Adr. tel. Photo-Paris.
- PHOTO-MAGAZINE, revue hebdomadaire illustrée, 118, rue d'Assas, Paris.
- PHOTO-PRESSE, M. Branger,directeur, ü, rue Cambon, Paris. Tél. 2/|y-g/|.
- PIAT, garage, commerce d'automobiles, à Roanne (Loire).
- PHARES S PROJECTEURS
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- PIAT et FOUGEROL, garage, commerce d'automobiles, ", avenue de Paris, à Auxerre (Yonne).
- PIAT et ses Fils, i'ondeurs-mécani-ciens, spécialité d’engrenages, 85, rue Saint-Maur, Paris. Tél. 901-83 et 902-81.
- PIAULT, bougies d’allumage, 3, rue Saint-Benoît, Paris.
- PICARD, garage, commerce d’automobiles, /jo, rue Carnot, à Vcsoul (Haute-Saône).
- PICARD (//.), boulons, 108, rue Obcr-kampf, Paris. Tél. 919-72.
- PICARD Frères, machines-outils, i3i, boulevard de Sébastopol, Paris. Tél. 122-63.
- PICARD Frères, quineaillcrio pour automobiles, j, rue Saint-Sauveur, Paris. Tél. 1 /|5-88.
- PICCOLO, voil.urel.Le automobile'. — Voir Hupp et Sohn, Allemagne.
- PICENA Fratelli, commerce d'auto-tomobiles, /|i, via Lagrange, à Turin (Italie); et 3, via Cesare Correnti, à Milan.
- PICHARD , garage, commerce d’automobiles, 110, rue Saint-llilaire, à Nogent-le-Ro-trou (Eure-et-Loir).
- PICHARD et C% carrosserie au tomo-bile, rue des .Jardiniers, Paris. Tél. 928-38. Adr. tél. Carrosserie Moderne, Caris.
- PICHARD {Ch.) et Cio, moteurs, 7, rue Alexandre-Parodi, Paris.
- PICHON, garage, commerce d’automobiles, Grande-lîuc de Bethléem, à Clamecy (Nièvre).
- PICHOUD {Joseph), garage, commerce d’automobiles, route de Chambéry, à Aix-les-Bains (Savoie).
- PICKER (L.), MOCCAND et C1-,
- voitures, canots automobiles et moteurs. — Voir Mégevel et
- PICTON, lunettes pour automobilistes, 33/|, rue Saint-IIonoré, Paris.
- PIÈCES à serrage instantané. — La
- maison Michelin et C'° a apporté un perfectionnement très notable dans la construc-
- tion de certaines pièces de la valve et du bouchon de sécurité, en modifiant les pièces qu’il fallait visser autrefois sur une longueur assez grande. Aujourd’hui, il suffit d’approcher du premier coup ces pièces, dites à serrage instantané, à fond, c’est-à-dire jusqu'au contact, puis de tourner un ou deux lonrs pour les bloquer complètement. Ces pièces ainsi modifiées sont : le bouchon et le capuchon de valve, les écrous des boulons de sécurité et le raccord de la pompe à air.
- — Bergougnan (pneu Le Gaulois), à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- — Continental, i /|0, avenue MalakofT, Paris.
- — Dunlop, i/|, rue Piccini, Paris.
- — Michelin et Ci0, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- PIÈCES DÉTACHÉES. — On entend par pièces détachées toutes les pièces dont i assemblage constitue une voiture, une bicyclette, etc. La plupart de ces pièces sont laites par des usines spécialistes qui 11e fabriquent. ipic telle ou telle partie de l’ensemble futur : par exemple, les billes, les cadres, les roulements, ferrures, etc., etc.
- Actuellement un amateur, ou un ouvrier monteur, peut ainsi se procurer aisément toutes les pièces détachées d’une voiture, y compris le moteur, le différentiel, les changements de vitesse, essieux, ressorts, etc.
- Ateliers nu Furan, !\, rue Barrouin, à Saint-Etienne (Loire).
- — Auto-Moto (Constructions Mécaniques de la Loire), rue Parmentier, à Saint-Etienne ( Loire).
- — Auto-Palace, 77 ttis, avenue de la Orande-Arméc, Paris.
- — Binet et C'“, 6, rue de Jarente, Paris.
- Blanc et O1', rue Barrouin, Le Marais, à Saint-Etienne (Loire).
- - Chavanet, 33, avenue Denfert-Roche-roau, à Saint-Etienne (Loire).
- — Comiot (G.), 87, boulevard (louvi >11-Saint-Cyr, Paris.
- — Glaenzkr et C"', 35, boulevard de Strasbourg, Paris.
- — Jkssé (Do) et C°, 7, rue Collange, à I.evallois-Perret (Seine).
- S.A.F.
- Anciens Établissements JUSSY (Marque LUX)
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- — Gnos, ai, rue de Champagne, à Saint-Etienne (Loire).
- — La Fhançaise, ii, rue Brunei, Paris.
- — Malicet et Blin, io3, avenue de la République, Paris.
- — Mkgevet et C16, 7, rue de Malal rex, à Genève (Suisse).
- — Mestue et Blatgé, 5, rue Brunei, Paris.
- PIÈCES D’IDENTITÉ. — Voir Papiers d’identité.
- PIED. — Ancienne mesure française, valant o m. 3a/|-
- PIED, mesure anglaise. — Voir Fool.
- PIED Frères, nickclage, 67, quai de Seine, Paris. Tel. /| 13-53.
- PIEDBCEUF (/L-G.), construction d’automobiles Imperia, 63, rue de Fragnéc, à Liège (Belgique). Tél. 2029. Adr. tel. Auto-Piedbœuf-Lisge.
- PIED-CORMIER. — Pièce de bois constituant une des parties principales de l’ossaturo d’une voiture fermée. — Son arête extérieure est commune au panneau arrière et au custode (panneau latéral supérieur) d’une part, et d'autre part commune, à la partie inférieure, au panneau de brisement et au panneau de dossier. Le pied-cormier limite le dehors do la voiture depuis le toit ou pavillon jusqu’à la parclose (cadre en bois supportant le coussin).—Voir Voilure.
- PIED DE BIELLE. — S^ionyme de petite lete de bielle ou extrémité articulée au piston ou à sa tige. Dans un moteur vertical pilon, c’cst-à-dire ayant le cylindre à sa partie supérieure, le pied de la bielle est en haut cl la tête en bas. Aussi est-il plus pratique de désigner chaque extrémité par petite tête et grosso tetc, la grosse lole étant toujours à l’arbre.
- PIED DE VALVE. — Le pied de la valve est l’extrémité inférieure do la valve qui est engagée à l'intérieur de la chambre à air. C’est entre le pied de valve et son écrou de serrage que se trouve prise la chambre à air, de façon à ce que les deux pièces « lassent corps » ensemble.
- PIERCE (George N.) C° {The), automobiles et cycles, à Buffalo (New-York) (Etats-Unis). Nombreuses succursales.
- PIERREFITE, garage, commerce d’automobiles, /|i bis, faubourg Stanislas, à Nancy (Meurthe-et-Moselle). Tel. 32.
- PIERRON (Georges), 2, rue Meisso-nier, Paris. Tél. 552-02. — Né à Paris, en 1855. Chevalier de la Légion d’honneur. Administrateur des Aticiens Etablissements Panhard et Levassor ; vice-président du T. C. F. ; membre fondateur et membre du Comité de l’A. C. F.
- PIE R S ON (Henri/), io3, avenue de la République, à Aubervilliers (Seine). — Né
- à Paris, le 20 janvier 187/1. Représentant des Etablissements Malicet et Blin. Membre de la Chambre syndicale de l’automobile. Ancien représentant de l’Acatènc Métropole, de i8g/( à 1901.
- PIERSON (./. et ().), moteurs à gaz Crossley, !\g, rue Lafayette, Paris. Tél. 117-qi.
- PIÉTRI, aérostats, 8, rue de Laghouat, Paris.
- PIFRE (Abel) et C'°, moteurs, monte-charges, i?4< me de Courcelles, Paris. Tél. 5og-38 et5og-/|0.
- PIGELET (Muurice), /(( avenue Pélerhof, Paris. — Né à Paris, le .8 juillet 1869. Directeur du service « roulements à billes » D. W. F. (Glacnzer et C'e).
- PIGNIER-LOCHON , constructeur-mécanicien ; garage, rue Vaugclas, à Annecy (IlauLe-Savoie).
- PIGNONS. — Voir Engrenages. De deux engrenages qui se commandent, le petit s’appelle le pignon, et le plus grand la roue. Ainsi on doit dire : une roue dentée de pédalier et le pignon du moyeu.
- — Gnos, 21, rue de Champagne, à Saint-Etienne (Loire). Spécialité de pignons en acier découpé.
- PIGNONS DE CHAINE. — Pignons ou roues dentées qui, dans les voilures « à chaînes », sont montés, de chaque côté de la voiture, à l’extrémité de l'arbre du différentiel.
- Le montage des pignons de chaîne doit être à la fois simple et solide. Un montage facile comme celui de “Collin et Desgouttes ”, par exemple, est particulièrement recommandable.
- — Cottin et Desgouttes, place du Baclmt, à Lyon (Rhône).
- P IL AIN (Fi ’ançois), 17, chemin de M011-plaisir, à Grange-Rouge (Lyonb Tél. 19-16. — Né à Saint-
- Bérain, le 7 sep-lembrc 1 859 . Ingénieur- directeur technique de la Société des Automobiles Pilai n. S'occupe de la question auto m o b i 1 c de-puis 1887. Ancien chef d'atelier chez Serpollel, ancien chel d’études aux ateliers de la Buire, Un des créateurs à Lyon de l’indu strie automobile.
- M. PlLAl.N.
- PILAIN
- (Société des Automobiles), 17, chemin de Monplaisir, à Grange-Rouge, Lyon (Rhône).
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- 3
- Lisez :
- LES
- RECETTES du IHAUfPEUR pourenntae„rais
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- Tel. 19 - (> i. Adr. Ici. Autopilaim- Lyon. I
- Société Anonyme, fondée en 1902, nu capital de 1 5oo 000 francs. Président du Conseil d'administration : M. Andric. Membres du Conseil : MM. Diederichs, Rosset, Valayer, Vcrnet. Directeur technique : M. F. Pilain, directeur commercial : M. Perdiiollat. Construction d’autoinohilcs réputée.
- Caractéristiques fies automobiles Pilain pour 1907 :
- .Moteurs Alésage Course Nombre de tours
- 18-3.4 chevaux 100 13o 1 100
- a4~3o chevaux 120 14<> 1 oou
- ,>8-35 chevaux 124 14 0 1 oou
- 40—(io chevaux 1.40 j 40 j 000
- 4 cylindres. — Soupapes commandées. —
- Allumage par magnéto à rupture. — 4 vitesses, dont 3 directes et 2 indirectes; marche arriére en plus. — Voie im,3oo ; i'",35o;
- i",,3üo-; et i'",/|oo. — Empattement : 2"',8oo; 3m,^oo ; .T",000 et 2'",85o. — Prix : 18-2/1 chevaux, i/| 000 francs; a^i-do chevaux, 17000 francs: 28-33 chevaux, 18000 francs; /|o-(io chevaux, 22000 francs.
- A yenls </hlér aux
- de la Société des Automobiles Pilain.
- I'iianch. — Paris (Seine) : G. Arnaud : 20, avenue de Wàgram. Concessionnaire général pour Paris et le Nord de la France. ... Gre-
- noble (Isère) : Magnat cl Debon, cours Saint-André. — Lyon (Rhône) : Cote et Chalandon, 19, place Rellecour. — Marseille (Bouches-du-Rhône) : Laurent, 28, cours Lieutaud. -Montpellier (Hérault) : Roissel, Central-Garage. -- Nancy (Meurthe-et-Moselle) : Bazin, i5, rue Jeanne-d’Arc.
- Ai.mhui;. — - Alyer (Algérie) : Carrier et Rey, ^3, rue d'Isly.
- Ethanuuh. - Alexandrie (Egypte) : N’oca-muli, Cesana et Terni. — Utile (Suisse) : Selol-lerbeck Automohile. — Iluenos-Aires (Répu-bliquo Argentine) : Spinedi, Travers et Ci0, 1 o8o-80-Y-go, Arenalcs. Genève (Suisse) : Anscrmicr et Ci0, rue de Lausanne. Londres (Angleterre) : Burgcss, 4o, Glasshouse Street, Piccadilly Gircu. Madrid (Espagne) : Laillcl de Montulle, 2, callc de la Florida. - Milan (Italie) : E. Comi, 3, via Morone. — New-York (Etats-Unis) : De Barres Automohile C°, i85, Park avenue. - Wien (Suisse) : Deber-hachcr, 7, Koloxvralring.
- PILE. — Appareil ijui fournit un courant électrique résultant d un travail chimique intérieur. Les piles fournissent toujours, jusqu'à épuisement, un courant de meme tension intérieure, quels que soient la surface et le volume des corps mis en présence (1 volt, pour pile «.< Daniel » ; 1 volt 8, pour pile e Bunsen » ; 2 volts, pour pile au bichromate); ou du moins très sensiblement.
- Les piles sont employées en automohile pour produire l'étincelle d'allumage. Elles
- fournissent un courant primaire qu’une bobine transforme en courant secondaire. Pour augmenter leur voltage, on en réunit plusieurs, pôle positif de l’une à pôle négatif de l’autre (voir Pôle), etc. ; c’est l’accouplement en tension, le seul employé pour cet usage.
- — Piles sèches. — Les piles dites sèches se composent ordinairement d’une boite en zinc (pôle négatif), d’un charbon (pôle positif), de bioxyde de manganèse (matière dépolarisante) et de sciure de bois ou do toute autre matière absorbante, imbibée d’une solution de clilory-drate d’ammoniaque dans de l’eau. Ces piles peuvent s’accoupler en tension et en quantité. Leur nom véritable devrait être piles humides ou à liquide immobilisé.
- — diî Dioix'-Bouton, 3(>, quai National, à Puteaux.
- — Gia.xoi.i, piles sèches lle/lesen. •.>.(): boulevard Magenta, Paris.
- — HuNtupru. ji, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Piles thermiques. — Appareils transformant de l'énergie calorique en énergie électrique. Inutilisées.
- — Piles secondaires. — Nom donné quelquefois aux accumulateurs (voir ce mol).
- — Pile mixte. — Mot employé pour désigner l'accumulateur plomb-cadmium de M. Comelin.
- PILES #PRIMAIRES et D’ACCUMULATEURS (Concours de). — Concours organisé par VAssociation des Industriels de France, 3, rue de Lutèce, Paris (dernier délai : 3r mars 1907).
- PILETTE, garage, commerce d’automobiles, i/|, rue Masséna, à Lille (Nord).
- PILIER. — Sorte de lime dont la section forme un losange très allongé.
- PILOT (Etienne), lunettes pour chauffeurs, (io, rue Pcrnely, Paris.
- PILTER, moteurs industriels, 28, avenue Thiers, à Bordeaux-Bastide (Gironde).
- PIN ART et C'°, garage, i3, passage Saintc-Croix-de-la-Bretonnerie, Paris.
- PINAUD-DUANIP, commerce de voitures et de canots automobiles, <j2, boulevard deCaudéran,à Bordeaux (Gironde). Tél. 24-19.
- PINAUD-RAGOT, garage, commerce d'automobiles, rue de Courthardv, Le Mans (Sarthc).
- PINCEMIN, garage, commerce d’automobiles, 3, rue aux Toiles, à Saint-Brieuc (Nord).
- PINCES. — Outils en forme de tenailles, très usités en mécanique ^gràcc à la grande diversité de leur action. Les pinces, suivant
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- la i'orme de leurs mâchoires, sont plates, rondes, coupantes, etc. ; elles servent d’e»t-porle-pièces pour l'aire des trous dans les courroies, etc.
- — On donne aussi le nom de pince à une longue barre de 1er qui sert comme levier pour déplacer des pièces mécaniques très pesantes.
- PINCETTE. — Voir Ressorts de voiture.
- PIN CH ART-DEN Y, machines à estamper et à emboutir, 58, rue Soint-Sabin, Paris.
- PINCHON {L.), jantes en bois, fournitures pour cycles, i3, rue Léon-Cogniet, Paris.
- PINÇON (Julien) et C‘% antidérapant « Pneu-Cuir », y, passage Dubail (54, boulevard Magenta), Paris. Tél. 44i-o~.
- PINÇON. — L e pinçon do la chambre à air est un accident qui se produit très souvent dans les pneumatiques, au moment de la mise
- en place du second bourrelet de l’enveloppe. C'est un accident grave qui entraîne presque toujours l’éclatement do la chambre sur une grande longueur.
- Il y a trois sortes do pinçons :
- Ce premier, et le plus frequent.,, se forme entre les bourrelets de l'enveloppe et le fond de la jante (fig. î).
- Le deuxième est formé par l'introduction de la chambre à air sons la tète des boulons de sécurité (lig. a).
- Le troisième, beaucoup plus rare, consiste en un pli que forme la chambre à air tout près de la valve, pli maintenu par la valve elle-même (lig. 3). (D’après Michelin.)
- Pour éviter les pinçons, il faut toujours talquer abondamment, mettre la chambre au rond, en la gonllant légèrement , avant de mettre en place le second bourrelet de l’enveloppe ; aprèsj montage de ce dernier, vérifier s’il ne s’est pas produit dcpinçon, en repoussant au moyen d’un levier l’enveloppe on arrière et en regardant à l’intérieur do la jante pour voir si l'on n'aperçoit pas la chambre à air.
- 11 faut, de plus, avant de gonfler à bloc, vérifier si la valve et les boulons de sécurité s’enfoncent librement sous la poussée du doigt et « reviennent » d’eux-mèmes sous l’efl'ort de la chambre qui les repousse. — Voir le Guifle Michelin.
- PINEAU, garage, commerce d’automobiles, ion, rue Nationale, le Mans (Sarlhe).
- PINEAU (Moteurs). — Voir Vanlaethem.
- PINEL, ferrures pour carrosserie, ion, rue d’Aboukir, Paris.
- PINEL (Paul), fonderie pour moteurs, à Maromme (Scine-lnlerieure).
- PINGRET, GUIOto et BRETEAU,
- carrosserie pour automobiles, jl, quai National, à Puteaux (Seine). Tél. 108.
- PINSON
- (Arthur), y 2 , boulevard M a -lesherbes, Paris.
- — Né à Anvers, le 5 Avril i853,
- — Président de la Société automobile du Littoral.
- PINT. — Mesure anglaise de capacité, valant 1/8 do gallon, soit o’,56ÿ.
- PIPAULT
- et Ci0, accessoires pour automobiles, 64, Poland Street, Oxf’ort Street, à Londres (Angleterre).
- M. Aimicn Pinson.
- pipe.
- Tube recourbé à angle droit , en forme de pipe renversée, qui est maintenu en place par une cloche (voir ce mot), et qui dans certains moteurs, on particulier les moteurs de Dion-Bouton, recouvre la soupape d'a/l-mission et sert de liaison entre le moteur et le tube d’aspiration venant du carburateur.
- PIPE (Compagnie belge de Construction d'automobiles, Usines), voitures et camions automobiles, 8 et 10, r. Ruysdaél, à Bruxel-es (Belgique). Tél. 3826. Adr. tél. Pipe-Bruxelles. Société Anonyme fondée, en février 1898, au capital de 2 millions de francs. Président du conseil : M. E. Jooris. Directeurs : MM. Otto Pfander et P. Marquât (le Vasselot.
- [Automobile; RENAULT FRÈRES KilIS"rt 1
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- Agents des Usines “Pipe’\.:
- Allemagne : Aulo-Palast Klees, 0/j, Kaiser-strassc, à Francfort-sur-lc-Mein.
- Angleterre : London Motor Gavage, 33, Wardour Street, à Londres.
- Autriche : M. Kdgard Aub, 5, Ziogler-gasse, à Vienne.
- Belgique : Auto-Garage Bruxellois, P>,
- avenue Marnix, à Bruxelles. 1
- PIQUERA, moules pour pneumatiques, 108, quai Jeminapes, Paris.
- PIRELLI et C'“, fabrique de pneumatiques et de bandages pleins, via Ponte Seveso, à Milan (Italie). — Société au capital de 7 millions de lires.
- PISTON. — Disque obturateur se déplaçant. dans un cylindre, destiné à recevoir la pression du fluide qui y est contenu et à transmettre son mouvement, au moyen d’une bielle, à un arbre dit arbre moteur.
- C’est, pour les moteurs à explosions, un cylindre long (afin qu’il se guide de lui-meme dans le cylindre proprement dit, sans y coincer). 11 est d’un diamètre légèrement inférieur à celui qui serait nécessaire pour qu’il y entrât sans forcer.
- Le jeu entre le piston et le cylindre est l'attrapé par des bagues en fonte douce, dites segments, qui donnent l'étanchéité.
- A la mise en place, on a soin de tiercer les segments. Dans la construction soignée on visse quelquefois, dans le piston, de petits arretoirs ayant pour but d’empeeher toute rotation des segments pouvant amener leurs joints en regard et par là créer des fuites.
- PITON (,l .) , amortisseurs. Voir Kno-haert, à Frelinghien (Nord).
- PITRE et Clc, canots automobiles. — Voir Coninck (G. de).
- PITT et SCOTT C°, Ltd, transports d’automobiles, !\-j, rue Cambon, Paris. Tél. a/,i-/|0. Adr. tel. Bitt-Paris. - — Siège social : aô, Camion Street, E.C. Londres (Angleterre).
- Succursales à Livorpool, New-York, Boston, etc., etc.
- PITTSFIELD SPARK COIL Cu, appareils d allumage , bougies , à Piltsfield (Massachusetts), Etats-Unis.
- PIVOT (Alexandre-Ma uvice), 222, rue de llivoli, Paris. Tél. 258-27. — Né au
- Raincy, en 1879. Constructeur d’automobiles. Adr. tél. Pivauto-Paris. Directeur commercial : M. John Sheen.
- PIZETTA et BONNET, garage, commerce d’automobiles, 18, quai du Havre, à Rouen (Seine-Inférieure).
- PIZON, garage, commerce d’automobiles, 3o, rue Basse-Aumône, à Saint-Ouen-1’Aumône (Seine-et-Oise).
- PIZZORNO, garage, commerce d’automobiles, piazza Viltorio Emanuele, à Alexandrie (Italie).
- PLAN. — Un dessin, figurant une machine ou un objet quelconque, est dit en plan lorsqu’il représente l’objet tel qu’il serait vu par un spectateur placé au-dessus de lui et le regardant d’en haut verticalement.
- Les dessins en plan d’une machine sont généralement accompagnés d’une élévation, et très souvent d’une coupe, le tout étant très exactement « coté » en millimètres. Le plan est la projection horizontale do l'élévation :
- Deux evLi.xniiKS concentiuques vus en veiisi'KOTive, EN W.AN ET EN COUVE VERTICALE.
- il représente souvent une coupe elfeeluéc à une hauteur choisie et indiquée par le dessinateur.
- PLANCARD Fils, garage, commerce d’automobiles, 5, allées d’icna, à Carcassonne (Aude).
- PLANCHE GARDE-CROTTE —Expression inexacte, employée quelquefois eu automobile, pour désigner le tablier d u moteur. Cette expression 11c doit cire appliquée qu’aux voitures attelées.
- PLANCHEZ, garage, commerce d’automobiles et de cycles, 3i, place du 1/4-Juillct, à Brive (Corrèze).
- PLANCHON {Charles), 7, rue Ampère, à Puteaux (Seine). Tél. 69. — Né-à Paris, le 20 juin 1880. Ingénieur en chef des usines Charron IA.— Ecole des Arts et Métiers d’Angers en 1898. Fut chef du bureau des études à la Maison Vinet, puis dô l’atelier des études
- Couve dYn piston
- AA, bossages venus de fonte dans le piston. — 15, axe du piston. — C, clavette fixant l’axo du piston.— E, bord mince du piston.
- iMMjMjjLROCHET-SCHNEIDERjJtMll
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- cl des essais aux: Automobiles Peugeot. Entré chez C. G. V. en 1908.
- PLANE. — Outil qui sert à planer, à dresser, à rendre un objet brillant, en enlevant les stries qu'il peut porter à sa surlace.
- PLANER. — Action d'enlever les bosses ou bavures produites sur le métal par un travail de chaudronnerie. On plane les tôles cintrées au petit marteau, sur des tas en Tonte.
- PLANTEAU et GIRARD, garage, commerce d’automobiles, place Clairat, à Bergerac (Dordogne).
- PLAQUES PLANTÉ. — Voir Heinz et Ci0 (accumulateurs), 2^, rue Gavé, à Lc-vallois-Perret (Seine).
- PLAQUÉ. — Par abréviation du mot plaqué d*argent. Procédé d’après lequel le cuivre, ou tout autre métal convenable, est recouvert d’une couche d’argent plus ou moins épaisse, par compression et laminage d'une feuille d’argent sur la surface métallique à recouvrir. La même opération pratiquée au moyen de l'or porte le nom plus spécial de « doublé ».
- PLAQUE DE VISITE. — Se dit de
- toute plaque boulonnée obturant une cavité quelconque (en particulier carier de moteur ou de changements de vitesse) et pouvant être facilement retirée pour permettre l’examen des pièces (palier, têtes de bielles, engrenages, etc.) qui y sont renfermées.
- PLAQUES. — VA laque voiture automobile doit porter en caractères bien apparents sur deux petites plaques : i° le nom du constructeur, l’indication du type et le numéro d'ordre dans la série du type.
- •2° Le nom et, le domicile du propriétaire.
- —- Plaques d’identité. — De plus, les voitures susceptibles de faire plus de 3o à l’heure en palier doivent être pourvues de deux plaques dites d'identité portant un numéro d’ordre ; ces plaques doivent être toujours placées en évidence à l'avant et à l’arrière du véhicule. (Décret du 10 septembre 1901.)* — Voir Numéros.
- — Plaques de contrôle. — Les possesseurs de cycles, motocyclettes et mo-tocyclcs doivent déclarer leurs machines à la mairie de leur résidence, au point de vue de l’impôt, dans le mois de l'entrée en possession. —• La déclaration mentionnera le nombre de places du cycle ou du motocycle, et même de la remorque ou de l'avant-train, si la machine en est munie; indication essentielle, puisque la taxe est proportionnelle au nombre de places (G francs par place pour les cycles ordinaires et 12 francs par place pour les cycles mus par un moteur). (Loi du 28 avril 1893.)
- Le maire ayant délivré récépissé de la déclaration, ce qui a lieu séance tenante, le
- contribuable 11'a qu'à se présenter, muni de ce récépissé, chez le percepteur de la commune dans laquelle la taxe est exigible, et à l’acquitter. Le percepteur lui remettra immédiatement une plaque métallique, dite de contrôle, qui sera placée sur la machine. (( Toute contravention à cette obligation sera punie des peines de simple police, sans préjudice du doublement de la taxe qui serait encouru pour défaut ou inexactitude de déclaration. »
- La plaque de contrôle est en métal ; elle est frappée par l'administration des Monnaies et Médailles d’un poinçon spécial, et elle porte un cartouche sur lequel est inscrit le millésime et sur lequel seront en plus gravés le nom, le prénom et l’adresse du propriétaire de la machine, par les soins de celui-ci. (Loi du 2/1 février 1900). — Les vélocipèdes seront munis d'autant de plaques de contrôle qu'ils comportent de places, les plaques devant toujours rester apparentes. — Voir Taxe.
- Les cycles et motocyelcs, importés en France', sont dispensés de la plaque de contrôle pendant un laps de trois mois, au maximum, s’ils sont accompagnés d’un permis de circulation. — Voir ce mol.
- La plaque de contrôle est valable pendant f\ ans, du icr mai 190/1 au ior mai 1908. Elle 11c dispense évidemment pas de la déclaration obligatoire qui doit être faite par les motocyclistes seulement à la Préfecture, au point de vue du certificat de capacité et de la mise en circulation do leur machine. — Un détail : chaque plaque de contrôle revient à l’Etat à o fr. o(>7 pour le métal, la fabrication et le poinçonnage de la Monnaie. Voir Taxe.
- Plaques d'accumulateurs :
- - Heinz et G1'1, 27, rue Gavé, à Levallois-Perret (Seine).
- — Mildé et Gi0, Go, rue Dcsrenaudes, Paris.
- — Plaques indicatrices. — Voir Signaux de route.
- PLAQUETTE de valve. — Pièce de toile, gommée et vulcanisée, qui affecte la forme d'une ellipse cl qui est collée sur la
- J
- 1\ plaquette de valve. — H, chambre à air.
- T, trou pour le passage de la valve.
- chambre à air, do telle sorte (pie le trou percé en son centre corresponde an trou nécessité par le placement de la valve dans la chambre à air.
- [BANDES B &STORRILHON
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- La plaquette sort do renlbrl à la cjiambre et lui donne une plus grande résistance. Lors du montage, elle se trouve serrée fortement-, ainsi que la chambre, entre le pied de valve et son écrou. — Voir Pied de valve.
- PLASSARD (L.), savon anticambouis, 17. rue du Quatre-Septembre, Paris.
- PLASSON (.V""* P»), pièces détachées pour automobiles. ^ i, rue des Cloys, Paris. Tél. Soi-38.
- PLAT (Faire un). — Action d'exécuter sur un arbre, ou toute autre pièce, un plat ou méplat. — Voir ce dernier mot.
- PLATEAU. — I .a transmission par plateau de friction, dont la ligure ci-jointe donne un dispositif schématique, est une des plus simples, mais aussi, à cause de ses difficultés, une des moins employées. Elle consiste essen-
- SCHEMA D'UNE TRANSMISSION PAH
- PLATEAUX
- liollemenl en un plateau, disque plein métallique E, qui est animé d’un mouvement circulaire au moyen des pignons d’angle moteurs V. et G’. Sur ce plateau E peut, être déplacé, au moyen d’une fourchette K pivotant, autour du point I, un galet de friction (i monté à carré sur l'arbre O P.
- Il est évident que la vitesse de rotation de ce galet Cl, et par conséquent celle de l’arbre carré 0 P qui le porte, sera d’autant plus grande que le galet se rapprochera davantage de la périphérie du plateau E et d’autant plus petite qu’il en sera plus près du centre. Si l’on ramène le galet (1 de O vers P, la vitesse décroît, pour être nulle au centre ; si l'on franchit ce centre et que l’on marche vers P, l'entraînement se produit de nouveau, mais dans un sens opposé : il y a, par conséquent, marche arrière.
- dette solution de transmission de force par plateau, qui semble idéale, a été aban- ; donnée par la majeure partie des constructeurs qui l’ont essayée.
- — O11 appelle plateau de tour un disque d'acier, percé de trous dans lesquels s’engagent les queues ou les boulons des mâchoires ou des mors qui maintiennent les pièces à tourner pendant leur usinage. j
- PLATEL, lanternes d'automobiles, 88, rue Saint-Charles, Paris.
- PLATINE. — Corps simple métallique, voisin de l'or, très difficilement fusible, un
- des plus denses parmi les métaux usuels ; le métal qui résiste le plus aux réactions oxydantes et autres. Scs propriétés d’inoxydabiliié l’ont rendu d’un usage indispensable dans une foule d’opérations techniques et notamment en électricité. En automobilisme, il sert à établir les contacts des pièces à rupture du courant primaire.
- PLATT Frères, fabrique de scies, outillage, rue Lafontaine, à Roubaix (NordL
- PLATTIER et PARET , commerce d'automobiles, a Sa i nt-V allie r-
- s u r - R b ô n e (Drôme). Tél. 1 j.
- PLESSIX
- (Marcel), 05, rue de laVictoire, Paris. Tél. 2 1 -71G.
- Ancien élève de l’Ecole Polytechnique et licencié en droit : ré dacleiir e n chef de la Locomotion Automobile ; directeur de la Société Anonyme des Yedelt.es Automobiles: expert auprès des Tribunaux. . A publié de, nom-
- breuses études dans des revues techniques ou économiques: Xurires el Paris Marchands (Berger-Levraull, 1 Qo5) ; les Mo-
- teurs marins à pétrole lampant (Achard iqoGt.
- PLETSIER, vannerie pour automobiles, j, rue Malar, Paris.
- PLICHON Frères, pièces de fonderie, 107, rue du Chemin-Vert, Paris. Tél. qoa-iO; el 50, rue Lourniel. Tél. 7io-35.
- PLISSON. carrosserie automobile, i3j, avenue Malakolf, Paris.
- PLISSON (E.), bâches pour automobiles, 37, rue de Viarmes, Paris. Tél. 115-/|6.
- PLONGÉE. — La plongée d'une caisse de carrosserie est la hauteur dont celle-ci peut s’enfoncer et se relever sur ses ressorts de suspension selon des lignes verticales. En théorie, une caisse doit, autant que possible, n’avoir que des mouvements uniquement verticaux, afin de ne pas déplacer latéralement, les voyageurs et de ne pas donner d'à-coups au tracteur. — Voir Garantie.
- PLYMOUTH, jantes, jo, rue de l’Echiquier, Paris.
- PNEU COLONIAL. — Voir Colonial Ilubber, à Thiant (Nord).
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- PNEU LE “ PERSAN PARIS ^
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- PNEUS-CUIR :
- Beau, cours balayette, Lyon.
- Buciiillet ni' C", ao, rue Brunei, Paris.
- - Pinçon ut Ci<!, 7, passage Dubail, Paris.
- PNEU-CURE. — Voir Fleming et C‘\
- PNEU D’ACIER. — Voir Guignard-Amelot.
- PNEU JOUVENCE, réparations de pneumatiques, 18, rue Travcrsièrc, à Asnières (Seine).
- PNEUMATIC-COMPTOIR, vente de pneumatiques, réparations, 5o, route de la Révolte, à Lcvallois-Perrct (Seine), Tél. i/|i. Directeur : M. Bernard.
- PNEUMATIQUE. — Ensemble élastique constitué essentiellement par une chambre en caoutchouc vulcanisé, remplie d’air comprimé, et par une enveloppe ou bandage en toile caoutchoutée et vulcanisée, qui maintient la chambre en place sur la jante d’une roue de cycle ou d'automobile. L'enveloppe protège aussi la chambre contre une usure trop rapide, et limite l’extension qu elle pourrait prendre sous l’action de la pression intérieure de l'air comprimé.
- On fabrique actuellement, une grande quantité de pneumatiques de marques diilcrentes dont le mémo but est commun à tous : la possibilité île la locomotion automobile dans les meilleures conditions de confortable.
- Le premier pneumatique fut imaginé par Thomson en i8/|.r), mais ne fut réalisé pratiquement que par Dunlop en 1890. 11 n'entra dans l'industrie automobile qu'avec Michelin en iiSqü (course Paris-Bordeaux-Paris).
- — Le pneumatique fournit un roulement idéal, en amortissant les trépidations, en se déformant et se moulant sur les aspérités du sol, en « buvant l'obstacle », suivant l'expression bien connue de Michelin. L cmploi du bandage pneumatique comme intermédiaire élastique supplémentaire a pour but de permet tre de placer l'organe élastique presque immédiatement en contact avec le sol et par conséquent de limiter la masse interposée entre ce dernier et lui-même à celle de la partie intéressée de la bande de roulement. Telle est la véritable raison de l'efficacité et de la supériorité du pneu comme intermediaire élastique.
- Ou adresse au pneumatique deux grands reproches : son usure assez rapide, et, par suite, son prix de revient élevé; et la facilité avec laquelle il <« crève ». — Quelques inventeurs ont essayé de corriger ce dernier défaut en imaginant des pneumatiques, dits increvables, dont quelques résultats, parfois assez réussis, 11’ont, été malheureusement atteints qu’au prix d'un poids plus grand de la roue et d'un prix de revient encore plus élevé.
- — Les pneumatiques oll rent un grand inconvénient : le dérapage sur un sol mouillé, boueux, gras, voire meme trop poussiéreux. On
- remédie plus ou moins à ce défaut au moyen d'antidérapants, formés ordinairement par une bande de cuir chromé, collée sur Y enveloppe même et garnie de clous qui « s'accrochent » pour ainsi dire au sol et empêchent le déplacement latéral de l’arriére de la voiture, du moins dans une certaine mesure.
- Les bandages et les tubes pneumatiques, fabriqués à l'étranger, paient, à leur entrée en France, un droit de douane de : 320 francs (tarif minimum) ou de a5o francs (tarif maximum) par 100 kilogrammes.—Voir Antidérapants, Chambre, Enveloppe, etc.
- — Beau et Cie (Antidérapant), 171. cours Balayette, à Lyon (Rhône).
- — Behuougnan et C'° (Le Gaulois), à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- -- Buciiillet et Ci0, pneu-cuir Vulcan, !\~j, rue Saint-Ferdinand, Paris.
- — Continental, i /|C>, avenue Malakolf, Paris.
- • Dunlop (Société Française des Pneumatiques), ip rue Piecini, Paris.
- — Etablissements IIutciunson, 60, rue Saint-Lazare, Paris.
- — Etablissements Tokiuliion, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- — (loLiATii (Antidérapant), 18, avenue de l'Alma, Paris.
- India Bubbeu O, 97, boulevard Sébastopol, Paris.
- — Jenatzy (Pneumatiques). - Dépôt pour la France : L. de Sanla-Mari<t, (i, Chausséc-d'Antin. Paris.
- — Michelin et C1"', à Clermont-Ferrand, (Puy-de-Dôme).
- -RoueE. L. (Société Française de la). 28, rue de Sablonville, à Neuilly-sur-Seine (Seine). — (Bouc élastique).
- -- Santa-Maiua (de), (), Cbaussée-d’Antiu, Paris.
- — Wolbeh (Manufacture Générale de Pneumatiques), 7(1, rue des Arts, à Levallois-Perret (Seine).
- PNEU MÉTALLO-ÉLASTIC, i,me Auguste-Varquerie, Paris.
- PNEUTOILÉINE. — Produit inventé par le chimiste (i.-A. Le Boy, pour empêcher la pourriture de l'entoilage des pneumatiques occasionnée par les ferments (algues, microbes, bactéries! introduits dans l’entoilage par l'eau et la boue du sol.
- POCCARDI, fonderie de fer, pièces détachées, à Turin (Italie).
- POCHY (L.), imprimeur typographe, 1 17, rue Vieillc-du-Temple, Paris. Tél. 270-üi. Imprimeur de tous les ouvrages de M. Baudin-île Saunier depuis l'origine. Imprimeurd'Om-nia et de YAnnual Baudry de Saunier. Imprimeur de la Revue du T ou ring-Club de France, des Sites et Monuments, etc.
- IPneu LIBERTY - WOLBEBl
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- POEL (Guillaume Van de), à Marchienne-au-Pont, près Cliarleroi (Belgique). Tel. 669, Charleroi. —• Né à Louvain, en i833. — Directeur-gérant de- la Société Ancienne des Ateliers Germain (automobiles), à Mon-ccau-sur-Sambre (Belgique).
- POGNON Ltd (Bougie), 29, Yauxhall Bridge Boad, à Londres (S. W.), Angleterre. — Voir Schildge: liosfelder; et Vautrin, à Paris.
- POHU (André), ingénieur des x\rls et Métiers. Directeur de la Société des Constructions Mécaniques de ki Loire, automobiles « Auto m 0 to », rue Parmentier, à Sa in t - E t i e n n c (Loire). — Né à Thoré, le 18 septembre >877. S’est, dès ses débuts, spécialisé dans l’automobile et le cycle (Maison Panhard. Charron, (iirardol et Voigl, Grillon).
- POIDS. —
- Action de la pc-M. AsimÉ Poiiu sauteur sur un
- poids d’un corps, on le compare à des poids connus, en augmentant ou en diminuant le nombre de ces derniers, jusqu’à ce que les actions de la pesanteur sur chacun d’eux soient égales. A ce moment, on déduit que le poids du corps est égal au poids connu qui lui est comparé. Cette comparaison s’effectue au moyen d'appareils appelés balances et dans lesquels les poids à comparer s’équilibrent au moyen de leviers articulés à couteaux.
- — Poids atomique. — En chimie, on désigne par ce terme les poids relatifs des atomes, c’est-à-dire : les plus petits poids des corps simples qui entrent dans les poids moléculaires des corps composés. On rapporte le poids atomique à celui de l’hydrogène pris pour unité. Ainsi le poids atomique de l’hydrogène étant de 1, celui de l’oxygène est il), celui du chlore 35,5, etc.
- — Poids lourds. — On désigne par le nom de poids lourds les voitures automobiles destinées à transporter de nombreux voyageurs (omnibus, diligences, etc.), assurant un service publie, ou les camions destinés au commerce et à l’industrie. De nombreux concours, présidés par M. Forestier, ingénieur en che! des Ponts et Chaussées, et organisés par l’Automobile Club de France, ont contribué à faire progresser cette intéressante classe de véhicules automobiles.
- La question des jioids lourds a une im-
- (CAMION AlVlÊS.
- corps. Le poids d'un corps se mesure en grammes-poids. Un gramme-poids est le poids d’un centimètre cube d’eau pure à son maximum de densité (4°). Pour chercher le
- portance énorme dans notre industrie. Elle commence maintenant à être résolue, notamment par M. Purrey, . de Bordeaux, qui est arrivé à faire circuler' pratiquement des
- AUTOMOBILES ARIÈS
- 39, quai d’Argenteuil, 39
- VILLENEUVE-LA-GARENNE
- par l’Isle-Saint-Denis (Seine).
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- véhicules de 18 toimes cl peut èlrc surnommé actuellement le roi des poids lourds. — Voir Camions automobiles.
- — Aiuès (Automobiles), 39, quai d'Argen-teuil, à Villencuvc-la-Garenne (Seine).
- — Automobiles Industriels (Société Générale des), 3, rue Vignon, Paris.
- — Benz et Ci0, à Mannheim (Allemagne).
- — Cottin et Desgouttes, place du Bacliut,
- à Lyon (Rhône).
- — De Dion-Bouton et Ci0, 33, quai National. à Puteaux (Seine). ,
- — Mieusset (Etablissements), iÔ2, route dlleyrieu, à Lyon (Rhône).
- — Paniiard et Levassok (Société des Anciens Etablissements), 19, avenue d'Ivry, Paris.
- Pantz (Ch.), à Pont-à-Mousson (Meurthe-et-Moselle).
- — Peugkot-Croizat (Soeietà), Tesoricra, à Turin (Italie).
- - Puhuey, constructeur d'automobiles à vapeur, 21, boulevard J.-J. Bosc, à Bordeaux < Gironde).
- Radia (Société), 12, rue Barbés, à Levallois-Pcrret (Seine).
- •Standard(FabbricaAutomobili), 20, corso Siceardi, à Turin (Italie).
- — Zust (Roberto), /|0, via Borgognone, à Milan (Italie).
- — Poids moléculaire. — En chimie, on désigne sous ce terme les poids des corps simples ou composés gazeux qui occupent le même volume que 2 d'hydrogène.
- — Poids mort. — Poids d’un véhicule « à vide ». ^
- - Poids spécifique, densité. — Le poids spécifique d’un corps est le poids de l'unité de volume de ce corps. Dans le système usuel d'unités, il s’exprime en grammes par centimètre cube. Le poids spécifique de l'eau à son maximum de densité (f\°) est représenté par 1 gramme.
- Pour avoir le poids spécifique d'un corps homogène, 011 divise son poids exprimé en grammes par son volume exprimé en centimètres cubes.
- La densité d'un corps solide ou liquide est la masse de l'unité de volume (voir Masse). La densité d est liée au poids spécifique p par la relation p — d. g, dans laquelle g exprime l’intensité de la pesanteur. Dans la pratique, on l’exprime en grammes-masse par centimètre cube, le gramme-masse étant la masse d’un centimètre cube d’eau distillée à ^1°, de sorte que le poids spécifique et la densité s’expriment par le meme chiffre.
- La densité d'un gaz, ou celle d’une vapeur non saturante, est le rapport entre les deux masses de deux volumes égaux de gaz ou de vapeur et d’air dans les memes conditions de température et de pression.
- POIDS ET MESURES (Bureau lutet national des), au Pavillon de Breteuil, à Sèvres (Seine-ct-Oise). Tel. 62-Sèvres. — Directeur : M. Benoit, docteur ès-sciences. — Ce Bureau officiel est entretenu aux frais communs des principaux Etats du monde entier; il a été créé à la suite de la Convention Internationale conclue, le 20 mai i8^5, à Paris.
- POIDS LOURD (Le), revue mensuelle, 1, rue Tardieu, Paris. Tel. 43fi-oo. Directeur : M. Pierre Souvestrc. Rédacteur en chef; M. Cli.-E. Earoux.
- POIGNÉE. — Pièce tournée, eu bois, corne, ivoire, liège, celluloïd, ébouitc, etc., adaptée au guidon d'un cycle, que l’on tient en main pour se diriger ou sc maintenir. — Dans les motocyclettes, les poignées peuvent fréquemment tourner sur elles-mêmes, sous l'effort de la main du conducteur et servent, l'une à interrompre ou à établir le courant électrique d’allumage, l'autre à faire la commande d’un frein au moyen d’un flexible.
- — Société Anonyme Torriliion, poignées en caoutchouc, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- POINÇON. — Outil ayant la forme d'un crayon court, terminé par une pointe robuste
- )
- ——~~~ 1 - - ~
- Un poinçon
- et fortement trempée. 11 sert à repérer les pièces qu’on démonte; on l’appelle quelquefois pointeau.
- POINT (Mécanique). — On appelle point matériel en mécanique un point géométrique, c'est-à-dire sans dimensions, dans lequel on suppose condensée une certaine quantité de matière, de sorte qu’il est soumis à l’action des forces extérieures. Il ne diffère donc du point géométrique que parce qu’on lui suppose un certain poids.
- — Point de repère. — Lors du démontage d'une pièce métallique quelconque, on 11c doit jamais enlever une pièce sans l’avoir repérée au préalable, elle et la partie à laquelle elle était réunie, au moyen d’un coup de pointeau, d'un trait de lime, etc.
- — Point mort. — Se dit de la position d'une bielle pour laquelle la manivelle est dans son prolongement, de sorte que, si aucune action étrangère n'intervient, le système 11e pourra sc déplacer (dans le cas de la bielle motrice) ni dans un sens ni dans l’autre. L’action qui intervient est l’inertie du volant et des masses en rotation, qui fait franchir le point mort au système deux fois par tour.
- LA PERFECTION MEME
- CHARRON. Ltdp^Er.xl
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- 54 o —
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- POINTE à tracer. — Oulil eu acier dont les extrémités taillées eu pointe sont
- r.Ni; roi.vn: a ti\aci-:ii
- ïorlcmenl trempées, qui sert à (racev une pièce ou à marquer la position des organes d'une machine à « monter ».
- POINTE DE COURSE. — Coffre plat, en l'orme de pupitre, qui est disposé à l'arrière des voilures de course. Ordinairement démontable, il peut être facilement remplacé par un tonneau ou par un siège de spider. On transforme ainsi rapidement, une voiture à deux places en voilure à trois ou quatre places. — Voir Sjiider.
- POINTEAU. - Sorte de petit poinçon (voir ee mot). •• Fig. i.
- -— Le pointeau est employé encore comme obturateur: il fait alors l’ofliee de robinet. On l'utilise ainsi dans certains réservoirs à essence ou à lmile, dont, ou veut, commander par en haut l'orilicc de sortie' situé en dessous. Dans la ligure a, M est une rondelle moletée qui sert à faire monter ou descendre le, pointeau en vissant ; S est la partie supérieure du réservoir et I la partie inférieure ; 0 est une
- fiK.
- i
- cavité cylindro-conique ; parfaitement calibrée avec le pointeau, elle est destinée à recevoir celui-ci qui, prenant, contact sur toute sa surface, fait bouchon.
- - - On utilise encore le pointeau comme obturateur automatique, dans la plupart des carburateurs. Un Ilot leur F guidé, équilibré par un déplacement donné de liquide, est muni d'un pointeau P (fig. 3) qui fait obturation, soit en liant, soit en bas, suivant la construction de l'appareil et l'objet qu'il doit remplir.
- — On donne enfin le nom de pointeau à l'employé chargé, dans une usine, de contrôler les heures des ouvriers et d'enregistrer le travail fini.
- POIRIER, ii, av. de la Grande-Année, Paris. — Directeur général de la Société Anonyme des Automobiles et Cycles Hurla. Ingénieur des Arts et Métiers, fit ses éludes à Aix (îSnq-fia), entra ensuite à la Compagnie d'Orléans, puis aux Forges et Chantiers de la Méditerranée, qu'il quitta pour devenir ingénieur en chef des Anciens établissements Gail.
- POLACK GUMMIWAREN-FABRIK, fabrique de pneumatiques, à Waltersliuuscn (Duché de Saxc.-Gobourg-Gollia); et 3q, rue Saintc-Groix-de-la-Bre-tonnerie, Paris.
- POLAIRE (Le)- radiateur. — Voir Guélal.
- POLARISATION. — Phénomène se produisant dans l'intérieur des piles, par le transport,, sur l'électrode positive, de l'hydrogène dégagé, et donnant naissance à un contre-courant, intérieur. On empêche ce phénomème de se produire en mettant près de l’électrode positive une matière, dite: déj)olurisonle, qui dégage de l'oxygène pour former de l'eau avec l'hydrogène mis en liberté.
- POLDI {Société des .1 eiérirs), uÜ, quai de Valmv, Paris. Tel. jjo-fij.
- PÔLE D'UN AIMANT. — K xt.rémilé d'un aimant, émettant un fluide magnétique. Les pôles sont, de deux sortes : pôle nord et pôle sud, dénomination provenant de ce que, montés en leur centre sur une aiguille, les aimants prennent toujours une direction sensiblement, nord-sud, la môme extrémité étant constamment tournée vers le nord.
- -- Pôles d’une pile. — Pièces métalliques terminant les électrodes d'une pile et auxquelles sont lixés les fils conducteurs. L'un des pôles s’appelle pôle positif et est toujours indiqué par le signe -j- ou est peint, en rouge ; l’autre pôle est nommé pôle né-yatif cl s'indique par le signe. —Voir Potentiel.
- POLISSAGE. — Opération ayant pour but de rendre la surface des corps (métaux, bois, vernis, marbres, etc.) unie et, brillante. Le polissage, poussé à son extrême limite, est dénommé brunissaye. Brunir une pièce déjà polie consiste à brillanler encore la surface en la frottant avec des outils dits brunissoirs, établis en acier, en agate ou en silex polis.
- POLLOCK. et Soil, spécialité d'approvisionnements pour yachts, 7, rue Ambroise-Thomas, Paris. Tél. 3ia-i)o.
- POLYGONES. — Figures géométriques, telles que A, B, G, D, formées par des lignes droites ou courbes, se coupant deux à deux
- I Les Automobiles
- 1 __________ARRIVÉES
- a
- Lorraine-Dietrich ”
- 3e DANS LA COUPE VANDERBILT
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- — 5/| i —
- dans un plan et formant plusieurs angles et autant de côtés. Parmi les polygones les plus
- connus, citons le triangle, le carré, l'hexagone, etc.
- POLYMOBIL-MOTORWAGEN, automobiles. — Voir Polyphon-Musikwcrke
- a. <;.
- POLYPHON-MUSIKWERKE A. G.,
- lubrique d’automobiles Polymobil, à VYahren-Leipzig (Allemagne).
- POMAYROL (Albert), garage, commerce d'automobiles, place de la Rotonde, à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône). Tel. ~q. Adr. tel. (Jarage-('enlral-Ai.r-en-Provence.
- POMMES {Joseph), garage, commerce d'automobiles, 1-, rue Lespy, à Pau (Rassos-Pyrénées). Tél. 1-2S. Adr. tel. Pomtnès-. I atu-Pau.
- E
- Schéma
- 1 >1: la coupe dVm:
- POMPE
- A PNEUMATIQUES
- POMMIÈS , garage, commerce d'automobiles, 11G, boulevard de la République, àAgen (Lot-el-(iaronne).
- POMPE A AIR POUR PNEUS. -- La ligure ci-contre en représente un modèle l'orl simple, muni d'un clapet de refoulement. Dans le corps de pompe A se meut un piston R ayant un certain jeu. U11 cuir embouti C joue le double rôle de garniture du piston et de soupape d'aspiration. Supposons, en effet, le piston en haut de sa course et l’espace compris au-dessous rempli d'air. Par son élasticité naturelle le cuir embouti s'applique contre la paroi du corps de pompe. 11 s’ensuit que, dans
- le mouvement de descente du piston, l’air emprisonné au-dessous est refoulé dans la chambre à air à travers le clapet de retenue D. Quand le piston remonte, le cuir embouti s’écarte de la paroi du cylindre en s’appliquant étroitement sur le corps du piston et l’air contenu au-dessus de lui passe au-dessous en raison de la dépression produite par la montée du piston. A chaque course de haut en bas l'air remplit, le corps de pompe en entrant par les orifices E du fond supérieur.
- La pompe à air pour automobiles et ses annexes, étant d’une taille appréciable, tient de la place. Il convient donc de citer ici la pompe Michelin qui, bien que munie d'un manomètre, d’une poignée et. de pédales, est réduite à son minimum d’encombrement, grâce à une disposition ingénieuse de ces deux derniers organes. Elle se logo facilement dans l'outillage. — Voir Manomètre.
- Pompes à air :
- — Boas, Rodiugues ht C‘° (pompes actionnées parle moteur), (i-, boulevard de Charonne, Paris.
- — Comiot (C'A, 8~, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris.
- — Continental, 1 /|f», avenueMalakoll’, Paris.
- — Dksponts, iüo, rue Victor-Hugo, à Le-vallois-Perrel (Seine).
- — IfiHscn (Et.), 2(1, rue de Crussol, Paris.
- 1 Iussknot et Raynaud, 3y, rue La Boétie.
- Paris.
- — La Française, 11. rue Brunei, Paris.
- — Mkstkk et Blatgk, 5, rue Brunei, Paris.
- — Michelin et C1*, à Clermont-Ferrand i Puy-de-Dôme).
- -— Santa-Mahia (De), G, Cbaussée-d'Anlin. Paris.
- — Pompes à eau, centrifuges, rotatives, à engrenages. — Appareils servant à déplacer l'eau ou tout autre liquide en agissant par pression. Au point de vue mécanique, ou peut sommairement classer les pompes en pompes à pistons, rotatives cl centrifuges. Les premières comprennent les pompes aspirantes et élévaloires et les pompes aspirantes et, foulantes à simple et à double ell'et. Elles ne sont pas employées en automobile.
- — Les pompes rotatives découlent en principe des pompes à piston, où l’eau est aspirée par une augmentation de volume du corps de pompe cl refoulée par une diminution de volume; seulement, ces augmentations et, diminutions de volume sont obtenues par le jeu d'un piston à mouvement rotatif continu, ce qui est, théoriquement, bien supérieur au mouvement allernalil. En
- I >OMPE A ENGRENAGES
- Carburateur g. a.
- J. GROUVELLE, H. jtRQUEMBOÜRG & C*
- 71, rue du Moulin-Yejt, PARIS
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- automobile, elles sont employées sous le nom do pompes à engrenages.
- — Les pompes centrifuges ou à ailettes, les plus employées en automobile, produisent l'écoulement de l'eau dans la conduite en lui communiquant, dans l'intérieur meme de la pompe, une vitesse transformée en pression dans la volute collectrice du refoulement. Elles comprennent, en principe, une roue à aubes, ou turbine, recevant l'eau par le centre et réchappant par la circonférence grâce à la force centrifuge acquise dans la rotation.
- Pompes à eau spéciales :
- Amies (automobiles), 89, quai d'Argen-teuil, à Yillencuve-la-Garenne, Paris.
- — Giiouvelle, Arquembouru et G'”, rue du Moulin-Vert, Paris.
- IIumvy, 117, boulevard de la Villette, Paris.
- — Pompes à huile. — Lorsqu'on veut assurer avec sécurité le graissage d'un mécanisme, notamment d'un mécanisme fonctionnant à grande vitesse, ou a recours au graissage sous pression qui s'ell'ectuc au moyen d'une pompe forçant l'huile vers les points à graisser. Sur les motocyeles, la pompe à huile est attenante au réservoir et permet d'envoyer l'huile au carter du moteur, le graissage de ce dernier s'effectuant par barbotage. Sur les voitures, le graissage s’effectue par deux modes principaux: par refoulement de l'huile goutte à goutte, ou par circulation continue abondante. Le premier système comporte l’emploi de pompes à débit réglable. Le second comporte l'emploi de pompes à engrenages ou à piston refoulant l'huile au travers de canaux percés dans les organes à graisser d'où elle retombe dans un réservoir muni d'un filtre où elle est reprise par la pompe. Ge mode de graissage, mis en honneur par la maison de Dion-Bouton, donne les meilleurs résultats.
- 11 fonctionne d'ailleurs avec succès depuis longtemps sur les machines fixes de Delau-nay Bellevillc, qui a appliqué le meme principe heureux à scs moteurs d'automobiles.
- Pompes à huile spéciales :
- — De Dion-Bouton,
- 3G, quai National, à Puteaux (Seine).
- viLLE,àSt-Denis(Scinc).
- — Dubruliæ, 28 bis, rue Villeneuve, Glichy-la-Garenne (Seine).
- —-Henry, i 17, boulevard de la Villette, Paris.
- POMPEY (Forges et Aciéries de), Société Anonyme des Hauts Fourneaux de Poinpey, au capital de 11 millions, 85, rue Saint-Lazare, Paris. Tel. 2G0-20. Siège social à Poinpey (Meurthe-et-Moselle).
- PONCEAU. — Petit pont d'une seule arche, jeté au-dessus d'un ruisseau ou d’un petit ravin.
- PONCELET. — Général français né en 1788, à Metz; mort en 1867. Ancien élève de Polytechnique; s’est distingué dans les mathématiques et la physique.
- Son nom a été donné à une unité de puissance, le poncelet, (fui vaut 981 watts ou 100 kilogranimètrcs par seconde.
- PONCER. — Les panneaux d’une caisse de voiture en fabrication sont d'abord poncés après chaque couche de vernis, c’est-à-dire polis de façon à enlever la plus petite aspérité du bois ou du métal, avec une pierre ponce fine et mouillée largement d’eau, ensuite avec des chiffons imprégnés de poudre de pierre ponce diluée dans de l’eau. Les panneaux sont peints, après ces vernissages et ponçages successifs ; puis ils reçoivent définitivement la dernière couche de brillant, dit brillant à finir, qui constitue la dernière opération exécutée par le carrossier.
- PONCET, garage, commerce d'automobiles, 82, rue Balay, à Saint-Etienne (Loire).
- Delaunay Belle-
- Pont—a mu ki il d'uni: vomau: Ciiknaud kt Walckeu njo?.
- M .M, essieu lixo. — N, support du frein de roue. — P, levier do frein sur différentiel. — q q\ ax^ des pignons d’attaque des r collier de frein. — T T, point d’attache des ten.fours. • rieurc do roue motrice.
- ouos motrices.— R, — U, couronne inté-
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- 1’ O N
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- PONCET, garage, commerce d’automobiles, 66, avenue Carnot, à Draguignan (Var).
- PONS et PERNOO, commerce d’automobiles, 2io, boulevard Péreirc, Paris.
- PONT. — On appelle pont un tube de gros diamètre qui réunit à l’arrière (tricycles ou voitures de Dion-Bouton) les côtés latéraux du châssis d’une voilure, lorsque l'essieu lui-meme est tournant au lieu d’etrc lixe.
- PONT-ARRIÈRE. — On donne quelquefois ce nom à l’essieu arrière des voitures à transmission à cardan. Cet essieu est menacé toujours de fragilité puisqu’il est le plus souvent, à la fois porteur et moteur, si on ne le construit pas suivant des plans tout spéciaux.
- Nous reproduisons, p. 5/|2 et ci-contre, deux exemples différents d’excellents ponts-arrière.
- PONTIÉ (Edouard), 9, boulevard des Italiens, Paris. Tel. ioj-90. Né à Galiors (Lot), le i5 décembre 1877 — Rédacteur en chef dVlrmes et, Sports, depuis igo/( ; collaborateur à Y Auto, au Sport Universel Illustré, à Y Echo des Sports, aux Sports Modernes et à de nombreux journaux et revues français et étrangers. — A longtemps pratiqué tous les sports, s’adonne actuellement uniquement à l’automobile.— A collaboré à Tous
- DjiMI-COUPi: DU I'ONT-AIUUÈlll! DES VOITUIUÎS AlUÈS.
- AI. ICdouaud Pontié
- les Sports, au Veto, au Monde Sportif, etc.
- PONTILLON, garage, commerce d automobiles, 6, passage Ronsin, à Fontainebleau (Seine-ct-Marne).
- PONT-NEUF
- (Garage du), l\g, quai des Grands-Augustins, Paris. Tel. 819-62.
- PONTS ET CHAUSSÉES (Conseil général des), au
- A, arbre. — B, essieu coudé. — C, support du tendeur. — D, carier du différentiel. — E, tambour de frein.— F, flasque. —G, noix extrême de l’arbre. — II, chapeau. — I, rai. - J K, axe d’articulation du frein. — L M, support du frein. — N, bielle do commande du frein. — B, ressort. — b, boulon de fixation du carier de différentiel sur l’essieu. — q r, roulements à billes.
- Ministère des Travaux Publics, 2.j4, boulevard Saint-Germain, Paris. — Président : le Ministre.
- Nous ne pouvons entrer ici dans une discussion sur le pont-arrière des voitures à cardan. Nous signalons seulement, à nos lecteurs, le danger des ponts-arrière mal étudiés. Il y a des ponts-arrière qui valent des essieux à chaînes; mais il y en a aussi de déplorables. — Voir Essieu tournant.
- — Aiuîïs (Automobiles), 39, quai d’Argen-teuil, à Yillencuve-la-Garenne (Seine).
- — Etablissements Ciignard et Walcker, j, rue de Normandie, à Asnières (Seine).
- — Itala, 5o, rue d’Anjou, Paris.
- PONT DE L’EUROPE (Garage du), 3, rue d’Edimbourg, Paris. Toi. 5^j-o6.
- PONTGIBAUD (Société Anonyme des Mines et Fonderies de), tubes, tôles, etc., à Couëron (Loire-Inférieure) ; et 3, rue des Ma-thurins, Paris. — Société Anonyme au capital de 3960000 francs.
- POPE MANU-FACTURING C", fabrique d’automobiles, à Hartford (Connecticut), Etats-Unis.
- POPE MOTOR CAR C°, fabrique d’automobiles à pétrole « Pope-Toledo » et des automobiles électriques « Popc-Wavcrley », à Tolcdo (Oliio), Etats-Unis.
- POPE TOLEDO. — Voir Pope Motor Car C°.
- POPULAIRE (Le), chaînettes arrache-clous. — Voir Pgal (James).
- POPULAIRE (Antidérapants le). — Voir Babcrt et C‘°.
- PORCELAINE. — Matière céramique blanche et opaque obtenue par la cuisson à haute température d’un mélange d’ar-gile pure (ou kaolin), de sable blanc destiné à diminuer le retrait, et de feldspath agissant comme fondant et rendant la masse translucide.
- AUTOMOBILES
- ARIËS
- 39, quai d'Argenteuil, 39
- ViLLENEUVE-LA-GARENNE
- far l’isle-Saint-Denis (Seine).
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- PORES. — lnlerv ailes existant entre les particules constitutives des corps. '
- PORTABLE ACCUMULATORS,
- Ltd, accumulateurs électriques, 210, Shaf-teshury avenue, à Londres, W-C. (Angleterre).
- PORTALIER, motocyclettes, 53, rue des Deux-Eglises, à Bruxelles (Belgique).
- PORTALIER, garage, commerce d'automobiles, ij, rue des Cordiers, à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine).
- PORTALIER, garage, commerce d’automobiles, boulevard Fcard, à Dinard (Ille-et-\’ilaine).
- PORTE (lioberl). commerce d’automobiles, 1, avenue du Houle, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- PORTE-A-FAUX. Disposition d’une pièce qui, ne portant pas d'aplomb sur un bâti ou sur un support, manque de point d'appui sur une partie de sa surl'aee.
- PORTE-BAGAGES. Les parle-
- huyuyes, ordinairement démontables, disposés à l’arrière des voilures automobiles dont, l’entrée sc l’ait par l’avant ou par les côtés, sont indispensables dans les voilures de tourisme ; ils portent le nom de fourragères.
- PORTE-BALAI. — Support métallique de la pièce qui recueille le courant sur un collecteur de dynamo, ou qui l'amène à un moteur électrique. Les porte-balais les plus employés sont ceux de M. Boudreaux (porte-balai Supra). Les porte-balais sont employés notamment dans les voilures électriques des Postes et Télégraphes, à Paris.
- - Bouoiucaux, 3, rue Ilaulefeuille, Paris.
- PORTE, BOUSQUET, PÉLISSIER
- et Ci0, commerce d’automobiles. Voir V.lysée-Garage, Paris.
- PORTÉE. —- Se dit de la partie d'un arbre trottant dans les coussinets du palier qui le supporte. On dit également la portée d’un maneton. La surface d’une portée doit être assez grande relativement à l'ell'ort pour éviter une trop grande pression par unité de surface pouvant, expulser l’imile et augmentant l'usure.
- — Se dit aussi delà longueur libre d’une pièce qui, posée horizontalement, est soutenue (où encastrée), soit à ses deux bouts, soit d'un seul côté. La portée se mesure : d'un support à l’autre, dans le premier cas; de l'encastrement à l'extrémité de la pièce, dans le second cas.
- — Dans l’industrie mécanique, on nomme portée une petite surélévation, sorte do bague fixe, sur laquelle s'appuie un écrou de serrage, une bague, un manchon, etc.
- — Les horlogers donnent le nom de portée au point sur lequel porto un pivot; ce point, en mécanique, s'appelle crupaudine.
- PORTE-LIME. Instrument sur le-
- quel on enchâsse une lime pour faciliter son usage et augmenter son rendement.
- La figure représente un porte-lime pour le travail sur champ, par
- exemple la re- ÇN
- fente d'une ):J
- pièce.
- PORT-
- ROYAL (du- Poiui:-i.imi:
- rage de), commerce d’automobiles, /|G, boulevard de Port-Royal, Paris. Tél. 822-80.
- PORTHOS, bougie. — Voir Pivot, Paris.
- PORTHOS (Société des Automobiles), 12, rue du Dôme, à Billancourt (Seine).
- PORTIER, garage, •>., rue Mozart, Paris. Tél. (iqG-58.
- POSNO, GUESPIN, SCHEFFLER
- et C10, brasures pour aluminium, ^o, rue de la Tour-d'Auvergne, Paris. Tél. a-.j-ao.
- POSTE DE CHARGE ÉLECTRIQUE. — Nom donné à un tableau de charge pour voitures éleclimmobiles. 11 sc compose, en général, d'un commutateur, d'un rhéostat, d’un voltmètre, d'un ampèremètre cl d'une certaine longueur de fil souple.
- Par extension, le nom est donné à un garage qui possède un ou plusieurs tableaux de charge.
- 11 y a quelques années, il avait été proposé de créer des postes de charge électrique, le long des routes de France, pour en permettre l’accès aux voitures électromobiles. MM. Bassée et Michel avaient môme inventé un poste de charge distribuant automatiquement une quantité de courant proportionnelle à la somme d'argent versée dans l'appareil. Les inventeurs avaient baptisé cet appareil : fontaines électriques. Ces projets 11’ont jamais été réalisés, surtout à cause des perfectionnements extra-rapides de la voiture à pétrole.
- POSTES DE CHARGE POUR ACCUMULATEURS. — Voir Egyptienne d’Eleclricité (Société Anonyme).
- POSTEL-VINAY (Anciens Etablissements), dynamos. —Voir Thomson-Houston.
- POT D ÉCHAPPEMENT. — Expression synonyme de silencieux. Voir ce terme et Puissance.
- POTEAUXINDICATEURS. Diverses circulaires ministérielles, notamment une du 29 mai igo3, déterminent les conditions dans lesquelles des poteaux indicateurs, en vue de prévenir les cyclistes ou automobilistes des dangers ou de l’état de la route, pourront cire établis sur la voie publique.
- La demande de placement de ces poteaux doit être adressée au Vréfel du département
- P lés RECETTES du CHAUFFEUR
- pour n’être jamais en panne
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- pour les routes nationales ou départementales ; au maire de la commune pour les chemins vicinaux et les voies urbaines. L’autorisation accordée peut toujours être révoquée par l’autorité qui l'a accordée.
- Les nombreux poteaux indicateurs que font placer un peu partout nos grandes associations touristiques ou sportives rentrent dans cette catégorie. — Voir Signaux de Roule.
- POTÉE D'ÉMERI. — Poudre à polir, impalpable, recueillie sur les meules au cours des opérations de polissage des pierres précieuses.
- POTÉE D’ÉTAIN. — Poudre à polir, constituée par du bioxyde d’étain amené à l’état impalpable, obtenu en oxydant de l’étain fondu, par chauffage au rouge vif au contact de l’air.
- POTENTIEL (De la racine latine poG pouvoir). — Energie statique emmagasinée dans un corps. Une bille calée au haut d'une pente possède une énergie latente, une force potentielle. Pour s’en convaincre, il suffira de la décaler.
- Dans deux vases communiquant, un courant s’établit entre celui qui a le niveau le plus élevé et celui qui a le niveau le plus bas.
- De même, en électricité, de deux corps possédant des potentiels différents, celui en ayant le plus (-)-) (toute idée de niveau mise à part) en fournit à celui qui en a le moins (—) ; c'est celte chute de potentiel (pii constitue le courant électrique. Pour qu'il y ail courant électrique entre deux corps, il faut donc qu'il y ait entre eux une différence de potentiel. —-Voir l’ouvrage fAllumage dam tes Moteurs à explosions, où ces explications sont clairement données.
- POTIER, AZE etLECORSIER, pièces détachées pour cycles et automobiles, 19G, boulevard Voltaire, Paris. Tél. 928-02,
- POTIER (Henri), MARTIN et TA-CLET, successeurs de E. Vauzelle et C’ie, pièces détachées pour automobiles, rue des Concourt, Paris. Tél. 989-12. Adr. tel. Eve-tem-Paris.
- POTRON \Emile), 3G8, rue Saint-IIonoré, Paris. Tél. 288-28. — Ingénieur des Arts et Manufactures, maître de forges. — Directeur des Forges de Persan.
- POTTIER, ingénieur, d/p rue Pétrelle, Paris. — Ancien directeur de la partie électrique aux Etablissements Mors. Directeur commercial de la Société Générale des Auto-tnob il es Ind us tri els.
- POUCE. — Ancienne mesure française, valant o ni. 02™.
- POUCE. —Mesure anglaise de longueur. -- Voir In ch.
- POUDEROUX, garage, commerce d’automobiles, place Michelet, Le Puy (Haute-Loire).
- POUGET, garage, commerce d’automobiles, place du Bourg, à Rodez (Aveyron).
- POULES écrasées. — Voir Animaux.
- POULET et TAYART. huiles minérales de graissage, 108, avenue de la République, à Aubcrvilliers (Seine). Tél. 02.
- POULIE. — Appareil de levage formé d’une roue métallique, creusée d'une gorge dans laquelle est placée une corde, et qui peut tourner sur un axe monté sur deux
- K, llasquc.
- Fig. 1
- G, gorge. — P, poulie.
- flasques en bois ou en métal. Les poulies sont très souvent composées, c’est-à-dire formées de deux ou trois roues métalliques : elles se nomment alors palans ou moufles. — Voir ces mots.
- Cônes étagés. — Pour transmettre avec une vitesse variable un mouvement de rotation d'un arbre à un autre parallèle, on dispose sur chacun d’eux des groupes de poulies dont la somme des rayons [tour chaque couple est constante. La vitesse de l'arbre conduit est, différente suivant (pie la courroie est enroulée sur tel ou tel couple. Généralement on lait venir d'une pièce les poulies clavelées sur un arbre et formant un cône étagé (fig. 2). --Les cônes étagés sont peu appliqués en automobile à cause du patinage des courroies et de l'encombrement que nécessite ce dispositif, mais ils sont appliqués très fréquemment, à la commande des machines-outils.
- — Poulies extensibles. — Lorsque le rapport des vit esses de l'arbre conduit et de l'arbre moteur est variable, on peut, utilisera la place de cônes étagés ou lisses une paire de poulies à jante extensible. La figure 3 (empruntée à la cinématique appliquée de M. Leblanc), montre le dispositif appliqué par M. Fouilla-ron aux automobiles. Les poulies sont essentiellement constituées par deux cônes entaillés de façon à pouvoir pénétrer l'un dans l'autre d'une quantité variable à volonté. La courroie, de section triangulaire, s’enroule
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- POU
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- sur la circonférence d'intersection des deux cônes, dont le diamètre varie précisément avec la pénétration de ceux-ci. La courroie
- Poulies Fig. a
- (cône étage) Poulies Fouillauon
- est, formée de lamelles triangulaires enfilées sur plusieurs cordes à hoyau. Elle tend à écarter les cônes et produit un effort sur les leviers de commande, ce qui explique la liaison souple de leur extrémité libre au moyen d'un ressort. Les cônes À sont mobiles, et les cônes B fixes et leurs déplacements sont conjugués. — L'avantage de ces appareils est de permettre une variation de vitesse étendue et progressive.
- — Automobiles Fouillauon, 54, rue de Villiers, à Levallois-Perret (Seine).
- — Poulies folles. —Lorsqu'un embrayage à friction n'a pas sa raison d'être pour produire le mouvement ou l'arrêt d’un arbre, on emploie le dispositif : poulie fixe et poulie folle, la poulie fixe étant clavetée sur l’arbre à entraîner, tandis que la poulie folle est libre ou folle sur lui ; une rondelle goupillée empêche son déplacement longitudinal. Les jantes sont séparées par un jeu de 2 à 4 millimètres, et une fourchette embrassant le brin conducteur de la courroie, à proximité de son point do contact, pousse celle-ci sur runc ou l'autre des deux poulies. Le dispositif constitue un embrayage rudimentaire, car la courroie n’entraîne que progressivement la poulie fixe lorsqu’on la fait passer sur celle-ci.
- POULIES en carton cuir (Société des), 17, rue Béranger, Paris. Tel. 278-G2.
- POULLAIN - BEURIER , cuirs au chrome pour antidérapants , courroies de transmission, 99, rue de Flandre, Paris Tél. 412-31. Adr. tél. Cuirs-Paris.
- POULOT, fabrique de meules artificielles, 5o. avenue Philippe-Auguste, Paris. Tél. 916-15.
- POUPART, garage, commerce d’automobiles, à Gisors (Eure).
- POUPÉE. — Les poupées sont les extrémités des arbres d’un tour, dont l'un d'eux est animé d’un mouvement de rotation, entre lesquelles sont maintenues les pièces à travailler.
- — On nomme égalementpoupees de petites pièces métalliques tournées, qui sont vissées sur les parois d’une boîte contenant un appareil électrique (bobine, etc.) et auxquelles sont attachés les fils amenant le courant électrique; on ditplus souvent en ce sens des bornes.
- POUSSÉE. — Un
- arbre exerce une poussée longitudinale sur ses paliers lorsqu’il est soumis à la réaction d’engrenages coniques, d’une turbine de ventilateur ou de pompe, d’une hélice ou encore à la pression d'un ressort d’embrayage, etc. Lorsque la poussée est s i m p 1 e m c n t équilibrée par la butée des collets ou embases do l’arbre contre les joues des coussinets, il s’ensuit une rapide usure de ceux-ci. 11 faut toujours employer des butées à billes qui ont en outre l'avantage de ne faire qu’une consommation d’énergie insignifiante. — Voir Roulements.
- Uni; Poupée.
- , écrou de serrage. — P, poupée (contact électrique). — V, vis serrant le lil conducteur.
- POURSIN et Ci0, quincaillerie pour carrosserie automobile, 35, rue des Vinaigriers, Paris. Tél. 417-07.
- POUSSET, garage, commerce d'automobiles, 76, Grande-Rue, à Bomorantin (Loir-et-Cher).
- POUSSOIR. — Petit bouton qui, dans la plupart des carburateurs, se trouve à la partie supérieure de la chambre du flotteur et que l’on pousse pour faire enfoncer le flotteur, dans le but de noyer celui-ci provisoirement, en vue d’une admission d’essence plus grande, destinée à faciliter le départ du moteur.
- POYET (Louis), dessinateur-graveur, 17, rue du Louvre, Paris. Tel. 127-81.
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- P R A — 547 — PRE
- PRADE(Geop^es-i?c/owarrf),8o,boulevard
- Flandrin, Paris. Tél. 678-40. — Né à Paris, le i4 octobre 1876. — Rédacteur e n chef du journal Les Sports. — Licencié ès lettres.—Entré au Vélo en 1896.
- PRADÈRE
- et Cio, huile minérale (( Virginia », 16, rue
- du i4-Juillet, au Pré- St - Gervais (Seine). Tél. 43o-24.
- PRADTER
- (A), extincteurs d'incendie, 12, rue des Bourdonnais, Paris.
- PRADILLON, garage, commerce d’automobiles, place du Général-Espagne, à Aubusson (Creuse).
- PRATIQUE AUTOMOBILE VUL-GARIS Æ (La), 101, avenue Henri-Martin, Paris.
- PRATT and WHITNEY, machines-outils, à Hartford (Connecticut), Etats-Unis.
- PRÉCISION. — Un appareil est construit avec précision lorsque ses différentes parties s’ajustent rigoureusement. La précision est une des caractéristiques de la construction mécanique moderne. Certains travaux sont couramment exécutés avec une approximation de l'ordre du 1/100 de millimètre. Cette condition est indispensable pour rétablissement de machines à pièces interchangeables.
- PRÉFECTURE DE LA SEINE.
- Place de l'IIotel-de-Ville, Paris. — Préfet: M. de Selves. Tél. io4~4o. — Secrétariat général. Tél. io4-45. — Direction du Cabinet : Tél. 1 o/|-44.
- PRÉFECTURE DE POLICE de
- Paris. — Préfet de Police : M. Lépine. — Chef de cabinet. Tél. 822-23. — Secrétariat général. Tél. 822-19, 7, boulevard du Palais. — L’autorité du Préfet de Police s’étend sur tout le Département de la Seine et sur les communes d’Enghien, de Meudon, de Saint-Cloud et do Sèvres.
- — Surveillance des appareils à vapeur et des automobiles : M. Walckenaer, ingénieur en chef des Mines, 218, boulevard Saint-Germain.
- — Bureaux, 36, quai des Orfèvres. — Inspection divisionnaire de la Circulation et des Transports ; voitures automobiles ; délivrance des certificats de capacité et des récépissés de déclaration.
- PRÉFÉRÉE (La), huile minérale. — Voir Constant et Ci0.
- PREMIER MOTOR Mfg C°, automobiles, George Street, à Indianapolis (Indiana), Etats-Unis.
- PRÉMONVILLE (De), machines-outils, 46, rue du Chemin-Vert, Paris. Tél. 921-84.
- PRÉSERVATRICE (La), assurances contre les accidents, 18, rue de Londres, Paris. Tél. 232-74.
- PRESSE (La), journal quotidien, 12, rue du Croissant, Paris. Tél. 101-69. — Rédacteur sportif : M. G. de Lafreté.
- PRESSE-ÉTOUPE. — Les presse-étoupe, dans lesquels de l’étoupe ou de la filasse comprimés par une vis servaient à faire des joints plus ou moins étanches pour la vapeur ou pour l’eau, 11e sont presque plus employés en automobile. Ils sont remplacés par des joints métallo-plastiques, plus propres, plus durables et beaucoup plus commodes à installer,—-Voir Boite à étoupe.
- PRESSION. — Pt 'essioii conserve en mécanique et en physique son sens le plus général. O11 l'emploie le plus souvent pour désigner la pression d'un liquide, d’un gaz ou d'une vapeur. Une pression s’évalue toujours en kilogrammes par cm2, également dans le cas de deux corps solides en contact; la pression moyenne est alors égale à l’effort normal divisé par la surface de contact.
- — La pression d'air dans le pneumatique doit être en rapport avec le poids qu’il a à supporter. La Maison Michelin et Cio donne dans son code un tableau indiquant la pression qu’il faut obtenir selon le poids de la voiture. Cette pression, qui peut varier depuis 2 kilogrammes pour une voiturette de 5o à 80 kilogrammes, jusqu’à 6 kilogrammes pour une voiture de plus de 700 kilogrammes, est indiquée par le manomètre placé sur la pompe. — Voir Gonflage.
- — Michelin et Cie, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- PRESSION (Rés ervoirs à). —§Pans certaines voitures, il arrive que, pour quelques raisons dont la principale est la commodité de remplissage, le réservoir à essence 11’est pas en charge par rapport au carburateur ; il est placé à la même hauteur et parfois plus bas. L'essence 11e pourrait pas emplir la chambre du flotteur, si l’on ne prenait soin d’exercer une pression sur le liquide renfermé dans le réservoir hermétiquement clos, au moyen d'une pompe à air. Cette pression, après la mise en route, continue à être exercée par les gaz mômes dè l’échappement.
- Ce dispositif, particulièrement utilisé dans les grosses voitures dans lesquelles le réservoir d’essence est placé tout à fait à l’arrière, est aussi employé pour actionner quelquefois les graisseurs compte-gouttes.
- — Automobiles Beuliet, 12, chemin des Quatre-Maisons, à Lyon (Rhône).
- M. Geokges Pkade
- Société anonyme des Automobiles de la
- LYON *2
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- P R E
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- P R I
- —- Diîi.au.vay Iîi.li.c vii.li-, automobiles, Saint-Denis (Seine).
- PRESSION ATMOSPHÉRIQUE. —
- Pression exercée par l’ensemble (les couches successives de l'atmosphère. — Voir ce mol.
- PRESTA, bougie. — Voir Amoudruz.
- PRESTATIONS. — Les automobiles sont assujetties à l'impôt de prestation.
- Le tarif de conversion en argent des journées de prestation pour les automobiles esl arreté, chaque année, par le Conseil général du département. Ce tarif ne peut dépasser celui que comportent les voitures à traction animale dont la taxe est lapins élevée; il peut toutefois être majoré à raison du nombre des chevaux-vapeur, mais la taxe correspondant à chaque cheval-vapeur ou fraction de cheval-vapeur ne doit jamais être supérieure au tiers de la taxe allerente à la bele de trait le plus imposée. (Loi du io juillet i<)o4, art 7.)
- Tout propriétaire d’automobile peut opter pour la prestation en nature, à condition de le déclarer à la mairie dans le délai d'un mois de la publication du rôle.
- PRÉTOT, avant-trains moteurs, machines-outils, f\-i, avenue Philippe-Auguste, Paris.
- PRÉVOST {Georges), !\, place Saint-Michel, Paris. Tél. 822-54. — Né à Paris, le 18 mai 1807. — Administrateur de la Société des anciens Etablissements Panhard cl Lcvassor.
- PRÉVOST, nickelagc, 10, rue Claude-Decaen, Paris. Tél. 94-0-45.
- PREVOT, garage, commerce d’automobiles, 22, rue Grande, à Montereau (Seine-et-Marnc).
- PRÉVÔT (/.), cycles et automobiles. 7. place Faidhcrbe, à Bapanmc (Pas-de-Calais). — Garage ; réparations ; stock Dunlop.
- PRÉVOYANCE (Lut, Assurances contre les accidents, Cl, rue de Londres, Paris. Tél.
- 108-22.
- PREZ - CRASSIER (H. de), moteurs.
- 27, rue de Cbâ-tenuduu, Paris. Tél. 14 0-21.
- M. Phice.
- PRICE
- bc.rl), 1.4.
- Belgique (iSg/j-yü), puis
- {II u-
- l'ile
- Piccini, Paris. Tél. 002-OG. — No à Londres, le 2i juin 1872. — Directeur de la Société Française des Pneu matiques Dun-lop. Administrateur de la Compagnie Dunlop allemande. — A lancé le pneumatique Dunlop en en Italie (189(1-97).
- PRIGENT, accessoires, 9, rue d’Entrai-gues, à Tours (Indre-et-Loire).
- PRIGENT, fabrique de ressorts, 11, avenue de Taillebourg, Paris. Tél. 910-84.
- PRIMA, voilures automobiles. — Volr Lefebvre {Léon), à Levallois-Perrct.
- PRIMAT et Ci0, moteurs al terne-rotatifs, 1.4, rue de Normandie, à Asnières (Seine). Tél. 281.
- PRIMUS (Fabbriea Torrinese), fabrique de motocyclettes « Primus » et de moteurs, 8, via Piaz/.i, à Turin (Italie).
- PRINETTI (Motocyclettes). — Voir Slucchi cl Ci0, Milan.
- PRISE DIRECTE. — Une transmis-
- sion de mouvement s'eil’eclue en prise di-
- fcini.M.v Dr. i..\ l’iusi: miuauE Rk.naci-t 1mu;iu:s.
- A A, arbre primaire. — H. carter des vitesses. — C, cône d'embiavagc. —D, Différentiel. — Eli 1.1, roues donnant la petite vitesse. — E Q f, train baladeur. — f, grilles du train baladeur. — g. grilles de l’engrenage (le réception .1. — K K, arbre secondaire. — M, moteur. — P, pignon conique. — Q, roue conique) — RR, roues motrices. — V, volant.
- Automobiles RENAULT FRERES "(Seine)
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- p n i
- recte lorsqu’elle ne comporte pas d’organes intermédiaires de transformation de vitesse. En automobile, le moteur tournant toujours plus vite que les roues et n’étant jamais en tout cas directement accouplé avec celles-ci, on dit qu’il y a prise directe lorsqu’il n’y a qu’un seul réducteur de vitesse entre le moteur et l’arbre différentiel, que celui-ci porte les roues ou les pignons de chaîne. Avec les changements de multiplication à train baladeur, la prise directe est obtenue par le moyen d'un manchon à grilles accouplant les deux parties de l'arbre primaire. —Voir Boite </cs vitesses.
- La Maison Renault frères fut la première usine qui ait construit une voiture avec une prise directe. Ce système supprima un intermédiaire, les pignons de la boîte des vitesses, de telle sorte qu'à la troisième vitesse, le moteur attaquait directement l’essieu arrière. Les seuls intermédiaires subsistant entre l’essieu et les roues sont, le pignon et la roue d’angle calée sur le différentiel.
- La prise directe est, en général, obtenue par le sectionnement en deux trouvons de l’arbre du train baladeur ; ils peuvent, à volonté, être rendus solidaires ou distincts l'un de l’autre.
- On sait que la Cour d’appel de Paris a recounu en 190.5 la validité du brevet de la maison Renault pour la prise directe. Les voitures qui emploient à la fois la transmission à cardans et la prise directe tombent donc dans son brevet.
- La prise directe améliore un peu le rendement mécanique et offre surtout l’avantage
- du silence ; le nombre des engrenages en prise étant à ce moment très petit, le bruit mécanique de la voiture est très faible.
- Ces avantages ont décidé, avec raison, plusieurs constructeurs en 1907 à fabriquer des boîtes à 11 vitesses en prise directe. Nous citerons notamment Berliet. Coltin et Desgouttes, et Pilain, chez qui elle est particulièrement réussie. La gravure ci-contre montre une boîte 1907 de Pilain. On voit nettement les deux pignons coniques qui demeurent toujours en prise avec leurs couronnes respectives, mais qui ne sont liés à l’arbre moteur qu’à tour de rôle et par un clavetage spécial (pic nous 11e pouvons examiner ici. — Voir ümnia, revue pratique de locomotion.
- — Berliet, 12. chemin des Quatre -Maisons, Lyon (Rhône).
- -— Güttin et Desgouttes, place du Bachut, à Lyon (Rhône).
- — Pilain (Société des Automobiles), 17.chemin de Monplaisir, à Grange-Rouge, Lyon (Rhône).
- — Renault Frères, i3ij, rue du Point-du-Jour, à Billancourt (Seine).
- PRINI, réservoirs, capots, radiateurs, 187, rue Obcrkampf, Paris.
- PRIOU, antidérapant <( Idéal », 160,
- cours Lieutaud, à Marseille (B.-du-Rhônc).
- PRIOUX, drap s cl tissus pour carrosserie, /jG, rue de l'Echiquier, Paris. Tél. 135-22.
- PRISE (Toujours en). — Se dit de
- pignons engrenés toujours ensemble, par opposition au train baladeur dont les [lignons
- Boni: dk vitkssks Pilain, type i9(>7, a m.cx imusks diukctes
- ROUE LIBRE EADIE MOYEU COMBINÉ
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- et roues ne se mettent en prisse qu’au moment du changement de vitesse.
- Pendant longtemps, on a cherché à remplacer les changements de vitesse à train baladeur par d’autres à pignons et roues toujours en prise. Nous rappellerons le système à verrou de la maison Panhard en 1898 ; le système à plateaux magnétiques de la même maison, en igoo.
- Une solution des plus heureuses et des plus connues a été donnée par la maison de Dion-Bouton dans scs appareils à segments extensibles, appliqués à près de dix mille voilure ttes.
- PRISE D’AIR. — On admet généralement que, lorsqu’un moteur est en route, l'air, étant peu dense, ne pénètre par la prise d’air dans le carburateur que par saccades, par tranches successives ; tandis que l'essence, plus dense, 11e jaillit plus par petits jets, mais par un filet de liquide continu, si bien que, plus le moteur tourne vite, plus l’essence jaillit avec trop d’abondance, C’est pourquoi le conducteur est obligé, pour corriger cette erreur, d’introduire davantage d’air dans le carburateur, soit en agrandissant au moyen d’un guichet ou d’un volet la section de la prise d’air, soit en ouvrant plus ou moins une deuxième prise d’air. La manette, permettant cette entrée d’air supplémentaire, est dite manette de carburation ; elle est commandée du siège môme de la voiture.
- Dans les carburateurs modernes cette prise d'air supplémentaire se l'ait automatiquement, proportionnellement à la vitesse même de rotation du moteur, si bien que le conducteur n’a plus à se préoccuper d'effectuer la carburation.
- PRISONNIER. — Tigo taraudée aux deux extrémités, fixée dans un carter ou un bâti quelconque, et qui sert à maintenir, au
- E, écrou de serrage. — P, boulon prisonnier.
- moyen d’un écrou, une seconde pièce sur la première. C’est, en somme, un simple boulon sans tète, dont une partie du corps est
- vissée à demeure dans une pièce et est en quelque sorte assimilée à elle par une soudure, une brasure ou simplement un vissage énergique qui l’y a grippée. — Voir Boulon.
- PROBST et SCHWARZE , commerce d’automobiles, vm Laudongasse, 18, à Vienne (Autriche).
- PROCÈS-VERBAL DE RÉCEPTION DE TYPE. — Voir Réception de type.
- PROFESSIONNEL. — Ce mot désigne tout homme qui fait son métier du sport qu’il pratique. Sont déclarés professionnels tous les amateurs disqualifiés, c’est-à-dire ayant aidé ou entraîné un professionnel. Dans ce cas, 011 dit d'un amateur qu’il tourne pro.
- PROFIL. — O11 appelle profil un gabarit taillé dans une tôle mince que l’on découpe très exactement pour lui faire épouser les formes d’une pièce mécanique afin de permettre le contrôle rapide et minutieux de cette pièce, de ses lignes et de ses dimensions. — Le profil est mâle ou femelle suivant sa forme générale en relief ou en creux.
- PROGRÈS AUTOMOBILE (Le), accessoires et moteurs “patin automobile”, 8, rue des Acacias, Paris.— Directeur : M. E. Costantini.
- PROGRÈS INDUSTRIEL (Le), machines-outils, 9/1, rue d’Hauteville, Paris. Tél. /|22-0o.
- PROGRESS MOTOREN APPARA-TENBRAU , fabrique de motocyclettes “ Progress ”, à Charlottenbourg (Allemagne).
- PROGRESSION (arithmétique, géométrique). — On appelle progression arithmétique une suite de nombres ou termes tels que la différence de l’un d’eux au précédent est constante. Celle différence s’appelle la raison.
- PROJECLIPSE (Phares). — Voir Bes-nard, Maris et Antoine.
- PROJECTA, phares. — Voir Kaffel, Paris.
- PROJECTEURS- — Mot synonyme de Phares. — Voir ce mot.
- — Besnaud, Maius et Antoine, 60, boulevard Beaumarchais, Paris.
- — Boas, Rodrigues et Cl0, G7, rue de Cha-ronne, Paris.
- — Duceeliei\, 25, passage Dubail, Paris.
- PROJECTION (d’un dessin). — C’est la figure obtenue sur un plan vertical, horizontal ou de profil par le tracé de perpendiculaires abaissées de chacun de ses points sur l’un de ces plans de projection.
- PROMPSAUD, garage, commerce d’automobiles, 2, rue Nationale, à Rambouillet (Seine-et-Oise).
- AUTOMOBILES DELAUNAY BELLEVILLE
- J SAINT- DEMIS - SUR - SEINS _
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- PROPORTIONS (et proportions inverses). — En arithmétique, une proportion est l’égalité de deux rapports. Le rapport de deux nombres est leur quotient.
- PROPRIÉTÉ INDUSTRIELLE. —
- La 'propriété industrielle est assurée en France par les Brevets d'invention, délivrés par le gouvernement, sans sa garantie, pour une durée maxima de quinze années ; et par les Marques de fabrique. — Voir Brevets d'invention.
- D’après la loi du z3 juin 1867 : « Sont con-« sidérés comme marques de fabrique et, de « commerce les noms sous une forme dis-« tinctive , les dénominations, emblèmes, « empreintes, timbres, cachets, A’ignettes, « reliefs, lettres, chiffres, enveloppes et tous » autres signes servant à distinguer les pro-» duits d’une fabrique et les objets d’un « commerce ». — Nul ne peut revendiquer la propriété exclusive d’une marque, s’il n’a déposé, au greffe du Tribunal de Commerce de son domicile, trois exemplaires de sa marque et un cliché typographique de cette marque (dimensions maxima du cliché : 12 centimètres de côté), qui est destiné à être publié officiellement par le Ministèro du Commerce. — La propriété d’une marque n’est assurée que pour quinze années ; mais elle peut être conservée, pendant une deuxième période de quinze ans, par le moyen d’un second dépôt.
- PROPRIÉTÉ INDUSTRIELLE {As-sociation Française pour la Proteclion de la), 19, rue Blanche, Paris.
- PROPRIÉTÉ INDUSTRIELLE
- (Office national de la). — Cet Office, établi par la loi du 9 juillet 1901, au Conservatoire des Arts et Métiers, 292, rue Saint-Martin, à Paris, a pour objet de réunir et de centraliser tous les brevets d'invention français qui 11e sont pas encore expirés, ainsi que les marques de fabrique et le service du portefeuille industriel (concernant tous les brevets français expirés) ; ce dernier service était autrefois établi au Ministère du Commerce.
- Les bureaux de l'Office sont ouverts gratuitement au public de 11 heures à 6 heures : les brevets d'invention ne sont communiqués que de midi à !\ heures, ainsi que les recueils des marques de fabrique.
- PROPULSEUR UNIVERSEL AMOVIBLE pour canots automobiles, 58, avenue de Neuilly, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- PROSPER LAMBERT. — Voir Lambert (Prosper).
- PROST-BOUCLE, commerce d’automobiles et de cycles, place de l’IIôtel-de-Ville, à Champagnole (Jura).
- PROTECTEUR ROBERT, appareil “ contre-accidents ” pour automobiles, 9, boulevard des Italiens, Paris.
- PROTECTEURS. — On donne souvent le nom de protecteur au croissant qui est collé sur le bandage pneumatique et qui le protège contre les avaries de la route et contre une usure trop rapide. Si le bandage n’est pas abîmé et que ses toiles soient en bon état, le protecteur peut être remplacé plusieurs fois de suite à l’usine avant sa mise au rebut définitive (rechappagc).
- Quelques personnes attribuent au mot protecteur l’idée d’une enveloppe ou d’un croissant en cuir, muni de clous et servant à' antidérapant.
- — Pneu-Cuiu Vulcan, rue Saint-Ferdinand, Paris.
- PROTÉE, caisses d’automobiles. — Voir Chalon.
- PROTOS MOTORENFABRIK, automobiles, 36, Grossgôrschenstrasse, à Berlin (Allemagne).
- PROVENCE SPORTIVE (La), journal bi-hebdomadaire, 72, rue Saint-Fcrréol, à Marseille (Bouches-du-Rhône). — Directeur: M. A. Benoît. — Rédacteur en chef : M. E. de Saint-Rémy.
- PROY, garage, commerce d’automobiles, 4, rue du Gouvernement, à Saint-Quentin (Aisne).
- PRUDHOMME, garage, commerce d’automobiles, 54, rue Saint-Guillaume, à Saint-Brieuc (Côtes-du-Nord).
- PRUD’HOMMES (Conseil des). —
- C’est une juridiction spéciale instituée pour juger les contestations qui s’élèvent entre les patrons et leurs ouvriers.
- Chaque Conseil des Prud’hommes est composé d’un président, d’un vice-président et de vingt-six membres (treize patrons et treize contremaîtres ou ouvriers, remplissant les mêmes fonctions exactement).
- Les Conseils des Prud'hommes jugent définitivement, sans appel, lorsque le chiffre de la demande ne dépasse pas 200 francs en capital ; au delà de ce chiffre, l'appel peut être porté devant le Tribunal de Commerce.
- A Paris, le Conseil des Prud’hommes siège au Tribunal de Commerce, boulevard du Palais. Tel. 2i2-5g.
- PRUNEL (Société des Usines), fabrique d’automobiles et de moteurs, 4> rue de Paris, à Puteaux (Seine). Tél. 25.
- PRUNELLO Frères, DUMAS et C",
- automobiles, 10, rue de Paris, à Puteaux (Seine); et 5o, rue des Marais, Paris. Tél. 424-97-
- PRUNET, garage, commerce d’automobiles, 2, place Carnot, à Rouen (Seine-Inférieure).
- PRUNGNAUD, pneu-cuir YElan, 1, rue de Poliveau, Paris. Tél. 807-01.
- PRUNIÈRE {Antoine), G, place Sugny, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme). Officier
- * A NNUAL Reçoit les demandes de publicité, d'insertions, de rectifications, etc.
- ™,BI jusqu’auL 1 /S Octobre
- DERNIÈRE LIMITE
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- du Nicham-lftikar. Cher-adjoint du service commercial aux Etablissements Bcrgougnan
- et C'6
- PRUSSIATE DE POTASSE. — Le
- prussiate jaune de potasse (synonyme cyanure jaune de potassium), appelé prussiate par la majorité des ouvriers, est un sel, très toxique, qui sert à tremper et à cémenter des pièces en acier.
- PRUVOST (Docteur Maurice), inventeur des voitures et moteurs « DOP » simplex, iG, rue du Débarcadère, Paris.
- PRUVOST (Eugène-Stéphane), 77, bou-evard Kxelmans, Paris. Né en avril 187/1.
- Officier d’Académie, chevalier du Mérite agricole. — Appartint pendant dix années il la Maison Pan-hard et Levas-sor et fut ainsi un des <( fondateurs » de l'automobilisme. Est actuellement attaché à la Maison de carrosserie Henri Labour-dette.
- PUBLICATIONS AUTOMOBILES (Société de), 27, rue Ballu, Paris.—Directeur: M. Etienne Cliiron.
- M. Eugknk Phuvost.
- PUBLICATIONS SCIENTIFIQUES ET INDUSTRIELLES (Société Anonyme des), 8, rue du Débarcadère, Paris. Tel. 529-87. Adr. tel. Laurcis-Paris.
- PUISSANCE D’UN MOTEUR. —
- La puissance d’un moteur est le travail qu’il effectue par seconde. O11 l'exprime par suite en kilogrammètrcs-scconde et pratiquement en chevaux-vapeur (75 kgm. : s.) ou préférablement en poncelcts (100 kgm. : s.). IJn pon-cclet, vaut 1,33 cheval et un cheval 0,70 pon-celet. La puissance indiquée d’un moteur à piston est celle résultant, du travail du gaz ou de la vapeur dans le cylindre. La puissance effective est celle recueillie sur l'arbre. O11 mesure la première au moyen de diagrammes relevés avec un indicateur ou mano-graphe (voir Diagramme). La puissance effective se mesure au moyen d’un frein dynamométrique (voir Freins de Prony, Moulinet Renard). Le rapport de la puissance effective à la puissance indiquée définit le rendement mécanique ou organique du moteur.
- — L’estimation de la puissance d'un moteur d’automobile, qu'il serait si intéressant, de pouvoir faire exactement, est malheureusement fort délicate.
- M. Witz, dans son traité classique sur les moteurs à gaz et à pétrole, donne la formule générale suivante, basée sur la pression moyenne du mélange détonant :
- P = K p
- irD2 L co 4 X ho X
- P puissance maxima, exprimée en chevaux, pour chaque cylindre;
- K rendement organique du moteur qu’il est prudent de ne pas estimer au-dessus de 0,70 ; _
- p pression moyenne;
- D, L, alésage des cylindres et course des pistons en millimètres;
- co, vitesse angulaire du moteur en tours par minute.
- Mais la détermination de la pression moyenne p est fort difficile, et cependant indispensable pour appliquer la formule ci-dessus à un moteur donné, car la valeur de cette pression varie dans de notables proportions suivant les moteurs et parfois même pour un seid moteur.
- Los chiffres notés au Laboratoire de la C.ommission technique et ceux qu’a recueillis M. Lumet , 11e laissent aucun doute à cet égard. Les difficultés de cette détermination rendent impossible l’emploi usuel de la formule.
- Différents auteurs ont proposé, pour la remplacer, des formules plus simples, que M. L. Périssé a rappelées dans le Bulletin officiel de la Commission technique. Cette dernière Commission, avant eu besoin, pour fixer le règlement des épreuves d'endurance, d'une formule donnant commodément la puissance du moteur d’après ses dimensions, s'est arrêtée, après une étude dont on trouvera l’exposé dans l'article précité de M. Périssé et dans le précédent numéro du Bulletin officiel, à la formule
- P = 0,0028 D2
- P représentant toujours la puissance maxima que peut développer le moteur, exprimée en chevaux, et D l’alésage en millimètres, pour un moteur de quatre cylindres. Celle puissance doit donc être divisée par /|,2 ou l\,3, si le moteur n’a que 1, 2 ou 3 cylindres. Elle 11’est d'ailleurs applicable qu’aux moteurs de puissance inférieure à 5o chevaux.
- De son côté, M. 1\. Arnoux, vice-président de la Commission technique, qui, dès iqo3, dans une lettre adressée au Président de la Chambre syndicale de l’Automobile, critiquait la formule au carré do l’alésage alors proposée par M. E. Mors pour la classification des voitures, préconise celle au cube de l'alésage. M. Arnoux estime — et non sans raison, semble-t-il — que, si la puissance des moteurs est, à égalité de pression moyenne et de vitesse de déplacement du piston, proportionnelle au volume engendré par celui-ci, employer une formule au carré de l'alésage, c’est commettre la mê'me erreur que de me-
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- surer en mètres carres le volume d’une capacité et que la formule, pour être l’ationnelle, doit être de la forme
- P = K D:i
- Eu calculant le coefficient lv d’après les données et mesures expérimentales fournies par 33 moLeurs à l\ cylindres, dont les puissances effectives sont comprises entre x4 et 135 chevaux, et en prenant la racine carrée de la moyenne des carrés de ces 33 valeurs do K, IM. Arnoux est arrivé à la formule
- P = o,ooooo25 D:i,
- qu'il considère comme applicable à tous les moteurs actuellement construits, en ycomprc-nant ceux des plus puissantes voitures de course.
- TABBEAU
- des puissances des moteurs, des alésages des cylindres et des courses des pistons d'après les catalogues des principaux constructeurs ('1906).
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- 5o/G5 4 i45 160
- Itala 18/2/, 4 i f5 i3o
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- 1 — 5o/G5 4 155 145
- Legros (2 temps) 12 2 IOO 120
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- 18 2 120 I 10
- 24/3o 4 IOO 120
- Lorraine-Diélrich I 2 /1 5 4 9° 120
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- 24/32 4 120 120
- 4o/5o 4 i3o 1G0
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- — 43 4 120 i5o
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- Métallurgique 12/15 4 90 I 10
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- Mieusset 10 2 104 i3o
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- Minerva 16/18 4 92 115
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- Mors . . 10 4 73 9°
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- Renault 8/9 2 73 120
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- 2o/3o 4 100 40
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- MARQUES PUISSANCES i en CHEVAUX Nombre des Cylindres Alésages des Cylindres Course des Pistons
- Rochet-Schneider .... 18 4 100 i4o
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- Rossel 22/26 4- I 10 I 10
- — 28/35 4 120 I 10
- Vinot-Deguingand .... 10/14 4 80 120
- — .... 14/20 4 9° i3o
- .... 2o/3o 4 io3 i3o
- .... 3o/4o 4 115 i4o
- .... 35/5o 4 io3 i3o
- Westinghouse 3o/4o 4 120 i4o
- Zust 28 4 i3o i4o
- (Reproduction interditej.
- — Le silencieux esl souvent cause d'une perte appréciable do la puissance d'un moteur. La plupart des silencieux n’évacuant pas les gaz assez rapidement pour que le moteur puisse leur en envoyer do nouveaux, le piston est obligé, au moment de l'échappement, de vaincre la contre-pression des gaz emprisonnés dans le silencieux. C’est autant de travail gaspillé. — Le silencieux Bizeul (voir Echappement et Silencieux) remédie à cet inconvénient dans la plus large mesure possible en abaissant considérablement la température et, par conséquent, la pression des gaz d’échappement. (Expériences laites en 1906, au Laboratoire de l’A. C. F.).
- — Bizeul (A.), à Bazas (Gironde).
- —• Clément-Gladiator, au Pré-St-Gervais (Seine).
- PULSFORD, concessionnaire pour la France de la “ Daimler C° ” de Coventry, 10, rue Taitbout, Paris.
- PULVÉRISATION. — Les carburateurs actuels ne remplissent qu’assez imparfaitement les conditions nécessaires au mélange intime des gaz (air et hydrocarbure), parce que ce sont des pulvérisateurs, alors qu’ils devraient ct.re des vaporisateurs ; aussi leur emploi n’est possible qu’avec des hydrocarbures extrêmement volatils, tels que l’essence d’automobiles. Dès qu’on substitue à cette dernière du pétrole lampant ou de l'alcool, on ne peut obtenir de mélange « tonnant » qu’en chauffant celui-ci au préalable, c’est-à-dire en vaporisant complètement les vésicules liquide^ fournies par le carburateur.
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- Il semble incontestable que, dans l'état actuel des choses, les plus grands progrès à réaliser, au point de vue de l’économie de combustible, soient ceux à apporter au carburateur, en modifiant la pulvérisation et en la transformant le plus possible en vaporisation. (R. Arnoux.)
- PUPILLE (J), accessoires pour automobiles, tubes en acier, 6, avenue Parmentier, Paris. Tél. 927-63.
- PURGEUR. — Robinet ou vis, placé à la partie la plus basse d’un carier, d’un moteur, etc., qui sert à faire écouler, à “ vidanger” les huiles usagées, avant de les remplacer par de l’huile neuve.
- PURREY (Valentin), construction d’omnibus et de camions automobiles, 1 à 31, boulevard J.-J.-Bosc, à Bordeaux (Gironde). Tél. 19-69. Adr. tél. Purrey -Bordeaux. — Fournisseur de la Compagnie Générale des Omnibus, Travaux du Métropolitain, Raffinerie Say, journaux Le Matin, Le Journal, Le Petit Parisien, la Compagnie du Chemin de 1er du Nord, etc., et nombreux services à l’étranger.
- PURREY (Valentin), 21, boulevard J.-J.-Bosc, à Bordeaux (Gironde). — Né à Layrac (Lot-et-Garonne), le 10 mai 1861. — L’un des promoteurs de la traction à vapeur sur rails et sur route; a construit, dès 1886, sa première automotrice sur rails, qui fit, en 1887, un service régulier de voyageurs. — A créé les importants ateliers qui occupent, actuellement, plus de 10 hectares, à Bordeaux,
- et sont universellement connus pour la construction des Poids lourds. — A fourni à de nombreuses Compagnies de Chemins de fer, en Europe et en Amérique, des « automotives » de son système pouvant dépasser la vitesse de 90 kilomètres à l’heure, eu remorquant 3 ou 4 voitures. — M.
- Purrey a fourni, pour les travaux du Métropolitain, de nombreux transporteurs à vapeur, bien connu s des Parisiens. — Il dirige lui-mème ses très nombreux services, tous ses véhicules étant, entièrement construits dans ses ateliers ; il a été bien souvent et justement appelé « le roi des Poids Lourds ».
- PURSON, garage, commerce d’automobiles, rue de Melun, à Coulommiers (Seine-et-Marne).
- PUTEAUX (Fonderies de) (anciennement Usines du Partinium), fonderie d alliages spéciaux pour automobiles, 5, rue Ampère, à Puteaux (Seine). Tél. 23. Adr. tél. Partinium-Puteaux.
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- PUTEAUX (Société de Sport de l'Ile de). Président : M. le vicomte L.' de Janzé ; secrétariat : 26, avenue de la République, à Courbevoie (Seine).
- PUTHEL, transport d’automobiles, 22, rue Saint-Placide, Paris. Tel. 706-87.
- PUTHET et C'°, transport d’automobiles, 22, rue Albouv, Paris. — Tel. 443-44-
- PUTZ, peintre en voitures automobiles, pu, avenue des Ternes, Paris.
- PUY (Paul-Alfred), 1, rue Dubau, Paris. — Né à Paris, le 19 juillet 1860. — Publiciste ; rédacteur sportif au Figaro illustré ; « Cousin Paul » des Annales Politiques et Littéraires. — Ancien secrétaire de la rédaction du Paris - Vélo et du Journal des Sports ; ex-rédaeleur du Vélo.
- PUYBAS -SET,commerce d’automobiles et de cycles, rue du Pont, à Catus (Lot).
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- PYMOR-DUJARDIN, crics et outillage général, 35, rue des Marais, Paris. — Tél. 443-45.
- PYRÉNÉES ET OCÉAN, chronique hebdomadaire du touriste, 9 bis, cours de RefFye, à Tarbes (Hautes-Pyrénées).
- PYRÉNÉES (Coupe des). — Cette épreuce sportive, organisée par La Dépêche <l.e Toulouse et La Vie au Grand Air, a été courue du 20 au 27 août 1900; cette Coupe était un concours de grand tourisme et non pas une épreuve de grande vitesse.
- Destiné à faire connaître et apprécier davantage les progrès réalisés par l’industrie automobile, ce concours traversait les départements de la Haute-Garonne, de l’Aude, de l'Hérault, des Pyrénées-Orientales, de l’Ariège, des Hautes et Basses-Pyrénées, sur une longueur totale d’environ 1 3oo kilomètres.
- Quatre-vingt-trois concurrents se sont mis en ligne; de nombreux prix et indemnités ont été accordés aux vainqueurs, le concours portant sur la régularité de marche, la facilité à monter les rampes, la sécurité dans les descentes, la vitesse moyenne, le confortable,
- Le classement général a été le suivant :
- 1. Sorel (de Dietrick) ; 2. Bellevillc (Brou-hol) ; 3. Didier (de Dion-Boulon) ; 4. Bablot tBerliet): 5. Ridiez (Brouhot); 6. Feuillol [Brouhol); 7. Maréchal (Brouhot)-, 8. Coujct (l)arracq)-, 9. de Sambucy (Bochet-Schnei-der); 10. Cormier (de Dion-Bouton).
- — Du Diétiucii, 12, avenue de Madrid, à .Neuilly-sur-Seine (Seine).
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- Q et q. — Symboles de quantité d'électricité.
- q. — Symbole de quintal métrique.
- y (prononcez qui). — Symbole de capacité thermique.
- QUADRICYCLE. — Cycle à quatre roues, à une, deux ou trois places. — Le premier véhicule que l’on puisse décrire dans l’histoire est la voiture d'Ozanam, au xviic siècle, qui était montée sur quatre roues et actionnée par des pédales à cliquets.
- Le premier quadricycle véritable date de 1869 ; encore 11’était-il guère qu’une imitation de la voiture de malade mue à la main et ne dépassait-il pas la vitesse d’environ une lieue à l’heure. — Vers 1881, quelques constructeurs lancèrent deux formes de quadricycle différentes : le sociable portant les cavaliers l’un à côté de l’autre, et ayant les roues d’arrière motrices et les roues d’avant directrices au moyen d’une crémaillère ; et le tandem, portant les cavaliers placés l'un derrière l’autre.
- Ce n’est réellement qu'à partir de 1889 seulement que parurent les quadricycles modernes, lancés par la maison anglaise Rudge, dont le premier modèle arrivé à Paris pouvait porter trois personnes, sous le nom de triple lie. Les deux roues d’arrière étaient motrices et pourvues d’un mouvement différentiel ; les deux roues d’avant étaient accouplées et servaient à la direction.
- — M. Chcnard est le premier constructeur qui ait eu l’heureuse idée de remplacer la roue d’avant d’un tricycle de Dion-Bouton à moteur par un siège monté sur deux roues directrices et de transformer ainsi le solitaire tricycle en une petite voiture, un quadricycle, pour deux personnes. — \ow Avant-train.
- — Quadricycles à pétrole. — Ils sont astreints à toutes les obligations imposées aux automobiles, et leurs propriétaires doivent en conséquence en faire la déclaration avant de les mettre en circulation (voir Déclarations) et se munir, avant de les conduire, d’un certificat de capacité. — Voir ce mot.
- QUADRILATÈRE. — Polygone à quatre côtés (carré, losange, parallélogramme, trapèze, etc.). — Voir ces mots.
- QU ADRUPLETTE. — Nom donné, autrefois à un tandem, monté par quatre coureurs.
- QUADRUPTEUR. — Nom donné quelquefois, dans les installations d'allumage par magnéto à rupture sur un quatre-cylindres, au conducteur électrique qui longe le moteur et sur lequel sont branchées les quatre dérivations qui vont à chacun des inflamma-. teurs.
- QUAGLIOTTI (Carlo), commerce d’automobiles, 49, corso Re Umberto, à Turin (Italie).
- QUANTITÉ (En). — Le montage en quantité consiste à réunir entre eux tous les pôles de même nom. Ce procédé n’est jamais employé pour l'allumage des moteurs à explosions. Dans le cas d’un montage en quantité, les ampères s’ajoutent, mais les volts ne varient pas. Quatre éléments de piles, qui donnent chacun 8 ampères sous 1 volt 5, donnent, lorsqu'ils sont montés en quantité, 32 ampères sous 1 volt 5.
- QUANTITÉS C. G. S. — Voir Système C. G. S.
- QUART DE LITRE. — Quelques épreuves sportives ont été organisées, sur piste ou sur route, entre motocyclistes qui, pour égaliser leurs chances, ne devaient avoir sur leur machine qu’un moteur à essence dont la cylindrée (volume obtenu en multipliant la surface du piston par sa course) ne devait pas dépasser un quart de litre, d’où le nom donné à ces sortes d’épreuves : courses du quart de litre. Elles sont actuellement remplacées, presque toujours, par les courses du tiers de litre. — Voir cette expression.
- QUEEN (Automobiles). — Voir Bloms-trom Motor C°, Etats-Unis.
- QUÉLEN (Comte de), ingénieur, 4a* rue Copernic, Paris.
- QUEMARD, garage, commerce d'automobiles, avenue de Pontaillac, à Royan (Charente-Inférieure).
- QUENTIN, motocyclettes, 6, rue Camille-Desmoulins, à Lcvallois-Perret (Seine).
- QUÉRENET (René), avocat à la Cour, membre du Comité de PA. G. A., 1, rue de Reaune, Paris.
- Prière de lire avec soin
- La Préface
- et
- les
- Importantes
- (pages 8 à 16J du présent volume.
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- QUÉRENET (Roger), assurances des automobiles, 12, rue Matignon, Paris.
- QUERVEL, ses Fils et Gendre, fabrique de graisse consistante, 35, rue du Port, à Aubervillicrs (Seine). Tel. ij.
- QUEUE D’ARONDE ou D HIRON-
- DE. — Assemblage de deux morceaux de bois ou de tôle, l'ait en ménageant, dans l’une des pièces à assembler, dos parties qui pénelront dans les parties rentrantes do l’autre pièce et forment un excellent agrafage. — Voir ce mot.
- QUEUE DE CLAPET. — Tige cylindrique qui s’épanouit en l’un de ses bouts en clapet. La queue du clapet porto le ressort de rappel et est actionnée par le poussoir que commande la came.
- QUEUE DE RAT. — Nom vulgaire
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- 1.1.MK Ol l-X'i: DK Il.vr
- donné très souvent à une lime dont la section est ronde, ou quelquefois ovale.
- QUINET, garage, commerce d’automobiles, 2g, Grande-Rue, à Suzanne (Marne).
- QUINONÈS DE LÉON (José), 77, avenue Marceau, Paris. Tel. 5i5-82. — Né à Paris, en i8?3. — Chevalier de la Légion d’honneur et divers Ordres étrangers. — Attaché d’ambassade. — Une des personnalités les plus en vue du monde automobile, membre des Commissions sportives. du Tourisme et des Concours de l’A. C. F.
- QUINTAL MÉTRIQUE (symbole:y). — Mesure de masse valant 100 kilogrammes. — En Angleterre et aux Etats-Unis d’Amérique, le quintal vaut 112 livres anglaises, soit 5o kgr. 802.
- QUO VADIS, pneumatiques. — Voir Deniol, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
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- R
- R. — Lettre indiquant que le véhicule qui la porte dépend de l'arrondissement minéra-logique A'Arras (Pas-de-Calais).
- R et r. — Symboles de résistance. — Symboles de rayon, en Géométrie.
- Ii. — Symbole de réluctance.
- p (prononcez: rô).— Symbole de résistivité.
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- RABLURE. — 1\ ainure qui est ménagée dans la quille et dans l'étrave d'un canot automobile et qui reçoit le galbord.
- RABOTEUSE. — Machi ne-outil qui sert à planer les surfaces qui lui sont confiées, à les rendre unies et sans aspérité aucune. La raboteuse dresse par exemple les bords des deux parties d'un carter afin qu'elles s'appliquent bien l'une contre l'autre au montage et que le carier soit hermétique.
- Spécialité de raboteuses :
- — Besse, 3q, rue de Lappe, Paris.
- — Glaenzer et Perreaud, i, avenue de la République, Paris.
- RACCORD. — Organe servant à réunir entre eux deux tuyaux munis de brides, ou un tuyau et une tubulure fixe. La figure représente le raccord le plus employé ou raccord conique. L'extrémité du tuyau est brasée à un cône mâle A serré dans le cône femelle B au moyen d’un écrou à raccord C. L’écrou doit être enfilé sur le tube avant le brasage du cône mâle A si chaque extrémité en est munie, ce qui est le cas général. Ces raccords sont employés pour les faibles et moyens diamètres, pour lesquels ils sont plus pratiques que les joints à brides. Ils sont aussi moins lourds.
- A
- Raccord conique
- RACER (prononcez: receur). — Mot* anglais, signifiant coureur. — On l’applique particulièrement aux bateaux de course (:racers), par opposition aux bateaux de tourisme (cruisers).
- RACINE CARREE. — La racine carrée d’un nombre est un nombre qui, lorsqu’on le multiplie par lui-même, reproduit le premier nombre. Par exemple 4 est la racine carrée de îG, puisque 4X4= *5' — La
- racine carrée est indiquée par le signe y/
- ou y/ , appelé radical ; par exemple y/ *5 signifie : racine carrée de 46.
- — Racine cubique. — La racine cubique d’un nombre est un autre nombre qui, multiplié deux fois par lui-même, reproduit le nombre primitif. Ainsi la racine cubique de 125 est 5, puisque 5X5X5=125. -
- La racine cubique s’indique par le signe dans lequel le chiffre 3 est appelé indice. Par exemple ia5 = 5 signifie : la racine cubique de ia5 est 5.
- Racines usuelles
- FACTEUR VALEUR FACTEUR VALEUR
- >—i O 6 Ifï 0,68278
- V a Y TT
- vT 0,57735 0,G2035
- Y h *
- 1,77245 w 1,61199
- \/TC 1,40467 in 1,2/]070
- V Y TC
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- RAG — 564 — R A D
- RACINES CARRÉES ET CUBIQUES DES NOMBRES DE I A IOO '
- NOMBRES RACINE CARRÉE RACINE CUBIQUE NOMBRES RACINE CARRÉE RACINE CUBIQUE
- , I ,000 1 ,000 5l 7d4i 3,708
- 2 1,414 1,269 02 7,211 3,732
- 3 1,782 1,442 53 7,280 3,766
- 4 2.000 1,087 54 7,348 3,779
- 5 2,236 G7°9 00 7/116 3,802
- G 2.449 1,817 56 7,483 3,826
- 7 2,645 G912 07 7,549 3,848
- 8 2,828 2,000 58 7,615 3,870
- 9 3,ooo 2,080 59 7.681 3,892
- 10 3,162 2,154 60 7 >74 5 3,9.4
- 11 3,316 2,22,3 61 7,810 3,936
- I 2 3,4G4 2,289 (>2 7 >874 3,9-57
- i3 3,60,5 .2,351 63 7^37 3,979
- .4 3,74. 2/410 64 8,000 4,000
- i5 3.872 2/466 65 8,062 4,020
- iG 4,ooo 2,5 19 66 8,12.4 4,o4i
- 17 4,12.3 2,671 67 8,185 4,061
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- M) 4,358 2,668 69 8,3o6 4,101
- 20 4/172 2,7/4 70 8,366 4,121
- 2 I 4,582 2,7.58 71 8/426 4,14 0
- 22 4,690 2,802 72 8/,85 4,160
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- 24 4,898 2,88.4 74 8,602 4,198
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- 26 5,099 2,962 76 8,717 4,235
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- 32 5,656 3,i74 8a 9,o5o 4,344
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- 34 5.83o 3,23g 84 9,165 4-379
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- 45 6,708 3,556 9'> 9,746 4,562
- 4 G (>,782 3,583 96 9-797 4,678
- 47 6,855 3,6o8 97 9,848 4.5 9 4
- 48 0,928 3.634 98 9-899 4,610
- 49 7,000 3,65g 99 9,949 4,626
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- RACING-CLUB DE FRANCE, au
- Bois de Boulogne. Secrétariat, io, rue de la Ghaussée-d'Antm, Paris. Tel. 124-02.
- RADIA (Société des Voitures), 12 et i4* rue Barbés, à Levallois-Perret (Seine). — Tel.. 554-87. —Adr. tel. : Radia-Levallois.— Société Anonyme, l'ondée en igoo. — Président du Conseil d’Administration : M. le comte de Montland; membres : M. le comte B. de Pourtalès, M. H. Falcon. — Directeur : M. Maurice Degeorge. — Construction de châssis et de moteurs à 4 cylindres; voitures de 12-14, 18-22, a5-3o chevaux.
- RADIA, lanternes. — Voir Miller (II.), à llazebroiick.
- RADIAN. — Unité qui sert à la mesure des angles. Ce mot vient du latin radius, rayon.
- Un radian est un angle qui embrasse un arc de circonférence égal à la longueur du rayon de cette circonférence.
- RADIATEUR- — De radius, rayon, rayonnement. — Appareil destiné à produire un échange de température entre deux fluides, par l'intermédiaire d'une surface métallique radiante. En automobile, il sert à la réfrigération de l’eau qui empêche le moteur d’atteindre une température trop élevée.
- Un radiateur se compose essentiellement d’une capacité aux parois de laquelle on donne un grand développement, superficiel. De chaque côté de la paroi circulent méthodiquement, autant que possible, les fluides entre lesquels on veut produire un échange de température. La surface d’échange thermique ou surface radiante est réalisée pratiquement sous un encombrement minimum par l’emploi de systèmes tubulaires, lisses ou à ailettes.
- Le type le plus simple et des plus répandus est le radiateur à ailettes, représenté par lafi-gure 1.11 se compose d’un tube de cuivre de 12 à i5 millimètres de diamètre, sur lequel sont lixées des ailettes en tôle très mince. Elles
- Fig. .
- sont fixées sur le tuyau par simple serrage et maintenues à distance par une corne repliée au ras du tuyau. MM. Grouvcllo et Arquem-bourg préconisent les ailettes plates.’ ~~ZZZ/ Quel que soit le type d'ailettes, les tuyaux sont coudés en serpentins A à coudes très courts, disposés en étages horizontaux. Dans le dernier type Grouvcllo et Arquembourg, des cloisons en tôle C séparent les étages ue tuyau et sont soudées avec les ailettes, ce qui les rend indéformables et augmente la surface refroidissante. L’enveloppe B, avec cadre en
- RADIA
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- — 566
- R A F
- laiton, donne à ccs refroidisseurs un aspect satisfaisant, s’harmonisant bien avec la carrosserie, et assure leur solidité. Leur forme varie suivant remplacement qu'ils occupent. Le modèle de la figure 2 est placé à l’ayant du châssis et sous le capot (genre de Dion, G. G. V.). La grande résistance opposée par ces radiateurs au mouvement de l’eau exige l’emploi d'une pompe de circulation. Un ventilateur, porté par le moteur ou par l'enveloppe, aspire l’air au travers des ailettes avec une vitesse indépendante de celle de la voiture.
- Quand la circulation de l’eau a lieu par thermosiphon, c’est-à-dire par différence de densité entre l’eau chaude et l’eau froide, on emploie le type à collecteur dont un exemple est donné par la figure 2. L’eau chaude venant du moteur arrive en A dans le réservoir ou collecteur supérieur B, d’où elle descend par le faisceau tubulaire G dans le
- Type de Renault- Type 13 eu met
- réservoir inférieur D, d’011 elle retourne au moteur par E. Lo faisceau G, étant composé d'un grand nombre de tubes fonctionnant en parallèle, offre une très faible résistance au mouvement do l'eau, ce qui est nécessité par la petitesse de la pression motrice due à la différence de densité de l’eau chaude et de l’eau froide. Un bouchon F permet le remplissage.
- La deuxième catégorie de refroidisseurs comprend les radiateurs multitubulaires dont la figure 3 est un exemple. Ils sont essentiellement constitués par une boite plate B, où l'eau chaude arrive en A pour sortir refroidie en D. Un faisceau tubulaire à très grande surface G est traversé par l’air. L’espace compris entre les tubes et rempli par l’eau est presque insignifiant. En raison de cette division extrême de la masse d'eau, ces appareils sont très efficaces et n’exigent qu’un faible volume d’eau. Ils sont surtout connus sous le nom de nids d*abeilles, en raison de leur aspect. Le premier ingénieur qui ait appliqué ccs appareils est M. May-bach. — Voir Refroidissement.
- Radiateurs :
- — Benz et Gf0, à Mannheim (Allemagne).
- — Delaunay-Belle ville (automobiles), à Saint-Denis (Seine).
- — Desponts, i5o, rue Victor-Hugo, à Levallois-Perret (Seine).'
- — Grouvelle, Arquembourg et Gie, 71, rue du Moulin-Vert, Paris.
- — Mégevet et Glc, 7, rue de Malatrex, à Genève (Suisse).
- — Rogers et Ci0, 1, rue Saint-Georges, Paris.
- — Zust (Roberto), 4o, via Borgognone* à Milan (Italie).
- RADIGUET et MASSIOT, indicateurs de vitesse et projecteurs, 15, boulevard des Filles-du-Calvaire, Paris. Tel. 254-37-
- RADIUM. — Matière sur la nature exacte de laquelle la science 11’cst pas encore fixée. Extraite, il y a quelques années, des résidus industriels provenant du traitement de minerais d’uranium (Bohême). Plusieurs tonnes (1 000 kg,) de ces résidus 11e donnent, après une série de traitements chimiques aussi longs que pénibles et laborieux et poursuivis pendant, des mois entiers, que quelques déci-grammes de sel de radium (bromure ou chlorure). Ces produits contenant du radium présentent les plus surprenantes propriétés* rappelant celles des rayons X. Ils émettent des radiations susceptibles d’impressionner la plaque photographique à travers les corps opaques, de rendre l’air conducteur de l’électricité et de décharger l’électroseopc, de provoquer la fluorescence des sulfures alcalino-ierreux, de la blende hexagonale de Sidot, du platinocyanure de baryum. Ils possèdent une action physiologique sur les tissus vivants.
- RADIUM (Le), phares. — Voir Dalsace.
- RADIUM (Le), pneumatiques. —- Voir y-ivet.
- RADIUS, phares. — Voir Alexandre.
- RADNALL et C°, accessoires pour automobiles , à Birmingham (Angleterre).
- RAFER
- Charles Joseph), à Saint-Ghamoiui ^Loire). — ÎSé à Nogent-s .-Marne, en 1867. — Go-directeur des usines Rafer fils frères. — Associé à son frère E.
- Rafer, en 1887, a collaboré aux diverses créations de leurs établissements.
- _ _________ „ M. Charles-Joseph Rafer
- RAFER (Ernest) y à Saint-
- Ghamond (Loire). — à Nogcni-sur-Maruc*
- RADIATEURS
- AILETTES et NID d’ABEILLES
- DESPONTS, 150, rue Victor-Hugo, LEVALLOIS
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- H A F
- 567 —
- R A M
- i803.
- M. Eunkst Riikh
- Co-directeur des usines Rafer Fils frères. — A succédé à M. Rafer père, en i885 ; a commencé la fabrication des chaînes pour vélocipèdes en 1891, et pour voitures automobiles en 1897.
- RAFER FILS Frères,
- fabrique de chaînes, à Saint-Cha-mond (Loire). — Tél. ?3. Adr. tél. : Rafer-Saint-Chamond. — Maison fondée à Paris, en 1854 j transportée à Saint-Chamond en 1871. — Créateurs, en 1896, des chaînes dites « à doubles rouleaux », qui sont actuellement universellement employées, et des chaînes « Aristos » à blocs circulaires, à rouleaux et à double articulation. — Fabrique de chaînes « Galle » et de pièces détachées pour automobiles.
- RAFFINAGE. — Opération industrielle ayant pour but d’extraire un ou plusieurs produits contenus à l’état de mélange dans une matière première. Ainsi le raffinage des pétroles extrait du pétrole brut les éthers, essences, huiles paraffinées qui y sont contenus. Ainsi le raffinage de l'alcool extrait l’alcool éthylique pur des liquides alcooliques plus ou moins impurs (flegmes) obtenus par la fermentation cl la distillation simple des matières alcoologèncs. Le raffinage des suifs procède du même principe, etc.
- RAFFINERIE DE PÉTROLE DE DUNKERQUE, essence minérale, marque “ Touriste ”, 3o, rue du Rocher, Paris. Tél.
- 528-26. Adr. tél. Rafdunker -Paris.
- RAGOT, carburateurs, 129, avenue Philippe-Auguste, Paris.
- R A I M E
- (Louis de). Né à Brest, le 7 mars i8^4- — Ancien directeur commercial des Usines Gladialor. — Ancien directeur général de la Compagnie Dunlop, à Madrid. — Ancieii directeur de la succursale Gladiator du Midi. — Directeur et
- M. de Mai mi:
- fondé de pouvoirs de la Maison Grus, Cabar-rus et Ci0, 9, boulevard Malesherbes, Paris. Tél. 316-95.
- . RAINIER COMPANY (The), construction d’automobiles, Broadway; et 5o th. Street, à New-York (Etats-Unis).
- RAINURE. — Cavité continue, partou, de la même largeur et de la même profondeurt qui est creusée dans du bois ou du métal, pour servir soit d’assemblage, soit de logement à une autre pièce. — Des exemples de rainures circulaires sont donnés par le logement des segments sur le pourtour des pistons, ou par un curseur ou coulisseau.
- — Voir ce mot.
- B,
- RAIS ou RAI. —
- Morceau de bois tourné qui réunit la jante d’une roue au moyeu. O11 dit quelquefois les rayons d’une roue, mais à tort si ceux-ci sont on bois.
- Le rais d’une roue est toujours fait en acacia. L’extrémité du rais qui s'engage dans le moyeu est appelé patte du rais-, l’autre extrémité, qui pénètre dans la jante, se nomme broche du rais.
- bielle. — P, piston. R. Rainures.
- RAJEUNI, moteur économique, 119, rue Saiut-Maur, Paris.
- RALENTISSEUR. — Appareil produisant le ralentissement d’un moteur, soit en rendant sa liberté au régulateur, soit en agissant directement sur l’admission des gaz, l’échappement ou la levée des soupapes.^— Voir Régulation.
- RALL (Max), ingénieur, directeur de la Compagnie des Magnétos Simms-Bosch, 22, rue Violet, Paris.
- RAMBLER, automobiles. —Voir Je (fer y et Cl0 (Etats-Unis).
- RAMIER et MAUBERQUE. tôlerie et cuivrerie pour automobiles, radiateurs, tubes, 109, rue de Paris, à Puteaux (Seiûe). Tél. 100 Puteaux.
- RAMONDOU, commerce d’automobiles et de cycles, à Rebel, par Roquecor (Tarn-et-Garonne).
- RAMPE. — Le mot rampe est le mot technique, employé par le service des Ponts et Chaussées, pour désigner la partie inclinée d'une route, quand on la considère au point de vue montée.
- L’efl’ort supplémentaire que demande à son moteur une voiture qui monte une rampe
- n
- s’exprime par la formule I\ — P -------------
- 1 1 1 000 ,
- formule dans laquelle n est la déclivité
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- RAM — 568 — RAP
- exprimée en millimètres par mètre. Ce qui signifie, en d’autres termes, que la résistance augmente par tonne (1000 kilogrammes) d’un kilogramme par millimètre d’inclinaison par mètre. — Voir Recettes du Chauffeur, par B. de S.
- Les rampes les plus rapides de Paris et de ses environs sont : la rue de la Montagnc-Sainte-Gcneviève ( 13,3 o/o) ; rue Ravignan (11,7 0/0) ; rue Magdebourg (i4,6 0/0) i rue Lepic (9,9 0/0) ; rue Raynouard (9 0/0) ; route du Cœur-Volant, à Marly (9,9 0/0) ; côte do Chantcloup (10,G 0/0) ; route de la Tuilerie, à Suresnes (i/| 0/0). — Ces chiffres sont les maxima présentés dans la partie particulièrement inclinée de ces rampes ; ils ne représentent pas l’inclinaison moyenne.— La côte de Picardie, près de Versailles, n’a une déclivité que de t\,i à 5,5; les Champs-Elysées 1,6 à 2,2; la côte du Parc do Saint-Cloud 4’9 à 5,9 0/0. La moyenne des rampes de Paris ou de la banlieue parisienne ne dépasse guère 5 et G 0/0.
- — Rampes à huile. — On donne ce nom à des conduits horizontaux, placés sur le tablier de la voiture, qui portent en dérivation des tuyaux verticaux. La rampe reçoit le
- R. and L. ELECTRIC, automobiles électriques. — Voir Rauch and Lang Carnage.
- RANTY, BRUNET et Cle, cuirs et draps pour automobiles, i/|, rue de Lancry, Paris.
- RAOULT, machines-outils, tours, 99, rue Oberkampf, Paris.
- RAPE. — L ime à bois, plate, ronde ou demi-ronde, dont la surface est couverte de saillies, appelées piqûres, qui entament le bois plus rapidement que ne le feraient les parties coupantes et plates d’une lime à métaux. — D’une façon générale, toutes les limes employées pour travailler le bois sont appelées râpes, la dénomination lime s’appliquant presque exclusivement à ce genre d’outil lorsqu’il est utilisé pour les métaux.
- RAPID (Société Torinese Aulomobilï), voitures, omnibus et camions automobiles, Barricra di Nizza, à Turin (Italie). Tel. i5-i5. — Société Anonyme, au capital de 5 millions de lires.
- RAPID MOTOR VEHICLE C°, automobiles de commrce et omnibus, à Pontiac (Michigan), Etats-Unis.
- RAPID ACCUMULA-TOREN und MOTOREN, MOTOREN-WERKE, accessoires pour automobiles, accumula! ours, appareils d’allumage, i4g, Hauptstrassc, à Schoncbcrg-Berlin ( Allemagne).
- RAPIDE (Le), carburateur. — Voir llellan, Paris.
- RAPIDE-LIME (La), construite par Jacquot et Ta-verdon, 58, rue Régnault, Paris.
- RAPIDITAS , revue universelle d’automobilisme,2, via Catania, à Palcrmo (Italie) — Fondateur : M. Vincenzo Florio.
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- Côté île la commande mécanique.
- courant d’huile fourni par la pompe spéciale ou jpar la pression de l'échappement, et les dérivations verticales laissent tomber goutte à goutte le liquide dans des tuyaux étroits qui le conduisent aux pièces à graisser.
- — DuimuLiÆ, 28 bis, rue Villeneuve, à Clichy-la-Garenne (Seine).
- — IIiîni\y, 117, boulevard de la Villette, Paris.
- RANGLARET Frères et CONTE-NOT, vernis pour la carrosserie, 2, avenue de Paris, à la Plaine-Saint-Denis (Seine). Tél. 424-G8.
- RAPIDITE-BÉTONITE, produit pour supprimer la poussière des roules, t\5, bou levard Ilaussmann, Paris. Tél. Ro-oa. Adr tél. Indusmines-Paris.
- RAPPEL (Ressort de). — Ressort don la fonction est de rappeler, de remettre à sa position normale, automatiquement, une pièce mécanique (telle qu’un rupteur ou une soupape) qui a été écartée momentanément, par une came ou une tige do commande, de sa position ordinaire ou du siège sur laquelle elle doit reposer.
- RAPPORT (Mathématiques).—Le rapport de deux nombres <sst leur quotient. Ainsi
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- R A P
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- R A Y
- on peut dire : le rapport de deux poulies est de i à 4) si le quotient de leurs diamètres égale i/4.
- RAPPORTEUR. — Demi -cercle en métal ou en matière transparente (corne, celluloïd, etc.) qui sert en géométrie, à mesurer les angles ou à les tracer, les rapporter exactement sur un dessin ou une pièce mécanique. —• Le limbe (partie courbe extérieure) du rapporteur est divisé en 180
- AB, ligne do foi. — L, limbe. — O, contre
- Pour des bateaux également bien tracés, les valeurs du maître-couple immergé B2 sont sensiblement proportionnelles au déplacement ; on en déduit aisément que la vitesse est sensiblement proportionnelle à la racine
- cubique de l’expression -p--
- Ce mode de classification tend à favoriser les bateaux qui ont le meilleur coefficient d’utilisation, ce qui semble excellent.
- RATTIER, directeur de la Société Anonyme Le Centaure. — Voir ce mot.
- RATTRAPAGE DE JEU. - Voir Jeu.
- RAUCH and LANG CARRIAGE C°,
- fabrique d’automobiles életriques, à Clcveland (Ohio), Etats-Unis.
- RAVEL etHOMEYER, n4, me d’An-nonay, à Saint-Etienne (Loire). •— Adr. tél. Ravel-Ilomeyer- Saint-Etienne. — Maison fondée en 1897. — Moyeux pour cycles et automobiles, fabrication de pièces détachées et, de châssis complets avec moteurs 4 cylindres; types pour 1907: 12-1G IIP, 1G-2.4 HP et 24-3o IIP.
- degrés, divisés eux-mêmes en demi-degrés dans les appareils de précision.
- RASSON (Jules), ingénieur-mécanicien, représentant de la Maison A. Darracg et Ci0. pour l’Italie, la Suisse, l’Algérie, la Tunisie, l’Espagne et le Portugal, 33, quai de Suresnes, à Suresnes (Seine).
- RASTIT (Société IIe?iri), huiles industrielles de toute nature, huile « Ouragan », c8, rue Nicolas, à Marseille (Bouches-du-Rhône). Tél. 10-09. Adr. tél. Tilsar-Marseille.
- RATÉS. — O11 dit qu’il y a des ratés, lorsque, le moteur étant en marche, il se produit des interruptions dans la succession des explosions. Les ratés s’entendent dans le ronronnement d’un moteur “comme les notes sautées dans un morceau de piano”. S’ils sont fréquents, la puissance du moteur tombe rapidement.
- RATING. — Nom anglais ayant remplacé celui de jauge pour éviter toute confusion provenant du sens primitif de ce dernier mot. Le raling est maintenant établi en fonction du poids, de la longueur et de l’élément moteur ; la formule adoptée au Congrès est la suivante :
- Rating =
- F étant la puissance du moteur, qui doit élue évaluée en fonction de la consommation ; L la longueur de la coque; P son poids (déplacement).
- Cette première formule se complète de ces deux autres :
- Allégeance — inverse de la vitesse.
- Vitesse — racine cubique du rating.
- RAVIGNEAUX (Pot), 20, rue Dcmours, Paris. Téléphone 089-82. — Né à Saint-Mihiel, en 187.3. Rédacteur en chef de la Vie Automobile, ancien élève de l’Ecole Polytechnique, ancien sous-d i rec t eur technique aux usines de Dion-Bouton.
- RAVOUX,
- garage, commerce d'automobiles, boulevard Saint-Louis, Le Puy (Haute-Loire).
- RAYET, LIÉNART et C,e (Société de Construction Automobile de Reims), construction d’automobiles, marque S. C. A. IL, à Witry-les-Rcims, près Reims (Marne). Tél. G. Adr. tél. Scarauto-Wilry-les-Reims. — Société en commandite, au capital de 3oo 000 francs.
- RAYEZ, commerce d'automobiles, 3i, rue Voltaire, à Amiens (Somme).
- RAYGASSE (J.), installations de yachts, 3, quai d’Asnières, à Asnières (Seine).
- RAYNAL, moteurs et appareils électriques, 12, rue Montpensier, Paris.
- RAYNAUD (Fernand), de la Maison Jïussenot et Raynaud, 3g, rue de La Boétie, Paris. Tél. 58o-'88.
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- RAYON. — (Symbole : H ou r.) — En géométrie, on appelle rayon une ligne droite qui réunit le centre d'un cercle à la circon-
- Unk ciuconfkukncic C avec deux HAYONS AO ET OH.
- férence. Tous les rayons sont égaux entre eux. — Voir Circonférence.
- — Les rayons en bois d'une roue portent le nom de rais. — Voir ce mot.
- Les rayons métalliques des roues de cycles sont faits de fil d’acier et comprennent deux catégories : i° les rayons directs (complètement abandonnés aujourd’hui), qui étaient liletés à leurs deux extrémités et se vissaient d'un côté dans le moyeu do la roue et de l’autre côté dans la jante métallique ; ces rayons travaillaient à la compression comme des rais en bois ; 20 les rayons tangents, dont une extrémité aplatie en forme de bouton s’engage dans un des trous percés dans le moyeu de la roue et dont l’autre extrémité filetée se visse dans un des écrous en laiton fixés dans la jante en bois ou en métal. Ces rayons occupent; normalement la position que la rotation de la roue tend à leur faire prendre, étant tangents à la circonférence du moyeu ; ils 11e supportent donc pas les efforts de torsion qu’avaient à subir les rayons directs. Les rayons tangents travaillent à la traction : la roue est suspendue au bout des payons. Leur mode de tension, effectuée par la rotation que l’on peut faire subir à chacun des écrous de tension rend le montage et la réparation des roues très facile et permet d'obtenir un ensemble très homogène.
- L’invention des rayons tangents, revendiquée souvent par l’Angleterre, est l’œuvre d'un français, Victor Renard.
- RAYONNEMENT. — T ransmission de la chaleur directement à travers un milieu quelconque, sans que la conductibilité de ce milieu intervienne. La chaleur se transmet dans le vide par rayonnement ; par exemple, la chaleur solaire. En principe, la chaleur transmise par rayonnement est toujours plus grande que celle transmise par conductibi-
- lité. Quand on trouve des exceptions à cette règle, dans le cas d’un chauffage par poêle calorifère par exemple, ou par radiateur, c’est qu’il y a convection ou circulation active de l'air ambiant par échappement.
- R. B. F. — Voir Roulements à billes (Société F?'ançai$e des), 70, rue Franklin, à Ivry-Port (Seine).
- RÉACTANCE. — Facteur entrant dans l'expression de la résistance apparente ou impédance d’un circuit présentant à la fois de la capacité et de la self, et soumis à une force électromotrice alternative.
- RÉACTION. — C’est la force égale et de sens contraire à la force principale considérée. En mécanique, il 11’existe [tas de force qui ne soit équilibrée par une réaction égale et opposée, ce qui constitue le principe fondamental de Yégalité de l'action et de laréac-'ion. Ainsi un corps pesant posé sur une table exerce sur cette table une pression égale à son poids, et réciproquement la table exerce me réaction égale sur lui. La poussée exercée sur l'eau pa‘r une hélice de navire est équilibrée par la réaction égale agissant sur le palier de butée et propulsant le navire.
- READING (IL et J.), commerce d'automobiles, Riding llouse Street, Langham place, à Londres W. (Angleterre).
- REBOUD Frères, pièces de fonderie, au Planeher-les-Mines (Haute-Saône).
- REBOUR, construction d'automobiles, 3, rue Ampère, à Puteaux (Seine). Tél. 85.
- RÉCÉPISSÉSde DÉCLARATIONS.
- — Nul ne peut mettre une voiture en circulation sur la voie publique sans être muni du récépissé de déclaration (carte grise), qui lui est délivré par le Préfet du département ni il a fait sa déclaration (pour la Seine, par le Préfet de police).
- Sur la façon de faire cette déclaration, voir le mot Déclaration.
- Le récépissé délivré par le Préfet porte le numéro d'ordre affecté à l’automobile; il est semblable pour toute la France et doit être représenté à toute réquisition de l’autorité compétente.
- 11 existe des récépissés spéciaux pour les eonstructcurs d'automobiles. Ces récépissés, délivres par le Préfet, sur l’avis du Service des Mines, permettent aux constructeurs de taire circuler leurs différents véhicules sur la voie publique, soit pour les amener des ateliers aux magasins de vente, soit pour les essayer devant les acheteurs, soit pour en effectuer la livraison. Ils portent la mention « véhicule à vendre » et, suivant le cas, un numéro d'immatriculation, ou le mot « néant » ; d’ailleurs, les véhicules à vendre sont soumis, comme leurs conducteurs eux-mêmes, à toutes les prescriptions réglementaires visant la circulation des automobiles.
- ES\£r“ CHAINES RENOLD
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- R E G
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- L'avantage que présentent pour les conducteurs ces récépissés spéciaux est qu'ils les conservent lors de la vente de la voiture et peuvent les apposer, sans formalité, sur tous autres véhicules du meme type. (Circulaire ministérielle du 17 décembre 1901.)
- Les intermédiaires et toutes autres personnes étrangères aux constructeurs, s’occupant de la vente et de l’achat des automobiles, ne peuvent obtenir ces récépissés spéciaux.
- RÉCEPTION DE TYPE. — Le constructeur et, en certains cas, le propriétaire doivent faire approuver le véhicule, le faire (( recevoir » par le Service des Mines. — Voir Note descriptive.
- Un procès-verbal de constat est remis par le Service des Mines à l’intéressé.
- Le constructeur peut livrer au public autant de voitures qu'il lui plaît, dès lors qu'elles sont conformes au type reconnu par le Service des Mines. Chacune de ces voitures porte un numéro d’ordre dans la série à laquelle elle appartient.
- Le constructeur est tenu de remettre à l'acheteur une copie du procès-verbal de réception du type et un certificat constatant, que la voiture portant tel numéro dans la série est entièrement conforme au dit type. Ce certificat doit également spécifier le maximum de vitesse que la voiture peut atteindre en palier.
- En cas de refus du Service des Mines de dresser procès-verbal de constat, les intéressés peuvent faire appel au Ministre des Travaux publics qui statue après avis de la Commission centrale des machines à vapeur.
- Toutes ces prescriptions résultent des décrets de 1S99 et 1901 et d’une circulaire ministérielle en date du 10 avril 1899.
- RECETTES DU CHAUFFEUR. —
- Un des ouvrages les plus réputés de M. Bau-dry de Saunier. À paru, pour la première fois, eu 1900, et a été réédité quatre fois déjà. Chaque réédition a comporté de nombreuses additions. Cet ouvrage a été l’objet de nombreuses contrefaçons, d’ailleurs très grossières, mais contre l'apparence desquelles il est-bon que le public soit prévenu.
- Les Recettes sont en vente aux « Ouvrages Baudry de Saunier », 20, rue Durci, Paris. — Prix : 12 francs. Franco en gare: 12 fr. Go. — 5oo pages et nombreuses gravures explicatives.
- RECHANGES. — On entend par rechanges la provision de chambres à air et d'enveloppes qui font partie du bagage du chauffeur et qui sont destinées à parer aux éventualités de la route.
- RECHAPAGE. —Opération qui consiste à enlever complètement le croissant usagé recouvrant Y enveloppe d’un pneumatique et à le remplacer par un croissant neuf, qui est collé et vulcanisé.
- RECHARGE D’ACCUMULATEURS. — Voir Accumulateurs (Charge des). —• Il existe des appareils spéciaux pour recharge, à domicile particulier, par courant continu ou alternatif.
- — IIeniuque, ^i, avenue de la Grande-Armée, Paris,
- — Société Egyptienne d'Electricité, 43, rue du Rocher, Paris.
- RÉCIDIVE. — Est en état de récidive, et ainsi exposé à des peines particulièrement sévères, celui qui se rend successivement, et dans les délais prévus par la loi , auteur d’infractions aux lois.
- En matière de simple police, il y a récidive si l’on commet, dans le délai d’un an, deux contraventions dans le même canton ou dans le ressort du même tribunal.
- RÉCOPÉ (Comte Edmond), 11, avenue d léna, Paris. Tél. GqS-Gi. — Né à Villers-Colterets, le 7 février — Officier de la
- Légion d'honneur. — Ingénieur de réserve de la Marine. Ancien élève de l’Ecole Polytechnique. — Un des fondateurs de l'Automobile Club de France.
- RECORDMAN (au féminin, recordwo-man). —Homme détenant un record, c'est-à-dire ayant accompli, dans un sport quelconque, ce que personne n’avait pu faire avant lui.
- RECORDS AÉROSTATIQUES. —
- Nous donnons seulement dans cet article les records pour aérostats ordinaires, qui ont reçu une homologation officielle.
- — Record du monde de distance : 1 925 kilomètres, établi par le comte de La Vaulx, aéronaule commandant le Centaure (1 620 m.'*), gonflé aux trois quarts à l’hydrogène. Aide : le comte de Castillon de Saint-Victor.
- Départ le 9 octobre 1900 à 2 h. 5’ de Vin-ecnnes. Atterrissage le 11 octobre ipo5 à 10 h. 5’, à Karostychew, gouvernement de Kiew (Russie).
- — Record du monde de durée : 41 h. 5’, établi par le comte de La Vaulx, aéro-naute commandant le Méditerranéen l6r (3 100 m.;f), gonflé à l’hydrogène pur. Aides : MM. Hervé, le comte de Castillon de Saint-Victor, le lieutenant de vaisseau Tapissier.
- Départ le 12 octobre 1901 à 23 h. 10’ de Toulon (Les Sablctles). Atterrissage le i4 octobre 1901 à j6 h. i5’, sur le croiseur Du Chayla, en vue de Port-Vendres.
- — Record français d’altitude : 8 550 mètres, établi par M. Jacques Balsan, aéronaule commandant le Saint-Louis (3 000 m.3), gonflé au gaz d’éclairage. Aide : M. Louis Godard.
- Départ de Vincenncs le 23 septembre 1900, à i3 11. 5o’. Atterrissage à Passy-Erigny le même jour, à 17 h. i5’.
- — Record du monde d’altitude : 10 300 mètres, établi par le docteur Berson, aéro-
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- K E C
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- R E F
- naute commandant un ballon de 8 ooo m.**), gonflé aux trois quarts d’hydrogène. Aide : M. Suring.
- Départ du parc aérostatique de Berlin le 3i juillet. Atterrissage à Cottbus (Allemagne).
- RECTANGLE. — Figure géométrique dont les angles sont droits : carré ; triangle rectangle, triangle qui a un angle droit. Les diagonales d’un rectangle sont égales entre elles.
- RECTIFIER. — Voir Machine à rectifier (Machines-outils).
- RECUIRE. — Voir Ecrouir.
- RECUL. — Le recul d’ une voiture se produisant dans une montée, par suite de la pesanteur, s’appelle techniquement dérive.
- RED STAR CLUB FRANÇAIS,
- 83, avenue de La Bourdonnais, Paris.
- RÉDUCTION. — En métallurgie, la réduction désigne l’extraction d’un métal de l’oxyde qui le renferme, au moyen do l’action du carbone. Celui-ci désoxgdc ou réduit l’oxyde en s’emparant de l’oxygène pour former des gaz carbonés (CO ou CO2) et met le métal en liberté.
- REED - UNDERHILL C°, commerce d’automobiles, 222, Columbus avenue, à Boston (Etats-Unis).
- REEVES PULLEY C° (The), moteurs à refroidissement par l’air, à Colombus, In-diana (Etats-Unis).
- REFLEX, fourche de phare tournante. — Voir Anicroche.
- REFOULEMENT (d’eau). — Action de « forcer » l’eau au travers d’une conduite ou dans un réservoir quelconque ; généralement produite par une pompe.
- Une pompe de circulation d’eau, destinée à refroidir le moteur, doit toujours être en charge par rapport au réservoir, c’est-à-dire à un niveau inférieur à lui ; les pompes centrifuges, notamment, ont un très faible pouvoir d'aspiration, mais une grande puissance de refoulement. Un des types de pompes, construits par MM. Grou-velle et Arquembourg, peut refouler 4b litres d’eau à la minute, avec une pression maxima de 6 m. 5o, à la vitesse de 2 170 tours à la minute ; le diamètre de sa turbine n’est que de 80 millimètres, les orifices ont i5 millimètres.
- — Action de produire en un point quelconque d’une barre de métal un renflement plus ou moins volumineux. Pour refouler l'extrémité d’une barre, en vue par exemple d’une soudure, on la chauffe au blanc et on la frappe verticalement sur un tas, en la redressant au marteau si elle se plie. Pour la refouler en son milieu, on la chauffe egalement au blanc, et on refroidit de chaque côté pour réduire au strict nécessaire la lon-
- gueur chauffée, ce qui facilite le refoulage soit au marteau, soit à la machine à refouler.
- REFROIDISSEMENT. — Le refroidissement du moteur, dans lequel se produit l’explosion du mélange gazeux à très haute température, s’impose absolument (quoique ce refroidissement soit contraire au bon rendement thermique du moteur) par la nécessité absolue de maintenir Yhuile de graissage à une température relativement assez basse (au-dessous de 3oo° ). Sinon l’huile se “carbonise”, en formant sur les soupapes et les bougies des dépôts qui gênent leur fonctionnement et peuvent même arriver à les mettre hors d’usage. De plus, l’excès de la chaleur amollit les ressorts, ainsi que les clapets qu’elle déforme ; fait gripper leurs tiges, produit des fuites, etc., enfin, dilate considérablement le gaz admis, si bien que la cylindrée se compose dès lors d’un mélange moins dense, donc moins pesant que si la culasse se trouvait à température plus basse.
- Le refroidissement des moteurs puissants est obtenu au moyen d'eau circulant autour du cylindre proprement dit, et surtout autour de la partie supérieure ou lêle du cylindre.
- rmrrm
- SCHEMA d’un nADIATEUIl flIlOUVKI.I.E ET AUQUEMBOl.TUl TYPE Iljdÿ.
- C C, réservoir. — m, n, cloisons. — R orifice de remplissage. — S, arrivée de l’eau refou'ee. — T, départ de l’eau allant à la pompe. — Y, plaque tubulaire.
- — La circulation d’eau est obtenue au moyen soit d’une pompe actionnée par le moteur lui-même, soit du dispositif connu sous le nom de 'thermosiphon, l’eau s'échauffant au contact des parois du moteur, puis venant se refroidir dans le radiateur. — Voir ces mots et l’article Chaleur.
- Voitures solides, silencieuses et bon marché CHENARD
- 7, rat de Ncrmatfdie, ASNIÈRES dk WALOKER
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- — Chenard et Walckeh, 7, rue de Normandie, Asnières (Seine). — Moteurs à refroidissement par thermosiphon.
- — Desponts, i5o, rue Victor - Ilugo, à Lcvallois-Perret (Seine).
- — Grouvelle et Arquembourg et Ci0, 71, rue du Moulin-Vert, Paris.
- — Misgevet et C'% 7, rue de Malatrex, à Genève (Suisse).
- — Renault Frères, moteurs à refroidissement par thermosiphon, i3g, rue du Point-du-Jour, à Billancourt (Seine).
- REFROIDISSEUR. — Voir Radiateur.
- REGAL GASOLINE ENGINE C°,
- moteurs de marine, à Coldwater (Michigan), Etats-Unis.
- REGARD. — On appelle ainsi toute
- U.N REGARD DE GRAISSEUR
- G, graisseur. — II, goutle d’huile. —R, regard avec tube en verre. — T, tube do descente de l'huile.
- male de fonctionnement. Cette définition s’applique à toutes sortes de moteurs : hydrauliques, à vapeur, à gaz, électriques ou autres.
- Le régime est le nombre de tours à la minute où le moteur a son meilleur rendement.
- REGINA, motocyclettes. — Voir Pagis cl Ci0, Paris.
- REGINA (Marque), accumulateurs, bougies, accessoires. —• Voir liusscnol et Raynaud.
- REGINA DIXI, automobiles. — Voir Electrique (L'), Paris.
- REGISTRE. — Petit clapet ou valve mobile, pivotant sur un axe et permettant d’augmenter ou de diminuer la section d’un tube et, par conséquent, de laisser pénétrer une quantité moindre d’air dans un carburateur ou de mélange gazeux dans un moteur.
- RÉGLAGE (de pièces ou d’organes).
- — Opération qui consiste à amener les pièces dans la position exacte qu’elles doivent occuper, dans l’ensemble dont elles font partie, ou à régler leurs dimensions définitives, etc.
- RÈGLE A CALCUL. — La règle à calcul est un instrument au moyen duquel 011 effectue graphiquement les calculs logarithmiques, et pouvant remplacer dans la pratique une table de logarithmes. Elle se compose de doux règles A et B ayant généralement 26 centimètres de long, et dont l’une B, nommée réglette, coulisse dans l’autre. Les deux règles ont la même longueur et portent les memes divisions, sauf à la partie inférieure de la règle fixe. Les longueurs des divisions sont proportionnelles aux logarithmes des nombres do 1 à 100, et chaque division est. marquée du nombre auquel elle corres-
- .J 1 f—t f T-f— 6 î fO f f 4 5 b 7 89101
- ‘1 i‘il.iliMiln 1 1 1 m nnhi, ,1^1,1 1 pijAi|i,|||i|ii|u| AMA/ilirt 3 5 G 7 8610 2 rrmn 1—1—I—1 i n i 11 iliiiilm 3 k 5 6 7 8 9 10 iiiyiil ,i i i n i i i iaJ
- 1 ' M 1 ‘.l1111 "f 111 ’f 1 P oi1 J JdJ
- Uke règle a calcul
- partie fermée par un bouchon facilement mobile , ou par une vitre permettant de voir ce qui se passe à l'intérieur d’une pièce mécanique.
- - Les regards sont particulièrement employés dans les graisseurs sous forme'de petits cylindres de verre au travers desquels on peut constater si l’écoulement de l'huile se fait normalement, goutte à goutte, et avec la fréquence voulue.
- RÉGENT, garage, commerce d’automobiles, 37, rue des Arènes, à Dole (Jura).
- RÉGENT (Le), pneu-cuir antidérapant, 81 bis, rue de Villiers, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- REGENT (The), automobiles. — Voir Edge (S. F.), Itd.
- RÉGIME D’UN MOTEUR. — On
- appelle régime d’un moteur sa vitesse nor-
- pond, 1 étant àk l’origine, puisque log 1 = 0. Eu faisant glisser la réglette, on ajoute ou retranche en réalité les logarithmes les uns des autres, et on lit directement sur la graduation le résultat des opérations.— L’échelle inférieure do la règle, dont les divisions sont deux fois plus longues, représente les logarithmes des carrés des nombres indiqués par les autres échelles, ce qui permet de les introduire directement et sans calcul dans les opérations, de même que les racines carrées. La mémo échelle sert au calcul des cubes et racines cubiques. — Le revers de la réglette porte deux autres échelles donnant la valeur
- 39, quai d’Argenteuil, 39
- automobiles A RIE S rsggsa&gggr
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- R É G
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- R E G
- numérique des logarithmes des smus et Lan-
- F entes. Les lectures se font à 1/1 000 près, approximation dépend surtout de l’adresse de l’opérateur. Elle est en général suffisante pour les calculs ordinaires. La règle à calcul est très commode en raison de ce qu’elle est très portative et permet d’effectuer rapidement des calculs compliqués, ou d’entreprendre des études devant lesquelles 011 reculerait avec les moyens ordinaires à cause de leur longueur, comme par exemple la construction de tables numériques, la résolution d'équations de degrés supérieurs ou transcendantes. Elle rend des services inappréciables dans les ateliers. — Voir Logarithme décimal.
- RÉGLEMENTATION. — Voir Législation automobile.
- REGNER (D.), vente d'automobiles, 5o, rue Saint-Ferdinand, Paris. Tel. 087-/17.
- REGNIER, rep résentant d'aciéries et de forges, 30, boulevard Voltaire, Paris.
- REGNIER (P.), h uiles et graisses minérales, piles et accessoires, 11, rue Etienne-Dolet, Paris. Tél. <j38-/i4.
- RÉGULATEURS. — Apparci ls destinés à maintenir la vitesse angulaire moyenne d’un moteur entre des limites aussi resserrées que possible. Le volant assure la régularité cyclique du moteur tout en parant dans une certaine mesure, par son inertie, aux brusques variations de vitesse moyenne résultant des brusques variations de résistance extérieure. Mais il n’empeche nullement une variation — qui peut être très grande — de cette vitesse moyenne lorsque l’équilibre de la puissance et de la résistance est détruit. 11 .en diminue simplement la rapidité par son inertie, ce qui est, entre parenthèses, fort utile et facilite singulièrement la tâche du régulateur. Les moteurs électriques, les turbines, qui possèdent une régularité cyclique idéale, 11e peuvent d'ailleurs pas plus se [tasser de régulateur que par exemple un moteur à gaz, ce qui fait bien ressortir la différence d'action du régulateur et du volant (exception faite pour certains moteurs, notamment les alterno-moteurs synchrones).
- Les régulateurs sont presque tous basés sur les variations de force centrifuge d’une masse pesante dont la rotation est liée à celle du moteur.
- Au lieu d’équilibrer la force centrifuge par un manchon pesant, comme le faisait Watt, l’inventeur du premier régulateur à force centrifuge, ou tend actuellement à employer des ressorts dont les avantages sont la légèreté et la facilité de réglage à une vitesse donnée. La figure 1 représente schématiquement un régulateur à ressort Kiénast. Il se compose d’une boîte B mobile autour d'un arbre qui 11e l'entraîne pas, comme cela a lieu, dans la plupart des régulateurs, par l’intermédiaire d'une clavette, mais seule-
- SACS
- CHAUFFEUR de
- ment par le frottement du ressort qui s’appuie d'une part contre le plateau P fixé sur l’arbre, et d’autre part contre le fond de la
- Régulateur Kiékast Régulateur d'automobile
- boîte à ressort. Cette disposition supprime le frottement du à la clavette, qui s’oppose aux oscillations du manchon et glisse dans deux douilles placées, l'une en bas dans le manchon, l'autre en haut dans le couvercle, ce qui constitue un guidage parlait de la partie mobile. Deux leviers coudés L oscillent autour des axes T fixes dans des oreilles venues de fonte avec la boîte à ressort. L'une des extrémités de ces leviers s’appuie sur le plateau au moyen de galets G. Quand les boules s’écartent sous l'action de la force centrifuge, les bras L, prenant appui sur le plateau fixe par les galets G soulèvent la boît e B, par leurs articulations T, en comprimant le ressort. — Avec un poids réduit, ce régulérateur, d’une extrême sensibilité, exerce une action prompte et énergique sur les organes de la distribution.
- Les régulateurs employés sur les moteurs d'automobile sont d’une construction très rudimentaire et ne visent pas à l’isochronisme ; ils servent plutôt à empocher l'emballement du moteur et, pour une tension donnée du ressort, 11e règlent la vitesse qu'entre des limites assez éloignées. La figure 2 en est, un exemple : un plateau A calé au bout: de l’arbre de distribution B porte deux oreilles G sur lesquelles sont pivotés les leviers coudés terminés à une extrémité par les boules D et à l'autre extrémité par les fourchettes F qui font coulisser le manchon à gorge E actionnant la tringle de commande par l'intermédiaire d'un levier amplificateur. Un ressort L équilibre la force centrifuge. La tension est calculée pour la marche la plus lente du moteur. Un autre ressort, agissant dans le même sens, est attaché à la tringle de commande par une extrémité, et par l'autre aune manette et à une pédale, agissant indépendamment pour supprimer sa tension ou l’augmenter à volonté.
- Quand la tension est supprimée, le moteur tourne à la vitesse réduite donnée par le régulateur; quand elle est appliquée, le moteur tourne d’autant plàs vite qu'elle est plus considérable. A11 point de vue régularité, l'appareil
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- \\ É G
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- 11 E I
- s'éloigne d'autant plus de l'isochronisme que la vitesse est plus grande. L’ensemble du ressort antagoniste supplémentaire- et de sa commande constitue \q modérateur-accélérateur ou simplement accélérateur.
- -- GllOUVELLE ET AkQUEMBOUUG ET Cie, ^1,
- rue du Moulin-Vert, Paris.
- RÉGULATION. — La régulation d’un moteur est l'opération qui consiste à proportionner constamment sa puissance à la résistance extérieure eu vue de maintenir sa vitesse au taux qu'on s'est assigné. La régulation d'un moteur est eiï'ectuée par un régulateur automatique, ou à la main ou par les deux procédés à la luis. Une foule de moyens (dont plusieurs étaient bizarres) furent employés pour régler la vitesse des moteurs. Aujourd'hui, ces procédés se résument en un seul : variation de l'admission. Toutefois cette variation est directe ou indirecte, et, dans ce dernier cas, on passe par l'intermédiaire de l’échappement. En outre elle peut comporter, dans les moteurs à gaz, un dispositif assurant l’uniformité de la compression, ce qui améliore le rendement aux faibles charges. Quoi qu'il en soit, le résultat est toujours le même et sc traduit par une variation du lluidc moteur introduit par coup de piston.
- — Régulation des moteurs à explosions (;gazy pétrole, etc.). — a) Par variation directe de Vadmission : elle s’elfectue par étranglement de la conduite d’aspiration ou par modihea-tion de la levée des soupapes. Dans le premier cas, le régulateur actionne une valve généralement placée au carburateur. Dans le second, on modifie soit la levée, soit la durée d'ouverture des soupapes, soit les deux à la fois, ce qui est particulièrement commode avec les soupapes commandées. Dans ce qui précède, nous n’avons en vue que les variations progressives de l'admission ; la variation directe, par toutou rien, n'est plus employée actuellement en automobile (sauf sur de rares moteurs), et on l’abandonne de jour en jour aux moteurs fixes où du reste elle ne s’exerce que sur le gaz.
- b) Par variation indirecte sur P échappement : elle s'effectue par modification de la levée ou de la durée d'ouverture des soupapes, ou par les deux à la fois, de sorte qu’à la fin de l'échappement il reste dans le cylindre une quantité variable dè gaz brûlés diminuant d’autant la quantité de gaz frais aspirée.
- En résumé, le procédé actuellement beaucoup le plus répandu est le réglage direct sur l’admission, en général par étranglement de la conduite : Ariès, Berliet, Clément-Gla-diator, de Diétrich, Mors, Panhard, Richard-Brasier, Rochct-Sclmeider, etc., et plus rarement par levée des soupapes : Bayard-Clé-ment, Renault, etc. Le procédé par réglage indirect sur l’échappement est beaucoup moins répandu malgré ses avantages économiques : de Dion-Bouton, notamment.
- Les avantages de la régulation progressive sont tellement incontestables que sa cause n’a plus besoin d’etre plaidée.
- — De Dion-Bouton et Cio, 3G, quai National, à Puteaux (Seine).
- RÉGULE. — Terme métallurgique, originaire du langage des alchimistes qui désignaient sous ce nom l'antimoine métallique, .parce que celui-ci s'allie facilement à l'or en le dissolvant, d'où le nom : Regulus, petit, roi. Actuellement le terme régule ne s’applique guère qu'à l'antimoine métallique. On dit « régule d'antimoine » ou simplement «régule)), pour antimoine métallique, ou pour désigner un alliage blanc antifrietion, contenant de l'antimoine, de l'étain et du plomb.
- RÉGY Frères, modeleurs, 120, rue de Javel, Paris.
- REICHEL (.François, dit Frantz), i/|, rue Cavallotti, Paris. Tel. 102-/16. Né à Paris, le iG mars 1871. Rédacteur au Figaro et au Jockey. Secrétaire général de l'Etoile-Palace.
- — Licencié en droit. — A débuté dans les sports en 1888; dans la Presse, en i8qo ; a col-1 a boré au x Sports Athlétiques, au Cycle, au Paris-Pédale, au Matin, au Paris-Vélo, à la Bicyclette, au Vélo, etc. A pratiqué et pratique e n core tous les sports.
- — Président du Syndicat de la Presse sportive des journaux politiques. — A créé la première association athlétique scolaire (1888).
- — Un des créateurs du mouvement sportif en France.
- REICHLÉ, pneumatiques “ Excclsior ”, 27, rue du Chàlcau-d'EiUi, Paris. Tél. 443-52. Adr. tél. Reichle-Paris.
- REICHMARK. (Rm.), unité monétaire allemande ; 1 Rm. vaut 100 pfennigs et
- équivaut à 1 fr, 28.4.
- REIMS (Société de Construction Automobile de), fabrique d'automobiles. •— Voir Bayet, LiéuarL et Cie.
- REINACH (E.) et Cl°, huile minérale, u Oléoblitz ” et produit “Fix” contre la poussière des roules, 90, via Lario, à Milan (Italie).
- REINACH-FOUSSEMAGNE (Cle de), trésorier du Touring-Club de France, 65, avenue de la Grande-Armée, Paris.
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- l\ E I — 5/> — R E N
- REISS et C°, automobiles, iG, Dbcrwall-strasse, à Berlin (Allemagne).
- REITHMAYR (A ), commerce d’automobiles, 3, Thiersclistrasse, à Munich (Bavière) .
- REJNA ZANARDINI, fabrique de phares et de lanternes, 3y, Bastioni Porta Magenta, à Milan (Italie). — Voir Clèves (de) et Chevalier, Neuilly-sur-Seine.
- RELIANCE MOTOR CAR C°, fabri-(pie d'automobiles, à Détroit (Michigan), Etats-Unis.
- RÉLUCTANCE (Symb.de: R). — La réluctance est la résistance magnétique opposée au passage du llux de force dans un circuit magnétique. Par analogie à la résistance électrique, la résistance magnétique est directement proportionnelle à la longueur du circuit, à la réluctivité qui dépend de la nature du milieu, et inversement proportionnelle à la section. — Voir Perméabilité magnétique.
- RÉLUCTIVITÉ (Symbole: v). — Facteur qui, pour les substances magnétiques, correspond à la résistivité ou résistance spécifique des conducteurs électriques. Ce facteur est l’inverse de la perméabilité magnétique.
- RÉMANENCE. — En électricité, on nomme rémanence la petite quantité de magnétisme qui demeure dans un inducteur en fer doux, alors que la dynamo est arretée et que le courant d’excitation a cessé. La rémanence est d’autant plus faillie que le fer employé pour la confection de l'inducteur est plus pur.
- REMBLAI. — Une route est dite en remblai lorsque sa surface est [dus élevée
- ÎIOUTK K N REMBLAI ((loilpC).
- .pie les terrains qui l’environnent de chaque côté.
- REMORQUE. — L e décret de 1899 interdit aux automobiles de remorquer d'autres véhicules sans qu'il soit intervenu, sur demande, une autorisation spéciale du préfet du département (préfet de police, pour la Seine).
- Il y a toutefois autorisation pour les automobiles de remorquer une voiturette dont le poids, voyageurs compris, ne dépasse pas
- 200 kilogrammes, à condition que les freins soient capables de servir efficacement pour l’ensemble. (Art. 28, décret du 10 mars l899-)
- Au point de vue de Y impôt, le Conseil d’Etat, s’appuyant sur la loi du 28 avril i8g3, qui parle des vélocipèdes ou “appareils analogues”, a jugé que la bicyclette attelée à une remorque devait être imposée comme une machine à deux places. 11 en est évidemment de môme pour une voiturette-remorque attelée soit à un tricycle, soit à une motocyclette : l’impôt est dû pour le nombre total des places, au tarif spécial des “ vélocipèdes à moteur”.
- RÉMY, accessoires pour pneumatiques, 6, villa Carie-Hébert, à Courbevoie (Seine).
- REMY ELECTRIC C°, magnétos Remy, à Anderson, Indiana (Etats-Unis).
- REMY-MALLET, fonderie, à Saint-Dizier (Haute-Marne).
- RENARD (commandant Paul), 1, avenue de l’Observatoire, Paris. —- Sorti de Polytechnique dans le génie, devient le collaborateur assidu de son frère, le regretté colonel Charles Renard ; a sa part importante dans la création et les expériences du fameux dirigeable La France et dans divers autres travaux du savant ingénieur. A publié lui— même de nombreux mémoires, notamment une importante note sur les “ Conditions de sécurité des aérostats à moteur ”. une savante étude, les “ Courses et essais de record des aérostats à moteur ”, etc... Si le commandant Renard confondit volontairement ses propres mérites avec ceux de son frère à qui l’unissait une étroite affection, il est juste que leurs deux noms se retrouvent associés lorsqu’on parle des progrès énormes que les deux savants officiers ont fait faire à l’aéronautique moderne.
- RENARD (Colonel Charles). — Né à Damblain (Vosges), le 23 novembre 1847, mort à Chalais-Meudon le i3 avril iqo5. Entré dans le génie à sa sortie de Polytechnique, est mis à la tète do l’établissement de Chalais-Meudon en 18et y commence les travaux qui ont fait de lui le créateur de F aérostation militaire moderne.
- C’est à lui et à son collaborateur le commandant Ivrebs, alors lieutenant, que revient l’honneur d'avoir démontré, le premier par l’expérience, la possibilité de la direction des ballons. Son dirigeable La France, actionné par un moteur électrique, au cours d’expériences retentissantes en 1884-85, revient cinq fois sur sept à son point de départ après des parcours dont le plus long fut de i5 kilm. 4oo mesurés par rapport au sol.
- A publié de noVnbreux travaux et études théoriques, mémoires à l’Académie, d'une im-
- ]
- REPARATION et TRANSFORMATION DES VOITURES DE DION-BOUTON
- AUTO-STAND, - rue Duret, PAPJS
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- portance capitale, sur les diverses branches de l'aéronautique, notamment sur les questions d’avialioji.
- On lui doit encore le train automobile Renard et une chaudière à vapeur étudiée en vue des ballons et applicable, en raison de sa grande légèreté, à l’automobilisme et à la murine.
- RENARD (Victor). — Inventeur français (mort en njo3) qui eut le premier l’idée de remplacer, en 1857, les rayons métalliques directs des roues de bicycle par les rayons tangents encore employés actuellement tels qu’il les conçut. Renard, associé à F. Foresl (actuellement le doyen des fabricants de cycles), construisit de nombreuses machines très ingénieuses et lit faire de grands progrès à l’industrie vélocipédique.
- RENARD, accumulateurs, 26, rue de Rocliechouart, Paris. Tel. 2GG-18.
- RENARD (SociétéF rançaise <les Trains) 11, rue Lafayctte, Paris.
- RENARD et Fils, machines-outils, 8, rue Coûtant, à Ivry-Port (Seine).
- RENAUD (Jean-Joseph), 30, rue Notre-Dame-de-Lorette, Paris. — Né à Paris, le
- iO juillet 187/1. — Oflieier de l’Ins-I motion publique. * — Critique dra-
- matique à Y Ac-tion; collabore à Y Auto et à un grand nombre de gazettes sportives et littéraires, escrimeur célèbre; fervent sports-maii (boxe, pistolet, jiu-jitsu, etc.) — Membre de l’Académie des Sports.
- RENAUD,
- réservoirs, capots carters, 7, passage St-Pierre-Amelol, Paris. Tel. y3o-G3.
- RENAUDIN fils et BESSON, carrosserie automobile, 5o, rue Jenner, Paris. Tél. 813-83.
- RENAULT (A.), carrosserie d ’ automobiles, 20, rue de la Folic-Méricourt, Paris. Tél. 901-22.
- RENAULT ( (,’.), fabrique de limes, aciers, ,m, rue Clialmel, à Tours (Indre-et-Loire).
- M. J.-JoSKl’il HkNAL'D
- RENAULT (Fernand), 7, rue de Penlliiè-vrc, Paris. Tél.
- 024-19. — Né à Paris, le 28 novembre i8G/|. —
- Co-directeur de l’usine d’automobiles Renault Frères. — Vice-président de la Section automobile de la Chambre syndicale de l’A. C. F.
- RENAULT
- (Louis), 4, nie
- Puvis-de-Chavan-lies, Paris. —
- Ne à Paris, le ,\i. Fehnan» Renault
- 12 février 1877.
- Chevalier de la Légion d’honneur; Officier du Mérite agricole, chevalier de l’Ordre François-Joseph. — Fondateur et co-di-recteur de la mai-son Renault.
- Frères. — Membre du Comité de l’A. C. F. : membre de la Commission sportive. — A créé, en 1898, la maison d’automobiles Renault Frères, dans laquelle il a établi, pour la première fois, la voiturette à pétrole avec trans-mission a car- AI. Lotus IIknaclt
- dans et prise directe en grande vitesse. Une des figures les plus connues de notre monde spécial.
- RENAULT (Marcel).— Né en 1872, fonda avec ses lrèrcs,
- Fernand ctLouis, en 1898, la maison Renault Frères. — Prit part aux premières courses de voilurettes :
- Paris -Trouvillc,
- Paris - Ostcnde,
- Paris-Rambouillet, où, avec son frère Louis, il remporta les premières places. Dans Paris-Toulouse, se classa premier.
- Dans Paris- M. Maiicei. Renault
- j Automobile? RENAULT FRÈRES gil,Srt
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- Caractéristiques des Châssis RENAULT Frères - 1907
- CeDre des Cylindres.. Alésage et Course.... Décompresseur Nombre de Vitesses.. Empattement Types ( avant Pneus'] ( arriéré Emplacement de Carrosserie Distance du tablier à la tangente roue arrra. Encombrement total.. Poids approximatif.. . . Prix Caractéri* 8 hp. 2 cyl. 10 hp. 2 cyl. 10hp 4çy 14X20 hp. 20x30 hp. 35X45 hp.
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- sans sans sans sans avec avec
- trois trois trois quatre quatre quatre
- 2,300 2,040 2,5 10 2,700 2.790 2,700 .2.730 3,o8o 2.780 3,o8o 3,200 , 3,200
- normal A. G. A. allongé A. U. B. normal A. Y. A. allongé A. Y. B. camion A. J. B. allongé A. 11. B. normal X A. allongé X. B. normal V. A allongé V. B. normal A. I. A. allongé A. I. B.
- 800 X 85 renf. 800X8Û ext.-f1 8ooX^5 renf. 800X80 ext.-f1 8ooX85 renf. 800X80 ext.-f1 8o(>X^'~) renf. 8 ioXî)° 800X80 renf. 810X90 800X80 ext -f1 8ioX9° 873x100 870X * °5 880X 120 915 X100 920X120 91 ° X 10 5^ 920X120
- 2X0.80 2.45x0,80 2.10 X 0,80 2,45 X 0,80 2,Go x 0,80 2,40 X 0.80 2.20 X o,85 2,55 X o.85 2,20 X o,85 2 55 X o,85 2,55 X 0,90 2.73 x 0,90
- i,35o 1.080 1..400 1,700 1, y 3o I,750 1,4 00 1,750 1,400 1.760 1,750 T ,750
- 1,5aG X 3,2/(0 1 .op.G X 3,5oo 1.0G0 x 3,45o 1,5Go X 3,700 1,520 X 3,73o 1.G00X 3,790 1 ,Gao X 3,870 I ,GaO X 4:220 1,700 X 3.915 1.700 X /|.265 l:700X-'l>39° 1,70° x 4,395
- 5 5o 5Go Geo GGo Gÿo G90 85o 870 I oco 1 o5o 1 i5o I 200
- 0 700 5 900 7 5oo 7 800 7 800 9 °°o i3 5 00 t3 ôoo iG 5oo îG 500 2G 000 2G OOO
- itiques gérçér 1 aies : Moteurs tisseui Distri 1 soupap d’essen Duteur s< es comm ce, Allui 3paré, R andées, C nage pa ddiateurs Mrburate r magné à tubes ;ur auton to à boi multitui: tatique s îgies à i mlaires. ans vis nduit to 1 amor- urnant,
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- Vienne, il lut premier du classement général sur sa voiture légère, en battant toutes les grosses voitures.
- Dans la course Paris-Madrid lit une chute et mourut deux jours après, le a(> mai iqo3, à Couhé-Vérac. Une pierre commémore l'accident, à l’endroit de la roule de Paris-Bordeaux où il eut lieu. A Pillaneourt, meme, entre les usines, avenue du Cours, a été érigé, un an après, un monument portant son buste.
- RENAULT Frères, construction d'automobiles, i3ç), rue du Point-du-.Iour, à Billancourt (Seine). Tel. (}(5<)-(i 1 : ()f><)-f»2 ; (ithj-tkb Adr. tél. lienofer-Billancovrl— Société en nom eollectir, l'ondée en 1898. — Directeur commercial : M. Paul llugé. — Fabrique de châssis de voilures automobiles (de 8 à 35 chevaux) ; de moteurs pour canots et pour l'industrie. La Maison Renault a un passé et un présent trop glorieux et trop bien connus universellement pour que nous insistions davantage.
- Agents de la maison Benuull Frères pour l'exercice 1007
- Paris (Seine). — Auto-Agence Cormier, 3i, rue d'Anjou. —(«rus, Cabarrus et Ck', 9, boulevard Maleshcrbes. — Lamberjack, 90, boulevard (iouvion-Sainl-Cyr. — Loisel, ly, rue Monsigny. — Maron, 1.4, avenue de la (irande-Armée. — Palais-Automobile, 218, boulevard Pércire. — Rabourdin, 22, place Vendôme. — Sehrader et Cic, 5i, avenue de la (irande-Armée. — Wiener, Schwab et Cie, 2/1, rue de Paradis.
- Départements. —• Autan (Saône-et-Loire)-: Lemaître, avenue de la tiare. — Avignon (Vaucluse) : Mathieu, 8, boulevard Saint-lloeh.
- — Bordeaux (Gironde) : Rergcon et Cle, 21, rue Esprit-des-Lois. — Bourges (Cher) : Aubard, i5, rue des Arènes. -- Caen (Calvados) : Bédouelle-Voisin, 5, rue Choron. — Chàlons-sur-Marne (Marne) : Hauser, place de l'Ilùtel-de-Ville. — Charlevillc (Ardennes) : Froussart, 3/j, avenue Nationale. — Chambéry (Savoie) : Montcl, 4, rue Porte-Reine. — Chàleauroux (Indre) : Jablin, rue de la Gare. — Compiègnc (Oise) : Loubeyre, b, boulevard du Cours. — Dijon (Côte-d'Or) : Charton, 21, rue de Tivoli. — Fiers (Orne) : Seigneur-Moulreuil, rue de la Gare. — Gap (llaut.es-Alpes) : 3, avenue d'Embrun.— Grenoble, (Isère) : Magnat et, Dchon, (>7, cours Saint-André. — Laval (Mayenne) : Laine Frères, 32, quai d'Avesnières. — Le Havre (Seine-Inférieure) : Molon, 15g, rue Victor-Hugo. — Lille (Nord) : Declercq, Cordonnier et Cic, 1, rue de la Chambre-des-Comptes. — Limoges (Haute-Vienne) : Fabre-Sapin, 8, boulevard de Fleuras. — Lyon (Rhône) : Christy Medecet et Cic, 1, place d’IIelvétie.
- — Nancy (Meurthe-et-Moselle) : Sehott, 3, rue Girardet. — Nunlcs (Loire-Inférieure) : Pifî’eleau, 3^, rue de la Pelleterie. —Narbonne
- (Aude) : Araou Frères, avenue du Capitole.
- — Neuilly-sur-Seine (Seine) : Marcellin, 27 bis, avenue de Neuillv. — Neuilly-sur-Seine (Seine) : Outhenin-Clialandre, 4, rue de Chartres. — Poitiers (Vienne) : Arnaud. -, rue Carnot. — Bouen (Seine-Inférieure) : Manchon et Durand, i(i, quai Gaston-Boulet.
- — Soissons (Aisne) : Renée. - - Tours (Indre-et-Loire) : Villeneuve, 3, avenue de Grammont.
- — - Toulouse (Haute-Garonne) : Bébéli et Clc, 34, rue d'Aubuisson.
- Algérie. — Alger (Algérie) : Gérin, 28, rue de la Liberté.
- Etranger. — Aachen (Allemagne) : Rutgers et Cu, 55, Hochslrasse. — Bâte (Suisse) : Scblotterbeck, 45, Steincnring. — Berlin (Allemagne) : l'rcund, io, Georgenstrasse. — Bresluu (Allemagne) : Schuppelius, 38, Sado-wastrasse. — Bruxelles (Belgique) : Loppart, 21, rue de Simonis. — Dresde (Allemagne) : Sleflens, lô, Pragerstrassc. — Dusseldar//' (Allemagne) : Weingand, 54, Kreuzslrasse.
- — Hambourg (Allemagne) : Raffay et G", 2-4, Klopstockstrasse. — Leipzig (Allemagne) : Denek, 21, llartelstrasse. — Lisbonne (Portugal) : Société Portugaise, (i, rua do Jardim do Regedor. — Londres (Angleterre) : Renault Frères limitcd, Newan Street, Oxford Street, W. 19. — Maastricht (Hollande) : Thyjssens Frères cl Sœur. — Madrid (Espagne) : Madrid-Automobile, paseo de la Castellana. — Mayence (Alsace-Lorraine) : lekralh, 3ti, Scbillerstrasse. —- Metz (Alsace-Lorraine) : Chevalier et Fils, (i, rue de la Caserne. — Milan (Italie) : Fusi et G", 1 fi, piazza Castello. Mulhouse (Allemagne) : Cliàlel, 31, passage Central. — Munich (Allemagne) : Beissbarlh Frères, 2, Kohlstrasse. — Neiv-York (Etats-Unis) : Renault Selling Bramdi.
- — Osnabrück (Allemagne) : Wicinan et Cu, Siisterstras.se. — Prague (Autriche) : Pro-chaska, 112-11, Brenntegasse. — Stuttgart (Allemagne) : Slaiger, 4-6, Militerslrasse. -Ulm (Allemagne) : Schwcizcr, 10, Lange-strasse. — Vienne (Autriche) : Fürst., 34, Praterstrasse.
- RENAULT et HUSSON, ferrures pour automobiles, à Joigny-sur-Meuse (Ardennes).
- RENAUX (Eugène), mécanicien, spécialité de pose de la suspension *• Trulfault ", 33, rue du Repos, Paris. Té!, go.4-35.
- RENDEMENT. — Le rendement d'un moteur est le rapport de sa puissance ellec-tive à sa puissance indiquée (voir ces termes; voir Frein deProny).—Le rendement industriel des récepteurs hydrauliques et électriques se définit : le rapport de la puissance ellec-tive à la puissance théoriquement disponible de l’eau ou du courant dépensé. Le rendement d'un transformateur d'énergie (et nous donnons à ce terme une signification absolument générale : transmissions mécaniques, transformateurs électriques, etc.) se définit. :
- | MonuHies RENAULT FRÈRES SKf
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- le rapport de la puissance recueillie à celle fournie. Un rendement est donc toujours plus polit que l'unité. — Voir Transformation d'énergie.
- RENÉE (Louis), fabrique d’automobiles, à Soissons (Aisne).
- RENFORT. — Pièce soudée, rivée ou, le plus souvent, venue de fonte, qui sert à consolider une pièce fondue dont l’épaisseur générale est trop faible pour subir de grands ell'orls, ou dans laquelle on doit percer des trous qui l'affaibliraient dangereusement si elle n’était pas renforcée (carter de moteur, carter de changement de vitesse, etc.).
- On dit aussi renflement.
- RENOLD i Hans), Ltd, à Manchester, i Angleterre). Fabrique de chaînes pour voilures automobiles et [tour bicyclettes. Agent gémirai : ('. (’omiol, 87, boulevard (iouvion-Saint -Cyr, Paris. Tél. bo.’l-afi.— Voir Chaînes.
- RENOUARD (!".), garage, commerce d’automobiles, loq, avenue de la Tranchée, à Tours (Indre-et-Loire).
- RENOUARD et Ci0, antidérapant Hercules, io(i, boulevard de Versailles, à Suresnes i Seine). Tél. 78.
- RENOUIL, garage, commerce d’automobiles, 18, boulevard Cauderan, à lîordcaux (( iirondo).
- RENOUVEL , garage, commerce d’automobiles, 17, rue de Paris, à llresl,(Finistère).
- RENOUX et Ci0, pneumatiques, b i, boulevard Noy, Paris.
- REO MOTOR CAR C", automobiles, à Lansing (Michigan ), Flats-Luis.
- REP (allumage à haute tension).— Voir Sla.lo Ile,]).
- REP, suspension pour automobiles, 87, rue des Abondances, à llouiogne-sur-Seine (Seine).
- RÉPARATIONS. — Opérations mécaniques qui ont pour but de remettre en bon état de fonctionnement les parties ou le tout d’une automobile. - Les répara!ions donnent lieu assez souvent à dos abus et à des malfaçons scandaleuses. 11 est donc, indispensable de ne confier sa voiture à réparer qu'à dos maisons absolument sérieuses.
- — Auto-Palach, 77 bis, avenue de la ( irande-Armée, Paris.
- — Auto-S'ta.no, :>.o, rue Duret, Paris.
- - Bousquet et C1’’, (j.">, avenue des Champs-Llvsées, Paris.
- — CiiAussiii.vr, 11, rue Princesse, Paris.
- — L'iNTKHMKoiAiui:, i 7, rue Monsigiiy, Paris.
- - Mal!ïvii.i.iï, ab, rue Louis-Blanc, à Le-vallois-Perret (Seine).
- Saluuhon ht CP, ifi, rue Duret, Paris.
- Vouiuot et Ci0, .'Ij, rue (iuersant, Paris.
- RÉPARER UN PNEU. — La réparation des pneumatiques avariés so pratique
- sur les chambres à air ou sur les enveloppes. Chacune de ces deux opérations peut être réalisée à l’usine, ou effectuée par le chauffeur lui-même. —• Voir les Guides spéciaux pour ces opérations compliquées.
- — Buciiillet, réparations de pneumatiques, /j7, rue Saint-Ferdinand, Paris.
- REPASSER (Affûter). — Action de rendre leur tranchant, à des outils émoussés. On se sert de meules ou machines à mouler. Certaines meules sont, spécialement, disposées pour l’affûtage d’outils spéciaux tels «pic les forets hélicoïdaux.
- REPÈRE. — Marque que Ton fait sur un organe mécanique afin d’indiquer sa position exacte par rapport, aux autres organes. Axant tout démontage, les pièces constituant un ensemble mécanique doivent, si elles ne l’ont pas été par le constructeur, être repérées au moyen d’un ou plusieurs coups de pointeau, coup de lime, lettre ou chiffre d’acier, etc. —• Voir Point de repère.
- REPGERTON, matière élastique pour bandages de roues, 37, rue des Abondances, à Boulognc-sur-Seino (Seine). Tél. 10e.
- REPORTAGE PHOTOGRAPHIQUE (Agence Parisienne de), 3o, rue des Dames, Paris. Tél. bpo-21. — Directeur :
- M. Ch. Biard.
- REPOUSSOIR. - Outil de tour dont on so sert pour donner des formes concaves circulaires à des rondelles pleines en tôle, cuivre, etc.
- De nombreuses parties de lanternes ou de phares sont obtenues au moyen de cet outil ; il en est de même des rondelles formant, la partie supérieure des flotteurs de carburateurs, etc.
- — Outil, chasse-goupille de forte dimension qui sert à faire sortir de son logement un boulon, une grosse clavette, une cheville, etc.
- REPRODUCTION. - On se sert, souvent, do machines-outils spéciales, quand il s’agit de fraiser une partie d’organe mécanique qui n’est pas droite ou qui 11’a pas une courbe régulière.
- Dans ce cas une pièce appelée reproduction, façonnée selon le profil de la pièce à obtenir, est, fixée parallèlement à cette dernière ; un guide en suit les contours exactement, tandis que la fraise, solidaire de celui-ci, donne à la pièce la forme de la reproduction. C’est la base du fonctionnement, des machines à tailler les cames.
- La reproduction est aussi très souvent employée dans les machines à travailler le bois pour obtenir des pièces de toutes formes et de tous profils.
- REPUBLlb, voiturettes et motocyclettes, vendues par I. Wollmann, à Padoue (Italie).
- "SKS” CHAINES RENOLD
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- REPUBLIC RUBBER C\ lubrique
- de pneumatiques, à Saint-Louis (Etals-Unis).
- RÉSERVOIR. — L es réservoirs à essence ou à eau sont, laits, dans les voilures lion marché, en tôle de fer soudée ou rabattue, puis galvanisée pour les empêcher de se rouiller, autant (pie possible. Les automobiles de bonne marque ont leurs réservoirs constitués par des tôles de laiton agrafées ou rivées, soudées à l'étain, ou par des plaques relativement épaisses de cuivre rouge, agrafées et brasées, lorsqu'ils sont placés extérieurement, exposés à des chocs, ou lorsqu'ils sont sous pression.
- — Desponts, iôo, rue Yictor-1 lugo, à Lc-vallois-Perrel (Seine).
- — Mégevet et Ui8, 7, rue de Malatrcx, à Genève (Suisse).
- RESINE. — La résine molle, obtenue par incision et exsudation des pins (Landes), étant soumise à la distillation en vase clos, donne l'essence de térébenthine et la colophane ou résine commune. Celle dernière est employée comme support interne pour empêcher les tubes de cuivre de s'aplatir lorsque l'on veut les courber ou cintrer.
- RÉSISTANCE (au roulement). — M. Michelin a étudié avec le plus grand soin la résistance qu'offrent, au roulement les jantes des voitures, suivant qu'elles sont en fer, en caoutchouc plein, ou garnies de pneumatiques. 11 a trouvé, pour une vitesse à l'heure de 20 kilomètres, les chiffres de résistance suivants :
- Fer o,<>3/| ; caoutchouc plein o,o3o ; pneumatiques 0,020.
- — Résistance (à la traction). — Pour déplacer d'un mouvement uniforme un véhicule quelconque, automobile ou autre, il faut lui appliquer un effort R (que l'on ramène à la jante) équilibrant :
- a) La résistance au roulement et le frotte-
- ment des fusées.......................... Ri.
- b) La résistance de l'air............. R2.
- c) La résistance duc aux rampes. . l\;i.
- Nous allons évaluer séparément chacune de ces quantités :
- — a) Résistance au roulement et frottement des pièces. Cette résistance est peut-être la [tins difficile à évaluer, du moins d'une ma-
- nière précise. Sa formule générale,
- R = A —
- due à Coulomb, et dans laquelle R = résistance appliquée à la circonférence, P pression appliquant la roue sur le sol, r son rayon, et A le coefficient de frottement de roulement, exprime que la résistance du roulement, est proportionnelle à la pression et en raison meme du rayon. Cette résistance fut étudiée par divers expérimentateurs, notamment par Morin, de 1838 à 18^2, qui obtint de nombreuses données. Il étudia l'influence de la charge, du diamètre des roues, de la largeur de jante, de la vitesse, de la suspension, du frottement des fusées et de la résistance de l'air, soit
- toutes les causes intervenant dans le tirage en palier. Ses conclusions,qui 11e peuvent être reproduites ici, vérifient la loi précédente d'ailleurs obtenue par l'expérience. Elles sont exactes en principe et permettent une étude comparative, mais on peut y faire des réserves relativement à la largeur de la bande de roulement et à la nature de la jante (sans influence), ce (pii ne peut être vrai dans le cas d'un pneumatique, dont la zone de contact a une étendue relativement considérable dans le sens du roulement, cl relativement aussi à la suspension.
- Des expériences toutes récentes ont fixé le premier point, et il en résulte bien que la résistance varie beaucoup d'un bandage à un autre, ce qui était évident a priori. Nous ne pouvons en donner les résultats détaillés, mais du moins citerons-nous les quelques chiffres suivants. Pour les diamètres de roues généralement employés (800 à 900), la résistance au roulement elle frottement des fusées exigent un effort 1\I égal pour 1 000 kilo-
- grammes de charge, et sur macadam sec, sans poussière, à 18-20 kilomètres à l'heure :
- 10-18 kilogr. pour les bandages pleins.
- 20-2/1 — [meus 90 bien gonflés.
- 2/1-28 — — - - mal —
- 28-32 — — - - 120 bien gonflés.
- Un antidérapant à clous rivés augmente les chiffres ci-dessus de !\ kilogrammes. Ri, rapporté ici à 1 000 kilogrammes pris comme unité de poids, s'appelle le coefficient de traction, fl s’exprime toujours en kilogrammes par tonne. On peut, le calculer spécialement pour chaque cas particulier, au moyen de formules connues, mais en faisant intervenir les coefficients très variables des tables de Morin. Aussi vaut-il mieux dans la pratique adopter les chiffres ci-dessus très proches de la vérité et obtenus dans des conditions moyennes, c'est-à-dire courantes.
- — b) Résistance de Voir. Pour des voitures ne dépassant pas 3o à l'heure, on peut négliger la résistance de l'air; et Ri représente la résistance en palier.
- Pour les voitures rapides, la résistance de l'air atteint une valeur telle qu'elle dépasse vite Ri et devient prépondérante au-dessus de 100 kilomètres à l'heure. On la déduit de la formule donnée à l'article Résistance de l’air en choisissant plus ou moins heureusement la valeur S de la surface normale du vent. E11 transformant convenablement la formule, on peut exprimer la résistance de Pair par :
- R2 = o,oo55 S Y2 (phaétons, tonneaux).
- R2“o,oo5o S Y2 (carrosserie de course).
- S est en mètres carrés et Y en kilomètres à l'heure.
- Pour une voiture de 1 000 kilogrammes à carrosserie de course S= /m~.
- — c) Résistance due aux rampes. Elle est duc à l'élévation propre du véhicule ou à la
- GLADIATOR 1907
- 4 TYPES
- 14, 18, 24 et 30-35 chevaux
- 4 ET 6 CYLINDRES
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- n.csisl<xrvcc à ta, tracf-uon
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- n e s
- composante de la pesanteur sur la déclivité. Elle égale i kilogramme par tonne et par millimètre de pente.
- De ce qui précède il suit que l'on a pour une automobile ordinaire :
- R — l\i—f—11-—|—= i o à 30 kg. -f- o,oooo S V2-)-/
- en désignant par / la pente en millimètres par mètre. 1\ ainsi défini se rapporte i ooo kilogrammes, de sorte que pour un poids P en tonnes on aura PU pour valeur de l'efïbrL tan-gentiel à appliquer aux roues motrices.
- En pratique il est extrêmement utile de tracer des comités de résistance à la traction et de la puissance absorbée pour differentes vitesses et différentes pentes. La ligure ci-dessous
- Vitesses e/t kilomcJres à l heure Vitesses dit moteur
- Uksistaxck nui: acx hampks
- montre comment, sont tracées ces courbes. A est la courbe des résistances en palier. On voit que R, égal à Ri au début, croît de plus en |>Ius vite à cause de la résistance de l'air. Des valeurs de R on déduit les puissances en chevaux absorbées à la jante, puissances égales à R X V
- —^— si V désigne la vitesse en mètres par
- seconde ; R est la courbe déduite de À et représente les puissances absorbées en palier. On voit qu'elles augmentent très vite. Les mêmes calculs sont répétés pour des rampes de 20/0, 4 0 0, G 0/0, etc., et. on obtient, les courbes représentées dans la figure.l'in traçant à l'échelle choisie la caractéristique G du moteur, dont 011 suppose la puissance réduite dans le rapport du rendement de la transmission, on voit quelles sont, les rampes (pie la voiture peut gravir et à quelle vitesse elle peut les gravir. L'abscisse de la courbe G est choisie de telle sorte (pie la vitesse angulaire du moteur coïncide avec la vitesse du véhicule pour la multiplication considérée (échelle 0 V). Ainsi, en supposant (pie G de la figure correspond à la 4e vitesse, et que les multiplications soient pro-
- portionnelles à i, 2, 3, 4* on réduira l’abscisse de G au 1/4, au 1/2, au 3/4 de la valeur représentée pour étudier la marche de la voiture en iro, 20 et 3° vitesses. L’emploi rationnel de ces graphiques rend des services inappréciables, notamment pour l'étude des j voilures de course.
- RÉSISTANCE DE L’AIR. — Quand ou déplace un corps dans l'air, ou quand l'air frappe un corps immobile, celui-ci reçoit une poussée qui dépend de la dimension, de la forme et de l'orientation de la surface recevant l'action du vent, et surtout de la vitesse de celui-ci. La résistance de l'air, négligeable aux vitesses réduites, devient considérable pour les vitesses dépassant, 20 mètres par seconde, atteintes et, dépassées par les automobiles un peu rapides. Les premières expériences précises sur la résistance de l'air sont dues à M. le lieutenant de vaisseau Thibault. 11 en résulte (pic la poussée de l’air sur la base carrée d'un prisme droit, dont les arêtes latérales sont placées dans la direction du mouvement, a pour valeur :
- R — 0 £ S V2
- formule dans laquelle R désigne la poussée en kilogrammes .0 un coefficient égal à o,of>2o (constant), e un coefficient dépendant du rapport, de la longueur / du prisme au côté a de sa base.
- Si / — 3 a e = 1,10
- l —a £—1,17
- l < a (plaque mince) g = 1,43
- Dans l'application de celte formule aux automobiles, on peut en général prendre g — 1,10.
- S est la surface de la base en mètres carrés et Y la vitesse en mètres par seconde. On voit que la résistance augmente comme le carré de la vitesse et que l’on doit se préoccuper de la réduire en diminuant la surface normale, ou, ce qui est souvent plus facile, en adoptant, une forme extérieure convenable. La vérification de la loi du carré des vitesses a été vérifiée par le commandant Renard, au moyen de son moulinet dynamométrique, jusqu'à ioo mètres par seconde (36o kilomètres à l'heure). Les expériences de traction électrique à grande vitesse de Rerlin à Zosscn ont également, fourni à ce sujet des chiffres très intéressants. Au point de vue de la forme, disons qu'il convient d'adopter le coin parabo-loïdal symétrique (voir figure). Pour montrer l'importance de la forme, il suffit de remarquer la manière dont se comportent les differentes parois que l'on trouve représentées sur la figure. En avant, la paroi plane A refoule l'air suivant un tronc de cône ayant pour petite base utile une surface inscrite dans la paroi et, en différant d'autant moins ([lie cette paroi est plus grande et se rapproche davantage de la circonférence. Dans ce tronc de cône l'air est comprimé à une pression décroissante à partir de l'avant de la voiture et, que l'on a pu mesurer dans les expériences
- Le pneu DUNLOP nivelle la route j
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- relatées plus haut.La seconde forme générale de paroi est 13, ou paroi en coupe-vent, sur laquelle l’air agit obliquement, à la fois par pression et par frottement, suivant deux composantes faciles à déterminer. Le frottement étant négligeable, vis-à-vis de la pression, il y a avantage à diminuer le plus possible l’angle de 13 avec la direction du mouvement. La surface G, parallèle à celle-ci, ne donne de résistance que par le frottement, c’est-à-dire une résis-
- tance très faible. — On retrouve en arrière les mômes surfaces mais disposées en sens inverse. La surface effacée ou fuyante D produit par son déplacement rapide une dépression ou vide qui ne peut être comblé que par l’air environnant dont la vitesse de rapprochement doit être convenablement dirigée et graduée si l’on veut éviter les remous dépensant de l'énergie. On arrive à ce résultat en choisissant pour D une faible inclinaison et en le raccordant avec soin au reste de la surface. Ceci a une importance aussi grande qu’à l’avant de la voiture, et une paroi plane verticale à l’arrière, comme celle représentée par la figure, est la cause d’une résistance appréciable par le violent appel d’air qu’elle produit. C’est pour cette raison que l’on est conduit à donner aux voitures de course une forme éé affinement du genre de celle représentée ici. L’avant est. de préférence formé d’un angle dièdre assez aigu, raccordé à la dimension principale au moyen d'arcs de parabole allongés ; et l’arrière présente une forme à peu près symétrique, devant être au moins terminé par une courbe aiguë, sinon par un angle vif. On comprend en effet que, dans ces conditions, la masse d’air enveloppant la voiture s’ouvre et se referme sur elle à peu près san,s chocs ni remous, et que la masse d’air refoulée par pression et entraînée par frottement dans l'espace entourant immédiatement la carrosserie soit mi ni ma. Ajoutons que ces conditions ne sont pas toujours faciles à réunir, et, qu’on ne les trouve réunies (ou du moins qu’on devrait les trouver réunies) que sur les engins spéciaux. Elles n'en constituent pas moins une indication utile et un facteur de première importance dans la lutte contre la poussière. Les carrosseries remplissant ces condit ions n’en soulèvent pour ainsi dire pas.
- RÉSISTANCE DES MATÉRIAUX.
- — Partie de la mécanique appliquée où l’on
- étudie la répartition et l’influence des forces agissant sur une pièce en vue d’en déterminer les dimensions au point de vue de sa solidité et de sa résistance, sa forme générale étant déterminée par sa fonction et aussi dans certains cas par la nature des matériaux employés.
- RÉSISTANCE ÉLECTRIQUE. — On
- appelle résistance électrique l’opposition (pie mettent les molécules d'un corps à se laisser traverser par un courant électrique. Elle varie avec la nature, la grosseur et la longueur du fil métallique réunissant les deux bornes. — La résistance (symbole : r) se mesure en ohms. — Voir ce mot.
- RÉSISTIVITÉ. — La résistivité ou résistance spécifique est une propriété inhérente à la matière constituant les corps conducteurs du courant électrique. Elle dépend de la composition chimique du corps, de son état physique, de sa température, de la pression, etc. C'est un facteur dont on obtient la valeur en multipliant la résistance électrique du corps conducteur étudié par sa section droite et en divisant le produit ainsi obtenu par la longueur du conducteur.
- RESPONSABILITÉ. — Au point de vue de la responsabilité, les automobilistes sont soumis au droit commun, c’est-à-dire aux mêmes règles (pie les conducteurs de tous autres véhicules ; il n’existe pas de régime d’exception à leur égard.
- Le principe général de toute responsabilité est contenu dans l’article 1882 du code civil : (( Tout fait quelconque de l'homme qui cause à autrui un dommage oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer. »
- 11 appartient à celui qui se plaint et poursuit quelqu’un comme responsable, de prouver la faute de ce quelqu'un.
- O11 répond non seulement de ses propres fautes, mais aussi de celles commises par certaines personnes dont on doit répondre, comme : scs enfants mineurs, son mécanicien ou ses ouvriers dans les fonctions auxquelles on les a employés. (Art. i38/j du code civil.) — Voir Accidents.
- — Responsabilité civile. — Chacun est
- responsable civilement de certaines personnes qui dépendent de lui.
- C’est ainsi que le chauffeur aura à répondre des fautes commises par ses enfants mineurs, ses ouvriers ou son mécanicien, mais, en ce qui concerne ces derniers, seulement s’ils ont commis le fait « dans les fonctions auxquelles ils sont employés ».
- Cette question de la responsabilité civile soulève des discussions de fait et de droit fort délicates et qui donnent lieu à une jurisprudence variée.
- RESSEL, commerce d’automobiles, i/j, strada Carol, à Bukarest (Boumanie).
- RESSORTS (en général).— Un ressort est une pièce élastique dont on utilise la
- Faites lire les
- ELEOIENTS d ’AIITOUOKILE
- à tous
- les Débutants
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- IV E S
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- E S
- flexibilité ou l'énergie accumulée dans sa dé-forma!ion. Un ressort doit satisfaire à la douille condition de supporter la charge normale qui lui est assignée, ce qui caractérise sa forer, et de fléchir d'une quantité donnée sous un accroissement de charge donné, ce qui caractérise sa flexibilité ou sa douceur.
- — Ressort d'embrayage ; tension moyenne (voir Embrayage). — La tension des ressorts qui, normalement, produit l'embrayage, est excessivement variable. Avec les cônes garnis de cuir, elle atteint quelquefois une valeur élevée, en raison évidemment de la puissance à transmettre, mais qui dépend aussi du diamètre du cône et de son inclinaison. Pour des moteurs puissants, la tension dépasse souvent Ôoo kilogrammes.
- — Ressorts de voiture. — La suspension de la caisse sur le train est une question capitale dans la carrosserie.
- Los ressorts de voiture sont faits de feuilles ou lames d'acier cintrées, étagées les unes sur les autres, de tailles décroissantes à partir de la maîtresse.”feuille et, maintenues ensemble, à la partie médiane, par un goujon d'assemblage, et par des éioquiaux, petits ergots destinés à empêcher leur déplacement latéral. Les ressorts sont, placés sur des cales ou tasseaux en bois et maintenus par des brides à écrous qui pénètrent dans les trous dos patins d'essieux ou dans les trous des ferrures de support, ménagées sur la caisse. Les extrémités de chaque lame sont étirées et amincies, sauf les extrémités de la mai-tresse-feuille qui, plus épaisse et. plus longue que les autres, se termine par un rouleau la
- M
- l’i K- 1
- Rkssoiits i>k vonciu;
- B. boulon d’assemblage. — M, maîtrcssc-feuillc supérieure. — N, Maîtresse-feuille inferieure. — B. rouleau. — S, sabot.
- réunissant, au moyen de boulons, soit à une main, directement ou au moyen de jumelles, soit, à un autre ressort au moyen de jumelles ou de menottes.
- -- 11 existe plusieurs types de ressorts : ils peuvent, suivant leurs formes, être à demi-pince t te ^ à pincette, en crosse, etc.
- Le ressort à demi-pincette est, tenu à l’essieu, sur les patins, par des brides à écrous. On conçoit que, si les deux mains étaient
- rigides, le ressort droit serait dans l'impossibilité de jouer son rôle, puisqu'il ne pourrait s’étendre, étant bridé aux deux bouts. JI est donc indispensable que l'une des deux mains soit i\ jumelles, c'est-à-dire articulée de façon à laisser le ressort s'allonger et revenir à sa position première. — Pour donner plus de souplesse à ce ressort, on le réunit souvent à l’arrière, soit par une menotte (sorte de jumelle double) à un ressort à demi-pincette placé transversalement, soit par une jumelle à un autre ressort dit ressort en crosse placé au-dessus de lui.
- Le ressort à pincette est moins usité en automobile ; il est beaucoup plus employé dans les voitures attelées. — La maîtresse-feuille du ressort supérieur se termine par une courbe appelée sabot qui s’engage dans une autre partie recourbée de la maîtresse-feuille inférieure nommée rouleau ; ces deux parties sont réunies par un boulon d'assemblage H (fig. i).
- La flèche d'un ressort est. la hauteur J K (fig. 2) qui sépare une ligue horizontale menée des deux points de suspension du ressort de
- 1
- Fig. a
- Ressoius de vonrm:
- r. Ressorts à demi-pincette. — 2. Ressorts à pincette.— 3. Ressorts en crosse. — B, boulon. — G, goujon.— KJ, llèche. — R, rouleau.
- la partie supérieure de ce ressort la plus éloignée de celte ligne. O11 admet généralement que la flèche 11e doit jamais dépasser le ï/10 de la longueur du ressort.
- Pour être souple et en même temps solide, un ressort doit avoir des feuilles larges,
- s,é Ame Th. botiaux cARRos/sr.rB,LES
- MÉDAILLE D’OR. : Exposition Universelle de Saint-Louis, U. S. A- — à IÆVAI.I.OIS (Seine)
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- K E S
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- R É Y
- nombreuses, peu épaisses, une flèche aussi petite que possible, et le dessus de ses feuilles affectant une forme générale parabolique. Wélagement, c’est-à-dire l'amincissement de l’extrémité des lames et l’épaisseur des feuilles, doit être calculé avec le plus grand soin ; les mains doivent jouer tout à fait librement : l’idéal serait de monter les mains à billes.
- — M. Lemoine a indiqué les chiffres suivants pour la flexibilité nécessaire aux ressorts :
- Voitures légères jusqu’à GüO kilogrammes. — Ressorts avant : ad à a5 m'm par ioo kilogrammes par ressort. — Ressorts arrière : af> à 3o m/m par ioo kilogrammes par ressort.
- Voitures de I 000 kilogrammes. — Ressorts avant: ai à a3 m/m par ioo kilogrammes par ressort. — Ressorts arrière : a!\ à 28 m/in par ioo kilogrammes par ressort.
- Poids lourds et camions. — Ressorts avant, et, arrière : 8 à i5 m/m par ioo kilogrammes par ressort,.
- 11 esj: recommandé pour certains cas, notamment pour les voitures de courses, d’employer dos ressorts en acier mangauo-siliceux, plus légers et plus résistants ; si, en môme temps, on se sert (['essieux creux, on peut, faire gagner à un véhicule automobile une diminution de poids atteignant une soixantaine de kilogrammes.
- — Les ressorts en acier forgé pour la carrosserie, fabriqués à l'étranger, subissent, à leur entrée en France, un droit de douane de: in francs (tarif minimum) ou de 18 francs (tarif maximum), par ioo kilogrammes.
- RETARD A L’ADMISSION. — N’a
- lieu que dans les moteurs à explosions réglés par levée variable des soupapes, celles-ci s’ouvrant en retard, mais se fermant aussi plus tôt. Ce résultat s’obtient en diminuant le temps de passage de la came sur le galet,, en déplaçant entre celui-ci cl celle-là un coin d’épaisseur variable, ou par tout autre moyen. RETARD DE LIVRAISON. — 11
- arrive souvent qu’un constructeur ou vendeur ne livre pas une voilure automobile ou simplement un châssis à l’époque pour laquelle il s'est engagé à les livrer. Si ce retard ne provient ipie du fait du vendeur, l'acheteur a le choix : ou de demander en justice la résiliation de la vente avec restitution de l'acompte qu'il a versé, ou d'exiger sa mise en possession (sauf conventions spéciales préalables).
- De plus, l'acheteur peut avoir droit, si le retard lui cause un pré judice, à des dommages-intérêts.
- RETOUR AU CARBURATEUR. —
- Refoulement du gaz aspiré qui se produit quand, le (liston remontant, la soupape n'est pas encore fermée, ou mal fermée. Le retour au carburateur est souvent, accompagné d’une explosion dans cet appareil.
- RETRAIT. — Diminution de volume que
- subissent pendant le refroidissement les matières fondues, et notamment, les métaux et alliages. Il résulte de ce phénomène qu’une pièce obtenue par moulage sera de dimensions plus restreintes que le modèle qui a servi au mouleur. 11 faut donc tenir compte de ce phénomène et augmenter en conséquence les dimensions du modèle. Le retrait de la fonte est de i o/o, celui de l'acier de a o/o.
- RÉTRÉCIR.— Synonyme de rélreindre. Rélreindre est le terme à employer. On ré-treint l’extrémité d’un tube pour faire un joint de tuyauterie par emboîtage. ; on rétreint au marteau, ou préférablement avec une machine laminant le tube entre un mandrin central et une couronne de galets, etc.
- RÉTREINT. — Se dit souvent d'un châssis qu’on a rétréci à l'avant pour augmenter l’angle de braquage des roues.
- RÉTROPÉDALAGE. — Littéralement le rélropédalagc est, l'action de pédaler en arrière. Quand la rotation des manivelles d’une bicyclette s'effectue dans le même sens que celle des roues, on pédale dans le sens direct', si, au contraire, la rotation s'effectue dans le sens rétrograde, à rebours, on dit que l’on rétropédale.
- Le rélropédalagc a pour avantages : la suppression du temps mort, (résistance qu’opposent les pédales quand, à chaque demi-tour, les manivelles sont à peu près verticales), et l'utilisation d’une façon meilleure et plus rationnelle, des muscles moteurs. C'est, surtout dans le but de rendre plus pratique la montée des côtes, en fournissant un moindre effort, que les bicyclettes à rélropédalagc ont été imaginées. Niais il faut reconnaître que toutes les constitutions ne s'accommodent pas du rélropédalagc «pii, en résumé, demeure assez exceptionnel.
- RETZ (Eudes de), in, rue de Turennc, à Arras (Pas-de-Calais). — Né à Arras, en 1807. Membre de la Chambre syndicale du Cycle et de l’Automobile : expert des Tribunaux. Inventeur notamment d’un carburateur et d’un silencieux qui portent son nom. — Voir Uussenot cl Raynaud, Paris.
- RÊVE (Le), jante démontable. — Voir Comminge.
- RÉVEIL (D émarreur le), 33, rue de Marseille, à Lyon (Rhône).
- REVEL, vernis pour la carrosserie, 5, cour des Petites-Ecuries, Paris. Tel. i3o-a5.
- RÉVERSIBLE ET NON RÉVERSIBLE (Direction, etc.).—U11 mécanisme ou un appareil transformateur d'énergie sont réversibles quand ils sont susceptibles de la transformation de mouvement ou d'énergie inverse de celle pour laquelle ils sont normalement établis. Ils sont, irréversibles ou non réversibles dans le cas contraire. Un exemple de mécanisme irréversible est celui des directions d’automobile à vis et secteur ou vis et
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- R É V — 586 — R É V
- écrou. Le volant déplace la bielle de commande, mais celle-ci ne peut faire tourner celui-là. domine exemple d'appareils réversibles, il faut ciler en première liane les dynamos qui transforment à volonté de l’énergie mécanique en éno.ïgie électrique et vice versa.
- Direction irréversible :
- — Comiot (Ch.)j 87, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris.
- — Diétricii (Lorraine-), 12, avenue de Madrid, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- - 7^lf<lV^. ... —r~\
- ïs&Wpv Y : >iU'M H" •VI
- Direction iiiiiévkhsmle de Dietiucii 1907.
- A. volant de direction. — B, tube intérieur fixe de la direction. — G. tube do la direction. — D, arbre avec vis sans fin. — Et écrou à crémaillère. — F, levier à rolule avec secteurs dentés. — G, butée à billes supérieure. — H, butée à billes inférieure. — 1, écrou de réglage des butées. — J, frein d’arrêt de l’écrou. — K, axe du centre du levier à rotule. — L, rondelle de réglage de Taxe excentré et vis de fixation. — M, bielle de commande du quadrilatère de la direction. — N, ressort amortisseur de la bielle.
- — O, support fixe du carter de la direction. — P, support avec rondelle à crans permettant la variation de l’inclinaison. — (), manette de commande du carburateur. —— R, vis de commande du carburateur.
- — S, tube de commande dû carburateur. — T, renvoi pour la commandeyiu carburateur. — V, bouchon de graissage do la direction. — X, graisseur de l’axe excentré.
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- H E V
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- II E
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- REVUE COMMERCIALE AUTOMOBILE, iO, rue d’Argenteuil, Paris.
- REVUE DE L’ASSOCIATION GENERALE AUTOMOBILE; paraît tous les mois; est remise gratuitement aux membres de l'A. G. A., 8, place de la Concorde, Paris. Tel. 136-43.
- REVUE DES ÉCLAIRAGES, io4, boulevard de Clichy, Paris. Tel. 585-io. — Directeur : M. R. Granjon.
- REVUE DES PUBLICATIONS AUTOMOBILES, 2~, rue Ballu, Paris.
- Directeur : M. Etienne Chiron.
- REVUE DES TRANSPORTS AUTOMOBILES, 2y, quai des Grands-Augus-Iins, Paris.
- REVUE DU TOURING-CLUB DE FRANCE, revue mensuelle, remise gratuitement, aux membres du T. G. 1'., 65, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tel. 545-2^.
- REVUE DE L’INGÉNIEUR, 4 G rue
- de Richelieu, Paris. - Paraît tous les mois.
- REVUE FRANÇAISE DE CONSTRUCTIONS AUTOMOBILES (G. Ma-
- tbière, éditeur), publication mensuelle, 34, rue de Charonnc, Paris. Tél. y33--5.
- REVUE GÉNÉRALE INDUSTRIELLE, hebdomadaire, illustrée, i4, rue du Cardinal-Lemoine, Paris. Directeur : M. G. E. Curinier.
- REVUE INDUSTRIELLE (Lu), publication hebdomadaire, 17, boulevard de la Madeleine, Paris.
- REVUE SPORTIVE ILLUSTRÉE
- (La), publication mensuelle, 26, rue Deloeht. à Bruxelles (Belgique). Tél. 16.
- REVUE TECHNIQUE (La). — Voir Annales Techniques (Les)
- REX-SIMPLEX, automobiles. — Voir llering et Richard (Allemagne).
- REX, moteurs et motocyclettes. - Voir Soyeux.
- REY (A.), motocyclettes, 3o, rue Croix-des-Petits-Champs, Paris.
- REYMOND et Ck\ garage, commerce d’automobiles, y, rue de Lyon, Chalon-sur-Snùno (Saône-et-Loire).
- RHÉAL, produit hydrol'uge pour caisses d'automobiles, y3, rue de la Victoire, Paris. Tél. 202-02.
- RHÉDA (La Marque), carrosserie automobile, 9-, rue Nationale, à Ivrv-Port (Seine).
- Tél. 801-89. Administration : 28, rue Grell'ulbe, à Levallois-Perret (Seine). Tél. 535-48. — Directeur technique cl commercial : M. Th. Bo-tiaux.
- RHEIMS (Edmond), 131, avenue Mala-kolf, Paris. Tél. 5o3-3y. — Né à Paris, en i85o; chevalier de la Légion d'honneur. — Codirecteur de la Maison J. Rothschild cl Fils (Rlieims et Aus-clier, successeurs).'— Membre du Conseil de la Chambre syndicale des Carrossiers.
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- carrosserie d e luxe pour automobiles (ancienne Maison Roi hschi Id cl Fils), 131, avenue Malakoff, Paris. Tél. no3-3y. Adr. tél. Rnihcar-Paris. Société en nom collectif. Maison fondée en 1838. - Usines,
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- raffinerie de pétrole, à Cologne-sur-lc-Rhin (Allemagne).
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- RHÉOMÈTRE (de rhëos, courant, et metron, mesure). — Appareil servant a mesurer les courants électriques. •— ^oir Galvanomètre.
- RHÉOPHORES. - On nomme ainsi spécialement les fils conducteurs qui sont attachés à chacune des bornes d’une pile.
- RHÉOSTAT. — Ap pareil destiné à augmenter ou à diminuer la résistance d’un circuit, en lui ajoutant des spires résistantes plus ou moins nombreuses. Un curseur, glissant sur des spirales de fil de maillechorl ou de l'erro-nickel, augmente ou diminue le nombre de celles que le courant aura a traverser, et par suite la résistance totale du circuit.
- On emploie dans certains cas des rhéos/als à liquide, où la résistance est réglée ^ par l’immersion plus ou moins profonde d’une
- Des Anciens Établissements PANHARD & LEVASSOR
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- I\ Il 0 — 589 — R I E
- plaque de métal ou de charbon dans un bain conducteur (sel métallique).
- RHOMBE. Nom employé quelquefois pour désigner la figure géométrique plus connue sous le nom de losange.
- R. I. B., accumulateurs électriques. —
- N oir Iliyne-Berline, Paris.
- RIBEYROLLES (Paul), 3, rue du Jourdain, Paris. •— Né à Paris, en 183/1. —Ingé-nieur des usines Darracq el Ci0. — Diplômé de l'Ecole des Arts et Métiers de Châlons.
- RIBLONS. — T orme métallurgique désignant la ferraille, les rognures de fer, etc.
- RICBOURG (A.), huiles pour machines, 128, rue de Reuilly, Paris. Tel. 920-00.
- RICE, garage, commerce d’automobiles, 1390. Broadway, à New-York (Etats-Unis).
- RICHARD
- (Emile), carrosserie automobile,
- /j 5, rue Martinval, à Levallois-Per-ret (Seine).
- RICHARD
- (Félix-Max), fii, rue de Rome, Paris.— Ingénieur. Chevalier de la Légion d'honneur. — Ancien président de la Chambre syndicale de l'automobile ; expert près le Tri-.M. K.-.Max 111 eu a un bunal civil. Fon-
- dateur de l’A. C. A.
- RICHARD (G eorges), ingénieur, 108,
- rue Saint-Maur, Paris. Télépli. y4o-3o.
- — Né à Paris, eu iSG3. Olïicier d’Académic. — Directeur de la Société des Automobiles Unie. (voir Unie). — Fondateur, en 189.3, des Cycles Georges Richard , devenus en 1896 la Société des Etablissements Georges Richard.
- RICHARD
- (Voitures Georges ). — Voir
- Unie (Automobiles).
- RICHARD (Jules), successeur de Richard Frères, manomètres, compteurs de
- M. tucouuus Richaud
- tours, appareils enregistreurs, vérascopes, 20, rue Mélingue, Paris. Tél. /|kj-G3, el 10, rue Halévy, Paris.
- RICHARD ( R.), moteurs, 13, rue Blat-tin, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- RICHARD (Soci été des Anciens Etablissements Georges Richard), voitures Brasier. — Voir Trèfle à Quatre Feuilles.
- RICHARD-BRASIER, automobiles. — Voir Trèfle à Quatre Feuilles.
- RICHARD et Ci0, montres et accessoires pour automobiles, 34, boulevard Voltaire, Paris. Tél. 980-22.
- RICHARDSON Frères, fabrique de tubes sans soudure pour automobiles, Vu rue Désirée, à Lyon (Rhône).
- RICHE (Ed.), estampage de pièces détachées pour automobiles, 1, rue Abel, Paris. Tél. 928-63.
- RICHEMOND (Emile), 88, boulevard Malcshcrbcs, Paris. — Président de la Société Industrielle des Téléphones et de la Société Anonyme des EtablissementsWeyhcr cl Richemond.
- RICHEMOND (Philippe), h, rue Edouard-Detaille, Paris. — Né a Paris, le 2 avril 1 8 G 9 . — A <1 —
- ministrateur de la Société Industrielle des Téléphones ; président et adminis-t r a t e u r -délégué de la Société des Au t o ni o b i l e s ! Ader.
- RICHE-
- | MOND(/’ic»tc),
- /|9 , rue Ampère,
- Paris. Administrateur - délégué de la Société A no-riyme des Etablisse m e 11 l s Weyher cl Richemond.
- RICHES and C", accessoires, appareils ! d’allumage, 19, Store Street, Tottenham Court J Road, à Londres (Angleterre). Tél. 23.84 Ger-i rard. Adr. tél. Plaxinesco-London.
- J RICHTER(G.1,tubes en étain, 20, faubourg I Saint-Georges, a Nancy (Meurlbc-ct-Moselle).
- RICOCHETS (Les), bateaux hydroglisseurs, construits par P. Bonnemaison, rue B01-: din, à Sartrouvillc (Seine-el-Oise).
- RIÉGEL (Eugène), 4, avenue des Bruyères, à Bécon. — Né à Paris, le !\ février 1834. Directeur de la Maison Henri Lubourdelle, carrosserie automobile.
- RIEMANN (Herm.), fabrique de phares, à Chemnitz-Gablcnz (Saxe).
- p“)fe La Préface & fioles Importâmes du présent volume
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- Il l E — 5()o — Il I U
- RIEUL Frères, produits chimiques, piles “Leblond”, 5o, rue des Ecoles, ' Paris. Tel. 807-73.
- RIFLARD. — Mot employé pour désigner soit un grand rabot., soit une forte/fuie, qui sont employés, l'un à dégrossir des pièces de bois, l'autre des pièces métalliques.
- RIFLOIR. — Lime dont l’extrémité est recourbée pour pouvoir travailler les parties
- Un îui'Lom
- creuses dans lesquelles une lime droite ne pourrait pénétrer.
- RIGAL, 1 mile minérale.—Voir Juillet (L.).
- RIGAL (Le), lève-auto. — Voir Conlel (II.), fabricant ; et Tilus-Poshna, représentant.
- RIGAL (Victor), 11, rue Saint-l’argcau, Paris. — Né à Paris, le 22 septembre 1879. Coureur réputé.
- RIGAULT, garage, commerce d’automobiles, 8, rue de Paris, à Joinville-lc-Pont (Seine).
- RIGIDIUM (Société Nouvelle du), fonderie d’aluminium, rue de l’Industrie, à Courbevoie (Seine). Tel. )3.
- RIGOLE. — On a toujours soin, en mécanique, de ménager sur la surface des paliers, portant, des arbres, des rigoles peu profondes et peu larges, dans lesquelles peut circuler l'huile de graissage : ces rigoles sont ordinairement désignées par la dénomination de pattes d’araignée.
- RIGOLEY, garage, commerce d'automobiles, 10, rue de la Paix, à Troyes (Aube). Tel. 5-o5.
- RIGOLY (Louis-Emile), i3 quai de
- Houlogne, à Bou-lognc-sur-Seinc. — Né à Cliamcs-son-sur-Seine, le 29 février 187b. Chevalier du Mérite agricole. — Chef de service technique à la Maison Gobron-Brillié.— Débuta dans l’automobile en 1897 ; a gagné de nombreuses courses. — Médaille d argent à l’Exposition 1900 (Section des Moteurs).— Baguant de la Coupe d’Auvergne, 1906.
- RIGONDET, garage, commerce d’automobiles, 79, route de Cusset, à Vichy (Allier).
- RINGELMANN, dii ectcur du Laboratoire d'Essais du Ministère de l’Agriculture, /|7, rue Jenner, Paris. — Chevalier de la Légion d’honneur.
- RION Fils, commerce d'automobiles et de cycles, 18, rue Jcannin, à Aulun (Saône-et-Loire).
- RIOTOR (L éon), 2(1, quai de Béthune, Paris. — Né à Lyon, le 8 juillet 1 865. —
- Homme de lettres. — Président du Cercle des Arts, syndic de la Presse artistique. — Officier de l’Instruction publique, chevalier du Mérite agricole, etc. —
- Lu des premiers poètes français qui ait fait son Tour de France en automobile (1896). — Sports-mari fervent, cyclisme, automobilisme, ballons, équitation, etc. — Collaborateur aux Sports.
- RIOTTEAU et GOUDEAU, commerce d’automobiles et de motocyclettes, à Latillé (Vienne).
- RIOU, commerce d’automobiles et de cycles, à Joncquières (Vaucluse).
- RIPAGE. — Ce terme définit spécialement l’accrocbage des roues motrices ou directrices d'une voiture par des rails, rails de tramways généralement, ce qui annihile ou contrarie la direction d'un véhicule.
- « Contrairement au dérapage, la Cour de Cassation a admis le ripage comme « force majeure » mettant, le chauffeur hors de cause si l’accrochage par les rails se trouve suivi d'accident ». — Voir Dérapage.
- RIPOLIN (Le), peintures laquées pour carrosserie et garages, 7, place de Valois, Paris.
- RISACHER et HÉBERT, graisseurs, 58, boulevard Pasteur, Paris. — Tel. 708-25.
- RISPAL et TREMEAU, laitons et bronzes, i/|, impasse Truillot (88) boulevard Voltaire), Paris. —Tel. gu-83.
- RITTENHOUSE GARAGE , commerce d’automobiles, 216 S., 23'1 Street, à Philadelphie (Etats-Unis).
- RITTER et C'°, piles sèches, 8, rue Rochechouart, Paris.
- RIUNITI, garage, commerce d’automobiles, iG, corso Massimo d’Azeglio, à Turin (Italie). — Nombreuses succursales en Italie.
- M. Hic.oly.
- [Automobiles BENZ, à Mannheim]
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- Il 1 V
- H I V
- i —
- RIVALTA et Ciô (Galeries Aulomo-tnies), commerce d’automobiles, 20, me Brunei, Paris. Tel. 58<j-23.
- RIVERO, commerce d'automobiles, General Castanos, i5, à Madrid (Espagne). — Succursale à Barcelone.
- RIVES {Gustave), 122, avenue des Champs-Elysées, Paris. Tel. oio-o/j.. — Né à Saint-Palais, le iG septembre 1808. Officier de la Légion d'honneur, de l'Instruction publique, du Mérite agricole, etc. Architecte en chef des Batiments civils. Expert près la Cour d'appel et le Tribunal civil de la Seine. Membre du Conseil d'administration de l'A. C. F. ; vice-président de l'A. G. A. ; membre du Comité de l’Aéro-Club, des Comités techniques du T. C. F., etc. Président
- du Comité d'or-
- M. G. Kiyks
- g a n i sa tio n des Expositions d'automobiles ; commissaire général des Salons de l'Automobile, depuis 1898.
- RIVET. —
- Tige cylindrique terminée à ses extrémités p a r deux têtes enserrant les pièces à réunir (fig. 1). Une tète existe à l’avance, et le
- rivet est introduit dans son logement ; après quoi 011 écrase ce qui dépasse de la tige pour former l’autre tète (fig. 2). Le rivet est. posé à chaud ou à froid suivant sa dimension. Les petits rivets en fer ou en acier et les rivets de cuivre se posent à froid. On commence à écraser la tète au marteau et on pare la rivurc au moyen d’une boulerolle, sorte de poinçon dont l'extrémité est évidée suivant la forme de la tête du rivet. On tient
- t 1
- < •-
- Fig- 1 Fig. 2 Fig. 3
- le rivet par-dessous en le posant sur un tas pesant qui amortit le coup, et l’on frappe sur la boulerolle au moyen d'une masse en terminant la rivurc le plus vite possible. Si celle-ci est bien serrée, une bamire existe autour de la tête refoulée, sinon on peut craindre qu’il y ait manque de métal et que le ri-veCrempiisse mal son trou et ne serre pas les
- pièces à réunir. La figure 3 montre un rivet à tête fraisée employé dans la construction soignée ; la forme de sa tele est dite en goutte de suif ; la tele refoulée de la figure i est une tète conique.
- La matière et la forme du rivet ont une importance capitale dans la confection dos antidérapants.
- — Beau et Ci,;, rivets pour antidérapants, 171, cours Balayette, à Lyon (Rhône).
- — Bughillet et Cio, rivets pour antidérapants, /j~, rue Saint-Ferdinand, Paris.
- RIVIÈRE (Manufacture), toiles spéciales pour pneumatiques, à Rouen (Seine-Inferieure) ; et 3o, rue des Petites-Ecuries, Paris.
- RIVIÈRE {Paul), — Né à Paris, en février 18^4• — Secrétaire général de ht Société Française des Etablissements Mieusset, à Lyon. A remporté de nombreux succès eu courses automobiles.
- RIVIÈRE et C10, garage, commerce d’automobiles, 107, rue Grande, à Pacy-sur-Eure (Eure).
- RIVIÈRE Fils, freins pour automobiles, 3, rue du Chevaleret, Paris.
- RIVIERRE (Gaston), 7, boulevard de la République, à La Garenne-Colombes (Seine). — Né à Asnières, le 3 juin 18G2. — Administrateur de la Société du Moyeu G. ïiivierre. —
- Ancien élève de l'Ecole militaire de Saint-Cyr. —
- Construisit le premier tandem d'entraînement à 2 moteurs ; fit de nombreuses inventions mécaniques pour l'automobile, entre autres, le moyeu qui porte son nom,
- RIVIERRE
- ( M 0 y eu), l\ o, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél. SGi-^i.
- RIVOAL, ressorts à boudins, l\7, boulevard de Belleville, Paris. Tél. 935-09.
- RIVOIR. — Mail eau servant à river, à battre les collets des tubes en laiton et à
- travailler au burin de petites pièces mécaniques.
- SOCIÉTÉ DES ANCIENS ÉTABLISSEMENTS ADER, Ltd
- Æ™ VOITURES 4 CYLINDRES VERTICAUX T»
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- RIVORY et JOLY, tubes on acier sans soudure, pièces estampées, rue ale la Méditerranée, à Lyon (Rhône).
- RIVURE. — Assemblage par rivet. Les rivures se l’ont suivant un grand nombre de dispositions que nous ne pouvons décrire ici. .Nous dirons seulement qu’on appelle en chaudronnerie une rivure à clin celle où une tôle A
- Fi.u i
- se superpose par une rivure à une autre tôle B (lig. i). Quand les tôles doivent se trouver dans le prolongement l'iuio de l’autre (chaudières à vapeur), ou emploie la rivure à bords relevés (lig. a). Quand les tôles al’lleurcnt sans se superposer, on emploie la rivure à couvrc-joint simple ou double.
- La ligure représente une rivure à double couvre-joinl. : A et B senties tôles à réunir, C les couvre-joints et 1) l’axe des lignes de rivets. Au point de vue général de leur destination, on distingue les rivures fl’assemblage (constructions métalliques) et les rivures A' étanchéité. Les premières doivent satisfaire aux condit ions de résistance voulues. Les secondes aussi, mais, eu outre, à la condition d’étre étanches; on y parvient en serrant fortement les tètes (rivetage à la presse hydraulique), en employant des rivets très rapprochés entre lesquels la tôle ne peut se gon-
- doler, et surtout, au moyen du matage. Les lûtes sont chanfreinécs, à la meule ou à la raboteuse, avec une inclinaison d’environ 3o° et, après assemblage, on mate la ligne de joint avec un maloir dont la ligure i montre ia forme. Dans la grande construction on se sert de matoirs pneumatiques, frappant f\ ooo à (i ooo coups à la minute, et, tenus à la main par une poignée contenant le mécanisme de distribution et la soupape d’arrêt. Ces appa-
- reils sont reliés à la canalisation par un tube llexible (caoutchouc cerclé d’acier).
- R. L. T. (Moteurs à deux temps). — Voir Legros (René), à Fécamp.
- R. M., radiateurs. —Voir Ramier et Mau-berqué.
- ROADSTER. — Nom par lequel ou désignait autrefois les machines cyclistes de route, par opposition avec les machines de course, appelées racers ou semi-racers suivant leur poids.
- ROB - ECLIPSE . phares à veilleuse,-éclipse. — Voir lions, Rodrigue s et C"\ Paris.
- RO B ART, garage, commerce d’automobiles, 70, rue Frédéric - Petit,, à Amiens (Somme).
- ROBERT (Cl.), réparations d’enveloppes et de chambres à air, i/|, passage Moitricr, à Lcvallois-Perret (Seine).
- ROBERT (Octave), né à Chàtelleraull, le :i3 mai 1809. - Administrateur-directeur des
- Ateliers du Fu-ran (AnciensEtablissements ,lus-sy), à Sl-Etienne (Loire). -— Capitaine d’artillerie* démissionnaire.—
- Elevé dans les ateliers de l’Etat, m a n u fa dures d’armes, ateliers de construction, service des forges, etc. Inventeur de nombreux et importants appareils. — Rentré dans l’industrie depuis njoa. — AI. Octayi: Rimtur.
- A, par son activité et ses connaissances techniques, complètement, transformé les moyens de production de la Société des Etablissements de Jussy, devenus les Ateliers du Fur an.— Construction de tri-cars, pièces détachées, décolletage, etc.
- ROBERT-INSTRUMENT CP, fabrique d’appareils de mesures électriques, 08, Shciby Street, à Détroit (Michigan), Etats-Unis.
- ROBERTY, accessoires pour automobiles et cycles, 115, rue de Rome, à Marseille (Bouches-du-Rhône). Tél. 31 -68. Adr. tél. Robert y-Cyctes-Marseille.
- ROBIDA (Léo), in, route de la Plaine, au Vésinct (Scinc-et-Oise.) — Né à Paris, en 1879. — Ingénieur des Arts et Manufactures ; ingénieur de la Compagnie générale de Distribution d’énergie électrique.
- [Société anonyme des Automobiles de la DIIID ET
- LYON jQ DUlnCi
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- ROBIN, construction de moteurs, de canots automobiles et d'hélices, G, rue llaxo, Paris. Tel. ge/j-oi.
- ROBINET DE DÉCOMPRESSION.
- — Petit robinet situe sur la tête (partie supérieure) des moteurs de motocycles par lequel, lorsqu’il est ouvert, s’échappe, au moment de la mise en marche, l’air ou le gaz chassé par le piston.
- Ce robinet est en même temps très utile pour pouvoir verser de temps en temps par son orifice quelques gouttes de pétrole destinées à " décoller ” les segments du piston.
- Dans les moteurs de grande puissance, la décompression n’est pas obtenue au moyen d’un robinet, mais au moyen d’une ou plusieurs cames qui soulèvent légèrement les clapets d’échappement, au moment de la compression, pendant la mise en marche.
- ROBLIN, garage, commerce d’automobiles, G, faubourg Bretonnière, à Beaunc (Côte-d’Or).
- ROBLOT (S imon), “frein-pince” Roblot, 2q/|, avenue de Saxe, à Lyon (Rhône).
- ROBUR {Moteurs), i, rue Saint-Georges, Paris.
- ROCH BRAULT et DEGRAIS,
- commerce d’automobiles, garage, 3o, place Saint-Ferdinand, Paris. Tél. 537-0/1.
- ROCHAS {Beau de). — Inventeur du « cycle à quatre temps )) employé presque exclusivement, à l’heure actuelle, pour les moteurs à explosions. Son brevet, datant de 18G2, était un mémoire scientifique intitulé : « Nouvelles recherches sur les conditions pratiques d'emploi de la chaleur. »
- Dans ce brevet, il dit qu'il faut :
- i° Que le cylindre ait le maximun de volume sous le miiiimun de surface ;
- 20 Que le piston ait la plus grande vitesse possible de marche ;
- 3° Que les gaz soient détendus le plus qu’on peut le faire ;
- 4° Qu'ils aient la plus grande compression initiale.
- Beau de Rochas propose, pour réaliser ces principes, de construire un moteur possédant les qualités suivantes :
- i° Aspiration du mélange pendant une course entière du piston ;
- 20 Compression de ce mélange pendant la course suivante ;
- 3° Inflammation, explosion et détente du mélange pendant la troisième course ;
- 4° Refoulement des gaz brûlés au dehors, pendant la quatrième course.
- C’est le cycle à quatre temps utilisé d’abord par Rouard et Otto et adopté ensuite par presque tous les constructeurs de moteurs. C’est le seul système, ou à peu près, utilisé par les constructeurs d'automobiles.
- ROCHE, garage, commerce d'automobiles, 2G, boulevard Louis-Blanc, à Limoges (IIaute*Yiennc).
- ROCHE {Hughes), ingénieur, fabricant de moteurs à gaz et à pétrole, 12, rue Thiers, à Grenoble (Isère),
- ROCHE {J .), graisseurs et pièces détachées, 33, rue de Buzenval, Paris. Tél. 920-24.
- ROCHE-GRAND JE AN, moteurs électriques, 27, boulevard de la Chapelle, Paris. Tél. 423-42.
- ROCHER, bougies d'allumage, 80, rue Raynouard, Paris.
- ROCHER, garage, commerce d'automobiles, 5, avenue de la Gare, à Bourges (Cher).
- ROCHESTER {Jantes en bois). — Voir Pinchon {L.).
- ROCHESTER ELECTRIC MOTOR
- C°, construction de moteurs électriques et à pétrole, 10, Frank Street, à Rochester (N.-Y.), Etats-Unis.
- ROCHET. — On appelle roue à rochet une roue dont la périphérie est taillée en dents de scie dans lesquelles vient s'engager le bec d'un chien ou d'un cliquet qui sert soit à la faire tourner en prenant une ou plusieurs dents à la fois, soit au contraire à la retenir. C’est sous la forme de ce dernier dispositif que la roue à rochet est employée comme béquille dans certains types d’automobile.
- Le premier dispositif, très employé en mécanique, est utilisé en cyclisme pour commander la roue dite roue libre et en automobile pour actionner de nombreux graisseurs automatiques. — Voir Cliquet.
- ROCHET, cycles et motocyclettes, à Albert (Somme) ; et 23, avenue des Champs-Elysées {II. Petit et Cle), Paris. Tél. 5i2-5().
- ROCHET, garage, commerce d'automobiles, 70, rue du Temple, à Auxerre (Yonne).
- ROCHET, garage, commerce d’automobiles, io4, cours Gambetta, à Lyon (Rhône).
- ROCHET {Edouard), Go, rue de Mont-chat, à Lyon (Rhône). — Aé à Lyon, en 18GG. —
- Ingénieur, administrateur - délé -gué de la Société Hochet et Schneider, Ltd.
- — Un des fondateurs de la grande industrie lyonnaise de l'automobile.
- ROCHET et SCHNEIDER,
- Ltd. — Usine et bureaux: 07et09, chemin Feuillat, à Lyon (Rhône).
- Tél. 11-74* Adr. tél. Rochncidcr-Lyon.
- M. Hochet
- ( AUTOMOBILES rochet-schneider: * LYON *
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- Coupi';-Ca.b Rochkt-Schneidkr type 1907.
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- Siège social : Bassishaw llouse, 70 Basinghall Street, à Londres (Angleterre). — Tel. 11-02/1. Central.—Adr.tél. Kilcrone-London.— Société Anonyme fondée en 189G ; capital : £ 3oo 000.
- — Membres du Conseil d’administration : MM. Boussand, E. Belly, Godinet, Ilorwath, Ed. Hochet, Th. Schneider, Zaliropulo. — Directeur administratif : M. Charles Jobez ; directeur technique et administrateur-délégué : M. Edouard Hochet ; directeur commercial : M. Eldin. — Construction do voitures automobiles de îfi et 20 IIP, à cardans, de 3o, /|0 et 70 IIP, à chaînes (à t\ et à 0 cylindres).
- — Une de nos marques les plus estimées.
- Agents de la Société Rocket et Schneider, Ltd:
- l)ih-Ai\TEMiïNT.s. — Bordeaux (Gironde) : MM. Alfred Léon et Ci0, 3a, cours du Jardin-Public; Marseille (Bouches-du-Hhône) : MM. Arène et Barthélemy, 8 et 10, rue du Muguet; Paris (Seine): M. IL de la Fresnaye, 15, rue du Débarcadère : Toulouse (1 haute-Garonne) : MM. Boussac, Fonlan, de Sambucy, 3a, rue de la Dalbadc.
- Etranger. — Genève (Suisse) : Société Perrot, Duval et Ci0, 8,rue de Hesse; La Haye (Hollande): MM. Englcbcrt et Clc, François Yalentijnstraat 88 c/d ; New-York (Etats-Unis): Auto lmport et C°, 178(1 Broadway; Strasbourg (Alsace): M. E.-E.-G. Matliis Automobiles; Toulouse (Haute-Garonne) : MM. Ifontan, de Sambucy, 3a, rue de la Dalbadc, représentants pour l'Espagne.
- ROCHETTE, garag e, commerce d’automobiles, !\t\, rue Mazel, à Verdun (Meuse).
- RODAGE. — Le rodage est une opération qui a pour but d’obtenir un contact parfait entre deux pièces mécaniques, résultat qui est acquis en les frottant longuement Tune sur l’autre, soit à sec, soit, le plus souvent, en interposant entre elles de la poudre d’un corps dur destiné à user les petites aspérités de leur surface, tel qu’émeri, (lierre ponce, etc., mouillés d’eau, d’huile ou de pétrole.
- RODDY, vêlements de sports, 2, boulevard des Italiens, Paris. Tel. 268-00.
- RODER. — Action de rendre intime lo contact do deux surfaces en les usant mutuellement au moyen d’une poudre mordante.
- RODOIR. — 0 ulil, généralement en cuivre rouge, en plomb ou même en bois, qui sert à agrandir, à polir, à rectifier, etc., les trous pratiqués dans les pièces trempées ou cémentées.
- Pour s’en servir, on monte le rodoir sur un tour ou sur une machine spéciale, appelée rôdeuse, qui lui imprime un mouvement de rotation très rapide, après que cet outil a été enduit de poudre d’émeri mélangée avec de l’huile ; on obtient ainsi une sorte de lime qui agrandit facilement l’alésage à rectifier.
- RODRIGUES {Jacques), de la Société -Iriès, /|0, rue de Berlin, Paris.
- RODRIGUES-ELY {Camille), fi-, boulevard de Charonne, Paris. — Né à Bayonne, lo 5 mars 1851. — Chevalier de la Légion d’honneur. — Ingénieur (Ecole Polytechnique 1870). — Associé de la Maison Boas, Rodrigues et C'*-
- ROEVENS, fabrique de cylindres, pistons, moteurs, 90, boulevard de Ménilmon-tant, Paris.
- ROG, chaînes. — Voir Roger-Durand.
- ROGER, garage, commerce d’automobiles, 6, rue d’Auray. à Vannes (Morbihan).
- ROGER-DURAND, ch aînés Rog, radiateurs, pièces détachées, 5, boulevard Beaumarchais, Paris. Tel. 270-09.
- ROGER et ABEL, garage, commerce d’automobiles, fi, rue l’élix-Faure, à N’evcrs (Nièvre).
- ROGER et BENOIST, phares et lanternes, 199, boulevard Péreire, Paris.
- ROGER-REVIÈRE. — Voir Vexin {Agence Automobile du).
- ROGERS (R.) et Ci0, 1, rue Saint-Georges, Paris. Tél. 12/1-28. Adr. tél. Rog-locsl-Paris. — Maison fondée en 1889. Directeur technique : M. W. Hogers, ingénieur civil. — Carburateur « Sthenos » à alcool, à essence, à pétrole lampant ; moteurs pour automobiles ; magnétos à bougie ; outillage général pour automobiles ; radiateurs.
- ROLLAIN-CHAMARY et Ci0, piles et accessoires, 128, rue du Bois, à Levallois-Pcrrct (Seine).
- ROLLAND, carrosserie automobile, fabrique do roues, 9, rue Wattcau, Paris. Tél. 808-27.
- ROLLAND, vannerie pour automobiles, 24, rue Pierre-Lcseot, Paris. Tél. 292-/11.
- ROLLAND et PILAIN, construction d’automobiles et réparations. 90, rue Victor-Hugo, à Tours (Indre-et-Loire).
- ROLLEPOT (De), secrétaire-général de l’Automobile Club de France, G, place de la Concorde, Paris.
- ROLLET et C10, accessoires (tour cycles et automobiles, G7, avenue Parmentier, Paris. Tél. 926-27. Adr. tél. Rollello-Paris.
- ROLLIER, garage, 184, avenue Daumes-nil, Paris. Tél. 921-06.
- ROLLING, châssis. — Voir Dupressoir, à Maubeugc.
- ROLLS and C°, construction d’automobiles “ Bolls-Boyce ”, 1/4, Conduit Street, à
- Londres (Angleterre).
- ROMA (Socielà di Automobili), construction d’automobiles, fifi, via Due Macelli, à Home (Italie). Tél. 8/1-87. — Usines : 233,
- MMobjles^roch ET-SCH N El DER-lüïïL
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- via Klaminia. Société Anonyme an capital de 3 millions de lires. '
- ROMEU (Porc), commerce d'automobiles, 335, Corcega, à Barcelone (Espagne).
- ROMPU. — Mot employé par quelques mécaniciens pour désigner le vilebrequin d’1111 moteur.
- RONDELLE. Lorsqu'on serre un
- écrou sur une pièce, on doit toujours placer
- I IonDKi.le OUDIN
- une rondelle métallique entre l’écrou et la pièce mécanique. La rondelle, par sou élasticité. tend à assurer le maintien de l’écrou
- en le repoussant contre les filets parmi ell'ct inverse de celui que produit le contre-écrou; elle a encore pour résultat très réel d’aider le serrage de l'écrou sur la pièce qu’il doit
- Contre écrou
- Kilt. «
- Itnsmai.i: n’iUmor
- maintenir en empêchant (par sa surface lisse) l'écrou de gripper sur cette pièce.
- Ou emploie très souvent, en automobile les rondelles Grorer qui sont, fendues et épais-
- ses et assurent par leur grande élasticité et leurs extrémités aigues un excellent lixage des écrous.
- —L’embrayage à rondelles, ou à disques, ou à plateaux (voir page suivante) est très employé en 1905. La rondelle 11'a ici rien de commun, si ce 11’csL une vague apparence, avec la rondelle de serrage. C'est, une feuille ronde de tôle d’acier dur, d’environ 3o centimètres de diamètre. (Pour son emploi dans ces embrayages, voir le mot Embrayage.)
- RONTEIX, avant-trains, 3o, avenue de Sainl-Ouen, Paris.
- ROPIQUET, bobines et bougies d’allumage, 21.4. r. Jules-Barni, à Amiens (Sommet. — Adr. tel. Piopiquel-Elcclricité-Amiens.
- ROQUES, garage, commerce d’automobiles, 2, rue de l'Opéra, à Nice (Alpes-Maritimes).
- ROSE (Louis), carrosserie automobile, 2,3, r. Fonlaine-St-Georges, Paris. Tel. 2(i5-yy.
- ROSE MOTOR WORKS , commerce d’automobiles, à Norlhallerlon (Angleterre).
- ROSE-MOUSSE, savon spécial pour chauffeurs. - Voir Juillet. (Léon).
- ROSENGART Fils, tournage et décolletage, 85, rue des Amandiers, Paris. Tél. q/|5-10.
- ROSENMULLER, fabrique de compteurs et d’enregistreurs, à Dresdcn (Allemagne).
- ROSFELDER Frères, accessoires pour automobiles, 4 G, nie Paradis, Paris.
- ROSSE Frères, capotes de voilures, à 1 Ire Leu i 1-s u r-11 o 11 (Eure).
- ROSSEL (F.) et C'°, construction de châssis et de moteurs, à Sochaux, par Montbéliard (Doubs). Tél. 0-7/1, Montbéliard. Adr. tel. Aulorossel-Monlbéliant. Société en commandite, fondée en iqo.3. —- Agents : Suber-bie (L.), 18, rue (iodot-dc-Mauroi, Paris ; et The liosscl Company oj America, Knieker-hockcr Building, 39 th. Street, à New-York (Etats-Unis).— Châssis f\ cylindres de 22, 28. 4o et Go HP, cl de 6 cylindres de 3o à 80 IIP: moteurs séparés.
- ROSSET (Charles), avocat à la Cour, 18, rue Sponlini, Paris. Collaborateur judiciaire à O milia.
- ROSSMANN, pneumatiques, 38, r. Chariot, Paris. Tél. 219-2G.
- ROSSY, garage et vente d’automobiles, 2!\ 1, avenue Daumesnil, Paris. Tél. 921-99.
- ROTATION. — Mouvement d'un corps dont, tous les points décrivent, des circonférences. Le centre commun de ces circonférences est le centre de rotation.
- f Châssis 4 El 6 Cylindres ROSSEL ]
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- La vitesse angulaire définit le mouvement de rotation si l'on connaît la trajectoire, c'est à-dire le rayon de la circonférence décrite.
- ROTAX, moyeu.— Voir txeiccnberg (/A/.), Paris.
- ROTHSCHILD
- {Baron Henri c/e), docteur en médecine, bd, rue du Faubourg-Saint-Uonoré, Paris. Tél.
- 10()-iP|.
- ROTHSCHILD et
- Fils (Anciens Etablissements), carrosserie automobile de grand luxe.—Voir Ilbeims et A usc/ier (successeurs).
- ROTHSCHILD et Fils (Carrozeria Ita-liana), carrosserie automobile, j/j-, via Madame Cristina, à Turin (Italie). Société Anonyme, au capital de i ooo ooo francs.
- EmCRAYACE A RONDELLES 1)KS VOITURES LlÉMENT ET GlADIA’IOR, TYPE I<JOy.
- B, boîte extérieure. — C, disque d’appui. — E, encoches pour le logement des rondelles. — 1), col dans lequel est logé le ressort d’embrayage.— tenon. — bb\ butée. — c# oriiiee de graissage. — /', écrou de réglage.
- 9mntsi
- 696
- Kmijrayaoe a rondelles des voitures Clément et Gladjator.
- (Les pièces constitutives sont démontées).
- L, les rondelles assemblées. — D, douille. — E, encoches. — H, rondelle colé moteur. — S, ressort. — V’, surface de liaison avec le moteur. — Z, rondelle côté boîte des vitesses.
- ROTOR. - Partie mobile d'un moteur à courant alternatif asynchrone. Le rotor se meut à l’intérieur du stator.
- ROTULE.—Pièce d'articulation dont l'extérieur est tourné suivant, une surface sphérique et. qui se prête à un déplacement de sens quelconque. On tourne à rotule l'extérieur des coussinets des paliers à rotules, employés pour faciliter le montage quand la ligne d'arbre est susceptible de déformation. La figure montre l'extrémité à rotule d'un levier de direction pour automobile. L'effort est reçu par deux coussinets sphériques, entaillés pour laisser passer le levier, et. constamment pressés par un ressort qui sup-primcle jeu au furet à mesure de sa production. L’axe du lcvic
- fi* CLÉMENT
- a fait ses preuves au
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- Vaines : PRÉ-SAINT - SERVAIS
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- K ü U
- peut prendre une inclinaison variable sur le levier de commande, ce qui ne pourrait être
- I.’nk iiotclf. nr. dikkction
- obtenu (pie par l'emploi d'un joint universel en l’orme de cardan, dont l'ensemble serait beaucoup plus compliqué.
- ROUBLE (Nouveau) . — Monnaie russe d'argent, pesant 20 grammes et valant !\ francs.
- ROUCAIROS, gavagei commerce d’automobiles, bout, du Musée, Carcassonne (Aude).
- ROUDET (Paul), ventilateurs, au, rue Roussellc, à Puteaux: (Seine).
- ROUE (de véhicule ; métal ; bois ; à disques emboutis ; roue serve, morte, motrice, directrice, élastique). — Les roues de véhicules sont des disques circulaires, percés en leur centre d'un trou traverse, par la fusée d'un essieu solidaire du véhiculé et servant à déplacer ce dernier par roulement. Les roues sont, constituées par une jante circulaire roulant sur le sol et réunie au moyeu par des rais en métal ou en bois.
- Les roues à rayons métalliques sont des roues à rayons tangents, du type bicyclette, dont, la construction est tellement connue qu'il n’y a pas lieu d'insister. Les roues en bois sont plus résistantes, notamment, aux chocs qui ébranlent et disloquent. les roues métalliques. Les progrès de la fabrication des pièces embouties ont permis de créer des roues Formées de deux disques lenticulaires en tôle, accolés par leur circonférence et rivés au moyeu en acier, ainsi que cela existe pour des poulies. Ces roues sont, les roues à disque.
- Leur emploi ne sem-
- ble pas se répandre beaucoup, malgré des avantages réels. D’autres roues embouties ont des rayons séparés, Formés par des bras enlevés dans les deux disques, accolés et raidis par une nervure emboutie; ces roues sont plus légères et plus esthétiques que les précédentes. — Voir Arbel.
- — Diétiuch (Lorraine-), 12, avenue de Madrid, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Forges de Douai, roues A rbel, 52, boulevard llaussmann, Paris.
- — Puruey, roues pour poids lourds, 21, boulevard J.-J. Dose, à Bordeaux (Gironde).
- — Carrossage. —Les essieux d'un véhicule doivent, ou devraient, avoir toujours du carrossage (voir ce mot). L’emploi des chaînes dans la transmission empêche qu’on puisse leur en donner autant qu’il le Faudrait. L'emploi des cardans empêche qu'on puisse leur en donner du tout. Cependant., en 1903;, plusieurs maisons telles que La Buirc, Standard, Ilnpid, etc., ont adopte un essieu arrière à cardans et à carrossage; elles emploient un din'érenficl à pignons de grandeurs inégales qui permet l’inclinaison des arbres du dill’é-rentiel. — Voir figure.
- — Roue serve. — Se dit d'une roue asservie, c’est-à-dire embrayée, dans une bicyclette à roue libre, par exemple, quand l'asservissement est non pas automatique, mais obtenu par une commande mécanique.
- — Roue moitié.
- rendue Folle.
- Se dit d'une roue libre
- M, cardan. — II, boîte. — P O, pignon et roue de commande de la roue droite.— <„>’ P’, pignon cl roue do commande de la roue gauche. — I> l)1, pignon du différentiel. — K V\ roue du différentiel.
- [ROUES ARBEL 1
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- n o u
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- ;><)9
- — Roue motrice. — Roue à laquelle est, transmise l’action du moteur cl qui sert à la propulsion du véhicule.
- — Roue directrice. — - Roue servant à modifier à volonté la direction d’un véhiculé par pivotement autour d'un axe vertical (pivot do direction) faisant généralement partie de l’essieu directeur.
- — Roue élastique. — Roue dans laquelle la jante est réunie elasliquement au moyeu on vue de supprimer le pneumatique, lequel es! remplacé par un bandage plein destiné à l'amortissement des petites vibrations ainsi que du bruit. Une des plus connues à ce jour est la roue E. L.
- — Aiujel, roues embouties, 5a, boulevard llaussmann, Paris.
- — Rouis E. L. (Société l’rançaiso do la), 28, rue de Sablonvillc, à .Neuilly-sur-Seine (Seine).1
- — Roue de dédoublement. — .Nom donné à la roue dentée calée sur l’arbre de distribution d’un moteur à quatre temps, parce qu elle sert à lui communiquer un mouvement dont la vitesse est à celle du moteur dans le rapport de î à a.
- — Roue dentée. — Roue d'angle. — Roue d’angle est synonyme de pignons coniques ou de roue conique. — Voir Engrenages.
- — Roue libre de bicyclette. — Roue motrice pouvanl être entraînée à volonté par les pédales. La figure en représente un type très simple, dit roue libre à billes. Le pignon de chaîne, Ion sur le moveu. contient un manchon calé dont la périphérie est, Iraiséc d’cvidcmenls où l'on place des billes. Quand le pignon tourne en sens inverse de la (lèche, ou quand, les pédales res-
- I’n DISPOSITIF DK KOCi: I.IIIIIK
- tant immobiles, le manchon tourne dans le sens de la llèche, ce qui revient au même, il entraîne les billes qui restent au fond de leur logement et la connection n’a pas lieu. Quand au contraire le pignon tourne dans le sens de la (lèche, ce qui correspond au pédalage, il
- entraîne les billes sur la pente des fraisures du manchon, où elles viennent se coincer, ce qui produit l’entraînement. Les billes peuvent être remplacées avantageusement par des galets, qui s'usent et se coincent moins facilement. 11 existe aussi des roues libres avec des croissants emboîtés dans des alvéoles et pousses, ou non, par de petits ressorts qui augmentent la sécurité du fonctionnement.
- — Co.miot (Cm), 8-, boulevard tiouvion-Sl-Lyr, Paiis.
- — Mestre et Bi.atué, 5, rue Brunei, Paris.
- — Tejuiot et LA, 2, rue Amlré-Lolomban. à Dijon (Lole-d'Or).
- ROUE D'OR (Concours de lab —Le concours de !\ ooo kilomètres. Paris, Biarritz, (ii'iics, Paris, fait en mars i pou pour déterminer le meilleur « bandage » de roues d'automobiles, s’est terminé par la victoire de l'antidérapant I’ulcun, sur voiture Corre.
- Le prix de la Houe d'Or était oiVert par MM. K et luer et Auscher, les carrossiers bien connus.
- — Bcoiiii.iæt et Lie, pneu-cuir Vulcan, l\~, rue Saint-Eordinand, Paris.
- ROUE E. L. {Société Française de lu). :>.(> cl aS, rue de Sablonvillc, q et n, rue d'Armenonville, à .Neuilly-sur-Seine (Seinei. — Adr. ifd. liouel-Xeuilly. —• Société en commandite. — Directeur technique: M. Edmond Lévi, ingénieur. •— Directeur commercial : M. (i. Marintti.— Roues élastiques E. L. pour voilures de luxe et poids lourds. — Concessionnaires exclusifs des bandages souples « The Swinehart, Clincher Tire and Rubber L" r, à Akron (Ohio), Etats-Unis. — Usine importante de construction métallique, superficie de 2000 mètres carrés.
- ROUE ÉLASTIQUE L. G. (L. Gar-chey). dp, rue Labruyère, Paris.
- ROUES (Sixb — Quelques constructeurs, notamment de Diélricli, recherchent avec raison la suspension par six roues au lieu de quatre. — Suivre ces questions très intéressantes 'Luis la revue Omniu, revue pialique de locomotion. — Voir ligure, à la page suivante.
- ROUGE FERRÉ (Le), pneumatique antidérapant sans cuir, fabriqué par Continental. Paris. — Voir An!idérapants.
- ROUGÉ, à la Société Egyptienne d’électricité, /|d, rue du Rocher, Paris.
- ROUGE, garage, commerce d'automobiles. boulevard Omer-Sarraut. à Carcassonne (Aude).
- ROUGÉ-FAGET (Permit tutrices). — Voir Egyptienne d’électricité (Société Anonyme).
- ROUGEAUX. stock de pneumatiques d'automobiles, neufs et d'occasion, 7, rue
- Bélidor, Paris. Tel. 548-56.
- ROUGIER (Henri-Louis), a5, boulevard Boisson, à Marseille (B.-du-Rh.) — Né à
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- | Marseille, le aG octobre i8^G. Attaché aux ! maisons Turcat-Méry et de Diélricli comme : conducteur dans les courses et concours, j A pris part aux | courses Paris -; Madrid, Eliminatoires fran-' çaiscs (3°, en j 190.4), le Tau-1 nus (4e), Arden-j nos belges, Brescia, etc. Au mont Venteux, vainqueur en 190.4 et 2e en 1900.
- ROUILLE.
- | — Enduit brun rougeâtre, qui prend naissance sur le fer, la fonte et l'acier, quand ceux-ci sont exposés longuement à l’air humide. Ea rouille est un hydrate de peroxyde de fer (l<V0:,,ll20).
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- ROULEAU DE CHAINE. Rouleau lbu sur l'axe des maillons et destiné à supprimer tout frottement de la denture des pignons sur la chaîne (voir figure). A, rouleau mobile autour de la douille articulée du maillon B pivotant autour de l'axe C.
- — Rouleaux de ressorts. — Voir « Ressorts à lame » à l'article Ressorts de voilures.
- — Rouleaux (Palier à). — Palier dans lequel des rouleaux allongés, en acier trempé, sont interposés entre l'arbre et un coussinet, également en acier trempé, de sorte que le frottement de roulement est substitué au frottement de glissement, ce qui améliore le rendement et permet d’accroître la vitesse et la charge sans échaull'emcnt.
- I ROULEMENTS. — Nom donné à l'ensemble d'un axe de rotation et du palier dans lequel il tourne.
- — Roulements lisses. — Roulement comportant un arbre lisse tournant dans un coussinet lisse, et développant, par conséquent, un frottement do glissement. — Voir Palier, Coussinets.
- — Roulements annulaires. — Roulements dans lesquels les billes, séparées par des pièces intercalaires, roulent entre deux
- I\n rouleau i>k ch une
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- ROULEMENTS A BILLES » 15 IVRY-PORT
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- bagues concentriques, d'une seule pièce, dont les laces en regard présentent des gorges formant chemins do roulement. Ces roulements suppriment le coincement des billes. Ils remplacent, dans l'industrie automobile, les roulements à cônes tant appréciés en vélo-eipédic. L'insuccès des roulements à cônes en automobilisme est particulièrement dû à la rigidité de l'ensemble qui ne permet pas aux roulements à cônes de se prêter aux ilexions des arbres, d’où bris, coincement, etc. — Voir Coussinets à billes.
- Les premiers brevets pour roulements annulaires ont été pris en 1899, par (<, D. W. F. », après recherches scientifiques faites par M. le professeur Slribeck, directeur de l'Institut scientifique et technique de Ncu-babelsberg. Ce sont les premiers roulements annulaires qui ont été fabriqués.
- — Glai-nzeu et Ci0, 35, boulevard de Strasbourg, Paris. •—Roulements à billes D. W. F., à'chemins de roulement sans solution de continuité et à cages élastiques supprimant le frottement de bille sur bille.
- — IIénon et Mesthe, i, avenue Alphaml, Paris.
- — IIotciikiss, 23 bis, avenue des Cliamps-Flysées, Paris.
- Maejckt et Rein, io3, avenue de la République, à Àubcrvilliers (Seine).
- — Société Fuanç.aise des Roulements a billes, 70, rue Franklin, à lvry-Port (Seine).
- — Roulement trois points. — Roulements à billes dans lesquels chaque bille porte en trois points. Les figures ci dessous représentent les deux formes sous lesquelles peuvent se présenter ces roulements. La pre-
- S < : 11 km a DK iiori.EMi::
- mière comporte deux rangées de billes s'appuyant, par deux points sur la cuvette commune et par un point sur les cônes réglables. La seconde ne comporte qu’une rangée de billes s'appuyant par un point, sur la cuvette extérieure et. par deux points sur les deux cônes réglables situés de chaque côté.
- — Roulements (Jeu des). — Le jeu, c'est-à-dire la liberté d'un roulement, doit être minimum, sans cependant qu’il y ait, serrage, ce qui produirait Fécbauflcment et le
- grippage. 11 doit être juste assez grand pour que le mouvement soit libre, aussi bien dans un roulement à billes que dans un roulement lisse. — Voir Jeu utile, nuisible.
- ROULEMENTS A BILLES (Société Française t/es), 70, rue Franklin, à fvry-Port (Seine). Tél. 82/1-92. Adr. tél. Roubit-Ïvry-Port. Société fondée en 190/). Roulements à billes sans vis, sans encoches, sans ressorts ; paliers et butées à billes, brevetés s. g. d. g.
- V ROUMIER, pi îeumatiques, 2/1, rue Nicole, Paris.
- iPaul - Jean), 11, rue — Né à Bordeaux, le 2.2
- ROUSSEAU
- Lafayettc, Paris, mars i8(>8. —
- Publiciste ; collaborateur a u ']oun\i\\LeTemps et à de nom-b roux autres journaux. —Vice-président de FUnion Véloci-pédique de France ; membre des comités et des c o m missions s por t i ves de F Aéro-Club de France et de niélice-Club de France ; membre fondateur de FA.
- G. F. — A fondé, à Bordeaux, le Yéloco-SporRcu 188/J ; jmis, en 1891, Le Vélo, le Monde Sportif, etc. — Co-directeur de la maison Brouhot.
- M. Face Rousseau
- ROUSSEAU, garage, commerce d'automobiles, 20, rue Thicrs, à St-Nazaire (Loire-Inférieure).
- ROUSSEAUX (0. et G.), carrosserie automobile, 5, rue (ircllulhe, à Levallois-Perret (Seine). Tél. 5Gi-2i.
- ROUSSEL (Anciens Etablissements), construction d'automobiles, boulevard des Deux-Villes, à Charleville-Mézières (Ardennes).
- ROUSSEL-HOCHE, garage, commerce d’automobiles, à Charlcville (Ardennes).
- ROUSSELET (Garage), 19, rue Rousselet, Paris. Tél. 70G-69.
- ROUSSELET, représentant de fabriques, 1, rue Torricelli, Paris.
- ROUSSELLE et TOURNAIRE (Mai-s071 ), construction de dynamos et d’appareils de mesures électriques, 02, rue de Dunkerque, Paris. — Tél.
- ROUSSON Aîné, fils et gendre,
- mécanicicns-constructcurs, à Fcurs (Loire).
- ROUTES. — L es roules sont des tracés d’une largeur moyenne de 5 à 12 mètres, faits
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- d'empierrements cylindres ou de pavés,destinés au passage des hommes, des * animaux de de trait, à la circulation des véhicules, et servant à mettre en communication un lieu avec un autre.
- Une route dans sa largeur présente ordinairement, une chaussée en son milieu, accompagnée de chaque côté par une bande de terre, en sol naturel, dénommée accotement ; elle est ensuite bordée par des fossés ou par des talus selon que le sol de la route est au-dessus ou au-dessous du sol naturel.
- ROUTES (Direction des), au ministère des Travaux Publics, 2^/1, boulevard Saint-Germain, Paris. Tél. 727-02. — Jours de réception du Directeur : mardi et vendredi (de 9 h.1/2 à 11 h. 1/2).
- ROUTET, mécanicien-constructeur, 3r, rue Planchât, Paris.
- ROUTIÈRE (La), enveloppe antidérapante. — ^oir Joly (.L).
- ROUTIÈRE DE FRANCE (Compa-garage et vente d’automobiles, 79, vue Laugier, Paris. Tél. 535-oo. Société Anonyme, fondée en mai 1897, au capital de ôoo 000 francs.
- ROUTTAND (IL), vernis poi îr carrosserie, 16, rue du Bourg-Tibourg, Paris. Tél. 217-52..
- ROUX (P.) et Ci0, machines-outils et accessoires, 54, boulevard du Temple, Paris.
- ROUX Fils, commerce d'automobiles et de cycles, 1, rue Arbaud, à Manosque (Basses-Alpes).
- ROUXEL, garage, commerce d’automobiles, 18, place du Marché, à Dinan (Côtes-du-Nord 1.
- ROUX, PICHARD et Ci0, carrosserie pour automobiles, 11, rue des Jardiniers, Paris. Tél. 923-38.
- ROVER COMPANY, Ltd, construction d’automobiles, de moteurs et de cycles, Me-tcor Works, à Covenlry (Angleterre). Tél. 56. Adr. tél. Mcteor-Covenlry.
- ROWING-CLUB, !\!\, rue de Maistre, Paris.
- ROWLAND and Sons, commerce d'automobiles, Castle Street, a Salisbury (Angleterre).
- ROY, commerce d'automobiles, boulevard d’Alsace Lorraine, à Amiens (Somme).
- ROY, appareils à souder, 9, boulevard Ricliard-Lenoir, Paris. Tél. q33-0/j .
- ROY (L oiiis), garage, commerce d’automobiles, i3, boulevard d’Alsace-Lorraine, à Amiens (Somme).
- ROY (P.), fabrique d'automobiles et de moteurs, i3o, route d Orléans, au Grand-Montrouge (Seine).
- ROY (Pierre), 5i, avenue Victor-Hugo ’ Paris. Tél. 569-41. — Secrétaire général de Y Union des Sociétés Françaises de Sports Athlétiques. Officier de l'Instruciion publique.
- ROY (Le) (Georges-Au f/us te), 20, rue de la Savonnerie, à Rouen (Seine-lnlerieureL Tél. 298. — Né à Rouen, en i8G5. —• Chimiste-conseil de la ville de Rouen ; professeur à l'Ecole supérieure de Commerce ; ancien chef du Laboratoire des usines Molétra. Inventeur de systèmes pratiques de vulcanisation pour pneumatiques (AuLo-Vulcanisa-tor, type Simplex 1906), etc. —Collaborateur à YAnnual Baudry de Saunier et à Omnia, revue pratique de locomotion.
- ROY (Le) (Georqcs-Emmanuel), 20, rue Saint-Marc., Paris. — Publiciste ; rédacteur a u x Sport s .
- Membre du Comité de la Chambre syndicale de la Navigation automobile ; membre du Comité de l'Association des Journalistes sportifs.
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- C0, accumulateurs,i/|3,Cham-bers Street , à New-York (Etats Unis).
- ROYAL MOTOR CAR C° (The), construction d'automobiles, à Clcveland, Ohio (Etats-Unis). — Nombreuses succursales.
- ROYALTY (Pneu-Cnir).— Voir Bénard.
- ROYAT-GARAGE, à Royal (Puy-de-Dôme).
- ROZIER, garage, commerce d'automobiles, rue de l'Océan, à Saint-Nazaire (Loire-Inférieure).
- R. S., jantes, 20, rue Brunei, Paris.
- RUAS, garage, carrosserie automobile, à Mon té 1 i mar (Drôme),
- RUBAN DE FREIN. — Lame métallique entourant le tambour de frein et. le serrant énergiquement, « l'étranglant. » en quelque sorte, à la volonté du conducteur, en empêchant ou, tout, au moins, en ralentissant le mouvement de rotation des roues motrices.
- Le ruban de frein est constitué par une lame d’acier, quelquefois nue, le plus souvent. recouverte d’un tissu « en poil de chameau », ou de cuir, de petits carrés de bois, de libre, de gaïae, etc.
- LISEZ
- L’ALLUMAGE
- pour bien connaître votre magnéto
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- RUBAY. accessoires cl pièces détachées pour automobiles, i/|0 \V. 38 lli. Street, à New-York, (Etats-Unis).
- RUBE, garage, commerce d'automobiles, 90, rue des Trois-Cailloux, à Amiens (Somme).
- RUDGE-WHIT WORTH, Ltd, cycles et motocyclettes, à Covenlry (Angleterre).
- RUE, réparations de motocyclettes et de cycles, 8, rue Labié, Paris.
- RUETGERS, garage, commerce d’automobiles, 53, Ilochslrassc, à Aix-la-Chapelle (Allemagne).
- RUFFIER (Paul), appareils de mise en marche, 3, rue Vernier, Paris.
- RUFFIN, vente d’automobiles et de cycles, 8, place de la Mairie, à Brunoy (Seino-el-Oise). Tél. 38.
- RUFFIN (/l.), accessoires et cycles Météore, 77, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél. 5o8-3y.
- RUFFINONI (/?.), volants de direction pour automobiles. — Voir F. Lioré.
- RUGAMA Y DURO, commerce d’automobiles, i5, carrera de San-Jeronimo, à Madrid (Espagne). Tél. io55.
- RUHMKORFF (//. D.) — Savant allemand, mort, à Paris en qui inventa
- plusieurs machines électriques, dont la plus connue est la bobine (voir ce mot) qui porte son nom.
- RUHMKORFF (Ateliers), bobines d’allumage, appareils de mesures électriques, 20, rue Delambre, Paris. Tél. ^o5-G5. Adr. tél. Rulmikor/f-Paris. Maison fondée en 1878. Directeur : M. Jules Carpentier.
- RUMSEY and C°, garage, commerce d’automobiles, Jewry Street, à Winchester (Angleterre).
- RUNABOUT (Petite voiture électrique). — Voir Electric Vehicle C°.
- RUPALLEY (G.), fonderie d’aluminium, 3, rue Collin, à Puteaux (Seine). Tél. 5o.
- RUPELLE, constructeur-mécanicien, 53, boulevard Montparnasse, Paris.
- RUPPE et Sohn, construction de voitures automobiles u Piccolo”, à Apolda (Saxe-Weimar).
- RUPPERT (Alfred), ;G, Grande-Rue, au Pré-St-Gervais (Seine). Tél. /ji5-()2 et /l38-59. — Né à Levallois-Pcrret, le iG mai jStS. Secrétaire de la Société Française des Cycles Clément et Gladiator.
- RUPTEUR. — Organe destiné à produire, à l'intérieur des cylindres de moteurs à explosions, la rupture du courant à basse tension
- Induit tournant
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- Coite vkrticalk iu: la magnéto a induit tournant i>i: Simms-Roscu
- D 1), manches des chapeaux des graisseurs. — E, bout d’axe conique pour le montage de la roue décommandé. — K, induit tournant. — G G, porte-mèche graisseur. — I, goutte d’acier portant le courant de meme signe que a. — .1, pont en métal sur lequel est située la prise du courant. — K, charbon appuyé par un ressort pour assurer le passage du courant. — T T, fer à T. — W, socle en aluminium. — «, vis serrant l'autre bout du bobinage. — b, écrou de contact à la masse du lil bobiné. — c, écrou de fixage de cette roue. — g g, étuis des mèches. — 7, trop plein. — k k, godet à huile. — 11171, joues do l’induit. — x x, plaque d’aluminium.
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- destinée à produire l'étincelle d'arrachement servant à l'allumage. — Voir Allumage cl le volume L'Allumage, par R. de S.
- RUPTURE. — Pour produire l'allumage, plusieurs maisons de construction adoptent le dispositif suivant : une magnéto donne du courant à basse tension (5o à ] oo volts environ) qui, au moment, précis voulu, est rompit à l'intérieur du cylindre par un dispositif approprié. Une rtincelle de rupture. duc à la self-induction, est ainsi produite.
- Dispositif d’ai.lcmaoi-: Rochkt-Schm:ihi:u
- A, tampon. — B, intlammateur (séparé). — C, levier de contact. — l), levier de rupture. — IC, levier de choc. — F, arbre vertical. — (i, ressort de rappel de l’arbre vertical. — II, bague molctée qui permet de régler la tension du ressort. — I, ressort de rappel du levier de rupture. — .1, levier sur came pour l’avance. — K, l’ame. — L, levier double du crochet d'avance. — M, réglette de commande d’avance à rallumage. — V, centre du levier L.
- - Uennegrave et Agnus, magnétos, 3o, rue Pcrrier, à Levallois-Pcrrct (Seine).
- — IIenrique, magnétos, 4i, avenue de la < îrandc-Armée, Paris.
- Rocii et-Schneider , 07, chemin Fouillai, à Lyon (Rhône).
- - Sjmms-Boscii , magnétos, -22, nie Violet, Paris.
- — Trèfle a Quatre Feuilles (Le), 2.3, avenue de la (irande-Armée, Paris.
- RUSH. — Terme anglais signifiant c< course précipitée ».
- — Le mot rush est quelquefois employé pour désigner V emballage final dans une course de bicyclettes.
- RUSHMORE DYNAMO WORKS, fabrique de phares, G27, South avenue, à Plainfield (N.-J.) Etats-Unis.— Représentant : M. Abbott, 90, avenue des Champs-Elysées, Paris. — Tel. (>78-09.
- — Adr. ici. : Abbotl-Bous-(/uaulo-Paris.
- RUSSERY-VERDIÉ
- (Etablissemcnls). —Voir Vcr-pilleux frères et Cie.
- RUSTIN, garage, commerce d’automobiles, i/|, rue Saint-Martin, à Dreux (Eure-et-Loir).
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- S. — Lettre indiquant, que le véhicule qui la porte dépend de l'arrondissement minéralogique de Saint-Etienne (Loire).
- S. —• Symbole de surface.
- s. — Symbole de surface. — Abréviation de seconde ; de section; de longueur de courbe rectifiée.
- <7 (prononcez sigma). —• Symbole de densité électrique.
- S. — Voir Esse de carrosserie.
- — Abréviation signifiant dollar.
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- SABLAGE. — T ^orsque des pièces mécaniques, sortant du brasage ou de la Forge, sont trop difficiles à travailler par suite des “crasses” et des vernis vitreux qui se sont. Formés à leur surface, on leur fait subir l'opération du sablage.
- Sabler une pièce c’est, projeter sur elle un jet de sable lin, animé d'une grande vitesse qui lui est communiquée par un jet de vapeur ou d’air comprimé ou par une roue de turbine ; chaque particule de sable Fait office de petit burin, de petite lime qui pénètre dans tous les interstices de la pièce, la nettoie -et la décape extrêmement rapidement.
- SABLE. — Le sable, fin et parfaitement séché à l'étuve, est souvent employé en mécanique pour remplir, pour 44 bourrer” les tubes en Fer ou en cuivre qui doivent être “cintrés” à chaud.
- — En cas d’incendie, le sable ou la terre sont, quand on 11e peut disposer d’une très grande quantité d’eau, les meilleurs corps à employer pour l'extinction rapide d'essence ou de pétrole enflammés : ces corps agissent, par absorption.
- — Elément principal pour le moulage des pièces de Fonte, le sable, tantôt argileux, tantôt mélangé de grès, plus ou moins siliceux, doit être suffisamment, plastique pour prendre nettement, les empreintes des objets à mouler. On augmente ses qualités de plasticité en le broyant, le tamisant, le mélangeant de matières pulvérulentes dont la nature et la proportion varient suivant le métal à fondre ou le genre de pièces «à mouler.
- SACS CHAUFFEUR <
- SABOT. — Le sabot est la partie d’un frein qui Frotte sur la périphérie soit d’un tambour métallique, soit d’une roue munie ou non de pneumatiques; ce dernier dispositif n’est plus employé en automobile. — Le sabot peut être Fait de bois, de gaïae, de caoutchouc quelquefois ; il est presque toujours constitué actuellement par deux mâchoires ou deux segments métalliques (bronze ou fonte) Frottant sur un tambour en acier. — Voir Béquille.
- SAC CHAUFFEUR. .....- fleure de malle
- ronde, inventée par Louis Vuitton pour préserver les pneumatiques contre l'action du so-
- S.u: Chai rnxii Vuitton
- leil, de la pluie, delà poussière, etc. Le centre peut-être transformé soit, en malle à chapeaux de dames, soit 011 malle pour vêtements ou chambres à air.
- — Vuitton (Georges), 1, rue Scribe, Paris.
- SACHS-KOFFERFABRIK, Fabrique de libre vulcanisée. — Voir Nathan Frères.
- S. A. D. I. A., auto-amortisseur. — Voir Gardy-Batault.
- S AD J AL, jantes amovibles, système “ Loustaunau ”, 3i, quai de Suresnes, à Suresnes (Seine).
- S. A. F., marque de Fabrique de Fur an (Société Anonyme des Ateliers du).
- SAGE (Société Anonyme des Anciens ateliers 7\), voitures automobiles, £7, rue Emeriau, Paris. Tel. 709-99. Adr. tél. Sage, 6’7, Emeriau-Paris. Société Anonyme, au capital de 3Go 000 Francs. Directeur : M.P.Sage ;
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- S A fi
- S A I.
- Go8 —
- président du Conseil d'administration : M. Belin, ingénieur. ,
- SAGENE, unité de mesure russe. Une sagène vaut 3 archines ou 7 pieds, ou 84 pouces, ou 84o lignes, ou a m. i3. Son multiple, la verste vaut 000 sagènes, ou 1 066 m. 78.
- SAHORES et OJEDA, vente d’aulo-inobiles, commissionnaires, 82, avenue de l’Opéra, Paris. Adr. tel. Adcjo-Paris. — Maison à Bucnos-Ayres, 272, Suipaclia.
- SAIGNER. — Action de pratiquer une rainure dans une pièce, par exemple le logement d'une clavette encastrée dans un arbre. O11 opère à la fraise ou à la mortaiseusc. Ou
- A. outil à .saigner.
- — lî, pièce de lotir.
- dit également saignée pour désigner la tranchée faite par un coup d’outil de raboteuse ou d'étau limeur, ou encore la section opérée dans une barre par une machine à tronçonner.
- SAINT-ANNE-KEROSENE MOTOR C°, construction do moteurs, à Saint-Anne (Illinois) Etats-Unis.
- SAINT-CHAMOND (Compagnie des Forges et Aciéries de), châssis automobiles, à Saint-Ghamond (Loire). Bureaux : 20, rue des Pyramides, Paris.
- SAINT-DENIS, silencieux. — Voir Lefebvre (A.) fils.
- SAINT Frères, toiles enduites, housses pour automobiles, 34, rue du Louvre, Paris.
- SAINT-GERMAIN {N.), motocyclettes “ la Moto-Bécane ", 29, rue des
- Archives, Paris. Tél. 3i/|-4o.
- SAINT-GERMAIN (P.), meules et émeris, 06, avenue de la République, Paris.
- ‘ SAINT-GERMAIN C1AJNY (Garage), commerce d’automobiles, 55 bis, boulevard Saint-Germain (Paris).
- SAINT-GOBAIN, CHAUNY et CIRE Y (Société Anonyme de), glaces pour automobiles, 1, place des Saussaies, Paris.
- SAINT-HUBERT-CLUB DE FRANCE, 21, rue de Clieliy, Paris.
- SAINT-LAZARE (Garage), 12 b is, passage Tivoli, Paris. Tél. 289-07.
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- construction d’automobiles, Prospect Ileighls, Peoria (Illinois), Etats-Unis.
- SAINT-LOUIS WOLBER, pneumatiques. — Voir AVolber.
- SAINT-MARTIN, 81, rue Saint-Lazare, Paris. Ingénieur de la Société des Accumulateurs Tudor.
- SAINT-MARTIN (,/. de), fabrique de pompes et de réservoirs d’huile, /|8, avenue de Neuilly, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- SAINT-NICOLAS (Garage), commerce d’automobiles, quai de la Loire, à Nevers (Nièvre).
- SAINT-QUENTIN (A ulo-Garage de). commerce d’automobiles, 7/1,boulevard llenri-Marlin, à Saint-Quentin (Aisne).
- SAINTARD (P.), machines-outils, 77, rue de Charonne, Paris.
- SAINTE-BEUVE (Auguste), 19O, quai de Jemmapes, Paris. Tél. 4OI-“0. — Né à Bclley, le 28 novembre 1864. Ingénieur des Arts et Manufactures (1887). Associé de la maison Cornilleau-Sainte-Beuve.
- SAINVILLE (De), électricité et éclairage, i/|, rue Vivicnne, Paris. Tél. 3i8-n.
- S. A. L. (Automobiles). - Voir Société Automobiii bombarda.
- SALA, fabrique de rivets, 2,5, rue des Vinaigriers, Paris.
- SALAMO, garage, commerce d’automobiles, 10, rue Saint-Antoine, à Chambéry (Savoie).
- SALLERON (Jean), no, rue du Bac, Paris. Téléphone 679-14. — Né à Sens, le 27 septembre 1870. Administrateur - délégué de YAulo-Générale. Sport s-man accompli ; a couru Paris-Vienne, Paris-Madrid (20 des grosses voitures), Eliminatoires 1904 (2"),
- Coupe Gordon-Bennett (1904).
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- SALOMON et Clc, fabrique de tubes en fer et en acier, 26, rue du Bailly, à la Plaine-Saint-Denis (Seine). Tel. 1\->.L|-oS. — Dépôt: ji), boulevard Voltaire, Paris. Tel. 901-32.
- SALOMONS (Baronet. Goldsmid-Stcrn),
- /i 9, Grosvenor sirect, à Londres (Angleterre). — Né à Brighlon, le 28 juin i85i. Avocate!, ingénieur. Auteur et éditeur de plusieurs livres sur les automobiles, accumulateurs,électricité, l'optique mathéma-tiq u e , etc.
- - Un des mcil-leurs défenseurs de l'automobile en Angleterre et meme en f rance.
- SALON DE L’AUTOMOBILE, DU CYCLE et des SPORTS. — I jC mol
- Salon a été proposé en 1892 dans le 1 (do par M. Pierre Giifard. Le i«r Salon du Cycle eut lieu en 189/1 seulement, à la salle \\agram. îe 10 janvier. La même année, le y décembre, il eut lieu encore, mais au Palais de I Industrie.
- 181)5. — Encore en décembre, le Salon est installé au Palais de l'Industrie. Plus de 5oo exposants y participent,, divises en neul sections. La II0 section est réservée aux <i Véhicules automobiles ». Le i !\ décembre, Félix Faure, Président de la République, inaugure l'Exposition et fait une longue visite aux •stands.
- 1896. — La section automobile prend de l'extension au Salon de 189(1, au Palais de 1 Industrie. Le 12 décembre M. Bouclier, ministre du Commerce, visite le Salon.
- 1897. — En cette année, un incident regrettable fait qu'il y a eu deux Salons. Le premier en date, organisé par un groupe de constructeurs, est, inauguré, le 3 décembre, au Palais-Sport, 5, rue Berri.
- Le Palais de l'Industrie, voué à la démolition pour faire place au lutur Grand Palais, oblige M. Charmct, président du comité d organisation du Salon du Cycle, à convier les exposants encore une fois à la salle Wagram le i5 décembre.
- 1898. — L'Automobile Club de France, fondé le 12 novembre 189.5, prit en main, en 1898, l'organisation du Salon de l'Automo-
- bile, du Cycle et des Sports, organisation qu’il n’a pas abandonnée depuis.
- Faute d’emplacement, c’est dans le Jardin des Tuileries que l’A. C. F. convia, au mois de juin, les exposants, qui furent abrités sous des baraquements.
- Ce Salon fut contrarié par le mauvais temps. Dès l’ouverture, un orage d’une violence inouïe inonda le Jardin des Tuileries, et les voitures exposées durent être, à la hâte et durant la nuit, surélevées pour ctre sauvées de l’eau qui avait atteint, en certains endroits, une hauteur de près de t\o centimètres.
- De 1898 à 1907.—Pendant ces dernières années, le Salon fut organisé au Jardin des Tuileries (1898 et 1899), au Grand Palais (janvier 1901), à la suite de l'Exposition Universelle de 1900. Toujours au Grand Palais, et au mois de décembre, en 1901, 1902, 1908, 190/1, 190.5 et 190G.
- Le Comité d'organisation de 1"A. C. F. mérite la reconnaissance du monde industriel pour l’œuvre accomplie avec tant de succès et est digne de tous éloges.
- L'A. C. F. ne s'est pas seulement arreté à montrer les progrès des industries de l’Automobile et du Cycle, mais a réussi à intéresser les pouvoirs publics ; et c’est, ainsi que nous avons vu les chefs d'Etats, les ministres, les personnalités les plus marquantes du monde entier défiler dans le Grand Palais.
- C'est encore à l’A. G. F. que. nous devons, pendant la durée des Salons successifs, un grand nombre de congrès et de concours.
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- SALVATOR, pl tares. — Voir F 0 va ni et C"'.
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- •— Voir Desbenoil aine et Muron, à Roanne.
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- comme automobiliste et comme aéronaule. A l’idée et l'audace d’installer le premier le moteur à explosions à bord d'un ballon dirigeable; construit et monte plusieurs modèles successifs de Sanlos-l)tt mon! avec lesquels il obtient de premiers succès qui ramènent l'attention publique sur la question de la diri-geahililé des ballons.
- L'Aéro-Club institue un prix généreusement dote d'une allocation de 100 000 francs par M. Henry Deutseh de la Meurthe, pour le ballon dirigeable qui, parti du pare de l'Aéro-Club (coteaux de Saint-Cloud , y retournera en 3o minutes après avoir double la Tour Eill’el. Santos si* jure de le gagner; apres de nouveaux essais tantôt heureux, tantôt, mouvementés, il satisfait, à bord du Sunlos-Dn-nwnt 17 aux conditions imposées et conquiert le prix, dont il fait profiter les pauvres.
- 11 construit de nouveaux types de dirigeables dont le n" IX notamment, bien connu des Parisiens, ligura à la revue du i/| juillet 1903 à Longehamp.
- Le célèbre sporlsman poursuit toujours ses travaux avec la meme ardeur et le même courage opiniâtre qui l’ont rendu populaire. Ou doit assurément à ses expériences l'intérêt général qu’excitent aujourd'hui les questions de locomotion aérienne. Santos-Dumont est le premier homme qui, le a3 octobre 190(1, dans un essai d’aviation, ait quitté le sol dans un appareil plus lourd que l'air.
- SANTOS-DUMONT (Prix). — Prix de 4 000 francs, fondé par Santos-Dumont. à attribuer par l'Aéro-Club de France au pre-
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- Tel. 248-08. — Né à Bagnéres-de-Lurhon, le jq mars 18G7. Ingénieur, administrateur de plusieurs sociétés françaises et espagnoles, fondateur de la maison Sapène et Cio.
- SAPÈNE (,/.) et Ci0, outillage mccani-que et aciers profilés, 58, rue Taitbout, Paris. Tel. 248-08. Adr. tel. Enepas-Paris.
- SAPONOFF, savon pour chauffeurs. — Voir Gubert Frères, à Draguignan.
- SARLES (/!.), antidérapants, 4, rue Gi-viale, Paris.
- SAROLEA ( Maison), automobiles et motocyclettes, 2(>q, rue Saint-Lambert, à Ilerstal-Liège (Belgique), Tel. 14-33.
- SARRALIER, garage, commerce d'automobiles, 78, boulevard Saint-Martin, à Laon (Aisne).
- SARRAUTE (Noël),, pièces détachées 41' rue de l'Echiquier, Paris. Tel. 3oi-53.
- SARTIAUX (M.), protecteurs de pneumatiques, à llcnin-Liétard (Pas-de-Calais).
- SASPORTAS (Alfred-Léopold), au Per-reux (Seine). Tel. 102-20. — Né à Paris, le 4 avril 184G>. Décoré des Palmes académiques, du Mérité agricole, de l'ordre d'Isabelle la Catholique. Rédacteur sportif du journal l'Eclair.
- force magnétisante ne produit qu'un accroissement très faible du flux d’induction.
- Le point a à partir duquel la courbe devient sensiblement asymptotique s’appelle point de saturation comme le montre la courbe ci-contre: la loi de variation de l’induct ion (qui dépend
- de la perméabilité/ dépend beaucoup du métal dans lequel on cherche à créer le flux d'induction. — Voir Perméabilité magnétique.
- SATURNE, accumulateurs. — Voir IïeymanUy Paris.
- SAUCÉ. — Se dit des pastilles (petits morceaux de caoutchouc vulcanisé) qui ont été enduites de dissolution de caoutchouc, puis séchées, par les soins des constructeurs de pneumatiques. Ces pastilles saucées servent à réparer les perforations des chambres à ai)'.
- SAULIÈRE et PAQUET, garage, fabrique de pièces détacliées, 3o, rue Gambetta, à Castres (Tarn). Tel. 1-10. Adr. tel. Sau-lière-Automobile-Caslres.
- SAUNDERS (// .), accessoires pour automobiles, 282, avenue Daumcsnil, Paris.
- SAUNIER, garage, commerce d’automobiles, rue Saint-Biaise, à Alençon (Orne).
- SATELLITE (Différentiel). — Nom que l’on donne dans les trains épicycloïdaux aux engrenages animés d'un mouvement de translation circulaire ou mouvement planétaire. En voir un exemple à Différentiel {Boite du).
- SATURATION. - On dit qu'un corps, de l'eau par exemple, est saturé ou est à saturation, lorsqu'il a dissous le poids maximum d'un autre corps, un sel ordinairement, qu'011 y a versé et qu'il pouvait dissoudre par une température donnée, le corps en excès restant à l’état non dissous.
- En général, un sel “fond" en quantité d autant plus grande que le dissolvant est à une température plus élevée.
- — Saturation magnétique. — Lorsqu’on applique une force magnétisante k un circuit magnétique, 011 constate qu’a partir d’un certain moment une augmentation de la
- SAUNIER, garage, à Bagnolcs-les-Bains (Orne).
- SAUNIN (Grand Garage Central), commerce d’automobiles, 74* boulevard de Strasbourg’, à Toulon (Var). — Agent des Automobiles Peugeot.
- SAUNION-BUISSON, vente d’automobiles “ Imperia ”, 11, rue La Boélie, Paris. Tel. 314-35.
- SAURER (Adolph), construction de camions automobiles et moteurs, à Arbon (Suisse). Adr. tél. Suurer-Arbon.
- SAUTÉINE (Graisse). — V oir Saut et Frères.
- SAUTERELLE. — Equerre dont les branches sont mobiles ; destinée à servir de rapporteur d'angles. On appelle aussi cet instrument une v. fausse-équerre ».
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- SAUT-DU-TARN (Société Anonyme des Hauts-Fourneaux, Forges et Aciéries du), aciers, fers, fabrique de limes, 19, rue d’Athènes, Paris. Tel. 398-29.
- SAUTTER, HARLÉ et Ci0, appareils électriques, dynamos, moteurs, 26, avenue de Suffren, Paris. Tel. 711-65.
- SAUVANET et TEURTROY, découpage et emboutissage à façon, 9, rue du Surmelin, Paris.
- SAUZAY (Garage Moderne), commerce d’automobiles, 12, rue de l'Arquebuse, à Autun (Saône-et-Loire).
- T AV ALLE, pneumatiques, 23, rue Le Peletier, Paris.
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- SAXONIA (Accumulateurs), 3o, Kreuz-bergstrassc, à Berlin (Allemagne).
- SCELLIER et C'0, fonderie de cuivre et d’aluminium, à Youjaucourt (Doubs) ; et 96, rue de la Roquette, Paris. Tél. 9o5-33.
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- SCHARLACH (Otto), phares, lanternes et accessoires, à Nuremberg (Allemagne).
- SCHAYÉ (Paul-Adrien), 53, rue de Ponlhieu, Paris. — Né à Paris, le 12 mars 1878. Docteur en droit; collaborateur au Journal de l'Automobile. Ancien collaborateur au Paris-Vélo, la Bicyclette, Journal des Sports, Auto, Figaro, Annales politiques et littéraires, Vélo, etc.
- SCHEBLER, carburateurs.— Voir Whce-ler and Scheb/er.
- SCHEIBLER AUTOMOBIL INDUSTRIE, automobiles, 20, Bacbstrasse, à Aix-la-Chapelle (Allemagne).
- SCHELCHER (André), de la maison Panhard cl Levdssor, 29, rue de la Bienfaisance, Paris. Tél. 010-28.
- SCHÉMA. — Se dit d’un dessin linéaire, extrêmement simplifié, n’indiquant que l’ensemble ou les parties principales d’une machine ou d’un dispositif mécanique, sans
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- cotes exactes et sans aucun détail inutile. Les proportions générales elles-mêmes n’y sont pas toujours respectées, dans le but de mieux mettre en évidence, à plus grande échelle, telle ou telle partie mécanique particuliérement intéressante. — Les schémas du journal Omnia sont particulièrement nets et instructifs.
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- SCHISTES. — Voir Huiles.
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- SCHUCHARDT et SCHUTTE machines-outils. — Voir Schütte, Paris.
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- SCHUTTE (Alfred IL), machines-outils, tours, outillage de précision, 85 bis, rue Réaumur, Paris. Té). 324-21. Adr. tél. Initiative-Paris. Nombreuses succursales à l'Etran-gcr.
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- SCIE. — La scie n'est guère employée en automobile que dans les ateliers. La scie à métaux (fig. 1) se compose d'une lame S qu'on installe dans un porte-scie M et qu'on tend au moyen de la vis V. On vend aujourd'hui des lames de scie américaines qui, en raison de leur dureté, ne peuvent pas être affûtées; malgré cela, leur prix de vente est si bon marché qu'elles sont plus économiques que y
- les autres. à
- Les dents d'une scie sont d’autant plus fines et d'autant plus serrées que les matières à débiter sont plus dures. La voie de la scie varie également suivantle métal à travailler.
- L'acier, la fonte et les métaux tendres se scient à sec ou humectés d'huile; le fer et le bronze, à l’eau de savon.
- La scie à métaux doit se manœuvrer avec une certaine lenteur et en allongeant bien les bras.
- Les scies à main, pour le bois, les plus usuelles sont : la scie à refendre dont la lame, haute, peut être placée perpendiculai-
- M
- Fi,
- rement au plan de la monture, de permettre de scier une pièce de bois, qu'en soit la longueur; la scie à chantourner 'r peu haute et mobile dans les montants,
- façon à quelle
- (B)
- uvvn vi*vmmvvvv\vvww*H**vv.vvuvun
- l-'ig. a
- SCIK A GUICHET
- comme la précédente; la scie à guichet à lame longue, effilée et très peu haute; \ cyoinc à lame haute et longue.
- (CJ
- '‘'FVl VVWWWWW^ W-WWWVW\ mt'/wv V.
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- Dans les scies mécaniques, pour les métaux et pour le bois, il existe trois types principaux :
- IVII FRRFflIIINÇ des Usines CIIOKUER & GUICHARD, de S'-Elienne"l
- J LLUIlLyU I 11 O Alphonse BINET &Ci0,6, r. de Jarente, PARIS.Tél. 260-89 I
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- S G I
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- — ( > 14 —
- i° la scie circulaire, composée d'un disque d'acier dentelé, qui tourne très rapidement dans le plan vertical ; 20 la scie a ruban, faite d’une lame flexible étroite, sans fin, enroulée sur deux poulies qui lui donnent un mouvement continu dans le même sens; 3° la scie alternative (spéciale pour le bois) dont la lame a un mouvement de va-et-vient vertical; cette dernière est, en réalité, une scie à refendre.
- SCIENTIFIC AMERICAN {The), revue hebdomadaire, éditée par Munn et C°, 30i, Broadway, New-York (Etats-Unis).
- SCLAYERAND (/?.), \Ed. Ch. Morin, &ucce$seu?')< réservoirs, accessoires, valves, pompes, robinetterie, 48 et 5o, rue de l'Aquc-duc, Paris. Tel. 43C-q^. Adr. tel. Sc/avalve-Paris.
- SCOTTE (So ciètè des Chaudières et Voilures à vapeur, système), 50, rue de Provence, Paris.
- SCRATCH (mot anglais signifiant raie tracée sur le sol). — Une course est dite scratch, lorsque tous les coureurs partent d'un même point, par opposition avec le handicap. L'homme qui part de la rate est nommé le scratchman.
- SCRIBE, commerce d'automobiles, i <j. rue Rousselet, Paris. Tel. 70G-G9.
- SCULFORT et FOCKEDEY, fabrique de machines-outils, à Mauheuge (Nord) ; et 18, boulevard Voltaire, Paris.
- SEARLE Frères, écrous et boulons, à Boutilleric-les-Amiens (Somme).
- SEARLE et SEIGNOL, accessoires et pièces détachées, 33, Ulasshouse Street-, à Londres (Angleterre).
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- SÉCANTE. — Se dit. en géométrie.
- \ A
- d'une ligne telle que A B qui coupe une droite, une courbe, une surface, etc.
- SECONDE. — Soixant ième partie d'une minute, soit la trois mille six centième partie d'une heure. S'exprime par le symbole s. — En géométrie, soixantième paitie d'un
- angle d'une minute, soit la 324 000e partie d’un angle droit. S'exprime par deux accents placés "en exposants”: 16” signifient îb secondes d'angle.
- SECTEUR. — Surface comprise dans un cercle entre deux rayons formant entre
- Sect(ïu7'
- eux un angle quelconque. — La surface d'un secteur est, donnée par la formule :
- S " U*
- — 30o
- m désignant le nombre de degrés compris dans l'angle formé par les deux rayons R.
- — Secteur denté. — Secteur dont la circonférence est garnie d'une denture d'engrenage droit ou hélicoïdal. C'est, en somme, une fraction de roue dentée. En voir un exemple à Boite de direction.
- SECTION. — Synonyme de coupe, en dessin (voir Coupe d'un dessin). — Section est aussi très souvent employé pour sur/ace de la section : section d'un tuyau, d'un fil conducteur (surface de la section), etc.
- SECURITAS, graisseurs. — Voir Hirsch (Et.)
- SECURITAS (Le), pneu mélallo-élaslie. — Voir Mhiière et Industrielle (Ci0).
- SECURITAS ( Levier). — Voir Des-pu igné.
- SECURITAS (Pneumatiq ues). — Vo i r Serize et Cu\ Paris.
- SEDAN (Forges de), fers pour essieux, tôles et tubes, 02, rue Saint-deorg-es, Paris. Tel. i4;-34.
- SEDUCTA (Société Anonyme), carrosserie automobile, S. rue Rouget-de-Tlsle, à Courbevoie (Seine). Tel. 190.
- SÉE (./.), Oo, rue Saint-Lazare, Paris. — Ancien élève de l'Ecole Polytechnique, directeur des Services administratifs des Etablissements Hutchinson.
- SEEBOHM et DIECKSTALL, aciers, roulements à billes, à Schcffield (Angleterre) ; et 28, boulevard Magenta, Paris. Tel. 437-35.
- SEEGER. pi èccs détachées et accessoires, 3", rue Rubens, à Rruxelles (Relgi([ue).
- LES PREMIERS HORS CONCOURS PARIS 1900
- PHARES DUGELLIER
- LES SEULS I
- GRAND PRIX I LIÈGE 1905 B
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- S F F
- (il5 -—
- S E l
- SEFTON MOTOR GARAGE , commerce d’automobiles, 5g, Lark Lane, à Livcr-pool (Angleterre).
- SEGHERS (Ad.), représentant de fabriques, 7, rue Scribe, Paris. Tel. 2G0—i.
- SEGMENT. — Partie d’ un cercle comprise enlre un arc et sa corde. La surface •d’un segment est fournie par la formule :
- /ira \ R5
- Us7- smaj T
- a désignant l'angle au centre formé par la corde du segment.
- — Segments. — Dans les anciennes voitures de Dion-Bouton Y embrayage était effectué au moyen dq segments (faits d'abord
- en bois de gaïae, puis *
- définitivement en fibre) qui, portés par l'arbre
- moteur, pouvaient, à la volonté du conducteur, s’ouvrir et coincer •dans une boîte ronde portant extérieurement une couronne dentée, en transmettant ainsi le mouvement de l’arbre moteur à tel ou tel engrenage de changement de vitesse.
- Plusieurs excellentes marques, notamment Lorraine-Dielrich, emploient, pour l'embrayage de leurs types 1907 un segment mé-
- tallique extensible.
- Sc<jrru‘J)t
- Corde.
- I -N Mili.MK.NT
- — Segments de piston. — Bagues •élastiques disposées sur le pourtour d’un piston et, s'appliquant par leur élasticité sur la paroi du cylindre dans lequel il se meut, pour le rendre étanche. — Voir Piston.
- SEGUIN, le dessinateur des escrimeurs : escrimeur de talent lui-même. — Collaborateur aux Sports.
- SÉGUINOL, tubes en acier sans soudure, /|5, avenue Parmentier, Paris. Tel. qi 2-(’>8.
- SEHEU (Ch.), lanternes et phares, 1, boni. d'Alsace-Lorraine, au Pcrreux (Seine).
- SEIDEL et NAUMANN, cycles et motocyclettes, à Dresde (Allemagne); et 20, rue du Pont-Neuf, Paris.
- SEIGLE (S.), appareils d'éclairage, C>f\, r ue de Provence, Paris.
- SEIGNEUL, garage, commerce d'automobiles, rue de la (lare, à Fiers (Orne).
- SEIGNQL et SEARLE, agents de fabriques, 53, rue Laugier. Paris. Tel. 553-Gi ; et 33, (ilasshouse Street, à Londres W. (Angleterre). — Odolachymètrcs O. S. ; indicateurs-optiques O. Sclmlze ; tarhymètres O. S. ; moteurs et pièces mécaniques Fafnir, carburateurs Luc Court et C1”.
- SEL AMMONIAC. — Synonyme de Chlorhydrate d’ammoniac.
- SEL MARIN. — Synonyme de Chlorure de sodium.
- SELBART, pièces détachées pour automobiles, i5, rue du Musée, à Marseille 1 Bouches-du-Rhône).
- SELF-INDUCTION. — I ,c mot est tiré en partie de l'anglais et, signifie « induction par soi-même ». Un courant engendre autour de lui un certain champ magnétique ; on sait également que les courants et les champs magnétiques ont une influence réciproque. Le seul fait du passage du courant dans un conducteur se traduit par une opposition, lors de la fermeture du circuit, à rétablissement instantané du courant : celui-ci, au lieu d'atteindre immédiatement sa valeur normale i, met un certain temps l à atteindre cette valeur, de sorte qu'une certaine quantité d élier-
- Self-induction
- gie, correspondant à la surface hachée a. paraît s'élro évanouie. 11 n'en est rien, car, au moment de la fermeture, elle réparait sous la forme de la surface I) égale à a qui s'ajoute au courant normal et en augmente considérablement la valeur. Cet effet est bien connu sous le nom d'étincelle de rupture, et il est utilisé notamment dans les bobines d'induction et d'allumage, dans les magnétos, etc. La ligure nous montre d'autre part que plus faible sera la valeur de. / (durée de rupturel, plus intense sera l'élineolle. — Voir Induction magnétique, Bobine d'induction. — Voir aussi l'ouvrage /'Allumage, par B. de S., dans lequel ces phénomènes sont clairement expliqués.
- SELIG, SONNENTHAL et C", machines-outils et “ Automelre ”, 85, Ouocn
- Victoria Street, à Londres (Angleterre). Adr. tel. Sclig-London. Tel. 3/p Bank.
- SELLE. — La selle de bicyclette doit être simple de ressorts et, assez dure. On revient moins fatigué d'un long voyage lorsqu'on s’est simplement, posé sur sa selle que lorsqu’on y est, “ entré jusqu’au ventre ’, l'effort fait, pour appuyer sur les pédales étant, dans ce dernier cas, absorbé en grande partie par les ressorts de la selle trop bien “suspendue ”. Bar exemple, la
- ROUE LIBRE EÀDIE MOYEU COMBINE
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- S E I
- — G i (» —
- 8 E II
- selle de course, se composant d’une simple bande de cuir fixée à un support de tôle emboutie,-ne blesse généralement pas.
- Quant aux selles de motocyclettes, elles seront plus larges et beaucoup mieux suspendues par de loris ressorts, destinés à atténuer non seulement les réactions du sol, mais aussi les trépidations causées par le moteur.
- SELS (J.-O, a collaboré à de nombreux
- journaux sportifs, français et étrangers, au Vélo et au Journal de V Automobile, — R édacte ur aux Sports, chargé de la rubrique cycliste. — Membre correspondant du Syndicat de la Presse sportive anversoise, de la Revue Sportive illustrée; rédacteur à la Culture Physique, etc.
- S. E. M., marque de fabrique (les Etablissements MieusseL
- SEMELLE MICHELIN. — Voir l'article Antidérapants.
- SEMENCE ( Emile), j8ô, avenue de Neuilly, Neuilly-sur-Seine. — Ne le 3o mars 1878. — Bibliothécaire du Touring-Cluh de France. — Collaborateur à Y Animal Baudry de Saunier,
- SENAC, garage, commerce d'automobiles, à Fontcnay-le-Comte (Vendée).
- SENCIER (Gaston), SG, rue Cardinct, Paris. Ingénieur À. et M. — Rédacteur en chef de U Automobile.
- SENCIER (Paul\ 28, rue Lalo, Paris. Tél. G^3-i5. Né à Paris, le 3 janvier 1882. Rédacteur aux Sports.
- SENELLE-MAUBEUGE (Société Métallurgique de), machines-outils, fer, fonte, acier, à Longwy (Meurthe-et-Moselle); et 10, rue Blanche, Paris.
- SENS DU COURANT. — Sens du mouvement attribué à l’électricité positive. Quand on ferme le circuit d'une pile électrique, il se produit un courant allant du pôle positif au pôle négatif et provenant de la différence de potentiel existant entre les deux pôles. Il ne s'agit ici, bien entendu, que de simples conventions.
- SENS DE MARCHE. — Avant ou arrière. — Voir Changement de marche.
- SENTENAC, garage, commerce d’automobiles, Grande-Rue, à Ramiers (Ariège).
- SERET-MARTIN (Albert), directeur du Service des Réparations aux Usines Renault frères, i3g, rue du Point-du-Jour, à Billancourt (Seine). — Né le 19 novembre jSyj. — Après avoir fait des études de droit (licencié), s’est adonné à la mécanique et est entré à la maison Renault frères, en 1899. au moment où le personnel était; au nombre-de l\o environ, seulement î — A couru de nombreuses courses à bicyclette et en automobile.
- SERGEANT, mécanique de précision, à Amiens (Somme).
- SERGENT, garage, commerce d’automobiles, i/[, rue Victor-IIugo, à Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais).
- SÉRIE. (Excitation des dynamos en série). — On dit (pie l'excitation d’une dynamo-est montée en série quand le lil des électros-est la continuation du fil de l'induit.
- — Série. — Voir Tension (En).
- — Série (Construction en). — Lorsqu’on a à construire un grand nombre d'appareils, semblables : automobiles, bicyclettes, machines à coudre, armes, etc., 011 parvient à une économie notable de temps et d’argent, en même temps qu'on perfectionne la fabrication, en divisant le travail à la dernière-limite permise par l’outillage et le personnel. C’est cette division du travail sur un grand nombre de pièces à fabriquer qui constitue la construction en séide. C’est, avec l'interchangeabilité des pièces (voir ce terme), l’une des caractéristiques de la construction moderne.
- SERINET (0.), jouets automobiles, 29, avenue de la Bourdonnais, Paris.
- SERINGUE à huile ou à graisse. —
- Ces deux instruments complètent assez utile—
- Seringue a graisse Seringue a iiuile
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- S É U
- S F A
- ment l’outillage d’une bonne automobile; car il est des cas où, sans elles, on sera dans l’impossibilité de faire pénétrer la moindre quantité de corps lubrifiant dans un organe mécanique. — 11 est indispensable que le piston de la seringue à graisse soit actionné au moyen d’une vis d'un système quelconque qui permette au chauifeur d’exercer sur la graisse une pression énergique, mais sans elï’ort.
- SÉRISOL, bornes électriques. — Voir Lacoste et C'10, Paris.
- SERIZE et Cio, fabrique d'antidérapants et de pneumatiques « Sccuritas », 0, rue Abel, Paris. Tel. 924*57.
- SERPENT. — Sorte de guiderope gros et court formé de plusieurs cordages tressés, qui sert soit à équilibrer le ballon tout près du sol ou de l’eau, soit à amortir le choc dans une descente rapide.
- SERPENTIN. — Tube enroulé en spirales, dans lequel on fait passer un corps liquide ou gazeux pour le faire rapidement changer de température. Les premières chaudières à vaporisation instantanée étaient constituées par un tube capillaire en serpentin.
- SERPOLLÉINE, huile minérale.—- Voir 01 éo (Société de /').
- SERPOLLET (Léon-Emmanuel), 9,
- rue Stendhal, Paris. Tel. 906-99. —Né à Culoz, le 4 octobre 1858. Chevalier de la Légion d’honneur. — Serpollet a été fini des tout
- premiers partisans de la locomotion mécanique sur route. J1 donna dès le début la préfé^ ronce à la vapeur et lui demeura toujours fidèle. D'abord établi rue dcsCloys, 27, à Paris, il s’associa en 1899 à M. Gardner et créa avec lui la marque u niversellement connue sous le nom de u Gardncr-Serpollet ” ; puis s'associa, en 190O, avec M. Darracq en fondant la *‘ Barra cq-Scr poil et” pour la construction des Poids lourds.
- SERPOLLET (Automobiles à vapeur). — Voir Darracq-Sei'pollct, Ltd.
- SERPOLLET ITALIANA (La), camions, omnibus, voitures à vapeur, via Ber-nina, à Milan (Italie) Tél. 34-06.
- M. Serpollet
- Le serre-joint
- ou
- SERRE-JOINT. —
- presse est un outil employé pour assembler momentanément, et les maintenir en contact, deux pièces mécaniques à réunir, soit pour1* marquer ” la place des trous apercer, soit pour reproduire à la lime ou au burin une pièce placée sur une autre.
- Le serre-joint est constitué par un demi-cercle d’acier dont une des extrémités est munie d’une vis à bout trempé, formant serrage à la main.
- SERRER A BLOC. — Serrer à bloc un écrou ou une vis, c'est, les serrer, en utilisant un outil de dimension convenable proportionné à leur taille, avec un effort assez puissant pour qu'ils ne puissent se desserrer d’eux-mèmes par la trépidation ou les chocs, et assez faible pour ne pas amener la brusque rupture du corps de la vis ou de l’écrou, ou le foirage de leurs filets. — C’est en partie pour éviter ce triste résultat qu'on intercale souvent des rondelles relativement assez malléables ou élastiques, entre la pièce a serrer et l'écrou qui la serre.
- SERRES. — Pièces de bois qui assurent, dans un canot automobile, la liaison longitudinale. On les divise en serres de bouchain. (pii suivent la largeur du bateau au tournant, des formes, et en serres-bouquières, situées à la partie supérieure de la copie, dont elles épousent le contour.
- SERRES. soudures, tôles de fer, 32, rue Pastourelle, Paris. Tél. 289-/17.
- SERRURES ET FONDERIES DE
- FER (Fabrique de), pièces détachées pour automobiles, à Velbert (Allemagne).
- SERTIR. — Se dit d'une pièce mince, généralement en tôle, dont on refoule le bord dans une rainure pratiquée sur une autre pièce pour l'y assembler. Exemple : le sertissage, sur le cylindre, d'une chemise de circulation d’eau en tôle mince. Ce sertissage s’opère au moyen d’outils à galets, qui refoulent le métal en l'empêchant de se gondoler.
- SERVOLES commerce d'au-
- tomobiles, à Ricux-Minervois (Aude).
- SEYLER (Eugène), canots automobiles, i5, quai de Marne, à Joinville-le-Ponl (Seine).
- SEYLER (G.), canots automobiles, au Perreux (Seine).
- SÉZILLE. commerce d’automobiles, à Corbie (Somme).
- S. F. A., porte-bagages pour automobiles. — Voir Million.
- AUTO-GENERALE
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- J. SALLERON
- Directeur
- AutomobiSes s
- L. Bollée, Brasier, Delaunay Ballirflle Pauliard-Levassor, Mors
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- s r.
- S I K
- - G18 —
- S. G-, accumulateurs. — Voir Gramme (Société). '
- SHELBY STEEL TUBING C°. tubes en acier, « tubes à renflements », à Piltsbourg (Pensylvania), Etats-Unis.
- SHILLING. — Abrév iation : Sh ou une barre inclinée '. Monnaie anglaise en argent, pesant fi gr. (io et valant 12 pcncc, soit i fr. aG.
- SCHOCK-SHIFTER HUB, moyeu pare-chocs. — Représentant : Ed. Moscr, a, rue de Cliàteamlun, Paris.
- SHUNT. — Dispositif électrique permettant de ne faire passer dans une dérivation d’un circuit, qu’une partie du courant électrique, c'est-à-dire de diminuer son intensité. Le shunt, réduit ordinairement l’intensité du courant aux i/t), yyy ou 1/999. La différence entre un slmnt et un rhéostat réside en ce ipie le rhéostat est intercalé sur le circuit même, tandis que le shunt est placé sur une dérivation du circuit.
- SIBLEY et PITMAN, accessoires pour automobiles, 2(1, Warren Street, à Ne\v-Yoik (Etats-Unis).
- SIBOURD, garage, commerce d'automobiles, à Gap (Hautes-Alpes).
- SICILIA SPORTIVA, revue hebdomadaire, à Païenne (Sicile). Directeur : M. le Baron A. Micela. Rédacteur en chef : .M. le Chevalier R. Micela.
- rue Yillaret-dc-Joyeuse, Paris. Tel. 009-29. — Né à Paris. Directeur de la maison Les Fils de. Peugeot frères, à Paris. Sport s-nian fervent, fait de l'automobile depuis
- i8(/|.
- SIDDE-LEY AUTOCAR C°, aulo-
- mobiles, 79, York st rce t ( Westminster), à Londres (Angleterre).
- SIDER (Société Anonyme des Bandages souples), bandages en caoutchouc armé, ai, rue La Boétie, Paris.
- SIDNEY STRAKER and SQUIRE, Ltd, construction d'omnibus automobiles, f>. Nelson square, Blackfriars Road, à Londres (Angleterre). Tel. 3Gq et 3~o IIop. Adr. tel. Rhomboidal-London.
- SIECKE und SCHULTZ, accessoires pour automobiles, 120, Oranicnst.rasse, à Berlin (Allemagne).
- SIEGE. — Dans une voiture attelee, c’es la partie de la voiture réservée au cocher ; le coussin est placé sur le cadre ou châssis du siège (non une parclose. expression réservée spécialement aux places de maîtres). En dessous du siège, se trouve le coffre. Le cocher a devant lui le garde-crotte ; ses pieds reposent sur la coquille.
- Dans une voiture automobile, on admet, par extension, qu’un siège est toute banquette destinée indifféremment soit aux maîtres, soit aux domestiques.
- Constitué par un coussin reposant sur la parclose (cadre en bois plein ou canné), le siège est accompagné d’un dossier. Dans une voiture confortable, le dessus du coussin qui forme le siège est ordinairement situé à centimètres du plancher, lorsque le coussin a une profondeur de 55 centimètres (profondeur ordinaire). 11 est évident que cette hauteur devra être légèrement réduite lorsque le siège aura un peu plus de profondeur.
- Le siège doit avoir une largeur minima do 5o centimètres par personne, le dossier une hauteur de /|S à 5o centimètres au-dessus de la partie supérieure du coussin.
- Entre la banquette et le tablier du moteur (planche avant), il existe un espace libre, constituant l'entrée, qui doit avoir environ Go centimètres do large, dimension suffisamment grande pour loger les jambes des personnes assises à l’avant.
- La banquette arrière, ordinairement réservée aux dames ou aux invités, aura 55 centimètres de profondeur, nécessaires pour une bonne assise ; une distance de G5 à 50 centimètres sera observée du devant, du coussin à la base postérieure du siège avant, distance permettant d'allonger les jambes confortablement.
- Pour que l’on puisse accéder aux places arrière dans les voitures où l’entrée se fait, par l’avant, un des sièges avant tourne sur lui-méme soit, en pivotant, soit en basculant sur le côté. — Voir Caisse, Carrosserie.
- SIEGE (Mécanique). — Endroit, sur lequel repose le contour d’une soupape ou d’un clapet. — Voir Soupape.
- SIEGEN-SOLINGEN (Compagnie des Forges et Aciéries de), fabrique d'aciers,' à Solingen (Allemagne); et ai, rue Godot-do-Maurov, Paris.
- SIEMENS (Induit de). — L’induit de cette machine, due à Siemens, est constitué par un noyau de fer doux, où l’on a ménagé des encoches destinées à enrouler un lil électrique parallèlement à l’axe. Celle bobine se meut dans le champ magnétique d’un aimant. •— Voir Dynamo (enroulement on tambour).
- SICOT (Charles), 1,
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- S I G
- — 61 (j —
- SIGMA, moteurs à pétrole. — Voir Chanvp-robert (De), h Paris.
- SIGNAUX DE ROUTE. — L'Association Générale Automobile a proposé un système de signaux de route, sous forme de plaques indicatrices qui sont destinées à prévenir les chauffeurs des obslacles de toute catégorie qu'ils peuvent rencontrer sur la route.
- Il fut, après étude, décidé que le signal devait etre d’une « lecture instantanée, sans
- « hésitation possible, compréhensible dans « toutes les langues, visible de très loin et « imposant forcément par avance à l’œil du « chauffeur la représentation symbolique de « l’obstacle à éviter. »
- La Commission de l’A. G. A. a donc adopté les signaux de route ci-contre (les points blancs ou noirs indiquant qu’il est utile de corner ” à l'endroit désigné par le poteau placé sur la droite de la route, environ 3oo mètres avant l’obslacle signalé à l'attention du chauffeur.)
- 0! Hlïïïj
- Village Mauvais pavé Passage a niveau
- n XI B B
- Passage en dessous (. R < ) IS E M EN T D A N G E R E U X Kails en saillie sur LA ROUTE
- / H
- Mon i ke Virage avec montée Dos d'axe
- V s
- Descente D ESCENTE SINUEUSE AVEC MAUVAIS VIRAGE Virage avec descente
- r~ w
- Signaux de route de l’A. G. A.
- SIGNES. — Les
- signes sont des abréviations (voir ce moti, très souvent employées en algèbre, géométrie. etc. Nous donnons ici un tableau des signes les plus utilisés :
- = *‘Kalc-
- —j— plus ; ou pôle positif.
- — moins ; ou pôle négal if.
- —h plus ou moins.
- . ou X multiplié':
- par.
- ou
- {«)
- t/ri
- OO infini.
- divi
- e par.
- x, y ou z, inconnu.
- Tt rapport de la circonférence au diamètre (d,l !\ ifiyiiG).
- ’ minute, ou prime.
- seconde.
- 0 dégré.
- (Signes placés en exposants.)
- 011 \l r a e i n e carrée.
- \l raeinecubique.
- \l racine 4° puissance.
- 0° indéterminé.
- f intégrale (initiale de somme).
- ff intégrales doubles (triples, etc.).
- — somme.
- différent de. pluS grand que.
- Signaux indicateurs lumineux
- pour
- VOITURES AUTOMOBILES
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- 60, rue Desrenaudes, 60 PARIS (Av. Niel)
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- <C plus petit que. supérieur ou égal, inférieur ou égal.
- TOURING CLUB ITALIANO
- H—H*
- TOURING CLUB ITALIANO
- PASSAGGIO A LIVELLO
- SILBERNAGEL,
- obtention de brevets d’invention, conseil en matière de propriété industrielle, iGG, boulevard Magenta, Paris.
- SILENCIEUSE
- (La)} voitures électriques. — Voir Electro-motion (Société U).
- SILENCIEUX.—
- Appareil intercalé sur la tuyauterie d’échap-peinent d’un moteur et destiné à en supprimer, ou du moins à en atténuer le bruit. Ce résultat ne s’obtient, trop souvent, qu’au détriment delà puissance du moteur, en raison de la cont répression créée par l’appareil à llécbap'pement. La plupart des appareils cons-truits à ce jour présentent-, en effet, le grave défaut de ne pas offrir au moteur une capacité suffisante où les gaz s'échapperaient presque librement, du moins sans contrepres sion sensible, et d'où ils seraient ensuite conduits à l'atmosphère par les chicanes constituant le silencieux
- proprement dit. Ils ne présentent pas cette capacité, et cela malgré leur grand encombrement, parce que la place y est mal utilisée. La figure représente un silencieux très
- SVOLTO PERICOUOSO
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- S1MIACCIDEHTATA
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- TOURING CLUB ITALIANO TOURING CüJB ITALANO
- GARDONE VI Km 564 JUNgt h- PONTE CAFFARO Kmi4 k T J—4-
- «sac PERICOLO STBADA INTERROTTA
- Signaux de roule du Touriny-Cluh I/alien.
- Obstacle sur la route
- << QXte-v\Xu>w U
- Tournant dangereux Descente dangereuse
- Signaux de roule de la L. /. A. T.
- indiqué par les flèches, et u'à la sortie. Le long par-
- O O
- >. H- 1 O 1 O 0 0 (V
- O) o , "t4 1 i
- ^ fir
- SciIKMA d’i n S1LKNCIKCX
- simple, ayant l'inconvénient (pie nous signalons. Les gaz arrivent par le tuyau central, percé de trous à son extrémité, par où ils se rendent dans le premier espace annulaire en
- suivant le trajet ainsi de suite ju cours sinueux suivi atténue les variations de pression et de vitesse du courant gazeux qui s'écoule d'une façon plus continue, et, par suite, moins bruyante. Au point de vue con-trepression, l’appareil est mauvais, en ce sens qu'à l'ouverture de l’échappement la seule capacité offerte au gaz est le tuyau central; et le piston est obligé d’y forcer en quelque sorte ceux-ci à travers les petits trous dont il est muni. Dans un silencieux rationnel, une poche de détente, ayant un volume de plusieurs fois celui du cylindre, doit recevoir les gaz qui n’y trouvent pas de pression sensible et surtout n’y produisent pas de surpression exagérée par leur arrivée brusque. De ce réservoir, les gaz doivent se détendre d’une-façon à peu près continue à travers les chicanes ad hoc, pour s’échapper d'une façon
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- Voir aux Annonces.
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- «'gaiement continue dans l’atmosphère. Le refroidissement de l’appareil par circulation d’eau en augmente considérablement l'efficacité par la contraction des gaz produits et la diminution immédiate de vitesse qui cri résulte.
- — Le s i 1 e n ci e u x lîizeul, qui peut ctre considéré comme l’un des meilleurs appareils similaires, est construit, sur des données différentes. Les gaz traversent, avant de se rendre au diffuseur, quelques tubes d’acier qui sont largement refroidis par un courant, d'air, en sorte que, même pendant le fonctionnement du moteur à pleine puissance, 011 peut saisir à pleines mains le dilfuscur sans se brûler. O11 sait •que les expériences de M. René Arnoux et de -M. Lumct au Laboratoire de l’A. C. F. ont démontré le rôle considérable que joue le refroidissement dans rétablissement, d’un silencieux. M. Bizeul a donc ouvert, là une voie qui semble la bonne pour l'amélioration des silencieux. (Voyez Omnia, numéros 5 et l\tj).
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- ROUTE EN COURS DE
- RECHARGEMENT
- du T. C. F.
- — Les automobiles circulant sur la voie publique « doivent, être munies de silencieux ellectifs ». — Ordonnance du Préfet de police de Paris, en date du a mai kjoü.
- Silencieux :
- - Bizeul (A.), à Bazas U‘‘ronde).
- — IfussENOr et Raynaud, silencieux de Jietz, 39, rue La Boétie, Paris..
- SILICIA, batterie d'allumage, 3i, rue Piat, Paris.
- SIMBLEAU. — Instrument de mesure, en mécanique, qui sert à déterminer le centre d'une ouverture dans une pièce. C'est généralement une traverse en bois ou en métal. Le simbleau est quelquefois extensible.
- SIMMS (Frédéric/i). — Issu d une famille anglaise de Birmingham. Né à Hambourg, en i 8(LL Membre de l’Automobile Club de France; fondateur et président de l'Automobile Club de Grande - Breta-gne.
- SIMMS, tampon de sûreté p n e u m a t i q u e pour l’avant, des automobiles, 1^,
- Barbiean Street, à Londres (Angleterre).
- AUTO-GÉNÉRALE
- 16, rue Duret — PARIS
- J. SALLERQN
- Directeur
- Automobiles : I
- L. Bollôe, Brasier, Delaunay BellivUle | fanliard-Levassor, Mors I
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- S 1 M
- — (>2 2
- S I M
- SIMMS-BOSCH (Compagnie des Magnétos), 22 cl 24, rue Violet, Piiris (i5“). Tél.
- if>-oü. Atlr. tél. Magnéto-Paris. Magnétos à rupture cl à bougies pour tous moteurs.
- La marque Simms-Bosch est représentée en Allemagne, Angleterre, Belgique, Italie, Autriche, Hollande. Gagnante de la Coupe Gordon-Bennett en 190II, 190.4, 1900 ; des Coupes Vanderbilt. Florin, Pyrénées et nombreuses autres courses. Les principales marques de Ions les pays emploient l'allumage de la maison Simms-Bosch, qui a construit sa iooooo" magnéto, en juin 190G. — Après la Coupe Gordon-Bennett, en 190.4 et en 1900, après la Coupe d'Or de Milan et la Targa Florio en 1906, dont Ions les premiers marchaient avec magnéto Simms-Bosch, ou a vu, au Grand Prix de FA. G. F., 190(1, les irc, •V". G", /,», 5", 7° voitures gagnantes munies de magnétos d'allumage Simms-Bosch.
- La magnéto Simms-Bosch a été minutieusement décrite, pièce à pièce, dans l’ouvrage de Baudrv de Saunier L’Allumage dans les Moteurs à explosions. Voir Magnéto.
- SIMMS Mfg C\ Ltd. fabrique de magnétos, Kimberley Boad, VVillesden Lanc, à Londres (Angleterre). Tél 809 Paddington. Adr. tél. ICxpansible-London-, et .22, rue Violet, Paris.
- SIMON Jeune, fabrique de ressorts, 2, rue Fontaine-au-Boi, Paris
- SIMONET [Jules). — Né à Bordeaux le, 1/1 juillet i8G5.
- Officier d’Académie. Directeur de la Française électrique. Ancien élève de l’Ecole des Arts et Métiers d'Angers ; ancien ingénieur - d i -recteur de la maison Cohen-det et C'a ; ancien directeur des Automobiles Clément, à Leval-lois. Ex-secré-laire de la M- Soioniu
- Chambre syndicale des cycles et automobiles ; membre des jurys à l'Exposition de Liège, en 190b, et à l’Exposition de Milan, en 190(1.
- SIMPLETTE [Lu), voilurette automobile. -— Voir Crochat, Paris.
- SIMPLEX [Accumulateurs), 5, rue Groix-.lordan, à Lyon (Bhône).
- SIMPLEX (Hélices réversibles). — Voir Jessé [de) et
- Les différents typ3s de magnétos i< Simms-Bosch » en 1907 :
- a normes :
- Type DA:! pour motocyclettes à 1 cylindre.................................) • , . ,
- _ DAV — ' a ' en V................................... a la 1 2 vitesse du
- DA111 - 2 — parallèles (allumage à 180") . inoteui.
- DAg — 2 —' — ( — 90“ 1, à la vitesse.
- 1)3B pour voituretles à 1 cylindre, à la 1/2 vitesse du moteur.
- D:>. pour voitures à >. cylindres, à la vitesse du moteur.
- 1)3 3 aux 3/4 de la vitesse du moteur.
- DB4 4 à la vitesse du moteur.
- D4 4
- D(> G à 1 fois 1 2 la vitesse du moteur.
- IIDh -- 4 • à la 1/2 vitesse du moteur.
- — IIDh modelé spécial sans distributeur, à la 1/2 vitesse du moteur.
- l):d\ - à la vitesse du moteur.
- FN modèle spécial pour motocyclettes à 4 cylindres.
- a r.rrTmu: :
- Type AB:>. pour motocyclettes.......................................\
- ABS pour voituretles.................................. ... 1
- ABn pour voitures............................................ a la \itcsse du moteur.
- ABU pour grosses voitures....................................
- AB4 modèle spécial pour voitures de course...................
- MB pour voilures........................................../ . . ,
- SB pour grosses voitures..................................^ a la 1 •> vitesse du moteur.
- — C3F pour moteurs lixes '
- — MF ( , ... ,
- v avec écran oscillant.
- Ml 11' - i
- M4F — - )
- — BF — — avec induit oscillant.
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- S M I
- — (J 2 3
- SIMPLEX, obturateurs pour fuite de radiateurs. — Voir Pcrez el C‘".
- SIMPLEX (Susj>ension). — Voir 17-tjneaux, Paris.
- SIMPLEX-PETER, pneumatiques. — N oir Peler, Paris.
- SIMPLEX SHOCK ABSORBER,
- amortisseur de chocs, fabriqué par Sluehl and C“, aGa West, !\3 rd. Street, à New-York (Etats-Unis).
- SINE, garage, commerce d automobiles, rue Rempart Villeneuve, à Perpignan (Pyré-nccs-Orienlales).
- SINGER et C% Ltd, fabrique d'automobiles, à Coventry (Angleterre).
- SINGER and C°, commerce d’automobiles, i~, llulborn-Viaduct, à Londres (Angleterre).
- SINTAS, garage, commet ce d'automobiles, 31, Gaspe, à 13arcelone (Espagne).
- SINTZ GAZ ENGINE , moteurs à pétrole, à Détroit (Etats-Unis).
- SINUS (abréviation : s in). — On appelle sinus la perpendiculaire abaissée d'une des extrémités d'un are sur le diamètre passant par l’autre extrémité.
- SIOT, garage, commerce d'automobiles, 28, place de l’Ilôtel-de-Vilie, à Heauvais (Oise).
- SIRCOULON et AMSTUTZ, écrous el tubes en acier, à Meslièrcs (Doubs); el 5G, rue Turbigo, Paris. Tel. 220-97.
- SIRDAR RUBBER C°, fabrique de pneumatiques, Shirland-Road, à Londres (Angleterre).
- SIRÈNE. — La trompe ne suffit pas toujours, bien certainement, au cbaulfeur tour prévenir de l'arrivée de son véhicule es usagers de la roule, paysan endormi dans sa charrette, roulier insouciant, etc. — O11 arrive à juger que la sirène, la redoutable sirène aux cris stridents, est indispensable souvent, particulièrement en montagne et dans les rouies à virages nombreux et rapides.
- On construit, des sirènes, qui sont actionnées par un galet pouvant frotter à la volonté du chauffeur sur le volant du moteur et dont le “ cri ” peut, être entendu à deux kilomètres de distance. — Rappelons que l'usage de la sirène est interdit à Paris ainsi que dans la plupart des villes de France.
- Sirènes :
- - - Auto-Pai.ace, 77 bis, avenue de la Grande-Année, Paris.
- — Comiot (('.), 87, boulevard Gouvion-
- Saint-Cvr, Paris.
- — Desponts, üo, rue Victor-Hugo, à Le val-lois-Perret (Seine).
- — Française {Société La). 11, rue Brunei, Paris.
- — Hussenot et Raynauu, 89, rue La Boétie, Paris.
- — Mestre et Blatué, ü, rue Brunei, Paris.
- - Santa-Maiua (De), G, Chaussée-d'Antin,
- Paris.
- SIRÈNE (Société Anonyme La\. constructions navales, à Maisons-Lafiilte iSeine-et-Oise).
- SIRIUS, pneumatiques. —Voir Berl 1.1.).
- SIRIUS (Le), phare. — Voir Denich i.L).
- SISCART, motocyclettes, jâ, rue des Cendriers, Paris.
- S. I. T. tMarque), accessoires. — Voir Téléphones 1Société Industrielle des).
- SITES et MONUMENTS. — Recueil en trente-trois volumes, édité parle Touring-Club de France, (>.">, avenue de la Grande-Armée, Paris. — Reproduction des sites et monuments de France par la photogravure, classés par départements et. accompagnés de notices et de cartes routières. Le prix de la souscription est fixé à 110 francs.
- Celte œuvre magnifique du T. G. F. a été couronné en iç)o(i, par l'Académie Française, qui lui a attribué le prix Fabien.
- SIX CYLINDRES. — 1 -es moteurs à six cylindres, depuis quelque temps a la mode en Angleterre, commencent à être adoptés en France depuis 1907. La douceur d'entrainement d'un six-cylindres, sa souplesse, etc., en font un moteur remarquable, mais malheureusement d'un prix d'établissement assez, coûteux. — Voir à ce sujet les éludes publiées-dans Onvnia en novembre 190G et le mot Cylindre.
- SIVAN (André), garage, commerce d'automobiles, à Fréjus (VarL
- SIZAIRE et NAUDIN tSociété des Automobiles). 79, rue de Lourmel. Paris, Tél. 7io-/|G. Adr. lél. Sizairautn-Paris.
- SMALLEY MOTOR Ch moteurs do marine, Ray City (Michigan), Etats-Unis.
- SMITH (Georyes, William), directeur depuis jo ans de la succursale en France do YJndia liubber. (lutta Percha et Teleyraph Works ('“ IW. dont l'usine est à Persan (Seine-rl-Oise), el les magasins sont à Paris, 97, boulevard de Strasbourg. Appartenait à la maison avant de la diriger. A été nommé Cheviilier de la Légion d'honneur en 1901. — Adresse : Persan (Seine-et-Oise).
- SMITH, garage, commerce d'automobiles, 1, Weymoutb Street, à Halifax (Angleterre).
- SMITH AUTO COMPANY, fabrique d'automobiles, a Topeka (Kansas), Etats-Unis.
- SIRFIIFÇ DESPONTS (Drev. s. 9 fl. g.)
- vinilIlEV 150, rue Victor-Hugo, LEVALLOIS
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- SMITH et COVENTRY, Ltd, machines-outils, à Manchester. — Voir IIanning.
- SMITH et FLAIG. bandages pleins en caoutchouc, 17, corso Porta Nuova, à Milan (Italie).
- SMITH et MABLEY, commerce d’automobiles et d’accessoires, 1761, Broadway, ôyth Street, à New-York (Etats-Unis).
- SMITH et Son, indicateurs de vitesse, fl, Strand, à Londres; et 34, boulevard Voltaire, Paris.
- SMITH PARFREY and C°. fabriques de roues (Pimlico Wheel Works), Fulliam Palace Road, llainmcrsmith, à Londres (Angleterre). .
- SOCIABLE. — Nom donné autrefois aux tricycles que l'on pouvait monter à deux personnes, de front.
- SOCIEDAD ESCUELA PRACTICA AUTOMOVILISTA (N. E. P. A.), Automobile Club, i(>«, calle Yaguaron, à Montevideo (Uruguay).
- SOCIEDADE PORTUGUEZA DE AUTOMOVEIS, commeree d’automobiles, 4, rua do Jardin do Kcgedor, à Lisbonne (Portugal).
- SOCIETA AUTOMOBILI LOM-BARDA. construction d'automobiles « Espe-ria », à Bergamo (Italie). — Société anonyme nu capital de 1 000000 francs. Conseil d’administration : Président, .• M. le comte (iianforle Suardi, député à la Chambre ; vice-président : M. le comte Oerolamo Bossi Martini, sénateur du royaume; membres: MM. le comte (iianoberto Gulinelli, Cesare Cmecchi, Rag. Carlo Zaucbi, Ing. Augusto Caudini, Avv. Corrado Médina, Lamberto Sala, l)r Emilio Antonioli. Le directeur général des usines est M. l'ingénieur Giuseppe Ghirardi.
- Les nouvelles usines occupent une surface de /(2 5oo mètres carrés, dont plus de 10000 couverts. —• Cette Société construit deux types de voitures 1907 : la première est à cardan avec moteur de 20 chevaux, la deuxième à chaîne avec moteur de 4o chevaux. Le moteur 20 chevaux comporte 4 cylindres, venus de fonte d’une seule pièce ; celui de 4o chevaux est à cylindres fondus par paires.
- - Les caractéristiques des deux types sontl'al-luntage par magnéto basse tension avec nouveau système de rupteur, et avance automatique, carburateur a dosage automatique et constant, lubrification intérieure sous pression, supprimant toute tuyauterie, avec réservoir dans le moteur mémo. — Embrayage à plateaux disposé de façon toute nouvelle assurant la parfaite coaxialité des arbres, changement de vitesse à quatre combinaisoiîs avant eL marche arrière avec trois trains halladeurs — quatrième en prise directe. — Transmission entièrement sur billes. — Ces voitures sont construites avec un soin méti-
- culeux, la ligue en est très élégante et le mécanisme comporte des dispositions nouvelles brevetées, qui assurent une simplicité extraordinaire à tout l’ensemble. — On ne rencontre sur les voitures « Esperia » ni tubes ni fils et tous les organes sont complètement accessibles et facilement démontables. — La Société livre aussi des véhicules industriels, toujours conçus avec cet esprit de simplicité très pratique que caractérise tous les produits de la marque « Esperia ».
- SOCIETA ITALIANA AUTOMOBILE commerce d'automobiles, piazza San Luigi dei Erancesi, à Rome (Italie).
- SOCIETA NAPOLETANA AUTOMOBILE commerce d'automobiles, à Naples (Italie).
- SOCIETA PIEMONTE AUTOMO-
- BILI (S. P. .1). — Y oir Ansaldi Ceirano.
- SOCIETA TORINESE, fabrique d’automobiles S. T. A. R., corso Principe Umberto, à Milan (Italie).
- SOCIÉTÉ ANONYME DE CONSTRUCTIONS MECANIQUES DE LA LOIRE, construction d’automobiles et de pièces détachées, rue Parmentier, à Saint-Etienne (Loire).. — Voir Aulomolo.
- SOCIÉTÉ AUTOMOBILE DU LITTORAL, agence exclusive des Etablissements Panhard-Levassor, 77, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél. 070-34 ; 35, rue de la Paix, à Nice; 4> avenue de Bayonne, à Biarritz; 10, cours Tournon, à Bordeaux. — Société fondée en 1900. au capital de 3oo 000 francs. — Président, du Conseil d'administration : M. Arthur Pinson; directeur : M. Edouard Caspar.
- SOCIÉTÉ D’ENCOURAGEMENT pour le développement de l’industrie automobile en France. — Voir Automobile Club de France.
- SOCIÉTÉ ÉGYPTIENNE D ÉLECTRICITÉ. — Voir Egyptienne (Société). 43, rue du Rocher, Paris.
- SOCIÉTÉ FRANÇAISE D’INITIATIVE pour le transpoit par automobiles (Matériel Darracq-Serpollet). Siège social : 17, boulevard llaussniann, Paris.
- SOCIÉTÉ FRANCO-AMÉRICAINE D’AUTOMOBILES, 90, boulevard Gou-vion-Saint-Cyr, Paris.
- SOCIÉTÉ GÉNÉRALE DES AUTOMOBILES INDUSTRIELS — Voir Automobiles Industriels (Société Générale des).
- SOCIÉTÉ LORRAINE des Anciens Etablissements de Diétrich et Cl0, de Lunéville. — Voir Diétrich (de) cl Cle.
- SOCIÉTÉ LYONNAISE DE CONSTRUCTION D’AUTOMOBILES.—Voir Rochet-Schneider.
- Achat au comptant d3 toutes voitures 1 I ITfl CTA N R rue Duret
- DE DION-BOUTON MU I U O I Mil LP PARIS
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- SOCIÉTÉ MÉTALLURGIQUE DE LA SEINE, pièces délacliées ]>our automobiles, l'ers, aciers. — Voir Dreyfus Frères, Paris.
- SOCIÉTÉ PARISIENNE DE CONSTRUCTIONS MÉCANIQUES. — Voir
- Vulpès (Automobiles).
- SOCIÉTÉ PARISIENNE D’AUTOMOBILES , io, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tel. 5o3-4y.
- SÔDING et HALBACH, aciers et pièces de l'orges, a llagen (Westphalie).
- SÔHNLEIN (II.), moteurs, 32, Frank-lurterslrasse, Wicsbadcn (Allemagne).
- SOIE. — La soie est la partie d'un outil, ordinairement pointue, qui pénètre dans le manche. On appelle aussi soies les petites broches rivées qui, dans les chaînes, réunissent les pièces latérales plates nommées flasques ou joues.
- SOLAR (Phares). — Voir Bailger Brass M/'g C\
- SOLARINE COMPANY, io, cité Ri-verin, Paris.
- SOLDATI, maroquinerie pour automobiles, i/|i, r. de Venues, à Liège (Belgique).
- SOLDATI Fratelli, commerce d'automobiles, t\, via Carlo Ravizza, à Milan (Italie).
- SOLEIL (Roue), M. Brémond, 53, rue de Châlcaudun, Paris.
- SOLEIL (Automobiles). — Voir Men-dellsohn.
- SOLÉNOÏDE. — Fil de cuivre enroulé en hélice. Le solénoïdc d’Ampèrc consistait en la réunion de circuits petits et fermés, placés perpendiculairement, à une même ligne. On a découvert par l’expérience que les solénoïdcs possèdent les mêmes propriétés que les aimants. On donne souvent à un solénoïdc le nom de cylindre électrodynamique.
- SOLIDE. — En géométrie, on désigne par le nom de solide tout corps ayant (rois dimensions : longueur, largeur, hauteur.
- SOLIDIFICATION (Lois de la). — i° La solidification se produit pour chaque corps à une température fixe qui est celle de la fusion ;
- 2° La température reste constante pendant toute la durée de la solidification.
- Parfois certains corps présentent le phénomène de la sur fusion, c’est-à-dire restent fondus en dessous de leur point do fusion (par exemple, le phosphore).
- SOLIDIUM, fonderie d’aluminium. — Voir Martin et Leroy.
- SOLIDOR (Automobiles). — Voir Beau-lieu und Kronc.
- SOLINGEN t.lci’er.v de).— Voir Siegen-Solingen.
- SOLY (A.), pneumatiques, g, place de l’Abondance, à Lyon (Rhône). Dépôt : i5, rue Gainbey, Paris.
- SOMMER MOTOR CAR C°, construction d’automobiles, a Détroit (Michigan), EtaB-U nis.
- SONNET (Henri), yf>, Grande-Rue, au Pré-Saint-Gervais (Seine). Tel. 41.5-62 et 438-
- 09. — i\e a tseauvais, le 20 juillet 1070. —-Chef de la publicité de la Société Française des Cycles Clément et Gladiator. — Ancien
- rédacteur au Vélo et à Y Auto.
- SORBONNE (Vulcanisaleur), 22, rue de la Sorbonne, Paris.
- SOREL. — Gagnant de la Coupe des Pyrénées, en septembre 1900, sur voiture de Diélrich. —• 12, av. de Neuilly,à Neuilly.
- SORGE et SABEK, pièces détachées pour automobiles, 8G, Mauerslrasse, à Berlin (Allemagne). Tél. 8-423.
- SORGUE (FTe), fabrique de ressorts et cle tuyaux flexibles à haute pression, 9, passage Corbeau, Paris.
- SORIGNET, garage, commerce d’automobiles, rue Martrou, à Rochefort-sur-Mer (Charente-Inférieure).
- SOTOMAYOR (Ferdinand de), tricars «la Libellule », 19, boulevard Bourdon, Paris.
- SOUDURE. — Opération ayant pour but d’assembler ensemble deux surfaces métalliques (voir Brasage), par la fusion d’un alliage intermédiaire. La soudure s’effectue après mise à vif (décapage) préalable des surfaces à souder, soit au moyen de la lime, soit au moyen de réactifs chimiques (esprit de sel). Les surfaces décapées sont enduites de chlorure de zinc (esprit de sel décomposé), ou encore d’acide stéarique (bougie) ou de résine, de façon à être mises à l’abri du contact, direct de l’air atmosphérique. On coule l’alliage soudant, sur les surfaces chauffées avec le fer à souder (voir ce mot) ou la lampe à souder. L’alliage fusible est constitué soit par de l’étain pur, soit par un alliage moitié étain moitié plomb.—Voir Recettes du Chauffeur, par B. de S.
- — Soudure autogène. — Soudure réalisée sans interposition d'un métal ou d’un alliage différent de celui de la pièce à souder. Exemple deux pièces de plomb soudées avec du plomb, de fer soudées avec du fer. La soudure autogène exige une température plus élevée que la soudure ordinaire, d’autant plus élevée que le métal à souder est moins fusible. Par conséquent, si la soudure autogène du plomb (fusible vers 35o°) n’exige guère que l’emploi du chalumeau à gaz et air, celle du fer (fusible vers 1 5oo°) exige l’emploi du chalumeau à acétylène et oxygène, ou à hydrogène pur, ou à oxygène et hydrogène.
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- AUTOMOBILES
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- 39, quai d’Argenteuil,
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- far l’Isle-Saint-Denls (Seiae).
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- On fait quelquefois à la soudure à acétylène, très avantageuse, très pratique, le reproche d’aciérer fortement le métal 'au moyen du carbone libéré par la dissociation d’une partie du gaz, ce qui rend le métal fragile, quoique la résistance à la rupture reste bonne ; c’est là un reproche qui doit être fait à l'ouvrier manœuvrant mal le chalumeau et ne sachant pas rendre à coup sûr la flamme oxydante ou réductrice à sa volonté, et non au procédé lui-rnème. — Voir Chalumeau et Oxhydrique.
- — Boas, Hodiugues i:t Gie, soudure autogène, (>7, boulevard de (lharonne, Paris.
- — Ciiausselat, soudure autogène de tous les métaux, 11, rue Princesse, Paris.
- — Marinier. procédés de soudure autogène pour tous les métaux, 33, rue du Chà-teau. a -Neuilly-sur-Seine (Seine).
- SOUDURE AUTOGÈNE de la fonte, de l’aluminium et de tous les métaux. — Spécialiste : Ciiausselat, 11, rue Princesse, Paris. Tel. 8a5-3ij.
- SOUFFLÉ. - Un radiateur est dit soufflé, lorsqu’on a disposé sur sa l'ace arrière un ventilateur qui, actionné par le moteur, force l'air à le traverser rapidement, même lorsque l'automobile roule à petite vitesse.
- SOUFFLURE. — On appelle soufflures des petites cavités qui se rencontrent quelquefois dans les pièces de fonderie et y constituent un grave défaut. Plies sont ducs à la mauvaise qualité de la fonte ou à sa malpropreté ; elles se produisent aussi lorsque la fonte est coulée à une température trop peu élevée, ou lorsque le mouleur n'a tas su réserver dans de bonnes conditions es sorties de l’air dont le métal en fusion doit prendre la place : les huiles d’air restent emprisonnées (huis la fonte et produisent alors les soufflures.
- SOUFRE — Corps simple, dur et jaune; métalloïde divalent. Le soufre est insoluble dans l’eau ; il fond vers i :>.o°. 11 répand en brûlant l’odeur d’anhydride sulfureux bien connue de tous ceux qui se servent d’allumettes. Densité : 3a. — Il se rencontre dans la nature soit a 1 état natif, soit combiné avec, d’autres corps (sulfure de fer ou sulfate de soude par exemple). On l'extrait, soit en utilisant, pour la fonte d'une partie de la quantité traitée, la chaleur que dégage la combustion de 1 autre partie, soit en le fondant a l'aide de vapeur d'eau surchauffée. Certains industriels se contentent de lui l'aire traverser une dissolution chaude de sel marin et d’eau. Le sou Ire devra ensuite être raffiné. Pour le purifier, on le volatilise dans des récipients spéciaux. -Nous citerons comme principal centre d’extraction du soufre la Sicile^fournissant près des quatre cinquièmes de la production du globe.
- Parmi les divers usages industriels du soufre, nous ne parlerons que de la vulcanisation du caoutchouc. Ce procédé, inventé par Charles Goodyear, consiste à mélanger au caoutchouc de la fleur de soufre (voir ce mot). La vulcanisation a l’avantage d’augmenter la résistance à la traction du caoutchouc et de l'empêcher de mollir et de perdre son élasticité au-dessus de 80", onde devenir dur et cassant au-dessous de o" : il est en outre inattaquable par les acides et conserve sa forme.
- Pour vulcaniser le caoutchouc, on le coupe en morceaux, 011 le lamine sous l'eau froide pour lui faire perdre ses impuretés, 011 le comprime dans des moules ou sous des cylindres pour rendre la masse bien homogène, on le réduit en feuille et 011 l'additionne de soufre, à raison de 5 de caoutchouc pour 1 de soufre.
- — Soufre (Fleur de). — Soufre sublimé obtenu en ne laissant pas s’échauffer la chambre où l’on condense les vapeurs de soufre pendant l'opération du raffinage. Soufre très pur, se présentant sous l'aspect, de fine farine.
- — Soufre en canon. — Soufre obtenu en laissant s’échauffer la chambre, d’où fusion du corps que l’on fait, refroidir dans des moules cylindriques appelés canons.
- SOUGLAND (Forges et Fonderies de), à Sougland, commune de St-Michel (Aisne) ; et 8, rue Ruty (cours de Vinccimes), Paris.
- SOULAS (Société Anonyme de la Houe),
- 3", rue de Lowcndal, Paris. Tél. 720-07.
- SOULET (Albert), garage Lafayette, commerce d'automobiles, 07 bis, allée Lafayette, à Toulouse (Haute-Garonne). Tél. 2-28. Adr. tél. Soulet-Automobile-Toulouse.—Né à Castres, le 5 avril 1803. Ancien dessinateur aux Compagnies d’ouvrieis d’artillerie; entré à l’Ecole de Versailles, en est, soi ti officier en i8(j3; a démissionné pour s’adonner à l’automobile.
- SOULIER (-1.), appareils pour recharger les accumulateurs par un courant alternatif, soupapes électriques, 2, rue Boulard, Paris.
- SOULIER ET GOURLÉ, articles pour carrosserie automobile, nickelage et polissage, t) bis, rue Gravel, à Levallois-Perret. (Seine). Tél. 5(iô-8().
- SOUPAPE D AÉROSTAT. — Appareil placé au pôle supérieur du ballon et qui peut donner passage au gaz lorsqu'on l’actionne en tiiant une corde dite corde de soupape qui descend à travers le ballon et par la manche d’appendice jusque dans la nacelle à portée de la main de l’aéronaute. La soupape la plus employée est la sou}»a]ic à volets.
- L’aéronaute manœuvre la soupape soit pour provoquer une descente ou enrayer un mouvement de montée en laissant échapper du gaz, soit pour dégonfler le ballon'après l’atterrissage.
- Moyeu EADIE Grandes' Marques
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- SOUPAPES. — Oblurateurs à levée parallèle servant de distributeur dans les pompes, moteurs, ou de robinet dans les conduites. La ligure représente une soupape d'échappement do moteur à pétrole. Elle se compose d’une tète A prolongée d’une queue H et reposant sur un sièqe C braisé dans la culasse du moteur et refroidi par la circulation d’eau K enveloppant les cylindres. Le siège et la portée de la soupape sont tournés coniques ali 11 de faire un meilleur joint. La soupape est le plus souvent fabriquée en acier-nickel, métal résistant cl supportant sans se déformer la haute température (approchant le rouge sombre) des gaz d’échappement. D'autres fois la tète seule est en acier-nickel, ou môme en nickel pur, et la queue en acier est rivée sur elle ; plus rarement l'ensemble est en nickel pur. Au-dessous de la soupape se trouve une cavité D où débouche la tubulure d'échappement, E. Un bouchon file Lé K, situé au-dessus, permet d’v accéder pour la démonter ou la roder. La lige ou queue de la soupape passe dans un guide G en bronze phosphoreux ou en acier Martin vissé dans la culasse. Le ressort de rappel 11 prend appui d’une part sur ce guide cl d’autre part sur une rondelle ou cuvette 1 arretée par 'ttom: d’cne soupape et une clavette. La com-j>e sus annexes mande de la soupape s'effectue par un dispositif dont on peut voir des exemples à Moteur à essence, Distribution de moteur. La soupape eu se levant découvre au-dessous d'elle un espace annulaire servant de passage aux gaz qui s’écoulent par D à travers la tubulure E. Pour découvrir le maximum de section, une soupape doit se lever du i \ de son plus faible diamètre.
- Démarque sur l'emploi des mots soupapes et clapets. — Ainsi que nous l’avons défini, les sovipapes sont des oblurateurs à levée parallèle ; or, les clapets sont des obturateurs à soulèvement angulaire, ou si l'on préfère à charnière, surtout employés dans les pompes et comme clapets de retenue dans les conduites. L’emploi du mot clapet pour désigner les soupapes de moteur, emploi assez fréquent, est donc absolument injustifié. — Voir Clapet.
- — - Pinet et Cle, G, rue de Jarcnlc, Paris.
- —- Caplain-Beugeh et Cle, 8G, quai Jcm-mapes, Paris.
- — Soupapes automatiques et commandées. — Les soupapes d’admission des moteurs à quatre temps peuvent, comme on le sait, fonctionner automatique-
- ment par suite de la dépression produite dans le cylindre par le déplacement du piston. Les soupapes automatiques furent meme pendant longtemps les seules ' employées.
- Les soupapes commandées sont surtout avantageuses aux faibles et grandes vitesses du moteur, dont elles écartent notablement h'S limites de vitesse et fonctionnent avec le minimum de bruit. La commande de l’admission se fait soit par l’arbre des cames d'échappement, soit par un arbre symétrique, auquel cas les soupapes d’admission sont placées symétriquement à celles d'échappement (Bcr-liet, Mors, Brasier, etc.’). Dans le premier cas, les soupapes sont placées côte à côte de celles d'échappement (llcnault etc.1 ou alors au centre du cylindre, par en dessus, et ouvertes par un basculeur (Mereédès, Bayard-Clémenl, Darracq, etc.).
- — Soupape de pneumatique. — Voir Valve.
- — Soupape électrique. — Nom donné à un appareil destiné à redresser le courant alternatif, permettant de l'utiliser pour recharger des accumulateurs électriques (notamment ceux d'allumage).
- Le redresseur peut, être assimilé à une soupape de moteur à explosions permettant aux gaz de s'échapper dans un sens et s'opposant à leur passage dans un autre sens.
- l'n redresseur est une valve ou soupape permettant le passage d’un courant électrique de sens donné, mais s’opposant nu passage d’un courant de sens inverse.
- L'appareil extrêmement simple auquel on a donné le nom de soupape e/eclmque est basé sur la découverte d'un phénomène observé par Bufl’ ayant trait à la décomposition de l’aluminium par le passage du courant et à la modification de sa résistance électrique.
- La soupape électrique sc compose d’une lame d’aluminium et d’une hune de plomb plongées dans un vase rempli d’eau acidulée et reliées chacune à l'un des pôles d’une source (l’électricité à courants alternatifs. La lame d’aluminium se couvre d'une pellicule imperceptible d’alumine dès qu'un courant positif la parcourt. La formation de celte couche d’alumine a pour effet d'isoler complètement la lame d’aluminium, qui s’oppose ainsi au passage du courant ; l’alumine est en effet un isolant excellent. Dès que le sens du courant change et que la lame d’aluminium est traversée par un courant négatif, le dégagement d hydrogène qui sc produit détache la pellicule d’alumine et permet le passage du courant au travers de la lame d’aluminium. A ce moment le courant charge l’accumulateur. — Voir Soulier.
- — Société Egyptienne d’Electukuté. /j3, rue du Hocher, Paris.
- SOUPIRON. selles , sacoches cl accessoires, 50, rue d llauteville, Paris.
- Clapets ACIER
- AU
- NI Pif PI Alphonse BINET k Cie, Faûts
- Il I Ü H L L 6, r. de Jarente, PARIS - Toi. 260-89
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- SOU — 628 — S P I
- SOUTHWORTH, commerce d’automobiles, 3/|2, Flatbush avenue, à Chicago (Etats-Unis).
- SOUVERAIN, ou livre sterling de 20 shillings. — Monnaie anglaise d’or, pesant 7 grammes 98 et valant 20 francs i5.
- SOUVESTRE {Pierre), 1, rue Tardieu,
- Paris. Tel. /)36-oo — Né à Ivéraval (Finistère), le ier juin 18^4* — Officier d Académie, chevalier du Mérite agricole, officiel* du Nicham-Iftikar. Licencié en droit. Rédacteur à Y Auto, aux Armes et Sports, auxLois et Sports et à plusieurs journaux politiques. — Auteur de Y Histoire de V Automobile et directeur des Poids lourds.
- SOYEUX, construction de moteurs « Rex » et motocyclettes, à ( iivry-en-Argoime (Marne); et a3/|, boulevard Voltaire, Paris.
- S. P. A. [Automobiles). — Voir Ansaldi Ceira.no.
- SPEEDWELL MOTOR C°, fabrique d'automobiles, 101, Knightsbridge, à Londres S. W. (Angleterre).
- SPERLING (Frein d'écrou). — Voir French-Brewster (Etablissements).
- SPHÈRE. — C lorps dont tous les points
- A, sphère. G, segment sphérique.
- B, secteur .sphérique. 1), zone sphérique.
- lormanl la surface sont situés à égale distance d'un point intérieur, appelé centre.
- Surface de la sphère — 4 7r R2.
- Volume de la sphère — 4, 189 IV*.
- Surface d’un secteur sphérique — * -7- (4 h -f d)
- 2
- Volume d’un secteur sj)hèrique — -^Tz R2 h
- Surface d’un segment sphérique = 2 tcR h. Volume d’un segment sphérique
- Surface d une zone sphérique — 2 tt R h.
- (Dans ces formules, d représente la demi-corde et h la flèche).
- SPHINX (chambres indégonflables). — Voir Bougerai.
- SPIDER. — Le mot spider (araignée, en anglais) désigne une voiture découverte, sans capote, qui porte à l’avant soit deux baquets, soit une banquette confortable à deux places, et qui peut être, à l’arrière, suivie ou 11’etrc pas suivie d’un siège réservé exclusivement à un domestique.
- Ce siège arrière, porté par des montants en fer ou en bois, est presque toujours démontable, pour pouvoir être remplacé à volonté
- SlMDEIl
- par un coffre plat, dit pointe de course, oui par une banquette large et confortable à deux places ; dans ce dernier cas, il est transformé* par le fait en double-phaéton.
- Le spider n'est pas un siège, mais un type-de carrosserie ; cependant de nombreuses personnes désignent, à tort, souvent ce siège de forme spéciale par le mot spider qu’elles lui attribuent exclusivement en dehors de toute idée de carrosserie : 011 doit dire un siège de spider et non pas un spider, tout court.
- SPIRAL SPRING (The Supplemen-
- tary), amortisseurs de chocs, 423/j, Delmar avenue, à Saint-Louis (Etats-Unis).
- SPIRALE. — Figure de géométrie. C’est une courbe plane, dont les révolutions autour d’un point fixe s'éloignent toujours davantage de ce point, suivant une loi déterminée. La spirale est quelquefois tracée au moyen d'une série d’arcs de cercle à deux, trois, (piatre centres.
- SPIRE. — Un des tours complets qui forment la spirale. — il 11e faut pas con-
- [
- RECOKD
- flo Consommation
- BERLIET
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- S P I
- G29 —
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- fondre, comme on le fait trop souvent, une spire avec un tour complet autour d’un cylindre ; un bobinage de fil d'un induit, par exemple, n’est pas composé de spires mais de tours de fil.
- SPIRLET [Chevalier Armand de), à Monceau-sur-Sarnbre, Belgique. —- Né à Beaufoys-lez-Liége, le 16 avril 18G0. — Chef du Service commercial des Ateliers Germain (Division automobiles). Président de plusieurs sociétés sportives ; membre de l’Automobile Club Anversois.
- SPLENDID (Moteurs). — Voir Fornas (Louis).
- SPLENDID GARAGE , commerce d’automobiles, avenue Saint-Laurent, à Monte-Carlo (Principauté de Monaco).
- SPLITDORF, accessoires pour automobiles, appareils d’allumage, 17, Vandewaler Street, à New-York (Etats-Unis).
- SPORT. — On appelle sport la culture pratique et méthodique d’un exercice corporel de nature à développer la puissance physique de l'homme en meme temps que scs facultés intellectuelles.
- Par sports, 011 entend généralement les exercices physiques memes : automobilisme, cyclisme, patinage, etc., et tous les jeux qui, pratiqués méthodiquement, contribuent à perfectionner non seulement le corps mais aussi l’esprit.
- SPORT (Académie de), 3, rue de Ba-gneux, Paris.
- SPORT (Le), journal quotidien, 22, rue de la Braie, à Bruxelles (Belgique).
- SPORT (The), vêtements de sport, vêtements spéciaux pour l’automobile, 17, boulevard Montmartre, Paris. Tel. 118-21. Adr. tél. The Sport-Paris. — Maison fondée en 1894. — Fondateur-directeur : M. Maurice Gallais.
- SPORT UNIVERSEL ILLUSTRÉ
- (Le), i3, rue de Londres, Paris. Tél. 2G4-G7.
- SPORTING CLUB FRANÇAIS, 2,
- rue Caumartin, Paris. Tél. 244-44-
- SPORTING CLUB DE BELGIQUE,
- G, avenue Marnix, Bruxelles (Belgique).
- SPORTING FRANÇAIS, ventes publiques d’automobiles, i/|, rue Chauveau, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tél. 5o^-23.
- SPORTING-GARAGE , commerce d’automobiles, boulevard du Midi, à Monte-Carlo (Principauté de Monaco.— Succursale : « Mo-dern-Garagc », rue de Ballore prolongée, à Vichy (Allier).
- SPORTIVE (La), carrosserie automobile, 7, avenue du Boule, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- SPORTS (Les), journal quotidien, 20, rue Saint-Marc, Paris. Tél. ioi-3i et ïoi-33. Adr.
- tél. Sportles-Paris. — Directeur : M. Pierre Letcllier ; rédacteur en chef: M. Georges Prade.
- SPORTSMAN, homme qui pratique habituellement un ou plusieurs sports ; au pluriel : sporlsmen. — Au féminin : sporls-ivoman-, au pluriel : sports women.
- SPORTSMAN (Le), journal quotidien de sports, 14, rue d’Or, à Bruxelles (Belgique).
- SPORTS MODERNES (L es), revue, 24, boulevard des Capucines, Paris.
- SPYKER Frères (Usines de Trompcn-hourg), fabrique d'automobiles, à Amsterdam (Hollande).
- SQUAGLIA, garage, commerce d’automobiles, piazza Marsala, à Gènes (Italie).
- S. R. O. (Roulements à billes). Rreger et Neveux, 5o, rue des Marais, Paris. Tél. 424-97.
- STABILIA (Automobiles)—Voir Vrard et G’ie.
- STADE FRANÇAIS, 34, rue Joulfroy, Paris. Président : M. A. Descubes.
- STADELMANN (Jean) et Ci0, fabrique de becs à acétylène en s1éatile,6,rue Picrre-Bulet, Paris. Tél. 436—16; et à Nuremberg (Allemagne).
- STAEMPFLI Frères, canots automobiles, rue du Rovcrdy (Eaux-Vives), à Genève (Suisse).
- STAND L. S. M, vente d'automobiles et d’accessoires. — Voir Santa-Maria (l)e).
- STANDARD (Societd Aulomobili), 20, corso Siccardi, à Turin (Italie). Tél. 24-55.— Usines : viale Stupinigi. Tél. a5-io. — Société Anonyme, fondée le 27 mars 190G, au capital de 1 200 000 lires (à porter à 2 4oo 000 lires) — Conseil d’administration : président : M. Paul Axerio ; conseillers : MM. Emile Rcmmcrt, Fortuné Uglicngo, Guido l’iacenza ; administrateur-délégué : M. Cinzio Barosi. ingénieur ; direction technique : M. Louis Negro.
- Construction d'automobiles, type unique : io-i4 chevaux, à 4 cylindres; transmission à cardan ; allumage par magnéto à haute tension ; dill’érenticl breveté. — Voir Roue.
- STANDARD-GERMAIN, automobiles. — Voir Germain (Aleliet's), à Monccau-sur-Sambre (Belgique).
- STANDARD MOTOR C°, Ltd., fabrique d’automobiles, à Covcntry (Angleterre).
- STANDARD MOTOR AGENCY,
- vente d’automobiles Standard, 03, Rcgent, IIouso, Rcgent Street, à Londres W. (Angleterre).
- STANDARD OIL, huiles minérales, 123, rue de Reuilly, Paris. Tél. 920-00.
- ILES PREMIERS HORS CONCOURS ' PARIS 1900
- PHARES DUCELLIER
- LES SEULS GRAND PRIX LIÈGE 1905
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- S 1’ A
- — (i3o —
- S T K
- STANDARD ROLLER BEARING
- C\ roulements à liilles, Girard » avenue, à Philadelphie (Etats-Unis).
- S. T. A. R. (Automobiles). —Voir Tori-nese (Société).
- STAR, piles, bougies cl phares. — Voir Bonneville, 02. boulevard Carnot, à Toulouse.
- STAR ENGINEERING C° (The) ,construction d’automobiles, à Wolverhainpton (Angleterre).
- STAR MOTOR AGENCY, commerce d'automobiles « Star Engineering o, iG, lipper Saint-Mariin's lame, à Londres (Angleterre).
- STARLEY. — Constructeur anglais qui eut, le premier, en 1879, l'idée d’appliquer aux. tricycles le dispositif mécanique connu depuis le xvm° siècle sous le nom de train épicycldidal sphérique, et désigné en cyclisme sous le nom de mouvement différentiel.
- Starley, qui apporta ainsi un grand progrès aux appareils cyclistes, réédita simplement l'application du différentiel que venait de faire, en 1878, Bollée à une voiture à vapeur, appelée la Mancelle.
- STARTER. — Mom donné à la personne chargée de “donner” le signal de départ d'une course (ordinairement: au moyen d'un coup de pistolet, quelquefois avec un drapeau).
- Le starter remplit ces fondions seul ; il est souverain juye de la validité du départ.
- STARTER, moyeu. —• Voir Française (Société La).
- STATION D'ESSAIS de machines
- du Ministère de l'Agriculture, !\j, rue Jenner, Paris. — Voir Laboratoire ministériel.
- STATIQUE. — Etude des forces à l’étal d'équilibre. La statique s’oppose à la cinématique, qui étudie le mouvement en lui-mème, et à la dynamique, qui étudie les forces à l'état d'action.
- STATO-REP, allumage à haute tension, 3-, rue des Abondances, à Boulogne-sur-Scine (Seine).
- STATOR. — Partie fixe d’un moteur asynchrone à courant alternatif et, d’une laÇon générale, de tout générateur ou moteur électrique.
- STATOSCOPE. — Baromètre extra-sensible, spécial pour aéronautes, indiquant immédiatement les moindres variations d’altitude. 11 se compose essentiellement d’un récipient à paroi élastique mis en communication avec l'atmosphère par un tube de caoutchouc. Quand on interrompt la communication avec l’atmosphère, soit en fermant le tube par un petit, bouchon, soit en l’écrasant entre les doigts ou avec une pince, on enferme dans le récipient une masse d’air à ht pression du moment. Si l’altitude varie, la
- pression extérieure variant aussi, l'équilibre entre les deux faces de la paroi du récipient se trouve rompu et il y a déformation de celte paroi. Cette déformation, considérablement amplifiée par des organes mécaniques appropries, est en dernier lieu indiquée par les déplacements d’une aiguille sur un cadran gradué, déplacements indiquant, suivant leur sens, la montée et la descente, avec leur valeur.
- STAUFFER. — Voir Graisseurs.
- STEADY, pile démontable. — Voir Carbone (Société Le).
- STEARNS C°, construction d’automobiles. 2985, Evclid .avenue, à Cleveland (Ohio), Etats-Unis.
- STÉATITE. — Variété de talc compact, constitué chimiquement par un silicate de magnésie hydraté. Sert à établir les becs brûleurs (becs papillon) pour le gaz et l'acétylène.
- STEEL BALL C°. fabrique de graisseurs, 8/|ü, Austin avenue, à Chicago (Etats-Unis).
- STEINBERG, pneumatiques, 3q, rue Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie, Paris. Tel. i/i4-o/|.
- STEINÈS tAlphonse), 28, rue du Château-d’Eau, Paris. — INé à Luxembourg, le an août 18-3. —
- Bédacteurà Y Auto depuis la fondation de ce journal ; membre fondateur de l’Association des Journalistes sportifs; président de l'Union des cyclistes de Paris, depuis 189b. —A débuté dans le jou ma lis me en 1890; a collaboré au Vélo, de 1890 à 1900; secrétaire du Comité de la Fédération cycliste des Amateurs français de 189b à 1898; secrétaire de la Commission des Sociétés de FU. V. F. de 1898 à 1900: rédacteur en chef de la 17e Sportive (1903-190/1); administrateur du Monde Cycliste, en 1900.
- STEINFELDT, garage, commerce d'automobiles, G, Herschelstrasse, à Hanovre (Allemagne).
- STELLA (Automobiles), construites par la Compagnie de l'Industrie Electrique el Mécanique, à Genève.
- STELLA, pneumatiques. — Voir Bru-nessaux.
- TOULOUSE
- L. BONNEVILLE, 52, boulevard Carnot
- AUTOMOBILES. ACCESSOIRES. FOURMITURES
- JHaison fondée à Villeneuve-sur-Lot en 1882. et à Toulouse en 1894
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- STELLIN, essence minérale. — Loir Y ereinigle Benzinfabriken, à Alloua (Allemagne).
- STELLINE, essence minérale. — Voir lluiles minérales de Colombes (Société des).
- STENGER, modèles en bois pour pièces d'automobiles, 13, rue Elienne-Dolel, Paris. Tél. 1)38-88.
- STENTOR-SIRÈNE. — Noir Mestre cl Blat'jé.
- STÉRÉOCYCLE {Le), appareils de photographie. — Voir Leroy (/..), Paris.
- STERN (Emile), 2/1, avenue des Champs-Elysées, Paris. Tél. 089-11. Adr. tel. Aulostern-Paris.— Voit,ures et, châssis Benault frères. Panhard-l.erassor, Mercedes, F. I. A. 7’., etc. — A débuté dans l’automobile en 1897 ; fonda, en 1902, la Léon Bollée Motor Syndicale C°.
- STERN (Raymond), 11, rue delà Montagne-Sainte-Geneviève, Paris. —Né à Paris, le a/| lévrier 18-7. — Ingénieur de l'Ecole Centrale des Arts cl, Manufactures (1898); ancien ingénieur de la Société des Automobiles Pardon et de la Société Tony llulier et Cie ; ingénieur chargé des Services au'omo-biles à la Société Anonyme de Locomotion Electrique (Colombes).
- STERN-SONNEBRON (Société Anonyme Française), huiles minérales Sterno-line et. graisses Monopole. 33, rue Victor-Hugo, à Pantin (Seine). Tél. /|i/|-oi cl /j 1 4-o3. Adr. tél. Stem-Pantin. — Société au capital de 600000 francs. —Administrateur-dclégué : M. Jacques Sonnebron. — Directeurs : MM. C. Kahn et C. Abenheitner.
- STERNOLINE-OSSAG (Huile minérale). — Voir Stern-Sonnebron.
- STEVENS ARM S et TOOL C'*, cons tructimi d'automobiles « Stevens-Duiyea », 900, Main Street., Chicopee Palis (Mass.), États-Unis.
- STEVENS DURYEA (Automobiles).— Voir Stcvens Amis.
- STHENOS, carburateurs. — Voir Hoyers et Ci0, 1, rue Saint-Georges, Paris. — Tél. 12/1-28. Adr. tél. Roywesl-Paris.
- STIER (L.), garage, commerce d'automobiles, fabrique de la jante démontable L. S., i44, rue de Paris, à Villiers-sur-Marne (Seine-et-Oiso). Tél. 11. —• Dépôt: Sarles, l\, rue Civiale, Paris.
- STIMULA, trieurs. — Voir Yandelel, Paris.
- STITCH - IN - TIME VULCANIZER
- C", appareils légers pour vulcaniser, à Topeka (Kansas), Etats-Unis.
- STOCKE Y und SCHMITZ, accessoires pour automobiles, à Gevclsberg (Westphalie).
- STOCKS. — De nombreuses fabriques d’automobiles, de cycles ou de pneumatiques ont pris l’excellente habitude d'avoir, dans les grandes villes de France et même de l’étranger, des dépôts, des stocks, de leurs principales pièces de rechange. Ces maisons envoient sur demande, à leurs clients, la liste de leurs stockistes qui doivent, suivant leurs traités, maintenir constamment leur stock au complet.
- STOCKS MICHELIN. — Dépôts établis par Michelin dans plus de 600 villes de Franco et de l'Etranger, destinés à permettre au chauffeur, ayant sur son automobile des pneus de dimensions courantes, de trouver à coup sûr les rechanges nécessaires en enveloppes, chambres à air et accessoires. Les stocks ont été imaginés par Michelin et rendent tous les jours des services considérables. On en trouve ia liste complète dans le Guide Michelin. — Voir le Guide Michelin.
- STODDARD - DAYTON (Automobiles). — Voir Dayton Motor Car C“.
- STOECKICHT (Cari), Frankfurter Gummivarenfabrik A.-G-, fabrique des pneumatiques Duro, à Niederrad, près Franc-i’ort-sur-le-Mein (Allemagne).
- STOLTZ \Peler), automobiles à vapeur, 14> Albrechtstrasse, à Berlin (Allemagne).
- STOP, appareil d’arrêt. — Voir Chanut (J.).
- STORERO (lAtiyi). garage, commerce d’automobiles, 1 G, corso Massuuo d’Azeglio, à Turin (Italie). Succursale : 5, via Francesco Ferruccio, à Genes (Italie).
- STORR (Hugo) et Ci0, lanternes, phares, cornets, antidérapants » Veritas », radiateurs « V. F. M". », /|8, rue Saint-Ferdinand, Paris. Adr. tél. Pneurerita-Paris.
- STRAKER-SQUIRE, omnibus automobiles. — Voir Siilney Straker and Squire.
- STRAKER STEAM VEHICLE C°,
- Ltd (The), automobiles, 9, Bush Lane, à Londres (Angleterre).
- STRAPONTIN. — Siège mobile d’une voiture, qui peut se rabattre ou se relever à volonté. Dans les automobiles ayant une porte à l'arrière, on dispose ordinairement sur cette porte un strapontin qui, garni comme les coussins, s'intercale entre ces derniers, en constituant ainsi une assise continue et en condamnant automatiquement l’ouverture de la porte, qui ne peut se produire que lorsque le strapontin est relevé.
- STRASBURGERetC'0, machines-outils, 7-3, rue de Maubeuge, Paris. Tél. 420-82.
- STRATTA (Firmino), roue élastique, Castiglione, Turin (Italie).
- STRITTER, garage, commerce d’automobiles, place Victor-Hugo, à Pont-Audemer (Eure).
- [Ma$î>étos fruité tension Rb ROGEflS & G‘E Bougies 1, rue Saint-Georges, PARIS
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- STROCK (Société Anonyme (les Etablissements), garage, commerce d’automobiles, 20, boulevard du Port, à Amiens (Somme).
- STROM, vêtements de sport, iG, rue do la Chausscc-d’Anlin, Paris. Tel. 200-18. Adr. tel. Slrom-Paris. — Succursale : 33, avenue de la Gare, Nice. — Directeur: M. Schneider.
- STRUBE et Fils, fabrique de graisseurs, fonderie de bronze, rue llorlense, à Montrouge (Seine). Tel. 714-92.
- STUART et STICHTER, motocyclettes.
- — Voir Mira, Paris.
- STUCCHI et Ci0 (Etablissements), construction d'automobiles, 11, via Tortona, à Milan (Italie).
- STUDEBAKER AUTOMOBILE C°,
- construction d’automobiles, carrosserie automobile, South Hend. (Indiana), Etats-Unis. — Une des plus importantes carrosseries automobile et hippique du monde entier.
- STUFFING BOX. — Expression anglaise employée pour boite à étoupe ou presse-étoupe.
- SUBERBIE (L .), directeur do Y «Opéra-Automobile », garage,commerce d’automobiles, 18, rue Godot-de-Mauroy, Paris. Tel. 290-48. Adr. tel. Subercxpor.
- SUBÉRINE (La), (A. Pécboux, directeur). Briques et carreaux en liège aggloméré, pour isolement du bruit, du froid, de la chaleur, très employés pour construction générale, ateliers, garages, etc., 8, boulevard de Vau-girard, Paris. Tél. 708-07. — Installations complètes d'usines.
- SUCCÈS (Huile minérale).—Voir Lcnoir, à Pantin.
- SÜDDEUTSCHE AUTOMOBIL-FA-BRIK, construction d’omnibus et de voitures automobiles, à Gaggcnau (Grand-Duché de Bade).
- SUDRE (A.) Fils, cornets avertisseurs, 17, rue Clignanrourt, Paris.
- SUISSE, garage, commerce d'automobiles, rue de la Liberté, à Bennes (Ille-et-Vilaine).
- SUISSE SPORTIVE (La), journal automobile, 16, rue de liesse, à Genève (Suisse).
- SULFUMATE DE CAMPHRE, employé pour la réparation des bandages en caoutchouc ; vendu par Y Etablissement Chimique et Industriel de Clichy (Seine).
- SULFURE DE CARBONE. — Liquide très mobile et réfringent, plus lourd (pie l’eau, bouillant à l\~P. Très inflammable. Constituant un mélange explosible avec l’oxygène ou l’air. Excellent dissolvant pour le soufre, les graisses, le caoutchouc, la gutta, les huiles. Formule CS2. Découvert en 1796, par Lampadius, d’où son ancienne désignation de « Liqueur de Lampadius ».
- SULTAN (Société des Moteurs thermiques). — Voir Martin et Lethimonnier.
- SULTANE (Automobiles). — Voir Martin et Lethimonnier.
- SULZBACHER (Willy), chroniqueur d’escrime des Sports, depuis la fondation de ce ce journal. A collaboré à de nombreux journaux, à YEscrime Française, à Armes et Sports, au Gil-Blas, etc. — IJ11 de nos champions de F rance p ou r l’épée de combat.
- S UN BEAM MOTOR CAR
- C°, Ltd (The), automobiles, Up-per Villiers Street,
- Wolverhampton (Angleterre).
- SUPERIOR, band: igcs en caoutchouc plein. —.Voir Polaclc.
- SUPÉRY, fabricant de la roue élastique I « Super », 13, rue Cuvier, à Lyon (Bliùne).
- Téléphone 708-07.
- LA SUBÉRINE
- SOCIÉTÉ ANONYME 8, Boulevard de Yaugirard, PARIS
- Applications et fournitures des lièges granulés, agglomérés et manufacturés, pour tous les cas d’isolement du bruit, du froid et de la chaleur.
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- ÉTUDES, RENSEIGNEMENTS, DEVIS, TRAVAUX
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- S U F
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- SUS
- SUPPLIGEAU (Auto-Garage des Touristes), commerce d’antomobiles, n. rue de Bordeaux, à Tours (Indre-et-Loire). Tel. 5-o8.
- SUPPORTS. — I ^es supports de bicyclette varient, à l'infini ; ils sont faits en bois quelquefois, le plus souvent en forts fils de fer ou en lames d’acier piales. Les supports sont indispensables pour le nettoyage et le réglage des bicyclettes qui ne peuvent naturellement pas tenir debout, sans soutien.
- Les supports de motocyclette font très souvent partie de la machine elle-même, sous forme de porte-bagage (voir ce mot), articulé autour de Taxe de la roue arrière.
- SURCHAUFFE DE LA VAPEUR.
- — Quand on vaporise de l'eau dans un vase clos, par exemple dans une chaudière à vapeur, il y a toujours de l'eau en contact avec la vapeur, et l'espace situé au-dessus du liquide renferme la quantité maxima de vapeur d'eau 'il puisse contenir à la température de l'ensemble. On dit dans ce cas que la vapeur est saturante. Sa pression s’appelle force élastique maxima ou tension maxima •à la température considérée. Elle ne peut devenir plus grande à moins d'une élévation de températurecà laquelle correspondrait une nouvelle tension. Mais la vapeur saturante peut être chaufïee, indépendamment de Teau qui l'a produite, et acquérir une température élevée sans accroissement de sa pression initiale, ce qui constitue de h\ vapeur surchauffée. La vapeur surchauffée peut contenir une grande quantité de chaleur sans être pour cela à une pression énorme, et. passer dans une grande longueur de tuyauterie sans s'y condenser. Avant qu’il y ait condensation, il faut, en effet, que la température s’abaisse à celle de la vapeur saturante de même tension, et on s’arrange pour que cela n'ait pas lieu. Enfin son application aux moteurs à vapeur permet d'augmenter notablement, le rendement de ceux-ci à cause de la haute température init iale et de l'absence des condensations, la principale cause de perte dans ces machines. La vapeur surchauffée sc comporte à peu près comme un gaz aux températures usuelles. On la produit dans des chaudières munies de surchauffeurs ou dans des surchauffeurs séparés. Scrpollet fait le plus brillant usage de la vapeur surchauffée dans scs automobiles.
- SURCOUF (Edouard-Louis), 33, boulevard Lanncs, Paris. —Né à Paris, le 5 novembre 18G2. Officier d'Académie ; chevalier du Mérite agricole. Directeur de la Société des Trains automobiles, système Oh. Renard, et des Ateliers aérostatiques Ed. Surcoût. Secrétaire de la Commission sportive de l'Aéro-Club de France ; secrétaire rapporteur de la Fédération Aéronautique internationale. Constructeur du ballon Le Lebaudg.
- SURCOUF (Ed.) et Ci0, trains automobiles, système Ch. Renard, ia3, rue de Bel-
- levue, à Billancourt (Seine'). Tél. 689-10. Adr. tél. Surcou/-Billancourt. Société en commandite, fondée en novembre kjo3.Trains automobiles ; voitures, omnibus et camions automobiles.
- SURFACE. (Symboles : S et s). — La surface d’un corps limité par des surfaces planes ou corirbcs ou la surface d’une figure plane est mesurée par son rapport à l'unité de surface (centimètre-carré, dans le système C. (i. S.). Elle contient toujours le produit de deux dimensions et est par suite du second degré.
- Le mot aire (communément employé pour le mot surface) s'applique spécialement au nombre indiquant la surface, et non à l’idée même d'une surface de forme et d'étendue quelconques, limitée par des lignes.
- — Surface (En). — Montage d'éléments de piles ou d'accumulateurs, consistant à réunir tous les pôles positifs d'une batterie à un même conducteur et tous les pôles négatifs à un autre conducteur. Lors d'un pareil montage, les ampères s’ajoutent, mais les volts ne varient pas. Cet accouplement n’est pas employé pour les automobiles ; on l'appelle plutôt montage en quantité. — Voir ce mot.
- SURIRAY — C Constructeur français qui eut, le premier (en iSOq), l’idée d'appliquer les billes aux roulements des cycles.
- Les coussinets à billes (ou à boules d'acier, comme l'on disait à cette époque) étaient depuis longtemps usités en France dans les machines industrielles. En 1807, un M. Courtois, de Nancy, un abbé Tiliay et un professeur nommé Defrance exploitaient, ensemble un brevet relatif à un système de coussinets à boules, applicables aux cloches, aux meules de moulins, aux machines à battre, etc.
- C'est, dit-on, à la vue du volant, de sa scierie, monté sur billes, (pie M. Surirai/ imagina un dispositif analogue pour les cycles.
- SURLEAU (Paul), directeur de la Compagnie Alcyon, 10, villa d'Orléans, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- SUR ROUTE, atl as-guide de poche pour automobilistes; édité par Hachette et Ci0, 79. boulevard Saint-Germain, Paris.
- SURVOLTEUR. — Nom donné à un appareil destiné à augmenter la différence de potentiel d’un réseau à courant continu.
- Le survolteur est une dynamo génératrice à courant continu que l'on couple en série ou en tension avec la différence de potentiel à survoltcr.
- SUSCEPTIBILITÉ MAGNÉTIQUE.
- — Terme employé dans l’étude du magnétisme.
- Le pneu DUNLOP nivelle là route
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- sus
- sus
- Fig. 1«
- Fig. 8. Boîte de l'amortisseur Krebs avec la bielle qui la retient à l’essieu. — Fig. 9 à 11 inclus. Coupes horizontale et verticale de la meme boîte : A, boîte solidaire du châssis; B, couvercles; C, cylindre ; 1), boulons ; K, axe du cylindre C ; G, lames minces; 11 K, anneaux; L, ressort; M N, bielles articulées. — Fig. 12. Profil développé des anneaux.
- La susceptibilité magnétique, est comme la perméabilité magnétique, un coefficient variable suivant les corps.
- Alors que la perméabilité magnétique est le rapport entre l'induction magnétique et l’intensité magnétique du champ inducteur, la susceptibilité magnétique est le rapportée l'intensité d'aimantation (rapport du moment magnétique au volume) à l’intensité du champ.
- La perméabilité magnétique pr cstüéeàla susceptibilité / par la relation
- pr = 1 + 4 tt y.
- Dans les corps magnétiques la perméabilité est plus grande que 1 et la susceptibilité est une grandeur positive.
- Dans les corps soi-disant diamagnétiques (bismuth, antimoine), la perméabilité magnétique est plus petite que 1 et la susceptibilité magnétique devient négative. Leur susceptibilité est moins grande que celle du milieu ambiant.
- SUSPENSION DES VOITURES. —
- Pour qu'une voiture soit stable et bien suspendue, il est indispensable que les ressorts soient très longs, qu'ils 11'aient pas trop de flécha et qu'ils soient placés le plus en dehors possible de la voiture. 11 est indispensable aussi que la voiture soit suspendue dans les ressorts et non sur les ressorts, ce qui permet de descendre le centre de gravité de la voiture et de remédier à l'inertie de la masse. — Voir Amortisseurs.
- Les voilures semblent mieux suspendues quand elles ont quatre ressorts latéraux et un ressort, transversal à l’arrière.
- Quelquefois, 011 « freine » l'action des ressorts de voitures, on les empêche de vibrer, au moyen d'appareils spéciaux.
- Nous citerons notamment, comme faisant
- Amortisseur Renault frères monté sur une voiture.
- A, attache sur le châssis. — C, corps de l'amortisseur. — 1), point d’articulation du bras.
- — G, attache sur le ressort. — L, bras.
- partie des plus réputés, ceux de Panhard et Levassor et ceux de Renault frères dont on. trouvera ci-contre la reproduction.
- Des Anciens Établissements PANHARD & LEVASSOR
- VOITURES. OANOTS, MOTEURS. - 19. Avenue d'ivry — PARIS
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- S U H — 03 5 S Y N
- — Glaenzer et Cie (suspension “Amans”), 35, boulevard do Strasbourg', Paris.
- — Panhard et Levassoh, if), avenue d'ivry, Paris.
- Coupe dans i.’amorti.s.sküu Hknault rioduis
- H B, orifices d’emplissage. — D, articulation. — K K, joints. — |,. liras île l’amortisseur. — 0 0’, orifices de passage du lnpiide. — I’ I’, piston.
- — Renault Frères, i3i), rue du Point-du-Jour, a Billancourt (Seine).
- — Roue K. L. (Société Française de la), 28, rue de Sablonvillc, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Trèfle a Quatre Feuilles (Le), suspension TrufTaull a3, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- SUSSFELD, LORSCH et Cie, machincs-oulils, ai, rue de l’Echiquier, Paris. Tel. 101-12.
- SUSSMANN (0.), pneumatiques « La Neva », 12, cité Dupctil-Thouars, Paris. Tél. 3ol-2().
- SUTTON, .vêlements de sport, i3/|, boulevard Ilaussmann, Paris. Tél. 02G-2G.
- SVELTE, automobiles. — Voir Armes (Société Manufacturière d'), à Saint-Etienne.
- S. V. P., automobiles. — Voir Voitures Populaires (Société des).
- SWIFT MOTOR C° , construction d’automobiles, à Coventry (Angleterre).
- SWIFT MOTOR C", vente d’automobiles Swift, i3o, Long Acre, à Londres (Angleterre).
- SWINEHART CLINCHER TIRE and RUBBER C°, fabrique de bandages ch caoutchouc, à Akron (Ohio), Etats-LTms. — Concessionnaire : Société Française de la Roue E. L., 28, rue de Sablonvillc, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- SYBERG (Nicolas), commerce d’automobiles et de motocyclettes, l\h, rue des Vingt-Deux, à Liège (Belgique).
- SYMBOLE. — Lettre ou signe auxquels on attribue une signification, une représenta-
- tion connue d’avance. C’est ainsi que la lettre grecque tu représente le rapport de la circonférence au diamètre d’un cercle, etc. Nous avons indiqué tous les symboles usuels, à leur place, au commencement de chaque lettre de YAnnual.
- Nous donnons un tableau général, au mot Abréviations, des symboles, notations et abréviations les plus employés dans les sciences qui rentrent particulièrement dans le cadre de notre ouvrage. — Voir Signes et Abréviations.
- SYNDICAT DES AGENTS DE FRANCE.— Président : M. Lainé, Ç). rue Bull’ault, Paris.
- SYNDICAT DES COMMISSIONNAIRES. — T résorier : M. Schildge, 18, rue Sainte-Croix-de-la-Breton-nerie. Paris.
- SYNDICAT DES PROPRIÉTAIRES de Cycles et d’Automobiles de France, 19, rue Auber, Paris. Tél. 3o8-52.
- SYNDICAT GÉNÉRAL DES AGENTS de Cycles et d'Automobiles, 9, rue Buffault, Paris. - Edite un Bulletin officiel.
- SYNDICAT LYONNAIS DE L’AUTOMOBILE. 8, rue Boissac, à Lyon
- (Rhône). — Président : M. Berliet; vice-président: NI. Pilain ; secrétaire-général : M Gris.
- SYNDICATS D’INITIATIVE. — On
- nomme ainsi des Syndicats formés en France dans l’idée de faire connaître les beautés d’une région et d'y faciliter les voyages.
- Ce sont, par ordre alphabétique, les Syndicats suivants :
- Ain, hôtel de ville de Nanlua.
- Albertville (Savoie), à Albertville. Aljies-Mancellcs, château do Fresnay-sur-Sarlhe (Sarthe).
- Amélie-les-Bains, à la mairie.
- Anjou, 5, rue Bodinier, à Angers.
- Annecy, rue du Pàquicr.
- Arcachon, 229, boulevard de la Plage. Ariège, hôtel de ville de Foix.
- Aube, 26, rue de la Monnaie, Troycs.
- Auxois et Morvan, à Semur.
- Avallon et l’Avallonnais, 3i, rue de Paris, à Avallon.
- Aveyron, place de la Cité (maison Carrère), à Rodez.
- Avignon et Vaucluse, 4), rue Théodore-Aubanel, à Avignon.
- Ax-lcs-Thernies, à A\.
- Bayonne et Pays Basques, à Bayonne.
- fAutomobile? RENAULT FRÈRES «gp* 1
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- S Y N
- — G3G —
- S Z I
- Besançon et Fr anche-Comte, jialais Granivelle, Besançon.
- Blésois, Sologne et Venclômois, 21, place Louis-11, Blois.
- Bordeaux cl département de la Gironde, 48 bis, cours du Chapeau-Rouge, Bordeaux.
- Bourgogne, 65, rue des Gondrans, Dijon.
- Cahors et Quercy, 11, quai Sègnr, Gahors.
- Gantai, 26, rue des Carmes, Aurillac.
- Carcassonne et Aude, 61, rue de la Gare, à Carcassonne.
- Centre de la France, 02, rue des Arènes, Bourges.
- •Champagne, 21, place des Marchés, Reims.
- Château-Ghinon cl Haut-Morvan, place Gudin, Château-Chinon.
- Clermont-Ferrand et Auvergne, place de Jaude, 4, à Clermont-Ferrand.
- •Club Cévenol (Syndicat des Gorges du Tarn et des Causses), à Mende.
- Corrèze, Grand’-Placc, Brive.
- Corse, 2, cours Grandval, Ajaccio.
- Côtc-d' Azur, 1, avenue de la Gare, à Nice.
- Dinan et son arrondissement, à Dinan.
- Fédération des Syndicats d'initiative du Sud-Centre, au siège social du Touring-Cluh de France, 65, avenue de la Grande-Armée, ou au Secrétaire général, M. Farges, a38, boulevard Raspail, Paris.
- Givet pittoresque, à l’hôtel de ville de Givet.
- Grenoble et Dauphine, 2, rue Montorge, à Grenoble.
- Jura, 10, avenue Gambetta, à Lons-le-Saunier.
- Lama/ou-les-Bains et Hérault, à la Mairie de Lamalou.
- Lyon et ses environs, 19, place Bellecour, à Lyon.
- Morb ihan, place duGhamp-de-Foire, à Vannes.
- Nétds-les-Bains, à Néris.
- Nimes et Gard, 2, place do la Couronne, à Nîmes.
- Pau et Béarn, 7, place Royale, à Pau.
- Périgord, 8, rue Gambetta, à Périgueux.
- Provence, 62, rue Paradis, à Marseille.
- Pyrénées (Hautes), 16, place Maubourguet, à Tarbes.
- Pyrénées-Orientales, 18, rue de la Clochc-d'Or, Perpignan.
- Bambouillet, 3y, rue Nationale, à Rambouillet.
- Riom, 11, rue do l’IIôtel-de-Villc, à Riom.
- Saint-Etienne et Forez, à Saint-Etienne.
- Saint-Pons, à 1 hôtel de ville de Saint-Pons.
- Saint-Valéry et Pays de Caux, à Saint-Valéry.
- Savoie, 1, place de 1 Ilôtel-de-Ville, à Chambéry.
- Tarn, 2, place du Vigan, à Albi ; et 27, rue Ilenri-lV, à Castres.
- Thiers, 6, rue Nationale, à Tliiers.
- Thono7i-les-Bains (Haute-Savoie), à Tlionon.
- Toulouse et Haute-Garonne, 11,allées Saint-Michel, à Toulouse.
- Touraine, i3, rue de Clocbeville, à Tours.
- Valence-sur-Bhone et Drôme, 3, cité Cha-, bert, à Valence.
- Vallée de la Dordogne (M. P. Vachal), à Tulle.
- Velay, 10, place du Breuil, Le Puy.
- Vcrdon (Haute-Vallée du) cl du lac d'Allos, a Beauvezer et à Annot (Basses-Alpes). Vienne (Isère) (Société des amis de), à Vienne.
- Vivarais, villa des Célestins, à Vals-les-Bains (Ardèche).
- Vosges et Nancy, 3, rue Mazagran, à Nancy. Comité Algérien de Propagande et d'Hivernage, 1, rue Combe, a Alger.
- Comité d’Hivernage de Tunis et de Tunisie, place de la Résidence, à Tunis.
- — La plupart des Syndicats d'initiative éditent des ouvrages illustrés qui sont remis, ordinairement gratuitement, au public sur simple demande.
- Citons, par exemple :
- L'Auvergne, guide illustré (4, place de Jaude, à Clermont-Ferrand).
- Annecy cl son Lac, livret-guide (rue du Pàquier, Annecy).
- Boutes des Alpes, du Dauphiné et de la Savoie (Syndicat de la Savoie, 1, place de rilôtel-dc-Ville, à Chambéry).
- Boules de T Auvergne (Syndicat de Clermont-Ferrand).
- SYSTÈME C. G. S. — Ensemble d’unités lixes et universelles employées en physique, depuis 1881, pour faciliter et unifier les calculs, et découlant du centimètre (C) ou unité de longueur, du gramme (G) ou unité de masse, et de la seconde (S) ou unité de temps. L'inconvénient de ce système est de fournir des unités trop petites et d'obliger à créer, à côté, un système pratique. Les principales unités C. G. S. sont :
- La Dyne, l'Erg, le Joule (ou 10 ergs), le Coulomb, le Volt, le Farad, l'Ampère, l'Ohm. — Voir à chacun de ces mots sa définition et sa valeur.
- SZISZ (François), 28, rue de Meudon, à Billancourt - sur - Seine (Seine). —• Né à Szeghalom (Hongrie), le 20 septembre 1876. Contre-maître de la maison Renault Frères pour laquelle il a souvent couru avec grand succès, et pour laquelle il a remporté, brillam-I ment, le Grand | Prix de 1906.
- M. Szisz
- AUTO-GÉNÉRALE J, SALLERON l. wÆtStJSta.»
- 16, vue Duvet — PARIS Dikecteuh panl ard-Levassor, Mors
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- SOCIÉTÉ MOHYttE
- des Anciens Établissements
- 19, Avenue d’ïvry, 19 PARIS
- J
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- Le Trèfle à quatre Feuilles
- Voitures Brasier
- gagrjarçtes
- de la CCVPE GORDON-BENNETT
- ei) 1904 et 1905
- Seule marque ayant eu ses trois voitures classées au Grand Prix de l’Automobile Club, en 1906
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- T
- T. — Lettre indiquant que le véhicule qui la porte dépend de l'arrondissement minéralogique de Toulouse (Haute-Garonne).
- T. — Symbole de temps.
- t. — Symboles de temps et de tonne.
- 0 (prononcez -.grand thêta). — Symbole de température.
- 0 (prononcez -.petit thêta). — Symbole de température.
- t (Prononcez: tau).— Symbole de constante de temps.
- Te. — Symbole de travail effectif.
- t : m. — Abréviation de tours par minute.
- T. — Les barres de Ter ou d'acier ont souvent une section qui alTecte la l'orme d'un T ou d'un double T; les barres de ce profil ré-
- I ' i: i\ i;n T
- KH EN DOrillÆ T
- sislent beaucoup mieux à la flexion qu'une barre rectangulaire; d'où grand avantage à les employer au point de vue de l'économie, du'poids et de la résistance.
- TABATIÈRE. — Nom donné, en car-
- Cubes des nombres, des Vitesses, etc. -Logarithmes, lY/esscs,
- rosserie, au tablier T fermant l'entrée d'un cab, quand , étant d’une seule pièce, il se rabat en avant, en pivotant autour d'une charnière P (par opposition à la porte à deux vantaux, formée de deux volets se rabattant à droite et à gauche). — Voir Cab.
- TABLES des Carrés et des des Logarithmes,
- - Voir Carré, Cube, etc.
- TABLEAU. — Pièce verticale ou inclinée formant l'arrière de la coque d’un canot ; le tableau est assemble à tenon sur l’extrémité postérieure de la quille, et maintenu par une pièce en bois courbé, rivée sur lui et sur la quille.
- TABLES D'ORIENTATION. — Ce
- sont des plaques de marbre ou de métal, zinc ou cuivre, généralement circulaires, sur lesquelles sont gravés les noms des points remarquables de l'horizon.
- En dirigeant son regard par la verticale du centre de la plaque, on lit les noms des sites correspondants, les altitudes; puis un dessin ligure le panorama. Par les soins du Touring-Club, quatorze taldes sont actuellement placées dans les régions de France offrant les points de vue les plus remarquables ; vingt autres sont en préparation.
- Elles sont exécutées en lave de, Volvic émaillée. La lave paraît devoir être préférée à toute autre matière, en raison de sa solidité et, de sa grande résistance au froid comme à la chaleur.
- TABLES PLIANTES pour le camping et le tourisme. — Voir Monjardet, Paris.
- TABLIER du moteur. — Planche placée à l'arrière du moteur et séparant le capot, de la carrosserie. Le tablier du moteur, appelé quelquefois à tort garde-crotte, porte toujours plusieurs organes ou accessoires importants de la voiture, tels que piles, bobine, graisseurs, glace, etc.
- TACHYMÈTRE. — Appt treils servant à mesurer les vitesses, chronomètres à “ trotteuse” ou autres instruments plus compliqués.
- TACOT. — Expression vulgaire d'atelier servant à désigner une voiture de mauvaise construction qui fait un bruit comparable à celui (lue produit le tacot des métiers à tisser lorsqu'il lance la navette.
- TAFFINEAU, garage, commerce d'automobiles, 19, boulevard Vaulabelle, à Auxerre (Yonne).
- TAGLIABUE (Fratelli ) , carrosserie automobile, 11, via Panfilo Caslaldi, à Milan (Italie).
- TAILLANDIER, antidérapants, ü3, rue de la Roquette, Paris.
- PNEUS TORRILHON’I
- Pour
- AUTOMOBILES
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- T A I — 64o - TAN
- TAILLANDIER Frères, fabrique de lanternes, ay, boulevard Richard-Lenoir, Paris. '
- TALBOT [Ma iso?î)y roues caoutchoutées pour voitures et dépôt des pneus « Clinclier », j09, av. Malakoff, Paris. Tel. 549-38. Adr. tel. Tcilccibs-Paris. — Succursale : 8, rue Reine-Jeanne, à Nice (Alpes-Maritimes).
- TALBOT {Maison)^ vente de pneumatiques <( Clinclier », 35, rue Stévin, à Bruxelles (Belgique). Tel. 1086.
- TALBOT [Maison)) vente de pneumatiques « Clinclier », l\6} loro Bonaparte, à Milan (Italie).
- TALBOT, automobiles. — Voir Clé-ment-Talbot) Angleterre.
- TALBOT [Romain]) représentant de fabriques, accessoires, bougies, indicateurs de vitesse, compteurs Ertee-Smilh, 67, rue de la Victoire, Paris. Tél. 3iG-/|5; et /(G, Kaiser Wilhelmstrasse, à Berlin (Allemagne).
- TALC. — Silicate de magnésie doux et onctueux au toucher ; réduit en poudre, est employé comme lubrifiant dans l'industrie du caoutchouc et pour le maniement des pneumatiques.
- TALISMAN, pneumatiques. — Voir Deilz {E)) Paris.
- TALON. Pa rtie du pneumatique qui entre et reste accrochée dans la jante où elle est serrée par la pression de l'air comprimé dans la chambre. — Ce mot talon est synonyme de bourrelet. — Voir ce mot.
- TALONNER. — On dit qu'une voiture talonne ou touche lorsque le dessous du châssis entre en contact avec les essieux, au passage d'un caniveau par exemple. Les ressorts doivent avoir un jeu nécessaire, prévu par le constructeur, pour que rien ne gêne leur flexion et pour qu'aucune partie du mécanisme ou de la tuyauterie 11e vienne talonner sur les essieux.
- TAMBOUR. - - On désigne sous ce nom les larges poulies d'acier sur lesquelles ou dans lesquelles viennent frotter les r y bans ou les segments de freins, pour arrêter ou diminuer la vitesse de rotation de l'arbre qui les porte. Quelques constructeurs, pour empêcher le tambour de chauffer, installent un système de refroidissement par circulation d'eau ou par chute d’eau tombant goutte à goutte à l'intérieur du tambour (Delaunay Bellevilc, etc.).
- TAMBOUR ^Induit à). —Voir Dynamo (Induit à tambour).
- TAMBUTTE, montage de roues pour automobiles, iG, rue Guillaume-Tell, Paris.
- TAMPIER, 18, av. du Parc de Montre-tout, Saint-Cloud (Seine). Tél. l\2.
- — Publiciste ; exchronométreur officiel de l'A. C. F.
- TAMPON AMORTISSEUR. — Forte rondelle do caoutchouc , fixée sur champ sur un patin de ressort de voiture, au moyen d'une courroie, et, empêchant le choc direct de l’essieu sur le châssis dans un cahot brutal, choc qui peut amener la rupture du ressort et, par suite, de graves accidents. — Voir Amortisseur.
- TAMPON D ALLUMAGE. — Pièce amovible contenant Finflammatcur et l'axe de la palette, dans les allumages â rupture, et fixée à la culasse par vis ou goujons. Les tampons d'allumage et leur emploi sont décrits en détail dans l'ouvrage 1/ A ll u-maye dans les Moteurs à explosions , par B. de S.
- — 1Iknnegi\AVE Tampon p’aliamac.e IIknneoiiave
- et Aünus,3o, rue 1:1 Minus.
- Perrier, à Leval-
- lois-Perret (Seine).
- — Nilmeliou (Société), 47, rue Lacordaire, Paris.
- — Simms-Boscii, 2/1, rue Violet, Paris.
- TAMPON D’ALÉSAGE. — Calibre cylindrique mâle servant à vérifier le diamètre d'un trou alésé. Pour la fabrication précise despièces interchangeables, le tampon est double, et la différence des deux diamètres étant par exemple de 2 centièmes de millimètre (1 au-dessus, 1 au-dessous du diamètre exact), la tolérance ne pourra dépasser 1 centième.
- TANGUY, garage, commerce d'automobiles, iG, rue de Brest, à Morlaix (Finistère).
- TANNERIES ET COURROIERIES DE MAROILLES. — Voir Maroilles.
- TANT, carrosserie automobile, 122, rue du Bac, Paris.
- M. Tamimkr.
- TAMPONS d ALLUMAGE
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- T A N
- T A R
- — G'u
- TANDEM. — Nom donné aux machines cyclistes montées et actionnées par deux
- personnes placées l'une derrière l’autre.
- En carrosserie, se dit d’un siège de petites dimensions, de 20 à 20 cent, de hauteur ma xi ma, construit en panneaux et ayant une garniture tendue à l'intérieur.
- TANGENTE. — Une ligne droite est
- dite ^tangente à une courbe ou à un point, lorsqu'elle est perpendiculaire à l'extrémité
- perpe
- Tangentes
- taraud cylindrique, qui achève le filet ' enfin le tciraud-mère, qui est cylindrique e; n'est employé que pour la fabrication dest filières ou des tarauds.
- Un bon taraud doit avoir les angles des filets bien coupants et porter trois ou quatre rainures longitudinales qui sont destinées a évacuer les parcelles de métal arrachées par l’outil.
- Les tarauds pour le fer sont de coupe quadrangulairc (fig. i) ; pour le cuivre ou l'aluminium, il est préférable qu ils soient triangulaires (fig. 2).
- — Glaenzeu et Pkhreàld, i, avenue de la République, Paris.
- du rayon de courbure passant par ce point j de la courbe.
- TANTALE, métal lourd et difficilement fusible, employé par Siemens pour ses lampes « électriques ». •— Voir Osmium*
- TAPER. — O11 dit qu’un moteur lape ou cogne lorsqu'il produit, en marchant, un bruit régulier mais anormal, analogue à des coups de marteau sourds.— Voir Recettes du Chauffeur, par Baudry de Saunier.
- TAQUET. — Petite pièce mécanique qui sert soit d'arrêt (voir chien), soit de liaison momentanée entre une came et un clapet. — Voir Clapet d’échappement*
- TAQUETS de carrosserie. — Voir Panneau.
- TARAUDER. - C rcuser une rainure hélicoïdale dans un trou cylindrique, afin que cette rainure puisse recevoir une vis ou une tige filetée.
- O11 commence par percer le trou d'un diamètre égal «à celui de la tige qu'il doit recevoir, moins deux fois la profondeur du filet; on place ensuite, 1 igourcusement dans l'axe du trou, le taraud conique ; enfin, on imprime à ce dernier un mouvement de rotation à droite et à gauche, à l'aide de l'instrument nommé lourne-à-gauche.
- TARDY, fabrique de piles électriques (( l’Auto-Pile » à liquide libre, rechargeable, 17, rue du Faubourg-St-Jacques, à Valcnce-sur-Rhônc (Drôme). — Dépôt: Binet et C’°, fi, rue de Jarenle, Paris ; et Jacoby et C‘\ 9, rue Ilenri-lV, à Lyon.
- TARAGNAT, pièces détachées, vilebrequins, 78, rue d'Ainionay, à Saint-Etienne i Loire).
- TARAUD. — Cylindre plein, en acier fortement trempé, taillé en vis, dont on se sert pour tarauder. On distingue: le taraud conique qui sert à commencer le travail ; le
- TARET, roues réglables en bois, /j, place de l'Eglise, à Puteaux (Seine).
- TARGETTE. — Synonyme de verrou.
- TARIDE, cartes géographiques, 18, boulevard Saint-Denis, Paris. Tel. f{M\-22.
- CAMIONS MIEUSSET ..“ST J
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- TARIÈRE. — Oui il servant à percer dans le bois des Irous profonds et de grand diamètre, qui est actionné à la main, comme une vrille de grande dimension, au moyen d’un manche en bois.
- TARIF DES DOUA NES. — I jCs vélocipèdes, bicyclettes à moteur et les pièces de vélocipèdes paient un droit d’entrée en France de mm francs (tarif minimum) ou de 200 francs (tarif ordinaire), les i oo kilogrammes net, ce ijni représente environ do francs par bicyclette.
- Les automobiles et voiturcltes paient, si la carrosserie et la partie motrice sont réunies, la taxe de la carrosserie, soit f>o francs (tarif minimum) ou (io iranes (laril ordinaire), les 100 kilogrammes net, quand elles dépassent un poids total de ian kilogrammes. Files paient une taxe de lao Iranes (laril minimum) ou de 1 oo Iranes (laril ordinaire) les 100 kilogrammes nel, si leur poids est inférieur à ia5 kilogrammes.
- La carrosserie des voilures de commerce, d’agriculture et de roulage [taie ia Iranes (tarif minimum) ou i.i francs (laril ordinaire), les loo kilogrammes net,, si elles pèsent plus de aüo kilogrammes; ao francs (laril minimum) ou 3o francs (laril ordinaire), si elles pèsent moins de ado kilogrammes.
- Lorsqu'une voilure sort de France cl. quelle doit y revenir, son propriétaire doit se laire délivrer, au bureau de douane français, à la sortie de la frontière, un passavant descriptif qui lui permettra de la faire rentrer en France sans acquitter de droits. — Voir Douanes, Passavant, Permis de circulation.
- TARIF DES TRANSPORTS. — Voir Transports, Fonds, Einpatlemeiil.
- TARON (Charles) et C10, cartes-guides, îd et i-, rue des Martyrs, Paris.
- TART(//«iW-LéorP, ad, rue Durci, à Paris. Tél. (>77-82. — Né à Orléans, le 28 mai 1808. — Coureur cycliste depuis 1H8/1, s’est livré à l'automobile à partir de 1898 ; a couru en tricycle, voilurellc,voi-turcs légères, grosses voitures. Agent général pour Paris des automobiles Berliel.
- TART et C‘%
- vente d’automobi-
- les et garage, ad, rue Durci et a, avenue Alphand, Paris. Tél. (>77-82.
- TARTRE. — Dépôt s calcaires formés, sur les parois de la culasse des moteurs, par l'eau, sous Faction de la chaleur. — Voir Eau et Désincrustanls.
- TAS. - ISloc d'acier portatif sur lequel on fait, comme sur une enclume, de petits travaux de dressage, repoussage, martelage.
- TASSEL et RACINE, crins pour carrosserie automobile, t\{), rue Monlorgueil, Paris. Tél. 13.‘i—1 a.
- TATIN (Victor), if), rue de la Folic-lle-gnault, Paris. — Né à Paris, en 18/pF Elève et collaborateur de Marey à l'Ecole Pratique des Hautes-Etudes; un des chefs de notre école française d'aviation. Construit dès 187) un oiseau mécanique mù par un ressort de caoutchouc. En 1879, il expérimente, à Clia-lais-Mcudon, un aéroplane à air comprimé.— Lauréat de l’Académie des Sciences, en 1888, pour ses travaux sur la locomotion aérienne. Construit en 1890, en collaboration avec Ch. Richet, l’aéroplane à vapeur de 33 kilogrammes, et de 6™Go denvergure qui parcourt, à Sainte-Adresse, Go à 80 mètres. Nouveaux essais, en 189G, à Carqueirane (Var). E11 1897, l’appareil parcourt 1 /jo mètres à la vitesse de 18 mètres par seconde, mais un defaut d'équilibre, insuffisamment corrigé, le fait revenir en arrière et touchera 111\ mètres du point do départ. C’était le premier aéroplane qui ait fonctionné sous un poids de 33 kilogrammes et absolument libre.
- Ingénieur du premier dirigeable do M. Henri Deutsch de la Mcurthe, La Ville de Paris, M. Talin a donné do savants mémoires notamment sur les hélices aériennes.
- TATTERSALL FRANÇAIS, vente d'automobiles et de cycles aux enchères publiques, 3/1, rue Bcaujon, Paris. Tél. ">10-89: et i3, route de la Révolte, à Neuilly-sur-Seine. Tél. 5o5-/j8. — Directeur: M. II. Crémière.
- TAURINIA (Fabbrica Aulomobili), 87, via Prineipi d’Acaja, à Turin (Italie).
- TAURUS, carrosserie automobile, garage, commerce d’automobiles, !)8, via Santa Cliiara, à Turin (Italie).
- TAVEAU, embrayage progressif, 7, passage Pivcr, Paris. Tél. pdS-fia.
- TA VENAUX {Paul), f,-, quai des Grands-Augustins, Paris. — Né à Sedan, le 3i mai i883. — Coureur en automobile.
- TAVENEAU et C10, fabrique de limes, 20, rue Coulant, à Ivry-Porl (Seine). Tél. 808-/1G.
- TAVERNE (Richard), suspension pneumatique, 29, avenue de la Gare, à Sainl-Ouen (Seine).
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- Taiuèiu:
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- DE DION-BOUTON AUTO-STAND
- Neuves et ('Occasion
- 20, rue Duret, PARIS
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- TAVERNIER etQUEZIN, cuir chromo jiour antidérapants, cuirs pour carrosserie, /|ij. rue de la Glacière, Paris. Tel. Soj-5/|.
- TAVERNIER-GRAVET (1'=), instruments de précision, îg, rue Mavet, Paris.
- TAXAMETER - GESELLSCHAFT
- (Internationale), construction de taxamètres,
- 18, Landsbergersler, à Berlin (Allemagne).
- TAXE. — On appelle taxe une somme d'argent prélevée par le Trésor ou par les communes sur certains objets, tels que : voilures, cycles, automobiles, chevaux, etc.
- A partir du P'1' janvier 1899, la taxe sur les vélocipèdes avait été lixée à G francs pour les machines à une place ;
- A ia francs pour les machines à deux places ;
- A 18 francs pour les machines à trois places, et ainsi de suite.
- — Gonformémcnl à l'art. 3 de la loi de finances du 17 avril igoG, la taxe suides vélocipèdes sans moteurs est réduite a 3 francs à compter du ior janvier 1907.
- Les machines à plusieurs places (tandems, etc.) paient 3 francs par place.
- La nouvelle taxe est perçue d’une façon indirecte, c'est-à-dire qu'on l'acquitte en se procurant la plaque dans les bureaux de l'administration désignés à cet ell'el : principaux bureaux de tabac et agences de régie — et sans qu'il soit besoin de déclaration préalable dans les mairies, etc.
- La plaque de contrôle qui, dans ces conditions, 11'est plus valable que pour une année au lieu de quatre comme les plaques précédentes, s'achète donc comme un timbre-poste et a la même valeur à n'importe quelle époque de l'année.
- Les vélocijtèdes à moteur sont toujours taxés 12 francs par place; les agents de la régie et les principaux bureaux de tabac peuvent également procurer la plaque de ces derniers.
- D'autre part, il est absolument nécessaire que le véhicule (soit bicyclette, soit motocyclette) possède une deuxième plaque — comme autrefois — mentionnant l'identité de son propriétaire: la nouvelle plaque, en effet, 11e comporte plus d'espace puni1 l'apposition des nom, prénoms et domicile.
- — A Paris, la taxe sur les automobiles est de 5o francs pour les voilures à deux places, de go francs pour les voitures à plus de deux places; dans les villes de plus de /|o 000 habitants, de 4o francs et de 70 francs; dans les villes de 20 à /|0 000 habitants, de 3o francs et de Go francs; dans les villes de 10 à 20 000 habitants, de 20 francs et de 5o francs ; dans les villes de moins de 10 000 habitants, de 20 francs et de !\o francs. (Loi du i3 avril 1898 (art. 3j et loi du i3 juillet 1900 (art. 5). A ces taxes s’ajoute un droit fixe de 5 francs par cheval-vapeur ou fraction de cheval-va-iieur.
- Beaucoup de villes, dont Paris, ont soumis les voitures automobiles à une taxe égale a l'impôt. D'autre part, les Conseils généraux les obligent souvent à fournir trois journées de prestations.
- Ln cas de pluralité de résidences, la taxe perçue est celle de la ville la plus imposée. Elle est doublée en cas de non-déclaration.
- Certains pays, dont l'Angleterre et l’Allemagne, font payer une taxe aux touristes venant excursionner, en automobile, sur leurs territoires respectifs.
- A son entrée en Angleterre, l'automobiliste doit payer : i° la taxe ordinaire des voilures :
- 2 liv. st. 2/ par au; 20 la taxe sur les automobiles fixée à 2 liv. si. 0/ par an pour un véhicule d un poids inférieur a 2 tonnes (2 o33 kg.\ ou à 3 liv. st. 3/ par an pour un véhicule d'un poids supérieur à 2 tonnes.
- — En Allemagne il est perçu, depuis le Douillet 190G, un impôt sur les motocyclettes et les voitures automobiles servant au transport des personnes.
- Motocyclettes :
- i° Pour un séjour ne dépassant pas 3o jours,
- 3 marks ;
- 2" Pour un séjour de plus de 3o jours, 10 marks.
- Automobiles :
- i° Pour un séjour ne dépassant pas 5 jours, 10 marks ;
- 20 Pour un séjour ne dépassant pas 3o jours, /jo marks ;
- 3° Pour un séjour de 3o jours à !\ mois, la taxe varie suivant le nombre de chevaux du moteur ; elle est pour les automobiles :
- .lusqu'à G chevaux, de 12 marks 5o par voiture, plus 1 mark par cheval;
- De 7 à 10 chevaux, de 2.5 marks par voilure, plus x mark 5o par cheval ;
- Do 11 à 20 chevaux, de 5o marks par voiture, plus 2 marks 5o par cheval;
- Au-dessus de 25 chevaux, de y5 marks par voiture, plus 5 marks par cheval ;
- 4° Pour un séjour de plus de l\ mois jusqu’à un an la taxe est doublée de la précédente, soit :
- Jusqu’à G chevaux, de 2.0 marks par voiture, plus 2 marks par cheval.
- De 7 à 10 chevaux, de 00 marks par voiture, plus 3 marks par cheval.
- De 11 à 2.5 chevaux, de 100 marks par voiture, plus 5 marks par cheval.
- Au-dessus de 20 chevaux, de i5o marks par voiture, plus 10 marks par cheval.
- Ce tarif est le môme que pour les voitures séjournant habituellement en Allemagne.
- Le paiement de la taxe a lieu à l'arrivée aux bureaux de la douane-fixmlière, lesquels délivrent, à tilre de quittance, une carte d’impôt (stcuerkarle) sur laquelle sont portés le montant de la taxe ainsi que la description exacte de la voiture et du moteur.
- Moyeu E AD IE Grandes Marques
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- L'impôt s’entend pour un séjour d’uu nom-, bre de jours effectifs, c’est-à-dire que le porteur d'une carte d’impôt valable, par exemple, pour un séjour ne dépassant pas 3o jours, peut, au bout de 12 jours, ressortir d'Allemagne et y rentrer avec la mémo carte, autant de lois qu’il lui plaira, jusqu’à épuisement des 3o jours, dans le délai d'un an; la carte d'impôt doit être visée par l’employé de douane à chaque sortie cl à chaque rentrée.
- La validité de la carte cesse douze mois après la date de sa délivrance.
- Les motocyclistes et automobilistes qui désireraient prolonger leur séjour en Allemagne au-delà du délai prévu sur la carte d impôt, devront, trois jours avant l’expiration de ce délai, en demander une autre pour une période plus longue à un bureau quelconque des contributions iSleueraml ou Finanzamt) de l'intérieur de l'Allemagne; dans ce cas, la taxe payée pour la première carte d’impôt sera déduite du montant de la deuxième.
- La carte d’impôt devra être produite à toute réquisition des douaniers et agents de police.
- Le non-paiement de la taxe expose les automobilistes a une amende variant de cinq à dix lois le montant de la taxe.
- Les damions automobiles 11e sont pas soumis à cet impôt.
- La taxe d'impôt ne dispense pas les touristes étrangers de la consignation des droits de douane — ou de la production des triptyques y suppléant — pour l’importation temporaire des motocycles et des automobiles en Allemagne.
- TAXIMÈTRES (Société générale des Compteurs de voitures)* 27, rue de Londres, Paris. Tél. 21G-GG.
- TAYLOR (Compagnie des Moteurs), ifi, rue Grange-Batelière, Paris. Tél. 269-48.
- TAYRAC (De), cuir chromé pour antidérapants, à Lille (Nord); et 90, boulevard Saint-Michel, Paris.
- T. C. F. — Voir Touring-Club de France.
- TECHNIQUE AUTOMOBILE (La),
- revue scientifique, 4g, quai des Grands-Au-gustins, Paris.
- TEDESCHI (Fratelli), « Auto-Palace », garage, commerce d'automobiles, via Basili-cata, à Home (Italie).
- TEISSERENC DE BORT (Léon), 33, rue Dumont-d’Urville, Paris. — Né à Paris en 180G. — Météorologiste au Bureau Central, après avoir dirigé, pendant. 12 ans, le service »le Météorologie générale, où il a publié de nombreux mémoires sur la circulation de l'atmosphère. A fondé, à ses frais, l’observatoire de météorologie dynamique de Trappes (Seine-et-Oise) et fait, d'importantes études par ballons-sondes et cerfs-volants, sur la température de l'atmosphère aux différentes altitudes, les courants aériens, notamment les alizés. Nous devons à sa science et à ses sa-
- crifices désintéressés de pouvoir nous comparer dans cette branche de la science aux diverses institutions richement dotées par les Etals étrangers.
- TEL (Indicateur-enregistreur de vitesse),
- — Voir 11 aster (Atelier des Télégraphes), à Berne (Suisse).
- TÉLÉPHONES ( Société Industrielle des), 2Ô, me du Quatre-Septembre, Paris. Tél. 24.6-81 et 24.O-82. —Adr. tél. Téléphones-Paris. — Fabrique de pneumatiques (marque VElectric) et d'accessoires pour automobiles (marque S. /. T.). — Société au capital de 18 millions de francs. — Président du Conseil d'administration : M. Emile Richemond : administrateur-délégué : M. Leautc ; secrétaire général : M. Many.
- T E L LIE R (Alphonse-Auguste), 02, quai de la Râpée, Paris. Tél. 922-64. Né à Paris, le 24 août 1879.— Officier d’Académie.
- — Ingénieur-constructeur de canots automobiles. — Ancien élève du Laboratoire central d’électricité ; îliembre du Comité de la Chambre syndicale de la Navigation automobile ; membre de la Commission du Yachting automobile de TA. C. F., etc.
- TELLIER, garage, vente d'automobiles, 149, rue de Charlevilie, à Ilirson (Aisne).
- TELLIER Fils et GÉRARD, canots automobiles, Ô2, quai de la Râpée, Paris.
- Tél. 922-64.
- T. E. M., accumulateurs, 2G, rue Laffitte, Paris. Tél. 11G-28.
- TEMPÉRATURE. — Évaluation approximative, à la vue, de la température de différents métaux :
- Une lame de fer, polie et chauffée lentement au contact de l'air, se colore :
- fusion
- E11 jaune. . En orange. E11 rouge.. E11 violet.. E11 indigo . En bleu. . . En vert. . .
- En rouge commençant sombre............
- . 220° (approximatif) . . . Etain
- . 2 !\ 5° — . .
- . a(>f>'’ — Bismuth
- . 27r>“ — —
- . 200 . 2()Ô° — . _
- . 335° Plomb
- . 4o°° - Zinc
- cerise commençant cerise clair. .
- 020u 700° 8oo°
- 900-1 000°
- Aluminium
- Argent
- Or
- Cuivre
- orange foncé...... 1 ooo0. —
- orange clair...... 1 200°. fonte grise
- blanc............. 1 3oo°. —-
- blanc intense..... 1 4oo°. —
- — blanc éclatant (fus.) i5oo°.|
- Fer doux Nickel
- TEMPS. — Le Temps sc compte en jours, O11 distingue trois espèces de temps,
- PLUSdeDECOLLAGEavecuVülcaüisateurSANS
- MESTRE etBLATGE .5, Rue BRUNEI. PARIS.
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- comme on distingue trois espèces de jours : temps vrai, temps moyen, temps sidéral.
- TEMPS D'UN MOTEUR. — La
- pensée première du moteur à explosions à quatre temps revient sans contredit à Beau de Rochas, ingénieur au Chemin de 1er du Sud. (pii. dans une élude, publiée en 18G1. intitulée : « Nouvelles recher-
- ches sur les conditions pratiques de l'utilisation de la chaleur ». exposa nettement la théorie des périodes de combustion d'un moteur à quatre temps. Ses idées Turent, reprises et modifiées par Otto, ingénieur allemand .
- Tous les moteurs à explosions à quatre temps fonctionnent conformément au cycle suivant, :
- Premier temps. — Le premier temps est celui de l'aspiration. Le piston, se trouvant à la partie supérieure du cylindre, à fond de course, est amené vers le lias par le mouvement, de rotation du ou des volants (cas d'un moteur vertical).
- Dans sa course de haut en lias, il fait le vide dans l’intérieur du cylindre ; il détermine l'ouverture de la soupape d'admission si cette soupape est automatique, et permet l'introduction dans le cylindre d’une quantité (h; gaz égale sensiblement au volume meme du cylindre. Dans le cas où la soupape n'est pas automatique, mais commandée (comme la soupape d’échappement), elle est ouverte en temps voulu par une came qui en soulève la tige.
- Deuxième temps. — Parvenu à la partie inférieure du cylindre, le piston, toujours actionné par le mouvement des volants, commence une course vers la partie supérieure du moteur. La soupape d'aspiration s'est refermée dès que l’aspiration a cessé. Dans ce mouvement, le piston comprime dans le cylindre les gaz qui ne peuvent plus s’échapper. Leur compression mémo tend à faire appliquer plus exactement encore les bords des soupapes sur leurs sièges.
- Le 2° temps est, celui de la compression. 11 a pour but de resserrer les molécules des gaz et d’en élever la température.
- Au moment où le piston arrive an terme de sa course de 2° temps, une étincelle électrique jaillit dans la culasse entre les pointes d'une bougie. Cette étincelle provoque l'inflammation immédiate des gaz et les fait exploser.
- Troisième temps. — Sous l'effort de la détente des gaz. le piston est violemment chassé vers la partie inférieure, effectuant ainsi le troisième parcours du cycle dans le cylindre. Ce temps est celui de Y explosion; c'est, le temps utile, le temps producteur du travail, celui qui doit fournir au volant assez d’énergie pour suffire à la réalisation des trois autres.
- Quatrième temps. — Le piston est arrivé au bas du cylindre qui demeure rempli do
- gaz brûlés, morts. Continuant, sa course, et d'autant plus vite que l’explosion a été plus violente, le piston, actionné par le volant qui vient d'emmagasiner une énergie nouvelle, remonte rapidement dans le cylindre. A ce moment, une came placée sur l'axe de la roue de distribution du moteur vient, soulever la queue de la soupape d'échappement, en forçant, cette dernière à s'ouvrir pendant tout le temps que le piston remonte et chasse devant, lui les gaz brûlés.
- En réalité la soupape d'échappement commence à s’ouvrir, non pas au début du j1'temps, mais vers la fin du d°. L'expérience a montre qu’il y avait, intérêt à donner à un moteur un peu d'avance à Téchajtpemenl afin de supprimer toute compression nuisible à la remontée du piston.
- 11 existe un grand nombre de types de moteurs; mais tous ne diffèrent les uns des autres que par de très légères modifications apportées le plus souvent, par leurs constructeurs à la forme de lit culasse et à la disposition des organes placés sur elle (soupapes, bougies, robinet de compression, etc.). Le principe des quatre temps reste toujours exactement, le meme.
- — 11 existe, en outre, quelques rares modèles de moteurs à deux temps. Ces moteurs sont établis suivant les memes règles et d'après les memes principes que leurs confrères à quatre temps. Leur disposition est, différente, mais ne supprime nullement les quatre temps du cycle qui sont échelonnés sur deux courses du piston au lieu de quatre. — Voir Moteurs.
- TEMPS ( cinématique ; notion de temps et d’espace). — Un corps est en mouvement, quand sa distance à des objets considérés comme fixes et pris comme repères, varie avec le temps. — Tout corps en mouvement, est, un mobile. On simplifie l'étude des mouvements en réduisant, les mobiles à des points matériels (humés de dimensions. — La trajectoire d'un mobile est la ligne continue, droite ou courbe qu’il décrit dans son mouvement. La longueur de la trajectoire, comprise entre le mobile et son point, de départ pris comme origine, représente Yespace, parcouru. Le tcmjts employé à la parcourir s’évalue en secondes. Les notions d’espace et de temps sont fondamentales en cinématique, car elles servent à la définition meme du mouvement, et de la vitesse.
- TENAX, piles, ac< 'umulr.tjurs, bougies. — Voir llenrique
- TENDELET. — Petite tente démontable, en cuir ou en toile, qui joint l’avant de la capote d'une voiture à la glace placée sur le tablier du moteur.
- TENDEURS DE CHAINE ET DE COURROIE. — Le nom meme de ces ap-
- AUTOmOKILES lui riinri lu 32 bis, Rue Desrenaudes^
- de Ville et de Tourisme If I . LU U LLI 11 PftRIS - Ttilep!]. 589-74 J
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- pareils définit leur Ih11. La figure i repré-sente un lemleur de chaîne pour automobile :
- Ti-:.\m-:cu i>j; ciiaim: Loiuiaink-I )u;i m<;n
- A cl H son! respectivement l'axe du pignon de chaîne et l’essieu arrière. Le tendeur D est solidaire del'essieu, et comme il supporte dans ce cas l'action du frein, sa forme est prévue
- en conséquence. 11 est articulé en G au palier de pignon de chaîne, afin de suivre les mouvements de l'essieu par rapport au châssis, et sa longueur se règle au moyen d'un écrou E à tilnls contraires.
- La figure :î représente un tendeur de
- courroie employé ^ - dans les installations fixes pour la commande des d y n a m o s, p a r exemple. Celle-ci est portée sur deux ou plusieurs ’’ln- d___________rails ou glissiè-
- res A munies d'un nez H traversé par une vis de tension G éloignant la dynamo du moteur, lorsqu'on la serre, et augmentant de ce fait la tension de la courroie.
- La figure 3 représente un tendeur à galet quelquefois employé pour produire le débrayage par son éloignement de la courroie. Le brin conducteur doit être droit, et le galet recevoir le brin conduit.
- — Fils Fkkiucs, chaînes, à Saint-
- ( diamond (Loire).
- TENON. — En menuiserie et en carrosserie, le mot tenon est appliqué pour désigner la partie d'un assemblage à tenon et mortaise. G/est une partie taillée et amincie qui rentre avec précision dans la mortaise. — Yo\r Mortaise.
- TENSION (En). — Montage d'élément consistant à réunir le pôle positif d'une pile au
- pôle négatif d'une autre et ainsi de suite ; de sorte que l'on a, à l'un des bouts de cette sorte de chaîne, un pèle positif, et, à l'autre, un pèle négatif.
- Dans le cas d'une résistance extérieure nulle, la puissance, aux bornes d'une batterie ainsi montée, est égale au nombre d'ampères que débile chaque élément, multiplié par le total des volts des éléments. Nous en conclurons que les volts s'ajoutent et que les ampères ne varient, pas. (Lest le genre de montage le [tins usité on automobile. Cet accouplement porte aussi le nom de montage en sérié.
- - Tension-quantité. — .Mode d'accouplement. où les piles sont montées en tension et. en quantité. G'est-à-dirc que la batterie est divisée en groupes composés chacun de plusieurs éléments moulés en tension, tandis que les groupes enlr'eux sont montés en quantité. On dit plutèt : montage en séries parallèles, expression plus précise et plus claire.
- TENSION DE VAPEUR. — Voir
- Surchauffe, de la vapeur.
- TENTES pour le tourisme, et le cam-pinq. - Voir Monjardet, Paris.
- TERRE POURRIE. — M alière siliceuse line et terreuse, gris cendré oujaunàlre. formée par des dépèls sédimenlaires géologiques de silice farineuse, provenant, des carapaces de diatomées (algues) microscopiques. La terre pour)de est, employée pour le polissage; elle est souvent confondue avec le tripoli. — Voir ce mot.
- TERRONT [Charles). - -Célèbre coureur cycliste, né à Paris le :>è avril iNoj. D'abord employé à V Evènement et. Y Agence Havas, s'adonna au cyclisme dès i8^4 ; devint bien-lèt un fervent, de ce sport, ; courut pour la première fois dans une épreuve régionale en iS"o. Devint , à partir de lS^“uu des favoris du public; prit part, presque toujours avec succès, à toutes les grandes (''preuves de France (Championnat de France, Paris-lîrest, etc.), d'Angleterre et d'Amérique. Actuellement, propriétaire d'un garage d'automobiles à Houen, i, nie Jeannc-d'Arc.
- TERROT et C'% bicyclettes à changements de vitesses et, motocyclettes, a, rue André-Colomban, à Dijon (Cèfc-d’Or). Tel. i3f>. Adr. tél. TerroL-Dijon. Magasin de détail : 3o, avenue de la Girande-Armée, Paris. — Maison fondée en 1887, dont, les propriétaires-directeurs sont M. François Ter-rot, ingénieur, et M. G. Puttlinger-Tcrrot, industriel. — Manufacture de bicyclettes et bicyclettes à moteurs. Spécialité de bicyclettes à changement, de vitesse (avec a, 3, 4, (i et 10 développements pour le tourisme).
- Aux trois concours organisés par le Tou-ring-Club de France, en iqoi, iqoa et i<jo5, la maison Terrot a obtenu, chaque fois, le ier prix.
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- Société Anonyme des ATELIERS GERMAIN, Monceau-sur-Sambre (Belgique)
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- TESSE. huiles minérales, a3, rue de la Chaussce-d’Antin, Paris.
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- TESTE {Georyes-Rnberl), iVi> rue de
- Courcelles, Paris. " Tel. n/12-37. —
- Né à Pacy-sur-Eure, le 3o mars 187/1. — Négociant représentant de Panhard et Levassor, Mer cédés, Renault, etc. -- Ancien c h e f dans le s ateliers de Dion-Routon ; et coureur en tricycle ( 18i)G-1901 ) ; conducteur des Panhard et directeur commercial) 1901-
- M. I r.sn: , y 0 /| ) d’une
- agence de cette marque. — Actuellement directeur de la maison Teste (commerce d’automobiles).
- TESTE, MORET et Ci0, tréfileric, tubes d’acier, à Lyon (Rhône).
- TETE. — - D ans un marteau (voir ce mol), la tète est la partie large, plane ou légèrement convexe, qui est opposée à la panne.
- — Cyclisme.--Nom donné au l ube formant la partie antérieure du cadre d’une bicyclette.
- — Tête-à-queue. — On dit qu’une voiture fait un lète-ù-queue lorsqu’elle « dérape » au point de pivoter entièrement sur elle-même, l’arrière de la voilure passant, à l’avant.
- Tête de bielle.— Articulation d’une bielle
- du côté opposé au piston ou, d’une fa(jon plus générale, articulée au vilebrequin du moteur.
- Tête de cheval. — Pièce oscillante d’un tour à liloioi’ ou d'une machine à diviser, qui est destinée à recevoir dans des rainures les différents engrenages nécessaires aux d i lî’érents rapports à obt.e-
- Tète de nn.i.Li: dans ijn MO.NOCYLl N DUE (Cil COUpc)
- H, bague avec .scs trous graisseurs. — M, bielle. — \ , V, volants.
- légère
- nir entre l'arbre principal et la vis-mère. O11 l'appelle aussi lyre ou cavalier.
- — Tête du moteur. — Partie supé rieure d'un moteur, ainsi nommée lorsque celte partie n'est pas « rapportée » et qu’elle forme un tout complet avec le cylindre. Si cette partie est rapportée, elle prend le nom particulier de culasse.
- TÉTON. P arlie faisant une saillie sur une pièce de fonderie et servant à consolider une paroi peu épaisse dans laquelle on perce un trou ou on pratique un filetage pour monter une bnuyie. par exemple. — Le téton est aussi le nom delà partie d'un organe mécanique qui s'emmanche dans une autre pièce. Voir ligure ci-jointe.
- On appelle mèche à lé- p Ion une mèche «pii est munie, à son extrémité coupante, d'un rendement. T, téton,
- d'un téton destiné à la conduiredans un avant-trou que dir.
- TEXIÉRAS {Michel), garage.
- commerce
- d’automobiles, 3, boulevard Louis-Blanc, à Limoges (Haute-Vienne).
- THALER, ancienne monnaie allemande, valant 3 marks.
- THAUDIERE, commerce d’automobiles et. de cycles, 9, place «les Halles, à Tours (Indre-et-Loire).
- THEIS {Jacques), vente de toutes pièces d'automobiles pour construction et rechange, à Roden-Saarlouis (Allemagne). Adr. tel. Theis-ltnde?i-S a a r louis.
- THÉO, fabrique de lanternes (Th. Combe), G, rue Fromentin, Paris. f
- THÉODORE, commerce d’automobiles, 21, rue Brunei, Paris.
- THÉORIE. — La théorie d'une science ou d'un appareil est son élude faite par raisonnement et déduction, en s’appuyant, quand il y a lieu, sur des faits connus ou d'expérience.
- THERMO CHIMIE. - Partie de la chimie générale dans laquelle on étudie la chaleur produite ou dégagée par les diverses réactions pour en tirer d«;s conclusions utiles à la pratique.
- THERMODYNAMIQUE. — Science «pii a pour but. l’étude des transformations de la chaleur en travail et vice versa. O11 y étudie par suite, à un point de vue essentiellement théorhpie, les machines thermiques telles «pic moteurs à vapeur, à gaz, à air chaud, etc.
- AUTO-GENERALE J, SALLERON
- 16, rue Duret — PARIS Directeur
- Automobiies :
- L. Bolléb, Brasier, Delaunay Bsllevt’da Panliard-Levassor, Mors
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- T II E
- THERMO-ÉLECTRIQUE. — 1 ’artie de
- l'électricité générale dans laquelle on étudié la transformation directe de la chaleur en électricité, ou inversement.Ce mol, est d’ailleurs peu usité dans ce sens et sert, plutôt, à désigner les couples ou éléments de piles thermo-électriques, c’est-à-dire dans lesquelles on produit directement du courant en dispensant de la chaleur.
- THERMOMÈTRE. -Le thermomètre centif/rude est divisé en 100 parties égales, appelées grades ou degrés, comprises entre la cote zéro indiquant la température de la glace fondante, et la cote ioo indiquant la température de l’eau bouillante, sous une pression barométrique de ~(>o mm.
- Le thermomètre Héaumvr marque o" dans la glace fondante et <So degrés dans l’eau
- ___212 .
- 167 .
- 122 .
- ___32
- 0 .
- Eau
- bouillante 100 _
- Glace
- fondante 0 .
- A, ihormomèlre centigrade.- — H, thermomètre lléaumur. — G, thermomètre Karenheil.
- bouillante; le thermomètre Farenheit, encore très usité en Angleterre, marque 3 2 degrés dans la glace fondante et 212 dans la vapeur d’eau bouillante.
- THERMO-SIPHON. — La réfrigération des moteurs est assurée dans certains types de voit m'es, en particulier les Renault, lesChénard-Walcker, certaines Trèfles à Quat re Feuilles, non par la pompe ordinaire forçant l'eau à circuler du moteur au refroidisseur. mais simplement par thermo-sijihon.
- Dans ce dispositif, le haut et, le bas de la chambre t'i eau, qui entoure le moteur, sont raccordés par plusieurs tuyaux à un grand radiateur en nid d’abeilles ou formé par de ombreux tubes garnis d'ailettes. L’eau cir-
- cule alors simplement par différence de densité, l’eau plus chaude gagnant le sommet. du cylindre puis le radiateur, et l'eau.
- R
- 'I MC.KMO SIPHON
- .M. cylindre du moteur. — 11, refroidisseur. —
- 'I', lulie de sortie d’eau chaude. — T’, tube
- d’ainenée d’eau refroidie.
- relativement plus froide par suite de son séjour dans le radiateur, arrivant naturellement par la partie inférieure du cylindre. — Voir Circulation d'eau.
- — Ciiknaru ht Waecker, rue de Normandie, à Asnières (Seine).
- — Renault Frères, i3(), rue du Point-du-Jour, à Billancourt (Seine).
- — Trèfle A Quatre Feuilles (voitures Brasier), 23, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- THERMO VULCANISATOR. — Appareil portatif à l'usage des chaulleurs pour la vulcanisation des réparations des pneumatiques (chambres et enveloppes) ou des pleins. Le thermovulcanisator est basé sur l'emploi des dissolutions sursaturées de sels, qui permettent d’obtenir, sous la pression atmosphérique ordinaire, suivant le sel employé, des températures fixes et invariables, supérieures à ioo": par exemple no0 avec, le chlorure de sodium. Le /hermovulcanisator emploie habituellement le bain au chlorure de sodium ou sel de cuisine (iio°); la vulcanisation, à cette température relativement peu élevée est rendue possible par l’emploi d'une dissolution spéciale, à base de soufre combiné mi-métalloïdiqué, mi-métallique. — Voir Roy (G.-.l. Le).
- THÉRY {Léon). 10 bis, rue Chaligny. Paris. — Né à Paris, le iG avril 1879. — Après avoir pris part à presque toutes les courses de côte, du mille, du kilomètre, etc., disputées à Nice, à Gaillon, à Trouvillc, etc.. Théry entra, en 1908 à la maison Richard-Brasier, pour, laquelle il gagna les Eliminatoires Françaises, puis la Coupe Gordon-Bennett, deux années de suite (1904. au Taunus, et 1900, en Auvergne).
- CHAINES REIMOLD
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- T il E
- — G4y
- T 1 E
- THEUVENY (L.), cartographie, 80, rue Taitbout, Paris.
- THÉVENIN Frères, SÉGUIN (L.) et Cie, ioiideric de cuivre, fabrique de graisseurs, ,'3, rue Dunoir, à Lyon (Rhône), et ii(i, boulevard Richard-Lenoir, Paris. Tel. 902-97.
- THÉVIN (1<\) et Ci0, éditeurs de l’Annuaire ç/énéral de L’Automobile, i, rue Vil-laret-de-.Ioyeuse (.'38 bis, avenue de la Grande-Ai'inéc), Paris. Tel. 5/16-78.
- THIAULT (J.), soudure autogène oxy-acélylénique, 27, rue des Poissonniers, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- THIBAL, fonderie de cuivre, robinetterie, 22, boulev. Richard-Lenoir, Paris. Tel. 921-9.4.
- THIBAULT, garage, eonnneree d'automobiles, 29, rue Charronnerie, à Nogent-le-Rotrou (Eure- et-Loir).
- THIERCELIN Ainé et BOISSÉE,
- emballages d’automobiles, t\o, rue Laugier, Paris. Tel. 5i i-o3 et 5o8-513.
- THIERRY-MIEG, garage, commerce d'automobiles, 78, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél. 678-55.
- THIEULIN (Louis) et Cie, garage, commerce d’automobiles, a/|, avenue fontaine-Argenl, à Resançon-les-Rains (Doubs).
- THIRION et BONNET, ingénieurs-conseils, brevets d’invention, yo, boulevard Reaumarcliais, Paris. Tél. 2,51-62.
- THIRION et MOTTARD, mécaniciens-constructeurs, xG, rue du Champ-de-Mars, à Rar-le-Due (Meuse).
- THOMAS, instruments de précision, î-b, rue Saint-Honoré, Paris.
- THOMAS, lachymèlres et chronomètres, 10, rue La Roétie, Paris.
- THOMAS, machines à mouler, !\, boulevard de la Manie, à La Yarcnnc-Saint-Ililaire (Seine).
- THOMAS (René).-—Né à Périgueux, le (i mars 1887. A gagné, en iyo5, le championnat de motocyclette du « Tiers de litre ».
- THOMAS et Fils, MILICE et HOC-QUETTE, canots automobiles, garage, à Compiègne (Oise).
- THOMAS Frères, fabrique de ressorts, 3/|, rue Henri-Chevreau, Paris. Tél. ydy-o5.
- THOMAS MOTOR C°, construction d’automobiles, i/ji(i, Niagara Street, à Bu Halo (N.-Y.), Etats-Unis.
- THOMÉ Fils et CROMBACH, fonderie d’acier et de fonte malléable, pièces détachées, à Nouzon (Ardennes); et 6 bis, rue de la Terrasse, Paris. Tél. 586-18.
- THOMÉ-GÉNOT (Ateliers), pièces détachées, à Nouzon (Ardennes').
- THOMMERET, vernis pour carrosserie, 25, rue Hoche, à Pantin (Seine). Tél. 420—S/j.
- THOMSON (R. 1V\). — Inventeur anglais qui eut, le premier, l'idée d’entourer d'un bourrelet d'air les jantes d’un véhicule et qui. en 1845. prit, en Angleterre, un brevet pour « l’application de supports ou appuis élastiques tout autour des jantes des roues de voilures ou autres corps roulants ».
- Le mémoire descriptif de ce brevet dit textuellement : « .....l'emploie un bandage ou
- « courroie creuse, composée de quelque ma-« tière imperméable à l’air cl à l’eau, telle « que le caoutchouc ou la gutta-percha, et « (/onfiée d'air, de façon que les roues vien-« lient présenter au sol un matelas d'air ».
- Cette idée du ;meumatiquo qui 11'eut, à cette époque, aucun succès, fut reprise ou recréée, en i88y, par l'Irlandais Dunlop.
- ^ THOMSON - HOUSTON ( Compaqn ie Française jtour l’Exploitation des Brevets1, anciens établissements Poslel-Vinat/, traction électrique, transport de force, dynamos, turbines à vapeur, 10, rue de Londres, Paris. Tél. 10S-11 et 158-81. — Ateliers : 21 y, rue de Vaugirard, Paris. Tél. 708-02 et ~t>8—6.'3. Société au capital de jo millions de francs.
- THORN, fabrique d'automobiles, 19, Gréai Portland Street, à Londres (Angleterre).
- THORNYCROFT and CP, Ltd, construction de voitures et de camions automobiles, d’hélices et d'accessoires pour bateaux, llogarl Lane, Cbisxvick (Angleterre).
- THUAU Fils, fonderie d'aluminium et de cuivre, à Rennes (Ille-et-Vilaine) ; et 11, rue Marivaux, Paris.
- I^/mte
- THUILLIER et DAGUE, pièces de forge, à Bar-sur-Aube (Aube).
- THURY (Automobiles). — Voir Industrie Electrique et Mécanique, à Genève.
- TIERCER. — O11 doit toujours avoir soin, au montage, de tiercer les segments que porte le piston d'un moteur, c'est-à-dire de disposer ces serments de telle façon ipie leurs fentes 11e se trouvent pas les unes au-dessus des autres, ce qui faciliterait l'écoule-
- ment des gaz .... . .
- (Piston vu nar-dessus.;
- comprimes dans
- le cylindre et empêcherait évidemment une bonne compression. Chacune des fentes des segments (qui sont presque toujours groupés par trois) doit être placée de telle sorte qu'elle soit à égale distance des deux autres fentes, c'est-à-dire dans le rapport, du tiers de la circonférence.
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- G5o
- T 0 I
- TIERSOT et C'% machines-outils, t(i, nie des ( Iravilliers, Paris. rIY“l. 31G—~ i.
- TITAN, courroies. — Voir Gclling et Jonas.
- TIERS-POINT. — Le tiers-point. ou trois-f/uav/s, est une lime dont la sec-lion est.
- TITUS POSTMA (J.) et C10, leurs d'articles français pour rue Brunei, Paris. Adr. loi. Pos/ma-Paris.
- Tikks-poï.nt
- un triangle équilatéral. — En dehors de son emploi connue lime, le liers-poinl est. très souvent utilisé pour couper de petites pièces inétalliipies. petits tuyaux, etc., au moyen de ses arêtes; meule à son extrémité sur ses trois laces, il devient un excellent yralloir pour coussinets à rectifier, etc.
- TIGE DE PISTON. — Tige cylindrique qui unit le [liston à la bielle (dans les machines à double cflet : machines à vapeur, moteurs à gaz à double ell’et, etc.). La lige de piston n'est pas articulée au piston; elle est guidée à son extrémité opposée, articulée a la bielle, par un coulisseau se déplaçant entre dus glissières. Voir Coulisseau.
- TIGE DE SOUPAPE. Dé nomination technique de la queue d'une soupape. — Voir Queue de soupape.
- TIGRE (Le), pneumatiques. - - Voir Cauchy.
- TILEY-PRATT C) (The), gonfleurs automatiques de pneumatiques, à Lssex (Connecticut), Etats-Unis.
- TILLY-CORNOIS [Houe). Voir Le-tellicr, i/|, rue de Bagneux.
- TILQUIN fonderie de fer, à Bovin (Ardennes); et fio, rue Fontaine-au-Bui, Paris.
- TIMKEN ROLLER BEARING AXEE Cu, fabrique d'essieux à rouleaux, à Bantou [Ohio), Etats-Unis.
- TIPS, amortisseurs pour automobiles, pli, rue de Livourne, à Bruxelles [Belgique).
- TIR DE FRANCE (Union des Sociétés de), fit, rue Caumartin, Paris. Tel. :>.~o-io.
- TIRE-FOND. — drosse vis à bois, à tète carrée. Employée surtout pour fixer les rails sur les traverses, elle a de nombreuses applications dans lit charpente, dans la mécanique et dans la carrosserie.
- TIROIR. - Organe obturateur glissant qui est particulièrement employé pour la distribution dans les moteurs à vapeur. Il est, quelquefois usité comme robinet de réglage du débit dans des conduites, par exemple dans les carburateurs. — Voir Moteur à vapeui.• et Distribution de moteur à vapeur.
- exporla-automobiles,
- Tél. 33/|-8'|.
- TIVOLI, garage, ia bis, passage Tivoli, Paris. Tél. aSy-o^.
- T. M., bacs cl isolateurs en caoutchouc durci. — Voir Passelac.
- TOC. — Organe de préhension servant, dans un tour, à maintenir énergiquement la pièce de bois ou de métal à travailler qui est entraînée dans un mouvement de rotation par le plateau sur lequel il est monté.
- On ap|telle aussi toc une pièce mécanique,
- qui a à peu près la meme forme et qui sert à maintenir les coussinets d'une libère.
- TOILES. — Une enveloppe pneumatique est formée de toiles unies entre elles par du eaout- -V loc- — pièce a choue; ce sont CCS toiles entraîner. - T, «pu, seules, constituent u, plateau du mur.
- la partie résistante du — V, vis do serra-
- pncumalique et, suppor- ge lisant la pièce l\
- Lent constamment, la pression énergique de l'air comprimé dans la chambre à air. Ces toiles sont gommées sur une face ou sur deux faces, lorsqu’elles ont, été enduites de dissolution par procédé spécial à chaque usine.
- — Toile gommée. - Toile préparée par le fabricant pour servir à réparer provisoirement l'intérieur d'une envelojipe de pneumatique coupée ; il vaut beaucoup mieux, dans ce cas. employer un emplâtre. - La toile gommée, étant poreuse, ne doit jamais elre collée sur une chambre à air, en guise de pastille ou de feuille de caoutchouc.
- — Toiles à polir. — Tissus confectionnés avec des textiles divers, chanvre, lin, coton, etc., puis enduits décollé forte et saupoudrés de poudres à polir (émeri, carbo-rundum, eorubis, sable, grèsi de grosseurs choisies. L’exemple type est la toile-émeri.
- — Toile (volant). — La toile d'un volant ou d'une poulie,est la paroi, pleine ou percée de trous, qui réunit la jante au moyeu quand on n’emploie pas de bras pour cet usage.
- TOISOUL, FRADET et C'L construction de cheminées monumentales d'usines, lit, boulevard de l'Ilopital, Paris. Tél. 8o3-o~.
- IMPERMÉABLES “TORRILHON 1
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- TOLE DE FER, CUIVRE, ACIER,
- etc. — On donne le nom de tôle, en général, à toute plaque métallique mince laminée. Suivant l'usage auquel on les destine, les tôles laminées sont, en 1er pour la construction métallique courante, les réservoirs; en l‘er extra-doux pour les induits de dynamos, noyaux de transformateurs, etc.; en cuivre pour la chaudronnerie de cuivre (appareils de sucrerie, de distillerie, etc.); en acier pour la construction métallique soignée (châssis de wagons, d'automobiles, etc.) et la construction des chaudières à vapeur. On se sert aussi de tôle d’aluminium quand on recherche la légèreté et l’inoxydalnlité sans se préoccuper de la résistance (capots, écrans contre la poussière dans les automobiles, etc.h Pour proléger les tôles de 1er et d’acier contre la rouille, on les (‘lame (recouvrir d’étain), on les galvanise (recouvrir de /inc.), ou on les peint avec une première couche de minium. Quelquefois ou les bleuit à la chaleur; la mince pellicule d'oxyde formée les protège d'une oxydation plus profonde. Les tôles galvanisées ne doivent pas être mises en contact avec des liquides a cides ou alcalins (eau de mer), à cause de 1 action électrolytique résultant de la présence du couple fci-zinc. On emploie dans ce cas uniquement le cuivre, ou alors du fer recouvert, d’une forte couche de peinture.
- — Résistance, épaisseurs couvantes.
- — La résistance d'une tôle est très variable suivant, l’échantillon considéré. Pour les j chaudières, on cherche plutôt un grand allongement qu'une grande résistance, ce qui caractérise les tôles douces (en moyenne Iv = ôo kilogr. et, l'allongement — 13-in o/o). Dans la construction, on recherche plutôt, la résistance, sans négliger pour cela l’allongement, qui est une garantie de non-fragilité. Les tôles d'acier-nickcl des châssis d’automobiles résistent, à la traction de aoo kilogrammes (acier chromo-nickel des aciéries ArbeD.
- Les épaisseurs courantes des tôles varient, de o,d millimètres (tôles pour l'électricité) à :? millimètres (tôles minces), de a à 8 millimètres (tôles moyennes), et. de 8 à 8o millimètres (tôles fortes).
- — Tôle agrafée, emboutie, soudée.
- Au lieu de rivure, on emploie dans certains cas, dans les enveloppes de silencieux, un agrafage; la tôle est. relevée et repliée au moyen d’une machine spéciale.
- L'agrafage ne peut se faire que suivant des lignes droites.
- On appelle tôle emboutie une tôle façonnée suivant une surface développable ou gauche, concave ou convexe, au moyen de la pression exercée par un poinçon dans une matrice. On emboutit les fonds de chaudières, les châssis d'automobiles, les tubulures, etc. On se sert, pour les petites pièces, de presses à friction, et pour les grosses, de presses hydrauliques développant souvent 3oo tonnes.
- TOLUÈNE. — Hydrocarbure de la famille des hydrocarbures aromatiques, proche voisin du benzène ou benzine. Formule C'IIR. Est extrait des huiles légères de houille (voir ce mot), constitue l'un des éléments des essences industrielles dites benzols. Est très employé dans l'industrie du caoutchouc au meme titre que la benzine.
- TOMBAC. Y ariété de laiton (voir ce mol), alliage de cuivre et. de zinc ; suivant leurs proportions, ou distingue le tombac blanc, jaune et rouge.
- TOMINE et BONCOMPAIN, garage, commerce d'automobiles, avenue de la Gare, à Hernies (Ille-et-Vilaine).
- TONNE ^symbole : /). — Mesure de masse valant, mille kilogrammes. — (Les caractères d'imprimerie, ut ilisés pour l'impression de l’Animal iqo-, représentent une masse d'environ cinq tonnes, soit cinq mille kilogrammes.)
- TONNEAU. —- Voiture découverte, comportant à Lavant doux baquets ou une banquette confortable à deux places, et à l'arrière une carrosserie ressemblant, du reste assez vaguement, par sa forme à un tonneau coupé par le milieu.
- L'arrière comprend soit deux ou trois places qu'offre une banquette parallèle au siège avant, soit quatre places que fournissent deux banquettes, se faisant face, placées parallèlement au grand axe de la voiture.
- La caractéristique du tonneau est d’avoir toujours l'entrée par une porte arrière et d'avoir en même temps les angles du panneau arrière toujours arrondis pour former une rotonde; de plus, les brisements se raccordent toujours à la banquette avant.
- Quand le tonneau comporte plus de quatre places intérieures, il est appelé break à pieds de billard, meme si le panneau arrière est muni d'une porte1 et meme s’il possède des angles arrondis.
- Les brisements (côtés latéraux arrière des banquettes, à partir de la moulure de ceinture) enferment toujours complètement les places arrière en se raccordant au dos du
- Tonnkau
- siège avant, taudis que les brisements du double-phaêton s'arrêtent toujours au devant des coussins, quand l'entrée n'est pas par l’arrière.
- Le tonneau peut être couvert par une capote, par un dais ou par un ballon; il se
- Roues VINET ]
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- Société anonyme des anciens Etanitsseupts
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- transforme ainsi, dans ce dernier cas, en omnibus.
- Le Lonneau est un type de carrosserie très employé pour les automobiles. 11 offre l'inconvénient assez sérieux d’avoir ses places arrière d'un accès difficile pour les dames ou les invités (auxquels ces places sont ordinairement réservées), lorsque la capote est
- abaissée. De plus, le carrossier installe toujours avec difficulté une banquette véritablement confortable au devant de la porte. Enfin la présence de la porte sur l’arrière rend impossible le placement d'une fourragère destinée à porter des qialles et des crochets pour enveloppes de rechange.
- Ce type de voiture tend de plus en plus à être remplacé par le . double-phaéton qui n’offre aucun de ces inconvénients.
- — Les voitures automobiles genre tonneau ne doivent pas être taxées, au point de vue transport par chemin de fer, à o fr. 3a, mais à o fr. 25, par kilomètre. {Jugement du Tribunal de commerce de Marseille, j/| novembre iqo4)-
- TONNEAU A POLIR. — Petit tonneau de bois, non cylindrique, qui a généralement la forme d'un hexagone régulier et qui est monté horizontalement sur deux axes. Une porte latérale y permet l'introduction des pièces à polir, auxquelles on ajoute un peu de sciure de bois. Une courroie communique à ce tonneau un mouvement de rotation lente. Les pièces roulent les unes sur les autres, se heurtent à chaque angle des parois du tonneau et s’y nettoient toutes seules.
- TONY HUBER, automobiles. — Voir Peugeot (A), Tony lluber et Cie.
- TOPOLSKI et CHAUSSON, fabrique de capots, réservoirs et radiateurs, 53, boulevard de Bellevillc, Paris. Tel. 920-82.
- TOQUET MOTOR C°, moteurs de marine, 3i, East 23 d. Street, à New-York (Etats-Unis).
- TORCHON {Albert)% éclairage intérieur des voitures par l’électricité, lampes, accumulateurs, avenue du Chemin-de-Fcr, Le Raincy (Scine-et-Oise).
- TORCHON et MEUNIER, vente d’automobiles, garage, 7, rue des Acacias, Paris. Tél. 017-73.
- TORE. — Corps de révolution engendré par la rotation d’une surface quelconque autour d’un axe qui 11e la traverse pas ; de
- sorte que le tore présente la forme et l'aspect d’un anneau. Les figures ci-dessus représentent en coupe un tore circulaire droit (fig. 1) et un tore de section carrée (fig. 2).
- TORE (L.), caoutchouc manufacturé, 67, rue Lafayctte, Paris. Tél. 318-67.
- TORINESE (Fabbi dca Automobili). — Voir Fabbrica Torinese Automobili.
- TORINO (Automobiles, marque).— Voir Diatto-A. Clément, Turin.
- TORRILHON (Jean-Baptiste), à Cha-malièrcs, près Clermont. Tél. o-58. — Né à Neschers (Puy-de-Dôme), le 18 mai 182/*. Chevalier de la Légion d’honneur. — Président honoraire de la Société Anonyme des anciens Etablissements J. -B. Torrilhon. Membre de la Chambre de commerce de Clermont-Ferrand : membre du comité d’Es-compte de la Banque de France.
- TORRILHON {Société Anonyme des anciens Etablissements J.-B.), caoutchouc manufacturé, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).— Directeur-administrateur : M. II.-C. Lamy-Torrilhon. — Ateliers et magasins pour les pneumatiques et tous les articles concernant Fautomobilismo et ie cyclisme : 2t\y boulevard de Villiers, à Lcvallois-Perret, tél. 558-85, sous la direction de M. Marcel Lamy. — Articles industriels et vêtements; bureaux: 10, rue du Faubourg-Poissonnière, Paris. Tél. 161-01. — Société Anonyme au capital de 4 millions de francs. — Les usines de Cha-malières et l'usine annexe de Royat sont considérables; elles occupent plus de 5oo ouvriers et s'étendent sur une surface de 20000 mètres carrés.
- La Société Torrilhon fabrique tous les articles en caoutchouc employés dans l'industrie, tuyaux, vêtements imperméables, pneumatiques cloisonnés le Touriste, chapes, protecteurs, cercles creux et pleins, pneumatiques, bandages pleins, bandes à talons et bande américaine « B et S », etc.
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- cr>4 -
- TORSION. — EFFORTS DE TORSION. — Un arbre O'O (voir ligure), auquel ou applique un roupie moleur P teudaul à produire une rotation que tend à empocher le couple résistant U, est soumis à un ellorl appelé effort de torsion. On dit encore qu’il travaille à la torsion, parce qu'il se lord eU’eo-tivement d’une quantité variable avec la grandeur de l'effort, le diamètre et 1 élasticité de la matière. Pour mieux saisir la nature de la déformation, traçons sur l’arbre une génératrice telle que ac. Sous l'effort, les tranches de métal telles que î, 2, 3 se déplacent relativement, comme si elles avaient glissé les unes sur les autres et,si l'élasticité est constante d'un bout à l'autre, la génératrice primitive
- ÎP
- ___çm
- Effort ni: torsion
- deviendra un arc d'hélice ah. l/angle de torsion a, correspondant à une longueur ac égale à l'unité, mesure la déformation de l'arbre. — L’elTort de torsion se représente toujours par un couple (voir Couples de forces). On l’exprime en kilogrammes agissant tangcnliellemenl à une circonférence u’un mètre de rayon. — En pratique, un arbre ne travaille que fort rarement seulement à la torsion. Il travaille presque toujours, en outre, à la flexion (arbres de moteur), et souvent celle-ci devient prépondérante au point de vue résistance des matériaux et, par suite, au point de vue des dimensions à donner à la pièce.
- TOUCHE D’ALLUMAGE. — Petit ressort T terminé par une masse métallique
- D, disque on libre. — F, F’, (Ils amenant le courant électrique. —
- P, partie métallique en communication avec la masse. — T, louche d’allumage.
- M, qui frotte sur un disque D ordinairement en ébonitc ou en fibre, et ferme un circuit électrique d'allumage au moment où ce
- disque, en tournant, lui présente une partie métallique P qui sc trouve en contact avec la ?nasse.
- TOULOUBRE (de La ), pseudonyme du capitaine Gcnty, commandant la première compagnie d'ouvriers d'artillerie, à Yinccnncs (Seine).
- TOUL.OUSAIN(Garm/e), commerce d'automobiles, 03, boulevard Lazare-Carnot, à Toulouse (Ilaute-(iaronne).—Adr.téi. Garage-To u l ou s a in- Tou louse.
- TOUR. -ïMacliinc-outil servant à produire des surfaces de révolution ou à directrice circulaire : cylindres extérieurs ou intérieurs, cènes, hélices, etc. Les pièces montées sur un tour sont, animées d'un mouvement de rotation et sont travaillées au moyen d'outils Lrancdianls.
- 11 existe plusieurs sortes de tours, pour la mécanique seule, en dehors des tours spéciaux à d'autres industries. Les principales sortes sont ; les tours en l'air, les tours à fileter, les tours à reproduire, les tours à décolleter simples, à revolver, automatiques, les tours verticaux, etc., etc.
- — Tour vertical. ----- Pour l'usi-nage des grosses pièces circulaires telles que les volants de machines, les tours verticaux présentent d’incontestables avantages, notamment. au point de vue de la facilité de mise eu place de la pièce qui est rapidement centrée et réglée sur le plateau horizontal de la machine. Le poids de la pièce contribue à son maintien et, comme il n’y a pas de porte-à-faux, on peut faire des passes très forte> sans broulemcnl et sans nuire à la précision. La surveillance du travail et la vérification des cotes sont aussi beaucoup plus faciles. Les tours horizontaux ont des porte-outils permettant de tourner, d'aléser ou de fileter absolument comme leurs congénères horizontaux. Ou peut également les munir d'un porte-outils à revolver, automatique ou non.
- ( : id'ailleurs possible d'accroître le rendement des tours verticaux à deux chariots en faisant travailler leurs outils séparément, avec des avances complètement indépendantes, Lun façonnant par exemple l'intérieur pendant que l’autre façonne l'extérieur.
- — Besse, 3q, rue de Lappe, Paris.
- — De Fuies et Cie, hj, rue de Rocroy, Paris.
- — (iIjàenzeu et Pehheaud, 1, avenue de la République, Paris.
- TOURAND (A.) et Cle, automobiles et moteurs ((Vautour », 5 bis, boulevard de Versailles, à Suresnes (Seine). Tél. 17, Suresnes.
- TOURET. — Expression de carrosserie. — Voir Tourniquet.
- TOURILLON. — Partie d'un arbre tournant dans les paliers qui le supportent.
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- TOURING-CLUB DE FRANCE. —
- Siège social : 05, avenue de la Grande-Armée, Pans. Tel. 545-27.— liants protecteurs : M. Armand Fallières, Président de la République, cl M. Emile Loubet ; président d'honneur : M. le Dr Just Ghampionnièrc ; président : M. A. Ballif ; vice-présidents: MM. Max-Vincent et G. Pierron ; trésorier : M. E. de Rei-narh-Foussemagne ; secrétaire delà rédaction de la « Revue Mensuelle»: M. J. Ballif; secrétaire général : M. G. de Glialus ; secrétaire-archiviste : M. L. Ducliesne.
- Le Touring-Club de Fronce s’esl proposé, dès sa fondation, ce but : Faire connuilre lu France. Pour cela, il dispose de l'ardeur jamais lassée de son président, et l'on peut ajouter de son vrai /onduleur, M. A. Ballif, assisté des nombreux membres de plusieurs Comités spéciaux, toujours prêts à travailler au but commun : l'amour du tourisme et de la France ; il dispose de l'appui formidable de 10/1 000 sociétaires (à fin 190G) et d'un budget annuel dépassant 1 million de francs ; il dispose enfin de la bonne volonté de Ions ses sociétaires, des conseils éclairés des membres des Comités et de l'aide précieuse de scs 3 000 délégués.
- Le Touring-Club de France possède : un Comité de Contentieux (président : M. Max-Vincent) ; xm Comité Technique ; un Comité de Tourisme Nautique (président : M. A. Glandaz) ; un Comité des Sites et Monuments Pittoresques (présidenl: M. II. Dcferl) ; un Comité de Tourisme Hippique (président : M. Bornez).
- L'œuvre du T. C. F. est immense : nombreux travaux sur roules (entre autres, la Corniche de l'Estérel) ; pose de 10 000 poteaux « avertisseurs, de 85o bancs rustiques, de tables d'orientation, de postes de secours ;
- — lutte contre la poussière : — améliorations en douanes et aux chemins de 1er : — concours de bicyclettes de voyage; — caisse de secours immédiat aux cantonniers et éclusicrs;
- — cirés pour cantonniers ; — élude de réglementation des locomotions nouvelles, etc.
- Le T. C. F. publie une Revue mensuelle. tirée à 107000 exemplaires; Sites et Monuments de France ; cartes touristes ; itinéraires ; des Annuaires pour la France et l'Etranger, des brochures et notices sur tous les sujets intéressant le tourisme ; il s’occupe du tourisme nautique cl du tourisme hippique ; il crée des bourses de voyage et organise des cours d‘Espéranto, langage universel, etc.
- Parmi les œuvres extrêmement utiles du T. C. F., citons encore : l'assainissement des hôtels ; la chambre hygiénique Touring-Club; les meubles et appareils sanitaires; la teinture laquée, pour l'assainissement des îôtels ; les hôtels transformés; les 2 5oohôtels recommandés ; les diplômes d'hôtelier ; le syndicat de l'Industrie hôtelière ; les syndicats d'initiative ; la protection des forêts, le reboisement des montagnes, etc.
- Sur demande spéciale, le T. G. F. délivre aux propriétaires d’embarcations de plaisance le droit de porter son pavillon.— Voir ce mot.
- Le Touring-Glub de France a voulu être utile à tous et sc mettre à la portée de tous : la cotisation annuelle des sociétaires 11'est que de 5 francs, c'est dire qu'il est devoir absolu pour tous amoureux du tourisme, des voyages, de l'admirable nature, et en particulier de l'admirable France, d etre sociétaire du T. G. F. et de lui accorder toute son aide en vue d'une puissance d’action grandissant de jour en jour. — Voir à la Deuxième Partie.
- TOURING-CLUBS ÉTRANGERS.
- — Allemagne : Deulscher Rudfuhrer Bund. i01 président : M. T. Boecklmg. à Essen-sur-Rulir. président : M. A. Von lxoeller, Gocthesslrassc, 2/1, à Alloua. Trésorier : M. G. Felgcr, à Esscn-sur-Ruhr. Président de la Gommission de tourisme : M. Gregers A'issen, Eimbüttelerslrassc, 70. à Alloua.
- Organe officiel : Deutsche liudfahrer Zei-tung.
- Allgemeine Rudfahrer Union. (Deulscher Touren-Glub). Siège social : Schifllcus-taden, 11, à Strasbourg (Alsace). Président: M. Becker, membre du Conseil de Guerre. 'Wimpfcl’mgstrasse, 2, à Strasbourg. Vice-présidents : M. Alex, llonig. à Berlin : M. R. Rebennack, à Ragueneau. Secrétaire général : M. Ad. Rossler, à Strasbourg.
- Organes officiels : Der lladtourist — Der Automobilist.
- Deulscher Touring-Club Munich. Siège social: Schommerstrassc, 21, à Mü-nieli. Pr président : Schlicht, conseiller de magistrature, à Münich. 2" président : M. le Dr Spatz, médecin, à Munich. Trésorier : M. Ziegier, à Munich. Secrétaire : M. Grimm, à Munich. Président, du Conseil : M. le Dr G. Kuliles, avocat, à Munich.
- ^Organe officiel : Del• Raihvanderer.
- Angleterre: The Touring-Club. Siège social : /|7, Victoria Street, Westminster,
- Londres S. W. Président : M. Kendall Bur-nett. Secrétaire général : M. E. R. Shiplon.
- Organe officiel : The Cyclist’s Touring-Club Gazette.
- - Autriche : Oslcrreichischer Touring-Club. Siège social : Breilcgasse, 17, à Vienne. Président : M. le chcv. F. von Mayer-Tennc-burg. 1e1' vice-président,: M. Oransz; 2e vice-président : M. L... : 3° vice-président : M.Z. Loew. Secrétaires : MM. T. Mauthuer, A. Kolm et F. Weingartner.
- Organe officiel : Cluborgun des Oeslerr. Touring-Club.
- — Belgique: Touring-Club de Belgique. Siège social : rue Royale (passage de la Bibliothèque, 4), Bruxelles. Président : M. Van Zcebrocck, avocat. Vice-présidents : MM. E. Séant, E. Carniaux. Secrétaire des séances : M. J. Gorcz.
- CRIC UNIVERSEL
- MESTRE et BLATGÉ .5,Rue BRUNEL.PARIS,
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- Organe officiel : Revue mensuelle du Touring-Club de Belgique.
- — Ligue Yélocipédique Belge. Siège social : ü, quai de la Batte. Licge. Président: .M. Oscar Remy. Vice-président : M. A. Mar-lougin. Secrétaire-général : Pli. Tlnriarl.
- Organe officiel : Le Sporlsman.
- Danemark : Danslc Cycle Ring. Siège social : Jaglvejcw, 79, à Copenhague. Président : M. Georg Toepfer.
- Organe officiel : Cyclen.
- - Dcn Dans/i Tourislforening. Siège social : 7, .\y (Estcrgade, Copenhague. Bureau de renseignements gratuits!
- - - Espagne : Union Velocipédica Espa-nola. Siège social : Provenza, n° 3o/|, bajos, Barcelone. Président : M. B. Pollès y Vivo, Nice-président: M. Antonio Català. Secrétaire : M. X. Masferrcr.
- Organe officiel : Rolelin Oftcinl.
- -- Italie: Touring-Club Ilaliano. Siège social : Palais Tavcrna, via Monte Napolconc, i/|, à Milan. Président : M. F. Johnson. Vice-président : M. A. Riva. Secrétaire : M. 1. Vi-gliardi-Paravia.
- Organe officiel : Rivista mensile del Tou-ring-Club Italiano.
- — Luxembourg (Grand-Duché de) : Touring-Club Luxembourgeois. Siège social : rue Aldringer, 5, Luxembourg. Président : M. E. Berehem. Vice-president: M. V. Dondelinger. Secrétaire : M. A. Tliorn.
- Organe officiel : Revue mensuelle du Tou-ring-Club Luxembourgeois.
- — Pays-Bas : Algerneene Ncderlandsche Wielrijdersbond. Siège social : YVilhemina-park, m, <à Harlem. Président : M. Edo Bergsma. Vice-président: M. G. A. Pos. Secrétaires : MM. Slichcr, à Leyde, et Krayen-foff, à Utrecht.
- Organe oficiel : De Kompisen.
- - République Argentine : Touring- Club Argentin. Siège social : callc Ceritto,
- 13~3, Buenos-Ayres,
- — Russie : Touring-Club de Russie. Siège social: rue Zwerinska, 30, Saint-Pétersbourg. Président : M. V. Prêtre. Vice-président : M. J. Smirnoff. Secrétaires : MM. V. llcide-man et L. Ncmscr.
- Organe officiel : Le Touriste Russe.
- — Union Yélocipédique Russe. Siège social : Barmalaiewa, 33, St-Pétersbourg. Président : M. P. L. Eckardt. Délégué pour renseignements aux étrangers : M. lv. Von Reisner, Ritterstrasse, 7, à Riga.
- — En Finlande, il existe deux Sociétés :
- i° Fins/ca Cyclislforbundet, qui correspond au T. G. F. Siège social : Helsingfors.
- iï° Turistforeningcn i Finland. Siège social : Helsingfors.
- — Suède : Svens/ca Turistforeningcn. Siège social : Norrlandsgatan, a et t\, Stoc-kohn. Président : M. Hans Hildebrantl. Vice-président : M. L. Lindrolh. Secrétaire : M. G. Anderson.
- — - Suisse: Touring-Club Suisse. Siège social : boulevard du Théâtre, 9, à Genève. Président : M. F. Raisin, vice-présidents : MM. IL Schonenherg et A. Moriaud. Trésorier : M. Bastard. Directeur : M. A. Navazza.
- Organe officiel : Revue du Touring-Club Suisse.
- — Uruguay : Club National de Véloci-pédisles. Siège social : 83, Olimar, Montevideo.
- TOURISME. — Le tourisme peut se définir: le fait de voyager, par tous les modes de locomotion, pour la jouissance du spectacle varié des pays.
- Faire du tourisme, c’est voyager pour comprendre, «voyager pour voyager».
- Monjardet, articles de camping, ai, rue de Richelieu, Paris.
- — Vuitton (Georges), malles et articles de tourisme, 1, rue Scribe, Paris.
- TOURISME (Le), revue mensuelle illustrée, 17, rue du Hôlder, Paris.
- TOURISTE, essence spéciale pour automobiles. — Voir Raffinerie de pétrole de Dunkerque.
- TOURISTE (Au), malles et articles de voyage, 30, avenue de l’Opéra, Paris.
- TOURISTE (Le), bandage pneumatique. — Voir Torrilhon cl C"'.
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- TOURNE-A-GAUCHE. — Outil formé par une barre d’acier percée d’un ou plu-
- ToL'H.Mi-A -UACCHK
- sieurs trous rectangulaires ou carrés et servant à entrainer, au moyen desdits trous, les tarauds ou les alésoirs qui ont été montés sur lui.
- TOURNEAU (P.) et C10, pièces détachées, 02, rue de Strasbourg, à Vinccnnes (Seine).
- TOURNEUR, outillage mécanique et accessoires, 20, rue Réauniur, Paris. Tél. 131 -88.
- TOURNEVIS. — Les automobiles renferment peu de vis, parce (pie les vis sont difficiles à maintenir serrées, sont d'une prise peu aisée, etc.
- EXIGEZ P HAINFS R PNni n sur wos châssis
- DES . y nMiiiLO n Lll U LU c. COMIOT - PARIS
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- Cependant la carrosserie, les appareils électriques pour rallumage. etc. en renferment souvenl.
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- AsKKMI>l,A(il': A TOCIIXKVIS
- A. arbres assemblés par le tournevis T. — G, clavette assurant l'assem'.ilage.
- — Dans les automobiles, des organes mécaniques, tels que des arbres, sont souvenl réunis au moyen d'un tournevis, liaison qui facilite beaucoup le démontage de ces pièces.
- TOURNIER, cornets avertisseurs, j, boulevard Saint-Martin, Paris. Tél. /|,'i~-i2.
- TOURNIEROUX (L.) et Ci0, lanternes et accessoires, i3y, rue du Faubourg-Saint-Denis, Paris. Tél. /120-02.
- TOURNIQUET. — Dispositif métallique servant à lixer passagèrement différents accessoires de carrosserie, tablier, rideaux, etc., montés à charnière ou démontables. Ils rem-
- T, tourniquet. — V, montage de vis.
- placent généralement les anciens clous à gorge, qui laissent souvent échapper les pièces qu’ils devraient mainteni" en place ; les tourniquets, ne pouvant « se défaire » eux-meincs, sont par là plus utiles. — On dit aussi tourct.
- TOURS à la minute (aln •eviation : l : ni). — Les moteurs à explosions tournent beaucoup plus vite en général que les moteurs à vapeur fixes (sauf les turbines à vapeur, bien entendu) ; leur régime de marche varie ordinairement de Goo à 2 5oo tours à la minute, leur vitesse de rotation étant d’autant plus grande, le plus souvent, qu'ils ont une moindre puissance.
- MM. de Dion-Bouton, par exemple, sont parvenus, aux essais, à faire tourner leurs petits moteurs à /) 000 tours à la minute.
- soit GG tours, soit 1Ü2 courses de piston, à !a seconde. Si la longueur de la course est de o m. 10. le piston parcourt donc i3 m. :>N a la seconde, soit t\~ kilomètres à l’heure. Voir Itéf/ime d'un moteur.
- TOUS LES SPORTS, revue hebdomadaire, organe officiel de l'Union des Sociétés Françaises de Sports athlétiques, 20. rue Xotre-Dame-de-Nazareth. Paris. Tél. îüp-jü. - Directeur : Baoul Tabous.
- TOUT- CUIR, antidérapants. — Voir Desjardin, à Versailles.
- TOUT OU RIEN. Dans les anciens ! moteurs à explosions, la régulation se faisait toujours par tout ou rien : c'est-à-dire que, lorsque le moteur dépassait, son nombre normal de tours à la minute, le régulateur intervenait et fermait entièrement le tube amenant le mélange gazeux au moteur, ou bienempèchail l’échappement de s’effectuer jusqu'à ce que le. moteur eut retrouvé sou régime régulier. Le moteur passait ainsi par des alternatives d'alimentation complète ou d’alimentation nulle, qui provoquaient d’ailleurs un bruit et des vibrations considérables.
- TOUT-PARIS, annuaire mondain, un, rue de la Chaussée-d'Antin, Paris. Tél. i /iÿ-jq.
- TOUZET, euivreries pour automobiles, i/j/|, rue Saint-Maur, Paris.
- TRACTION AUTOMOBILE (Société Anonyme de), tracteurs à vapeur, 20, rue Pergolèse, Paris.
- TRADUCTIONS TECHNIQUES. -
- Chartier (lùtg.), ingénieur civil, 29, Von der Tannstrasse, à Munich.— Lhu/juenot, rue du Louvre, Paris.
- TRAIN. — Le train d’une voiture attelée se compose des roues, des ressorts et des essieux; par extension, le train d’une voiture automobile comprend ces organes, et, de plus, le châssis et le capot.
- — Train balladeur. — Ensemble d'en-r/renages qui peuvent se déplacer, au moyen
- 1 Schéma i> un train balladeur
- ! d’une fourchette, sur un arbre carré, et | qui viennent s’engager à volonté dans des
- PANHARD-LEVASSOR
- - AUTO-PALACE -
- 77 bis, Av. de la Gde-Armée, PflIUS - Tél. 524-27
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- engrenages portés par un arbre parallèle au premier. Le train balladeur est presque toujours employé en automobile pour cllec-tuer les changements tic vitesse. Dans la ligure ci-dessus, la fourchette M, actionnée du siège du conducteur, peut, pivoter au point F, en déplaçant le train balladeur sur l'arbre carré A, de façon à produire l’emprise de l'un des deux engrenages fixés sur l’arbre secondaire H. — Voir Balladeur.
- - Train èpicycloidal sphérique. — Nom technique du mouvement Différentiel.
- — Train. — On appelle train la vitesse normale moyenne iournie pendant une course. CetteAdtesse est. naturellement très variable, car elle lient à plusieurs causes : le genre de machines, la nature du sol, la lorce du vent, etc.
- TRAIT CARRÉ. - Ligne tracée sur du bois ou du métal perpendiculairement à une autre ligne.
- TRAITS DE JUPITER.. -- Deux pièces A et. Il sont dites assemblées à traits
- Tk.wis m. .)cmi:u
- de Jupiter lorsqu'elles sont réunies par une double queue d'aronde .M et N ; ces pièces sont ensuite, ordinairement, brasées.
- TRAJECTOIRE. — Voir Mouvement en général. •
- TRAMWAYS AUTOMOBILES. —
- Voir Purrey, à Bordeaux.
- TRANCHANT, commerce d'automobiles, îS, boulevard Montmartre, Paris.
- TRANCHET D’ENCLUME. Sorte de gros ciseau en acier, qui porte une queue s’en-•rajrcant dans le trou carré de l'enclume, et qui sert à couper le fer.
- TRANSFORMATEUR. — Voir Bobine.
- TRANSFORMATION D’AUTOMOBILES. -
- Quelques mécaniciens avisés O. (|ueuo. se sont fait, une véritable —- T, tianclict. spécialité de transformer en voitures modernes les automobiles « datant » un peu trop, en augmentant l'empattement, en abaissant le châssis, (m changeant l'allumage, etc.
- Citons, par exemple :
- — Auto-Génkhale, iG, rue Durci, Paris.
- - Auto-Pai.acb, 77 bis. avenue de la Grande-Arméo, Paris.
- — Auto-Stand, 20, rue Durct,, Paris.
- — Maleville , 2.3, rue Louis-Blanc, à Levallois-Perrel (Seine).
- — Vouiuot ut Ci0, 34, rue Gucrsant, Paris.
- TRANCHE. — Sorte de gros burin d’acier, muni d’un manche, et sur la lete
- duquel on frappe avec un marteau pour couper les métaux, à froid ou à chaud.
- TRANSFORMATION DE L’ÉNERGIE. - L'énergie, cause de tout phénomène. est. (mi meme temps reflet de ce phénomène. Le principe de la conservation de l'energie nous montre que l’énergie d’un système est, une quantité invariable qui 11e peut cire accrue ni diminuée (Loi de la conservation de l'énergie).
- On ne dépense donc une certaine énergie : sous une tonne donnée que pour la retrouver sous une autre forme. C’est ce qu'on désigne ! sous le nom do transformation de l'énergie.
- L'énergie se présente à nous sous les l’or-; mes suivantes :
- | 1 " Energie thermique,
- j -i" » mécanique.
- 3" )> chimique.
- 4” » électrique.
- Quelle que soit sa forme, (die possède toujours un équivalent mécanique; elle est donc homogène à un travail.
- L'énergie thermique se transforme : i° en energie chimique dans les diverses combinaisons chimiques qui sont cndolhermiqucs, c’est-à-dire qui se forment avec absorption de chaleur; 2" on énergie mécanique dans les moteurs thermiques à vapeur, à pétrole, à gaz, à air chaud, dont le point de départ est la transformation de l’énergie calorifique suivant, des méthodes particulières à chaque type de moteur dans les phénomènes de changement d’état physique; 3° en énergie électrique dans les piles thermiques (thermo-électricité), qui utilisent les dillérences de température entre deux soudeurs pour produire des dillérences entre le potentiel des points considérés.
- L’énergie chimique se transforme : i° en energie électrique dans les piles, où l’éner-: gic chimique des divers corps mis en présence donne naissance à de l’énergie élec-; trique; 20 en énergie mécanique dans les I divers phénomènes de dissociation lente ou I brusque des corps ; 3° en énergie thermique.
- TRANSFORMATIONS MALEVILLE
- 23, rue Louis-Blanc, LEVALLOIS-PERRET (Seine) D’AUTOMOBILES
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- pans les combinaisons qui se forment avec drodiiclion de chaleur et qu'on nomme combinaisons exothermiques. •
- L’énergie mécanique se transforme : i° en énergie chimique dans certaines combinaisons produites, par exemple, par compression dos gaz. Le plus souvent l’énergie mécanique ne se transforme en énergie chimique que par l’intermédiaire de l’énergie thermique ou électrique'; 2° en énergie thermique dans les chocs, frottements, glissements; dans les phénomènes de compression ou de détente des gaz. Le frottement des arbres sur les paliers dans les transmissions absorbe de l’énergie mécanique et la transforme en énergie thermique, mise en évidence par l’élévation de température des pièces en contact.; 3" en énergie électrique dans les machines génératrices d’électricité : machines magnéto-électriques, dynamo-élee-Iriqucs cl. électrostatiques, quelle que soit la forme de l’énergie électrique envisagée.
- L’énergie électrique se transforme : i° en énergie chimique dans les phénomènes de l’électrochimie : électrolyte ou élcclrolhcrmie ; 2" en énergie mécanique dans les électro-moteurs, les élcclroaimanls et. toutes leurs applications (commandes d’appareils à distance, télégraphie, transmission des vibrations : téléphones k“) ; 3U en énergie thermique pour la production de la lumière électrique, de la soudure électrique, la production des hautes températures employées dans l éleetrothermie, réchauffement des conducteurs.
- 'Foutes les formes d’énergie peuvent, elles-mêmes se présenter à nous sous les formes les plus diverses, cl une même transformation peut donner naissance à plusieurs formes d’énergie; c'est, ainsi que la transformation de l’cnergic mécanique en énergie électrique dans les machines dynamo-électriques donne naissance, en même temps qu'à de l’énergie électrique, à de l’énergie thermique par les frottements des pièces tournantes, réchauffement des conducteurs, les phénomènes d'hys-léresis et les courants de Foucault; ce sont ces productions d’énergie sous forme thermique qui viennent abaisser le rendement de cette transformation de l'énergie, prise seulement au point de vue de la production do l'énergie électrique; mais toute l’énergie mise enjeu se retrouve sous une forme quelconque, suivant le principe immuable de la conservation de l'énergie énoncé sous des formes diverses par Lavoisier, llumfort, .Meyer et autres. - Voir Rendement.
- TRANSLATION. — Voir Mouvement de translation.
- TRANSMISSION. —- Transmission d'énergie signifie transport d’énergie à une distance plus ou moins éloignée. Suivant cet,le distance, et surtout suivant les conditions dans lesquelles on se trouve, ou emploie l'un des modes de transmission décrits ci-après :
- — Fouillahon, 5/|, rue deVilliers, à Leval-lois-Pcrret, (Seine).
- — Raeeh Fils Frères, à Saint-Chamoml (Loire).
- — Transmission par engrenages. -S’emploie pour relier deux arbres trop rapprochés pour être réunis par courroie, ou lorsqu’on est. limité par la place (automobiles), ou encore lorsque le mouvement doit être transmis sans glissement, à cause des à-coups (comme dans les laminoirs), ou pour des raisons ciné-mal iques (engrenages de distribution des moteurs). —-Voir Engrenages.
- — Transmission par courroie. — S’emploie pour relier deux arbres suffisamment éloignés pour que la courroie ait une bonne longueur, sans toutefois que l’écartement dépasse une dizaine de mètres. Les transmissions par courroies exigent, pour être établies rationnellement, que l'on puisse obtenir une vitesse linéaire de la courroie au moins égale à ifi-20 mètres par seconde. — Voir Courroie, Poulie, Fouillarun.
- - Transmission électrique. — Transmission d’énergie mécanique où l’on emploie comme intermédiaire l’énergie électrique. Lu moteur à vapeur, à gaz, hydraulique ou autre met en mouvement une génératrice d'électricité. Le courant produit par celle-ci est. transmis parmi fil à un électromoteur reproduisant,moins les perles créées par les transformations intermédiaires, l'énergie mécanique développée dans le moteur initial. .V de faibles distances, on emploie le courant continu (iio à ùào volts). A de grandes distances, on emploie le courant alternatif simple ou polyphasé à très liante tension cl très faible intensité, ce qui produit, une économie importante par la réduction de la section de la ligne conductrice.
- Les alternateurs industriels ne sc prêtant pas à la production ni à l'utilisation directe des très liants voltages, un transformateur élève la tension au départ, et un autre l’abaisse à l'arrivée. Les transmissions électriques sont, les plus souples, ont un excellent rendement, se prêtent à une division infinie de l'énergie initiale, et s'appliquent à la plupart des cas : transport d’énergie, commande individuelle des machines-outils, appareils de levage et de manutention, traction électrique, etc., etc.— La frausmissionélectrique est appliquée aux automobiles dans les voitures mixtes cl à transmission électrique. — Voir Eleclromobiles.
- — Transmission flexible. —Voir Flexible (transmission).
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- (Compagnie Française des), /|G, boulevard Ilaussmann, Paris. Tél. 2g5-/|/|.
- TRANSPORT PAR CHEMIN DE FER. — (A) Bagages. —Les véhicules automobiles non emballés pesant 200 kilogrammes et au-dessous peuvent, seuls être acceptés comme bagages ordinaires dans les fourgons
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- — GGo
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- do dimension suffisante pour les recevoir. Le voyageur est tenu, en cas de besoin, d'aider à la manutention de sou véhicule. Les récipients doivent être entièrement vides : le voyageur estobligé d’en donner l’assurance par écrit.
- (B) Grande Vitesse, — Pour la réception et la livraison des marchandises transportées en grande vitesse, les gares sont ouvertes, du icr avril au 3o septembre, à G fleures du matin au plus lard, et fermées au plus tôt à 8 heures du soir; du ier octobre au 3j mars, ouvertes à 7 heures du matin au plus fard, et. fermées au plus tôt à 8 heures du soir.
- Les Compagnies sont en principe obligées de transporter les objets qu'on leur présente. Les voitures doivent cire vides de tous liquides.
- Prévenir la gare du départ, '?J\ heures à l'avance en donnant le poids, les dimensions de la voilure, le réseau destinataire et en demandant (( wagon découvert », « itinéraire le moins coûteux» et, «tarif le plus réduit». Amener la voiture trois heures avant le départ du train ; et cette voiture devra dès lors partir par tout train de grande vitesse comprenant des wagons de toutes classes, et arrive]' et être livrée dans le plus court délai.
- Les tarifs sont mis à la disposition du public dans les gares ; on peut aussi les demander par lettre au chef de gare.
- (C) Memes règles pour la petite vitesse que pour la grande, sauf sur quelques points.
- Ouverture des gares: du lO mars au if> octobre, de G heures du matin à G heures du soir; du îG octobre au i5 mars, de 7 heures du matin à 5 heures du soir; sauf le dimanche où les gares ferment à 10 heures du matin.
- Inutile de prévenir la gare l±l\ heures à l'avance, sauf si l’on veut faire part ir plusieurs voitures, profiler de tarifs spéciaux cl, par suite, s'assurer la disposition d'un ou de plusieurs wagons.
- (D) Déclarations. — Eviter de faire de fausses déclaz*ations sur la nature des marchandises transportées, comme par exemple de démouler sa voiture pour l'expédier par pièces comme articles de messageries. Cela est déloyal et de plus exposerait à des peines excessivement sévères.
- (E) llesponsabilité des Compagnies. — Les Compagnies de chemins de fer sont responsables en cas de perte, d’avaries ou de retard des objets transportés, sauf le cas de force majeure ou de faute de l'expéditeur.
- E11 cas d’avaries ou de perte partielle, avoir soin de les faire constater avec précision sur la lettre de voilure ou récépissé par la signature d'un employé de la gare, et surtout (formalité essentielle) de signifier à la Compagnie des protestations dans les trois jours qui suivent la réception, soit par lettre recommandée, soit par exploit d'huissier.
- Si aucun agent de la Compagnie 11e consentait à reconnaître les avaries par signature sur la lettre de voiture, faire nommer un expert par le juge de paix.
- ! — Transport des automobiles. — Les
- | voitures automobiles sont transportées en ! chemin de fer aux prix suivants :
- A). — Tarif ordinaire :
- PIUX Di; KILOMETRE
- Petite vitesse. Grande vitesse.
- Voiture à 1 fond (2 pla-
- ecs cote à côte) 0,30 o,35
- Voilure à :> ou plusieurs
- fonds <vh> 0,00
- R). — Tarif spécial n° 128 (moins coûteux).
- Les automobiles peuvent, depuis le ior juin i()o/j, sur la demande de leurs propriétaires, être transportées d’après ce tarif spécial, dit à V empattement. — Voir ce mot.
- Les véhicules sont, dans ce cas, rangés par catégories dans l’un des cinq barêmes suivants :
- BARÊMES
- APPLICABLES AUX VÉHICULES
- sans moteur avec moteur
- Voitures à deux voyageurs, à quatre roues, dont l’cm- mécanique mécanique
- paUemenl excède 2,nGo... Voitures à voyageurs, à quatre roues, dont l’einpaUe- II I
- ment est de 2 m. à 2m0o. Voiture à voyageurs, à quatre roues, dont rempulte-ment, est inférieur à 2 m. — Camions et châssis de voitures montés sur roues 111 11
- pesant plus de 1 5oo kilos. Voilures et véhicules à voyageurs, a deux ou trois roues. — Camions et châssis de voitures montés sur roues, pesant au plus IV 111
- 1 5oo kilos V 111
- Les Barêmes adoptés sont les suivants :
- i° Tarif spécial n° 1:28, en Grande Vitesse.
- — = — Zz
- £ a; E s E <3J e
- CO rt ca rt sa TS ea sa
- Jusqu'i 1 100 kil. pr kilm. cent. 00 45 40 30 3 G
- P ü / 100 à 200 hl /,2 31 34 3 2
- 200 à 3 00 — i'i 39 34 32 28
- S 'S \ 3oo à f\ 00 — h» 35 3o 28 24
- c # 1 4 00 a 5oo — 3 G 3i 2G 24 20
- c 2 3 1 5)00 à Goo — 32 2G 20 20 iG
- 0 O « l Goo à 700 — 28 2 4 20 iG 12
- • ^ < C3 0? I 700 à 800 — A 20 iG 12 10
- *ü f 800 a 900 — 20 iG 12 10 8
- u 2 / <)00 a 1 000 — 1 G 12 10 8 G
- g ® 1 000 à 1 100 — 10 8 G G G
- \ 1 200 kilomètres. 8 G G G G
- TRHR&IRETTEÜR " ORDRES flUTOfïlflTIOÜE
- DESPONTS, Constr. Breveté
- 150, r. Victor-Hugo, LEVALL01S (Seine)
- p.660 - vue 660/946
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- T II A
- T II A
- - 061 —
- 2° Tarit’ spécial n° 128, en Petite Vitesse.
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- o> ca es <x> e S
- a£ ce, 2— jr* -rd SA ôz
- Jusqu à 100 k il. pr le il m. cent. 3o 28 20 24. 22
- g 0 / 100 à 200 — 2 G 2G 23 21 19
- 200 0 0 1 2.") 23 21 *9 J7
- H 3 l 3oo 1 O v—• 23 21 18 17 15
- O O 1 4 00 à 5 00 — 21 M) i5 10 1 3
- c - 1 r> 00 à Goo — 1(.) 10 10 10
- - o fi / (>oo à 700 — 17 15 (O 10 9
- ri 0 1 700 à 800 — 15 13 10 9 1
- 800 à <»oo — i3 11 0 7 .)
- u 0 i ()00 a 1 000 11 0 1 f> 3
- 5 0 I 000 à 1 200 — 10 8 G 4 2
- O \ I 200 kilomètres. 5 4 3 2 1
- Les prix sont calculés et se comptent par .100 kilomètres; ainsi, pour un transport à /|00 kilomètres, on additionnera le prix des 100 premiers kilomètres, puis des 100 seconds. etc. O11 aura, par exemple, en prenant le Barême I ci-dessus : 3o francs pour les 100 premiers kilomètres -|- 26 -j- 20 -\- 2.3 — io/| francs pour 400 kilomètres; et-210 francs pour 1 200 kilomètres.
- Ce tarif à l'empattement est beaucoup moins coûteux que l'ancien tarif aux fonds \ mais, comme tous les tarifs spéciaux, il décharge la Compagnie de toute responsabilité pendant le transport de la voiture. Les accidents de transport étant toutefois extrêmement rares, les voituristes ont néanmoins pris l'iiabitude'de demander le « Tarif spécial n° 128 ». — Ces nouveaux tarifs ne remplacent pas les anciens qui peuvent toujours être réclamés par l’expéditeur.
- Ce tarif n° 128 offre encore les avantages suivants :
- <( Plusieurs véhicules remis par un même expéditeur pour un même destinataire, au moyen d’une déclaration unique, peuvent être placés sur une même plate-forme. Dans ce cas. le prix du barême correspondant au premier véhicule (celui qui compte la taxe la plus élevée) lui est appliqué intégralement; le prix du barême est réduit de ,r>o 0/0 pour le deuxième véhicule (celui qui comporte la taxe la plus élevée, après le premier) et de 70 0/0 pour chaque véhicule en sus des deux premiers.
- (( Les véhicules vides, avec ou sans moteur mécanique, expédiés d’une gare quelconque à une gare quelconque des réseaux participant au présent tarif, au prix de l’un des barèmes I, II, III, IV et V, et retournés à leur point de départ dans un délai de quatre mois, bénéficient au retour d’une réduction de f>o 0/0 sur le prix des barèmes applicables à une expédition non en retour de meme importance, moyennant la production de la lettre de voiture du premier transport, et, sur justification (pic les véhicules transportés au retour sont les memes que ceux
- expédiés à l’aller. Passé ce délai de quatre mois, le transport sera effectué sans réduction. »
- — Transport des bicyclettes. — Toute bicyclette qui accompagne une personne en voyage, sur territoire français, est considérée au chemin de fer comme un bagage ordinaire et admise à l’enregistrement (coût o fr. 10), sans être emballée.
- Les Compagnies de chemins de fer sont tenues à son égard aux mêmes obligations qu’envers les autres bagages et encourent, en cas d’avarie, les memes responsabilités. Expédiées en grande et petite vitesse comme articles de magasin, les bicyclettes doivent être emballées suivant les usages du commerce.
- Le tarif (pii leur est applique (frais de manutention compris, mais non l'enregistrement et le timbre) est :
- En grande vitesse:
- Pour moins de /|0 kilogrammes jusqu'à 200 kilomètres, de 3 c. 1/2 par 100 kilogrammes et par kilomètre.
- Du 3oo° au 4oon kilomètre de 3 c. 1.
- Du 4oo° au 8oo° kilomètre de 3 cent.
- Du 8oo° au 1 ooo° kilomètre de 2 c. 8.
- Au-dessus de 1 000 kilomètres de 2 c. 5.
- En petite vitesse:
- De 2 c. 1/2 par 1 000 kilogrammes et par kilomètre avec un minimum à percevoir de !\o centimes. (D'après La Vie Automobile.)
- TRANSPORTS INTERNATIONAUX (Compagnie de), transports d'automobiles, 8/j, rue d'11 au te ville, Paris. Tél. 309-10.
- TRANSPORTS MARITIMES. En
- général, les Compagnies de navigation se réservent d’appliquer leurs tarifs tantôt sur le poids, tantôt sur le volume des colis, suivant qu'un de ces deux systèmes est plus avantageux pour elles.
- La taxe au poids est appliquée aux automobiles pour l’Algérie, la Tunisie et l'Angleterre.
- Ci-dessous les différents prix de transports donnés par les principales Compagnies de navigation :
- i° - Compagnie générale Transatlantique (Siège : (>, rue Auber, Paris). . Les
- bicyclettes paient 5 francs l’une, d’un port à l'autre, mais 11e sont acceptées que sans responsabilité en cas d’avarie.
- Automobiles. — Lignes de VAlgérie et de la Tunisie, au départ de Marseille :
- ”5 francs par voiture, jusqu'à 700 kg.
- 120 — — de 701 à 1 000 kg.
- 100 — — au-dessus de 15oo kg.
- Ligne de New-York : Par cargo-boats, 20 francs le mètre cube; par paquebots-poste, 3o francs le mètre cube, sous réserve de place et de dimensions.
- 20 Compagnie Caillol-Duviîlard et Cie (53, rue Vacon, Marseille). - De Marseille à Tunis :
- LA PLUS JOLIE VOITURE DE VILLE D ET D I I ET T EST LA 14 CHEVAUX DLllLI L I
- à châssis cintré et surbaissé
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- T R A
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- T l\ A
- Bicycle!les : 1 frimes el. (i francs seulement pour deux bicyclettes réunies en un seul emballage.
- Tricycles ordinaires : i5 francs minimum.
- Tricycles à moteur : no francs minimum.
- Voilures et voiturettes à violeur : jusqu’à Goo kg. : 7I francs minimum; au-dessus de (ioo kg. : ilo francs minimum.
- Les Irais de débarquement et de canal i'.> l'r. 7I la lonne), sonl à la charge du destinataire.
- Si la voilure pèse plus de i Ioo kg. et nécessite l'usage du ponton de débarquement, les frais de débarquement, environ ioo francs, sont à la charge du destinataire.
- 3" Compagnie Méditerranéenne de navigation (Siège : 53, rue Vacon, à Marseille). llurenu à Paris : ig, rue de Valois.
- 1. —- !)<• Marseille à Alger et à Tunis :
- Bicyclettes...................... l\ Ir.
- Motocyclettes.................... io fr.
- Automobiles, jusqu'à (ioo kg. . . no l'r.
- de (ioo à i non kg. . ioo fr.
- Au-dessus de i Ioo kg., les prix sonl traités de gré à gré.
- La Compagnie consent une remise de 20 0/0 aux membres du T. (i. I'.
- 11. De Marseille à Ajaccio, ou de Xice à lias/ia: . \utomobiles : Somme lixede 100 fr. pour l'embarquement, le transport elle débarquement.
- 'i° Compagnie Fraissinet ((i, place de la lîourse, à Marseille). Pureau à Paris : q, rue de Pougemonl. De Marseille, ou de Xice à Ajaccio et Bastia : Automobiles : 12 francs par mètre cube, plus faux frais, soit : chapeau, 1 00; connaissement 10 centimes par auio.
- •V Compagnie de Navigation mixte (( 'oui pagnie Touache) (Siège : Ij, rue Lan-nebière, Marscillei. Pureaux à Paris : ni, rue du f aubourg-Poissonnière ; el p, rue de Home. Transport des automobiles : Les prix ci-après sont donnés à simple litre d'indication, sans engagement de la part de la Compagnie :
- De Marseille à Alger, Hi/.erle, Pêne, Oran, Philippe ville, Tunis : /|1 francs par 1 000 kg. ;
- De-Marseillc à Arzow, Mostaganem, Sousse : .13 francs par 1 000 kg. ;
- De Marseille à Peni-Saf, Djerbali, liahès, Mebdia, Monaslir, .Nemours : 70 francs par 1 000 kg. :
- De Marseille à S fax : IG francs par 1 oookg.
- Les frais d'embarquement el de débarquement ne ligurent dans pas ces prix : ils sonl de (i fr. 20 par 1 000 kg. pour les ports d'Alger, lîùne, Orau, Pbilippeville, Tunis: le minimum de fret est de (io francs par voilure jusqu'à (ioo kg.: 120 francs par voilure au-dessus de (ioo kg.
- 6° Société Générale de Transports maritimes à vapeur t Siège : 3, rue des
- Templiers, à Marseille). Pureau à Paris, 8, rue Ménars. — Transport des automobiles : De Marseille à Alger, Pêne, Potigie, Oran et Pbilippeville :
- 77 IV. no par voiture pesant jusqu'à 700 kg. :
- 12I francs par voilure pesant de 701 à 1 noo ^'8 ; •
- (i/| francs les 1.000 kg., avec minimum de ilo francs par voilure dépassant 1 noo kg.
- Les voilures dont le poids dépasse 1 Ioo kg. ou celles qui, bien que pesant moins de 1 noo kg., 11e peuvent, en raison de la fragilité de leur carrosserie, être mises à bord par les treuils, ont à supporter les frais des appareils spéciaux utilisés pour l'embarquement ou le débarquement.
- Les frais varient avec chaque port, maison ]ton(. compter généralement sur une moyenne de l\o à no francs.
- 7" Compagnie Havraise Péninsulaire de navigation à vapeur. aO, place de rilôlel-de-Yiîle, le Havre. Siège à Paris.
- 13, rue ( irange-Palelière. — Transport des automobiles : Du Havre à Alger, Cadix, Malaga, Oran, Tanger : an francs par mètre cube.
- 8n Services de la Compagnie South Eastern and Chatliam-Railway, Pureau à Paris : 3o, boulevard des Italiens.
- I. - Tarifs entre Londres et. Valais ou Boulogne :
- Bicycle!le (accompagnée), 1 sliill. (G IV. si).
- Bicyclette avec remorque, n sliill. (G fr. ni)).
- Tricycle et tandem (accompagnés) 10 sliill. (12 fr. no'). Les motocycles (accompagnés) paient le double des bicyclettes.
- Les motocycles et les tricycles emballés paient, le prix de transport des bagages ordinaires, majores de no o o sur le poids.
- Les motocycles non emballés voyagent au risque du propriétaire.
- Le tarif minimum est de 10 sliill. (12fr.no) par molocycle et de 20 sliill. (2Ô francs) par tricycle à moteur.
- l'oitares automobiles emballées, avec roues démontées, par tonne : n livres i3 sliill. 3 d.
- ( 11\ 1 IV. 11).
- Voitures automobiles non démontées, n'excédant pas 1 700 livres anglaises (770 kg. environ), emballées ou non emballées, au risque el péril du propriétaire : chaque voilure : j 1 iv. il sliill. (118 IV. 7I).
- Voitures automobiles non démontées, n'excédant pas 1 700 livres anglaises, au risque de la (lompagnie, emballées ou non emballées : 1 Iiv. 18 sliill. q d. chaque voilure (î/pSIV. /pi).
- Voitures automobiles non démoulées, excédant 1 700 livres, au risque du proprietaire, emballées ou non, par tonne : 1 livres t i3 sliill. 3 d. ( i/| 1 IV. 11).
- ! \'oitures automobiles non démontées, j excédant 1 700 livres, au risque de la Lompa-| gnie, emballées ou non, par tonne : 7 livres : 1 sliill. G d. (17G IV. 81).
- mEim m
- Conoour» de
- loin, Lyon, Berlin.
- Phares b. R. c. alpha
- HORS CONCOURS
- PARIS 1900
- Liège 1905-JHilan 1906
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- T II A
- — GO 3
- T II A
- U. — Tarifs spéciaux par bateau, entre Douvres et Calais, ou Folkeslonc cl Boulogne :
- Bicyclette (accompagnée), 3 shill. (3 l'r. -5).
- Bicyclette avec remorque (accompagnée),
- 3 shill. (3 IV. 7.I).
- Tricycle et lamdem (accompagnes), (i shill.
- (7 IV- 5°)- ,
- Les molocycles (accompagnes) paient le double du tarif ordinaire ci-dessus.
- Les molocycles (non accompagnés), sont soumis à un tarif particulier.
- Voilures automobiles emballées, avec roues démontées, par tonne : >. liv. iG shill. (~olV.t.
- Voilures aulomobiles non démontées, n'cxcédanl pas i 700 livres anglaises (770 kg. environ), au risque du propriétaire, non emballées, chaque : j livres (ioo francs).
- Voitures automobiles non démontées, n'cxcédanl pas 1700 livres anglaises (770 kg. environ), au risque de la Compagnie, non emballées, chaque : 1 liv. 1 shill. (i.'li IV. an).
- Voitures aulomobiles non démoulées, excédant 1 700 livres (770 kg.), au risque du propriétaire, non emballées, chaque : j livres (100 francs).
- Voilures automobiles non démoulées, excédant 1 700 livres (770 kg.), au risque de la Compagnie, non emballées, chaque : 5 liv. 1 shill. ( 131 IV. an).
- Voitures automobiles non démoulées et emballées, au risque du propriétaire, chaque : 3 liv. 3 shill. (78 IV. 7I).
- Voilures aulomobiles non démoulées et emballées, au risque de la (lompagnic, chaque : /| livres (100 francs).
- III. — Tarifs entre Bourres et Ostende :
- Bicycle!les (au seul risque du propriétaire),
- 1 shill. G d. (1 IV. 8,1).
- Tandems, 3 shill. (3 IV. 70).
- Les molocycles (non emballés) paient les tarifs précédents augmentés de no 0/0. Par exemple, une motocyclette pesant no kg. paiera q sholl. !\ d. lia IV. il) et un Iricvcle à moteur de 80 kg. : i3 shell. !\ d. (iG IV. (in).
- Les voilures aulomobiles ne seul pas admises sur les vapeurs de .Douvres à Oslcndc.
- 9" - Holland-America Line. — Transport des aulomobiles : De Uollcrdam à New-York : .'I7 IV. no par moire cube, jusqu'à
- 3700 kg. (Tarif spécial pour les automobiles de grandes dimensions).
- in" Compagnie Normande de navigation à vapeur, (irand-Ouai, 15, le Havre. — I.iyne du Havre à Trourillc, du Havre à Ilon/leur, du Havre à Caen :
- Bicyclettes : o !r. no ) sans responsabilité
- Tandems : o Ir. 80 > de la part de la
- Motocyclettes : 2 IV. s \ Compagnie.
- Des voilures automobiles ne sont pas admises à rembarquement.
- TRANSPORTS SUR ROUTE. —
- Voir .triés et Burrey.
- TRAPET et C"', garage, commerce d’automobiles, 9, rue de la Trémouille, à Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire).
- TRAPEZE. — Figure géométrique ayant la forme d'un quadrilatère dont deux côtés
- a
- TuM’KZKS
- li. Trapèze rectangle - - C. Trapèze isocèle.
- sont parallèles, mais de longueurs inégales. — O11 obtient la surface d'un trapèze au moyen de la formule :
- S = -77- (a -|- b) b
- TRAVAIL. — On donne le nom de travail au produit d'une force par la longueur sur laquelle elle agit, dans sa direction.
- L'unité C. O. S. de travail est la dyne-cenlimètre ou erg.
- L'unité pratique de travail ou d'énergie est le kilogrammelre. La niasse du gramme produisant à Paris une force de 981 dynes, le ki-logrannnèlre vaut 981 )>( ur’ ergs.
- 11 ne faut pas confondre le travail avec la puissance, celle-ci «Tant le rapport du travail au temps pendant lequel il s'ell'eetue.
- En électricité, on donne le nom de travail ou énergie électrigue au produit d'une quantité d’électricité par une dill’érence de potentiel. l/éncrgie électrique se mesure en volt-coulomb ou joule, en unités pratiques. Le joule vaut 10" ergs.
- Industriellement, on emploie pour le travail mécuniipie les unités appelées : cheval-heure (1 cheval-vapeur vaut 70 kgm.) ou le pon-celel-heure (le poncelet vaut 100 kgm.).
- Pour le travail électrique on emploie le watt-heure «pii vaut 3 Goo joules cl ses multiples qui sont l'heetowali-heurc (100 w-h.) et le kilowatt-heure (1 000 w-h.).
- Dans les moteurs thermhpies (à vapeur, à gaz ou à pétrole), on donne le nom «le travail indir/ué au travail produit réellement dans le cylindre par la détente de la vapeur ou du gaz pendant un certain temps. Cette «pumtité s'obtient en déterminant la pression moyenne dans le cylindre et en fonction de la surface du piston, de sa course cl de sa v itesse (voir Diagramme). Le travail effectif au volant de la machine est le produit du travail indhpié par le rendement organique «lu moteur.
- Société anonyme des Automobiles de la QIII D C
- ^ LYON *5 DU I ri EL
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- T 11 A — 6 G 4 — T 11 E
- TRAVAIL (Accidents du). — U ne loi. du y avril 1898, vise spécialement les acci-denls dont certains ouvriers ou employés sont, victimes par le l'ait ou à l’occasion de leur travail, et détermine les indemnités ou rentes que leurs patrons devront payer a ces ouvriers ou employés.
- Cette loi ne s'applique pas aux simples mécaniciens d'automobiles, et les propriétaires d'automobiles ne sont, pas tenus, par le l’ait, meme qu’ils possèdent de telles voitures, à indemniser leurs mécaniciens blessés (à moins qu’ils aient été eux-memes auteurs ou cause de l’accident, auquel cas ils sont responsables conformément au droit commun).
- Ne sont assujettis à la loi de i8y8 que les patrons qui font servir leurs automobiles à une exploitation commerciale ou industrielle ; eu ce cas, ils soûl tenus d’indemniser leurs mécaniciens victimes d’accidents.
- TRAVAIL AUX PIÈCES. — On dit
- qu’un ouvrier travaille aux pièces lorsqu’il n’est pas payé à l'heure., mais d’après le nombre de pièces qu’il a exécutées en un jour ou en une semaine et suivant un tarif établi d’avance, avec consentement mutuel.
- TRAVAIL ÉLECTRIQUE DES MÉTAUX (SociétéAnonyme jtour le), /|, quai de Seine, à Sainl-Ouen (Seine). — Directeur: M. P. Iveim, ingénieur.
- TRAVERSE. — Poutre métallique réunissant, les deux côtés d’un châssis de voilure ou d’une grande pièce mécanique.
- TRAVERSE et BOUCHARD, pièces détachées, iiy, rue Saint-Maur, Paris.
- TRAVERSÉES AÉRIENNES par
- dessus la Manche ou la mer du Nord.— [.Traversées aériennes du continent européen en Angleterre : au nombre de six seulement,. — Le y septembre, Lbosle. parti de Boulogne à ü heures du soir, atteint, à 11 heures à 1 Iyt.be. Le "j août i88/|. Lhoste, parti de Boulogne, atterrit à .New-lloinnry (Angleterre1. Le yy juillet i88(i. Lbosle et, Mangol, partis de Cherbourg, descendent après sept heures de voyage à Tolenham, banlieue de Londres. Les i a-iU septembre 1886. à bord du National, muni des engins d'aéronautique maritime inventés par lui, M. Henri Hervé allait atteimbe la côte anglaise, lorsqu'il fut, c. sauvé » de force et. malgré ses protestations par des marins anglais désireux de gagner la prime aux sauveteurs. Le y. î septembre iyoo, Lati ull’e, parti dit Dunkerque, descend à Soutlnninster. Kuhn, le comte de La Yaulx, parti le u(i septembre à - heures du soir, non point du littoral, mais de l’intérieur des terres, parc de fAéro-Club aux coteaux de Saint-Cloud, dans le ballon a ballonnet Le Djinn (i 8oo m.:i) atterrit, le 27 septembre, à il heures du malin, à (i milles au nord-est de Hull. comté d'Yoi k (Angleterre), après un trajet à vol d'oiseau de duo kilometies. Le ballon s’en-
- gagea sur la Manche à la hauteur de la baie de la Somme et, entra au-dessus du sol anglais près de Denge iNess. Les aides de M. de La Yaulx étaient, : le comte lladclin d’Oul-tremont et le capitaine Voyer.
- IL Traversée d’Angleterre au continent. Elles sont beaucoup plus nombreuses et plus faciles étant donné l'immense développement des côtes qui s'offre à l'aéronaute poussé par un bon vent, d’ouest.
- Depuis la traversée de Blanchard (Douvres-Calais, y janvier iySô), citons celles de (ireen, de John Simulons. Burnaby. Morton, Spencer, etc. Pour sa part, M. Jacques Taure a réussi quatre fois celle prouesse, dont trois fois en iyon (voir Faure).
- Celle do ces traversées qui comporte le plus long tra jet au-dessus de la mer est celle de M. l’rankz C. Butler, parti de Londres et atterri à la Délivrande (Calvados), le y août, iyo5, dans une ascension entreprise pour l'observation de l’éclipse solaire du meme jour.
- - Au cours de tentatives de ce genre, six aéronautes ont, péri : Pilaire des Hozicrs et, Humain (lÿSô). Eloy (i88f>). Gower {1885), Lhoste et Mangol dans un dernier essai, le t3 novembre 1887. Beaucoup d’autres aéro-naules ont été recueillis on mer, parmi lesquels Duruof et, sa femme (iSy.j). Duruof seul ( 18 7 (> ), Georges Besancon. Porlié et Demayor (1892), etc. —Voir (loupe (lordon-Bennett li)0Ù, à la Deuxième partie.
- TRAZIONE ELETTRICA (Société per la), construction d’automobiles électriques à trolley, (i, via Yignola, à Milan (Italie). — Tel. yô-y j.
- TREBERT AUTO and MARINE MOTOR C°, moteurs et transmissions. — Voir Brownell-Trebcrl C".
- TREBERT GAS ENGINE Ch moteurs à pétrole, West Main Street (Kochester A.-Y.), Etats-Unis.
- TRÉFILER. - Transformer en fil, en le faisant [tasser par une filière, un métal ductile, c’est-à-dire susceptible d’être battu, tiré ou allongé sans se rompre. Le fer, le laiton, l’argent et l'or notamment, se trélilcnt avec une grande facilité.
- On élire le fil métallique au moyen du banc à étirer, machine où le lil est progressivement amené au diamètre voulu par son passage à travers les trous d’une plaque de grandeurs décroissantes.
- TRÉFILERIES DU HAVRE (Compa-
- gnie des), 2y, rue de Londres, Paris. Tel. y38-i8. — Société au capital de ô millions de francs.
- TRÈFLE A QUATRE FEUILLES
- (Société de Construction d’Automobiles), voitures Brasier, 2.3, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél. 5y/|-y5 et 0/17-17. Adr. tel. Autorich-Paris. — Usines: 2, rue Galilée, à Jvry-l’ort (Seine). — Société Anonyme fondée
- Les Malles Auto de LOUIS VUITTON
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- T R E
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- T R E
- on juillet 1899, au capital de 3 millions de francs. — Président du Conseil d’administration : M. Ormond ; administratcur-dcléguc à la partie administrative et commerciale : M. Benz Audéoud ; administrateur délégué à la partie industrielle: M. Brasier. — Administrateurs : MM. Edgar Sauter, Cuénod, Eugène Lallin, Lcresehe, Ernest Audéoud.
- Construction de voitures automobiles de 10 à 5o chevaux. Les automobiles Brasier ont été victorieuses dans les Eliminatoires et dans la Coupe Gordon Bennett en 190/1 et en 1900. E11 190G, seule marque ayant ses trois voitures classées daus le Grand Prix île l’Automob le Club.
- Principaux .Itjenls du “ Trèfle à Quaire Feuilles
- Départements. — Albi (Tarn) : Delpech, Lires du Bbonel. — Amiens (Somme) : Boy, i3, boulevard Alsace-Lorraine. — Angers (Maine-et-Loire): Grégoire, 4 bis, rue de Billion. —- Avignon (Vaucluse) : Mathieu, boulevard Saint-Roch. —- Bur-le-Duc (Meuse) : Petit, 44, me de la Rochelle. — Béziers (Hérault) : Fitte et Dorne, g, avenue do Bel-l'orl. — Bergerac (Dordogne) : Mazière, rue du Caudeau. — Biarritz (liasses-Pyrénées) : Mabon, avenue de la Négresse. — Blois (Loir-et-Cher) : Nicaise, 20, rue Porte-Côté. — Bordeaux (Gironde) : Lafargue, 43, rue Croix-dc-Scguey. — Brest (Finistère) : Benou-vel. 17, rue do Paris. — Caen (Calvados) : Bedouclle-Voisin, 5, rue Choron. — Calais (Pas-de-Calais) : Cordicr, 1, rue du Four-à-Cliaux. — Chaumont (Haute-Marne): Lori-net, 00, place des Capucins. — Cannes (Var) ; Doze cL Fontana1 8, bpulevard Carnot. — Carcassonne (Aude) : Escarguel, 18, rue de la Mairie. •— Dijon (Côte-d'Or) : Grand-perrin, 30, rue Saint-Pierre. — Epernay (Marne) : Pérou, -, rue de l'Ecaille. — La Fer lé-sous-J ouarre (Seino-et-Marnc) : Daus-sin, G, place de l'IIôtel-de-Ville. -— Grenoble (Isère) : Magnat et Dchon, 69, cours Saint-André. — Le Havre (Seine-Inférieure) : Bur-ton, 7, rue Béranger. — Lille (Nord) : Cor-dier, 3(i, rue de l’Hôpit.al-Militairc. — Li-bourne (Gironde) : Couthcillas Fils aîné, 43, coursTourny. — Lyon (Rhône) : Lambrechts, 9,rue Pierre-Corneille. — Marseille (Bouches-du-Rhône) : Bablot, 170, cours Lieutaud. — Millau (Aveyron) : Bonuafous. — Montpellier (Hérault) : Garaman, 12, rue de la République. — Moulins (Allier) : Cornette et Bûcheron, cours de Bercy. — Nancy (Meurthe-et-Moselle) : Schott., 3, rue Girardct. — Nîmes (Gard) : Mathieu, f\o, boulevard de la République. — Nantes (Loire-Inférieure) : Ber-theau, 27, rue de Strasbourg. —- Nice (Alpes-Maritimes) : Contant,, 12, rue Macarani. — Pau (Basses-Pyrénées) : Pommes, 15, ,iue Lcspy. — Poitiers (Vienne) : Arnaud, 7, rue Carnot. — Roanne (Loire) : Labaune, 4o, rue Gambetta. — Bouen (Seine-Inférieure) : Drance, 38, quai Gaston-Boulet,. — Saint-
- Etienne (Loire) : Chapuis, G, rue du Grand-Moulin. — Soissons (Aisne) : Renée, G, place de la République. — Tain (Drôme) : Henri Ncraud, avenue de la tiare. — Toulouse (llautc-Garonne) : Dclboy, 2,allées Balayette.
- — Toulon (Var) : Saunin, 12, rue Picot. —-
- Tourcoing . (Non]) : Devouge, 353, boulevard Gambetta. — Verdun (Meuse) : Rochette, 42, rue Mazel. Vitré (Ille-et-Vilaine):
- Pirault, 24, rue Neuve.
- Algérie. — Alger (Algérie): Ivuntz, 17, rue de Conslantine.
- Etranger.— Aix-la-Chapelle (Allemagne; : Anton Rutgers et Cu, Jloehstrasse, 55. — Bombay (Hindoustan) : Paris-India. —- Bucu-resl (Roumanie) : Prager, calea Vieloriei, 9.
- — Budapest (Hongrie) : Velodrom Aulo-mobil Garage, Stadwaldchen-Allée, lpi. — Bruxelles (Belqique) : Bouvier, 9 et 10, place du Marché. — Le Caire (Egypte) : Société des Grands Garages d'Egypte, rue Marouf.
- — Genève (Suisse) : Cari'agni, 3o, rue de Monthoux. — Hambourg (Allemagne) : Raf-fay et, C° Klopstockslrusse. :i-4- — La Haye Hollande) : Englebcrl et C“, (François Valen-lijnstraat 88. — Lisbonne (Portugal) : Socie-dade Portugueza, Auto-Palace. — Londres (Angleterre) : Mann et üverton, 7a Lower llel-grave Street. — Munich (Allemagne) : Haussier, Thierschstrassc, 20.—New- York (Etats-Unis) : Gallaher, 141 West 55th Street. •— Borne (Italie) : Société “ Fides ”, 36, via Tri-tone.— Saint-Pétersbourg (Russie) : Tansky et C°, Maison Poheda. — Strasbourg (Alsace-Lorraine) : Mathis, Finkmattstrasse, :i3-2.5.
- — Sydney (Australie) : Fauvel Frères et Maillard, 280, Pitt Street. — — Vienne (Autriche) : VVicsner, Reisnerstrassc, 87. — Zurich (Suisse) : Badcrtscher et' C°.
- TREILLE Fils, garage, commerce d'automobiles, rue de la Mairie, à Montauban (Tarn-et-Garonno).
- TREMBLEUR. — Dispositif permettant de couper et rétablir un courant électrique.
- — Trembleur magnétique. — Pour produire dans le circuit secondaire d'une bobine un courant d'induction, il faut rompre et rétablir le courant primaire. Les constructeurs se servent à cet ellet du trembleur magnétique. Le noyau de fer doux situé à l'intérieur de la bobine s’aimante au moment du passage du courant primaire, il attire donc une masse de fer doux T fixée sur un ressort. Le courant électrique qui passait, par a T V b se trouve donc rompu par suite de la séparation de T eL de la vis V (fig. 1, II) ; le noyau de fer doux se désaimante et le ressort ramène en arrière T qui se réapplique contre Y et rétablit du même coup le courant, inducteur (fig. i,I). Le noyau de fer doux s'aimante et le phénomène déjà expliqué se reproduit. 11 va par conséquent, dans chacune des positions de T, rupture ou rétablissement du courant primaire,
- [AUTO-GÉNÉRALE J.
- 16, rue Duvet — PARIS Directeur
- SALLERON
- Automobiles :
- Bollée, Brasier, Dalaunay Belleville fanhirt-Levassor, Mors
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- d'où production d'un courant induit. Ces phénomènes se produisent si vite que l'on n'entend qu'un bourdonnement.
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- TRÉMOUREUX, garage, commerce d'automobiles, rue Saint-François, à Quimper (Finistère).
- Schéma d’l'nk uouixe avec son tuembleck T
- Kig. I. Le courant primaire passe. — Fig. II. Le courant primaire est interrompu entre T et V. — M B, bornes «lu courant induit. — P M P, bornes «lu courant inducteur. — condensateur. — T, masse de fer du Iremblcur. — V, vis de réglage.
- — Ti'embleur mécanique. — Dans un moteurqui tourne normalementà i nooou i 800 tours à la minute, le Iremblcur magnétique ne va pas assez vile, aussi la maison de Dion-Bouton prit-elle l'heureuse initiative de le supprimer à la bobine et de le remplacer par un trembleur commandé mécaniquement par le moteur lui-même. Dans une encoche, ménagée à cet effet dans l'axe du dédoublement du moteur, viendra tomber le talon M du trembleur représenté par la ligure ci-contre. La goutte de platine G, par la force du ressort T lixé en U, laite alors sur la vis platinée et le courant inducteur s'établit. Mais, le moteur continuant à tourner, le talon est soulevé et G sc sépare de la vis platinée : rupture du courant inducteur, production d'un courant induit de haute tension et, une étincelle jaillira entre les pointes de la bougie. Nous ne citerons pas les nombreux avantages de ce mode d'allumage, nous nous contenterons de faire remarquer que plus de (io 000 moteurs fonctionnent aujourd'hui avec un trembleur mécanique. Certains perfectionnements ou changements de détail ont été apportés dans la commande des pièces, mais le principe reste le même.
- (î, goutte «te platine. — M, talon. - 1\. trou «le la vis du trembleur. T, ressort.
- TREMPE. — Modification moléculaire que subissent les métaux, les alliages ou d’autres substances, quand ils sont soumis à un refroidissement plus ou moins rapide. La trempe a pour résulta! de durcir les objets trempés et de modifier leurs propriétés d’élasticité, de résistance, etc. La trempe se pratique surtout pour Y acier (voir ce mot) ; on l'a également appliquée à la fonte «pic l'on durcit par un refroidissement brusque dans des moules métalliques appelés coquilles (trempe en coquille). La trempe a été également appliquée au verre : verre trempe. Par extension du mot, on appelle trempe en paquet, une opération de cémentation (voir ce mol) consistant à carburer (aciérer) superficiellement .des objets en fer, par chauffage en vase clos en contact avec du charbon de bois, des rognures de cuir, des prm-siatos, etc.
- TRENTELIVRES {Henri), 3o, rue de Malines, à Bruxelles (Belgique). — Né au Havre, le 22 février uSb^. — Co-associé de la Maison J, Gauthier et II. Trcnteiivres. — Ancien coureur amateur, a remporté plusieurs épreuves cyclistes (Paris-Oslendc, 1892). A fondé, en 1899, à Bruxelles, une importante maison s'occupant de la vente des accessoires pour cycles et automobiles. — Membre de l'A. C. de Belgique, du Moto-Club de Belgique» etc.
- TREUIL (Paul), fabrique de pneumatiques « le Treuil », 9, passage Moitricr, à Lc-vallois-Pcrrct (Seine). Tel. 3(>.
- TRÉMOLIÈRES 6t C’*1, accessoires et voitures électriques, 12, avenue delà Grande-Armée, Paris. Tel. 080-98.
- TRÉVIS (Victor), commerce d'automo biles, 1, quai du Fort-de-Bomc, à Givct (Ar donnes).
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- T H I
- T II 1
- TRIANGLE. — Figure géométrique plane, formée et limitée par trois lignes droites qui se coupent deux à deux.
- La hauteur d'un triangle est la perpendiculaire abaissée d'un sommet sur le côté opposé.
- Le carré construit, sur l'hypoténuse d'un triangle rectangle a une surface égale à la
- Tru/fault. Ce tricycle, genre Salvo, avait deux grandes roues, dont une motrice, à l'avant et une petite roue placée à l'arrière pour assurer l'équilibre de l’ensemble. — l/un des principaux perfectionnements fut, l'application aux tricycles par Starley du mouvement différentiel. en 1879.
- Le Cripjter parut en 1880. en donnant le
- Tiuangj.ks nm;iis
- A. triangle équilatéral. — 1». triangle isncèh*. — G. triangle rectangle. — P. triangle sealcnr. --
- K. triangle curviligne.
- somme des carrés construits sur les côtés de l'angle droit.
- TRIBELHORN, ingénieur-cou si rue leur, à Feldbaeh, lac de Zurich (Suisse).
- TRIBUNAL DE SIMPLE POLICE.
- D'après les articles 187 et 188 du Code d'instruction criminelle, le Tribunal de simple police connaît de toutes les contraventions de police simple pouvant donner lieu à quinze francs d'amende et au-dessous, et, à cinq jours de prison et au-dessous.
- A Paris, le Tribunal de simple police a son siège au Palais de Justice, cour de .Mai (à gauche du grand escalier/
- Suivant la nouvelle loi sur les Justices de paix, le service du Tribunal de simple police est désormais assuré à Paris, non comme autrefois par un des vingt juges de paix de Paris siégeant à tour de rôle, mais par deux juges de paix spéciaux. Les fonctions de Ministère publie sont remplies, à Paris, par » un commissaire de police spécialement, desi- | gué pour remplir celte fonction.
- TRI CAR. - - Véhicule comportant trois roues (une motrice à l'arrière, doux directrices! et deux places situées, soit Fuite derrière l'autre, soit côte à côte. Le poids total à vide de ce véhicule varie entre 80 et aoo kilogrammes.
- TRICYCLE. — Un des premiers tricycles en date, paraît, avoir été une draisienne à trois roues, fabriquée vers i83o; déjà, A-ers i8if). existaient des instruments de ce genre, machines en bois ou en 1er quon peut appeler des tricycles parce qu'elles ont trois roues, mais qui n'étaient que des célén-feres. auxquels on avait ajouté à l'arrière une troisième roue.
- Lest en 1878 qu'apparut le premier tricycle digne de ce nom ; il arrivait d'Àngle- j terre et fut présenté au public parisien par |
- dessin général du tricycle contemporain, avec scs deux roues motrices à l'arrière et, sa petite roue d'avant guidée par un gouvernail" de bicycle. Deux compagnies anglaises, le ‘'Quadrant Tricycle” et la maison “Kudge”. lurent parmi les premières en date et les plus connues dos fabriques de tricycles.
- TRICYCLES A PÉTROLE. — Les
- tricycles à pétrole sont des véhicules a moteur mécanique astreints à toutes les obligations imposées aux automobiles.
- Leurs propriétaires doivent en faire la déclaration à la Préfecture de leur département (Préfecture de police pour la Seine) avant (le les mettre en circulation (voir Déclarations) ; ils doivent également obtenir, après examen, le permis de conduite de ces véhicules. — \oir Certificat de capacité.
- En mettant, leurs véhicules en circulation sans avoir rempli ces conditions, les propriétaires se mettraient en étal de contravention et se rendraient ainsi passibles de peines de simple police qui, en cas de récidive, pourraient cire de la prison.
- — De Dion, Bouton i;t Cio, 3(1, quai National, à Puteaux (Seine).
- TRICYCLES PORTEURS. — Tricycles portant, à l'avant une petite caisse renfermant des objets “à livrer”, et actionnés soit par des pédales, soit par un moteur.
- Dans le but d'assurer la protection des jeunes ouvriers, quelquefois employés à actionner des tricycles porteurs trop lourdement chargés, le ministre du Commerce prit, le 27 mai 190a, un arreté fixant à 7Ô kilogrammes (poids du véhicule compris!, la charge maxima que peuvent porter ou traîner, au moyen de tricycles, les garçons de iG à 18 ans. Le silence de l’arrêté, au sujet de l'emploi des jeunes garçons de moins de iG ans et des jeunes filles de tout âge.
- ROMPES COMPOUND^EmiGü/
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- équivaut, à l'interdiction, pour cos travailleurs, de l'actionncmcnt des tricycles- porteurs.
- Le mot. tricycles porteurs s'est actuellement, transformé, par abréviation, en triporteurs.
- — Comiot (CM, 87, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris.
- — Pecoeot Fm'cims, à Yalentigney (Doubs).
- TRIGONOMÉTRIE. — Science qui se rattache à la géométrie et à l'algèbre, et qui étudie, par le calcul, les relations existant entre les divers éléments d'un triangle. La trigonométrie permet la résolution de •nombreux problèmes où interviennent des calculs de triangles.
- TRIPHASÉS (Courants). — Ensemble de trois courants alternatifs égaux déphasés de i/3 de période, surtout employés pour les transports d'énergie à longue distance et l'alimentation des moteurs à champ tournant. — Voir Allerno-Moteur.
- TRIPLETTE. — Quadricycle à trois places construit par la maison anglaise Rudge, à partir de 1889.
- TRIPLEX, bougie. — Voir Lemaitrc.
- TRIPLEX, moteur à 3 cylindres, équili-•bré. •— Voir Caplcl (fl/.), Le Havre.
- TRIPOLI. — Matière siliceuse, line et terreuse, plutôt rougeâtre, d’une origine géologique analogue à celle do la terre pourrie, employée pour le polissage des métaux.
- TRIPTYQUE. —Littéralement : objet plié en trois. Le triptyque qui nous intéresse est, en ellet un carnet compose de trois feuillets dont •deux détachables et un formant souche, sur lesquels il est fait mention de l'identité du véhicule que conduit le touriste et qui permet à celui-ci d'entrer à l’étranger cl, d'en sortir sans avoir à payer de droits de douane.
- Les triptyques sont valables:
- France: pour un an à partir de l'entrce en France.
- Hollande : pour un an à partir de l’entrée en Hollande.
- Suisse : pour six mois à partir de l’entrée en Suisse.
- Italie : pour trois mois à partir de l'entrée en Italie.
- Belgique : jusqu’au 3i décembre de l'année •eu cours.
- .Illemagnc : jusqu’au 3i décembre de l'année en cours (et pour un nombre indéterminé de voyages).
- A la première entrée, le receveur des douanes estampille la souche et en détache le premier feuillet ou volant . Lors de la réexportation, le receveur contrôle l’identité de la machine, estampille à nouveau la souche et, détache le feuillet, n° 2. La souche du permis de libre circulation ainsi revêtue des consta-
- tations d’entrée et de sortie reste entre les mains du titulaire et est indispensable pour obtenir le remboursement, du dépôt ell’eclué.
- Seuls, les membres des sociétés sportives étrangères, dont les pays accordent, des avantages analogues aux touristes français, peuvent bénéficier des triptyques pour l’importation temporaire de leurs voilures automobiles en France.
- Ces sociétés (Automobile-Clubs de Belgique, de Suisse, des Pays-Bas, Touring-Club Italien, Touring-Club de Belgique, Touring-Club Suisse, Touring-Club des Pays-Bas, Touring-Club allemand de Munich) se portent garantes avec l’Automobile Club de France et, le Touring-Club de France, comme caution des droits dûs sur les voitures introduites en territoire français par leurs membres. A litre de réciprocité, l’Automobile Club de France et le Touring-Club de France procurent les memes avantages à leurs membres lorsque ceux-ci désirent franchir le territoire de l'un des pays signalés ci-dessus.
- Depuis juin iqoü, le régime du triptyque est. applicable aux vélocipèdes à moteurs, tels que tricycles, quadricycles, qui étaient exclus du traitement de faveur accordé aux motocyclettes introduites temporairement sur notre territoire par les excursionnistes étrangers.
- Il est recommandé :
- I. — Si le triptyque est utilisé pour plusieurs voyages :
- Dans tous les cas, remettre le volant d’entrée.
- Suisse. — Faire viser au dos du volant de sortie, à chaque passage, sortie et rentrée.
- Italie et France. —- Faire viser de même dans les cases réservées à cet ellet.
- Allemagne, Belgique et. Hollande. - Ces visas provisoires 11e sont, pas exigés. Il suffit de présenter les volants à toute réquisition des employés.
- II. — Si le titulaire du triptyque ne peut, par force majeure ou empêchement quelconque, donner suite à son projet de retour dans le pays d'où il est sorti avec son automobile, il doit immédiatement faire régulariser sa situation en demandant la transformation du visa provisoire de sortie en visa définitif.
- A cet effet, remettre le volant de sortie, avec la souche, par la poste, sous pli recommandé, avec timbres pour réponse, au bureau douanier qui a appose le dernier visa.
- Ce bureau retournera celte souche, après l'avoir annotée, au titulaire, lequel devra avoir soin de la faire parvenir, ainsi régularisée, à la Société qui a délivré le triptyque à lin do remboursement de son dépôt.
- TRIULZI Fratelli. carrosserie automobile, commerce d’automobiles, 9, via Diel.ro Mieca, à Turin (Italie).
- TRIUMPH, indicateurs de vitesse. — Voir Syring, à Francforl-sur-Ie-Mcin (Allemagne).
- Lampes électriques pour l’éclairage des voitures. — Plafoniers d’intérieur avec ou sans interrupteur. — Lampe brevetée s’adaptant instantanément dans toutes les lanternes.
- Étienne HIRSCH, Constructeur breveté, 26, rue de Crusso!, PARIS (XI®)
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- TRIUMPH CYCLE C°, Ltd, motocyclettes, à Govcntry (Angleterre).
- TROCHON, garage, commerce d'automobiles, quai Jean-Fouquet, à Laval (.Mayenne).
- TROCKMÉ, garage, commerce d’aulo-mobiles, 11, rue Condorcet, à Saint-Quentin I Aisne).
- TROLLEY. — Pièce mécanique, mobile sur un ou deux lils conducteurs d'électricité, qui sert à "prendre le courant” nécessaire pour actionne]' les voitures électriques non munies d’accumulateurs, et. qui est entraîné sur ce lil par la voilure elle-même. — Le trolley est constitué le plus souvent par un simple “frottoir” métallique. quelquefois par un petit chariot roulant sur le lil métallique.
- TROMPE.—Nom employé indifféremment pour le mot corne. — Voir Avertisseurs phoniques.
- — Auto-Pai.ack, 77 bis, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Comlot (CM, 87, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris.
- — Desponts, j no, rue Victor - l lugo, à Levallois-Perrel (Seine).
- — IIussenot et Raynaud, 3q, rue La Boétie. Paris.
- — Mestre et Blatgé, 5, rue Brunei, Paris.
- — Société La Française, ii, rue Brunei, Paris.
- TRONCHON (Lucien), 1 G. rue de Chartres, à Neuilly-sur-Seine. — Né à Paris, le
- 17 mars 1870. — A débuté en 1888 dans le commerce du Cycle et de l’Automobile ; lit partie de la maison Hum ber. — Est attaché, depuis 11 ans à la Compagnie Dun-lop, où il occupe les fonctions de chef du personnel et des services in-é rieurs.
- TRONCHON,
- machines - outils, 33, boulevard Voltaire, Paris.
- TROU. —Les
- petits (r ous des chambres à air sc réparent au moyc n d’une pastille, d’une comète ou du lardon Michelin. — Les très petits trous, causés par une aiguille par exemple, invisibles à l'œil, sont facilement décelés par les bulles d’air qui s'échappent, par cet orifice, de la chambre à air gonflée, lorsqu'on la plonge dans l’eau.
- — Trous ronds, carrés, borgnes, à graisseurs. —Les trous ronds, comme ceux qui servent- de logement à des boulons-rivets, sont percés ou forés au moyen d'une machine à percei' ou perceuse et d’un foret (voir ces termes). Dans la tôle on perce le plus souvent les trous do rivets à b] poinçonneuse (machine agissant à la façon d'un emporte-pièce).
- Les trous carrés sont percés à la mortai-seuse (voir ce terme), ou à la poinçonneuse-pour les tôles. — Les trous borgnes sont,ceux (pii ne débouchent à la surface que par une extrémité (trous de goujons, etc.).
- Les trous à graisseurs sont des canaux percés au travers d’une pièce pour amener l'huile aux surfaces frottantes (dans les coussinets, vilebrequins, etc.). Quand le graissage s’effectue à la main, ils sont munis à leur partie supérieure d’un godet de graissage ou d'un œil (cavité fraisée) contenant l'huile nécessaire au graissage pendant un certain bips de temps. Quand le graissage s'elfecluc sous pression, l’orifice du trou est raccordé à la tuyauterie d'huile.
- — Trou capillaire. — Trou dont le diamètre n'est pas plus grand que celui d'un cheveu; se dit de tout orilice de très petit diamètre.
- — Trou d’homme. — Les grands générateurs de vapeur portent des orifices ménages dans leurs parois et fermés par un autoclave, qui portent le nom de trous d’homme et, permettent la visite et la réparation intérieures des chaudières.
- TROUCHE et C'° (La Mologodille), propulseurs légers pour toutes embarcations, ao(ir boulevard Péreire, Paris. Tél. f>8/j-()().
- TROUSSE HÉLÉNA po tir démonte)' les pneumatiques. — Voir Lacoste et C‘e, Paris..
- TROUSSELIER, garage, commerce d’automobiles, .35, rue de Prony, Paris. Tel.. 520-91.
- TROUSSES A OUTILS. — Né< •essaires à compartiments renfermant les outils utiles à un mécanicien d’automobile sur la roule.
- — Auto-Palace, 77 bis, avenue de la. Grande-Armée, Paris.
- — Comiot (G.), 87, boulevard Gouvion-Sainl-Cyr, Paris.
- — ülaenzeii et Cic, 35, boulevard de Strasbourg, Paris.
- — ülaenzer et Perreaud, i, avenue de la République, Paris.
- — Lacoste et Cle, 28, boulevard de Strasbourg, Paris.
- — Mestre et Blatgé, 5, rue Brunei, Paris.
- — Société La Française, ii, rue Brunei,. Paris.
- TROUVÉ, appareils électriques. — Voir Sainville (De).
- N’E^Lp?sYE2 CHAINES RENOLD
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- TROUVE, commerce d'automobiles, 20, rue Ghalmel, à 'l’ours (Indre-et-Loire).
- TRUB (Louis), canots automobiles, 5, petite rue Gcvray, à Genève (Suisse).
- TRUC. Wagon de chemin de 1er découvert. constitué simplement par une plaie-forme, .sur lequel voyagent de nombreux objets encombrants, y compris les véhicules automobiles. —- Voir Transports.
- TRUFFAULT (Jules), ni, avenue des
- Ternes, Paris. — .Né à 'l’ours, en i 8/| n . —
- Inventeur de la jante creuse, du premier bicycle multiplié, du premier bicycle en tubes, de la première bicyclette à I r a nsmissio n par pignons d’angle, de la fourche élastique à amortisseurs de idioes, de la « suspension Trull’ault » pour automobiles,etc. TRUFFAULT, suspension. — Voir Teue/eot. (.• I ulomobiles).
- TRUFFAULT tSyndical îles llrevels). Voir Charlas.
- M. .). Tiutt.u'lt
- TRUFFAUT (Geon/es), 90 bis, avenue de Paris, à Versailles (Seine-et-Oise). Tél.
- — Né à Versailles, le j3 mai 1S72. —- Officier d’Académie et du Mérite agricole. — Agronome chimiste. Vice-président du Club automobile de Scine-et-Oise. — A organisé le Concours des antidérapants, en ujo/j, et le Concours de tourisme, en njon, en Seine-et-Oise.
- TRUSQUIN. — Le Irusquin de mécanicien. appelé quelquefois Irousquin. est
- A, Irusquin ordinaire. tS, Irusquin de côté.
- formé par une tige d’acier, placée verticalement sur un lourd bloc de métal, et qui porte à angle droit une pointe à tracer pouvant se déplacer le long de cette tige. Le Irusquin sert à tracer, sur une pièce métallique placée sur le marbre, des lignes qui sont parallèles à ce marbre, on à prendre des hauteurs ou des dimensions rigoureusement exactes, lorsque la position de la pointe peut être réglée par une vis micrométrique.
- TRUSCOTT BOAT Mfg C°, construction de canots automobiles, Dept. 3G3, Saint-Joseph (Michigan), Etats-Unis.
- TUBE DE PLATINE. — Servait autrefois à l’allumage des moteurs à explosions, dits à brûleurs. - Voir Doirjl de plaline.
- TUBES DIVERS (acier, fer, cuivre). — Les tubes (l’acier sont étirés sans soudure ou soudés. Pour fabriquer les premiers, on part d’une masse ou culot embouti, présentant approximativement l'aspect d'un doigt de gant,, que l'on étire progressivement en le faisant passer à travers une bague appropriée. L'extrémité du culot est, coupée, et l’on obtient, par étirage ultérieur, le tube en longueur de j à (i mètres. -
- Les tubes soudés se fabriquent exactement comme les tubes en fer. Pour de grands diamètres, 011 peut rouler une tôle.-sur un mandrin et souder au chalumeau ou à l’électricité.
- Les tubes en fer sont, soudés par rapprochement ou encollage, et par recouvrement ou en biseau. Les premiers ont la section représentée ligure 1 ; la soudure a lieu par une amorce ordinaire. O11 les appelle quelquefois tuyaux étirés, ce qui est impropre. Les tubes à recouvrement (fig. 2) sont beaucoup [dus résistants et sont employés comme lu-
- Kig. 1 Fig. 2
- bes de chaudières. O11 peut en prenant des précautions les cintrer pour les employer en tuyauterie.
- Les tubes en cuivre sont brasés et sans soudure, et. leur fabrication est analogue à celle des tuyaux en fer soudés à recouvrement et à celle des tuyaux eu acier étirés sans soudure. On les emploie surtout pour la tuyauterie des machines et dans la construction soignée. On les assemble par brides à collet rabattu ou brasées pour les gros diamètres, et au moyen de raccords à écrous pour les petits diamètres.
- — On désigne quelquefois sous ce nom les pneumatiques spéciaux pour la bicyclette. O11
- ACCUMULATEURS “HEINZ
- 27, rue C&vé, LÏVALLOIS (Seine) UhI I
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- dit tube de course ou tube de route, suivant qu'il est destiné au sol des vélodromes ou aux routes ; dans ce dernier cas. il est toujours renforcé.
- TUBES (Société Française pour la Fabrication des), tubes en acier, à Louvroil (Nord) et G, rue de Châtcaudun, Paris. Tel. 319-73.
- TUBULURE. — On donne ce nom à un ensemble de tuyauterie qui a une fonction bien déterminée et qui se termine le plus souvent par des brides ou des écrous. Par exemple: la tubulure d'admission.
- TUDOR (Société Française de l'Accumulateur), 81, rue Saint-Lazare, Paris. Tél. 319-53. Adr. tél. Tudor-Paris. Usines : 3g, route d'Arras, à Lille (Nord). — Société Anonyme au capital de 1 Goo 000 francs. Président du Conseil d'administration : M. Célle-rier: administrateurs-délégués : .MM. Baux et IIumbcrt-Levallcy.
- TUNGSTÈNE (synonyme : Wolfram). — Corps simple métallique (symbole : Tu) extrait du icolfram (tungstate de fer et de manganèse minéralogique) ou de la scheclile (tungstate de calcium minéralogique), métal très peu fusible, employé dans la métallurgie du fer cl de l’acier pour obtenir des aciers très durs (acier au tungstène).
- TUNMER (.1.) et Cie, articles cl, vêtements de sports, 37, rue duQualrc-Septcmbre, Tél.aSG-O^; ijG, rue do la Pompe. Tél. G85-8G; et i/|, avenue de la Crande-Armée. Tel. 587-38, Paris.
- TURBEAUX (Alexandre^, garage, commerce d’automobiles, 7, place de Strasbourg, à Auch (tiers). Tél. )G. Adr. i l. Tu rbeau.r-Auch.
- TURBINES. — Moteurs livdrauliques à axe vertical ou lioripji^al, dans lesquels l'eau est, en mouveincnfj^jmr rapport, aux aubes (Vigrcux .- L'Art (M T Ingénieur). D'après la direction suivant laquelle l’eau agit, 011 les classe en turbines centrifuges, centripètes, parallèles ou mixtes suivant que l'eau s’écoule du centre à la périphérie, ou inversement, ou parallèlement à l’axe en suivant les deux directions simultanément. Les turbines sont à pleine injection ou à injection partielle suivant que l'eau arrive sur toute la circonférence de l'aubage ou sur une partie seulement. Les turbines, qui n’utilisent que la puissance vive de l’eau, sont les turbines d’action, et celles qui utilisent en outre et surtout sa pression sont les turbines de réaction.
- Dans toutes les turbines l'eau est amenée dans une partie lixe munie d'aubes directrices guidant l’eau à son entrée dans la roue mobile ou turbine proprement dite.
- Les turbines à réaction peuvent travailler noyées ou par aspirations. Les turbines à injection partielle doivent marcher hors de l'eau à cause de l'air contenu dans les canaux.
- Les inventeurs cherchent activement la
- turbine à explosions. O11 connaît déjà, en machine à vapeur, des turbines excellentes, notamment celles de Laval, de Parsons, de Rateaux, etc. — Le fluide agit dans ces turbines soit par sa force vive, soit par sa pression combinées.
- TURCAT {Léon), 1 j, rue Saint-Pierre, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tél. 588-44. — Né à Marseille, le 7 décembre 187).
- --- Co-gérant de la Société Tur-cal, Méry cl CA'.
- Administrateur de la Société Lorraine des Anciens Etablissements île Diélrich et C'". de Lunéville.
- TURCAT-MERY et C"
- (Ateliers de Construction d'Automobile s), moteurs et automobiles, 3, boulevard Michelet, à Marseille (Bouches-du-Rhône). Tél. 30-yG. Adr. tél. Turcatméry-Marseille. Société en commandite par actions, fondée en 1899, au capital de 35o 000 francs. — Conseil de surveillance : président : M. IL Estier ; membres : MM. Courtes, de Fareônnet, P. Fournier, 11. T 'uir.nl, Baron A. de Turckheim. — Gérants : MM. L. Turcal et S. .Méry. - Directeur commercial : M. !.. Bousquet.
- La Société construit des moteurs, des châssis automobiles [tour tourisme et commerce, et des moteurs pour canots ; elle a accordé sa licence à la Société Lorraine des anciens Etablissements de Diélrich pour la construction des modèles Turcat-Méry.
- TURCKHEIM (Baron Adrien de), 3, rue de la Ferme, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tél. 559-81. —
- Né en Alsace, en 18GG. —- Administrateur délégué de la Société Lorraine des anciens Etablissements de Dié-trich et C'ie, de L u n é v i 11 e . —
- Membre du Comité de I A. C.
- F., do la Commission Sportive, des Commissions, des Concours et des Expositions.
- — Licencié en droit. Entré comme associé dans
- M. Léon Tiugat
- Baron A. de Turckheim
- Les Automobiles “ L0RRA1NE-D1ETRICH ”
- SONT LES PLUS ÉCONOMIQUES ___ .
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- les ateliers de Lunéville de Diétrich en 1890, y créa la fabrication des aulomobiles en 1S9G, qui y a pris sous sa direction l'importance et la renommée que l'on sait.
- TURCK.HEIM {Baron Edouard de), à
- Daclistein (Alsace). — Né àSlras-b o urg, le 1 G février 1829. — Chevalier de la Légion d'honneur et de l'ordre du Medjidié. — Président de la Société ! lorraine des anciens Etablissements de Dié-trich et de Lunéville. — Ancien officier de marine ; membre de la Chambre de Commerce de Strasbourg.
- TURCKHEIM 1 Baron Eugène de), à Lunéville (Meurthe-et-Moselle). — Né à Nieder-bronn (Alsace), le 8 mai i8G5. — Administrateur-délégué de la Société Lorraine des anciens iJablissemenls de Diétrich et Cie> de Lunéville.
- TURGAN {Etablissements) Ltd, omnibus, camions, châssis, automobiles et moteurs, 9G, rue Antonin-Raynand, à Levallois-Pcrret (Seine). Tel. 5fïo-3G. — Société Anonyme au capital de 3 760 000 francs. Administrateur-délégué : M. L. Turgan.
- TURKHEIMER per Automobili e Velocipedi {Officine) , automobiles O. T. A. Y. et accessoires, 5, via G. Sirtori, à Milan (Italie). — Directeur technique : M. L. Lcquarré.
- TURICUM {Fabrique d'Aulomobiles), à Uster-Zurieh (Suisse).
- TURNER S MOTOR Mfg C\ Ltd,
- fabrique d'automobiles, à Wolverhampton (Angleterre).
- TUYAU. — Mot employé vulgairement en place du mot tube, dénomination plus «. scientifique ».
- — SunéiursE (La), fabrique d'enveloppes isolantes en liège pour tuyaux, 8, boulevard de Yaugirard, Paris.
- TUYAUTERIE. -- Ensemble de tuyaux. O11 dit par exemple : démonter la tuyauterie d'aspiration.
- TUYÈRE. — Pièce de fonte placée au centre ou sur le coté de la table d'un fourneau de forge, qui est percée d'un trou central. par lequel sort l’air comprimé par un soufflet ou par un ventilateur.
- Ce mot désigne tout ajutage servant, à l'écoulement d'un fluide en vue d’un effet déterminé : tuyère d'injecteur, tuyère de turbine, etc.
- TWENTIETH CENTURY Mfg C°,
- fabrique de lanternes, à New-York (Etats-Unis).
- TYPE DU VÉHICULE. — On sait (pie le constructeur doit faire vérifier par le Service des Mines les « types » d'automobiles qu'il construit. — Voir Réception de type.
- Par type d'un véhicule automobile, il faut entendre non seulement la nature de la source d'énergie, le système des appareils moteurs, mais surtout celui des organes de transmission, de freinage et de conduite. Ainsi, peuvent appartenir au meme type deux véhicules dont la carrosserie diffère, mais n’appartiennent pas au même type deux véhicules dont les freins ne présentent pas des dispositions entièrement similaires. D'une manière générale, l'unité de type suppose que l'accomplissement de chacune des mesures de sûreté prescrites par le décret du 10 mars 1899 (voir au mot Construction) est assurée par des moyens semblables et â des degrés équivalents.
- Un meme type peut comprendre des véhicules différant par les dimensions de leurs organes et la puissance de leurs moteurs, pourvu (pie les différences ne soient pas assez grandes pour altérer la manière dont ces véhicules satisfont aux prescriptions réglementaires.
- Toutefois, des véhicules qui, construits tout à fait, dans les mêmes conditions, donneraient des vitesses sensiblement différentes devraient être considérés comme types différents.
- Les Automobiles “ LORRAINE-DIETRICH ”
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- U. D. P. X. {Camions automobiles.) — Voir Usmes de Puteaux.
- U. F. B., pièces détachées. — Voir Uers-tal (J. et il. Gerkinet).
- U. F. B. (Allumage électrique). — Voir Usines Franco-Belges, Paris.
- ULLMANN (J.), accumulateurs, allumage électrique, iG, boulevard Saint-Denis, Paris. Tel. 1O1-10. Adr. tel. Ullmann-Elec-tricien-Paris.
- ULRICH, accessoires pour automobiles, i, Friedeustrassc, à Francfort-sur-le-Mein (Allemagne).
- UNDERBERG et Ci0, construction d’automobiles et de canots automobiles, marque « l'Hermine de Bretagne », rue de Coulmiers, à Nantes (Loire-Inférieure) ; et 4 R rue Saint-Ferdinand, Paris.
- UNIC (Automobiles), voitures Georges Bichard. — Siège social et Usines: i, quai National, à Puteaux (Seine).— Bureaux*. 108, rue Saint-AIaur, Paris. Tel. ()4o-3o. Adr. tel. Bicharunic-Paris. — Société Anonyme, au capital de 2 5oo ooo Tranes, fondée le 28 octobre 1904. — Directeur: M. Georges Richard; directeur commercial : M. Jules Bordeaux, ancien élève de l’Ecole Polytechnique.
- Caractéristiques des Automobiles « Unie » pour 1907 :
- Moteurs Cylindres Alésage. Course
- 10-12 chevaux 2 102 1 1 0
- 12-14 chevaux 4 1 10
- 1 G—20 chevaux 4 «7 1 10
- 2/j-3o chevaux 4 102 11G
- La voie est uniformément de 1 m. 28 ; Fem-
- pntlemcnt varie de 2 m. G85 à 2 m. 998. — La largeur des châssis est uniformément de 800 m/m. — Les boites de changement de vitesse comprennent, trois ou quatre vitesses sur les châssis i/j-iG chevaux. — Tous les châssis sont munis de ressorts à crosses et d'amortisseurs de suspension.— Transmission à cardan.
- Agents des Voitures « Unie » ;
- Départements : Avignon (Vaucluse) : Mathieu (et Ardèche, Drôme, Gard, Hérault).—
- / e Mans (Sartlie) : Uhabal, 82, rue de la* Pelouse. — Lille (Nord) : Dulieux et Gio, 38,. place du Theàtre, et Pas-de-Calais. — Lyon-(Rhône) : Cote et Chalandon, 19, 1 lace Belle-cour, et Ain, Isère, Loire, Puy-de-Dôme, Ilaute-Savoie et Savoie. — Marseille (Bouches-du-Rhône) : Bablot, 170, cours Licutaud, et Vaiv — Nantes (Loire-Inférieure) : Bertheau, 27, rue de Strasbourg.-—Nice (Alpes-Maritimes) Baudon, ô, rue Emma. — Paris (Seine) : Mathieu et Lennhard, 4<>, rue Saint-Ferdinand;, et Y Intermédiaire y 17, rueMonsigny.— llanu-bouillet (Scine-et-Oise) : Hamon, 9, rue de la Louvièrc. - Rouen (Seine-lnfér.) : Drance-(Adrien), RH, quai Gaston-Boulet. — Soissons (Aisne): Renée.— Toulouse (Haute-Garonne):, Fit te etDorne, Gi, boulevard Carnot, et Ariège, Haute-Garonne, Gers, Hautes-Pyrénées, Tarn, Tarn-et-Garonne. — Tours (Indre-et-Loire) Cottcret, 24, rue de la Scellerie.
- Etuanukh : Bucarest (Roumanie) : Leonida et Ciô, calea Victoriei, n° 18G. — Couvaloup-lAtusanne (Suisse) : Addor et Ci0 — Le Caire-(Egypte) : Loukaitis, Boulac Street.— Londres-. (Angleterre) : Mann et Overton's, 7, Lower Belgrave Street, et Etats-Unis. — Milan-(Italie) : Commoretti, 22, via Pisaeanc.
- UNIFICATION DES CHASSIS. —
- Le 8 juillet iqoô, la 90 section professionnelle-de la Chambre syndicale de l'Automobile a. adopté les bases d'un projet d'unification des principales cotes d'encombrement, des organes rentrant dans la construction des voitures automobiles. Ce mot unification ne doit pas être pris dans le sens interchangeabilité,, évidemment ; bonification 11e peut et.ro comprise q. ; e pour faciliter l'exécution des organes, ayant un point commun avec ceux d’un autre constructeur.
- Les membres de la 911'0 section ont étudié deux catégories principales :
- i° Les grosses voilures établies pour une-carrosserie confortable à grande entrée latérale et pouvant supporter, en dehors du poids, du châssis proprement dit, une surcharge de 1 000 à 1 200 kilogrammes, comprenant la carrosserie et les voyageurs, et susceptibles, d’etre actionnées par un moteur de 2/4. à 3o chevaux. Les cotes adoptées ont été : carrosserie de 2"',4oo avec cote langentielle de im,Goo. et roues de 880X I20*
- 20 Les petites voitures pour carrosserie à petite entrée latérale ou à siège pivotant.. Cette catégorie est prévue pour une surcharge
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- de Goo kilogrammes environ, comprenant la carrosserie et les voyageurs, et admet un moteur de 12 à 20 chevaux. Les cotes adoptées ont été : carrosserie de 2ra,200 avec cote tan-gentielle de i"\/|00 et roues de 810Xi)0*
- On s'est arrêté aux empattements suivants : gros châssis : 2m,Qr>o; petits châssis : 2m,5oo. La voie est iixée respectivement à im,/joo et ira,3oo. Quant aux largeurs de châssis, elles sont, établies pour les carrosseries à 900 millimètres avec rctreint de 800 millimètres pour les gros châssis et à 800 millimètres droit pour les petits. Les ressorts arrière ont été prévus en dehors du châssis, écartés de 5o millimètres du châssis, ce qui donne comme écartement de patins de ressorts im,ooo pour les gros et qGo millimètres pour les petits.
- Toutes les cotes d'unification se trouvent d’ailleurs sur les schémas insérés à la rubrique châssis, qui reproduisent les deux châssis types de la Chambre syndicale. 11 est bien entendu que ces cotes se comprennent aussi bien pour les voitures à cardans que pour les voitures à chaînes.
- UNION (Bougies). — Voir Rogers et Ci0, 1, rue Saint-Georges, Paris.
- UNION (Comjmgnie Française des Accumulateurs), i3, rue de Londres, Paris. Tel. 2 O/1-9 9.
- UNION, pneumatiques. — Voir Peler.
- Y
- UNION {Mo/cm *s). —Voir Chamoreauel Ma rtin.
- UNION (.Y/7 ru berger Motorfahrzengfa-bri/i), construction d'automobiles « Union », à Nuremberg (Allemagne).
- UNION AÉRONAUTIQUE, rue
- Léeluse, Paris.
- UNION DES CONDUCTEURS D'AUTOMOBILES. — Siège social :
- 18, rue Marbcuf, â Paris. — Cette Association, l'ondce en janvier 1900, a pour but de réunir les conducteurs-mécaniciens, (h* mettre en commun les connaissances et les relations de tous les membres qui en font partie, d'aider les adhérents à trouver du travail en cas de chômage, et de défendre les intérêts communs.
- Pour faire partie de la Société, il faut adhérer aux statuts, être majeur, être conducteur d'automobile, fournir de bonnes références et justifier du brevet de capacité et de connaissances mécaniques.
- Pour demander son inscription sur le registre des places disponibles, chaque membre doit : i° être porteur de son brevet de capacité ; 20 donner le nom et l'adresse de la dernière maison où il a travaillé et la date de sortie ; 3° donner des références ; 4° indiquer ses connaissances spéciales relativement aux différentes marques de voitures.
- Chaque membre de l'Union a le droit de
- consulter gratuitement l’avocat de la Société pour toutes les difficultés qui peuvent se présenter à lui. Il a droit également, à titre gratuit, à l'assistance de cet avocat pour plaider devant tous les tribunaux compétents, que rUnioniste soit demandeur ou défendeur.
- Les mineurs peuvent être admis lorsqu’ils sont munis de l’autorisation de leur père ou de leur tuteur.
- La cotisation est fixée à 1 franc par mois, l'adhésion à 1 franc et l'insigne â 2 francs, les versements devant être faits au siège social, du ior au 5 de chaque mois.
- Les propositions que les Unionistes peuvent avoir à faire aux deux assemblées générales annuelles, qui ont lieu le premier samedi de janvier et le premier samedi de juin, doivent être écrites et signées par celui qui les présente. Elles doivent en outre, à peine de nullité, être présentées au secrétaire quinze jours avant la réunion de l'une des assemblées générales.
- UNION DES SOCIÉTÉS FRANÇAISES de SPORTS ATHLÉTIQUES
- (par abréviation : U. S. F. S. A.), 34, rue de Provence, Paris. Tél. 233-o3. Adr. tel. Uni-S])orts-Paris.
- Cette Union, fondée en 1887, régit en France le sport amateurs et compte Go 000 membres. Elle fait paraître un Bulletin officiel et un Annuaire. Son président est M. Duvi-gneau de Lanneau.
- UNION NATIONALE du Commerce et de l'Industrie, 10, rue de Lancry, Paris. Tél. 2GG-/|3.
- UNION VÉLOCIPÉDIQUE DE FRANCE (par abréviation U. V. F.), Siège social : G, boulevard des Italiens, Paris. Tél. i/lfi-99. — Union fondée en 1881. — Organes: (( Bulletin officiel hebdomadaire » et (( Revue mensuelle illustrée ». Rédacteur en chef : M. Daniel Gousseau ; président : M. Louis d’iriart d’Etchepare; vice-présidents : MM. Paul Rousseau et Colly; secrétaire général : M. Raoul d’Arnaud; membres: MM. Breton, Chollet, Duchesne, Crinon, Delamare, .losset, Paulin-Méry, Rigucllc, de Rouvre. Roy, Schra-dcr. — Commissions : M. Riguelle, commissaire général des Epreuves officielles de l’Union ; ’M. Jossct, secrétaire général des
- Epreuves officielles; M. Georges Duchesne, consul général; M. Léon Breton, président de la Commission sportive; Me Audoin, président, de la Commission judiciaire.
- L’U. Y. F. représente le Sport cycliste français. — Cotisation des cyclistes individuels : G francs par an. — Cotisation des Sociétés : 20 francs par an.— L’Union vélocipédique de France régit le Sport vélocipédique en France. Elle a eu successivement pour présidents MM. Pagis, Georges Thomas et d’iriart d'Etche-pare.
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- UNITÉS. — Los unités C. G. S. et pratiques des principales grandeurs et quantités physiques sont les suivantes :
- Quantités géométriques et fondamentales.
- Longueur : unité G. G. S. — Le centimètre.
- — unité pratique. — Le mètre. Surface : unité C. G. S. — Le centimètre
- carré.
- Surface : unité pratique. — Le mètre carré. Volume : G. G. S. — Le centimètre cube.
- — pratique. — Le mètre cube. Angles : G. G. S. — Le radian (5j° 17’ 44”)-
- — pratiques. — Degré, minute et seconde.
- Temps : G. G. S. — La seconde.
- — pratique. — Minute et heure. Masse : G. G. S. — Le gramme.
- — pratique. — Le kilogramme.
- Capacité : litre.
- Monnaie : franc.
- Densité : unité C. G. S. — Gramme masse par centimètre cube.
- Quantités mécaniques.
- Vitesse : unité G. G. S. — Centimètre par seconde.
- Vitesse : unité pratique. — Mètre par seconde, kilomètre à l’heure.
- Vitesse angulaire : G. G. S. — Le radian.
- —- pratique. — Tours par
- minute.
- Accélération : G. G. S. — Centimètre par seconde par seconde.
- Accélération : pratique. — Mètre par seconde par seconde.
- Force : G. G. S. — Dyne.
- — pratique. — Kilogramme.
- Travail : G. G. S. — Erg.
- — pratique. —- Kilogrammèlrc.
- — — Cheval-heure.
- — — Ponc.elct-heure.
- Puissance : C. G. S. — Erg par seconde.
- — pratique. — Kilogrammètrc par seconde.
- Puissance : pratique. — Cheval-vapeur : kilogrammètres par seconde.
- Puissance : pratique. — Poncelet : 100 kilogrammètres par seconde.
- Puissance : pratique. — Ilorse power (Angleterre) : 70,9 kilogrammètrc par seconde.
- Pression : C. G. S. — Dyne par centimètre carré.
- Pression : pratique. — Kilogramme par centimètre carré.
- Quantités physiques (non comprises dans le système C. G. S.).
- Température : unité. — Degré.
- Echelle centigrade. — o° glace fondante.
- — ioo° eau bouil-
- lante, à la pression de 7G0 mf".
- Echelle Réaumur. — o° glace fondante.
- — 8o° eau bouillante, à
- 560
- Echelle Farcnhcit. — 3a° glace fondante. —• a i2° eau bouillante
- à 7G00 m/m.
- Echelle absolue. — o° correspond à — zyS0 centigrades. — Le zéro absolu est l’inverse du coefficient de dilatation des gaz.
- Chaleur. — Petite calorie (gramme-degré).
- — Grande calorie (kilogramme-
- degré).
- Equivalent mécanique de la chaleur, *-Nombrc, donc il n’a pas d'unité. Rapport de 1 calorie (kg. d) i kilogrammètrc |2'3’
- Quantités magnétiques.
- Intensité do champ magnétique : unité G. G. S. — Gauss.
- Induction magnétique : G. G. S. — Gauss.
- Flux de force magnétique : G. G. S. — Weber.
- Quantités électromagnétiques.
- Résistance : unité pratique. — Ohm.
- Résistivité : — — Ohm-centi-
- mètre.
- Conductance : — — Mlio.
- Force électromotrice, différence de potentiel : unité pratique. — Volt.
- Intensité : unité pratique. — Ampère.
- Quantité d’électricité : unité pratique. — Coulomb.
- Quantité d'électricité : unité industrielle. — Ampère-heure qui vaut 3 Goo coulombs.
- Capacité : unité pratique. — Farad.
- Energie ou travail électrique : unité G. G. S..
- — ,Erbr’ . „ ...
- Energie ou travail électrique : unité pratique. — Joule, ou 1/981 kilogrammèlrc.
- Energie ou travail électrique : unité industrielle. — Watt-heure (3 (ioo joules).
- Puissance électrique : unité G. G. S. — Erg par seconde.
- Puissance électrique : unité pratique. — Watt.
- 7.3G watts = 1 cheval-vapeur.
- 981 watts 1 poncelet.
- Force înagnétomotrice : G. G. S. —Gilbert.
- — pratique.— Ampère-tour.
- Induction : G. G. S. — Centimètre.
- — pratique. — llenry.
- UNITÉS. — Voir Abréviations d’unités et Systèmes.
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- UNIVERS AUTOMOBILE (L'), garage, eoimnerec d'automobiles, 2.4, rue Boc-«sador, Paris.
- UNIVERSEL, cric. — Voir Michaud, à Aigre (Charente) ; et Mestre et Blatgé, Paris.
- UNIVERSELLE, machines à aduler.— Voir Sapène et O, Paris.
- UNTERBERG et HELMLE, fabrique «le magnétos, G, Baclistrasse, à Karlsruhe '(Allemagne).— Agent général : M.Mullot, 79, rue de Dunkerque, Paris.
- UPTON MOTOR C°, automobiles, à Lcbanon (Pensylvanie), Etats-Unis.
- URSUS, marque de fabrique, pour les pièces détachées, de la -Maison C/iavanel, de Saint-Etienne.
- URSUS, pneu-cuir. — Voir Ménégault-liassct.
- U. S. F. S. A. — Abréviation de Union des Sociétés Françaises de Sports Athlétiques.
- USINES DE PUTEAUX, construction de camions automobiles (marque U.D.P.X.), 4, rue de Paris, à Puteaux (Seine).
- USINES FORÉZIENNES. — Voir Gros, à Saint-Etienne.
- USINES FRANCO-BELGES, allumeurs électriques, lanternes, 148, rue du Kaubourg-Sainl-Dcnis, Paris. Tél. 420-07.
- USURE. — L’ usure qui résulte du fonctionnement même d’un mécanisme produit un jeu qui peut devenir nuisible et doit être constamment compensé. — Voir Jeu utile et nuisible.
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- commerce d’automobiles, à Cologne-sur-le-Rhin (Allemagne).
- U. V. F. — Abréviation de Union Véloci-pédique de France.
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- V
- V. — Symbole de volume, v. — Symbole de vitesse.
- \J et \f. — Sy:
- mboles de racine car-
- rée.
- 31
- 7
- V . —• Symbole de racine cubique.
- V à tracer. — Voir Cale à tracer.
- V (Moteur en) .—Les premiers moteurs à deux cylindres de Daimler et de Panhard-Lcvassor avaient leurs 2 cylindres placés verticalement et faisant entre eux un angle aigu qui leur donnait l’aspect d'un grand V ; d’où leur nom spécial de moteurs en V.
- Les moteurs en V s'emploient surtout actuellement sur les motocyclettes puissantes. Pour ctre dans les meilleures conditions d’équilibrage, l’angle du V doit être aussi réduit que possible ; on le l’ait généralement égal à 45u.
- La voiture de course de Darracq qui était (au Ier janvier igoü) recordman du kilomètre (17/r km. 707 à l'heure), avait son moteur huit-cylindres en V. — Voir la description dans Omnia, n° 2.
- VACCAROSSI Frères, directeurs de Aqenzia Italiana Pneumalici Michelin.
- VACUUM OIL COMPANY, lmiles-pour moteurs, à Hambourg, Berlin (Allemagne) : Gènes (Italie) ; Rochester (Etats-Unis).
- VADON (C.), moteurs ; et préservateurs de pneumatiques « Le Jupiter », marque C. V., 17, rue du Musée, à Lyon (Rhône).
- VALBENOITE (Forges de), pièces de l’orge, 19, rue Tréfilerie, à St-Elienne (Loire).
- VALE (Bougie pour magnétos), 97, rue Saint-Lazare, Paris. Tel. i3i-g3.
- VALENCE ou ATOMICITÉ (Chimie
- générale). — On appelle valence ou atomicité d’un corps simple la quantité de volumes ou d’atomes d’hydrogène qu’ils peuvent lixer pour former des combinaisons saturées, l’hydrogène étant pris comme unité.
- VALENSIN, garage, commerce d'automobiles, via Innocenzo Erugoni, à Gènes (Italie).
- VALENTIN, garage, 17, rue Pierre-Nicole, Paris.
- VALERI, garage, commerce d’automobiles, rue de l'IIôtel-des-Postes, à Nice (Alpes-Maritimes).
- VACHE. — Expression vulgaire d’atelier pour désigner le soufflet de forge, qui est actionné soit par un manche appelé branloirc, soit par une corde ou une chaîne; d’où l’expression : « Tirer la queue de la vache ». — Ce mot vache dérive de la peau qui constitue le soufflet.
- — Vache, cuir servant pour la garniture des caisses de carrosserie : vache à garniture.— Cuir servant pour les capotes : vache à capote. — Cuir servant pour les ailes et les bajoues : vache vernie.
- VALETTE (Comte Henri de La), G, place de la Madeleine, Paris. Tel. 2.43-g4. — Né à Paris, le au avril 18(12. —- Officier d’A-cadémie. — Ingénieur des Mines. Fondateur du Laboratoire d’Electricité industrielle, au Conservatoire des Arts et Métiers. Ancien secrétaire technique de L’A. C. F., membre du Conseil d’administration de l’A. C. F. depuis l’origine ; membre du Comité technique du T. C. F. ; membre de la Commission extraparlementaire des Automobiles. Fondateur de VAéro-Club, etc,
- VACHEY, 1 ours à tremper et à recuire, 177, boulevard de la Gare, Paris. Tel. 8oi-i(i.
- VACUUM MOBILOILS, lmiles et raisscs pour moteurs, Norfolk Street, à ondres W. C. (Angleterre).
- VACUUM OIL COMPANY (Société Anonyme Française), huiles pour moteurs, 34, rue du Louvre, Paris. Tel. 23o-53. — Succursales à Lyon, Marseille, Rouen, Lille, Belfort, Bruxelles.
- VALETTE ( L. ) et LECOURT
- (Lucien), moteurs, 89, avenue de la République, Paris. Tel. q2i-5i.
- VALKYRIE (Société Parisienne de Voitures). 131, route d’Orléans, à Montrouge ^Seine). Tel. 91-Montrouge.
- VALLÉE (U.), phares, 38, rue Fontaine, Paris. Tél. 229-13.
- VALLERIE, garage, commerce d’auto-
- AUT0IÏ10BILE5 IWI rimri IM 32 bis, Rue DesrenaudesH
- de Ville et de Tourisme IVI . LU U LLI 11 PARIS - Télépib 589-74 I
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- VAL — 682 — VAL
- mobiles, boulevard du Ronceray, à Angers (Maine-et-Loire).
- VALLET, canots automobiles, 20, quai de Billancourt, à Billancourt (Seine).
- VALLIÈRE, soudure autogène, 2/1.1, avenue Daumesnil, Paris. Tel. 921-99.
- VALLORBE ( Us in es Met al lu rrj iques de), lubrique de machines-outils et d'outils, à Vallorbe (Suisse); et 28, boulevard Magenta, Paris. Tel. 487-19.
- VALVE. — T orme général désignant un obturateur qui se déplace autour d’un point
- J .G
- CoUPK l)’uNK VALVE DK PNEUMATIQUE MlCHELIN
- A, enveloppe. - B, chambre à air. — G, croissant do protection. D, crochet de la jante. — K, bourrelet. — F, jante acier. — G, jante en bois. — II, rondelle cuivre. — I, bague en cuir. — J, corps do valve. — K, rondelle de caoutchouc. L, écrou. — M, aiguille.
- — N, chapeau du bouchon. — O, tige.
- — P, disque caoutchouc. — I\, pièce centrale. — S, capuchon. - T, obus.
- — U, grand écrou. V, rondelle do caoutchouc. — X, écrou.
- fixe (en son centre ou à une de ses extrémités). 11 ne faut pas confondre une valve et
- une soupape. Toutes deux font partie de la famille des obturateurs. On classe les obturateurs en obturateurs à levée parallèle (soupapes), à levée angulaire (clapets ou valves), en obturateurs glissants (tiroirs), et en obturateurs oscillants (papillon) (voir Soupapes, Clapets, Tiroirs). La ligure ci-contre représente schématiquement une valve à papillon, obturateur auquel on réserve plus spécialement le nom de valve en pratique : G est le conduit cylindrique à obturer; la valve A se compose d'un disque rodé, traversé suivant son
- a papillon diamètre par un axe B sur lequel il est fixé et qui sert à la manœuvre de l’extérieur. Entre des positions extrêmes (parallèle et perpendiculaire à l'axe), le disque donne tous les degrés de résistance voulus et permet par suite de régler entre zéro et le maximum le débit du iluide qui circule dans la conduite. En raison du faible eflort qu’exige leur manœuvre, les valves à papillon sont souvent employées comme organes de réglage dans des moteurs où elles sont sous la dépendance du régulateur. «
- — Dans l’industrie du pneumatique, le mot valve est très employé. Son sens est d’ailleurs défiguré, mais le mot s’est définitivement installé dans cette acceptation. La valve est à proprement parler l'ensemble métallique et plastique qui empêche l’air, une fois entré dans la chambre d'un pneumatique, d’en ressortir. On doit entretenir avec le plus grand soin la valve, la moindre saleté pouvant gêner l’occlusion complète qui doit être produite par le clapet (voir ce mot) qu'elle renferme.
- 11 existe deux sortes de valves : les courtes ou les longues, suivant qu’elles sont employées pour des jantes métalliques ou pour des jantes d’acier garnies de bois, ce dernier cas étant ordinaire pour toutes les voitures modernes.
- Les pneumatiques Michelin sont, munis de valves Michelin. Ces valves sont d’un modèle unique pour la voiture. Pour le vélo, il y a deux sortes de valves : la valve 1898, dite Terminus, entièrement démontable et la valve 190/1, entièrement métallique.
- — Beugougnan et Gi0, «à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- — Binet et Gl°, 6, rue de Jarentc, Paris.
- — Continental (Société), 18, rue Brunei, Paris.
- *— Dunlop, i4, rue Piecini, Paris.
- — Michelin et Cl°, «à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- — Wolijeh (Manufacture), 7O, rue des Arts, a Lcvallois-Perret (Seine).
- VALVE-OIL, 1 mile minérale. — Voir Burckhardt, Paris.
- MANÈGE PETIT LEC0NSbVdEyclEtte
- 23, Champs-Elyséss
- PARIS
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- VALVOLEÜM, huile minérale, 2G, rue ) de Trévise, Paris. Tel. 2gG-8G.
- VALVOLINE. — Désignation commerciale des huiles minérales pour le graissage des machines.— Voir Ilctmelle (Henry).
- VAN. — V oiture longue, spéciale pour le transport des chevaux de course.
- VANADIUM. — Corps simple métallique, voisin du bismuth et de l’étain, très peu usité. Quelquefois employé dans la métallurgie de l’acier.
- VANDELET, triear « Stimula», 3, boulevard Montparnasse, Paris.
- VAN DEN HENDE (A .), carrosserie automobile, commerce d'automobiles, 43, boulevard Gambetta, à Roubaix (Nord). — Maison fondée en 18/(7.
- VAN DEN PL AS, carrosserie automobile, commerce d’automobiles, G, rue des Drapiers, à Bruxelles (Belgique). Tél. /176a.
- VANDERBILT (William K., Junior), fondateur de la Coupe Vanderbilt, GG7, 5 th. avenue, New-York (Etats-Unis).
- VANEAU (Grand Garage), 38, rue Vatican, Paris. Tél. 722-20.
- VANHAMME, garage, commerce d'automobiles, rue du Sud, à Dunkerque (Nord).
- VANLAETHEM (Ernest), commissionnaire en marchandises, pièces détachées pour automobiles. 85, avenue de Neuilly, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- VANLAETHEM (T.),moteurs « Pineau »,
- /|, rue du Débarcadère, Paris.
- VAN LANGENDONCK , commerce d’automobiles, 44, rue de Brabant, à Bruxelles {Belgique).
- VANNE. — Cloison mobile qui peut, à la volonté du conducteur, obturer un tube et empocher, dans une proportion plus ou moins grande, l'arrivée d’air au carburateur ou l’arrivée du mélange explosif au moteur.
- VANNIER, garage, commerce d’automobiles, rue du Sud, à Châteaudun (Eure-et-Loir).
- VANVOOREN, carrosserie automobile, 33, rue Marbeuf, Paris.
- VAPEUR. — On appelle vapeurs les fluides élastiques produits par les corps liquides ou solides à la température ordinaire et sous la pression atmosphérique. — Le passage de ces corps «à l’état, gazeux constitue la vaporisation. Il a lieu à toute température pour la plupart des liquides, ainsi que pour quelques solides qui se subliment avant de se liquéfier (iode, camphre).
- La vaporisation d’un liquide ordinaire s’el-l'ectue de deux manières différentes : l'évaporation, ou production lente des vapeurs à sa surface lorsqu’on l’abandonne à l’air libre ; et, l'ébullition ou production intense de bulles de vapeur au sein du liquide chauffé. Sous une pression donnée, l’ébullition a lieu pour chaque liquide à une température constante, sa température d’ébullition qui peut servir en certains casa le caractériser. Sous la pression atmosphérique, la température d’ébullition de l’eau pure est de ioo° C.— D’une façon générale, la température d'ébullition est telle que la force élastique maxima de la vapeur est égale à la pression qui s’exerce à la surface du liquide (dans le cas précédent, la pression atmosphérique). — Voir Tension de vapeur, Surchauffe de la vapeur. —Voir le volume Eléments d'automobile, par B. de S.
- Voitures à vapeur :
- — Puuhky (V.), 21, boulevard J.-J.-Bosc, à Bordeaux (Gironde).
- VAPORINE, essence. — Voir Lille cl Bannières (Société Anonyme de).
- VAPORINE, lmile minérale. — Voir Claudy, à Lyon-Villeurbanne (Rhône).
- VAPORISATION. — Transformation d’un corps liquide on solide en vapeur, avec ou sans concours de la chaleur.— Voir Vapeur et. Chaleur latente de vaporisation.
- VAR SPORTIF (Le), journal , rue Pierre-Clément, à Draguignan (Var).Directeur : M. Pli. Jumaud.
- VARENNES (llené), .jo, avenue Fla-cliat, à Asnières (Seine). Tél. 3/j. — Né à Vilry-le-Erançois (Marne). Ingénieur civil ; secrétaire du Comité technique du Touring-Club de France. Un des membres fondateurs de l’A. C. F. ; s'occupe d’automobile depuis 1892. Ancien collaborateur au Vélo pour la chronique automobile, qu’il signait du pseudonyme « llervé-Le.frane ». Auteur de plusieurs études techniques sur les locomotives et les automobiles.
- VARIATEUR DE VITESSE. — Voir Fouillaron, 54, rue de Villiers, à Levallois-Perret (Seine).
- VARLET (Amèdée-Pierrc), 28, rue Bertrand, Paris. — Né à Paris, le 23 juillet 1803. Chevalier de Saint-Georges. Ingénieur de la Delahaye and C°, Limited. Vice-président de la Chambre syndicale de la navigation automobile. Ancien ingénieur à la Compagnie Edison ; ancien ingénieur à la Société de mécanique industrielle d’Anzin.
- VARRET (II), bobines et magnétos, 42, rue Voltaire, à Levallois-Perret (Seine).
- AINES
- pour Omnibus
- CÔIHIQT - PARIS
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- VASELINE (synonymes : pélrolinc, pé-troléine). — Hydrocarbure pâteux extrait vers la fin de la distillation des pétroles ; présente chimiquement de grandes ressemblances avec la paraffine (voir ce mot) ; sert comme lubrifiant. On distingue commercialement les vaselines brune, blonde et blanche.
- VASSEUR, garage, commerce d’automobiles, rue du Pont-Ravel, à Bernay (Eure).
- VASSEUR, garage, commerce d'automobiles, rue Singer, à Caen (Calvados).
- VASSEUR, machines-outils, i4a, rue du Faubourg-Saint-Denis, Paris.
- VASSEUR et Ci0, accumulateurs électriques, a5, boulevard de Bclleville, Paris.
- VASSON, rep résentant de Péchenart et Vasson, 198, boulevard Pércirc, Paris.
- VAULX (Comte llcnri de La), mo, avenue des Champs-Elysées, Paris. Tél. 585-oo. — Né à Bierville, le 2 avril 1870. Vice-président fondateur de F Aéro-Club de France ; vice-président de la Fédération aéronautique internationale. A fait de nombreux travaux sur l’aéronautique et plusieurs expériences d’aérostation. Recordman du monde pour les voyages aériens de durée et de distance.
- VAURS, carburateurs à réglage d’admission, 88 bis, rue Brunei, Paris. Tél. 0.47-69.
- VAUSSY, commerce de cycles et d’automobiles, place du Théâtre, à Caen (Calvados).
- VAUTIER et C", construction de machines-outils, à Maubcugc (Nord); et 22, rue de Paradis, Paris.
- VAUTOUR, moteurs. — Voir Tourand (A.) et C10.
- VAUTRIN, dépôt et réparations des bougies « Pognon », 35, rue Brunei, Paris. Tél. 534-8/j.
- VAUZELLE (E.) et C'°, pièces détachées et accessoires. Voir Potier (IL), Martin et Taclet, successeurs.
- VA VON Fils.fabriq ne de limes, 46, rue de Lyon, Paris. Tél. 941-74.
- VAYSSIÉ, commerce d’automobiles et de cycles, 78, rue du Palais-de-Justice, à Melun (Scinc-cl-Marne).
- VECCHI (De), STRADA et C1", construction d’automobiles, à Milan (Italie).
- VÉCRINGER, caoutchouc manufacturé, .876, rue Saint-llonoré, Paris. Tél. 241-6-.
- VECTEUR. -- Nom donne, en mathématique et en mécanique, à un segment d'une droite, où l’on fait intervenir, en dehors de la notion de longueur, celle du sens, positif ou
- négatif. C’est ce qu’on appelle une droite dirigée. La notion des vecteurs rend de grands services dans l’étude des projections et surtout en cinématique.
- VEDETTES AUTOMOBILES (Société Anonyme des), 65, rue de la Victoire, Paris. Tél. 217-16. Adr. tél. Jovis-Paris. — Société Anonyme, au capital de 5oo 000 francs, constituée en vue do construire et livrer aux exploitations locales des vedettes marines et chaloupes à pétrole économiques.— Président du Conseil d’administration : M. Henry Dcutscb, de la Meurthe; administrateur-délégué : M. Henry Kapfercr. — Directeur : M. Marcel Plcssix.
- VE DIE , manufacture de limes, rue Léon-Gambetta, à Saint-Symphoricn, près Tours (Indre-et-Loire).
- VÉDRINE (Paul-Auguste), 5o, boulevard du Château, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tél..582-87. — Né à Paris, le 20 février 1869. Officier d’Académie ; chevalier du Mérite agricole. Directeur général de la carrosserie A. Védrine et C°, Ltd; administrateur de la Société lyonnaise de carrosserie automobile, modèles A. Védrine et Ci0, â Lyon. Administrateur de la Société les Successeurs de Belval-lette Frères, à Paris ; président du Conseil d’administration de la Société des voitures électriques A. Védrine, à Neuilly-sur-Seine. Président de la Chambre syndicale de la Navigation automobile, à Paris.
- F o n date u r c I; ancien directeur commercial do la Société des cycles et automobiles G e orges Richard.
- A fondé la carrosserie A. Védrine et Ci0, en 1899 ; a transformé cette société en société anonyme cl en a été nommé d i r e c t c u r général en avril igo5.
- VÉDRINE (H.) (Société Anonyme des Voilures électriques), 5g, boulevard du Château, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tél. 582-87. A'dr. tél. Silencieuse-Ncuilly. Garage ; 22, rue Chalgrin, Paris. Tél. 676-88. Adr. tél. Silencieuse-Paris. — Société Anonyme par actions, fondée le icr octobre 19o/|, au capital de 600 000 francs. Composition du Conseil d’administration ; M. A. Védrine, président; administrateur-délégué : M. P. Bary ; administrateurs ; MM. Auvillain et Bonjean.
- ILES PREMIERS HORS CONCOURS PARIS 1900
- LES SEULS | GRAND PRIX I LIÈGE 1905 B
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- VÉDRINE (A.) et C°, Ltd, carrosserie de luxe pour automobiles, •j, quai de Seine, à Courbevoie (Seine). Tél. 562-62 et 519-88. Adr. tél. Védrine-Courbevoie. — Société Anonyme, fondée le i3 avril 190b, au capital de 3 260 000 francs. Le Conseil d’administration est composé de MM. A. Védrine, A. Darracq, Cb. Jarrott, M. Ulcoq, C. Bloch, W. Steed-mami. Directeur général : M. A. Védrine; directeur commercial : M. F. Auvillain.
- VEEDER Mfg C°, compteurs, 22, Sar-£63111 Street, à Hartford (Connecticut), Etats-Unis. — Voir Mur/d et C°, Paris.
- VEHICLE EQUIPMENT C°, commerce de voitures électriques et d'accessoires, Bordcn avenue, Long Island City (N.-Y.), Etats-Unis.
- VEILLET (Cyrille), rue Saint-Genès, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme). Officier d’Académie. — Ingénieur, chef de la fabrication des pneumatiques aux Etablissements Bergougncin el C'°.
- VELO (Le), journal quotidien, aujourd’hui disparu. — Le Vélo a été fondé en 1896 par MM. Pierre Gill'ard et Paul Rousseau.
- VELOCE - CLUB (Hw), vêtements de sports, 21, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tél. 509-19.
- VELOCEMAN. — Homme qui « fait du vélocipède ». — Au féminin, veloccwoman; au pluriel, veloccmen et velocewomen.
- VÉLOCIMANE. — Machine cycliste actionnée par les mains d’un coureur.
- VÉLOCIPÈDE. — Le célerifère, construit sous la Révolution, perdit rapidement son nom; il fut appelé d’abord vélocifère {velox, vite, et celer, rapide), puis enfin vélocipède (qui marche d’un pied rapide).
- Ce nom de vélocipède, datant des premières années du xix° siècle, est encore employé actuellement en style administratif pour désigner tous les instruments cyclistes mus par la force humaine.
- VÉLODROME D’HIVER, à la Galerie des Machines (Champ-dc-Mars), Paris. Tél. 716-79.
- VELOX, motocyclettes et moteurs. — Voir Levraux, Paris.
- VENDOME-AUTOMOBILE, garage, commerce d’automobiles, 22, place Vendôme, Paris. Tél. 124-26.
- VENIR DE FONTE. — On dit que
- telle ou telle partie d’une pièce mécanique est « venue de fonte » lorsqu'elle a été coulée en même temps que la pièce principale, et qu’elle n’a pas été rapportée sur elle après coup. C’est ainsi que les ailettes, par exem-
- ple, sont presque toujours venues de fonte avec les cylindres d’un moteur.
- VENTE D AUTOMOBILE. — Toute personne vendant une automobile doit remettre à son acheteur, en même temps (pie cette voiture, d'abord la pièce établissant que la réception du type du véhicule par le Service des Mines a réellement eu lieu, car l’absence de cette pièce pourrait donner lieu à la résiliation de la vente. Si la voiture a déjà été mise en circulation, le vendeur doit remettre en outre à l’acheteur le récépissé de déclaration qui lui a été remis par le Préfet (carte grise) et sur lequel figure le numéro d’ordre ou la mention « néant », suivant le cas; en effet, ce numéro d’ordre est. attaché non à la personne qui possède l'automobile mais à l’automobile elle-même.
- Le vendeur fera bien, afin d'éviter tous ennuis à l’avenir et notamment afin d’éviter d’èlre inquiété dans le cas de contravention au vol, d'aviser, soit verbalement, soit par simple lettre, la Préfecture où a été faite la déclaration, du changement de propriétaire que subit sa voiture.—Voir Occasions, Retards de livraison, Vices de construction.
- — Bousquet et Cl0, 9.“), avenue des Champs-Elysées, Paris.
- — Pahis-Auto.mohilk, 5>o, rue d'Anjou, Paris.
- — Srnux, a.j, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- VENTILATEURS. - Ap pareils servant à déplacer l'air en lui communiquant une force vive, transformée en pression par l’in-termédiaire d’une roue à hélice ou d’une turbine. Les ventilateurs se divisent en deux classes : les ventilateurs hélicoïdes et les ventilateurs centrifuges.
- Les ventilateurs hélicoïdes (fig. 1) sont formés d’ailes hélicoïdes fixées à un moyeu
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- K,fh «
- Ventilateurs HKLicoïni:s
- et tournant dans une enveloppe cylindrique. Ils agissent en déplaçant l’air de la meme façon qu’une hélice de navire déplace l’eau. Les ailes se vissent en quelque sorte dans l’air, et, comme elles ne peuvent se déplacer longitudinalement, c’est celui-ci qui traverse
- ]
- Pile sèche hellesen
- 26y Boulevard Magenta PARIS
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- l'appareil. L’emploi d’une enveloppe cylindrique laissant le moins de jeu possible augmente beaucoup le rendement en supprimant les remous qui sans cela se produiraient à la circonférence.
- Les ventilateurs centrifuges sont d’un grand nombre de types. Nous ne décrirons que le type classique duquel dérivent tous les au-
- i’îtf. 3
- V\g. 2
- VkNTII.ATKUIV A TUilUlNK YkNTI LÀTEL’R SOUFFLANT
- très. La figure 2 le représente schématiquement. La turbine A, montée sur l’axe B porté par deux paliers, et commandée, par exemple par une courroie, tourne dans une enveloppe en tôle C en forme de volute et dont la section croit uniformément jusqu'à celle de la tubulure de refoulement (ligne de droite). L’air est aspiré par des ouïes ou ouvertures percées de chaque côté dans l'enveloppe, et entraîné par les aubes courbes de la turbine où il 'acquiert une force centrifuge suffisante pour s'écouler par la tubulure de refoulement. La pression dépend à la lois de la vitesse angulaire, du diamètre et du rapport qui existe entre le diamètre des ouïes et celui de la turbine. — Les ventilateurs centrifuges sont aspirants lorsqu'ils prennent l'air dans une enceinte, par une conduite plus ou moins longue, et le rejettent directement, dans l'atmosphère par toute leur périphérie. Ils sont soufflants lorsqu'ils prennent l’air dans l'atmosphère par leurs ouïes et le refoulent dans une conduite. Ils sont aspirants et soufflants lorsqu'ils sont intercalés entre deux conduites, l’une d'aspiration, l'autre de refoulement. Les ventilateurs centrifuges se prêtent facilement à la production des grands débits ou des grandes pressions; leur emploi est. général : forges, fonderies, hauts fourneaux, mines, ventilation.
- VÉRASCOPE (Le) (Jules Richard), appareils de photographie, 25, rue Mélingue, Paris.
- VERDEL-VERMEL , commerce d'automobiles et de cycles, i, Grand'Plaee, à 13a-paume (Pas-de-Calais).
- VERDOL( Accumulateurs), iG, rue Du-mont-d'Lrville, à Lyon (Rhône).
- VERDON, bandages en caoutchouc « la Bande Française », 20, rue Brunei, Paris. Tél. 5/|G-/) i.
- VE REIN I GTE BENZINFABRI-KEN, essence minérale « Stellin », à Altona (Allemagne).
- VEREINIGTE BERLIN - FRANC-FURTER GUMMI-WAREN F ABRI-KEN, fabrique des pneumatiques « Veritas »y à Franclbrt-sur-le-Mcin (Allemagne).
- VERGNE, fonderie de fer, 23, rue de Paris, à Pantin (Seine). Tél. 4I5~45.
- VÉRIFICATEUR. — On désigne sous ce nom tout instrument : gabarit, lunette, tampon, mesure, etc., servant à se rendre compte de l’exactitude des pièces mécaniques, après ou pendant leur fabrication.
- VÉRIN. — Cric de grande puissance basé sur l’emploi d'une vis. — Voir ce mot.
- VERITAS, automobiles, 7,
- Gallusst rasse, Francfort - sur -Mein (Allemagne).
- VERITAS, pneumatiques.
- —Voir!r ereinig te-Rer Un-Franc-fur 1er Gunimi Waren F abri-ken; et Storr (Hugo), Paris.
- VERLY (Victor), commerce d’automobiles, place du Nouveau-Quartier, à Mulhouse (Alsace).
- VERMOREL, construction de moteurs à essence, à Villefranche-stir-Saône (Rhône). Tél. 24.
- VERMOT (Société Ch.), fabrique d’essieux, ressorts, roues et ferrures. Usines à Chatcnois (Territoire de Belfort) ; et 3o, rue Renncquin, Paris. Tél. ÔoG-Zp.
- VERNET, construction de machines-outils, 4* nie de Colmar, à Dijon (Côte-d’Or). Tél. 1-28.
- VERNEUIL, commerce d’automobiles,, quai Sainte-Catherine, à Honneur (Calvados).
- VERNIN, DELAIGUE et Ci0, lunettes, pour automobilistes, n, rue Portefoin, Paris.
- VERNIS. — Dissolution de résines dans différents dissolvants tels que l'alcool, l’essence de térébenthine, les huiles siccatives,, les benzols, le chloroforme.
- Les différents vernis à l’alcool, gras, etc., sont employés pour brillanter les caisses de la carrosserie automobile, vernir les ferrures ou cuivres, etc. — Voir les Recettes du Chauffeur, par B. de S.
- VÉRON et Cle, fonderie de fer et d'aluminium, à Sainte-Suzanne (Doubs).
- VERPILLEUX Frères etC % à Loret'.o (Loire). Tél. i4 Rive-de-Gier. Adr. tél. :
- V
- T
- Ykiun
- T, fut. — Yr vis de soulèvement.
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- V I G
- Verpillcux-frèrcs-Lorette. — (Anciens Etablissements Russery-Yerdié). — Société en commandite, fondée en 1877, au capital de 2 millions de francs.— Directeurs : MM. Paul et Claude Verpilleux. — Fabrication spéciale des aciers en barres laminés ou martelés. Aciers naturels, cémentés, rafiinés, corroyés, fondus au creuset. — Aciers spéciaux pour ressorts ; iils et bandes d’acier ; aciers rapides pour outils; spécialité d’aciers pour pièces d’automobiles et pour cémentation.
- VERROUS DE MISE EN MARCHE, DE CHANGEMENT DE VITESSE.—
- Organes d’enclanchement destinés à produire l'entraînement momentané d’une pièce, ou éviter les fausses manœuvres.
- — Les verrous de changement, de vitesse évitent les fausses manœuvres pouvant résulter de la commande simultanée de deux balladeurs dans les voitures de ce type, ou encore de la commande intempestive de la marche arrière.
- VERSTE. — Mesure russe de longueur, valant 1 067 mètres.
- VERY, fond erie de cuivre, 66, rue d'An-goulemc, Paris.
- VESLE, garage, commerce d'automobiles, 220, rue de Yesle, à Reims (Marne).
- VESTA, lampe à souder. — Voir Fouil-louil cl C'".
- VESTA, magnétos. — Yoir Debeauve et Olmi.
- VESTAL SHOCK ABSORBER C°,
- amortisseurs de chocs, 09, Rauni Street, East End, à Pitlshurg (Pa.), États-Unis.
- VESTALE, allumage. — Yoir Debeauve et Olmi.
- VÊTEMENTS DE SPORT. — Un
- voituriste ou un motocycliste doit toujours être couvert chaudement. Il ne faut pas oublier que la voiture automobile ou la motocyclette marchent très vile et (pie le conducteur, étant immobile, a plutôt, tendance à avoir froid (pic tendance à avoir chaud. Donc pas ou peu de vêtements en toile ou en coton, mais de la laine; n'oublions pas les couvertures de voyage pour les dames. Préservons-nous du lroid, de la pluie et... des accoutrements ridicules !
- — Belle Jardinière, 2, rue du Pont-Neuf, Paris.
- — Torrilhon (Société), vêtements caoutchoutés, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- VEXIN (Agence Automobile du), ga-rage, commerce d'automobiles, 22, route de Dieppe, à Gisois (Eure).
- VEYRAT, l’abriqi îe d'insignes et de médailles de Sports, 3q, rue des Trois-Bornes, Paris.
- VEYSSIÈRE, garage, commerce d’automobiles, place Municipale, à Tulle (Corrèze).
- VEZZONI (Etfore), vente de pneumatiques, 5i, via Torino, à Milan (Italie).
- VIAL (Mai'ius), représentant de la maison Ilommen, 26, rue de Constantinople, Paris.
- VIARD (G,), agent des Usines de Gravi-gny, 4 ï t rue de l'Echiquier, Paris.
- VIAUX (fleuri), 90 bis, avenue de Versailles, Paris. Tél. 726-70. — Né à Vénisy (Yonne), le 22 août 1872. — Directeur technique de la Société des Automobiles Atlas. Ingénieur des Arts et. Manufactures. — A été ingénieur au bureau des Etudes chez Panhard-Levassor, en 1898 ; et directeur technique de la Société Sage de 1900 à 190Ô.
- VIBREUR. — Nom donné en automobile au iremblcur magnétique d'une bobine quand il est construit de telle façon qu’il peut « vibrer » très rapidement (i5o à 800 vibrations à la seconde). —Yoir IJAllumage dans les moteurs à explosions, par B. de. S.
- VIBREUR-ECLAIR. — Yoir Parez et C16.
- VICART (E.) Fils, carrosserie automobile, 02, rue de Villicrs, à Levallois-Perret (Seine). Tél. 019-98.
- VICES DE CONSTRUCTION. — Les
- vendeurs sont tenus de livrer aux acheteurs des voitures bien conditionnées. Au cas où une voiture présenterait des vices de construction , l'acheteur pourrait, demander en justice ou bien la résiliation de la vente ou bien la restitution d'une partie du prix, à condition que ces vices eussent été cachés au moment de la vente et qu’ils soient graves, tels, dit la loi, que « si l'acheteur les avait connus il n'aurait pas acheté la voiture ou n'en aurait donné qu'un moindre prix ».
- Si le vendeur connaissait les vices de la voiture, il est tenu en outre à des dommages-intérêts envers l'acheteur.
- Consulter les articles parus dans 0milia, revue pratique de locomotion, sous le titre: « Nos droits et nos devoirs ».
- VICTOR (Uvo), garage, commerce d'automobiles, i!\, esplanade Noyon, à Amiens (Somme).
- VICTOR AUTO STORAGE C\ commerce d'automobiles, 11\~) \Y., 55 th. Street, à N c w- Yo r k ( E t a ts- U n i s ).
- VICTOR - HUGO (Garage), commerce d’automobiles, 189, avenue Victor-Hugo, Paris. Tél. 687-71 ; et 62, rue Saint-Didier, Paris. Tél. 688-21.
- VICTORIA. — Voiture découverte comportant un siège de domestique à l’avant
- EXIGEZ
- DES i
- sur vos Châssis
- C.COWIIOT" PARIS7
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- VIC — 688 — VIL
- monte sur des ferrures et une banquette à deux places à l’arrière. — Voir Mylord.
- VICTORIA, billes en acier.—Voir Ilénon cl Mestre.
- VICTORIA CARRIAGE WORKS,
- commerce d’automobiles, 2/1, Long Acre, W. C. Londres (Angleterre). Tel. 4466 Central.
- VICTORIA (moteurs à deux temps et à double effet; suspension «Victoria » ; travaux mécaniques à façon). — C. Ivolb, propriétaire. Usines : 18, place de la Chapelle ; bureaux : 3(i, rue de l'Arcade, Paris.
- VICTORY SHOCK ABSORBER,
- amortisseurs de chocs, fabriqués par The llill Motor Car C°, à Ilaverhill (Massachusetts), Etats-Unis.
- VIDANGE. — Faire la vidange d’un carier, c’est vider ce carter au moyen d’un robinet ou d'une vis placés à sa partie inférieure.
- VIE AU GRAND AIR (La), journal illustré. — Directeur : M. Pierre Lafitte, g, avenue de l’Opéra, Paris. — Tél. 280-62.
- VIE AUTOMOBILE (Lu), journal hebdomadaire, 4g. quai des Grands-Augustins, Paris. — Tél. 8ig-38.
- VIE ILLUSTRÉE (La), journal illustré, 122, rue Réaumur, Paris.
- VIEILLE-MONTAGNE (Société de la), zinc en planches, fils, etc., ig, rue Richcr, Paris. Tél. 148-20 et 316-12.
- VIEUILLE (G.), agent pour la France des pneumatiques « Melzeller », l\, rue Mandai-, Paris. — Tél. 288-18.
- VIEWEG. garage, commerce d’automobiles, 3g, Ghristanstrassc, à Dresde (Allemagne). Adr. tél. AutO})alast-Dresden.
- VIEWEG (.iulo-Lu/osf), commerce d’automobiles, Ilürtelstrasse, à Leipzig (Allemagne).
- VIGIER Ainé, spécialité de tapis-brosses pour automobiles, 36, rue do Constantinople, Paris. Tél. 5n-55.
- VIGILANT (Le), phares. — Voir De-nich (A.).
- VIGLIANO, garage, commerce d’automobiles, G, rue Vaugelas, à Annecy (Haute-Savoie).
- VIGNAT [André), directeur de la Société des Huiles de Colombes, villa des Ternes, 96, avenue des Ternes, Paris.
- VIGNEAUX, agent de fabriques, 5, rue Bacon, Paris. Tél. 56o-i5.
- VIGO et C'% articles et vêtements de sports, 24, via Maria Vittoria, à Turin (Italie).
- VIGUIÉ, mécanique générale, crics « Adams » et embrayage « Hérisson », 35, rue de Toul, Paris. Tél. go3-5g.
- VIGUIER Frères, garage, commerce d’automobiles, 21, boulevard des Lices, à Castres (Tarn).
- VILAIN [Auguste-Philippe), 122, rue de Rennes, Paris. — Né à Paris, le ier octobre 18G7. — Ingénieur des Arts et Manufactures; ingénieur-conseil et expert en automobiles. — Ancien constructeur de voitures automobiles ; a cédé ses brevets en vue d’expertises et d’arbitrages dans cette branche d’industrie ; a fait de nombreuses études sur l’utilisation de l’alcool. — Collaborateur à'Oinnia, revue pratique de locomotion.
- VILAIN et KENEL, garage, commerce d’automobiles, 26, avenue Trudaine, Paris.
- VILBŒUF et LADREYT, pièces d’automobiles forgées et estampées, 182, boulevard Victor-Hugo,à Clichy (Seine).Tél.608-67.
- VILBOISet KOEHL, commerce d’automobiles, garage, rue do la Banque, à Belfort (Territoire de Belfort).
- VILEBREQUIN. — Outil, universellement connu, qui sert à percer des trous de petit diamètre dans tous les matériaux, et qui est d’un emploi très commode, par suite de la facilité avec laquelle les mèches ou les forets qu'il actionne sontchan-gés rapidement.
- — En mécanique, nom par lequel 011 désigne un arbre-manivelle de moteur. Les vilebrequins sont à un ou plusieurs coudes suivant que le moteur est à un ou plusieurs cylindres (voir Equi-librés) [m 0 l c u rs) et Arbre coudé.
- Les vilebrequins do moteurs d’automobiles se font toujours du meilleur acier forgé, quelquefois en acier-nickel. O11 aplatit le bloc d’acier pour l’amener
- VlLEDIlGQUIN
- fût.
- B, broche. •— f — M, manivelle cou dée. — N, noix.
- à des dimensions telles crire le vilebrequin
- qu 011 puisse y îns-On découpe le métal à la scie sans fin à métaux, et l’on étire ensuite les extrémités. L’arbre est ensuite usiné et ses parties sont cémentées, trempées et rectifiées (voir ces termes), ce qui leur assure une grande dureté et par suite une faible usure
- VII F R R F H111N ÇdesUs,nGS mi<L,ER & micbim, ne M tienne
- VILwDlitvUDlV Alphonse BINET & Cl0,6,r.de Jarente, PARIS. Tel. 260-8Ô
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- V I L
- V I N
- — 689 —
- tout en laissant au cœur du métal la souplesse qu’on ne peut obtenir qu’avec de l’acier doux ou demi-dur, l’acier dur trempé dans la
- Un vilebrequin (de Fries et Clc).
- masse étant beaucoup trop fragile. — Voir Moteur à essence.
- — Aiibel (Automobiles), 5 2, boulevard Haussmann, Paris.
- -- Bentz et Ci0, à Mannheim (Allemagne).
- — Binet et Ci0, G, rue de Jarente, Paris.
- - Caplain-Beiigeu et C'°, 8G, quai Jem-mapes, Paris.
- — Delaunay Bf.lleville (Automobiles), à Saint-Denis (Seine).
- — De Fiues et C'°, 19, rue de Bocroy, Paris.
- — Forges de Douai, 5a, boulevard Ilaiiss-mann, Paris,
- — Züst (Roberto), 4o, via Borgognone, à Milan (Italie).
- VILLAROUGE, garage, commerce d’au-fomobiles, boulevard de la Douve, à Ville-tranche-de-Bouergue (Aveyron).
- VILLATTE, KRAIBIG et Clc, pneumatiques et antidérapants, 89, avenue Marceau, à Courbevoie (Seine).
- VILLEDIEU (Usines de), pièces de fonderie, à Villedieu (Manche) ; et 11, rue Ilégésippe-Moreau, Paris.
- VILLEM AIN, moteurs pour motocyclettes, 35, rue Arago, à Puteaux (Seine).
- VILLENEUVE (A.) (Auto-Garage de Touraine), commerce d’automobiles, 3, avenue de Graminont,, à Tours (Indre-et-Loire). Tel. i-83. Adr. tél. Villeneuve-Autos-Tours. — Garage annexe : 7, rue de Condorcet.
- VILLIEN, emballage et transport d’automobiles, 54, rue des Vinaigriers, Paris. Tél. 2G4-97.
- VINCENT (Z)r), piles à liquide renouvelable, 9, rue d’Assas, Paris.
- VINCENT (MAX-) (Marie-Félix), 9G, rue de la Victoire, Paris. — Né le 21 avril 1860. — Chevalier de la Légion d’honneur.— Docteur en droit, avocat à la Cour d’appel de Paris. — Vice-président du Touring-Club de France. — Ancien secrétaire de la Conférence des avocats à la Cour de Paris. — Conseiller municipal de Paris (1894-1900). — Membre du Conseil d'administration du T. C. F. depuis 1892. — L’un des fondateurs du Grand Prix cycliste de Paris, etc.
- VINCENT (Re?ié), 5j, boulevard Beau-séjour, Paris.— Né à Bordeaux, le 4 mars 1879. Dessinateur artistique. Donne sa meilleure collaboration à Oninia, revue pratique de locomotion.
- VINCENT, garage, commerce d’automobiles, quai Saint-Pierre, à Cannes (Alpes-Maritimes).
- VINCENT, garage commerce d’automobiles, à Saint-Pourçain-sur-Sioule (Allier).
- VINCENT, garage, commerce d’automobiles, rue Edgar-Quinet, à Thiers (Puy-de-Dôme).
- VINCENT et Cle, voiturettes-remorques, 141, boulevard St-Germain, Paris. Tél. 8o3-g4.
- VINET (Gaston), 61, rue do Villiers, à Neuilly-sur-Seine (Seine). — Tel? 626-90. — Né à Châteauroux (Indre), le 27 juillet 1870. Décoré des palmes académiques. — Directeur de la Maison Vin et et Boulogne. — A introduit et perl'ec-t ionné les roues caoutchoutées en France.dès i8g3; a lancé le «fiacre » à roues caoutchoutées. — S’est, occupé d’automobile dès le début, en fabriquant une voiturelte à courroie qu’il a abandonnée pour se consacrer entièrement aux roues et à la carrosserie automobile. — Vient d’inventer et de lancer la « Jante Amovible Vinct. ». — S’occupe aussi d’aérostation. — Membre de l’A. C. F., de l’Aéro-Club, etc.
- VINET et BOULOGNE (A .), carrosserie automobile, roues Vinet, jantes amovibles, Gi, rue de Villiers, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tél. 626-90. Adr. tél. Vinet-Neuilly. — Maison fondée en 1893.
- VINGO (Aciers). — Voir Moses Eadon Sons (Angleterre).
- VINOT, carrosserie automobile, 62, avenue de Wagram, Paris. Tél. 56o-44-
- VINOT et DEGUINGAND (Société Anonyme des anciens Etablissements), voitures automobiles et moteurs, 29, quai National, à Puteaux (Seine). — Tél. l\i. Adr. tél. Vinot-Puteaux. — Société Anonyme fondée en 1898 au capital de 600000 francs.
- M. Gaston Vinet
- 44
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-
-
- V I N — 690 — VIS
- Directeur technique : M. Vinot-Préfontaine ; directeur commercial : INI. Al. Deguingand. —
- Succursale : .‘15, rue Du Boétie. Direct oui': M. Le-Yainville.
- VINOT-PREFON-TAINE (Lucien-Marie), 55, rue Saint-.lames, à Neuilly-sur-Seine (Seine). — Tel. Mao. — Né à (lisors. le a!\. novembre i85S.
- - Administrateur-délégué de la Société des anciens Ateliers Yinot et. Der/uinr/und ;
- administrateur de la Société Française des Ci/cles et Automobiles Clément et Gladia-lor. — Ingénieur des Arts et Manufactures; ancien directeur des usines Mal ter. à Bouen.
- M. Vingt
- VINTER, méeanirien-eonsi rucl eur, f)0, boulevard Menilmontanl, Paris.
- VIOLLETTE (Manuel), 5ç), boulevard National, au Parc Saint-Maur (Seine). — Né à Niort, en uSb.'L —- Rédacteur à Feniina, .le sais tout, La Vie au Grand Air, etc. l'ait partie de la Presse sportive depuis 1885, a collaboré au I ’élo, au Journal des Sports, à L'Auto, aux Sports, etc.; fut secrétaire de la rédaction au Véto et, aux Sports et rédacteur en chef de loi Vie au Grand Air.—Membre fondateur du T. G. P., dont il fut secrétaire, général pendant trois ans. — Vice-président de l'Association des Journalistes sportifs.
- VIRGINIA (Huile). — Pradère et C'°,
- au Pré-Sainl-(icrvais (Seine). Tel. /|.'lo--2/|.
- VIROLE. — Petit chapeau métallique, en acier ordinairement, qui est percé d'un trou par lequel passe la soie de l'outil (tournevis, lime, etc.) qu'il maintient dans le manche en bois, en renforçant, celui-ci.
- VIRURES. — Planches (pitch-pin, teck,, acajou) constituant le bordé d'un canot automobile.
- VIS. — En mécanique, on désigne sous le nom de vis un petit organe qui sert quelquefois à lixer une pièce sur une autre 11 11e faut pas confondre la ris avec le boulon. Le boulon est une vis terminée par un écrou. La vis 11a jamais d'écrou. — (le que nous allons dire des vis s'applique également aux boulons.
- La vis proprement dite est composée d'un corps cylindrique autour duquel on a produit, par filetage dans une filière, ou sur le tour, vin cordon enroulé en hélice, appelé filet, ; l'es-
- pace compris entre deux révolutions du lilel se no...... devis. ----- Voir Filet.
- Décroît est une pièce creuse eylindriquc-nient; les parois intérieures portent un filet creux, sorte de moule de la vis, produit par un taraud de même pas et de même forme
- Fii.mts m: vis tiuangulaiiuïs
- que celui de la filière avec laquelle 011 a fait la vis. L’écrou est fixe ou mobile. Les vis sont à filet, carré (lig. 2) ou à filet triangulaire (fig. 5). Le filet carré s'emploie surtout pour la production de grands efforts (presses).
- Les proportions diverses des vis sont régies par divers systèmes dont les principaux sont : le système Whitworth (Angleterre), le système Sellers (Amérique), système de la Société
- £crou
- ---Pis ou boulon
- 1. — Boulon
- d’Encouragcmenl pour l'industrie nationale. Les efforts actuels des mécaniciens tendent à l’adoption générale d'un système uniforme en vue de l'unification des filetages.
- L’effort produit par une vis est inversement proportionnel à la hauteur du filet.
- Fig. 2
- Vis a filet caiu\k li, pas de vis.
- Fig. 3
- Vis a filet tiuanc.i:laïi\k h, pas do vis.
- Les vis à filet triangulaire ont plutôt la forme d’un trapèze, le sommet, du filet étant plan dans certains systèmes (Sellers, Société
- POMPES
- Kti eo ne
- A SIFFLET AVERTISSEUR AUTOMATIQUE
- Evitant le surgoulletnent des;pneus = Supprime avantageusement le manomètre.
- HiRS H, 26, rue de Crussol, PARES (XI0)
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-
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-
- V I s
- Y I T
- — 69t -
- d'Encouragement), et rond dans d'antres ( sys lè i n e VV11 i Lwo r t.b ).
- On donne le nom de vis sans fin à une vis, en général à lilet carré, (jui, au lieu d'êlre appliquée à un écrou, est adjointe à une roue déniée cl. sert de transmission de mouvement. Le nom de vis sans lin vient de ce que la vis tourne tout le temps sans avancer ni reculer, (le dispositif est assez fréquemment employé dans les treuils. Bien (pic ce mode de transmission n'ait pas un rendement aussi lion que celui des engrenages ordinaires, il présente l'avantage de permettre un grand rapport de vitesse.
- On est arrivé néanmoins, en augmentant, la vitesse des pièces, en diminuant les pressions,
- T IVAN SM ISS ION PAU VIS SANS FIN
- en construisant les pièces avec soin et en les trempant, à des rendements de Su < .>/<>.
- Les vis métalliques à bois, utilisées pour fixer les pièces les unes aux autres, forment leur trou elles-mêmes dans le bois; la tête de la vis est fendue, la pression et le mouvement. de rotation exercés par le tournevis l’ont pénétrer la vis.
- On utilise en outre, dans les mesures expérimentales, la vis micrométrique, pour la mesure des mouvements et des espaces de faible grandeur.
- ( iIjAenzkh et G'% 3f>, boulevard de
- Strasbourg, Paris. — Réducteurs de vitesse par vis sans lin globiqucs et, roues à rouleaux.
- — Vis de contact platinée. — Les vis. qui servent à assurer le passage d'un courant électrique se rompant, sur leur extrémité, ont loujours cette extrémité garnie d’un petit grain de platine qui résiste mieux que tout autre métal à l'oxydation produite par l'étincelle d’extra-courant. Ce petit bloc de
- platine, de même (pie 3 la goutte de platine ~ qui lui fait lace, doit | être entretenu avec le plus grand soin, et.
- V
- V, vis avec pointe platine P.
- de ne jamais être maculé d'huile ou autre corps pouvant s’opposer au passage du courant, primaire. — Voir Trem-bleur, Allumeur, Distributeur d'allumage.
- — Vis de purge. - Vis placée à la partie inférieure d'un carter d'automobile, et servant à le vider, à le purger de l'huile ou do tout autre liquide qu’il contient.
- VIS-A-VIS. - Voiture découverte à entrée latérale, ayant, à l'avant un siège pour
- i :
- chauffeur cl, à l’intérieur, deux grandes banquettes placées vis-à-vis l'inie de l’autre et comportant chacune deux places confortables.
- VISCOSITAS, lmilc minérale. — Voir Deutsch [Les fils de A.).
- VITESSE. - On appelle vitesse l'espace, <[iie parcourt un corps pendant l'unité de temps, ou le rapport (les espaces parcourus, ou temps mis à les parcourir.
- Dans le système G. G. S., Limité de vitesse est le centimètre par seconde.
- Lorsque le corps est animé d'un mouvement, uniformément, varié, on nomme accélération pendant un temps donné le rapport, de la différence entre les vitesses au commencement et à la (in, et le temps considéré ; ou bien le rapport entre la variation de vitesse pondant le temps et. ce temps.
- L'unité d'accélération est le centimètre par seconde par seconde.
- En unités pratiques, on emploie pour la vitesse le mètre par seconde, et,dans la traction des véhicules, on ramène la vitesse au kilomètre à l'heure, qu'il s'agisse de trains de chemin de fer, de tramways ou d'automobiles.
- La vitesse commerciale est le rapport de la distance à parcourir au temps employé pour faire le parcours, en comprenant dans ce temps les arrêts et les ralentissements.
- — La vitesse est une notion abstraite que l'on conçoit, très bien sans pouvoir en donner une définition concrète. C'est en réalité le quotient d'une longueur divisée par un temps. Que celle définition n'effraie personne ! Elle est extrêmement facile à comprendre.
- Si l'on a ioo kilomètres à parcourir, et, (pie l'on mette o heures pour le faire, on a réalisé une vitesse de 20 kilomètres à l'heure. La vitesse ici est donc le quotient (100 divisé par 5) de la longueur qu'on avait à parcourir (100 km.) par le temps qu'on a mis à parcourir celle longueur (o heures). Rien do plus simple.
- On voit (pie, dans l'idée de vitcssc> doit toujours figurer celle de temps. Si l'on dit :
- ILES PREMIERS HORS CONCOURS PARIS 1900
- PHARES DUCELLIEB
- LES SEULS GRAND PRIX LIÈGE 1905
- I
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- V I T,
- V I T
- — 692 —
- « une vitesse de au kilomètres », 011 dit une chose qui 11’a aucun sens, car on peut faire a5 kilomètre en une heure, en une 1 /a heure, en un 1/4 d’heure. Il faut dire : « une vitesse de a5 kilomètres à l'heure, à la demi-heure », etc.
- — Vitesses (Lois des). — Voir Mouvement uniforme et Mouvement varié.
- — Vitesse acquise. — Désigne la vitesse d’un mobile à l’instant où l’on supprime la force (jui le meut.
- D’après le principe de l’inertie, la vitesse devrait ensuite rester constante. En pratique, les forces résistantes extérieures la diminuent progressivement et Unissent par l’annuler en agissant en quelque sorte sur le mobile pour lui imprimer une accélération négative. Dans le langage courant, vitesse acquise est souvent employée, à tort, pour désigner la puissance vive d'un corps en mouvement.
- — Vitesse angulaire. — Lorsqu’un mobile se meut avec un mouvement uniforme autour d’un point, suivant une trajectoire circulaire, sa vitesse V sur la trajectoire est définie comme d’habitude.
- Si on ramène la vitesse du mobile à sa distance r à l’axe de rotation, 011 appelle vitesse angulaire w du point considéré le rapport de sa vitesse V sur la trajectoire à la distance r qui lo sépare de l’axe de rotation :
- __ V
- r
- L’unité G. G. S. de vitesse angulaire est le radian par seconde. Le radian est l’angle dont l’arc est égal au rayon ; il vaut
- 3Go°
- 2 TT
- 57°
- i 44”-
- Dans la pratique, l’unité adoptée est le
- . . 2 Tu
- tour par minute qui vaut —— radians par seconde.
- O11 distinguera donc dans le mouvement circulaire d’une pièce mécanique (volant, induit de dynamo, etc.) la vitesse angulaire et la vitesse linéaire à la circonférence ou périphérie. — Voir Mouvement circulaire.
- — Vitesse légale. —- « Le conducteur « de l’automobile devra rester constam-« ment maître de sa vilesse. 11 ralentira ou « meme arrêtera le mouvement, toutes les fois « que le véhicule pourrait être une cause d’ac-« cident, do désordre ou de gène pour la cir-« culation.
- « La vitesse devra être ramenée à celle « d’un homme au pas dans les passages « étroits ou encombrés.
- « En aucun cas, la vitesse n’excédera celle « de 3o kilomètres à l’heure dans les agglo-« mérations, sauf l’exception prévue à l’arti-« cle 3i (courses sur route autorisées). (Décret du 10 mars 1899.)
- D’un arrêt de la Cour do Cassation (1905), il résulte que « les maires peuvent, à faison
- des nécessités particulières de la circulation locale, déterminer pour leurs communes un maximum de vitesse inférieur à la vitesse permise par le décret du 10 mars 1899 ». — Mais « les arretés de limitation de vitesse, rendus par les maires, ne sont applicables que dans la partie agglomérée des communes », c’est-à-dire dans la partie où la route est bordée de maisons des deux côtés.
- ('Tribunal correctionnel deVersailles,igo5.)
- — Vitesse linéaire. — C’est la vitesse d’un mobile sur sa trajectoire, droite ou courbe. — Voir Mouvement en général, Mesures (unités de) et Temps (notions d’espace et de).—On dit: la vitesse linéaire d’un volant, d’une denture d’engrenage, pour désigner la vitesse d’un mobile supposé placé à la circonférence du premier ou à la denture du second; il ne faut donc pas, dans de semblables cas, la confondre avec la vitesse angulaire des mêmes organes.
- — Vitesse d’une bicyclette. — Pour calculer rapidement la vitesse à l’heure d’une bicyclette, il suffit de compter le nombre de coups de pédale donnés pendant une minute, nombre que l’on multiplie par Go (minutes), ce qui fournit le total des coups de pédales à l’heure que l’on multiplie à son tour par le développement de la bicyclette.
- Si, par exemple, le développement de la bicyclette est de 5 mètres, et qu’on donne G5 coups de pédale à la minute, le résultat sera : G5 X Go = 3 900 X 5 — i9,5oo kilomètres à l’heure.
- — Vitesse d’une automobile. — Pour calculer la vitesse d'une automobile par des procédés empiriques, 011 peut voir en combien de temps elle va d’une borne kilométrique à une autre, d’une borne hectomètrique, d'un poteau télégraphique à un autre, etc. Consulter les Recettes du Chauffeur,par B. deS.
- Nous donnons également ci-contre un tableau (dû à M. Michaut, ingénieur), qui permet de connaître instantanément la vitesse à l’heure dont est animée une automobile.
- TABLE DES VITESSES
- 0 1 2 3 4 5 fi 7 8 9
- 0 00 3Goo 1800 1200 9°° 720 Goo 5i4 /|5o 4oo
- 1 30o 327 3oo 277 25^ Q/|0 225 212 200 189
- 2 I 80 171 i G/, i5G i5o 44 138 133 129 124
- 3 i 20 i iG I 12 109 10G io3 IOO 97 90 y2
- 1 °<> 88 80 84 82 80 78 77 75 73
- 5 72 71 g<j G8 c7 G5 04 63 02 Ci
- AUTO-GÉNÉRALE J1 SALLERON L Bolié*UBrosier°De*âmify Mleville
- 16, rue Duret — PARIS Directeur panhird-Levassor, Mors
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-
-
- V 1 T
- - 693
- V 0 G
- Pour connaître cette vitesse, il suffit de prendre dans la colonne de gauche le premier chiffre qui exprime la vitesse faite par la voiture pendant un kilomètre, et, dans la colonne horizontale d’en haut, le second chiffre qui exprime cette vitesse.
- Par exemple, une voiture a fait le kilo-
- TABLEAU DES VITESSES
- Le kilomètre Donne une Le kilomètre Donne une
- parcouru en vitesse à parcouru en vitesse à
- l’heure de: l’heure de:
- minutes secondes kilomètres minutes secondes kilomètres
- 6 » IO O 58 62
- 5 » 12 0 •67 63
- 4 )> i5 0 56 64
- 3 45 1G 0 55 65
- 3 ‘62 0 54 66
- 3 20 18 0 :>3 67
- 3 9 M) 0 02,5 68
- 3 )) 20 0 52 c9
- 2 5i 2 I 0 5i 70
- 2 44 22 0 5o,5 71
- 2 3G 23 0 5o 72
- 2 3o 24 0 4-9,6 73
- 2 2/| 25 0 4-9 74
- 2 18 2 G 0 48 76
- 2 i3 27. 0 47,6 76
- 2 8 28 0 47 77
- 2 )) 3o 0 40,5 78
- I 5 G 3i 0 4G 19
- I 52 32 0 45 80
- I 49 33 0 44,5 81
- 1 45 34 0 44 82
- I 43 35 0 43,5 83
- I /|0 3G 0 43 84
- I 3? 3 7 0 42,7 85
- 1 34 38 0 42,5 86
- I 32 39 0 42,2 87
- I 3o 4o 0 41,5 88
- 1 27 4i 0 4i 89
- I 2.5 42 0 40,7 9°
- I 23 43 0 4 0,5 91
- 1 2 I 44 0 4o 92
- I 20 45 0 3g,5 93
- I l8 46 0 39 94
- 1 iG 47 0 38,5 9-3
- I i5 48 0 38 96
- I i3 4-9 0 37,5 9;
- I ] 2 5o 0 3^ 98
- I 10 5i 0 36,5 99
- I 9 02 0 3G 100
- I 1 53 0 32,7 110
- 1 G 54 0 3o 120
- I 5 55 0 28 128
- I 4 56 0 27 133
- I 3 57 0 2G 138
- I 2 58 0 2.5 i44
- I I 5g 0 24 i5o
- I » Go 0 23 156
- 0 59 Ci 0 22 164
- mètre en 38 secondes. Quelle vitesse à l’heure a-t-elle fait ?
- O11 prend à gauche le chiffre 3. En haut, le chiffre 8. — L’intersection des deux colonnes donne le chiffre g5, qui est celui de la vitesse de la voiture exprimée en kilomètres à l’heure.
- Si la voiture a parcouru le kilomètre dans un temps supérieur à une minute (Go secondes), on doit, pour trouver sa vitesse à l’heure, lire le tableau différemment. O11 prend alors, à l’intérieur du tableau, le chiffre qui représente la vitesse du kilomètre, et on trouve dans les colonnes extérieures le chiffre des kilomètres à l’heure. — Par exemple, une voiture, qui a parcouru le kilomètre en G3 secondes, a eu une vitesse de 67 kilomètres à l'heure.
- On peut utiliser encore ce tableau lorsqu’on ne connaît la vitesse d’une automobile que par le temps qu’elle a mis à parcourir la distance séparant deux bornes heclométriques. O11 prend les chiffres de la colonne horizontale d’en haut pour secondes, et les chiffres de la colonne verticale gauche pour dizaines de secondes. Le nombre trouvé à l’intersection des colonnes, et divise par 10, indique la vitesse en kilomètres à l’heure.
- O11 peut également utiliser le tableau ci-contre.
- VITESSE (Acier). — Voir Sapène et C1*, Paris.
- VITESSE (Compagnie des Huiles). — Voir Huile Vitesse.
- VITRIOL (Huile de). — Dénomination vulgaire de l'acide sulfurique.
- VITTU (Jules), fabrique d’antidérapants, réparations de pneumatiques, i5, rue du Ballon, à Lille-Saint-Mauricc (Nord).
- VIVEZ (Fvo E.), forges et chalumeaux (marque Air et Feu). iG, rue du Buisson-Saint-Louis, Paris. Tél. /|22-3g.
- VIVINUS (Alexis), 54, rue Deslou-velles, à Bruxelles (Belgique). — Né à Stenay (Franco), le 5 juin 1SG0. — Administrateur délégué de la Société Anonyme « Les Ateliers Vivinus ». — Représentant en France : M. Vigneaux.
- VIVINUS (Les Ateliers), automobiles, 54, rue Destouvelles, à Bruxelles (Belgique). Tél. 22-18; et 5, rue Bacon, Paris.
- VIX (phares, mise en marche automatique, etc.), 34, rue Saint-Marc, Paris.
- VOGEL et PREIN, pièces détachées pour automobiles, à Ilagen (Westphalie).
- VOGLER, garage, commerce d’automobiles, 85, Gartenstrasse, à Brcslau (Allemagne).
- VOGUÉ (Robert de), 4?, avenue d'Iéna
- M A r\ I A LES MEiLLEURES VOITURES POUR LE GRAND TOURISME
- fl A4 U I A4 12, rue Barbés, LEVALLOI5 <Seine>
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- - o<y.
- Paris. Tel. G78-77. Né à Boulleret (Cher), le if> octobre 1870. — Ancien oHieicr de marine. — Membre du Comité de l'Automobile Club de France : vice-président de la Commission sportive.
- VOIE D UNE VOITURE. La voie
- d'une voilure est la distance qui sépare d'axe
- ^______Polo.
- R T 'P J R
- E'
- M
- v
- en axe les deux roues d’un même essieu. La voie des véhicules automobiles varie ordinairement de 1 m. an pour les petites voitures à i m. /)“> pour les grandes.
- K, essieu. — H, roues.
- La voie est l'écartement qui
- sépare les rails des chemins de fer; elle est, en France, de 1 m. l\l\ô (voie normale).
- M. Yoigt
- Uourhcvilliers, par Maineville(Eu re). —- Né à Paris, en 187a. — Copropriétaire de ÏAf/euce yéné-vale des Automobiles C. G. V. --Directeur, à New-York, de la suc-cursale de la Société Charron , Ltd, 2 Vf West, G<) th. Street.
- VOILE. —
- Disque en acier q ni, dans les roues métalliques, nouvellement parues en automobile, rem-
- place les rais qui réunissent la jante au moyeu.
- La roue métallique à voile plein semble être la roue de l'avenir. Elle est d’une indé-iormabilité absolue, lorsqu'elle est faite en tôle emboutie et constituée par deux flasques réunis à la jante et au moyeu (type Arbel), et résiste à tous les chocs, quels qu’ils soient, même au choc violent contre un trottoir lors d'un dérapage. De plus, on constate, avec ces roues métalliques “ pleines ”, une diminution très sensible de la poussière soulevée par la voiture.
- VOILE DE PARIS (Cercle de la), 53,
- rue de Chàteaudun, Paris.
- VOILER (Se). — On dit qu'une roue se voile ou est voilée lorsque scs rais ou rayons n'ont plus tous la meme longueur et que la jante se trouve déjetée, en tournant tantôt vers l'intérieur, tantôt vers l'extérieur.
- VOITURES. — En carrosserie, tout véhicule est désigné par le mot voiture y quelles qu’en soient la forme et les dimensions.
- Les voitures se divisent en deux grandes classes : les voitures fermées et les voitures découvertes. (Quelques carrossiers les divisent en trois classes, en y ajoutant celle des voitures abritées qui sont à volonté ouvertes ou fermées.)
- Les voitures fermées sont celles qui portent un dispositif lixe ou permanent pour protéger de tous côtés les personnes-assises dans la voiture ; les cotés latéraux et le toit ou pavillon de ces voitures sont exclusivement garnis de glaces et de panneaux en bois, tôle ou cuir. — Ce sont : la berline, Je cab, le coupé, la dorsay, la limousine, Y omnibus. Le cab-landaulety le landau et le landaidet, quoique pouvant être facilement découverts en cours de route, sont ordinairement considérés comme voitures fermées.
- Les voitures découvertes sont celles (pii n’ont pas de pavillon et dont les côtés latéraux n'excèdent pas la ligne d'accoudoir; elles 11e portent pas de dispositif permettant, de couvrir et d'entourer les personnes assises dans la voilure ou, tout au moins, 11e portent que des dispositifs mobiles : ballons, capotes-ou dais pouvant, à volonté, être mis en place ou enlevés aisément et rapidement. Ce sont : le break,le char-à-bancs, le double-phaétony le duc, le mylord, le phaèton, le spider, le tonneau, la Victoria, la icayonnette, le vis-à-vis.
- Quand on divise les voitures en 3 classes, les voitures abritées sont celles qui sont pourvues d'un dais et dont les côtés 11e sont fermés que partiellement par les côtés des sièges et souvent par des glaces avant et arrière, avec parties de bois contournant les dossiers.
- Les voitures dont les noms suivent sont exclusivement réservées au cheval, au « moteur à avoine », et 11e sont pas utilisées en automobile. Ce sont : le cabriol+t, voiture a deux roues; la calèche qui est un landau dont 011 a supprimé le coffre avant; la charrette, voiture a deux roues; le doy-car, voiture à deux ou a quatre roues; le tilbury; le sociable, landau sans capotage complet.
- La figure ci-après indique les différentes parties d’une voiture avec leur dénomination technique. — Voir Carrosserie et chaque type de voiture décrit à sa place alphabétique.
- Voiture de tourisme. — Nous donnons ici quelques détails sur un type de voiture qui nous paraît être l’un des plus pratiques de la voiture de tourisme.
- Nous choisirons le double-phaéton* avec entrée par l’avant, ou mieux encore par le côté, qui a l'avantage d'ollïir une banquette intérieure pour 2 ou 3 personnes, très confor-
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- labié et formée d'une seule pièce. De plus, cette voiture n’ayant pas de porte à l'arrière, permet de disposer un porte-bagage ou four-
- places d’avant qui pourront être abritées par une glace se relevant au plafond, ou tout au moins par un grand tablier recouvrant le
- Pavillon,
- ,. Pied.~ cormier
- H....
- Br^emer,t -/J.- P^r>o,ut, rU
- '/J dossier
- Plancher
- Termes désignant les principales parties d'une von lue
- A H, Ligne de ceinture. — C, baie. — L (i, coquille à garde-crotte. — Il, châssis du siège. — 1, coussin. — K, coilre. — L. pied. — M, montants. — N, cave. — O, lunette. — 1*, moulures. — H, accoudoir. -- T, traverses.
- ragère. pour les malles, et des crochets portant les enveloppes de rechange.
- L'arrière de la A'oituresera relevé et évasé. La hauteur du dossier sera de (io centimètres; la largeur de la parclose (banquette) de i mètre do, emplacement suffisant pour d personnes; et la profondeur du coussin de f>5 centimètres. Le dais ou pavillon sera fixe ; un large panneau arrière, ajouré par trois châssis de glace sur son pourtour faisant retour de 20 à 20 centimètres sur les côtés,
- Dais ou pavillon sur une voiture de tourisme (Clément-Dayard )
- fermera barrière; il permettra cependant aux voyageurs de voir dans toutes les directions, tout en étant parfaitement abrités contre la poussière.
- Le pavillon se prolongera par-dessus les
- volant et arrivant, à hauteur du menton du conducteur. Une seconde glace installée de la meme manière que la première séparera, si on le veut, le siège avant, des places arrière.
- Des rideaux en toile imperméable tenant, au pavillon pourront etre déroulés facilement et lixés dans le bas par des tourniquet'*s' aux parois de la caisse; ils permettront (l'abriter ainsi totalement l'arrière et très suffisamment bavant.
- Une galerie à bagages occupera barrière du pavillon et permettra d'y placer une charge bien répartie de (io kilogrammes environ; sur barrière de la voiture seront, disposés une fourragère et des crochets [»our des enveloppes de rechange.
- — Hkkvaklkttk, carrosserie automobile, 21 , rue Durci, Paris.
- — Hotiaux, carrosserie automobile, 28, rue (irelfulhe, à Levallois-Perret (Seine).
- — Kki.i.nkh i:t sic s lues, carrosserie automobile, 120, avenue MalakofV. Paris.
- — Laboi'iuucttk (Henri), carrosserie automobile, 3ô , avenue des Champs-Elysées, Paris.
- — Laclaveiue kt Gaciiics, carrosserie automobile, (j, rue Montrosier, à Neuilly-sur-Seine,
- — Lampluoii ict Cio, 8, rue Ernest-Cognacq, à Levallois-Perret (Seine).
- — Hotsciiiu). carrosserie automobile, i3i, avenue MalakofV, Paris.
- AUTOMOBILES
- ARIÊS
- 39, quai d’Argenteuil, 39 VILLENEUVE-LA-GAFENNE
- par risle-Saint-üenis (Seine).
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- Châssis Gladiatoii, type 1907.
- GLADIATOR 1907
- 4 TYPES
- 14, 18, 24 et 30-35 cheravx
- 4 ET 6 CYLINDRES
- ]
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- VOITURES AUTOMOBILES. — Il
- nous est tout à fait impossible de donner ici la liste complète des constructeurs de voitures automobiles, môme de celles seulement qui présentent des qualités sérieuses, car, fort heureusement, le nombre des constructeurs de valeur est aujourd’hui très élevé. On trouvera dans Y Annual, à chaque raison sociale, les renseignements principaux qui la concernent. — De plus, nos lecteurs trouveront, dans le volume, des pages de publicité et des bas de page complémentaires concernant les maisons suivantes :
- — Ader, 4o ter, avenue de Suflrcn, Paris.
- — Ariès, 3t), quai d’Argenteuil, à Ville-
- neuve-la-Garenne (Seine).
- — Automobiles Industriels (Société Générale des), 3, rue Vignon, Paris.
- — Auto-Moto (Automobiles), chemin du Rey, à Saint-Etienne (Loire).
- — Auto-Stand, commerce d’automobiles, 20. rue Duret, Paris.
- — Auto-Palace, commerce d'automobiles, 77 bis, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Bayard-Clément, quai Michelet, à Le-vallois-Perret (Seine).
- — Benz et G0, à Mannheim (Allemagne).
- — Berliet, i2, chemin des Qualre-Mai-sons, à Lyon-Monplaisir (Rhône).
- — Bianchi et G10, 23, via Nino Bixio, à Milan (Italie). — Agents : Bousquet et Q°, g5. avenue des Champs-Elysées, Paris.
- — Brasier, 23, avenue de la Grande-Armée; Paris.
- — Buire (Société Anonyme de la), 8, rue Victor-Hugo, à Lyon (Rhône).
- — Charron, Ltd, 7, rue Ampère, à Puteaux (Seine).
- — Ciienard et Walcker, 7, rue de Normandie, à Asnières (Seine).
- —- Clément-Gladiator, 5, rue François-Henri, au Pré-Saint-Gervais (Seine).
- — Comiot (Cii.),, pièces détachées, 87, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris.
- —- Cottin et Desgouttes, place du Bachut, à Lyon (Rhône),
- — Court (Luc) et C10, 88, rue Robert, à Lyon (Rhône).
- — Delaunay Belleville (Automobiles), à Saint-Denis (Seine).
- — Diéthicii (Lorraine-), 12, avenue de Madrid, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Dion-Bouton (de) et Cle, 36, quai National, à Puteaux (Seine).
- — Eudelin, 32 bis, rue Desrenaudes, Paris.
- — Fouillaron, 54, rue de Villiers, à Le-vallois-Perret (Seine).
- — Germain, à Monceau-sur-Sambre (Belgi-que).
- — Grégoire et C'°, 55, boulevard Devaux, à Poissy (Seine-et-Oise).
- — Heinz et G16, voitures électriques, 27, rue Gavé, à Levallois-Perret (Seine).
- Visite»*
- AU
- PRB5 - OAItVT- GKRVAIS
- — Hotchkiss (Etablissements), 2,3 bis, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- — Itala, 5o, rue d’Anjou, Paris.
- — Lomharda (Socielà Automobili), à Ber-gamo (Italie).
- — Métallurgique (La), à Marchiennc-au-Pont, près Cliarleroi (Belgique).
- — Mieusset (Etablissements), iSa, route d’Heyrieu, à Lyon (Rhône).
- — Mildé et Cl0, voitures électriques, 60, rue Desrenaudes, Paris.
- — Mors, 48, rue du Théâtre, Paris.
- — Paniiard et Levassor, 19, avenue d’Ivry, Paris.
- — Pantz, à Pont-à-Mousson (Meurthe-et-Moselle).
- — Peugeot Frères (Les Fils de), voilurettes, à Valentigney (Doubs) ; et 38 bis, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Peugeot-Croizat, La Tcsoriera, à Turin (Italie).
- — Pilain, 17, chemin de Monplaisir, à Grange-Rouge, Lyon (Rhône).
- — Purrey, voitures à vapeur, 21, boulevard Jean-Jacques-Bosc, à Bordeaux (Gironde).
- — Radia, 12, rue Barbés, Levallois-Perret.
- — Renault Frères, i3q, rue du Point-du-Jour, à Billancourt (Seine).
- — Rociiet-Sciineider, 67, chemin Feuillat, à Lyon (Rhône).
- — Rossel, à Sochaux-Monlbéliard (Doubs).
- —• Salleron et C10, commerce d’automobiles, 16, rue Duret, Paris.
- — Standard, 20, corso Siccardi, à Turin (Italie).
- — Stern, 24, av. des Champs-Elysées, Paris.
- — Trèfle a quatre feuilles (Voitures Brasier), 23, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Unic, 108, rue Saint-Maur, Paris.
- — ZüsT (Roberto), à Intra (Lac Majeur) ; et 4o, via Borgognone, à Milan (Italie).
- Vente d'automobiles :
- — Auto-Générale, 16, rue Duret, Paris.
- — Auto-Palace, 77 bis, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Auto-Stand, 20, rue Duret, Paris.
- — Bousquet et C10, 9.0, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- — Bonneville, 62,. boulevard Carnot, à Toulouse (Haute-Garonne).
- — Fresnaye (de la) et C10, i5, rue du Débarcadère, Paris.
- — IIussenot et Raynaud, 3q, rue La Boétie, Paris.
- — Intermédiaire (IV), 17, rue Monsigny, Paris.
- — Maleville, 2.3. rue Louis-Blanc, à Levallois-Perret (Seine).
- •— Paris-Automobile , 48, rue d’Anjou , Paris.
- — Salleron et C1", 16, rue Duret, Paris.
- — Santa-Maiua (de), G, Chaussée-d’Antin, Paris.
- — Stern, 24, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- T ‘Â USINES 1
- Les CLEMENT |
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- — Youiuot et Cie, 34, rue Guersanl, Paris.
- Vente d'automobiles à crédit :
- - Ban^l'e Automobile (La), 4-7) boulevard llaussmami, Paris.
- L'Intermédiaire, i 7, rue Monsigny, Paris. Graisseurs d'automobiles :
- Dubrulliï, 28 bis* rue Villeneuve, à (3iehy-la-(iarenne (Seine).
- Pièces détachées et accessoires :
- —• Akbkl , châssis et roues en Iule emboutie, 5a, boulevard 1 laussinann, Paris.
- — Comiot (C.), accessoires et pièces détachées, 87, boulevard Gouvion-St-Cyr, Paris.
- Heinz et Ciü, accumulateurs, 27, rue Lavé, à Lcvallois (Seine)/
- — Société La Française, ii, rue Brunei, Paris.
- D'après le rapport de M. lïenuequin, le nombre des voitures automobiles imposées en France a subi l'accroissement suivant :
- 1S99..... 1 (>72 automobiles imposées.
- 1900 .... 2297 —
- 1901 .... 5 835
- I9OI!.... I) MO" —
- 1908.. .. iaS9/| —
- .... —
- 1900..... ai 5a/|
- Soit une augmentation de 1980e voilures en sept années.
- Le département de la Seine comprend, à lui seul : !\ G27 voilures automobiles. La moyenne, pour chaque département, atteint '.d\j voilures (départements les plus « faibles » : Corse, !\ ; Lozère, 9).
- La moyenne des véhicules professionnels est de 3o,3; celle des automobiles non professionnels, de (>9,7.
- Le nombre moyen de chevaux-vapeur par automobile est de 8,a (7,0 [mûries prolesston-nelles; 8,8 pour les non professionnelles).
- — Voiture démontable. — M. Lacoin a inventé et construit, en 190/1, une voiture automobile dont, le moteur, porté sur les roues avant, avec les changements de vitesse, peut très facilement et très rapidement etre attelé, comme un cheval, à une voilure de forme quelconque, voiture de maître, de livraison, camion, etc., qui est composée de la caisse et des roues arrière, avec le différentiel.
- Cet avant-train moteur peut être enlevé et attdlé en trois minutes. — L'aspect de cette voiture est identique à celui d'une automobile ordinaire. — Voir Luc Court et C10.
- — Voitui'e-échelle automobile. — La Métallurgique construit une voiture-échelle avec haute plate-forme, servant à l'installation et à la réparation sur route, des trolleys, des fils électriques, etc.— Les caractéristiques, pour 1907, sont les suivants : moteur de iü-20 chevaux, à 4 cylindres de 100 d'alé-
- sage et 110 de course. Soupapes commandées par un seul arbre à cames. Allumage double. 3 vitesses. Embrayage métallique très souple, ce qui est absolument nécessaire pour une voiture de ce genre, afin d’éviter que les ouvriers travaillant sur la plate-forme à plus de 5 mètres de hauteur ne soient renversés.
- — Houes caoutchoutées en blocs démontables. — Empattement : 3 m. 3oo ; voie ; 2 mètres. — Deux freins très puissants. — Appareil de blocage de dillérentiel pour le démarrage dans de fortes cotes, etc...
- — La Métallurgique, à Marchicnne-ai:-P011I (Belgique).
- — Voitures mixtes. — Ces voitures, munies d'un moteur à explosions et d'un moteur électrique, comportent une dynamo intercalée dans la transmission du moteur à pétrole aux roues motrices et. chargeant normalement la batterie. La puissance du moteur est telle qu'en palier le i/4 par exemple de sa puissance soit disponible pour la dynamo, les trois autres quarts étant utilisés pour la propulsion du véhicule. En rampe, la vitesse et la différence de potentiel aux bornes de la dynamo diminuent. Quand la différence de potentiel devient inferieure à celle de la batterie, celle-ci se décharge dans la ilvnanio qui fonctionne automatiquement comme réceptrice et ajoute son couple à celui du moteur à pétrole. Le démarrage et la marche arrière, ainsi que la mise en route du moteur, s'effectuent par la dynamo.
- — Voitures à transmission électrique.
- — Ces voitures comportent un groupe elec-trogène à pétrole fournissant l'énergie aux élcctromotcurs de la voiture. Sous celle forme simple, la voiture à transmission électrique présente pas mal d'avantages, notamment au point de vue de la conduite. Divers systèmes ont été proposés dans le but de fondre en quelque sorte la dynamo et l'élcctromotcur en une seule machine à inducteur et induit mobiles. L'un étant solidaire des roues et l'autre du moteur à pétrole, le couple produit résulte de la vitesse relative des deux organes. Ces systèmes admettent pour la plupart des batteries, voire meme deux éleclromoteurs aux roues avant pour avoir les quatre roues motrices.
- VOITURES DE PLACE AUTOMOBILES. — Ces nouveaux fiacres (C. A. F.) à pétrole (caisse rouge, train jaune), circulant dans Paris, ont les tarifs suivants : prise en charge : o fr. 75 pour les 900 premiers mètres; chaque distance de 3oo mètres suivante: o fr. 10 (tarif de jour). — Prise en charge : o fr. 70 pour les (ioo premiers mètres; chaque distance de. 200 mètres suivante : o fr. 10 (tarif de nuit). — Prise en charge : o fr. 76 pour les premiers 700 mètres ; chaque distance de 200 mètres sui-
- Automobiles RENAULT FRÈRES "SH* I
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- G99 —
- vante : o fr. io (tarir pour plus de a personnes ou pour une course en dehors de Paris).
- — Renault Fhèiuïs, i3i), rue du Point-du-Jour, à Billancourt (Seine).
- VOITURES ÉLECTRIQUES {Compagnie Parisienne des).— Voir Kriéyer (C'), t\ô, boulevard Haussniann, Paris.
- — Heinz et Ci0, 27, rue Cave, à Levallois-l’crret (Seine).
- — Mildé et Cic, Go, rue Desrcnaudes, Paris.
- VOITURES ÉLECTROMOBILES
- (Compagnie Française des), rue Cardinet, Paris. Tel. 5/|2-G8.
- VOITURES POPULAIRES {Société des), marque S. P. P., automobiles, t\!\. bis, rue Saint-Ferdinand, Paris. Tel. “.
- VOITURES PUBLIQUES {Spécialité de). — Voir Panlz, constructeur, à Pont-à-Mousson (Meurthe-et-Moselle).
- VOITURETTE. — Au point do vue de leur classilieation en course, sous le règlement, des Automobile-Clubs de France et, de l'étranger, une voilurette est un engin dont le poids à vide no dépasse pas /j5o kilogrammes. A vide s’entend : sans eau, lmiie, essence, ni accus. Les moteurs ayant un allumage par magnéto ont une tolérance de poids de G kilogrammes. Au point de vue pratique, une voilurette est une petite voilure très légère et très simple (moteur à un cylindre), à deux places côtc-à-côtc et une troisième occasionnelle ollerte par un spider. La voilurette est un véhicule d'utilité ou d'agrément, mais non de sport. On ne doit pas lui demander plus de aô-jo kilométrés à l’heure et. surtout, de transporter un poids pour lequel elle n’est pas établie.
- — Bayahd-Ceément, 33, quai Michelet, à Le val lois-Perret (Seine).
- — De Dion-Bouton et Ci(q 3G, quai National, à Puteaux (Seine).
- — Lion {Voilure!tes). — Voir Peugeot Frères {l.es Fils de).
- — Pkuueot Fhèhes {Les Fils de), à Valen-tigney (Doubs).
- VOITURISTE. — Nom employé souvent pour désigner le conducteur ou les “occupants” d'un véhicule automobile, et qui est plus logique que le mot, chauffeur, puisque ce dernier ne chauffe rien du tout. — Le mot voituriste lait, de plus, pendant au mot, cycliste et, a l'avantage de désigner le conducteur d'une voilure actionnée par un type quelconque de moteur.
- VOL. — Le chauffeur victime d'un vol devra porter plainte sans retard soit, à Paris, au commissariat de police du quartier où a eu lieu le vol, soit, en province, à la gendarmerie la plus proche, ou au parquet. 11 donnera de sa voiture, si celle-ci a été soustraite,
- la description la plus exacte et le numéro d’immatriculation, veillera à ce que les autorités lassent diligence pour s’emparer du coupable et, s'il le croit utile, ne craindra pas de télégraphier lui-même au parquet ou aux gendarmeries des localités où il pense que doive passer sou voleur.
- Quand le vol a lieu dans une remise louée parmi propriétaire, celui-ci est en général responsable de la négligence de sou concierge.
- Si c'est à l’iiôtel ou à l’auberge que le chauffeur s'est vu voler sa voiture ou quelque autre objet, lui appartenant, l'iiôtclier ou l'aubergiste est responsable. — Voir Garage.
- VOLANT de direction. — Le volant. est un levier en l'orme de couronne qui sert à mouvoir l'arbre de direction d'une voilure.
- Le volant de direction est appelé quelquefois. mais à tort, guidon, ce mot, désignant, plus spécialement le tube horizontal qui sert à diriger un instrument cycliste. -Le vidant est ordinairement, constitué par
- Volant de ihiidciio.n
- une roue d'acier ou d'aluminium garnie de bois et réunie au centre par des ruts métalliques venus de fonte avec la couronne et le centre. — Sur le guidon lui-meme, ou sous lui. sont, ordinairement placées les manettes de commande (admission, carburation, avance à l'allumage).
- — Clément—(Ilauiatou, volants <) poignées, a, rue François-Henri, au Pré-Sainl-Hervais (Seine).
- VOLANT DE MOTEUR. — Voir le, rôle et l'utilité du volant, à l'article Régulateur. Le résumé de ces considérations est que le volant agit à la fois comme accumulateur d'énergie, sous forme de puissance vive, pour faire tourner le moteur pendant, une ou plusieurs courses passives, et comme régulateur de sa vitesse « cyclique » ; ces deux rôles se confondant, en somme, en un seul.
- VOLCAN (Société Américaine des Carburateurs), iü, boulevard de Strasbourg, à Boulogne-sur-Seino (Seine). Tél. 261.
- VOLET DE MAGNÉTO. — Pièce
- placée par la maison Simms-Bosch entre l’inducteur CL l'induit d une magnéto à induit
- PEUGEOT
- Les Motocyclettes les islws vâ-îes
- 38 bis, avenue de la Grande-Armée
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- ILES PREMIERS HORS CONCOURS PARIS 1900
- PHARES DUCELLIER
- LES SEULS GRAND PRIX LIÈGE 1905
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- VOL
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- fixe, et produisant par sa rotation autour de l’induit les variations du flux magnétique. — Voir Magnéto.
- VOLKER et PRUGEL, moteurs « El-sava », à Obernbourg-sur-Mein, Bavière.
- VOLLANT [A.), vêtements de sport en peau, 34, boulevard Sébastopol, Paris. Tel. 127-go. — Président du Syndicat du Vêtement et de l’Equipement sportifs.
- VOLO [Moyeu). — Voir Fur an (Société Anonyme des Ateliers du).
- VOLT (abréviation: V) — Unité de mesure do la différence de potentiel. —Voir Potentiel.
- VOLTAGE. — Expression impropre pour désigner la différence de potentiel entre deux bornes. — Voir Potentiel et Force électromotrice.
- VOLTAMETRE. — Appareil destiné à produire la décomposition d’un liquide par un courant électrique (ne pas confondre cet appareil avec le suivant).
- VOLTMÈTRE. — Appareil de mesure des différences de potentiel. — Voir L'Allumage dans les moteurs à explosions.
- Le voltmètre est indispensable pour connaître l’état de charge d’une batterie d’accumulateurs. On construit pour l’automobile de petits voltmètres de poche.
- — Lacoste et Ci0, 28, boulevard de Strasbourg, Paris.
- VOLUMES (Loi des). — Voir Gay-Lussac (Loi de).
- VONIN, vente d’automobiles et garage, 204, boulevard Saint-Germain, Paris. Tél. 728-47.
- VONLATUM (Paul), né à Troyes, le 21 avril 1861. — A remporté do nombreux succès en courses automobiles. — Actuellement directeur des essais chez Clémenl-Gla-diator et voyageur pour cette importante maison.
- VOSGIEN (Auto - Garage), commerce d'automobiles, place de l’Abattoir, à Epinal (Vosges).
- VOSGIENS (Autos), garage, commerce d’automobiles, 8, rue de la Ménantille, à Saint-Dié (Vosges).
- VOURIOT et Fils, vente d’automobiles, achat, échange, location, réparations, 34, rue Guersant, Paris.
- VOYAGE. — L' action de quitter le lieu où l’on se trouve pour gagner un lieu éloigné se nomme voyage.
- Le voyage s’effectue par tous les modes de locomotion : à pied, à bicyclette, en automobile, en chemin de fer, etc.
- Il différencie du tourisme en ce sens qu’il n’a pas comme celui-ci pour but unique la recherche du beau et du pittoresque, mais qu’il s’applique davantage aux personnes
- affairées par les besoins de la vie qu’aux touristes amoureux de la nature.
- — Monjardet, articles de voyage, 21, rue Richelieu, Paris.
- — Moynat, articles de voyage, 5, place du Théâtre-Français, Paris.
- — Vuitton, articles de voyage, 1, rue Scribe, Paris.
- VOYAGE AUTOMOBILE (Au), articles et vêtements de sports, 12, Chaussée-d’Anlin, Paris.
- VOYAGEUR. — Nom donné quelquefois à l’organe mécanique appelé curseur. — Voir ce mot.
- VRARD et Ci0, construction d’automobiles « Stabilia », 12. boulevard d’Asnières, à Neuilly-sur-Seine (Seine). Tel, 54o.
- VRILLE. — Petit outil, très connu et très usuel, servant à percer des trous de
- A
- Vrille à manche en bois.
- B
- Vrille en lit d’acier.
- petits diamètres dans des substances peu dures, telles que le bois.
- VUARCHEX (C.), valves de pneumatiques, à Scionzer (Haute-Savoie); et 18, rue Béranger, Paris.
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- VUILLEMOT (Raoul), 38, rue d’Ams-
- terdam, Paris. — Né à Paris, le 2G mai i85(). — Fondateur de la Locomotion Automobile, en i8q4-— Ancien rédacteur de la chronique automobile dans le Petit Temps, le Grand-Journal,Paris-Sport, etc.
- Créateur de la plus ancienne revue automobile du monde.
- VUITTON
- M. VüILLEMOT
- (Louis), fabrique de malles et d’articles de voyage, 1, rue Scribe, Paris. Tél. 23g-48. Adr.
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- tel. Vuillon-Scribe-Paris ; cl i/i9,N'ew Bond si root, à Londres (Angleterre). Tel. 2587 Gérard. — Usine : 18, rue du Congrès, à Asnières (Seine). — Dépôts à New-York, Philadelphie, Boston, Chicago, San - Francisco , Buenos-Ayres. — M. Vuitton a su, par une fabrication irréprochable, faire des malles absolument inusables, tout, en leur conservant une grande légèreté.--Dans l'automobilisme, il avait, dès 1898, fabriqué des « malles au-' tomobiles » complètement imperméables à la pluie et. à la poussière. —Ses dernières créations sont : le sac-chau/feur et les déjeuners-auto qui l'emportent un légitime succès.
- VUITTON {Louis), né en 1821, mort en 1891; fondateur de la Maison Louis Vuitton et créateur de la malle plaie avec « lattes » de bois copiée dans le monde entier.
- VUITTON (Georges), lils du préeéeenl.— Né en 1.857. — Depuis 1880, à la tète de la
- Maison Louis Vuitton. — Créateur de la malle automobile et du sac-chaulleur, etc.
- - Président de la Chambre syndicale des Articles de voyage, Maroquinerie, Campement. — Expert du Jury à l'Exposition de 1900; membre du Jury à l'Exposition de Saint-Louis iqcPi; fondateur de la maison LouisVuit-ton, de Londres, et des dépôts d'Amérique.
- VULCAIN (Le), protecteur antidérapant. — Voir Lecerf.
- VULCAN (Aulomobiles). —Voir London and Parisian Motor (Angleterre).
- VULCAN (Guide). — Carnet de route de Y Association Générale Automobile, 8, place do la Concorde, Paris.
- VULCAN, malles spéciales pour automobiles. — Voir Bazar du Uoj/age, Paris.
- VULCAN (PneumaLigue-Cuir), !\j, rue Saint-Ferdinand, Paris. -— Tél. 082.95. — Maison fondée; en 190/1, par M. Bue,billet; devenue Société en commandite, en octobre 1900. — A remporté le Concours de la Boue (1900) sur /) 000 kilomètres et la Coupe du Matin, en 190b, sur (i 000 kilomètres; 11e prend part qu'aux longues épreuves.
- Types 1907: antidérapants avec et sans bande do roulement cuir chromé, de préférence montés sur enveloppes complètes ; cuir
- chromé bydrofuge ; rivets cémentés d'une seule pièce maintenus par des rondelles ein-
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- H, chape en cuir. — (I, croissant d’appui des pieds des rivets. — E, toile de protection, noyée dans le caoutchouc I). — E, toiles. — («G, talons. — Il 11, rivets vus en perspective et en coupe.
- boutics ; collage par procédés nouveaux brevetés.
- VULCANISATION. — Opération (pii consiste à combiner le soufre au caoutchouc naturel pour modifier scs propriétés, eu particulier, pour rendre son élasticité durable cl empêcher son ramollissement par la chaleur.
- — Voir Soufre.
- VULCANISATOR. — Voir Autorul-canisator et Thcrmovulcanisutor.
- VULPÈS (Automobiles), 170, boulevard National, à Cliehy (Seine). Tél. t\ii. — Directeur: M. P. Y. Kaullinann.
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- — Voir Stitch-in-Time.
- VULCANUS, Yulcanisaleur rapide. — Voir Couturier.
- M. G douces Vuitton.
- Les Malles Auto de LOUIS VUITTON
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- Son Altesse Royale le Prince Héritier Gustave de Suède
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- Son Altesse Royale le Prince Eugène de Suède
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- W. — Symbole d'énergie électrique ,<le travail (work, en anglais). — Abréviation de watt.
- Wh-h. — Abréviation de watt-heure.
- W — I. E. (formule usuelle en électricité, indiquant que l'énergie électrique W est •égale au produit de l'intensité multipliée par la force électromotrice). jM) watls — 76
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- WAGNER, garage, commerce d'automobiles, nie Croix-Celle-Porte, a Saint-Quentin (Aisne).
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- Paris, le 7 110-
- • _________,——1 vembre 1808. 01-
- licier de la Lé-Mi^àiÆSÊBÊSÊÊBIBtÊm^^ gion d'honneur.
- — Ancien élève de l’Ecole Polytechnique (promotion de 1877). Licencié è s-sciences mathématiques. — Ingénieur en chef des Mines, chargé du Service spécial d e suveillance des appareils à vapeur du département de la Seine. Professeur du cours de machines à vapeur et autres moteurs tlicr-
- M. AVai.ckknakr
- iniques à l’Ecole Nationale des Ponts-ct-Chaussées. Membre de la Commission extraparlementaire des Automobiles. Membre du Conseil d’administration de la Société d’Encouragemcnt pour l'Industrie nationale.
- WALCKER (Henry), 7, rue de Normandie, à Asnières (Seine). Tel. /j9. — Ingc-nieur civil des Mines. Associé des Etablissements Chenard et Walcker. Cognant de nombreux concours de consommation et d'endurance.
- M. WALKER (Robert). 78, avenue des
- Ternes, à Paris, ne ans à la Compagnie Dun/op. mi il occupa successivement le'poste de Directeur de la Succursale de Milan et de Directeur des Succursales de Lyon et Toulouse; actuellement, co-Direc-teur commercial de la Compagnie Dunlop.
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- WALTER (Baul), éditeur-directeur de l'Annuaire (iénéral des Sports Illustré, 12Ü, rue Montmartre, Paris.
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- WANDLAINCOURT, vannerie pour automobiles, 5, rue du Chàleau-d'Eau. Paris.
- WANNER et Ci0, courroies Balata-Dick, graisseurs, graphite « Dixon », graisse « Dixoline », 67, avenue de la République, Paris. Tél.Qi3-48.
- WANSON (Maurice), fournitures générales pour automobiles, spécialité d accumulateurs et de pièces détachées, i, rue des Boiteux, à Bruxelles (Belgique). Tel. i3o6. Adr. tél. Etincelle-Bruxelles.
- WANTZ, carrosserie automobile, garage, commerce d’automobiles, à Meaux (Seine-et-Marnc).
- WARD (Charles1, (55, avenue de la Grande-Armée. — Officier d’Académie ; secrétaire de l’A. U. P.
- WARNER INSTRUMENT C° fabrique de compteurs, de tours « Auto-Meter », 170, Roosevelt avenue, à Beloit (Wisconsin), Etats-Unis.
- WARNER’S PATENT MAGNE-TIC SPEED INDICATOR, fabrique d’indicateurs de vitesse, 85, Queen Victoria Street, à Londres (E. G.), Angleterre.
- WARNON, fabri que de piles pour motocyclettes, ib^, rue do Vanves, Paris,
- WARREN AUTOMOBILE C", construction d’automobiles, à Warren (Pa.l, Etats-Unis.
- WATAWATA (Courroies pour motocyclettes). — Voir Ilardiny, Paris.
- WATERLESS KNOX. — Voir Knov Automobile C°.
- WATIER, garage, commerce d'automobiles, 38, rue de Paris, à Sedan (Ardennes).
- WATSON and C°, commerce d’automobiles, 50, Renskaw Street, à Liverpool (Angleterre).
- WATT. — Unité de pu issance employée en électrotechnique. Par définition: 1 wat — 1 volt multiplié par 1 ampère.
- L’effet thermique d'un courant s’évalue en watts; si B est la résistance du circuit, I l’intensité du courant, l’énergie dépensée dans le circuit sous forme de chaleur est égale à RI-. — Voir Kilowatt, Watt-heüre, Hectoicatt-heure, Kilowatt-heure.
- — Watt-Heure. — Unité de travail usitée en électrotechnique et correspondant à 1 ampère-heure (voir ce mot) multipliée par 1 volt. Les multiples du watt-heure sont l’liecto\vatt-
- heurc valant joo watts-heures et le kilowattheure valant 1 000 watts-heures.
- Le watt mesure la puissance, c’est-à-dire l’énergie dépensée par seconde ; le watt-heure mesure l’énergie totale dépensée dans un. temps donné. —Voir Watt, Kilowatt, Ilecto-watt-heurc, Kilowatt-heure.
- WATTIER, garage, commerce d’automobiles, à Toreg-Sedan (Ardennes).
- WATTLESS-POWER (puissance sans watts). — Expression fausse, quelquefois employée en langage ‘‘électrique”.
- WATTMAN (l’homme des watts).—
- Mot anglais désignant le conducteur d’un, véhicule électrique. — Par extension, cette dénomination est. appliquée au conducteur d’unegrande voiture automobile,d’un tramway> électrique ou à vapeur, mais celte dénomination est alors inexacte.
- WATTMÈTRE. - Appareil servant à. mesurer directement, la puissance électrique d’un courant, laquelle s’exprime en Watts. Un courant de U volts et 1 ampères a une puissance W égale à U I watts. L’appareil se compose d'une bobine en fil fin, montée en dérivation, et mobile à l’intérieur d’une bo-
- Âtt/ui/Is
- CirauJ ____nnar_______
- Hobuic rnobife
- hobuu' fi<ve "h
- g flessort df tûrsiom
- CwcujlI <r
- ScllKMA DU M1CCAMS.MK n’ilN WaI'T.MKTIIE
- bine fixe en gros fil, plantée en avant. Le-couple qui tend à produire la rotation de la bobine mobile est proportionnel à la puissance-du courant, c’est-à-dire à IJ X h h est mesuré par la torsion du ressort supportant le système mobile auquel est fixée l’aiguille indicatrice.
- WAVERLEY, voitures électriques. — Voir Pope Motor Car, C°.
- WAYNE AUTOMOBILE C", construction d’automobiles, à Détroit (Michigan), Etats-Unis.
- WAYTE BROTHERS , commerce d'automobiles, 12, Lemon Street,à Dublin(Irlaude).
- WEBER. — Unité C. G. S. de- flux de-force magnétique, (l’est le flux de force qui traverse un centimètre carré pris dans un plan équipotentiel d’un champ uniforme d'intensité égale à une unité G. G. S ou gauss.
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- WERNER (Eugène), i, rue du Midi, à Neuilly-sur-Seine (Seine). — Né à Moscou, en 18G1. Chevalier du Mérite agricole, inventeur, avec son frère Michel (décédé en août 190.5), delà motocyclette, en 1897.
- WERNER (Ga llien et Sarda. successeurs), construction de motocyclettes et de voitureltes, 22, rue Grell’ulhe, à Levallois-Perret (Seine). — Magasin do vente: 10 bis, avenue de la Grande-Armée, Paris. — Tél. 530-go.
- WESTEREN, fahri que d'accumulateurs. — Voir National Motor Vehicle C°, Etats-Unis.
- WESTERN AUTOMOBILE C°, automobiles, Washington avenue, à Saint-Louis (Etats-Unis).
- WESTERN MOTOR C°, commerce d'automobiles, 70, Buchanan Street, à Glas-cow (Angleterre).
- WESTERN TOOL WORKS. auto-
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- mobiles « The Gale », à Galeshurg (Illinois), Etats-Unis.
- WESTINGHOUSE (Société Anonyme), automobiles, matériel électrique, moteurs, 2, boulevard Sadi-Carnot, Le Havre (Seine-Inférieure). Tél. 5G7. Adr. tél. Sodelec-Le Havre. Siège social: 45, rue de l’Arcade, Paris. Tél. 278-12 et 278-25. — Société Anonyme, fondée en novembre 1901, au capital do 25 millions; président du Conseil d’administration: M. G. Westinghouse ; directeur général : M. F. E. Drake ; sous-directeur: M. W. Bouetlc.
- WESTLAND (Société des Bougies), 9, rue Théophile-Gautier, à Neuilly-sur-Seine (Seine). — Directeur : M. Mcrccr.
- WESTMACOTT, carburateurs. —AVood-nutt et C", à Saint-Hclcns (ilo de Wiglit), Angleterre.
- "WESTRUMITE. — Préparation goudronneuse destinée à combattre la poussière des roules (voir Goudronnage) ; est réalisée en émulsionnant ou pseudo-saponifiant du goudron de bois, pur ou non, du goudron de houille, au moyen de liquides alcalins tels que les eaux ammoniacales (du gaz ou des eaux-vannes).
- WESTRUMITE (Société Anonyme La), fabrique de produits pour la suppression de la poussière sur les routes, G5, rue de la Victoire, Paris.
- WESTWOOD (Compagnie des Jantes), jantes en acier, 80, rue Eugène-Caron, à Courbevoie (Seine), Tél. 540-G2.
- WEYHER et RICHEMOND (Etablissements), machines, chaudières et automobiles à vapeur, 52, route d’Aubervilliers, à Pantin (Seine). Tél. 418-24 et 4i3-6/|. — Société Anonyme, au capital do 4 millions do francs.— Président du Conseil d’administration: M. Emile Riehemond.
- W. F. W., moyeux et. roulements à changement de vitesse. — Voir Glaenzer et Cio.
- •WHEELMAN. — Mot américain signifiant cycliste.
- WHEELER and SCHEBLER, fabrique do pièces détachées pour automobiles et de carburateurs « Schebler », à ludianopolis (Indiana), Etats-Unis.
- WHITE AND POPE, Ltd, construction d'automobiles et de moteurs, à Covcntry (Angleterre). — Voir Boplaioski et. Antoine.
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- construction de voitures automobiles à vapeur, à Clevcland (Ohio),.Etats-Unis.
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- WIDERKEHR, commerce d’automobiles, Stanislausslrasse, à Colmar (Alsacc-Lorrainc).
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- motocyclettes, i3, rue Corbeau, Paris.
- WILCKES, aciers et fabrique de graisseurs, 2, cité Riverin (rue de Bondy), Paris, Tel. /,3;?-/|/i.
- WILCZEK, m aohines-oulils, 7b, avenue de la République, Paris. Toi. (j^o-/jG. Adr.tél. Wilczeck-Paris.
- WILLAIME Fils, fonderie de for, à Cbarleville (Ardennes) ; cl 10, rue Michel-Chasles, Paris.
- WILLIAMS et C°, articles de sport, 1, rue Caumarlin, Paris. Tel. 288-26.
- WIMILLE (Auguste), 5, rue Jean-Bap-tistc-Dumas, Paris. Tel. 55a-/,b. — No à Estrées (Somme), le 10 février 1878. —Rédacteur sportif au Petit Parisien, depuis 1897, (pseudonyme Marc A venny). — Officier d’Aca-démie. chevalier <lu Mérite agricole. — Fondateur de Y Auto-Vélo : a collaboré au Vélo ; fondateur, avec Pierre Lafitte, de la Vie au Grand Air: a collaboré au Journal, etc.
- VIMILLE (./.) et C'°, accessoires, 3f>, avenue de Neuilly, Ncuilly-sur-Scine (Seine).
- WTNK.LER (Cari), garage, commerce d'automobiles, à Berne (Suisse).
- WINTER GARAGE , commerce d’automobiles, avenue Boyer, à Menton (Alpes-Maritimes).
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- WITZ (Aimé), professeur à la Faculté catholique de Lille (Nord). — Auteur d’un ouvrage très remarquable : Les violeurs à gaz et, à pétrole. (Bernard, éditeur).
- WŒLFEL und KROPF, garage, commerce d’automobiles, à Nuremberg (Allemagne).
- WOLBER (A.). — Fabricant de pneumatiques et caoutchouc manufacturé, a Y ai 11 y-sur-Aisne, (Aisne) et, Lcvallois-Perret (Seine). — Depuis 24 «os dans l’industrie du caoutchouc, et du pneumatique: fut successivement, Directeur des Maisons Torrilhon et Gallus, puis s’établit en 1897. —
- Membre des Chambres Syndicales du Cycle et de l’Automobile, de l’Automobile, des Fabricants de pneumatiques. Est, membre fondateur de l’A. C. F. et fait, partie du Monde du Cycle et de l’Automobile dès l'origine.
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- ber, situées à
- Yailly-sur-Aisne, couvrent une superficie de 21 000 mètres carrés. Elles occupent 3oo ouvriers à la fabrication des bandages et des chambres à air de bicyclettes et, motocyclettes. Marques déposées : Libe.rly-Wolbcr, Sainl-Louis-Wolber. — Produit annuellement plus de 35o 000 bandages de tous modèles et de marques diverses.
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- WOLFF, pneumatiques, 4, rue Doudeau-ville, Paris.
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- WOLFRAM. —- Acide tungstique naturel, employé dans la fabrication de l’acier au tungstène. — Voir ce mot.
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- x. — Symbole de Yinconnu.
- y (prononcez: qui). — Symbole de capacité thermique.
- X. — Symbole de l'inconnue en algèbre, c'est-à-dire du but que l'on se propose d’atteindre; cette définition dépasse d'ailleurs les '.limites de l’al^cbre, car x est le symbole aussi bien de l’imprévu qui va surgir et qu’on ine cherche nullement que de ce que l’on •cherche. C'est aussi bien le fil d’allumage qui s'est, coupé et que le chauffeur cherchera pendant de longs instants sur la route que la solution d’un problème que le mathématicien cherche dans son cabinet. C'est très intéressant ou très aride, très gai ou très pénible, très simple ou très complexe et souvent le résultat obtenu, Yx tant désiré n’est |»as proportionné aux eAbris fournis. C’est l'image de la vie et c'en est le but et le fondement, car sans tout ici-bas serait connu •et pour le chauffeur en particulier, le charme de la panne, dont on découvre la cause au (bout de 3 heures de travail, n’existerait plus.
- Son emploi, cependant, se limite à l'algèbre, et tout problème d'algèbre doit débuter par le choix de l'inconnue que, par définition, on dénommera x si elle est seule; si le problème nécessite plusieurs inconnues, elles seront dénommées x, ?/, z, t, w, in etc. Du choix raisonné de l'inconnue dépend la facilité du problème, et bien choisir son inconnue, algébriquement s’entend, est souvent plus «difficile que de trouver la solution.
- L'algèbre n'est autre chose que l'arithmé-Mique généralisée; au lieu de raisonner sur •des nombres, on raisonne sur des lettres; et les résultats obtenus, de même que tous les intermédiaires par lesquels on passe, s'appliquent à tout nombre qu’on substituerait aux lettres, #, ?/, z, étant habituellement pris pour les inconnues, a, c, etc., représentent les •quantités connues ; a, p représentent des facteurs usuels (par exemple, tu rapport de la circonférence au diamètre) ou bien des angles. La définition de l'algèbre appelle celle de l'équation algébrique, qui est une égalité entre • deux expressions contenant une ou plusieurs inconnues. Une équation à une inconnue permet de déduire la valeur de l'inconnue. Si on a deux inconnues, il faut deux équations pour pouvoir déduire la valeur de ces incon-mues ; en général, pour n inconnues il faut
- n équations. Si on a moins d’équations que d’inconnues, le problème est indéterminé et une ou plusieurs inconnues peuvent cire choisies arbitrairement. Si on a plus d’équations que d’inconnues, deux cas peuvent se présenter : ou ces équations sont compatibles et alors celles qui sont en plus du nombre des inconnues sont inutiles pour trouver la solution, ou elles sont incompatibles et alors le problème n'a pas de solution. Par exemple : 3x -\-2 = 5 et 2X -f- 3 = G sont incompatibles, car l'une attribue à x la valeur i, l’autre la valeur 3/2.
- Transformation des équations.— Ce qu’il faut faire subir à une équation pour en déduire la valeur de l'inconnue : i° Faire passer un terme d’un membre de l'équation dans l’autre. Il change seulement de signe. 2Ü Faire passer dans un membre une quantité qui multiplie l’autre membre. De multiplicateur dans un membre, elle devient diviseur dans l'autre et inversement.
- Pour la mise en équation d'un problème une fois l’inconnue choisie, ce n'est pas toujours chose facile, d'autant plus qu’il n'y a pas de règle. Lacroix préconise la méthode suivante : « Regarder le problème comme résolu, et indiquer à l’aide de signes algébriques, sur les quantités connues, représentées soit par des nombres, soit par des lettres et sur l’inconnue toujours représentée par une lettre, les mêmes raisonnements et les mêmes opérations qu’il faudrait effectuer pour vérifier la valeur de l'inconnue si cette valeur était donnée. »
- Equations du Yer degré. — A une inconnue. — Les règles pratiques pour leur résolution sont les suivantes :
- « i° Chasser les dénominateurs; 2° Faire passer dans un membre tous les termes renfermant l'inconnue, les réunir en un seul en mettant l’inconnue en facteur commun ; 3° Faire passer dans l'autre membre tous les termes connus et diviser ce dernier membre; par le coefficient de l'inconnue. » C’est, en résumé, ramener l'équation à la forme
- , b
- ax = b x —
- a
- A deux ou plusieurs inconnues. — Trois méthodes de résolution :
- i° Par substitution.—Prenons deux équations à deux inconnues. On tire la valeur d’une
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- X
- X Y I
- I 2
- des inconnues dans une des équations et on la transporte dans l’autre équation qui ne contiendra plus qu'une seule inconnue, ce qui permettra d’en déduire la valeur.
- 2° Par addition ou soustraction. — Par des multiplications appropriées, on rend égaux dans les deux équations les coefficients (rime des inconnues. En additionnant ou soustrayant les deux équations, une des deux inconnues est alors éliminée.
- 3° Par comparaison. — On tire les valeurs d’une des doux inconnues en fonction de l’autre dans chacune des deux équations, on les égale entre elles et on a ainsi une nouvelle équation à une seule inconnue.
- Ax —j— By —j— O — o ont comme solution : bC — cB
- x
- ax -j- b y -f- c — o Ac _|— Ca
- aU — bA
- y =
- a B -I- b A
- Equation du 2° degré. — L'équation est incomplète quand il manque le terme du icr degré. ax~ — b est une équation incomplète
- x
- L’équation complète a l’une des formes suivantes :
- X“ —j— px —J— q — o
- on a
- x
- P
- on a
- ax- -|- bx + c — o — b ± Vù3 — 4 ac
- x
- 2a
- En général, l’équation de la forme x<in pXn q — o du degré un, et dont la forme x% -f- px -f- q = o n'est que le cas particulier où n zzz i a pour solution
- è-v vî
- Connaissant la somme ou différence de deux nombres x :h }/ = p et leur produit xy ~ q, on en déduit la valeur de ces deux nombres :
- x —z
- v/
- y
- v
- V/~
- »'/
- Equation du 3° degré. — Celle delà forme x3 -|- px -(- q — o a pour solutions
- 3 ,---------------------------
- x
- y
- <i
- VCT* (fl
- foi
- L'équation complète du
- me x
- 3° degré de la
- - px* -f- qx r = o peut se ramener cà la forme incomplète en posant v = y -)- a, remplaçant x par sa valeur dans l’équation et déterminant a de façon que le terme en 7/2 soit nul. On sc trouve revenu à la résolution d’une équation incomplète du 3e degré en y.
- Équation du 4° degré. — On la ramène à; un produit de deux équations du 2° degré
- x4 -\- nx3 + px* -(- (lx + v zzz o = (,xi2 -f- ax b)(x* -|- ax -|- bb") on égale les coefficients des termes correspondants
- a 4~ <i — n a a'
- ali
- On pose
- i a = q
- b -f li : b!/ = r.
- P
- d'où
- ou
- n
- a
- b + //, p
- n-
- aa — p — ^ 4“
- bb' — r
- on en déduit b' — b. Des valeurs de b 4" bv et b' — b on tire bb' car (b //)2 — (b' -- b)* — l\bb* on est ramené à une équation du 3° degré en o:2. Ayant z on aura a, a', b. />’ donc les équations
- x- 4" ax “I" b — 0 x~ 4“ a'x + b' = n auront leurs coefficients déterminés et on aura les valeurs de x.
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-
- Y - Z
- Y. — Lettre indiquant que le véhicule qui lia porte dépend de l’arrondissement minéralogique de Rouen (Seine-Inférieure).
- YACHT (Le), journal illustré, 55, rue de Châteaudun, Paris. Tél. 228-37.
- YACHT-CLUB DE FRANCE. — Ce
- Club a fusionné avec l’Automobile-Club do France.
- YACHTS DE PLAISANCE - Voir Mégevet (Suisse) et de Jessé et Cie (à Leval-lois). — Voir l’article Ca?iot Automobile.
- YACHTING-GAZETTE, journal hebdomadaire de la navigation de plaisance, t\, rue Meyerbeer, Paris. Tél. i/ji-n. Adr. tel. Cutter-Paris. — Directeur : M. L. Du Chou-quel.
- YALE (New) (The), construction d’automobiles et de motocyclettes, fabriquées par Consolidated Mfg Ca, à Toledo (Ohio), Etats-Unis.
- YARD, unité de mesure pour l'Angleterre, les Etats-Unis et l’Inde. Le yard vaut o'“,9i4 et se divise en 3 l'eet. Le foot (pied) se divise à son tour en 12 inches, et vaut om,025. Scs multiples sont : le fur-long qui vaut 220 yards ou 201"', 1 G/j. et le mille qui vaut 1 7O0 yards ou 1 Go9m,31 /jy.
- YATAGAN. — Levier en forme de sabre recourbé, de yatagan, qui commandait le débrayage dans les anciennes voitures Panhard-Levassor.
- YEN. — Mon naie d’or japonaise. — La pièce de 5 yeris pèse /|gr. i(i, et vaut i:îfr.8S.
- z
- Z. — Lettre indiquant que le véhicule qui la porte dépend de l’arrondissement minéralogique de Rouen (Seine-Inlérieure).
- Z. — Symbole A'impédance.
- z.—Symbole A'équivalent électrochimique.
- ZANARDINI (Rejna) et C°, phares. Bastioni Porta Magenta, 3q, à Milan (Italie), — Agents : De Cleves et Chevalier.
- ZAPP (Robert), matériel Krupp (d’Essen), pour automobiles, châssis, changement de vitesse, pièces détachées, aciers fondus pour outils, etc., 143, avenue Parmentier, Paris. Tél. /|2/4-07. Adr. tél. Roberzapp-Paris.
- ZAPPA (/:.) et SCHARS (.1.), automobiles, à La Souys-Florae (Gironde).
- ZEDECO (Société des Accumulateurs), voitures électriques et accumulateurs, 97, rue Saint-Lazare, Paris. Tél. 25/4-67. Administrateur : M. le baron de Marçay.
- ZEDEL, fabrique de moteurs et de voi-turettes, à Pontarlier (Doubs). Directeurs : MM. Graf et Zureher.
- ZEISEL, fabrique de ressorts, 11\), boulevard Voltaire, Paris.
- ZÉNITH (Le), phares et lanternes, 199, boulevard Péreire, Paris.
- ZENT AUTOMOBILE C", fabrique d’automobiles, à Bellefonlaine (Ohio), Etats-Unis.
- ZIÉGENBERG (Société Française des Accumulateurs), voitures électriques, 97, rue Saint-Lazare, Paris.
- ZINNEMANN et CP, fabrique d'accumulateurs électriques, Go, Friedrichstrasse, à Berlin (Allemagne).
- ZÜST [Fa b b rien ltaliana di Aulomobili), (Ing. Robert.O Ziist), construction de voitures et de canots automobiles, et de moteurs pour embarcations, à Intra (Lac Majeur). Bureaux : 4o, via Borgognone, à Milan (Italie). Adr. tél. /Aïst-Milano. — Société en commandite par actions, au capital de 1 Goo 000 lires.
- La marque Ziist s’est imposée, depuis longtemps, aussi bien en Italie qu’à l’étranger, par ses qualités supérieures et non par une grande réclame ; elle n’a pas de coureurs et toutes ses victoires ont été remportées pailles clients sur des voitures de type courant. — Parmi scs derniers triomphes, nous citerons la Coupe d'Or de Milan 190G (3q35 kilomètres), dans laquelle une voiture Züst s’est classée deuxième,, à 1’ 7” du premier ; la Coupe de la revue « l’Automobile » ( 1re place) ; le Grand Prix de l’Industrie et du Commerce ; le Prix du Moi d’Italie, etc.
- Sans Rivales g les ZÜST]
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- — 716 —
- — Caractéristiques des Automobiles Züst, pour '1007 : Châssis do 28 chevaux cl
- Châssis R. Züst, type 1907, 28 chevaux Vu en plan
- I de 5o chevaux. —Châssis en tôle emboutie; suspension à l\. ressorts de la maison « Lemoine » ; roues montées sur paliers à billes D. W. F. — Direction irréversible, à vis sans lin. — Moteurs à 4 cylindres, deux groupes de cylindres jumeaux venus en une seule pièce. — Allumage à rupture, magnéto Simms-Bosch. — Embrayage métallique. Changement de vitesse à 4 vitesses et marche arrière, entièrement montées à billes. — Radiateur nid d’abeilles. — Freins très puissants, réglables à la main. - Graisseur à débits visibles refoulant l’huile sous pression. Démontage très facile et grande accessibilité de toutes les pièces. — Marque des plus réputées.
- Agents, en 1907, des Automobiles Zusl :
- — Budapest (Autriche-Hongrie) : Cscrépy Ai'zén, Mérnok, VI., Felsô-Erdôsor, 3i. — Lisboa (Portugal : D. Antonio de Ileredia, 10, Poço de Borralem, II. . Londres (Angle-
- terre) : The Farman Automobile Company, Lui, 100 et io4, Long Acre, W. C. — Mexique (Amérique) : Sanchez Iutirez y Cia, avenida luitrez, 815. — Milan (Italie) : Société Anonima Frera, 33, via Carlo-Alberto. — New-York C/ity (Amérique) : R. Berlelli et,C°, 12/1, East. iq th. Street,.
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- — Né à Nice, le 10 octobre i8(io. Décoré des ordres de Léopold et des ordres de Charles 111. Président de l’AutomobileClub de, France, depuis la fondation.
- A su, par son amour du sport et son tact, s’attirer la sympahie du monde automobile tout entier. M' I E "AHOX I.K ZuYI.EN
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- Cette feuille est destinée à recevoir les CHANGEMENTS d'adresse, de raisons sociales, les demandes d’inscription des maisons nouvellement fondées, les nouvelles inventions, etc.
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- Prière de découper cet te feuille, en suivant le pointillé, et de l'envoyer, sous enveloppe affranchie à 10 centimes, à
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- Cette feuille est destinée à recevoir les observations, les désirs, les idées nouvelles de nos lecteurs, ainsi que les omissions eu les erreurs qu’ils auraient pu relever dans l’ANNVAL. — Nous comptons sur la précieuse COLLABORATION DE NOS LECTEURS et nous attacherons toujours la plus grande impci tance aux avis, voire même aux critiques, qu’ils voudront bien nous adresser.
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- TABLE
- DES ADRESSES COMMERCIALES
- HANliÉES
- PAR CLASSES
- NOTA. —
- Les Classes sont imprimées en caractères gras. Les chiffres indiquent, les classes cherchées»
- Clauses
- Académies sportives
- 29
- ACCESSOIRES D'AUTOMOBILES ......u
- Accessoires de canots............ 4
- Accumulateurs électriques......... i3
- Acétylène........................ 14
- Acier........................... 7
- AÉRONAUTIQUE.................... 5
- Aérostats
- 0
- Alcool dénaturé...............
- ALLUMAGE......................
- Amiante.....................
- Ampèremètres...................
- Amortisseurs................
- Annuaires.....................
- ANTIDÉRAPANTS ................
- Appareils photographiques.....
- Appareils de mesures électriques
- ARTICLES DE SPORT .. .........
- Assurances..................
- AUTOMOBILES (Fabriques d’) ...
- AuT0M0BII.es (Vente d’i.......
- Automotrices..................
- Avant-trains moteurs .....
- Ballons.......................
- Bandages de roues ............
- Bazars......................
- Billes........................
- Bobines d’allumage. . ........
- Bois de carrosserie.......
- Boulons.......................
- Bougies d’allumage............
- Brasure.......................
- Brevets d’invention ..........
- Bulletins.....................
- Camions...................
- CANOTS AUTOMOBILES............
- Caoutchouc ...................
- Capots........................
- CARBURATEURS................
- CARROSSERIE.................
- Cartes géographiques......
- Cercles sportifs..............
- Chaînes.......................
- Changement de vitesse.........
- CHASSIS COMPLETS..............
- iG
- i3
- n
- /
- i3 18 3o 21 28 i3 2 G 27 1
- 25
- 3
- 3
- 5
- 20
- 27
- 8
- i3
- 23
- 7
- i3
- 10
- 3o
- 3
- 4
- 20
- 10
- 9
- 22
- 27
- 29
- 8
- 8
- Classes
- Châssis nus
- 8
- CHAUDRONNERIE GÉNÉRALE............ 10
- Clefs............................. . 11
- Clubs sportifs.................... 29
- COMMERCE AUTOMOBILE, GARAGES-.. - 26
- Commissionnaires.................. 25
- Compteurs........................ 11
- Contentieux....................... i5
- Cornets avertisseurs............. 11
- Couleurs pour carrosserie......... s3
- Courroies ........................ 8
- Crics............................ 11
- Crins pour carrosserie............ 23
- Cuirs pour carrosserie............ 23
- Cuirs pour antidérapants.......... 21
- Décalcomanie...................... 17
- Démarreurs....................... 11
- DESSINATEURS, IMPRIMEURS, etc..... i5
- Dynamos........................... i3
- Echappement........................ 8
- ÉCLAIRAGE......................... *4
- Ecoles de chauffeurs...............26
- Emaillage......................... 17
- Emballage d’automobiles.......... 24
- Embrayages......................... 8
- Emeris............................ 17
- Engrenages....................... 8
- Equipements sportifs.............. 26
- Essence minérale.................. 1G
- Essieux........................... 18
- Extincteurs....................... iG
- Fédérations sportives............. 29
- Ferblanterie...................... 10
- Ferrures d’automobiles et ferreurs 23
- Fonderies.......................... 7
- Forges............................. 7
- FOURNITURES POUR CARROSSERIE. ... 23
- Freins d’automobiles............... 8
- Garages........................... 23
- Garnitures pour carrosserie....... 23
- Générateurs d’acétylène.......... i4
- Glaces pour carrosserie........... 23
- Gonfleurs......................... 20
- GRAISSES ET LIQUIDES.............. 16
- Graisseurs....................... 16
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-
-
-
- Classes
- Graveurs pour carrosserie.........
- Groupes électrogènes..............
- Guides............................
- Horlogerie........................
- Housses...........................
- Huiles minérales..................
- Imprimeurs........................
- INDUSTRIE AUTOMOBILE..............
- Insignes de sport.................
- Isolants .........................
- Jantes............................
- Jeux sportifs.....................
- Joints................. ..........
- Journaux .........................
- Lampes électriques................
- Lanternes.........................
- Liège (Isolants)......... ......
- Location d automobiles............
- Lunettes..........................
- MACHINES-OUTILS...................
- Magnétos..........................
- Malles............................
- Manivelles........................
- Mécaniciens-constructeurs.........
- MÉCANIQUE GÉNÉRALE................
- Métaux............................
- Meules ...........................
- Mica............................
- Mise en marche. ..................
- Modeleurs.........................
- MOTEURS...........................
- MOTOCYCLES .......................
- Motocyclettes.....................
- Moto-tri..........................
- Nicxelaue..........................
- Omnibus...........................
- Obturateurs de fuites.............
- Outillage.........................
- Ouvrages scientifiques et sportifs. .
- Paniers d’automobiles.............
- Peintres en carrosserie ..........
- Pétrole......... .................
- Phares............................
- PHOTOGRAPHIE......................
- Photograveurs.....................
- PIÈCES DÉTACHÉES D’AUTOMOBILES....
- Pièces estampées..................
- Pieds a coulisse. ................
- Placage...........................
- PNEUMATIQUES......................
- Pneus-cuir.. . ...................
- POLISSAGE ET NICKELAGE............
- POIDS LOURDS......................
- Pompes a air......................
- Pompes a eau .....................
- PRESSE SCIENTIFIQUE ET SPORTIVE
- Produits a polir..................
- Produits chimiques................
- PRODUITS INDUSTRIELS..............
- 2 3 i4 27
- 26 23 16
- 1 r>
- 13
- UJ
- Ai
- 8
- 3 o
- 14
- 4 1
- 25
- 2G
- 12
- 13
- 27 8 8
- 1
- 1
- n
- i3
- 8
- 1
- G
- 2 2
- 2
- 11
- 3
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- 12 3o 23 23 iG
- 28
- 15 8 8
- 12
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- 20
- 21
- l7
- 3
- 20
- 8
- 3o
- >7
- J7
- Classes
- Produits élastiques ............... 20
- Produits isolants .................. 7
- Projecteurs..................... 14
- Protecteurs de pneumatiques....... 20
- Publicité.......................... i5
- Quincaillerie pour carrosserie.... a3
- Radiateurs........................ io
- Raffineries de pétrole............. 1G
- Rais.............................. 1 9
- Rayons métalliques..............- 19
- Remorques........................... 2
- Réparations d’automobiles.......... 20
- Réparations de pneumatiques. ...... 20
- Représentants d’usines........ i5
- Réservoirs......................... 10
- Ressorts de voitures............... 18
- Revues scientifiques et sportives.. . 3o Rivets pour aintidéiiapants....... 21
- ROUES.............................. 39
- Roues élastiques, métalliques, etc., 19
- Roulements a billes................. 8
- Rupteurs........................... i3
- Sacs de voyage.................... 27
- Savons spéciaux.................... iG
- Silencieux......................... io
- Sirènes........................... 11
- SOCIÉTÉS SPORTIVES ................ 29
- Sociétés savantes.................. 29
- Soudure autogène.................... 7
- Soudures ........................... 7
- SUSPENSION......................... 38
- Taciiymètres...................... I l
- Taille d’engrenages............... . 7
- Toiles pour pneus................. 20
- Tôlerie. . ...................... 10
- TOURISME GÉNÉRAL.................. 27
- Tracteurs.......................... 3
- Transformateurs électriques...... i3
- Transformations d’automobiles.... 26
- TRANSPORTS ET EMBALLAGES......... 24
- Tri-cars .......................... 2
- Tri-porteurs. . .................. 2
- Trompes.......................... i 1
- Tubes métalliques.................. 7
- Unions scientifiques et sportives. . . 29
- Vannerie......................... 23
- Vélodromes........................ 29
- Vente d’accessoires............... 26
- Vente d’automobiles.. . .......... 25
- Vernis pour carrosserie........... 23
- VETEMENTS I)E SPORT........ . ...... 2Û
- VETEMENTS DE TRAVAII.............. 2G
- Voitures automobiles............. i
- Voitures d’occasion............... 25
- Voiturettes ....................... i
- Vo TMÈTRES....................... l3
- Voyages .......................... 27
- Vulcanisation..................... 20
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-
-
-
- IP PARTIE
- RÉPERTOIRE
- DES
- PROFESSIOÏÏS
- Rangées par CLASSES.
- Les listes des PROFESSIONS, qui suivent, comprennent tous les noms d'industriels ou de Commerçants cités dans la Première Partie et, de plus, une grande quantité de noms qui nous sont parvenus trop tardivement.
- Nous rappelons qu’il nous est impossible d’insérer dans la Première Partie, après le i5 Octobre, dernière limite, aucune demande d’inscription, de rectification, de publicité, etc...
- 46
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-
-
-
- CLASSE I ' -- 722 --- CHASSIS COMPLETS
- CLASSE 1
- CHASSIS COMPLETS
- Voitures et Voiturettes automobiles.
- (Voir aussi la Classe 3.)
- — Aachener Stahlwarenfabkick, A. G. —
- automobiles Fafnir, à Aix-la-Chapelle (Allemagne).
- — Achenbach und C°, automobiles Hexe, à Ham-
- bourg (Allemagne).
- — Acme Motor Car C°, fabrique d’automobiles,
- à Reading (Pensylvanie), Etats-Unis.
- — Adams Company, fabrique d’automobiles Adams-
- Fanvell, 1530, Michigan avenue, à Chicago (États-Unis).
- — Adams Mfg C°, fabrique d’automobiles, 147,
- Queen Victoria Street, à Londres (Angleterre).
- — ADER (SOCIÉTÉ DES AUT0M0-
- DU CC\ 40 ter, avenue de SufFrcn, DlLtO/, Paris.
- —- Adler Fahrradwerke Vorm.Heinrick Kleyer automobiles, motocycles, à Francfort-sur-JVlein (Allemagne).
- — Aérocar C°, fabrique d’automobiles, à Détroit
- (Michigan), États-Unis.
- — Aigle, automobiles, 05, rue Lafayette, Paris.
- — Albion Motor Car C°, Ltd, automobiles, South
- streot, Scotstoun, Glascow (Angleterre).
- — Alldays and Onions, Ltd, fabrique d’auto-
- mobiles, k Birmingham (Angleterre).
- — Allgemeine Berlineii Motor-Wagen-Gesell-
- SCHAFT, fabrique d’automobiles, 21, Lünebur-gerstrasse, k Berlin (Allemagne).
- — Alvargonzalez, fabrique d’automobiles Hor-
- miga, à Gijon (Espagne).
- — American Locomotive Automobile C°, cons-
- truction d’automobiles, 1886, Broadway, New-York (États-Unis).
- — American Motor Car C°, fabrique d’automo-
- biles The American,k lndianopolis (Iiuliana), États-Unis.
- — Anglada, fabrique d’automobiles, k Puerto
- de Santa Maria (Cadix), Espagne.
- — Ansaldi-Ceirano, automobiles S. P. A., Da-
- mera Crocetta, h Turin (Italie).
- — Apis (Automobiles). — Voir Falermitani
- (Automobili), Italie.
- — Apperson Brothers Automobile C°, fabrique
- d’automobiles, k Kokomo (Indiana) États-Unis.
- — Aquila (Fabbrica Italiana di Automobili), 9, via
- Bonsignore, k Turin (Italie).
- — Andiurme, fabrique d’automobiles électriques.
- — Voir Diaz, Espagne.
- — Ariel Motor C°, Ltd, automobiles, 133.
- Long Acre, Londres (Angleterre).
- — Argus Motoren - Gesellschaft , fabrique
- d’automobiles, 1, Prinz Louis Eerdinand-strasse, k Berlin (Allemagne).
- — Argyll Motors, Ltd, fabrique d’automobiles,
- à Glascow (Angleterre).
- — Ariel Company, fabrique d’automobiles, k
- Bridgeport ( Connecticut), É ta ta- U nis.
- — ARIÈS (SOCIÉTÉ ANONYME DES
- AUTOMOBILES , k Villeneuve -la Garenne (Seine).
- — Armes, Cycles et Automobiles (Société
- Manufacturière d'). — Automobile Svelte, rue Tréfllerie, k Saint-Étienne (Loire).
- — Armes de Guerre (Fabrique nationale d’)t
- k Herstal-lès-Liége (Belgique). Construction d’automobile3 et motocyclettes.
- — Armstrong, Whitworth and C°, Ltd,
- fabrique d'automobile.:-, Great Peter Street, Westminster, k Londres (Angleterre).
- — Arrol Johnston Car C° Ltd, (The New),
- fabrique d’automobiles, Underwood, à Paisley Seotland (Angleterre).
- — Atlas (Société des Voitures Automobiles),
- construction d’automobiles, 101, rue de la Convention, Paris.
- — Auburn Automobile C°, fabrique d’automo-
- biles, k Auburn (Indiana), États-Unis.
- — Ausonia, voitures électriques. — Voir Camonat
- Giussani, TurrinMi et Cie.
- — Austin Automobile C°, fabrique d’automobiles,
- Grand Rapids (Michigan), Etats-Unis.
- — Austin Motor C°, Ltd, fabrique d’automobiles,
- Northfleld, Birmingham (Angleterre).
- — Austral (Société anonyms de constructions
- mécaniques /’), automobiles, 8, rue du Débarcadère, Paris.
- — Auto-Camion (Société V), automobiles, 128,
- rue du Bois, à Levallois-Perret (Seine).
- — Autocar Company, automobiles, à Ardmore
- (Pa.), États-Unis.
- — Auto-Car Equipment C°, omnibus automo-
- biles, à Buffalo (New-York), États-Unis.
- — Aulo-Léger (//), automobiles, k Lyon (Rhône),
- et 10, rue de Grammont, Paris.
- — Auto-Mixte (Société ly), fabrique d’automo-
- biles, 93, rue Hayeneux, à Herstal-lez-Liége (Belgique).
- AUTOMOBILES INDUSTRIELS (SOCIÉTÉ GÉNÉRALE DES),
- voitures industrielles automobiles, 3, rue-Vignon, Paris.
- AUTOMOTO.
- Voir Constructions mécaniques de la Loire (Sociétède)*
- — Automotrice (Société anonyme'V).— Voir Radia-
- (Société des voitures).
- — Auto-Tracteur (L’), fabrique d’automobiles,
- 103, rue de la Convention, Paris.
- — Auto-Vapeur (Société V), automobiles, 116,
- boulevard Pereire, Paris.
- — Aveling et Porter, tracteurs k vapeur, k
- liochester (Angleterre).
- — B. A. C. (Automobiles). — Voir Berliner Auta
- Cie, k Berlin.
- — Bail et Cie, automobiles Minerve, 30, rue-
- du Point-du-Jour, à Billancourt (Seine).
- — Bailleau (A), automobiles légères, 18, route-
- de Chilly, k Longjumeau (Seine-et-Oise).
- — Baker-Cormerais Motor Car C°, fabrique-
- d’automobiles, 141, Massachussets avenue, k Boston (États-Unis).
- — Baker Motor Electric C° (The), automobiles-
- électrique3, k Cleveland (Ohio), États-Unis.
- — Baker Motor Vehicle C°, fabrique de voi-
- tures électriques, 18, Jessie Street, k Cleve-land (Ohio), États-Unis.
- -— Banker C°, fabrique d’automobiles, 1253, Michigan avenue, à Chicago (États-Unis).
- — Barford et Perteins, rouleau automobile-
- pour la culture, k Péterboroug (Angleterre).
- — Bariqüand et Marre (Société anonyme des
- Ateliers), fabrique d’automobiles, 127, rue Oberkampf, Paris.
- — Barré (G.), et Cie, fabrique d’automobiles
- et garage, avenue de la République, à Niorp (Deux-Sèvres).
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- p.722 - vue 724/946
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- CHASSIS COMPLETS
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- — Barrio, constructeur des automobile! La fleur,
- — Bartholomew C°, fabrique d’automobiles
- The Qlide, 220, Glidc Street, à Pcoria (Illinois) États-Unis.
- — Basset et Méline, automobiles « Ibis », 21,
- rue de Oourcelles, à Levallois-Perret. (Seine).
- — Bâtes Automobile C°, fabrique d’automo-
- biles, il Lansing (Michigan), États-Unis.
- — Baufort Motor C°, fabrique d’automobile-.,
- 14, Baker Street, London W (Angleterre).,
- -BAYARD-CLÉMENT , tomobiles,33,quAi
- Michelet, fi Levallois-Perret (Seine).
- — Belgica, automobiles, rue Van der Straete.i
- Bruxelles (Belgique).
- — Belsize Motors Ltd, fabrique d’automo-
- biles, à Clayton (Manchester), Angleterre. nri|7 O po ( Rheinische Gastmotoren Fabrik DtN£ Ot L Aktienqesellschaft ) , voitures automobiles, à Mannheim (Allemagne).
- — Berg Touring Car. — Voir Worthinyton
- Automobile C° (États-Unis).
- — Bergmann’s Industrie - Werke , fabrique
- d’automobiles, ;\ Gaggenar (Grand-duché du Bade).
- — Berkshire Automobile 0°, fabrique d’auto-
- mobiles, à Pit-tsfleld (Mass.), États-Unis, nrni irT fabrique d’antomobile3,12,chemin D t h L11 I , des Quatre-Maisous, à Lyon-Mont-plaisir (Rhône).
- — Berliner Motorwagen - Fabrik , fabrique
- d’automobiles, Tempelhofstrasse a. d. Iting-balin (Allemagne).
- — BIANCHI (E.) ET C“,
- Nmo Bixio, Milan (Italie) ; Bousquet et O1", représentants, 95, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- — Birkigt (Automobiles, système), — Voir
- Hispano Suiza (Espagne).
- — Bliss Car C°, fabrique d’automobile3, 1023,
- Broadway (New-York), États-Unis.
- — Blomstrom Motor C°, automobiles Queen,
- à Détroit (Michigan).
- — Boisse (/. de), fabrique d’automobiles, 40,
- rue des Amandiers, Paris.
- — Boude (Société Anonyme des Automobiles), 87, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — BollÉe (Amédée). — Constructeur d’auto-
- mobiles, 99, avenue de Paris, au Mans (Sarthe).
- — BollÉe {Léon), constructeur d’automobiles, au
- Mans (Sarthe).
- — Borderel, automobiles Cail-Borderel, 135, rue
- de Clignancourt, Paris.
- — Boyer {Noé), fabrique d’automobiles, 4, rue
- de Paris, à Puteaux (Seine).
- — Bozier (G.), fabrique d’automobiles et moto-
- cyclettes, 5 et 7, rue Denis-Papin, à Puteaux (Seine).
- - BR AC IC D {Automobiles). — Voir Trèfle à DnHOlLn, Qwitre Feuilles.
- — Brevetti-Fiat {Societa Automohili), construc-
- tion d’automobiles, 17, via Cuneo, à Turin (Italie).
- — Brillié {Société des Automobiles Euqène),
- camions et tracteurs, 00, boulevard Pereire, Paris.
- - Briscœ Mfg C°, fabrique d’automobiles
- Main Office, à Détroit (Michigan), États-Unis.
- — British Automobile Commercial Syndi-
- cate, Ltd, marque B. A. C. S. Automobile^ 97-98, Long Acre ; et 1, Endelle Street, London W (Angleterre).
- — BRixia-Zust. automobile!. — Voir Zust (Brixia).
- — Brooke and C°, fabrique d’automobiles,
- Adrian Works, à Lowestoft (Angleterre).
- — Brouhot (Usines d'automobiles G.), fabrique de voitures automobiles, à Vierzon (Cher).
- —• Brulé, camions automobiles Thornycroft, 31, rue Boinod, Paris.
- — Buick Motor C°, fabrique d’automobiles,
- à Jackson (Michigan), États-Unis.
- — BÜIRE (SOCIÉTÉ ANONYME DES
- AUTOMOBILES DE LA), “S”
- mobiles. 8, rue Victor-Hugo, à Lyon (Rhôneu
- — Burlore Car C°, fabrique d’automobiles,
- à Coventry (Angleterre).
- — Cadillac Motor Car C°, automobiles, à Détroit
- (Michigan), États-Unis.
- — Cail-Borderel (Automobiles), — Voir Borderel.
- — Camions Automobiles ( Compagnie française
- de), 24, rue Saint-Vincent-de-Paul, Paris.
- — Camona, Giussani, Turrinelli et Cie, voi-
- tures électriques «Ansonia », 5, via Spontini. à Milan (Italie).
- — Campagne (E,), automobiles, 45, boulevard
- de Belleviile, Paris.
- — Canal (Ateliers du), automobiles, rue du Canal, à Borghcrout-Anvers (Belgique).
- — Cantinieui, Automobilistici Riuniti, auto-
- mobiles, 6, via Luigi Galvani Païenne (Italie.).
- — Cantono, Electric Tractor Cie, voitures
- électriques, 111 West, 37th Street, New-York City, États-Unis.
- — Cakvalho (I de) ET Cie, automobiles, 2®i
- boulevard Pereire, Paris.
- Cp 11 (Automobiles), — Voir Char~ . Ü. V. ronj Ltd,
- Automobiles delaunay belleviile
- NU\T.»F\IN.Stlt SUIVE
- p.723 - vue 725/946
-
-
-
- CLASSE à
- 724 —
- CHASSIS COMPLETS
- — Ghanon (automobiles et cycles), 22, rue Duret,
- Paris.
- — Charotte (Maurice), automobiles, 173, bou-
- levard Pereire, Paris.
- ___ P U A D DH N I Tn automobiles, 7, rue
- ünHnnUll, LIU, Ampère, à Puteaux (Seine).
- — Cheep Too Car C°, automobiles, à Détroit
- (Michigan), États-Unis.
- — CHENARD ET WALCKER SK:
- tomobiles, 7, rue de Normandie, Asnières (Seine).
- — Civelli de Bosch, Ltd, automobiles, 3, rue
- Villaret-de-Joyeuse, Paris.
- — CLÉMENT-BAYARD, ïïTÆÆ
- Levallois-Perret (Seine).
- — CLÉMENT ET GLADIATOR,
- automobiles, 76, Grande-Rue, Pré-Saint-Gervais (Seine).
- — Clément-Talbot, Ltd, automobiles, Barlby
- road, Ladleroke Grove, North Kensington, London W (Angleterre).
- — Cleveland Motor Car C°, automobiles.
- Department 4, Cleveland (Ohio), États-Unis.
- — Climax Motors, Ltd, automobiles, Coventry
- (Angleterre).
- — Cohendet (A.) et Cie, automobiles, 166, quai
- de Jemmapes, Paris.
- — Columbus Büqov C°, automobiles, Colombus
- (Ohio), États-Unis.
- — Commercial Motor Vehicle C°, automobiles.
- 259 à 267, Franklin street, Détroit (Michigan),
- — Constructions Mécaniques et d’Automo-
- biles, 38, boulevard Baudouin, Bruxelles. Belgique.
- — CONSTRUCTIONS MÉCANIQUES
- I1C IA | niDC automobiles, marque Ut LH LUInt, « Automoto », rue Parmentier, à Saint-Étienne (Loire).
- — Corbin Motor Vehicle Corporation, automo-
- biles, New-Britain. (Connecticut), États-Unis.
- — Cornilleau et Sainte-Beuve, automobiles, 67,
- boulevard Bessiôres, Paris.
- — Cornu et Fils, automobiles, 24, rue de la Gare,
- Lisieux (Calvados).
- — Corona Fahrradwerke und Metallindus-
- TRIE A. G., automobiles, Brandenbourg-sur-le-Havel (Allemagne).
- — Corre , automobiles, 37, rue de Villiers,
- Neuilly-sur-Seine.
- — Corre Company, Ltd, automobiles, 311,
- Oxford Street, Londres (Angleterre).
- — Corvvin Mfo C°, automobiles, Peabody
- (Massachusets), États-Unis.
- — Cosmo (J de), et Cie, automobiles, 20, rue de
- la Vieille-Montagne, Liège (Belgique).
- — COTTEREAU (SOCIÉTÉ ANONYME DES ÉTABLIS-
- SEMENTS), automobiles, Dijon (Côte-d’Or).
- — COTTIN ET DESGOUTTES,
- automobiles, place du Bachut, Lyon-Mon-plaisir (Rhône).
- — COURT (LUC) ET C",
- Lyon (Rhône).
- — Couverchel, automobiles, 6, rue du Château,
- Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Crawford Automobile C°, Hagerstown
- (Maryland), États-Unis.
- — CrÉanche, automobiles, 51, quai de Courbevoie,
- Courbevoie (Seine).
- — C. V. R., automobiles, 6, rue du Château,
- Neuilly-sur-Seine (Seine).
- In CLÉMENT
- — Cycles et Automobiles (Société Française
- des), 6, rue Francœur, Paris.
- —• Cyklon Maschinenfabrik, automobiles, 20, Mainzerstrasse, Berlin (Allemagne).
- — Daimbler, automobiles, Naples (Italie).
- — Daimler - Motoren - Gesellsohaft, automo-
- biles, à Unterturkheim (Allemagne).
- — Darracq (A) et Cie, automobiles, 33, quai de. Suresnes. Suresnes (Seine).
- — Darracq-Serpollet, omnibus, camions à va-
- peur, 9, rue Stendhal, Paris.
- — David, vo iturettes, 21, rue Jaraday, Paris.
- — Dayton Motor Car, automobiles, Dayton
- (Ohio), États-Unis.
- — Decauville aîné (Société nouvelle des Etablis-
- sements), automobiles, 13, boulevard Males-herbes Paris.
- — Deere-Clark Motor Car C°, automobiles,
- Moline (Illinois), États-Unis.
- —• Delage et Cie, automobiles, 102, rue Baudin, Paris.
- — Delahaye and C°, Ltd, automobiles, 10, rue
- du Banquier, Paris.
- — Delaugère, Clayette et Cie (Etablissements),
- 16, faubourg Madeleine, Orléans (Loiret).
- — DELAUNAY BELLEVILLE .'SI
- des Automobiles), à Saint-Denis-sur-Seine (Seine).
- — Dennis Bros, Ltd, automobiles. Onslow and
- Bridge Street, Guildford (Angleterre).
- — Diaz (Artinano) y de Mendoza, automobiles,
- à Bilbao (Espagne).
- — Diatto Clément (Societa Automobili), auto-
- mobiles, via Fréjus, Turin (Italie).
- — Diesel Motoren A. G., automobiles, Augs-
- bourg (Allemagne).
- - DIÉTRICH (DE) ET Ck,
- ciens Etablissements), automobiles, à Lunéville (Meurthe-et-Moselle); et 12, avenue de Madrid, â Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Dinin (A), voitures électriques, 2, quai Natio-
- nal. Puteaux.
- — DION (DE), BOUTON ETC1*,
- automobiles, 36, quai National, Puteaux (Seine).
- — Dolorès Company, automobiles, 21, boulevard
- des Capucines, Paris.
- — Dolson ( John ) and Sons, automobiles,
- Charlotte (Michigan), États-Unis.
- — Doriot, Flandrin et Cie, automobiles, 12,
- rue Hudri, à Courbevoie (Bécon-les-Bruyères). Seine.
- — DorriS Motor Car C°, automobiles, 1215, Van-
- deventer avenue, Saint-Louis (États-Unis).
- — Dubois (Usines), automobiles, 32, rue de la
- Boule-d’Or, Niort (Deux-Sèvres).
- — Duquesne American C°, automobiles, Ja-
- mestown (New-York), États-Unis.
- — Durey-Sohy, automobiles, 17, rue Le Brun,
- Paris.
- — Durkopp and C°, automobiles, Bielefeld
- (Allemagne).
- — Duryea Motor C°, automobiles, Widdrington.
- Coventry road (Warwickshire), Angleterre.
- — Duryea Power C°, automobiles, 57, canal
- Reading, Pensylvania (États-Unis).
- — Dussex (Léon) Car, automobiles, 17, Hanovre
- square, Londres (Angleterre).
- — ÉCLAIR (L’), automobiles. — Voir TLelbé.
- — Économie (Voiturettes). — Voir Lepape Paris.
- — Edge, automobiles Napier, 14, New Burling-
- ton street, à Londres (Angleterre).
- — E. G. A., automobiles. — Voir Entrepôt Général
- de VAutomobile.
- a fait ses preuves au TOURIST TROPHY 1006 Usines : PRÉ-SAINT-SERVAIS
- p.724 - vue 726/946
-
-
-
- CLASSE I
- CHASSIS COMPLETS
- -- 726 —
- — E. H. V. Company, automobiles « Compound »,
- à Middletown (Connecticut), États-Unis.
- — Eisenach Fahrzengfabrick A. G., auto-
- mobiles (Dixi-Wagen), à Eisenach (grand-duché de Saxe).
- — Electric Vehicle C°, voitures électriques
- «Columbia », à Hartfort (Connecticut). E.-U.
- — Electrique (Société anonyme V), voitures
- électriques « Gallia », 17, rue Jean-Goujon, Paris.
- — Electroluxe (D, voitures électriques, 7, rue
- d’Isly, Paris.
- — Electromobile C°, Ltd, voitures électriques,
- 7, Curzon Street, à Londres (Angleterre).
- — Electrohobile-Scheele, voitures électriques,
- à Cologne-sur-le-Rhin ( Allemagne).
- — Electromotion (H, voitures électriques, 5, route
- de la Révolte, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Élégante (/’), automobiles. — Voir Mercier
- (.J.-l?.), Paris.
- — Elmore {manufactory C°), automobiles, 1204,
- Amanda Street, Clyde (Ohio), États-Unis.
- — Elsworth Automobile C°, automobiles. 24, Man-
- ningham Lane Street, à Bradfort (Anglet.).
- — Enfield Autocar C°, fabrique d’automobiles.
- à Redditch (Angleterre).
- — Entrepôt Général de l’Automobile, auto-
- mobiles E. G. A., 209, boulevard Péreire, Paris.
- ___ CCPCRIJI (automobiles.) — Voir Sociéta Au-
- t O r L 11 IM tomobili Lombarda.
- ___ riinri |U (Maison), automobiles, 32 bis,
- tLUULLIIi rue Desrenaudes, Paris.
- — Eurêka (Automobiles), 210 ter, ‘ boulevard
- Péreire, Paris.
- — Evansville Automobile C°, automobiles à
- transmissions à plateaux, à Evansville (Indiana), États-Unis.
- — Express (Voiturettes). — Voir Griès et Huet.
- — FABBRICA AUTOIYIOBIU STAN-
- n A D n automobiles, 20, corso Siccardi, U H nu, à Turin (Italie).
- — Fabbrica di Automobili Florentia, auto,
- mobiles, 24, via Ponte All’Asse,à Florence (I.).
- - FABBRICA DI AUTOMOBILI
- ITfll A via 1>etrarca» & Turin (Italie); llfILH, et 50, rue d’Anjou, Paris.
- — Fabbrica Italiana Automobili Torino (Au-
- tomobiles Fiat), 35, corso Dante, à Turin (Italie).
- — Fabbrica Ligure di Automobili Genova, au-
- tomobiles, F. L. A. G. siège social à Gênes (Italie), usines à, Spezia.
- — Fabbrica Torinese di Automobile automo-
- biles « Junior », 56, corso Massino D’Azeglio, à Turin (Italie).
- — Fabbrica Torinese di Châssis, 17, corso
- Firenze, à Turin (Italie).
- — Fahrzeug - Fabrick Eisenach, automobiles.
- « à Dixi-Wagen », à Eisenach (Allemagne),
- FA ç automobiles. — Voir Standard H« (Italie).
- — Faure, automobiles, rue de Toulon, à Lyon (Rhône).
- — Féron-Vibert, automobiles, à Soissons (Aisne), — F. E. R. T., automobiles. — Voir Antonietti et Ugonino, à Turin (Italie).
- — F. I. A. T. — Voir Fabbrica Italiana di Automobili.
- — Fiat-Ansaldi (Societa Automobili). Transformé en Brevetti-Fiat (Societa Automobili).
- — Fidelia, voiture à vapeur, 4, rue Hanneloup. à Angers (Maine-et-Loire).
- — Fides (Societâ), automobiles, 36, via Tritone, à Rome (Italie).
- — Figini (Luini), voitures automobiles, 16, viale
- Yolta, à Milan (Italie).
- — F. L. A. G., automobiles. — Voir Fabbrica
- Ligure di Automobili Genova.
- — Florentia. — Voir Fabbrica di Automobili
- « Florentia ».
- — Flying Star (Automobiles), 106, avenue de la
- République, Paris.
- — Fogarty, automobiles, 142, West, 38th street,
- à New-York (États-Unis).
- — Ford-Motor C°, automobiles, à Détroit
- (Michigan), États-Unis.
- — Forest - City - Motor Car C°, automobiles
- « Jewell », à Massillon (Ohio), États-Unis.
- — FOUILLARON (G.). rrbÆ«.î4i
- Levallois-Perret (Seine).
- — Foulley, avant-trains, 24, rue de Loos, Paris.
- — Fraignac, automobiles, 9, rue Devês, il Neuilly-
- sur-Seine (Seine).
- — Franeau (Etablissements), automobiles, 15, rue
- Veydt (avenue Louise), à Bruxelles (Belgique).
- — Franklin (H. II.) M. F. G. C°, automobiles,
- il Syracuse, New-York (Étals-Unis).
- — Frayer-Miller Motor Car C°, automobiles
- à refroidissement par l’air, Broadway et 65th street, à New-York (États-Unis).
- —• Gale (The), automobiles. — Voir Western Tool Works.
- — Gallia ( Société des voitures électriques ). — Voir Electrique (V), Paris.
- — Galliette (Voiturette électrique).— Voir Electrique (V), Paris.
- — Garcin et Renault, voitures électriques, 11,
- cité Bertrand, Paris.
- — Garfield Automobile C°, automobiles, 1199,
- Garfield boulevard, à Chicago (Illinois).
- — Gas-au-Lec, automobiles. — Voir Cortvin
- Manufacturing C°.
- — Gaubert (automobiles).— Voir Chanon, Paris.
- — Georges Richard (Anciens Etablissements). —
- Voir Trèile à Quatre-Feuilles (Le).
- ___ P [T DM AIN (Société Anonyme des Ateliers),
- U L n ITIHI 11 automobiles, matériel roulant pour voies ferrées, h Monceau-sur-Sambre, par Marchiennc-au-Pont, près Charleroi (Belgique).
- — Germain, automobiles, 1, Hanover court,
- Hanover street, à Londres (Angleterre).
- — Gillet-Forest (Société des Automobiles ),
- automobiles, 75, aveune de la Grande-Armée, Paris.
- PI AREATHD automobiles, 76, Graiïde-ÜLMUIH I Un, Rue, au Pré-Saint-Ger-vais (Seine).
- — Glide ( The ) automobiles. — Voir Bartho-
- lomevo C° (États-Unis).
- — GOBRON - Brillié ( Société des Automobiles ),
- 13, quai de Boulogne, à Boulogne-sur-Seine (Seine).
- — Goujon, automobiles, 53, rue Borghèse, il
- Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Graf et Stift, automobiles, 70, Weinberg-
- gasse, à Vienne (Autriche).
- __ PDCPHIDC (Automobiles), 55, boulevard unCuUInt Devaux,àPoissy,Scine-et-Oise.
- — Griès et Huet, voiturettes « Express », à
- Lille-Saint-Maurice (Nord).
- — Gros .(F.), automobiles à 0 roues, 56, boulevard
- Barbés, Paris.
- — Grout Brothers Automobile C°, automo-
- biles « Grout », à Orange, Massachusetts (États-Unis).
- — Gui (Le), automobiles. — Voir Guillemin et Cl*\
- — Guibert, voitures électriques, 11, cité Ber-
- trand, Paris.
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- SONT LES PLUS CONFORTABLES
- p.725 - vue 727/946
-
-
-
- CLASSE I
- CHASSIS COMPLETS
- ---72() -----
- — Guillemin (H.) et Cie, automobiles, 10, rue
- de Metz, à Courbevoie (Seine).
- -— Gyptis, automobiles. — Voir Meynadier (P.).
- — Hagen (Gottfried), voitures électriques, à Kalk,
- près Cologne-sur-le-Bhin (Allemagne),
- — Hallot, automobiles. — Voir Giron et Cie.
- — Hammek Motor C°, automobiles, 1230,
- Majeatic Building, à Détroit (Michigan), États-Unis.
- — Hannoversche Maschinknurau AkTienge-
- sellschaft, automobiles il vapeur, à Linden, près Hannover (Allemagne).
- — Hanriot et Cie, automobiles, 11, rue Descombe3,
- Paris.
- — Hàrrisson Wagon C°, automobiles, 150,
- North Street, Grand Itapids (Michigan), États-Unis.
- — Harvey pu Crûs, automobiles, 14, Begent
- Street, Londres. — Voir Du Cros.
- — Hautier, automobiles, 13, rue Théophile-
- Gauthier, Paris.
- — IIayes {James) ( British Motor ani En yi-
- neerinj C° Ltd), automobiles, 10, Buckingham Street, Strand, à Londres (Angleterre).
- — Haynes Automobile C° {The), automobiles,
- à Kokomo (lndiana), États-Unis.
- — HelbÉ, automobiles, 10, rue de la Mairie, à
- Boulogne-sur-Seine (Seine).
- — HÉLIOS (Automobiles). — Voir Hussenot et
- Raynaud, Paris.
- — Hérald Motor C°, Ltd {The Anglo-French).
- automobiles, 20, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Hering unp Bichard, automobiles « Bex-
- Simplex » à Bonneburg (Saxe-Altenbourg).
- — Hermès, automobiles, 63, rue Laire3se, à
- Liège (Belgique).
- — Herstal-Lez-Liége {Fabrique Nationale d'Ar-
- mes de Guerre d-), automobiles. — Voir Armes de Guerre {Fabrique Nationale d’).
- ___ Hexk {Automobiles). — Voir Achenbach und
- C° (Allemagne).
- — Hispano-Suiza {La), automobiles, 54, Flori-
- dablanca, â Barcelone (Espagne).
- — Holsman Automobile C°, automobiles, à
- Chicago (Illinois), États-Unis).
- — HoRCH UND C° {Motorwajenwerke A. G.),
- automobiles, â Zwickau (Saxe).
- — Hormiga, automobiles. — Voir Alvar Gonzales
- {D. V.), Espagne.
- — Horsfàll and Bickham, automobiles, à Bridge-
- water Works, Pendleton, Manchester (AngL).
- UHTTU IIICC CT Pio Anonyme
- HUILnlVlOO Cl li des Anciens Etablissements), automobiles, 23 bis, avenue des Chainps-Élysées, Paris.
- — Hozier Engineering C° Ltd, automobiles
- « Argyll » â Glascow (Angleterre).
- — Huber {Tony), automobiles. — Voir Peugeot
- {A.), Tony Huber et Cie.
- — Hugot, voiturettes « La Simplette », 68, rue
- Michel-Bizot, Paris.
- IIIIMDrD I TH automobiles, 23, avenue h U IYID t n, L I U, des Champs - Élysées, Paris.
- — Hurtu (Compagnie des Automobiles), 29,
- avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — HüTTiS und Harbebeck, automobiles, ü
- Aix-la-Chapelle (Allemagne).
- — Ibis (Automobiles). — Voir Easset et Mêline.
- — Impérial Motor Works , automobiles, 5,
- Holdenhurst road, il Bournemouth (Anglet.).
- — Indianà Auto C°, automobiles, à Indianapolis,
- (lndiana) États-Unis).
- — Industrie Electrique et Mécanique {Compa-
- gnie de V), automobiles il Genève (Suisse).
- — Iris, automobiles. — Voir Legros et Knowles,
- Ltd.
- — Isotta Fraschini (Fabbrica Automobili), 79.
- rue Monte-Bosa, à Milan (Italie).
- B T AI II — Voir Fabbrica di Automobili IIHLH. Itala.
- — Jackson automobile C°, fabrique d’automobiles
- Jackson, Michigan (États-Unis). *
- — James and Bkowne, automobiles, 395, Oxford
- Street, Londres, W, (Angleterre).
- — Janteau, voitures électriques, 51, rue de P011-
- thieu, Paris.
- — Jean-Bart (Automobiles). — Voir Lambeit
- {Prosper).
- — Jeffery et Cle, automobiles Kenosha (Wisconsin),
- États-Unis.
- — Kalusta {Société des automobiles), 2 bis, rue
- du Château, Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Kirk 0°, construction d’automobiles, 952
- Oakuood avenue, Toledo (Ohio) États-Unis. —~ Klunziger et Cle, automobiles Hillerou-sur* Neckar (Wurtemberg).
- —- Krieger {Compagnie Parisienne des voitures électriques, procédés), 45, boulevard Ilauss-mann, Paris.
- — Kriéger Sociéta Italiana automobili, voitures
- électriques, 46, corso Bégina, Marguerita, Turin (Italie).
- — Krupp (Fried), Aktiengesell scïiaft, automobiles
- Kiel (Allemagne).
- — Lacoste et Batmann, Lti>, automobiles, 15,
- rue Danton, Levallois-Perret (Seine).
- — Lâche Motor Car C°, Ltd {The), Automobiles»
- 1, Poland Street, Oxford Street, Londres (Angleterre).
- — Lacroix et Laville {De), automobiles, à trois
- roues, Agen (Lot-et-Garonne).
- — Lafleur (Automobiles), 174, boulevard Péreire,
- Paris.
- — Laillault, automobiles, 29, quai d’Asnières,
- Asnières (Seine).
- — Lambert (Prosper), (Établissements), auto-
- mobiles, 18, route de Cherbourg, Nanterre (Seine).
- — Lancuester Motor C« Ltd (The', automobiles,
- Sparkbrook et Liverpool Street, Birmingham (Angleterre).
- —- Lapertot (O), automobiles, rue Désirée, Saint-Étienne (Loire).
- — Latil, automobiles, 9, rue Neuve-de-Villiers,
- Levallois-Perret (Seine).
- — Laurin et Elément, automobiles, Jungbunzlau
- (Autriche).
- — Lefebvre {Léon), voitures légères, 110, rue du
- Bois, Levallois-Perret (Seine).
- — Legros, automobiles, 16, rue de l’Inondation,
- Fécamp (Seine-Inférieure).
- — Legros et Knowles Ltd, automobiles, Cum-
- berland Park AVilles don Junction, Londres (Angleterre).
- — Liberator, automobiles, 2, rue Adolphe-Adam,
- Paris.
- — Linon, automobiles, Ensival-les-Verviers (Bel-
- gique).
- — Locomobile Company of America (The), auto-
- mobiles, Bridgeport (Connecticut), États-U.
- — Locomotion Electrique {Société de), omnibus
- électriques, 20, rue Vignon, Paris.
- — Logan construction C°, automobiles, Chillicothe,
- (Ohio), États-Unis.
- — Lohner C°, automobiles, 2, Porzellangasse, â
- Vienne (Autriche).
- — Louet et Badin, automobiles, 90, avenue Gam-
- betta, Paris.
- — Locomotrice (Société anonyme La), automobiles,
- 35, rue des Vennes, Liège (Belgique).
- [Automobiles B EN Z, à Mannheim]
- p.726 - vue 728/946
-
-
-
- CLASSE I
- CHASSIS COMPLETS
- — —
- LOMBARDA
- (Soeiéta Automobili), automobiles, ii Bergamo (Italie).
- LORRAINE-DIÉTRICH j Voir Diétrich
- {Etablissements de).
- — Lozier Motor C°, automobiles, 1733, Broadway, New-York (États-Unis).
- -LUC COURT ET Ci0, SonSS,8^
- Lyon (Rhône).
- — Lucette, automobiles, 153, avenue Parmentier,
- Paris.
- — Lucia, automobiles, 200, boulevard Péreire, Paris
- — Lutèce (Automobiles), 20, avenue de la Grande-
- Armée, Paris.
- — Lunant, automobiles, 218, avenue de Saxe,
- Lyon (Rhône).
- — Maerten, automobiles, 17, rue Saint-Martin,
- Troyes (Aube).
- — Mahout, automobiles, 213, boulevard Raspail,
- Paris.
- — Mal-Ter, automobiles, 128, rue du Bois, Leval-
- lois-Perret (Seine).
- — Manon, automobiles, 17, rue du Débarcadère,
- Paris.
- — Marbais, automobiles, 0, rue du Louvre, Paris.
- — Marbais et Lasnier, châssis, 6, rue Saint-
- Sabin, Paris.
- — Marchand (Fabbrîca Italiana di vetture auto-
- rnobili), automobiles, Piacenza (Italie).
- — Marie (Émile), voiturettes. â Bayeux (Calvados). Marion Motor Car C°, automobiles, Indiano-
- polis, (Indiana), États-Unis.
- — Marse, avant-trains, 8, rue Ruhmkorff, Paris.
- — MARTIN ET LETHIMONNIER,
- automobiles « Sultane », 32, rue Félicien-David, Paris-Auteuil.
- — Martini automobile C°, Ltd, automobiles,
- à Saint-Biaise, Suisse.
- — Matheson Motor Car C°. automobiles, Hol-
- yoke (Massachussetts), États-Unis.
- — Maxwell Briscoe Motor C°, automobiles,
- New-York (États-Unis).
- — Mécanique et de Moteurs {Société anonyme de),
- automobiles, Liège (Belgique).
- — Mendelssohn et Cu*, automobiles, 5, boulevard
- Bineau, Levallois-Perret (Seine).
- — Mercédès Daimler Motoken Gesellschaft,
- automobiles, Untertuerkheim, près Stuttgard (Allemagne).
- — Mercédès électrique, 39, rue La Boétie, Paris.
- — Mercier, automobiles, 6, rue Saint-Ferdinand,
- Paris.
- — Mesmay (Veuve A. de), automobiles, 36, quai
- Gayant, Saint-Quentin (Aisne).
- MËTJM I II DPIHH ET ($ociété anonyme de “ Iflt I ALLUnulyU t construction La), automobiles, il Marchienne - au - Pont, près Charleroi (Belgique).
- — Meynadier, automobiles, 39, avenue de la
- République. Marseille (Bouches-du-Rhône)-
- — Michigan Automobile C°, automobiles, Kal.a
- niazoo (Michigan), États-Unis.
- MI CIIC C CT ( Société des Etablissements ), IvlltUOOU I automobiles, 152, route d’Hey-rieu, Lyon (Rhône)..
- — MILDË (CH.), FILS ET C
- triques, 60, rue Desrenaudes, Paris.
- — Millot (Anciens Établissements),automobiles,
- Gray (Haute-Saône).
- — Milnes-Daimler, Ltd, automobiles, 221, Tot-
- tenham, court road, Londres (Angleterre).
- — Minerva Motors, Ltd, automobiles, 40, Holborn
- Viaduct, Londres (Angleterre).
- — Mira (Automobiles), 20, rue d’ArmenonviUe
- à Neuilly-sur-Seiue (Seine).
- — Mistral, voiturettes. — Voir Jiozier, à Puteaux
- — Mitchell Motor Car C°, automobiles, Racine,
- (Wisconsin), États-Unis.
- — Mollier, automobiles, 209, avenue de Neuilly,
- Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Moline automobile Company, automobiles,
- Bast-Moline (Illinois), États-Unis.
- — Mom (Automobiles). — Voir Charotie.
- — Monauch Automobile C°, automobiles, Aurora
- (Illinois), États-Unis.
- — Moon Motor Car C°, automobiles, Main Street,
- Saint-Louis (États-Unis).
- — Moore Automobile C°, automobiles, 571, Fiftli
- avenue, New-York (États-Unis).
- — Morgan and C°, Ltd, automobiles, 127, Long
- Acre (W. C.), Londres (Angleterre).
- — Morisse Frères, automobiles, 2, boulevard
- Saint-Michel, Étampcs (Seinc-et-Oise).
- — MORS (SOCIÉTÉ ANONYME
- D’ÉLECTRICITÉ ET D’AUTOMOBILES), Srisme dl1 Théâtre>
- — Motobloc, automobiles, 102, rue des Vivants,
- Bordeaux-la-Bastide (Gironde).
- — Motoucar C°, automobiles, 226, Twenty-First
- Street, Détroit (Michigan) États-Unis.
- — Motor Car C°, Ltd, automobiles, 168, Shaftes-
- bury avenue, à Londres (Angleterre).
- — Motor Car Emporium, Ltd {The), automobiles,
- Addison, road North, Londres (Angleterre).
- — Motte, automobiles, 25, rue de Courcelles,
- Levallois-Perret (Seine).
- — Nacke, automobiles, Coswig (Saxe).
- — Napier Motor C° oe America, automobiles,
- Boylston Street, Boston (États-Unis).
- — Napier Motors Automobiles, 14, New Bur-
- lington Street-, Regent Street, Londres (Angleterre).
- — National Motor Vèhicle C° automobiles, 1000,
- Kast, 22 d. Street, Indianopolis (Indiana), États-Unis.
- — Nesselsdorfer Wagen Fabriks, automobiles,
- Nesseklorf (Moravie), Autriche.
- — Neue Automobil Geselssciiaft, automobiles,
- 45, Dorotheenstrasse, B?rîin (Allemagne).
- — Niclausse et C1c, automobiles, 24, rue des Ardennes, Paris.
- — Nordyke et Marmon C°, automobiles, India-
- nopolis (Indiana), États-Unis.
- —- Northern C°, automobiles, Détroit (États-Unis).
- — Olds Motor Works, automobiles, Lçjjsing
- (Michigan), États-Unis.
- — Opel (Adam), automobil, Werke, automobiles,
- Russelsheim-sur-le-Mein (Allemagne).
- — Orel, automobiles, 130, rue de Saint-Germain,
- Argenteuil (Seine-et-Oise).
- — Orion, automobiles, Hardturmstrasse, Zurich
- (Suisse) ; et 175, rue de Paradis, à Marseille (Bouches-du-Rhône).
- — Orléans-Car, automobiles, Berry Street, Liver-
- pool (Angleterre).
- — Otto, automobiles, 242, rue Lecourbe, Paris.
- — Packard Motor Car C°, automobiles, Détroit
- (Michigan), États-Unis.
- — Palmer Automobile Mfg, C°, automobiles,
- 731, Schofield, Building, Cleveland (Ohio) États-Unis.
- PANHARD ET LEVASSOR
- {Société anonyme des anciens établissements), automobiles, 19, avenue d'Ivry, Paris.
- /PU \ automobiles. Pont-à-Mous-rAn I L \IH.), son, (Meurthe-et-Moselle).
- [RECORD de» Ooxisommatlon
- BERLIETI
- p.727 - vue 729/946
-
-
-
- CHASSIS COMPLETS
- -------------<——'------------
- CLASSE I --- 728 ---
- — Passe-Partout (Société des automobiles Ltd),
- 18, avenue de la Révolte, Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Peerless Motor Oar C°, automobiles, 43, Lisbon
- Street, Cleveland (Ohio), États-Unis.
- — Peterborough Motor C°, automobiles, Peter-
- borough (Angleterre).
- — Petit [Alfred), automobiles, 4, rue Hanneloup,
- Angers (Maine-et-Loire).
- — PEUGEOT FRÈRES (LES FILS
- nr\ voiturettes « Lion », à Valen-Ut/, tigney (Doubs).
- — Peugeot (Société anonyme des automobiles),
- 83, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris.
- PEUGEOT-CROIZAT,
- Turin (Italie).
- — Pfister, voiturettes, place Chaudron, Lau-
- sanne (Suisse).
- — Phœnix, automobiles, Aix-la-Chapelle (Alle-
- magne).
- — Piedbœuf, automobiles, 63, rue de Pragnée,
- Liège (Belgique).
- — Pierce C° (The), automobiles, Buffalo, New-
- York (États-Unis).
- ___ nil hiu (Société des automobiles), 17, chemin
- rlLHIR de Monplaisir, Grange-Rouge, Lyon (Rhône).
- — Pipe (Ce belge de construction d’automobiles,
- Usines), automobiles, 8, Ruysdaël, Bruxelles (Belgique).
- — Pivot, automobiles, 222, rue de Rivoli, Paris.
- — Polyphon-Musucwerke A. G., automobiles,
- Wahren, Leipzig (Allemagne).
- — Pope Manufacturing C°, automobiles, Hartford
- (Connecticut), États-Unis.
- — Pope Motor Car, automobiles, Toledo (Ohio),
- États-Unis.
- — Porthos (Société des automobiles), 12, rue du
- Dôme, Billancourt (Seine).
- — Premier Motor Mfg, automobiles, George Street,
- Indianopolis (Indiana), États-Unis.
- — Prétot, avant-trains, 42. avenue Philippe-
- Auguste, Paris.
- — Prunel (Société des Usines), automobiles, 4,
- rue de Paris, Puteaux (Seine).
- — Prunello Frères Dumas et Cie, automobiles,
- 10, rue de Paris, Puteaux (Seine).
- — PURREY (VALENTIN), ”£7,blla‘
- boulevard J.-J. Bosc, à Bordeaux (Gironde).
- — Queen, automobiles. — Voir Blomstrom motor C°
- (Etats-Unis).
- ___ D A n I A des voitures), 12 et 14, rue
- il H U1H Barbés, à Levallois-Perret (Seine).
- —• Ramier Company (The), automobiles, Broadway ; et 50 th. Street, à Ne w-York (Etats-Unis).
- — Rambler, automobiles. — Voir Jeffery et Clc
- (États-Unis).
- — R. And L. Electric, automobiles. — Voir
- Rauch and Lang Carriage.
- — Rapid (Société. Torinese automobile) automobiles,
- Barriera di Nizza à Turin (Italie).
- — Rapid motor vehicle C°, automobiles, à Pontiac,
- Michigan (États-Unis).
- — Rauch and Lang Carriage C°, automobiles élec-
- triques, à Cleveland Ohio (États-Unis).
- — Ravel et Homeyer, automobiles, 114, rue
- d’Annonay, t\ Saint-Étienne (Loire).
- — Rayet, Liénard et Cle (Société de Construction
- automobile de Reims) à Witry-les-Reims, près Reims (Marne).
- — Rebour, automobiles, 3, rue Ampère, à Puteaux
- (Seine).
- — Regent (The), automobiles. — Voir Edge (S. F.),
- Ltd.
- — Régina Dixi, automobiles. — Voir Electrique
- (L’), Paris.
- — Reims (Société de construction automobile de)T
- automobiles. — Voir Rayet, Liénart et Ole.
- — Reiss et Cle, automobiles, Oberwall strasse, à
- Berlin (Allemagne).
- — Relianoe motor Car C°, automobiles, à Détroit
- (Michigan), Etats-Unis.
- — RENAULT FRÈRES, ÏT5S
- Jour, à Billancourt, (Seine).
- — Renée (Louis), automobiles, à Soissons (Aisne).
- — RÉo motor Car C°, automobiles, à Lansing
- (Michigan), Etats-Unis.
- — Républic, voiturettes, I. Wollmann, à Padoue
- (Italie).
- — Rex-Simplbx, automobiles. — Voir Héring et
- Richard (Allemagne).
- — Rheinische automobil Werke Aachen, auto-
- mobiles, à Aix-la-Chapelle (Allemagne).
- — RICHARD (GEORGES),
- (voitures).
- — D IP U A D H (S°eîété des anciens établisse-nltnHnU ments Georges Richard), voitures
- Brasier. — Voir Trèfle à Quatre-Feuilles.
- — RICHARD-BRASIER,
- Quatre-Feuilles.
- — ROCHET ET SCHNEIDER,
- automobiles, 57 et 59, Chemin Feuillat,. à Lyon (Rhône) ; représentants : de la Fres-naye et C'le, 15, rue du Débarcadère, Paris.
- :— Rolland et Pilain, automobiles, 95, rue Victor-Hugo, à Tours (Indre-et-Loire).
- — Rolls and C°, automobiles, 14, Conduit Street,
- à Londres (Angleterre).
- — Roma (Société di Automobili), automobiles, 60,
- via Due Macelli, à Rome (Italie).
- — Ronteix, avant - trains, 30, avenue de Saint-
- Ouen, Paris.
- ROSSEL (F.) ET Cl
- automobiles, à Sochaujx, par
- Montbéliard. (Doubs).
- Roussel (Anciens Etablissements), automobiles et moteurs, boulevard des Deux-Villes, à Méziêres (Ardennes).
- Rover company, Ltd, automobiles, Meteor Works, à Coventry (Angleterre.)
- DIW (D \ automobiles, 130, route d’Or-
- nUI léans, au Gd-Montrouge (Seine).
- Royal motor Car C° (The), automobiles, à Cléveland, (Ohio.) (Etats-Unis).
- Runabout (petite voiture électrique). — Voir Electric Véliicle C°
- Ruppe et Sohn, automobiles « Piccolo », à Apolda (Saxe-Weimar).
- Sage (Société anonyme des anciens ateliers P»), automobiles, 57, rue Emeriau Paris.
- Saint-Chamond (Compagnie des Forges et Aciéries de), châssis, Saint-Chamond (Loire).
- Saint-Louis motor Car C°, automobiles, Prospect Heights Peoria (Illinois) Etats-Unis.
- Sa automobiles. — Voir Sociétâ auto-• A. L., mobili Lombarda.
- Salvert (de), automobiles. — Voir Perrier et Clc. Sanchis (Enrique), automobiles, 60, rue Pierre Charron, Paris.
- San Giorgio (Société), automobiles, 1 via Sotto-ripa, à Gênes (Italie).
- • Saroléa (mais »'), automobiles, 269, rue Saint-Lambert, à Herstal, Liège (Belgique).
- - Sayers and C°, automobiles, 92, Wandsworth Road, Vauxhall, Londres S. W. (Angleterre). • S. C. A. R., automobiles.— Voir Rayet, Liénart et Cie.
- n A I A LES MEILLEURES VOITURES POUR LE GRAND TOURISME
- nAUlA 12, rue Barbè5, LEVZfcLLOIS (Seine)
- p.728 - vue 730/946
-
-
-
- CLASSE 1
- 729 —
- CHASSIS COMPLETS
- — S. C. A. T., automobiles. — Voir Società Ceirano.
- — Scheibler Automobil Indtjstrie, automobiles,
- 20, Bachstrasse, à Aix-la-Chapelle (Allemagne).
- — Scotte (aSociété des chaudières et voitures à vapeur
- système) 56, rue de Provence, Paris.
- — S. E. M., marque de fabrique des établissements
- Mieusset.
- — Serpollet, automobiles à vapeur. — Voir
- Darracq-Serpollet, Ltd.
- — Serpollet, Italïana (la), voitures vapeur, via
- Bernina, à Milan (Italie).
- — Siddeley autocar C°, automobiles, 70, York
- Street (Westminster) à Londres (Angleterre).
- — Sidney Straker and Squire, Ltd, automobiles
- et omnibus, 5, Nelson Square, Blachfriars road, à Londres (Angleterre).
- — Silencieuse (la), voitures électriques. — Voir
- Electromotion {société V).
- — Simplette (La), voiturette — Voir Hugot, Paris.
- — Singer et C°, Ltd, fabrique d'automobiles, à
- Coventry (Angleterre).
- — Sizaire ET Naudin, (société des automobiles),
- 79, rue de Lourmel, Paris.
- — Smith auto company, fabrique d'automobiles
- à Topeka (Kansas), Etats-Unis.
- — SOCIETA AUTOMOBILI LOIVI-
- D A R fl A construction d’automobiles « Es-DHnUH, peria », à Bergamo (Italie).
- — Societa Ceirano Automobili Torinese, auto-
- mobiles, 66, via Madame Cristina, ù. Turin (Italie).
- — Societa Piemonte Automobili. — Voir Ansaldi-
- Ceirano.
- — Sooiéta Torinese, fabrique d'automobiles,
- S. T. A. R., corso Principe Umberto, à Milan (Italie).
- — SOCIÉTÉ ANONYME DE CONS-
- TRUCTIONS MÉCANIQUES DE
- Ul fi ID C fabrique d'automobiles, à, LUInC. Saint-Etienne (Loire).
- — Société Française D'Initiative pour le transport par automobiles, 17, boulevard Hauss-mann, Paris.
- - SOCIÉTÉ LORRAINE DES ANCIENS ÉTABLISSEMENTS DE
- niCTDIPU CT Pij de Lunéville. — UILiniün Cl u j Voir Diétrich (de)
- - SOCIÉTÉ LYONNAISE DE CONSTRUCTION D’AUTOMOBILES.
- — Voir Rocket-Schneider.
- — Soleil, automobiles. — Voir Mendelssohn et C°. — Solidor {automobiles), — Voir Beaulieu und Krone,
- — Sommer Motor Car C°, automobiles, il Détroit (Michigan), Etats-Unis.
- — Sorex (Automobiles), 40, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- s— S. P. A. (Automobiles). — Voir Ansaldi-Ceirano — Speednell motor C°,fabrique d'automobiles,151, Knightsbridge, à Londres,S. W. (Angleterre). — Spyker frères {Usines de Tromperibourg), automobiles, à Amsterdam (Hollande).
- — Stabilia, automobiles. —r Voir Vrard et CIe.
- ___ CTANHADn (Société automobili), construc-
- O I H 11 U H nU tion d'automobiles, 20, Corso Siccardi, Turin (Italie).
- — STANDARD-GERMAIN, - vôÆ
- main {Ateliers), à Monceau-sur-Sambre (Belgique).
- — Standard motor C°, Ltd, fabrique d’automo-
- biles, à Coventry (Angleterre).
- — S. T. A. R. {automobiles), — Voir Torinese
- {société).
- — Star Engineering C° (The), automobiles, à
- Wolverhampton (Angleterre).
- — Stearns C°, automobiles, 2985, Evclid avenue, à
- Cléveland (Ohio), Etats-Unis.
- — Stella, automobiles. — Voir Industrie Elec-
- trique et Mécanique (Cle de V), à Genève.
- — Stevens arms et Tool C°, automobiles, 900,
- main Street, Chicopee Palis (Massachusetts), Etats-Unis.
- — Stevens Duryea {automobiles). — Voir Stevens
- Arms.
- -— Stoddard-Dayton {automobiles).— Voir Dayton motor Car Cic.
- — Stotlz (Peter), automobiles à vapeur, 14,
- Albrechtstrasse, à Berlin (Allemagne).
- — Straker-Squire, automobiles. — Voir Sidney
- Straker Squire.
- — Straker Steam vehicle C° Ltd, {Thé), auto-
- mobiles, 9, Bush Lane, à Londres (Angleterre).
- — Stucohi et Cie {établissements), automobiles,
- 11, via Tortona, à Milan (Italie).
- — Studebaker automobile C°, automobiles,
- South Bend (Indiana), Etats-Unis.
- — Success automobile, Mfg C°, automobiles,
- 532, De Balwiere avenue à Saint-Louis (Etats-Unis).
- — Süddeutsche automobil Fabrice, automobiles
- à Gaggenau (Grand Duché de Bade).
- __ Çjll TA NC (automobiles). — Voir Martin e
- O U L I H 11 C Lethimonnier.
- — Sunbeam MOTOR Car C° Ltd, {The), automobiles,
- Upper Villiers Street, Wolverhampton (Angleterre).
- — Svelte, automobiles. — Voir Armes (Société
- manufacturière d’) à Saint-Etienne).
- — S. V. P. automobiles. — Voir Voitures populaires
- {Société des).
- —Swift motor C°, automobiles, à Coventry (Angleterre).
- — Talbot, automobiles — Voir Clément-Talbot
- (Angleterre).
- — Taurinia (Fabbrica automobili), 37, via Prin-
- cipi d'Acaja, à Turin (Italie).
- — Thomas motor C°, automobiles, 1416, Niagara
- Street, il Buffalo (N. Y.), Etats-Unis.
- — Thorn, automobiles, 19, Great Portland Street,
- à Londres (Angleterre).
- “ Thury (automobiles). — Voir Industrie électrique et mécanique, à Genève.
- — Tony Hüber, automobiles. — Voir Peugeot
- {A.), Tony Huber et Cic.
- — Torino (automobiles marque). — Voir Diatto A.
- Clément, Turin.
- — Touiiand (A) et Cie, automobiles, 5 bis, boule-
- vard de Versailles, à Suresnes (Seine).
- — Trazione Elettrica {Società per la), automo-
- biles électriques, 6, via Vignola, à Milan (Italie).
- — TRÈFLE A QUATRE FEUILLES
- {Société de construction d*automobiles), voitures Brasier, 23, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — TURCAT-MÉRY ET C"
- d'automobiles), automobiles, 2, boulevard Michelet, à Marseille (Bouches-du-Rhône).
- — Turicum (Automobiles), à Uster-Zurièli (Suisse).
- 11 1,1 111 1 ».. 1 11 .... fc
- automobiles RQCH ET~SCH N El D ER -uon |
- p.729 - vue 731/946
-
-
-
- CLASSE I
- CLASSE 2
- ;30
- —- Turkheimer per automobili e velocipedi (Officine), automobiles, 5, via G. Sirtori, à Milan (Italie).
- — Turner*s motor Mfg C°, Ltd, automobiles à
- Wolvcrhampton (Angleterre).
- — Underberg et Cie, automobiles, 0, rue de Coul-
- miers, â Nantes (Loire-Inférieure).
- — UNIC (AUTOMOBILES), Georges Ri-
- chard, 1, quai National, à Puteaux (Seine).
- — Union (Nuruburger motorfahrzengfabrick), cons-
- truction d'automobiles, à Nuremberg (Allemagne).
- — Upton motor C°, automobiles, fi Lebanon
- (Pensylvanie), Etat-Unis,
- — Valkyrie (Société Parisienne de voitures), 131
- route d’Orléans, A Montrouge (Seine).
- — Vecchi (de) Strada et Ce, automobiles, à
- Milan (ltal;e).
- ,—• Vedettes automobiles (société anonyme des) 65, rue de la Victoire. Paris.
- — Védrine (A) (société anonyme des voitures élec-
- triques), 50, boulevard du Château, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Veritas, automobiles, 7, Gallustrasse, Francfort -
- sur-le -Mein (Allemagne).
- — Vinot ET Deguingand (Société anonyme des
- anciens établissements), automobiles, 20, quai National, â Puteaux (Seine).
- — Vivinus (les ateliers), automobiles, 54, rue
- Destouvellcs, à Bruxelles (Belgique).
- — Voitures électromobiles (compagnie fran-
- çaise des), 40, rue Oardinet, Paris.
- — Voitures populaires (société des), 44 bis, rue
- Saint-Ferdinand, Paris.
- — Vrard et Cie, automobiles « Stabilia », 12,
- boulevard d'Asnières, â Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Vulcan (automobiles), Voir London and Parisian
- Motor (Angleterre).
- Vulpés (Automobiles), 170, boulevard National, â Clichy (Seine).
- — Walker motor car C°, automobiles 100, Fort
- Street, â Détroit (Michigan), États-Unis.
- — Waltham manufacturing C°, automobiles â
- Waltham (Massachusetts), États-Unis.
- — Warren automobile C°, automobiles, â Warren
- (Va), États-Unis.
- — Waterless Knox. — Voir Knox automobile C°.
- — Waverley, voitures électriques. — Voir Pope
- motor car C°.
- — Wayne automobile C°, automobiles, à Détroit
- (Michigan), États-Unis.
- — Welch-motor car C°, automobiles à Détroit et à
- Pontiac (Michigan), États-Unis.
- — Western automobile C°, automobiles, Was-
- hington avenue, h Saint-Louis (États-Unis)
- — Western Tool Works, automobiles « The Gale»
- à Galesburg (Illinois) Etats-Unis.
- — Westinghouse (société anonyme), automobiles
- 45, rue de l'Arcade, Paris.
- — Weyher et Richemond (Etablissements des au-
- tomobiles), 52, route d'Aubervilliers, à Pantin (Seine).
- — White and Pope, Ltd, automobiles, â Coventry
- (Angleterre). — Voir Poplawski et Antoine.
- — White Steam cars C°, automobiles à vapeur,
- 35, King Street, Régent Street, â Londres (Angleterre).
- — Whitlock automobile C°, automobiles, High
- Street, Kensington à Londres W. (Angleterre).
- — Winton motor carriage C°, automobiles, à
- Cléveland (Ohio), États-Unis.
- — Winton motor carriage C° (Thé), automobiles,
- 48, Holborn Viaduct, Londres (Angleterre).
- — Wolseley-Siddeley-autocars, automobiles.
- — Voir Wolseley Tool.
- — Wolseley Tool and motor car, Ltd (The)
- automobiles, 70, York street, Westminster Londres (Angleterre).
- — Wolverine automobile et commercial vehi-
- cle C°, automobiles, â Dundee, (Michigan) États-Unis.
- — Woods motor vehicle C°, automobiles, 1410,
- Michigan avenue, à (Chicago), Etats-Unis.
- — Worthington automobile C°, automobiles,
- 567, Fifth avenue, â New-York (États-Unis).
- — Yale (New) (The), automobiles, fabriquées par
- Consolidated Mfg C°, à Toledo (Ohio) États-Unis.
- — Zappa (E.) et Schars (A.), automobiles, à la
- Souys-Florac (Gironde).
- —• Zent automobile C°, automobiles, à Belle-fontaine (Ohio), Etats-Unis.
- „ — Ziégenberg (société française des accumulateurs), voitures électriques, 07, rue Saint-Lazare, Paris.
- ___ 7 II ÇT (Fabbricca Italiana di automobili,
- Llio I Ing. Roberto Züst), construction d’automobiles, 40, via Borgognone, â Milan(Italie) ; et â Intra (Lac Majeur).
- — Zust (Brixia), automobiles, à Brescia (Italie).
- CLASSE 2
- IV10T0CYCLES
- Motocyclettes. — Tri-cars. — Triporteurs. — Remorques. — Avant-trains, etc.
- — Albatros (L*), motocyclettes — Voir Biïlouin
- (II.), Paris.
- — Albert (Société Industrielle d'), Albert, Somme.
- — Voir H. Petit et Cie.
- — Alcyon (cycles, motocyclettes et voüurettes), 4 et 6,
- boulevard Bourdon, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Amstoutz (E.) fabrique de motocyclettes, à
- Besançon (Doubs).
- — Antoine Fils el Cie, fabrique de motocyclettes,
- 41, quai Saint-Léonard, Liège (Belgique). — Voir Marbais et Lasnier, Paris.
- — Armac Motor C°, fabrique de motocyclettes,
- 468, Carroll avenue, à Chicago (Etats-Unis).
- — ATELIERS DU FURAN,
- Barrouin, à Saint-Étienne (Loire).
- — Audax (Motocyclettes et Automobiles). — Voir
- Mauger et Cie, â Levallois.
- — Augereau, motocyclettes, 64, rue des Halles,
- à Tours (Indre-et-Loire).
- — Austral (Société anonyme de constructions méca-
- niques V), motocyclettes, 8, rue du Débarcadère, Paris.
- — Auto-Fauteuil. — (Société de V), motocyclettes,
- 23, quai Hcnri-Chavigny, à Blois (Loir-et-Cher).
- — Aviàtor, motocyclettes.—Yoir Fries et Germain.
- — BéCON, motocyclettes, 21, avenue Sainte-Foy, à
- Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Bielefelder Maschinen und Fahrràdwerke
- Aug. Goricke, fabrique de motocyclettes, à Bielefeld (Allemagne).
- — Billouin (H.), motocyclettes VAlbatros, 104,
- avenue de Villiers, Paris.
- La
- CLÉMENT
- a fait ses preuves au
- TOURIST TROPHY 1906
- Usines : PRÉ-SAINT-GERVAIS
- p.730 - vue 732/946
-
-
-
- CLASSE 2
- MOTOCYCLES
- Blotto Frères, fabrique de tri-porteurs, 5, rue Chariot, Taris.
- Boissette (j£.), fabrique de motocyclettes, 303, Faubourg-Saint-Antoine, Paris.
- Boivin {G.), motocyclettes, 35, cité des Fleurs, Paris.
- Bonin (E.), motocyclettes et tricars « Idéal », 17, avenue de la Motte-Picquet, Paris.
- Bonnaud-Brosse, motocyclettes « La Française », rue des Cordeliers, à Autun (Saône-et-Loire).
- Bonnet (C.), motocyclettes, 53, rue du Bois, à Levallois-Perret (Seine).
- Bonnet-et-Zecht, motocyclettes, 14, rue de la Véga, Paris.
- Bonnet et Morel, motocyclettes, 74, route de Châtillon, à Malakotf (Seine).
- Bonnet, Guyonnet et Canonne, motocyclettes, 58, rue Claude-Vellefaux, Paris.
- Brêbant et Cie, motocyclettes, 7, rue de Dra-veil, à Juvisy-sur-Orge (Seine-et-Oise).
- Brennabor-Farradwerke, fabrique de motocyclettes, Alterwal, à Hambourg (Allemagne).
- Brennaiïor-Werke, motocyclettes, à Brande-bourg-sur-H. (Belgique).
- Brion frères, motocyclettes et freins. — Voir Bonnet et Morel.
- Brosse et Cie, motocyclettes, 22, rue Béranger, Paris.
- Bruneau (P.), fabrique de motocyclettes, 12, rue Victor-Hugo, Tours (Indre-et-Loire).
- Caffort frères. Motocycles, 125 bis, rue du Chemin-Vert, Paris.
- Caureatj, motocycles, 93, avenue des Ternes, Paris.
- Chapelle (de la) Frères et Vandelet, motocycles, 3, boulevard Montparnasse, Paris.
- Claes et Flentje, motocycles, Mulhouse (Allemagne).
- Colossal Cycle Corporation, Ltd, motocycles, à Birmingham (Angleterre).
- Conqueror, motocycles, 27, rue de Courcelles, à Levallois-Perret (Seine).
- Consolidated Mfg C°, motocycles « Toledo », à Ohio (Etats-Unis).
- Contal (Mototri). 04, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- Cottereau, motocycles, route d’Auxonne, Dijon (Côte-d’Or).
- Courtois (P), motocycles, 13, rue de l’Aqueduc, Paris.
- Couteret (H.), avant-trains démontables et remorques, 174, boulevard Voltaire, Paris.
- David et C e, motocyclettes, chemin des Caroubiers, à Genève-Acacias (Suisse).
- Dkrocles et Cie, motocycles, 140, rue de Gravel, Levallois-Perret (Seine).
- DUFAUX (H. ET A.), Ï'ÏÆS
- coche », route des Acacias, à Genève (Suisse),
- Derenàucourt et Escoffier, motocyclettes, 128, rue du Bois, Levallois-Perret (Seine).
- Electricité {Compagnie Générale d'), motocyclettes et tri-cars « Yvry », 5, rue Bou-dreau, Paris.
- Etoile, motocyclettes. — Voir Saùü-Germain, Paris.
- Fahrràdwerke Welt Rai>, A. G., fabrique de motocyclettes, à Schœnebeck (Saxe).
- F. N., motoyclettes. — Voir Armes (Fabrique Nationale d*), d’Herstal.
- Fournier (G.), motocyclettes « Emeraude », 20, rue de Versailles, il Nantes (Loire-Inférieure).
- Friès et Germain, motocyclettes, 52, rue de Strasbourg, à Vincennes (Seine).
- Fülgur, motocyclettes. — Voir Journaux {J.), Par s.
- — FURAN (SOCIÉTÉ ANONYME DES
- ATTIICQC nih motocyclettes et cy-HICLIliiO U U /, clés, 4, rue Barrouin, à Saint-Etienne (Loire).
- — Gallien et Sarda, motocyclettes, 22, rue
- Greffulhe, Levallois-Perret (Seine) ; et 10 bis, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Gayaud, motocyclettes F. N., 156, avenue
- Malakofï, Paris.
- — Gillet (René), motocyclettes, 10, villa Collet,
- rue Didot, Paris.
- — Glaser, motocyclettes, rniversitatsstrasse, à
- Berlin (Allemagne).
- — Gorïcke, motocyclettes. — Voir Bielefelder-
- Goricke (Allemagne).
- Goyon, motocyclettes, 65, avenue de la Bourdonnais, Paris.
- — Griffon {Société), motocyclettes, 40, rue Louis-
- Blanc, h Courbevoie (Seine).
- — Grosne {Anciens ateliers de la), motocyclettes*
- — Voir Chapelle {de la) Frères et Vandelet, Paris.
- — Guerry, motocyclettes, 116, boulevard de
- Grenelle, Paris.
- — Hardy, motocyclettes, 15 bis, cours de Vin-
- cennes,Paris.
- — Herdtlé et Bruneau, motocyclettes, 38 bis,
- rue de la Chine, Paris.
- — Idéal, tri-cars. — Voir Bonin {E.), Paris.
- — Indian motocycle Hendee Mfg C°, moto-
- cyclettes, à Springfield (Massachusetts), (Etats-Unis).
- — Iris, motocyclettes, 71 bis, avenue de la Grande-
- Armée, Paris.
- — Ivry {ateliers d’) {Compaynie Générale d'Electri-
- cité), motocyclettes, 5, rue Boudrcau, Paris.
- — Journaux, Motocyclettes, 54, rue desCévennes
- Paris. ^
- — JuÉRY, tri-porteurs, 18, rue Rambuteau, Paris.
- — Keller-Dokian, motocyclettes, 89 bis, rue du
- Dauphiné, Lyon (Rhôue).
- — Kustner et Retor, motocyclettes, il Genève-
- Acacias (Suisse).
- — Lamaudière, Mauger et Cle, Motocyclettes»
- 4, passage Moitrier, Levallois-Perret (Seine).
- — Le Métais et ftls, motocyclettes, 39, quai de
- Valmy, Paris.
- — Lurquin el Coudert, motocyclettes, 19, rue
- Planchât, Paris.
- — Mauger et Cle, motocyclettes, 4, passage Moi-
- trier, Levallois-Perret (Seine).
- — Maüxion et Devinant, motocyclettes, 5, rue
- Jouvenet, Paris.
- — Merkkl motou C°, motocyclettes, 1092, 26 th.
- avenue, Milwaukee, Wisconsin (E. U.).
- — Miami cycle and, Mfg C°, motocyclettes, Middle-
- town, Ohio (E. U.).
- — Mira, motocyclettes, 20, rue d’Armcnonville,
- Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Montchal, motosacoche, 39, via Vincenzo Monti,
- Milan (Italie).
- — Mouelle, motocyclettes, Saint-Gobert (Aisne).
- MOTOSACOCHE (LA),
- faux, à- Genève.
- — Moto-Rêve, motocyclette.— Voir David et Cle,
- à Genève (Suisse).
- ~ Mototri-Convtal. 64, avenue delà Grande-Armée Paris.
- — Nieckarsulmer Fahrradwerke), motocy-
- clettes, Neckarsulin (Wurtemberg).
- — Niétin, motocyclettes, plage Monge, Chambéry
- (Savoie).
- ___ Noël, motocyclettes, 38, avenue Daumesnil,
- V irii.
- 1. 1 WÊÊÊf^m LANTERNES’D 1ETZ” ^I-éteintpas
- i 1 MESTRE etBLATGÉ .5. Rue BRUNEL. PARIS.
- p.731 - vue 733/946
-
-
-
- CLASSE 2
- CLASSE 3
- -- ^32 ---
- — Pagis et CIc, motocyclettes, 27, avenue de la
- Grande-Armée, Paris.
- — Panneton (Etablissements), motocyclettes, Mor-
- teau (Doubs),
- — Parisot, motocyclettes, 91, avenue Malakoff,
- Paris.
- — Peerless, motocyclettes, 14, rue de la Véga,
- Paris.
- — Petit, motocyclettes, 306, rue de Vaugirard,
- Paris.
- PETIT ET C
- motocyclettes, 23, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- PEUGEOT FRERES(LES FILS DE),
- motocyclettes, Valentigney (Doubs).
- Peyraud, motocyclettes, 198, boulevard Vol-
- taire, Paris.
- Primus (Fabbrica Torinese), motocyclettes, 3 via
- Piazzi, Turin (Italie).
- • Progress motoren apparatenbrau, motocyclettes, Charlottenbourg (Allemagne). Quentin, motocyclettes, 6, rue Camille-Des-moulins, à Levallois-Perret (Seine).
- Régina, motocyclettes. — Voir Pagis et Cio, Paris.
- REX, motocyclettes. — Voir Soyeux.
- Hochet, motocyclettes, à Albert (Somme) et 23, avenue des Champs-Elysées. Paris. Rudge-AVhitworth, Ltd, motocyclettes, à Coventry (Angleterre).
- SA r (tri-voiturette). — Voir Ateliers du . H. r. Furan.
- Saint-Germain (N.), motocyclettes, 29, rue des Archives, Paris.
- Saroléa (maison)} motocyclettes, 269, rue Saint-Lambert, à Herstal, Liège (Belgique). Seidel et Naumann, motocyclettes, à Dresde (Allemagne).
- Siscart, motocyclettes, 45, rue des Cendriers, Paris.
- Sotomayor (Ferdinand de), tri-cars, 19, boulevard Bourdon, Paris.
- Stimula, tri-cars. — Voir Vandelety Paris. Stuart et Stichter, motocyclettes. — Voir Mira, Paris.
- TCDDHT CT Pi° motocyclettes et cycles I CnnU I tl L , A changement de vitesse, 2, rue André-Colomban, à Dijon (Côte-d'Or).
- — Triumph cycle C°, Ltd, motocyclettes à Coven-
- try (Angleterre).
- — Vandelet, tri-car, 3, boulevard Montparnasse,
- Paris.
- — Velox, motocyclettes. — Voir Levraux, Paris.
- — Vincent et C'e voiturettes remorques, 141,
- boulevard Saint-Germain, Paris.
- — Vurpillot, motocyclettes, 21, avenue Sainte-
- Foy, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Wallut (R) et Cle, motocyclettes,166,boulevard
- de la Villette, Paris.
- — Welt Rad motocyclettes. — Voir Fahrrad-
- werke Welt Rad (Allemagne).
- — Werner, motocyclettes. — Voir Oallien et
- Sardat successeurs.
- — WlDMER, JoüCLAS et Hervé, motocyclettes, 13,
- rue Corbeau, Paris.
- CLASSE 3
- POIDS LOURDS
- Camions. — Omnibus. — Tracteurs.— Automotrices.
- NOTA. — Nous n avons pas répété ici la liste des co7istructeurs d'automobiles, lesquels construisent presque tous des camions et des omnibus automobiles, mais nous donnons la liste de ceux seulement qui se sont fait une véritable spécialité des « Poids Lourds ». — Voir la Classe 1.
- A DirC (Automobiles) 39, quai d’Argenteuil HnltO à Villeneuve-la-Garenne (Seine).
- AUTOMOBILES COMMERCIALES
- (Qf\r\tTt nCQ\ voitures de com-\0 U li lt. II. UCO/ merce automobiles, 39, rue de La Boétie, Paris.
- AUTOMOBILES INDUSTRIELS
- (Société Générale des)t 3, rue Vignon, Paris.
- — Bretin (Camions automobiles, système). — Voir
- Mathian frères, Paris.
- — Chaboche, camions, 33, rue Rodier, Paris.
- — Cohendet et Cle, camions, 166, quai de Jem-
- mapes, Paris.
- — Darracq-Serpollet, camions à vapeur, 9, rue Stendhal, Paris.
- — D’Estine, ACHARD et CiE, automobiles, 52,
- quai de la Marne, Paris.
- — DION (DE), BOUTON ET C',
- camions, 36, quai National, Puteaux.
- — Dubois, camions automobiles, 13, rue Saint-
- Amand, Paris.
- — Ducommun (Ateliers de constructions mécaniques
- d-devant)t camions, Mulhouse (Alsace).
- — Dufour (Société anonyme des camions et moteurs),
- camions, 19, rue de la République, à Marseille (Bouches-du-Rhône).
- — Emress (Camions automobiles). — Voir IIagent
- Paris.
- — Espine (D*), Achard et Cie, camions auto-
- mobiles, 52, quai de la Marne, Paris, rnilll I A DH N camions, 54, rue de Vil-rUUILLAnUH, liers, à Levallois-Perret (Seine).
- — Gillet-Forest, camions, 75, avenue de la
- Grande-Armée, Paris.
- — Goldschmitt (Robert), camions à vapeur. —
- Voir Parette, Bruxelles,
- — Hagen (Société Française des camions automo-
- biles). 22, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Janvier, camions automobiles, 44, rue d’Alésia,
- Paris.
- — Magnard et Cle, camions, Fourchambault
- (Nièvre).
- —- Maguin (Société des Etablissements), camions, à Charmes, près La Fôre (Aisne).
- — Martini (F.), et Cle, camions, Frauenfeld
- (Suisse).
- — Mathian Frères, camions, 43, rue de Berlin,
- Paris.
- - MÉTALLURGIQUE (LA), SÏÏC.Ï
- tomobiles, à Marchienne-au-Pont, près Char-îeroi (Belgique).
- n JA JA LES MEILLEURES VOITURES POUR LE GRAND TOURISME
- il A4 I A4 12, rue Barbés, LEVALLOI5 (Seine)
- p.732 - vue 734/946
-
-
-
- CLASSE 3
- ^33 —
- CLASSE 4
- — DANT7 SrUARI CC^ camions, Pont-à-r/traiz. vbnHnLto;, Mousson (Meurthe-et-Moselle).
- — Parette, camions, rue de l’Hôtel des Monnaies,
- Bruxelles (Belgique).
- — PURREY (VALENTIN), omnibus à
- vapeur, 21, boulevard J.-J.-Bosc, Bordeaux (Gironde).
- — Rapid Motor Yéhicle Ç°, camions, à Pontiac
- (Michigan), États-Unis.
- — Satjrer (Adolph), camions automobiles à
- Arbon (Suisse).
- — Sidney Straker and Squire, omnibus, 5,
- Nelson square, Blackfriars road, à Londres (Angleterre).
- — Straker, omnibus, — Voir Sidney Straker.
- — SURCOTJF (Ed.) et C'e, trains automobiles, 123,
- rue de Bellevue, à Billancourt (Seine).
- — Thornycroft and C°, Ltd, camions, à Hogart-
- Lane, Chiswick (Angleterre).
- — Traction automobile (société anonyme de),
- tracteurs, 20, rue Pergolèse, Paris.
- — Turgan (Etablissements), Ltd, camions, 96, rue
- Antonin-Raynaud, à Levallois-Perret (Seine).
- — U. D. P. X., camions. —Voir Usines de Puteaux.
- — Usines de Puteaux, camions, 4, rue de Paris.
- à Puteaux (Seine).
- CLASSE 4
- CANOTS AUTOMOBILES
- Canots automobiles. — Accessoires.
- — Alexandre, canots automobiles. — Voir Aile
- grini, à Marseille.
- — Allegrini, canots automobiles Alexandre,
- chantiers du Pharo, à Marseille (Bouches-du-Rhône).
- — André, canoës américains, 54, boulevard
- Haussmann, Paris.
- — Antibes (chantiersd’), {Etablissements L.de Cesti),
- constructions navales, à Antibes (Alpes-Maritimes).
- — Ateliers et Chantiers de Billancourt,
- canots automobiles, 25, quai de Billancourt, à Billancourt-Boulogne (Seine).
- — Barbance, fabrique de détergent pour les yachts,
- 133, rue des Pyrénées,’ Paris.
- — Bertin Frères, canots automobiles, à Bezons
- (Seine).
- — Bessonneau, fournitures pour canots auto-
- mobiles, 62, rue Tiquetonue, Paris.
- — Blondeau, canots automobiles, marque Nautilus,
- 32, quai de Seine, à Sartrouville (Seine-et-Oise).
- — Bonnemaison (Paul), bateaux hydroglisseurs,
- rue Bordin, à Sartrouville (Seine-et-Oise).
- — Bonnet, hélices réversibles, accessoires pour
- canots automobiles, 4, rue de la Bastille, Paris.
- — Borrelly et Sebille, canots automobiles,
- chantiers du Pharo, à Marseille (Bouches-du-Rhône).
- — Bourdonole et Leymarie, canots automobiles,
- 37, boulevard Malesherbes, Paris.
- — Boutin (Jules), représentant de la maison Deurer
- et Kaufmann (canots automobiles), à Binard (Ille-et-Vilaine).
- — Celle, canots automobiles, à Evian-les-Bains,
- (Haute-Savoie).
- — Chantier du Petit - Gennevilliers, canots
- automobiles, Petit-Gennevilliers (Seine).
- — Chantiers navals de la Seine , canots
- automobiles, 32, quai de Seine, Sartrouville, (Seine-et-Oise).
- — Charles, engins nautiques, 45, rue Maleret,
- Bordeaux (Gironde).
- — CŒUILTE, GRISET ET C'\
- genres, rive de la Liane, à, Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais).
- — Coninck (G. de) et ClE, canots automobiles, à
- Maisons-Laffitte (Seine-et-Oise).
- — Desbois, Rancelant et Ollivaud, canots
- automobiles, avenue Morillon, Clioisy-le-Roi.
- — Deschamps et Blondeau, canots automobiles,
- 32, quai de la Seine, Sartrouville (Seine-et-Oise).
- — Deurer et Kaufmann, canots automobiles. Afri-
- kahaus, IIambourg( Allemagne).—V oir Boutin. — Doignon, fournitures pour canots automobiles, 11, rue Hoche, Malakoff (Seine).
- — Dufour (Carlo), canots automobiles, à Gènes
- (Italie).
- — Dutheil, Chalmers et Cie, canots automobiles,
- 81, avenue d’Italie, Paris.
- — Elco (canots automobiles électriques). — Voir Electric Launch C°.
- — Electric Launch et C°, canots automobiles
- électriques « Elco », Maine Office and Works, avenue A, à Bayonne (N. J.), Etats-Unis.
- — Excelsior (canots automobiles). — Voir Celle,
- à Evian-les-Bains.
- — Figini (Luini), canots automobiles, 16, viale
- Volta, à Milan (Italie).
- — Fournier (F. ) et Knopf, canots automobiles,103,
- rue Lafayette, Paris.
- — Gallinari et Cie, canots automobiles, à Li-
- vourne (Italie).
- — Gaz Engine and Power C°, canots auto-
- mobiles, à New-York (Etats-Unis).
- — Goutallier, canots automobiles, 7, rue ^e
- Bagnolet, à Vincennes (Seine).
- — Gray-Motor C°, moteurs de marine, à Détroit
- (Michigan). Etats-Unis.
- — Henriod et Cie, canots automobiles, 117,
- av enue du Roule, à Neuilly-sur-Sêne (Seine).
- — Herlicq, canots, 59, rue de Flandre, Paris.
- — Hermann-Lachapelle (Société des Anciens
- Etablissements), canots, 31, rue Boinod, Paris.
- — Idéal, canot automobile. — Voir Robin (F.),
- Paris.
- — International Motor Boat. — Voir Jessé (de)
- et Cie.
- _ irccr (nc\ CT pi-' hélices réversibles J£vd£ \UC/ £ I w , «Simplex» et tous les accessoires pour canots automobiles, 7, rue Collange, à Levallois-Perret (Seine).
- — Lemarchand (abel), canots, 12, rue de la Meil-
- leraye, le Hûvre (Seine-Inférieure).
- — Lemarchand (abel) Vincent et C10, canots, 4.
- quai Saint-Pierre, Cannes (Alpes-Maritimes),
- — Luce, canots, au Petit Gennevilliers (Seine).
- — Lucia, canots, 209, boulevard Péreire, Paris.
- — Malo-Lebreton, canots, 56, quai de Courbevoie,
- Courbevoie (Seine).
- — Mouniée et Anzani, canots, 71, quai d'Asnières,
- Asnières (Seine).
- — Pabanel et Villem, canots automobiles, 24,
- rue de Milan, Paris.
- — Pattison, canots, Naples (Italie).
- PouP Du rue “TAl DDII III nu”
- CYCLISTES r NI EUS TUI MflLIII JN
- p.733 - vue 735/946
-
-
-
- CLtSSK .)
- ri, aï-'sk G
- - 734 -
- — Peugeot, Tony Huber et C!c, canots, 56, rue
- du Vieux Pont-de-Sèvres, Billancourt (Seine).
- — Propulseur universel amovible, 58, avenue
- de Neuilly, il Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Kaygasse (J), Yachts, 3, quai d'Asnières, à
- Asnières (Seine).
- — Revillioi), canots à Nyon (Suisse). -—Ricochets (Les), bateaux hydroglisseurs. —
- Voir Bonnemaison.
- — Seyler {Eugène), canots, 15, quai de Marne,
- à Joinville-lc-Pont (Seine).
- — Seyler (G.), canots, au Perreux (Seine).
- ___ CI OUI ni CV liélices réversibles. — Voir
- OlHlrLtLA, Jessé (de) et Cie.
- — Sirène (société anonyme la), constructions na-
- vales, à Maisons-Laffitte (Scine-et-Oise).
- — Staempeli frères, canots, rue du Roverdy
- (Eaux-Vives), à Genève (Suisse).
- — Tellier (Alphonse-Auguste), canots, 52, quai de
- la Râpée, Paris.
- — Tellier fils et Gérard, canots, 52, quai de la
- Râpée, Paris.
- — Thomas et fils, Milice et Hocquette, canots,
- à Compiêgne (Oise).
- — Trouche et Cic (La Motogodille), 206, boulevard
- Péreire, Paris.
- — Truiï (Louis), canots, 5, petite rue Gevray, à
- Genève (Suisse).
- — Truscott Boat, Mfg C°, canots Dept, 363,Saint-
- Joseph, Michigan (Etats-Unis).
- — Vallet, canote, 25, quai de Billancourt, il Billan-
- court (Seine).
- 7IICT ^DHDCDTn\ canote automobiles, mol InUDCnlU/, 40, via Borgognone, à Milan ; et à Intra (Lac-M ijeur), Italie.
- CLASSE 5
- AÉRONAUTIQUE
- — Barotte, hélicoplane électrique, 0, allée Flan-
- drin, à Gargan-Livry (Seine-et-Oise).
- — Blériot et Voisin, ateliers d'aviation Éd. Sur-
- couf, fabrique d’aéroplanes et d’hélicoptères, 4, rue de la Ferme, il Billancourt (Seine).
- — Carton (E.) et Vve LachaMiîre, aérostats et
- dirigeables, 24, passage des Favorites, Paris,
- — Dufaux Frères, aéroplanes, route des Acacias,
- il Genève (Suisse).
- — Espinosa, constructeur d’ftérostate, 36, rue du.
- Bois, â Levallois-Pcrret (Seine).
- Godard (Louis), ballons, 170, rue Legendre, Paris.
- — Mallet, aérostats, 10, route du Havre, à Puteaux
- (Seine).
- — Maxant, aérostats, 38, rue Belgrand, Paris.
- — Maxim, aéroplanes, 207, boulevard Péreire, Paris
- — PiÉtri, aérostats, 8, rue de Laghouat, Paris.
- — Raynaud, aérostation, 96, avenue Félix-Faure,
- paris.
- CLASSE 6
- MOTEURS
- NOTA. - Xous n avons pas repaie ici ht liste des constructeurs d'automobiles, lesquels construisent presque tous des moteurs pour usa je industriels, groupes électrogènes, etc., mais nous donnons la liste de ceux seulement qui se sont fait une véritable spécialité de moteurs séparés. — \'oir la Classe 1.
- — Abeille (Moteurs). — Voir DalifoletCie, Neuilly. — Acmé (Moteurs). — Yoir Glaenzer et Perreaud,
- Paris.
- AniTQ /CnrifTirï moteurs, 43 ter, ave-MUtH lOUblCIt/, nue de Sufïreu, Paris.
- — Amstoutz (E.), fabrique de moteurs, il Be-
- sançon (Doubs).
- — Anceaüx, fabrique de moteurs, 10, rue de Lyon*
- Paris.
- — Ansot et Cie, fabrique de moteurs, 39, rue de
- Flandre, Paris.
- — Antoine fils et Cie, fabrique de moteurs, 41,
- quai Saint-Léonard, Liège (Belgique). — Voir Marbais et Las nier, Paris.
- —- Antoinette (Société), construction de moteurs, 10, rue des Bas-Rogers, à Puteaux (Seine).
- — Anzani, moteurs à pétrole. — Voir Mouniée et
- Anzani.
- —~ Arion (Moteurs). — Voir Filtz, à Juvisy.
- — Aster (Ateliers de constructions mécaniques L’),
- moteurs, 74, rue de la Victoire, Paris.
- — Aster Ltd (Moteurs), 4, Princess Street, Hanover Square, il Londres (Angleterre).
- — Aster (Moteurs), New-York Office, 307, W, 44th
- Street, il New-York (Etats-Unis).
- — Ateliers "Electriques de saint-Ouen, fabrique
- de moteurs, 11, rue de Clichy, à Saint-Ouen (Seine).
- — Bail et Cie, moteurs Minerve, 30, rue du Point-
- du-Jour, il Billancourt (Seine).-
- — Bailleul (L.) et Cie, moteurs, 34, rue Kléber,
- il Levallois-Perret (Seine).
- — Ballot et Cie, moteurs, 103, boulevard Brune,
- Paris.
- — Barbier (P.), moteurs, 46, boulevard Richard-
- Lcnoir, Paris.
- — Barnard, moteurs, 82, boulevard Richard -
- Lenoir, Paris.
- — Baujard (G.), moteurs de Marine, 103, rue
- Lafayette, Paris.
- — Becker und C°, fabrique de moteurs pour moto-
- cyclettes, à Dresden-Gruna (Allemagne).
- ___ P ET moteurs, à Mannheim (Alle-
- __ P | £ |*| p Q £ moteur. — Yoir Lepape et Cie,
- — Blanche (G.), et lecaron (//.), moteurs, 16,
- rue Saulnier, Paris.
- — BOLIKDER (Société), moteurs â deux temps, 12,
- boulevard Magenta, Paris.
- — BOUOREAUX (L.), TSSTJTSSS
- res, 8, rue Hautefeuille, Paris.
- — Brownell-Trebert C°, moteurs et trans-
- missions, 406, Saint-Paul Street, il Rochester (N. Y.), Etats-Unis.
- — Broun, moteurs, 9, cité Pliclion, Paris.
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- — Buohet {Usine), moteurs h pétrole, 49, rue
- Grefïullie, à Levallois-Perrefc (Seine).
- — Buffalo Gazolène Motor C°, moteurs pour
- automobiles, il Buffalo (Etats-Unis).
- — BUMAT frères {Etablissements), moteurs rotatifs
- 85 bis, cours Lafayette, prolongé, à Lyon-Villeurbanne (Itliône).
- — Butin, moteurs à pétrole, tuyaux flexibles,
- 51, rue des Martyrs, Paris.
- — Caplet (Marcel), moteurs, 34, rue Dicquemarc,
- Le Havre (Seine-Intérieure).
- — Carré, moteurs, 13, rue La Boëtie, Paris.
- — Cazes. moteurs, 62, rue Caumartin, Paris.
- — Cesbron, moteurs, 3, rue Dacier, à Angers
- (Maine-et-Loire).
- — Chaligny, moteurs, 54, rue Philippe-de-Girard,
- Paris.
- — Chamoreau et Martin, moteurs, 79, rue La-
- fayette, .Taris.
- — ChamprObert (de), moteurs, 105, rue EaziUcau,
- à Levallois-Perret (Seine).
- — Chapuis et Dornier, moteurs, 13, rue de la
- Mouillêre, à Besançon (Doubs).
- — Chenier ET Lion, moteurs, à naphtaline, 14, rue
- de la Tour, Paris.
- — Commissaire, moteurs, 10, rue deChaiigny, Paris.
- — Comptoir général de mécanique de ;précision,
- moteurs, 119, rue Saint-Maur, Paris.
- — Continental Motor Mfg C°, moteurs, 240, W.
- Laite Street, à Chicago (E.-U.).
- — Cormery, moteurs, 68, rue du Yieux-Pont-de
- Sèvres, à Billancourt (Seine).
- — COTTIN ET DESGOUTTES, piacceudù
- Bachut, à Lyon (Rhône).
- — Cupelle Motors, Ltd, moteurs, 157, Kright-
- bridge S. AV., Londres (Angleterre).
- — Dalifol et Cie, moteurs, 40, boulevard d’As-
- nières, il Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Davis Manufacturing C°, moteurs, 935,
- Thiertietli Street, il Mihvaukee (Wisconsin) •E. U).
- — Deckert {H.) et Cie, moteurs, 20, rue Bacon,
- Paris.
- — Delassue (société française des moteurs), 42, rue
- de Trévise, Paris.
- — Deloche ((?.), moteurs, 10, quai Michelet, à
- Levallois-Perret (Seine).
- — Detroit Auto marine C°, moteurs, 75, E, Con-
- gress Street, Détroit (Michigan), E. U.
- — Dewalp (Charles), moteurs, 10, rue du Débar-
- cadère, Paris.
- -DION (DE), BOUTON ET C",
- moteurs, 36, quai National, à Puteaux (Seine).
- — Diésel (Moteurs). — Représentant : 155, rue
- Croix-Nivert, Paris.
- — Dobellï (Spautaco), moteurs, vicolo Alberoni, il
- Rome (Italie).
- — OUFAUX (H. ET A.) , des Acacias, à
- Genève (Suisse).
- — Duplex (Cie pour la fabrication des moteurs à
- gaz et à pétrole), 130, rue Lafayette, Paris. Dutheil, Chalmeiis et Cie, moteurs, 81, avenue d’Italie, Paris.
- — Edler {Xavier), moteurs à pétrole, il Hirson
- (Aisne).
- — Elsava, moteurs. — Voir Volker et Prugel.
- — Emcée, moteurs. — Voir Caplet {Marcel).
- ___ r A TM |D moteurs. — Voir Aachener Stahl-
- rAr mn, toarenfabrik A. G., il Aix-la-Chapelle, et Rogers et Cie, Paris.
- — Faramûnd (R. de), moteurs « Priestman », pour
- la marine, 54, avenue de Breteuil, Paris.
- — F argot Frères et Cie, moteurs, à Saint-Ouen
- (Seine),
- — Fay and Bowex Engine C°, moteurs de marine..
- 80, Lake Street, à Geneva (N.-Y.) Etats-Unis,
- — Filtz (G.), moteurs, à Juvisy-sur-Orge (Seine-
- et-Oise).
- — Filtz {J.), moteurs, 13, avenue du Roule, à
- Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Fordward {Moteurs), 2, rue du Châteaudun,.
- Paris.
- — Foknas {L..), moteurs de marine, 7, rue de
- Lorraine, Paris.
- — Fourmi (La), moteurs, à Courtrai, Belgique ; et
- 9, rue Mogador, Paris.
- — Fournier {F) et Knopf, moteurs « Usona
- * 103, rue Lafayette, Paris.
- — Française Electrique (La), moteurs, 99, rue-
- de Crimée, Paris.
- — Fulgur, moteurs. — Voir Journaux (J.). Paris..
- — Gaboriau, Bourguignon et Cie, moteurs
- « Conquéror », 8, rue des Écluses-Saint-Martin, Paris.
- — Gamet, moteurs, 5 bis, place Voltaire, Paris.
- — Garnier et Faure-Beaulieu, moteurs à gaz,.
- 54, avenue de la République, Paris.
- — Gauchot, moteurs, 26, rue du Bois, à Yincemies (Seine).
- — Gautreau Frères, moteurs, à Dourdan (Seine-
- et-Oise).
- — Gebruder Beissbarth, construction de moteurs,
- 2, Ivohlstrasse, à München (Bavière).
- — Gnome (Société des moteurs), 49, rue Laffitte, Paris.
- — Grimault, LeSoufaché et Félix, moteurs, 66,.
- quai de Jemmapes, Paris.
- — Grimoin, Samson, moteurs, 132, avenue d’Or-
- léans, Paris.
- — Gros, moteurs, 9, rue des Immeubles-Industriels,. Paris.
- — GuÉdon (Joseph), moteurs de marine « Mo-
- narch », à Bordeaux (Gironde).
- — Guéret (C.) et Cie, moteurs, 72, boulevard de-
- là Gare, Paris.
- — Guillot, moteurs, 74, rue d’Alésia, Paris.
- — Gyptis, moteurs. — Voir Meynadier (P.),
- — Hasbrouck Motor Works, moteurs, à New-
- London (Connecticut), Etats-Unis.
- — Hérald Motor C°, Ltd {The Anglo-French).
- moteurs, 29, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Herlicq, moteurs « Capitaine », 59, rue de
- Flandre, Paris.
- — Hirt (Albert), moteurs, 56, boulevard Magenta,
- Paris.
- — InchaüspÉ, moteurs, 106, avenue de la Répu-
- blique, Paris.
- — Ivry {Atelires d’), moteurs, 5, rue Boudreaur
- Paris.
- — Ixion, moteurs. — Voir Deloche.
- — Jacquelix, moteur rotatif, Tonnerre (Yonne). •— Jager (Chas. I. C°), moteurs de marine, Cor
- Higli. and, Battery march Street, Boston (États-Unis).
- — Janus [Société Parisienne de constructions
- mécaniques), moteurs, 170, boulevard National. Clichy.
- — Keller-Doiuan, moteurs pour motocyclettes,
- 89, rue du Dauphiné, il Lyon (Rhône).
- — Kerry, moteurs, 211, Shoreditch Street, Londres
- (Angleterre).
- — Knap, moteurs, 15, avenue de la Grande-Armée,
- Paris,
- — ICoerting, moteurs, Saint-Étienne (Loire).
- — Kuntz, moteurs, 5, place de l’Aube, Marseille
- (Bouches-du-Rhône).
- — Laurent Frères et Collot, moteurs, Dijon
- (Côte-d’Or).
- — Lavigne, moteurs, 80, rue de la Roquette,
- Paris.
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- — Legendre Frères, moteurs, 105, rue deïurenne, Paris.
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- — Letombe, moteurs,
- Paris.
- moteurs, 28, rue De-mours, Paris.
- 57, rue (P Amsterdam,
- — Lévy (L.), moteurs, 02, boulevard Richard-
- Lenoir, Paris.
- — Lozier Motor, moteurs, 1733, Broadway,
- New-York (États-Unis).
- — Marcel [Raoul), moteurs « Pégase », 239, boulevard Péreire, Paris.
- - MARTIN ET LETHIMONNIER,
- moteurs « Sultan », 32, rue Félicien-David, Paris-Auteuil.
- — Marx, moteurs, 17, rue Ruhmkorff, Paris.
- — Mille et Pourcel, moteurs, rue du Louvre,
- Paris.
- — Milwaukee Auto Engine et Supply C°,
- moteurs, 706, AVinnebage Street, Milwauke (Wisconsin) États-Unis.
- — Minerva-Motors, Ltd, 47, rue de la Pépinière,
- Paris.
- — Moka, moteurs, 27, rue des Récollets, Paris.
- — Moteurs et Machines (Fabrique de), Romain-
- motier (Suisse).
- — Moteurs Ardennais, boulevard des Deux-
- Villes, Charleville (Ardennes).
- .— Mutel et C10, moteurs, 124, rue Saint-Charles, Paris.
- — Niel (Compagnie des Moteurs), 54, rue de Châ-
- teaudun, Paris.
- — Noël [Moteurs), Provins (Seine-et-Marne).
- — Nouvelet et Lacombe, moteurs, 111, quai
- d'Asnières, Asnières (Seine).
- — Otto [Compagnie Française des Moteurs à gaz)9
- 135, rue de la Convention, Paris.
- ET LEVASSOR
- (Etablis-sements),
- moteurs, 19, avenue d’Ivry, Paris.
- — Pégase [Moteurs). — Voir Marcel, Paris.
- — Pellorce, moteurs, 24, rue de Bécon, Courbe-
- voie (Seine).
- — Perrot, moteurs, Vevey (Suisse).
- — Pessort, moteurs, rue Porte-Madeleine, Orléans
- (Loiret).
- — Petitcolin et Valadier, moteurs, 34, rue
- Pasteur, Nancy (Meurthe-et-Moselle).
- — Peugeot, Tony Huber et Cie, moteurs, 56,
- rue du Vieux-Pont-de-Sèvres, Billancourt (Seine).
- — Philippe, moteurs, 37, rue de Reuilly, Paris.
- — Pierson (J, et O.), moteurs, 47i rue Lafayette,
- Paris.
- — Pifre (Abel), moteurs, 174, rue de Courcelles,
- Paris.
- — PILAIN (SOCIÉTÉ) , min de Monplaisir,
- à Lyon (Rhône).
- — Pilter, moteurs, 28, avenue Thiers, Bordeaux
- Bastide (Gironde).
- — Prez-Crassier (R. de), moteurs, 27, rue de
- Châteaudun, Paris.
- — Primat et Cle, moteurs, 14, rue de Normandie,
- Asnières (Seine).
- — Pruvost, moteurs, 16, rue du Débarcadère, Paris.
- — Rajeuni, moteur économique, 119, rue Saint-
- Maur, Paris.
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- — Reeves Pulley C° {The), moteurs, à Colombus,
- Indiana (États-Unis).
- — Régal Gasoline Engine C°, moteurs de ma-
- rine, à Coldwatcr (Michigan), États-Unis.
- — Richard (7?.), moteurs, 17, rue Blatin, Clermont-
- Ferrand (Puy-de-Dôme).
- — U. L. T. (Moteurs à deux temps). — Voir Legros
- {René), a Fécamp.
- — Robin, moteurs, G, rue Haxo, Paris.
- — Robur, moteurs, 1, rue Saint-Georges, Paris.
- — Rociie-Grandjean, moteurs, 27, boulevard de
- la Chapelle, Paris.
- — Rochester Electric Motor C°, moteurs, 10,
- Frank Street, Rochester (New-York), États-Unis.
- nriprnr CT Pie moteurs, 1, rue Saint-nUutnO L I U , Georges, Paris.
- _ DHCCCI /C \ CT Pi0 moteurs, h So-
- nUOOtL \l ./ Cl l , chaux, par Montbéliard (Doubs).
- — Saint-Anne-Kerosene-Motor C°, moteurs, à
- Sainte-Anne (Illinois), États-Unis.
- — Salmson et Cle, moteurs, 58, -rue Lafayette,
- Paris.
- — Sigma, moteurs. — Voir Champrobert (De), à
- Paris.
- — Sintz Gaz Engine, moteurs, h Détroit (États-
- Unis).
- — Smalley Motor C°, moteurs de marine, Bay
- City (Michigan), États-Unis).
- — Sohnlein (7/.), moteurs, 32, Frankfurterstrasse,
- Wiesbaden (Allemagne),
- — Soyeux, moteurs « Rex », à Givry-en-Ar-
- gonne (Marne).
- — Splen.did (moteurs), — Voir Fornas (Louis).
- — QUI TAN (MoTEUlls)/ — Voir Martin et OU L I H 11 Lethimonnier.
- — Taylor (Compagnie des moteurs), 16, rue Grange-
- Batelière, Paris.
- — Terry and C°, moteurs de marine, 92, Chambers
- Street, à New-York (États-Unis).
- — Toquet Motor C°, moteurs de marine, 31, East,
- 23 d. sfreet, i\ New-York (États-Unis).
- — Tourand (A.), et Ce, moteurs « Vautour », 5 bis, boulev. de Versailles, à Suresnes (Seine).
- — Trébert Auto and Marine Motor C°, moteurs.
- — Voir Broivnell-Trébert C°.
- — Trébert Gas Engine C°, moteurs, West Main
- Street (Rochester), New-York (États-Unis).
- — Triplex, moteurs. — Voir Caplet (M.), le Havre.
- — Union (Moteurs). — Voir Chamoreau et Martin.
- — Valette (L.), et Recourt (Lucien), moteurs,
- 89, avenue de la République, Paris.
- — Vanlaetiiem (L.), moteurs, 4, rue du Débar-
- cadère, Paris.
- — Vautour, moteurs. — Voir Tourand (A.), et Cio.
- — Vebmorel, moteurs, à Villefranche-sur-Saône
- (Rhône).
- — Victoria, moteurs Kolb, 36, rue de l’Arcade,
- Paris.
- — VlLLEMAiN, moteurs, 35, rue Arago, à Puteaux
- (Seine).
- — Volker et Prugel, moteurs, Obernbourg-
- sur-Mein (Bavière).
- — Zedel, moteurs, à Pontarlier (Doubs).
- CLASSE 7
- MÉCANIQUE GÉNÉRALE
- Aciers. — Amiante — Brasure. — Engrenages. — Fonderie.— Forges. — Installation d’usines. Métaux.— Produits isolants. — Soudure. — Tubes métalliques, etc.
- — Acétylène (Compagnie Universelle d*) soudure
- autogène des métaux, 36, rue de Châteaudun, Paris.
- — Acier Diamant (7/). — Voir Gagfe Lipart, Paris.
- — Aciéries de France (Les), pièces de fonderie,
- 67, rue Caumartin, Paris.
- — Aciéries de Grenelle (Les), pièces de fonderie,
- 56, rue de Lourinel, Paris.
- — Adelmora (Aciers d'), 61, boulevard Sébastopol,
- Paris.
- — Air et Feu (Nouveaux Etablissements), forges et
- chalumeaux, 16, rue du Buisson-Saint-Louis, Paris.
- — Alexandra (Métal), 12, rue de Moscou, Paris.
- — Allaire, taille d’engrenages, 227, rue Saint-
- Martin, Paris.
- — Allevard (Hauts-Fourneaux d’), fonte de fer
- et d’acier, 93, quai de Valmy, Paris.
- — Allouard et Cie, tuyaux métalliques flexibles,
- 72, rue du Chemin-Vert, Paris.
- — Aluminium (Société Nouvelle de Brasure et de Soudure de /’), 40, rue de la Tour-d’Auvergne, Paris.
- — Amiante du Cap (Cie française de V), amiante,
- accumulateurs type Sehmitt, 11, rue de la Cerisaie, Paris.
- — Amiante (Société française de V), et Courtois-
- Bell et Cie Réunis, amiante et produits isolants, 7, rue de la Boëtie, Paris.
- — Anzin (Forges et Aciéries d’). — Voir Denain
- et Anzin.
- — Appareillage Electrique (Manufacture Pari-
- sienne d’), fibre vulcanisée dure et flexible, 14, rue Commines, Paris.
- ___jjnnn (Société anonyme industrielle des Eta-
- H II DLL bfissements), acier sous toutes ses formes, 52, boulevard Haussmann, Paris.
- — Asbectic (Compagnie Générale française d’),
- amiante, 7, rue du Bât-d’Argent, & Lyon (Rhône).
- — Aubert, constructeur-mécanicien, 4, rue Claude-
- Vellefaux, Paris.
- — Auscher (Gaston), poudres 5 braser, soudures de
- cuivre, 56, faubourg Stanislas, à Nancy (Meurthe-et-Moselle).
- — Autier Frères et Cie, écrous et boulons, à
- Château-Rcgnault-Bogny (Ardennes).
- — Baillet, soudure autogène, 42, rue de Lorraine,
- à Courbevoie (Seine.)
- — Bànlier, modeleur, 130, rue de Courcelles, à
- Levallois-Perret (Seine).
- — Barres Cylindriques de Précision (Société
- des), 23, rue Lasson, Paris.
- — Barriquand, soudure autogène de tous métaux,
- 5, boulevard de Levallois, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Basse und Selve, tous métaux pour automo-
- biles, à Altena (Westphalie), Allemagne.
- — Baudet (J.), tubes en fer, 63 bis, rue de la
- Grange-aux-Belles, Paris.
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- — Bedel et Cie (Forges et Aciéries de la Bérardière),
- aciers au nickel pour automobiles, à Saint-Étienne (Loire).
- — Béguin PÈRE et Fils Aixé, aciers au nickel,
- 108, rue Saint-Maur, Paris.
- ____ nrççr outillage général pour usines, ma-
- Dtoot chines-outils, 39, rue de Lappe, Paris.
- — BESSIÈRE, tubes métalliques, 116, rue du fau-
- bourg Saint-Martin, Paris.
- — Bkuret (Bronze), il .Tuvisy-sur-Orge (Seine-et-O.)
- — Beyer Frères, constructions mécaniques et
- fonderies, i\ Saint-Dié (Vosg33).
- — Bidault, zinc laminé, 13, rue Lakanal, Paris.
- Bidez et Haller, fonderie de fer, A Fumay (.Ardennes), et 10, rue Mirabeau, à Vincennes. fSeine).
- BrxocHE et Aubert, fonte de fer et d’aeier, 39, avenue de la République, Paris.
- BrzET et Dubois, fabrique de presses hydrauliques, 51, rue Croulebarde, Paris.
- DI AMP iü \ Q Pie {F°r$es Stéphanoises); uLAIlL \r J « u pièces de forge et d'estampage ; Le Marais,à St-Étienne (Loire).
- — Blanchet et Barjonnet, entreprise générale
- d’usines, 123, rue de ia Réunion, Paris.
- — Blanzy Poure et Cie, tubes emboutis de petits
- diamètres, 107, boulevard Sébastopol, Paris.
- — Blocii et Cie, fers pour carrosserie automobile,
- 60, rue du Vivier, A Aubervilliers (Seine).
- — Boehler (Compagnie des Aciers), 166, avenue
- Parmentier, Paris.
- — Bouler (F.), tuyaux métalliques flexibles et
- pompes centrifuges, 22, rue Poncelet, Paris.
- — Bonna (fonte de fer). — Représentants : Binoche
- et Aubert,
- — Bonneville (Société métallurgique de la), laitons
- et aciers, 8, rue Sedaine, Paris.
- — Borderel, construction d’usines, 135, rue Clï-
- gnancourt, Paris.
- — BOSQUET, fonderie de cylindres de moteurs,
- 155, rue Michel-Bizot, Paris.
- — Bossin, tubes sans soudure, 22, boulevard Ri-
- chard-Lenoir, Paris.
- — BOUCHAREL, aciers au nickel, aciers au tungstène,
- 136, rue Vercingétorix, Paris.
- — Bouhey (Usines), engrenages taillés, 43, avenue
- Daumesnil, Paris.
- — Boulte, Larbodière et Cie, machines à vapeur,
- 6, rue Laborde, Paris.
- — Bruckner et Cie, aciers de Sandvick (Suède),
- et tubes en acier, 26, rue Buffault, Paris.
- — Buisson et C1ü, fourniture \ industrielles, 1, rue
- Amelot, Paris.
- — Buisson et Senau, aciers, 75, boulevard de la
- Villettc, Paris.
- — Bürys et Cie, aciers, 63, rue des Marais,
- Paris.
- — Busser-Castiliiac, modeleur, 14, rue Delizy,
- à Pantin (Seine), et 292, rue du Faubuurg-Saint-Denis, Paris.
- — Cahen (Alfred), fonderie d’aluminium, 16, rue
- de Toul, Paris.
- — Cahors et Cie, modeleurs, 4 bis, rue de la Ca-
- valerie, Paris.
- — Canda, matériel pour fonderie, 23, rue Servun
- Paris.
- — Capitain-Gény, aciers, à Bussy (Haute-Marne)
- - CAPLAIN-BERGER ETC'1, SîX
- automobiles, 86, quai Jemmapes, Paris.
- Pneus LE QAULOIS
- Etablissements
- BEBGOUGNAN et Cie
- à CLIRMOHT-FERRiHD (P.-de-D.)
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-
-
- CLASSE J -- ^3q --- MÉCANIQUE GENERALE
- — Carton-cuir (Société des poulies en), 17, rue
- Béranger, Paris.
- — Cémentation (Société Parisienne de), 44, quai
- National, à Puteaux (Seine).
- — Chalanqui-Beuret , bronze antifriction, à
- Juvisy-sur-Orge (Seine-et-Oise).
- •— Champigneul, presses hydrauliques, 145, rue Michel-Bizot à Paris.
- — Champion, moteurs électriques, 54, rue Saint-
- Maur, Paris.
- — Chappêe et Fils, fonderie de fer, Antoigné
- (Sarthe).
- — Chapuis et Cie, appareils à souder, 142, rue
- Lafayette, Paris.
- — Charoy et Cie, fournitures industrielles, 3,
- rue Henry-Say, à Asnières (Seine).
- — Charpentier-Page (G). fonderie d’aluminium,
- au Valdoie (Territoire de Belfort).
- — Chatillon, Commentiiy et Neuves-Maisons
- (Compagnie des forges de), aciers, 19, rue de la Rochefoucauld, Paris.
- _ PUAlICCd AT (l \ S0lid«re autogène lirlAUodCLH I \J. / f de tous les métaux, réparations invisibles, 11, rue Princesse, Paris,
- — Chauvière, modèles en bois et en métal, 48 bis.
- rue Servan, Paris.
- — Chavanne-Drun Frères, Cylindres pour le
- laminage des métaux, à Saint-Chamond(Loire).
- — Citroen, Hinstin et Cie, taille d’engrenages,
- 202, faubourg Saint-Denis, Paris.
- — Clamoüse, modeleur, 104, rue Oberkampf, Paris.
- — Collignon (A.), et Cie, pièces en fonte malléable
- Deville (Ardennes).
- — Constructions Économiques (Société de),
- constructeurs d’usines, 11, avenue de l’Opéra, Paris.
- — Corbin (il/.), et Cie, fonderie d’aluminium,
- Boute Nationale, Noisy-le-Sec (Seine).
- — Oothias (Société Anonyme des alliages), rue Victor
- Hugo, 9, Ivry-Port (Seine).
- - Cradock and C°, aciers, îl Wakefïeld (Angleterre).
- — Créfel-Hardy, fonderie de fonte malléable et
- d’acier coulé, à Nouzon (Ardennes).— Représentant : Leverbe, Paris.
- — Crépelle (Jean), et Cie, machines il vapeur « Corliss et Wliiclock », à Lille (Nord).
- — Cttry Fils (J.), aciers il Deville (Ardennes).
- — Debarle, modeleur, 34, boulevard de la Vil-
- lette, Paris.
- — Debard, fonderie d’aluminium, 80, rue Ober-
- kampf, Paris.
- — Decouan, travaux mécaniques, 6, rue Vaucou-
- , leurs, Paris.
- — Deloffre(A et Ch.), mécaniciens-constructeurs 32, rue de la Gare, Le Cateau (Nord).
- — Demarigny, cheminées d’usines, 62, boulevard
- de la Gare, Paris.
- — Demouchy, aciers, 50, rue Fontaine-au-Roi, Paris
- — Demoulin, fonderie d’aluminium, 13, avenue
- de Versailles, Choisy-le-Roi.
- — Denain et D’Anzin (Société Anonyme des
- Hauts-Fourneaux, forges et aciéries de), 31, rue Mogador, Paris.
- — Denimal, modeleur, 62, rue Gavé, Levallois-
- Perret (Seine).
- — Denniel ET Cie (Société des lièges agglomérés),
- 24, rue Dauphine, Paris.
- — Dermatine C° Ltd, garnitures pour machines,
- 24, boulevard Voltaire, Paris.
- — Desnoyers Frères, tubes en acier, 116, Bou-
- levard Richard-Lenoir, Paris.
- — Dissoubray, engrenages taillés, 32, rue de
- Malte, Paris.
- — Dives (Société d* Electro-Métallurgie de), tubes
- en cuivre, 11, place de la Madeleine, Paris
- -DOUAI (Forges de). — Voir Arbel (Société).
- — Drouet, mica en gros, 101, rue de la Glacière
- Paris.
- — Dubarry, fonderie de fer et d’acier, 127, avenue
- Philippe-Auguste, Paris.
- — Dubied (E.), et Cie, visserie de précision,
- Couvet (Suisse).
- — Dumesnil et Durand, aciers, 97, rue Ober-
- kampf, Paris.
- — Duncan, forges portatives, 168, boulevard de la Villette. Paris.
- — Dupont-Noel et Cie, fonderie de fer, Revin
- (Ardennes).
- — Durant (Veuve) et Lebedde, fonderie pour au-
- tomobiles, Vrigne-aux-Bois (Ardennes).
- — Edeline, appareils de levage, 108, rue de la
- Réunion, Paris.
- — Edoux et Cie, monte-charges et pompes, 72,
- rue Lecourbe, Paris..
- — EGYPTIENNE D'ÉLECTRICITÉ
- (Société), transformateurs électriques, postes de charge, 43 rue du Rocher Paris.
- — Eicken et Cie, aciers, à Hagen, (Westphalie),
- et 19, rue d’Hauteville, Paris.
- — Electro-Chimie (Compagnie Générale d*), fabrique de carbure de calcium et de ferrosilicium, à, Bozel (Savoie).
- — Electro-Métallurgique- Française (Société)9
- aciers, aluminium, ferro-clirôme, à Froges (Isère).
- — Espérance (Société des Fonderies de V) aux
- Mazures (Ardennes). —• Représentant: Noël, Paris.
- — Estampage et de Ferrures du Nord-Est
- (Manufacture df), i\ Méziôres (Ardennes).
- — Estampage (Manufacture Ardennalse d’) (De-
- mangel fils aîné), à Charleville (Ardennes).
- — Fagnon et Zimmer, tubes en acier, 44, rue des
- Vinaigriers, Paris.
- — FARGÈRE (VITAL) AÎNÉ, SS” *
- talloplastiques, 3, rue Paillon, à Saint-Étienne (Loire.
- — FÉRACiEit (Le), métal extra-résistant pour au-
- tomobiles, 9, rue G and on, Paris.
- — Ferrand ingénieur-constructeur, 124, boule-
- vard Richard-Lenoir Paris.
- —- Ferro-Nickel (Société Anonyme le), nickel pur, 10, rue Louvois, Paris.
- — FORGES DE LORETTE. SifK!:
- —- Fouché (Chalumeau)! soudure de tous métaux. — Voir J aval, Paris.
- — Fouilloud et Cie, appareils à souder, 87, rue
- de la Roquette, Paris.
- — Foulon, fonderie pour automobiles, il Nogent-
- le-Roi (Eure-et-Loir).
- — Fourchambault et la Pique (Fonderies de),
- — Voir Magnard. et Cie (Nièvre).
- — Freydier (Vve H.), et Cie, boulons 9, passage
- Hébrard, Paris.
- PDICC mr\ CT Pio outillage général, ins-
- lllICo \UL) Cl b tallation d’usines, machines-outils, 19, rue de Rocrov, Paris.
- Fryer et Cie, tubes, 45, rue du Faubourg-Saint-Antoine, Paris.
- Gaget Lipart, acier « Diamant », 42, rue de Chabrol, Paris.
- Gagnière, fonderie d’aluminium, 147, rue Oberkampf, Paris.
- Gailly Frères, fonte d’acier, rue de l’Abreuvoir, à Charleville (Ardennes).
- — G allia (Société Anonyme La), tubes, 34, quai de
- Suresnes, à Suresnes (Seine).
- — Gallonier et Hamm, mon te-voitures, 15, rue
- de la Banque, Paris.
- EADIE
- est le MOYEU des
- Grandes Marques
- p.739 - vue 741/946
-
-
-
- CLASSE y
- ^4-0 - MECANIQUE GENE HALE
- — Gally Frères, clouterie mécanique, rue de
- l*Abreuvoir, à Charleville (Ardennes).
- — Gasne, aciers et fers, 83, rue du Faubourg du
- Temple, Paris.
- — Genoud et Fils, tubes, h Saint-Claude (Jura).
- — Gérard, mécanicien, 16, rue des Grandes-
- Carrières, Paris.
- — Gilbin Boynette et Cie, fonderie, à Vrigne-
- aux-Bois (Ardennes).
- — Glacier (Métal Anti-Friction), 22, rue de
- Londres, Paris.
- -GLAENZER & PERREAUD générale,
- installation d’usines, 1 avenue de la Bépu-blique Paris.
- — Glyco (Société du métal), métal Anti-Friction,
- 2, cité Biverin, Paris.
- — Goetz et Cie, modeleurs, 13, Grande-Bue à
- Asnières (Seine).
- — Goquel et Cie, fonderie de fer, à Montbéliard
- (Doubs).
- — Gorcy (Société Métallurgique de) fers et aciers,
- â Gorcy, par Longwy (Meurthe-et-Moselle).
- — Grange, modeleur, 17, rue Marqfoy, Paris.
- — Grisard et Bicat, fonderie, à Vrigne-aux-Bois
- (Ardennes).
- — Griset, fonderie d’aluminium, 123, rue Ober-
- kampf, Paris.
- — Guilbert, appareils il souder, 39, rue des
- Archives, Paris.
- — Güstin Fils Aîné, fonderie à Deville (Ardennes).
- — Gustin, Malherbe et Cie, fonderie à la Longue-
- Haye, près Monthermé (Ardennes).
- — Gutmann {Alfred), machines à jet de sable, à
- Hambourg-0 ttensen (Allemagne).
- — Guyénot, fournitures pour usines, 1, rue du
- Printemps Paris.
- — IIanzer Frères, boulons, 4, rue Baudin, au
- Petit-Ivry (Seine).
- — Haraucourt (Société Anonyme des Fonderies
- et Ateliers de), pièces détachées ù. Haraucourt (Ardennes).
- — Hardy Capitaine et Cie, fonderie. — Voir
- Crépel-Hardy successeur.
- — Hardy Patent Pick C°, aciers à Sheflield (Angl.)(
- — Hauffeuiit et Cie, appareils il braser, 68.
- avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — uriuNCPQAWi: fabri<iue de nickel pur,
- nLmiCunMVC, 32, rue Bennequin, Paris.
- — Hénon-Hardy {Vve), fonderie de fonte, à Nouzon
- (Ardennes).
- — Hercule {Collet), colliers de serrage. — Voir
- French-Brewster.
- — Hiverge et Cie, fonderie d'acier « Féracier »,
- 9, rue Gandon, Paris.
- — IIoltzer {Jacob), et Cie, aciers fondus, 43, rue
- du Marais, Paris.
- — Homécourt {Forges <T). — Voir Marine et
- dfHomécourt {Forges et Aciéries de la).
- — HORME ET de LA Buire {Htablissements de V)
- ateliers de construction, fonderie, hauts-fourneaux, 8, rue Victor-Hugo, il Lyon (Rhône).
- — Hübin {Fonderies et laminoirs d’IIarfleur),
- tubes, à Harlleur (Seine-Inférieure).
- — Huchet, fonderie, 10, rue Claude-Vellefaux,
- Paris.
- — Huet {Jules), fonderie, à Viviers-au-Court
- (Ardennes).
- — Hua {Paul), aciers, 37, rue de Lyon, Paris.
- — Huntsmann, aciers, 246, rue de Bercy, Paris.
- — Jacob Delafon et Cie, générateurs, 14, quai de
- la Bapée, Paris.
- — Jacquemart (Vve Jules), fonte Malléable Char-
- leville (Ardennes).
- — Janssens, mécanique générale, Saint-Nicolas
- (Belgique).
- — Jardon, acier comprimé, 11, passage Dubail*
- Paris.
- — Javal, soudure autogène, 26, rue Cadet, Paris.
- — Jessop et Sons, aciers, 8, rue de Lancry, Paris.
- — Jomain, ascenseurs pour voitures automobiles,
- 34, rue Brancion, Paris.
- — Josserand et Jacquet, décolletage de précision
- 23, rue Lasson, Paris.
- — Jovin Charlier, fonderie de fer, Nouzon
- (Ardennes).
- — Keller, Leleux et C10, Ferro-silicium, 3, rue
- Vignon, Paris.
- — Klepp, fournitures d’usines, 54, boulevard Ri-
- cluird-Lenoir, Paris.
- — Krupp (Fried), aciers, à Essen (Allemagne).
- — Krupp (Fried), aktiengesell schaft, fonderie
- Magdebourg-Buckau ( Allemagne).
- — Laffitte (société des plaques et poudres à souder)r
- 102, avenue Parmentier, Paris.
- — Landemard, Aubert et Cle, appareils pour
- braser, 10, rue de Bambouillet, Paris.
- — Lasson, aciers, 122, rue du faubourg Saint Martin, Paris.
- — Laulard, fers à souder, 34, passage Baoul, Paris.
- — Lavoisier, fonderie de cylindres de moteurs,
- 8, rue de Seine, Suresims (Seine).
- — Legénisel, fonderie d’acier, 28, rue del'Orillon,
- Paris.
- — Lejeune (Marcel), engrenages, 1, impasse du
- Moulin-Joly (93, rue d'Angoulême), Paris.
- — LembkÉ, libre vulcanisée, 43, boulevard de
- Strasbourg, Paris.
- — Lespinasse, mécanicien, 88, rue de la Folie-Méricourt, Paris.
- •— Lemoine-Biès, soudures en tous genres, 74, rue du Temple, Paris.
- — Leverbe, fonderie d’acier coulé et de fonte,
- 188, faubourg Saint-Martin Paris
- — Liorê, modeleur, 6, rue Camille-Desmoulins,
- (Levallois-Perret).
- — Lobet, courroies de transmission, 80, route de
- Flandre, Pantin (Seine).
- — Long, fonderie d’aluminium, 207, boulevard
- Voltaire, Paris.
- — Longwy {société des aciéries de), aciers, à Mont-
- Saint-Martin (Meurthe-et-Moselle).
- — J.orin, palans, Doulaincourt (Haute-Marne).
- — Louyot, tubes, 16, rue de la Folie-Méricourt,
- Paris.
- — Magaud, fonderie d’aluminium, 37, rue Creuzet,
- Lyon (Bhône).
- — Magnalium, alliage pour fonte, 14, rue des
- Çommines, Paris.
- — Magnolia (compagnie), métal antifriction, 50,
- rue Taitbout, Paris.
- — MALICET ET BLIN,
- publique, à Aubervilliers (Seine).
- — Mallet, aciers 67, rue du Chemin-Vert, Paris.
- — Malzine {Fred. Recq de), engrenages taillés,
- pièces détachées, à Sclessin-Liège (Belgique).
- — Marchand et Dreyfus, fers, 100, quai de la
- Bapée, Paris.
- _ MADINItD procédés de soudure autogène, IrlHnmltrfi, 33, rue du Château, Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Marquise {établissements métallurgiques de), aciers
- Binxent (Pas-de-Calais).
- *— Martin et Leroy, fonderie d’aluminium, 93, rue de Cormeilles, Levallois-Perret (Seine).
- — Maugin, tubes métalliques, 18, rue de Norman-
- die, Courbevoie (Seine).
- — Mercier, fonderie d’aluminium, 5, rue Chaudron,
- Paris.
- — Métallurgie {Société française de), tubes, 45,
- boulevard Haussmann, Paris.
- ÇLAENZEA
- et PENAUD
- Outillage général
- 1, av. (le la République, Paris
- p.740 - vue 742/946
-
-
-
- CLASSE 7
- MECANIQUE GENERALE
- — 1 —
- — Métallurgique de la Seine (Société), aciers,
- 15, rue d'Abbeville, Paris.
- — Métaux (Cle Européenne des), aciers, 53, rue Con-
- dorcet, Paris.
- — Métaux (Cie française des), tubes, 10, rue Volney,
- Paris.
- — Métaux (société générale des) aciers 11, rue de
- Rocroy, Paris.
- — Milbled, fonderie de Tôle, Dargnies (Somme).
- — Mirloret et Cie, fonderie de cuivre, 7, rue
- Vanier, Suresnes (Seine).
- —- Modeleurs-Mécaniciens (Association générale des), 14, rue des Prairies, Paris.
- — Monter, Cônes à friction, place Broca, Sainte
- Foy-la-Grande (Gironde).
- — Monier, Seitert et Pommeret, tubes, 14, rue
- Saint-Maur, Paris.
- — Monin, rivets, 88, rue de Vanves, Paris.
- — Moniotte jeune, fonderie, Ronchamp (Haute-
- Saône).
- — Montandon, aciers, 13, rue Debelleyme, Paris.
- — Montataire (forges et fonderies de) aciers 16, rue
- Le Peletier, Paris.
- — Montbaiid (société métallurgique de), tubes, Mont-
- bard (Côte-d'Or).
- — Montefiore (Cie de), fonderie, La Briclie-Saint-
- Denis (Seine).
- — Monthermé Laval-Dieu [fonderie de) fonderie
- de fer, 34, rue de Lancry, Paris.
- — Montupet et Cie, fonderie d’aluminium, Nogent-
- les-Vierges, Creil (Oise).
- — Moreaux fils, forges portatives, Charleville
- (Ardennes).
- — Moreaux aîné, forges, Charleville (Ardennes).
- — Morel, mécanicien, 99, boulevard de Grenelle,
- Paris.
- — Moret, tubes, 29, boulevard Voltaire, Paris.
- — Moses Eadon sons, aciers, 37, avenue de la
- République, Paris.
- — Moulin [Aciéries et Forges du), 32, rue du fau-
- bourg Poissonnière. Paris.
- — Muller et Roger, fonderie, 108, avenue Phi-
- lippe-Auguste, Paris.
- — Nantaise (Aciérie), 97, rue Lafayette, Paris.
- — Néo-Métallurgie (La), Ferro-Chrôme, 10, rue
- de Louvois, Paris.
- — Nickel (Le), 26, rue Laffitte, Paris.
- — Niri/n ^Compagnie de fabrication française Il lu II CL du), nickel sous toutes ses formes, 32, rue llennequin, Paris.
- — NiclauSe (J. et A.), générateurs à vapeur, 24,
- rue des Ardennes, Paris.
- — Noël, représentant des Fonderies de VEspérance,
- 41, rue de Flandre, Paris.
- — Oldano, soudure autogène, 46 bis, rue Gravel,
- Levallois-Perret (Seine).
- — Oxhydrique française, soudure autogène,
- 8, rue Tronchet, Paris.
- — Paris, palans, rue de Normandie, Paris.
- — Paris et d’Outreau, (aciéries de), 151, rue Ober-
- kampf, Paris.
- — PELON, métal, avenue de la République, 76, Paris.
- — Penaü, mécanique, 165, rue du faubourg Pois-
- sonnière, Paris.
- — PÉrignon, Vignkt et Cie, fonderie, 25, rue de
- Chazelles, Paris.
- — Perrotte, modeleur, 73, rue Saint-Maur, Paris.
- — Petit, modeleur, 18, rue d’Allemagne, Paris.
- — Piat et SES fils, fondeurs, 85, rue Saint-Maur,
- Paris.
- — Picard, boulons, 108, rue Oberkampf, Paris.
- — Pinel, fonderie, Maromme (Seine-Inférieure).
- — Plichon frères, fonderie, 107, rue du Chemin-
- Vert, Paris.
- — Poccardi, fonderie, Turin (Italie).
- — Poldi (Société des aciéries), 55, quai de Valmy,
- Paris.
- — Pompe Y (forges et aciéries de),8 5, rue Saint-Lazare,
- Paris.
- — PONTGiBAUD, tubes, Couéron (Loire-Inférieure).
- — Posno, Guespin, Scheffler et C:e, brasures,
- 40, rue de la Tour-d'Auvergne, Paris.
- — Reboud frères, fonderie, au Plancher-les-
- Mines (Haute-Saône).
- — Regnier, aciéries et forges, 36, boulevard Vol-
- taire, Paris.
- — Régy frères, modeleurs, 120,rue de Javel, Paris.
- — Rémy-Mallet, fonderie à Saint-Dizier (Haute-
- Marne).
- — Richter, tubes en étain, 25, faubourg Saint-
- Georges, à Nancy (Meurthe-et-Moselle).
- — Rigidium (société nouvelle du), rue de l'Industrie,
- à Courbevoie (Seine).
- — Rispal et Trémeau, laitons, 14, impasse Truillot
- (88, boulevard Voltaire, Paris.)
- — Rivory et Joly, tubes, rue de la Méditerranée,
- à Lyon (Rhône).
- — Roy, appareils à souder, 9, boulevard Richard-Lenoir, Paris.
- — Rupalley (G.), fonderie, 3, rue'Collin, à Puteaux
- (Seine).
- — Sachs-Kofferfabrick, fabrique de fibre vul-
- canisée. — Voir Nathan frères.
- —- Sala, rivets, 25, rue des Vinaigriers, Paris.
- — Salomon et C'c, tubes, 26, rue du Bailly, à la
- Plaine-Saint-Denis (Seine).
- — Sambre et Meuse (aciéries de), aciers, à Jeu-mont (Nord) et à Stenay (Meuse).
- — Sandvick (acier suédois), 26, rue Bufïault, Paris.
- — Sapène (J) et C’e, outillage, 58, rue Taitbout,
- Paris.
- — Saut-du-Tarn (société anonyme des hauts four-
- neaux, forges et aciéries du) aciers, 19, rue d’Athènes, Paris.
- — Sauvanet et Teurtroy, découpage, 9, rue du
- Surmelin, Paris.
- — Scellier et C10, fonderie, à Voujaucourt (Doubs) — Searle frères, écrous, à Boutillerie-les-Amiens
- (Somme).
- — Séguinol, tubes, 45, avenue Parmentier, Paris.
- — Serres, soudures, 32, rue Pastourelle, Paris.
- —- Shelby STEEL Tubing C°, tubes, à Pittsbourg (Pensylvanie), Etats-Unis.
- — Siegen-Solingen (compagnie des forges et
- aciéries de), aciers, à Solingen (Allemagne).
- — Sircoulon et Amstutz, écrous, à Meslières
- (Doubs).
- — Soding et Halbach, aciers, à Hagen, (Wcst-
- phalie).
- — Solidiüm, fonderie d’aluminium. — Voir Martin
- et Leroy. «
- — Solingen (aciers de). Voir Siegen-Solingen.
- — SOUDURE AUTOGÈNE
- selat, 11, rue Princesse, Paris.
- — Sougland (forges et fonderies de), à Sougland,
- commune de Saint-Michel (Aisne).
- — Stenger, modèles en bois, 13, rue Etienne-Dolet,
- Paris.
- CIIDCDIMC /I A\ installations complètes OUDCnlIlt \LH/, d’usines, produits isolants en liège, 8, bd de Vaugirard, Paris.
- — Synovia, métal antifriction. — Voir Ilamelle
- (Henry).
- — Teste Moret et Cie, tubes, à Lyon (Rhône).
- — Thiault (J.), soudure, 27 rue des Poissonniers, à
- Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Tiiibal, fonderie, 22, boulevard Richard-
- Lenoir, Paris.
- — Thomé fils et Crombach, fonderie, à Nouzon
- (Ardennes).
- —• Thomson-Houston (compagnie française pour Vexploitation des brevets), transport de force, 10, rue de Londres, Paris.
- RECORD
- de Consommation
- BERLIET
- p.741 - vue 743/946
-
-
-
- CLASSE ^ — 7^2 — CLASSE 8
- ACIÉRIES ET FORGES DE LORETTE (Loire)
- Établissements RUSSERY VERDIÉ
- Aciers en barres laminées en martelées. Aciers cémentés, raffinés et corroyés.
- Aciers rapides pour outils; fils et bandes en acier.
- Spécialité d'aciers pour pièces d'automobiles et pour cémentation:
- — Thüatj fils, fonderie, à Rennes (Ille-et-Vilaine).
- — Tilquin, fonderie, à ltevin (Ardennes).
- — Transmissions flexibles {compagnie française
- des), 46, boulevard Haussmann, Paris.
- — Travail électrique des métaux (société anony-
- me pour le), 4, quai de Seine, â Saint-Ouen (Seine).
- — Tréfileries du Havre (compagnie des), 29, rue
- de Londres, Paris.
- — Tubes {société française pour la fabrication des),
- tubes en acier, à Louvroil (Nord).
- — United shoe Machinery C°, rivets tubulaires,
- 105, rue Lafayette, Paris.
- — Vachey, fours à tremper, 177, boulevard de la
- Gare, Paris.
- — Vallière, soudure autogène, 241, avenue Dau-
- mesnil, Paris.
- — Verqne, fonderie de fer, 23, rue de Paris, à
- Pantin (Seine).
- — VÉRON et Cio, fonderie,à Sainte-Suzanne (Doubs).
- — VERPILLEUX FRÈRES ET Ci0,
- aciers spéciaux pour l'automobile, il Lorcttc (Loire).
- — Véry, fonderie de cuivre, 66, rue d'Angoulème,
- Paris.
- — Vesta, lampe h souder. — Voir Fouülovd et Ce.
- — .Vieille-Montagne {société de la), zinc en plan-
- ches, 19, rue Iticher, Paris.
- — Vilbceuf et Ladreyt, forge et estampage, 182,
- boulevard Victor-Hugo, il Clichy (Seine).
- — Vingo {aciers). — Voir Moses Eadon Sons (An-
- gleterre).
- — Vitesse {acier). — Voir Sapène et Clc, Paris.
- — Vivez (VveE.), forges, 16, rue du Buisson-Saint-
- Louis, Paris.
- — Vuillaume, boulons, 41, rue Manin, Paris.
- — Wilck.es, aciers, 2, cité Itiverin (rue de Bondy),
- Paris.
- — Willaime fils, fonderie,il Charleville (Ardennes).
- — Wyss et Cîe, fonderie, à Séloncourt (Doubs).
- CLASSE 8
- PIÈCES DÉTACHÉES
- Billes. — Boulons. — Chaînes. — Châssis sans moteurs — Changement de vitesse. — Courroies. — Ecrous. — Embray âge. — En grenage s. — Freins. Joints. — Manivelles — Mise en marche. — Paliers. — Pièces estampées. — Pompes à eau. — Roulements, etc. — Voir aussi la Classe 11.
- — Accary, pièces détachées, 27, rue Trousseau
- Paris. „
- — Aeolus, pièces détachées. — Voir Descamps,
- Paris.
- — Aigle, moyeu. — Voir Hénon, Mestre et Kienle
- Paris.
- — American Ball Bearing C°, fabriques de billes
- en acier, Edgewater Park, il Cleveland Ohio (Etats-Unis).
- — Amoudruz (A.), pièces détachées, 24, rue
- d'Armaillé, Paris.
- ___ ADDCI (Société anonyme industrielle des Eta-
- HflDtL blissements), châssis et roues emboutis, essieux, 52, boulevard Haussmann, Paris.
- __ ARISTOS (c^a^nes^ — voir nafer fit8
- — Armes et cycles de Saint-Etienne {Manu-
- facture française d*), cycles, fournitures pour tous les sports, â Saint-Etienne (Loire).
- — Ascot, pièces détachées. — Voir Sarraute, Paris.
- — Aster {ateliers de constructions mécaniques L'),
- pièces détachées, 74, rue de la Victoire, Paris.
- — Astorgis, pompes et graisseurs, 9, cité de
- Phalsbourg, Paris.
- — Aufière, pièces détachées, 95, rue de Flan.lre
- Paris.
- — Aütodrill {L*), mise en marche automatique.
- — Voir Centaure (Le), Lyon.
- — Aütobloc (Société Française de V), système de
- blocage universel, 37, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Babillot, pièces détachées pour automobiles,
- 28, rue Notre-Dame-de-Nazareth, Paris.
- — Bàillot, mécanicien constructeur, â Fumay
- (Ardennes).
- EXIGEZ
- DES
- CHAINES RENOLD
- sur vos Châsisis
- C. COMIOT - PARIS
- p.742 - vue 744/946
-
-
-
- CLASSE 8
- ^43--- PIÈCES DETACHEES
- — Bain, tampons-freins débrayeurs, 10, rue Carnot,
- à Bois-Colombes (Seine).
- — Bajac, pièces de forge, à Liancourt (Oise) ; et
- 38, rue du Louvre, Paris.
- — Balata-Dick, courroies. — Voir Wanner et Cie,
- Paris.
- — Baldwin Chain and Mfg C°, chaînes, 193,
- Cliandler Street, à Worcester (Mass.), (Etats-Unis).
- — Ball Bearing C° {The American), pièces dé-
- tachées, à Cleveland Ohio, (Etats-Unis).
- — Bakbot (Aimable), mécanicien constructeur,
- 5, place Métézeau, à Dreux (Eure-et-Loir).
- — Barnascone {L.), pièces détachées hour cycles
- et automobiles, phares « Schlesinger », 2, rue de Braque, Paris.
- — Barrière (Anciens Etablissements), fabrique de
- Boulons, 22, rue Saint-Sabin, Paris.
- — Baud, fabrique de joints pour automobiles)
- 75, cours Lafayette prolongé, à Lyon (llhône).
- — Baujaud (G.), pièces détachées, 103, rue La-
- fayette, Paris.
- — B. B. Ercin B. B. — Voir Brêbant et Cîe, à
- Juvisy-sur-Orge (Seine-et-Oise).
- — Bellair (X.) et Cie, billes en acier, 17, rue des
- Trois-Bornes, Paris.
- — Bennett (J. H,), moyeu Morrow, 12, Chaussée-d’Antin, Paris.
- — Benoit, fourche élastique « Dulcis », 63, rue Oberkampf, Paris.
- — Benoit (E,), — Voir Galle, Paris.
- — Biguet (Echappement libre). — Voir Durand,
- 178, boulevard Péreire, Paris.
- -BINET (ALPHONSE) ET C“,a«SS»,
- spécialité de clapets et de vilbrequins, 6, rue de Jarente, Paris.
- — Birmingham Small Arms C° Ltd, pièces
- détachées « B. S. A. », à Birmingham (Angleterre).
- — Bischoff (Félix), pièces détachées pour auto-
- mobiles, essieux etc, A Duisburg-am-Rhein (Allemagne)..
- __ DI7CIIM silencieux tubulaires, rue F011-
- Dl£LUIL, despan, à.Bazas (Gironde).
- __ ni II WP CT Pi° soupapes et. pièces dé-
- BLHNü [I t | tachées, Le Marais, Sain> Étienne (Loire).
- — Blanchart (C.) et Cie, fabrique de chaînes et
- pièces détachées, 170, rue de Charonne, Paris.
- — Bloch fils, pièces détachées pour automobiles,
- 50, rue des Marais, Paris.
- — Bolle (Eugène), changements de vitesse, à
- Marpent (Nord).
- — Bonehill, représentant de la maison Fried
- Krupp, 117, boulevard Magenta, Paris.
- — Bonnafous, Bozonnet et Cie, engrenages,
- embrayages à friction, 59, rue des Cloys, Paris.
- — Borichansky, tour et fraisage à façon, 26, rue
- Garnier, à Neuilly-sur-Seine) (Seine).
- — Bosch et Lemerle, tourneurs sur métaux,
- 59, rue de la Hoquette, Paris.
- — Bosio et Cie, appareils de mise en marche
- automatique, 1, via Giovanni Prati, Milan (Italie).
- — Boüchacourt et Cie, fabrique de boulons, à
- Fourchambault (Nièvre).
- — Bouchet (A.), constructeur mécanicien, à
- Saint-Chéron (Seine-et-Oise).
- — Boulez, (ateliers de constructions mécaniques,
- 13, boulevard de Belleville, Paris.
- — Bouthéon ET Dubreuil, pièces forgées, vile-
- brequins etc, Forges de la Maladière, à l’Horme (Loire).
- — B. R., auto-démarreur. — Voir d'Yochet.
- — Brampton Brothers, Ltd, accessoires pour
- automobiles, à Birmingham (Angleterre).
- — Breger et Neveux, billes en acier, pièces
- détachées, 50, rue des Marais, Paris.
- — Brown (IV.), pièces détachées « Æolus », à
- Birmingham (Angleterre).
- — Brun (L.), manivelle de mise en marche sans
- danger de retour, à Saint-Chamond (Loire).
- — Brunon et Vallette, châssis emboutis, à Rive-
- de-Gier (Loire); et 54, rue Taitbout, Paris.
- — Bruon, pièces détachées, 9, cité Plichon, Paris.
- — B. S. A. (Birmingham Small Arms C°), fabrique
- de pièces détachées, k Birmingham (Angleterre).
- — Butin (Pompe à piston tournant). — Voir Comp-
- toir H. M. E., Paris.
- — Byrne, Kingston and Cq, fabrique de pièces
- détachées, k Kokomo (Indiana) (Etats-Unis).
- — Cail (anciens établissements), constructeurs mé-
- caniciens, 21, rue de Londres, Paris.
- — Camhon, constructeur du démarreur « Le Réveil », 33, rue de Marseille, à Lyon (Rhône)
- CAPLAIN-BERGER ET Ciü,
- 86, quai Jemmapes, Paris.
- — Carle, clés et pièces de forge, 21, rue d*Alsaee,
- Courbevoie (Seine).
- — Catène, mécanicien constructeur, 15, rue de
- Paris, k Choisy-le-Roi (Seine-et-Oise).
- — Cavin, mécanicien constructeur, 49, rue Bichat,
- Paris.
- — Centaure (Société Le), mise en marche auto-
- matique « l’Autodrill », 20S, cours Gambetta, à Lvon (Rhône).
- — Chambaud, pièces détachées, 9, rue Saint-Georges
- Paris.
- — Chanudet, pièces détachées, 47, rue Fontaine-
- au-Roi, Paris.
- — Charpentier, pièces embouties, 53, avenue Par-
- mentier, Paris.
- — Chaudeur, sciage et découpage de métaux,
- 110, rue Castagnary, Paris.
- — Chauvin, constructeur mécanicien, 77, rue de
- Lariche, Tours (Indre-et-Loire).
- ___ PU Al(|l|y CT pièces détachées pour auto-
- ü lift VA 11 EL I , mobiles et cycles, 33, avenue Denfert-Rochereau, Saint-Étienne (Loire).
- — Chazoulière, mécanicien-constructeur, à Ma-
- reuil-sur-Belle (Dordogne).
- — Chevauché, pièces forgées, 31, rue de Buzenval,
- Paris.
- — Chevillard et Girard, pièces détachées, 15, rue
- Péclet, Paris.
- — Chorlier et Guichard, mécaniciens, Saint-
- Etienne (Loire).
- — CinogÈne ( Le), mise en marche automatique,
- 36, rue Alsace-Lorraine, k Grenoble (Isère).
- — CITROEN, HINSTIN ET C°, ^
- taillés, 202, faubourg Saint-Denis, Paris.
- — Clamagirand, joints métalloplastiques, 3, rue
- Cler, Paris.
- — Claudé, rivets, 51, rue Saint-Louis -en -l’Ue,
- Paris.
- — Claudinon et Cie, pièces détachées, Chambon-
- Feugerolles (Loire).
- — Clôt et fils, embrayages, 3, rue de Sablière,
- Paris.
- — Cohendet (A.) et Cie, mécanique de précision,
- 166, quai de Jemmapes, Paris.
- — Coley (Poulies), embrayage progressif pour moto-
- cyclettes, 9, rue Venancie-Stains (Seine).
- P fi Ml HT /PLI \ pièces détachées, 87, bou-tUITIIUI \lnj, levard Gouvion - Saint-Cyr, Paris.
- — Compin, fonderie de cuivre, 25, chemin des Pins,
- k Lyon (Rhône).
- Les Automobiles “ LORRAINE-DIETRICH ”
- SONT IvKS RAPiI)i:S
- p.743 - vue 745/946
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- — Comptoir H. M. E., pompe à piston tournant,
- 2, rue Hyppolyte-Lebas, Paris.
- — Constructions mécaniques d'Asnières {ate-
- liers de), pièces détachées, 29, quai d'Asnières, Asnières (Seine).
- — CONSTRUCTIONS MÉCANIQUES
- IUT IA I H! DIT {Société anonyme de), UC LH LUInC pièces détachées, marque « Automoto », rue Parmentier, Saint-Étienne (Loire).
- — Contet (henri), pièces mécaniques, 12, rue
- Laeuée, Paris.
- — Courreau (rené), mécanicien rue de Cholet.
- Douê-la-Fontaine (Maine-et-Loire).
- — Cowey Engineering C°, indicateurs de vitesse,
- station avenue Ncw-Gardens-Lomlres (Angleterre).
- — Ciiépet, changements de vitesse, A la Demi-Lune,
- Lyon (Rhône).
- — Curty et Sapin, joints métalliques, 26, rue
- d'Abondanee, Lyon (Rhône).
- — Darbilly et Cie, chaînes pour automobiles,
- 12, rue Vincent, Paris.
- — Daunay, freins, 118, boulevard Voltaire, Paris.
- — Dauvilliez (établissements), pièces forgées, 124,
- rue Sannois prolongée, Levallois - Perret (Seine),
- — Dauxin, mécanicien constructeur, Nouzon
- (Ardennes).
- — Davies Brothers, engrenages, stepney Yorks,
- Stanelly (Angleterre).
- — Deherghe et Lafaye, pièces détachées, 14, rue
- Pelleport, Paris.
- — Décolletage et de constructions mécaniques
- {Société industrielle de), pièces détachées, Saint-Florent (Cher).
- — Degaille, changements de vitesse, 85, rue de
- Méuilmontant, Paris.
- — Delagnaux, mécanicien, 20, rue Manin, Paris.
- — Delcourt, mécanicien, à Faumont par Râches
- (Nord).
- — Délépinois, mécanicien, 15, rue Sainte-Foy,
- Béthune ( Pas-de-Calais).
- — Delion et Lepeu, mécaniciens, 9, rue Marceau,
- Pré-Saint-Gervais (Seine).
- — Dellheim {J.) et Cie, pièces détachées, 44, rue
- du Château d'Eau, Paris.
- — Delrieu fils, mécanicien, A Touzac (Lot).
- — Demanqel frères, pièces estampées, Charleville (Ardennes).
- — Démarreur « Le Réveil », construit par
- Camion, 33, rue de Marseill', à Lyon (Rhône).
- — Demasy, constructeur, 18, rue Faidherbe,
- Liévin (Pas-de-Calais). .
- — Dembiermont-Gehu, pièces forgées, Hautmont
- (Nord).
- — Dervé et Cie, pièces estampées, Mézières
- (Ardennes).
- — Deschamps, mécanicien, 2, chemin du Mont-
- Valérien, Puteaux (Seine).
- nnilAI (Forges de). — Voir Arbel (So-“ UUUHI ciêté).
- — Dulac, mécanicien, 139, avenue Gambetta, Paris
- — Dupoirier, pièces détachées, 48, rue Claude-
- Decaen, Paris.
- — Dupressoir (Paul-Charles), mécanicien, à
- Maubeuge (Nord).
- — Dürener Métallwerke (A. <?.), pièces forgées,
- à Düren (Prusse Rhénane).
- — Dyle et Bacalan {Société anonyme de travaux).
- châssis, A Louvain (Belgique).
- — D'Yochet, auto-démarreur, 7, rue Feydeau,
- Paris.
- — Eadie, pièces détachées, A Redditch (Angle-
- terre).
- — Cl CWATnD appareil pour soulever la uLLVA I Un, caisse des automobiles.—-Voir
- Mathieu, Paris.
- — Enfer jeune, forges portatives. — Voir Air
- et Feu {établissements).
- — E. Y. M., pièces détachées. — Voir Vauzelle,
- Morel et Cie.
- — Excelsior, joints métalliques. — Voir Curty et
- Sapin à Lyon.
- — Enfer et ses fils, forges portatives. — Voir
- Londemard, Aubert et Cie.
- — FARGÈRE (VITAL) AÎNÉ, Ï‘,S™Ï
- talloplastiques, 3, rue Paillon, A Saint-Étienne (Loire). .
- — Faure, pièces détachées, rue de Toulon, A Lyon
- (Rhône).
- —- F. B., pièces détachées. — Voir Bischoff, à Duisbourg.
- — Ferret tt Livet, mécanique de précision,
- 93, rue Oberkampf, Paris.
- — F. et S., marque de fabrique de Fichtel et Sachs
- (Allemagne).
- — F. ET S. — W. H., roulements A billes. — Voir
- Hénon et Mestre, Paris.
- — Fibre-Eau, garniture hydraulique. — Voir
- Hauchard, Paris.
- — Fichtel und Sachs (schweinfurter praecision
- kugerlager werke), pièces détachées A Schwein-furt-sur-Mein (Bavière).
- — Firminy {Société anonyme des aciéries et forges de),
- pièces détachées, à Firminy (Loire).
- — Fives-Lille {Compagnie de), constructions méca-. ^niques, ^Fives-Lille (Nord).
- Moyeu EADIE Grandes Marques
- i
- p.744 - vue 746/946
-
-
-
- CLASSE 8 — ^45 — PIÈCES DETACHEES
- -----------------------------,
- USINES FORÉZIENNES
- Découpage, emboutissage de tous métaux £•
- ©j Spécialité de moyeux emboutis
- ©j. et de pignons acier découpé .£*
- brévetés
- Claudius GROS
- 21, rue de Cl)anr)pagi)e, 5aii)t-Étiei)i)e (France)
- I_______________________________________
- — Fixator, levier-manette.— Voir Bowden, Paris.
- — Flament-Fontaine (Jules), constructeur, à
- Dompierre (Nord).
- — FORGES DE DOUAI. - SV’*"’
- — Forges et aciéries de la Loire. — Voir
- Binoche et Aubert, Paris.
- — Forges et ateliers du Nord, châssis d’auto-
- mobiles, rue des Jardins-Caulier, à Lille (Nord).
- — FORGES STÉPHANOISES.'?1;,''!","
- — Fournier etPionchon, pièces détachées. 42 bis,
- rue Sébastopol, à Lyon (Rhône).
- — FRANÇAISE (SOCIÉTÉ LA),ZZ“,
- pièces détachées, 11, rue Brunei, Paris.
- — Freinage et constructions mécaniques
- (Société Générale de), pièces détachées, 5, rue du Vieux-Pont-de-Sèvres, à Billancourt (Seine).
- — French-Breavster (établissements)/frein d’écrou
- • « Sperling », 0, rue Saint-Sébastien, Paris.
- — Friés et Hopeinger, billes en acier.— Voir
- Schildge {E.).
- — Fruton et C1(î, représentant des Usines Franco-
- Belges, pièces détachées, 148, faubourg Saint-Denis, Paris.
- F. S. W. H.,
- roulements à billes. — Voir
- _ _ _ ________7 Hénon et Mestre.
- — Fuant, échappement libre, 38 bis, rue Brunei, Paris.
- ___ riipAN {Société anonyme des ateliers du), piè-
- rUnAil ces détachées, 4, rue Barrouin, à Saint-Etienne (Loire).
- Fil ç {marque), roulements à billes. — .U. O. Voir Fichtel et Sachs (Allemagne). — Gaillard, mécanique générale, 57. rue Servan, Paris.
- — Galle {ancienne maison), E. Benoît, successeur ;
- chaînes, 84, rue Oberkampf, Paris.
- — Gamain et Cie {Société anonyme des anciens ateliers), pièces détachées, 4, rue de la Limite, à Liège (Belgique).
- — Gardy, pièces de tours, aux Condreaux, par Montfermeil (Seine-et-Marne).
- — Garford C° (The), pièces détachées, à Elyria Ohio, (Etats)Unis).
- — Gauthier el Cie, joints métalliques, 52, cours Lafayette prolongé à Villeurbanne près Lyon (Rhône).
- — Gerkinet {J et E), pièces détachées à Jeumont (Nord).
- — Getting et Jonas, courroies « Titan », 6, rue Coquenard, à la Briche-Saint-Denis (Seine).
- — Girard, pièces estampées, 46, rue Laugier, Paris.
- — Glachant, pièces détachées, 65, route des
- Petits-Ponts, à Pantin (Seine).
- _ PI ACM7CD CT plc roulements et coussi-ULHLHZ.Cn tl l , nets à billes, pièces détachées,r35, boulevard de Strasbourg, Paris.
- — GLAENZÊR ET PERREAUD, 5'S-
- chées, 1, avenue de la République, Paris.
- — Goutallier, pièces détachées, 7, rue de Bagnolet,
- à Vincennes, Paris.
- — Govan, changement de vitesse. — Voir Ilozier
- à Glascow (Angleterre). ’
- pnnç pièces détachées pour automobile» UÏlUO, et cycles, moyeux et pignons, 21, rue de Champagne, à Saint-Étienne (Loire).
- — GROUVELLE, ARQUEIYIBOURG ET
- Cio pièces détachées, pompes, radiateurs»
- , 71, rue du Moulin-Vert, Paris.
- — Guérin, poulies, 2, rue de Pantin, à Bagnole; (Seine).
- — Guitard, courroie-chaîne, 11, rue du Pot-de-Fer, Paris.
- — IIaessler et Billard, pièces détachées, 25, rue des Envierges, Paris.
- - HAMMOND, MOUTER ET C ", 5'S
- cliées « Diamant ». — Voir Française {Société la).
- — Hanriot et Cle, pièces détachées, roulements, 11, rue Descombes, Paris.
- — Harding, pièces détachées, 71, avenue de la Grande-Armée, à Paris.
- — Haüchard, garniture hydraulique, Fibre-Eau, 144, rue du Bac, Paris.
- — Hautmont {ateliers de construction et forges d’), châssis emboutis, â Hautmont (Nord).
- — HAYDEN AUTOMATIC AND EQÜIPMENT C°, pièces détachées, 26, Cortlandt Street, à New-York (Etats-Unis).
- — Hazard, pièces détachées, 29, rue des Trois-Bornes, Paris.
- — H. B., frein. — Voir Hinstin frères.
- — Hkintz, mécanicien, 99, boulevard Diderot, Paris.
- — Hele-Shaw Patent Clutch C°, Ltd, embrayages progressifs, à Liverpool (Angleterre).
- - HÉNON (ALBERT) FILS,
- Grandville, par Ncufmanil (Ardennes).
- - HÉNON ET MESTRE, «“v.1
- uue Alphand, Paris,
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- p.745 - vue 747/946
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- PIÈCES DÉTACHÉES
- __ nrjunv graisseurs, 117, boulevard de la
- il L 11 n T , Yillette, Paris.
- — Hérisson, embrayage progressif. — Voir
- Viguié {E.)t Paris.
- — Herstal-lez-Liège {fabrique nationale d'armes
- d'), pièces détachées. — Voir armes de guerre.
- — Herstal-lez-Liège {J. et H. Gerhinet), pièces
- détachées, — Voir Gerhinet {J. et H.)
- — HIRSCH (ÉTIENNE),
- sol, Paris.
- — Hoffer (F.), billes, 38 bis, rue Vivienne, Paris.
- — Hoffmann, billes. — Voir 1lollet et Cie.
- — Hoffmann Mfg C°, Ltd, roulements à billes,
- à Chelmsford, Essex (Angleterre).
- — Holdfast, rivets. — Voir United Shoe Mfg Cie.
- — Holz (Julius), pièces détachées, 108, rue Faider,
- avenue Louise, à Bruxelles (Belgique).
- — Hoppenstedt, embrayages, 23, rue d’Hautc-
- ville, Paris.
- — HUSSENOTETRAYNAUD , détachées,
- 30, rue de la Boëtie, Paris.
- — H. \V., pièces détachées. — Voir Hanriot et Clc. — H. Z., pièces détachées. — Voir Ilanzer Frères.
- — Imbert (Louis) fils, pièces détachées, 93, rue
- de Lyon, à Rivc-de-Gier (Loire).
- — International Motor Car Supply C°, pièces
- détachées, 41, W 33, Street à New-York City (Etats-Unis).
- — Jaboulay mécanicien, Firminy ^Loire).
- — Jaegge, mécanicien, 07, avenue de Clioisy, Paris.
- — Jeumont (Usines et aciéries de), pièces déta-
- chées, 12, rue Lafayette, Paris.
- — Julien, embrayages et changements de vitesse,
- 110, rue Saint-Maur, Paris.
- __ IHÇÇV ^^nc^ens Etablissements de). — Voir
- JUOO I Furan {Ateliers du).
- — Labre et Peyki fils, pièces détachées, 50,
- rue Greffulhc, Levallois-Perret (Seine).
- — Lacoste et Batmann, pièces détachées, 15,
- rue Danton, Levallois-Perret (Seine).
- — Lafontaine, pièces détachées, 7, rue Leregrattier,
- Paris.
- — Lagère et Cie, pièces détachées, 14, rue Mont-
- gallet, Paris.
- — Lambierge et Cie, mécaniciens, 8,rue Bretonneau,
- Tours (Indre-et-Loire).
- — Lansac et Boulier, changements de vitesse, 13,
- rue Louis-Blanc, Levallois-Perret (Seine),
- — Laurent, manettes, 10, rue de Loos, Paris.
- — Lautmann, engrenages taillés, 5, passage de
- l’Industrie, Paris.
- — Lehut, freins, 46, rue de Billancourt, Paris.
- — Legris-Brenot, robinetterie, 4, allée Verte
- (58, rue Saint-Sabin), Paris.
- — Lemaire, ingénieur-constructeur, 51, avenue de
- Versailles, Paris.
- — Lespinasse, fournitures automobiles, 88, rue
- de la Folie-Méricourt, Paris.
- — Loitron {changement de vitesse).— Voir Degaille,
- Paris.
- — LONGUEIYIARE FRÈRES, détachées,
- 12, rue du Buisson-Saint-Louis, Paris.
- — Lux, marque de fabrique des ateliers du Furan.
- — Macérienne (Lu), pièces détachées, 78, boulevard
- Richard-Lenoir, Paris.
- IŸIALICET ET BLIN,
- roulements â billes, engrenages taillés, pièces détachées, châssis, 103, avenue de la République, Aubervilliers (Seine)
- Margue, Lejeune et Cie, pièces détachées, Méziôres (Ardennes).
- Marine et d’Homécourt [Forges de la), pièces détachées, 98, rue de la Victoire, Paris.
- — Marquart, pièces détachées, 5, via Melegnano»-
- Milan (Italie).
- — Massard, mécanicien, 26, rue Coriolis, Paris..
- — Masson fils, courroies, 52, rue Popincourt, Paris
- — Mathey, fournitures d’usines, Grande-Rue,.
- Pontarlier (Doubs).
- ___ MA T U IC II pièces détachées, appareil « Ele-
- 111H I II 11U, vator » pour soulever les caisses* . des automobiles, 18, rue Saint-Ferdinand, Paris.
- — Maudiguet, mécanicien, 271, avenue Daumesnil,.
- Paris.
- — Mayeski, mécanicien, 3, rue du Pas-de-la-Mule,.
- Paris.
- ___WlirPCl/CT CT Pi' pièces détachées, ra-
- IvILuuVELl CI U , diateurs, 7, rue de' Mal.itrex, à Genève (Suisse).
- — Mégret, mécanicien, 141, rue de Javel, Paris.
- — MÉGY, mécanicien, 84, avenue de Suffren, Paris..
- — Menke, pièces détachées, Francfort-sur-le-Mein
- (Allemagne).
- — Mercier, poignées de guidons, rue du Moulin,.
- Igny (Seine-et-Oise).
- — Mertz (Émile), mécanicien, Bâle (Suisse).
- — MESTRE ET BLATGÉ, dfSk
- pour automobiles, 5, rue Brunei, Paris.
- — Mettetal, pièces détachées, 17, rue Beautreillis..
- Paris.
- —- Meudon {Forges et constructions mécaniques de), 43, rue de Paris, Meudon, (Seine-et-Oise).
- — Meyer et Valter, pièces détachées, 6, cité
- Guénot, boulevard Voltaire, Paris.
- — Micheli (Piêtro), châssis automobiles, 1, via Sottoripa, Gènes (Italie).
- — Michoud (F.), constructeur, rue Gentil, Yenne
- (Savoie).
- — Miller, pièces détachées, 97, reade Street, New-
- York (États-Unis).
- — Millet, changements de vitesse, 18, rue Gambetta
- Persan (Seine-et-Oise).
- — Monin et Banquier, changements de vitesse,.
- 62 bis,'Grande rue, Boulogne-sur-Seine (Seine)*
- — Morel (Frères), pièces estampées, Grand Croix
- (Loire).
- — Mouillon, moyeux, 3, rue Hendelet, Dijon
- (Côte-d’Or).
- — Moyeu Rivierre {Société anonyme du), 40,.
- avenue de la Grande Armée, Paris.
- — Neuhaus, décolletage, 25, rue de la Cerisaie,.
- Paris.
- — Neumann, châssis emboutis, à Juvisy (Seine-
- et-Oise).
- — NoÉ, pièces détachées, 12, rue Aline, Adamville*
- (Seine).
- — Nouzon (Fonderies de), pièces détachées, à
- Nouzon (Ardennes).
- — Ossul (Pedro), pièces détachées, 105, rue dit
- Mans, Courbevoie (Seine).
- — Oudot, Frères, pièces de forge, 12, rue de l’Ar-
- gonne, Paris.
- — Pache, clapets, 6, rue des Nanettes, Paris.
- — Paillard, freins, 0, rue Daumesnil, Vincennes-
- (Seine).
- — Papin, mécanicien, 16, rue du Change, Tours
- (Indre-et-Loire).
- — Parant Frères, direction irréversible, 50, rue-
- Chauveau, Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Parent, mécanicien, Charleville (Ardennes).
- — Péchenart et Vasson, boulons, Château-
- Regnault (Ardennes).
- — Peltier, mécanicien, 18, rue Carie-Hébert,.
- Courbevoie (Seine).
- — Perfectà, pièces détachées, 2, rue Adolphe-
- Adam, Paris.
- — Pernin, mécanicien, 26, rue Albouy, Paris.
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- nr\ chaînes et outillage général pour Ut/, automobiles, Valentigney (Doubs). PiASSON (Mme Vve), pièces détachées, 41, rue des Cloys, Paris.
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- Potier (Henri), Martin et Taclet, pièces détachées, 4, rue des Goncourt, Paris.
- RAFER FILS FRÈRES , ces détachées,
- à Saint-Chamoiul (Loire).
- Havel et Homeyer, pièces détachées, châssis, 114, rue d’Annonay, à Saint-Étienne (Loire).
- Rn r ________ Voir Roulements à billes (Société
- - D. I . Française des), à Ivry-Port (Seine).
- — DCWm n /UAMC\ Ltd, chaînes, à Man-
- ntllULU chester (Angleterre).
- --Agent : C. Comiot, 87, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris.
- — Riché (Ed.), estampage, 1, rue Abel, Paris.
- — Rivière fils, freins pour automobiles, 8, rue
- du Chevaleret, Paris.
- — Rivieriie (moyeu), 40, avenue de la Grande-
- Armée, Paris.
- — Roblot (Simon), frein-pince, 204, avenue de
- Saxe, à Lyon (Rhône).
- — Roevens, cylindres, 00, boulevard de Ménil-
- montant, Paris.
- — ROG, chaînes. — Voir Roger-Durand.
- — Roger Durand, chaînes Rog, 5, boulevard
- Beaumarchais, Paris.
- — ROGERS (R.) ET C", f'TuftS
- Georges, Paris.
- — Rolling, châssis. — Voir Dujiressoir. à Mau-
- beuge.
- — Rosengart Fils, pièces détachées, 85, rue des
- Amandiers (18, impasse Touzet), Paris.
- — Roudet (Paul), ventilateurs, 25, rue Rousselle,
- à Puteaux (Seine).
- — ROULEMENTS A BILLES Française
- des), 70, rue Franklin, à Ivry-Port (Seine).
- — Roussel (Henri), mécanicien, â Méz.êres (Ar-
- dennes).
- — Rousson aîné fils et gendre, mécanicien, à
- Feurs (Loire).
- — Rué réparations 8 rue Labié Paris.
- — Ruffier (Paul) appareils de mise en marche,
- 3, rue Vernier, Paris.
- — Ruffinoni (E.), volants de direction. — Voir
- F. Liore.
- — Rupelle. mécanicien, 53, boulevard Montpar-
- nasse, Paris.
- — Saint-Denis, silencieux. — Voir Lefebvre (A.),
- Fils.
- — Salles et CIe, pièces forgées et estampées, 253,
- avenue de Paris, à Saint-Denis (Seine).
- — Samain (Pierre), pompes, 108, rue Victor-Hugo,
- à Clamart (Seine).
- — Saiuiaute (Noël), pièces détachées, 41, rue de
- T Échiquier, Paris.
- — Sayer (Edivin), joints, 64, avenue de Châtillon,
- Paris. *
- — Schildge (Eugène), pièces détachées, 18 rue
- Sainte-t'roix-de-la-Bretonnerie, Paris.
- — Schmid-Roost. roulements, â Oerlikon, près
- Zurich (Suisse).
- — Schneider et Cie pièces détachées, Le Creusot
- (Saône-et-Loire).
- — Schoeneweiss et Ci0, pièces estampées, à Hagen
- (Allemagne).
- — Sohwarg, pièces détachées, 14, rue Saulnier,
- Paris.
- — Sclaverand (E.), pièces détachées. -v Voir
- Ed. Morin, successeur.
- — Sebin fils, chaînes, 4, rue Morand, Paris. Seebohm et Diecks, roulements à billes, à
- Schcffield (Angleterre).
- — Seeger, pièces détachées, 37, rue Rubens, â
- Bruxelles (Belgique).
- — Selbaiit, pièces détachées, 15, rue du Musée, à
- Marseille (Bouches-du-Rhône).
- — Sergeant, mécanique de précision, à Amiens-
- (Somme).
- — Serrures et Fonderies de fer (Fabrique de),
- pièces détachées, à Velbert (Allemagne).
- SOCIÉTÉ ANONYME DE CONSTRUCTIONS MÉCANIQUES DE
- IA I HIDC pièces détachées. — Voir LA LUInt, Automoto.
- — SOCIÉTÉ FRANÇAISE DES ROU-
- LEMENTS A BILLES, Æoïïfn,
- à Ivry-Port (Seine).
- — Sorge et Sabek, pièces détachées, 86, Mauer
- strasse, â Berlin (Allemagne).
- — Sorgue (Vve), ressorts!), passage Corbeau, Paris*
- — Sperling (frein d'écrou). — Voir French-Brewster
- ( Etablissements ).
- — S. R. O., roulements à billes. — Voir Breger
- et Neveux.
- — Standard Rolleii Bearing C°, roulements.
- Girard avenue, à Philadelphie (États-Unis)*
- — Taveau, embrayage progressif, 7, passage Piver,
- Paris,
- — Thirion et Mottard, mécaniciens, 16, rue du.
- Champ-de-Mars, à Bar-le-Duc (Meuse).
- — ThomÉ-GÉnot (ateliers), pièces détachées, â
- Nouzon (Ardennes).
- — Thuillier et Dague, pièces de forge, à Bar-
- sur-Aube (Aube).
- — Tourneau (P.), et Cfe, pièces détachées, 52r
- rue de Strasbourg, â Vincennes (Seine).
- — Traverse et Bouchard, pièces détachées, 119,.
- rue Saint-Maur, Paris.
- — Tribelhorn, constructeur, â Feldbach, lac de-
- Zurich (Suisse).
- — Truffault (Syndicat des Brevets). — Voir
- C hurlas.
- — U. F. B., pièces détachées. — Voir Fruton et C'le,.
- Paris.
- — Ursus, pièces détachées — Voir Chavanetr
- à Saint-Étienne (Loire).
- — USINES FORÉZIENNES. -
- Saint-Étienne.
- — Usines Franco-Belges, pièces détachées. —
- Voir Fruton et Clc, Paris.
- — Vàlbenoite (Forges de), pièces de forge, 19, rue
- Tréfilerie, à Saint-Étienne (Loire).
- — Vanlaethem (Ernest), pièces détachées, 85,
- avenue de Neuilly, à Neuilly-sur-Seine (Seine)..
- — VERPILLEUX FRÈRES, détachées,
- à Lorette (Loire).
- —- Victoria, billes en acier. — Voir Hénon et Mestre. — Vigneaux, châssis, 5, rue Bâcon, Paris.
- — Vilbœuf, pièces forgées et estampées, 182,.
- boulevard Victor-Hugo, Paris.
- — Villedieu (Usines de), pièces de fonderie, à
- Villedieu (Manche).
- — Vinter, mécanicien, 90, boulevard Ménilmon-
- tant, Pari3.
- — Vogel ET Prein, pièces détachées, â Hageu*
- (Westphalie)
- — Volo (Moyeu), — Voir Furan (Société anonyme
- des ateliers du)
- P0MPES COMPOUND^Tat^Sé
- MESTRE et BLATGÉ .5, Rue BRUNEL .PARIS
- p.747 - vue 749/946
-
-
-
- CLASSE y
- CLASSE 10
- - 74« -
- Walk Over (changement de vitesse), construit par Eug. Boite, à Marpent (Nord). Weiss-Frézard, chaînes, à Ronchamp (Haute-Saône).
- Wr iii roulements et changement de vi-. I - W -, tesse. — Voir Glaenzer et Cie. Wheeler and Scheiïler, pièces détachées, à Indianopolis (Indiana), États-Unis.
- Wiiitney Mfg C°, cliaînes, h Hartford (Connecticut), États-Unis.
- Williams and C°, pièces embouties, à Brooklyn (New-York), États-Unis.
- Wippermann (Wilhelm), pièces détachées, à Hagcn (W.), Allemagne.
- Zapp (Robert), matériel pour automobiles, 143, avenue Parmentier. Paris.
- — Schebler, carburateurs. — Voir Wheeler and
- Schebler.
- ___ SXHÉNOS (C^burateur). — Voir Rogers
- — Vatjrs, carburateurs, 38 bis, rue Brunei, Paris.
- — Volcan (société- américaine des carburateurs).
- 15, boulevard de Strasbourg, à Boulogne-sur-Seine (Seine).
- — Westmacott’s, vaporisateur à pétrole. — Voir
- Woodnutt.
- — Woodnutt et CIc, vaporisateurs à pétrole, à
- Saint-Helens (ile de Wight) (Angleterre).
- CLASSE 10
- CLASSE 9
- CARBURATEURS
- - Auto-Lampant, carburateur Auto-Lampant. —
- Voir Ragot, Paris.
- - Baverey (Carburateurs), à Irigny (Rhône).
- Bellan (E.)t fabrique de motocycles et de
- carburateurs, 137, avenue de Villiers, Paris.
- - Bezet et ses Fils, appareils de vaporisation,
- 19, avenue Parmentier, Paris.
- • Bourrienne, fabrique de carburateurs, 18,
- impasse Amelot, Paris.
- Briest (Gazéificateur). — Voir Dalifol et Cie).
- • Caillette et Marçon, carburateurs, 29, rue de
- la Plaine, Paris.
- Costantini et Thüau, carburateurs, 19, rue
- Ruhmkorfï, Paris.
- Fagard, constructeur de carburateur « Sthenos »
- 54, rue Fabry, à Liège (Belgique).
- Force Motrice Economique (La), carburateurs,
- 16, rue de Chartres, il Neuilly-sur-Seine (Seine)
- • Gamet, carburateurs, 5 bis, place Voltaire, Paris.
- • Gautreau Frères, carburateurs, à Dourdan
- (Seine-et-Oise).
- GROUVELLE, ARQUEMBOURG
- PT pio carburateurs, 71, rue du Moulin-L, I b , Vert, Paris.
- • Hennebutte, auto-saturateur. — Voir Force
- Motrice Economique.
- Holley Bros C°, carburateurs, 664, Beaubien
- Street, à Détroit (Michigan), États-Unis.
- JAPY (L. P.) ET C",
- par Seloncourt (Doubs).
- LONGUEMARE FRÈRES,
- et 14, rue du Buisson-Saint-Louis, Paris.
- Malézieux, société du carburateur, 1, passage
- du Désir, Paris.
- • Orly, carburateurs, 28, rue des Arts, Levallois-
- Perret (Seine).
- Ragot carburateurs, 129, avenue Philippe-Auguste, Paris.
- - Rapide (le), carburateur. — Voir Bellan, Paris.
- ROGERS (R.) ET C",
- 1, rue Saint-Georges, Paris.
- • Rogers (R.) et Cïe, carburateurs, 1, rue Saint-
- Georges, Paris.
- CHAUDRONNERIE GÉNÉRALE
- Capots. — Feiblanterie.— Radiateurs. — Réservoirs. — Silencieux. — Tôlerie, etc.
- — Apprin, radiateurs et réservoirs, 15, rue David,
- à Lyon (Rhône).
- — Audin (H.), radiateurs, 233, boulevard Voltaire
- Paris.
- — Baudier (C.), tôlerie et chaudronnerie pour auto-
- mobiles, 30, rue Baudin, h Levallois-Perret (Seine.
- — Bertucci, radiateurs, 29, rue Mathias-Duval,
- Paris. fl *«q ..«j ^ w *
- — Bisiaux, mécanicien, fabrique de refroidisseurs,
- 11, rue Petit, Paris.
- ___ DI7CIII /AAlHDri silencieux tubulaires,
- DlLtUL \ttHUnt;, pièces détachées pour automobiles, rue Fondespan, k Bazas (Gironde).
- — Boissart, réservoirs et capots, 45, rue Riquet,
- Paris.
- — Breuzin (Edouard), ferblanterie et cuivrerie à
- façon, 28, rue Morand, Paris.
- — Bruzeau, fabrique de capots et de réservoirs,
- 33, rue du Poteau, Paris.
- — Bullier et Cle, chaudronnerie pour automobiles,
- 33, rue Brunei, Paris.
- — Burtart (réservoir-compteur), vendu par Germe,
- 37, rue Godot-de-Mauroy, Paris.
- — CAPLAIN-BERGER ET C1*,
- automobiles, 86, quai Jemmapes, Paris.
- — Carpentier et Meunier, refroidisseurs, Ville-
- neuve-Saint-Georges (Seine-et-Oise).
- — Choubersky(Société Anonyme des Etablissements),
- capots et réservoirs, 20, rue Félicien-David.
- — Clair (Société Anonyme du silencieux), 201,
- boulevard Péreire, Paris.
- — Cochaux (Emile), fonderie, à Deville (Ardennes).
- — Ckeil (Société Industrielle de), capots et réservoirs,
- 47, rue de Châteaudun, Paris.
- — Dantan et Hawkins, silencieux à vide, 15, rue
- de Londres, Paris.
- ___ nCCDflIUTC réservoirs, capots et radia-
- ULorUli I O, tours, 150, rue Victor-Hugo, î\ Levallois-Perret (Seine).
- — E. F. refroidisseurs. — Voir Eétablie frères.
- — Entrepôt Métallurgique (Ij), radiateurs,
- 5, passage de l’Industrie, Paris.
- — Establie Frères et Establie (Louis), refroi-
- disseurs et capots, 11, quai Valmy, Paris
- I
- CHAINES RENOLD
- p.748 - vue 750/946
-
-
-
- OLASSE IO
- 7 49 — classe ii
- — Faure Père et Fils, capots et réservoirs, à
- llevin (Ardennes).
- — Ferblantiers Réunis (Association Générale
- des Ouvriers), fabrique de capots et réservoirs, 15, rue des Trois-Bornes, Paris.
- — Filliol et Cie, réservoirs, 39, rue de Paris, à
- Clichy (Seine).
- __ rnDITCT CT radiateurs, 32, boule-
- rUnCOl ELI L , vard Henri IV, Paris.
- — Grenier et Mercier, fabrique de radiateurs,
- 233, boulevard Voltaire, Paris.
- — Grimmeisen {Ch. et G.), et Güyot {R.), radia-
- teurs, 92, rue du Faubourg-du-Temple, Paris.
- — GROUVELLE (J.), ARQUEIÏI-
- BOURG (H.) ET C, «“riTS
- Moulin-Vert, Paris.
- — Guétat, refroidissenrs, 7, rue Boutard, à Neuilly-
- sur-Seine (Seine).
- — Guillemant (Vve), chaudronnerie pour auto-
- mobiles, 40, quai de la Loire, Paris.
- — II. B., réservoirs. — Voir Bullier et Cie, Paris.
- — Javet etC1c, réservoirs, 33, rue de Poteau, Paris.
- — Lebrun et Cormerais, refroidisseurs, Nantes
- (Loire-Inférieure).
- — Le Brun et Lecomte, radiateurs, 14, rue Victor-
- Hugo, Puteaux (Seine).
- — Legrand, réservoirs, 108, rue de Flandre, Paris
- — Liotard frères, radiateurs, 22, rue de Lor-
- raine, Paris.
- — LONGUEIYIARE FRÈRES, ÎÏTÏl;
- rue du Buisson-Saint-Louis, Paris.
- — Lorthioy, refroidisseurs, 8, rue de la Voûte,
- Paris.
- — Loyal, radiateurs, 204, rue Saint-Maur, Paris.
- — Main et fils, capots, Cerdon (Ain).
- — Maisonneuve, réservoirs, 51, boulevard Richard-
- Lenoir, Paris.
- — MÉGEVET (C. JULES) ET C”,
- radiateurs, 7, et 9 rue de Malatrex, Genève (Suisse).
- — Monnet et Moyne, refroidisseurs, 11, rue Torri-
- celli, Paris.
- — Morin (Ed. Ch.), réservoirs, 48, rue de T Aqueduc,
- Paris.
- — Ornements {société française des), réservoirs,
- 52, boulevard Richard-Lenoir, Paris.
- — Prini, réservoirs, 137, rue Oberkampf, Paris.
- — Ramier et Mauberqué, radiateurs, 109, rue de
- Paris, à Puteaux (Seine).
- — Renaud, réservoirs, 7, passage Saint-Pierre-
- Amelot, Paris.
- ___ DITT7 /HC\ silencieux, 15, rue de Tu-
- Ht I L \UlL/, renne, û Arras (Pas-de-Calais). — Représentants : Ilussenot et Raynaud, 39, rue de la Boétie, Paris.
- — R. M., radiateurs.— Voir Ramier et Mauberqué.
- — Sclaverand (E), réservoirs. — Voir Ed. Morin,
- successeur.
- — Topolski et Chausson, capots, 53, boulevard
- de Belleville, Paris.
- CLASSE 11
- ACCESSOIRES
- Clefs. — Compteurs de tours. — Cornets avertisseurs. —Crics. — Outils. — Sirènes. — Tachymètres.—^Trompes, etc. — Voir aussi la Classe 8.
- — Adams {Crics). — Voir Viguié {E.), Paris.
- — Allez Frères, accessoires, 1, rue Saint-Martin-
- Paris.
- — Anderson and Sons, iabrique de crics, 24,
- Saint-Aubin avenue, à Détroit (Michigan),. États-Unis.
- — Appareillage Electrique et Industriel
- {Société d’), appareils de mesures-électriques,. Auto-Mètre, 13, rue Cauinartin, Paris.
- — Audier, accessoires, 3, rue des Immeubles-
- Industriels, Paris.
- — Auto-Alarme Weber. — Voir Hussenot et
- Raynaud.
- — Auto-Argus. — Voir Voyage automobile {Maison
- du), Paris.
- — Auto-Controleur de Vitesse. — Voir Chauvin
- et Arnoux, Paris.
- — AUTO-GÉNÉRALE, SS!6’rue
- — AUTO-KILOMÉTREUR, cSÆ*,
- Paris.
- — Auto-Meter. —- Voir Warner Instrument C°.
- *— Auto-Mètre. — Voir Selig, Sonnenthal et Cie,.
- — Automobile Supply C°, accessoires pour auto-
- mobiles, 1339, Michigan boulevard, à Chicago (États-Unis).
- ___ AUTO DAI APC accessoires, 77 bis, ave-
- MUIU rHLHLL, nue de la Grande-Armée, Paris.
- — Autophone {U), cornet avertisseur. — Voir
- Berton, à Paris.
- — AUTO-STAND,
- — Auto-Supply C°, accessoires pour automobiles,.
- 1662, Broadway, à New-York (États-Unis). Auto-Vélocimètre. — 186, rue Championne!,. Paris.
- — Auzout, compteurs de tours, 108, rue Jouffroy,
- Paris.
- — BabaRIT, montres pour l’automobile, 8, boule-
- vard de3 Italiens, Paris.
- — Baille-Lemaire, optique, 22, rue Oberkampf
- Paris.
- — Balmonet Frères et Cie, fournitures pour
- automobiles, 106, rue des Amandiers, Paris.
- — Bara et Pascault {Société en nom collectif),
- fournitures pour automobiles, 35, rue Victor-Massé, Paris.
- — Barbou et Cie, fabrique de crics, 52, rue Mont-
- martre, Paris.
- — Bardin, échelles pliantes pour automobiles,
- 47 bis, route de Versailles, à Billancourt (Seine).
- — Barnascone {L.), accessoires pour automobiles,
- 2, rue de Braque, Paris.
- — Barré et Couppin, accessoires, à Bléré (Indre-
- et-Loire).
- — Baudot, accessoires pour automobiles, 231,.
- boulevard Péreire, Paris.
- — Baüriat, selles pour motocyclettes. — Voir
- Derangeon {Vve), Paris.
- Les Automobiles “ Lorraine- Dietrich ”
- ONT REMPORTÉ LE CIRCUIT DES ARDENNES EN 1906
- p.749 - vue 751/946
-
-
-
- CLASSE I U
- ACCESSOIRES
- 5o
- — Bayon et Cie, 46, rue des Vinaigriers, Paris, accessoires.
- — BAZAR DE L’HOTEL-DE-VILLE,
- accessoires pour automobiles, 54, à 62, rue de Rivoli, Paris.
- — Bellardent (il.), accessoires, 8, boulevard
- d'Asnières, à Villeneuve-la-Garenne (Seine). — Bénézit, horlogerie et porte-montres pour l'automobile, 62, rue de Saintonge, Paris.
- — Berghe (Ad. de), porte-cartes de route pour
- automobiles, 32, rue Labourct, A Colombes (Seine).
- — Bernard, cornes et sirènes, 184, rue du Faubourg
- Saint-Martin, Paris.
- — Berton, cornets avertisseurs, 15, rue de la
- Cour-des-Noues, Paris.
- — Bich, odotachymètres, 29, rue Brunei, Paris.
- — BlNG (Léopold), représentant de fabriques^, rue
- Pierre-le-Grand, Paris.
- — Bodeau frères, accessoires, 21, quai de la
- Charité, k Lyon (Rhône).
- DH N N CM II I C accessoires, 52, boulevar l
- BUUntLVILLE., Carnot, à Toulouse (Haute-Garonne).
- Borghi (R.), accessoires, pièces détachées, 19, via Pastrengo, à Turin (Italie).
- Bowden, Ltd, transmissions souples, 12, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- Bransom, garde-chaînes. — Voir Rousselet, Paris.
- Bréviaire (R. de), et Cie, accessoires pour automobiles, 49, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris.
- Brigatti, accessoires pour automobiles, 6 via Cappueini, j\ Milan (Italie).
- Brincat, spécialité de brosseries pour automobiles, 13, rue des Archives, Paris.
- Brosse et Cie, fabrique d'accessoire^, 22, rue Béranger, Paris.
- Brown-Brothers, Ltd, pièces détachées, Great Eastern Street, h Londres (Angleterre) ; et 31, rue de la Folie-Méricourt, paris.
- DllICCniU /P II \ accessoires pour auto-
- IjUIooUII \Ui A./, mobiles, 1, rue Ame-
- lot, Paris.
- — Bull-Dog, arrache-clous Rull-Doy. — Voir
- Pyat (J.), Paris.
- — Bullier et Cie, accessoires pour automobiles,
- pompes i\ air, etc., 33, rue Brunei, Paris.
- — Bunon (Vve), accessoires, 44, rue du Faubourg-
- du-Temple, Paris.
- — Bürtaiit (Henri), clés de serrage automatiques
- et indicateurs d'essence, 60, boulevard de Clichy, Paris.
- — Cahen et Guillierme, accessoires, 66, rue
- d'Hauteville, Paris.
- — Canavesio-Caiiello, accessoires, Turin. Italie
- — Cavalade, arrache-clous, 10, rue Bayard,
- Toulouse (Haute-Garonne).
- — Chadiïurn and Son, compteurs de tours, Wa-
- terloo road, à Liverpool (Angleterre).
- — Champion (Albert), accessoires, 541 Tremont
- Street, Boston (Massachussetts), États-Unis.
- — Chanut (/.), accessoires, 100, rue de Ménil-
- montant, Paris.
- — Chapüt (IL), fournitures pour automobiles,,
- 12, rue Boulle, Paris.
- — Charbonnier, accessoires, 59, avenue de la
- République, Paris.
- — Chateau Frères et Cle, compteurs, 125, boule-
- vard de Grenelle, Paris.
- — Chave, indicateurs de pente, à Eyguiôres
- (Bouches-du-Rhône).
- — Clèves (il/. de) et Chevalier, accessoires, 23
- avenue du Roule, h Neuilly (Seine).
- — Columbia, indicateurs de vitesse, 151 bis, rue
- de Picpus, Paris.
- POMIflT (T \ t,ous les accessoires pour uUITIIUI \L./, automobiles et cycles, 87, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris.
- COMIOT (H.), accessoires, 204, boulevard Péreire,
- Paris.
- — Compteurs (Cie pour la fabrication des), 16,
- boulevard de Vaugirard, Paris.
- — Compteurs - Electro - Kilométriques (Société
- des), 156, boulevard Péreire, Paris.
- — Compteur Kilométrique « Le Français »,
- 16, rue Taitbout, Paris.
- — Comptoir Central du Cycle et de l’Auto-
- mobile, accessoires, 2, rue Adolphe-Adam, Paris.
- — Comptoir Général des Établissements
- Métallurgiques, accessoires, 10, rue Martel, Paris.
- — Cowey Engineering C°, accessoires, Station
- avenue, New-Gardens, Londres (Angleterre).
- — Créance, [accessoires, 69, rue Montmartre,
- Paris.
- — Cure (L.), accessoires, 147 bis, rue du Chemin-
- Vert, Paris.
- — Darras, compteurs de tours, 123, boulevard
- Saint-Michel, Paris.
- — David Boudène et Cie, accessoires, 16, rue
- Oberkampf, Paris.
- — Delasalle (P.), compteurs kilométriques,
- 170, avenue Victor-Hugo, Paris.
- — Delrez, indicateurs de vitesse, 28, rue de
- Grammont, Paris.
- — Denis, avertisseurs, 62, rue de Villiers, Levallois-
- Perret (Seine.)
- — Denis, accessoires, 15, boulevard Péreire, Paris.
- *— Derangeon ( Vve J. R.), accessoires, 30, rue de
- Cormeilles, à Levallois-Perret (Seine).
- ____ nrcpnNTC accessoires, cornets, signaux
- üQOrUlllo, avertisseurs, etc., 150, rue Victor-Hugo, à Levallois-Perret (Seine).
- — Deulofeu, Marie et Cie, courroies trapézoïdales, 4 bis, rue de la Mare-du-Parc Sotteville-lez-Rouen (Seine-Inférieure).
- — Deutsche Tadomesenwerke, compteurs de
- tours, Belle-Alliance strasse, Berlin (Allemagne).
- — Deville, crics, à Grand-Croix, près Saint-Étienne
- (Loire).
- -— DionÉE, arrache-clous, 21, avenue Bosquet, Paris
- — Duff Mfg C°, crics, îl Alleghany (Pensylvania)
- États-Unis.
- — Dupont (A.), sirènes, 31, quai de Suresnes, à
- Suresnes (Seine).
- — Duquet, accessoires, 107 Westh, 36 th. sreet
- à New-York (États-Unis).
- — Durand, accessoires, 30, rue Chalgrin, Paris
- — Eaton et Cie, accessoires, à Birmingham
- (Angleterre).
- — E. F. Y., courroies à patins de bois. — Voir
- Durand, 178, boulevard Péreire, Paris.
- — Électricité (Société Alsacienne d'), compteurs
- et mauographes, 10, rue Regenbogengasse, à Strasbourg (Alsace).
- — Électrophone (/'), trompe électrique. — Voir
- Contai.
- — Errtée-Smith, indicateur de vitesse. — Voir
- Talbot (Romain),
- — Excelsior Supply C°, accessoires pour auto-
- mobiles, 233, Randolpli Street, à Chicago (États-Unis).
- — Ferretti, accessoires, 151, via dei Fiori, à Turin
- (Italie).
- — F. G., crics. — Voir Guitel (F.), à Paris.
- — Filogamo et Cie, accessoires, 24, via dei Mille,
- i\ Turin (Italie).
- — Fléming et Cie, accessoires, 23, rue Vicq-d’Azir,
- Paris.
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- ACCESSOIRES
- r-r,
- U (
- i
- — Flexibles (Compagnie Française des trans-
- missions), 46, boulevard Haussmann, Paris.
- — Fonclause, Jacquemet et Cie, cornetsa ver-
- tisseurs, 81, rue Saint-Maur, Paris.
- — Fouilloud et Cie, appareils à souder, 87, rue
- de la Hoquette, Paris J
- — FRANÇAISE (SOCIÉTÉ LA),
- tous les accessoires, 11, rue Brunei, Paris.
- — Funke, phares, trompes, 83, Chambers Street,
- à New-York (États-Unis).
- — Gauthier, pièces détachées, 11, rue Taine, Paris. — Gauthier et Cie, fournitures pour automobiles,
- 60, great Marlborough street, à Londres.
- — Gauthier et Cie, accessoires, 52, cours Lafayette
- prolongé, à Villeurbanne, près Lyon (Rhône),
- — Gauthier, et Trentelivres, accessoires, 30,
- rue de Malines, A Bruxelles (Belgique).
- — Gautier, fournitures pour automobiles, 11, rue
- Taine, Paris.
- — Genevet et Cie, accessoires, 9, rue d’Edim-
- bourg, Paris.
- — Germe, accessoires, 37, rue Godot-de-Mauroy, Paris.
- — Giehan Manufacturing C°, compteurs, 1557,
- Broadway, à New-York (Etats-Unis).
- ___ pi ATM7CD CT Pi° accessoires et rou-
- tl U , lements il billes, 35, boulevard de Strasbourg, Paris.
- — Griffault, accessoires, 120, boulevard de
- Courcelles, Paris.
- — Grivolas, accessoires, 324, rue Saint-Martin,
- Paris.
- -GROUVELLE (J.), ARQUEM-BOURG (H.), ET C, ~irS
- Moulin-Vert, Paris.
- — Guyon et C1u, accessoires, 37, rue Sainte-Croix-
- de-la-Bretonnerie, Paris.
- — Güyonnet, accessoires, 10, rue de Rome, Paris.
- — Hasler (G.), indicateur-enregistreur de vitesse
- “TEL”, il Berne (Suisse). Atelier des Télégraphes.
- — Hatcher Auto Parts C°, accessoires, àClêveland
- (Ohio), États-Unis.
- — Hauffeurt Frères, accessoires, 70, avenue de
- la Grande-Armée, Paris.
- Hr* indicateurs-compteurs.— Voir Hirsch UM {Etienne).
- - HÉNON ET NIESTRE , roulements à
- billes, 1, avenue Alphand, Paris.
- - HENRIQUE (JEAN-FRÉDÉRIC),
- accessoires et appareils d’allumage, 41, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Hild {E.), accessoires, il Norwack (Connecticut) États-Unis.
- — Hinstin Frères, accessoires, 203, rue du Faubourg Saint-Denis, Paris.
- - HIRSCH (ETIENNE), automobiles, 26,
- rue de Cru3sol, Paris.
- — IÎOFFECKER SPEED AND Ml LE REGISTER C°, indicateurs de vitesse, Park square Motor Mart à Boston (Massachusetts), États^-Unis.
- — IIORN (Gabriel), Mfg C°, avertisseurs, 978, Hamilton Street, à Cléveland (Ohio), États-Unis).
- — Hubert, compteurs, 2, rue Sibour, Paris.
- — Humpfner, accessoires, 1, Sachsenhauser, il Francfort-sur-le-Mein (Allemagne).
- - HUSSENOT ET RAYNAUD,
- générales pour automobiles, 39, rue de La Boëtie, Paris.
- — Hyslop Brothers, accessoires, à Toronto (Ca-
- nada).
- - INDICATEURS DE PENTE - Glaenzer
- et Cie.
- — INTERMÉDIAIRE (L),
- Monsigny, Paris.
- — Jacoby et C1c, accessoires automobiles, 9, rue
- Henri II, Lyon (Rhône).
- — Jacquemier, Odot.achymêtres, 5, rue du fau-
- bourg Poissonnière, Paris.
- — Janca, accessoires pour cycles, 10, rue de Boïel-
- dieu, Pantin (Seine).
- ICCCC /nC\ CT P13 accessoires de ba-~~ Jtoot lULJ tl L , teaux, 7, rue Col-lange, à Levallois-Perret (Seine).
- — Jones, compteurs automobiles, 128 west 32
- d street, New-York (E. U.).
- — Jones (William), compteurs automobiles, 112,
- N. Broad Street, Philadelphie (E. U.).
- — Junghaus frères, odotachymètres, 63, rue des
- Archives, Paris.
- — JüGMANN, accessoires automobiles, 8, Langen-
- beckstrasse, Berlin (Allemagne).
- — IvAFFEL, accessoires, 38, rue du Temple, Paris.
- — Kapferer [Henry), accessoires, 24, rue de la Rochefoucauld, Paris.
- — Kaye, burettes, 93, lligh Holborn, Londres W. C.
- (Angleterre).
- — Klein, compteurs, 86, rue du faubourg Saint-
- Denis, Paris.
- — Krauss, tachymôtres, 21, rue Albouy, Paris.
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- Braintree, Essex (Angleterre).
- — Lanier, échelles pliantes, 17, rue Jouvenet,
- Paris.
- — Lavène, avertisseur-sirène, 34, rue Notrc-Dame-
- de-Lorette, Paris.
- — Laverne, cuivrerie pour voitures, Montataire
- (Oise).
- — Leblond, cloches électriques, 37, rue Meslay,
- Paris.
- — Le MÉtats et fils, accessoires, 39, quai de Val-
- my, Paris.
- — Lépine, compteurs, 2, rue Vide-Gousset, Paris.
- — Lipmann frères, chronomètres, 96, boulevard
- de Sébastopol, Paris.
- — Lobin aîné, accessoires, 3, boulevard Voltaire,
- Paris.
- — Loewenberg, accessoires, 132, rue du faubourg
- Saint-Denis, Paris.
- — Mazellier, indicateurs de pression, 89, avenue
- de Neuilly, Neuilly (Seine).
- — Messner et Breton, accessoires, 78, rue des
- Archives, Paris.
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- détachées pour automobiles, 5, rue Brunei, Paris.
- — Miller (H), Ltd, crics, ITazebrouck (Nord).
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- Warren street, New-York (E. U.).
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- gan avenue il Chicago (E. U.).
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- Mans, A Courbevoie (Seine).
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- Paris.
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- tomobiles, 50, rue d’Anjou, Paris.
- — Pelletier et Monier, accessoires, 11, rue Le
- Peletier, Paris.
- — Pipault ET Cïe, accesoircs, 64, Poland Street,
- Oxford Street, Londres (Angleterre).
- — Prigent, accessoires, 9, rue d’Entraigues, Tours
- (Indre-et-Loire).
- — Progrès-automobile (le), accessoires, 8, rue
- des Acacias, Paris.
- — Pyat (James), arrache-clous, 66, rue Fontaine-
- au Foi, Paris.
- — Pupille, accessoires, 6, avenue Parmentier, Paris.
- — Radiguet et Massiot, indicateurs de vitesse,
- 15, boulevard des Filles-du-Calvaire, Paris.
- — Radnall et C°, accessoires, A Birmingham
- (Angleterre).
- — Rapid Accumulatoren und Motoren, Mo-
- toren Werke, accessoires, 149, Haupt-strasse, A Schôneberg-Berlin (Allemagne).
- — Richard (Jules), manomètres, 25, rne Mélingue,
- Paris.
- — Richard et Cie, accessoires, 34, boulevard
- Voltaire, Paris.
- — Rigal (Le), lôve-auto. — Voir Contet (II.),
- — Roberty, accessoires, 115, rue de Rome, A
- Marseille (Bouches-du-Rhône).
- — Rollet et Clc, accessoires, 67, avenue Par-
- mentier, Paris.
- — Rosenmuller (Georg), compteurs de tours,.
- A Dresden (N.), Allemagne.
- — Rosfelder frères, accessoires, 46, rue Paradisr
- Paris.
- — Rubay, accessoires, 140, W, 38, th. Street, A
- New-York (États-Unis).
- — Ruffin (A.), accessoires, 77, avenue de la Grande
- Armée, Paris.
- — SANTA-IÏIARIA (DE), ““I":
- mobiles, 6, rue de la Chaussèe-d’Antin, Pans.
- — Saunders (H.), accessoires, 282, avenue Dau-
- mesnil, Paris.
- — Schildge (Eugène), accessoires, 18, rue Sainte-
- Croix-de-la-Bretonnerie, Paris.
- — Schneider, manomètres, 1, rue Amelot, Paris
- — Sciiulzf, indicateur optique. — Voir Seignol et
- Scarle, Paris.
- — Searle et Seignol, accessoires, 33, Glasshouse-
- Street, A Londres (Angleterre).
- — Sibley ET Pitman, accessoires, 26, Warren Street, A New-Ycrk (États-Unis).
- — Siecke et SCHULT7, accessoires, 120, Oranien-
- strasse, A Berlin (Allemagne).
- — S. I. T. (marque), accessoires. — Voir Téléphones'
- (Société Industrielle des)i
- — Smith et Son, indicateurs de vitesse, 9, Strand,.
- A Londres (Angleterre).
- — Soupiron, accessoires, 55, rue d’IIauteville,
- Paris.
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- CLASSE 12
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- — Splitdorf, accessoires, 17, Vandewaterstreet,
- à New-York (États-Unis).
- — Stella, accessoires. — Voir Robert}/.
- — Stentor-Sirène. — Voir Mestre et Blatgê.
- — Stockey und Schmitz, accessoires, à Gevelsberg
- (Westphalie).
- Store, (Hugo), et Cie, accessoires, 48, rue Saint-Ferdinand, Paris.
- — Sudre (A.), fils, cornets avertisseurs, 17, rue Clignancourt, Paris.
- — Syring (Fr.), indicateurs de vitesse, 73, Kaiser-
- strasse, à Francfort-sur-le-Mein, (Allemagne). Talbot (Homain), accessoires, 67, rue de la Victoire, Paris.
- -- Tavernier-Gravet (F**), instruments de précision, 19, rue Mayet, Paris.
- — Taxameter-Gesellschaft (Internationale), ta-
- xamôtres, 18, Landsbergester à Berlin (Allemagne).
- Taximètres (Société Générale des Compteurs de voitures), 27, rue de Londres, Paris.
- Tel (indicateur-enregistreur de vitesse). — Voir Hasler, à Berne (Suisse).
- -- Téléphones (Société Industrielle des), accessoires, 25, rue du Quatre-Septembre, Paris.
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- Teste (E.), cornets avertisseurs, 18, rue des Bois, Paris.
- — Theis (Jacques), pièces pour construction d’au-
- tomobiles, à Roden-Saarlouis (Allemagne).
- - Thomas, instruments de précision, 175, rue Saint-Honoré, Paris.
- Thomas, tachymètres, 10, rue de la Boétie, Paris. Titan, courroies. — Voir Getting et Jonas.
- — Titus Postma (J.), et Cie, accessoires, 35, rue
- Brunei, Paris.
- Tournier, cornets avertisseurs, 4, boulevard Saint-Martin, Paris.
- Trémolières et Cio, accessoires, 12, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Trentelivres (Henri), accessoires, 30, rue de
- Malines, Bruxelles, (Belgique).
- — Triumph, indicateurs de vitesse. — Voir Syring
- A Francfort-sur-le-Mein (Allemagne).
- TROUSSE-HÉLÉNA.
- — Ulrich, accessoires, 1, Friedenstrasse, à Franc-
- fort-sur-le-Mein ( Allemagne).
- — United Motor Industries, accessoires, 45,
- Poland Street, à Londres (Angleterre).
- — Universel (Cric). — Voir Michaud, à Aigre
- (Charente) ; et Mestre et Blatgé, Paris.
- — Vauzelle (E.), et Cic, accessoires. — Voir Potier
- (H.), Martin et Taclet, successeurs.
- — Veeder Mfg C°, compteurs, 22, Sargeant Street,
- à Hartford (Connecticut), États-Unis.
- — Viguiê, crics, 35, rue de Toul, Paris.
- — Wagner (A.), courroies, 13, rue Jules César,
- Paris,
- —* Wanner et Cie, courroies, 67, avenue de la République, Paris.
- — Wanson (Maurice), fournitures pour automo-
- biles, l,rue des Boiteux,ît Bruxelles (Belgique).
- — Warner Instrument C°, compteurs, 170,
- Roosevelt avenue, à Beloit (Wisconsin), États-Unis.
- — Warner’s Patent Magnetic speed indicator, ;
- indicateurs de vitesse, 85, Queen Victoria , street, à Londres (Angleterre). j
- — Watawata (Courroies pour motocyclettes). — j
- Voir Harding, Paris.
- — Weigand, accessoires, 32, Micliaelkirschstrasse,
- à Berlin (Allemagne).
- — Weingand, accessoires, 54, Kreuzstrassc, à
- Dusseldorf (Allemagne).
- — Wimille (J.), et Cic, accessoires, 36, avenue de
- Neuilly, Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Willis C°, compteurs, 5, Park place, à New-
- York (États-Unis).
- — Wulfing (Cari.), courroies, à Elberfeld (Allem.).
- CLASSE 12
- MACHINES-OUTILS
- Machines-Outils. — Gros outils. — Outillage général.
- — Abbaye-Valloebe, machines-outils, à l’Abbaye-
- vallée de Joux (Suisse), et 110, rue Saint, Maur, Paris.
- — Abingdon Works C°, outillage, à Birmingham
- (Angleterre).
- — Adler et Eisensciiitz, machines-outils, 30, via
- Principe Umberto, à Milan (Italie).
- - Alexandre, pieds à coulisse, 34, rue de la Roquette, Paris.
- — Aubert (A.) et Cie, machines-outils, 83, quai
- de Valmy, Paris.
- — Aubert (G.), fabrique d’outils et de limes, 5, quai
- de Valmy, Paris.
- — Aubois et Gervais, machines-outils, à Al-
- bert (Somme) ; et 37, rue de Saint-Quentin, Paris.
- — Auriol frères, fabrique de pieds à coulisse, 67, rue Oberkampf, Paris.
- — Bardet, Denis et Cie, machines-outils, 53, rue
- Servan, Paris.
- — Bariqüand et Marre (Société anonyme des ateliers), fabrique de machines-outils, 127, rue Oberkampf, Paris.
- — Barré, machines-outils et forges portatives, 51, avenue de la République, Paris, nreer /inillCl machines-outils, outil-DLOOt VLUUIo/j lage général, 39, rue de Lappe, Paris.
- — Billings’ (outils). — Voir Fenwick, Frères, Paris.
- — Billings et Spencer C°, outillage pour auto-
- mobiles, à Hartford (Connecticut, (Etats-Unis).
- — Bliss (E, TF.), machines à emboutir, 60, rue
- Huntzinger, à Clichy (Seine).
- — Bloxham, machines-outils, machines à percer,
- 12, rue du Delta, Paris.
- — Boehringer Gebrueder, machines-outils et
- tours, à Goppingen (Allemagne).
- — Bombled, machines-outils, 94, rue de Montreuil,
- Paris.
- — Bonvillain (Ph.) et Ronceray (R.), machines-
- outils et tours, 11, rue des Envierges, Paris.
- —- Boulland, fabrique de limes, 34, rue du Ruisseau Paris.
- — Boyaut et fils, manufacture de limes et de râpes, 27, rue Julien-Lacroix, Paris.
- — Brown and Sharp, fabrique de machines-outils
- à Providence (Etats-Unis).
- — Buchel (Gottlieb), fabrique d’outils et de ma-
- chines-outils, à Düsseldorf (Allemagne).
- — Bullard Automatic Wrench C°, fabrique de
- clés et d’outils, à Providence (Rhode-Island), (Etats-Unis).
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- CLASSE I2
- — Burin (H.) et Cie, machines-outils, 108, rue de
- Richelieu, Paris.
- — Burmester (JE.), outillage pour automobiles,
- 28, Wasserthorstrasse, Berlin (Allemagne).
- — Burton fils, machines-outils, 68, rue des Marais,
- Paris.
- — Burton [ateliers), fabrique de machines-outils,
- k Nogcnt, près Creil (Oise).
- — Cadiot, machines-outils, 12, rue Saint-Georges,
- Paris.
- — Carpentier, machines-outlis, 40, quai Jem-
- mapes, Paris.
- -- Cazeneuve machines-outils, 20, rue Saint-Sébastien, Paris.
- ----- CiiABERT, mahines-outils, 41, avenue de la République, Paris.
- — Chambon et Cie, machines k tailler les engre-
- nages, 31, boulevard du Sud, Lyon (Rhône).
- — Chemnitz [usines de), machines-outils, 65, rue
- de la Victoire. Paris,
- — Chevallier, machines-outils, Verneuil-sur-Avre
- (Eure).
- — Chotin frères et Cie, machines-outils, 11 bis,
- rue Philippe de Girard, Paris.
- — Chouanard, machines-outils, 3, rue Saint-Denis,
- Paris.
- — Cincinnati Mach Tool C°, machines-outils, k
- Cincinnati O., (E. U).
- — Coohot, machines-outils, 45, rue de Tanger,
- Paris.
- --- Combes, (établissements métallurgiques), 110, rue Saint-Maur, Paris.
- PnMinT /ru \ outillage général, 87, bou-uUlvllUI \lrU, levard Gouvion- Saint -Cyr, Paris.
- — Constructions mécaniques [Société Alsacienne
- de), machines-outils, k Mulhouse (Alsace-Lorraine).
- — Cornez, machines-outils, 47, rue de Suède, Bruxelles (Belgique).
- — Courtial, machines-outils, 129, boulevard ltichard-Lenoir, Paris.
- — Danicourt, machines-outils, 8, rue de Boulan,
- k Albert (Somme).
- — Dard, machines-outils, 34, rue Pérignon, Paris.
- - Deboffe, outils à estamper, 9, rue Tesson, Paris.
- — Debois et Cie machines-outils, 36, boulevard
- Magenta, Paris.
- — Decauville (Emile), machines-outils, 248, rue
- Lecourbe, Paris.
- — Degrémont (B.), machines-outils, 1, rue du
- Dragon, Marseille (Bouches-du-Rhône).
- — Delaloe, machines-outils, 11, avenue du Maine,
- Paris.
- — Delinotte et Cie, machines-outils, 8, rue des
- Ardennes. Paris.
- — Denis (Albert), fils, machines-outils, 2, pas-
- sage Saint-Sébastien, Paris.
- — Deschamps, outillage mécanique, 29, rue des
- Vinaigriers, Paris.
- — Destombes, Langlois et Cie, machines-outils,
- 74, rue Saint-Maur, Paris.
- — Doignon, machines-outils, 11, rue Hoche, Mala-
- koff (Seine).
- — Douane, machines-outils, 23, avenue Parmen-
- tier, Paris.
- — Dubois (Paul), machines-outils, 26, rue Cor-
- beau, Paris.
- mirnMMIIN ia^iers de constructions méca-“ UUuUlvl Ivl U li niques, ci-devant), machines-outils, à Mulhouse (Alsace). nilDARin outillage de précision, 80, rue UUnHrlU. Oberkampf, Paris.
- — Durand-Vinet, machines-outils, 21, rue Sten-
- dhal. Paris.
- — Duval-Pihet, machines-outils, 8, rue Neuve-
- Popincourt, Paris.
- — Ebstein aîné, fabrique de limes, 71, rue de la
- Roquette, Paris.
- — Ebstein jeune, fabrique de limes, 142, rue du
- faubourg Saint-Denis, Paris.
- — Edmunds-Metzel, Mfg C°, outillage pour auto-
- mobiles, 149, Jefferson Street à Chicago Etats-Unis).
- — Elwell [établissements), machines-outils, mo-
- teurs, 194, avenue de Paris, k la Plaine-Saint-Denis (Seine).
- — Energie electro mécanique (L’), machines-
- outils, 2, rue Delaunay, k Suresnes (Seine).
- — Ernault [H.), machines-outils, taille d'en-
- grenages, 173, rue d’Alésia, Paris.
- — Ernesti et Grisi, machines-outils, à Milan
- (Italie).
- — Eeller und C°, machines-outils, k Halle-sur-
- Saale (Allemagne).
- — FENWICK FRÈRES & Ci0, u7Ss
- américaines, 8, rue de Rocroy, Paris.
- — Flotte d'Angleterre [A la) outillage. — Voir
- Maréchal [maison J.).
- — Fondeur [H.), outillage mécanique, 67, rue
- Oberkampf, Paris.
- — Foussat et Cie, machines-outils, 20, rue Boudet,
- à Bordeaux (Gironde).
- ~ François, machines-outils, 36, boulevard Voltaire, Paris.
- rnirc /nr\ CT Pic machines-outils, rnlLO \Ut; tl l , outillage général, installation d'usines, 19, rue deRocroy, Paris.
- — Gautier, outillage, 5, rue Rochechouart, Paris.
- — GLAENZER ET PERREAUD,
- machines-outils, installation d'usines, outillage général, 1, avenue de la République, Paris.
- — Gouverneur, outillage de précision, 99, rue des
- Couronnes, Paris.
- — Graffan (C.), machines-outils, 4, Grande-Rue,
- au Grand-Montrouge (Seine).
- — Grimar [F,)t machines-outils, 32, passage Raoul,
- Paris.
- — Guenée et Cie, machines-outils, 14, rue des
- Bois, Paris.
- — Guilliet et Fils, machines-outils, 2, boulevard
- Magenta, Paris.
- — Guillet fils et Cie, machines-outils, à Auxerre
- (Yonne).
- — Guitel,outillage,308,rueSaint-Martin,Paris.
- — H AMELIE (HENRY),
- my, Paris.
- — Hanning (JT.), agent de Smith et Coventry, machines-outils, 17, rue de Maubeuge, Paris.
- — Hasenolever Sohne, machines-outils, à Dus-
- seldorf (Allemagne).
- — Hawkeye Wrench C°, outils, k Marshalltown
- Iowa (Etats-Unis).
- — Heinemann (Gebr.), machines-outils, k Saiiit-
- Georgen (grand duché de Bade).
- — Héning, outillage, 19, rue Froidmont, k Liège
- (Belgique).
- — Herbert, machines-outils, 47, boulevard Ma-
- genta, Paris.
- — Heurtaux, outillage, 59, avenue de Choisy,
- Paris.
- — Hiard, machines-outils, 56, avenue de Choisy,
- Paris.
- — Hilbig et Cie, outillage, 18, rue Sauvai, Paris.
- — Hinstin et Lehmann, machines-outils, 10. rue
- Béranger, Paris.
- — Hond, outillage, 282, avenue Daumesnil, Paris,
- — Horstmann, outillage, 81, rue Saint-Maur.
- Paris.
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- MACHINES-OUTILS
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- Hounsfield fils, outillage, 8, rue de Lancry, Paris.
- HurÉ, machines-outils, 218, rue Lafayette, Paris. Industrie internationale (L'), outils, 20, rue Saint-Georges, Paris.
- Ingersoll Sergeant C°, outils, 51, rue de la Chaussée d'Antin, Paris.
- Inventions nouvelles (Les), machines-outils, 23, rue Brunei, Paris.
- Jacquot et Taverdon, machines-outils, 111, rue de Patay, Paris.
- Janssens, machines-outils, Itaimes (Nord) . Johajsnot, fabrique d'outils, 5, place de la Fus-terie, Genève (Suisse).
- Joins et Dambrun, machines-outils, 23, boulevard Richard-Lenoir, Paris.
- Jost, machines-outils, 161, rue des Partants, Paris.
- Karlsruher Werkzengmaschinen fabrik , machines-outils, Karlsruhe, Duché de Bade. Kiessling et C1c, machines-outils, 26,boulevard Beaumarchais, Paris.
- Kirchneu et Cle, machines-outils, 77, rue Manin, Paris.
- Lapipe, machines-outils, 143, rue Oberkampf, Paris.
- Le Blanc et Fils, machines-outils, 52, rue du Rendez-Vous, Paris.
- Lecas, machines-outils, 25, quai de la Fosse, Nantes (Loire-Inférieure).
- Le Melle, machines-outils, 42, rue Lafayette, Paris,
- Leveugle, machines-outils, 185, boulevard Voltaire, Paris.
- Liné, machines-outils, 12, boulevard Denain, Paris.
- Limet et Aubert, outils, 5, quai de Valmy, Paris.
- - Lcëwe (L.) und C°, machines-outils, 17, Hutten-
- strasse, à Berlin (Allemagne).
- - Lomont-Hurtü, machines-outils, 4, rue des
- Carmes, Paris.
- Magot, limes, Vesoul (Haute-Saône).
- Malice une Walkous, machines-outils, 18, Administrasse, Berlin (Allemagne). Malmedie et Cle, Maschinen Fabrice, machines-outils, Dusseldorf-Oberbilk (Allemagne).
- - Maréchal (Maison), outillage, 118, boulevard
- Richard-Lenoir, Paris.
- - IWARKT ET C°, LTD,
- mentier, Paris.
- — Martin, machines-outils, 253, rue Saint-Martin,
- Paris.
- — Massey, machines-outils, Manchester (Angle-
- terre).
- - Mayer et Schmidt, machines-outils, 112, bou-
- levard Itichard-Lenoir. Paris.
- — Meinel, machines-outils, Halle-sur-Saalle (Alle-
- magne).
- — Mines de Suède (Aux), outillage, 5, rue Jtoche-
- chouart, Paris.
- — Morane Aîné, machines-outils, 10, rue du Ban-
- quier, Paris.
- — Morane Jeune, presses hydrauliques, 23, rue
- Jenner, Paris.
- — Mougeotte, machines-outils, Melay, par Voisey
- (Haute-Marne).
- — Moynbt, limes, 4, rue des Haudriettes, Paris.
- — Naef (Carlo), machines-outils, 31, via Alessan-
- dro Manzoni. il Milan,
- — Ney (J.), machines-outils, 128, rue Saint-Maur.
- — Nube (Curd), machines-outils, Offenbach-sur-
- le-Mein (Allemagne).
- — Oeking et Clc, machines-outils, Dusseldorf
- (Allemagne).
- — Outillage Moderne (L.), outillage général,
- 136, rue Vercingétorix, Paris.
- — Outillage [Société Franco-américaine (P), ma-
- chines-outils, 31, boulevard Richard-Lenoir, Paris.
- —. Outillage {Société française du petit), outils, Nouzon (Ardennes).
- — Palewski et Cle, machines-outils, 6, square
- Pétrelle, Paris.
- Pekrun (Maschinen-Fàbiuk), machines-outils, à Coswig, près Dresde (Allemagne).
- — PEUGEOT FRÈRES (LES FILS
- r\r\ outillage général, à Valentigney Ut/, (Doubs).
- — Perès (Jacques), machines-outils, 46, boule-
- vard Magenta, Paris.
- —• Phœnix [Société anonyme du), machines-outils, 33, rue Grange-aux-Belles, Paris.
- — Picard Frères, machines-outils, 131, boulevard
- de Sébastopol, Paris.
- — Pinchart-Deny, machines à estamper, 58, rue
- Saint-Sabin, Paris.
- — Platt Frères, outillage, rue Lafontaine, Itou-
- baix (Nord.).
- — Pratt and Withney, machines-outils, Hartford
- (Connecticut), États-Unis.
- — Prémonville (de); machines-outils, 46, rue du
- Chemin-Vert, Paris.
- — Progrès-industriel {Le), accessoires, 8, rue
- des Acacias, Paris.
- — Raoült, machines-outils, 99, rue Oberkampf,
- Paris.
- — Rapide-Lime. — Voir Jacquot et Taverdon.
- — Renard et fils, machines-outils, 8, rue Coûtant
- à Ivry-Port (Seine).
- — Renault, aciers, limes, 51, rue Chalmel, à Tours
- (Indre-et-Loire).
- — Roux (P) ET C'°, machines-outils, 54, boulevard
- du Temple, Paris.
- OA AC UC machines-outils, 43, rue de Mau-” oAMbnt, beuge, Paris.
- — Saintard (P), machines-outils, 77, rue de Cha-
- ronne, Paris.
- , — Schmaltz (F), machines-outils, 60, avenue de la République, Paris.
- — Schuchardt et Schütte, machines-outils. —
- Voir Schulte, Paris.
- — SCHUTTE (ALFRED H.), “SiT
- 85 bis, rue Réaumur, Paris.
- — Sculfort et Fockedey, machines-outils, à
- Maubeuge (Nord).
- — Selig Sonnenthal et Cie, macliines-outils, 25,
- queen Victoria Street, à Londres (Angleterre).
- — Senelle-Maubeuge (société méatllurgique de),
- machines-outils, à Lougwy (Meurthe-et-Moselle).
- — Simonet (A), machines-outils, 4, passage des
- Suisses, Paris.
- .— Smith et Coventry, Ltd, machines-outils, à Manchester (Angleterre). — Voir Hanning.
- — Strasburger et Cie, machines-outils, 73, rue de
- Maubeuge, Paris.
- — Sussfeld, Lorsch et Cie, machines outils, 21, rue de l'Echiquier, Paris.
- — Taveneau et Ci0, limes, 20, rue Coûtant, à Ivry-Port (Seine).
- — Tiersot et Cic, machines-outils, 16, rue des Gra-villiers, Paris.
- ___Tourneur, outillage mécanique, 20, rue Réaumur, Paris.
- — Tronchon, machines-outils, 33, boulevard Voltaire, Paris.
- — Universelle, machines à affûter.—Voir Sapène et Cle, Paris.
- — VALLORBE {Usines métallurgiques de), machines-outils, à Vallorbe (Suisse),
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- Saint-Denis, Paris.
- Vautier ET C10, machines-outils, à Maubeuge (Nord).
- — VAVON fils, limes, 46, rue de Lyon, Paris.
- — Vedie, limes, rue Léon Gambetta, à Saint-Sym-
- phorien, près Tours (Indre-et-Loire).
- Vernet, machines-outils, 4, rue de Colmar, à Dijon (Côte-d'Or).
- — Walwokth manüfactuiung C°, outillage, à
- Boston, Massachusetts ( États-Unis).
- — Weil, machines-outils américaines, 20, rue Ri-
- cher, Paris.
- - Weisser-Sohne, machines-outils, à Saint-Geor-
- gen (Grand-Duché-de-Bade).
- — Wermelinger, machines-outils, 12, rue des Lai-
- tières, il Vinccnnes (Seine).
- - Wilozek, machines-outils, 75, avenue de la
- République, Paris.
- CLASSE 13
- ALLUMAGE
- Accumulateurs. — Appareils de mesures électriques. — Bobines. — Bougies. — Dynamos. — Isolants.— Magnétos. — Mica. — Rupteurs. — Transformateurs, etc.
- — A. E. C. — Voir Allumeur Electro-Catalytique.
- — AGATOS, accumulateur. — Voir Védrine.
- — AIGLE (Compagnie française de VAccumulateur), 14, rue Félicien-David, Paris.
- — A JAF A, accumulateurs — Voir Elcctriaue
- Société JA).
- — Alcaz, appareils électriques, 61, rue du Fau-
- bourg-Saint-Denis, Paris.
- — Alioth (Société d'Electricité), appareils élec-
- triques, 8, rue Pillet-Will, Paris.
- — Allumeur Electro-Catalytique, 4, rue du
- Buisson-Saint-Louis, Paris.
- — Alpha, accumulateurs. — Voir Geoffroy et
- Delore, Paris.
- — American Battery C°, accumulateurs The
- American, 165, South Clinton Street, à Chicago (États-Unis).
- -— Ancel, appareils d'allumage « Ella », 13, rue Brochant, Paris.
- — Appareillage Électrique (Manufacture Pa-
- risienne D’), appareils électriques, 14, rue de Commines, Paris.
- — Apple Automatic Battery Charger c°,
- magnétos. — Voir Dayton Electrical mfg. C°.
- — - Arista, serre-fils instantané Arista, 20, rue
- Galvani, Paris.
- — Arnal et Boivin, accumulateurs, 36, rue d'An-
- nam, Paris.
- — Arsonvàl (d’) et Vaugeois, bougie d'allumage.
- — Voir Perez et Cie, Paris.
- — Assi (</.), bougie â hélice, 29, rue des Petites-
- Écuries, Paris.
- — Aster C°, bougies d’allumage et magnétos
- 1591, Broadway, à New-York (États-Unis)
- — Aufholz (E.), boîtes pour accumulateurs, 74
- rue de Bondy, Paris.
- — Aufière, appareils électriques, 95 rue de Flandre
- Paris.
- Autoclipse (Phares). — Voir Green and Houle, Angleterre.
- — - Autocoil Company, fabrique de piles et d'ac-
- cumulateurs, 136, Seventh Street, â Jersey city (New-Yorlc), États-Unis.
- — Automatisme (L*), appareils pour automobiles, bougies, 8, boulevard d’Asnières, à Neuilly-sur-Seine.
- - Auto-Pile, pile rechargeable. — Voir Tardy, à Valence-sur- Rhône.
- Auto-Teil (Allumage). —Voir Grcesner, Paris.
- — flUTO-TREMBLEUR - et Arnoux.
- A. V. Magnéto {Bougie). — Voir Perez et Cie, Paris.
- Avtsine et Cie, mica et isolants, 12 bis, avenue des Gobelins, Paris.
- — Badger, Brass Mfg C°, phares Solar, à ICc-
- nosha (Wisconsin), États-Unis.
- Balbi, allumage statique des moteurs, 15, rue de la Chapelle, Paris.
- — Bardon (L.), appareils électriques, 61, boulevard
- National, à Clichy (Seine).
- BflSSÉE ET MICHEL blissements). —-
- Voir Nilmelior, Paris.
- — Beaüpied (E.), allumeurs, 42, rue de Chalon,
- Paris.
- Becker et Cie, accumulateurs électriques, â Bourron (Marne) ; et 18, avenue de Tour-ville, Paris.
- --- Benoist, bougies d’allumage, 30 bis, rue Bergère, Paris.
- — Bergmann [Magnétos). — Voir Barras, Paris.
- — - Beyle (Allumeur). — Voir Jouve fils, Paris.
- — B. G. S. (Société Nouvelle des Accumulateurs),
- 34, rue Pierret, à Ncuiîly-sur-Scine (Seine).
- — Bill y (C.), fabrique de phares, 13, rue d'Artois,
- Paris.
- ...- Bléton, fabrique de bougies d’allumage, 1S
- rue Béranger Paris.
- - Blin, fabrique d’accumulateurs, 53 bis, rue
- Croulebarde, Paris.
- -- Blondeau (J.), dynamos, petits moteurs, 15, passage Gourdon, Paris.
- — Blum (Édouard), constructeur d’appareils d’al-
- lumage électrique, 130, avenue d’Orléans, Paris.
- — Boiron (./.), appareils électriques, bougies B,
- 32, rue de Tilsitt, Paris.
- — Bonoron, bacs en ébonite pour accumulateurs,
- 139, rue du Faubourg-Saint-Denis, Paris.
- - Borel et Cie, fabrique de câbles électriques,
- 11, chemin de Pré-Gaudry, à Lyon (Rhône).
- - Bouillard, pièces tournées en fibre et en ébonite,
- 67, rue du Chemin-Vert, Paris.
- — .Bréchet, ébénisterie pour appareils d'allumage,
- 152, rue du Temple, Paris.
- — Bréguet (Maison), fabrique de magnétos d'allu-
- mage, 19, rue Didot, Paris. — Agence de vente : 22, avenue de la Grande-Armée (1, rue Anatole de la-Forge), Paris.
- — Bristol Company (The), appareils de mesures
- électriques, à Waterbury (Connecticut), États-Unis.
- ___Brunet-Loiseau Frères, allumeurs électriques,
- 13, rue des Francs-Bourgeois, Paris.
- — Buisson et Ote, manomètres. 1, rue Amelot,
- Paris.
- — Bury (G.), bobines- d’allumage, 154, avenue
- Parmentier, Paris.
- — Càlida (Société d’électricité), bobines et ma-
- gnétos, 262, route de la Révolte, à Levallois-Pcrret (Seine).
- LISEZ :
- L’ALLUMAGE
- pour bien connaître votre magnéto
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-
- CLASSE I3
- 7^7
- ALLUMAGE
- “LÉNERGIQDE”
- Breveté France et Étranger
- LE SEUL
- Conservant sa charge pendan des années.
- Ne craignant pas les courts-circuits.
- S’expédiant sans liquide quoique chargé.
- Pouvant se décharger à fond sans détériorer l’appareil.
- Très pratique pour l’éclairage des voitures.
- Dosant l'électricité.
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- ACCU-MIXTE
- Caplain Saint-André Frères, platine, 10, rue Portefoin, Paris.
- Carbone (Société Le), piles sèchc3, 12, rue de Lorraine, à Levallois-Perret (Seine).
- Carlisle and Fincii C°, dynamos d'allumage, 233, East Clifton avenue, Cincinnati (Ohio), États-Unis.
- Chambon Frères, bougies d'allumage, 17, rue de la Plaine, Paris.
- CHANUT, bougies d’allumage, 100, rue de Ménil-montant, Paris.
- CHAUVIN ET ARNQUX , d'allumage,
- 186, rue Championne!, Paris.
- Chelin, accumulateurs, 20, place de Louvain, Bruxelles (Belgique).
- COIYIIYIEUN, VIAU ET Ci0, = !
- mixtes, « l'Énergique », 45, rue Lévis, Paris, i Compound {Société d'allumage électrique), accu- ! inulateurs et magnétos, 135, avenue de Villiers, Paris.
- Cros (J.), et Laboureaü, bougies d'allumage, 12, rue des Poissonniers, Neuilly-sur-Seine. Dao Auto Supply ïïouse, appareils d’allumage, 1749, Broadway, New-York (États-Unis). Dàgtjin, Gêraud, Poroabeuf, appareils d’allumage, 54, rue de Bondy, Paris.
- Dahl (Paul) et Cie, bougies, 79, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- DAROP {Bougie). — Voir Ropiquet.
- Dary, allumage, 33, rue Perrier, Levallois-Perret (Seine).
- Daveluy, accumulateurs, 305, route d'Albert, Amiens (Somme).
- — Dayton Electrical Mfg C°, magnétos, 98,
- Saint-Clair Street, Dayton (Ohio), États-Unis.
- — DEBEAUVE ET OLMI 9 lumage, ma-
- gnétos, 66, rue de Sèvres,Paris.
- — Delapierre, appareils électriques, 3, avenue des
- Moulineaux, à Billancourt (Seine).
- — Delettrez (Maison), bougies d’allumage, 5,
- rue des Rondonneaux, Paris.
- — Delieuvin, groupes électrogènes, 204, boulevard
- Péreire, Paris.
- Dinin (A.), accumulateurs, 2, quai National, Puteaux (Seine).
- Dora (Società Industriale Italiana), accumulateurs, Gènes (Italie).
- — Drevdal Binoche et CIE, bobines d’allumage,
- 30, rue Amelot, Paris.
- — Düplex Ignition C°, allumages, 1555,Broadway,
- New-York (États-Unis).
- — Eclair, bobine d’allumage. — Voir Henrique
- {J. F.), Paris.
- — Edison (Thomas A.) et C°, accumulateurs
- électriques, 25, Lakeside avenue, à Orange (N.-J.), États-Unis.
- — ÉGYPTIENNE D’ÉLECTRICITÉ
- (Société anonyme), transformateurs, postes déchargé électriques, 43, rue du Rocher, Paris.
- — E. I. C., appareils d’allumage. *— Voir Electric
- Ignition C°.
- bobines et bougies d'allumage. — -9 Voir Hirsch {Etienne).
- — Eicken {H. de), allumage électrique, 39, bou-
- levard Voltaire, à Asnières (Seine). .
- Lisel~ RFrFTTFÇ /in mAIIFFF1IR pour n être iamais
- les i\lLli ilj au UlAUlrCUIV en panne
- p.757 - vue 759/946
-
-
-
- ALLUMAGE
- CLASSE l3 -- ^58 ---
- Electric Ignition C°, appareils d’allumage
- E. I. T., Sampson, road North, à Birmingham (Angleterre).
- E. I. T., accumulateurs. — Voir Jeantaud.
- Electra, soupape électrique. — Voir Despaigne.
- Electrioal M. F. G. C°, dynamos « Eldbridge »,
- à Eldbridge, New-York (États-Unis).
- Electricité (Compagnie internationale d’), dynamos et moteurs, 141, rue Lafayette,Paris.
- Electricité de Creil (Compagnie générale d’), traction électrique, transport d’énergie, 74, rue Saint-Lazare, Paris.
- Electrique (Société anonyme l’), accumulateurs électriques, rue Oberlin, Nancy.
- Electro-Industrielle (L’), appareils électriques d’allumage, 64, avenue Parmentier, Paris.
- Electro-Matériel (L’), isolants, mica, micanite, libre, 10, rue Béranger, Paris.
- Electrométkie Usuelle (l’)t appareils de me-suresêlectriques,81, boulevard Voltaire, Paris.
- Electro-Tube, accumulateurs. — Voir Hanaire (A.), Levallois-Perret (Seine).
- Ella, appareils d’allumage. — Voir Ancel, Paris.
- Enerqic, pile sèche, 40, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- riirnpiniir /|’\ accumulateur mixte.
- Ultntligut \L J, — Voir Commelin, Viau et Cie.
- Etoile, piles sèches. — Voir Carbone (Le).
- Euler, magnétos llobert Bosch (de Stuttgart), à Francfort-sur-le-Mein (Allemagne).
- Evrard, appareils d’allumage électrique. — Voir Pupille, Paris.
- Exide (Accumulateurs). —• Voir Electric Vehicle C°, États-Unis.
- Expert-Bezançon, accumulateurs, 187, rue du Château-des-Itcntiers, Paris.
- Extra (Société L’). — Voir Daguin, Céraud et Porcabeuf.
- Fabre et Wormser, accumulateurs « Schmitt », 20, rue Brunei, Paris.
- F. A. C., ampèremètres et voltmètres. — Voir
- >*' Fauvin et Amiol.
- Fauvin et Amiot, appareils de mesures électriques, 81, rue Saint-Mnur, Paris.
- Friedrich, accumulateurs Hubert, 77, rue de Charonne. Paris.
- Fulmen (Société Nouvelle des Accumulateurs), 18, quai de Clichy, à Clicliy (Seine).
- Fulmina (Magnéto). — Voir Compound (Société d'Allumage Electrique).
- Fulminator (Bobine). —• Voir Bopiquet.
- Gadot, accumulateurs, 90, route de la Révolte, il Levallois-Perret (Seine).
- Gaiffe, appareils de mesures électriques, 9, rue Méchain, Paris.
- Garnier, indicateurs dynamométriques, 16, rue Taitbout, Paris.
- G. C., accumulateurs, 8, passage Courtois, Paris.
- Genesteix, allumage électrique, 60, rue du
- Rendez-Vous, Paris.
- Genteur, appareils électriques, 122, avenue Philippe-Auguste, Paris.
- Geoffroy et Delore, accumulateurs, 28, rue des Chasses, il Clicliy (Seine).
- 01 A Mm I appareils d’allumage, magnétos,
- UIH 11 U LI f 26, boulevard Magenta, Paris.
- Gibaud, magnétos, 252, rue du Faubourg- I Saint-Honoré, Paris. !
- Giguet, bougies, 30, boulevard de Châteaudun, à, Saint-Denis (Seine). j
- G| appareils d’allumage. — Voir Cia- \ • L., noli.
- Graindorge (L’Electrométrie usuelle), appareils j de mesures électriques, 81, boulevard Voltaire, \ Paris. ;
- — Grivolas (Société), appareils électriques, 16,
- rue Montgolfier, Paris.
- — Grœner, appareils d’allumage Auto-Teil, 65,
- rue de Turenne, Paris.
- — Guénet, bobines, 5, rue Montmorency, Paris.
- — Guillerme, appareils électriques, 38, rue de
- Lancry, Paris.
- — Guyot, fils pour l’électricité, 182, boulevard de
- la Villette, Paris
- — Halphen, accumulateurs électriques, 32, rue
- Pierrot, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Hanaire (Société des Accumulateurs), 7, rue
- Danton, à Levallois-Perret (Seine).
- — Hanciau, fournitures pour l’électricité, 195,
- rue de la Convention, Paris.
- — Hauptmann (Electrotechnische Fabrih Leipzig),
- moteurs électriques, 12, Elisenstrasse, à Leipzig (Allemagne).
- HEINZ (ALFRED) ET C", "
- 27, rue Cavé, à Levallois-Perret (Seine).
- — Heinze Electric C°, appareils d’allumage élec-
- trique, Lowell (Massachusetts), États-Unis).
- — IIeller et Coudrait, groupes électrogônes, 18,
- cité Trévise, Paris.
- Un I Tenu phe sèche. — Voir Cia-~ ntLLtotn, noli (L.).
- — HENNEGRAVE ET AGNUS,
- que, magnétos, bougies, bobines, etc., marque C. H., 30, rue Perrier, à Levallois-Perret (Seine).
- — Henricks Novelty C°, magnétos, 131, S. Ca-
- pital avenue, à Indianopolis (lndian'a), États-Unis
- HENRIQUE (JEAN-FRÉDÉRIC),
- appareils d’allumage électrique, 41, avenue de la Grande-Armée, Paris
- — Hensemberger, accumulateurs électriques, à
- Monza, Lombardie (Italie).
- — Hercule, dynamos. •— Voir Lutèce Electrique,
- Paris.
- — Herz and Cie, appareils d’allumage, 203, La-
- fayette street, à New-York (États-Unis).
- — IIeymann, accumulateurs électriques, 19, avenue
- de la République, Paris.
- UIDCPU /CTIdU NC\ bougies, appareils
- nlnoLn \L I ItNIi L./, d’allumage, 26,rue de Crussol, Paris.
- — H. M. E., accumulateurs électriques, 2, rue
- Hippolyte-Lcbas, Paris.
- — Hommen (//.), bobines d’allumage, 38, rueTde
- Turenne, Paris.
- — Houry et Filleul-Brohy, câbles électriques,
- 60, rue de Provence. Paris.
- — Hubert, accumulateurs, 77, rue de Charonne,
- Paris.
- — Hudson (Pile sèche),— Voir Carbone (Société Le).
- — HUSSENOT ET RAYNAUD, "SSI18
- mage, 39, rue de la Boétie, Palis.
- Hydra (Société Electrique), piles, bougies, 60, boulevard de Clichy, Paris.
- — Hydra (Société de la Magnéto), 34, rue Pierret, à
- Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Idéal (allumeur). — Voir Aufière, Paris.
- — Iliyne-Berline, magnétos, 8, rue des Dunes,
- Paris.
- — Indicatrice (V), bobine d’allumage. — Voir
- Durand, Paris.
- — Invicta, bobines, 5, rue Devès, à Neuilly-sur-
- Seine (Seine).
- — Isolants (Manufacture d’), Compagnie Générale
- d’Electricité, 5, rue Boudreau, Paris.
- — Jacquet-Maurel, allumage électrique, boulevard de la Seine, Neuilly-sur-Seine (Seine).
- p.758 - vue 760/946
-
-
-
- CLASSE I3
- ALLUMAGE
- — 759 —
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- - - James, appareils électriques, 62, rue Saint-Antoine, Paris.
- - Janin, accumulateurs « Le Paradoxe », 17,
- rue Pauquet, Paris.
- - Japy Frères et C10, moteurs électriques, 4, rue
- du Château-d’Eau, Paris.
- - Jaroslaw, mica, 51, rue de Paradis, Paris.
- — Jarre, appareils d’allumage, 9, rue Louis-le-
- Grand, Paris.
- — - Jeantaud, accumulateurs, 51, rue de Ponthicu,
- Paris
- — Jeanty, accumulateurs, 37, rue Lafayette, Paris.
- — JOKl.OP, accumulateurs, 90, boulevard de Ménil-
- montant, Paris.
- - Julien, magnétos, 65, boulevard de Grenelle,
- Paris.
- — Kahn, allumeurs électriques, 4, rue du Buisson-Saint-Louis, Paris.
- — Kesserling et C‘°, magnétos, à Scbaiïouse
- (Suisse).
- — Krieg et Zivy, tôles découpées pour dynamos,
- 7, rue Barbés, Montrouge (Seine).
- — LABANSAT, appareils d’allumage, 3, rue Las-
- Cases, Paris.
- — Labitte, bougies d’allumage, 26, rue de Ménil-
- montant, Paris.
- — Laboratoire central d’électricité, 12, rue
- de Staël, Paris.
- I JlPflCTC CT P‘° appareils d’allumage, LALUd I L CIL, 28, boulevard de Strasbourg, Paris.
- — Lacoste etC10, appareils d’allumage, 176, shaf-
- tesbury avenue, Londres W. C. (Angleterre).
- — La Mathe (de),, câbles électriques, Gravelle-
- Saint-Maurice (Seine).
- — Langbein et C°, dynamos, 14, via Brera, Milan
- (Italie).
- — Langumier, bobines d’allumage, 17, impasse
- Haxo, Paris.
- — Larive, bougies d’allumage, 19, rue Cail, Paris. - Lavalette et C10, magnétos, 111 bis, boulevard
- Ménilmontant, Paris.
- — Leblond (Société de la Pile), piles électriques,
- 37, rue Mcslay, Paris.
- — Legay, allumage, 128, rue du Bois, Levallois-
- Perret (Seine).
- — Lutèce électrique (La), dynamos, 9, rue
- Bufïault, Paris.
- — Macquaiiie, allumage, 21, rue de Malte, Paris.
- — Magneta (Société), 110, rue Rôaumur, Paris.
- — Malaquin et Poulignier, accumulateurs, 48,
- rue Monsieur-le-Prince, Paris.
- — Marceau, bougies, 10, rue Camille-Desmoulins,
- à Levallois-Perret (Seine).
- — Marquer, accumulateurs, 31, rue Marcadet,
- Paris.
- — Martel et Thomas, allumage, Esternay (Marne). — Marty, allumage, Château de Conilhac par
- Lézignan (Aude).
- — Masson, groupes électrogènes, 25, rue de Senlis,
- Asnières (Seine).
- — Mathieu, groupes ôlectrogônes, 2, rue de Constan-
- tinople, Paris.
- — Max (Société des accumulateurs), 33, rue Perrier,
- Levallois-Perret (Seine).
- — Méran, Frères, accumulateurs, 155, rue du
- Faubourg-Poissonnière, Paris.
- — MESTRE ET BLATGÉ, lumage, bou-
- gies, etc., 5, rue Brunei, Paris.
- u,SE2; L’ALLUMAGE "iff-gr"
- p.759 - vue 761/946
-
-
-
- CLASSE l3
- ALLUMAGE
- --^Gû —
- IYIILDÉ ET C!
- Meygret et Maxant, accumulateurs, 10, rue de Courcelles, à Levallois-Perret (Seine).
- Michel, piles, 111, rue Saint-Antoine, Paris.
- 0 appareils d'allumage, 60, 9 rue Desrenaudes, Paris.
- Morisson Battery, accumulateurs, 1355, Railway, Exchange Building, à Chicago (Illinois), États-Unis.
- MflDC vSociété d? Electricité), dynamos, ma-
- IllUni, gnétos, etc., 48, rue du Théâtre,Paris.
- Motsinger Device Mfg, C°, allumage, Penden-ton (Indiana), États-Unis.
- Muller et C1c, bougies, 91, rue des Marais, Paris.
- Mullot, représentant des magnétos Unterbcrg et Helmle, 79, rue de Dunkerque, Paris.
- Myh (Bougie). — Voir Larive, Paris,
- Nassivet et Cle, groupes électrogênes, 17, quai Baco, Nantes (Loire-Inférieure).
- Nathan Frères, ébonite, 67, rue d’Hauteville, Paris.
- — Nicolas, piles électriques, 18, rue Drouot, Paris.
- — Nicole, appareils électriques, 89, rue de Flandre,
- Paris.
- ____ MiriipnRT bougies, appareils d’allumage,
- Il lELUr Un I , magnétos, 9, rue de Seine, à Suresnes (Seine).
- — NILMELIOR (SOCIÉTÉ), *5S?
- mage électrique, magnétos. 47, rue Lacordaire, Paris.
- — Oléo {Société), bougies, 38, rue de la Folie-Regnault, Paris.
- — Olive, bougies, 14, impasse Laugier, Paris.
- — Paz et Silva, appareils électriques, 55, rue Sainte-
- Anne, Paris.
- — Perez et C1u, appareils électriques, 50, rue de
- Paradis, Paris.
- — Phénix, accumulateurs, 7, rue de la Boétie, Paris.
- — Philippe, bougies, 77, avenue Ledru-Rollin,
- Paris.
- — Philippon, fils électriques, 26, rue Saint-Fer-
- dinand, Paris.
- — Piault, bougies, 3, rue Saint-Benoit, Paris.
- — Pittsfield Spark Coil C°, allumage, Pittsfïeld
- (Massachusetts), États-Unis.
- — Pognon, Ltd, bougies d’allumage, 29. Vauxhall
- Bridge road, à Londres (Angleterre). — Voir Vautrin, Paris.
- — Portable Accumulators ,Ltd, accumulateurs,
- 210, Shaftesbury avenue, Londres W. C. (Angleterre).
- — Raynal, appareils électriques, 12, rue Mont-
- pensier, Paris.
- — RÉGINA, accumulateurs. — Voir ïfussenot et
- Raynaud, Paris.
- — Rémy Electric Cu‘, magnétos, à Anderson, In-
- diana (États-Unis).
- — Renard, accumulateurs, 26, rue de Rocliechouart
- Paris.
- — Rep {allumage). — Voir Stato Rep.
- — R.I. B., accumulateurs. — Ilïyne-Berlinc, Paris.
- — Riches and C°, accessoires pour allumage, 19,
- Store Street, Tottenham, Court road, ilLondrcs, (Angleterre).
- — Ritter et CIe, piles, 8, rue Rochechouart, Paris
- — Robert Instrument C°, appareils de mesures
- électriques, 58, Shelby street, à Détroit (Michigan), États-Unis.
- Rocher, bougies, 80, rue Raynouard, Paris. Rollain-Chamary et O’-, piles, 128, rue du Bois, à Levallois-Perret (Seine).
- — RoriQUET, bobines, 214, rue Jules-Barni, à
- Amiens (Somme).
- — Royal Battery C°, accumulateurs, 143, Cbam-
- bers Street, il New-York (États-Unis).
- — RuHMKORFFfAte/iers), bobines,20, rue Delambre,
- Paris.
- — Rousselle et Tournaire (Maison), dynamos
- et appareils de mesures électriques, 52, rue de Dunkerque, Paris.
- -- Sainville (De),électricité, 14, rue Vivienne,Paris.
- — Saturne, accumulateurs. — Voir Heymann, Paris.
- — Sautier Harlé et C10, appareils électriques, 26,
- avenue de Suffren, Paris.
- — Saxonia, accumulateurs, 30, Kreuzbergstrasse,
- h Berlin (Allemagne).
- — Schmidt (Société anonyme des accumulateurs),
- 10, rue Fournier, à Clichy (Seine). Schrambacii, bougies, 93, rue Oberkampf, Paris.
- __ çrpicni bornes électriques. •— Voir
- OtnloUL, Lacoste et Cie, Paris.
- — S. G., accumulateurs, — Voir Gramme {Société).
- — Silicia, batterie d’allumage, 31, rue Piat, Paris.
- -SIMMS-BOSCH (COMPAGNIE DES
- H/1 p ai r* T fi C \ magnétos à basse et a lu H U Ht I Uo), haute tension, 22 et 24, rue Violet, Paris.
- — Simms Mfg C°-, Ltd, magnétos, Kimbereyl
- Road, Willcsden Lane, à Londres (Angleterre).
- — Simplex accumulateurs, 5, rue Croix-Jordan,
- à Lyon (Rhône).
- — Soulier, accumulateurs, 2, rue Boulard, Paris.
- — Stato-Rep, allumage à haute tension, [37, rue
- des Abondances, à Boulogne-sur-Seine (Seine),
- — Steady, pile. — Voir Carbone (Société Le).
- — Tardy, piles, 17, rue du Faubourg-Saint-Jacques,
- à Valence-sur-Drôme (Rhône).
- — T. K M., accumulateurs .26, rue Laffite, Paris.
- — Tenax, piles. — Voir Henrique.
- — T. M., bacs. — Voir Passelac.
- — Triplex, bougie. — Voir Lemaitre.
- - Trouvé, appareils électriques. — Voir Sain-
- ville {De).
- — Tudor {Société Française de VAccumulateur),
- 81, rue Saint-Lazare, Paris.
- — U. F. B. {Allumage Electrique). — Voir Usines Franco-Belges, Paris.
- - Ulmann, accumulateurs et appariels électriques,
- 16, boulevard Saint-Denis, Paris.
- - Union {Bougies). — Voir Rogers et C'i<i, 1, rue
- Saint-Georges, Paris.
- - Union [Compagnie Française des Accumulateurs)
- 13, rue de Londres, Paris.
- — Unterberg et Helmle, magnétos, 46, Bach-
- strasse, à Karlsruhe (Allemagne) ; Voir Mullot, Paris.
- — Usines Franco-Belges, allumeurs électriques,
- 148, rue du Faubourg-Saint-Denis, Paris.
- — Vale {Bougie pour magnétos), 97, rue Saint-
- Lazare, Paris.
- — Varret, magnétos, 42, rue Voltaire, à Levallois-
- Perret (Seine).
- — Vasseur et C:o, accumulateurs, 25, boulevard de Belleville, Paris.
- — Vautrin, bougies « Pognon », 35, rue Brunei, Paris. --- Verdol (accumulateurs), 16, rue Dumont-d’Ur-
- ville, il Lyon (Rhône).
- — Vesta, magnétos. — Voir Debeauve et Olmi.
- — Vestale, allumage. — Voir Debeauve et Olmi.
- — Vibreur-Éclair. — Voir Pérez et Cîe,
- — Vincent (Dr), piles, 9, rue d’Assas, Paris.
- — Warnon, piles, 157, rue de Vanves, Paris.
- — Westeren, accumulateurs. — Voir National
- Motor Véhicle C° (États-Unis).
- — Westland {Société des Bougies), 9, rue Théo-
- phile-Gautier, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Witiierbe Ignitor C°, accumulateurs, 543,
- West, 43, d. Street, il New-York (États-Unis).
- — Wydts (A.). — Voir Allumeur Electrocatalytique. —- ZÉdeco {Société des Accumulateurs), accumulateurs, 97, rue Saint-Lazare, Paris.
- —• Zinnemann et C°, accumulateurs, 60, Friedrich-strasse, à Berlin (Allemagne).
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- de V), 282, rue Saint-Jacques. Paris. — Voir aussi Boas, Rodrigues et Cie, Paris.
- — A. D. L. phares. — Voir Dunhill, à Londres.
- — Alexandre {F.)} phares ltadius, 53, rue Blanche,
- Paris.
- Al Pi-IA l)iiares a acétylène. — Voir Boas, HLrnH, Rodrigues et Cie, Paris.
- — Akclite, phares.— Voir Miller {II.)t à Hazc-
- brouck.
- — Argus, porte-phare tournant. — Voir Maison-
- grande et Cie, à Angers.
- — Atwood Manufacturing C°, phares, à Amcs-
- bury, Massachusets, (Etats-Uçis).
- — Aubert, groupes électrogônes, 4, rue Claude-
- Vellefaux, Paris.
- — Aufière, allumeurs électriques, 05, rue de
- Flandre, Paris.
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- Wisconsin, (Etats-Unis).
- — Bausch et Lomb Optical C°, lentilles pour
- phares, à Rochestcr New-York (Etats-Unis).
- — Beati, fabrique de phares, 43, via San Vittore,
- à Milan (Italie).
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- Nationale, à Mautauban (Tarn-et-Garonne).
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- projecteurs, phares et lanternes, 60, boulevard Beaumarchais, Paris.
- — Blériot {L.), (Société anonyme des établissements)
- phares, 16, rue Duret, Paris.
- Bfyi m marque de fabrique de Besnard, . Ifl. M., Maris et Antoine, Paris.
- - BOAS, RODIGUES ET C‘", S'iZ!
- protecteurs, lanternes, 67, boulevard de Cha-ronne, Paris.
- — Boivin {E ) et Cie, éclairage par l’alcool, 16, rue Fabre-d’Eglantine, Paris.
- — DONNCUII I C Phares ,( Star », 52, bou-DUll 11 L V ILLL, levard Carnot, à Toulouse niaute-Garonne).
- — Boutron (E.), fabrique de phares et de lanternes, 48, avenue Parmentier, Paris.
- — Brachten et Gallay, fabrique de phares, à Genève (Suisse).
- Bp p phares Alpha. — Voir Boas, Ro- Il. b ., drigues et Cie, Paris.
- — Bullier (L.), phares, 131, rue de Vaugirard, Paris.
- — Bullier, becs-brûleurs à acétylène, 122, avenue du Maine, Paris.
- — Century 20 th. M. F. G., phares, 19, Warren Street, near Broadway, New-York (E. U.),
- i — Cothouit, éclairage à l’alcool, 22, rue de Picpus,
- ; Paris.
- — Coulon, phares, 9, passage du Plateau, Paris.
- — Creil* ( Compagnie générale d*électricité de), projec-
- teurs électriques, 74, rue Saint-Lazare, Paris.
- — Decoudun, phares, 101, rue du faubourg Saint-
- Denis, Paris.
- — Denicr, phares, 144, rue Saint-Maur, Paris.
- — DESPONTS (LOUIS),
- Levallois (Seine).
- — Diétz, phares, 27, Laiglit Street, New-York
- (Etats-Unis).
- — Dillemann fils et Cie, projecteurs, 26, rue de
- Chabrol, Paris.
- -- Dorvaux, éclairage életrique, 21, rue Saint-Sébastien, Paris.
- H II P CI I ICD phares et projecteurs à acé-UUbLLLllin, tylène, 25, passage Dubail, Paris.
- ; — Duckeux et Martin, phares, 47, rue Montes-i quieu, Lyon (Rhône).
- ' — Di’XHiLL, phares, 359, Euston road, Londres ; ( Angleterre).
- ! — Edmuxds et Jones, Mfg C°, phares et lanternes E. et J. à Détroit, Michigan (Etats-Unis).
- E. et J. Lamps, phares et lanternes. — Voir Edmunds et Jones, M/y Cie.
- Eli lampes électriques. — Voir Hirsch {EJ, - 11., Paris.
- — Elderidge ((.' Voir Electrical Mfg C°.
- — Etna, générateur à acétylène. — Voir Phares-Optiques {Société des).
- — Eyquem (Maurice), projecteur* électriques, 191, boulevard Péreire, Paris.
- — Ferrand (Vve), lampes portatives à acétylène, 19, boulevard de Vaugirard, Paris.
- ! FOREST (G.) ET Cic, ESS il ,!o“:
- I levard Henri TV, Paris.
- | — Frank (Albert) Métallwaren Fabiuk, phares j à Beierfeld (Saxe).
- | — Frankonia, phares. — Voir Franc'c {Albert).
- | — Geniès, lanternes, 39, rue de la Grange-aux-! Belles, Paris.
- — Gillet, phares. — Voir Forest et Ciet Paris.
- - Gray and Davis, phares, à Amesbury, Mas-a* chusets (Etats-Unis).
- — Green and Houck, phares, 7, snow ITill, Londres (Angleterre).
- — Grimmeisen (Ch. et G.) et Guyot {R.), phares, 92, rue du Faubourg-du-Temple, Paris.
- — Guy, projecteurs à, acétylène, 200, rue de Crimée, Paris.
- — Guyard et Muller, phares, lanternes, 45, rue des Vinaigriers, Paris.
- — Ham, phares, à Rochester,New-York (Etats-Unis). — Henry, Lenud et Cie, lampes électriques, 51, rue de Turenne, Paris.
- — Hérold (A.)* lanternes, 5, allée Erqsme à Villemonble (Seine).
- - HIRSCH (ÉTIENNE), Sn?"”;
- Crussol, Paris.
- - HUSSENOT ET RAYNAUD, SiT
- ternes, 39 rue de la Boëtie, Paris.
- — Idéal (phares et lanternes). — Voir Lanterniers {Association Coopérative des Ouvriers).
- — Intermédiaire central métallurgique, phares 17, rue de l’Aqueduc, Paris.
- ! — Joly, appareils à acétylène, rue du Parc, Mor-‘ becque (Nord).
- —- Katz, phares, 7, rue du Dahomey, Paris, j — Lanterniers (Association Coopérative des Ou-i vriers). phares et lanternes, 14, rue Poncelet,
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- — Lieutard et Bougon, phares, 9, rue Claude-
- Vellefaux, Paris.
- — Lucas, phares, 22, shaftesbury avenue, à Londres
- \V. C. (Angleterre).
- — Lumière (Cle des Boites), phares, 27, rue Des-
- renaudes, Paris.
- — IHËGEVET (C. JULES) ET C”,
- phares, 9, rue Malatrex, Genève (Suisse).
- — MESTRE ET BLATGÉ,
- Brunei. Paris.
- — Météore {Phares), — Ruffln, 77, avenue de la
- Grande-Armée, Paris.
- — Neverouth (the), phares, 914, arch. Street,
- Philadelphie (É. U.).
- — Optique commerciale (l’), lentilles, 7, rue de
- Malte, Paris.
- - Ouvrard et Cle, lanternes, 24, rue de la Douane,
- Paris.
- — Paris-Lumière (société), lampes, 72, quai Jem- j
- mapes, Paris.
- — Pelletier, appareils d’éclairage, 27, rue Croix-
- Jordan, Lyon (Rhône).
- — - Phares-optique (société des), phares, 33, rue
- Marbeuf, Paris.
- — - Platel, lanternes, 88, rue Saint-Charles, Paris.
- -- .Radia, lanternes. -— Voir Miller (H), à Haze-brouck.
- Radium (le), phares. — Voir Dalsace.
- - Radius, phares. — Voir Alexandre.
- - Reflex, fourche tournante pour phares. —Voir
- Auterochc. \
- — Rejnà Zanardini, phares, 39, Bastioni Porta ;
- Magenta, Milan (Italie). ;
- - Riemann (llERM), phares, à Chemnitz-Gablenz
- (Saxe).
- - Rob-Eclipse, phares. — Voir Boas Bodrigues et
- Oic, Paris.
- — Roger et Benoist, phares, 199, boulevard
- P4rpirp pnric
- — RUSHIYiORE DYNAMO WORKS,
- phares, G27, South avenue, Plainfield, N. J. (Etats-Unis) ; représentant : Abbott, Paris.
- ... Salvator, phares. — Voir Forest et Cie.
- — Savignon (L.), phares, 4, rue Auguste-Comte, à
- Lyon (Rhône).
- Scharlach (Otto), phares, à Nuremberg (Allemagne).
- Schlesinger, phares, îl Offenbach-sur-lc-Mcin (Allemagne).
- Seheu (Ch.), phares, 1, boulevard d’Alsace-Lorraine, au Pcrreux (Seine).
- — Seigle (S.), appareils d’éclairage, 64, rue de
- Provence, Paris.
- Sirtus (le), phare. — Voir Denich (A.).
- Solar {phares). — Badger Brass Mfg C'e. Stadelmann (Jean) et C10, becs à acétylène,
- C, rue Pierre-Bulet, Paris.
- CT fl P phares. — Voir Bonneville, 52, boule-O I HH, vard Carnot, à Toulouse.
- Taillandier frères, lanternes, 29, boulevard Ricliard-Lenoir, Paris. '
- Théo, fabrique de lanternes (Th. Combe), 6, rue Eromentin, Paris.
- Torchon (Albert), éclairage, avenue du Chemin de fer, le Raincy (Seine-et-Oise). Tournieroüx (L) et Cie, lanternes, 137, rue du faubourg-Saint-Denis, Paris. |
- - Twentieth Centüry Mfg C°, lanternes, à
- New-York (États-Unis).
- — Vallée (V)., phares, 38, rue Fontaine, Paris.
- - Vigilant (le), phares. — Voir Denich (A.).
- — VlX (phares), 34, rue Saint-Marc, Paris.
- — Weldhen et Blériot, phares, 54, Long Acre,
- Londres (Angleterre).
- — Zanardini (Rejna) et C°, phares, Bastioni Port
- Magenta, 39, à Milan (Italie).
- — Zénith (Le), phares, 199, boulevard Péreire,
- Paris
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- — agence Internationale, vente de brevets,
- 84, rue Richelieu, Paris.
- — Alix et Cie, dessinateurs industriels. — Voir
- Hervé et Laemmenhirt.
- — American Office, publicité automobile, 57,
- rue de Wagram, Le Mans (Sarthe).
- — Armengaud Aîné, brevets d’invention, 21,
- boulevard Poissonnière, Paris.
- — Armengaud Jeune, brevets d’invention, 23,
- boulevard de Strasbourg, Paris.
- - Blétry (C.) Aîné, brevets d’invention, 2, bou-
- levard de Strasbourg, Paris.
- Boettcher '(H.), brevets d’invention, 14, boulevard Saint-Martin, Paris.
- — BOETTCHER FILS (HENRI), S
- d’invention, 189, rue Lafayette, Paris.
- — Boramé et Julien, brevets d’invention, 8,
- boulevard Saint-Martin, Paris.
- — CHASSEVENT (C . ), tion, 11, boulevard
- Magenta, Paris.
- -- Contentieux de l’Automobile, 10, rue Poisson, Paris.
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- via Sacchi, à Turin (Italie).
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- avenue Wagram, Paris.
- - Dessinateurs de l’Industrie automobile
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- UnUUHnU, peterie, 3, rue Saint-Benoît, Paris.
- — Duseaux, insignes pour sports, 29, rue Pastou-
- relle, Paris.
- — Eisenmenger, insignes pour automobiles, 5,
- rue Chapon, Paris.
- — Eloi (René), contentieux de l’automobile,
- 10, rue Poisson, Paris.
- — Enault (Robert), insignes et plaquettes, 41,
- rue Turbigo, Paris.
- - Fernique Fils, photograveur,31, rue de Fleurus,
- Paris.
- FÉry et Boisset, clichés industriels, 14, rue Sugcr, Paris.
- — Gimpel, représentant de fabriques, 47, rue du
- Caire, Paris.
- — Hervé et Laemmenhirt,dessinateurs industriels,
- 54, rue de Bondy, Paris.
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- 4, rue Scribe, Paris.
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- de publicité, 31 bis, faubourg Montmartre, Paris.
- — Jones (Olivier H), représentant deAmérican-
- locomotive, 40, avenue de la Grande-Armée, . Paris.
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- la Madeleine, Paris.
- — Katz, Insignes, 41, boulevard Voltaire, Paris.
- — Kossuth et Cie, graveur-imprimeur, 11, rue des
- Petits-Hôtels, Paris.
- - Maes, photographies, 17, rue de la Chapelle,
- Paris.
- - Massonet et Cic, insignes, 64, rue du faubourg Saint-Denis, Paris.
- — Montaut-Mabileau, estampes, 84, rue d’Ams-
- terdam, Paris.
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- ITIU II IL U , vard Raspail, Paris.
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- 3, rue de Grammont, Paris.
- PALLISSAUX (DE), 16, rue de la Clîaus-
- sée-d’Antin, Paris.
- — Pataky (H et W), Brevets d’invention, 58, rue
- Lafayette, Paris.
- DHPUV imprimeur, 117, rue Vieille-du-I ULll I , Temple, Paris.
- __ PfîVFT dessinateur-graveur, 17, rue du
- lU I L I , Louvre, Paris.
- D ADTIir /U \ photogravure industrielle, nHotUr \nj, 42, rue delà Victoire, Paris.
- - Rousselet, représentant de fabriques, 1, rue
- Torricelli, Paris.
- - Seghers (Ad), représentant de fabriques, 7, rue
- Scribe, Paris.
- Seignol et Searle, agents de fabriques, 53, rue Laugier, Paris.
- — Silbernagel, brevets, 166, boulevard Magenta, Paris.
- Thirion et Bonnet, brevets, 95, boulevard Beaumarchais, Paris.
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- 29, Von der Tannstrasse, à Munich.
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- — Acker, graisses consistantes, 7, rue du Bac, â Ivry-Port (Seine).
- Ar% {Huile minérale). — Voir Deutsch (Les . U., fils de A.).
- — Autocaubool, alcool carburé, 27, rue de Châ-teaudun, Paris.
- — Autooarine, huiles et graisses Autocarme. — Voir Kingfisher (Société), à Clichy.
- — AUTOL, huile. — Voir Moebius et fils, à Bâle (Suisse).
- •— Automatic, extincteur Y automatique. — Voir Harden, Paris.
- — Automobiline, essence. — Voir Desmarais
- frères, Paris.
- — Auto-Moto, graisse consistante. — Voir
- Burckhardt, à Paris
- — Auto-Oele, huile minérale, fabriquée par Cari
- Christian Held, à Stuttgart (Allemagne).
- — Autovalve, huile minérale. — Voir Brichet, à
- Saint-Mandé.
- — Autovéline, huile minérale. — Voir Pétroles
- (Compagnie générale des), à Marseille.
- — Auto-Vélocité, huile minérale. — Voir Vacuum
- OU C°, Paris.
- — Baldou (A.), extincteurs, 102, faubourg-Pois-
- sonniôre, Paris.
- — Banneville, graisseurs, 119, rue Saint-Maur,
- Paris.
- — Barbat, graisses consistantes, 80, rue des Car-
- rières, à Charenton (Seine).
- — Barillet, graisse consistante Soleil, à Alfort
- (Seine).
- — Barthélemy et C°, huiles « Autol », 36, avenue
- de Ncuilly, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Benjoline, huile minérale. — Voir Cayeux.
- — Ben’ Soap (Société du), savon pour les chauffeurs,
- 26, rue de Constantinopte, Paris.
- — Benzo-Moteur, essence minérale. — Voir
- Fenaille et Despeaux, Paris.
- — Besançon, huiles et graisses minérales, à Saint-
- Denis (Seine).
- — Blondel et Hincelin, alcool carburé, 105, rue
- de la Chapelle, Paris.
- — Boachon, graisseurs, 31, avenue de la Répu-
- blique, Paris.
- — Brichet (Camille), graisse consistante, à Saint-
- Mandé (Seine).
- — Briet et Cie, graisseurs pour automobiles, 7, rue
- Magenta, à Puteaux (Seine).
- — Brousset, graisseurs pour automobiles, à Nogent
- sur-Marne (Seine).
- — Burckardt, graisse consistante, 18, rue Polivcau,
- Paris.
- — Butin, tuyaux flexibles, 51, rue des Martyrs,
- Paris.
- — Cayeux, huiles, place du Marché-aux-Herbes,
- Compiêgne (Oise).
- — Centaure, huile minérale, 4, rue Gustave-Zédé,
- Paris.
- — Claudy, huiles et graisses minérales, 92, rue
- Neuve-des-Charpennes, Lyon (Rhône).
- — Colmet EL Cie, huiles pour machines, 70, rue de
- Rivoli, Paris.
- — Compère et Paucher, huiles minérales, 106,
- boulevard Sébastopol, Paris.
- — Constant et Cie, huile « La Préférée », 11, rue
- de Neuilly, Clichy (Seine).
- — Cord (Mc.) AND C°, graisseurs, 1404, old colony
- Building, Chicago (E. U.).
- — Degrémont (Emile), graisse consistante, Le
- Cateau (Nord).
- — Degrémont-Léonard (fils aîné), fabrique de
- graisseurs, Le Cateau (Nord).
- — Demoy et Cie, graisse consistante, 14, rue
- Barbette, Paris.
- — Desmarais frères, rafïineurs de pétrole, 42, rue
- des Mathurins, Paris.
- — DEUTSCH (LES FILS DE A.),
- DE LA MEURTHE, STASES?
- les, marque 3 Moto-Naphta », 50, rue de Châteaudun, Paris.
- — Deutsch-Amerik Petroleum Gesellschaft,
- essence minérale, Hambourg (Allemagne).
- — DUBRULLE (LOUIS),
- Force motrice, Éclairage Chauffage par l’ALGOOL
- SA MAJESTÉ L’ALCOOL
- p.763 - vue 765/946
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- — 764 —
- pour automobiles et canots, 28 bis, rue de Villeneuve, A Olicliy (Seine).
- — Dumoulin, graisses, 18, rue de Normandie,
- Asnières (Seine).
- — Electricine Leprêtre, alcool dénaturé, 15, rue
- Barbés, A Montrouge, (Seine).
- — ENTREPOT d’Ivry, alcool dénaturé « Soleil »,
- 71, quai dTvry à Ivry-Port (Seine).
- — Eoline, essence pour automobiles. Raffinerie de Pétrole du Nord, à Croix -AVasquehal (Nord).
- — EVERLING, huiles minérales, 4, rue Gustave Zédé,
- Paris.
- — Fenàille et Despeaux, Benzo-moteur, 11, rue du Conservatoire, Paris.
- - Filliol et Cie, graisseurs, 39, rue de Paris, à
- Clichy (Seine).
- — Fix, produit pour la suppression de la poussière.
- — Voir Reinach {E) et Cie,
- — Foubert et Villeneune, graisses consistantes, 51, boulevard Saint-Jacques, Paris.
- — Premier, huiles minérales, 01, quai de Valmy,
- Paris.
- — Gaubert, essences et huiles, 40, avenue de la
- Grande-Armée, Paris.
- — Gladiator, huile minérale, 17, rue des Bate-
- liers, A Clichy (Seine).
- — Gubert frères, savon anticambouis « Sapo-
- nof », A Draguignan (Var).
- — Güyenot, huiles minérales, 1, rue du Printemps,
- Paris.
- HfllVIELLE(HENRYUrSSÏrt
- quai de Valmy, Paris.
- — Harden, extincteurs, 53, rue des Mathurins, Paris.
- UrNDV iü \ appareils de graissages, 117, ntl Uni \IU, boulevard de la Villette, Paris.
- — Huiles minérales, pour machines. — Voir
- Huile (lr0 partie).
- — Juillet, graisses et huiles, 29,a venue Boucicaut,
- Châlons-sur-SaÔne (Saftne-ct-Loire).
- — Kingfisiier {société), graisses, 93, boulevard
- Victor-Iïugo, Clichy (Seine.)
- LEFEBVRE (ALBERT) FILS, Siï
- 5, rue Deltéral, au Pré-Saint-Gervais (Seine),
- - Lenoir, huiles, 24, rue Michelet, Pantin (Seine).
- — Leprètre et Cîe, huiles, 15, rue Barbés, Mont-
- rouge (Seine).
- 1 rnny ril c graisseurs, 7, rue Danton, LcnUT I ILO, Levallois-Perret (Seine).
- — Lille et Bonnières (société anonyme de), huiles
- et essences, 10, rue des Pyramides, Paris.
- — Martin (Vve), huiles, 50, boulevard de Stras-
- bourg, Paris.
- - Marville et Cîe, huiles, Rueil (Seine-et-Oise).
- - Maurice et Wisner, huiles, 29, rue de Neuilly,
- Clichy (Seine).
- -- Moebius (H.) et fils, huiles « Autol», A Bille (Suisse).
- - Motobenjoline (La). — Voir Cayeux.
- IflOTO-NAPHTA, ES
- Deutsch {Les Fils de .4.). Paris.
- - OlÉO, huiles, 08, rue de la Folie-llcgmiult, Paris. Olêonapiites {société des), huiles, 25, rue de la République, Marseille (Bouches du Rhône).
- -- Pax [huile),—188, r ue du faubourg Saint-Denis, Paris.
- — Pedersen Manufacturtng C°, graisseurs, 642
- First avenue New-York (E. U.).
- — Pétroles (C10 fjénéra-e deft), 2, rue Fongate, Mar-
- seille (Bouches-du-Rhône).
- — Poulet et Tayard, huiles, 108, avenue de la
- République, A Aubervil-iers (Seine).
- I — Pétroles (C:,‘ industrielle des) 12, rue Blanche i l>aris.
- — Quervel, ses Fils et Gendre, graisse consistante
- 35, rue du Port, A Aubervilliers (Seine).
- - Raffinerie de pétrole de dunkerque, essence minérale, 30, rue du Rocher, Paris.
- — Rastit (Société Henri), huile minérale, 38,
- rue Nicolas, A Marseille (Bouches-du-Rhône).
- — Régnier (P.), huiles, 11, rue Étienne-Dolet, Paris
- — Reinach (E.), et Cic, huile, 90, via Lario, A
- Milan (Italie).
- — Rheinische Benzinwerke, raffinerie de pétrole,
- A Cologne-sur-le-Rhin (Allemagne).
- — Ricbourg (A.), huiles, 123, rue de Rcuilly,Paris.
- — Rigal, huile minérale. — Voir Juillet (L.).
- — Risacher et Hébert, graisseurs, 58, boulevard
- Pasteur, Paris.
- — Roche (J.), graisseurs, 33, rue deBuzenval, Paris.
- ; — Saint Martin {J. de), réservoirs d’huiles, 48,
- avenue de Neuilly, A Neuilly-sur-Seine.
- ; — SautÉINE {Graisse). — Voir Sautet frères.
- ; — Sautet frères, huiles, 9, route d’Orléans, A i Montrouge (Seine).
- | — Schaeffer et Budenberg, graisseurs, 105,
- ; boulevard Richard-Lenoir, Paris.
- —• SÉCURiTAS, graisseurs. — Voir Hirsch {Et.).
- — Serpolléine, huile minérale. — Voir Oléo (Société de V).
- — Solarine Company, 10, cité Riverin, Paris.
- — Soleil {Alcool). — Voir Entrepôt d’Ivry.
- — Standard Oïl, huiles, 123, rue de Reuilly, Paris.
- — Steel Ball C°, graisseurs, 840, Austin avenue,
- A Chicago (États-Unis).
- — Stellin, essence. — Voir Vereinvjte Benzin-fabriken, A Alloua (Allemagne).
- —- Slelline, essence. — Voir Huiles Minérales de j Colombes (Société des).
- — Stern-Sonnebiion {Société Anonyme Française),
- huiles, 33, rue Victor-Hugo, A Pantin (Seine).
- — Sternoline-Ossag {Huile Minérale). — Voir
- Stern-Sonnébron.
- —- Strube et fils, graisseurs, rue Hortense, A
- Montrouge (Seine).
- — SUCCÈS (Huile Minérale). — Voir Lenoir, A
- Pantin (Seine).
- — Tesse, huiles, 23, rue de la Chaussée d’Antin,
- Paris.
- — Thêvenin frères, Séguin (L.), et Cie, graisseurs,
- 3, rue Dunoir, A Lyon (Rhône).
- — Touriste, essence. — Voir Raffinerie de Pétrole
- de Dunkerque.
- — Vacuum Mobiloils, huiles, Norfolk Street, A
- Londres, W. C. (Angleterre).
- — Vacuum Oïl Company, huiles A Hambourg,
- Berlin, Gênes, ltochester (États-Unis).
- — VACUUM QIL COMPANY Anonyme
- Française), huiles, 34, rue du Louvre, Paris. — Valve Oïl, huile minérale. — Voir Burckhardt,
- | Paris.
- ! — Valvoleum, huile, 26, rue de Trévise, Paris.
- ! — Vaporine, essence. — Voir Lille et Bonnières {Société Anonyme de).
- — Vaporine, huile minérale. — Voir Claudy, A
- Lyon (Rhône).
- — Vereinigte Benzinfabuikex, essence minérale,
- A Altona (Allemagne).
- ; — Virginia {Huile), Pradère et C°, au Pré-Saint-Gervais (Seine).
- — Viscositas, huile minérale. — Voir IJeutsch {les
- ' fils de A).
- — VITESSE {Compagnie des Huiles). — Voir Huile
- Vitesse.
- i — Win K le graisseurs, A Hartford (Connecticut).
- 1 États-Unis.
- Force motrice, Éclairage Chauffage par l’ALGOOL
- St MtJESTÊ L tLCOOL
- p.764 - vue 766/946
-
-
-
- CLASSE I
- CLASSE I8
- 7
- 765
- CLASSE 17
- POLISSAGE, NICKELAGE
- Décalcomanie. — Emeri. — Meules.— Nickelage. — Polissage. — Produits à polir. — Produits chimiques, etc.
- — Adonaï-Martin {{Etablissements). —- Voir Métal-
- loplastie {La), Paris.
- - Bardot, oxygène liquide, 10, rue Duranton,
- Paris,
- — - Belle, fabrique de meules en grès, 84, rue du
- faubourg-Saint-Antoine, Paris.
- - Bertolus, fabrique de carbure de calcium, a
- Bellegarde (Ain) ; et 18, rue Denfert Roche-reau, Paris.
- — Boiîin, produits à polir, brillant Presto, 66, rue de
- Villiers, à Levallois-Perret (Seine).
- - BOULAND, produits à polir et à nettoyer, 30, rue
- Bergère, Paris.
- — (Jàxada Corundüm C°, Ltd (the), corindon en
- poudre, à Toronto (Canada).
- — Carbonique liquide (Société La), 33, allées de
- Tourny, Bordeaux (Gironde).
- — Carbonique Lyonnaise (La), acide carbonique
- liquide, Lyon-Montplaisir (Rhône). Carbonique moderne (La), acide carbonique liquide, à Bobigny (Seine).
- — Oaynès et Carpentier, Décalcomanie indus-
- trielle, 125, rue des Boulets, Paris. Décalcomanies industrielles (Manufacture de), 66, avenue de la République, Paris.
- - Delaunay {J), meules et papiers d’émeri, 16, pas sage Lèche vin, Paris.
- - Deplanque (aîné), machines à meuler, 102,
- Grande-Rue, Maisons-Alfort (Seine).
- - Deplanque père et fils jeune, machines à
- meuler, 54, rue des Boulets, Paris.
- — Diamantite (La), produits à polir, 55, quai de
- Valmy, Paris.
- - Electrolyse Française (/’), oxygène et hydro-
- gène purs, 0, rue de la Chaussée-d’Antin, Paris.
- - Emeri et de machines {fabriques réunies d’),
- 8, boulevard Richard-Lenoir, Paris.
- - Emeris et produits a polir (Compagnie cen-
- trale des), 135, boulevard Serrurier, Paris.
- — EXOELSIOR (L’), extincteur instantané, 139, rue
- Lafayette, Paris.
- - Fortin (A.), émeris, 32, rue Bedaine, Paris.
- — Gaz carbonique liquéfié (Compagnie Parisienne
- du), 52, avenue Daumesnil, Paris.
- — - Ghelfi et Cie, meules, 7, rue Chariot, Paris.
- — Giffre (Société. Electro-chimique du), carbure
- de calcium, à Saint-Jeoire (Haute-Savoie).
- — Grauer et Cie {Etablissements), produite pour
- polir, 76, boulevard Richard-Lenoir, Paris.
- — Grout, meules, 95, rue de la Roquette, Paris.
- — Güillon et César, nickelage, émaillage, 137,
- rue Oberkampf. Paris.
- — Hannoteau, nickelage, émaillage, 14, rue Duret,
- Paris.
- UADriTN Société Française des extincteurs) nAnUtll « L’automatic », 53, rue des Ma thurins, Paris.
- Henry (P.), machines à meuler, 21, passage des Favorites, Paris.
- — Heslouin, nickelage, 5, impasse Saint-Ambroise,
- Paris.
- — Huard, machines à meuler, 53, rue des Péri-
- chaux, Paris.
- — Ininflammabilité {L*), extincteurs d’incendie,
- 102, rue du faubourg Poissonnière, Paris.
- — Jarry, nickelage, 4, rue des Immeubles Indus-
- triels, Paris.
- — Lièges plastiques {Société anonyme des), meules,
- 12, place Vendôme, Paris.
- — Mesureur et Cie, polissage, 128, rue Fazilleau,
- Levallois-Perret (Seine).
- — Métalloplastie {La), nickelage, 44, rue Guer-
- sant, Paris.
- — Minot, émaillage, 44, rue Servan, Paris.
- — Mondklet, nickelage et polissage, 18, passage
- Raoul, Paris.
- — Nickeléine {La), nickelage, 14, boulevard de
- la Villette, Paris.
- — Ozanne, nickelage, 29, rue Le Peletier, Paris.
- — Pascalis, nickelage, 5, rue Chapon, Paris.
- — DIETn CDCDCC nickelage, 37, quai de rltu rntnto, Seine, Paris.
- — Poulot, meules, 50, avenue Philippe-Auguste
- Paris.
- — Pradier, extincteurs d’incendie, 12, rue des
- Bourdonnais, Paris.
- — Prévost, nickelage, 10, rue Claude Decaen,
- Paris.
- — Rapidité-Bétonite, produit contre la poussière
- des routes, 45, boulevard Haussmann, Paris.
- — - Rieül frères, produits chimiques, 50, rue des
- Écoles, Paris.
- — Saint-Germain (P), meules, 66, avenue de la
- République, Paris.
- — QHRCRINf: /I A\ bri(lues en li68e» Ina~
- OU Dt ni Ht \LM;, tières isolantes, 8, boulevard de Vaugirard, Paris.
- — Thomas, machines à meuler, 4, boulevard de la
- Marne, à la Varenne-Saint-Hilaire (Seine).
- — Westrumite {société anonyme la), 65, rue de la
- Victoire, Paris.
- CLASSE 18
- SUSPENSION
- Amortisseurs. — Essieux. — Ressorts, etc-, etc.
- — A.-C.-A.-R., suspension équilibrée. — Voir
- Hannoyer {L.), à Levallois-Perret (Seine).
- — Aéros, suspension pneumatique. — Voir Tore
- [L.), à Paris.
- — Amans, pneumo-suspension Amans. — Voir
- Mans (Belgique) ; et Qlaenzer et Cie, Paris.
- — Amortisseur Pneumatique B. p. — Voir
- Bernard et Patoureau, Paris.
- — Auto-Amortisseur. — Voir Gardy-Batault,
- Paris ; et de Bréviaire, Paris.
- — Baldivin Chain and Mfg C°, amortisseurs de
- chocs, 193, Chandler Street, à Worcester (Massachussets), États-Unis.
- — Bernard (J.) et Patoureau (</.), amortisseur
- pneumatique, 71, boulevard Beaumarchais, Paris.
- — Berwick, fabrique d’essieux, 12, cité Marcadet,
- Paris.
- — Boiteux, fusées d’essieux à rouleaux « Bon-
- temps », 106 avenue de la République, Paris.
- Lisez
- tous les mois
- IP RDI IFTIN flFFIMFI la Commission tecünique de l'fl. G. F.
- Lu UULLL1111 U11 UULL 30< rue Dur^ PARIS _ (6 frîmcs far an)
- p.765 - vue 767/946
-
-
-
- CLASSE l8
- ^/(>()
- CLASSE 1 ()
- — Bonneciiose {G de), ressorts amortisseurs, 11,
- rue de la Baume, Paris.
- — B. P., amortisseurs pneumatiques B. P. — Voir
- Bernard et Patoureau, Paris.
- — Brown and Lipp, fabrique d’essieux, Canton
- (États-Unis).
- — Colaert, ressorts, Poperinghe (Belgique).
- —- (Jotjlon (e), suspension rationnelle, 8, impasse des Beux-Cousins, Paris.
- — Butiieil, ressorts pour automobiles, 34, rue de
- la Folie-Méricourt, Paris.
- — Butrieux-Llmelin, amortisseurs, au Quesnoy
- (Nord).
- — Emptas, fabrique de ressorts, 148, rue Saint-
- Maur, Paris.
- — Esnault, amortisseur R. B, P,, 37, rue des
- Abondances, à Boulogne-sur-Seine (Seine).
- - Forges de Ciiatenois, essieux et ressorts. —
- Voir Vermot, Paris.
- - Frtjchard, fabrique de ressorts, 81, rue des Par-
- tants, Paris.
- — Fumery, suspension, 307, avenue Brugmann,
- à Bruxelles (Belgique).
- — Gaillardet, suspension rationnelle « Pesson-
- neaux », 4, place Wagram, Paris.
- — Gardy Batault (Auto-Amortisseur), 13, rue
- Caumartin, Paris.
- — Graham C°, tampons amortisseurs, à. Boston
- (États-Unis).
- - Haensel, essieux, 19, rue Tréfilerie, à Saint-
- Étienne (Loire).
- ___ UAlUMnVCD essieux, 39, rue Fouquet, k
- Il H 11 11 U I Un, Levallois-Perret (Seine).
- — Hartford Suspension C°, 67, Vestry street,
- à New-York (États-Unis).
- — Hotchkin, amortisseurs, 4020, Lakc avenue,
- à Chicago (Illinois), États-Unis.
- Inventions Automobiles (Société anonyme des), auto-amortisseur, 13, rue Caumartin, Paris.
- — Kilgore automobile air cushion C°, amortis-
- seurs, 46, Colombus avenue, Boston (Massachusetts), États-Unis.
- — Knohaert, amortisseurs, Frclinghien (Nord). —• Lemétais, ressorts, 76, avenue Baumesnil, Paris.
- — LEMOINE, ST' 2,1 rao Uime'
- — Lucini, suspension, 3, via Petrarcha, Milan
- (Italie).
- — MANQ {AI DCRT\ suspension, aux Lier-ITIHIlO iHLDtnl/, res, Biegliem (Belgique).
- — Nozal fils aîné, ressorts, 9, quai de Passy,
- Paris.
- — Pelgrims, essieux, 145, rue Neuve, Bruxelles
- (Belgique).
- PERSAN (FORGES DE), rSS
- Paris.
- “ Prigent, ressorts, 11, avenue de ïaillebourg, Paris.
- — RENAUX (EUGÈNE),
- Repos, Paris.
- — Rep, suspension pour automobiles, 37, rue des
- Abondances, à Boulogne-sur-Seine (Seine).
- —- Rivoal, ressorts, 47, boulevard de Belleville, Paris.
- — RDI IF F I 28, rue (*e Sablonville, à
- nUUL C. L., Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — S. A. B. I. A., auto-amortisseur. — Voir Gardy-
- Batault.
- ____ ÇA MC CDCDCC (we^^)» amortisseurs, 10,
- OHIIO inllnCO rue de TOasis, il Puteaux (Seine).
- — Sedan (forges de), fers, 52, rue Saint-Georges, Paris.
- — Simon jeune, ressorts, 2, Fontaine-au-Roi»
- Paris.
- — Simplex {suspension). — Voir Vigneaux, Paris.
- — Simplex shock Absorber, amortisseur, fabri-
- qué par Staehl and C°, 262, West 43 rd. Street, à New-York (Etats-Unis).
- — Spiral Spking (The supplementary), amortis-
- seurs, 4254, Belmar avenue, à Saint-Louis (Etats-Unis).
- — Taverne {Richard), suspension pneumatique,
- 29, avenue de la Gare, à Saint-Ouen (Seine).
- — Thomas frères, ressorts, 34,rue Henri-Chevreau,
- Paris.
- — Timken roller Bearing axée C°, essieux, à
- Canton (Ohio), Etats-Unis.
- — Tips, amortisseurs, 96, rue de Livourne, k
- Bruxelles (Belgique).
- — Truffattlt, suspension. — Voir Peugeot {auto-
- mobiles).
- essieux et ressorts, 30, rue lten-nequin, Paris.
- VERPILLEUX FRÈRES, Sï
- VERWIOT,
- ressorts, à Lorette (Loire).
- — Vestal shock absorber C°, amortisseurs, 59,
- Baum Street, East End, k Pittsburg {Pa), (Etats-Unis).
- — Victory shock absorber amortisseurs, à Ha-
- verhill (Massasuchetts), Etats-Unis.
- — Vigneaux, suspension, 13, rue Vernier, Paris.
- — Zeisel, ressorts, 144, boulevard Voltaire, Paris.
- CLASSE 19
- ROUES
- Jantes. — Rais. — Rayons. — Roues. — Roues élastiques, etc.
- — Amoudru (roue pneumatique), rue Mably, k Grenoble (Isère).
- —• Baron Frères, fabrique de roues pour automobiles, 66, rue Victor-Hugo, à Levallois-Perret (Seine).
- —- Borchers, roues élastiques pour automobiles, 43, Waldstrasse, k Berlin N. W. (Allemagne). —. Boston, jantes, 40, rue de l'Échiquier, Paris.
- — Boulanger (*/.), roues, k Revigny (Meuse).
- — Bourgine et Lebon, roue élastique, k Parthenay . (Beux-Sèvres).
- — Brook Tire Machine C°, machines à cercler les roues, k Wichita (Kansas), États-Unis.
- — Buckeye Wheel C°, roues, k Galion (Ohio),
- États-Unis.
- — Cardinet et Cie, roues, 24, rue François-
- Bonvin, Paris.
- — Chicot (S), roues, 78, rue des Arts, Levallois-
- Perret (Seine).
- — Comminge, jante démontable, 45, boulevard
- Haussmann, Paris.
- — Conte (J), chaînes et jantes, 38, rue des Pa-
- noyaux, Paris.
- — Cosset {Société de la Roue), roue élastique k jante
- flexible, 12, rue Bemarquay, Paris.
- — Coymat, roues flexibles à ressorts, 8, rue d'Astorg,
- Toulouse (Haute-Garonne).
- — DOUAI (FORGES DE), Eæe„“S,
- 52, boulevard Haussmann, Paris.
- ESZ CHAINES RENOLD
- sur vos Châssis
- C. CONIIOT - PARIS
- p.766 - vue 768/946
-
-
-
- CLASSE 19
- CLASSE 20
- — Duvinage (C), jantes en bois, 232, rue (les Lon-
- gues-Haies, Roubaix (Nord).
- E. L. (ROUE ÉLASTIQUE).
- Roue È. L.
- — Empire, roue à ressorts. — Voir Métropolüan
- Engineering Association.
- — Febvrel et Cie, roues en bois, 83 bis, rue
- Gravel, à Levallois-Perret (Seine).
- — Fenouillet et Cie, roue élastique à rayons fixes,
- 44, cours Gambetta, à Lyon (Rhône).
- — Ferraz, roue élastique, 13, rue Cuvier, à Lyon
- (Rhône).
- — Fourré, roues en bois, 9, passage Ménilmon-
- tant, Paris.
- — Gaignard-Amelot, roue élastique 15, rue de
- Presbourg, Paris.
- ___ PJIDPUrV roues élastiques, 39, rue La
- UHnünLT , Bruyère, Paris.
- — Gautier (roue élastique), à Argenton-sur-Creuse
- (Indre).
- — Gerlach, montage de roues, 16, rue Saint-
- Antoine, Paris.
- — Gouleau, roues libres, 69, boulevard Barbés,
- Paris.
- — Gravigny ( Usines de), jantes, à Gravigny (Eure).
- — Grève et Cie, jantes, à Bourg-de-Péage (Drôme).
- — POnÇ moyeux emboutis, 21, rue de Cham-uriUo, pagne, h Saint-Etienne (Loire).
- — House’s Cold Tire Setter C°, machines à
- cercler les roues à froid, à Saint-Louis (États-Unis).
- — Impérial Wheel C°, roues en bois, à Flint
- (Michigan), États-Unis.
- — JANTES AMOVIBLES M. L. 'S”
- 62, avenue Daumesnil, Paris.
- -JANTE AMOVIBLE MICHELIN.
- — Michelin et Cie, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- — Jantes démontables, 45, boulevard Hauss-
- mann, Paris.
- Jantes en bois (Cî0 Franco-Américaine de), 40, rue de PEchiquier, Paris.
- JANTE VINET AMOVIBLE, Lav£
- Messine, Paris.
- — Jardin, roues pour automobiles, 114, rue d’An-goulême, Paris.
- ___ KUNDTZ ’*an^es’ rue l’Échiquier,
- — L. S. (jante démontable). — Voir Stier, Paris.
- — Metropolitan Engineering association,roues,
- 4 qucen Victoria Street, à Londres.
- — Middleton Pneumatic, moyeux 21 Cale Street,
- Chelsea (Londres).
- — NClfCII (î \ CT Pio roues, 169, avenue Il LU LU \JJ CI b , du Roule, Neuilly-
- sur-Seine (Seine).
- — 0. L. (Jante démantable), H. Long fils, 25,
- rue Gide, à Levallois-Perret fSeine).
- — Pinoïïon, jantes, 13, rue Léon Cogniet, Paris.
- — Plymouth, jantes, 40, rue de l’Echiquier, Paris.
- — Rêve (Le), jante démontable. — Voir Comminge.
- — Rochester (jantes en bois). — Voir Pinchon (L.).
- ROUE ÉLASTIQUE E. L.,
- blonville, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Roue élastique L. G. (Garchey), 39, rue La-
- bruyôre, Paris.
- — R. S., jantes, 20, rue Brunei, Paris.
- ___ Cfin I Al iantes amovibles, 31, quai de Su-
- Un UJ HL, resnes, à Suresnes (Seine).
- — Shock-Shifter Hub, moyeu pare-chocs. —
- Moser, représentan , 2, rue de Châteaudun, Paris.
- — Smith Parfrey and C°, fabrique de roues, Ful-
- ham Palace Road, Hammersmith, ù. Londres (Angleterre).
- — Soleil {Roue), M. Brémond, 53, rue de Cha-
- teaudun, Paris.
- — Soûlas (société anonyme de la Roue), 37, rue de
- Lowendal, Paris.
- — Starter, moyeu. —• Voir Française (société la),
- — Stier, jante démontable L. S., 144, rue de Paris,
- à Villiers-sui-Marne (Seine-et-Oise).
- — Stratta Firmino, roue élastique, Castiglione,
- Turin (Italie).
- — Super (roue élastique). — Voir Supéry.
- — Supéry, roue élastique, 13, rue Cuvier, à Lyon
- (Rhône).
- — Talbot, {maison), roues caoutchoutées, 159,
- avenue Malakoff, Paris.
- — Tambutte, montage de roues, 16, rue Guillaume-Tell, Paris.
- — Taret, roues réglables en bois, 4, place de l’Eglise,
- à Puteaux (Seine).
- Tilly-Cornois {roue). — Voir Letellier, 14, rue de Bagneux.
- — VINET ET BOULOGNE,
- automobiles, 61, rue de Villiers, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Westwood {compagnie des jantes), jantes en
- acier, 86, rue Eugène-Caron, à Courbevoie (Seine).
- CLASSE 20
- PNEUMATIQUES
- Bandages. — Caoutchouc. — Gonfleurs.
- — Obturateurs. — Pneumatiques. — Pompes à air.— Produits élastiques.
- — Protecteurs. — Réparations. — Toiles. — Vulcanisation, etc.
- — Acre Rubber C°, fabrique de penumatiques,
- 58, High Street, Shaftesburg avenue, à Londres (Angleterre).
- —- Ad Hoc {Pneumatiques).— Voir Passelac.
- — Ailedroo (pneu), 44, boulevard Haussmann,
- Paris.
- — Alberti, caoutchouc manufacturé, 12, rue d’En-
- ghien, Paris.
- — Alerte, {Pneumatique V), 76, rue Arago, à Pu-
- teaux (Seine).
- — Ancre (L’), protecteur antidérapant. — Voir
- Dutrieux-Lamelin, au Quesnoy (Nord).
- — Anthoine, fabrique de pneumatiques, 8, rue
- Legouvé, Paris.
- — Antipanne {L’), appareil pour réparer les pneu-
- matiques. — Voir Mestre et Blatgé, Paris.
- — Ara Material Patents et Mfg corporation,
- pneumatiques, 33, Chancery Lane, à Londres (Angleterre).
- — Arboucau, fabrique de pneumatiques, 45, rue
- de Belleville, Paris.
- — Atlantic {Pneumatiques). — Voir Giron, Paris.
- — Attila, protecteur démontable « Attila ». —
- Voir Durand (Ch).
- — Auto-Coll, dissolution pour pneumatiques. —
- Voir Billet, Paris.
- OIHNIA
- 20. rue Duret, PARIS
- Rédacteur en Chef : L. BAUDRY de SAUNIER
- est le meilleur journal d’automobile
- p.767 - vue 769/946
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-
- CLASSE 20
- 768
- PNEUMATIQUES
- pneu VOLCAN
- Antidérapant imperforable
- COMCOURS DE LH ROUE 1505
- F*rix unique
- ]
- !
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- Coupc du “ Matin ”
- 6 000 kilomètres, PREMIER PRIX
- P. BUGHILLET Bt G18, 4], rue St-Terdinand, P3FÎS.
- (Près l’avenue de la Grande-Armée)
- l____________________________________________________
- - Auto-Cycle (L.), vulcanisation il froid. — Voir
- Pérard, Paris.
- - Automatique (L’), chambre à air. — Voir Ducas-ble, à Neuilly-sur-Seine.
- - AUTOVULCANISATOR , la vulcanisa- |
- tion sur route. — Voir Le Roi/.
- - Avon India Rubber C°, pneumatiques, Melks-
- ham Wiltshire, (Angleterre). j
- — Austro - American India Rubber C°, Lti>, i
- pneumatiques, à Vienne (Autriche). !
- — Bandages démontables (Société Anonyme de
- Fabrication de), 23,boulevard. Saint-Cyr,Paris.
- — - Bande française. — Voir Verdon.
- ___ D A N 11 C C D C Voir Torrilhon et Cie,
- DHIlUCO D. O. il Clermont-Ferrand.
- — Bandes Kelly, 179, rue de la Pompe, Paris.
- — BANDE-GUÊTRE CONTINENTAL.
- — V oir Continental.
- — Barthelat, réparation de pneumatiques, 12, rue
- de Courcelles, à Levallois-Perret (Seine).
- — Bâtes, pneumatiques, à, Leicester (Angleterre).
- — Bayle (Ch.), agent général de North British
- Rubber C°, 183, quai Valmy, Paris.
- DIT fl II CT Pio pneumatiques, 171, cours DCflU Cl U , Lafayette, Lyon; et 19, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Belfoy et Simon, pneumatiques Pector, 68, rue
- de Villiers, à Levallois-Perret (Seine).
- — Belgian Rubber, pneumatiques, 70, rue Bol-
- linckx, è Bruxelles (Belgique).
- — Beretta, pneumatiques, 16, corso Vercelli, à
- Milan (Italie). |
- — BERGOUGNAN ET C1 £1" ?"
- ments), pneumatiques, bandes pleines pour poids lourds, à Clermond-Ferrand (Puy-de-Dôme) ; et 7, rue Villaret-de-Joyeuse, Paris.
- — Bergueiiand fils, caoutchouc manufacturé,
- 72, rue des Archives, Paris.
- — Berl (A.), pneumatiques Sinus, 11, rue des
- Trois-Bornes, Paris.
- — Berlyn, bandages de roues en caoutchouc, 27,
- rue Jean-Jacques-Rousseau, Paris.
- — Billet, accessoires pour pneumatiques, 6, rue
- de Braque, Paris.
- — Billet, Couverchel et Cie, enveloppes pneu-
- matiques, 131, avenue de Ncuilly, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Blot (Jules)) pneumatiques Le Paris, 10, rue
- Vallier, il Levallois-Perret (Seine).
- — Bobet, outillage pour la fabrication des pneu-
- matiques, 16, rue de Villiers, Paris.
- — BOLAND (A.) ET C1',
- tant, 52, quai Michelet, a Levallois-Perret (Seine).
- — Bonnet (C.), pneumatiques, 53, rue du Bois, à
- Levallois-Perret (Seine).
- — Bonzi et Cie, vente de pneumatiques «Polack»,
- 9, via Cappellari, il Milan (Italie).
- — Boutillier, tubes en étain pour dissolution de
- caoutchouc, 7, rue Barbés, à Montrouge (Seine).
- — Bouton Réparateur, pour les pneumatiques. —
- Voir Fléming et Cie, Paris.
- — Bozzi, Durando et Cie, pneumatiques, 5, via
- Unione, il Milan (Italie).
- Pneus LE GAULOIS
- Établissements
- BEBGOUGNAN et CI»
- i ClfitïOHT-FEMB (f.-fc-l.)
- p.768 - vue 770/946
-
-
-
- CLASSE 20
- PNEUMATIQUES
- — 769 —
- — Brasse, bandages élastiques métalliques, 45, rue
- Saint-Gervais, à Rouen (Seine-Inférieure).
- — Brébant et Cie, pneumatiques, 5, rue de Draveil,
- à Juvisy-sur-Orge (Seine-ct-Oise).
- — Brooke, pneumatiques à cloisons, à Denver
- (Colorado), Etats-Unis.
- — Bttrgess, roues caoutchoutées, 23, rue des Arts,
- à Levallois-Perret (Seine).
- — Byrider, Swinehart et C° (Amérique), ban-
- dages pneumatiques. — Voir Torrilhon.
- — Calmon {Alfred), pneumatiques, Hambourg
- (Allemagne) ; et 23, rue Ruhmkorff, Paris.
- — Caoutchouc durci et souple (compagnie du),
- Iianovre-Limmer (Allemagne).
- — Casassa (F. fils) et Cie, caoutchouc manufac-
- turé, à Pantin (Seine).
- — Cauchy {A.) pneumatiques, 28, rue de la Folie-
- Méricourt, Paris.
- — Chary (Bandages). — Voir Bandages démonta-
- bles.
- — Chauvin (L.), pneumatiques « Eurêka », 50, rue
- des Boulets, Paris.
- — ClÉmang, outillage pour la fabrication des pneu-
- matiques, 13, rue d’Hauteville, Paris.
- — CollièRE, pneumatiques, 24, rue Montrosier,
- Neuilly-sur-Seine (Seine).
- -- Colombian Rubber C°, Ltd, caoutchouc, 88, Bischopsgate, Londres (Angleterre).
- — Colonial Rubber, pneumatique « Colonial »,
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- pneumatiques, 17, Oostmolenwerf, Rotterdam (Hollande).
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- (Seine).
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- Saint-Ferdinand, Paris.
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- Paris.
- — Ducasble (Société de VAutomatique), bandages,
- 5, avenue du Roule, Neuilly (Seine).
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- UUIlLUr Matiques), 14, nie Piccini, Paris.
- — ÉCHARD, pneumatiques Clincher, 10, rue Bécou,
- à Courbevoie (Seine).
- — Eclair, valve de pneumatiques. — Voir Vadon,
- à Lyon
- — Eclair, (Usine P), réparations vulcanisées de
- pneumatiques, 24, rue de la Tuilerie, à Su-resnes (Seine).
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- pneumatiques « Gallus », 43, quai National, à Puteaux (Seine).
- — Egide, pneumatiques. — Voir Domange et fils. I
- - Elastès (Société française de Caoutchouc artificiel),
- 212, boulevard Péreire, Paris.
- — Electric, pneumatiques. — Voir Téléphones (Société Industrielle des), Paris.
- — Englebert fils et Cie, pneumatiques, 20, rue des Vennes, à Liège (Belgique).
- - Eole, pneumatique. — Voir Sternberg.
- CD ATA IUT («^*)> pneumatique. — Vo.r Bo-L. | H I H 11 I land et Cie.
- — Ergot, pneumatiques. — Voir Gorgeot, Paris.
- — Eurêka, pneumatiques. — Voir Chauvin (Louis),
- Paris.
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- (Allemagne).
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- Akron, Ohio (Etats-Unis).
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- Presbourg, Paris.
- Gallus, pneumatiques. — Voir Edeline.
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- Balmes, à Barcelone (Espagne).
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- — Gaulois Tyre Ltd, pneumatiques, 60, Great
- Marlborough Street à Londres (Angleterre).
- — Germain, caoutchouc, 27, rue de Bagnolet, aux
- Lilas (Seine).
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- Indiana (Etats-Unis).
- --- Gilbert Manufacturing C°, pneumatiques, à New-Haven Connecticut (Etats-Unis).
- — pIDID gonfleur. — Voir Grouvelle, Arquem-UIHIT , bourg et Cie.
- Gleason-Peters Air Pump C°, pompes, 181, Mercer street, à New-York, (Etats-Unis).
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- Parck, à Manchester (Angleterre).
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- — Goodyear Tire and Rubber C°, jante démon-
- table, Freedom street, à Akron, Ohio (Etats-Unis).
- — Gorgeot, pneumatiques « Ergot », 23, rue
- Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie, Paris.
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- taire, Paris.
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- Saint-Antoine, Paris.
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- Rivoli, Paris.
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- magne.) — Voir Vieuille.
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- d’Aboukir, Paris.
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- rue du Faubourg-Saint-Martin, Paris.
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- (Puy-de-Dôme).
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- Milan (Italie).
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- sière, Asnières (Seine).
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- de la Révolte, Levallois-Perret (Seine).
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- querie, Paris.
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- Waltersliausen (Duché de Saxe Cobourg-Gotha).
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- Ney, Paris.
- — Républic Rubber C°, pneumatiques, à Saint-
- Louis (États-Unis).
- — Rivière (Manufacture),toiles pour pneumatiques,
- à Rouen (Seine-Inférieure).
- — Robert (Cl.), réparations, 14, passage Moitrier,
- à Levallois-Perret (Seine).
- — Rossmann, pneumatiques, 38, rue Chariot, Paris.
- -- Rougeaux, pneumatiques, 7, rue üélidor, Paris.
- — Roumier, pneumatiques, 24, rue Nicolo, Paris.
- — Sanatorium Automobile, pneumatiques, 67 bis,
- rue Franklin, à Courbevoie (Seine).
- — Sans frères (Société), vulcanisateurs, 10, rue
- de l’Oasis, à Puteaux (Seine).
- — Sans-Valve (La), chambre à air, 39, rue Saintc-
- Croix-de-la-Bretonnerie, Paris.
- — Sartiaux (M.), pneumatiques, à Hénin-Liétard
- (Pas-de-Calais).
- — Savalle, pneumatiques, 23, rue Le Peletier,Paris •
- — Schœnfeld Erères, caoutchouc manufacturé1
- 16, boulevard de Srtasbourg, Paris.
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- Minière et Industrielle (Cie).
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- Paris.
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- Paris (Chenal, Douilhet et Cle).
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- Croix-de-la-Bretonnerie, Paris.
- — Stella, pneumatiques, — Voir Brunessaux.
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- ticut), Etats-Unis.
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- Lacoste et Cie, 28, boulevard de Strasbourg, Paris.
- — Union, pneumatiques. — Voir Peter.
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- Saint-Honoré, Paris.
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- Paris.
- — Veueinigte Berlin-Francfurter Gummi-Wa-
- ren Fabriken, pneumatiques, à, Francfort-sur-le-Mein (Allemagne).
- — VéÏhtas, pneumatiques. — Voir Vereinigte
- Berlin Francfurter Gummi Warcn).
- — Vezzoni (Ettore), pneumatiques, 51, via Torino,
- il Milan (Italie).
- — Vieuille (G.), pneumatiques «Metzeler», 4, rue Mandar, Paris.
- — Vuarchex (C.), valves de pneumatiques, à
- Scionzer (Haute-Savoie).
- — Vulcanizer C°, appareil à vulcaniser. — Voir
- Stich-in-Time.
- — Vulcanus, vulcanisateur rapide. — Voir Cou-
- turier.
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- — Babeiit (Louis) ET Cie, antidérapant, 12, rue
- des Jacobins, à Fontenay-le-Comte (Vendée)
- — Baccarat-Force, antidérapants « Econome »
- et réparations de pneumatiques, carrefour Pompadour, il Créteil (Seine).
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- DT il II /P \ CT pneus-cuir « Sans-
- DtttU £1 b , Peur », 171, cours
- Lafayette, Lyon ; et 19, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Becq (A.), mécanicien-constructeur, fabrique
- d’antidérapants, à Béziers (Hérault).
- — Bénard, fabrique de pneus-cuir Royatty, 25, rue
- Louis-Dory, au Pré-Saint-Gervais (Seine).
- — Bonmartini (De), fabrique d’antidérapants
- « Eurêka » et « Humbert », 48, via Coro-netta, à Milan (Italie). ,
- — Bouvier Frères, fabrique du protecteur anti-
- dérapant Bouvier, 51, rue du Tunnel, à Valence (Drôme).
- 3UCHILLET (P.) ET C“, ÏTSÆ
- Vulcan, 47, rue Saint-Ferdinand, Paris. César, antidérapants, 24, rue Préfontaine, Rouen (Seine-Inférieure).
- — Centaure (Le), antidérapants, 208, cours
- Gambetta, Lyon (Rhône).
- — Chameroy (E et A), antidérapants, route de
- Sartrouville, Vésinet (Seine-et-Oise).
- — Chauvel et Cie, cuirs au clirôme, à Coude-
- kerque-Branche (Nord).
- — Chrome Français (Société du), cuirs au chrôine,
- 42, avenue Larroumet, l’Hay (Seine).
- — Clerget (J.), antidérapants, 60, rue Sartoris,
- Garenne-Colombes (Seine).
- — Continental (Société), antidérapants « Roug
- Ferré », 146, avenue Malakofî, Paris.
- — Damas, antidérapants, 25, boulevard de la
- Saussaye, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Darnault, protecteurs antidérapante, Nauphle-
- le-Château (Seine-et-Oise).
- — Destenoit Aîné et Muron, antidérapante,
- Roanne (Loire).
- — Desjardin, antidérapante, 10, rue Saint-Pierre,
- Versailles (Seine-et-Oise).
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- Voltaire, Paris.
- — Dufour, antidérapants, 23, rue do la Cerisaie,
- Charenton (Seine).
- — Durand .antidérapants, 178, boulevard Pé-
- reire, Paris.
- — Durand Fils et Passot, cuirs chrômés, 39,
- rue de Château-Landon Paris.
- — Durandal(La) antidérapants, il Lécluse (Nord).
- — Dutrieux et Cie, protecteurs antidérapante,
- au Quesnoy (Nord).
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- Voir Mauvillier.
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- Fessoirat.
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- des Marais, Versailles (Seine-et-Oise).
- — Fibre-Cuir (de Grêgaud), antidérapants. — Voir
- Long (IF) Fils.
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- « Optima », 3, rue des Tanneries, à Roanne (Loire).
- — Fouilloy, protecteurs antidérapants, 14, rue
- Neuve-Popincourt, Paris.
- — Francia, antidérapants, 8, avenue Gambetta.
- à Courbevoie (Seine).
- — GÉNARD et Cie, antidérapants, 133, rue de la
- Pompe, Paris.
- — G. M. B., antidérapants, — Voir Ménégault-
- Basset.
- — mi IATL1 (Compagnie Française des An-uULIn I n tidérapants), 18, avenue de l’Alma, Paris.
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- Amand-les-Eaux (Nord).
- — Gouet, antidérapants, 32, rue Sorbier, Paris.
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- 88, Gold Street, à New-York (États-Unis).
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- genta, Paris.
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- — Houben, antidérapants, à Verviers (Belgique).
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- et Cie.
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- 52, rue du Faubourg-du-Temple, Paris.
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- Séverin, Paris.
- — Dezaunaud, housses pour automobiles, 205,
- boulevard Péreire, Paris.
- — Diosse, articles pour carrosserie, 12, chemin
- des Carrières, Paris.
- DRESCHER (WILLY), ^T.“»
- des Mathurins, Paris.
- — Ducrot Frères, quincaillerie, 46, rue du
- Hocher. Paris.
- — Durer sn adt Métallwarenfabkik, ferrures,
- Esslingen, Wurtemberg.
- — Durand, Giroux et Cie, vernis, 128, rue Saint-
- Martin, Paris.
- — Duroüx et Cie, vernis, 23, rue Delizy, Pantin
- (Seine).
- — Dutilloy et Chennevière, garnitures de car-
- rosserie, 35, rue Sedaine, Paris.
- — ËLEVATOR THOMAS, ETS™
- la caisse des automobiles. — Voir Mathieu, Paris.
- — Escalard, glaces pour carrosserie, 79, avenue
- des Ternes, Paris.
- — Eschmann et Cie, vernis pour la carrosserie
- « Standard », à Puteaux,(Seine), rimnr CT P A PA N pièces détachées lAUnt tl uAbUll, pour carrosserie, 17, chemin Combe-Blanche, à Lyon (Rhône).
- — Favre, vernis pour la carrosserie, 2, rue des
- Sept-Arpents, au Pré-Saint-Gervais (Seine).
- — Ferron, vannerie, 3, passage du Buisson-Saint-
- Louis, Paris.
- — Fontaine, plaques gravées, 17, rue des Filles-
- du-Calvaire, Paris,
- — Fournier, Ostertag et Le Boulengeu,
- étoffes et cuirs, 3 rue Taylor Paris.
- — Garnier, graveur de plaques, 8, rueFontaine-
- au-Roi, Paris.
- — Gautier-Bouchard, vernis pour carrosserie,
- quai du Canal-Saint-Denis, à Aubervilliers (Seine).
- — Gautier et Cie, menuiserie pour carrosserie,
- 43, rue Kléber, à Levallois-Perret (Seine).
- — Gillet, ferrures, 167, boulevard de la Villette,
- Paris.
- — Giry, paniers, 35, rue Vaneau, Paris.
- — Godon et Breton, plaques, 29, avenue de la
- République, Paris.
- — Güanzixi, paniers, 15, avenue Parmentier, Paris.
- — Gueury, ferrures et cuivrerie, 1, rue de la Ro-
- quette, Paris.
- — Guigou, gainerie, 21, rue du Cherclie-Midi, Paris.
- — Guillery et Cie, quincaillerie, 104, quai Jem-
- mapes, Paris.
- — Guittet, vernis, 2, cité Paradis, Paris.
- HAGUENAUER AÎNÉ 11
- sérié, 55, rue Bichat, Paris.
- — Harland (W.) et Son, vernis, 29, rue Duret,
- Paris.
- — Hartog (Etaidissements Georges), vernis, 16,
- rue de Londres, Paris.
- — Hédin, vernis, 3, rue Saint-Nicolas, Paris.
- HËNON (ALBERT) FILS,
- Cons-la-Grandville (Ardennes).
- UriUnN üùtüüC ferrures *(marque H, ri EL 11 U Pi r ntnto, F.), à Cons-la-Grand-ville (Ardennes).
- — Henry, menuisier, 67, boulevard de Courcelles
- Paris.
- — Hochon, vannerie, 10, rue Pierre-Lescot, Paris
- — Holden et Fils, cuirs, 18, rue Caumartin, Paris
- — Holden and Sons, vernis, à Birmingham (An-
- gleterre).
- HORSTIYIANN FILS,
- Saint-Maur, Paris.
- — Jarre, vannerie pour automobile, 10, rue Saint-
- Spire, Corbeil (Seine ev-Oisc).
- — Jean, plaques émaillées, 137, rue du Faubourg
- Poissonnière, Paris.
- — IvORN, ferreui, 12, impasse Laugier, Paris.
- — Laeon 'Veuve T.), cuivrerie, 4, passage Moulin,
- Paris.
- — Lallement (Établissements ressorts, 13,
- rue Ambroise-Thomas, Paris.
- — Lange, métaux planés, 1, boulevard Voltaire
- Paris.
- — Laurent-Colas , ferrures, Bogny-sur-Mcuse
- (Ardennes).
- — Ledoüx, accessoires, 44, rue Laugier, Paris.
- i rrn h un pt pu> couleurs et vernis. LErnANb bl L , 18, rue de Valois,
- Paris.
- — Levacher, vannerie, 130, route de Fontaine-
- bleau, Kreml n-Bicètre (Seine).
- — Leverbe, ferrures, 188, rue du Faubourg-Saint-
- Martin, Paris.
- — Lévy Finger (Les fils de), couleurs, Dugny
- (Seine)
- — Lewis, Berger et sons, vernis, 14, rue Mallier,
- Paris.
- — Lynéel et Cie, plaques gravées, 114, rue Ober-
- kampl, Paris.
- — Maroilles (Société de), cuirs, Maroilles (Nord).
- — Martinet, accessoires de carrosserie, 29, rue
- des Petites-Écuries, Paris.
- — Martinet (Léon), pièces estampées, Mézières
- Aidenn s).
- __ MAT U IC II vente de VElevator Thomas,
- ITIH I riIELU, 18, rue Saint-Ferdinand, Paris.
- — Merville et Morgan, venus, 65, rue des Cités,
- Auberviliiers (Seine).
- — Mettez (Veuve), toiles pour housses, 5, place
- de l’Hôtel-de-Ville, Paris.
- — Meyer et Hürand, venus, 96, rue des Frères-
- Herbert, Levallois-Perret (Seine).
- — Meyercoud C°, décalcomanie, 66, avenue de
- la République, Paris.
- __ fyi a r\r pt pio signaux avertisseurs lu-
- Ivl IL U C L I b , milieux, 60, rue Desre-
- naudes, Paris.
- — Million, drap do carrosserie, 36, rue de Bondy,
- Paris.
- — Million (René), ferrures, 14, rue Per ’onnet, Paris.
- — Miroir 1’« Avertisseur ».— Voir Béziel et Ribot.
- — Morin, bois cintrés, Mohon (Arden.ies).
- — Morin, papiers d’emballage, 74, rue de Ver-
- rerie, Paris.
- — Murphy Varnish C°, vernis, 31, ru de Neuilly,
- Clichy (Seine).
- — Nain, peinture, 38, rue Brunul, Paris.
- — Noël, plaques 99 rue du Faubourg-Stinl
- Honor*, Paris.
- — Nougein et Barbie, glaces, 24, rue de Charen-
- ton, Paris.
- — Pantasote Company, cuir, 11, Broadway
- New-York (États-Unis).
- Prière de lire avec soin
- La Préface>.*, noies imporiaaies du présent volume
- p.781 - vue 783/946
-
-
-
- CLASSE 23
- CLASSE 2/f
- --782 ----
- — Pastorine (La), vernis, 15, rue Bleue, Paris.
- — PÉCHARD, menuisier en voitures, 9,rue Grefïullie,
- Levallois-Perret (Seine).
- — Petitpas et Mesaize, cuivrerie spéciale pour
- carrosserie, 3, rue Rameau, à Versailles (Seine-et-Oise).
- — Picard frères, quincaillerie, 4, rue Saint-
- Sauveur, Paris.
- — Pinel, ferrures, 105, rue d’Aboukir, Paris.
- — Pletsier, vannerie, 4, rue Malar, Paris.
- — Plisson, bâches, 37, rue de Viarmes, Paris.
- — Poursin et Ci0, quincaillerie, 35, rue des Vinai-
- griers, Paris.
- -- Prioux, tissus, 46 rue de l’Échiquier Paris.
- — Ranglart frères et Contenot, vernis, 2,
- avenue de Paris, à la plaine Saint-Denis (Seine).
- — Ranty Biiunet et Cie, cuirs, 14, rue de Lan-cry, Paris.
- — Renault et Husson, ferrures, à Joigny-sur-
- Meuse (Ardennes).
- — RhÉal, produit hydrofugc pour caisses d’auto-
- mobiles, 93, rue de la Victoire, Paris.
- — Ripolin {Le), peintures laquées, 7, place de
- Valois, Paris.
- — Rolland, vannerie, 24, rue Pierre-Lescot, Paris.
- — Roüttand (//.), vernis, 16, rue du Bourg-
- Tibourg, Paris.
- - Saint Frères, housses, 34, rue du Louvre, Paris.
- SAINT-GOBAIN-CHAUNY ET Cl
- nry (Société Anonyme de), glaces pour ntl carrosserie, 1, place des Saussaies Paris.
- Soldati, maroquinerie, 141, rue de Vennes, à Liège (Belgique).
- — Soulier, articles pour carrosserie, 9 Ms, rue
- Gravel, à Levallois-Perret (Seine).
- ~ Tassel et Racine, crins pour carrosserie, 46, rue Montorgueil, Paris.
- Tiiommeret, vernis, 25, rue Hoche, â Pantin (Seine).
- — Touzet, cuivrerics, 144, rue Saint-Maur, Paris.
- — Vigier ainè, tapis, brosses, 36, rue de Constan-
- tinople, Paris.
- — Walter et Delacour, ferrcurs en voitures, 7, impasse des Deux-Cousins, Paris.
- — Wandlaincourt, vannerie, 5, rue du Château-d’Eau, Paris.
- CLASSE 24
- TRANSPORTS & EMBALLAGES
- — American express C°, transport d’automobiles, 11, rue Scribe, Paris.
- — Dübar et Moteley, emballages, 6 et 7, rue d’En-
- ghien, Paris.
- rniUnDANn CDCDCC (Société anonyme “ UUnUnHPIU rntnto Internationale de transports), 22, rue de la Douane, Paris.
- —- Guignan frères, transports d’automobiles, lt \ rue de ltocroy, Paris. . i
- — Johson (Henri), et Sons, transports d’auto. 1
- mobiles, 24, rue Saint-Vincent-de-Paul, Paris- i
- — Payssé, emballages, 7, rue Martel, Paris. I
- PITT ET SCOTT C", LTD, Ï13K
- biles, 47, rue Cambon, Paris.
- — THIERCELIN AÎNÉ ET BOISSÉE,
- emballages d’automobiles, 40, rue Laugier. Paris.
- — Transports Internationaux (Compagnie de),
- transports d’automobiles, 84, rue d’Haute-ville, Paris.
- — Villien, emballage, 54, rue des Vinaigriers,
- Paris.
- CLASSE 25
- COMMERCE AUTOMOBILE
- Commissionnaires. — Ecoles de chauffeurs. — Garages. — Location d’automobiles. — Occasions.— Réparations. — Transformations, etc.
- — Aiîadal, garage, 345, Consejo de Ciento, à Barcelone (Espagne).
- — Abraham, garage, 8, rue de Hantes, à Saint-
- Nazaire ( Loire-Inférieure).
- — Ace (Motor Engineering Works), garage, à
- Tenby (Angleterre).
- — Addor et Cie, commerce d’automobiles^ à Cou-
- valoup-Lausanne (Suisse).
- — Adland Motor C°, vente d’automobiles Lambert,
- 900 W. Madison Street, à Chicago (Etats-Unis).
- — Adler Faiirrad'wekke, vente d’automobiles
- Adler, 44, Warkgrafenstrasse, â Berlin (Allemagne).
- — Adoue, garage, avevnuc d’Alsace, à Auch (Gers).
- — Adrian, vente d’automobiles, 25, Hoosikadé, à
- la Haye (Hollande).
- Agence Américaine, vente d’automobiles, 3, rue Scribe, Paris.
- — Agence Centrale d’automobiles, vente de
- voitures Renault frères, 14, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Agence commerciale d’automobiles du Nord,
- garage, 1, rue du Four-à-Chaux, à Calais (Pas-de-Calais).
- — Agence Cormier. — Voir Cormier et Codoni.
- — Agence générale de l’Industrie automobile
- (A. G. I. A.), vente d’automobiles, 4, avenue Mac Mahon, Paris.
- AGENCE GÉNÉRALE DES AUTO-
- n/lfïDII CC Charron, Girardot et Voigt, IVlUblLCO 45, .avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Agence Internationale d’automobiles, vente
- d’automobiles, 45, rue Lafitte, Paris.
- — Agence Internationale de i/automobile.
- vente d’automobiles, 25, rue Lezyno, à Varsovie (Russie).
- — Agence Panhard-Levassor, 35, rue de la Paix,
- à Nice (Alpes-Maritimes).
- — Agence Parisienne, vente d’automobiles,
- 11, rue Galvani, Paris.
- GLADIATOR 1907
- 4 TYPES
- 14, 18, 24 et 30-35 chevanx
- 4 ET 6 CYLINDRES
- p.782 - vue 784/946
-
-
-
- CLASSE 20
- — <j83 --- COMMENCE AUTOMOBILE
- - AGENCE RENAULT, ISftVSÆ
- (Alpes-Maritimes).
- AGENCE RENAULT,
- (Bouches-du-Rhône).
- — Agence Universelle d'automobiles, com-
- merce d'automobiles, 140, rue du faubourg Saint-Honoré, Paris.
- — A. G. I. A. — Voir Agence générale de VIndustrie
- Automobile.
- — Agostinelli, garage, 33, via Palestro, à Home
- (Italie).
- — A G R Y, vente d’automobiles, 28, rue des Arènes
- à Agen (Lot-et-Garonne).
- — Ailloud-Barret, garage, 8, cours Berriat, à
- Grenoble (Isère).
- — Ailloud et Dumond frères, garage, 7, rue
- Duhamel, à Lyon (Rhône).
- — Ainardi Romano et Cie, commerce d’automo-
- biles, II, via San-Sccondo, à Turin (Italie).
- — Aix-les-Bains (Grands garages d’), avenue de la
- Gare, a Aix-les-Bains (Savoie).
- — Aliîany Hardware and Iron C°, vente d’auto-
- mobiles, à Albany (N.-Y.), (Etats-Unis).
- — Albaret, garage, à Audierne (Finistère).
- — Alberti, vente d’automobiles, 8, Porto Nuovc,
- à Florence (Italie), et 54, via Flamina, à Rome.
- — Albre et Cie, garage, 46, rue Casseneuil, à
- Villeneuve-sur-Lot (Lot-et-Garonne).
- — Alessin, garage, 12, strada Sfonta Vineri, j\
- Bucharest (Roumanie).
- — Alessio, vente d’automobiles, 10, via Orto
- - Botanico, à Turin (Italie).
- Alizon, garage, 72, rue du Bourg, à Dijon (Côte-d’Or).
- — Allen Halle And C°, vente d’automobiles, 60,
- Wall Street, à New-York (Etats-Unis).
- - Allier et Boniol, garage, place de la Révolution, à Nîmes (Gard).
- -- Alnwick Motor Garage, vente d’automobiles, Bondgate Street, à Alnwick (Angleterre).
- A. M. (ÉCOLE DE CHAUFFEURS).
- Voir Maïeville,
- A M A M 11 vente d’automobiles « Pilain »,25, fl lll A 11 U, avenue de Wagram, Paris. Amblard (Garage), commerce d’automobiles, 4, rue de Bordeaux, à Tours (Indre-et-Loire).
- — Ambulances automobiles, 28, rue Serpente,
- Paris.
- — Ambulance Métropolitaine, voitures auto-
- mobiles pour malades, 30, rue de Châteaudun, Paris.
- — American Auto Storage C° vente d’automo-
- biles, 40, W. 60 th, Street, à New-York (Etats-Unis).
- AMERICAN GARAGE
- mobiles, 54, avenue Montaigne, Paris.
- —- André et Latierre, vente d’automobiles, 6, rue Poisson Paris.-
- — Andrew and C°, garage, 10, Athenaeum place
- il Plymouth (Angleterre).
- — Andrillon, garage, 21, cours Lieutaud, à Mar-
- seille (Bouches-du-Rhône).
- — Andrü, vente de motocyclettes, 10, rue Saint-
- Quentin, Paris.
- — Angkr (Ernest), mécanicien, commerce d’auto-
- mobiles, Oued-el-Kilaï, El-Biar (Algérie).
- — Anglo-American Motor Car C°, Ltd, vente
- d’automobiles, 10, Heddon strect, regent Street, à Londres (Angleterre).
- — Anselme, garage, 80, rue de Paris, il Auxerre
- (Yonne).*
- — Ansermier, garage, rue de Lausanne, à Genève
- (Suisse).
- — Antoine, garage, 8, rue de la Rochelle, à Bar-le-
- Duc (Meuse).
- — Anton Rutgers et C°, vente d’automobiles,
- 55, Hoclistrasse, Aix-la-Chapelle (Allemagne).
- — AntonÏetti et Ugonixo, garage, 1, corso Val-
- docco, à Turin (Italie).
- — Anvers (Atelier-garage d’), vente d’automo-
- biles, 26, rue Jésus, à Anvers (Belgique).
- — Apprato, garage, rue Montpensier, à Pau (Basses-
- Pyrénées).
- •— Araou frères, garage, avenue du Capitole, à Narbonne (Aude).
- — Arbin, garage, 23, avenue de la République,
- à Meaux (Seine-et-Marne).
- — Argus Motor C°, garage, 3, Grosvenor street, à
- Hull (Angleterre).
- — Argylls, garage, 102, Grafton strect, à Dublin
- (Irlande).
- — Arnaud, garage, 8, rue du Marché-Neuf, à
- Arles (Bouches-du-Rhône).
- — Arnaud, garage, 10, rue de la Halle, à Bourgoin
- (Isère).
- — Arnaud, garage, 7 ,rucCarnot,à Poitiers(Vienne).
- ARROL JOHNSTON , 92, Mitchell strict,
- h Glascow (Angleterre).
- — Aiitigalas, garage, 67, boulevard Gambetta, à
- Cahors (Lot).
- — Ateliers de la gare, vente d’automobiles,
- avenue de ht Gare, à Montnrgis (Loiret).
- —- Atkinson and C°, garage, 41, Aire street, à Leeds (Angleterre).
- — Atkinson and Griffen, garage, à Kendal
- (Angleterre).
- — Atkinson and Sons, garage, North Road, à
- Lancaster (Angleterre).
- — Aubard, garage, 15, rue des Arènes, à Bourges
- (Cher).
- — Aubert, garage, 15, place de l’Eperon, Le
- Mans (Sarthe).
- — Aubert-Leroy, garage, 40, rue Saint-Sauveur,
- à Péronnc (Somme).
- — Aubry, garage, place de l’Eglise, à Bonneval
- (Eure-et-Loir).
- — Augereau, garage, cours Chazellcs, à Lorient
- (Morbihan).
- — Augis, garage, 261, rue Judaïque, à Bordeaux
- (Gironde).
- — Aunay, garage, place de la Cahotte, à Trouville
- (Calvados).
- — Austin, vente d’automobiles, à Chelmsford
- (Angleterre).
- — Auto-Alliance, vente d’automobiles, 39, Untcr
- den Linden, à Berlin, (Allemagne).
- — Auto-Bourse, vente d’automobiles, 94, bou-
- levard de Clichy, Paris.
- — Auto-Car, garage boulevard Jean-Hébert, à
- Cannes (Alpes-Maritimes).
- — Auto-Car, garage, 176, cours Lieutaud, à Mar-
- seille (Bouches-du-Rhône).
- — Auto-Car, garage, Promenade des Anglais, à
- Nice (Alpes-Maritimes).
- — Autooommerciàle (Societa Generale), vente d’au-
- tomobiles, à Turin, (Italie).
- — Auto-Comptoir, garage, 6, rue Pergolêse, Paris.
- — Auto-Ecole, 94, boulevard de Clichy, Paris.
- — Auto-Excursion, vente d’automobiles, 4, bou-
- levard Bineau, Paris.
- — Auto-Garage, garage, 11, rue Bergère, Paris.
- — Auto-Garage, vente d’automobiles, 49, rua
- Marquez d’Avila et Boloma, à Covilhâ (Portugal).
- — Auto-Garage, vente d’automobiles, 22, rue
- Genissieu, ii Grenoble (Isère)*
- AUTO-STAN
- 20, rue Duret, PARIS
- AUTOMOBILES
- de DION-BOUTON et MOTOBLOC
- p.783 - vue 785/946
-
-
-
- CLASSE 2,5
- COMMENCE AUTOMOBILE
- 784 -
- — Auto-Garage, vente d’automobiles, à Palerme
- (Sicile).
- — Auto-Garage, vente d’automobiles, 70, boule-
- vard Henri-Martin, à Saint-Quentin (Aisne).
- AUTO-GARAGE BRUXELLOIS,
- garage et voitures Pipe, 18, place du Châ -telain, à Bruxelles (Belgique).
- — Auto-Garage des Facultés, vente d’auto-
- mobiles, 42, quai de la Charité, à Lyon (Rhône).
- — Auto-Garage Moderne, vente d’automobiles,
- place d’Armes, a Caen (Calvados).
- AIITA PTNITDAI ET garage,1 commerce H U I U utn Ln/ALL, de voitures automobiles, réparations, 16, rue Duret, Paris,
- — Auto-Hall, garage, 30, rue Guersant, Paris. 1
- — Auto-Import, vente d’automobiles, 1786 Broad-
- way, à New-York (Etats-Unis).
- — Auto-Location, location d’automobiles, 8, rue
- Saint-Florentin, Paris.
- — Auto-Madrid-Garage, vente d'automobiles, a Madrid (Espagne).
- — Autohobiel Import C°, vente d’automobiles, à Nimègue (Hollande).
- — Automobil A. G., garage, Utoquai, à Zurich
- (Suisse)
- — Automobil Aktien Gesellschaft, vente d’au-
- tomobiles, 68, Zurichstrasse, à Lucerne (Suisse).
- — Automobile Accessories, vente de pièces dé-
- tachées, 55, Warren street, a New-York (Etats-Unis).
- Automobile Agency, vente d’automobiles, 163, avenue Victor-Hugo, Paris.
- — Automobile-Centrale, garage, 36, Tauentzien-strassc, à Breslau (Allemagne).
- — Automobile Ecole, garage, 48, rue Saint-Fer-
- dinand, Paris.
- — Automobile Exchange and Storage c°, vente
- d’automobiles, 133, West 38 tli. street, à New-York (Etats-Unis).
- — Automobile-Garage, vente d’automobiles, 45,
- via XX-Settembre, à Gênes (Italie). Automobile-Office, vente d’automobiles, 40, rue Saint-Ferdinand, Paris.
- — Automobile-Office, 28, rue Fontaine, Paris.
- — Automobiles Commerciales {Société des), 39,
- rue La Boëtie, Paris.
- — Automobile-Union, garage et automobiles, 39,
- avenue des Champs-Elysées, Paris.
- — Automobilista (Societa), vente d'automobiles,
- 5, via san Pietro, à Padoue (Italie).
- — Automobiliüm, vente d’automobiles, 2, Dres-
- denerstrasse, a Leipzig (Allemagne).
- — Automobiliüm, vente d’automobiles, 66, avenue
- de la Grande-Armée, Paris.
- — Auto-Occasion [L'), vente d’automobiles, 19,
- avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Auto-Office, commerce d’automobiles, 65,
- avenue d’Antin, Paris.
- — Auto-Palace, vente d’automobiles, piazza
- Sannazzaro, à Naples (Italie).
- i|Tf| DAI APC anonyme), com-
- AU I IrrALAliC merce d’automobiles, garage, réparations, transformations, 77 bis, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Auto-Palace, garage, 4, rue Meyerbeer, à Nice
- ( Alpes-Maritimes ).
- — Auto-Palast, garage, 64, Kaiserstrasse, à
- Francfort-sur-ie-Mein (Allemagne).
- — Auto-Sports, vente d’automobiles, 71, avenue
- de la Grande-Armée, Paris.
- il ta iiin garage, vente, réparations “AUI U~0 I Ali U, et transformations d’automobiles, 20, rue Duret, Paris.
- Auto-Transport <IS), vente de voitures électriques, 110, rue du Bois, à Levallois-Perret.
- Auto-Vélo {Société), vente d’automobiles et de cycles, 5, rue Poisson, Paris.
- Auxiliaire-Automobile (2/), vente d'automobiles, 43, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- Avenue du Bois [Garage de V), 1, rue Marbeau, Paris.
- Ayliffe and Sons, garage, Paradise place. Queen street, à Cardiff (Angleterre).
- Aymard, garage, boulevard de la Liberté, à Aubenas (Ardèche).
- PARI HT 8ara8e (voitures Berliet), 170,
- KjADLU I , cours Lieutaud, à Marseille (Bouches-du-Rhône).
- Bachem, garage, 6, Coblenzerstrasse, à Bonn (Allemagne).
- Bachmann, garage, 43, rue de la Xavée, a Rcmi-remont (Vosges).
- Badertsciier und C°, vente d’automobiles, Stadelhoferplatz, à Zurich (Suisse.
- Bagros, garage, 5, rue du Pont, à Triel (Seine-et-Oise).
- Bailey, garage, Lichfield ltoad, à Stafford (Angleterre).
- Bale and C°, garage, Ncwport Road, à Barns-taple (Angleterre).
- Bangham, garage, Cecil square, à Margate (Angleterre).
- Bancs, vente d’automobiles, 801, Boylston street à Boston (Etats-Unis).
- Banque automobile [La], 47, boulevard Hauss-mann, Paris. — Succursale, 16, avenue Mas-séna, à Nice.
- Banque [Garage de la), vente d’automobiles, 6, rue Monsigny, Paris.
- Baras, vente d’automobiles, 13, rue de Reuilly, Paris.
- Baudin, garage, 8, quai National, à Gien (Loiret).
- Barras, vente d’automobiles, 13, rue de Reuilly, Paris.
- Barret-Dalégiie, garage, avenue Marmontel, à Ussel (Corrèze).
- Barthélemy, vente de motocyclettes, a Laroche (Luxembourg Belge).
- Basseau, garage, à Vannes (Morbihan.
- Bassoli [Carlo), vente d’automobiles, à Bologne (Italie).
- Bastaert. vente d’automobiles, 124, rue La-fayette. Paris.
- Bastide, garage, 49, place Chapelle-de-Jaude, a Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- Baüchet, vente d’automobiles, au Moulin-des-Isles, à, ltethel (Ardennes).
- Baud, garage, boulevard de Strasbourg, a Saint-Omer (Pas-de-Calais).
- Bay State Auto C°, vente d’automobiles, 1008, Boylston street, a Boston (Etats-Unis).
- Bayard (vente d'automobiles), 10, rue des Pyramides, Paris.
- Bazélis, garage, 2, place Lafayette, à Rouen (Seine-Inférieure).
- Beauclair, garage, 15, place d'Armes, à Vendôme (Loir-et-Cher).
- Beaudet, garage, rue d’Angentan, à Falaise (Calvados)
- Beaulieu und Krone, vente d’automobiles Solidor, 9, Schonebergerstrasse, a Berlin (Allemagne).
- Beaunée, garage, 4, rue de la Gare, a Vesoul (Haute-Saône).
- Beaurain, garage, 2, place des Pavillons, à Gournay-en-Bray (Seine-Inférieure),
- Beauvalet et Cie, garage, 31, praçados Res-taurados, a Lisbonne (Portugal). 1
- Bébéli et Cie, garages, 34, rue d'Aubuisson, à Toulouse (Haute-Garonne).
- AUTO-GÉNÉRALE J, SALLERON l.
- 16, rue Duret — PARIS Dirbctsuh panhtrd-Lemsor, Mort
- p.784 - vue 786/946
-
-
-
- CLASSE 2 b
- COMMERCE AUTOMOBILE
- — 785 ----
- — Bec, garage, à Villers-sur-Mcr (Calvados).
- — Beck, garage, 3 quai Lamartine, â Bennes (Ile-
- et-Vilaine).
- — Bécue, vente d'automobiles, 12, rue Macarani
- à Nice (Alpes-Maritimes).
- — Bedouelle-Voisin, garage rue Choron, cours
- Sadi-Carnot, à Caen (Calvados).
- — Beissbarth, vente d’automobiles, 4, Sonnen-
- strasse, à Munich (Allemagne).
- — Bekenn, garage, 34, Kaiserstrasse, à Brême
- (Allemagne).
- — Bel, garage, place de la République, à Castres
- (Tarn).
- — Bellamar y C°, vente d’automobiles, à Ma-
- drid (Espagne).
- — Bellanger (Robert), vente d’automobiles,
- 25, rue Marbeuf, Paris,
- — Bellard et Cie, garage, place du Pont, à Trou-
- ville (Calvados).
- — Bellavoine, garage, 20, rue Porte-Lucas, à
- Epernay (Marne).
- — Bellecour-Palace, commerce d’automobiles,
- 19, place Bellecour, à Lyon (Rhône).
- — Bellevoye, garage, 76, place de l’Hôtel-de-
- Ville, à Beauvais (Oise).
- — Bellière, garage, rue Malherbe, â Beauvais
- (Oise).
- — Bence, vente d’automobiles, boulevard Bertrand,
- à Caen (Calvados).
- — Benech, garage, 20, rue Dollée, à Saint-Lô
- (Manche).
- — Bennett, vente d’automobiles Baker Electrics
- 267, Greene avenue, à Brooklyn (États-Unis).
- — Bennett and Carlisle, vente d’automobiles,
- 229, Deansgate, à Manchester "(Angleterre).
- — Benoist, vente d’automobiles, 257, boulevard
- Pereire, Paris.
- — Benoist (ch. de) et F. Hanché, commission
- et exportation automobile, 24, rue de Milan, Paris.
- — Benoit et Gros, Auto-Garage du Nord, vente
- d’automobiles, 74, boulevard du Nord, Lyon (Rhône).
- — Benz et C°, vente d’automobiles, 55, Kronen-
- strasse, à Berlin (Allemagne).
- — Bérail, vente d’automobiles, garage, 58, rue
- Victor-Hugo, à Tarbes (Hautes-Pyrénées).
- — Berg (G. H.), vente d’automobiles Berkshire,
- 8, Motor Mart, à Boston (États-Unis).
- — Berger garage, 96 bis, rue de Paris, il Villeneuve-
- Saint-Georges (Seine-et-Oise).
- — Bergmann et Bender, vente d’automobiles,
- 60, Berlinerstrasse, à Elberfeld (Allemagne).
- — Bérioux Frères, vente d’automobiles, rue
- Blatin, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- — Berlato, garage, vente d’automobiles, 12, rue
- Gioffredo, à Nice (Alpes-Maritimes).
- — Eerliner Auto-Compagnie, marque B. A. C.,
- vente d’automobiles, 3, Chausseestrasse, à Berlin (Allemagne).
- — Bernadat, garage, 41, rue de Paris, à Maisons-
- Laffitte (Seine-et-Oise).
- — Bernard, garage, 49, avenue Victor-Hugo, à
- Valence (Drôme).
- — Bernay, Jeune et Cie, Garage Central, avenue
- de la Gare, à Autun (Saône-et-Loire).
- — Beriiardt et C°, garage, vente d’automobiles,
- Sportplatz, à Dresde (Allemagne).
- — Bernier, garage, vente d’automobiles, 30,
- quai Duquesne, à Dieppe (Seine-Inférieure).
- — Bernin et ses Fils, garage, carrosserie auto-
- mobile, 82, rue Victor-Hugo, à Tours (Indre-et-Loire).
- — Bernoni, vente d’automobiles, à Mantoue (Italie)
- — Bernoni, garage, 30, portici Borletto, à Padoue
- (Italie).
- — Bertaux et Cie, garage, 55 bis, boulevard
- Saint-Germain, Paris.
- — Berte, vente d’automobiles, avenue de la Madone, à Menton (Alpes-Maritimes).
- — Bertèche, garage, 42, rue du Change, à Vendôme (Loir-et-Cher).
- — Berthaud, Foillard et Cle, commerce d’auto-
- mobiles, 24, rue de la Part-Dieu, à Lyon (Rhône).
- — Bertheau, garage, 27, rue de Strasbourg, à
- Nantes (Loire-Inférieure).
- — Berton, vente de motocyclettes et d’auto-
- mobiles, à Saint-Cyr (Var).
- — Bertrand, garage, vente d’automobiles, 10
- quai du Nord, à Mâcon (Saône-et-Loire)'
- — Bertrand, garage du Grand-Hôtel, à Cabourg
- (Calvados).
- — Besle, garage ,rue d’Austerlitz, â Saint-Arnaud
- (Cher).
- — Besse-Bergier, garage, place de la Nation, à
- Vichy (Allier).
- — Bessler, garage Philosophenweg, à Cassel
- (Allemagne).
- — Beugnot, vente de motocyclettes, 25, rue
- Stanislas, à Nancy (Meurthe-et-Moselle).
- — Beulin, garage, 24, avenue du Bois, à Abbeville
- (Somme).
- — Beunza (Vve) et Fils, vente d’automobiles,
- 134, rue du Faubourg-Saint-Martin, Paris.
- — Béziers-Automobile, vente d’automobiles, ga-
- rage, à Béziers (Hérault).
- — Biase (de), vente d’automobiles, 283, via Roma,
- à Naples (Italie).
- — Bidault (A.), (Agence générale Belge des pneumatiques Michelin), fournitures générales, 54, rue de Spa, à Bruxelles (Belgique).
- — Bielefelder Maschinenfabrik, vente d’auto-
- mobiles Durkopp, 70, Unter den Linden, à Berlin (Allemagne).
- — Binet, garage et vente de motocyclettes, 19,
- rue Victor-Hugo, Tours (Indre-et-Loire).
- — Bini et Cie, vente de phares Ducellier, 4, via
- Pantano, à Milan (Italie).
- —* Birmingham Motor Car C°, vente d’automobiles 206, Corporation street, â Birmingham (Ange terre).
- — Bissonnet, garageu, vente d’atomobiles, â
- Mantes (Seine-et-Oise).
- — Bitaille, garage, 20, boulevard Gambetta, â
- Charleville (Ardennes).
- — Blake C°, vente d’automobiles, 15, Hawkins
- Street, à Boston (États-Unis).
- — Bloch (Julien E.)> commerce et importation
- d’automobiles françaises, 250 W. 84 th. Street, à New-York (États-Unis).
- — Blondel, garage, 6, rue Thiers, à Arras (Pas-
- de-Calais).
- — Blondel, garage, 33, boulevard Baraban, à
- Amiens (Somme).
- — Blondel, garage, rue de la Plage, à DinarJ
- (Ile-et-Vilaine).
- — Blumel et Reder, garage, vente d’automobiles,
- 12, Tauenzienplatz, à Breslau (Allemagne).
- — Bob Walter (Mlle), garage et location d'auto-
- mobiles, 156, avenue Malakoff, Paris.
- — Bochumer Metallwaren Jabuk, vente d’au-
- — mobiles, Johanniterstrasse, à Bochum (Allema-
- gne).
- — Boige, garage, 17, rue de Lyon, Paris.
- — Bois de Boulogne (Garage du), vente d’auto-
- mobiles, 19, rue Duret, Paris.
- — Boissaye, vente d’automobiles, 20, rue de
- Tilsitt, Paris.
- — Boisseau, garage, 8,rue Colbert,â Troyes(Aube),
- — Boisset, garage, 20, cité Industrielle, à Mont-
- pellier (Hérault).
- LORRAINE-DIETRICH
- - AUTO-PALACE -
- 77 bis. Av. de la Gde-Armée, PA^IS - TéL 524—27
- iO
- p.785 - vue 787/946
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-
- CLASSE 25 -- 786 --- COMMERCE AUTOMOBILE
- — Boisson {Robert), garage, vente d’automobiles,
- cours Dupont, jiux Sables-d’Olonne (Vendée).
- — Bolton Motor C°, garage, 119, Saint-George’s
- Road, à Bolton (Angleterre).
- — Bompard, garage, fabrique de moteurs, 63, rue
- Séguier, à Nîmes (Gard).
- — Bon, garage, 70, faubourg Croncels, à Troyes
- (Aube).
- — Boncompàin, garage, 54, rue Saint-Guillaume,
- à Saint-Brieuc (Côtes-du-Nord).
- Dniumc l\ nilic\ commerce d’automo-DUIiUIo \LUUl0/, biles, 46, avenue Montaigne, Paris.
- — Bonjon, garage, 13, rue Louis-Millet,à Avranches
- (Manche),
- — Bonnàfous, garage, place de la Fraternité, à
- Millau (Aveyron).
- — Bonne, garage, place Saint-Julien, à Laon (Aisne)
- — Bonneton et Armand, garage, 29, cours Mo-
- rand, â Lyon (Rhône).
- — BONNEVILLE (L.) , d’automobiles, 52,
- boulevard Carnot, à Toulouse (Haute-Garonne).
- — Bonnotte, garage, 5, rue de Paris, à Gray
- (Haute-Saône).
- — Bontemps, garage, vente d’automobiles, rue
- de la République, il Tournus (Saône-et-Loire).
- — Borain, garage, vente d’automobiles, route de
- Gournay, à Forgcs-les-Eaux (Seine-Inférieure)
- — Bord et Fils, garage, 41, rue Charle3-Marion-
- neau, à Bordeaux (Gironde).
- _ DHOnCDCI /I \ garage et réparation DU Tl U EL 11 LL \J-/, d’automobiles, 46, rue Saint-Ferdinand, Paris.
- — BORG, garage, boulevard de l'Ouest, à Constan-tine (Algérie).
- — Borloz, garage, place de l’Hôtel-de-Ville, à
- Vichy (Allier).
- — Boston Automobile Exchange, vente d’auto-
- mobiles Crawford, 178, Berkeley street,
- Boston (États-Unis).
- — Boston Motor C°, vente d’automobiles Acme,
- 44, Columbus avenue, à Boston (États-Unis).
- — Boucaud {Henri), garage du centre, commerce
- d’automobiles, 95, rue Michelet, à Tours (Indre-et-Loire).
- — Boucher, garage, rue Montmailler, à Limoges (Haute-Vienne).
- — Bouchoir, garage, vente d’automobiles, 1,
- avenue de Saint-Cloud, à Versailles (S.-et-O.).
- — Boudret, vente d’automobiles, 31, avenue de
- la Motte-Piquet, Paris.
- — Bouffièue Fils, mécanicien, garage, 8, rue de
- Beaune, â Cliagny (Saône-et-Loire).
- — Bouglet, garage, place de la Gare, il Poissy
- (Seine-et-Oise).
- — Boulet et Guillemot, commerce d’auto-
- mobiles, 47, rue de Saintonge, Paris.
- — Bour, location et vente d’automobiles, 5, rue
- de Berri, Paris.
- — Bour (JS.), usine électrique, station de charge
- pour voitures électriques, 156, avenue Malakoff, Paris.
- — Bour A, garage, 20, rue de France, il Avesnes
- (Nord).
- — Bourbon, garage, 37, rue de Chartres, à Chû-
- teaudun (Eure-et-Loir).
- — Bourdil, garage, 16, Grande-Rue, il l’Isle-
- Adam (Seine-et-Oise).
- — Bourras {P.), vente d’automobiles, 8, rue des
- Acacias, Paris.
- — Bourse {Garaje de la), 7, rue Feydeau, Paris.
- — Bourse du Cycle et de l’Automobile,- vente
- d’automobiles, 33, boulevard des Batignolles, Paris.
- — BOUSQUET (L.) ET C ,
- automobiles Blanchi et Cle, 95, avenue des-Champs-Élysées, Paris.
- — Bousquet, vente d’automobiles,place de l'Église
- à Limogne (Lot).
- — Bousquet, commerce d’automobiles, 33, Kage-
- neck strasse, à Strasbourg (Alsace-Lorraine),
- — Bouyer, garage, vente d’automobiles, avenue-
- Carnot, à Draguignan (Var).
- — Boyer, garage, boulevard Saint-Roch, à Avi-
- gnon (Vaucluse).
- — Bradford, Motor Car C°, vente d’automobiles,.
- il Bradford (Angleterre).
- — Bramtot Frères, garage, vente d’automobiles-,
- 165, Grande-Rue, à Lisieux (Calvados).
- — Bréchignac et Guinet, garage, 2, place Paul-
- Bert, à Saint-Étienne (Loire).
- — Breger et Neveux, vente d’automobiles
- Prunello, 50, rue des Marais, Paris.
- — Brencklé, garage, 17, rue Saint-Martin, il
- Troyes (Aube).
- — Brérat, garage, rue Rasseteau, à Châtelle-
- rault (Vienne).
- — Bretonnet, garage, place de la Verrerie, à
- Libourne (Gironde).
- — Breuil, vente de motocyclettes, 35. avenue de
- la Grande-Armée, Paris.
- — Briand {Henri), vente d’automobiles, 9, rue Crespin, Paris,
- — Brice, garage, 19, rue Saint-Sauveur, à Péronne
- (Somme).
- — Bridier, garage, à La Fcrté-Bernard (Sarthe).
- — Brigandat Fils, garage, à Salon (Bouches-du-
- Rhône).
- — Brion Frères, garage, vente d’automobiles, 7,
- rue de Choignes, il Chaumont (Haute-Marne).
- — Buisard {Henri), vente d’automobiles, rue-
- de Celles, à Condé-en-Brie (Aisne).
- — Bristol Wagon and Carriage Works C°,
- garage, vente d’automobiles, Victoria Street, â Bristol (Angleterre).
- — British Motor et Tyre C°, vente d’accessoires,.
- 16, via Dante, à Milan (Italie).
- — Brizzi, garage, 3, rue Faufrelin, à Angoulême*
- (Charente).
- — Brossier, vente de motocyclettes, 13, rue
- d’Ossling, Le Mans (Sarthe).
- — Brown {George), vente d’automobiles Apperson,
- 43, Columbus avenue, il Boston (États-Unis).
- — Brun, garage, 24, rue de la République, à
- Briguoles (Var).
- — Brun, vente d’automobiles, garage, rue du
- Docteur-Giraud, il Vichy (Allier).
- — Brunet, garage, place Bonnyaud, il Guéret
- (Creuse).
- — Bruxellois (Auto-Garage), vente d’automobiles,.
- « Pipe », 18, place du Châtelain, à Bruxelles (Belgique).
- —- Bûcheron, garage, 25, rue d’Allier, à Moulins (Allier).
- — Buckeye Mfg C°, vente d’automobiles « Lam-
- bert », à Anderson (Indiana), (États-Unis).
- — Bucy {de), garage, rue de la Gare, à Bar-sur-
- Aube (Aube).
- — Buquet et Bandelocque, vente d’automobiles,
- garage, 63, rue Frédéric Petit, â Amiens (Somme).
- — Burlington Carriage C°, vente d’automobiles,
- 315, Oxford Street, à Londres (Angleterre).
- — Burton et Cie, garage. — Voir Ca?mes-Auto-
- mobiles et Nice-Automobiles.
- — Burton, garage, 3, boulevard de Strasbourg,
- le Hâvre (Seine-Inférieure).
- — Cadé, garage, 25, avenue Daumesnil, Paris.
- — Calleya, vente d’automobiles, 16, Pilar (Guin.
- dalera) Madrid (Espagne).
- OMNIA
- 20, rue Duret, PARIS
- Rédacteur en Chef : L. BAUDRY de SAUNIER
- est Ee meilleur journal d’automobile
- p.786 - vue 788/946
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-
-
- ULASSK ai3 -- 787 COMMERCE AUTOMOBILE
- — Cambien, garage, 53, rue de la Gare, Roubaix
- (Nord).
- — Camille jeune et Cie, location de voitures
- électriques, 6, avenue Kléber, Paris.
- — Cammakstedt, vente de motocyclettes, 6, avenue
- des Phocéens, Nice (Alpes-Maritimes.).
- — Campredon, garage, 4, boulevard Carnot, Toulouse (Haute-Garonne).
- — Camus-Avril, garage, à Amboise (Indre-et-
- Loire).
- — Candelo, vente d’automobiles, 3, rue Bemouilli,
- Paris.
- — Candille, garage, rue du Vieux-Château, Mont-de-Marsan (Landes).
- — Cannes-automobiles, garage, boulevard Jean-Hébert, Cannes (Alpes-Maritimes).
- — Caplet (Marcel), garage, 34, rue Dicquemare,
- le Havre (Seine-Inférieure).
- — Capucines-automobiles, vente d’automobiles,
- 39, boulevard des Capucines, Paris.
- — Caraman, garage, 8, rue de l’Observance, Montpellier (Hérault).
- — Caratti (Fratelli), garage, à Brescia (Italieb — Carbon (René), représentation d’automobiles,
- 66, rue Jeanne-d’Arc,Rouen (Seine-Inférieure).
- — Carfagni, garage, à Genève (Suisse).
- — Cariolato, garage, 36, via Arenula, Rome (Italie).
- — Caron, garage, avenue du Rivage, Abbeville
- (Somme).
- — Carpignano, garage, 53, via dei Fiori, à Turin
- (Italie).
- — Cassone, garage, 4, boulevard Victor-Hugo,
- Nice (Alpes-Maritimes).
- — Càstagné et Cie, vente de motocyclettes, 15,
- avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Castan (ateliers), réparations, 4, rue Liot,
- Billancourt (Seine).
- — Catelain, garage, avenue du Casino, Cabourg
- (Calvados).
- —• Cavaignac, garage, 15, rue Grande, Fontainebleau (Seine-et-Marne).
- — Cavard, garage, 12, place de la Nation, Paris.
- — Cavignac, vente d’automobiles, 62, cours Portai,
- Bordeaux (Gironde).
- — Cazaugade, garage,4, rue Gambetta, Saintes
- (Charente-Inférieure).
- — Célaya, garage, boulevard Thiers, Saint-Jean-
- de-Luz (Basses-Pyrénées).
- — Central-automobile, vente d’automobiles l,rue
- Morsollier Paris.
- — Central-garage, vente d’automobiles, 6, bou-
- levard Fleurus, Limoges (Haute-Vienne).
- — Central-garage, vente d’automobiles, rue de
- Rome, Tunis (Tunisie).
- — Central-garage, vente d’automobiles, 16, place
- Fondaudôge, Bordeaux (Gironde).
- — Central-Motor Car C°, garage, 117, Long Acre,
- Londres (Angleterre).
- — Central Park auto storage et C°, vente d’au-
- tomobiles, Central Park West, New-York (E. U.).
- — Centre (Grand garage du), rue des Fours,
- Sedan (Ardennes).
- — Centre-auto, vente d’automobiles, 26, rue de
- Clichy, Paris.
- C. G. V- — Voir Charron, Girardot ci Voigt.
- — Chabal, garage, 80, rue de la Pelouse, le Mans
- (Sarthe).
- — Chabaud, garage, 9, rue Diderot, Langres
- (Haute-Marne).
- — Chacuat et Cle, garage, 13, rue Denis-Papin,
- Puteaux )Seinef.
- —JUhailloux, garage, rue Carnot, La Flèche (Sarthe).
- — Châles, garage, rue Cappeville, Gisors (Eure).
- — Chambre-Gillard, mécanicien, commerce
- d’automobiles, 18, rue d’Estrée, à Givct (Ardennes).
- — Chaminadouk, vente d’automobiles, 131, rue de
- la Roquette, Paris.
- — Champeyrache, vente d’automobiles, Alais
- (Gard).
- — Champeyrache, garage, avenue Peuchêres, à
- Nîmes (Gard).
- — Chanvin, garage, 47, rue Richard-Lenoir, Paris.
- — Chapelain, vente d’accessoires, 18, rue Ober-
- kampf, Paris.
- — Chapier aîné, garage, rue de la Batterie, Mou-
- lins (Allier).
- — Chapieb jeune, garage, rue Gambetta, Moulins
- (Allier).
- — Chaplard, garage, 18, avenue d’Alsace-Lorraine,
- Bourg (Ain).
- — Chapuis, garage, rue Gambetta, Mâcon (Saône-
- et-Loire).
- — Chapuis, garage, rue du Grand-Moulin, Saint-
- Etienne (Loire).
- — Charavin, garage, Pont-de-l’Ange, Orange
- (Vaucluse),
- — Charles, vente de motocyclettes, 43, rue Saint-
- Placide, Paris.
- — Charley, vente d’automobiles, 70, avenue des
- Champs-Elysées, Paris.
- — CHARRON, GIRARDOT ET VOIGT
- {Agence générale des automobiles), vente d'automobiles, garage, 45, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Chaton, garage, rue de la Chaussée, Montarg's
- (Loiret).
- — Chaudesson, garage, rue de Beauvais, Méru
- (Oise).
- — Chaussé, vente d’accessoires. 28, rue de Chabrol,
- Paris.
- — CilAUSSÉE-d’ANTiN {garage de la), 23, rue Joubert,
- Paris.
- — Chauvet, garage, 60, boulevard du Montpar-
- nasse, Paris.
- — Ciiédeville, garage, avenue Thiers, Vernon
- (Eure).
- — Chemin, garage, 36, rue d’Orléans, Pont-Aude-
- mer (Eure).
- — Chenard, Walcker Motors, Ltd, vente d’au-
- tomobiles, 37, Long Acre, Londres (Angleterre).
- — Chenu, agent des automobiles Argus Motoren Gesellschaft, 10, rue •Fontaine-Saint-Georges Paris.
- — Cherbuy-Ouaché (ateliers), garage, avenue
- de la Gare - des - Marchandises, Montargis (Loiret).
- — Chereau, garage, 129, rue de Rennes, Nantes
- (Loire-Inférieure).
- — CiiéRtngou. garage, rue des Bains, Trouville
- (Calvados).
- — Chevalier,, garage, Saint-Jcan-Candé (Maine
- et-Loirc).
- — Chevalier et fils, vente d’automobiles, G. Ka-
- sernenstrasse, Metz (Alsace-Lorraine).
- — Chevallier et Vasseur, garage, C, rue Singer
- Caen (Calvados).
- — Chevereau, garage, allées Saint-Rcch, Castres
- (Tarn).
- — Chopinet, garage, rue Blatin, Clermont-Ferrant
- (Puy-de-Dôme).
- — Chkisty, Médecet et Cie, vente d’au'omobîles
- 1, place u’Helvétie, Lyon (Rhéne).
- — Claparède et Cie. garage, 11, rue du Jeu-d>
- Paume, Montpellier (Hérault).
- — Clauet, garage, 8, rue de la Raffinerie, Saint-
- Quentin (Aisne).
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- — Clavekie (J.), vente d’automobiles, boulevard
- Victor-Hugo, Saint-Jean-de-Luz (Basses-Py-iénécs).
- —• Clément, garage, rue Richelieu, Tours (Indre-et-Loire).
- — Clément, garage, 64, Grande-Rue, à Louviers
- (Eure).
- — Clément motor C°, Ltd, vente d’automobiles, 3, Leicester Street, Leicester square, Londres (Angleterre).
- — Cler, garage, 28, avenue de l’Arc-de-Triomphe,
- Orange (Vaucluse).
- — Clergeot, vente d’automobiles, 70, rue de l’U-
- niversité, Paris.
- — Cléton, gorage, 1, rue Pierre-le-Grand, Lille
- (Nord).
- — Cleveland, vente de pièces détachées, 126, boulevard Péreire, Paris.
- — Closse, garage, 138, rue Saint-Dizier, Nancy
- (Meurthe-et-Moselle).
- — Clouzet et Friedlander vente d’accessoires,
- 20, rue Richer, Paris.
- — Cochez, vente de motocyclettes, 45, rue de la
- République, Puteaux (Seine).
- — Coger frères, garage, 134, rue de Vaugirard,
- Paris.
- — Collet, garage, 3, rue de Cran, Saint-Nazaire,
- (Loire-Inférieure).
- — C’ollesson, garage, quai de Paris, Joigny
- (Somme).
- — Colli, garage, à Vérone (Italie).
- — Collomiï, garage, rue Vendôme, Lyon (Riiône).
- — Columbia automobile station, garage, Atlantic
- city, N. J. (Etats-Unis).
- — Commoretti, vente d’automobiles, 22, via Pisa-
- cane, Milan (Italie).
- — Constant et Henry, garage, 20, rue Saint-Ni-
- colas, Saumur (Maine-et-Loire).
- — Contant frères, garage, 2, faubourg Croncels,
- Troyes (Aube).
- — Coquelet, garage, 87, rue de Paris, Valenciennes
- (Nord).
- — Corbin, garage, 23, rue Dcsrenaudes, Paris.
- — Cordier, garage, 1, rue du Four-à-Cliaux, Calais
- (Pas-de-Calais).
- — Cormier (G.) et Codoni, vente d’automobiles,
- 31, rue d’Anjou, Paris.
- — Cornette et Bûcheron, garage, 1, rue de Paris,
- à Moulins (Allier).
- — Correspondant automobile (Le), vente d’au-
- tomobiles, 0, rue Mogador, Paris.
- — Corroyet, Huet, garage, 2, rue Saint-Honoré,
- Amiens (Somme?.
- — Corvée et Cie, garage, boulevard Diderot, Paris.
- — Cote et Chalendon, commerce d’automobiles,
- 19, place Bellecour, Lyon (Rhône).
- — Cottard, garage, 64, Grande-Rue, Louviers
- (Eure).
- — Cottereau (Agence Parisienne de la marque),
- vente de cycles et d’automobiles, 6, rue Poisson, Paris.
- — Couach fils, garage, 39, boulevard d’Haussez,
- Arcachon (Gironde).
- “ Couchot, garage, 28, rue Léopold-Bourg, Epinal (Vosges).
- — Couderc et Cie, garage, 49, rue Sainte-Croix,
- Bordeaux (Gironde).
- — Couget, garage, avenue de la Gare, Pau
- (Basses-Pyrénées).
- — Coullibeüf, garage, quai Charles - Guinot,
- Amboise (Indre-et-Loire).
- — Coulon, vente d’automobiles, 86, rue Cheval-
- lier, il Levallois-Perret (Seine).
- — Courcelles-automobiles, garage, 8, -rue do
- Chazelles, Paris.
- — Court, garage, boulevard du Président-Carnot,
- Agen (Lot-et-Garonne).
- Courtin et Chauveau, garage, gare Saint-Lazare, Paris (Cour de Rome).
- Courtois, garage, 59, rue du Grand-Faubourg, Chartres (Eure-et-Loire).
- Courtois-Vogelais, garage, 1, rue de l’Hôtel-Dieu, Nogcnt-sur-Seine (Aube).
- Coürtonni, garage, 27, rue de Paris, Lisieux (Calvados).
- Cousin, garage, place Chateaubriand, Saint-Malo (Ille-et-Vilaine).
- Couturier, garage, 11, avenue de Rosières, Bourg (Ain).
- Couvreur, garage, faubourg de Fougères, Rennes (llle-et-Vilaine).
- Couzinié, garage, avenue de Villeneuve, Albi (Tarn).
- Coxeter and sons, garage, Oxford (Angleterre).
- Oozic, garage, 60, rue de Paris, Brest (Finistère).
- Craven automobile, garage, 20, High Street, Skipton (Angleterre).
- Crédit automobile, vente d’automobiles, 22, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- Crémont, commerce d’automobiles, 267, boulevard Pereire, Paris.
- Creteau, vente d’automobiles, 2, rue Villar:'.-de-Joycuse, Paris.
- Ckipps and C°, garage, 263, Arkwright Street, Nottingham (Angleterre).
- Crisswell, garage, High street, Newmarket (Angleterre).
- Crochat, vente d’automobiles, 27, rue de Mogador, Paris.
- Croall and sons, garage, 126, George street, Edimbourg (Angleterre).
- P D fi fl 7 A T garage, 58, corso Massimo d’Aze-
- UnUIZ.fi I , glio, Turin (Italie).
- Crombez, garage, rue du Curé-Saint-Etienne, Lille (Nord).
- Crouzet, garage, rue Edouard-Adam, Montpellier (Hérault).
- Crown Motor car C°, vente d’automobiles, Boston (Etats-Unis).
- Cryder and C°, vente d’automobiles, Corner Park avenue, New-York (Etats-Unis).
- Cudey et Cie, vente d’automobiles, 1, rue Villaret-de-Joyeuse, Paris.
- Culard, garage, rue Thiers, Verneuil (Eure).
- Cunningham, automobiles, 24, Gastle street Clitheroe (Angleterre).
- Cuvreau, garage, 46, rue d’Angoulême, Paris.
- Dabancourt et Cie, vente d’automobiles, 42, boulevard Montparnasse, Paris.
- Dadrich et Siebert, garage, 70, unter den Linden, Berlin (Allemagne).
- Daimler C° (the english), vente d’automobiles, 1743 Brodway, New-York (E.-U.).
- Daimler mfg, vente d’automobiles, 973 Steinway avenue, Long Island city, New-York (E.-U.).
- Daimler motor C°, vente d’automobiles, Co-ventry (Angleterre).
- Daimler motoren Gesellschaft, vente d’automobiles, Marienfelde, Berlin (Allemagne).
- Daimler (Sociétà Italiana Motori), vente d’automobiles, 43, via Lorenzo Mascheroni, Milan (Italie).
- Damborénéa (R. de), garage, Campo Valentin, Bilbao (Espagne).
- Dangu père et fils, garage, 42, rue de la Madeleine, Beauvais (Oise).
- Darcelle, garage, 14, place des Epars, Chartres (Eure-et-Loir).
- DARRACQ (AMERICAN AUTOMOBILE C°), vente d’automobiles, 652, Hudson street, New-York (E.-U.).
- Dasth, garage, route de Bordeaux, Angoulême (Charente).
- L TOUJOURS
- CITER
- LANNUAL
- EX ECRIVANT ACX FABRICANTS
- p.788 - vue 790/946
-
-
-
- CLASSE 25
- COMMERCE AUTOMOBILE
- — Daussin, garage, place du Marché, La Ferté-
- sous-Jouarre (Seine-et-Marne).
- — Davignon, garage, 90, rue de Paris, Cosne
- (Nièvre).
- — Davy, garage, 25, place Bilange, Saumur
- (Maine-et-Loire).
- — Deasy and C°, garage, 10, Brampton Road,
- Londres (Angleterre).
- — DEDUIRE et Hirsciiel, garage, 32, boulevard
- Lafayette, Calais (Pas-de-Calais).
- — Decauville automobile C°, vente d’automobi-
- les, Broadway, New-York (F.-U.). j
- — Decauville Cars, vente d’automobiles, 311, |
- Oxford Street, Londres (Angleterre). !
- — Décès, garage, 4, rue du Donjon, Epernay I
- (Marne). !
- — Deck, garage, 30, rue de l’Ecu, Reims (Marne). j
- — Declercq, Cordonnier et Cie, garage, 1 Ms, '
- rue de la Chambre-des-Comptes, Lille (Nord).
- — Decorde, garage, 57, rue de la Barrière, Elbcuf
- (Seine-Inférieure).
- — Decourt, garage, 57, avenue de Saint-Cloud,
- Versailles (Seine-et-Oise).
- — Decuiiey, garage, 29, rue Corneille, Compiègne
- (Oise).
- — Dedours, garage, 4, place Nazareth, Vannes
- (Morbihan).
- — Degageux frères, garage, 12, rue Michelet,
- Troyes (Aube).
- — Dehillotte Ramondin, vente d’automobiles,
- 18, rue du Rat, Blaye (Gironde).
- — Delacroix, garage, 30, place du Change, Com-
- piôgne (Oise).
- — Delage, garage, 2, rue Villaret-de-Joyeuse,
- Paris.
- — Delamarciie, garage, place de la Gare, Cler-
- mont (Oise).
- — Delannoy, vente d’automobiles, 31, rue de
- Londres, Paris.
- — Delannoy, garage, 1, boulevard de Strasbourg,
- Nogent-sur-Marne (Seine).
- — Delansorne, garage, 97, rue Saint-Aubert,
- Arras (Pas-de-Calais).
- — Dei.aroche, garage, 72, avenue Tiiiers, Le Mans
- (Sarthe).
- — Delessert, vente d’automobiles, 10, ru3 Saint-
- Pierre, Dijon (Côte-d’Or).
- — Delizy, vente d’automobiles, 235, rue du F.m-
- boürg-Saint-Honorê, Paris.
- — Dello ünd C°, garage, 12, Dammthorstrasse,
- Hambourg (Allemagne).
- — Delon frères, garage, place du Cliamp-d>
- Mars, Ànnonay (Ardèche).
- — Delouve, garage, 13, boulevard Denfert-Roche-
- reau, Cognac (Charente).
- — Demorgny, garage, 19, cours d’Orléans, Char-
- leville (Ardennes).
- — DÈNES(FrWmann), vente de magnétos «Bosch",
- 18, via San Vittore, Milan (Italie).
- — Dénoué, garage, place du Drapeau, Parthenay
- (Deux-Sèvres).
- — Dernaucourt, vente d’automobiles, 15, rue Per-
- golôse, Paris.
- — Dernier, garage, 25, boulevard de la Sauvcnière,
- Liège (Belgique).
- — Dérozier, garage, 75, rue de Paris, Nemours
- (Seine-et-Marne).
- — Deschamps, garage, 30, avenue Saint-Cloud,
- Versailles.
- — Deschamps, vente d’automobiles, 9, rue Basse,
- Pontoise (Seine-et-Oise).
- — Deshayes frères et Courtois, garage, rue de :
- Maubeuge, Roanne (Loire). |
- — DESLIGNIères, garage, 16, rue de Grenelle, Paris. !
- — Desplaces, garage, 10, rue de Tours, Loches i
- (Indre-et-Loire). i
- — Desrenaudes, garage, 23, rue Desrenaude*
- Paris.
- — Destibat frères, garage, rue des Cent-Garde^
- Biarritz (Basses-Pyrénées).
- — Deutsche de Dion Bouton, vente d’automo-
- biles, rue des Orphelins, Mulhouse (Alsace).
- — Devorde (E. von), garage, 82, Fedelhoeren,
- Brême (Allemagne).
- — Devraine, garage, 43, rue Chabaud, Reims
- (Marne).
- — Diégo, garage, 19, boulevard du Pavatou,
- Aurillac (Cantal).
- — Dieppe, garage, 6, rue Neuvc-du-Port, Caen
- (Calvados).
- — Dieppe (auto garage de), 24, rue de Sygognc,
- Dieppe (Seine-Inférieure).
- — Diétrich (de) Importing C°, vente d’automo-
- biles, 3 West 44 th. street, New-York (E.-U.).
- — Dietrichs, garage, 4, rue Santo Thomas, Madrid
- (Espagne).
- — Dinoird, garage, 35, rue Cuvclle, Douai (Nord).
- — Diot frères, garage, 4 place Voltaire, Chateau-
- roux (Indre).
- — Dobie, garage, Warcwick-House, Castle Douglas
- (Angleterre).
- — Doll, auto-garage, 53, Grande-Rue, Mazamet
- (Tarn).
- — Dolois, auto-garage, place Grévy, Dôle (Jura).
- — Domenge fils, garage, square du Gigot, Aix-les-
- Bains (Savoie).
- — Donder (L. de), vente d’automobiles, Parisers-
- trasse, Metz (Alsace-Lorraine).
- — Donjon et Cie, garage, 7, rue Joseph-Vernet,
- Avignon (Vaucluse).
- — Dorey, vente d’automobiles, 14, rue Torricelli,
- Paris.
- — Donne and Willans, vente d’automobiles,
- 29, Gillingham street, Londres (Angleterre).
- — Donnay, garage, avenue des Bassins, Mon*
- (Belgique).
- — Doxsey, garage, Saint Georges Parade, Chelten-
- ham (Angleterre).
- — Doze et Fontana, garage, 8, boulevard Carnot,
- Cannes (Alpes-Maritimes).
- — Drance, garage, 38, quai Gaston-Boulet, Rouen
- (Seine-Inférieure).
- — Draycott motor Co, garage, Draycott Mills
- Derby (Angleterre).
- — Dreux, garage, 25, rue Hugues-Legrand, Provins
- (Seine-et-Marne).
- -- Drewitt, garage, Northfleld End, He:iley-ou-tliâmes (Angleterre).
- — Dreye, garage, 21, rue des Rôtisseurs, Cambrai
- (Nord).
- — - Drouelle et Cie, vente d’automobiles, 90, avenue
- de la République, Paris.
- - Drounau, garage, impasse Saint-Martin Cognac (Charente).
- — — Dübernet, garage, place Grammont, Pau
- (Basses-Pyrénées).
- — Dubois, garage, rue du Chemin-de-Fer, Lagn ,f
- (Seine-et-Marne).
- — Dubois, garage, au Mayet-de-Montagne (Allier).
- — Dubois et Cie, garage, 58, rue du Gazomètre,
- Tours (Indre-et-Loire).
- — Dubout et Cie, garage, 38, boulevard Dauno t.
- Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais).
- -- Dubuc-Guillemin, garage, Dôle (Jura).
- — DüCLOT {Albert), vente d’automobiles, Brionne
- (Eure).
- — Du Cros {Harvey), vente d’automobiles, 1 1,
- Régent street, Londres (Angleterre).
- — Ducros-Mercèdés, vente d’automobiles, Long
- Acre, Londres (Angleterre).
- — Dudoy, garage, à Gisors (Eure).
- — Duerr and C°, vente d’automobiles, Broadway
- et 58 th street, New-York (E.-U.).
- [SI VOUS VOULEZ GOIMDUImE AU IVJlEuX UNE AUTJiflOlliE. U «EZ : H
- L’ftRT DE BIEN CONDUIRE I
- p.789 - vue 791/946
-
-
-
- COMMERCE AUTOMOB1Ï E
- CLASSE 25
- 79° —
- — Dufouil, garage, 29, rue Thiers, Vannes (Mor-
- bihan).
- — Dugad, vente d’automobiles, 4, rue Morand,
- Besançon (Doubs).
- — Dugnat, garage, 9, rue de rHôtel-de-Ville,
- Dieppe (Seine-Inférieure).
- — Duhamel, garage, 13, quai du Pot-huis, à Pon-
- toise (Seine-et-Oise).
- — Oulieux et Cie, garage, 3S, place du Théâtre,
- Lille (Nord).
- — DUias, garage, rue del’Hermitage, Tain (Drôme).
- — Dumeïz, garage, 8, rue Ciianzy (Pas-de-Calais).
- — Dumont, vente d'automobiles, impasse Laugier,
- Paris.
- — Dumont, garage, 20, boulevard des Ecoles, Lens
- (Pas-de-Calais).
- — Dumont et Cie, garage, 9, rue Grande, Evreux
- (Eure).
- — Duperoux, garage, 16, rue du Commerce,
- Nevers (Nièvre).
- — Dup )NT, garage, 70, rue Saint-Léonard, Honfteur
- (Calvados).
- — Dupont, garage, 6, place Au Fil, Amiens (Somme).
- — Dupont jeune, girage, 9, promenade Populle,
- Roanne (Loire).
- — Durand, garage, 7, quai Braacas, Nantes (Loire-
- Inférieure).
- — Dutemple, vente d’automob:le3, 33, rue de
- — Seine, Ivry-Port (Seine).
- — Dutheil, vente de voitures automobiles, Glos-
- sur-Risle (Eure).
- — Dutiron et fils, vente d’automobile;, rue du
- ChUeau, Ilabastens-de-Bigorre ( Hautes-Pyrénées).
- — Djverdrey, vente d’automobiles, 34, rue de
- l’Hôtel-de-V.lb, Montmirn.il (Marne).
- — Daux Vives (garage des), vente d’automobiles,
- 10, rue Muzy, à Genève (Suisse).
- — Dbehhardt, vente d’autoinobile3, 12, rue
- Amalienstrasse, à Carbruhe (Allemagne).
- — ÉCOLE DE CHAUFFEURS, A.
- NI H I CU11 I C 23 , rue Louis-Blanc, ITI JLtLVILLL, Lcvallois-Perret (Seine).
- — Doole de Chauffeurs, 23, rue Desrenaudes,
- Pari;.
- — Dcole de Chauffeurs, 237, rue Lafayette,
- Paris.
- — Dcole de Chauffeurs,' 10, rue Cavalotti, Paris.
- — :cole de Chauffeurs, 4, rue Cainille-Tahan,
- Paris.
- — Dcdle de Chauffeurs Friedland, 4, avenue
- Friedland, Paris.
- — Dcole de Chauffeurs « Margarita », 126,
- boulevard de CourcellS3, Paris.
- — Dcole française d'automobile, 40, rue
- Guersant, Paris.
- — Dgypte {Société anonyme des grands garages d’),
- commerce d’autoniobile3, 8, rue Marouf, au Caire (Egypte).
- — Dhrardt-Decauville, vente d'automobiles, 20,
- Iteichï3tra3se, â Düsseldorf (Allemagne).
- — Eichmann, vente d’automobile3, 30, Alexan-
- derstrasse, â Stuttgart (Allemagne).
- — Elbrecht et C°, vente d'automobile3, 47, Fal-
- kenstrasae, à Brème (Allemagne).
- — Electricité industrielle (Ecole pratique d’),
- cours d'automobile, 53, rue Belliard, Paris.
- — Electro-Cardinet, vente d'automobileâ, 49,
- rue Cardinet, Paris.
- — Electromobiles (Compagnie française de voi-
- tures), 49, rue Cardinet, Paris.
- — Elliot Ranney and C°, vente d’automobiles,
- 1851, Broadway, â New-York (Etats-Unis).
- — Ellis, vente d'autornobile3, 26, Bell Street, à
- Henley-on-Thames (Angleterre).
- — Elysée Automobile Palace, commerce d'au
- tomobiles, 34, avenue des Champs-Elysées Paris.
- — Elysée-Auto-Car, garage, commerce d’auto-
- mobiles, 11, rue de Berri, Paris.
- — Emery [Martin), vente d'automobiles, place de
- la République, à Sens (Yonne).
- — Emporio Ciclistico, vente d automobiles, 7,
- piazza Vittorio Emanuele, à Pérouse (Italie).
- — Empreza Automobilistica Portugueza, vente
- d’automobiles, aveuida Navarro, à Coimbra (Portugal).
- — Engilberge, vente d’automobiles, boulevard
- Thiers, â Grassse (Alpes-Maritimes).
- — ïïnz, garage, rue de la Tour, à Etretat (Seine-In-
- férieure).
- — Equipage Electrique (L’), location de voitures
- électriques, 8, rue d’Alsace, à Levallois-Perret (Seine).
- — Eréoso frères, vente d’automobiles, 9, rue
- Croix-de-Marbre, h Nice (Alpes-Maritimes).
- — Escarguel, garage, 18, rue de la Mairie, à Car-
- cassonne (Aude).
- — Essex automobiij ; C°, vente d’automobiles, 9,
- Lombard Street, Newark (N.-J.), Etats-Unis.
- — Etien, commerce d’automobiles, 10, place Saint-
- Jean, â Niort (Deux-Sèvres).
- — Etoile (garage de V), location d’automobiles,
- 252, rue du Faubourg-Saint-Honoré, Paris.
- — Ettore Nagliati, vente d’automobiles, 8, via
- Ponte Aile Mo3se, à Florence (Italie).
- — Etudes mécaniques (Société ouvrière d’), trans-
- formations et réparations d’automobiles, 81, boulevard de la République, à la Garenne-Colombes (Seine).
- — Europe [garage de V), commerce d’automobiles,
- 3, rue Bernouilli, Paris.
- — Excursions automobiles [Société d’), vente
- d’automobiles, avenue Bois - Louis, à Pau (Basses-Pyrénées).
- FABBRE ET GAGLIARDI , d’automobiles, garage, 21, piazza Macello, à Milan (Italie).
- — Farconnet (de) et Bouvier, garage, rue d’Au-
- triche prolongée, à Tunis (Tunisie).
- — Farcy (de) et Piau, garage, 114, rue Saint-
- Jacques, à Angers (Maine-et-Loire).
- — Farman Automobile C°, Ltd, commerce d’auto-
- mobiles, 104, Long Acre, à Londres (Angleterre).
- — Farman frères, vente d’automobiles, 22, avenue
- de la Grande-Armée, Paris.
- — Fattier, garage, vente d’automobiles, rue de
- Lyon, â Mâcon (Saône-et-Loire).
- — Fauconnier, garage, boulevard de la Républi-
- que, à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône).
- — Faugé, garage, 93, boulevard Gambetta, à
- Cahors (Lot).
- — Faugé, garage, 2, rue Verdi, à Nice (Alpes-Ma-
- ritimes).
- — Faulquier, garage, 56, avenue de Toulouse, à
- Montpellier (Hérault).
- —. Faure, garage, 5, square des Postes, à Grenoble (Isère).
- — Faure, vente d’automobile3, 79, boulevard
- Gouvion-Saint-Cyr, Paris.
- ~ Fauvel frères et Maillard, vente d’automobiles, 280, Pitt Street, à Sydney (Australie).
- — Fava, garage, 81, rue de la Paroisse, à Versailles
- (Seine-et-Oise).
- — Favresse, garage, 10, rue Bisson, à Saint-Quen-
- tin (Aisne).
- —• Faymoreau (de), commerce d’automobiles, 39, boulevard des Capucines, Paris.
- — Feillée, garage, rue du Grand-Cerf, à Meaux
- (Seine-et-Marne).
- ]
- lire les
- ELEMENTS d’AUTOMORILE
- à tous les Débutants
- p.790 - vue 792/946
-
-
-
- CLASSE 25
- 791
- COMMENCE AUTOMOBILE
- — Ferrandon, vente d’automobiles, 59, rue Saint-
- Lazare, Paris.
- — Ferrari et C°, garage, 6, via Ponte Seveso, à
- Milan (Italie).
- — Ferret, garage, 1, rue de Saône, à Mâcon
- (Saône-et-Loire).
- — Festa et Cie, vente d’automobiles, 57, via Due
- Macelli, à Home (Italie).
- — Fevoli {Vittorio) et C°, garage, à Livourne
- (Italie))
- — Fiat Motors, Ltd, vente d’automobiles, F.I.A.T.,
- 37, Long Acre, à Londres (Angleterre).
- — Fiorini, garage, 15, via Belle Arti, à Bologne
- (Italie).
- — Fitte et Dorne, commerce d’automobiles, 61,
- boulevard Carnot, à Toulouse (Haute-Garonne).
- * — Flaig, garage, 15, via Moscovia, à Milan (Italie).
- — Flament, garage, 15, rue Galignani, à Corbeil
- (Seine-et-Oise).
- — Flandrin et Cie, garage, à Saint-Omer (Pas-de-
- Calais).
- — Flanet, garage, 6, rue d’Isly, Paris.
- — Fliniatjx, garage, 39, rue des Carmes, à Cambrai
- (Nord).
- — Flinois et Bonnel, travaux mécaniques en tous
- genres, 15 bis, boulevard -de la Hévolte, Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Flinsch und C°, vente d’automobiles, 20, Neue
- Mainzerstrasse, à Francfort-sur-le-Mein (Allemagne).
- — Floqttet frères, garage, à Duvy (Oise).
- — Fondaudège (Central-Garage), vente d’auto-
- mobiles, 16, place Fondaudôge, à Bordeaux (Gironde).
- — Fontaine et Cie, garage, rue des Bains, à Houl-
- gate (Calvados).
- — Forest, garage, 5, boulevard de Versailles, à
- Suresnes (Seine).
- — Fort, garage, à Montargis (Loiret).
- — Fossier, vente d’automobiles, 22, rue Brochant,
- Paris.
- — Fouillaron, garage, 49, rue Boisnet, à Angers
- (Maine-et-Loire).
- — Foulon, garage, rue du Cygne, à Bar-le-Duc
- (Meuse).
- — Foulquier, vente d’automobiles, 10, boulevard
- Victor-Hugo, à Nîmes (Gard).
- — Fourcade, garage, rue Rempart-Villeneuve, à
- Perpignan (Pyrénées-Orientales).
- — Fourcade et Cie, commerce d’automobiles,
- 21, rue du Jardin-des-Plantes, à Bordeaux (Gironde).
- — Fournel, garage, 55, rue Nationale, à Constan-
- tine (Algérie).
- — Fournier, garage, avenue de Pézénas, à Béziers
- (Hérault).
- — Foussadier, vente d’automobiles, place du
- Champ-de-Foire, à Fontenay-le-Comte (Vendée).
- — Française des cycles et automobiles (Com-
- pagnie), vente d’automobiles, 6, rue Fran-cœtir, Paris.
- — France, garage, 59, faubourg Bannier, à Orléans
- (Loiret).
- — Tuancis, garage, rue de Pont-l’Evêque, à
- Trouville (Calvados).
- — Franco-américaine d’automobiles (Société), E. Lamberjack directeur, 95, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris.
- — Francotte, garage, place de la Station, à Namur
- (Belgique).
- -— Frapier, garage, rue Nationale, à Cliolet (Maine-et-Loire).
- — Frappier, garage, 20, rue des Sables-d’Olonne,
- la Roclie-sur-Yon (Vendée).
- ___ rnpni (Società anonima), vente d’auto-
- r ntllH, mobiles, 33, via Carlo Alberto, à Milan (Italie).
- — FRESNAYE (H. DE LA), ET C1',
- commerce d’automobiles, agents de Rochet-Sclmeider) garage, 15, rue du Débarcadère, Paris.
- — Friedland (Garage), 4, avenue Friedland, Paris*
- — Friswell, vente d’automobiles, 1, Albany Street,
- Londres (Angleterre).
- — Froment, garage, 20, Grande-Rue, à Géradmer
- (Vosges).
- — -Froussart, garage, 34, route Nationale, à Char-
- leville (Ardennes).
- — Froussart, vente d’automobiles, avenue Philip-
- poteaux à Sedan (Ardennes).
- — Fullé, automobiles, 5, rue de l’Obélisque, à
- Marseille (Bouches-du-Rhône).
- — Furst-Fritz, commerce d’automobiles, II, Pra-
- terstrasse, à Vienne (Autriche).
- — Fusi (A.) et C10, automobiles, 16, piazza Castello,
- cà Milan (Italie).
- — Fussien, automobiles, 6, avenue de la Grande-
- Armée, Paris.
- — Gadet, garage, 15, place de la Comédie, â Bourg
- (Ain).
- — Gaillard, garage, place du Val, à Provins
- (Seine-et-Marne).
- — Galeries automobiles (les). — Voir Rivalta
- et Clc.
- — Gallaiier, vente d’automobiles, 11, rue d’Alger,
- Paris.
- — Gallaiier, vente d’automobiles, 230 West 58 th
- Street, New-York (Etats-Unis).
- — Gallet, vente d’automobiles, 22, rue d’Orléans,
- à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Gallia Electric CARRiAGES, vente d’automobi-
- les Gallia, 152, West 38 th Street, à New-York (Etats-Unis).
- — Gambetta (garage), vente d’automobiles, bou-
- levard Gambetta, à Nice (Alpes-Maritimes).
- GARAGE AUTO-STAND, SÆ;
- 20, rue Duret, Paris.
- — Garage Cards, vente d’automobiles, Fcatiron
- Building, New-York (Etats-Unis).
- — Garage central d’automobiles, vente d’au-
- tomobiles, 4, rue Buffault, Paris.
- — Garage central, vente d’automobiles, rue du
- Progrès, à Dijon (Côte-d’Or).
- — Garage central, vente d’automobiles, 47, rue
- Bannier, à Orléans (Loiret).
- — GARAGE DE L’AUTO-PALACE,
- 77 bis, avenue de la Grande-Armée. Paris.
- GARAGE DE PARIS-AUTOMO-
- BILE j 50, rue d’Anjou, Paris.
- GARAGE DE LA FRESNAYE.
- vente d’automobiles « Hochet-Schneider », 15, rue du Débarcadère, Paris.
- — Garage Desrenaudes, vente d’automobiles,
- 23, rue Desrenaudes, Paris.
- — Garage du Bois de Boulogne, vente d’auto-
- mobiles, 19, rue Duret, Paris.
- GARAGE DU PARC MONCEAU,
- 28 et 30, rue Guyot, annexe de Y Intermédiaire.
- — Garage Moderne, vente d’automobiles, route
- de Paris, à Etretat (Seine-Inférieure).
- — Garage du Palais de l’Automobile, automo-
- biles, 218, boulevard Péreire, Paris.
- — Garage Saint-Antoine, automobiles, 16, rue
- Saint-Antoine, Paris.
- usez. L’ALLUMAGE ""S",g11"!
- p.791 - vue 793/946
-
-
-
- CLASSE 25
- COMMERCE AUTOMOBILE
- 792 -
- — Garage Saint-Lazare, automobiles, 12 bis, \
- passage Tivoli, Paris.
- — GARAGESALLERONtTC'Æw,
- vente d'automobiles, 16, rue Duret, Paris.
- — Garages Internationaux (Société anonyme des)
- vent j d’automobiles, piazza Cavour, à Home (Italie).
- — Garages (Société anonyme des Grands), 87, avenue
- de la Grande Armée, Paris.
- — Garavaglia, garage, 16, via Dante, à Milan
- (Italie).
- — G arceau, garage, 16, place Fondaudège, à
- Bordeaux (Gironde).
- — Gardini Pasteur et C°, garage, à Gênes (Italie).
- — Gare Montparnasse (garage ce la), vente
- d'automobiles, 134, rue de Vaugirard, Paris.
- — Garin, vente d'automobiles, square du Gigot, à
- Aix-les-Bains (Haute-Savoie).
- — Garrido vente d'automobiles, 16, rua de Passos
- Manoel, à Porto (Portugal).
- — Gassier vente d'automobiles, 10, rue Charcot,
- à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Gatie, garage, 65, rue Grande, à Fontainebleau
- (Seine-et-Marne).
- — Gatinet, garage, 12, place de la Halle-aux-Blés,
- à Rennes (Ille-et-Vilaine).
- — Gaud frères, garage, k Juvisy (Scine-et-Oise).
- — Gaudemard {Victor), vente d’automobiles, place
- des Palmiers k Ollioulcs (Var).
- — Gautheron et Mougin {P.}, garage, 146, avenue
- de Saxe, k Lyon (Rhône).
- — Gauthier Camp, vente d'automobiles, 3, rue des
- Acacias, Paris.
- — Gautier et Cie, vente d'automobiles d'occasion,
- 13, rue Labié, Paris.
- — Gautier, vente d'automobiles, 112, boulevard
- de Courbevoie, à Courbevoie (Seine).
- — Gautier et Tacher, garage, commerce d’auto-
- mobiles, place Beaulieu, à Cognac (Charente).
- — Gelas, vente d’automobiles, 19, rue du Champ-
- de-Foire, le Havre (Seine-Inférieure).
- — Général Automobiles Agency, commerce
- d'automobiles, 6, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Geniès, garage, rue Chai-des-Farines, k Bor-
- deaux (Gironde).
- — Gentil et Cie, vente d'accessoires, 35, rue Gar-
- nier, il Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — George (TF.), vente d'automobiles 211, boule-
- vard Péreire, Paris.
- — George and Jobling, vente d'automobiles,
- South Street, il New-Castle-on-Tyne (Angleterre).
- — Gérard, garage, 40, place Gambetta, à Bergerac
- (Dordogne).
- — Gérardin, garage, 3, rue de la Croix, il Saint-Dié
- (Vosges).
- — Gérin, vente d'automobiles, 24, rue de la Liberté,
- il Alger (Algérie).
- — Gillouard, garage, rue de la Gare, k Angers
- (Maine-et-Loire).
- — Gionnet, garage, 56, rue de Paris, k Saint-Ger-
- main-cn-Laye (Seine-et-Oise).
- — Girard, vente d'automobiles,à Falaise (Calvados).
- — Girard, vente d'automobiles, 16, rue du Bourg-
- Neuf, k Blois (Loir-et-Cher).
- — Giraud, garage, 102, boulevard Gassendi, k
- Digne (Basses-Alpes).
- — Giron (E.) et C10, vente d'automobiles, 38, rue
- Vanneau, Paris.
- — Giroux, garage, 12, rue Thiers, k Tarbes (Hautes-
- Pyrénées).
- — Giry, garage, rue Foyatier, il Saint-Etienne
- (Loire).
- — Givaudan, vente d’automobiles, 40, rue Sainte-
- Geneviève, k Lyon (Rhône).
- — Gladstone et Barry, vente d’accessoires, 24,
- rue des Petits-Hôtels, Paris.
- — Glatthard, garage, rue de la Place-d'Armes,
- à Neuchâtel (Suisse).
- — Globe automobile Exporters, vente d’auto-
- mobiles, — Voir Suberbie.
- — Glocicner, vente d'automobiles, 39, via Solfé-
- rino, à Milan (Italie).
- — Gluck, vente d’automobiles, 49, Pragerstrasse,
- à Dresde (Allemagne).
- — Godard, vente d'automobiles, 17, rue Saint-
- Martin, à Troyes (Aube).
- — Godin, vente d’accessoires, 1, Red Lion square,
- Holborn, à Londres W. C. (Angleterre).
- — Goettsch et C°, vente d’automobiles, à Utrecht
- (Pays-Bas).
- — Goetz (A.), vente d’automobiles, à Chaux-de-
- Fonds (Suisse).
- — Gonthier, garage, 29, cours Montaigne, à Péri-
- gueux (Dordogne).
- — Gorce, garage, place de Jaude, à Clermont-Fer-
- rand (Puy-de-Dôme).
- — Gorlitz {automobit centrale), vente d'automo-
- biles, 19, an der Frauenkirche, Gorlitz (Allemagne).
- — Gosse, garage, à Deauville-sur-Mcr (Calvados).
- — Gotiiam auto C°, vente d'automobiles 1655,
- Broadway, k New-York (Etats-Unis).
- — Gotteland, garage, rue de Genève, à Aix-les-
- Bains (Savoie).
- — Gouirand, vente d'automobiles, 38, rue du Bois,
- à Levallois-Perret (Seine).
- — Goux, garage, 20, avenue de la Gare, à Epinal
- (Vosges).
- — Grand, vente d’automobiles, à Loiv-le-Saulnier
- (Jura).
- — Grazia el Fiorini, garage, 17, via Indipen-
- denza Bologne (Italie).
- — Graziani et Cle, vente d’automobiles, 5, via
- San Piet.ro, à Padoue (Italie).
- — Grégoire, garage, rue Buffon, à Angers (Maine-
- et-Loire).
- — Gremaud {Joseph), vente d’automobiles, à Bulle
- (Suisse).
- — Gresse automobiles, vente d’automobileâ, 22,
- rue Taitbout, Paris.
- — Grigaut, garage, 68, rue du Connétable, à Chan-
- tilly (Oise).
- — Gril aîné, garage, 36, rue Carnot, à Poitiers
- (Vienne).
- — Gros, vente de motocyclettes, 21, rue de
- Champagne, â Saint-Etienne (Loire).
- — Gros, garage, 30, quai de Coligny, à Cherbourg
- (Manche).
- — Grumez,* garage, 14, Grande-Rue, â Montreuil-
- sur-Mer (Pas-de-Calais).
- — Grun, vente d’automobiles, Adolfstrasse, il
- Wiesbaden (Allemagne).
- — GRUS (G.), CABARRUS (L.) ET
- Cie vente d’automobiles Renault Frères, * 9, boulevard Malcsherbes, Paris ; et place Mozart, k Nice; et 25, cours Lieu-taud, à. Marseille.
- — Güenser, garage, 50, rue Mozel, à Verdun (Meuse).
- — Guérin, garage, 272, rue de Créqui à Lyon (Rhône).
- — Guérin, ventes d'automobiles, 30, boulevard de la Liberté, à Draguignan (Var),
- — Guérin, vente d’automobiles, 13, rue Beyle-Stendhal, à Greioble (IsèreL — Guibert, Maillard et Cie, vente d'automobiles, 10 et 20, rue du Cloître-Notre-Dame, Paris. — Guillemant Dissaux, garage, 26, boulevard Frédéric-Degeorges, à Béthune (Pas-de-Calais).
- Faites connaître | ? 11 I | avant
- vos corrections à Lw AAINI |^| AA I— le 15 octobre
- p.792 - vue 794/946
-
-
-
- CI ASSE 25
- COMMENCE AI TOMOIIII E
- 79° —
- — Guillet, garage, avenue Malausséna, à Nice
- (Alpes-Maritimes).
- — Guilloreau, garage, 29, rue d’Alger, le Mans
- (Sarthe).
- — Güillout, garage, 9, rue de la Banque, à Chalon-
- sur-Saône (Saône-et-Loire).
- — Guin et Fils, vente d’automobiles, 15, rue Saint-
- Martin, à Ne vers (Nièvre).
- — Guinard, garage, 31, boulevard du Cours, à Compïègne (Oise).
- — Güinet, garage, 2, place Paul-Bert, à Saint-
- Etienne (Loire).
- — Guinot, vente d’automobiles, 202, rue du Fau-
- bourg Saint-Denis, Paris.
- — Guinot, garage, 8, place de la Halle, <\ Scnlis
- (Oise).
- — Guiot, vente d’automobiles, 96, rue Lauriston,
- Paris.
- — Gütmann, vente d’automobiles, 41, boulevard
- Haussmann, Paris.
- — Hagnauer, commerce d’automobiles, 23, rue
- de la Boëtie, Paris.
- — IîaigiiandC0 garage 56 West Street à Sheffield
- (Angleterre).
- — Hamilton vente d’automobiles, 40, rue Jean-
- Goujon, Paris.
- — Hamon, garage, 9, rue de la Louviôre, à Ram-
- bouillet (Seine-et-Oise).
- -- Hardy, garage, place de la Marie, à Laval (Mayenne).
- — Hartmann, vente d’automobiles, à E senacli
- (Allemagne).
- — Hauser, garage, place de rHôtel-dc-Ville, à
- Châlons-sur-Marne (Marne).
- — Hausler, garage, 20 Thiersclistrasse, à Munich
- (Allemagne).
- — Hebden, garage, 3, Briggate, à Lceds (Angle-
- terre).
- — Hée, garage, 57, rue Joséphine, à Evreux (Eure).
- — Helmke, vente d’automob.les, 32, Blaubach, à
- Cologne (Allemagne).
- — Helloüin, garage, place de l’Hôtel-de-Ville, à
- Saint-Valery-en-Caux (Seine-Inférieure).
- — HÉloin, garage, 43, rue de Montataire, à Creil
- (Oise).
- — Hénault, vente d’automobi'.es, rue du Poids-du-Roi, à Blois (Loir-et-Cher).
- — Hennocque et Cie,{garage Palace), vente d*automobiles, 12, rue de Ballore, <\ Vichy (Allier).
- — Hennocque et Cie, ventes d automobiles, place
- Sainte Davotte, il Monte-Carlo (Principauté de Monaco).
- — Henrionnet, garage, 134, boulevard de la Ro-
- chelle, h Bar-le-Duc (Meuse).
- — Hercher, garage, place des Arts, à Rouen
- (Seine-Inférieure).
- — IIerpin, garage, à Vibraye (Sarthe).
- — Hervé, garage, 29, place de l’Hôtcl-dc-Ville, à
- Yvetôt (Seine-Inférieure).
- — Hervein-Tyberghein, garage, 4, rue des-Ursu-
- lines, à Tourcoing (Nord).
- — Hess et Perino, garage, corso Dante, Angolo
- via Tepolo, àTurin (Italie).
- — Hesselman and C°, garage, à Melbourne (Aus-
- tralie).
- — Heulin, vente d’automobiles, rue Leroy, à
- Mondoubleau (Loir-et-Cher).
- — Hilaire, garage, 4, rue Saint-Dominique, à
- Nîmes (Gard).
- — Hilfiger, garage, 20 Judengasse, à Colmar (Al-
- sace-Lorraine).
- — Holland automobile, vente d’automobiles, 51,
- Station weg, à la Haye (Hollande).
- — Holland Park motor C°, vente d’automobiles,
- 124, Holland Park avenue A Londres (Angleterre).
- Holley et Cle, vente d’automobiles, 73, avenue de la Grande Armée, Paris.
- Holmes Schmidt motor C°, vente d’autom v iles, 1502, Michigan avenue, à Chicago, Illinois (Etato-Unis).
- Hol Tan C°, vente d’automobiles, Broadway et 56 th Street, à New-York (Etats-Unis). Hotchkiss, (automobiles), garage, 231 W.
- 40 th Street, à New-Vork (Etats-Unis). Houroüx, garage, 39, rue de Paris, à Avallon (Yonne).
- Huet-Goujon, vente d’automobiles, 12, rue de la Gare, à Ancenis (Loire-Inférieure). Hügonnet et Thévenod, garage, place de la Liberté, à Lons-le-Saulnier (Jura).
- Huitric, garage, 11, rue Carnot, à Morlaix (Finistère).
- Humbert, garage, 5, rue Fruitière, à Saint-Mihiel (Meuse).
- Huret, garage, 65, rue Nationale, à Lille (Nord).
- HUSSENOT ET RAYNAUD, T”
- mobiles, 39, rue La Bcëtie, Paris.
- Hutton, Ltd, vente d’automobiles, 81, Shaftes-burg avenue, à Londres, W. (Angleterre). Hybgen, garage, 1, rue des Bordes, à Provins (Seine-et-Marne).
- INTERMÉDIAIRE <L ), ŒJK
- 17, rue Monsigny ; 156, avenue Malakofï ; et 23, rue Guyot, Paris.
- - Intermédiaire (L’), garage, 4, place Castellane à Marseille (Bouches-du-Rhône).
- International automobiles, vente d’automobiles, 68, rue Saint-Charles, Paris.
- — International garage, vente d’automobiles,
- 3, via Morone à Milan (Italie)
- — Tsnard, garage, 43, route Nationale, à Hyères
- (Var)
- — Tssaud, garage, 36, boulevard Thiers, à Royan
- (Charente-Inférieure).
- — Jablin, garage, 7, rue de la Gare, Châteauroux
- (Indre).
- — Jacquet, garage, avenue de la Gare, Montbéliard
- (Doubs).
- — Jacquier et Cie, garage, 4, rue BufTault, Paris.
- — Jacquin, garage, place Sainte-Dévote, Monte-
- Carlo, Principauté de Monaco.
- — Jacquot, automobiles, 30, rue des Bourdonnais,
- Paris.
- — Jaegf.r Rouot, garage, 36, rue Saint-Laurent,
- Épernay (Marne).
- — Jardin, garage, 8, place de la Madeleine, Verncuil
- (Eure).
- — Jarrot et Lktts, automobiles, 45, Great, Mal-
- borough Street, regent Street, Londres (Angleterre).
- — Jarry, garage, 5, place du Mûrier, Angoulème
- (Charente).
- — Jean, garage, place Carnot, Avranches (Manche).
- — Jean, commerce de motocyclettes, 33, place du
- Marché, Draguignan (Varh
- — Jeubert, garage, 28, rue de Montereau, Sens
- (Yonne).
- — Johnson and Wright, garage, 23, Gold Street,
- Northampton (Angleterre).
- — Jolly {Auto garage du Centre), Sedan (Ardennes)
- — Joos, commerce d’automobiles, 8, Kauftnger-
- stras.se, Munich (Allemagne).
- — Jossin, commerce d’automobiles, 207, rue
- Lafayette, Paris.
- — Jouffrineaü, garage, rue Sénannont, Dreux
- (Eure-et-Loir).
- — Jousseaume, garage, 14, place Saint-Jean,
- Niort (Deux-Sèvres).
- — Jouve Fils, commerce d’automobiles, 6, rue
- Pergolêse, Paris.
- s7 VOUS VOULEZ GONJÜIRE AU MIEuX UNE AUTOMOBILE, LISEZ :
- L'ART DE BIEN CONDUIRE
- p.793 - vue 795/946
-
-
-
- CLASSE 2Ô
- COMMERCE AUTOMOBILE
- 79ri —
- — Jubaud, garage, 8, rue de TOdet, Quimper (Finistère).
- — Jubé-Renaud, garage, rue Grande, Fontaine-
- bleau (Seine-et-Marne).
- — Kamfmann et Cie, commissionnaires en acces-
- soires automobiles, 13, rue Richer, Paris.
- — Keele and C°, garage, 28, Brook Street, W. Londres (Angleterre).
- — Kjenle, commerce d’automobiles, Mannheim
- (Allemagne).
- — Kléber, commerce d’automobiles, 100, avenue
- Kléber, Paris,
- — Kléber-Forest, commerce d’automobiles, 6,
- rue Poisson, Paris.
- — Klein, commerce d’automobiles, Luxembourg
- (Grand Duché de Luxembourg).
- KRIÉGER ET BRASIER (SOCIÉTÉ DES GARAGES),S™ae 11 Bo“8'
- — Kuntz, garage, 10, rue de Constantine.
- — Labadie, garage, 4, rue Lordat, Tarbes (Hautes-
- Pyrénées).
- — Labarrère, garage, 4, boulevard de la Répu-
- blique, Agen (Lot-et-Garonne).
- — Labbé, commerce d’automobiles, 3 ter, rue de
- la République, Saint-Maur (Seine).
- — Labbez-Billot, garage, 73, place du Marché,
- Meaux (Seine-et-Marne).
- — Labre, garage, rue des Usines, Montluçon (Allier).
- — Làcombe, garage, 63, rue du Grand-Cerf, Poitiers
- (Vienne).
- — Lacoste, earage, rue Thiers, Villeneuve-sur-Lot
- (Lot-et-Garonne).
- — Ladoux, garage, rue Blatin, Clermont-Ferrand
- (Puy-de-Dôme).
- — Lafargue, garage, 45, rue Croix-de-Seguey,
- Bordeaux (Gironde).
- — Laffely, garage, 55, rue Saint-Martin, Bayeux
- (Calvados).
- -™ Lacroix, garage, rue Victor-Hugo, Yîllefranche-sur-Saônc (Rhône).
- — Laïttole (O. de), central-garage,Tarbes (Hautes-
- Pyrénées).
- — Lafitte (Auto-garage-ccntral). Biarritz (Basses-
- Pyrénées).
- — Lafon et Cle, garage, 18, rue de Chanzy, Li-
- bourne (Gironde).
- -- Lagardf, garage, rue du Palais, Périgueux (Dordogne).
- — Lagogué Fils, garage, 10, rue Saint-Biaise,
- Alençon (Orne).
- — Lahaiville, garage, 126, rue de Vêles, Bar-îe-
- Due (Meuse).
- — Lainé, garage. 32, quai d’Avesnières, Laval (Mayenne).
- — Laiii-Delay, garage, boulevard de Ronceray,
- Angers (Maine-et-Loire).
- — Laleud, garage, 10, cours de la République,
- Roanne (Loire).
- • — Lambert, commerce d’automobiles, 16, rue de Grammont, Paris.
- — Lamrerjack, garage, 95, boulevard Gouvlon-
- Saint-Cyr, Paris.
- — Lamblin, commerce d’automobiles, 37, boulevard
- de la Senne, Bruxelles (Belgique).
- Lamblin, garage, 15, rue Chabot-Charny, Dijon (Côte-d’Or).
- — Lambrechts Jeune, garage, 9, rue Pierre-Cor-
- neille, Lille (Nord).
- — Lamotte, garage, place de la Halle, Laigle (Orne).
- — Lancaster Motor Garage, 1, Lancaster Gâte,
- Londres (Angleterre).
- — Lancelin, garage, 19, rue de Paris. Tourpan
- (Seine-et-Marne).
- — Larohevèque, garage, 59, allées des Capucines,
- Marseille (Bouches-du-Rhône).
- — Larciievèque, commerce d’automobiles, 86, rue
- Charles-Laffitte, Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Laridan, garage, 60, rue Saint-Martin, Soissons-
- (Aisne).
- — Larrive Aîné, commerce d’automobiles, 16,
- rue de la Liberté, Cahors (Lot).
- — Larroumet et Lagarde, garage, Agen (Lot-
- et-Garonne).
- — Laruelle, garage, rue du Marché, à La Châtre
- (Indre).
- — Lassemblée, commerce d’automobiles, place des
- Capucines, Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais).
- — Lassoujade, garage, 3, boulevard de la Répu-
- blique, Agen (Lot-et-Garonne).
- — Laugier, garage, 35, route de la Valette, Toulon
- (Var).
- — Lautrec, garage, 8, boulevard de la Liberté,
- Béziers (Hérault).
- — Lautrec et Verrieux, garage, place Bardou,
- Perpignan (Pyrénées Orientales).
- — Lauvergnàt et Pestkl, garage, rue de l'Echo,
- Châteauroux (Indre).
- — Laval, dit Giel-Laval, commerce d’automobiles
- 5, cours du Chapeau-Rouge, Bordeaux (Gironde).
- — Lawton and C°, commerce d’automobiles, 27,
- Oxford Street, Manchester (Angleterre).
- — Lazobthes, garage, 14, rue Porte-Neuve, Pau
- (Basses-Pyrénées).
- — Lea, commerce d’automobiles, 16. Berry street,
- Liverpool (Angleterre).
- — Lebigre, garage, 41, boulevard de Strasbourg,
- Le Havre (Seine-Inférieure).
- — Leblanc, garage central, 5, place Godart.
- Chalons-sur-Marne (Marne).
- — Leiîreton, garage, rue de Périgueux, Angou-
- lême (Charente).
- — Le Calvez, garage, 8, rue de Valois, Paris.
- — Lechevalier, garage, 25, rue du Bois-Mersain, Chartres (Eure-et-Loir).
- — Leclerc, garage, 40, rue Guersant, Paris.
- — Lecomte, garage, 9, place d’Armes, Poitiers
- (Vienne).
- — Lecoq, commerce d’automobiles, 11, rue Gal-
- vani, Paris.
- — Léciuvain, commerce d’automobiles, Bussy-
- Lettrée (Marne).
- — Leduc, garage, carrefour Saint-Malaine, Pont-
- Lévêque (Calvados).
- — Leeds Motor Car C°, commerce d’automobiles, King street, Leeds (Angleterre).
- — Lefèvre, commerce d’automobiles, 3, rue de Chartres, Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Léger (Pierre) Fils, garage, 73, rue de la
- République, Albertville (Savoie).
- — Le Geiuïier, garage, 9, boulevard Carnot,
- Alger (Algérie).
- — Legros, commerce d’automobiles, 29, rue
- Grande, Auxonne (Côte-d’Or).
- -- Legros, garage, 8, rue de France, Fontainebleau (Seine-et-Marne).
- — Legros, garage, 5, rue Morieux, Pontarlier
- (Doubs).
- — Legros, fabrique d’automobiles, 16, rue de
- l’Inondation, Fécamp (Seine-Inférieure).
- — Lejay, commerce d’automobiles, 20, rue Fran-
- çois Ier, Paris.
- — Lejeune, garage, 28, route d’Evreux, Vernon
- , (Eure).
- — Leleu, garage, Grande Rue, Estaires (Nord).
- — Lemaire, garage, 28, rue du Pont, Château-
- Thierry (Aisne).
- — Lemaître, garage, 21, avenue de la Gare, Autun
- (Saôpe-et-Loire).
- — Lemaître, garage, 3, place de Lancrel, Alençon
- (Orne).
- — Léman, garage, 55, rue Nain, Roubaix (Nord).
- Force motrice, Éclairage Chauffage par l’ÂLCOOL
- SA MAJESTÉ*L’ALCOOL
- p.794 - vue 796/946
-
-
-
- CLASSE 25
- COMMERCE AUTOMOBILE
- — 7 95
- — Lemanceau, garage, 70, rue Torterot, Saint-Lô
- (Manche).
- — LE Meignen et Cie, garage, 3, rue Copernic,
- Nantes (Loire-Inférieure).
- — Lempereuh, garage, 81, rue Jouffroy, Paris.
- — Lenfant et cie, auto-garage, 14, rue Grande,
- Saint-Dizier (Haute-Marne).
- — Léon et Cie, garage, cours du Jardin public,
- Bordeaux (Gironde).
- — Lepeigné, garage, place de la Barre, aux Sables-
- d’Olonne (Vendée).
- — Lepez, commerce d’automobiles, h Vigo (Espagne
- — Le Prince, garage, 8, quai de Paris, Rouen (Seine
- Inférieure).
- — Le Quéré, garage, 10, rue du Légué, Saint-
- Brieuc (Côtes-du-Nord).
- — Leray, garage, 5, boulevard de l’Éperon,
- Chateaubriand (Loire-Inférieure).
- — Leroy-Barbier, garage, 11, rue Bournizet,
- Vouziers (Ardennes).
- — Le Saint, garage, 56, rue aux Ours, Rouen
- (Seine-Inférieure).
- — I.esna et Kuüling, vente d’automobiles, 200, v boulevard Péreire, Paris.
- — Lestelle, garage, 56, rue Victor-Hugo, Tarbes
- ( Hautes-Pyrénées).
- Letellier, garage, 28, rue Saint-Nicolas, Sau-mur (Maine-et-Loire).
- — Lettraz, garage, quai E. Chapuis, Annecy
- (Haute-Savoie).
- — Leuley, garage, 8, rue Pilot, Saint-Florentin
- (Yonne).
- — Levavasskur, garage, 11, avenue de la Né-
- gresse, Biarritz (Basses-Pyrénées).
- — Leven, commerce d’automobiles, 18, rue de
- Ménilmontant, Paris.
- — Levoyet, garage, 1, place Saint-Pierre, Dijon
- (Côte-d’Or).
- — Levrault, garage, 3, rue de la Gare, Niort
- (Deux-Sèvres).
- — Lévy, commerce d’automobile3, 30, rue Guersant,
- Paris.
- Lévy-Cavaignac, garage, 13, rue Grande, Fontainebleau (Seine-et-Marne).
- — Lewis-Auto Co, 484, Hancock street, Brooklyn
- (États-Pnis).
- — Lhérisson, garage, 29, rue Paul Proust, Niort
- (Deux-Sèvres).
- — Lioté, commerce d’automobiles, 44, rue Gambetta, Nancy (Meurthe-et-Moselle).
- — Loblein et Krafft, commerce d’automobiles,
- 43, Saint-Johanninstrasse, Nüremberg (Allemagne).
- — Location D’Automobile (La), location et
- vente d’automobiles, 8, rue du Débarcadère, Paris.
- — Loeb und C°, garage, 5, Grünstrasse, Berlin
- (Allemagne).
- — Lohr et Becker, commerce d’automobiles, 70,
- Lohrstrasse, Coblence (Allemagne).
- — London and Parisian. Motor C°, commerce
- d’automobiles, 58, south Molton Street, Londres (Angleterre).
- — London Motor Garage C°, commerce d’auto-
- mobiles, 33, Wardour street, Londres (Angleterre).
- — Loppart, commerce d’automobiles, 15, rue de
- Morkerke, Bruxelles (Belgique).
- — Lorinet, garage, 56, rue de la Gare, Chaumont
- (Haute-Marne).
- — Lorrain, auto-garage, 148, rue Saint-Dizier,
- Nancy (Meurthe-et-Moselle).
- — Loste, commerce d’automobiles, 93, avenue des
- Champs-Elysées, Paris.
- — Loste (Ernest) commerce d’automobiles, 37,
- rue Brunei, Paris.
- — Loste et Bonnet, garage, 9, allées de Tourny,
- Bordeaux (Gironde).
- — Lotteau frères, commerce d’automobiles, 14,
- rue du Pont, Choisy-le-Roi (Seine).
- — Loubky frères, garage, 39, rue Chambertrand,
- Sens (Yonne).
- — Louche, commerce d’automobiles, 23, rue des
- Minimes, Marseille (Bouches-du-Rhône).
- — Louhaitis, commerce d’automobiles, Boulac
- street, Le Caire (Egypte).
- — Lozach, garage, 24, rue du Pont-Firmin, Quimper (Finistère).
- — Lozano, vente d’automobiles, 14, paseo de
- Recoletos, Madrid (Espagne).
- — Lucas, garage, rue des Roudiries, Dinan (Côtes-
- du-Nord).
- — Lucre, commerce d’automobiles, 65, Amalien-
- strasse, Karlsruhe (Allemagne).
- — Lücotte et Cie, commerce d’automobiles, 73,
- rue Michel-Ange, Paris.
- —- Haas, vente d’automobiles, 25, rue Demours, Paris.
- — Madrid-automobiles, garage, Calle de Miracruz,
- Saint-Sébastien (Espagne).
- — Magliola, garage, 10 via Mezzini, Biella (Italie).
- MAGNAT ET DEBON,
- Grenoble (Isère).
- ™ Magne, garage, 1, quai Vauban, Perpignan (Pyrénées-Orientales).
- — Mahelin, garage, 63, rue Frédéric-Petit, Amiens
- (Somme).
- — Maillard, vente d’automobiles, 56, rue La Roche
- foucauld, Paris.
- — Maillard, garage, rue de Londres, Paris-Plage (Pas-de-Calais).
- — Maire, garage, rue Morieux, Pontarlier (Doubs).
- — Mairot, garage, Chaux-de-Fonds (Suisse).
- — Maitrugue, garage, 60, Grande-Rue, Pontarlier (Doubs).
- MAI TU II I P école de chauffeurs, garage, JtIHLE.VIL.Ll., réparai ions et transforma-tions, 23, rue Louis-Blanc, Levallois-Perrei (Seine).
- — Maleyille, garage, Libourne (Gironde).
- — Malinge, garage, 23, rue Paul-Bert, Angers
- (Maine-et-Loire).
- — Mallet, garage, rue du Bassin, Cherbourg
- (Manche).
- — Mallet, garage, rue de la République, Sarlat
- (Dordogne).
- — Malleville, garage, 8, place Decazes, Libourne (Gironde).
- —*Maltby-automobile Co, Clinton street, Brooklyn, New-York (E. U.).
- — Mamain, garage, 31, cours Lieutaud, Marseille (Bouches-du-Rhône).
- *— * Manchester motoii supply C°, garage, 18 Oxford street, Manchester (Angleterre).
- — Manchon, garage, 16, quai Gaston-Boulet, Rouen (Seine-Inférieure).
- — Mançon, garage, 38, rue de la République, Orléans (Loiret).
- — Mandaiid, garage, Villers-sur-Mer (Calvados).
- — Mande, (rudolpii), garage -IV Heugasse 54
- Vienne (Autriche).
- — Manera, garage, quai de Garavan, Menton
- (Alpes-Maritimes).
- — Mangini Merello et Cie, garage, Genova
- (Italie).
- — Mann and Oyerton, vente d’automobiles 7
- Lower Belgrave street, Londres (Angleterre).
- — Mann, Egerton, garage, 3 Prince of Wales Road
- Norwick (Angleterre).
- — Mansbendel, garage, 10 Bückerstrasse, Muj.
- bouse (Alsace-Lorraine).
- [
- s _ _ »
- FAITES LIRE
- LES
- ELEMENTS D’AUTOfllOKILE
- A TOUS LES
- DÉBUTANTS
- p.795 - vue 797/946
-
-
-
- CLASSE 2D
- COMMERCE AUTOMOBILE
- — 796 —
- — Mansfeld et Berger, garage, Palmstrasse,
- Dresde {Allemagne).
- — Marceau, place Saint-Micliel, Chartres (Eure-et-
- Loir).
- — Marcellin, Brest-Dufour, garage, 20, avenue
- de Neuilly, Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Marchand, garage, 45, rue Carnot-, Versailles
- (Seine-et-Oise).
- — Marchesini et Paltrinieri, garage, 17 via
- Republicana, Bologne (Italie).
- — Maréchal, vente de motocyclettes, Thieuloy-
- Saint-Antoine (Oise).
- — Margarita, école de chauffeurs, 12G, boulevard
- de Courcelles, Paris.
- — Marmiesse, garage, rue Saint-James, Cahors
- (Lot).
- — Marolle, garage, route de Mon-Idée, Sedan
- (Ardennes).
- — Marquart, garage, 3 via Francesco Melzi, Milan
- (Italie).
- — Marques {Société des grandes), garage, 11, rue Galvani, Paris.
- — Marriot, garage Saint-Owen Street, Hereford
- (Angleterre).
- — Marsan frères, garage, Boulogne-sur-Mer
- (Pas-de-Calais).
- — Martel, garage, rue Droite, Sisteron (Basses-
- Alpes).
- — Martin, garage, Longny (Orne).
- — Martin, garage, 12, place de la République,
- Sens (Yonne).
- — Martin, garage, boulevard Saint-Roch, Avignon
- (Vaucluse).
- — Martin, vente d*automobiles, 22, rue des Cou-
- teliers, Toulouse ( Haute-Garonne).
- — Martine et Cie, garage, place du Pont, Trouville-
- sur-Mer (Calvados).
- — Martini automobil Verkaufs Gesellschaft,
- vente d’automobiles, Berlin W. 62 (Allemagne).
- -— Martischang, commerce d’automobiles, 57, rue des Bourguignons, il Bois-Colombes (Seine).
- — Marvaldy, garage, à Saint-Raphaël, Var.
- — Marze, vente d’automobiles, 8, rue Martinière,
- Lyon (Rhône).
- — Masse et Cie, garage, 26, cours Lieutaud,
- Marseille (Bouches-du-Rhône).
- — Masson, garage, 70, rue Poterie, Vendôme
- (Loir-et-Cher).
- — Mastrilli, garage, 4 via Mergellina, Naples
- (Italie).
- — Mathew and C°, garage, 107 Higli Street, Bec-
- kenham (Angleterre). #
- — Mathieu, garage, 28, rue Buirette, Reims,
- (Marne).
- — Mathieu, garage, 74, boulevard de Strasbourg,
- Toulon (Var).
- — Mathieu, garage, avenue de Belfort, Béziers
- (Hérault).
- — Mathieu, garage boulevard Saint Roch, Avignon
- (Vaucluse).
- — Mathieu, garage, 40, boulevard de la République,
- Nîmes (Gard).
- MITUiril /U \ commerce d’automobiles, IfM I lll LU \ V . /, vente de « VElevator Thomas o, 18, rue Saint-Ferdinand, Paris.
- — Mathieu et Leenhardt, garage, commerce
- d’automobiles, 1, rue Villaret-de-Joyeuse, Paris.
- MATUIC garage, 23 et25, Finkmattstrasse, ITIA I fil O, Strasbourg (Alsace-Lorraine).
- — Mattioli, garage, Parme (Italie).
- — Maüboire, garage, 0, rue Neuve Blois (Loir-et-
- Cher).
- — Maudrain, garage, 40, avenue Gambetta,
- Saintes (Charente-Inférieure).
- — Mauger, garage, Dreux (Eure-et-Loir).
- — Mauny (DE), garage, 20, rue de la Pelleterie,
- Nantes (Loire-Inférieure).
- — Maurer garage Amthausgasse Berne (Suisse).
- — Mayeur, garage, 4, rue de la Liberté, Alger
- (Algérie).
- — Mazet, garage, 6, rue Rouget-de-l’Isle, Lons-le-
- Saunier (Jura).
- — Mazière, garage, Bergerac (Dordogne).
- — Mazouillier, garage, rue de la République,
- Draguignan (Var).
- — Mazurier, vente d’automobiles, 22, rue Taitbout,
- Paris.
- — Meillère, garage, 57, faubourg de France, Bel-
- fort (Territoire de Belfort).
- — Ménager, vente d’automobiles, 4. rue Sarrette,
- Paris.
- — Ménager, garage, 20, rue des Chartrettes, Rouen
- (Seine-Inférieure).
- — Mentzer, garage, 31, boulevard Seguin, Oran
- (Algérie).
- — Mercédès-Palace, vente d’automobiles, 70,
- avenue des Champs-Elysées, Paris.
- — Meiicédès-Palast, vente d’automobiles, Franc-
- fort-sur-le-Mcin ( Allemagne).
- — Mercier et du Motfl, automobiles, 62, avenue
- de la Grande-Armée, Paris.
- — Messain (Henri), garage, Maxey-sur-Vaise
- (Meuse).
- — Merle, commerce d’automobiles, 5, quai de la
- Souys, il Bordeaux-Bastide (Gironde).
- — Métallurgique Cars, vente d’automobiles,
- 230 Shaftesbury avenue, Londres (Angleterre).
- — Metzger, garage, 8 Hohenzollernstrasse, Kasscl
- (Allemagne).
- — Meunier et Cie, garage, boulevard Félix-Faure,
- Beaulieu-sur-Mer (Alpes-Maritimes).
- — Meusien, auto-garage, 4, place du Marché,
- Verdun (Meuse).
- — Meyer, garage, rue d’Orfeuil, Châlons-sur-Marne
- (Marne).
- — Meyer, garage, place du Casino, Dieppe (Seine-
- Inférieure).
- — Meyer, vente d’automobiles, 18, rue d’Arme-
- nonville, Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Millet, garage, 2, rue de la République, Sens
- (Yonne).
- — Millet, garage, faubourg des Ancêtres, Belfort
- (Territoire de Belfort).
- — Millot, garage, rue de Mantes, Meulan (Seine-ct-
- Oise).
- — Minodier, garage, 3 boulevard Bancel, Valence
- sur-Rhône (Drôme).
- — Missoten, garage, 27, place Madier-de-Montjau,
- Valence-sur-RhÔne ( Drôme).
- — Moché et Hoschedé, garage, 105, route de Paris
- Ver non (Eure).
- — Modern-garage, rue Ballore, Vichy (Allier).
- — Modern-garage, 15, Cours Tourny, Bordeaux
- (Gironde).
- — Modern-garage, 81, rue Blatin, Clermont-Fcr-
- ran l, (Puy-de-Dôme).
- — Modern-garage, rue de la Pionnière, Dinard
- ( Ille-et-Vilaine).
- —• Modern-garage, 4, rue Croix-de-Marbre, Nice ' Alpes-Maritimes).
- — Moerman, garage, commerce d'automobiles,
- 96, rue de Livourne, Bruxelles (Belgique).
- — Molle et Cie, garage, place Bayard, Toulous
- (Haute-Garonne).
- — Molon, garage, 158, rue Victor-Hugo, le Hftvre
- (Seine-Inférieure).
- — Monceau (garage) .06, rue Cardinet, Paris.
- — Moncet et Nayr v rage, 20, rue Racine,
- Nantes (Loire-Inférieure;
- r
- C UJOURS CITER
- L’ANNUAL
- EN ÉCRIVANT AUX FABRICANTS
- p.796 - vue 798/946
-
-
-
- CLASSE 25
- 797 -- COMMERCE AUTOMOBILE
- — Monet, garage quai du Nord, Mâcon (Saône-et-
- Loire).
- — Montel et Cie, garage, 94, cours du Prado, Mar-
- seille (Bouches-du-Rhône).
- — MONTPELLIER - AUTOMOBILE,
- garage, 56, avenue de Toulouse, Montpellier (Hérault).
- — Montet, garage, 4, rue Porte-Reine, Chambéry
- (Savoie).
- — Morgon, garage, rue du Bastion, Bourg (Ain).
- — Morisson et Cie, commerce d’automobiles, 47,
- rue des Acacias, Paris.
- — Mous, Ltd, commerce d’automobiles, 55 Shaftes-
- bury avenue, Piccadilly circus, Londres (Angleterre).
- — Mous automobile C°, commerce d’automobiles,
- N° 41 West 55 th. New-York (E. U.).
- — Mobtueuil, garage, 18, rue des Tisons, Alençon
- (Orne).
- WlfiBTC commerce d'automobiles, 8, rue inUll£L, des Martinières, Lyon (Rhône).
- — Moto-caiî, garage, 60, rue de la Paix, Nice
- (Alpes-Maritimes):
- — Moto-club de Belgique (Garage du), 11, bou-
- levard du Régent, Bruxelles (Belgique).
- — Moto-gaeage de la gaue, boulevard du 4-Sep-
- tembre, Voiron (Isère).
- — Motoe-House, commerce d’automobiles, 314
- Euston Road, Londres N. W. (Angleterre).
- — Motou Véiiicle-Repaib and stouage C°,
- commerce d’automobiles, 121 W.31 st Street, New-York (E. U.).
- — Motouia, commerce d’automobiles, 17 Hanover
- square, Londres W. (Angleterre).
- — Mottin, garage, 54, cours Carnot, Elbeuf (Seine-
- Inférieure).
- — Mottin, garage, 40, cours Carnot, Elbeuf
- (Seine-Inférieure).
- — Moufflaiîd, garage, faubourg de la Portelette,
- Abbeville (Somme).
- — Moujllaud, commerce d’automobiles, 11 Zorrilla
- Madrid (Espagne).
- — Moüillf, commerce d’automobiles, Donzy
- (Nièvre).
- — Mouegüe, garage, boulevard de la Sous-Pré-
- fecture. Issoire (Puy-de-Dôme).
- — Moutreuil, commerce d’automobiles, â Alen-
- çon (Orne).
- — Muozonicki Frères, garage, 2, rue Croix-de-
- Marbre, Nice (Alpes-Maritimes).
- — Mullf.u, commerce d’automobiles, 22, rue de
- Picardie, Paris.
- — Muller frères, garage, Nationalhof, Lucerne
- (Suisse).
- — Musset (Vve), garage, rue de la Sous-Préfecture,
- Roanne (Loire).
- NAGL1ATI (ETTORE), ToS/kf
- Mosse, Florence (Italie).
- — Napoletana automobili (Societa), commerce
- d’automobiles, 56, Piazza, Mergellina Naples (Italie).
- — Nenci (Mercédès-Palace), automobiles, 43,
- via Lorenzo Mascheroni, Milan (Italie).
- — Neveu, garage Saint-Calais (Sartlie).
- — Newey’s Midland, garage automobiles, Station
- Street, Birmingham (Angleterre).
- — Newton, Bennet, and Carlisle, automobiles,
- 35 King Street, Manchester (Angleterre).
- — Nézière (de la), automobiles, 56, rue Pergo- j
- lèse, Paris. I
- — NICE-AUTOMOBILE , menade des An- j
- glais, Nice iAlpes-Maritimes).
- — Niel fils, garage, 10 boulevard de la République i
- Aix-en-Provence (Bouches du Rhône). *
- —- Nord (garage du) 29, rue de la Chapelle, Paris
- — Nosotti, automobiles, 15, Ariberto, Milan
- (Italie).
- — Nossereau, garage, 8, rue de Rouen, Saumur
- (Maine-et-Loire).
- — Ode, garage, place d’Armes, Toulon (Var).
- — Office des Sports, commerce d’automobiles,
- 18, rue du Débarcadère, Paris.
- -- Office général d’automobiles, commerce d’automobiles, 24, avenue Carnot, Paris.
- -- Oggioni(Sironi)ETC0,commerce d’automobiles, via Lesmi, Milan (Italie).
- — Olivieiu, automobiles, Païenne (Italie).
- — Omnium automobile, garage 106, rue Cardinet,
- Paris.
- — Opel-Darracq {automobü-Central), garage, 63,
- Graf adolfstrasse à Dusseldorf (Allemagne).
- — Orgeval, garage, 23, rue de Paris, Argentan,
- (Orne).
- — ORION (Sociéta Ita'o-Svizzera), automobiles, 32
- via Vincenzo-Monti, Bologne (Italie).
- — Orlando F. Weber C°, commerce d’automobiles.
- 1322 Michigan, avenue Chicago (E. U,).
- — Ormond automobile C°, automobiles, Jefferson
- avenue, Brooklyn (E. U.).
- — Ortelli, commerce d’automobiles, boulevard Carnot, Cannes (Alpes-Maritimes).
- — Osborn and C°, commerce d’automobiles, G, Créât Malborough Street, Regent Street, â Londres (Angleterre).
- — Ottolini, garage, 22 via Yivaio, Milan (Italie).
- — Outhenin-Ciialandre, commerce d’automobiles
- 4, rue de Chartres, Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Pabois, garage, 5 boulevard Victor-Hugo,
- Nantes (Loire-Inférieure).
- Padey, garage, 7, rue Versonnex, Genève (Suisse).
- — Pailleret, garage, 8, place de l’IIôtel-de-Ville,
- Saint-Etienne (Loire).
- —- Paillet, garage, 256, boulevard de la Plage, Arcachon (Gironde).
- — Palais de l’automobile, garage, 218, boulevard
- Péreire, Paris.
- — Palais de l’automobile, 571 Fifth avenue,
- New-York (E. U.).
- — Palais de l’automobile, garage, 31, rue Lé-
- pante, Nice (Alpes-Maritimes).
- — Palais de l’automobile, garage, 61, boulevard
- Carnot, Toulouse (Haute-Garonne).
- — Palais Moderne de l’Automobile, garage,
- commerce d’automobiles, 71, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Palais-Royal [Garage du), 8, rue de Valois, Paris
- — Palermitani. garage, 8, via Galvani, Pa-
- ïenne (Sicile).
- — Palita, garage, 3, avenue du Roule, Neuilly-
- sur-Seine (Seine).
- — Panchaud, garage, rue de Genève, Albertville
- (Savoie).
- — Pardee Johnson- Hamill C°, garage, 1218
- Michigan avenue, Chicago (États-Unis).
- — Paris, commerce d’automobiles, 7, rue de Nor-
- mandie, Paris.
- — PARIS-AUTOMOBILE, ŒKd8T
- rage, voitures Itala, 50, rue d’Anjou, Paris.
- — Paris-Garage, 20, rue Brunei Paris.
- — Paris-Moto, commerce d’automobiles, 71,
- avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — PARIS-AUTOMOBILE, SdC
- mobiles, accessoires ; représentants des voitures Itala, 50, rue d’Anjou, Paris.
- — PARISIENNE D’AUTOMOBILES
- [Société), garage, avenue de la Grande-Armée, 10, Paru.
- PTes recettes ûü chauffeur poure,f^nnirais'
- p.797 - vue 799/946
-
-
-
- CLASSE 20
- C O M M E HC E A UTOM O BI LE
- Parquix (Vve E.), garage, 65 bis, rue Victor-Hugo, Tours (Indre-et-Loire).
- — Passerand, garage, 62, Grande Hue, Montereau
- (Seine-et-Marne).
- — Passy {garage de), 12, rue Eugène-Delacroix,
- Paris.
- — Pasteur {garage ),57, avenue de Saxe, Paris.
- —- Peckham (F. W.) Motor Syndicats, Ltd, commerce d’automobiles, 40, Sackville Street, Piccadilly, Londres (Angleterre).
- — Peillon, commerce d’automobiles, route de
- Saint-Étienne, Izieux, près Saint-Chamond (Loire).
- — Pélisson et Troulet, garage, 70, rue Saint-
- Barthélemy, Melun (Seine-et-Marne).
- — Pklladeau, garage, 70, rue de Saintes, Angou-
- lôme (Charente).
- — Penelle Père, garage, 40, avenue Thiers,
- Melun (Seine-et-Marne).
- — Péqüeuk, garage, 25, rue de Paris, Évreux (Eure) — Perceval, garage, boulevard de PAyrolle, Millau (Aveyron).
- — Péré Frères, commerce d’automobiles, Baignes
- (Charente).
- — Péré Romeu, commerce d’automobiles, 335,
- Corcega, Barcelone (Espagne).
- — Pérignon ET Rouuier, commerce d’automobiles,
- 13, rue du Débarcadère, Paris.
- — Périn (Ateliers), garage, boulevard des Deux-
- Villes, Charleville (Ardennes).
- — Pérox, garage, 9, rue de l’Escaille, Épernay
- (Marne).
- — Perrier et Cie, garage, 18, rue Godot-de-Mau-
- roy, Paris.
- — Periux, garage, place d’Armes, Blidah (Algérie).
- — Perrody et Cie, garage, 218, avenue de Saxe,
- Lyon (Rhône).
- — PERROT, DUVAL ET C \ ^
- ___ Général Dufour, Genève (Suisse).
- — Perrotte, garage, rue d’Alençon, Lisieux (Cal-
- vados).
- — Petit, garage, 44, rue de la Rochelle, Bar-le-
- Duc (Meuse).
- — Petit, garage, 2, rue de Paris, Sézanne (Marne).
- DFTIT ITT Piû garage et commerce d’au-I t I I I u I u , tomobiles, manège véloci-pédique, 23,avenubdes Champs-Elysées, Paris.
- — Petitimbert, garage, 25, Grande-Rue de Béth-
- léem, Clamecy (Nièvre).
- — Peyrard, garage, rue d’Angleterre, Tunis (Tu
- nisie).
- — PÉZaïre, garage, 4, rue Gornet-Boivin, Romil-
- ly-sur-Seine (Aube).
- — Phébus, garage, 3, rue Copernic, Nantes (Loire-
- Inférieure).
- — Pi AT garage, Roanne (Loire).
- — Pi AT et Fougerol, garage, 7, avenue de Paris, Auxerre (Yonne).
- — Picexa Fratelij, garage, 41, via Lagrange,
- Turin (Italie).
- — Pichaud, garage, 110, rue Saint-IIilaire, Nogent-le-Rotrou (Eure-et-Loir).
- — PlCHOX, garage, Grande Rue de Bethléem, à
- Clamecy (Nièvre).
- — Pichoud, garage, route de Chambéry, Aix-les-
- Bains (Savoie).
- — Pierrefite, garage, 41 bis, faubourg Stanislas,
- Nancy (Meurthe-et-Moselle).
- — Pigxier-Lochon, garage, rue Vaugelas, à An-
- necy (Haute-Savoie).
- — Fillette, garage, 14, rue Masséna, Lille (Nord).
- — Pinard et Cie, garage, 13, passage Sainte-Croix-
- de-la-Bretonnerie, Paris.
- — Pinaud-Duanip, commerce de voitures, 92,
- boulevard de Caudéran, Bordeaux (Gironde).
- — Pinaud-Ragot, garage, rue de Courthardy,
- Le Mans (Sarthe).
- — Pincemin, garage, 3, rue aux Toiles, SainS
- Brieuc (Nord).
- — Pineau, garage, 105, rue Nationale, Le Main
- (Sarthe).
- — Pizetta et Bonnet, garage, 18, quai du Havre,
- Rouen (Seine-Inférieure).
- — Pizon, garage, 30, rue Basse-Aumône, SaiiP-
- Ouen-PAumône (Seine-et-Oise).
- — Pizzorno, garage, Piazza, Vittorio Emmanuel', Alexandrie (Italie).
- — Plancard Fils, garage, 5, allées d’Iéna,
- Carcassonne (Aude).
- — Planchez, garage, 31, place du 14 Juille*,
- Brive (Corrèze).
- — Planteau et Girard, garage, place' Clamri,
- Bergerac (Dordogne).
- — Plattier et Paret, commerce d’automobile*, Saint-Vall:er-sur-Rhône (Drôme).
- — Pomayrol, garage, place de la Rotonde, Aix-
- en-Provence (Bouches-du-Rhône).
- — PommiéS, garage, 116, boulevard de la Répu-
- blique, Agen (Lot-et-Garonne).
- —- PONCET, garage, 32, rue Balay, Saint-Étienne (Loire).
- — Poncet, garage, 66, avenue Carnot, Draguignan
- (Var).
- - Pons et Pernoo, commerce d’automobiles,
- 210, boulevard Péreire, Paris.
- - Pont de l’Europe {Garage du), 3, rue d’Édim-
- bourg, Paris.
- — Pontillon, garage, 6, passage Ronsin, Fontai-
- nebleau (Seine-et-Marne).
- — Portalier, garage, 14, rue des Cordiers,
- Saint-Malo (Ille-et-Vilaine).
- — Port-Royal {Garage de), 46, boulevard de
- Port-Royal, Paris.
- — Porte, commerce d’automobiles, 1, avenue du
- Roule, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Portier, garage, 2, rue Mozart, Paris.
- — Poüderoux, garage, place Michelet, Le Puy
- (Haute-Loire).
- — Pouget, garage, place du Bourg, Rodez (Aveyron)
- — Poupart, garage, Gisors (Eure).
- — Pousset, garage, 76, Grande Rue, Romorantin
- (Loir-et-Cher).
- — Pradillon, garage, place du Général-Espagne,
- Aubusson (Creuse).
- — Prévôt, garage, 7, place Faidherbe, Bapaume
- (Pas-de-Calais).
- — Prévôt, garage, 22, Grande Rue, Montereau
- (Seine-et-Marne).
- — Probst et Schwarze, commerce d’automobiles
- VIII Laudougasse, 18, Vienne (Autriche).
- — Prompsaud, garage, 8, rue Nationale, Ram-
- bouillet (Seine-et-Oise)
- — Prost-Boucle, commerce d’automobiles, place
- de l’Hôtel-de-Ville, Champagnole (Jura).
- — Proy, garage, 4, rue du Gouvernement, Saint-
- Quentin (Aisne).
- — Prudhomaïe, garage, 54, rue Saint-Guillaume,
- Saint-Brieuc (Côtes-du-Nord).
- — Prunet, garage, 2, place Carnot, Rouen (Seine-
- Inférieure).
- — Pülsford, commerce d'automobiles, 10, rue
- Taitbout, Paris.
- — Purson, garage, rue de Melun, Coulommiers-
- (Seine-et-Marne).
- — Püyhasset, commerce d’automobiles, rue du
- Pont, à Catus (Lot).
- — Quagliotti, automobiles, 49, corso Re Umberto',
- à Turin (Italie).
- — Quémard, garage, avenue . de Pontaillac, à
- Royan (Charente-Inférieure).
- — Quinet, garage, 29, Grande-Rue, à Sézanne-
- (Marne).
- La Revue la meilleure et la plus lue? “ 03VE2WX A. 99 '
- La seule dont on fasse collection? 03VEKTI-A.99 Rédacteur en Chef : L. BAUDRY de SAUNIER, ao, rue Dure!, Pari* — (18 francs par an)
- p.798 - vue 800/946
-
-
-
- CLASSE 25
- 79J
- COMMERCE AUTOMOBILE
- — Babeuf fils; garage, 22, route de Paris, à
- Amiens (Somme).
- — Rabiet, vente d’automobiles, 114, rue Amclot
- Paris.
- — Rabourdin, commerce d’automobiles, 22, place
- Vendôme, Paris.
- — Ramondou, automobiles, à Bebel, par Roquecor (Tarn-et-Garonne).
- — Bavoux, garage, boulevard Saint-Louis, le-Puy
- (Haute-Loire).
- — Bayez, automobiles, 31, rue Voltaire, à Amiens
- (Somme).
- — Reading, automobiles, 14, Biding House Street,
- Langham place, à Londres W (Angleterre).
- — Reed-Underhill C°, automobiles, 222,Columbus
- avenue, à Boston (États-Unis).
- — Régent, automobiles, 37, rue des Arènes, à
- Dôle (Jura).
- — Régner, automobiles, 50, rue Saint-Ferdinand,
- Paris.
- — Beithmayr, automobiles, 3, Thierschstrasse,
- à Munich (Bavière).
- — Benouard, garage, 109, avenue de la Tranchée,
- à Tours (Indre-et-Loire).
- — Benouil, garage, 18, boulevard Caudéran, à
- Bordeaux (Gironde).
- — Benouvel, garage, 17, rue de Paris, à Brest
- • (Finistère).
- — Bessel, garage, 14, Strada Carol, à Bukarest
- (Boumanie).
- — Reymond et Cîo, garage, 9, rue de Lyon, à
- Châlons-sur-Saône (Saône-et-Loire).
- — Bheinisch Westfaelisch automobil Gesell-
- schaft, automobiles, 20, Venlôrstrasse. à Cologne-sur-Ie-Bhin (Allemagne).
- — Rice, garage, 1790, Broadway, à New-York
- (Etats-Unis).
- — Bigault, garage, 8, rue de Paris, à Joinvillc-
- le-Pont (Seine).
- Bigoley, garage, 10, rue de la Paix, à Troyes (Aube).
- — Bigondet, garage, 79, route de Cusset, à Vichy
- (Allier).
- — Bion fils, commerce d’automobiles, 18, rue
- Jeannin, à Autun (Saône-et-Loire).
- — Riotteau et Goudeau, commerce d’automobiles
- à Latillé (Vienne).
- —- BiOU, commerce d’automobiles, à Joncquiôres (Vaucluse).
- — Rïttenhouse Garage, 21G S., 23 d. street, à
- Pliiladelphie (États-Unis).
- — Riuxm, garage, 16, corso Massimo d’Azeglio,
- à Turin (Italie).
- — Bivalta et Cic, (Galeries Automobiles), auto-
- mobiles, 25, rue Brunei, Paris..
- — Bivero, commerce d’automobiles, Général Castanos, 15, à Madrid (Espagne).
- — Rivière et Cie, garage, 107, rue Grande, à
- Paey-sur-Eure (Eure).
- — Robart, garage, 70. rue Frédéric-Petit-, à
- Amiens (Somme).
- — Roblin, garage, 6, Faubourg Bretonnière,
- à Beaune (Côte-d’Or).
- — Rocü-Brault et Degrais, garage, 30, place
- Saint-Ferdinand, Paris.
- — Boche, garage, 26, boulevard Louis-Blanc,
- Limoges (Haute-Vienne).
- — Rocher, garage, 5, avenue de la Gare, à Bourges
- (Cher).
- — Rochet, garage, 70, rue du Temple, il Auxerre
- (Yonne). * 0
- — Rochet, garage, 104, cours Gambetta, à Lyon
- (Rhône).
- — Rochette, garage, 44, rue Mazel, à Verdun
- (Meuse),
- — Roger, garage, 6, rue d’Auray, à Vannes
- (Morbihan).
- Roger et Abel, garage, 6, rue Félix-Faure,, à Nevers (Nièvre).
- Roger-Revière. — Voir Vexîn (Agence automobile du).
- Rollier, garage, 184, avenue Daumesnil, Paris.
- Romeu (PÈRE), automobiles, 335, Corcega, à Barcelone (Espagne).
- Roques, garage, 2, rue de l’Opéra, à Nice-(Alpes-Maritimes).
- Rose Motor Works, automobiles, à Northal-lerton (Angleterre).
- Rossy, garage, 241, avenue Daumesnil, Paris..
- Roucairos, garage, boulevard du Musée, à Carcassonne (Aude).
- Bougé, garage, boulevard Sarraut, i\ Carcas-sone (Aude).
- Rousseau, garage, 20, rue Tliiers, il Saint-Nazaire (Loire-Inférieure).
- Roussel-Hoche. garage,à Charleville (Ardennes).
- Rousselet {Garage), 19, rue Rousselet, Paris.
- Routière de France (Compagnie), garage, 79, rue Laugier, Paris.
- Rouxel, garage, 18, place du Marché, à Dinan (Côtes-du-Nord).
- Rowland and Sons, Castle Street, à Salisbury (Angleterre).
- Boy, automobiles, boulevard d’Alsace-Lorraine,, à Amiens (Somme).
- Boy, garage, 13, boulevard d’Alsace-Lorraine, à Amiens (Somme).
- B,oyat-Garage, à Boyat (Puy-de-Dôme).
- Bozier, garage, rue de l’Océan, à Saint-Nazaire-(Loire-Inférieure).
- Ruas, garage, à Montélimar (Drôme).
- Bubé, garage, 99, rue des Trois-Cailloux, à Amiens (Somme).
- Ruetgers, garage, 53, Hochstrassc, à Aix-la-Chapelle (Allemagne).
- Ruffin, automobiles, 8, place de la Mairie, à Brimoy (Seine-et-Marne).
- Rugama y Duro, automobiles, 15, carrera de San-Jeronimo, à Madrid (Espagne).
- Rumseyand C°, garage, Jewry street, àWinches-ter (Angleterre).
- Rustin, garage, 14, rue Saint-Martin, ù. Dreux (Eure-et-Loir).
- Saiiores et Ojeda, automobiles, 32, avenue de l’Opêra, Paris.
- Saint-Germain-Cluny {Garage), commerce d’automobiles, 55 bis, boulevard Saint-Germain, Paris.
- Saint-Lazare {Garage), 12 bis, passage Tivoli, Paris.
- Saint-Nicolas {Garage), automobiles, quai de la Loire, à Nevers (Nièvre).
- Saint-Quentin {Auto-Garage de), automobiles 74, boulevard Henri-Martin, à Saint-Quentin (Aisne).
- Salamo, garage, 10, rue Saint-Antoine, à Chambéry (Savoie).
- SALLEBON (J:) ET C",
- commerce d’automobiles, 16, rue Duret, Paris.
- Salomon, garage, boulevard Vauban, il Lille (Nord).
- Salvan, garage, place de la Révolution, à Narbonne (Aude).
- Sanford, automobiles, 1843, Broadway, à New-York (États-Unis).
- SANTA MARIA (DE), tomobiles, accessoires, 6, rue de la Chaussée d'Antin, Paris.
- Sarralier, garage, 73, boulevard Saint-Martin, à Laon (Aisne).
- AUTO-GENERALE
- 16, rue Duret — PARIS
- i. SALLERON
- Directeur
- Automobiles
- L. Bollée, Brasier, Delaunay Bellirül» Pantard-Levassor, Mors
- p.799 - vue 801/946
-
-
-
- CLASSE 2 5
- 8oO
- C OTvl MER C E A UTOM 0 BI LE
- — Saulière et Paquet, garage, 30, rue Gambetta,
- à Castres (Tarn).
- — Saunier, garage, rue Saint-Biaise, à Alençon
- (Orne).
- — Saunier, garage, à Bagnoles-les-Bains (Orne).
- — Saünin, garage, commerce d’automobiles, 74,
- boulevard de Strasbourg, à Toulon (Var).
- — Saunion-Buisson, vente d’automobiles « Im-
- peria », 11, rue de la Boétie, Paris.
- — Sauzay ,Garage Moderne, commerce d’auto-
- mobiles, 12, rue de l’Arquebuse, à Autun (Saône-et-Loire).
- — Savery, garage, 15, rue de l’Arquebuse, à
- Auxerre (Yonne).
- — Sciilotterbeck, commerce d’automobiles, 45,
- Steinenring, à Bâle (Suisse).
- — Schmidt et Diek, commerce d’automobiles, à
- Wiesbaden (Allemagne).
- — Schmidt, commerce d’automobiles, Wiener
- Platz, à Dresde (Allemagne).
- — Sciionleber, commerce d’automobiles, 3, Kron-
- prinzstrasse, â Stuggart (Allemagne).
- — Schonwasser, commerce d’automobiles, 115,
- Grafenberger allée, â Dusseldorf (Allemagne).
- — Schott, garage, 3, rue Girardet, à Nancy
- (Meurthe-et-Moselle).
- — Schrader et Cie, vente d’automobiles, 51,
- avenue de la Grande Armée, Paris.
- — Sciiustala et Cio, vente d’automobiles, 39,
- Karlstrasse, à Berlin (Allemagne).
- — Scribe, commerce d’automobiles, 19, rue Rous-
- selet, Paris.
- —* Sefton Motor Garage, commerce d'automobiles, 59, Lark Lane, à Liverpool (Angleterre).
- — Seigneul, garage, rue de la Gare, â Fiers (Orne).
- — Sênac, garage, à Fontcnay-le-Comte (Vendée).
- — Sentenac, garage, Grande Iiue, â Pamiers
- (Ariège).
- — Sergent-Garage, 14, rue Victor-Hugo, à Bou-
- logne-sur-Mer (Pas-de-Calais).
- •— Servoles {Benjamin), commerce d’automobiles, à Bieux-Minervois (Aude).
- — Sézille, commerce d’automobiles, â Corbie
- (Somme).
- — Sibourd, garage, â Gap (Hautes-Alpes).
- — Simon, garage, rue Gambetta, à Castres (Tarn).
- — SlNÉ, garage, rue Rempart-Villeneuve, à Per-
- pignan (Pyrénées-Orientales).
- — Singer and C°, commerce d’automobiles, 17,
- Holborn Viaduct, à Londres (Angleterre).
- — Sintas, garage, 31, Caspe, Barcelone (Espagne).
- — SlOT, garage, 28, place de l’Hôtel-de-Ville, à
- Beauvais (Oise).
- — Si van (André), garage, à Fréjus (Var).
- — Smith, garage, 1, Weymouth Street, à Halifax
- (Angleterre).
- — Smith et Mabley, commerce d’automobiles
- 1761, Broadway, 57 th. street, à New-York (États-Unis).
- — Societa Italiana Automobili, commerce d’au-
- tomobiles, Piazza S, Luigi dei Francesi ù, Rôme (Italie). ^
- — Societa Napoletana Automobili, commerce
- d’automobiles, â Naples (Italie).
- — Sociedade Portugueza de Automoveis, com-
- merce d’automobiles, 4, rua do Jardin do Bcgedor, à Lisbonne (Portugal).
- SOCIÉTÉ AUTOMOBILE DU LIT-
- THRAI a&ence des Etablissements Pan-I UnML, hard et Levassor, 77, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- - SOCIÉTÉ FRANCO-AMÉRICAINE D’AUTOMOBILES,
- Cyr, Paris.
- — SOCIÉTÉ PARISIENNE D’AUTO-
- MHDII CC automobiles, 10, avenue de la ITIUdILLo, Grande-Armée, Paris.
- — Soldati Fratelli, commerce d’automobiles, 4,
- via Carlo Ravizza, à Milan (Italie).
- — Sorignet, garage, rue Martrou, à Rochefort-
- sur-Mer (Charente-Inférieure).
- — Soüthworth, commerce d’automobiles, 342,
- Elatbush avenue, à Chicago (États-Unis).
- — Splendid Garage, commerce d’automobiles,
- avenue Saint-Laurent, à Monte-Carlo (Principauté de Monaco).
- — Sporting-Français, ventes publiques d’auto-
- mobiles, 14, rue Chauveau, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- — Sporting-Garage, commerce d’automobiles,
- boulevard du Midi, à Monte-Carlo (Principauté de Monaco).
- — Sqüaglia-Garage, piazza Marsala, à Gênes
- (Italie).
- — CTAlUn I C M vente d’automobiles.— i I H 11 U L. O. IM , Voir Santa-Maria (de).
- — Standard Motor Agency, vente d’automobiles,
- 63, Régent House, Régent Street à Londres W. (Angleterre).
- Star Motor Agency, commerce d'automobiles, 16, Upper Saint-Martin’s Lane, à Londres (Angleterre).
- — Steinfeldt, garage, 6, Herschelstrasse, à
- Ilanôvre (Allemagne).
- — CTCDW /TMII C\ commerce d’automo-0 1 Cnil \ClnlLC/, biles, 24, avenue des
- Champs-Élysêes, Paris.
- — Stier (L.), garage, 144, rue de Paris, à Villiers-
- sur-Marne (Seine-et-Oise).
- — Storero (Luigi), commerce d’automobiles, 16,
- corso Massimo d’Azeglio, à Turin (Italie).
- — Stritter, garage, place Victor-Hugo, à Pont-Audemer (Eure).
- — Strock (Société anonyme des Etablissements),
- garage, 20, boulevard du Port, â Amiens (Somme).
- — Suberbie (L.), garage, 18. rue Godot-de-Mauroy,
- Paris.
- — Suisse, garage, rue de la Liberté, à Rennes
- (Ille-et-Vilaine).
- — Suppligeau (Auto-Garage des Touristes), auto-
- mobiles, 11, rue de Bordeaux, â Tours (Indre-et-Loire).
- — Swift Motor C°, vente d’automobiles, 130, Long
- Acre, j\ Londres (Angleterre).
- — Syberg (Nicolas), automobiles, 45, rue des Vingt-
- Deux, à Liège (Belgique).
- — Taffineaü, garage, 19, boulevard Vaulabelle, à Auxerre (Yonne).
- — Tanguy, garage, 16, rue de Brest, à Morlaix
- (Finistère).
- - TART ET C\
- Paris.
- vente d’automobiles, voitures Berliet, 25, rue Duret,
- — Tattersall Français, vente d’automobiles, 24,
- rue Beaujon, Paris.
- — Tàurus, garage, 48, via Santa Chiara, à Turin
- (Italie).
- — Tedeschi Fratelli, garage, via Basilicata, à
- Rome (Italie).
- — Tellier, garage, 149, rue de Charleville, il
- Hirson (Aisne).
- — Teste, vente d’automobiles, 144, rue de Cour-
- celles, Paris.
- — Texiéras, garage, 3, boulevard Louis-Blanc,
- à Limoges (Haute-Vienne).
- — Thaudière, commerce d’automobiles, 9, place
- des Halles, â Tours (Indre-et-Loire).
- Faites connaître g 5 £\ |W| JW| I g | avant
- vos correct ions à 6mm 1^11 il A"\ le» le 15 Octobre
- p.800 - vue 802/946
-
-
-
- CLASSE 25
- -- 801
- COMMERCE AUTOMOBILE
- — Théodore, commerce d’automobiles, 21, rue
- Brunei, Paris. _
- — Thibault, garage, 29, rue Charronnerie, à
- Nogent-le-Rotrou (Eure-et-Loir).
- — Thierry-Mieg, garage, 73, avenue de la Grande-
- Armée, Paris.
- — Thieülin et Cie, garage, 24, avenue Fontaine-
- Argent, à Besançon-les-13ains (Doubs).
- — Tivoli, garage, 12 bis, passage Tivoli, Paris.
- — Tomine et Boncompain, garage, avenue de la
- Gare, à Rennes (Ille-et-Vilaine).
- — Torchon et Meunier, garage, rue Yillaret-de-
- Joyeuse, Paris.
- — Toulousain {Garage), commerce d’automobiles,
- 63, boulevard Lazare-Carnot, à Toulouse (Haute-Garonne).
- — Tranchant, commerce d’automobiles, 18,
- boulevard Montmartre, Paris.
- — Traret et C!°, garage, 9, rue de la Trémouille, à
- Chalons-sur-Saône (Saône-et-Loire).
- — Trémoureux, garage, rue Saint-François, à
- Quimper (Finistère).
- — TrÉvis, automobiles, 1, quai du Fort-de-Rome,
- à Givet (Ardennes).
- — Trochon, garage, quai Jean-Fouquet, à Laval
- (Mayenne).
- — Trockmê, garage, 11, rue Condorcet, à Saint-Quentin (Aisne).
- — Trousselier, garage, 55, rue de Prony, Paris.
- — Trouvé, commerce d’automobiles, 25, rue
- Chalmel, à Tours (Indre-et-Loire).
- — Turbeaux (Alexandre), garage, 7, place de Stras-
- bourg, à Auch (Gers).
- — Union Automobile Lyonnaise, automobiles |
- d’occasion, 8, rue de la Martiniôre, à Lyon (Rhône).
- — United States Automobile C°, commerce d’au-
- tomobiles, 23, Plymouth avenue, à Rochester (ATew-York), États-Unis.
- — Univers Automobile (1/), garage, 24, rue
- Boccador, Paris. j
- — Utermohle Wagenfabrick, commerce d’auto-
- mobiles, à CoIogne-sur-le-Rliin (Allemagne).
- — Valensin, garage, via Innoncenzo Frugoni, à
- Gênes (Italie). |
- — Valentin, garage, 17, rue Pierre-Nicole, Paris, j
- — Valeri, garage, rue de l’Hôtel-des-Postes, à Nice j
- (Alpes-Maritimes).
- — Vallerie, garage, boulevard du Ronceray, à
- Angers (Maine-et-Loire).
- — Vaneau (Grand Garage), 38, rue Vaneau, Paris.
- — Vaniiamme, garage, rue du Sud, à Dunkerque
- (Nord).
- — Van Langendonck, commerce d’automobiles,
- 44, rue de Brabant, à Bruxelles (Belgique). !
- — Vannier, garage, rue du Sud, à Châteaudun
- (Eure-et-Loir).
- — Vasseur, garage, rue du Pont-Ravet, à
- Bernay (Eure).
- — Vasseur, garage, rue Singer, à Caen (Calva-
- dos).
- — U A 11C C V commerce d’automobiles, place VHUOOI, du Théâtre, à Caen (Calvados).
- — Vayssié, automobiles, 78, rue du Palais-de-
- Justicc, ù. Melun (Seine-et-Marne).
- — Véhicle ÉQUIPMENT C°, commerce d’automo-
- biles, Borden avenue, Long Island City (New-York), États-Unis.
- — Vendôme Automobile, garage, 22, place Ven-
- dôme, Paris.
- — Verdel-Vermel, commerce d’automobiles, 1,
- Grand’Place, à Bapeaume (Pas-de-Calais).
- — Verly, commerce d’automobiles, place du
- Nouveau-Quartier, à Mulhouse (Allemagne).
- — Verneüil, commerce d’automobiles, quai Sainte-
- Catherine, à Ronfleur (Calvados).
- — Vesle, garage, 220, rue de Vesle, à Reims
- (Marne).
- —• Vexin {Agence automobile du), garage, 22, route de Dieppe, à Gisors (Eure).
- — Veyssière, garage, place Municipale, à Tulle
- (Correze).
- — Victor (Vve), garage, 14, esplanade Noyon,
- à Amiens (Somme).
- — Victor Auto Storage C°, commerce d’auto-
- mobiles, 147W, 55 th. Street, à New-York (États-Unis).
- — Victor Hugo {Garage), commerce d’automobiles,
- 189, avenue Victor-Hugo, Paris.
- — Victoria Carriage Works, commerce d’auto-
- mobiles, 24, Long Acre, W. C., Londres (Angleterre).
- — Vieweg, garage, 39, Christanstrasse, à Dresde
- (Allemagne).
- — Vieweg {Auto-PaJast), commerce d'automobiles, Hârtelstrasse, â Leipsick (Allemagne).
- — Vigliano, garage, 6, rue Vaugelas, à Annecy
- (Haute-Savoie).
- — Viguier frères, garage, 21, boulevard des
- Lices, Castres (Tarn).
- — Vilain et ICenel, garage, 26, avenue Trudaine,
- Paris.
- — Vil b oi s et Koeiil, commerce d’automobiles,
- rue de la Banque, â Belfort (Territoire de Belfort).
- — Villarouge, garage, boulevard de la Douve, à
- Villefranche-de-Rouergue (Aveyron).
- — Villeneuve {Auto-Garage de Touraine), com-
- merce d’automobiles, 3, avenue de Grammont, à Tours (Indre-et-Loire).
- — Vincent, garage, quai Saint-Pierre, à Cannes
- (Alpes-Maritimes).
- — Vincent, garage, à Saint-Pourçain-sur-SiouIe
- (Allier).
- — Vincent, garage, rue Edgard-Quinet, à Thiers
- (Puy-de-Dôme).
- — Vogler, garage, 85, Gartenstrasse, â Breslau
- (Allemagne).
- — Vonin, vente d’automobiles, 254, boulevard Saint-Germain, Paris.
- — Vosgien {Auto-Garage),commerce d’automobiles, place de l’Abattoir, â Épinal (Vosges).
- — Vosgiens {Autos), garage, 8, rue de la Ménan-
- tille, à Saint-Diê (Vosges).
- — VOURIOT ET FILS, biles, location, ré-
- parations, 34, rue Guersant, Paris.
- — Wagner, garage, automobiles, rue Croix-Belle-
- Porte ,ï\ Saint-Quentin (Aisne).
- — Watier, garage, 38, rue de Paris, à Sedan (Ar-
- dennes).
- - Watson and C°, commerce d’automobiles, 56,
- Renskaw street, à Liverpool (Angleterre).
- — Wattier, garage, Toreg-Sedan (Ardennes).
- — Wayte Brothers, commerce d’automobiles, 12,
- Lemon street, à Dublin (Irlande).
- — Weingand, commerce d’automobiles, 54, Kreuz-
- strass, â Dusseldorf (Allemagne).
- — Weiss, commerce d’automobiles, 15, Dachauer-
- strasse, â Munich (Allemagne).
- - Wells, garage, boulevard Chassaigne, à Poitiers
- (Vienne).
- — Western Motor C°, commerce d’automobiles,
- 70, Buchanan street, à Glascow (Angle terre).
- — Widerkehr, automobiles, StanislaUstrasse, à
- Colmar (Alsace-Lorraine).
- — WTener, Schwab et Cle, commerce d’auto-
- mobiles, 24, rue de Paradis, Paris.
- — WHnkler {Cari), garage, â Berne (Suisse).
- — Winter-Garage, automobiles, avenue Boyer,
- à Menton (Alpes-Maritimes).
- Faites PI FNIFNTC |T A HTnmnRii f 1 tous
- lire les LLÜIlLllIy fl fl U 1 U l|l U m LL les Débutants
- 5i
- p.801 - vue 803/946
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- 8oa -
- CI. ASSIS af)
- — AViTiMES, garage, à Luxembourg (Grand Duché
- de Luxembourg).
- — Woelfel und Khopf, garage, A Nuremberg
- {Allemagne).
- — WoijFF, garage, 18, rue Palay, A Saint-Étienne
- (Loire).
- CLASSE 26
- ARTICLES DE SPORT
- Articles de sport. - Chronomètres. Horlogerie. — Jeux sportifs. — Lunettes. - Vêtements de sport. Vêtements de travail, etc.
- — Alaska Cristal Company, lunettes el’automo
- bile, 206, rue de Rivoli, Paris.
- — Armure (.//), vêlements de sports, 25, avenue de
- la Grande-Armée, Paris.
- — Auto-Scaphandre, vêtement pour automo-
- bilistes, 12, Chaussée d’Antin, Paris.
- BAZAR DE L HOTEL-DE-VILLE,
- vêtements de sports et de travail, 54 à 62, rue de ltivoli, Paris.
- BELLE-JARDINIÈRE (MAGASINS
- nC I A\ U^sandphe et Fils, Stasse et Cîo), Ut LA/ vêtements sportifs, 2, rue du Pont-Neuf, Paris.
- — Bernard, vêtements de sport imperméables, 30, rue du Sentier, Paris.
- BESSAND PÈRE & FILS, STASSE
- r-r pie magasin de la Belle Jardinière, t I L , vêtements de sports, 2, rue du Pont-Neuf, Paris.
- — Blachon, nécessaires pour touristes, 61, rue
- Hallé, Paris.
- -- Boin-Tahuret, objets d’art pour prix de courses, 3, rue Pasquier, Paris.
- BON MARCHE (GRANDS MAGA-
- Cl MC nil \ vêtements de sports, rue olllw UU;, de Sèvres, Paris.
- — Bordé, lunettes de route, du Dr Détourbe, 20,
- boulevard Haussmann, Paris.
- -- Bouilleau lunetterie automobile, 10, rue Morand, Paris.
- -- Brunschwjg aîné, vêtements pour mécaniciens, 30, rue des Bourdonnais, Paris.
- — BURBKUY, vêtements de sport, 30, Haymarkct,
- A Londres (Angleterre).
- — Catien, lunettes sportives, 3, rue Meyerbeer,
- Paris.
- PDADCTTr vêtements de sports, 92, rue ünHDL I I L, de Richelieu, Paris.
- — Crarbe (Chaules), vêtements en papier, 36,
- rue de Lancry, Paris.
- - Crétin-Billet Frères, lunettes automobiles, Morcz (Jura),
- — Crétin (Léon), lunettes automobiles, Morez
- (Jura).
- — Déniait et Cle, vêtements de sport, 86 bis, rue
- K°me» Paris.
- — Doninelli (Honoré), fabrique de lunettes automobiles, avenue de la Gare, Nice (Alpes-Maritimes).
- — DUBREUIL ET PARMENTIER,
- vêtements de travail, 34, rue Montorgueil, Paris.
- — Dugas, vêtements de sport, 10, boulevard
- Sébastopol, Paris.
- — Edwards, and C°, lunettes d’automobiles, 50,
- passage des Panoramas, Paris.
- FASHIONABLE HOUSE,
- 16, boulevard Montmartre, Paris.
- — Finet, lunettes d’automobiles, 157, rue du
- Temple, Paris.
- ER A ET N If Tl vêtements de sports, 28, rue
- rnMtllRtLL, du Quatre-Septembre, Paris.
- Franck Valéry Frères, lunettes d’automobiles, 25, boulevard des Capucines, Paris.
- Gamage, Ltd, vêtements de sports, 126, Holborn, à Londres, E. C. (Angleterre).
- Gauthiek, lunettes d’automobiles, 41, rue des Francs-Bourgeois, Paris.
- Gérard (Maison), vêtements de sports, 15, place de la République, Paris.
- Goulart et Cie, limettes d’automobiles, 33, rue de la Roquette, Paris.
- Grande-Maison (A La), vêtements de sports, 7, rue Croix-des-Petits-Champs, Paris.
- Guinard et Cle, matériel de campement, 10, rue d’Argenteuil, Paris.
- ITalbekin et C°, lunettes d’automobiles, 4, Anley road West, lvensington Court, A Londres (Angleterre).
- ITertzog (Rudolph), vêtements de sports, 15, Breiterstrasse, A Berlin (Allemagne).
- Huillet et C1ü, lunettes d’automobiles, 20, rue »Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie, Paris.
- Jeantet, lunettes pour automobilistes, 238, Grande rue, Morcz (Jura).
- Larourier, lunettes, Morez (Jura).
- Laurent et Cie, arlicies de sports, 4, rue Halévy, Paris.
- Léon, coiffures de sports, 21, rue Daunou, Paris.
- — LOUVRE (GRANDS MAGASINS
- n 11 v vêtements de sports, 164, rue de U U/, Rivoli, Paris.
- — Lumina, lunettes, 3, rue Meyerbeer, Paris.
- — Lunettiers (Société des), lunettes, 6, rue
- Pastourelle, Paris.
- — Manheimer, vêtements, 6, Oberallstrasse,
- Berlin (Allemagne).
- - MARINS (AUX),
- vêtements, 7, avenue de la Grande-Armée,
- Paris.
- — Mass et CIfi, articles de sports, 0, place de la
- Madeleine, Paris.
- — Méret et Leclercq, lunettes, 11, rue Pastourelle,
- Paris.
- — Merlet [Armure), vêtements, 4, rue Meyerbeer,
- Paris.
- — Merz Frères, lunettes, 130, rue du Faubourg-
- Saint-Denis, Paris.
- — Merz [Gebruder), lunettes, Francfort (Rodel-
- heim) Allemagne.
- — Mirovitch, lunettes, 60, rue Taitbout, Paris.
- __ MHN lADnCT articles de sport et de
- IrlUll JHllUlL I , camping, 21, rue Richelieu,
- Paris.
- __ MH VN AT nialles et articles de voyage,
- IIIUlIlHI, 5, place du Théâtre-Français, Paris. .4
- — Neumann, lunettes, 7 thavies, Inn, Holhorn-circus, Londres (Angleterre).
- [LTeS RECETTES flU CHAUFFEUR P°urenn^aenirais 1
- p.802 - vue 804/946
-
-
-
- GLASSK 26
- 8o3
- CLASSE l'J
- — Paris-Tailleur, vêtements de sport, 3, rue du Louvre, Paris.
- — Petit Matelot, (Au) vêtements, 41, quai d’An-
- jou, Paris.
- — Picton, lunettes, 334, rue Saint-Honoré, Paris.
- — Pilot, lunettes, 60, rue Pernety, Paris.
- RÉVILLON FRÈRES, S
- nnnflV vêtements de sport, 2, boulevard nUUUI, des Italiens, Paris.
- SAMARITAINE (GRANDS MAGA-
- CIIUC nC I A\ vêtements de sport et OmO Ut LH/, de travail, rue du Pont-Neuf, Paris.
- — Scandinavian Fur C°, vêtements, 16 West,
- 33, d. Street, à New-York (États-Unis).
- _ CPUIUrinrD CT pic vêtements de OLnntlUtn tl L , sports, 16, rue de la Chaussée d Antin, Paris.
- CDHDT /TUC\ vêtements de sports, 17, Jr Un I \int/, boulevard Montmartre, Paris.
- CTDHM vêtements de sports, 16, rue de la O I nUITI, Chaussée d’Antin, Paris.
- '— Sutton, vêtements de sports, 134, boulevard Haussmann, Paris.
- ___ TflDDH UflU (Société), vêtements de sport
- I UnnlLnUll imperméables, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme)
- —- Tunmer et Ciu, articles de sports, 27, rue du Quatre-Septembre, Paris.
- — Véloce Club (Au), vêtements, 21, avenue de
- la Grande-Armée, Paris.
- — Vernin Delaigue et Cic, lunettes, 11, rue Por-
- tefoin, Paris.
- — Vigo et Ciü, vêtements, 24, via Maria Yittoria, à
- Turin (Italie).
- — Yollant, vêtements, 34, boulevard Sébastopol,
- Paris.
- — Yoyagk Automobile (Au), articles de sports,
- 12, Chaussée d’Antin, Paris.
- — VUITTON (LOUIS), r&ï,™"”"
- voyage, 1, rue Scribe, Paris.
- — Yulcan, malles spéciales pour automobiles. —
- Yoir Bazar du Voyage, Paris.
- — Williams et C°, articles de sports, 1, rue Cau-
- martin, Paris.
- CLASSE 27
- TOURISME
- Assurances. - - Bazars. — Cartes géo-
- fraphiques. — Guides, — Malles. — acs. — Voyages, etc.
- __ ASSURANCE CONTRE LES ACCIDENTS (Société
- Baisse d’), à Winterthur (Suisse) ; et 38, rue de Châteaudun, Paris.
- — ASSURANCES GÉNÉRALES SUR LA VIE (CIc <T),
- 87, rue Richelieu, Paris.
- ASSURANCES SPÉCIALES D’AU-
- TAMAmi 1*^ *1 • de Dusmet et 0*e, 20,
- TOmOBILES, rue Taitbout, Paris.
- — Auto-Assurances, assurances des automobiles,
- 10, boulevard des Batignolles, Paris.
- — Bazar du Voyage, malles et articles de voyage
- pour automobiles,. 18, rue des Pyramides, Paris.
- — Bescherelle et Desrousseaux, assurances
- spéciales automobiles, 30, me Le Peletier, Paris.
- — Blondel la Rougery (Bd.), éditeur, cartes-
- guides Campbell, 24, passage du Havre, Paris.
- — Campbell, cartes et guides, 24, passage du
- Havre, Paris.
- — CAPRON ET HAREL, SE. iï’Z
- Viollet-le-Duc, Paris.
- — Caubert et Garnier assurances automobiles ,
- 5 rue Moreau, Saint-Denis (Seine).
- — COULEMBIER (J.) AINE,
- 5 place du Théâtre-Français Paris.
- — Dac (Auto-Guides), guides, 8, place de la
- Concorde, Paris.
- DUSMET (JUSTIN DE) ET C’’,
- assurances automobiles, 20, rue Taitbout, Paris.
- — Flemming {Institut Cartographique, Cari), cartes
- officielles de l’A. C. Impérial d’Allemagne, à Glogau (Allemagne).
- - George Fils, malles, 58, rue Chariot, Paris.
- - Goyard, articles de voyage, 233, rue Saint-Ho-
- noré, Paris.
- - Guides. — Voir lr0 Partie de VAnnuaL
- GUIDE MICHELIN, SSlT'4 K" GUlOE ROUTIER CONTINENTAL,
- 146, avenue Malakofï, Paris.
- — Guide du Carrossier {Le), 78, rue Boissière,
- Paris.
- — Guilleminot et Morin, articles de voyage, 23,
- rue Saint-Roch, Paris.
- —- Guillot, cartes routières, 18, rue de la Chaussée-d’Antin, Paris.
- — Hachette et Cle, « Atlas-Guide », 79, bou-
- levard Saint-Germain, Paris.
- — Hanciau (G.), assurances automobiles, 59, rue
- de Châteaudun, Paris.
- — Hue, baromètres d’alpinisme, 63, rue des Ar-
- chives, Paris.
- — Junot, agence des voyages pratiques, 9, rue de
- Rome, Paris.
- — Lloyd Anglo Françai s, compagnie d’assurances,
- 55, rue Taitbout. Paris.
- “ Lloyd de France, compagnie d’assurances contre les accidents, 5, rue Grétry, Paris.
- — Luhin (Agence), voyages pratiques, 36, boule-
- vard Haussmann, Paris.
- MON I A D nCT articles de voyage et de iïlUllJHnUL I , camping, 21, rue Richelieu, Paris.
- M H V IU A T bagages brevetés pour automobi-“ IllU T 11 H I , les, 5, place du Théâtre-Français, Paris.
- — Muller et Despierres, agents d’assurances,
- 26, rue Étienne-Marcel, Paris.
- — Nicodèm, cantines et malles, 46, rue Remercier, Paris.
- — Prévoyance (La), assurances, 13, rue de Londres, Paris.
- — Quérenkt {Roger), assurances des automobiles,
- 12, rue Matignon, Paris.
- — Sur-Route, atlas-guide de poche, éditéTpar
- Hachette et Cle, 79, boulevard Saint-Germain, Paris.
- — Taride, cartes géographiques, 18, boulevard
- Saint-Denis, Paris.
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- p.803 - vue 805/946
-
-
-
- CLASSE 2y
- 8o4
- CLASSE 2<)
- — Taron et C1c, cartes-guides, 15, rue des Martyrs,
- Paris.
- — Theüveny, cartographie, 80, rue Taitbout, Paris.
- — VUITTON (GEORGES), articles de
- voyage, 1, rue Scribe, Paris.
- — Vulcan {Guide), carnet de route de VAssociation
- Générale Automobile, 8, place de la Concorde, Paris.
- — Zurich {La), Compagnie d'assurances contre
- les accidents, rue Pillet-Will, Paris.
- CLASSE 28 PHOTOGRAPHIE
- Barenne, photographe, 27 bis, rue Duret, Paris. Beau (</.), photographe, 51, rue de Passy, Paris. Bemaria frères, appareils photographiques, 2, rue Alexandre-Parodi, Paris.
- GAUMONT ET C", ££52* «f™
- Sa.ut-Boch, Paris.
- IH 11 PI A papiers photographiques, 45, rue JUUuLU, de Rivoli, Paris.
- Kempber, appareils, 10, rue Villehardouin, Paris.
- KODAK (EASTMANN), Z'flTe
- l’Opéra, Paris.
- Korsten, appareils, rue Le Brun, Paris. Leroy, appareils, 47, rue du Rocher, Paris. Photo-Hall, appareils, 5, rue Scribe, Paris.
- CTCDCnPVPI C M C\ appareils de pho-0 1 tntUtlüLt \Lt;, tograplüe.— Voir Leroy L., Paris.
- VÉRASCOPE (LE),
- phie, 25, rue Mélingue, Paris.
- CLASSE 29
- SOCIÉTÉS SPORTIVES
- Académies sportives. — Cercles. — Sociétés savantes. - Sociétés sportives. Unions. —- Vélodromes, etc.
- — Académie Aéronautique de France. 14, rue
- des Concourt, Pa:is.
- ACADÉMIE DES SPORTS, VÎT
- Concorde Paris.
- — A. C. P. — Voir Automobile Club de France, Paris.
- — AÉRO-CLUB DE FRANCE, Stuîg1:
- Saint-Honoré, Paris.
- — Aéronautks de Paris {Société des), 170, rue
- Legendre, Paris.
- — Aéronautique Club de France, 58, rue Jean-
- Jacques-Rousseau, Paris.
- — Aéronautique {Union), 7, rue Lêcluse, Paris.
- — Aérostation {Ecole normale d’)t 206, rue La-
- fayette, Paris.
- — A. G. A. — Voir Association Générale automobile,.
- Paris.
- — American Motor League, ligue de chauffeurs,.
- Vanderbilt Building, à New-York (Etats-Unis).
- — Association of Licensed automobile Manu-
- factures, 7, East 42 nd street, à New-York (Etats-Unis).
- — Association Parisienne, des propriétaires d'ap-
- pareils à vapeur, 66, rue de Rome, Paris.
- — Associations touristes {Ligue Internationale
- des).
- — Association Vélocipédique de France, 1.
- avenue Duquesne, Paris.
- — Athlétique Alsacienne {Association), 109,
- rue Notre-Dame-des-Champs, Paris.
- — Athlétiques {Fédération des sociétés), 51, rue
- Vivienne, Paris.
- — Auto-cycle Club de France, 2, avenue Victoria,
- > Paris.
- — AUTOMOBILE CLUB DE FRANCE,
- 6, place de la Concorde, Paris.
- — AUTOMOBILE-CLUBS DE LA
- PROVINCE ET DE L’ÉTRANGER . — Voir la Première Partie.
- — Auto-Mutuelle, 12, avenue delà Grande-Armée
- Paris.
- — Auto-Protective League, 41, West 33 d. street,
- î\ New-York (Etats-Unis).
- — Basse-Seine {Société Nautique de la), 52, quai de
- Courbevoie, à Courbevoie (Seine).
- — Chauffeurs mécaniciens {Société amicale des),
- 206. rue Lafayette, Paris.
- — Chambres syndicales.— Voir Première Partie
- de l’Annual.
- — CLUB ALPIN FRANÇAIS,
- — Club Français, 15, rue de Rome, Paris.
- — Club International sport, 12, rue du Havre,
- Paris.
- — Club nautique de Paris, 10, place de la Bastille,
- Paris.
- — Conducteurs d’automobiles {union des), 19,
- rue Marbeuf, Paris.
- — Cyclistes de Paris (union des), 8, rue Saint-
- Denis, Paris.
- — Cyclo-club de Paris, 84, boulevard Saint-Ger-
- main, Paris.
- — Ecole normale D’Aérostation, 206, rue La-
- fayette, Paris.
- — Ecole normale professionnelle de méca-
- niciens conducteurs d'automobiles, 44, rue Laugier, Paris.
- — Electriciens, (Société internationale des), 12,
- rue de Staël, Paris.
- — Encouragement pour l'Industrie nationale
- (Société d'), 44, rue de Rennes. Paris.
- — Etudiants de Paris (Association Athlétique des)
- 43, rue des Ecoles, Paris.
- — Gymnastique de France ( Union des Sociétés dey
- 9, rue Saulnier, Paris.
- — HÉLICE CLUB DE FRANCE, ^
- Surcsnes, Paris.
- — Ingénieurs civils de France (Société des), 19,
- rue Blanche, Paris.
- — INSTITUT MARITIME (L1), SSS»
- pratiques, 39, boulevard des Capucines, Paris.
- ÜSrÆ.Y“ CHAINES RENOLD
- p.804 - vue 806/946
-
-
-
- C LA SS K 2(J
- 8o5
- CLASSE 3O
- — LIGUE DES CHAUFFEURS , Bergère*
- Paris.
- -LIGUE MARITIME FRANÇAISE,
- 30, boulevard des Capucines, Paris.
- — Motocycle Club de France, 56, rue Pergolèse,
- Paris.
- — Mutuelle des mécaniciens conducteurs d’au-
- tomobiles, 8, place de la Concorde, Paris.
- — Navigation aérienne (Société française de), 10,
- rue de la Pépinière, Paris.
- — Parc des Princes (vélodrome), Autcuil (Seine).
- — Pélican Athletic club, rue des Acacias, Paris.
- — Red Star Club Français, 83, avenue de la
- Bourdonnais, Paris.
- — Rowing-Club, 44, rue de Maistre, Paris.
- — Saint-Hubert Club de France, 21, rue de Clichy, Paris.
- — Sociedad Bscuela Pratica Automovili sta,
- Automobile Club, 162, calle Yaguarou, à Montevideo (Uruguay).
- — Sport (Académie de), 3, rue de Bagneux, Pari gt
- — Sporting-Club-Français, 2, rue Caumartin 9
- Paris.
- — Stade-Français, 34, rue Joufïroy, Paris.
- — Tir de France {Union des Sociétés de), 61, rue
- Caumartin, Paris.
- -TOURING-CLUB DE FRANCE,
- 65, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — TOURING-CLUB ÉTRANGERS. -
- Voir la Première Partie.
- — Tous les Sports, revue, 20, rue Notre-Dame-
- de-Nazareth, Paris.
- — Union Aéronautique, 7, rue Lécluse, Paris.
- — Union des Conducteurs d’automobiles, 18,
- rue Marbeuf, Paris.
- — Union des Sociétés Françaises de Sports
- Athlétiques, 34, rue de Provence, Paris.
- — Union Nationale du Commerce et de VIndustrie,
- 10, rue de Lancry, Paris.
- — Union Vélocipédique de France, 6, boulevard
- des Italiens, Paris.
- — Voile de Paris (Cercle de la), 53, rue de Château-
- dun, Paris.
- — Yaciit-Club-de-France, fusionné avec P Au-
- tomobile-Club de France.
- CLASSE 30
- PRESSE SPORTIVE&SCIENTIFIQUE
- Annuaires. - Bulletins. - Journaux. Ouvrages scieutifiques et sportifs. Revues, etc.
- — Aeronautica Italiana (SocieLT), revue, 307,
- corso Umberto 1er, à Rome (Italie).
- — Aéronautique (L’), journal édité par Y Aéro-
- nautique-Club de France t 58, rue Jean-Jacques-Rousseau, Paris.
- — Aérophile {U), 84, rue du Faubourg-Saint-
- Honoré, Paris.
- — Agenda du Chauffeur {U), 0, rue Guénégaud,
- Paris,
- — Aide-Mémoire de l’Automobile (Jurispru
- dence), par J. de Piétra-Santa. Librairie Dunod et Pinot.
- — Album des Sports, revue, 12, rue Boulle, Baris.
- — Allgemeine Automobil-Zeitung, journal, 5,
- Fleischmarkt, à Vienne (Autriche).
- — Allgemeine Automobil-Zeitung, journal, à
- Berlin, \Y. 35, Deutsclies Kolonialhaus
- (Allemagne).
- — Allgemeine Sport Zeitung, journal quotidien
- sportif, 1, St Annahof, à Vienne (Autriche).
- — American Industries, revue, 805, Maidenlane,
- Bldg. à New-York (États-Unis).
- —• American Register, journal, 8, place de l’Opéra, Paris.
- — Amico Dell Automobilista (L’), revue pratique
- d’automobile, 19, rue Maria Vittoria, à Turin (Italie).
- — Annales Industrielles et Scientifiques
- (Les), revue illustrée, 66, faubourg Montmartre, Paris.
- — Annales Techniques {Les), revue, 52, rue Saint-
- Georges, Paris.
- — ANNUAIRE ALMANACH DU COM-
- lUirDPr (Didot-Bottiri), 54, rue Jacob, ITlthUt Paris.
- — Annuaire de la Carrosserie et de l’Auto-
- mobile, 114, rue Lafayette, Paris.
- — Annuaire de la traction automobile, 138,
- rue Amelot, Paris.
- — Annuaire de la route, 6, place de la Concorde,
- Paris.
- — Annuaire du commerce suisse, édité par
- Chapalay et Mottier, à Genève (Suisse).
- — Annuaire général de l’automobile, 38 bis,
- avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Annuaire général des sports illustré,
- 125, rue Montmartre, Paris.
- — Annuaires (Société fermière des)53, rue Lafayette,
- — ANNUAL BAUDRY DE SAUNIER,
- manuel général de l’Industrie automobile, paraissant tous les ans, 20, rue Duret, Paris.
- — Archives Syndicales de l’automobile et
- du Cycle, 23, avenue des Champs-Élysées, Paris.
- — Armée et Marine, revue illustrée, 9. boule-
- vard des Italiens, Paris.
- — Armes (Les), revue bi-mensuelle; Louis d’Hur-
- court, rédacteur en chef.
- — Armes et Sports, revue illustrée, 9, boulevard des Italiens, Paris.
- HTfi (Société anonyme du journal L'), 10, AU I U rue du Faubourg Montmartre, Paris.
- — Auto (De), journal d’automobile, 5 et 8, Klein
- Heiligland, à Haarlem (Hollande).
- — Auto (V), journal, 71, Foro Bonaparte, à Milan
- (Italie).
- •— Autocar (The), revue illustrée, 20, Tudor Street-, à Londres (Angleterre).
- — Aütomobil (Das), bulletin officiel de l'A. C.
- d’Alsace, 7, Ohmachstrasse, à Strasbourg (Alsace).
- — Automobile (L*), revue hebdomadaire, 7, rue
- Saint-Benoît, Paris.
- — Automobile (L’), revue illustrée, 12, via Aurelio
- Safh, à Milan (Italie).
- — Automobile (The), revue technique, Flatiron
- Building Madison square, New-York (États-Unis).
- — Automobile and Carriage Builder’s jour-
- nal, 16, Bidon Street, à Londres (Angleterre), j — Automobile Belge (U), revue hebdomadaire, I 50, rue Grétry, à Bruxelles (Belgique).
- [
- LIA M M II A |_ Keçoit les demandes de publicité, d'insertions, de punlicatiops etc.
- 1^ wMIm jtASQtti’atA 15 Octobre
- DERNIERE LIMITE
- p.805 - vue 807/946
-
-
-
- CLASSE 3o
- PRESSE SPORTIVE, ETC.
- — 8oG —
- — Automobile en Seine-et-Oise (Lf), journal,
- 42, rue d’Angiviller, à Versailles (Seine-et-Oise).
- — Automobile-revue ou littoral (L'), revue
- licbdomadaire illustrée, 27, avenue de la Gare, à Nice (Alpes-Maritimes).
- — Automobilia, revue illustrée, 108, boulevard de
- Clicliy, Paris.
- — Automobilia and Anglo-Saxon Herald,
- revue illustrée, 108, boulevard de Clichy, Paris.
- — Automobil-revüe, revue technique et sportive,
- 29, boulevard Extérieur, à Berne (Suisse).
- — Automobil Tories Illustrated, journal heb-
- domadaire, Times Building, Times square, à New-York (États-Unis).
- — Automobil Welt, journal, 10, Lindenstrasse,
- à Berlin (Allemagne).
- — Automotion (L’), revue, 2 bis, rue Édouard-
- Detaille, Paris.
- — Automotor Journal, 44, Saint-Martin’s lane,
- Charing Cross, à Londres (Angleterre).
- — Automovilismo Illustrado {EL), revue, 24,
- Muntaner, à Barcelone (Espagne).
- — Autonautique (//), revue illustrée, 4 bis, avenue
- Malausséna, à Nice (Alpes-Maritimes).
- — Brentano Frères, journaux automobiles
- étrangers, 37, avenue de POpéra, Paris.
- — Bulletin Officiel de la chambre syndicale
- de 1/automobile, 6, place de la Concorde, Paris.
- — BULLETIN OFFICIEL DELA COM-
- MISSION TECHNIQUE
- de France. — Rédaction, 6, place de la Concorde, Paris. — Administration, 20, rue Duret, Paris.
- — Bulletin officiel de l’Union vélocipédique
- de France, 6, boulevard des Italiens, Paris.
- — Car {The), journal d’automobile, 17, Piccadilly
- Mansions, Londres (Angleterre).
- — Car Illustrated (TAe), journal d’automobile, 17,
- Sliaftesbury avenue, Londres (Angleterre).
- — CHASSEUR FRANÇAIS (LE), ZZ
- suelle de tous les sports, h Saint-Étienne ! (Loire).
- — Chasse illustrée et la vie rurale et spor-
- tive, journal bi-mensuel, 30, rue Jacob, Paris.
- — Chauffeur {Le) (Ancien Technologiste), 9, rue
- Guénégaud, Paris.
- — Commercial Véhicle [The), revue technique,
- Flatiron Building Madison square, New-York (États-Unis).
- — Commercial Motor (Thé), revue hebdomadaire,
- 15, Rosebery avenue, Londres (Angleterre).
- — Cote d’azur sportive (La), 2, avenue des
- Phocéens, Nice (Alpes-Maritimes).
- — Courrier de la presse (Le), 21, boulevard
- Montmartre, Paris.
- — Culture physique (La), journal sportif, 7 bis,
- boulevard Rochechouart, Paris.
- — Cycle and Motor Trades Review, revue, !
- 20, Tudor strect, Londres (Angleterre). j
- — Cycle and Motor Cycle Trader, journal il- !
- lustré, 19, Wilson Street, Londres (Angleterre).
- — Cycle et Automobile industriels, journal
- hebdomadaire, 9, rue Buffault, Paris.
- — Déportés (Los), revue sportive hebdomadaire,
- Claris, 74, à Barcelone (Espagne).
- — Dictionnaires d’expressions autqmobiles,
- 333, Fourth avenue, New-York (États-Unis).
- — Dion-Bouton (Le), journal d’automobile, 36,
- quai National, Puteaux (Seine).
- — Disponible et l’occasion mensuelle (Le),
- revue d’automobile, à Raismes (Nord).
- — Dunod et Pinat, Libraires-Éditeurs, 49, quai
- des Grands-Augustins, Paris.
- — ÉCHO DES SPORTS (L'), S"!
- madaire sportif, 13, rue du Faubourg-Montmartre, Paris.
- — Education physique (//), journal sportif,.
- 76, rue de Sufïren, Paris.
- — Energia Electrica (La), revue d’électricité,.
- 5, flaza de Isabel II, à Madrid (Espagne).
- — Fahrzeng (Las), journal automobile, édité par
- Cari Bohl, i\ Eiscnach (Allemagne).
- — France automobile (La), journal hebdomadaire,
- 68, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- — Gazette sportive de Bordeaux et du Sud-
- Ouest, 10, place d’Aquitaine, Bordeaux (Gironde).
- — Gazzetta Dello Sport, revue, 10, via Santa
- Radegonda, à Milan (Italie).
- — Globe-Trotter (Le), journal hebdomadaire
- illustré, 4, rue de la Vrillière, Paris.
- — Horseless Age (The), journal automobile*
- 9, Murray Street, à New-York (États-Unis).
- — ILLUSTRATION (L'), ISS, E’,t
- 15, rue Saint-Georges, Paris.
- — Industrial Motor Review (The), revue tech-
- nique, 89, Fleet Street, à Londres (Angleterre)..
- — Industrie Cosmopolite (L’), revue hebdoma-
- daire polygotte, 45, via Frederico Cesi, à Rome (Italie).
- Industrie électrique (L’), revue scientifique,. 9, rue de Fleur us, Paris.
- — Industrie Vélocipédique et Automobile
- (Journal V), 75, rue Vieille-du-Temple, Paris.
- — Ingegneria Ferroviaria (L*), revue technique,.
- 397, corso Umberto, à Rome (Italie).
- — Intermédiaire automobile (L’), revue bi-
- mensuelle, 39, rue d’Isly, il Alger (Algérie).
- — Lughenot, traductions techniques, 9, rue du;
- Louvre, Paris.
- — Locomotion automobile (La), journal hebdo-
- madaire, 15, rue Bouchut, Paris.
- I nie [T CDfiDTC revue mensuelle,. LUIO C I OrUïlIO, transformée en Revue du Tourisme et des Sports,
- — Moderne (Le), journal sportif, Monbrottier
- (Rhône).
- — Mois scientifique et industriel (Le), revue,.
- 8, rue Nouvelle, Paris.
- — Monde Industriel (Le), revue illustrée, 3,.
- rue de l’Estrapade, Paris.
- — Moniteur Maritime (Le), revue, au Pecq
- (Seine-et-Oise).
- — Moniteur Médical et la Cote Automobile
- réunis (Le), 6, rue Saint-Florentin (Paris.
- — Morisons Review, journal, 109, rue Dambruggc,.
- Anvers (Belgique).
- — Motocycle (Le), revue, 56, rue Pcrgolôsc, Paris.
- — Motocyclette (La), revue, 2, avenue Victoria.
- Paris.
- ™ Motocyclette Illustrée (La), 22, rue d’Angleterre, Bruxelles (Belgique).
- — Motor (The), journal, 1789, Broadway, New-
- York (États-Unis).
- — Motor (The), journal, 7, Rosebery avenue..
- Londres (Angleterre).
- — Motor âge, revue, 1303, Michigan avenue,.
- Chicago (États-Unis).
- — Motor Boat (The), revue, 7, Rosebery avenue,.
- LoQdres (Angleterre).
- — Motorboot (Las), journal, 89, Lutstrasse-
- Deustches Kolonialhaus, Berlin W. 35 • (Allemagne).
- — Motor Car Journal, 27, Charing Cross road,..
- Londres (Angleterre).
- L,'0S*Z |o miiiftin flFFIflIFIfle Ia Commission tecûnique de l’fl. c. F.
- les mois LU ÜULLi-illl UillUILL 30% ru* Duret, PARIS. - (6 francs far «»)
- il
- *
- p.806 - vue 808/946
-
-
-
- CLASSE 3ü
- 80^ - TIU5SSE SPORTIVE, ETC.
- | Motor Car World {The), journal, 73, Dunlop i Street, Glascow (Angleterre). !
- — Motor cycle {The), journal, 20, Xudor Street,
- Londres (Angleterre).
- — Motor iiouse automobiles, 314, Euston road, Londres N. AV. (Angleterre).
- — Motor traffic, revue, Times Bulding New-
- York (États-Unis). I
- — Motor Way {The), journal, 21, Quincy Street, i
- Chicago (Illinois), États-Unis. I
- — Motor Review (The international), 30, rue ;
- de Londres, Taris. j
- — Motor Trader (The), journal, 10, Wilson Street, ;
- Londres (Angleterre).
- — Motor World and Industrial yehicle re- :
- view (The), revue, 73, Dunlop Street, Glascow (Angleterre).
- — IVIOTORING ILLUSTRATED. reiT
- Arundel Street, Strand, Londres (Angleterre).
- — Motorwaoen {Ber), journal, 11, Kurfürtenstrasse,
- Berlin (Allemagne).
- — Nature (La), journal hebdomadaire illustré, !
- 12^, boulevard Saint-Germain, Taris. j
- — Nice-Automobile, journal, 4, avenue Malaus- i
- séna, Nice (Alpes-Maritimes). I
- — Nord-Touriste, bulletin mensuel, 4, rue de la
- Gare, Roubaix (Nord).
- — Occasion-Sport,(J/), journal, 7, rue dcXrovcnce i Taris.
- OLYVER TYPEWRITER C",
- 3, rue de Grammont-, Taris.
- ___niVINIA revue pratique de locomotion, 20,
- UITII1IH, rue Duret, Taris ; rédacteur en chef : Baudry de Saunier.
- — OUVRAGES BAUDRY DE SAU-
- NIER j 20, rue Duret, Taris. ^ ** s**^*'*
- — Petites Annales judiciaires du cycle et de ,
- l’automobile, 35, rue Bergère, Taris.
- — Thoto-Magasine, 188, rue d’Assas, Taris.
- — Photo-Tresse, 5, rue Cambon, Taris.
- — Poids lourd {Le), revue, 1, rue Tardieu, Taris.
- — Pratique automobile vulgarisée {La), journal,
- 101, avenue Henri-Martin, Taris.
- — Provence sportive (La), journal, 72, rue Saint-
- Féréol, Marseille (Bouches-du-Rhône).
- — Publications automobiles (Société de), 27, !
- rue Ballu, Taris.
- — Publications Scientifiques et Industrielles ,
- 8, rue du Débarcadère, Paris.
- — Pyrénées et Océan, chronique, 9 bis, cours de ,
- llefïye, Tarbes (Hautes-Pyrénées.)
- — Ràpiditas, revue d’automobilisme, 2, via Cata-
- nia, à Palenno (Italie). I
- — Reportage photographique (agence parisienne 1 de), 30, rue des Dames, Taris.
- — Revue Commerciale Automobile, 10, rue d’Ar-
- genteuil, Taris.
- — Revue de l’Association générale automo- !
- bile, 8, place de la Concorde, Taris.
- — Revue des Éclairages, 104, boulevard de
- Clichy, Taris. :
- — Revue des Publications automobiles, 27’ ;
- rue Ballu, Taris. !
- — Revue des Transports automobiles, 29, quai
- des Grands-Augustins, Taris. j
- — REVUE DU TOURING-CLUB DE
- rn A NPIT 05, avenue de la Grande-Ar-rnHIHrt, méc, Taris.
- — REVUE DU TOURISME ET DES
- SPORTS , 20, rue de la Pompe, Paris.
- -- Revue de l’Ingénieur, 41, rue de Richelieu, Taris.
- — Revue Française de Constructions auto-
- mobiles, 34, rue de Charonne, Taris.
- — Revue Générale Industrielle, 14, rue du
- Cardinal-Lemoine, Taris.
- - Revue Industrielle (La), 17, boulevard de la Madeleine, Paris.
- — Revue Sportive illustrée (La), 20, rue De-
- locht, à Bruxelles (Belgique).
- — Revue technique (la), — Voir Annales techni-
- ques (Les).
- SCHNAUFERL (DAS),
- Braunbcck, ArmuPstrasse, à Munich (Allemagne).
- -SCIENTIFIC AMERICAN (THE),
- revue hebdomadaire, éditée par Muni et ( 301, Broadway, New-York (États-Unis).
- — Sicilia sportiva, revue, à Païenne (Sicile).
- -SITES ET MONUMENTS, STffS"
- ring-Club de France, 05, avenue de la Grande Armée, Taris.
- — Sport (le), journal quotidien, 22, rue de la
- Braie, à Bruxelles (Belgique).
- — Sport Universel Illustré (le), 13, rue de
- Londres, Taris.
- CDflDTC U CC\ journal quotidien, 20, Ol Un I O \LLo/, rue Saint-Marc, Taris. — Sportsman (le), journal quotidien, 14, rue d’Or, à Bruxelles (Belgique).
- — Sports modernes (les), 24, boulevard des Capu-
- cines, Taris.
- — Suisse sportive (La), journal automobile, 10,
- rue de Hesse, à Genève (Suisse).
- — Technique automobile ila), revue, 49, quai
- des Grands-Augustins, Taris.
- — ThÉvin(F.) et Créditeurs de l’Annuaire généi - 1
- de l’automobile, 38 bis, avenue de la Grande-Armée, Taris.
- — Tourisme (le), revue 17, rue du Hclder, Taris.
- — Tout-Paris, annuaire mondain, 55, rue de la
- Chaussée d’Antin,Paris.
- — Vau-sportif (le), journal, rue Pierre-Clément,
- à Draguignan (Var).
- — VIE AU GRAND AIR (LA), ÏS
- La'itte, 9, avenue de l’Opéra, Pars.
- — Vie Automobile (la), journal hebdomadaire,
- 49, quai des Grands-Augustins, Taris.
- — Vie Illustrée (la), journal, 122. rue Réaunuir,
- Taris.
- Yacht (le), journal, 55, rue de Clmteaudun, Taris.
- — YACHTING-GAZETTE, ffïi.r;,
- rue Meycrbcer, Taris.
- OIM N IA
- 20, rue Duret, PARIS
- Rédacteur en Chef : L. BAUDRY de SAUNIDR
- est le meilleur journal d’automobile
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- WSTE
- DES
- Membres des Automobile-Clubs
- DE
- Paris et de Province
- Pages
- Aéro-Club de France.......................................... 849
- Association Générale Automobile.............................. 841
- Automobile Club de France.................................... 817
- Automobile-Clubs de Province................................. 855
- Automobile Club d’Alsace-Lorraine............................ 897
- Chambres Syndicales.......................................... 842
- Touring-Club de France . .................................... 809
- J
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- TOriUNG-CLUB
- DE FRANCE
- TOURING-CLUB DE FRANCE
- 6F>, avenue de la Grande-Armée, Paris. Tel. 545-27
- STATUTS
- Article premier. — L'Association dite Tou-rincf-Cluh de France, fondée en 1890, a pour Dut le développement du tourisme sous toutes ses formes.
- Elle donne à tous les touristes aide et. protection, use de son influence pour obtenir en faveur de ses Membres des tarifs spéciaux dans les hôtels, leur procurer toutes facilités et en même temps des remises particulières pour rachat d’objets d'é<juipements, de cartes, et, en général, de tout ce qui a trait au tourisme.
- Art. 2. — Les moyens d'action de l’Association sont : i° une Revue Mensuelle, organe officiel du Club, adressée gratuitement à tous les sociétaires et contenant tous les renseignements intéressant le tourisme ; 2°la publication des travaux propres à faciliter et à développer le tourisme (Guides routiers. -Itinéraires. — Cartes routières dressées au point de vue du tourisme) ; 8° l’organisation d'excursions dans chacune des sections du Touring-Club ; 4° l'institution de délégués ou représentants de l’Association, chargés à titre gracieux, de donner aux touristes toutes les indications qui leur sont nécessaires, tant au point de vue des routes, qu'au point de vue des hôtels, mécaniciens, fournisseurs, etc., et de leur indiquer les endroits de la région intéressants à visiter ; 5° l’étude des questions d’intérêt général (Règlements. — Circulation. — Douanes. — Chemins de fer, etc.) et les démarches près des Administrations publiques ; 6° l'installation de postes de secours dans les endroits isolés, de potaux indicateurs sur les routes signalant les sites ou monuments intéressants pour le touriste, aux croisements de routes dépourvues d’indication et à l’origine des descentes dangereuses; l’établissement de sentiers cyclables le long des routes pavées, etc., etc.
- Art. 3. — L’Association se compose de membres titulaires* de membres d'honneur, et de membres fondateurs.
- Pour être membre titulaire, il faut : i° être présenté par deux membres de l'Association
- et agréé par le Conseil d’Administration ; 20 payer une cotisation annuelle dont le minimum est de cinq francs pour la France, la Corse, l’Algérie et la Tunisie, de six francs pour les Colonies et l'Etranger.
- Le rachat de la cotisation est admis moyennant le versement d'une somme de cent francs ; il confère la qualité de membre à vie.
- Peuvent cire nommés membres d'honneur par le Conseil d’Administration toutes les notabilités politiques, littéraires, industrielles* ou administratives, qui veulent bien donner à l’Association l’appui de leur nom ou de leur plume et lui accorder leur patronage.
- Pour être membre fondateur, il faut verser une somme fixe de deux cents francs.
- Art. /|. — La qualité de membre de l’Association se perd :
- i° Par la démission ;
- 20 Par la radiation prononcée, pour motifs graves, par le Conseil d’Administration, le membre intéressé ayant été préalablement, appelé à fournir ses explications, sauf recours à l’Assemblée générale, ou par l'Assemblée générale, sur le rapport du Conseil d'Admi-nistration.
- RÈGLEMENT INTÉRIEUR
- TITUK I
- Composition de T Association. — Admissio?i.
- Article premier. — La cotisation est due à partir du irr janvier, quelle que soit la date de l’admission ; elle vaut jusqu'au 3i décembre de l'année courante. Toutefois, pour les demandes présentées à partir du ipr octobre, la cotisation sera valable pour le reste de l’année et l'année suivante. (J)
- Art. 2. — A défaut de parrains, toute personne désirant faire partie du T. G. F. devra fournir, par des références auprès de personnes notables, des preuves de son honorabilité.
- Art. 3. — Toute demande émanant d'un mineur devra être visée par le père ou le tuteur, c.elle émanant d'une dame, par le mari, le père ou le frère.
- Article !\. — Toutes les demandes d'admission sont insérées à la Revue Mensuelle ; le Conseil statue sur ces demandes, lorsqu’elles 11e donnent lieu à aucune opposition, dans le délai de huit jours après la publication, pour la France, de quinze jours pour l'Europe, de un mois pour les colonies et trois mois pour les pays d'outre-mor.
- Art. 5. — Si le candidat est admis, il reçoit les statuts, l'insigne et la carte de sociétaire; s'il est refusé, le montant de sa cotisation lui est immédiatement retourné, sans Irais. Toute demande d'admission implique l'adhésion sans réserves aux Statuts et Règlements, ainsi
- O Les avantages inhérents à la qualité de sociétaire, spécialement le service de la Revue, ne sont acquis qu'à partir de l'admission. Toutefois, le numéro contenant la publication de la candidature, anterieur par conséquent à l'admission, est envoyé, à titre gracieux, au candidat.
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- DE FRANGE
- qu'aux modifications qui peuvent y cire apportées.
- Le prêt de la carte de sociétaire ou de l'insigne est formellement interdit sous peine de , radiation.
- Les sociétaires s'interdisent également remploi du titre (( de membre du Touring-Club » dans toute affaire ayant un caractère industriel, commercial ou électoral.
- Art. fi. — Tout sociétaire est tenu d'adresser avant le 1S janvier, au trésorier du T. G. F., un bon de poste ou un mandat de 5 francs (pour la France, l'Algérie, la Corse, la Tunisie'), de six francs (pour les Colonies et l'Etranger), montant de sa cotisation. A tous ceux qui n'ont, pas eil'ectué ce payement avant le i.*>, il est fait présenter à la date du 3i janvier, par les soins du Trésorier, un re<;u de 5 IV. 5o ou de fi fr. 5o. représentant le montant de la cotisation, augmenté des frais d'encaissement.
- La radiation pour cause de non-paiement pourra cire prononcée contre le sociétaire qui laissera ce reçu impayé.
- Tout membre du Club, qui n’a pas notifié sa démission par lettre adressée au Président avant le ier décembre, reste débiteur de sa cotisation pour l'année suivante.
- Art y. — Tout membre du Touring-Club de France doit aide et protection aux autres membres dans la mesure de ses moyens ; il doit leur doi'mer toutes informations qui peuvent leur venir en aide.
- Art. 8. — Le Touring-Club de France n'étant compose que de touristes amateurs, et ne s'occupant en aucune façon de courses, il est interdit, sous peine de radiation, de courir sous les couleurs de l'Association.
- Art. q. — Nul ne peut être membre du Conseil (l'Administration ou délégué en France, s'il n'est Français, majeur, et s'il ne jouit de ses droits civils, civiques et politiques.
- Les membres du Conseil doivent habiter Paris ou la banlieue.
- Les délégués doivent, avoir leur domicile dans le canton, l'arrondissement ou le département pour lequel ils sont nommés.
- Art. io. — Les membres du Conseil sont tenus d'assister à toutes les réunions.
- Tout membre manquant à trois séances, sans excuses valables, est considéré comme démissionnaire et il est. pourvu à son remplacement par le Conseil.
- Art. ii. — Les membres du Conseil d’Ad-ministration ne contractent, à raison de leurs fonctions, aucune obligation personnelle. Ils ne répondent que de l'exécution de leur mandat.
- Art. 12. — Le Président à la direction de l'Association, il pourvoit à l'organisation des services, il signe la correspondance, exécute les délibérations du Conseil, il fait tous actes conservatoires et représente l'Association vis-à-vis des tiers et des pouvoirs publics ainsi qu'en justice, tant en demandant qu'en défendant.
- Il préside les séances du Conseil ; en cas de partage, sa voix est prépondérante.
- Art. i3. — Les Vice-Présidents suppléent le Président absent ou empêche et le remplacent dans toutes ses attributions.
- Art. i/j. — Le Trésorier fait le recouvrement des sommes dues à l'Association, signe-toutes quittances avec ou sans main-levée, endosse ou acquitte tous elfets ou mandats. 11 acquitte toutes les dettes de l'Association ; il est comptable de toute somme reçue ou payée. 11 est personnellement responsable de toute dépense non approuvée par le Conseil.
- Art. io. — Le Secrétaire-Archiviste a la garde des archives ; il signe les procès-verbaux des séances du Conseil et, de concert avec le Président., veille à l'exécution des délibérations.
- Art. ifi.— Chacun des autres membres du Conseil peut être chargé de fonctions spéciales dans l’intérêt du bon fonctionnement et de la prospérité du Touring-Club de France.
- TITRE II
- A ssem hlée généra le
- Art. 17.— L'Assemblée générale sc réunit de droit chaque aimée, à Paris, dans le courant du mois de décembre.
- Art. 18. - Les convocations sont faites au
- moins un mois avant la date fixée pour la réunion, par un avis inséré dans l'organe officiel.
- Art. iq. — Les propositions devant figurer à l’ordre du jour de l’Assemblée générale doivent cire adressées au Président avant le ü5 octobre, de façon à pouvoir être insérées dans le numéro de novembre de la Revue" Mensuelle.
- Art. 20. Les délibérations sont prises à la majorité. Les membres ne pouvant assister à l'Assemblée sont invités à adresser leurs-votes par lettres aussi bien pour les décisions à prendre que pour la nomination des membres du Conseil. Le vote par procuration est interdit. Une feuille de présence est signée par tous les membres assistant à l'Assemblée et il y est joint un état de ceux qui ont voté par correspondance.
- TITRE I.I
- Organisation régionale — Moyens d'action'
- Art. 21. — La France est divisée en vingt sections numérotées de 1 à 20, dont dix-huit pour la France continentale, une pour l'Algérie et une pour les colonies ; le périmètre de ces sections correspond à celui des corps d'armée. Paris et le gouvernement de Paris-forment une section spéciale désignée sous le nom de « Section de Paris » ; la Corse est rattachée à la i5° section.
- Art. 22.— Les pays étrangers forment une section spéciale qui pourra être divisée en. plusieurs, au fur et à mesure de l'augmentation des membres dans chaque pays.
- Art. 23. — A la tête de chaque section est un delegué principal, et à la tele de chaque-
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- DE FRANCE
- département un délégué départemental ; il peut, en outre, être placé un ou plusieurs délégués dans toutes les localités où il sera nécessaire, selon leur importance.
- Art. 2!\.—Tous les délégués sont nommés par le Conseil sur la proposition du Président, ils doivent forcément faire partie du Touring-Club de France.
- Ils sont nommés jusqu'à démission ou révocation.
- Art. a5. — Ces délégués principaux indiquent au Président les personnes susceptibles de remplir dans leurs sections les fondions dp délégués.
- Art. 2 G. — Les délégués sont choisis parmi les agents voyers, conducteurs des ponts et chaussées, inspecteurs des douanes et des forets, instituteurs, ou touristes connaissant parfaitement la région, et leurs rapports sont centralisés chez le délégué principal.
- Art. 2y. — Les délégués sont chargés en outre de recruter les adhésions au Touring-Club de France. A cet effet, des demandes d’afliliation imprimées leur sont remises.
- Art. 28. - 11 est organisé tous les ans dans chacune des sections du Touring-Club, par les soins du délégué principal de cette section, deux grandes excursions dont le programme est. arrêté par ce dernier.
- Art. 2q. —- La durée de ces excursions, qui devront avoir lieu, autant que possible, aux époques des vacances, ne dépasse pas trois ou quatre jours, afin de permettre au plus grand nombre possible de sociétaires d'y prendre part ; les étapes sont de Go à 70 kilomètres par jour environ. Elles sont ouvertes aux seuls membres du Touring-Club de France ou aux candidats sous la responsabilité de leurs parrains.
- Art. 3o. — Toutes les réclamations concernant une section sont adressées au délégué principal qui en référé au Conseil par l'intermédiaire du Président.
- Art. 3i. — Les frais de correspondance sont remboursés aux délégués sur leur demande et d'après état détaillé, remis tous les trois mois au Conseil (l'Administration par le Président, ainsi que tous les autres menus Irais occasionnés par leurs fonctions.
- Art. 3a. — La Revue Mensuelle, organe officiel du Club, est chargée de la défense des intérêts de l'Association. Elle contient tous les renseignements intéressant le tourisme et est ouverte à toute communication d’un intérêt suffisamment général.
- Toutes les nouvelles et décisions officielles sont insérées à la Revue et les membres sont censés en être instruits par cette insertion meme.
- Toutes les nominations, démissions ou destitutions figurent à l'organe officiel.
- Art. 33. — La Revue Mensuelle est publiée sous la direction du Président, auquel sont adjoints un Comité de rédaction composé du gérant et de deux membres pris dans le Conseil et choisis par lui, et un secrétaire de la rédaction.
- NOTE GENERALE CONCERNANT LES DEMANDES
- d’admission
- Aux termes (les statuts, les demandes ne sont reçues (\\\ accompagnées du montant de la cotisation.
- Le l’achat de la cotisation est admis, moyennant le versement d'une somme de cent francs. Il confère la qualité de Membre à vie; 011 peut etre admis en qualité de Membre fondateur, moyennant une somme de deux cents francs.
- La cotisation n'est valable que pour l'année courante, quelle que soit la date de l'admission.
- Par dérogation à cette règle, à partir du icr octobre, le paiement de la cotisation vaut jusqu'à la fin de l'année suivante.
- Les bons de poste ou mandats doivent être libellés ainsi : à Monsieur le Trésorier du Touring-Club.
- Aucune demande n’est accueillie si elle n'est signée d'un délégué ou de deux parrains.
- A défaut de parrains, membres du Touring-Club, le candidat sera tenu de donner des preuves (le son honorabilité au moyen de références près de personnes notables.
- Les dames sont admises présentées par leur mari, leur père, ou leur frère; les mineurs présentés par leur père ou leur tuteur.
- Les candidats sont instamment pries de mentionner leur profession, soit l'actuelle, soit l'ancienne, ou, à défaut, les mots rentier et propriétaire, ainsi que leurs décorations ou les distinctions honorifiques dont ils auraient été l’objet, indications qui nous sont très précieuses pour le recrutement des délégués.
- Le service de la Revue Mensuelle, ainsi <{ue tous les avantages inhérents à la qualité de sociétaire, est acquis à partir de l'admission, laquelle 11'est prononcée qu'après la publication de la candidature dans la Revue, publication non suivie d’opposition. En conséquence, un candidat inscrit par exemple dans les premiers jours de mars ne reçoit pas le numéro qui paraît le 10 mars, mais bien celui qui parait le 15 avril.
- Adresser les demandes de renseignements-d'admission, de statiUs et toute la correspondance au siège social: 65, avenue de la Grande-Armée, Paris. Téléphone 545-21.
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- TOT RING-CLUB
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- DE FRANCE
- TOURING-CLUR I)E FRANCE
- d'à, avenue de la Grande-Armée. — Paris.
- Membres
- d’honneur et administrateurs.
- HAUTS PROTECTEURS
- M. Armand Fallières, President de la République.
- M. Emile Loubet, ancien Président de la République.
- PRESIDENT d'hONNEUR
- M. le Dr Just Championnière, chirurgien de rilôtcl-Dieu, membre de l’Académie de médecine, 3, avenue Montaigne, Paris.
- MEMBRES n’HONNEUR
- France
- M. Rarthou, député des Passes-Pyrénées, ancien ministre, 7, avenue d'Antin, Paris.
- M. Georges Berger, député de la Seine, membre de l’Institut, 8, rue Legendre, Paris.
- M. Berthelot, sénateur, ancien ministre, secrétaire perpétuel de l’Académie des Sciences, 3, rue Mazarinc, Paris.
- M. Léon Bourgeois, sénateur, ancien président de la Chambre des Députés, ancien ministre, 5, rue Palatine, Paris.
- M. Casimir-Péricr, ancien Président de la République, a3, rue Nitot, Paris.
- M. Delcassé, député de l’Ariège, ancien ministre des Affaires Etrangères, 11, boulevard de Cliehy, Paris.
- M. .Iules Devellc, conseiller à la Cour d'appel, ancien ministre, i,3i, rue du Faubourg Saint-Honoré, Paris.
- M. Marcel Deprez, membre de l'Institut, 2.3, avenue Marigny, Yinccnnes.
- M. Edmond Dollfus, 2, rue de Presbourg, Paris.
- M. Dupuy-Dutemps, ancien ministre, !\ 1, avenue Kléber, Paris.
- M. Gabriel Hanotaux, membre de l’Académie française, ancien ministre, F.>8, boulevard Saint-Germain, Paris.
- M. Lépine, préfet de police, 7, boulevard du Palais, Paris.
- M. Lourdes, sénateur des Landes, ancien ministre, 12, rue Notre-Dame-des-Champs, Paris.
- M. Turrcl, ancien ministre, ancien député, 2.3, boulevard Delesserl, Paris.
- CONSEIL D’ADMINISTRATION
- BUREAU
- Président : M. A. Bail if, sous-chef de bureau à la Préfecture de la Seine, en retraite, 05. avenue de la Grande-Armée, Paris.
- Vice-présidents : M. Max Vincent, docteur I en droit, avocat à la Cour d’appel, ancien |
- membre du Conseil municipal de Paris, gG, rue de la Victoire, Paris.
- M. Georges Pierron, licencié en droit, propriétaire, 2, rue Mcissonier.
- Secrétaire-archiviste : M. L. Duchesne, propriétaire, adjoint au maire, 54, rue de Paris, à Epinay (Seine).
- Trésorier : Comte E. de Rcinacli-Fousse-magne, attaché à la Caisse des Dépôts et Consignations, G5, avenue de la Grande-Armée.
- CONSEILLERS
- MM.
- A. Berthelot, ancien député de la Seine, agrégé d’histoire et de géographie, administrateur-délégué du Métropolitain, i5, avenue do la Grande-Armée.
- .1. Berthelot, négociant, 9.t\ bis, rue Boisle-vent.
- Bonnard, docteur en droit, ancien avoué à la Cour de Paris, ^3, boulevard de Gourcellcs.
- D1' M. Briand, médecin en chef de l’hospice de Villejuif, asile de Villejuif (Seine) ;
- G. Davin de Champclos, sous-chef de bureau à la Préfecture de la Seine, i5o, rue Lamark.
- II. Defert, docteur en droit, avocat au Conseil d’Etat et. à la Cour de Cassation, ancien maire du VI” arrondissement, 4c eue Madame.
- L)1' Deschamps, inspecteur des Ecoles de la ville de Paris, y. rue Ambroise-Thomas.
- A. Dcscubcs, ancien professeur de géographie à l’Ecole Monge, ancien député, 1G, rue Saint-Romain.
- Ch. Gariel, inspecteur général des Ponts-et-Chaussées, membre de l’Académie de Médecine, Professeur à la Faculté, 6, rue Edouard-Detaille.
- F. Guillain, ancien ministre, député du Nord, Vice-Président de la Chambre des Députés, 55, rue Schellcr.
- Dr Léon Petit, médecin en chef de l'hôpital d’Orincsson, secrétaire général de l'Œuvre des Enfants tuberculeux, 20, rue de Pcn-thièvre.
- Général baron Rebillot, i(;2, rue de Grenelle.
- H. Rouville, inspecteur de la vicinalilé au Ministère de l’intérieur, iG, avenue du Tro-cadéro.
- CONSEILLERS HONORAIRES
- MM.
- G. Colle, directeur de la succursale du Crédit industriel et commercial, 27, rue Franklin.
- II. Ledieu, ingénieur, G, rue Vauconsanl, Sannois (Seine-ct-Oise).
- L. Le Doyen, ingénieur des Arts-et-Manu-facturos, 43 1er, rue de Billancourt,Boulognc-sur-Seinc (Seine).
- Jacques Ballif, chef du Secrétariat, 97, boulevard Malesherbcs, Paris.
- Beeopct, 174> boulevard Pereire, Paris.
- Viollette, publiciste, 5g, boulevard National, au Parc-Saint-Maur (Seine).
- P. Leroy, percepteur à Grisolles (Tarn-et-Garonne.)
- G. Vieillard, 5, rue Yiollct-le-Duc.
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- TOU RING—Cl LU B
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- DE FRANCE
- REVUE MENSUELLE
- Secrétaire de la Rédaction : M. Jacques Ballif, chef du Secrétariat du Président, 9-, boulevard Malesherbes, Paris.
- BUREAUX
- Secrétaire-général : M. G. de Clialus, 65, avenue de la Grande-Année (XVIe).
- COMITÉS
- Comité de contentieux
- MM.
- Max Vincent, avocat à la Cour de Paris, docteur en droit, ancien membre du Conseil municipal de Paris, prësidenty 96, rue de la Victoire.
- L. Bonnard, docteur en droit, ancien avoué à la Cour de Paris, secrétaire-archiviste, ^3, boulevard de Coureelles.
- II.-A. Aubry, 6, rue Cambacérès.
- P. Dauvert, chef de Service à la Prélecture de la Seine, secrétaire-grenier du Conseil de Prélecture, 0, rue Lagrange.
- llenry Defert, docteur en droit, avocat au Conseil d’Etat et à la Cour de Cassation, ancien maire du Vl° arrondissement, 4 1, rue Madame.
- Francis J. Delasalle, docteur en droit, avoué près le tribunal de première instance de la Seine, 241, rue du Faubourg-Saint-lIonoré.
- Georges Leredu, avocat à la Cour de Paris, 42, rue Paradis.
- E. Mcigncn, docteur en droit, agréé au Tribunal de Commerce de la Seine, 15, rue du J.ouvre.
- Comité technique.
- MM.
- A. Ango, cher de service au Laboratoire central de météorologie, 12, avenue de l’Alma.
- P. Appel, membre de l'Institut, doyen de la Faculté des Sciences, 17, rue Bonaparte.
- Arnoux, ingénieur civil, vice-président de la Commission technique de l'Automobile-Club de France, 45, rue du Ranelagh.
- l)r A* d’Arsonval, membre de l'Académie de médecine, professeur au Collège de France, j2, rue Claude-Bernard.
- Georges Berger, membre de l'Institut, député de la Seine, président de PUnion centrale des Arts décoratifs, 8, rue Legendre.
- Marcel Bertrand, membre de l’Institut, ingénieur en chef des Mines, 70, rue de ATaugi-rard.
- Blanchard, professeur à la Faculté de Médecine, 226, boulevard Saint-Germain, Paris.
- Gabriel Bonvalot, explorateur, président du Comité Dupleix, député de la Seine, 26, rue de Grammont.
- Carlo B ourlet, docteur ès sciences matlié-mathiques, professeur à l'Ecole des Beaux-
- Arts et professeur de mathématiques spéciales au Lycée Saint-Louis, 22, avenue de l'Observatoire.
- G. Broca, ingénieur des Arts et Manufactures, directeur de l'Exploitation et des Services techniques des Tramways de Paris et du département de la Seine, 10, rue Edouard-De taille.
- Maurice Bucquet, président du Photo-Club-de Paris, 12, rue Paul-Baudry.
- E. Cheysson, inspecteur général des Ponts et Chaussées, professeur à l’Ecole nationale supérieure des Mines, membre de l’Académie des Sciences morales et politiques, 4, nie Adolphe-Yvon.
- Colson, conseiller d'Etat, ancien directeur des Chemins de fer au ministère des Travaux publics, i3q, boulevard Saint-Germain.
- Jules Comte, directeur honoraire des Bâtiments civils et des Palais nationaux, 18, rue Lord-Byron.
- G. Darboux, secrétaire perpétuel de l’Académie des Sciences, professeur à la Faculté des Sciences, 36, rue Gay-Lussac.
- Davanne, président de la Société française de Photographie, 82, rue des Petits-Champs.
- Marcel Deprez, membre de l’Institut, professeur au Conservatoire des Arts et Métiers, 23, avenue Marigny, Vincennes.
- G. Dumont, ancien président de la Société des ingénieurs civils de France, ingénieurs des Services techniques de la Compagnie des Chemins de fer de l’Est, 96, rue de prony.
- Commandant Ferrus, villa David, Vincennes.
- Ch. Gariel, membre de l’Académie de médecine, inspecteur général des Ponts et Chaussées, 6, rue Edouard-Detaille.
- F. Guillain, ancien ministre, député du Nord, 55, rue Scheffcr.
- llenry, inspecteur général des Ponts et Chaussées, président du Comité de la Vicina-lité au ministère de l'Intérieur, i5,rue Godot-de-Mauroi.
- E.-A. Relier, ingénieur en chef du département de la Seine, 11, rue de Londres.
- Janssen, membre de l'Institut, membre du Conseil de la Légion d'honneur, directeur de l’Observatoire d'astronomie physique, à Mcu-don i^Seine-et-Oise).
- I)1 Just-Championnière, chirurgien de l’Hôtel-Dicu, membre de l'Académie de médecine, 3, avenue Montaigu.
- G. Kœnigs, professeur de mécanique expérimentale à la Sorbonne, 101, boulevard Arago.
- Ch. Lallemand, ingénieur en chef au corps des Mines, directeur du Service de nivellement général de la France, membre du bureau des Longitudes, 66, boulevard Emilc-Augier.
- Colonel Laussedat, membre de l'Institut, directeur honoraire du Conservatoire des Arts et Métiers, 3, avenue de Messine.
- Henri Leauté, ingénieur, membre de l'Institut, membre du Comité de l'Exploitation technique des chemins de fer, 20, boulevard de Coureelles.
- Louis Le Chatelier, ingénieur en chef des Mines, membre du Comité technique des chemins de fer, professeur à l’Ecole des Mines, 2, rue du Regard.
- L. Lecornu, ingénieur en chef des Mines,
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- TOURING-CUB
- DE FRANCE
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- répétiteur de mécanique à l'Ecole polytechnique, 3, rue Gay-Lussac.
- Gonnnandanl Lcpclleticr, (18, rue Madame.
- Levasseur, membre de l'Institut, administrateur du Collège de France, 4 5 et Ipj, rue des Ecoles.
- U. Le Verrier, ingénieur en chef des Mines, professeur au Conservatoire des Arts et Métiers, ^o, rue Charles-Laffitte, à Neuilly-sur-Seine iSeine).
- Gabriel Lippmann, membre de l'Institut, professeur à la Faculté des Sciences, io, rue de l'Eperon.
- E.-A. Martel, lauréat de l'Institut, agréé au 'Tribunal de Commerce, 8, rue Ménars.
- E. Mascarl, membre de l'Institut, directeur •du Bureau central météorologique, i^G, rue de l'Université.
- A. Michel-Lévy, membre de l'Institut, inspecteur général des Mines, directeur du Service de la Carte géologique de France, 26, rue • Spontini.
- A. Monmcrqué, ingénieur en chef des Ponts cl. Chaussées, ingénieur en chef du Contrôle de l'Exploitation technique des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée, 19, rue Dccamps, à Meudon (S.-el-Oise).
- G. Noblemaire, ingénieur en chef dos Mines, directeur de la Compagnie des Chemins de fer P.-L.-M., .r>8, rue La Boétie.
- Sylvain Périssé, ingénieur-expert, membre •de la Commission centrale des appareils à vapeur, inspecteur régional de l'Enseignement industriel, président honoraire de l'Association des Industriels de France contre les accidents du travail, 67, rue d'Amsterdam.
- E. Perrachc, ancien capitaine d’artillerie, à Bochetaillée, par Fontaines-sur-Saône (Rhône).
- Alfred Picard, inspecteur général des Ponts •et Chaussées, membre de l'Institut, président •de section au Conseil d'Etat, vice-président du Comité consultatif des chemins de fer, 12, -cité Vaneau.
- Ernest Ilontzen, ingénieur civil, membre du Comité de l'Exploitation technique des chemins de fer, président de l'Association amicale des Anciens élèves externes des Ponts et Chaussées, 65, rue de Monceau.
- Alexandre Pourccl, ingénieur civil des Mines, membre honoraire du Comité des Forges de France, 2, sejuare du Roule.
- J. Résal, ingénieur en chef de la Navigation de la Seine et des Ports de Paris, G, rue Furstcnbcrg.
- G. Rives, architecte, membre du Conseil supérieur des Bâtiments civils, 122, avenue des Champs-Elysées.
- IL Rouville, inspecteur général des Ponts •et Chaussées, inspecteur de la vicinalité au Ministère de l'Intérieur, iG, avenue du Tro-cadéro.
- A. Sartiaux, ingénieur en chef des Ponts et Chaussées, directeur de la. Compagnie des Chemins de fer du Nord, 20, rue de Dunkerque .
- Général Scbert, membre de l'Institut, i4, rue Brémont.ier.
- Emile Trélat, ancien député, professeur honoraire au Conservatoire national des Arts
- et Métiers, directeur de l'Ecole spéciale d'architecture, 2Ô/1, boulevard Baspail.
- Joseph Yallot, directeur de l’observatoire du Mont-Blanc, ii/|, av. des Champs-Elysées,
- E. Vaudremer, membre de l'Institut, architecte du gouvernement, 10, boulevard du Montparnasse.
- Secrétaires.
- Léon Auscher, ingénieur des Arts et Manufactures, i /|, boulevard Yictor-Ilugo, à Neuilly-sur-Seine.
- Bellom, ingénieur des Mines, G, rue Dau-bigny.
- P. Lauriol. ingénieur en chef des Ponts et Chaussées, 278, boulevard Raspail.
- Comte IL de La Valette, ingénieur des Mines, G, place de la Madeleine.
- L.-1I. Maillard, ingénieur des Arts et Manufactures, 155, avenue Malakoff.
- L. Périssé, ingénieur des Arts et Manufactures, 6j, rue d’Amsterdam.
- Commandant Puyo, 5, avenue Dupuis, La Fère (Aisne).
- FL Varenncs, ingénieur civil, !\o, avenue Flachal, Asnières.
- 1L Wallon, professeur agrégé de physique au Lycée Janson-de-Sailly, 65, rue de Prony.
- Comité de Tourisme nautique.
- MM.
- Albert Glandaz, vice-président du Yacht-Club, 87, rue Ampère, président.
- Rondet-Sainl, membre du Conseil du Yacht-Club, 86, avenue Malakoff, vice-président.
- l’ianque, membre du Conseil du Cercle de la Voile do Nogent-Joinville, 13, rue Soul'flot, secrétaire.
- II. Barrère, éditeur-géographe, 21, rue du Bac.
- P. Baudin, ancien ministre des travaux publics, député, 81, rue Taitboul,
- Bonnard, secrétaire du Comité de Contentieux, 7.8, boulevard de Courcelles.
- Capticr, secrétaire de la Chambre syndicale de la Marine, i3, quai Saint-Michel.
- Coffinièrcs de Nordeck, capitaine de vaisseau, 2.40, Faubourg-Saint-lIonoré.
- G. Colle, conseiller honoraire, 2;;, rue Franklin.
- Derôme, inspecteur général des Ponts et Chaussées, 32, rue Jouvenet.
- L. Doyen, président de la Société nautique de la Basse-Seine, 2, rue Chambiges.
- Duplaa Lahitte, ingénieur en chef de i,f classe, 3o, rue de la Bienfaisance.
- Ferrand, ingénieur en chef de 20 classe du génie maritime, 48, rue de Grenelle.
- Gervais, vice-amiral, président de la Ligue Maritime Française, 10, rue Yézclay.
- Guichamans, capitaine de frégate, au ministère de la Marine.
- Guillain, ancien ministre, ancien directeur des Routes et de la Navigation, 55, rue SchcfTer.
- Guillcmin, inspecteur général de la navigation. 4fi. rue de Saint-Cloud, à Billancourt.
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- TOllUXG-CLUB
- — 8 I 5
- DE FRANCE
- A. Ilonnorat, sous-directeur de la Marine marchande, 29, rue Le Peletier.
- Journet,, capitaine de vaisseau, 45, rue d'IJlm.
- Lagogué (A), président de la Fédération f rançaise des sociétés nautiques, président du Rowing-Glub, 13, rue du Chemin-Vert.
- A. Leroy, président du cercle de la Voile de Poissy, 97, rue de Richelieu.
- Maréchal, directeur du journal L’Aviron, secrétaire général de la Société nautique‘de. la Basse-Seine, 219, rue Saint-llonoré.
- B. de Mas, inspecteur général des Ponts et Chaussées, professeur du cours de navigation à l’Ecole des Ponts et Chaussées, 29, rue de Béthune, à Versailles.
- A. Michel-Lévy, membre de l'Institut, inspecteur général des Mines, directeur du service de la Carte géologique de France, 2G, rue Spontini.
- Mirait, président de la Fédération des rameurs de promenade, 19, rue de Laval, Lagny-sur-Marne.
- Morel-Fatio, président de l’IIélicc-CIub, 3, rue du Général-Foy.
- Pottier, président du Cercle de la Voile de Paris, 35, rue d’Anjou.
- Bésal, ingénieur en chef de la Navigation de la Seine et des Ports de Paris, G, rue Furstenberg.
- Richard d’Abnour, contre-amiral, iG, avenue Marceau.
- Savin, capitaine de frégate (en retraite), 8, rue du Delta.
- E. Trél’eu, directeur de la marine marchande, 67, rue de Passv.
- Comité
- clés Sites et Monuments pittoresques.
- MM.
- IL Defert, docteur en droit, avocat au Conseil d’Etat et à la Cour de Cassation, ancien maire du VIe arrondissement, membre du Conseil d’administration, /j 1, rue Madame, jtrèsident.
- Beauquicr, députe du Doubs, président de la Société de jirotect.ion des paysages, 1, rue filer, vice-president.
- L. Bonnard, docteur en droit, ancien avoué a la Cour de Paris, secrétaire-archiviste du Comité de Contentieux, 73, boulevard de Courcelles, secrétaire.
- L. Muret, avocat, membre du Comité de la Société de protection des paysages, 4, place du Théâtre-Français, secrétaire.
- Ardouin-Dumazet, homme de lettres, Go, rue Duplessis, à Versailles.
- Barabant, directeur honoraire de la Compagnie des Chemins de 1er de l’Est, i!\, rue de Clichy,
- P. Baudin, ancien ministre des Travaux Publics, député, 81, rue Taitbout.
- Beaugey, directeur des Chemins de fer de l’Etat, 4», rue de Châteaudun.
- IL Boland, délégué au Service des voyages, 114, boulevard Arago.
- Bruman, conseiller d'Elat, directeur de l’Administration départementale et communale au ministère de l'Intérieur, Gj, rue de Rome.
- P. Brunei, membre de la Chambre de Commerce de Paris, président du Syndicat général de l’Industrie hôtelière, 5i, rue Pierre-Charron.
- E. Caron, membre du Conseil Municipal de Paris, président du Club-Alpin, 80, rue Saint-Lazare.
- Cassien-Bernard, architecte, 222, rue de Rivoli.
- Charguéraud, ingénieur en chef des Ponts et Chaussées, conseiller d'Elat, directeur des Routes, de la Navigation et des Mines, 17, avenue du Trocadéro, Paris.
- Dr Cazalis, vice-président, de la Société de protection des paysages, rue Herrand, 2 ter, à Paris, et villa « Magali >), à Aix-les-Bains.
- Ed. Chaix, membre du Comité de F Automobile-Club de France et secrétaire de l’Association générale automobile, 31, rue de Pen-thièvre.
- Charrier, conseiller à la Cour des Comptes, 1, rue de Traklir.
- L. Dabal, directeur de l'hydraulique agricole au ministère de l'Agriculture, 80, rue de Varcnne.
- Dauhrée, conseiller d'Elat, directeur général des Eaux et Forets au ministère de l'Agriculture, 78, rue de Varcnne.
- Descombes, directeur honoraire des Manufactures de l'Etat, président de l'Association pour l’Aménagement des Montagnes, x4a, rue de Pessac, Bordeaux.
- L. Farges, chef du bureau historique au ministère des A liai res étrangères, 2.38, boulevard Raspail.
- Léonce Faure, 89, rue du Cherche-Midi, Paris.
- Classer, directeur de la Compagnie des Chemins de fer du Midi, 54, boulevard Ilaussmann.
- André Ilallavs, homme de lettres, 110, rue du Bac.
- Heurteau, directeur de la Compagnie du Chemin de fer d'Orléans, 8, rue de Londres.
- Paul Joanne, directeur des «Guides Jeanne», 1, rue Gay-Lussac.
- Jonnart, gouverneur général de l’Algérie.
- Jozon, vice-président du Conseil général des Ponts et Chaussées, 4», rue de Lubeck.
- Lafillce, architecte en chef des'Monuments historiques, 13, rue Taitbout, Paris.
- Lamey. ancien conservateur des Eaux et Forets, 22, cité des Fleurs, Paris.
- De Larminat, directeur de la Compagnie des Chemins de fer de l'Ouest, 20, rue de Rome.
- Eugène Lefèvre-Pontalis, directeur de la Société française d’Archéologie, 13, rue de Phalsbourg.
- Marcel, administrateur général de la Bibliothèque Nationale, rue de Richelieu.
- Mitivié, docteur, président de la Section de Silviculture de la Société des Agriculteurs de France, ig, rue de Bourgogne, Paris.
- L. Mouton, directeur de l’hôpital Laënnec, 42, rue de Sèvres.
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- TOURING-CLUB
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- DE FRANCE
- Noblemaire, directeur de la Compagnie des Chemins de 1er P.-L.-M, 58, rue La Boétie.
- Georges Pallain, Gouverneur de la Banque de France, 3, rue de la Vrillièrc.
- Pérouse, conseiller d’Etat, directeur des Chemins de 1er au ministère des Travaux publics, 2/(6, boulevard St-Germain.
- Léon-Petit, docteur, membre du Conseil d'AdministraLion du T. C. F., 20, rue de Pen-thièvre, Paris.
- Stéphen Piclion, résident général de F’rance à Tunis.
- Onésime lleclus, géographe, 12, rue Souf-llot, Paris.
- G. Rives, architecte, membre du Conseil supérieur des Bâtiments civils, 122, avenue des Champs-Elysées.
- Rivet, conservateur des Eaux et Forêts, en retraite, 4o, boulevard des Invalides, Paris.
- A. Sartiaux, directeur de la Compagnie des Chemins de 1er du Nord, 20, rue de Dunkerque.
- R. de Souza, littérateur, membre de la Société pour la protection des paysages, 23, avenue du Bois-de-Boulogne.
- Marins Vachon, homme de lettres, fi, rue du Yal-dc-Grâee.
- Armand Viré, attaché au Muséum d'histoire naturelle, 21, rue Vauquelin, Paris, et Lacave, par Souillae (Lot).
- Louis de Vogué, secrétaire général do la Société des Agriculteurs de France, 2, rue Fabcr, Paris.
- Weiss, directeur de la Compagnie des chemins de 1er de l’Est, ifi, rue d’Aumale, Paris.
- Comité de Tourisme hippique.
- MM.
- Bornez, directeur général des Haras, 18, rue d’Edimhourg, president.
- Baron du Teil du llavelt, président de la Société Hippique française, 3, avenue d’Antin, vice-président.
- Max Vincent, vice-président, du Touring-Club, qfi, rue de la Victoire, vice-président.
- Comte Gianelli de Sérans, membre de la Société Hippique française, !\-j, rue Saint-Ferdinand, secrétaire.
- Barbier, capitaine d’Etat-Major en retraite, 2, rue des Prés-au-Bois, à Virollay (Seinc-et-Oise).
- Boittelle, membre de la Société Hippique, 45, rue Raynouard, Paris.
- P. Baubigny, auditeur à la Cour des Comptes, secrétaire de la section hippique de la Société des Agriculteurs de France, 17, rue de Surènc.
- Comte Karl de Beaumont, membre du Comité de la Société Hippique française, 11, rue Masseran.
- Comte René de Beaumont, membre des Jurys de la Société Hippique française, 27, rue Bassano.
- Bodoy, peintre hippique, 18, rue Spontini.
- Olivier Boittelle, agent des services extérieurs de la Société Hippique française, starter de la Société d’Encouragemcnt du Cheval français de demi-sang, <j3, faubourg Saint-Honoré.
- Duc de Brissac, vice-président do la Société des «Guides», 20, rue Murillo.
- Baron La Caze, commissaire de la Société des «Guides », 43, rue Copernic.
- Caze de Caumont, secrétaire de la Société ((l’Etrier», membre des Jurys des Concours hippiques, GG, rue Pierre-Charron.
- Vicomte de Cumont, 70, rue de la Tour.
- Comte du Douet, de Graville, commissaire de la Société des «Guides», 85, avenue Victor-Hugo.
- Comte d’Ideville, membre de la Société Hippique française, pavillon de Navarre, près Evrcux (Eure).
- Baron de Neuflize, commissaire de la Société des Stecple-Chases, 7, rue Alfred-dc-Vigny.
- Duc de Noailles, président de la Société des «Guides», 70, rue de la Faisanderie.
- A. Péan de Saint-Gilles, membre de la Société Hippique française, 7Q, rue de la. Tour.
- Alfred Poisson, membre de la Société «l’Etrier», G bis, avenue Mac-Mahon.
- Emile RiotLeau, député de la Manche, président de la Société d’Encouragemcnt du Cheval français de demi-sang, 10, rue de Sèze.
- Comte J. de Saint-Maurice, f\5, rue de Lisbonne.
- Comte de Saint-Quentin, sénateur du Calvados, vice-président de la Société d’Encou— ragement du Cheval français de demi-sang, 3, rue de Magdebourg.
- Comte II. d’Yanville, membre de la Société des « Guides », 224, boulevard Péreire.
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- LISTE DES MEMBRES DES AUTOMOBILE-CLUBS
- (Les Automobile-Clubs sont rangés dans celle Partie, en suivant l'ordre alphabetiqae des Villes).
- AUTOMOBILE CLUB DE FRANCE
- O, Place de la Concorde, Paris.
- CONSEIL D ' A D .MINIS T H A TIO N
- Président : M. le Baron de Zuylen de Nyc-velt de Ilaar.
- Vice-prcsidents : MM. le Marquis de Dion, Henri Menicr ; Edouard Muller.
- Trésorier-banquier : M. André Lehideux-Verninnnen.
- .Membres : MM. Abel Ballif, le Marquis de Chasseloup-Laubal., le Comte de Lu Valette, le Comte Récopé, Gustave Rives.
- MEMBRES DU COMITÉ
- AIM. Arcnberg (Prince Pierre d"), Artiguc (Bertrand), Avigdor (Arthur), Ballif (Abel), Barbet, (Louis), Benêt (Laurence V.), Bennett (Gordon), Berge (René), Berger (Georges), Berger (11. Georges), Binder (Maurice), Brasier (Henri), Broca (Georges), Canot (Gustave), Carpentier (Jules), Cliaix (Edmond), Cbasseloup-Laubat (Marquis Louis •de), Chenu (Charles), Clément. (Adolphe), Oouberlin (Baron Pierre de), Decaze (Jules), Delasalle (Francis), Delaunay Belleville (Louis), Dopi ez (Marcel), Desmarais (Léon), Deutscb (de la Meurthe) (Henry), Dion (Marquis de), Dufayel (Georges), Dumont-,pallier (Louis),Enipaiu (Edouard), Faleonnel (Henri), Ganiard (Léojiold), Giraud (Etienne), Heilniann, Hospitalier, Houry (Charles), Iluillicr (Georges), Jcantaud (Charles), Journu (Joseph), Kellncr ((îeorges J.), KnylV (Chevalier René de), Krehs (Commandant A.-C.), Krieger (Louis), La Baume Pluvinel (Comte A. do), La Valette (Comte de), Lelii-<leux-Verninimen (André). Lemoine (Louis), Loreau (Alfred), Loysol (René), Lucinge-Faucigny (Prince Aymon de), Ludre (Mar-ipiis de), Martin du Gard, Menier (Gaston), Menier (Henri), Meyer (Arthur), Michelin (André), Michel-Lévy (A.), Mill (Louis), Monlureux (Vicomte Arthur de), Mors (Emile), Mors (Louis), Muller (Edouard), Panhard (Hippolytc), Panhard (René), Pé-rivier (Antonin), Petit (Hippolytc), Peugeot (Armand), Pierron (Georges), Poirier (Paul), Pozzy (Soslhène), Prévost (Georges), Qué-renct (René), Quinonès de Léon (J. M.), Récopé (Comte Edmond), Renault (Louis), Richard (Félix-Maxime), Rives (Gustave), Roincé (Général de), Rollepot (Alfred de), Rothschild (Baron Henri de), Salomons (Sir David), Schneider (Eugène), Singer
- (Paris), Talleyrand-Périgord (Duc de Va-lem;ay), Tliévin (Fernand), Turckheim (Baron Adrien de), Vernes (Amédée), Vogüé (Comte IL de), Vuillemot (Raoul), Walcke-naer (Charles), Zuylen de Nyovcll (Baron de).
- Secrétaire-caissier de la Société : M. Ch. Ward, (1, place de la Concorde.
- COMMISSION DES CONCOURS ET DES FETES EXTÉRIEURES
- Président : M. le Marquis de Dion; Vice-Présidents ; MM. Rives (Gustave), Richard (Félix-Maxime) ; Secrétaire général : M. Martin du Gard; Secrétaires; MM. Auscher (Léon), Famechon ((îeorges), Longuemare (Georges), Miihlhacher (Albert), Vauzellc (Emile).
- Membres : MM. Arenberg (Prince Pierre d ), Bocandé (Olivier), Bonvouloir (Comte de), Bourcier Saint-Chall'rav, Brasier (Henri), Cliaix (Edmond), Chapelle (Charles), Chas-seloup-Laubat (Marquis de), Deutscb (de la Meurthe) (Henry), Duhoys (J. B. Martial), Dumonlpallier (Louis), iluillicr (Georges), Journu (Joseph), Kellner (Georges), KnyfT (Chevalier René de), Krieger (Louis), La Valette (Comte de), Lehideux-Vernimmen (André), Longuemare (Fernand), Loreau (Alfred), Lucinge Faucignv (Prince Aymon de), Ludre (Marquis de), Mors (Emile), Mors (Louis), Pourtales (Bernard de), Quinonès de Léon (J. M.), Renault (Louis), Turckheim (Baron A. de), Yogiié (Comte R. de), et le Conseil d'administration.
- COMMISSION DU CONTENTIEUX
- Président honoraire : M. Ganiard (Léopold), avoué honoraire ; Président : M. Chenu (Charles), bâtonnier de l’Ordre des avocats; Vice-Présidents ; MM. Fleury (Charles), notaire; Bickart-Sée (Edmond), avocat à la Cour de Cassation; Secrétaire: M. Lafitte (René), avoué à la Cour.
- Membres : MM. Béguin (Henri), avoué ; Bertrand (Henry), ancien avoué à la Cour (l'Appel ; Cogniet (Daniel), avocat, à la Cour; Cottin (Armand), notaire; Delasalle (Francis), avoué; Martin du Gard, Meignen (Eugène), agréé ; Notlin (Ernest), notaire; Ouachée, ancien juge au Tribunal de Commerce ; Poignard (Daniel), avocat à la Cour ; Prévost (Georges) ; Qiierenet (René), avocat à la Cour; Rougeot (Julien), avoué près le Tribunal Civil de la Seine; Vincent (André), notaire; Weisweiller (Léopold), avocat; et le Conseil d'administration.
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- ADTOM O BILE • GM 'H
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- DE FRANGE
- COMMISSION DES EXPOSITIONS
- Commissaire général délégué, Président : M. Gustave Rives ; Contrôleur des comptes, Vice-Président: J\l. Abel Ballif ; Trésorier: M. André Lehideux-Vernimmen ; Directeur du Contentieux : M. Martin du Gard. Membres : MM. Arenberg (Prince Pierre d'), Cbaix (Edmond), Cliasscloup-Laubat (Marquis de), Dumont pallier (Louis), Iluillicr (Georges), Knyll' (Clicvali°r René de), La Valette (Comte de), Loreau (AllVed), Richard (F.-M.), Rollcpot (Alfred de), Tliévin (Fernand), Turcklieini (Raron A. de), et le Conseil d’administration.
- COMMISSION' MIXTE
- POUR LE TRANSPORT AUTOMOBILE DES BLESSES
- EN TEMPS DE OUERRE
- MM. le Prince P. d'Arenbcrg, lo Marquis de Dion, le Marquis de Cliasscloup-Laubat, lo Docteur Poirier, le Baron Henri de Rothschild, J. JoLirnu, E. Chaix, L. Auscher.
- SERVICES EXTÉRIEURS PANONCEAUX ET ANNUAIRE DE ROUTE
- Président : M. Louis Dumontpallier, et le Conseil d'administration.
- COMMISSION SPORTIVE
- Président: M. le Chevalier René de Knyll’; Vice-Président : M. le Comte Robert de Vogué.
- Membres: Arenberg (Prince P. d’), Giraud (Etienne), Iluillicr (Georges), La Valette (Comte de), Loysel (René), Quinonès de Léon (J.-M.), Renault (Louis), Turckhcim (Baron Adrien), et le Conseil d'administration .
- Brasier (IL), Clément (A.), Gobron (G.), délégués de la Chambre syndicale de l'Automobile.
- Nota.— Ces trois derniers noms sont ceux do constructeurs nommés, tous les ans, par la Chambre syndicale pour assister aux séances de la Commission sportive. Ils 11'ont d’ailleurs pas voix délibérative.
- COMMISSION TECHNIQUE
- Président: M. Loreau (Alfred); Vice-Présidents : MM. Arnoux (René), Hospitalier (Edouard): Secrétaires: MM. Bourdil (Fernand), Périssé (Lucien).
- Membres : Arenberg (Prince I*. d’), Bocandé (Olivier), Broc.q (François), Carpentier (Jules), Collin (Georges), Balconnet (Henri), Ferais (Commandant L.), Gobron (Gustave), Lemoine (Louis), Longuemare (Georges), Michelin (André), Mors (Louis), Richard (Georges), Richard (Max), W alckenaer (Charles), et le Conseil d'administration.
- COMMISSION I)E TOURISME
- Président, d'honneur : M. Ilippolyto Panhard; Président : M. Edmond Chaix; Vice-Présidents : MM. Léon Auscher, Henry Deutsch (de la Meurtho).
- Membres : MM. Arenberg (Prince Pierre d'), Bonvouloir (Comte .1. de), Courcellcs (Comte A. J. de), Dumontpallier (Louis), Famechon (Georges), Giraud (Etienne), Iloury (Charles),
- Huillier (Georges), Journu (Joseph), Longuemare (Georges), Loysel (René), Ludre (Marquis de), Moreau (Jacques), Mors (Emile), Mors (Louis), Oulrey (Fernand), Quinonès de Léon, Renault (Louis), Vau-quclin (Julien), Vernes (Amédée), et le Conseil d’administration.
- COMMISSION DU YACIITINC,-AUTOMOBILE
- Président, d’honneur: M. le Vice-Amiral Dieu-louard : Vice-Présidents : MM. Camille Blanc, le Marquis de Dion, le Comte Récopé,
- Membres : MM. Arenberg (Prince Pierre d'), Armau do Caillavet (Albert), Rallif (Abel), Ronvouloir(Comte de), Bras er (Henri), Gazes (Victor), Chasseloup-Laubat (Marquis de). Chauchard (Paul-Yves), Clément (Adolphe), Désunirais (Léon), Deutsch (do la Mcurthe) (Henry), Dumontpallier (Louis), Faramond (Comte de), Giraud (Etienne), Glandaz (Albert), Gobron (Gustave), llcurtel (Commandant), Journu (Joseph), Knyll' (Chevalier René de), Lainnct (Fernand), La Valette (Comte de), Leliideux-Vernimmen (André), Martin-Zédé,Menier (Gaston), Mors (Emile), Peugeot (Armand), Quinonès de Léon, Renault (Louis), Richard (Fél.-Max.), Rives (Gustave), Rollcpot (Alfred de), Scrpollel (Léon), Tellicr lils (Alphonse), Trél’cu (Etienne), Turgan (Louis), Voigt (Emile), Vogiié (Comte Robert de), Walckcnaer (Charles), Zuylen (Baron de), et le Conseil d'administration.
- MEMBRES DU CERCLE EXPERTS PRÉS LES TRIBUNAUX
- Près le Tribunal civil : MM. Binder (Henry), ingénieur, 81, avenue de Malakoll'; La Valette (Comte II. de), ingénieur des Mines, G, place de la Madeleine; Richard (F.-M.), ingénieur, Gi, rue de Rome.
- Près le Tribunal de commerce: MM. Hospitalier (Edouard), ingénieur-électricien, 87, boulevard Sa ut-Michel ; Jeantaud (Charles), ingénieur civil, 5i, rue de Ponlbieu ; La Valette (Comte IL de), ingénieur des Mines, G, place de la Madeleine; Périssé (Lucien), ingénieur E. C. P., G7, rue d’Amsterdam.
- COMMISSION DES CLUBS AFFILIÉS DE PROVINCE
- MM. le Raron de Zuylen, le Marquis de Chasseloup-Laubat, le Prince Pierre d’Arenbcrg, L. Dumontpallier, le Comte de La Valette.
- MEMBRES ACTIFS
- MM.
- Abel-Leblanc, 48, rue de Chaillot, Paris.
- Aboilard, /((>, avenue de Brctcuil, Paris.
- Adam (Achille), 21, avenue d’Antin, Paris.
- Adam (Alexandre), 3a, avenue Henri - Martin, Paris.
- Adam (Henri), 2 bis, rue do La Baume, Paris.
- Aguiar (D'), 3i, rue Pierre-Charron, Paris.
- Agüera (De), 9, rue Magellan, Paris.
- Aguillon, 71, r. du Faub.-St-IIonoré, Paris.
- Aigle (Comte de 1’), 12, rue d’Astorg, Paris.
- Allie (Son Exc. le Duc d’), Palacio de Liria, à Madrid (Espagne).
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- AUTOMOBILE-CLUE
- — 819 —
- I)E FRANCE
- Albrand, 28, avenue du Trocadéro, Paris.
- Alby (Amédée), 80, boulevard Flandrin, Paris. Alby (Charles), 108, bld. do Courcelles, Paris. Alexandre, !\y, rue Joubert, Paris.
- Allai», 12, rue Godot-de-Mauroi, Paris.
- Allard (Joseph), îy, rue Caumartin, Paris. x\llard de Gaillon (Baron), 5, quai Malaquais, Paris.
- Allez (Edouard), 19, rue Leroux, Paris.
- Allez (Lucien), 21, avenue de l’Alma, Paris. Alvéar (De), 9/1, avenue Kléber, Paris. Amiard, 5, rue Nieolas-Flamel, Paris.
- Amson, 68, rue de la Folie-Méricourt, Paris. Amy, io5, rue de la Pompe, Paris.
- Aneelot, 12, rue de Hanovre, Paris.
- Andigné (Vicomte d’), 6, rue de Berri, Paris. André (von), 8, rue do Presbourg, Paris. Andrews, chez MM. Brown Shiplev cl C", 123, Pall Mail (London).
- Appert, (Léopold), 5o, rue de Londres, Paris. Appert, (Maurice), 5o, rue do Londres, Paris. Arago, 5y, av. Montaigne, Paris.
- Arbel, io3, av. Henri-Martin, Paris. Archdeacon, yy, rue de Prony, Paris. Arcicollar (Marquisd’), 161er, avenue Bosquet, Paris.
- Arenberg (Prince Pierre d'), 20, rue de la Villc-FEvèque, Paris.
- Arion (Duc d’), CasLellana,^, Madrid (Espagne). Annan de Caillavet, 12, av. Hoche, Paris. Armand (Comte), 20, rue Hamelin. Paris. Armengaud Jeune, 23, boul. de Strasbourg, Paris.
- Arnaud (Comte d’), 44» av. Marceau, Paris. Arnoult(Léon), 167, boul. Malesherbes, Paris. Arnoux (René); 43, nie du Ranelagh, Paris. Arosa (Achille), 5, av. Victor-Hugo, Paris. Arosa (Paul), 18, rue Spontini, Paris.
- Artlicz, Hôtel Continental, Paris.
- Artliur (Glen), Carrick Housc, Ayr (Ecosse). Arthus, 106, boulev. de Courcelles, Paris. Artigue, 12, place Vendôme, Paris.
- Artus, y, boulv. des Fillcs-du-Calvairc, Paris. Aschrott, 12, rue Bellevue, Berlin (Allemagne). Assclie (Comte d’), 00, rue du Rocher, Paris. Asselin, 2, rue de Compiègnc, Paris. Aubernon de Ncrville, 11, rue Montchanin, Paris.
- Aubry (Albert), 6, av. Hoche, Paris.
- Aubry (Pierre), 3g, rue de Rome, Paris. Aubry-Pachot, Les Oseraies, par Villemomblc (Seine).
- Aucoc, 20, rue des Capucines, Paris.
- Audibert, 26, route d'Hérieux, Lyon. Audrcsset, 46, avenue Gabriel, Paris.
- AufTm Ordt junior, 62, rue Balayette, Paris. Auger (Georges), 54, r. Etienne-Marcel, Paris. Auger (René), 24, rue do Milan, Paris. Auscher, 34, boulev. Victor-Hugo, à Neuilly (Seine).
- Avcry, sir Bart., Oakley Court, Windsor (Angleterre).
- Avigdor, 2, rue de Séze, Paris.
- Avogli Trotli (Comte), 3, av. du Trcc.idéro, Paris.
- Aygurandc (d’), 35, av. Mac-Mahon, Paris. Aylé, 2y, rue Demours, Paris.
- Aymory (Baron d’), 18, rue Montaigne, Paris. Bach, 65, avenue Henri-Martin, Paris. Bachelier, 64, rue des Mathurins, Paris.
- Back de Surany, 2, avenue Velasquez, Paris. Badarous, 3 bis, avenue de Montespan, Paris. Baer, 64, avenue de Malakoff, Paris.
- Bagues, 31, rue des Francs-Bourgeois, Paris. Bail aîné, 98, avenue Kléber, Paris.
- Bail, 3o, rue du Point-du-Jour, à Billancourt (Seine).
- Baillière, 106, boul. Saint-Germain, Paris. Bailly, 35, rue Washington, Paris.
- Baird , hôtel Régina, Paris.
- Balaccano, 96, boulevard Haussmann, Paris. Ballif, 9, rue du Midi, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- Ballu, 8. rue Eugène-Pelletan, à Vilry-sur-Seine (Seine)
- Balsan (Henri), 8, rue de La Baume, Paris. Balsan (Jacques), 52, quai de Debilly, Paris. Balsan, (Jean), 58, rue La Boétie, Paris. Bamborgcr, 22, av. des Champs-Elysées, Paris.
- Bancelin, 2, avenue Hoche, Paris.
- Bapst. (Armand), 118, av. des Champs-Elysées, Paris.
- Bapst (Paul), 25, r. du Fg.-St.-Honoré, Paris. Barasch (Marcel), 1, avenue Friedland, Paris. Barasch (Oscar), 6, rue de Téhéran, Paris. Baraloux, 45, rue Corlamhert (Paris).
- Barau, 68, boulevard Bineau, à Neuilly (Seine). Barbarin, 186, r. du Fg.-Saint-Honore, Paris. Barbant, 31, rue Le Peletier, Paris.
- Barbet, 53, av. de Paris, à Versailles (S.-el-O.). Barbel-Massin (Jules), 11 bis, rue Boissy-d’Anglas, Paris.
- Barbet-Massin (Maurice), y, rue Royale, Paris. Barbier, 19, rue Louis-le-Grand, Paris. Barbotte, 1, rue Villarct-dc-Joyouse, Paris. Bardac (Edouard), y, b. d’Argenson, à Neuilly (Seine).
- Bardac (Noël), 1, avenue Montaigne, Paris. Bardac (Sigismond), 6, rue de La Baume, Paris.
- Bardies, 3, avenue Bosquet, Paris.
- Bardon, 61, boul. National, à Clichy.
- Bari (Vicomte de), 8, rue Matignon, Paris. Baring, llrgli Bcacli, Loughton ; Essex, England.
- Barnard, 8, rue Théodule-Ribot, Paris.
- Barre, 11 bis, rue Saint-Dominique, Paris. Barreau, 16, rue Littré, Paris.
- Barrier, 18, rue Marbcuf, Paris.
- Bartaumieux, 334, r. Saint-Honoré, Paris. Barthe, 4, rue Brunei, Paris.
- Bary (Edouard de), Guebwillcr (Alsace).
- Bary (Raoul de), 3, boul. Lundy, à Reims (Marne).
- Basinski, 8, rue de Castcllanc, Paris.
- Bassée, 4i av. de la Dame-Blanche, Fontenay-sous-Bois.
- Baies, yl\, Broadway, New-York (Etats-Unis). Batiau, 24, boulevard des Capucines. Paris. Baudelot (Ernest), !\o, b. Malesherbes, Paris. Baudelot (Paul), 128, rue de Lille, Paris. Baudier, 14, rue Lalo, Paris.
- Baudry de Saunier, 108, rue Lauriston, Paris. Baugrand, 49 bis, avenue d'Antin, Paris. Baumann, 19, avenue d’Antin, Paris. Beauchamp (Marquis de), château de Verrières, par Lhommaizé (Vienne).
- Beauchani]) (Vicomte de). 29, avenue Henri-Martin, Paris.
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- 1)1’ FRANC 15
- Beauchamp (Goiatc Etienne do), château de Morlhemcr, à Morthemer (Vienne).
- Bcaugé, G4, rue de Bennes, Paris.
- Beaumé, 44rue Cambon, Paris.
- Beaurcpaire (Comte de), 1, r. des Ecuyers, à Saint-Germain-en-Laye.
- Beauvois-Devaux, 78, avenue llenri-Martin. Paris.
- Beaux, /|, via Dante, à Milan (Italie).
- Bcckctt, Brantingham llall, Brough, E. Yorks (England). ^
- Bédal, à La Fleurette, près Mirande (Gers). Beei' (Edmond), 08, avenue d'iéna, Paris.
- Bccr (Guillaume), 34, r. des Mathurins, Paris. Béghin, à 'rhumeries (Nord).
- Béguin, Gi), rue Sainte-Anne, Paris.
- Behrendt, f>5, avenue Kléber, Paris.
- Behrcns, 119, rue Béaumur, Paris.
- Bcistcgui (De), ~rj, avenue d’iéna, Paris. Bélinay (Baron de), 13, rue Siam, Paris. Bellamar (Manpiis de), 9, rue Fclipo-IV, à Madrid (Espagne).
- Bellet. (Baron Boissard de), 44> avenue de du Bois-de-BouIogne, Paris.
- Bellevillo, 7, rue de Fontcnclle, Bouen. BclvalleUe, ai, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- Bemherg, 21, houlev. Julcs-Sandcau, Paris. Bénard (Adrien), aa, rue de Berri, Paris. Bénard (Joseph), (i.‘i, rue de l'Oureq, Paris. Beneker, G—, boulevard St-Germain, Paris. Benêt, 3, boulevard Delesscrt, Paris.
- Bennett, (Gordon), 10.4, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- Benoit-Lévy, Gÿ, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- Benoist d’Azy (Baron), 4, rue Fahcrt, Paris. Bensamon, !\-j, rue Vineuse, Parts. Bentz-Audéoud, t\~t, hiv. Ilaussmann, Paris. Béranger, Bosemont, à St-Cloud (S.-el-O.). Bérardi, 17, rue de Galilée, Paris.
- Bérendorf, 9-, rue de Courcelles, Paris.
- Berg, 102, r. du l’aubonrg-St-IIonoré, Paris. Berge, 12, rue Pierre-Charron, Paris.
- Berger (Alfred), 4 1, rue La Boétie, Paris. Berger (Casimir), 11 bis, rue Faraday, Paris. Berger (Georges), 8, rue Legendre, Paris. Berger (H.-Georges), 8, rue Legendre, Paris. Bcrgougnan, 9, r. Villarct-de-.loyeuse, Paris. Berlier, no, hiv. Malesherhes, Paris.
- Bcrlÿne, ni, avenue Montaigne, Paris. Bermejillo, 1 bis, avenue du Bois-de-Boulo-gne, Paris.
- Bernard (Jules), fia, houlev. Maillot, Neuillv (Seine).
- Bernard, (Maurice),2 1, rue de Londres, Paris. Bernard de Bert (Jules-Achille), 100, avenue de Villiers, Paris.
- Bernheim-Jeune (Gaston), 10^, aven. Henri-Martin, Paris.
- Bernheim-Jeune (Josse), 107, avenue Henri-Martin (Paris).
- Bernstein, i3, avenue d’Eylau, Paris.
- Bcrny ((Jointe de), 10, rue Jean-Baplisle-Du-mas, Paris.
- Berleaux, ^n, avenue du Boule, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- Berteville, 1.4, rue de Grammont, Paris. Bcrthicr, 8, rue de Preshourg, Paris.
- Berlhon (Louis-Alfred), 5i, rue de la Cliaus-sée-d’Antin, Paris.
- Berthon (Manuel), G, rond-point des Champs-Elysées, Paris.
- Bertliier de Sauvigny (Comte de), 102, rue du Faubourg-St-Honoré, Paris.
- Bertin, 12, avenue Marceau, Paris. Berton-Labourdette, 12, rue Picot, Paris. Bertrand, GG, rue de la Chaussoe-d’Anlin, Paris.
- Besnier, 6G, rue do Miromesnil, Paris. Bessand, 2 bis, rue du Pont-Neuf, Paris. Bessonneau, 21, rue des Minimes, à Angers (Maine-et-Loire).
- Bosse, 1, rue Abel, Paris.
- Bethmont, i4, hiv. Emile-Augier, Paris. Beugniol-Aumont, 12, rue Greu/.e, Paris. Bevan, 131, Gloucesfer Boad, South Kensing-ton, London (Angleterre).
- Bézieux, (De), 48, rue Cambon, Paris. Bianchini, !\, rue Chalgrin, Paris.
- Bickart, 90, rue de Courcelles, Paris. Bickart-Sce, G2, nie Monceau, Paris.
- Biokcrt, cliâteau de la Terrasse, à Eeully (Bliône).
- Bidault, 18, rue Spoiil'ini, Paris.
- Bignon, G, avenue de Messine, Paris.
- Bigo, 9;"), boulv. de la Liberté, à Lille (Nord). Billault, G, rue Froide vaux, Paris.
- Billet, 3o, av. de la Grande-Armée, Paris. Billion, 2, r. Mansard, à Versailles (S.-et-O.). Billout, iGG, boulevard Ilaussmann, Paris. Bindor (Henry), 81, av. de Malakolf, Paris. Binder (Maurice), 102, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- Binoche, /19, rue de la Tour, Paris.
- Binon, 91, rue de Courcelles, Paris.
- Bird, Tudor Grange, Solihull, Warwickshire (Angleterre).
- Bishop (Corllandl. F’.), aux bons soins de MM.
- Munroc, me Scribe, Paris.
- Bishop (David), Union-Club, à New-York. Bisson, 20, rue Royale, Paris.
- Blacque, 31, rue Pierre-Charron, Paris.
- Blanc (Alphonse), 5y, avenue do Villiers, Paids.
- Blanc (Camille), Gy, hiv. Ilaussmann, Paris. Blanc (Edmond), 4a, avenue Gabriel, Paris. Blanc (Baron), villa Merimont, place Claparède, à Genève (Suisse).
- Blanchard, !\~), rue de Courcelles, Paris. Blanchct., 18, rue de la Banque, Paris. Blanchy, !\, rue d’Avian, Bordeaux.
- Blat, G3, av. des Champs-Elysées, Paris.
- Blay, 16.4, boulevard Pereire, Paris. Bleichroder (Baron Hans de), 11, r. Frainpns-Ier, Paris.
- Bleichroder (Docteur James de), 11, r. Vernct, Paris.
- Blériot, 3G, av. de Ncuilly (Neuilly-sur-Seine). Bloch (Eugène), 10, av. d'iéna, Paris.
- Bloch (Louis-Emile), iG, r. Brémonticr, Paris. Bloch-Laroque, ’j, rue d'Anjou, Pai’is. Bloch-Sée, 2-j, rue Saint-Georges, Paris. Biouni, Imberhorne, East. Grinstcad (Angleterre).
- Blum, 20, rue Jouhert, Paris. Blumcnfeld-Sciama, 109, av. llenri-Martin, Paris.
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- DK KHANCE
- Blumenlhal (Alexandre), (io, av. de Malakoff, Paris.
- Blnmenthal (Charles), i3a, av. de Wagram, Paris.
- Blumenlhal (Ferdinand), 22, av. du Bois-de-Boulognc, Paris.
- Blnmenthal (Willy) , 37, rue Pierre-Charron, Paris.
- Boada, 5i, avenue de l'Alma, Paris.
- Boas (Alfred), 34, rue de Châtcaudun, Paris.
- Boas (Ernest), 4, rue Piceini, Paris.
- Bocandé, 4 1 bis, rue Gutenberg, à Boulognc-sur-Seinc.
- Bockairv, 9, rue de Solférino, Paris.
- Bodaan (Jean), 35, av. Flaehat, Asnières (Seine).
- Bodaan, (Léon), 22, rue Chauehat (Paris).
- Bodin, 17, av. Miel, Paris.
- Bodington, G, bd des Capucines, Paris.
- Boockel, 78, Galernaïa, à Saint-Pétersbourg (Russie).
- Boecker, G, rue All‘red-de-Vigny, Paris.
- Boggio, /|3, rue Mozart., Paris.
- Boin, 10, bd Malesherbes, Paris.
- Boire, 8G, bd Malesherbes, Paris.
- Bois (Comte du), château de Fonteneau, Nivelles (Belgique).
- Boissée, 9, place des Ternes, Paris.
- Boissieu, G/| bis, rue de Monceau, Paris.
- Boissy d’Anglas, 05, bd Bcrlhier, Paris.
- Boivin, fî/j, rue de Lisbonne, Paris.
- Boland, 87, av. Kléber, Paris.
- Bollée lils (Amédée), 99, av. de Paris, au Mans (Sarthe).
- Bollée (Léon), au Mans (Sarthe).
- Bonaparte (S. A. 1. le Prince), 10, avenue d'Iéna, Paris.
- Bolololf (De), villa Arélhuse, Cap-Martin (Alpes-Maritimes).
- Bonnaud (André), 92, av. des Champs-Elysées, Paris.
- Bonnaud (Fernand), 0, av. Hoche, Paris.
- Bonneau (Ernest), S, rue Cimarosa, Paris.
- Bonneau (Gabriel), iO, pl. de la Madeleine, Paris.
- Bonneau (Georges), à Marans (Charente-Inférieure).
- Bonnet, iO, av. de la Grande-Armée, Paris.
- Bonvouloir (Comte de), 10, avenue Alphand, Paris.
- Bordeaux, i4, av. Henri-Martin, Paris.
- Bordercl, 135, rue do Clignancourt, Paris.
- Bosch, Go, av. du Bois-de-Boulognc, Paris.
- Bostxvick, villa Vergemcrc, chemin des Bosquets, à Nice (Alpes-Maritimes).
- Bostyn. 9, rue de Livourne, à Bruxelles.
- Botlias de Pavlovski, 2, r. du Cirque, Paris.
- Botkine, rue Pokrowka, à Moscou (Russie).
- Bouchard (Docteur), 17/1, rue de Rivoli, Paris,
- Bouchut (Docteur), 3, r. du Chalet, à Bou-logne-sur-Seine, (Seine).
- Bouclier, 4o> rue do Lisbonne, Paris.
- Bouilhet, 50, rue de Bondy, Paris.
- Bouillictte, château de Bonncvaux, par Gi-ronvillo (Seinc-et-Oise).
- Boulard de Villeneuve, 0, r. Mcissonier, Paris.
- Boulcnger, 3, r. du Pont, Choisy-le-Roi.
- Bouley, 187, rue de la Pompe, Paris.
- Boulogne (Eugène), i/|8, rue de Courccllcs, Pans.
- Boulogne (Arthur), 87 bis, av. de Wagram, Paris.
- Bounin, 1 /j, av. Kléber, Paris.
- Bouquillon, directeur de la Maison Hutchin-son, à Montargis (Loiret).
- Bourcier Saint-ChaJI'ray, 29, av. Henri-Martin, Paris.
- Bourdicr, 12.4, r. Perronet, à Neuilly-s.-Seine.
- Bourdil, 50, av. d'Iéna, Paris.
- Bourdon (Edouard), 7.4, rue du Faubourg-du-Templc, Paris.
- Bourdon (Henry), 0, rue du Conservatoire, Paris.
- Bourdon (Paul), 2.5, bd Bonne-Nouvelle, Paris.
- Bourgonnicr, t\i, rue de la Pompe, Paris.
- Bouruet-Aubertol, 2, r. de Ponthieu, Paris.
- Boulan, 5a, rue d'Anjou, Paris.
- Bouleron (Docteur), 4o, r. Godol-dc-Mauroi, Paris.
- Bouton, 124, av. de Neuillv, à Neuilly (Seine).
- Bouts, 13, rue Pasquier, Paris.
- Bouzemont, 12, rue d’Anjou, Paris.
- Bovet (De), 3, av. du Coq, Paris.
- Bowdcn, 19, rue Lafayette, Paris.
- Boyer (Fernand), 71, rue de Richelieu, Paris.
- Boyer (Gaston), 9, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- Bradl'ord, villa Sans-Souci, au Ray, Nice (Al pcs-Marilimes).
- Bradley-Martin, 4, Chesterfield Gardons (London, W.).
- Brancher, 8, place de la Concorde, Paris.
- Brandenstoin (Bai'011 de), Leipzigerplalz, iG, Berlin, W. 9 (Allemagne),
- Brandus, 3cj 1, liftli av. à New-York (Amérique).
- Brantsen van Rhcderoord (Baron), Ferme du Boccop, de Steeg, province de Gueldre (Hollande.)
- Brasier, 30, rue Molilor, Paris.
- Brault, io5, rue St-Lazare, Paris.
- Braunbeek, Dculschcs Kolonialhaus, Berlin, W. 35, (Allemagne).
- Bréband, 2.43, rue St-Honoré, Paris.
- Brebion, 221, r. du Fg.-St.-Honoré, Paris.
- Bréeheux, 21 bis, av. d’Italie, Paris.
- Breda (Comte de), château de Thiepval, par Albert (Somme).
- Brcucr, 20, av. de Neuilly, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- Breuilpont. (Comte de), 3, r. Analole-de-la-Forge, Paris.
- Briand (Docteur), Asile de Villejuif (Seine).
- Briant, 110, r. de la Gare, àSt-Denis (Seine).
- Brillié, 20, av. Bosquet, Paris.
- Brillouin, 10, avenue Ingres, Paris.
- Brisson (Henri), iO, av. de la Grande-Armée, Paris.
- Brisson (Joseph), 7,3 bis, av. Niel, Paris.
- Broca, 10, r. Edouard-Detaillc, Paris.
- Brochard (Alfred), 17, av. Henri-Martin, Paris.
- Brochelon, 2G, avenue Victor-Hugo, Paris.
- Brocq, 18, lioulevard de Vaugirard, Paris.
- Bro de Comercs (Baron), !\2, av. de l'Alma, Paris.
- Brodin, 55 bis, rue de Ponthieu, Paris.
- Brodsky (Léon), à Kiell’ (Russie).
- Broglie (Prince de), 27, r. de Chateaubriand, Paris.
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- AUTOMOBIE-CLUB
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- DE KKANCE
- Broglie (Prince Albert do), 9/1, rue de l'Université, Paris.
- Broglie-ltevcl (Prince de), 29, r. Tronchct, Paris.
- Brossault, 78, r. d’Anjou, Paris.
- Brosse (De la), i5, av. du Trocadéro, Paris. Brosson, 11 bis, r. Montaigne, Paris. Brouhot, à Vicrzon (Cher).
- Broussois, 42, rue Brunei, Paris.
- Brullo, 5G, avenue Victor-Hugo, Paris.
- Brun, 3, rue du Bât-d’Argcnt, Lyon, (Rhône). Bruncel, 119, r. de la Pompe, Paris.
- Brunetta d’Usscaux (Comte), 62, avenue du Bois-de-Boulognc, Paris.
- Budgc, 74, Broadway, à New-York (Etats-Unis).
- Burnham, Stopliamllousc, Pulborough, Susses (Angleterre).
- Burton-Alcxandcr, villa Jeannette, à Cannes. Cabarrus, 129, avenue de Wagram, Paris. Cacbard, 3g, boulevard llaussmann, Paris. Cahen (Alfred), 1, rue St-Gcorges, Paris. Calion (Emile), 7, avenue Niel, Paris.
- Cahen (Marcel), 35, avenue do Ceinture, à Enginen-les-Bains (Seine-ct-Oise).
- Cahen (René), 1, r. Dumonl-d’Urville, Paris. Cahen d’Anvers (Comte Louis), 2, rue do Bassano, Paris.
- Caill, 53, r. do Châtcaudun, Paris.
- Caillard (Vice-amiral), 3, r. Margueritte, Paris
- Caillaux, 12, r. Pierre-Charron, Paris.
- Caillot, 9, r. du Donjon, Brunoy (Scinc-ct-Oise).
- Caillois, 14, boni. Montmartre, Paris. Caldoron, 19, rue Montaigne, Paris. Calmann-Lévy, 8, r. Copernic, Paris.
- Calmctte, 36, boni. llaussmann, Paris. Calvct, 1, pl. du Champ-dc-Mars, à Bordeaux. Camondo (Comte de), 19, r. Ilamclin, Paris. Campagne, 43, houl. de Belleville, Paris. Campano, 2, rue de Bcrri, Paris.
- Canaple, 21, rue La Boétie, Paris.
- Caner, chez MM. Morgan Ilarjcs et C'°, 31, boulevard llaussmann, Paris.
- Canot, 87, avenue Henri-Martin, Paris. Caplain, 86, quai Jcmmapcs, Paris.
- Capron, 21, rue de Bruxelles, Paris.
- Caracciolo do Castagneta (Duc), 24, rue Clémcnt-Marot, Paris.
- Carel, 35, rue de Bclair, Le Mans (Sarlho). Caressa, 4, square Monccy, Paris.
- Cariés, 22, rue Laugier, Paris.
- Carnarvon (Lord), Ilighclore Castlc, New-bury, Angleterre.
- Carnaud, 81, avenue Victor-Hugo, Paris. Caron (Edouard), 25, boulev. de Sébastopol, Paris.
- Caron (Ernest), 80, rue Saint-Lazare, Paris. Carpentier, 34, rue du Luxembourg, Paris. Carroll (Charles), 11, rue Boissière, Paris. Carroll, (Royal-Phelas), 41 , East, 49 th
- Street, New-York.
- Carstairs, chez MM. M. Knocdler et C°, 2, rue Gluck, Paris.
- Cartagena (Comte de), 37, rue Pcrgolèse, Paris.
- Cartaz (Docteur), 3g, blv. llaussmann, Paris. Carteret, 20, rue Clialgrin, Paris.
- Cartier, 144» rue de Longchamp, Paris.
- Carvalho (Docteur), 270, blv. Raspail, Paris.
- Casa Mendaro (Marquis do), Hôtel Continental, Paris.
- Casa Valdès (Marquis de), 18, rue do Long-champ, Paris.
- Cassigneul (Désiré), 32, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- Cassigneul (Paul), 2, avenue Ingres, Paris.
- Castaignet (Georges), 9, rue Tronchet, Paris.
- Castaignet (Paul), 3, avenue d’Antin, Paris.
- Caslcllane (Comte de), i,rue Brignole, Paris.
- Castclli-Gagliano (Comte de), 1, rue Arsêne-Iloussayc, Paris.
- Castillon de Saint-Victor (Comte de), 74, avenue Marceau, Paris.
- Catalan (Comte de), 26, rue d’Alsace, à Mantes (Seine-ct-Oisc).
- Calers (Baron de), à Bcrchem-lez-Anvcrs (Belgique).
- Calois, 22, rue Roussel, à Puteaux (Seine).
- Cattauï, 55, rue de Monceau, Paris.
- Cauvin, 5, rue de Milan, Paris.
- Cavaré, 17/1, boulevard llaussmann, Paris.
- Gavé Esgaris, i52, av. Victor-Hugo, Paris.
- Gazes, 3g, rue de Rome, Paris.
- Célcrier, /|G, rue do Naples, Paris.
- Ccllcrier, 20, rue de Prony, Paris.
- Cerf, 81, avenue do Malakoff, Paris.
- Cczar Borges (De), 19, rue de Presbourg, Paris.
- Chahcrt, 71, rue du Eauh.-St-Iionoré, Paris.
- Chahoche, 33, rue Rodier, Paris.
- Chadenet, 3o, avenue de Messine, Paris.
- Chaillou (Docteur), 4, rue de Luyncs, Paris.
- Cliain, 79, rue d’Amsterdam, Paris.
- Chaix, 31, r. de Penthièvre, Paris.
- Chalançon, 9, rue de Bonncl, à Lyon (Rhône).
- Chalupt, 3o, rue La Boétie, Paris.
- Champeaux (Comte de), 2 bis, rue de La Baume, Paris.
- Champrcux d’Altcnbourg (Marquis de), 14, rue Stc-Annc, à Toulouse (Haute-Garonne).
- Champrigaud (Docteur), 106, rue de la Faisanderie, Paris.
- Clian, 5 bis, rue de Bcrri, Paris.
- Chandon de Briailles (Vicomte), 33, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- Chanleaud (Docteur), 8 bis, boulevard de Courc.ellos, Paris.
- Chapelle, 78, boulevard Richard-Lcnoir, Paris.
- Chapin, 192, Broadway, à New-York (Etats-Unis).
- Chaplet, 4, rue d’Anvers, à Laval (Mayenne).
- Chaplin, Stafford Ilouse, Saint-James Street, Londres (Angleterre).
- Chapuy, 15, r. Alphonsc-de-Neuville, Paris.
- Chariot, 151, boulevard llaussmann, Paris.
- Charpentier, t\, rue de Marcngo, Paris.
- Charron, 45* avenue de la Grandc-Armce, Paris.
- Chartran (Henri), 182, rue Lafayetlc, Paris.
- Chartran (Théobald), 38,boulevard Victor-Hugo, à Neuilly (Seine).
- Cliary, 2.5, rue Eortuny, Paris.
- Chassaing, 4» avenue Hoche, Paris.
- Chasseloup-Lauhat (Marquis de), 51, avenue Montaigne, Paris.
- Chastel, 43, boulevard Malesherbes, Paris.
- Châtelain (Alfred), 7, rue Lamennais, Paris.
- Châtelain (Félix), 1, Grande-Rue, à Boulogne-sur-Seine (Seine)
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- AU TDMORILE- CLl'15
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- DE FRANCE
- Châtelet (Joseph du), cliàteau d’IIuby-Saint-Leu, par llcsdin (Pas-de-Calais).
- Châtelet (Pierre du), château d’IIuby-Saint-Lcu, par llcsdin (Pas-de-Calais).
- Chatenay, !\.j, rue de Berlin, Paris.
- Chalin (Docteur), 53, rue de Clichy, Paris. Chauchard, /17, rue Saint-Ferdinand, Paris. Chaudoir, 118, r. du Faub.-St-IIonoré, Paris. Chaumel du Plancliat, 87, r. Lafayctte, Paris. Chauveau, 70 bis, avenue de Wagrarn, Paris. Chavanne, 110, hiv. Pineau, à Neuilly (Seine). Chazelle (Comte do), 13, av. delà Révolte, à Neuilly (Seine).
- Chedanne, 121, av. de Wagrarn, Paris.
- Chenu, z!\, rue de Madrid, Paris.
- Chcnut, 53, avenue Vicior-1 lugo, Paris.
- Chère (Do la), 27, avenue do l’Alma, Paris. Cliéril', ad, av. de l’Alma, Paris.
- Chéronnet, 1G4, rue de Courccllcs, Paris. Chesnel, i(i/|, rue de Courccllcs, Paris. Chevalicr-Ziégler, i/|, av. Raphaël, Paris. Chevallier, 7, avenue de Messine, Paris. Chevigné (Comte de), /|0, rue du Ranelagh, Paris.
- Chevillot, 22, av. Montaigne, Paris. Chouanard, 3, rue Saint-Denis, Paris.
- Chouct, 29, rue de Clichy, Paris.
- Citerne, i 1, rue Dceamps, Paris.
- Civelli de Bosch, 117, r. Sl-Dominique, Paris. Clarac-Duvivicr, ^9, av. do Malakolf, Paris. Claret, à (lonesse (Scine-el-Oise).
- Clark (Alfred), 9, rue des Saussaies, Paris. Clark (F. W. F.), 7, Albemarlc Street, London, (Angleterre).
- Clark junior (Gardncr K.), 5, r. Scribe, Paris. Clarke, 82, av. IIcnri-Martin, Paris.
- Claylon, 1 ’jb's, av. du Bois-de-Boulogne, Paris.
- Clément, 33, quai Michelet, Levallois-Perret (Seine).
- Clérncntel, 99, boulevard de la Reine, à Versailles (Scine-et-Oisc).
- Clerc, i3i, rue de la Pompe, Paris. Clermont-Tonnerre (Comte de), 2-j, boulevard Malcsherhes, Paris.
- Clinch-Smith, 117, avenue des Champs-Elysées, Paiis.
- Cocteau, 2/12, blv. St-Gcrmain, Paris. Cognacq, 65, av. du Rois-de-Boulogne, Paris. Cognard d’Agorct (Comte), 28, r. du Rocher, Paris.
- Cogniet, 3o, rue La Boétie, Paris.
- Cohendet, 11 bis, rue Pigalle, Paris.
- Colas, 2.3, rue d’Angoulcme, Paris.
- Colliez, GG, rue de Monceau, Paris.
- Collin, 21, boulevard Saint-Germain, Paris. Collin-Duboc, 27, rue de Choiseul, Paris. Collin du Bocage, 23, av. N'iel, Paris.
- Collot d'Escury (Baron), 4, rue Meyerbeer, Paris.
- Colombcl, 9, av. Marceau, Paris.
- Coltclletli (Chevalier), villa Lamba Doria, quarto al Mare (Gènes).
- Coinbalat (Docteur), 11/4, boulev. St-Germain, Paris.
- Combcmalc (Frédéric), 9/4, boulevard Flandrin, Paris.
- Combemale (Jules), 12, rue de Rome, Paris. Combes, 11, av. Iloche, Paris.
- Comerre,6;7, rue Ampère, Paris.
- Constant de Gutman, 00, boulev. Mailllot, à Neuilly (Seine).
- Constanl.inovilch (Wladimir de), ^3, av. des Champs-Elysées, Paris.
- Cooper llewitt, 11, Lexington av., New-York City (Etats-Unis).
- Coppens (Baron de), ij, rue Théodulc.-Ribot, Paris.
- Corberon, 12, rue de Clichy, Paris.
- Corbin, 10/4, av. des Champs-Elysées, Paris.
- Cormier, 34, rue Ballu, Paris.
- Cormon, 109, rue de Rome, Paris.
- Cornuel, i3^, avenue Vict.or-1 lugo, Paris.
- Corrard, 38, nie do Naples, Paris.
- Cosson, 98, blv. Maleslierbes, Paris.
- Coste, \)bis, rue Pigalle, Paris.
- Cote, 7, place Michel-l'Hospital, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- Cotillon, 1, blv. llcnri-lV, Paris.
- Coltenet, 54, rue de Pont bien, Paris.
- Collin (Armand), 6, rue Royale, Paris.
- Collin (Henri), 12, rue de La Baume, Paris.
- Collin (Colonel), 7(1, rue Sl-Lazare, Paris.
- Coubertin (Baron Paul de), 9/1, boni. Flandrin, Paris.
- Coubertin (Baron Piere de). 10,boni. Flandrin, Paris.
- Couesnon, 2 bis, rue Caumartin, Paris.
- Couët (De), 5y, av. de La Bourdonnais, Paris.
- Courccllcs (Comte del, 22, r. de l’Arcade, Paris.
- Courrier, 2, rue de Choiseul, Paris.
- Gourmes, 19, rue Marbcuf, Paris.
- Coulant, 2, rue de Saigon, Paris.
- Coutot, 21, blv. St-Germain, Paiis.
- Couvreur, i3, quai Montebcllo, Paris.
- Couvrcux, 70, boulevard Maillot, à Neuilly (Seine).
- Cramer, 3, rue Caumartin, Paris.
- Crâne (Docteur), .4 1, boulevard des Capucines, Paris.
- Cravoisicr, 36, rue du Palais-de-Juslice ‘ Melun.
- Crawliez (Baron de), -, avenue de la Clairière, Bruxelles.
- Crémière, 24, rue Beaujon, Paris.
- Crisenoy (Comte de), 11, r. Las-Cazes, Paris.
- Crombac, 87, rue St-Lazarc, Paris.
- Cronier (Jules), 200, boni. St-Germain, Paris.
- Cronicr (Oscar), !\, avenue Hoche, Paris.
- Gros (Georges du), 14, Regcnt Street, Londres.
- Gros (Harvey du', ij, Regcnt Street, Londres.
- Cros (William dut, 1.4, Regcnt Street., Londres.
- Grouan, Go, rue du Bac, à Asnières (Seine).
- Cruz (De la), 9, rue Arsène-Houssaye, Paris.
- Cubas (De), iyo, avenue Victor-Hugo, Paris.
- Cuénod (Ernest), 3, rue Laffitte, Paris.
- Cuénod (Julien), 160, blv. Pcreire, Paris.
- Gurlier, 16, rue Ilalévy, Paris.
- Daboll, 14, avenue de l’Opéra, Paris.
- Dalbignat, 11, rue du Mont-Thabor, Paris.
- Dalifol, île de la Jatte, à Neuilly (Seine).
- Dammouse, 12, rue des Fontaines, à Sèvres (Seine-et-Oise).
- Danger, 84, rue Chaptal, à Levallois-Perret (Seine).
- Dano, 28, place St-Ferdinand, Paris.
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- DE FRANCE
- Dansel, 10, rue des Pyramides, Paris. Danvin, 81, Grande-Rue, Boulogne-sur-Seine. Dargenl, 11, rue Sédillol, Paris.
- Darlu, ](>, place de Laborde, Paris.
- Darras, 22, rue Pierre-Charron, Paris.
- Datliis, 2.0, avenue de Marigny, Paris. Dauphin, G3, rue Joull'roy, Paris.
- Daurial, 2/1, place Malesherbes, Paris. Daussel-, 82, rue El.iennc-Marc.el, Paris. Davanne, 82, rue des Petits-Champs, Paris. Davéne, (i, rond-point des Champs-Elysées, Paris.
- David (Charles), 8, rue du Général-Foy, Paris. David (Henri), 3a, nie (luyol, Paris.
- David (Louis-I'.), 5, rue de Beaunc, Paris Davillier (Baron), (>2, rue de Monceau, Paris. Deasy, capitaine, 2/1, Evelyn Cardons, Londres (Angleterre).
- Deharalle, i/|, avenue de la Gare, Argenteuil (Seinc-et-Oise).
- Debat-Ponsan, 55, aven. Viclor-llugo, Paris. Deherghe, 8, rue Pelleport, Paris.
- Di'biève, 3, avenue Gourgaud, Paris.
- Debray. 31, rue d’Armaillé, Paris.
- Debray (Paul), /|i, avenue Kléber, Paris. Debrie, 20, rue 'réunion, Paris.
- Beeazcs (Duc), 19, r. de Conslantinc, Paris. Beehizelle, 3o, rue Emile-Roux, à Fonlenay-sous-lîois (Seine).
- Dceour (Auguste), !\i, rue Joubert, Paris. Dedyn, 20, avenue Friedland, Paris.
- Deering (Charles), 3, Mitnroe Street, Chicago, Etats-Unis.
- Deering (James), 3, Munroo Street, Chicago, Etats-Unis.
- Degournav, 1 /|, avenue Yielor-Ilugo, Paris. Dehenne (Docteur), 19, rue de Milan, Paris. Dehesdin, 12, rue de l’islv, Paris.
- Delacroix, 22, rue de Douai, Paris.
- Delamarrc de Mondiaux (Comte), 52, rue du Faubourg-St-IIonoré, Paris.
- Didasalle, 2/11, rue du Faubourg-Sl-Honoré, Paris.
- Delattre, 81, avenue de Yilliers, Paris. Delaunay Belleville (Louis), 13, boulevard Richard-Wallace, à Ncuilly-St-Jamcs (Seine) Delaunay Belleville (Pierre), i5, rue Pergo-lése, Paris.
- Delaunay Belleville (Robert), 13, boulevard Richard-Wallace, à Neuilly-sur-Seine. Delaunc, Go, rue Singer, Paris.
- Delboy, 12, rond-point des Champs-Elysées, Paris.
- Deledicqtie, 13, rue de Surènc, Paris. Deligny d’Alosno (Comte), 45, av. Montaigne, Paris.
- Delincau, 10.4, boulevard do Courccllcs, Paris. Dclizv, 95, rue de Paris, à Pantin (Seine). Delhi Casa, G8, boni. Malcsherbes, Paris. Delorme, Ri, rue de Yicnnc, Paris.
- Delpéré, château Bérat, à Bénit (Haute-Garonne).
- Demanest, 84, rue d'Amsterdam, Paris. Demarçay (Baron), 54, r. du l'g.-St.-Honoré, Paris.
- Démogé, 4, rue du Luxembourg, Paris. Dcmonts, 8, r. Yillaret-de-.loyeusc, Paris. Douant, 88, boul. Malesherhes, Paris. Dcnayrouze, 2.4, rue Bayen, Paris.
- Dennery, 23, av. des Champs-Elysées, Paris.
- Dcntz (Arnold-C.), 4-3, Rœmer Yissclicrstraat, à Amsterdam.
- Dentz (Théodore), 23, Tesselschade straat, à Amsterdam.
- Deprcz, a3, avenue Marigny, Vincennes.
- De Riddcr, 4, me Perrault, Paris.
- Déroché, 13g, rue do la Tour, Paris.
- Dorvaux, à Condé-sur-l'Escaut (Nord). Desaché, 5i, rue Camlion, Paris.
- Descamps, 20, av. Friedland, Paris. Deseliamps, 1, rue Boccador, Paris.
- Desl'ossés (André), 33, r. Marbeuf, Paris. Desl'ossés (Edouard), 22, rue Alphonse-dc-Ncuville, Paris.
- Desgenelais, 13, rue Demours, Paris. Desgrangc , G, rue de Rome, Paris. Desjoycaux, 3i), rue La Boétie, Paris. Desmarais (Léon), 10, av. Marceau, Paris.. Desmarais (Lucien), 98, avenue Malakoll’, Paris.
- Desmarais (Paul), 43, rue de Lisbonne, Paris. Desmazières (Comte), 4G, r. Galilée, Paris. Desouches, 53, av. des Champs-Elysées, Paris. Desplats, f\3, rue de. Berlin, Paris.
- Desprats, 20, rue Saint-Lazare, Paris. Desrousscaux, 12, av. Ledru-Rollin, Paris. Desson, 4, square Saint-Ferdinand, Paris. Destreichcr, 12, boul. Flandrin, Paris. Deulsch (de la Meurthe) (Emile), 54, avenue d’iéna, Paris.
- Deutsch (de la Meurthe) (Henry), 4, place des Etats-Unis, Paris.
- Dcvambez, 11, rue du Mont-Dore, Paris. Diaz-Albcrt.ini, 25, av. du Bois-dc-Boulogne* Paris.
- Didier, 2G, parc de Mont retout, St-Gloud. Dietrich (Baron Albert-Louis de), 82, boul. Malesherhes, Paris.
- Dictrich (Baron Eugène de), maître de forges,.
- au Jaegcrthal, près Niederbronn (Alsace). Dietz-Monnin, t\3, rue Spontini, Paris. Dieulouard, 3, me Saint-Florentin, Paris. Dieusy, 54, rue La Bruyère, Paris.
- Diligcon, 2,3 bis, av. Nicl, Paris.
- Dilschncidcr, 3, nie Valentiu-IIaiiy, Paris. Dinin, 3O, me de Miromesnil, Paris.
- Dino (Duc de), villa Périgord, à Monte-Carlo.
- (Principauté de Monaco).
- Dion (Marquis de), 19, av. Mac-Mahon, Paris. Dior (Louis), 8, rue Newton, Paris.
- Dodge, 103 East, 35th Street,, New-York Etats-Unis.
- Doin, 13, quai d'Orsay, Paris.
- Dolllus (Lucien), 83, rue Blanche, Paris. Dollfus (Paul), 94, boul. Flandrin, Paris. Dollot, 9, me Yièle, Paris.
- Domange, Go, me de Monceau, Paris. Donaldson (Sir), 4, Quecn Anne Street, Cavcn-disli sipiare, London.
- Dior, 8, rue Newton, Paris.
- Dôriga (Carlos-L.), 29, rue d'Artois, Paris. Dôriga (Francisco), 29, rue d'Artois, Paris. Dorizon, 51, r. de Boulainvilliers, Paris. Dorlodot (Baron de), château de Tardais, par Senonches (Eure-et-Loir).
- Dorlodot (Baron Eugène de), 29, rue Pierre-Charron, Paris.
- Douât, 240, rue du Fg.-St-lIonoré, Paris. Douce!, 19, rue Spontini, Paris.
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- DE FRANCE
- Douël de Graville (Comte du), 85, av. Victor-Hugo, Paris.
- Douglas (William Wallace), 22, av. du Bois-de Boulogne, Paris.
- Douine, 82, rue La Boétie, Paris. Douville-Maillel'eu (Comte de), 72, avenue de Wagram, Paris.
- Drago, hôtel Brislol, à Cènes (Italie).
- Drakc. 7, rue de Berri, Paris.
- Drapier, 10, boulevard Mandrin, Paris. Draullette, 28, avenue d’Antin, Paris.
- Drexel, 11, avenue d'Iéna, Paris.
- Dreyiiis, do, rue du Rocher, Paris.
- Driard, à Beauvais.
- Drosso, ()/|, avenue de Malakoll’, Paris.
- Droz, 2 6/s, rue Leroux, Paris.
- Drzewiecki, 5, villa Damont, rue des Bau-clies, Paris.
- Dubief, 11, rue Michel-Ange, Paris.
- Dubois (Albert), 9, rue Saint-Arnaud, Paris. Dubois (Pauli, 2,'3, boulevard Mandrin, Paris. Duhoimet (Lmile), 78, av. de Malakoll', Paris. Dubonnel (Marins), 78, av. de Malakoll', Paris. Du Bos, !\j, avenue Henri-Martin, Paris. Dubosc, /|5,ruedc Sainte-Adresse, Le Havre. Du Boys, 34, rue Tronchet, Paris.
- Duboÿs, 67, rue de Provence, Paris. Dubuisson, 11, rue Bolivar, Paris.
- Ducasse, 4, boulevard Maleshcrbcs, Paris. Duccllicr, 2.1, passage Dubail, Paris. Ducbesne, r. l)on Pedro, à Montargis (Loiret). Duchesne-Fournet, 48, r. de Bourgogne, Paris. Dul'ayel (Ceorges), 80, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- Dui'ayet, 07, rue de la Roquette, Paris. Dufour (Charles), à l’umay (Ardennes). Dufour (Henry), t)4, boulevard Mandrin, Paris. Dufour (Léon), (i, rue Pierre-Charron, Paris. Dufrène, i5y, avenue de Malakoll’, Paris. Dubau, 3, rue Laffitte, Paris.
- Du Mesnil, 43, r. du Faubg.-St-Honoré, Paris. Dumont,, (Ceorges),-5, rue Pcrronet, à Neuilly (Seine).
- Dumont (Paul), 17-, rue de Coureelles. à Levallois (Seine).
- Dumontet, ((!.), 1.4, rue de la Chancellerie, à Versailles (Soine-et-Oise).
- Dumontet (Léon), 07, rue de Cliehy, Paris. Dumontpallier (Louis), 22, rue de Tocqueville, Paris.
- Duncan, 07, rue Bavon, Paris.
- Dupont (Albert), 1.42, hiv. Peroire, Paris. Dupont (Ceorges), 10.4, rue d’Amsterdam, Paris.
- Dupont (Custavc), 3.4, avenue Hoche, Paris. Dupont (Henry), 13, rue Balayette, Paris. Dupré, 20, boulevard Mandrin, Paris. Duprcssoir, à Maubeuge (Nord).
- Dupuy (Jean), 9, rue Scribe, Paris.
- Dupuy (Paul), y, rue Scribe, Paris.
- Dupuy (Pierre), 811, rue de Lille, Paris. Dupuy d’Angeac, à Cognac (Charente).
- Dupuytrem, no, avenue Kléber, Paris. Durand (Charles), 60, rue de la Chausséc-d’Antin, Paris.
- Durand (Ernest) (Docteur), 7, rue La Boétie, Paris.
- Durand (Eélix), 107, rue de Coureelles. Durand (Georges), 90, boulevard Elandrin, Paris.
- Durand-Ruel, 35, rue de Rome, Paris. Durenne, 92, rue Joufl’rov, Paris.
- Durey, 19, rue Le Brun, Paris.
- Dusmet (Marquis de), 3i, boulevard de la Saussaye, à Neuilly (Seine).
- Dutilleul, 08, r. de la Chaussée-d'Anlin, Paris. Duval, 122, av. des Champs-Elysées, Paris. Duvergcr, no, rue Taitbout, Paris. Duvergey-Tabourcau, 3x, rue d’Anjou, Paris. Duvignau deLanneau, 71, hiv. Pereire, Paris. Echalié, 38, avenue du Roule, à Neuilly (Seine).
- Economes (Comte d’), 1 bis, avenue du Bois-de-Boulognc, Paris.
- Edge (Sehvyn E.), 1.4, New-Burlington Street, Regcnt Street, London (Angleterre). Edwards, 2-44> rue de Rivoli, Paris.
- Ei'hinann, 37, avenue Friedland, Paris. Eichthal (D’j, 24, rue de Téhéran, Paris. Einhorn, 27, rue Pierre-Charron, Paris. Eisenmaim (Chevalier d'), 30, avenue Hoche, Paris.
- Elisscicff (Grégoire), 31 , rue Chauveau, Neuilly-sur-Seine (Seine).
- Elisseiell’ (Pierre), i5, Newskv, à Saint-Pétersbourg (Russie).
- Elizalde, 1 Ci, rue Murillo, Paris.
- Emdcn, rue de Penthièvre, Paris.
- Emerson, 3o8, Lombard Street, Baltimore Md. Etats-Unis.
- Ennnerique, 8, boulevard Magenta, Paris. Empain, 8, rue Auber, Paris.
- Enault, 3, jilace Saint-Michel, Paris.
- Ephrussi, 2, place des Etats-Unis, Paris. Escandon (De), 3o, aven. Victor-Hugo, Paris. Eschger, 2.5, Grande-Rue, Chantilly (Oise). Esnault-Pellerie, 11, rue de Milan, Paris. Essling (Prince d"), 8, r. Jean-Goujon, Paris. Eslaintot (Vicomte d-), 22, rue de Tocqueville, Paris.
- Esticr, 34, avenue de Messine, Paris. Estivant, !\-j, avenue de l'Alma, Paris. Estournelles de Constant (IV), 78 bis, avenue Henri-Martin, Paris.
- Estradèrc, 4a> avenue des Champs-Elysées, Paris.
- Etchegoycn (IV), à Montlh'aux-St-Dcnis-de-Gastines (Mayenne).
- Eugstcr, 28, rue Berlier, à Dijon.
- Euslache, cliàleau et domaine du Chasnay, par Eourchambaiilt (Nièvre).
- Evry (Vicomte D’), 9, rue Deeamps, Paris. Eynard (Baron), i5G, rue Pcrronet, à Neuilly-sur-Seine.
- Eyres, 87, avenue de l’Alma, Paris.
- Fadate de Saint-Georges (Comte de), à Eure (Haute-Saône).
- Failliot, 83, av. du Bois-de-Boulogne, Paris. Faivre (Abel), 42i nie Fontaine, Paris.
- Faivre (Maxime), rue llerran, Paris (iG°). Falco, 6, avenue d’Eylau, Paris.
- Faleonnet, Oo, av. de Malakoll’, Paris.
- Falize, 6, rue d'Antiu, Paris, l’alk, y4, boulevard Elandrin, Paris.
- Fallot,, 186, avenue Victor-Hugo, Paris. Famcchon, 5, place Saint-Franrois-Xavier Paris.
- Faramond de La fa joie (Comte de), 54, avenue i de Bretcuil, Paris.
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- Farkas, y4, boulevard Bino.au, Neuilly-sur-Seine.
- Farman (Dick), 28, rue Marbeau, Paris.
- Farinan (Ilenri), 2a, avenue do la Grande-Armée .Paris.
- Farman (Maurice), 90, av. de Yillicrs, Paris.
- Farman (Thomas-F’rédéric), 10, rue Notre-Dame-de-Lorettc, Paris.
- Faroux, 5, rue du Louvre, Prris.
- lhuicigny-Lucingc (Prince do), 17, rue Au-gustc-Vacquerie, Paris.
- Faucompré (Comte do), 8, rue Murillo, Paris.
- Faugère, 4i, rue Yital-Carles, à Bordeaux.
- Faucjueux (Baron), 45, avenue Hoche, Paris.
- Faura, 190, avenue Victor-Hugo, Paris.
- Faure (Albert), 8, rue Perronet, Paris.
- Faure (Firmiu), (i, rue Francisque-Sarcey, Paris.
- Faure (Gaston), 92, av. Victor-llugo, Paris.
- Faure (Jacques), 8(i, 1)1 v. Haussmann, Paris.
- Faure (Maurice), 43, rue Pcrgolèsc, Paris.
- Favrcau, 6, rue des Jardics, Sèvres-Yille-d’Avray (Scinc-et-Oise).
- Fayc, 86, avenue de Malakoff, Paris.
- Fayette (Comte de La), 29 bis, rue Dcmours, Paris.
- Fearing, 199, avenue Victor-Hugo, Paris.
- Féau, 64, rue de la Cbaussée-d’Anlin, Paris.
- Fels (Comte de), i35, rue du Faubourg-St-llonorc, Paris.
- Fenaille, 14, eue de l'Elysée, Paris.
- Fenton, 5, rue Crevaux, Paris.
- Ferdinand-Drcylus, 98, av. de Villiers, Paris.
- Ferrand (Docteur), 6, rue de Solférino, Paris.
- Ferrant, 12, avenue de VVagram, Paris.
- Ferrus (Commandant Léonce), 2, villa David, Vincennes (Seine).
- Feydeau, 5o, avenue du Bois-de-Boulognc, Paris.
- l’ield. 645 Fiftli avenue, New-York, (Etats-Unis.
- Fiévet, 2.8, quai d'Orléans, au Havre.
- F’illcul Broby, 21, rue de Vienne, Paris.
- Finaly (Horace), t\, avenue lloclie, Paris.
- Finaly (Hugo), 4, av. Hoche, Paris.
- Finot, 12, av. de l'Opéra, Paris.
- Firminhac, 5o, rue do la Tour, Paris.
- F’ischhof, l\j, r. Dumont-d’IJrville, Paris.
- Flachat, 102, rue de Grenelle, Paris.
- Flayelle, 15, rue de Phalsbourg, Paris.
- Fleuret, i4o, r. de Rivoli, Paris.
- Fleury, 64, rue du Faubourg-Sainl-IIonoré, Paris.
- Flinscb, N’eue Mainzerstrasse, 20, à Franc-fort-sur-Mcin (Allemagne).
- Florio, Giardino Ingleso, à Païenne (Italie).
- Follin (Comte de), 1, pl. Bannier, à Orléans.
- Fontaine (Emile), 146, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- Fontaine (Paul), 20, rue Tronchet, Paris.
- Fontarce (Vicomte de), 29, av. des Champs-Elysées, Paris.
- Foréau, 5, rue Lauriston, Paris.
- l’orest (Baron de), Spcncer-Ilouse, Saint-James, London, S. W. (Angleterre).
- Forestier-Demours, 86, av. Nicl, Paris.
- Foucart, 58, rue du Rocher, Paris.
- l'oucault, 21, boulevard Beauséjour, Paris.
- Fougerat, 4> rue Gounod, à Cognac, (Charente).
- Fouillaron, 54, rue de N’illiers, à Levallois-Perrcl.
- Fouinât, 36, rue do Naples, Paris.
- Foule (Denis), 7, pl. Malcsherbes, Paris. Foule (Jacques), 7, pl. Malcsherbes, Paris. Fould, 85, av. Marceau, Paris.
- Fountainc, 3o, rue du Cours, à Billancourt (Seine).
- Fouquet, 11, rue Auber, Paris.
- Fouquier, 82, bd Haussmann, Paris. Fouquier-d’IIérouel, 9, rue Arsènc-lloussayc, Paris.
- Fournier (Henry), 1, rue du Midi, Ncuilly (Seine).
- Fournier (Marcel), 8, rue d’Anjou, Paris. Fournier (Raymond), i5o, r. do Longchamp, Paris.
- Fraignac, 9, rue Devès, à Neuilly, (Seine). Francillon, 11, rue Taitboul, Paris.
- Franck (Bernard), 22, avenue du Bois-de-Boulognc, Paris.
- Franck (Robert), 55, bd Haussmann, Paris. Franconi, 12, rue Lavoisier, Paris.
- Frank, bd de Courcelles, Paris.
- Frédéric Moreau, 22, av. de la Grande-Armée, Paris.
- Fremyn, 16, rue de Téhéran, Paris.
- Fresnayo (De la), 19, rue Pergolèse, Paris. Fréville, 3, rue do la Renaissance, Paris. Freystitdtlor (Chevalier de), 3, Muzeum-Utcza, à Budapest.
- Frézier, 222, rue du F’aubourg-Saint-Martin, Paris.
- Friant, 11, hd de Clichy, Paris.
- Prias (De), 36, rue Washington, Paris. Frick,Penn etllomewood avenues. Pittsburg, Pcnsylvanie, Etats-Unis.
- Fuerlh, 86, rue du Faubourg-Saint-IIonoré, Paris.
- Fuld, 135, boulevard Haussmann, Paris. Fulda, 34, boulevard Lafayette, à Calais. Furth (Martin), 80, rue Boissièro, Paris. Fiirlli (Richard), 48, rue de Laborde, Paris. Gabriel, 162, rue Perronet, à Neuilly (Seine). Gâche, 61, rue la Fédération, Paris. Gagliardini, 12, boulevard de Clichy, Paris. Gagneau, 9, rue Scribe, Paris.
- Gailhard (Pierre), i3, villa Chaptal, à Lcvallois. Gaillard (Joseph), .-9, av. Mac-Mahon, Paris. Gaillard (Lucien), 107, r. La Boétie, Paris. Gajewski, 8, Moscznisky strasse, à Dresde. Galichon, 29, rue d’Artois, Paris.
- Gallet (Edmond), 158, rue de Rivoli, Paris. Gallet (Maurice), 65, rue Jouffroy, Paris. Galli, 111 bis, r. de Courcelles, Paris.
- Gallier, à Bônc (Algérie).
- Galula-Dechiar, 1. rue Scribe, Paris.
- Gamard, 85, rue de Rivoli, Paris.
- Gamba, villa Montesano, à Gènes (Italie). Ganay (Comte de), 13^, rue du F’aubourg-Saint-IIonoré, Paris.
- Ganay (Marquis de), 9, av. de l’Alma, Paris. Gans, 15, Taunus Alliage, à FYanclort-sur-Mein (Allemagne).
- Gans de Fabrice, Ilerrnhaus-Schmolz, près Garmisch (Bavière).
- Garcet, 100, av. de Villiers, Paris.
- Garcin, 27, place Bellocour, à Lyon.
- Gardet, 38, rue Boileau, Paris.
- Gardner, 43, av. du Bois-de-Boulogne, Paris.
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- Gardonnc-Lastic (Comte do), château Laga-rosse, par Langoiran (Gironde).
- Garmendia (De), 8, r. Léonce-Raynaud, Paris. Garnier, 54, av. de la République, Paris. Gary, 71, Broadway, New-York City (Etats-Unis).
- Gasne, 31, rue de Rome, Paris.
- Gassier, 16, rue Brémontier, Paris. Gaston-Dreyfus, 5, av. Montaigne, Paris. Gates (Charles G.), Waldorf Astoria, New-York (Etats-Unis).
- Gates (John-W.), 111, Broadway, New-York (Etats-Unis).
- Gaultier, i!\, rue Dumont-d’Urville, Paris. Gaume, 10, hiv. Emile-Augier, Paris. Gaumont, 5y, rue Saint-Roeh, Paris. Gauthier, i(i, av. Rapp, Paris.
- Gauthier do Clagny, 35, rue Tronchct, Paris. Gautier (Comte Albert), villa Yolande, avenue des Acacias, à Nice (Alpes-Maritimes). Gautier (Paul), 3a, rue Montaigne, Paris. Gauthicz (Docteur), 182, rue du Faubourg-Saint-1 lonorc, Paris.
- Gautreau, à Dourdan (Seine-et-Oise).
- Gaveau, Usine do Fontenay, à Fonlenay-sous-Bois (Seine).
- Gavelle, 13, hiv. do Strasbourg, Paris.
- Gayot, 4^, rue du Parc-de-Clagny, à Versailles.
- Geay, 12, rue Portalis, Paris.
- Geiger, 7, rue Dumont-d’Urville, Paris. Géhs-Didot, 1G0, hiv. Haussmann, Paris. Génicoud, 71, rue do Monceau, Paris.
- Gentil, 28, av. Bugeaud, Paris.
- Gentili di Giuseppe, 3a, av. de l'Opéra, Paris. Georges-Jean, les Essarts-le-Roi (Scine-et-Oise).
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- Ginoux-Defermon (Comte), 19, blv. Malcsher-bes, Paris.
- Girard, à Saint-IIilaire-Saint-Florent (Maine-et-Loire).
- Girardot, avenue Jeanne-d’Arc, au Chesnay, près Versailles.
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- Glaenzer, 6, rue de Seine, Paris.
- Glaenzer, 7, rue Logelbach, Paris.
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- Gorgeu (Louis), 63, av. do Villicrs, Paris. Gorgcu (Maurice), ii/|, av. de Wagram, Paris. Gosselin (De), 162, blv. Haussmann, Paiis. Goltcron, 2, rue Danton, Paris.
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- Goubaud, 3, rue du Quatrc-Septembrc, Paris. Gouin (Jules), 4, avenue Velasquez, Paris. Gouin (Olivier), 12, 111e de la Grange-Batelière, Paris.
- Goujon (Henri), 45, rue de Courcelles, Paris. Goujon (llippolyte), 2G, avenue du T rocade ro, Paris.
- Goulaine (Comte de), Go, r. de Varenne, Paris. Goupy, 5o, avenue Marceau, Paris.
- Gouraud, 43q, Madison avenue (New-York). Gouvello (Marquis de), 80, rue de l'Université, Paris.
- Gouvello (Comte de), chef do bataillon, à Soissons (Aisne).
- Goyard, 15, avenue Matignon, Paris. Gramrnont, à Pont-de-Cheruy (Isère). Grandjean, 4 G rue Cortamhert, Paris, tirange O’Tard (Baron de la), 2, rue Jean-Goujon, Paris.
- Granier, !\y, rue Boileau, Paris.
- Grell'ulhe (Comte), 8, rue d’Aslorg, Paris. Graves, 4o, rue La Pérouse, Paris.
- Grégoire, 181, rue de la Pompe, Paris. Grenet, 1, rue de Courtv, Paiis.
- Grenier, 20, rue de l’Université, Paris. Grétcrin, G, cité Marlignac, Paris.
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- Guérard, 10, rue de l'Isly, Paris,
- Guérinet, 07, rue Joufl'roy, Paris.
- Guerlain (Aimé), 72, av. Viclor-Ilugo, Paris. Guerlain (Gabriel), 19, rue Legendre, Paris. Guerlain (Jacques), 22, rue Legendre, Paris. Guerlain (Pierre), 32, r. de Tocqueville, Paris. Gueugnier, G3, blv. des Batignolles, Paris. Guggenhoim (Benjamin), 15, liast, 72 th Street, New-York City.
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- Guillmu, 2, rue Caumarliu, Paris.
- Guillaume!, i(i, rue Montchanin, Paris. Guillelmon, 47, boulevard Lanncs, Paris. Guillemet, G, rue Clauzel, Paris.
- Guillcmin (Jean), conseiller à l’Ambassade de France, à Vienne (Autriche).
- Guillet, de la Drosse, château des Dcrvallières, à Chantenay (Loire-Inférieure).
- Guimbeau, 87, rue du Colisée, Paris.
- Guitard, 55 bis, quai Valmy, Paris.
- Gunzlmrg (Baron de),2i,av. de l’Alma, Paris. Gurnee, 3i, boulevard llaussmann, Paris. Gurtubay (Juan de), 9, rue Magellan, Paris. Guslin, maire de Deville (Ardennes).
- Gutmann, 3~, r. La Pérouse, Paris.
- Guttmann, i(>, r. de Tilsitt, Paris.
- Gutzwiller, 45, rue du Château-d’Eau, Paris. Guyonnet, j5G, blv. Maleslierbcs, Paris. Guyot, à Maresquel (Pas-de-Calais). Haarbleichcr (Lucien), 08, av. d’Iéna, Paris. Ilaarbleicher (Paul), (18, av. d’Iéna, Paris.
- Ilaas, 109, avenue IIcnri-Marlin, Paris.
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- Hacudler, it, rue Christophe-Colomb, Paris. Haines , 3y, avenue d’Antin, l’aris.
- Ilalbronn, /jq, rue de Ponlhicu, Paris.
- Ifallam de Nillis, !\->., rue Saint-Didier, Paris. Halphen (André), i44, r. de Courcellcs, Paris. Halphen, (Edmond), 1G, rue de Courcellcs, Paris.
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- Ham, -Alibis, rue Franklin, Paris.
- Paillard, (18, rue Caumarlin, Paris.
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- Hamelle, 10, rue d'Anjou, Paris.
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- Hart, 29, rue Galilée, l’aris.
- Hartmann, 18, rue de Courcellcs, Paris.
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- Ilcilmann,/)5, rue Vallier, à Levallois-l’erret.. Heinemann, 3, Whitchall Court, Londres,, S. \V. (Angleterre), llénon, 19, rue Saulnier, Paris.
- Ilenraux (Albert), 31, rue La Pérouse, Paris-llenraux (Lucien), 5, r. Glémcnt-Marot, Paris. Henry, G, rue Boissy-d’Anglas, Paris. Ilérissey, 2.4, rue Dumeilet, à Evreux. Hérisson, 226, rue de Rivoli, Paris, llermand, 3, rue Monmory, à Vinccnnes-(Seine).
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- Hervé (Philippe), 5o, rue de Berry, Paris. Hesse, Château-Renault (Indre-et-Loire). Ilessel, a!\rue de Rivoli, Paris.
- Heurtel, 91, avenue Kléber, l’aris.
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- Hugues, 4y, rue dos Matburins, Paris. Muguet (Albert), escadre delà Méditerranée, à Toulon (Var),
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- lzzel Pacha (Son Excellence), 20, avenue Kléber, Paris.
- Jaccard, i5, rue Lalo, Paris.
- Jacquesson, château de Sillery (Marne).
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- Janisch (De), 44>avenue Victor-Hugo, Paris.
- Janssen, 3, rue d'Oflëmonl, Paris.
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- Japy de Beaucourt, gg, rue de Courcelles, Paris.
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- Journu (Henri), 48, rue St-Ferdinand, Paris.
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- Kcllcr (Maurice), 22, rue Jouhert, Paris.
- Kellner (Georges-J.), i2.”>, avenue de Mala-koir, Paris.
- Kellner (Georges), 12g, avenue de Malakoff, Paris.
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- Kergorlay (Comte de), 5, avenue du Château, à Neuilly-sur-Seine.
- Kermaingant (De), 102, avenue des Champs-Elysées, Paris.
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- Klotz (Henri), 12, rue de Tilsitt, Paris.
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- Knyll' (Chevalier de), 3i, rue Demours, Paris.
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- Kœnigswarter (Baron Maurice* de), 38 bis, avenue de la Grande-Armée, Paris.
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- Kocrner, 62, boulevard de Courcelles, Paris.
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- Komierowski, Hôtel Scribe, 1, rue Scribe, Paris.
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- Kreyder, 11, passage Stanislas, Paris.
- Kriéger (Louis), 8, rue Cardinet, Paris.
- Kullmann (Paul), 3-, avenue d’Antin, Paris.
- Kullmann (René), 68 bis, rue JoullVoy, Paris.
- Kulp, 5, rue de Tilsitt, Paris.
- La Baume Pluvinel (Comte de), -, rue de La Baume, Paris.
- Labbé, 27, rue Pierre-Charron, Paris.
- Laborde (Comte de), 5, avenue du Troca-déro, Paris.
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- Laboure!, 1 46, rue Montmartre, Paris.
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- La Chaise, 3g, rue Jouhert, Paris.
- La Chesnais (De), 22, rue Yauban, à Belfort.
- Lacolle, 1-, boulevard de la Madeleine, Paris.
- Lafaurie (Baron). 12, rue Newton, Paris.
- La Ferlé, ay, rue du Fbg-St-Honoré, Paris.
- La Eerté-Meun (Marquis de), • >, rue Beaujon, Paris.
- Lallai'gue, 8, r. Jean-Baptisle-Dumas, Paris.
- Lalitte, 32, rue des Malhurins, Paris.
- Laflèche, 3a, av. Marceau, Paris.
- Lafont (Pierre), Le Mounedé (Sl-Etienne), à Bayonne (Basses-Pyrénées).
- Lafont (Marquis Raoul de), 35, avenue Kléber, Paris.
- Lafosse, 6, rue d’Alger, Paris.
- Lafreté (De), 108, av. des Ternes, Paris.
- Lagarde (Comte), 5, rue de Stockholm, Paris.
- Lagogué, 2.3, rue du Chemin-Vert, Paris.
- Lagorsse (De), 20g, blv. St-Gennain, Paris.
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- Lagolellcrie (J)e), 20, rue de l'Université, Paris.
- Lagrange (Comtede), 76, av. de Wagram, Paris.
- Laliens (Comte), château Larosc-Perganson, à Saint-Laurent-de-Médoc (Gironde).
- Laine, 9, rue Buffault, Paris.
- Lainnet, 28, rue LaurisLon, Paris.
- Laire (De), 4, rue du Rocher, Paris.
- Laleu, 68, rue. Caumartin, Paris.
- Lalique, /|0, Cours-la-Reinc, Paris.
- Laloge, i/|, rue de Bruxelles, Paris.
- Laloux, 90, av. Blondcn, à Liège (Belgique).
- Lama (De la), Aleala, 65, Bajo, à Madrid.
- Lamaille, !\o, rue de l'Echiquier, Paris.
- Lambert (Comte de), rue Charles-Laffitte, à Neuilly (Seine).
- Lambert, (Edouard), 63, rue de Rome, Paris.
- Lambert (Ernest), i/(5, av. de Malakoll', Paris.
- Lambert (Pierre), 4, r. delà Tour-des-Dames, Paris.
- Lambert (Thomas), 48, av. Gabriel, Paris.
- Lamiral, 10, blv. Maillot, à Neuilly-sur-Seinc.
- Lamirault, i5, rue de Surène, Paris.
- Lamplugb, 3a, rue Greiïulhe, à Levallois-Perret (Seine).
- Lamy, /|8, blv. des Batignolles, Paris.
- Landais, 9, rue Desbordes-Valmore, Paris.
- Lange (Georges), 15, rue Daru, Paris.
- Lange (Walter), if>, rue Duret, Paris.
- Langlade (Baron de), 77, av. de Malakoll, Paris.
- Langucrcau, 3a, rue Montaigne, Paris.
- Lamel, i5, rue Leroux. Paris.
- Lanncs de Montebello (Comte), 17, avenue Bosquet, Paris.
- Lanqucst, 92, blv. llaussmann, Paris.
- Lantz, 15, rue de Buzenval, à Beauvais (Oise).
- Lapeyrère, /|8, rue de TEglise-Grenclle, Paris.
- Lapcyrouse (Comte de), 10/), boulevard de Courcelles, Paris.
- La Rochefoucauld (Vicomte Charles de), /17, rue de Yarenne, Paris.
- La Rochefoucauld (Comte Hubert de), 18, blv. des Invalides, Paris.
- Laroze (Gustave), 169, rue de l'Université, Paris.
- Laroze (Lionel), 9, rue de La Baume, Paris.
- Laroze (Pierre), 182, Fbg St-IIonoré, Paris.
- Lasson, 122, Fbg St-Martin, Paris.
- Latham, rue Victor-Hugo, le Havre (Seine-Inférieure).
- Lastic (Comte de), 3, boni, de La Tour-Mau-bourg, Paris.
- La Tour du Pin Verclause (Comte de), 20, rue Barbet-de-Jouy, Paris.
- Lattes, 36, av. Friedland, Paris.
- Laubespin (Comte de), 12, cité Martignac, Paris.
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- Launay, 1, rue de la Banque, Paris.
- Laure (Jacques), 35, rue du Rocher, Paris.
- Laure (Jean), 35, rue du Rocher, Paris.
- Laurens de la Barre (Du), 62, rue Blanche, Paris.
- Laval, député, à Luxembourg (Grand - Duché de Luxembourg).
- La Valette (Comte de), G, pl. de la Madeleine, Paris.
- La Vaulx (Comte de), Château de Rozoy, par Vieils-Maisons (Aisne).
- La Vaulx (Comte Henry de), 120,. avenue des Champs-Elysées, Paris.
- Laveissière, 20, rue de l’Arcade, Paris.
- Lavcrne, 2, rue Pasquier, Paris.
- Laverlujon, 26, avenue d’Eylau, Paris.
- La Ville Le Roulx (De), 53, avenue de Mala-kolf, Paris.
- Lavoignat, 5, rue Auber, Paris.
- Lawric (Edwin-William), 3, avenue du Tro-cadéro, Paris.
- Lawrie (Thomas), 3, avenue du Trocadéro, Paris.
- Lawrie (William-DulT), 3, avenue du Trocadéro, Paris.
- Laycock (Capitaine), Wiseton, Bawtry, Notts (Angleterre).
- Lazies, 4, rue Marié-Davy, Paris.
- Lebarbicr de Tinan, 88, rue de l’Université, Paris.
- Lebaudy, 12, rue de Lubeck, Paris.
- Lebeau, 4<b boulevard llaussmann, Paris.
- Le Bègue, 127, boulevard llaussmann, Paris.
- Le Blant, 19, rue Lord-Byron, Paris.
- Lebœuf, 16, rue de Marignan, Paris.
- Le Boul, 97, avenue Victor-Hugo, Paris.
- Le Bret, 2, avenue Marceau, Paris.
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- Lecœur, 35, rue de Paris, Puteaux (Seine).
- Lecomte (Maurice), 10, boulevard Flandrin, Paris.
- Lecomte (Victor), gi, quai de La Yarenne, à La Varenne Saint-Hilaire (Seine).
- Lecomte du Nouy, 3o, boulevard Flandrin, Paris.
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- Le Grelle (Comte), 31, rue Lafayette, Paris.
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- Pinto (Adol[ihe), io4, av. de Malakofl’, Paris. Pinto (Emmanuel), 23, piazza d’Azeglio, Florence (Italie).
- Pinto (Henry), 21, rue Clément,-Marot, Paris. Pinto de Araujo, 61, blv. Malesherhes, Paris. Pitot, 38, blv. Lamies, Paris.
- Pivot, 222, rue de Rivoli, Paris.
- Plassard, 5o, rue de Passy, Paris.
- Plessis, 42, rue Notre-Damc-dcs-Champs, Paris.
- Plumet, 7, boulevard Lundi, à Reims (Marne). Polil, g3, av. des Champs-Elysées, Paris. Poidloiic, 87, rue St-Yvcs, à Brest.
- Poignard, 3, rue Danton, Paris.
- Poirier (Léon), 3, rue de Vienne, Paris. Poirier (Docteur), 5, quai Malaquais, Paris. Poirot de Scellier (Comte), château des TI10-meaux, Mosncs (Indre-et-Loire).
- Poisson, G bis, av. Mac-Mahon, Paris. Poitrimol, 2, av. Ingres, Paris.
- Poliakofï (De), 26, avenue du Bois-de-Bou-lognc, Paris.
- PoliakoIT (Docteur de), 5o, avenue du Bois-de-Boulogne, Paris,
- Ponnct, i, rue d’Anjou, Paris.
- Pons, 11, rue Scribe, Paris.
- Ponton d’Amécourt (Vicomte de), 35, rue de la Source, à Nancy.
- Porgès (Edmond), 11, av. Friedland, Paris. Porgès (Théodore), 11, av. Friedland, Paris. Porte (Docteur), 186, av. Victor-Hugo, Paris. Porto-Riche (De), 5, rue Scribe, Paris. Postley, 817, 5° av., à New-York (Etats-Unis). Potenziani (Prince), à Rome (Italie).
- Potin, 7, rue Auber, Paris.
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- DE FRANCE
- Potocki (Comte), 27, av. Friedland, Paris. Polron, 308, rue St-llonoré, Paris.
- Poltier (Georges), 35, rue d’Anjou, Paris. Pottier (René), 2/1 bis, av. du Trocadéro, Paris. Pouet, 18, rue Royale, Paris.
- Poure, 18, rue Mogador, Paris.
- Pourtalès (Comte de), 8/|, rue de Lille, Paris. Pouyer, i5, rue Montaigne, Paris.
- Pozzy, 12, rue de Hambourg, Paris.
- Pra, 45, rue de Courcclles, Paris.
- Prade, 80, boulevard Flandrin, l’aris.
- Pradicr, 12, rue des Bourdonnais, Paris. Prat-N’oilly, ia^, rue Paradis, à Marseille. Preugne (De la), 26, av. d’Eylau, Paris. Prévost, 4, place St-Michel, Paris.
- Price, 141, avenue do Malakoll’, Paris.
- Prieur, 5r, av. Ilenri-Martin, Paris.
- Prince, 34. rue de Montpensicr, Paris.
- Prisse, 08, rue de Rome, Paris.
- Propper, 5o, av. du Bois-de-Boulogne, Paris. Puget, 48, av. du Rois-dc-Roulogne, Paris. Pulsford, 10, rue Taitbout, Paris.
- Puyramaure, 0, rue Blanche, Paris.
- {Juclen (Comte de), !\2, rue Copernic, Paris. Quentin-Bauehart, 3i, rue François-ler, Paris. Querenet (René), 1, rue de Beaunc, Paris. (Jucrcnot (Roger), 12, rue Matignon, l’aris. Duerqui, 20, rue Boissière, Paris.
- {Juincey (Comte de), 48, av. du Trocadéro, Paris.
- Quinel'ault, château du Tertre, par Craon (Mayenne).
- {Jumelle de Rochemont (Baron), 18, rue de Marignan, Paris.
- Quinones de Léon, 77, av. Marceau, Paris. Rabourdin, 2/1, rue Octave-Feuillet, Paris. Radot, 30, rue de Penthièvre, Paris.
- Radou (Georges), 00, rue du Faubourg-Saint-Ilonoré, Paris.
- Radou (Henry), 00, rue du l’aubourg-Saint-Ilonoré, Paris.
- Radziwill (Prince Constantin), 5, place d'Iéna, Paris.
- Radziwill (Prince Léon), iij, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- Raflalovich (De), 2, rue de Bcrri, Paris. RafTard, i5, rue de La Planche, Paris.
- Raffin, 06, boulevard Victor-Hugo, à Neuilly-sur-Seine.
- Raimon (Jean), 34, avenue du Bois-de-Rou-logne, Paris.
- Raimon (Marcel), 2O, avenue du Bois-dc-Boulognc, Paris.
- Raingo, 102, rue Vicillc-du-Temple, Paris. Ralli, 177, boulevard Maleslierbcs, Paris. Ramhert, 20, q. du Léman, à Genève (Suisse). Ramel, 128, rue La Boétie, Paris.
- Rang des Adrets, 9, rue de Berlin, Paris. Raquez, m bis, rue de Courcclles, Paris. Ratkow-Rojnow (De), 7, Millionnaia, à Saint-Pétersbourg.
- Raty, 8, rue de l’balsbourg, Paris.
- Raucli (Colonel de), 107, rue de Courcclles, Paris.
- Ravel, 70, av. des Champs-Elysées, Paris. Raymot, 72, rue de Rome, Paris.
- Raynal, 18, avenue Gourgaud, Paris. Raynaud, 7, rue d’Engliien. Paris.
- Reber, 4, rue du Général-Foy, Paris.
- Rebière (Docteur), àBonnières (S.-et-Oise).
- Récopé (Comte), 11, avenue d’Iéna, Paris. Recules, 00, boulevard Voltaire, Paris. Régniault, 10, avenue de l’Opéra, Paris. Reiclienbach, 71, rue du Faubourg-Sl-!lonoré, Paris.
- Reid, 17, boulevard des Italiens, Paris. Rcinach-Cessac (Comte de), 79, av. Marceau, Paris.
- Reinach (Lucien de), 178, av. Victor-Hugo, Paris.
- Reiss, iO, Obcrwallstrasse, à Berlin (Allem.). Rémon, 18, rue de la Pépinière, Paris. Rémond, 22, rue Vivicnne, Paris.
- Renault (Fernand), 7, r. de Penthièvre, Paris. Renault (Léon), 38, av. de Wagram, Paris. Renault (Louis), /j, rue l’uvis-de-Chavanncs, Paris.
- Renault (Victor-Edouard), 31, rue Godot-de-Mauroi, Paris.
- Rcncvier, 2.5, rue Vignon, Paris.
- Rénier, 2, avenue IIoclic, Paris.
- Réquédat, 50, rue de Londres, Paris.
- Reuter (Baron de), 1.4, rue de Lubeck, Paris. Rcvcrsat-Marsac (Marquis de), 5, rue La Boétie, Paris.
- Rcvol. 119, me de Courcclles, Paris.
- Rey (Barthélemy), 39, nie Saint-Dominique, Paris.
- Rey (Louis), 97, boulevard Exelmans, Paris. Reymond, 88, boulevard de Courcclles, Paris. Reynaud (Hany), Oi bis, boul. Bcauscjour, Paris.
- Reynaud de Barbarin, 1O0, rue du Faubourg-Saint-Honoré, Paris.
- Rlieims, 122, avenue Victor-Hugo, Paris. Ribes-Cbristolle, 7, rue Auber, Paris.
- Richard (Félix-Maxime), Oi , rue de Rome, Paris.
- Richard (Georges), 108, rue Sl-Maur, Paris. Richard (Louis), 5o, rue des Belles-Feuilles, Paris.
- Richard (Maurice), 22, av. Jules-Janin, Paris. Riché, 1 bis, rue du Havre, Paris.
- Riehemond (Philippe), 0, r. Edouard-Detaillc. Riehcmond (Pierre), 4(J> rue Ampère, Paris. Richer-Delavau, i,av. du Trocadéro, Paris. Richtcnhorger, 29, boul. Malcshcrbes, Paris. Rieder, 19, rue du Pol-de-Fer, Paris.
- Rigaut, 8, rue Ventadour, Paris.
- Rigny (Comte de), 1O, r. de Marignan, Paris. Rikoif, 44, rue Copernic, Paris.
- Rincon Gallardo, 24, av. Kléber, Paris. Rivera, 197, boul. Malcshcrbes, Paris.
- Rives, 22, avenue des Champs-Elysées, Paris. Rivière, 70, av. de la Grande-Armée, Paris. Robergc, château de Langeron Villavard, par Montoire sur-lc-Loir (Loir-et-Cher).
- Robert, 104, rue du Fbg-St-lIonoré, Paris. Robert-Fleury, 6g, r. de Douai, Paris.
- Robin (Docteur Albert), 53, boulevard de Courcclles, Paris.
- Robin (Maurice), 144, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- Robinot de la Pichardais, iO, avenue du Trocadéro, Paris.
- Robinson, 38, rue de Lubeck, Paris.
- Rochard (Docteur), 19, rue de Téhéran, Paris. Rock-Brault, 54, rue Blanche, Paris. Rochefort (Comte de), 05, avenue Henri-Martin, Paris.
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- — 83 G —
- DE FRANCE
- Rocliet, Go, rue de Montchat, à Lyon (Rhône).
- Rodili, 2.1, avenue llenri-Marlin, Paris.
- Rodrigues Lly (Camille), 2, boul. Ilenri-IV, Paris.
- Rodrigues (Caston), 181, r. delaPompe, Paris.
- Rodrigues-IIenriques (Henri), 163, rue de la Pompe, Paris,
- Roest d’Alkemade (Baron de), 22, rue Maric-de-Bourgognc, à Bruxelles (Belgiijue).
- Rohan (Une de), 35, boul. des Invalides, Paris.
- Rohan (Vicomte de), 35, boulevard des Invalides, Paris.
- Rohan-Chabot (Comte de), 38 bis, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- Roineé (De), /|3, boulevard de La Tour-Mau-bourg, Paris.
- Roissy (De), 80, avenue Kléber, Paris.
- Rojas (Marquis de), 1.4, r. de Marignan, Paris.
- Roll, 4i, rue Alphonse-de-Neuville, Paris.
- Rolland, à Ham (Somme).
- Rollepot (De), /|i, rue de Berlin, Paris.
- Romand, château de la Mollie Gurgy, par Moneteau (Yonne).
- RomanolV (S. A. I. le grand-duc), hôtel Mirabeau, à Paris.
- Ilommel, 33, boulevard Richard-Wallace, à Neuilly (Seine).
- Rondct-Saint, 8(i, av. de Malakofl', Paris.
- Roosevelt (.1.), llvde Parle, à New-York.
- Rose, 17, rue de la Pompe, Paris.
- Rosenberg, 17, rue Alphonsc-dc-Nouville, Paris.
- Rosset, 22”), rue du Faub.-St-I lonoré, Paris.
- Rossolin-Crandville. 90, boul. Mandrin, Paris.
- Rothschild (Docteur Baron Henri de), 33, rue du Faubourg-Saint-Ilonoré, Paris.
- Rothschild (Lionel-Nathan de), 5, Ilamilton place, Londres.
- Rothschild (Baron Robert de), 2.3, av. Marigny, Paris.
- Rougemont (Comte de), château de Mémillon, par Bonneval (Hure-et-Loir).
- Rougeot, 3, rue d'Alger, Paris.
- Boulier, à Creil (Oise).
- Rouliot, 37 bis, rue de Yillcjust, Paris.
- Roulleaux-Dugage (Baron), 5 bis, r. de Bcrri, Paris.
- RoussanolT (De), Go av. Yictor-IIugo, Paris.
- Rousseau (Paul), i(i, rue Ilalévy, Paris.
- Rousseau (Rodolphe), 100, rue Saint-Lazare, Paris.
- Roussel. 7, avenue des Peupliers, Paris.
- Roussy (Docteur), 282, bd. St-Germain, Paris.
- Roux, à Mériel (Seinc-ct-Oisc).
- Roy (Edouard), 28, rue de Châtcaudun, Paris.
- Roy (Henry), 20, boulevard Poissonnière,Paris.
- Royer, 19/1, avenue Victor-llugo, Paris.
- Rozet, 3, rue de la Bienfaisance, Paris.
- Rudeaux, 19,1'. Montrosier, à Neuilly (Seine).
- Ruefl’ (Jules), 88, av. des Champs-Elysées, Paris.
- Ruell’ (Louis), 2.3, rue d'Anjou, Paris.
- Ruel i/j, rue Sainte-Cécile, Paris.
- Ruiz Almagro, 12, r. Théodule-Rihot, Paris.
- Rumpf, yG, rue de Mauheuge, Paris.
- Rutishauser, 31, rue Louis-Blanc, Paris.
- liykert, 114, av. des Champs-Elysées, Paris.
- Sabatier, 2, rue de Cliehy, Paris.
- Sabbag (Georges), GG, rue de Lisbonne, Paris.
- Sabbag (Ibrahim), â Beyrouth (Syrie).
- Sachs (Ernest), 78 bis, av. Henri-Martin, Paris.
- Sachs (Léo), 79, avenue de Malakofl', Paris.
- Saguier, 1, rue Villaret-dc-Joyeuse, Paris.
- Saint, château de Flixécourt (Somme).
- Sainte-Suzanne (Vicomte de), 12, rue Euler, Paris.
- Saintier, 22, rue do Tocqueville, Paris.
- Saint-Léger (De), it\iS, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- Saint-Paul (De), 8, pi. des Etats-Unis, Paris.
- Salentinv, 31, rue do l'Industrie, à Mulhouse (Alsace).
- Salet, 120, boulevard Saint-Germain, Paris.
- Salichon, 34, rue de Clignauoourl, Paris.
- Salleron, 110, rue du Bac, Paris.
- Salmon (Edouard), 20, boul. des Fillcs-du-Calvairc, Paris.
- Salmon (Georges), q3, boul. Malcsherhcs,Paris.
- Salomons (Sir ), Broomhill, Tunhridge Wells (England).
- Samuel, 2, rue Fléchier, Paris.
- Sanchollc-ITcnraux (Bernard), Go, av. Victor-Hugo. Paris.
- Sancholle-lIanraux(Max), 76, r. Spontini,Paris.
- Sandford (Edward), hôtel Langham, 24, rue Boccador, Paris.
- Sandoz, 10, rue Royale, Paris.
- Sands, 48, avenue Gabriel, Paris.
- Santa-Maria (De), 1G, r. Pierre-Charron, Paris.
- Santamarina, 1, rue Villaret-de-.Ioyeuse, Paris.
- Santo Mauro (Duc de), président du '* Real Aulomovil Club de Espana ”, à Madrid.
- Sapène, 58, rue Taitbout, Paris.
- Sapia de Lencia (Comte), !\i, av. Friedland, Paris.
- Sarazin (Charles), 2, square Moncey, Paris.
- Sarazin (Henri), q3, av. du Roule, Neuilly-sur-Seine.
- Sarazin (Paul), rue Saint-Denis, à Courbevoie (Seine).
- Sarelii, 4<), boulevard Haussmann, Paris.
- Satre, 3, rue des Païennes, à Saint-Chamond (Loire).
- Saucrbach, 9, rue Chauehaf, Paris.
- Saulnier, io4, rue du Faubourg-Saint-Honoré, Paris.
- Sauphar, 22, avenue Friedland, Paris.
- Sautler, 178, boulevard Haussmann, Paris.
- Savard, 71, av. des Champs-Elysées, Paris.
- Savelli di Cerenzia (Prince), 7.3, r. de Grenelle Paris.
- Savignies (De), 2.3, rue Berlioz, Paris.
- Savignol, 92, avenue Victor-Hugo, Paris.
- Savouré, 120, rue de Rivoli, Paris.
- Savvé, 9, rue de Noailles, à Versailles.
- Scala (Marquis de la), 22, rue La Boétie, Paris.
- Schelchcr, 29, rue de la Bienfaisance, Paris.
- Scheurer, 21, rue do Turcnne, à Belfort.
- Schifl", 4°, Upper Brookc Street, Grosvcnor Street, Londres.
- Srhildge, 34, rue la Verrerie, Paris.
- Scliilizzi, 58, South Audlcy Street, Grosvcnor square, London S. W.
- Schilling, 4(), boulevard Haussmann, Paris.
- Schlatl.er de Roll, 3, rue Laffitte, Paris.
- Schlcsinger (Colonel Louis), 54, rue Pierre-Charron, Paris.
- Schlcsinger (Sébastian-B.), Gi, av. d’Antin, Paris. pnw ^ 7
- Schloss, GG, avenue d'iena, Paris.
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- Schmilt, 90, boulevard Flandrin, Paris. Schnapper, 74, avenue de Wagram, Paris. Schneider (Eugène), 34, cours La Reine, Paris. Schneider (Paul), 4, pl. des Saussaies, Paris. Schottlacnder, 141, avenue de Saxe, à Lyon. Schryvcr (De), 22 bis, rue Parmentier, à Neuilly-sur-Seine.
- Scliuhmann (Alfred), 2, r. Rembrandt, Paris. Schuhmann (Robert), 5, rue Beaujon,, Paris. Schwartz (Charles), i3o, r. du Faubourg-Saint-llonoré, Paris.
- Schwartz (Rodolphe-Louis), 26, av. du Bois-dc-Boulogne, Paris.
- Scliwob, 55, avenue Kléber, Paris.
- Scott, 11, Church Street, Belfast (Irlande). Sc.ribot de Bons, château de Tric-Châtcau, à Trie-Château (Oise).
- Scrive-Loyer, 294, r. Léon-Gambetta, à Lille. Sédillot, G, rue Volney, Paris.
- Sée (Eugène), io3, rue de Miromcsnil, Paris. Sée (Raymond), 15, rue Fourcroy, Paris. Ségond (Adrien), 10, rue Legendre, Paris. Segond (Docteur Paul), 11, quai d'Orsay, Paris. Séligman (David), 57, av. de Villiers, Paris. Séligman (Georges), 98, boni. Malcshcrbes, Paris.
- Sénard, 31, rue La Pérouse, Paris.
- Séré, 28, rue Saint-Dominique, Paris. Scrpollet, 11, rue Stendhal, Paris.
- Serret, 5i, av. Bugeaud, Paris.
- Sersiron (Docteur), 7(1, av. de Malakoff, Paris. Sewell, 5./|, rue du Faubourg-St-llonoré, Paris. Scynes (De), 14, nie de Balzac, Paris. Sharon, 82, av. des Champs-Elysées, Paris. Sherry, Fiflh avenue Corner, 441h Street, New-York.
- Shoninger, io4, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- Sibilat, 3o, r. du Faubourg-St-llonoré, Paris. Sicot, 38 bis, av. de la Grande-Armée, Paris. Sieber, « Fausscs-Rcposcs », Villc-d’Avray (Seinc-et-Oise).
- Sierstorpfl’ (Comte de), Union Club, à Berlin. Silva (Da), 5, boulevard Malcsherbcs. Paris. Silvain (André), 12, Rolherbannehaussee, Hambourg (Allemagne).
- Silvain (.Iules), i5, rue La Bruyère, Paris. Silva-Prado (Da), Sao-Paulo (Brésil).
- Silvcrs, /|fi, avenue Victor-Hugo, Paris.
- Silz, G3, rue de la Faisanderie, Paris.
- Simms, 6, Charles Street, Berkeley square, Londres.
- Simon (Adrien), 180, hd Si-Germain, Paris. Simon (Henri), 92, rue de Courcelles, Paris. Simon (Maurice), 180, boulevard St-Gerinain, Paris.
- Simond, 45, rue de Pomereu, Paris.
- Simonet, 101, rue de Crimée, Paris.
- Sinçay (de), 14, rue Ilamelin, Paris.'
- Singer (A.-M.), 4> Ivings Gardens, llove, Sussex (Angleterre).
- Singer (Charles-G.), 2, quai Debilly, Paris. Singer (Ernest), 5, rue Ilenri-de-Bornier, Paris. Singer (Franldin-M), G4, av. du Bois-de-Bou-logne, Paris.
- Singer (Fritz), !\ rue Léo-Delibes, Paris. Singer (Louis), 9. avenue d'Iéna, Paris. Singer (Paris), 121, Sloane Street, London. Singer (Siegfried), 5o, av. du Bois-de-Boulo-gne, Paris.
- Singher, château d’isaac, Le Mans (Sarlhe). Siqueira (De), 20 bis, rue Boissière, Paris. Sizzo-Noris (Comte do), i3/|, bd Haussmann, Paris.
- Skarzynski, château de la Source, à Chaville (Seme-et-Oise).
- Smith, 4, eue de Londres, à Persan (Seine-et-Oise).
- Sncdcn, G, rue Georges-Ville, Paris.
- Sobanice Sobanski (De), château Dcmowka, par Varsovie (Podolie), Russie.
- Sohège, 90, av. des Champs-Elysées, Paris. Solms (Comte de), 8, av. Percier, Paris. Soltykoil’ (Pi'ince), 11, r. Copernic, Paris.
- Soly. i3o, cours Gambetta, à Lyon.
- Sommier, 3-, avenue de l’Alma, Paris.
- Sonrel (Docteur), 9, rue Faustin-Hélie, Paris. Sorchan, 10, rue Lincoln, Paris.
- Sormani, 10, rue Chariot, Paris.
- Souche, 1. avenue de l'Alma, Paris.
- Soulier (Vicomte du), château de Monlfleury, à Langeais (Indre-et-Loire).
- Soupeaux, 210bis, rue de Vaugiranl, Paris. Souques, 7, me Pasquier, Paris.
- Soulier, loi, boulevard Arago, Paris. Souvcstrc, 1, rue Tardieu. Paris.
- Spalding, 14, Lung'Arno, Amcrico Vcspucci, à Florence.
- Spinosa (Marquis de), .2, r. de Ponlhieu, Paris. Spire, 3, square de l'Opéra, Paris.
- Spycket, Go, rue de Provence, Paris.
- Slandish, 3, rue de Bcllov, Paris.
- Stchoukine, 91, avenue de Wagram, Paris. Steinlen, G2, quai du Fossé, à Mulhouse ( A1 s a 0 0 - Lo r r a i n e ).
- Stéphen Ribes, iGG, blv. Haussmann, Paris. Slern (Alfred), 90, av. de Malakoif, Paris. Stcrn (Edgard), 20, avenue Montaigne, Paris. Slern (Jacques), 3o, av. Montaigne, Paris. Stern (Jean), 11, avenue d’Iéna, Paris. Slcrnbach, !\o, Wall Street, à New-York (Etats-Unis).
- Sterne, 13, av. du Bois-de-Boulogne, Paris. Stewart, 3G, rue Copernic, Paris.
- Stillman, 9 E, 72 nd Street, à New-York (Etats-Unis).
- Stoffel, 8, rue de la Michodièrc, Paris. Strakosch, 1, avenue Friedland, Paris. Slrasburgcr (Alvin-Louis), 128, West, 771b, Street, à New-York (Etats-Unis). Slrasburgcr (Mortiner), 3, avenue du Bois-de-Boulogne, Paris.
- Strozzi (Prince), Palazzo Strozzi, Florence (Italie).
- Suarès (Alfred), banqr, à Alexandrie (Egypte). Suarcs (Léon), banquier, Le Caire (Egypte). Subercaseaux, iG, rue Alfred-dc-Vigny, Paris. Surcouf, 33, boulevard Lannes, Paris. Surmont, 8, rue du Gcnéral-Foy, Paris. Surrault, 45, avenue de l’Alma, Paris. Sussmann, G4, av. de Malakoif, Paris. Suzannet (Vicomte de), 3q, r. Pierre-Charron. Paris.
- Suze (De), 2, rue Larribc, Paris.
- Symington, 5i, avenue Montaigne, Paris. Szarvady, 4, rue Théodule-Ribot, Paris. Tabouret-Puiforçat, 14-, rue Chapon, Paris. Talleyran-Périgord (Duc de Valençay), 57, rue Saint-Dominique, Paris.
- Talion, 2G, avenue Victor-Hugo, Paris.
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- Tampier, 18, parc de Montretout, à St-Gloud (Scine-cl-Oise).
- Tardivcau, 4, rue l’asquicr, Paris.
- Tarente ^Prince de), io4, avenue de Malakoff, Paris.
- Tarnowski (Comte), 21, rue Sludcncka, à Cracovic (Autriche).
- Tassart, G, rue Pierre-Charron, Paris.
- Tala (Ralan), 47, rue LafJittc, Paris.
- Tata (Rutlon-Darab), 47, rue Laffitte, Paris. Tatin, i/|, rue de la Folie-Rcgnault, Paris. Taubc (Baron de), 28, rue de Chazcllcs, Paris. Taupcnot, 5i, avenue Bugcaud, Paris.
- Taylor (Louis), à Marloltc (Seinc-ct-Marne). Tchamitch de Breleville, 87, av. de Wagram, Paris.
- Teissier, 200, boulevard Saint-Germain, Paris. Tcllicr (Alphonse), 10, rue Michel-Chasles, Paris.
- Tellier (Auguste), 52, quai de la Râpée,Paris. Temmerman (De), 9, rue Parrot, Paris. Tereslschenko, Kiew, Karavajevskaja 7, (Russie).
- Terry, 33, av. du Bois-dc-Boulognc, Paris. Tétart, 3o, rue La Boétie, Paris.
- Tcte, 8, rue Sainte-Anne, Paris.
- Thellier de Ponchcvillc (Comte), 110, avenue Kléber, Paris.
- Théotoky, hôtel Continental, Paris.
- Théry, i5/|, boulevard Ilaussmann, Paris. Thésé, 3/|, rue de Chaillot, Paris, ddieulier, i/j, rue Brunei, Paris.
- Thévin, 155, avenue de Malakolf, Paris. Thézillat (De), 7, rue Royale, Paris, ddiihault, 12G, boulevard Maillot, à Ncuilly (Seine).
- ddiiénot, 1, rue de la Clef, à Reims (Marne), d’hicrréc, 32, rue de Prony, Paris.
- Thirial, 1, rue de la Neva, Paris.
- Thivier, 119, rue de la Tour, Paris.
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- ddiomassa (De), 2 bis, r. de La Baume, Paris, ddiomine, G, rue Lafcrricre, Paris. d'Iiorn, villa St-André, à Pau, (Baoï-Pyrénées). ddiors, 5, rue Monlehanin, Paris.
- Thouroudc, 10, avenue Fourcaull-de-Pavanl, Versailles (Seine-el-Oisc). ddiozet, G5, rue de Miromesnil, Paris. Thurnaucr, 60, rue Pierre-Charron, Paris. Thurncyssen (Charles), châLeau du Puys, par Vouzon (Loir-et-Cher).
- Thurneysscn (Emile), 10, rue de d’ilsitt, Paris, d’illier, 5i, rue du Sahel, Paris.
- Tischbein, Continental Compagnie, à Hanovre (Allemagne).
- Tissandier, 17, avenue Victor-Hugo, Paris. t’Kint, 23, rue de Lubeck, Paris.
- Tonietti, 11, via Manzoni, à Florence (Italie). Torchon, 19, rue Pergolèse, Paris, d'ordo, 12, rue Jean-Baptiste-Dumas. Paris. Torre Bucno (De la), 138, rue de Coureellcs, Paris.
- Torrecilla (Marquis de la), i/|6, rue de l’Uni-versité, Paris.
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- Tovar (Marquis de), Monte Esquinza, 2, à Madrid (Espagne).
- Tracy (Comte de), 37, rue La Boétie, Paris.
- Tranchant de Luncl, boulevard du Mont-Boron, à Nice (Alpes-Maritimes), d’réleu, G7, rue do Passy, Paris.
- Trémoulière, 17, blv. Malesherbcs, Paris, d’rezza de Musella (Chevalier), 38, avenue Henri-Martin, Paris.
- Tripp, 54, rue Blanche, Paris, d’roncin, 13/(, boulevard Ilaussmann, Paris, d’rouettc (Edouard), 7, rue Boccador, Paris, d’rouette (Jean), 7, rue Boccador, Paris, d’rousselle, 55, rue de la Faisanderie, Paris, d’rucby, 212, rue do Rivoli, Paris. Trümpy-IIcer, 2, place de la Madeleine, Paris. T’Scrclaès (Prince de), G, rue Pierrc-Le-Grand, Paris.
- Turcat, i!\, rue St-Pierre, à Ncuilly (Seine). Tuck, 82, avenue des Champs-Elysées, Paris. Turckheirn (Baron Adrien de), 2, rue de la Forme, à Ncuilly (Seine).
- Turckheirn (Baron Frédéric de), i/|, avenue du Trocadéro, Paris.
- Turcnnc (Marquis de), 72, avenue Victor-Hugo, Paris.
- Turgan, 9G, rue Antonin-Rcynaud, à Lcvallois-Perrct (Seine).
- Turpault, à Cliolet (Maine-et-Loire).
- Umbrichl, 3o, rue Lemercier, Paris.
- I Ureola e Ybarra (De), Campo Volantin, à Bilbao (Espagne).
- Vacherie, 133, boulevard Ilaussmann, Paris. Vacquerel, 8G, boulev. Malesherbcs, Paris. Valdclagrana (Comte de), 2.5, paseo de la Cas-tcllana, à Madrid (Espagne).
- Valentin (Edmond), i/|, r. Margueritte, Paris. Valentin (Louis), i4, rue Margueritte, Paris. Vallc-Flor (Comte de), 92, av. des Champs-Elysées, Paris.
- Valude (Docteur), 9G, rue de l'Université, Paris.
- Van Brock, 3o, avenue Kléber, Paris.
- Van den Bcrghc, /|G, rue de Rome, Paris. Vanderbilt (W. K.), 10, rue Leroux, Paris. Vanderbilt Junior, Hôtel Ritz, à Paris.
- Van der Iloyden, 27, blv. d’Avray, à Liège. Vandcrheym, 4:?, rue du Général-Foy, Paris. Van Rood, 79, avenue de Villiers, Paris. Vanssay (Comte de), G, rue Roquépine, Paris. Van Wart, 34, boni. Maillot, à Neuilly (Seine). Vaquez, G3, boulev. des Balignolles, Paris. Varennes (René), !\o, avenue Flacliat, à Asnières (Seine).
- Vargas (De), Florin, 4, à Madrid (Espagne). Vauquelin, 3, rue de Saint-Simon, Paris. Vaux (Baron de), 226, rue de Rivoli, Pans. Veber, i4g, boulevard Pereirc, Paris. Védrine, 7, quai do Seine, «à Courbevoie (Seine).
- Veil Picard, 7G, avenue de Wagram, Paris. Verdet, 1 r, rue Victor-Hugo, à Avignon. Vcrdié, 7, rue Logelbach, Paris.
- Vermot, maire de Châtenois, à Chàtcnois (Territoire de Belfort).
- Vernes (Amédée), Gg, bd Malesherbcs, Paris. Vernes (Frédéric), 9, rue de Tliann, Paris. Vornois, 10, rue Freycinet, Paris.
- Vésian (De), 23, rue de Madrid, Paris. Vcysset, G, rue Anatole-de-la-Forgc, Paris. Viana (Marquis de), Duque de Rivas, 1, à Madrid.
- Vidal, 9, rue Volney, Paris.
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- A UTOMOlî 11. E -CLUI5
- DE FRANCE
- - 83<j
- VielVille (I)c), 20, rue Murillo, Paris.
- Vignat, villa des Ternes, 96, avenue des Ternes, Paris.
- Vigo, i3, rue de Mulhouse, Paris.
- Vilallonga (De), 10, av. duVcsinet, à Croissy (Seine-et-Oise).
- Ville, 3o, cours La Reine, Paris.
- Villclurne-Sonihrcuil (Comte Charles do), iG, av. Debasseux, à Versailles (Seine-et-Oise).
- Villelume-Sombreuil (Vicomte Jules de), 12.4 bis, avenue de Villiers, Paris.
- Villeroy (Henry de), 52, avenue de Sl-Cloud, à Versailles (Seine-et-Oise).
- Villeroy (Maurice de), 35, rue Jean-Goujon, Paris.
- Villcsboisnet (Comte de La), 31, rue Cambon, Paris.
- Villiers (Général A.), 2, av. Montaigne, Paris.
- Villiers (Georges de), !\, r. de Laborde, Paris.
- Vimonl, 158, rue de Rivoli, Paris.
- Vinatié, 9, rue All'red-de-Vigny, Paris.
- Vincens, 1, rue de T Amiral-Courbet, Paris.
- Vincent, 183, boulevard St-Germain, Paris.
- Vinel, Gi, r. de Villiers, à Neuilly-sur-Seine.
- Vitali (Comte), 7, rue de Tilsitt, Paris.
- Vivarez, 8, nie de la Victoire, Paris.
- Vlasto, io/|, avenue de Malakoll’, Paris.
- Vogüé (Comte Robert de), l\j, avenue d’Iéna, Paris.
- Voigt, 4, i'ue Berlioz, Paris.
- Vonwiller; i4, rue Pierre-Charron, Paris.
- Vuillemin, G, avenue Gambetta, St-Gcrmain-cn-Laye.
- Vuillemot (Raoul), 83, r. d’Amsterdam, Paris.
- Wainwright, 5, rue Scribe, Paris.
- Walckenacr (Charles), 218, blv. St-Germain, Paris.
- Walckor, rue de Normandie, à Asnières.
- Walford, 97, boul. Léopold, à Anvers (Belgique).
- Walker-Munro, à Rhincficld Brockcnhurst llampshirc (Angleterre).
- Wallace (Edmond), 10, rue Matignon, Paris.
- Wallace (Richard), 10, rue Matignon, Paris.
- Wallerstein, 7, av. de l’Alma, Paris.
- Wallut (André), 5, rue Auber, Paris.
- Wallut (Jacques), 210, rue de Rivoli, Paris.
- Walsh, à Washington D. C. (Etats-Unis).
- Wanamaker, 127, av. des Champs-Elysées, Paris.
- Ward (Herbert), 83, av. de Malakoff, Paris.
- Ward (Radc.liffe), ingénieur, Trafalgar Buildings, Northumberland avenue, London.
- Warden, ii4, av. des Champs-Elysées, Paris.
- Waren, Hôtel Ritz, place Vendôme, Paris.
- Wassermann (Docteur), 1, r. du Général-Foy, Paris.
- Watney, 20, Charles Street, Londres.
- Watson (Henry-Ross-Campbell), 5 th. avenue, à New-York.
- Watson (Walter), chez MM. Eugène Glaenzer et Cl0. 5, rue Scribe, Paris.
- Watteville (Baron de), 3, rue St-Georgcs, Paris.
- Wattinne, i5i, hiv. llaussmann, Paris.
- Weber, ig4, rue de Rivoli, Paris.
- Weil, 2, rue Pigalle, Paris.
- Weiller, 36, rue de la Bienfaisance, Paris.
- Weill-Goëtz, i4o, blv. llaussmann, Paris.
- Weiss, j5, rue de Courcelles, Paris.
- Wcisweiller (Edmond), 9, rue Magellan, Paris. Wciswciller (Edouard), 5, rue de Lisbonne, Paris.
- Wcisweiller (Léopold), 1, rue Nilot, Paris. Welch, Go, avenue Marceau, Paris. Wendelstadt, Cleverstrasse, 15, Cologne. Werlheim, 2, East G7 th Street, New-York. Whecler, 11, av. du Bois-de-Boulogne, Paris. Whiting, 42, av. Henri-Martin, Paris. Whitncy, 3o, av. des Champs-Elysées, Paris. Wiener, 9, place des Ternes, Paris.
- Willems, 80, rue Boissière, Paris.
- Williams (Frcd de la Fontaine), Rydes Ilill House Guildford (Angleterre).
- Wiltscc, Trinity Building, m, Boadway, à New-York.
- Winslow, 28, rue de Madrid, Paris.
- Wolber, à Vailly-sur-Aisne (Aisne).
- Wolff (Henry), 1, rue Legendre, Paris.
- Wollï (Jacob), 22, rue Cliaucbat Paris.
- Wolff (Louis-Albert), 120, avenue des Champs-Elysées, Paris.
- Wood Mc Murtry ^Docteur), 812, 5° avenue, à New-York.
- Woog (Charles), 44, rue Fran<;ois-Pr, Paris. Woog (Raymond), 202, r. de Courcelles, Paris. Worms (Lucien), 22, av. de la Grande-Armce, Paris.
- Worms de Romilly (Adolphe), 18, rue Sponlini, Paris.
- Worms de Romilly (Edouard), 12, r. Lalo,Paris. Worms de Romilly (Paul), 7, r. de Balzac, Paris. Wulffen (Baron), Hôtel Bcau-SiLe, 4, rue de Prcsbourg, Paris.
- Wyse-Bonaparte (Lucien-Napoléon), io3, r. La Boétie, Paris.
- Xifrc, 5j, rue de Châleaudun, Paris.
- Yberty, Royat-les-Bains (Puy-de-Dôme). Youngcr (Docteur), 4i, boulev. des Capucines, Paiis.
- Yturbc (De), iG, place des Etats-Unis, Paris. Yule (Robert), Braeside Fountain Road. Dul-wicli Wood Park, Londres.
- Yvart, 9, rue Vignon, Paris.
- Yvcr, 2/,8, rue de Rivoli, Paris.
- Zadoks de Mœrkcrk, 4g, rue Cambon, Paris. Zariii, 20, allées des Capucines, à Marseille. Zens, 3, rue La Boétie, Paris.
- Zier, 67, boulevard de Clichy, Paris.
- Zogheb (Comte de), 5, rue Alboni, Paris. Zuylen de Nyevelt (Baron de), 70, avenue du Bois-de-Boulogne, Paris.
- Zwillcr, 3, villa Mcquillet, à Neuilly-sur-Seine.
- M KM DUES EN CONGE
- Aleixeiff (Contre-amiral), Russie.
- Allen, 63, Wall Street, New-York.
- Antelme, à Port-Louis, île Maurice.
- Baillie Weaver, 11, stone Buildings, Londres. Barba, i4, eue de Milan, Paris.
- Renier (Capitaine de vaisseau), embarqué. Benoit du Martourel (Docteur), 10, rue Nouvelle, Paris.
- Bertemati (Marquis de), à Jerez de la Frontcra (Espagne).
- Bezançon, avenue Emilie, à Montmorency (Seine-et-Oise).
- Bocage (Colonel du), 10, rue Saint-Philippe-du-Roule, Paris.
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- Ali'I'OM0151] E-CEt'IÎ
- — 8/( o
- DE EDANEE
- Bosehan (Do), i, Kantgasse, 3, à Vienne (Autriche).
- Camproger, Hôtel de Vendôme, à Sainl-Gcr-main-en-Laye (Seine-ot-Oise).
- Carliartt junior, 843, Jell’erson avenue, Détroit Michigan (Etats-Unis).
- Carie, a, Hogarth Mansions, 29, Langham Street, Londres.
- Carolus-Duran, 11, passage Stanislas, Paris.
- Gauldwell, Century-Olub, à .New-York (Etats-Unis.
- Chain, château do la Dorée, Esvres-sur-Indre (Indre-et-Loire).
- Champl'eu (Comte de), à Cherbourg (Finistère).
- Cliazal(De), île Maurice.
- Chouët (Capitaine), (j, ([liai des Etroits, à Lyon.
- Clorcq (Comte de), Lenylea llelenshurg N. B. (Ecosse).
- Colïinières de Nordeck (Capitaine de l'régate), embarqué.
- Colin (Capitaine de frégate), à Toulon.
- Combe (Vicomte de la), villa Uomano, Biarritz.
- Communal, à Hermonville (Marne).
- Cordier (Capitaine de vaisseau), embarqué.
- Coster, 4 20, West 116 th Street, New-York (Etats-Unis).
- Crawl’ord, 9 et 10, Manilla Road, à Clifton, par Bristol (Angleterre).
- Crozier, à Copenhague (Danemark).
- Dauprat, au Brcuil, par Chambourg (Indre-et-Loire).
- David, Mollet del Vallès, à Barcelone.
- Davis, Raleigh-Club, à Londres.
- Dollar (Capitaine de frégate).
- Dolin, villa du Lido, route de Fréjus, à Cannes.
- Delort, au Venezuela.
- Depoin, Duché do Luxembourg.
- Derricn, château du Coadigou, [>ar Loctudy (Finistère).
- Drouillard, villa Sabine, chemin de Valrose, à Nice.
- Dubosq, à Hanoï (Tonkin).
- Dumba, à Belgrade (Autriche-Hongrie).
- Dtipray, à Chantilly (Oise).
- Duval, 158, rue Pellerin, à Saigon.
- Emmanuel, 5(i, avenue Victor-Hugo, Paris.
- Escandon (Pahlo de), à Mexico.
- Escandon y Arango (Manuel de), 5^, avenue Kléber, Paris.
- Ewing, Hanover square, Londres, E. C.
- Failly (Comte de), 92, rue de la Faisanderie, Paris.
- Faverot de Kerbrech (Baron), 63, avenue Kléber, Paris.
- Fleury (Baron), 4, rue Itanium, Tunis.
- Foot, Moua lieuse Surbiton (Angleterre).
- Fournier, 6, Grande Morskaïa, à Saint-Pétersbourg (Russie).
- l'raysseix (Marquis de), à Toulon.
- Frégeolière (Comte de La), lieutenant de de vaisseau en retraite.
- Gaillard, 6, rue de Castcllane, Paris.
- Gallini, à Cherbourg (Manche).
- Gardon, Grand-Hôtel, Leysin (Suisse).
- Gastine, r. Legris, â Rouen (Seine-Inférieure).
- Gaudet, avenue de la Vigie, Cabbé-Roque-brune (Alpes-Maritimes).
- Gewitsch, 6, rue Boecador, Paris.
- Gourgas (Capitaine), en retraite.
- ürandlaunay (Du), â Angers (Maine-et-Loire).
- Groult, 10, rue de la Herse, à Douai (Nord). Guébel (Docteur), 21, place de la Madeleine, Paris.
- Guerne (Comte de), 21, rue Ioukowski, â Saint-Pétersbourg [Russie), llarent, 4-7, rue de la Victoire, Paris. Hautefeuillo (Capitaine), 9, r. Vintimille, Paris. Herzog, East, 56 th Street, New-York
- (Etats-Unis).
- Iloudetot (Comte de), à Foix (Ariège).
- Houcttc (Capitaine de frégate), embarqué.
- % rvoix, à la Guadeloupe.
- dousselin (De), \i, rue David, â Reims (Marne).
- Kennard, llans place, Londres.
- Koch (Francis), 18, Grande Moskaïa, à Saint-Pétersbourg.
- Koch (William), 22, Lennos Gardons, Londres,
- S. W.
- Koechlin, à Bénodet (Finistère).
- La Barge de Certcau (Vicomte de).
- Le Barbier de Blignières, à Madrid.
- Lechcvrel (Lieutenant-colonel), Tarbes (Haute-Garonne).
- Lefcuvre, 10, rue Paul-Lelong, Paris. Léon-Renaud, à Chanivas, canton de Vaud (Suisse).
- Lepetit, à Poitiers (Vienne).
- Lirnantour, 7, rue Rembrandt, Paris.
- Lolincr, IX-Porzellangasse, 2, à Vienne (Autriche).
- Luiggi de Chastillon, 18, rue Matignon, Paris. Mailluchet, 44, avenue Montaigne, Paris. Malliary, i35, boulevard du Nord, à Bruxelles. Mandl, 144> av- des Champs-Elysées, Paris. Mantegazza, 112, via del Pozctti, à Rome. Manvillc-Bianchi (Marquis de), 6, rue Monsieur, Paris.
- Martin (Jean-Baptiste), 4, rue Gluck, Paris. Marlin-Zédé (Henri), 48, rue Boissière, Paris. Mata (De la), aleala ^3, duplieado, à Madrid. Maupcou (Comte de), château de Lindthout-Elterbeck (Bruxelles).
- Melchior, ca[)itaine de vaisseau.
- Mercié, lieutenant de vaisseau.
- Mercier, â Lausanne (Suisse).
- Meunier (Général), à Rizerie (Tunisie).
- Miron de Lespinay, lieutenant de vaisseau. Moreau, 72, rue de La Tour, Paris.
- Mourgue de Croix-Haute, â Saint-IIippolyle-du-F’ort (Gard).
- Nilolf (Amiral), ^3, Galernaia, à Saint-Pétersbourg.
- O’Connell (Comte), Angleterre, l’ailhès, capitaine de vaisseau.
- Pallu de la Barrière (Baron), 5, Neckarstrasse, à Stuttgart (Wurtemberg).
- Parent, château de Vergers, par Sully-la-Tour (Nièvre).
- Parodi, 62, rue Michelet , à Alger. Pell-llaggerty, 7, Wall Street (New-York. Poizat, à Lux (Saône-et-Loire), l’oret (Vicomte de), à Toulon.
- Pougin de la Maisonneuve (Contre-amiral), embarqué.
- Poussard, 78, rue de Monceau, Paris.
- Pradère (Comte de), 224, rue de Rivoli, Paris. Quénardcl, à Mascara (Algérie).
- Raha, château d’Ivan, Soprom-Ivan (Hongrie). Raindre, au Luxembourg, Paris.
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- AUTOMOBILE CLUB DE KHANCE
- A. (I. A
- - 841 —
- Rlieims (Charley), i/|, rue de la Faisanderie, Paris.
- Rlieims (Gaston), 160, 5 tli avenue, à New-York.
- Robin-Herzog, à Lpgolbach, près Colmar.
- Roquefeuil (Marquis de), 34, boulevard des Invalides, Paris.
- Rosenfeld, 16, rue Christophe-Colomb, Paris.
- Roux, ministère de la Marine, Paris.
- Rozet, 9, rue Aumont-Thiéville, Paris.
- Ruspoli (Prince de), ambassade d'Italie, Londres.
- Salvert-Bellenave (Marquis de), à Toulon.
- Schefftcr (Lieutenant), à Sfax (Tunisie).
- Schlumberger, i, avenue Friedland, Paris.
- Schneider, 4(J, boul. Gouvion-Saint-Cyr, Paris.
- Schwiter (Baron de), château de Schwertberg (Autriche).
- Servant (Lieutenant de vaisseau), embarqué.
- Sesto (Duc de), i, Grosvenor Gardons, Londres, S. W.
- Souza-Fcrreira (De), 30, rue du Général-Fov, Paris.
- Spoelberch (Vicomte de), 50, rue Belliard (Bruxelles).
- Strangmann, 9,' Clydesdale Road Nolting Ilill, London W.
- Strauss, 1, avenue Marceau, Paris.
- Suisse (Lieutenant de vaisseau), embarqué.
- Superville, 3^, boulevard Bcrthicr, Paris.
- Tenting, iS3, route de Lavalettc, à Toulon.
- Tilly, llaywards Ilent, à Sussex (Angleterre).
- Türr (Etienne), Grand llôlel du Quirinal, à Rome.
- Türr (Raoul), ion, av. Ilenri-Martin, Paris.
- Vallois, 09, Bclsize Park Gardons Hamsptead (Angleterre).
- Yédia y Morales, 182, rue du Faubourg-Saint-IIonoré, Paris.
- Yercclli-Ranzi (Vicomte de), château Djenan Ali Raïs, par El Biar (Alger).
- Verdct, g5, rue de Coureelles, Paris.
- Vermeulen (Docteur), Chaleh Zaki, G,. Le Caire (Egypte).
- Villalobar (Marquis de), 10, rue Paul-Baudry# Paris.
- Vibré, 9, avenue de l'Opéra, Paris.
- Walcy, 3a, rue Spontini, Paris.
- Wombwell, Cavalry Dépôt, à Canterbury (Angleterre).
- Woodward, Univcrsity-Club, à New-York.
- Wrangel (Comte), à Bruxelles.
- Nantho, 2/1, boulevard Dubouchage, à Nice (ALpes-Maritimes).
- Young, 234, South Clark Street, à Chicago.
- ASSOCIATION GENERALE AUTOMOBILE
- fondée sous le patronage de VAutomobile Club de France.
- société n ' 12 n co u h a ( ; 1 : m e n t
- POUR LE DÉVELOPPEMENT 1)E i/lNDUSTRIE AUTOMOBILE EN l'RANCE
- 8, place de la Concorde, Paris.
- Tél. i3G-/|3.
- CONSEIL D’ADMINISTRATION
- Présidents d'honneur : MM. Michel-Lévy, membre de l'Institut, inspecteur général des Mines ; le marquis de Dion.
- Président Fondateur : M. le baron de Zuylen, président de F Automobile-Club de France. Président : M. Martin du Gard.
- Vice-présidents : MM. le marquis de Cbasse-loup-Laubat, Rives.
- Secrétaire général : M. Chaix (Edmond). Trésorier : M. André Lchideux-Verniinmcn. Secrétaires : MM. le prince d'Arenberg. Berge (René); le comte de La Valette; Richard (F.-M.); Thévin (Fernand).
- MEMBRES DU CONSEIL
- MM. Ballif (Abel); Dumontpallicr (Louis). Famechon (Georges), Gaillarde! (Frédéric), Chevalier de KnyfV (R.), Menier (Henri), Michelin (André), Muller (Edouard) ; Que-renet (René), comte Rocopé, de Rollepot (Alfred), comte Robert de Vogué.
- STATUTS
- But de VAssociation.
- Article premier. — Il est formé à Paris, sous le nom d'Association Générale Automobile, une association qui a pour but de seconder F Automobile Club de France et la Société d'Encouragcmcnt pour le développement de l'industrie automobile en France, en favorisant les progrès et l'extension des industries se rattachant à l'automobilisme, en vulgarisant les idées et les connaissances spéciales relatives à la locomotion mécanique, en étudiant et en poursuivant la réalisation de toutes les mesures utiles d'ordre technique, administratif, législatif, contentieux et économique, et en groupant pour la défense de leurs intérêts communs tous ceux qui construisent, vendent et possèdent des véhicules automobiles, ainsi que tous ceux qui s’intéressent à la traction mécanique.
- Art. 2. — L'Association se propose de : Collaborer aux manifestations organisées par F Automobile Club de France et la Société d'Encouragemcnt.
- Tenir des réunions où les membres pourront exposer et discuter leurs idées sur toutes les questions de construction, d'emploi, de circulation et de transport des voitures automobiles.
- Constituer une bibliothèque composée d’ouvrages français et étrangers, de cartes, do
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- A. G. A.
- — 842 —
- CHAMBRE SYNDICALE
- plans, de publications, de marques et de documents spéciaux, notamment les collections des brevets d'invention français et étran-
- Organiser des eoniereiiees ou pourront être admises des personnes étrangères à l’Association, instituer des promenades-conférences dans les diverses expositions industrielles.
- Publier un bulletin périodique.
- Publier ou subventionner des guides, livrets ou agendas renfermant tous renseignements utiles; décerner, sous forme d'objets d'art, de médailles, de prix en espèces ou de diplômes, des récompenses aux personnes ipii auront rendu service à l'automobilisme en général ou qui se seront distinguées dans les diverses manifestations publiques de l’Association. Désigner des délégués en France et des correspondants à l'étranger.
- Patronner des hôtels, garages, ateliers, qui recevront son panonceau et où scs membres jouiront d'avantages spéciaux et de facilités particulières pour eux, leurs véhicules, leurs approvisionnements ou leurs réparations. Créer des dépôts d'essence, d’alcool, ainsi <pie des stations de. charges électriques ou aider à leurs créations. Poursuivre, par tous les moyens possibles, 1 amélioration des routes et chemins de France.
- Hic (je de V Association,
- Art,. 3. — Le siège de l'Association est établi 8, place de la Concorde, à Paris.
- Adtnissioiis. — Cotisations.
- Aivt. 5. — Pour être membre sociétairey il faut :
- i° Etre présenté par deux membres de l’Association et être agréé par le Comité après publication du nom du candidat dans le bulletin périodique.
- 2° Adresser le montant de la cotisation prévue à l'article ii, avec la demande d'admission.
- 11 est statué sur l'admission au scrutin secret; une voix contraire sur trois lait ajourner le candidat.
- Tout candidat ajourné ne peut se présenter qu'après un délai de trois mois.
- Les femmes peuvent être admises comme sociétaires, mais ne peuvent faire partie ni des commissions, ni du Comité, ni du Conseil d’administration.
- Les mineurs ne peuvent faire partie de l’Association que sur la demande écrite de leur représentant légal.
- Nul ne peut être membre de l'Association s'il a été privé de ses droits civils et politiques
- Les membres de l'Automobile Club de France et les membres des clubs qui lui sont affiliés sont exempts des formalités de présentation. Il leur suffit d'envoyer leur adhésion et leur souscription.
- Aivr. G. — La cotisation annuelle est fixée à 20 francs. Elle peut être rachetée par le versement d'un capital de 200 francs.
- Les Hauts Protecteurs et les Membres d’honneur sont exempts de toute cotisation.
- Les membres de l’Automobile-Club de Francc et des clubs affiliés, français ou étrangers, ne verseront qu'une cotisation de iO francs par an.
- Les membres du Touring-Club de France, de la Chambre syndicale de l’Automobile, delà Chambre syndicale du Cycle et de l’Automobile et du Syndicat des Fabricants de Cycles, qui auront été admis membres de l’Association Générale Automobile, paieront une cotisation de io francs.
- Fédération
- des
- AUTOMOBILE-CLUBS RÉGIONAUX DE FRANCE
- S, place de la Concorde, Paris.
- Président: M. le prince d’Arenbcrg, préside TA. C. du Centre.
- Vice-présidents : MM. IL Franchomme, président de l’A.C. du Nord de la France; Pcr-rigot, président de FA. C. Vosgien.
- Secrétaire-Général: M. Mirand-Devos, président du Club Automobile de Seine-ct-Oise.
- Trésorier : M. le Vicomte de Montai, vice-président de l’A. C. du Rhône.
- Assesseurs : MM. A. Gérard, président de l’A. C. Ardennais; le Vicomte de Montai, vice-président de FA. C. du Rhône; R. du Saussay, président de l'A. G. de Touraine.
- CHAMBRE SYNDICALE DE L’AUTOMOBILE ET DES INDUSTRIES QUI S’Y RATTACHENT
- 6\ Place de la Concorde, Paris.
- 11LREAU I QOG- I 90™
- President d'honneur : M. F.-M. Richard.
- Président : M. A. de Dion.
- Vice-présidents : MM. A. Peugeot, E. Mors.
- Secrétaire général : M. Bocandé.
- Trésorier : L. Desmarais.
- Secrétaire archiviste : G. Gobron.
- MlSMim.ES
- MM.
- Agnus, allumage . électrique C. IL, 3a, rue Renncquin, Paris.
- Alberti (Léopold) , fabricant de caoutchouc souple et durci (ébonite), 12, rue d'Enghien, Paris.
- Alibert, maison Alibert et Cie, accumulateurs électriques A. C. S., 92, rue Richelieu, Paris.
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-
-
-
- ( :11AM B1 UC SYNDICALE
- — 8/j 3
- DE l’aUTOMOISII E
- Arnaud (Gabriel), concessionnaire général des Automobiles Palain, 8, villa d'Orléans, 54, avenue de Neuilly, Neuilly-sur-Seine.
- Amoudruz (A), constructeur de pièces détachées et représentation, 24, rue d'Armaillé, Paris.
- Antoine (Maison Besnard, Maris et Antoine), fabricants de phares, Go, boulevard Beaumarchais, Paris.
- Arbel (Pierre), admin.-délégué des Forges de Douai, 52, boulevard Haussmann, Paris.
- Arquembourg (II.), (Maison Jules Grouvelle, H. Arquembourg et Ci0), 71, rue du Moulin-Vert, Paris.
- Audin, constructeur (radiateurs), 238, boulevard Voltaire, Paris.
- Auscher (L.), ingénieur (Carrosserie Rheims-Auscher), 131, avenue MalakofT, Paris.
- Ballereau (E.), directeur de la Société d'électricité (( Nilmélior », /j7, rue Lacordaire, Paris.
- Barbou, accessoires pour autos, 52, rue Montmartre, Paris.
- Bardou (L.), ingénieur-électricien, Gi. boulevard National, Clieliy (Seine).
- Barré (G.), constructeur, avenue de la République, à Niort.
- Baril, (Eugène), ingénieurE. C. P., de la maison Barit et Radenne' (Ingénieurs E. C. P. et A. etM.), constructeurs de châssis automobiles, 3, rue des Jardins-Caulier, Lille (Nord).
- Bary (Paul), ingénieur-conseil, 1, avenue Pe-terhof, Paris.
- Bauchet (Henry), constructeur d'automobiles, à Rctliel (Ardennes).
- Baudier (C.), ancien élève de l'Ecole Polytechnique , ingénieur-constructeur ( tôlerie et chaudronnerie pour automobiles), 32, rue Baudin, Levallois-Perret.
- Baux, administrateur délégué de la Société des Accumulateurs Tudor, 81, rue Saint-Lazare, Paris.
- Beauvois (F.) (Société Torrilhon et G'0), 10, rue du Faubourg-Poissonnière, Paris.
- Benêt (L.-V.), administrateur-délégué de la Société des anciens Et ablissements Ilotchkiss et Ci0, 21, rue Royale, Paris.
- Berger (Maurice), administrateur-délégué de la Société du Garage du Bois-de-Boulogne, 19, rue Duret, Paris.
- Bergougnan (Mathieu), fabricant de pneumatiques, 9, rue Villarct-de-Joyeusc, Paris.
- Berliet (M.), ingén,-constructeur, 12, chemin des Quatre-Maisons, à Lyon-Monplaisir.
- Bosse (Louis), fabricant de machines-outils, 39-/11, rue de Lappc, Paris.
- Billy, lanternes et phares, i3, rue d’Artois, Paris.
- Blériot (L.), fabricant de phares et lanternes, 12 et i/j, rue Henry-Chevreau, Paris.
- Blin, directeur de la Société Anonyme des Etablissements Malicet et, Blin, 100, avenue de la République, Aubcrvilliers (Seine).
- Bocandé, constructeur (Société Gillet, Forcst, Bocandé et Cip), 23, quai du Président-Carnot, Saint-Cloud.
- Boiron, mécanicien-électricien, 32, rue de Tilsitt, Paris.
- Boissée (Maison Thiercelin et Boissée), l\o, rue Laugier, Paris.
- Roland (A.), fabricant de pneumatiques, 52,. quai Michelet, Levallois-Perret (Seine).
- Bollée (Léon), constructeur, 120, avenue de Paris, Le Mans.
- Borderel (Jean), constructeur, 335, rue de Clignancourt, Paris.
- Botiaux, ingénieur, 20, rue Greffulhc, Lcval-lois-Pcrret (Seine).
- Boulanger, directeur de l'Elcctro-Industrielle, G/f, avenue Parmentier, Paris.
- Boyer (Noé), Maison Prunel, 4, rue de Paris, Puteaux.
- Brasier, directeur technique de la Société de construction d’automobiles “ le Trèfle à Quatre Feuilles ”, 3G, rue Molitor, Paris.
- Buchillet, pneu cuir Vulcan, 20, rue Brunei, Paris.
- Galien (Emile), ingénieur-conseil de la Compagnie générale des Voilures à Paris, 7, avenue Nicl, Paris.
- Capitan (A.), attaché à la Maison Chouanard (Forges de Vulcain), 44, rue St-Sébastien, Paris.
- Caplain-Bcrger (Société Caplain-Bergcr etCio), aciers, 8G, quai Jcmmapes, Paris.
- Cardinet, constructeur de roues, 2/1, rue Fran-çois-Bonvin, Paris.
- Chaboche (E ), ingénieur-constructeur, 33, rue Rodier, Paris.
- Chapelle (Ch.), directeur du Comptoir Général de la Macerienne, 58, boulevard Richard-Lenoir, Paris.
- Charron, constructeur, 45 , avenue de la Grande-Armée, Paris.
- Chouanard (E.), ingénieur-constructeur (Aux Forges de Vulcain), 3, rue St-Denis, Paris.
- Clément (G.-A ), constructeur, quai Michelet, Levallois-Perret (Seine).
- Glèvcs (Maurice de), accessoires, 23, avenue du Roule, Neuilly-sur-Seine.
- Cohendet (A.), ingénieur-constructeur (Société A. Cohendet et CiR). 1GG, quai Jemmapcs, Paris.
- Comiot (C.), pièces détachées, 87, boulevard Gouvion-Saint-Gyr, Paris.
- Contai (Camille), ingénieur-constructeur, voitures électriques et accumulateurs “ Elec-tricia ”, 1, rue Gravcl, Lcvallois (Seine)
- Corbin (M.), fondeur d'aluminium, route Nationale, Noisy-le-Sec (Seine).
- Corlin (Georges), administrateur-délégué de F Auto-Palace, 77 bis, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- Cormier (G.), directeur de l’“ Auto-Agence ”, 31, rue d’Anjou, Paris.
- Cosset (Marcel), cycles et automobiles, 12, rue Demarquay, Paris.
- Cothias, administrateur de la Société Anonyme des Alliages Cothias, 9, rue Victor-Hugo, à lvry-Porl (Seine).
- Cottenet, carrossier, 3i, rue du Colisée, Paris.
- Coucsnon (A.), fabricant de cornes d’automobiles, 94, rue d’Angoulème, Paris.
- Couturier (Société Parisienne des Cycles et Automobiles), 10, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- Crct (II.) (Société Boyrivcn et Cret), fournitures pour carrosseries, 11G, rue Lafayette, Paris.
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- CHAMlilu: SYNDICALE
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- DE L ACIOMOHILE
- Crépel-IIardy, maître fondeur, à Nouzon (Ardennes).
- Cuénod (Julien), administrateur-délégué de la Société de construction d’Automobiles « Le Trèfle à Quatre Feuilles », 23 avenue de la Grande-Armée, Paris.
- Cury fils (Jules), fonderies de fer et d’acier coulé, et fonte malléable, Deville (Ardennes).
- Debard, fondeur en cuivre, 89, rue Oberkampf. Paris.
- Degcorge, directeur de la Société des Automobiles Radia, 12, rue Barbes, Levallois-Perrct (Seine).
- Delage, maison Delage et G1”, constructeurs de voiturettes et voitures légères, 102, rue Baudin, Lcvallois-Perrel.
- Dclaugèrc (Félix), Maison E. et F. Delaugère et Clayet te, constructeurs, 16, faubourg Madeleine, à Orléans (Loiret).
- Delaunay-Belleville, Usines de l’IIermitage, Saint-Denis.
- Denis (E.), constructeur d’automobiles (Brevets Denis et J. de Boisse), G2, rue de Yilliers, Levallois.
- Desmarais (Léon! (Société Desmarais et Mo-rane) (Aut. Dtlahaye), 10, rue du Banquier, Paris.
- Desmarais (Paul) (Maison Desmarais frères), raffineurs de pétrole et essence, /|2, rue des Matlmrins, Paris.
- Dewahl, constructeur, 10, rue du Débarcadère, Paris.
- Diligeon (E.). ingénieur, route de Limoges, à Montluçon (Allier).
- Dinin (Alfred), accumulateurs et voitures électriques, 2, quai National, Puteaux,
- Dion (Marquis A. de) (Société de Dion, Bouton et Cl0), /)(’>, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- Dorian, constructeur, 11/4, boulevard de Belle-ville, Paris.
- Dreyfus (Jules), directeur commercial de la Société Electro-Métallurgique de Frogcs (Isère), 3o, rue du Rocher, Paris.
- Dubrulle (Louis), appareils de graissage, •28 bis, rue Villeneuve, à Clichy (Seine).
- Dueasso (Albert), administrateur-délégué de la Société Anonyme des automobiles Moto-bloc, 102, rue des Vivants, Bordeaux-La Bastide,
- Durasse (IL), ingénieur des Mines, t\, boule-levard Malosherbes, Paris.
- Ducellier (G.), manufacture de lanternes et phares, 25, passage Dubail, Paris.
- Dulicux (Henri) (Maison Henri Dulieux et G1”), négociants en automobiles, 38, place du Théâtre, Lille (Nord).
- Echalié, directeur de la Société Anonyme du Gaoutchoue manufacturé Gontinental, 18, rue Brunei, Paris.
- Ernault, constructeur-mécanicien, 169, rue d’Alésia, Paris.
- Eselnvege (Paul), administrateur-délégué de la Société Anonyme d’Automobiles et de Traction (Bardon), 1, quai National, Puteaux (Seine).
- Establie (Louis), chaudronnerie et tôlerie, 11 et 13, quai Valmy, Paris.
- Falconnet (Société Falconnet, Pérodeaud et Clc). 1^9, rue de la Pompe, Paris.
- Fallût (R.), administrateur - délégué de la Société des Automobiles Peugeot, 18G, avenue Victor-Hugo, Paris.
- Farcot (J.-Ambroise), directeur des usines Buchet, 49, rue Grell’ulhe, à Levallois-Pcrret (Seine).
- Farkas, automobiles Porthos, 12, rue du Dôme, Billancourt.
- Fenaillc (Maison Fenaille 04 Despeaux), raf’li-neurs de pétrole, 11, rue du Gonservatoire, Paris.
- Fenton, administrateur de la Compagnie française des Cycles Clément et Gladiator, 7G, Grande-Rue, Pré-Sain t-t 1er vais.
- Ferrandon (Jacques), automobiles et accessoires, 5(), rue Saint-Lazare, Paris.
- Feutrel (Alfred), représentant des maisons Ycrmot et Arbcl, 82, rue de l’Aqueduc, Paris.
- Fouillaron (G.), constructeur, 54, rue de Vil-liers, Levallois-Perret (Seine).
- Fouilloud, fabricant d’appareils à souder et à braser, 87, rue de la Roquette, Paris.
- Fournier (Henry), administrateur-directeur de la Société Paris-Automobile, 48 et 5o, rue d’Anjou, Paris.
- Fresnay (Henry de la), négociant en automobiles, représentant de la maison Rocliet-Sclineider, Ltd, i5, rue du Débarcadère, Paris.
- Gailly (Société Gailly frères), fondeurs, à Charleville (Ardennes).
- Gaulreau (L.), ingénieur-directeur des ateliers Gautreau frères, Dourdan (Seine-et-Oise).
- Girardot, constructeur, 43, avenue de la Grande Armée, Paris.
- Giron, cycles et automobiles Ilallot, 38, rue Vaneau, Paris.
- Glaenzer, roulements à billes D. W. F., 35, boulevard de Strasbourg, Paris.
- Gobron (Société Gobron et Brillié), i3, quai de Boulogne, Boulogne-sur-Seine.
- Goll’art (A.), ingénieur (Société Brouhot et Clc), Vierzon (Cher).
- Gossé (A.), directeur général de la Société nouvelle des Etablissements Decauville aîné, à Corbeil (Seine-ct-üise).
- Grégoire (Pierre-J.), constructeur, 55, boulevard Devaux, à Poissy (Seine-et-Oise).
- Grouvellc (Jules) (Maison Jules Grouvclle, II. Arqucmbourg et Ciü), j 1, rue du Moulin-Vert, Paris.
- Grus (Georges) (G. Grus, L. Cabarrus et C'“), 9, boulevard Malesherbes, Paris.
- Guenet, fabricant de bobines d’allumage, 5, rue Montmorency, Paris.
- Guibert (J.) (Grand Garage Notre-Dame), 10 et 20, rue du Cloître-Notre-Dame, Paris.
- Guslin (Jules) fils aîné, fondeur-constructeur, Deville (Ardennes).
- Guyon (A.) (Grand Garage Notre-Dame), 10 et 20, rue du Cloître-Notre-Dame, Paris.
- Guyonnet (Société de Diétrich), 156, boulevard Malesherbes, Paris.
- Ilallam de Nittis (Georges), ingénieur E.C.P., associé-gérant de la Manufacture générale de Caoutchouc L. Edeline, 43, quai National, Puteaux (Seine).
- Halphen, accumulateurs, 32, rue Pierrot, Neuilly-sur-Seine.
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- CHAMBRE SYNDICALE
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- DE L AUTOMOBILE
- Ilannoyer (Léon), ingénieur-constructeur, 3g, rue Fouquet, à Levallois.
- Ilannoyer iils (Georges-Henri), ingénieur de la Maison L. Ilannoyer, 39, rue Fouquet, Levallois-Perret (Seine).
- Hay (C10 Française de Matériel de chemins de 1er), 5j, rue Nationale, lvry-Port (Seine).
- Heinz, ingénieur-électricien, fabricant d’accumulateurs électriques, 27, rue Gavé, Levallois-Perret (Seine).
- Ilenriod (G.-B.), constructeur, n~, avenue du Roule, Neuilly-sur-Seine.
- Henry (R.), appareils de graissage, 117, boulevard de la Villctte, Paris.
- Herdtlé (H.) (Maison llerdtlé et Bruncau), motocyclettes et accumulateurs, 38 (iis, rue de la Chine, Paris.
- llugot (Adolphe), directeur de la Société Anonyme des Aciéries et Forges de Firminy (Loire).
- Huillicr (Georges) (Société des automobiles Mors), 83, avenue Malakoff, Paris.
- lluret, carrossier (Maison 1 furet et Max-Richard), 24, avenue des Ghamps-Elysées, Paris.
- hing (Charles), directeur des usines de caoutchouc et câbles de la Société Industrielle des Téléphones, 2.5, rue du Quatre-Sep-tembre, Paris.
- Jacquier (Léon), Garage Central, 4, rue Buf-l'ault, Paris.
- .leantaud (Ch.), carrossier, 51, rue de P011-thieu, Paris.
- .lorct (Léon-Jean), maison Jules Grouvellc, 11. An|ucmbourg et Gi0, ji, rue du Moulin-Vert, Paris.
- Kapferer (Marcel) (Maison les Fils de Dcutsch), 5o, rue de Ghàteaudun, Paris.
- Koim, directeur de la Société pour le Travail électrique des Métaux, 4> quai de Seine, Saint-Ouen (Seine).
- Kcllner (Georges), carrossier (Kcllner et ses Fils), 12.5, avenue Malakoff, Paris.
- Kcllner (Paul), carrossier, 125, avenue Malabo 1T, Paris.
- Kicller, administrateur délégué de la Société des Automobiles Porthos, 12, rue du Dôme, Billancourt.
- Kopp, SociéLé électrique Hydra, Go, boulevard de Clichy, Paris.
- Krebs, directeur de la Société des Anciens Etablissements Panhard et Levassor, ig, avenue d'ivry, Paris.
- Kriégcr (L.) (Compagnie Parisienne des Voitures électriques, procédé Kriégcr), 16, rue > Volta, à Puteaux (Seine).
- Labourdettc, carrossier, 35, av. des Champs-Elysées, Paris.
- Lacoste (J.), constructeur-électricien, 28, boulevard do Strasbourg, Paris.
- Laîné (Félix), publiciste, président du Syndicat général des Agents de Cycles et d’Au-tomobiles, 9, rue Bufl’ault, Paris.
- Lamplugh, carrossier, 24, rue GrcHulho, Levallois (Seine).
- Latil (Georges), avant-trains Latil, 9, rue Neuve-de-Villiers, Levallois-Perret.
- La Valette (Comte H. de), ingénieur-constructeur, G, place de la Madeleine, Paris.
- Lavezzari, administrateur delà Société “Aigle”, i4, rue Félicien-David, Paris.
- Lefebvre (A.) Iils, fabricant d’appareils de graissage, 5, rue Délierai, Pré-Saint-Ger-vais (Seine).
- Lefebvre (Léon), constructeur, 87, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- Le Las, directeur général de la Compagnie des Magnétos Simms-Bosch, Ltd, 22 et 24, rue Violet, Paris.
- Lemoine (L.), constructeur, 21, rue de Lappe, Paris.
- Léniau (A.) (Compagnie Française des Voitures Electromobilcs ), 491 rue Cardinct, Paris.
- Leprèlre, chimiste, 10, rue Barbés, à Montrouge (Seine),
- Leredde (G.) (Maison Vï0 Duraut et Leredde), maîtres fondeurs, à Vrigne-aux-Bois (Ardennes).
- Loisel (Georges), négociant en automobiles, jj, rue Monsigny, Paris.
- Longucmarc (G.), constructeur (carburateurs), 12 cl 14, rue du Buisson-St-Louis, Paris.
- Longucmarc (F.), constructeur (carburateurs), 12 et 14, rue du Buisson-St-Louis, Paris.
- Lorthioy (E.), inguéieur-conslructeur, 8, rue de la Voûte, Paris.
- Loyal (A.), constructeur (radiateurs), 204, rue Saiut-Maur, Paris.
- Lunant (J.), ingénieur - constructeur , 218,
- avenue de Saxe, Lyon.
- Machicls (Jules), administrateur de la Société Industrielle d'Albert (Somme), aj, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- Maoquaire (Louis), fabricant de pièces détachées, 21, rue de Malte, Paris.
- Magnard, gérant de la Soc été Magnard et C‘“, à Fourchambault (Nièvre).
- Maillard (IL), ingénieur-expert, i55, avenue Malakoll’, Paris.
- Maillard, Garage Notre-Dame, io et 20, rue du Cloître-Notre-Dame, Paris.
- Manaut, directeur commercial de la Société « L'Electrique », îy, rue Jean-Goujon, Paris.
- Marbais (A.), négociant en automobiles, 6, rue Saint-Sabin, Paris.
- Marcel-Lévy, directeur de l'Auto-Hall, 3o, rue Guersant, Paris.
- Marchand (Edgard-Emmanuel), ingénieur E. C. P., administrateur-délégué de la Société des Fonderies de Puteaux, 5, rue Ampère, à Puteaux (Seine).
- Marette, ingénieur (Société métallurgique de Montbard), 11, place de la Madeleine, Paris.
- Marillicr (A.), ingénieur (Marillier et Robelet), 42, boulevard Bonne-Nouvelle, Paris.
- Marre, ingénieur-constructeur (Maison Bari-quand et Marre), 127, rue Oberkampf, Paris.
- Martin (Henri-Paul), administrateur-délégué de la Société des Moteurs Thermiques, 32, rue Félicien-David, Paris.
- Masson (Louis), directeur des ateliers Le-canne, 118, rue de Vaugirard, Paris.
- Mayen (Emile), de la Compagnie « La Prévoyante » (assurances contre les accidents), 23, rue de Londres, Paris.
- Mendelssohn-Bartholdy (E.), constructeur
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- CHAMBRE SYNDICALE
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- DE L AUTOMOBILE
- d’automobiles, 5, boulevard Bineau, a Le-vallois-Perret (Seine).
- Mestre (E.), de la maison Mestre et Blatgé, 7, rue Brune 1, Paris.
- Meusnier, ingénieur delà Société l’Electriquo, u/|, rue Gravel, Levallois (Seine).
- Meyer, Société électrique “ Hydra ”, 6o, boulevard de Cl’chy, Paris.
- Michel (Auguste), administrateur-délégué de la Société d’Electricité “ Nilmelipr ”, /ij,rue Lacordaire, Paris.
- Michelin (A.)» ingénieur (Société Michelin et Clc), io5, boulevard l’ereire, Paris.
- Mildé (Ch.), constructeur-électricien, Go, rue Desrenaude, Paris.
- Miquct, administrateur-délégué de la Société Française de Petit Outillage et Pièces d’Au-tomobiles, 71, boulevard Victor-Hugo, à Clichy.
- Monard, directeur de la Société « L’Aster », g4, rue de la Victoire, Paris.
- Montauban (Maison Montauban et Marchan-dier), constructeur, avenue Faidherbe , Saint-Quentin (Aisne).
- Morin (Ed.), mécanicien, 48-5o, rue de l'Aqueduc, Paris.
- Mors (Cm.), ingénieur (Société Anonyme d’E-lectricité et d’Automobiles Mors), 48, rue du Théâtre, Paris.
- Monter (Société “La Française”), 11, rue llrunel, Paris.
- Natter, constructeur-mécanicien, pièces détachées pour voitures automobiles, il\, rue de Fontarabie, Paris.
- N'eubauer (A.) (Palais de l’Automobile), 218, boulevard Percire, Paris.
- Neveu, fabricant de roues, 1G9, avenue du Roule, Neuilly-sur-Seine.
- Onf'roy (Paul), directeur de la Société Ilérald, 29, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- Paquot, directeur commercial de la Société des Pneumatiques cuir Samson, 10, rue François-l", Paris.
- Panhard (R.), 5, rue Royale, Paris.
- Pauwels (G.) (Anciens Etablissements de <( La Carrosserie Industrielle»), 10 et 12, rue Tourneux, Paris.
- Petiet (Baron Charles), administrateur-délégué de la Société Anonyme des automobiles Ariès, 89, quai d’Argenteuil, Villeneuve-la-Garcnne (Seine).
- Petit (IL), négociant en automobiles, 23. avenue des Champs-Elysées, Paris.
- Peugeot (A.) (Société des Automobiles Peugeot), 83, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris.
- Pierson (Henry), représentant des Etablissements Malicet et Blin, io3, avenue de la République, Aubervilliers (Seine).
- Pigelet (M.) (Société Glaenzer et Cl0), directeur du Service des Roulements à billes D. W. F., 35, boulevard de Strasbourg, Paris.
- Pilain, directeur technique de la Société des automobiles Pilain, 17, chemin de Mon-plaisir à Grange-Rouge, Lyon (Rhône).
- Poirier (P.), directeur de la Compagnie des automobiles et cycles Hurtu, 29, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- Potier (Jules) (J. Potier, Aze, Lecorsier et Cio), 196, boulevard Voltaire, Paris.
- Potron (E.), ingénieur A. et M. (Forges de Persan), 29, rue Riquet, Paris.
- Price, directeur général de la Société Française des Pneumatiques Dunlop, 1.4, rue l’iccini, Paris.
- Purrey (Valentin), ingénieur-constructeur, 1 à 31, boulevard Jean-Jacques-Bosc, Bordeaux (Gironde).
- Quenay (E.) (Société des Chaudières et Voitures à vapeur, système Scotte), 8, rue Poisson, Paris.
- Rabourdin, négociant en automobiles, 22, place Vendôme, Paris.
- Renault (Louis) (Société Renault frères), i3g, rue du Point-du-Jeur, Billancourt.
- Reubens (Robert), 62, rue St-Didier, Paris.
- Richard (F.-M.j, ingénieur, Ci, rue de Rome, Paris.
- Richard (Georges) (Société Georges Richard et Cle), 108, rue Saint-Maur, Paris.
- Richemond (Philippe), administrateur-délégué de la Sociélé des automobiles Ader, 4o bis, avenue do Sull'ren, Paris.
- Richemond (Pierre), administrateur-délégué de la Société Anonyme des Etablissements Weyher et Richemond (machines, chaudières et automobiles à vapeur), 52, route d’Aubervilliers, à Pantin (Seine).
- Robert (Société des Fltablissements Jussy), Saint-Etienne (Loire).
- Roeh-Brault (Garage Roch-Brault et Dcgrais), 25, rue Brunei, Paris.
- Rochct (Société Rochet et Schneider), 5g, chemin Feuillat, à Lyon.
- llodriguès, fabrique de phares et lanternes, 6y, boulevard de Charonne, Paris.
- Roger-Durand fils, fabricant de chaînes, à Villeneuve-Saint-Georges (Seine-et-Oise).
- Rossel (F.), ingénieur A. et M., constructeur d'automobiles, à Sochaux, par Montbéliard (Doubs).
- Rouen, administrateur-délégué de la Compagnie Française des Voitures éLéctromobiles, 4g, rue Cardinet, Paris.
- Rouxel (Société Rouxol et Ci0), automobiles, 5o, rue du Château, Boulogne-sur-Seine.
- Saacké (Charles), ingénieur (machines-outils et outillage), 43, rue de Maubeuge, Paris.
- Sage (P.) (Société Anonyme des Anciens Ateliers Sage), pièces mécaniques, 5y, rue Emeriau, Paris.
- Salleron (.].), négociant en automobiles, 16, rue Duret, Paris.
- Santa-Maria (L. de), négociant en automobiles, G, rue do la Chaussée-d’Antin, Paris.
- Sarazin (Paul), ingénieur civil des Mines, 7, rue la Boétie, Paris.
- Schildge (Emile), pièces détachées, 18, rue Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie, Paris.
- Schrader, automobiles et. garage, 51, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- Sébin fils, fabricant do chaînes, 2, rue Morand, Paris.
- Serpollct (L.), ingénieur mécanicien, 9 et 11, rue de Stendhal, Paris.
- Sicot (Société Les Fils de Peugeot Frères), 38 bis, avenue do la Grande-Armée, Paris.
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- CHAMBRE SYNDICALE
- DE L AUTOMOBILE
- Simonet (J.), directeur de « La Française Electrique », 99, rue de Crimée, Paris.
- Soly (A.), fabricant de pneumatiques, 7, place de l'Abondance, Lyon.
- Sombreuil (vicomte Villelume de), administrateur-délégué de E. Mendelssohn et C° Ltd, 5, boulevard Bincau, Levallois-Pcrrct (Seine).
- Stenger, modeleur-mécanicien, 13, rue Eticnnc-Dolet, Paris.
- Stcrn (Alfred), administrateur-délégué do la Société « Electromotion », 54, avenue Montaigne, Paris.
- Stcrn (Emile), automobiles Léon Bollée, 17, rue Montaigne, Paris.
- Surcouf (Edouard), directeur-gérant de la Société Ed. Surcouf et Ci0 (trains automobiles Renard), 120, rue de Bcllevue, Billancourt (Seine).
- Tellicr (A.) fils, ingénieur civil (Maison Tel-li'er fils et Gérard), constructeur de canots automobiles, 02-54, quai de la Râpée, Paris.
- Thévin (F.), éditeur (Tbévin et lloury), 38 bis, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- Thierry-Mieg (Marcel), garage, 73, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- Tony Uubcr, constructeur d'automobiles, 5G, rue du Vieux-Pont-de-Sèvres, Billancourt (Seine).
- Turcat (Société Turcat-Méry et G'0). 2, boulevard de Mazargues, Marseille. — Bureaux: i4. rue Saint-Pierre, Neuilly-sur-Seine.
- Turckheim (baron Adrien de) (Société de Diétrich et Cic), 2, rue do la Ferme, à Ncuilly-sur-Scinc.
- Turgan, ingénieur-constructeur, 7, place Ma-leslierbes, Paris.
- Tzaut. (Gustave), directeur de la Société Anonyme “Electromotion”, 54, avenue Montaigne; et 3o, boulevard Bourdon, Neuilly-sur-Seine.
- Védrine (A.), carrossier (Voitures électriques), 7, quai de Seine, Courbevoie (Seine).
- Vcrdon (Eugène), directeur de 1 Exploitation électrique de la Maison Lejcan, 5, rue de Berry, Paris.
- Ycrmot (A.), maître de forges, fabricant d’essieux et ressorts, à Chàtenois (Territoire de Belfort), 3o, rue Rennequin, Paris.
- Vcrnes (Frédéric) (Société Générale des Huiles et Fournitures industrielles « L’Oléo », 38, rue de la Folic-Rcgnault, Paris.
- Viard, dépositaire de la Société des Usines de Gravigny (Eure), 4 G rue de l’Echiquier, Paris.
- Vignat (André), ingénieur-chimiste, fondé de pouvoirs de la Société des Huiles minérales de Colombes, Go, rue Saint-Lazare, Paris.
- Vigneaux, automobiles et pièces d’automobiles, 5, rue Bacon, Paris.
- Vinet (G.) (autom.-caoutch.), 61, rue de Vil-liers, Neuilly-sur-Seine).
- Vinot-Préfontaine, ingénieur ( Société Vinot et Deguingand), 22, quai National, Puteaux (Seine).
- Yital-Bouhours (Société Vital-Bouhours et C. Mando), 22, rue des Arts, Levallois-l’erret (Seine).
- Yoigt (Emile), constructeur, 43, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- Walckcr, ingénieur-constructeur (Maison Chc-nard, Walcker et Cic), 7, rue de Normandie, à Asnières (Seine).
- Wicliard (Société Wichard et Conge), métallurgiste, forges de Courcellcs, à Nogent, (Haute-Marne).
- Wolbcr (A.), manufacture de caoutchouc, à Vailly-sur-Aisne (Aisne).
- Worms (Louis), ingénieur E. C. P., directeur de la Manufacture générale de Caoutcliouc L. Edcline, 43, quai National, Puteaux (Seine).
- CHAMBRE SYNDICALE DU CYCLE ET DE L AUTOMOBILE
- Hôtel de la Société des Ingénieurs Civils, H), rue Blanche, Paris.
- bureau ici.u pour iqoG
- Président d’honneur : M. On Cray, tjfc, industriel.
- Président: M. A. Darracq, O. #, 0. gj, de la M"“ Darracq et, C‘°.
- Vice-Présidents : MM. Chapelle, I. y gj , administrateur de la Métropole; R. Peugeot, de la M011 Peugeot.; Serpollct. industriel.
- Secrétaire: Félix Brosse, ||, de la Mu” Félix Brosse et Ci0.
- Secrétaire-adjoint : M. Ducellier. t|, industriel.
- Trésorier : M. Morin, industriel.
- Archiviste : M. Hammond, tfc, industriel.
- COMITÉ
- MM.
- Boas, Rodrigues et Cie (Rodrigues), G7. boulevard de Charonne.
- Bozier, 5-7, rue Dcnis-Papin. Puteaux.
- Brébant et C'° (Brébant), 5-7, rue Draveil, Juyisy.
- Brosse (Félix) et Ci0 (Brosse). 22. rue Béranger.
- Caron (lïd.), 17, boulevard Rochechouart.
- Chenard et Walcker (Clienard), 7, rue de Normandie, Asnières.
- Gréanehe, 51. quai de Courbevoie, Courbevoie.
- Darracq (A.) et G‘° (A. Darracq), 33, ipiai de Suresnes, Surcsnes.
- Derangco.i. 3o, rue de Cormeille. Levallois.
- Ducellier (G.), 2.5, passage Duhail.
- Française (Société la) (Hammond), 11, rue Brunei.
- Galba (Société la) (Chambard), 34, quai de Suresne, Surcsnes.
- Gardner-Serpollct (Usines) (Serpollct), 9-11, rue Stendhal.
- Griffon (cycles) (Mathieu), 4o, rue Louis-Blanc, Courbevoie).
- Lcspinasse, 88, rue de la Folie-Méricourt.
- Malicet et Blin (Etablissements) (Malicet), io3, avenue de la République. Aubervillicrs.
- Métropole (Chapelle), 78, boulevard Riehard-Lcnoir.
- Michelin et Ci0 (Michelin), io5, boulevard Pé-reire.
- Morin, 48-5o, rue de l’Ai[ueduc.
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- CHAMHRK
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- SYNTIGALK
- l’agis et Ci0 (H. l’agis), 27, avenue do la Grande-Armée.
- Peugeot (Les Vils de) Frères (Robert Peugeot), à Valentigncy.
- 'l'errot et G‘“ (Dutlinger), à Dijon.
- VVolber, à Vailly-sur-Aisne (Aisne).
- MEMBRES ADHERENTS
- Abel (Jacques), 8, rue Vauban, Lyon.
- Amiens, 127, rue du Bois, Lovallois.
- Amoudruz (A.), 2/1, rue d’Armaillé.
- Andru. 10. rue do Saint-Quentin.
- Arnaud (Francis), à Bourgoin (Isère).
- Artaud, Amargain et Ci0 (Artaud), G7, rue do la Buire, Lyon.
- Ateliers du Furan (capitaine Robert), rue Barroin, à Saint-Etienne.
- Automobile-Union (José Frankel), 3q, avenue des CIiamps-Elysées.
- Automolo (Polm). à Saint-Etienne.
- Ballot et G10 (Ballot), io3-ion, boul. Brune.
- Bara et Pascaud (Bara), B G, rue Victor-Masse.
- Baril et Gadenno (Gadennc), 3, rue des Jar-dins-Gaulier, Lille.
- Baud (E.), rue Racine, Lyon-Villeurbanne.
- Bellair et Ci0 (Monin), 17, rue des Trois-Bornes.
- Berger, 79. rue du Faubourg-du-Temple.
- Bcrgougnan (Société des Etablissements) (Bergougnan), 9, rue Villarel-dc-Joyeuse.
- Bernasse (Max), à Toucy (Yonne).
- Bosse (Louis). 29, rue de Lappe.
- Billy (Phares) (llalard). 13, rue d’Artois.
- Blot, 10, rue Vallier, Levallois.
- Boiron (J.), 3a, rue de Tilsitt.
- Bonnet, Guyonnet et Canonne (Bonnet). 58, rue Claude-Vellefaux.
- Bonnet et Morel (Morel), 7^, route de Clià-tillon, Malakoll'.
- Botiaux (Th.) et G'” (Botiaux), 20, rue Gref-fulhe, Levallois.
- Bout', 5, rue de Berri.
- Bousquet et G'6, 9Ü. avenue des Champs-Elysées.
- Boxvden (Syndical) (Munro), 12, avenue de la Grande-Armée.
- Brown Bros, 3i, rue de la Folie-Méricourl.
- Bruneau et G1" (Bruneau), 12, avenue Victor-Hugo, Tours.
- Caplain - Berger et G1" (Gaplain), 8(i, quai Jcmmapes.
- Garrosseric Industrielle (l’auwels), 10, rue Tourneux.
- Garrot et Mondon (Garrot). !\. boulevard Tliiers, Saint-Etienne.
- Gartaux, (1, cité Dupctit-Thouars.
- Gaucby, 28, rue de la Folie-Méricourl.
- Gliaigneau, 17, rue du Débarcadère.
- Ghantelol, 127. rue du Fanbourg-du-Tempie.
- Gbanvin, 53, rue Richard-Lenoir.
- Ghajuit, 12, rue Boulle.
- Gliaussé, 28, nie de Ghabrol.
- Ghauvin (Louis), no, 111e des Boulets.
- Gbavanct, 33, avenue, Denferl-Rochercau. Saint-Etienne.
- Glievalier et Lalay (Chevalier), 28, rue Ferdinand, Saint-Etienne.
- Glievalier (B.), 3.j. boulevard Julcs-Janin, Saint-Etienne.
- Clément-Gladiator (Société des cycles) (Fenton), Grande-Rue, 76, l’ré-Saint-Gervais.
- Clèves (M. de), 2.3, avenue du Roule, Neuilly-sur-Seine.
- Comiot (G.), 87, boulevard Gouvion-St-Cyr.
- Comiot (IL), 204, boulevard Pcreire.
- Compagnie Française des Cycles et Auto (Onl'ray), G, rue Francœur.
- Compagnie Franco-Américaine des Jantes en bois (Osllicimer), /|0, rue de l’Echiquier.
- Comptoir dos Freins de Cycles (Pcress), 19, avenue du Roule, Neuilly-sur-Scinc.
- Compagnie Générale des Moteurs Otto
- (Zemette), 155, rue Croix-Nivert.
- Compagnie Générale des Voilures (Galien), 7. avenue Niel.
- Comptoir Central du Cycle (Lange), 2, rue Adolphe-Adam.
- Comptoir des Joints (Lavoisier), 8, rue de Seine, Suresncs.
- Continenlal-Caouteliouc (Loeser), 18, rue Brunei.
- Costantini (Ern.), 8, rue des Acacias.
- Colhias (Société des Alliages) (Cothias), 9. rue Viclor-llugo, Ivry-l’ort.
- Goltereau et Gi0 (Gotlereau). à Dijon.
- Gret (B.). 20, faubourg Saint-Jean, à Nancy.
- Dabancourt, 42. boulevard Montparnasse.
- Dagand, 9, cité Pbalsbourg.
- Darras (A.), 128, boulevard Saint-Michel.
- Dauge, 3, boulevard Voltaire.
- Daunay 118. boulevard Voltaire.
- Dcbarallc, 1, rue Ambroise-Thomas, Argcn-teuil.
- Deilz. 5G, rue d’Aboukir.
- Deleau, 10, Grande-Rue, à Asnières.
- Dcniau, 27. avenue de la Grande-Année.
- Denicli, ij/j, rue Saint-Maur.
- Dcrnaucourt. 15, rue Pergolèsc.
- Desponts, i5o, rue Victor-Hugo, Levallois.
- Dieppe, G, place d’Armes, Caen (Calvados).
- Domange, 7/1, boulevard Voltaire.
- Dubied (Ed.) et C'IDubicd), à Couvct (Suisse).
- Dubois (Paul), 2G, rue Corbeau.
- Dunlop (Compagnie française des Pneus) (Price), i/|, rue Piccini.
- Dunois, G-8, rue des Deux-Communes, Vin-cenncs.
- Duplan-Chaligné. i5, rue Crespin.
- Durar.t (V”) et Lcrcdde (Lerodde), à Vrigne-aux-Bois (Ardennes).
- Edclinc-Gallus (Hallam de Nittis), /|3, quai National, Puteaux.
- Fabrique Nationale d’Armes (Gayaud), i5G, avenue Malakoff.
- Balconnet-Pérodoaud (Etablissements) (Fal-connet), 179. rue de la Pompe.
- Falot (Paul), 35, avenue de Paris, à Rueil (Seine-et-Oise).
- Faure, rue de Toulon, à Lyon.
- Filtz (J.), i3, avenue du Roule, à Neuilly-sur-Seine).
- Florango (G.). 1 Go, rue de la Convention.
- Fonderies de Puteaux (Marchand), 5, rue Ampère, Puteaux.
- Forges et Aciéries de Firminy (Ilugot), à Firminy (Loire).
- Forges de Douai (P. Arbel), 02, boulevard llaussmann.
- Fouilloud, 87, rue de la Roquette.
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- CHAMBRE
- SYNDICALE
- - 8/|<) -
- Française Electrique (La), 99, rue de Crimée.
- Gadais, 21, rue d’Armaillé.
- Gailly Frères, fondeurs, à Charlcville (Ardennes).
- Gauthier, 109-111, cours Emile-Zola, à Lyon.
- Gentil et C10 (Gentil), 3g, rue Garnier, Neuilly-sur-Seine.
- Gianoli (L.), 26, boulevard Magenta.
- Gillier (F.), 1, ruelle des Jardins, Saint-Maur.
- Giron, 38, rue Vaneau.
- Goliath (Compagnie des Antidérapants) (Ch. Kuhling), 80, rue Saint-Lazare.
- Gouverneur, 99, rue des Couronnes.
- Goyon, 65, avenue La Bourdonnais.
- Gravigny (Usines de) (Viard), 8, rue Lamartine.
- Gros, 21, rue de Champagne, Saint-Etienne.
- Guérin, 2, rue de Pantin, Bagnolet,
- Guérin (G.), 4u rue de l’Egalité, aux Lilas.
- Guillemin et C'° (Guillemin), 10, rue de Metz, à Courbevoie.
- Guinebertier, 45. rue Kléber, Levallois.
- Haessler et Billard (Haessler), 2,5, rue des Envierges.
- Henrique, 4c avenue de la Grande-Année.
- Hirsch (Etienne), 26, ruo de Crussol.
- Hommen (IL), 38, rue de Turenne.
- Hutchinson (Etablissements) (Ducas), 60, ruo Saint-Lazare.
- Hydra (Société Electrique) (E. Meyer), 60, boulevard de Clichy.
- Invicla (Société) (Vanlactbcm), 5, rue Dcvès, à Neuilly-sur-Seine.
- Julien, 110, rue Saint-Maur.
- Jumel, 7. rue Bellot.
- Lacoste (J.) et C‘‘ (J. Lacoste), 28, boulevard de Strasbourg.
- Lacoste et Batlmann (Elie Lacoste), i5, rue Danton, Levallois.
- Lacour et C10 (Lacour), 17, rue Planchât.
- Lacis et Ci0 (Lacis), 86, rue de Villiers, Lo-vallois.
- Lamarquo, 3a, rue Moret.
- Lamplugb, 6, rue Ernest-Cognacq, Levallois.
- Ledin (Francisque), 3o, quai de la Charité. Lyon.
- Ledin (Marius), 23, boulevard Julcs-Janin, Saint-Etienne.
- Lejeune, 1, impasse du Moulin-Joly.
- Le Lan, 29, avenue Parmentier.
- Le Métais, 22, rue du Bois, Levallois.
- Lemoine, 74, rue du Temple.
- Libérator (Viard), 4?» rue Cartier-Bresson, Pantin.
- Long Fils, 25, rue Gide, Levallois.
- Macquaire (L.), 21, rue de Malte.
- Malesset, 149, rue de Rennes.
- Malinge (J.), 23, ruo Paul-Bert, Angers.
- Manufacture d’Ârmes et Cycles (Foury). 42 rue du Louvre.
- Mardon, 237, cours Lafayette, Lyon.
- Martin, 38, rue Rébéval.
- Mercier, Igny (Seine-et-Oiso).
- Mesureur, 128, rue Fazillcau, Levallois.
- Meunier, 233, boulevard Péroire.
- Meyer, 8, rue Fontaine-au-Roi.
- Miller (tbe Frencb IL) Ltd (Massey), 11, rue Pasteur:
- Morel Frères, à Saint-Genis - Terre-Noire (Loire).
- Moret (J.), 3o, rue de Saint-Cyr, Lyon-Vaise. Mors (Société d’Automobiles), (IL Lapointo), 48, rue du Théâtre.
- Mortagne, 4, rue du Pont-aux-Choux. Nieuport, 9, rue de Seine, Suresnes.
- Pache, 8, rue des Nanettcs.
- Pied Frères (Pied), 87, quai de Seine.
- Poizat. Sury-le-Comtal (Loire).
- Poncct, 16, rue de Cronstadt, Lyon.
- Potier, Aze. Lceorsicr et Ci0 (J. Potier), 196. boulevard Voltaire.
- Ramier et Mauberqué (P. Ramier), 109. rue do Paris, Puteaux.
- Rault (F.), 99, rue d’Angoulème.
- Renard (Girard), 45. rue Laugier,
- Retz (de), 15, rue de Turenne, Arras.
- Rhcims et Auscher (Léon Auscbor). i3i. avenue Malakoff.
- Richard et Ci0 (Georges Richard), 108, rue Saint-Maur.
- Robergel. à La Guéroulde (Eure).
- Robin, 6, rue Haxo.
- Rollet et C1” (Rollet), 67. avenue Parmentier. Rosfelder Frères (Rosfelder), 45, rue de Paradis.
- Rossmann, 38, rue Chariot.
- Rousseau (Félix), 9, rue de la Croix-Faubin. Rousson, Fours (Loire).
- Ruffîn, 77, avenuo do la Grande-Armée. Saacké (Ch.), 43. rue de Maubeugc.
- Sarnson (Société des Pneus cuir), 10, rue François-I°r.
- Santin, 26, rue du Pressoir.
- Sarraute, 41 » rue de l'Echiquier.
- Sauvanet, 9. ruo du Surmelin.
- Schildge, 20, rue Sainte-Croix-de-la-Breton-nerie.
- Schneider (Ad.), i5o, avenue de Sainl-Ouen. Séarle Frères (Lamy), 7 Ois, rue Daval. Sircoulon et Amstutz (Sircoulon), à Meslières (Doubs).
- Société Industrielle des Téléphones (Dreyfus), 25. rue du 4-Septeinbre.
- Strock (Société des Etablissements) (Strock), 20, boulevard du Port, Amiens.
- Stuartet Stichter (Stuart), i3, rue de l’Aqueduc. Surcouf, 12,5, rue de Bcllevue, Billancourt. Sussmann, 12, cité Dupetit-Thouars. Taillardat, 25, rue Piat.
- (Extraits de l'Industrie Vèlocipèiliquc et Automobile J
- AÉRO-CLUB DE FRANCE
- (Société d’encouragement à la locomotion aérienne).
- Si, rue du F aubour y-Sain t-IIonoré, Paris. Téléphone 276-20.
- COMITÉ
- Président : M. Cailletet, membre de l’Institut. Vice-présidents : MM. le Comte Henry de Lit Vaulx, Henri Menier, Jacques Balsan. Secrétaire général : M. Georges Besançon. Trésorier : M. le Comte Georges de Castillon de Saint-Victor.
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- ALRO-GLUB
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- DE FRANCE
- Membres : MM. Abel Ballif, Jacques Faure, H. Dculsch de la Meurthe, Léon Barthou, Joseph Vallot.
- MEMBRES ACTIFS
- MM.
- Alamagny, 26, rue Bayard.
- Alexander, Rolhesay, Spencer Road, Southsea Hauts (Angleterre).
- Alvear (de), 11 g, avenue de Wagram. Anchorena (de), 36, avenue Montaigne. Archdeacon, 77, rue de Prony.
- Arenbcrg (Prince d'), 20, rue de la Ville-l’Eveque.
- Armer.gaud jeune, 23, boulevard de Stras-bouig.
- Armengaud (René), 198, rue de Rivoli.
- Astier de la Vigerie id"), 4, rue Cortambert. Aubry, 55, rue de Lille.
- Auriau, 2, avenue Montaigne.
- Auiiol, 19, boulevard Malesherbes.
- Ausclier, 131, avenue Malakoff.
- Avrain, 109, iuc de Sèvres.
- Bachelard, 3i, rue Saint-Denis.
- Bacon, 3, rue Grenela.
- Balacèano, 96, boulevard Haussmann.
- Ballif, 65, avenue de la Grande-Aï niée. Balsan, 52, quai Debilly.
- Balzon, hôtel de la Couronne, Guise (Aisne). Bara, 241, rue du Faubourg-Saint-Honoré. Barbotte. 8, place Sainte-Opportune.
- Barreau, 16, rue Littré.
- Baithou, 22. rue Tocqueville.
- Bastide du Lude, château du Lude, la Ferté-Saint-Aubin (Loiiet).
- Bastier. ^5. rue Croix-Nivert.
- Baucheron, 47* rue Bonaparte.
- Baudry, 2i5, rue de l’Eglise-Saint-Seurin, Bordeaux (Gironde).
- Baulny (Baron de), 3o, rue Boissy-d’Anglas. Baumann, Ilote d’Albe, 55, avenue de l’Alma. Beaumont, 67. avenue des Champs-Elysées. Beaux, 4- via Dante, Milan ^Italie) ; et x56, rue de Rivoli.
- Bégé, château d’Herbault, par Bracieux (Loir-et-Cher).
- Beistegui (de), 67, avenue d’Iéna.
- Bejaiyy (Vicomte de), château de La Roche, par la Reorthe (Vendée).
- Bellet (Baron de), 44, avenue du Bois-de-Boulogne.
- Bellisscn-Durban (de), 63, rue de Varenne. Belmont (Comte de), château du Petit-Coubert, par Coubert (Seine-et-Marne).
- Bérardi, 17, rue Galilee.
- Berckheim (Baron de), 22, rue de Berri.
- Berg, Bcig-Automobilc, New-York; et i52, 'tue du Faubourg-Saint-Honoré.
- Bernheim jeune (Gaston), 107, avenue Henri-Martin.
- Bornheim jeune (Josse), 107, avenue Henri-Martin.
- Bcrtault, 20. rue Notrc-Dame-de-Nazareth. Besançon, 84. rue du Faubourg-Saint-Honoré; et 66. ruo du Sentier, à Bois-Colombes (Seine).
- Bcssc, io4, rue Doudeauvillc.
- Bévillo (Baron de), i4. rue Chalgrin.
- Bévillc (Henri de). i4. rue Chalgrin. Bienaimé, 16, rue Dulong.
- Billion, 2, rue Mansart, Versailles (S.-ct-O.). Billioquo, 20, rue Trczcl, Lcvallois-Perret (Seine).
- Billout, 166. boulevard Haussmann.
- Blanehet, 4§, rue do Turbigo.
- Blanquiès, 2, avenue Alphaml (Porte-Maillot). \Blériot, 36, av. de Ncuilly, Neuilly-sur-Seine. Bloch, 44, rue de Bondy.
- Bluincnthal, 60, avenue de Malakoft. Boissy-d’Anglas, 22, rue de Pomercu.
- Bollée. au Mans (Saillie).
- Bonaparte (S. A. I. prince Roland), 10, avenue d’Iéna.
- Bonnard (Paul), 66, avenue Kléber; et 4?» rue Aldjazira, Tunis.
- Bonnard (Hubert), Saint-Mihiel (Meuse). Bonnard (H.-William), 66, avenue Kléber. Bonneton, château de Lachenel, par Etrous-sat (Allier).
- Bonncval (Comte de), 46, rue La Boétie. Bordé, 29. boulevard Haussmann.
- Bossuet, 49, boulevard Haussmann.
- Bouladc, 4, chemin Saint-Gcrvais, Lyon-Monplaisir (Rhône).
- Boulard, 117, rue de la Course, Bordeaux. Boulanger, 65, rue Colbert, Roubaix (Nord). Bourbon (S. A. R. don Jaimc de), chez S. A. I. ... Mgr l’Archiduc Léopold, Salvator, palais Toscan, Vienne (Autriche). v
- Bourdclles, 39, rue Galilée.
- Boutard, 23, quai de la Charité, Lyon.
- Bouton, 12, rue Ernest, à Puteaux (Seine). Boyer, 3 bis, rue Poisson.
- Bréguct, 31, rue Morel, Douai (Nord). Brewster, 4o, Cadoyan place, London ; et Hôtel Régina, Paris.
- Brissac (Duc de), 26, rue Murillo.
- Brisson, 16, avenue de la Grande-Armée. Brocheton, 26, avenue Victor-Hugo.
- Broét, 11, ruo Roquépinc.
- Brosson, 11 bis, rue Montaigne.
- Brunetta d'Usseaux (Comte), 37, avenue Montaigne ; et château de Mazzé, Canavèse (Italie).
- Rucknall, Vickhurst Manor, Ncar Sevenoaks ' (Angleterre).
- Bufl’on, 24, rue de la Grange-Batelière. Butler, 155, Regent Street, Londres.
- ^Gable, Manhattan-Club. New-York.
- Cadet, i4a, rue de Courcelles.
- Cahen (Lucien), domaine de la Darse, route Nationale, Villefranche-sur-Mor (A.-M.). Cahen (Marcel), 204, boulevard Pcreirc. Catien (René), 1, rue Dumont-Durville. Caillaut, i3, rue Saint-F’loreutin.
- Caillot, 57, boulevard Pcreire-Sud.
- Cailletet, 75, boulevard Saint-Michel. Caraman-Chimay (Prince), château de Chimay - (Belgique).
- Cartagena (Comto de), 37, rue Pergolèse. Cartier (Louis), 2, avenue Montaigne.
- Cartier (Pierre-Camille), 11 bis, r. de Pomereu. Carton, 24. passage des Favorites.
- Cassé, 7, rue Léclusc.
- Castillon de Saint-Victor (Comte de), 74* ave-nuo Marceau.
- Celle (Comto de la), 3a, rue Washington. Chabcrt, 71, rue du Faubourg-Saint-Honoré. Chabrol (Vicomte de), Château Jozeraud, par
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- A K RO-CLUB
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- DE FRANCE
- Combroiule (Puy-de-Dôme) ; et 5g, avenue de La Bourdonnais.
- Chaix-d'Est-Ange, 22, avenue du Bois-de-Boulogne.
- Ghampclicvrier (Baron de), château de Mar-cilly-sur-Maulne (Indre-et-Loire).
- Chandlcr, ni, Broodway, New-York.
- Chandon de Briaillcs (Coinle), 81, av. Marceau. Clianteaud (Dr), 8 bis, boul. de Courcelles. Chardonnet (Comte de), 22, rue de l’Arcade. Charost, 11, av. Carnot, Caudéran, Bordeaux. Chary, 25, rue Fortuny.
- Chaumette, 15, place Gambetta, Bordeaux. Chavancs, avenue Kléber.
- Chesnay, 21, boulevard Carnot, à Dijon (Côte-d'Or).
- Claudc-Lal’ontaine. 20, rue de Lubeck. Clément, 33, quai Michelet, Lcvallois-Perrct. Clermont-Tonnerre (Marquis de), 3, rue du Général-Appert.
- Contades-Giseux (Comte do), 21, rue Casimir-Pcrier.
- Corbin. io4, avenue des Champs-Elysées. Cordez, château des Chaulets, par Souvigny (Allier).
- Cordier, 5o, boulevard de Latour-Maubourg. Cornilliè e (Marquis de la), 1, square de Latour-Maubourg.
- Cornuchet, 248, rue de Rivoli.
- Corot, 24, rue d'Armaillé.
- Corvin (Chevalier de), Arsenal, Vienne (Au-'triche).
- Cosson, q3, boulevard Malesherbes.
- Costc, 27, rue du Commerce, Epcrnay (Marne). Cottin, (1, rue Royale.
- Coubertin (Baron de), g4, boulev. Flandrin. Couét (Comte de), 09, avenue de La Bourdonnais.
- Courtaillcz, i5i, boulevard Magenta.
- Crouan, 17, passage Leroy, Nantes (Loire-Inlérieure).
- Croy (Prince de), 54, avenue du Bois-de-Bou-logue).
- Curlier, iG, rue llalévy.
- Dalmas (Comte de), 26, rue de Berri.
- Danvin, 81, Grande-Rue, à Boulogne (Seine). Da Silva, 5, boulevard Malesherbes.
- Daubréc. 78, rue de Varennes.
- David (Edmond), 20. quai de la Fosse, Nantes. David'(Louis-F.), Téhéran, Perse (via Berlin) ;
- et 34, rue Lecourbe.
- Decazes (Vicomte), 2, rue Pétrarque. Delougy, 4, rue Saint-Florentin.
- Delattre, 81, avenue de Villiers. Delaunay-Belleville, 20, avenue de Wagram. Demachy.
- Depret, 21, avenue Montaigne.
- Decazes (Duc), 19, rue de Constantine. Deperdussin, 3g, rue de Rome.
- Derouard, 18, rue Rambuteau.
- Desgranges, G, rue de Rome.
- Deslandres, 21, rue de Téhéran, et 56 bis, rue des Gardes, Bellevue.
- Desouches, 53, avenue des Champs-Elysées. Dcutsch de la Meui the, 4< place des Etats-Unis. Dietrich (Baron de), 82, boulev. Malesherbes. Dion (Marquis de), 19, avenue Mac-Mahon. Dollfus, commandant de cavalerie au dépôt de remonte d’Agen.
- Dosseur, 5, rue de Lille.
- Draullctte. 28, avenue d'Anlin.
- Dubois (Félix), 31, rue de Surène.
- Dubois (Georges), 110, rue Dcmours. Dubonnct (Emile), 78, avenue Malakoff. Dubonnet (Marius), 7, rue Morriay.
- Dubonnct (Robert), 3g, avenue llenri-Martin. Ducassc, 4, boulevard Malesherbes.
- Dulaycl, 90, avenue des Champs-Elysées. Dugué de la Fauconnerie, 12, avenue Alphand. Duhanot, 8, av. des Fleurs, le Perrcux (Seine). Dumas, 17, rue Saint-Sauveur, Perpignan. Durand, 7, rue de la Boétie.
- Dusmet (Marquis de), 20, rue Taitbout. Diithu, 18, rue de Trévisc.
- Duverger, 5o, rue Taitbout.
- Echalie, 38, av. du Roule, Neuilly-sur-Seine. Eeonomos (Comte), 1 bis, avenue du Bois-de-Boulognc.
- Eiffel, 1, rue Rabelais.
- Embiricos, 87, Leadcnhall sir., Londres. E. C. Engcl, GG, rue de l’Assomption. Escayrac-Laulure (Comte d’), 18, avenue de Messine.
- Esnault-Pelteric, 11, rue de Milan.
- Estivant, 4> avenue de l'Alma.
- Evervcrst, 20, rue Daunou.
- Balconnet, Go. avenue Malakoff.
- Farconnet (Vicomte de), Tunis.
- Farcot, 49> rue Greffulhe, Levallois-Perret. Farman, g5, avenue de Villiers.
- Fauber, 7, rue Scribe.
- Faucompré (Comte de), 8, rue Murillo.
- Faure (Félix), x5, rue Vignon.
- Faure (Jacques), 32, rue YVashington.
- Fcrber, 1, chemin de la Glacière, Bellevue (Seine-et-Oise).
- Ferrand, G, rue Solférino.
- Ferté-Meun (Marquis de la), 5, rue Beaujon. F’itz-James (Comte Edouard de), 7, rue Royale. Fitz-Jamcs (Comte Etienne de), 16, rue d’Aguesseau.
- Flammarion, 16, rue Cassini.
- Fleuricu (Comte de), 2G, avenue Kléber. Florencie, 71, avenue Ledru-Rollin ; et à Bacou (Russie).
- Fonviclle (de), 5o, rue des Abbesses. Fontenillat (Baron de), 38, rue Beaujon. Fougcrat, 4» rue Gounod.
- Fourcade, 1, quai Bichon, Lormont (Gironde). 'François-Wachter, 39, rue du Commerce, Epernay.
- Frémont, 3g, avenue d’Antin.
- Fresnaye (ll.de la), 87, av. de Neuilly, Neuilly-sur-Seine).
- Frézier, 222, rue du F’aubourg^St-Marlin. Frise (Comte de), 8, rue Picot.
- Furet, 79, rue du Commerce.
- Gagé, G, rue de l’isly.
- Gallet, 7, rue Diouot.
- Ganay (Marquis de), 9, avenue de l’Alma. Gans de F’abrice, 99, rue de Courcelles ; et villa Stella, à Cannes (Alpes-Maritimes). Gardonne-Lastic (Comte de), château de Laga-rosse, par Langoiran (Gironde).
- Gasnier (Pierre), le Flesne, par Boucherpaine (Maine-et-Loire).
- Gasnier (Rene), le Fresne, par Bouchemaine (Maine-et-Loire).
- Gaumont (Léon), 57, rue St-Roch.
- Gaupillat, 42, avenue d’Iéna.
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- DE FRANGE
- Gayot, l\5, rue du Parc-Clagny, à Versailles. Gcntien, 24, avenue Kléber.
- Chika (Prince), Comanesci, district do Bacau ' (Roumanie).
- Gianoli, 26, boulevard Magenta.
- Giard, 20, rucTrézcl, Lcvallois-Pcrret, (Seine), (iiraud, 27, rue Duret.
- Girardot, av. Jeannc-d’Are, au Chcsnay, près Versailles.
- Gobron, 14.7, rue de Longehamp.
- Godard, 170, rue Legendre.
- Gontaut-Biron (Gomte de), 53, avenue Kléber. Gotz, 4, cbaussée de la Muette.
- Gouldcn, G, place du Palais-Bourbon.
- Goupy, 5o, avenue Marceau.
- Granet, 11, rue d’Aumale.
- Granrut (de Bigault de), à Loivre (Marne). Green, Le Caire (Egypte) ; et Grand-IIôtel, à Paris.
- Grégoire, 55, boul. Devaux, Poissy (S.-et-O.). Grosdidicr, à Gommercy (Meuse) ; et i3, rue de Strasbourg, Paris.
- Guedcy, 18, boulevard des Capucines. Guenon, 12, quai des Ghartrons, Bordeaux. Guérard, 34, rue de la Faisanderie.
- Gullroy, 22, rue du Général-Foy. Guglielminetti, Monte-Carlo; et 7G, avenue MalakofT, Paris.
- Guiclie (Duc de), 10, rue d’Astorg.
- Guillaume, 2.4, rue Boccador. llaarbleicher, G8, avenue d’Iéna.
- Ilamoir, !\^, rue de Courcclles. llautpoul (Comte d’), 79, rue d’Amsterdam, lleatb, 54, r. Charles-Laffitte, Neuilly-s/-Seine. Helwig, 1, rue de Laborde. llennessy, 21, avenue de l’Alma.
- Ilermile, GG, rue du Sentier, Bois-Colombes (Seine).
- Hersent, 4ô, avenue du Bois-de-Boulogne. Ilersey, hôtel Continental.
- Hervé, 1, rue Hautefeuille.
- Hendccourt (d’), 6, rue de La Trémoillc. llewald, hôtel Continental, lleyden a llauzeur, Auby-les-Douai (Nord). Ililles, hôtel La Peyrouse.
- Ilirschauer, i4, rue des Teinturiers, Arras (Pas-de-Calais).
- Ilœntschcl, 11, cité Retiro.
- Hokenjos, G, rue Mont-Louis, impasse Mont-Louis.
- Huntington, 14, Buckingham Street, Charing Cross, London, W. C.
- Ideville (Baron d’), 3, rue La Béotie ; et château de Vigoivc, àPalinges (S.-et-Loire). Isemburg (Prince d’), 20, rue Euler.
- Jagu, 19, rue de la Terrasse.
- Janets, i5g, avenue Wagram.
- Janschin, Spatshaya 3, int. 14, St.-Pétersbourg. Janssen, directeur de l’Observatoire d'astronomie, Meudon (Seine-et-Oise).
- Jeantaud, 5i, ruo de Ponlhieu.
- Joly, 3, rue d’Hauteville.
- Joubert, 23, rue de Balzac.
- Juchmès, à Moisson, par la Roche-Guyon (Seine-et-Oise).
- Julliot, 3, rue de Flandre.
- Ivapferer (Henry, 26, rue de Clicby.
- Kapferer (Marcel), 26, rue de Clicby. Katzensfein, 20, Neue Mainzerstrasse, Francfort (Allemagne) :
- Iveller, 23, avenue du Bois-de-Boulogne. Kellner, 125, avenue MalakofT.
- Kehler, hôtel du Pavillon, rue de l’Echiquier. Kergariou (Marquis de), 85, rue de Monceau; et château de Kergomar, par Lannion (Côtes-du-Nord).
- Kertanguy (Baron de), 3G, avenue Hoche. Klotz (Georges), 12, rue de Tilsitt.
- Klotz (Henry). 12, rue de Tilsitt.
- KnyfT (Chevalier de), 31, rue Demours. Kriéger, 8, rue Cardinet.
- La Baume Pluvinel (Comte do), 7, rue de la Baume.
- Labbé, g, rue Saint-Florentin.
- Laborde (Comte de), 5, avenue du Trocadéro. La Brosse (de), 78, avenue MalakofT. Labroucbe (Maurice), château de Castillon, près Bayonne (Basses-Pyrénées).
- Labroucbe (Pierre), 29, avenue Ilenri-Marlin. La Chesnais (de), 22, rue Vauban, Bellôrt (Haut-Rhin).
- Lafitte, 3, rue Villaret-Joyeuse.
- I.afond, leMounedé-Saint-Etieune, à Bayonne. La Hôtellerie (de), 20, rue de l’Université. Lahens, 35, ruo Saint-Georges.
- Lalim (S.), 13, rue Saint-Florentin.
- Lahm (P.), Ecolo militaire de Saumur.
- Lairo (de), 10G, rue Joufl’roy.
- Laislre (Comte de), Melun (Seine-et-Marnc). Lamaille, 2.5, boulevard de Courcelles.
- La Mazelière (Comte de). 2G, avenue d’Eylau. Lambert (Comte de), G4, avenue de Paris, Versailles.
- Lancelolti (Prince), palais Lancelotti, Rome. Lanier, chez Morgan Ilarjès, 31, boulevard Ilaussmann.
- Lapeyrouse (Comte de), io4, boulevard de Courcelles.
- Larègle (Vicomte de), 38, avenue Wagram. Latham, 7, rue Rembrandt.
- Laugier-Villars (Comte de), 24, rue de l'Université.
- La Valette (Comte de), G, place de la Madeleine.
- LaVaulx (Comte Henri de), 120. avenue des Champs-Elysées.
- La Vaulx (Comte de), château de Rosoy. par Vieils-Maisons (Aisne).
- Lavqignat, 5, rue Auber.
- Lebaudy, 12, rue de Lubeck.
- Leblanc, 17, rue Lakanal.
- Le Bret, 57, avenue d’Antin.
- Le Brun (Georges), 1, avenue Bugeaud.
- Le Brun (André), 1, avenue Bugeaud. Lefebvre, no, rue du Bois, Levallois-Perret. Léger, 2, rue Albert, Monaco.
- Lcglisc (Paul). Gg, rue Lafaurie Monteudon, Bordeaux.
- Legrand, iG, rue Théodule-Ribot.
- Legrand, 25, rue de Madrid.
- Legru, 11, rue Louis-le-Grand.
- Lejeune (Baron), 7, avenue de l’Alma. Lelièvre, villa du Site, 3 ; avenue du Roule, 74, Neuilly-sur-Seine.
- Lemaire, 57, boulevard Beauséjour.
- Lemerle, 2, rue de Phalsbourg.
- Lemgrubes, 55, avenue Marceau.
- Lenoir, GG, rue Duplessis, Versailles.
- Léonard, 10, avenue de Messine.
- Le Perdriel, 89, rue Monceau.
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- DE FRANCE
- Lepert, 21, avenue Victor-Hugo.
- Lepic (Baron), 4, rue d’Anjou.
- Le Rouycr delà Fosse (Vicomte), rue Gresset, Nantes.
- Le Secq des Tournelles, G, boulevard Péreire. Letellier, 100, rue Richelieu.
- Lovée, 17G, rue de Rivoli.
- Lewtlivaite, i5i, rue de Grenelle.
- Leys, g3, rue de Long-champ.
- Lillaz, 4G, rue SchefTer.
- Linder..(de), 67, avenue Montaigne; et, à 11cl— siugfors (Finlande).
- Lionel-Marie, 12, quai Dehilly.
- Liouville (Dr), 35, rue de l’Université. Lipowski (Comte de), 2/1, rue Clément-Marol. Lirac (Vicomte de Vidal), 14-3, rue David-Jolmston, Bordeaux.
- Longfils, 24, rue de Marignan.
- Longuemare (Fernand), 12, rue du Buissou-Saint-Louis.
- Longuemare (Georges), 12, rue du Buisson-Saint-Louis.
- Loreau, à Briarc (Loiret) ; et 243, boulevard Saint-Germain.
- Loslc, maison Barton et Gucstier, Bordeaux (Gironde).
- Loysel, 20, rue des Capucines.
- Luart (Comte du), 70, rue de Ponlhicu. Lucinge Faucigny (Prince de), 7G, avenue Marceau.
- Luling (Dr), 9, quai Malaquais.
- Lupé (Comte de), 60, avenue Victor-Hugo. Maas (Emile), 25, rue Dcmours.
- Maas (Eugène), 25, rue Dcmours.
- Mac Coy, American Express C‘°, 11, r. Scribe. Macqué, 53, rue Stc-Anne.
- Maginot, Gouvernement général de l’Algérie (Alger).
- Mahoudeau de Villethiou, i44> rue Lafayctte. Maison, 22, rue du Faubourg St-llonoré ; et rue Parent, à Montgcron (Seinc-et-Oise). Maldonado, 8, rue Lincoln.
- Malher, 9, rue Saint-Florentin.
- Mallet (Érncst), 37, rue d’Anjou.
- Mallet (Maurice), 10, route du Havre, à Puteaux.
- Marchai, 46, boulevard Maillot, Ncuilly. Marcbevillc (Louis de), 4, rue Mcysonnicr. Martin, 4, rue Sodillot.
- Mascart, 176, rue de l’Université.
- Maspiâs, palais d’Orsay, quai d’Orsay ; ealle JZuyo, 1712, Buenos-Aires (République Ar-/ gentine).
- Masurel Fils, château de Mouveaux, rue de la Gare, Roubaix (Nord).
- Maurel, 5, rue d’Orléans, Bordeaux.
- Max, G, rue Léo-Delibes.
- Méaulne (Vicomte de), 184, boulevard Pereiro. Mékarski, 9, rue de Clicby.
- Mélandri, 47, r. Gide, Levallois-Pcrrct (Seine). Menier (Gaston), 61, rue de Monceau.
- Menier (Henri), 8, rue Alfred-de-Vigny. Mercier, 23, rue des Moines.
- Merle, 89, boulevard Hausmann.
- Mesnil (Baron du), 10.4, avenue des Champs-Elysées.
- Metmann, 19, rue de la Bienfaisance.
- Meunier, 7, rue des Acacias.
- Moyer-Borel, 29, rue de Provence.
- Moyssonnicr, î.j, rue Sainl-Polycarpc, Lyon (Rhône).
- Michelin, io5, boulevard Péreire.
- Mirlil, Go, avenue Malakolf.
- Mitchell, 4, avenue Friedland.
- Monin, 5, boulevard des Filles-du-Calvaire. Monjardet, g3, rue du Commerce.
- Monnier, château de Foécy (Cher) ; et 124 bis, avenue de Villicrs.
- Montaland-Davray, 15, avenue d’Eylau. Monthièrcs (Vicomte de), 4g> boulevard Ro-ebeebouart.
- Moore Brabazon, 3o, Cranley Gardons, London S. W.
- Moreau, l\, rue Dupont-Chaumont, à Brunov (Seine-et-Oise).
- Morhon (Vicomte de), 4b, rue Hamclin.
- Morny (Comte de), i bis, rue Scribe.
- Mors, i4, boulevard Emilc-Augier.
- Mourier, 33, rue de Tournon.
- Moussette, 10, rue Vernier.
- Moyard (Baron de), 22, avenue de Ncuilly, à Neuilly (Seine).
- Muny, rue du Colonel-de-Bricquevillc, le Cliesnay, Versailles (Scinc-cl-Oise).
- Murat (Prince), 28, rue de Monceau.
- Murat (Prince Joachim), 28, rue de Monceau. Muron, 25, boulevard Malesherbcs.
- Namur, 8, place Vendôme.
- Négreponte (Jacques), 85, avenue Malakolf. Négreponte (Michel), 83, avenue Malakolf. Neubauer, 218, boulevard Pereirc.
- Ney d’Elchingcn (Duc), 10, rue Jean-Goujon. Nicolas, Lillers (Pas-de-Calais). *>. |
- Nicolleau, ig3, rue du Faubourg-Saint-Denis. Nivière (Baron Fernand), Lunéville (M.-et-M.) Nivièro (Baron Henry), 3, avenue du Troca-déro.
- Noël (André), .02, boulevard llaussmann.
- Noël (Edmond), 3, rue Margueritte. Oberkampf (Baron de), ar, rue de Téhéran.) Obidinc (Prince d’), 10, avenue d’Antin. Ofcnheim (Chevalier), 4, Schwarzcnberg platz, à Vienne.
- OH', 23, avenue d’Antin.
- Olivier (Charles), 26, rue Richer.
- Olivier (Louis), 22, rue du Général-Foy. Omer-Decugis, 5i, rue Pergolése.
- Orlolf (Prince Alexis), 45, rue St-Dominique. Orlolf (Jean), Saint-Pétersbourg (Russie). Oultremont-(Comte d’), 13, rue de l’Industrie, Bruxelles (Belgique).
- Pattard, Grand-Hôtel, Monte-Carlo (Monaco!. Payret-Dortail, 4> rue Aumont-Thiéville. Penteado, Elysée-Palace Hôtel.
- Perchot, 1, avenue de l’Observatoire. Perdussin (de), 3g, rue de Rome.
- Perrier (Gabriel), 81, rue de l'Université. Perrier (Pierre), io3, rue de Miromesnil. Pesce (Chevalier), 78, rue do Grenelle.
- Petit (Ilippolyte), 28, avenue des Champs-Elysées.
- Petit (Roger), 3o, avenue de Messine. Petitpied, 58, Ilansastrasse, Hambourg. Peyroy, le Batyman par Lavardac (Lot-et-Garonne).
- Picard, 43, Compayne Gardons, Londres N. W. l8guet, à Cette (Hérault).
- Pillet, 4) boulevard Saint-Michel; iG, rue St-Merri.
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- DE FRANCE
- Piot, 78, rue de Rivoli.
- Plassard, 5o, rue do Passy.
- Plisson, 2, place d' S Saussaies.
- Polgnac (Marquis de), avenue Montaigne, 26. Pourialés (Comte de), 84, rue do l.ille. Praconlnl (Comte de), 92, avenue dlcna. Prcugne (de La), 26, avenue d’Eylau. Quiuonès de Léon, 77, avenue Marceau. Raoul-Duval, 107, rue de la Pompe.
- Recopé (Comte), 11, avenue d'Iéna.
- Refoulé, GG, rue François-PL ReLs, 16, rue Tailbout Rémond, 22, rue Vivienne.
- Renard. 1. avenue de l Observatoiro. Requédat (Arinuid), 5G, rue de Londres. Requédal. (Marcel), 89. avenue YVagram. Reqnillart, 5, rue Voltaire, Levallois.
- -JRcy, iG, rue Boissy-d’Anglas.
- Riabouchinsky, Moscou (Russie).
- Riardo de la Iluerta, 48, avenue du Rois. Ricliefeu, 235, boul. St-Germain; et la Felon-nière, à Louorre , par Gennes-sur-Loire (Maine-et-Loire).
- Richemont (Vicomte de), G, r. de la Trémoille. Rives, 122, avenue des Cbamps-Elysées. Robinot de la Piebardais (Daniel), 20, rue de Longcbamp.
- Robinot de la Piebardais (Ernest), 20, rue de Longcbamp.
- Roch-Rrault, 3o, place St-Ferdinand ; et 3G, rue Brunei.
- Roche fort (Comte de), 27, rue de Garbc, Saint-Omer (Pas-de-Calais).
- Rœderer (Vicomte), à Poitiers.
- Rochetbulon (Comte de La), 92, r. de Varennes. Rodberg, 204, av. de la République, Caudéran-Bordeaux.
- Rolls, .South Lodge, Rutland Gâte, Knights-bridgè, Londres. S. W.
- Ronalds, 10G East, 38 S1, New-York; et 11 bis, rue de la Raune, Paris.
- Rothschild (Baron Robert de), 23, av. Marigny. Rothschild (Baron Maurice de), t\i, rue du Faubourg-Saint-IIonoré.
- Rothschild (Docteur baron Henri de), 33, rue du l’aubourg-Saint-lIonoré.
- Rousseau, 1G, rue llalcvy.
- Rovira (de), 22, Grande-Rue, Montpellier (Hérault).
- Royston (Vicomte), Baelielors Club, Picadilly, Londres.
- Rozan (Comte), 57, rue Pierre-Charron.
- Ruel, 25, cours de la Liberté, Lyon.
- Saisy, (vicomte de), château do la Bruyère, par Merdrignac (Côtes-du-Nord'.
- Salle (de La), 37, boulevard Lanncs.
- Salleron, 41, rue Saint-Ferdinand.
- Salles, 1, rue Rabelais.
- Salmon, y3, boulevard Malesherbes.
- Salomon s, Broomliill Tunbridge Wells (Angleterre).
- Salvator, Palais Toscan (Vienne).
- Sanchez Bcsa, 5g, rue Pierre-Charron. Santos-Dumont, i5o, av. des Champs-Elysées. Schelchcr, 29, rue de la Bienfaisance. Scheyler, 97, quai des Chartrons, Bordeaux. Schutz, 24, avenue du Trocadéro.
- Sébline, 9, place des Ternes.
- Segonzac (Marquis de), i4, rue de Monceau. Séguier (Comte de), 3o, avenue Bosquet.
- Seguin, 10G, rue Croix-de-Seguey, Bordeaux.
- Sémitchoir (de), 16, Gorohovaia, Saint-Pétersbourg.
- Serpollet, 9 et 11, rue Stendhal.
- Seyssel (Vicomte de), 13, rue d’Aguesseau.
- Silberer (Herbert), St. Annahof, Vienne (Autriche).
- Silberer (Victor), St. Annahof, Wien I. (Autriche).
- Simms, G, Charles Street (Berkeley square), Londres. W.
- Singer, 4, King’s Gardons Ilove, Sussex (Angleterre.
- Spelterini, château Rouge, à Zurich ; et Shep-heards-IIôtel, Le Caire (Egypte).
- Stern, 3o, avenue Montaigne.
- Stevens, 282, 9 th. avenue, New-York.
- Stourdza (Prince), r. Aguado, Dieppe (S.-Infre).
- Stuart Bruce, Thirkleby Ilouse, Aseot (Angleterre).
- Surcouf, 121, rue de Bcllevue, Billancourt.
- Suzor, 89, boulevard de Courcelles.
- Taillandier, 1, route de Sannois, Argenteuil.
- Talion, 2G, avenue Victor-Hugo.
- Tatin, i4, rue de la Folie-Regnault.
- Tcherniadjcir, 2.5, rue Leszno, Varsovie.
- Teisserenc de Bort, 33, rue Dumont-d’CJrville.
- Testenoire, 5, rue Frédéric-Basliat.
- Thonier, château de Longcville, par le Mou-tet (Allier).
- Tliow, 3i, boulevard Ilaussmann.
- Tissandier, 17, avenue Victor-Hugo.
- Tollander/de Balscb (Erik), 8, Kaertbner King, Vienné (Autriche).
- Tollander do Balsch (Waldcmar), 8, Kaerthner King, Vienne (Autriche).
- Tournouer, à Ver, par Ermenonville (Oise).
- Troussclle, 17, avenue Malakoff.
- Turckheim (Baron Adrien de), 2, rue de la Ferme, Neuilly-sur-Seine.
- Turgan, 7, place Malesherbes.
- Uzès (Duc d’), château de Bonncllcs, à Bon-nelles (Seine-et-Oiso).
- Valençay (Duc de), 57, rue St-Dominique.
- Vallot, 114, avenue des Champs-Elysées.
- Vavasscur, G, rue de Castellane.
- Vcauce (Vicomte de), 3g, rue la Boétie.
- Védrine, 2G, av. de Nouilly, Neuilly-s/-Seine.
- Vcrmorcl, Villefranche (Rhône).
- Vermot, G, rue Duguay-Trouin.
- Verne, 9, rue Tronchet.
- Vcrncs, 29, rue Tailbout.
- Vernbes, 12, rue Portalis.
- Vcyséin, 10, place des Quinconces, Bordeaux.
- Vignat, villa des Ternes. gG, av. des Ternes.
- Villain, Caixa Postal 5362, Belem do Para ( Brésil)!
- Villalonga (Marquis de), la Gava, par Bilbao (Espagne) ; Hôtel Mercédès, r. de Presbourg et 10, av. du Vésinet, à Croissy-sur-Seine.
- Villeneuve-Bargemont (Vicomte de), 36, rue de la Faisanderie.
- Villeroy, 35, rue Jean-Goujon.
- Vilmorin (Jean de), 23, quai d’Orsay.
- Vilmorin (Marc de), Verrières-le-Buisson (Seine-ct-Oise).
- Vilmorin (Philippe de), 2,3, quai d’Orsay; et. Verrières-le-Buisson (S.-ct-O.).
- Vinet, Gi, rue de Villiers, à Neuilly-s/-Seino.
- Virieu (Marquis de), 107, rue de la Pompe.
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- AUTOMOBILE CLUB
- D’ALGliRIE
- — 855
- yiyïers (Baron de), Mustapha-Supérieur, à "" Alger.
- Vonwiller, 6, via Brera, Milan (Italie); et 14» rue Pierre-Charron, Paris.
- Wellman, 243i, Colombia Road, Washington D. C. (Etats-Unis).
- Wenz, 5o, boul. Lundy, à Reims (Marne). Weyl, g, rue Hérault, à Billancourt (Seine). Willaime, gouvernement de Podolie (Russie). Willcms, 8o, rue Boissière.
- Woivodich, Alexandrie (Egypte); et hôtel Continental, Paris.
- Wright, 483, Oxlord Street, Londres W.
- Zens, 3, rue la Boétie.
- Zuilen de Nyevclt de Ilaar (Baron de), jo, avenue du Bois-de-Boulogne.
- AUTOMOBILE CLUB D’ALGÉRIE
- ET CERCLE DES SPORTS
- (A. C. A.)
- 23, boulevard Carnot, Alger.
- COMITÉ
- Président d'honneur : Sir Arthur Glen (Thomas), Mustapha-Supérieur.
- Président : M. E. Broussais, 3, boulevard Carnot, Alger.
- MEMBRES ACTIFS
- MM.
- Aboulker (Henri), docteur-médecin, 5, rue Bab-el-Oued, Alger.
- Aboulker (Isidore), négociant, 15, rue de Constanline, Alger.
- Albarel (Henri), négociant, 26, rue d’Isly, Alger.
- Altairac (Frédéric), négociant, i4, rue de Con-stantine, Alger.
- Altairac (Georges), étudiant, 14, rue de Con-stanline, Alger.
- Aynard (Raymond), directeur du cabinet du Gouvernement général, Palais d'Elé.
- Baille, lieutenant à l'état-major du 196 corps d’armée, Alger.
- Baré de Comogne (Baron de), Saint-Maxime (Var).
- Bernheim (Léon), 11, r. de Constanline, Alger.
- Bertrand (Albert), propriétaire, Rouiba.
- Besson, agent général de la Compagnie Générale Transatlantique, Alger.
- Bevan (Roberl), hôtel Samt-Georges, Mustapha-Supérieur.
- Bissonnet, négociant, 8, rue de Constantine, Alger.
- Blachelte (Alphonse), négociant, rue d’Amou-rah, Alger.
- Boisé de Courcenay (de), 3, lue Dumont-d’Urville, Alger.
- Bonthoux (Adrien), rue d’Isly, Alger.
- Borgeaud (Alfred), 11, boul. Carnot, Alger.
- Borgeaud (Charles), propriétaire, Slaouéli-Trappe.
- Borgeaud (Jules), 12, boulevard Carnot, Alger.
- Borgeaud (Lucien), 25, r. Henri-Martin, Alger.
- Borgeaud (Paulin), 12, boul. Carnot, Alger.
- Bossion (J.), 1, rue Littré, Alger.
- Boyoud (Jules), négociant, 3, rue Duinont-d'Urville, Alger.
- Brisis (Guy de), rue de Constantine, Alger.
- Brissonnet (E.) (fils), consul de Belgique, 10, rue de la Liberté, Alger.
- Bruno (Ch.), négociant, 2, rue Colbert, Alger.
- Calmels, lieutenant au 5“ chasseurs d'Afrique, 68. rue Michelet, Alger.
- Carré (Gall'érino), 1, rue de l’Abreuvoir, Alger.
- Carrier, ^5, rue d’Isly, Alger.
- Cavaillé (A.), 1, rue Michelet, Mustapha.
- Chenu (Georges), 31, boul. Bugeaud, Alger.
- Ben Chérif (Mohamed ben Ahmed), Palais d'été.
- Cholus, capitaine au ier chasseurs d’Afrique, Blida.
- Choulot (de), capitaine aux tirailleurs algériens, boulevard Bon-Accueil, Alger.
- Civrieux (de), El Cherchara, Maison-Carrée.
- Colin (Henri), capitaine d’etat-major de la division.
- Cornuz (D.-G.), 1, impasse Parodi, Alger.
- Contades Gizcux (C. de), colonel, 5° chasseurs d’Afrique, Alger.
- David (Robert), conseiller du gouvernement, Dar-el-Ziloun, Mustapha.
- Diggelmann, 28. boulevard Carnot, Alger.
- Divielle (C.), avocat, 23, boul. Carnot, Alger.
- Drogue, commandant, chef de la maison militaire du Gouvernement général.
- Duroux (J.), minotier. Rouiba.
- Duval (Jules), Lits militaires d’Algérie.
- Eseriva (R.), 11, rue d'Isly, Alger.
- l-'erriol, négociant, 19, rue de Constantine, Alger.
- Galland (R. de), 45, rue d’Isly, Alger.
- Gattlill' (Hamillon , propriétaire, Telemly.
- Gérandal, négociant, Hussein-Dey.
- Gcrin (Vincent), garage, 28, rue do la Liberté, Alger.
- Germain (Pierre), propriétaire, Ameur-el-Aïn.
- Gillibert, 48, rue d’Isly, Alger.
- Girard de la Chaise (J. de), lieutenant au Ier chasseurs d’Afrique, Blida.
- Gilton (Georges-Auguste), 2, r. Colbert, Alger.
- Gouttebaron (L.), avocat, 61, r. d lsly, Alger.
- Gueirouard, architecte, 21, boulevard Carnot, Alger.
- Gueret-Bellemarc, boulevard de la République, Alger.
- Guiauchain (Pierre), hôtel Saint-Georges, Alger.
- Ilay Newton (F.-J.-S.), consul géneial d’An-gletene, boulevaid Cainol.
- Ilebiais de Lagrange, juge de paix suppléant, El-Viseur (Constantine).
- Holden (Alfred), Souk-Ali, Boufarick.
- Homolle (Jean), piopriélaire, Zeialda.
- Humières (Comte d ), propriétaiie, Maison-Carrée.
- Huot (Charles), lieutenant, 9, rue de Strasbourg, Alger.
- Jonnait, gouverneur général de l’Algérie.
- Joret (Pierre), Le Bardo (Mustapha-Supérieur).
- Jourdan (Chailes), Villa Mont-Riant, Telemly (Mustapha-Supei ieur).
- Keller Vau Hoo.n, 46, rue de la Lyre.
- Lacanaud, directeur delà Dépêche algérienne, boulevard Lalërrière, Alger.
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- AUTOMOBILE CLUB
- 856 --- DE PICARDIE ET DE l’aISNE
- Lallé, 33, boulevard Bugcaud, Alger.
- Lartigue (Léonce), huissier, rue de l'Abreuvoir, Alger.
- Latrille (Albert), négociant, a, rue Colbert, Alger.
- Lebailly, Maison-Carrée.
- Le Baudy (Charles-Edouard), allées des Mûriers, Belcourt.
- Lelevre (Jacques), El-Biar.
- Le Normand de la Fosse (Gabriel), 4, nie Richelieu, Mustapha.
- Le Normand de la Fosse (Henry), Boufariek.
- Leveilley, négociant, 14, rue de Constantine, Alger.
- Levesque (Marcel), directeur des Lils militaires, Alger.
- Loups (Jean), avocat, 3^, rue d’Isly, Alger.
- Maginot, sous-directeur au gouvernement général, Alger.
- Magnin (Louis-Jules), capitaine d’élat-major, i, rue Pasteur, Alger.
- Malglaive (Maurice de), Campagne du Sahel.
- Malglaivo (Olivier de), propriétaire, Marengo.
- Malglaivo (Pierre de), propriétaire, Oued-el-Allcug.
- Marcé (René-Eugène), Bois-la-Reine, Maison Belcourt.
- Martin (G.-Auguste), propriétaire, 8, rue Mcissonnier, Alger.
- Martin (Joseph), i5, rue Bugcaud, Alger.
- Mattéi (Augustin), officier d’administration du campement,, Alger.
- Manille (comte Robert de), i, pi. d’Isly, Alger.
- Mirante (Jean), officier d’administration, 08, rue de Lyon, Mustapha.
- Mouhoub-Brahim, impasse des Druses, Alger.
- Mouriès, rue de l’Industrie, Alger.
- Narbonne (J.), minotier, Hussein-Dey.
- Nelson-Cliiérico (Félix), trésorier-payeur général (Hôtel du Trésor), Alger.
- Nelson-Cliiérico (Henri), rue d’Isly, Alger.
- Nivet, bijoutier, rue Dumont-d’Urville, Alger.
- Nouvion (G.), directeur de la Société Agricole Algérienne, Alger.
- Ofl’roy, 6, rue du Maréchal-Soult, Alger.
- Pelot, 4, rue do la Liberté, Alger.
- Porcin (amiral marquis de), Amirauté, Alger.
- Pcyroud (Ch.), 4» rue do la Liberté, Alger.
- Pillon (Abel), 34, rue Sadi-Carnot, Alger.
- Pilon-Fleury, propriétaire, El-Biar.
- Plat (Victor), 3, rue Monge, Alger.
- Poidebard (Lucien), a, rue Colbert, Alger.
- Pons (Michel-Cousin), négociant, i, place Mahon, Alger.
- Poulot (Alfred), 0, boul. Laferricrc, Alger.
- Raoust, (P), docteur, 4, rue'de Constantine, Alger.
- Reverdy (L.-V.), pharmacien, îG, rue Babel-Oued, Alger.
- Rey, i5, boulevard.
- Ricci (Fernand), Blidah.
- Rieoine, n, boulevard Carnot, Alger.
- Rostaing (J.-A.), préfet du département d’Alger.
- Samzélius (J.), Birkadem.
- Schwebcl (Maurice), 28, rue Marcy, Alger.
- Simian (Gabriel), courtier, G, boulevara Carnot, Alger.
- Simian (Charles), négociant, 21, boulevard Carnot, Alger.
- Smith (A.), Sidi-Ferruch.
- Sneden (John), route de la Colonne, El-Biar.
- Soubiranne (Louis), avoué, 21, boulevard Carnot, Alger.
- Sturtz, 1, rue Colbert, Alger.
- Ternaux (A.), boulevard Bru, Alger.
- Terracol (Pierre), 24, rue de la Liberté, Alger.
- Thomas (Albert), fondé de pouvoir de la banque Thibaut, 1, boulevard de la République, Alger.
- Thibodini, 8, rue du Hamna, Alger.
- Thibaut, banquier, 1, boulevard de la République, Alger.
- Thivel, villa GattlifT, Alger.
- Tilly (Jean de), capitaine de cavalerie, Palais d’Eté, Mustapha.
- Timsit (Joseph), 2, boulevard de France.
- Van Merlen (L.-M.-C.), chef d’escadrons, villa Monte-Mario, Belcourt.
- Van de Weyer (Baron), Pavillon blanc, Guyotville.
- Vétillard, lieutenant au icr zouaves, 19, rue Saint-Augustin, Alger.
- Videau, négociant en vins, 27, boulevard Carnot, Alger.
- Vignardou, conseiller du gouvernement.
- Villeneuve, place Soult-Berg, Alger.
- Viviers (Baron de), villa Eflcndina, Mustapha Sup°.
- Voinot, architecte, G, rue Soinvillc, Alger.
- Zcrmati (Marcel), négociant, 49, rue de la Lyre, Alger.
- Zlotnicki, hôtel de l’Europe, Alger.
- AUTOMOBILE-CLUB DE PICARDIE ET DE L’AISNE
- (A. C. 1>. A.j
- US, rue des Trois-Cailloux, à Amiens {Somme)
- GOMITK
- Président.: M. Vasscllc, 77, boulevard du Mail, à Amiens.
- Vice-président : M. Lupart, 35, rue Lamarck, à Amiens.
- Secrétaire général : M. Randon, 8, rue Lc-merchier, à Amiens.
- Trésorier: M. Ilazebrouck, 1, rue Blassel, à Amiens.
- Membres : MM. Julien Riquier, président de la Section d’Abbeville ; docteur Boussavit,, irésident de la Section d’Amiens ; Syden-ïam, président de la Section de Doullens ; Chassinat., président de la Section de Laon ; Collinet (Mareuil), président de la Section de Montdidier: Caron, président de la Section de Péronne ; Lecot, président de la Section de Saint-Quentin et Vervins ; docteur Bernard (Amiens), Lefebvre (Amiens), Legrand (Amiens).
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- AUTOMOBILE CLUB
- DE IMCAKDIE ET DE L AISNE
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- MEMBRES ACTIFS
- MM.
- Allard (Paul), substitut du Procureur de la République, Abbeville.
- André (Maurice), docteur, carrefour des Minimes, Péronne.
- Aubert (Désiré), 4°> rue Saint-Sauveur, Péronne.
- Aubréc (Octave), villa des Pilets, Saint-Valcry-sur-Somme.
- Azœuf (Albert), Contoirc-IIainel, par Pierre-pont-sur-Avre (Somme).
- Baëlen, 21, rue des Cordeliers, Amiens.
- Bailcy, docteur, i3, r. Victor-Hugo, Amiens.
- Balluet, rue Saint-Jean, Péronne.
- Basquin (Henri), villa de Remicourt,, Saiul-Quentin.
- Battersby, 1, rue Rigollot, Amiens.
- Baudelocque, 63. rue Frédéric-Petit, Amiens.
- Bautier, 76, rue Lemerchier, Amiens.
- Becquincourt (de), château do Billancourt, par Nesle (Somme).
- Behenne (Angustc), Téronne.
- Bellard, fils, rue St-Jean-des-Prés, Abbeville.
- Bellay (Charles du), château de Qucsnoy-le-Montant, par Abheville.
- Bernard (Jean), docteur, /ji, rue de P Amiral-Courbet, Amiens.
- Berny (Gérard de), 36, r. Victor-Hugo, Amiens.
- Bertincourt, 2, esplanade de Boyon, Amiens.
- Bignon, 3i, chaussée d’IIocquet, Abbeville.
- Bignon (Paul), Abbeville.
- Blaisel d’Enquin (du), 60, rue des Jacobins, Amiens.
- Blériot (Maurice), 7, r. Porte-Paris, Amiens.
- Blériot (Louis), 16, rue Duret, Paris.
- Blondel, 67, boulevard du Cange, Amiens.
- Blondel, docteur, 38, boulcv. Carnot, Amiens.
- Blotière (Maurice), industriel Corhie (Somme).
- Boileau, 46, rue du Vivier, Amiens.
- Bonvallet (Edouard), r. Dom-Grcnier (Amiens).
- Bory, président de Chambre à la Cour d’Appel, 5, rue Dufour, Amiens.
- Bosquette (Henri), au Nouvion-en-Thiérache (Aisne).
- Bouctot (André), rue des Jacobins, Amiens.
- Bougon, 9, rue Beaurcgard, Amiens.
- Boulanger, docteur, 12, r. Sl-Jean, Péronne.
- Bourgeois, pharmacien, rue Saint-Sauveur, Péronne.
- Boussavit, docteur, 12, rue Picrre-l'Ermitc, Amiens.
- Boutin, docteur, Auxi-le-Châtcau (Pas-de-Calais).
- Boutmy, président de la Chambre de Commerce, 80, rue St-Jacques, Amiens.
- Brasseur , docteur, Villers - Bretonneux (Somme).
- Brasseur (Charles), Le Meillard, par Berna-ville (Somme).
- Brice, 19, rue St-Sauveur, Péronne.
- Bris-Boca, 29, rue de la Grange, St-Quentin.
- Brouilly, propriétaire, rue Bellevue, Amiens.
- Brulé, directeur de l’Usine Desquiens, Pont-de-Mets-lès-Amiens.
- Bucquet, 63, rue Frédéric-Petit, Amiens.
- Bufnoir, docteur, 1, rue de l’Abbaye-d’lsle, Saint-Quentin.
- Bulté, fabricant de sucre, Longueval, par Combles (Somme).
- Cagny, docteur, 14, rue des Grandes-Ecoles, Abbeville.
- Campeau-Gennes (de), château de Maison-Ponthicu (Somme), par Auxi-lc-Châleau (Pas-de-Calais).
- Capronnier, manufacturier, Caix- cn-Santcrrc (Somme).
- Caron, 2, rue Béranger, Péronne.
- Carpentier, 13, rue de la Voirie, Amiens.
- Carton, pharmacien, Beauval (Somme).
- Cauvin, industriel, Saleux (Somme).
- Cavillon (Edmond), industr1, Airaincs(Somme).
- Cayet, docteur, Doullens.
- Chalochet, docteur, 29, rue de la Pointe, Abbeville.
- Chambaud, docteur, 100, rue St-Gilles, Abbeville.
- Gbamont (Ernest), château de Caubert, par Abbeville.
- Chardenal, avoué, Montdidicr.
- Chassinat, avoué, Laon.
- Chevalier, médecin, Argœuves, par Dreuil-lcs-Amiens (Somme).
- Cocud, 2 bis, Grande-Place, Péronne.
- Codron (Louis), fabricant de sucre, Beau-champs (Somme).
- Collinet (Louis), industriel, Moreuil (Somme).
- Corroyer, constructeur-mécanicien, rue Saint-Honoré, Amiens.
- Cosserat (Oscar), industriel, rue de la République, Amiens.
- Coulombel, 60, chaussée Marcadé, Abbeville.
- Coulombel, 1, rue du Pot-d’Etain, Péronne.
- Courtellcmont, docteur, rue Porte-Paris, Amiens.
- Credo/. (Louis), industriel, Moreuil (Somme).
- Curé, docteur, Corhie (Somme).
- Damagncz (Gustave), propriétaire-agriculteur, Candas (Somme).
- Damay, propriétaire, Bouchoir, par Arviller (Somme).
- Dancourt (de), château de Pendé, par Saint-Valery-sur-Somme (Somme).
- Danicourt (Albert), industriel, Albert (Somme).
- Darcourt, 47» rue Saint-Sauveur, Péronne.
- Dassonvillc, 23, rue Morgan, Amiens.
- David (Paul), 83, rue Gaultier-do-Rumilly, Amiens.
- David (Charles), 12, rue do Cerisy, Amiens.
- David (Gustave), 10, rue Pierre-l’Ermite, Amiens.
- Dcbary, docteur, r. de la République, Amiens.
- Decaux, 5i, rue Saint-Sauveur, Péronne.
- Delacourt (Michel), négociant, Poix (Somme).
- Delacour (Maurice), industriel, Villers-Breton-neux (Somme).
- Delarue, docteur, 17, rue Albert-Fatton, Amiens.
- Delattre, 7, rue Lemerchier, Amiens.
- Delmazure, brasseur, Roye (Somme).
- Dembrun, 16, rue d’Isle, St-Quentin (Aisne),
- Denis (Georges), juge, Doullens.
- Denis (Louis), docteur, 4, r. du Paon, Péronne.
- Depas, principal clerc de notaire, rue des Corps-Nuds-Sans-Tète, Amiens.
- Dequen, 15, rue Victor-Hugo, Amiens.
- Dersu (Charles), propriétaire, Epenanc.ourt, par Athies (Somme).
- Descat, 29, rue Colbert, Amiens.
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- AUTOMOBILE CLUB -- 858 --- DE PICARDIE ET DE L’AISNE
- Desjardins (Charles), Remancourt, par Essi-gny-le-Petit (Aisne).
- Dessiner, docteur, rue au Lin, Amiens. Devos, brasseur, rue Saint-Nicolas, Péronne. Dlieilly , industriel, Vilders - Brctonneux (Somme).
- Dhéi issart, industriel, Vaux-Eclusier, par Rray-sur-Somine (Somme).
- Dhervillier, 26, rue de la Sous-Préfecture, Saint-Quentin.
- Dian, négociant, rue Caumartin, Amiens. Didier (Emile), Roiscl (Somme). Doucz-Framozelle, industriel, x5, rue André, Amiens.
- Douriez, docteur, Abbeville.
- Drops', fabricant de sucre, St-Denis, Péronne. Duc, 13, rue Picrrc-FEi mite, Amiens, Dudbout, 4, rue du Rlamont, Amiens.
- Dullot (Eugène), Fontaine-lès-Vervins (Aisne). Dupetit, 2, rue Cbarles-Dubois, Amiens. Durieux (Armand), maire, Beauquesne (Somme).
- Du vetle, 54, rue Saint-Fuscien, Amiens. Engerran, 82, rue des Trois-Cailloux, Amiens. Epine (baron del'),château de Prouzel (Somme). Evrard, 4o> rue Sérurier, Laon.
- Fafet, 34, rue de la llotoie, Amiens.
- Favrcssc, 10, rue Bisson, St-Quentin (Aisne). Flageollet, propriétaire, St-Valery-sur-Somme (Somme).
- Flahaut, industriel, 2, rue Dom-Bouquct, Amiens.
- Flamant, docteur, Essigny-lc-Grand (Aisne). Follet, docteur, rue du Soleil, Amiens. Fournier, (i, rue Dusévcl, Amiens.
- Fournier, docteur, 22, rue Jules-Lardière, Amiens.
- François, 35, rue Saint-Fuscien, Amiens. Franç.ois-Daimé, rue de la Sellerie, Saint-Quentin (Aisne).
- Frénoy, 1, rue Vivien, Amiens.
- Gaillard, 3^, chaussée d’IIocquct, Abbeville. Gallarid, industriel, Rosières (Somme). Garnand, 34, rue de l'Abbaye, Amiens.
- Garni, docteur, 8, rue Lavailard, Amiens. Garet, 10, rue Chai les-Dubois, Amiens. Garsignies (de), château de Beaufort, par Rosières (Somme).
- Garsignies (Romain de), château de Beaufort, par Rosières (Somme).
- Gayraud, 92, rue Saint-Fuscien (Amiens). Godbcrt, 62, rue des Jacobins, Amiens. Gonnct, 23, rue Saint-Sauveur, Péronne. Gonnet, 14> Grande-Place, Péronne.
- Graire, 5, rue Saint-Fuscien, Amiens. Grégoire, 17, rue IIcnri-Daussy, Amiens. Gronier, négociant en fers, llam (Somme). Gronicr (Henri), llam (Somme).
- Guénin, 7, rue de la Citadelle, Amiens. Guilbert, 53, boulevard du Jardin-dcs-Plantes, Amiens.
- Guilbert, 6, boulevard d’Alsace-Lorraine, Amiens.
- Guilbert, docteur, Corbie (Somme).
- Ilagimont, industriel, boulevard de Bapaume, Amiens.
- Hautecloque (de), château de Belloy-Saint-Léonard, par Airaines (Somme).
- Hazart,, Ci, boulevard du Mail, Amiens. Hazebrouck, 1, rue Blasset, Amiens.
- Hennino, rue Saint-Sauveur, Péronne.
- Herbet, 70, rue des Vergeaux, Amiens.
- Ilordequin (Alexis), Beauval (Somme).
- Horgard, architecte, Doullens.
- Ilorrie, maire, Mesnil-Saint-N'icaise, parNesle (Somme).
- Iluet, 2, rue Saint-Honoré, Amiens.
- Hugues, 8, rue de Vesoul, St-Quentin (Aisne).
- Huré, 119, rue Saint-Gilles, Abbeville,
- Iblcd, fabricant do chocolat, Mondieourt (Pas-de-Cal.iis).
- Imbert (Emile), propriétaire, Escarbotin, par Friville-Escai bot in (Somme).
- Jeunet, docteur, Mers (Somme).
- Jourdain, 22, rue de l'Eveché, Saint-Quentin (Somme).
- Jumel (Albert), propriétaire, Fluy, par Bougainville (Somme),
- Jumel, avocat, rue Saint-Fuscien, Amiens.
- Karcher (Paul), au Passillon, Villers-Carbonncl (Somme).
- Lacoulure, 13, place du Huit-Octobre, Saint-Quentin (Aisne).
- Laisne (Léon), rue Jeannc-d'IIarcourt, Albert (Somme).
- Lalain (de), maire, Miscry, par Marchélepot (Somme).
- Lameth (marquis de), château de Hénencourt, par Wailoy-Baillon (Somme).
- Langlois, industriel, usine de Rocourt, SainU Qucntin (Aisne).
- Laruc, 45, Grande-Place, Péronne.
- Laurier, 4i> chaussée du Bois, Abbeville (Somme).
- Lebel, 28, boulevard Carnot, Amiens.
- Lecerf, fabricant de pneumatiques, faubourg de Paris, Péronne.
- Lecomte, 11, boulevard d’Alsace-Lorrainc, Amiens.
- Lecomte, notaire, Le Ronsoy, par Epehy (Somme).
- Lecot, 5, rue Fréreuse, Saint-Quentin (Aisne).
- Lefebvre, n5, rue Laurendeau, Amiens.
- Lefebvre, docteur, Doullens.
- Lefeburc, maire, Pont-à-Bucy (Aisne).
- Lelevre-Faconnet, 33, rue Bach, St-Quentin.
- Legrand, 2, rue Beauregard, Amiens.
- Legrand, 6, place Dufour-Denelle, Saint-Quentin (Aisne).
- Leloup, 37, chemin de Ilalage, Abbeville.
- Lencauchez, rue Marotte, Amiens.
- Lenoir, 7, rue Cloîlre-dc-la-Bargc, Amiens.
- Lequeux, farinier, Bray-sur-Somme (Somme).
- Lesage (Paul), négociant, Villers-Bretonneux tSoinme).
- Lescnne, banquier, Airaines (Somme).
- Lesieur (Paul), propriétaire, Corbie (Somme).
- Lestienne, 21, rue Lcdien, Abbeville.
- Lestienne (Waldemar), 21, rue Ledien, Abbeville.
- Longuemare, directeur d’usine, Corbie (Somme).
- Lorel, 27, chaussée d’IIocquct, Abbeville,
- Loyson, négociant, Grande-Place, Péronne.
- Lupart, 35, rue Lamarck, Amiens.
- Magniez, 22, rue Colbert, Amiens.
- Mabelin, 03, rue Frédéric-Petit, Amiens.
- Mallet, 96, rue du Vivier, Amiens.
- Mariau, docteur, rue Puchottc, Péronne.
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- AUTOMOBILE CLUB
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- DE PICARDIE ET DE L AISNE
- Marchandier, 28, rue des Frères-Desains, Saint-Quentin (Aisne').
- Martel, 18, faubourg-de Paris, Péronne.
- Martinval, io, rue des Lombards, Amiens.
- Martin (llarry), château de Courcelles-sous-Thoin (Somme).
- Macrez, docteur, Lignières-Cbâtclain(Somme).
- Masse (Paul), industriel, Corbie (Somme).
- Masse (Jean), industriel, Corbie (Somme).
- Menncsson, directeur de la Sucrerie, route de Calais, Abbeville.
- Mesmay (Mmo de), 37, quai Gayant, Saint-Quentin (Somme).
- Minguet. (Edmond), Montdidicr.
- Mollet (Eugène), Le Calelet-Gartigny, par Péronne.
- Moulonguet, docteur, rue do la République, Amiens.
- Moureau, 53, rue du Gouvernement, Saint-Quentin (Aisne).
- Mousset O’Brumier, 5, boulevard du Mail, Amiens.
- Muller, docteur, iG, rue de Lorraine, Saint-Quentin (Aisne).
- •Obert, 7, rue Saint-Fursy, Péronne.
- Outrequin (Henri), négociant, Villcrs-Breton-neux (Somme).
- Ozenfant, 7, rue Bellevue, Saint-Quentin.
- Paillart, 8/|, chaussée Marcadé, Abbeville.
- Pannetier, i, rue du Paon, Péronne.
- Parent, 23, place Saint-Denis, Amiens.
- Paris-Vantigny, négociant, Boulions.
- Pascault, rue de Lorraine, St-Quentin (Aisne).
- Passillé (de), propriétaire, Oisemont (Somme).
- Pauchet, docteur, 19, rue Lamartine, Amiens.
- Payelle, brasseur, Péronne.
- Payen (Raymond), boulcv. du Mail, Amiens.
- Peloux, docteur, 34 rue Laurandeau, Amiens.
- Perdu, docteur, rue du Gange, Amiens.
- Petersen, i, rue Debray, Amiens.
- Philippe (Paul). 26, roule d’Abbeville, Amiens.
- Polet (B.), négociant, Flixecourt (Somme).
- Poncho, 4, rue Lemerchier, Amiens.
- Provins, docteur, Roisel (Somme).
- Prudhommo (Albert), propriétaire, villa des Fox, Le Croloy (Somme).
- Pruvost, docteur, i4o, r, Jules-Barni, Amiens.
- Puche, docteur, Atliies (Somme).
- -Queulain, 19, rue Bruno-d’Agay, Amiens.
- Rabeuf, 22, route de Paris, Amiens.
- Rambures (marquis de), château do Rambures, par Oisemont (Somme).
- Randon, 8, rue Lcmcrcbier, Amiens.
- Hanson, docteur, Roisel (Somme).
- Haveneau (marquis de), château de Noyai, par Guise (Aisne).
- Rayez, 31, rue Voiture, Amiens.
- Raymond, receveur de l'Enregistrement, Moyenncvillc (Somme).
- Reimbert, lieutenant, 720 de ligne, Abbeville.
- Renard, 35, rue Frédéric-Petit, Amiens.
- Richard, 5, rue Béranger, Péronne.
- Riquier (Edouard), industriel, Fressenneville (Somme).
- Riquier (Julien), industriel, 4, rue de l’IIôtel-ae-Ville, Abbeville.
- Robais (comte Van), rue Millevoye, Abbeville.
- Robart, 70, rue Frédéric-Petit, Amiens.
- Rolland, directeur des Distilleries de Sébas-topol-IIam, Ham (Somme).
- Ronde.au, manufacturier, Gorbia (Somme).
- Ropiquel, 2i4, rue Jules-Barni, Amiens.
- Roussel, 6, rue de la République, Amiens.
- Roussel, 54, rue Saint-Sauveur, Péronne.
- Roux, 66, rue Saint-Fuscien, Amiens.
- Roy, boulevard d'Alsacc-Lorraine, Amiens.
- Rubé, 90, rue des Trois-Cailloux, Amiens.
- Saint (Pierre), industriel, Flixecourt (Somme).
- Saint (Henri), industriel, Flixecourt (Somme).
- Sannier (Pierre), propriété, Liomer (Somme).
- Savary (Maurice), industriel, Nesle (Somme).
- Searle (Albert), propriétaire, Boutillerie-lès-Amiens (Somme).
- Sellier (G.), agent voycr, Ailly-sur-Noye (Somme).
- Sénéchal, 46, rue Le Nôtre, Amiens.
- Senneville (de), propriétaire, Atliies (Somme).
- Seret, négociant, rue des Canonniers, Saint-Quentin (Aisne).
- Sézille, négociant, Corbie (Somme).
- Sire, 1, rue Cormont, Amiens.
- Sourmais, banquier, rue St-Jean, St-Quentin.
- Streit de Bossy, rue des Trois-Cailloux, 17, Amiens.
- Sydenham (Georges), industriel, Doullens.
- Sydenham (Maurice), industriel, Doullens.
- Tattegrain (Roger), propriétaire, Devise, par Atliies (Somme).
- Terreveilleault, ingénieur, rue de l'Impératrice, Borck-Plage (Pas-de-Calais).
- Theillicr (Pierre), propriétaire, Grand-Priel, par Hargicourt (Aisne).
- Theillier (François), propriétaire, Grand-Priel, par Hargicourt (Aisne).
- Théry, 33, rue d’Aumale, St-Quentin (Aisne).
- Théry (Henri), fabricant de sucre, Athies (Somme).
- Thézy (Henri de), Noyelles-sur-Mer (Somme).
- Tliézy (Pierre de), 4^> chaussée Périgord, Amiens.
- Thicrcy, juge au Tribunal, Laon.
- Thibaut, 45, rue Lemerchier, Amiens.
- Thuilliart, négoc1, Gaix-en-Santerre (Somme).
- Thuillier (Paul), conseiller d’arrondissement, Vignacourt (Somme).
- Torchon, 21, rue Pierre-Sauvage, Abbeville (Somme).
- Trocmé, 7, rue Gliarlevoix, Saint-Quentin.
- Tournoux, pharmacien, Laon.
- Vagniez (M",c), 14 > rue Lcmcrcbier, Amiens.
- Valinonl (docteur de), Crécy-sur-Serre (Aisne).
- Valois (de), maire, Aumàtre, par Oisemont (Somme).
- Vassclle, 77, boulevard du Mail, Amiens.
- Vast-Darras, négociant en fer, Eu (Seine-Inférieure).
- Vast, i4, rue d’Alsacc-Lorraine, Eu (Seinc-Inlérieure).
- Vergelot, notaire, Nesle (Somme).
- Victor (Mmo veuve), i4, esplanade de Noyon, Amiens.
- Viger, docteur, Abbeville.
- Villetard, 52, boulevard Gambetta, Saint-Quentin (Aisne).
- Vincent, cj, rue Ducangc, Amiens.
- Vion, fabricant de sucre, Sainte-Emilie-Villors-Faucon, par Roisel (Somme).
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- AUTOMOBILE CLUB
- 860 —
- VAUCLUSIEN
- AUTOMOBILE CLUB
- VAUCLUSIEN
- (A. C. V.)
- 92, rue Joseph-Vernet, à Avignon {Vaucluse)
- COMITÉ
- Présidents d'honneur : MM. le Préfet de Vaucluse, l’Ingénieur en chef des Ponts-el-Chaussées, Jules Pernod.
- Président : M. Paul Pamard.
- Vice-présidents : MM. Paul de Lamothe, Fernand Rien.
- Secrétaire Général : M. Auguste Jouve.
- Trésorier: M. Alexandre Poirson.
- Commissaires : MM. Armand, Hippolyte Car-toux, Félix Durbesson, Emile Fenouil, Mercier, Lalo, Jean do Lapérouse, Paul Valabrèguc.
- Secrétaire : M. Jean Grégoire.
- MEMUllES ACTIFS
- MM.
- Ader, autos de Provence, rue Laboureur, Avignon.
- Allard (Emile), pépiniériste, Cabannes (Bou-ches-du-Rhône).
- Armand, ingénieur, rue de la Masse, Avignon.
- Augier, assurances, rue Porte-Monlcux, Car-pentras.
- Aurouze, rue Joseph-Vernet, i/j, Avignon.
- Auliero Jeune, luthier, rue des Marchands, Avignon.
- Aymé (Pierre), Fils, négociant, avenue de la Gare, Carpentras.
- Aymé (Paul), négociant, L’Isle-sur-Sorgues.
- Barcilon, notaire, Carpentras.
- Barrai (J.), pharmacien, Montbrun-les-Bains (Drôme).
- Baudoin (Maurice), Bagnols.
- Baze (Octave), rue de l’Amelier, Avignon.
- Bec (Fortuné), docteur, rue des Infirmières, Avignon.
- Bedoc, Salon (Bouches-du-Rhône).
- Bichon, docteur, Chàteaurenard).
- Blain (Albin), château des Alpilles, Sl-Rémy (Bouches-du-Rhône).
- Blauvac (Charles), rue des Pénitents-Gris, Carpentras.
- Boysseulh (Géraud de), r. Roux-Alpheran, Aix.
- Bonfils (Alfred), industriel, Entrechaux.
- Bonnecaze (R.), Assurances, rue Banasterie, Avignon.
- Bouctliay (Jean), Carpentras.
- Bouscarle (Augustin), négociant, Cavaillon.
- Brun-Champein (Auguste), négociant, L'isle-sur-Sorgue.
- Brun-Champein (Jules), négociant, L’Isle-sur-Sorgue.
- Brunet-Baudry, r. de la République, Avignon.
- Cabanes, docteur, Cavaillon.
- Camaret (Comm* de), à St-Barthélèmy, près Pernes.
- Campagne, docteur, rue Joseph-Vernet, Avi-gnon.
- Cartoux (Hippolyte), rue de la République, Avignon.
- Cassin (Paul), docteur en médecine, Avignon.
- Cazalet (Edouard), directeur de la Banque Gaidan et Ci0, Béziers.
- Cellard, docteur, Carpentras.
- Chabrier (Félix), r. delà République, Avignon.
- Clialle, juge au Tribunal de Commerce, rue des Encans, Avignon.
- Colain, Bagnols (Gard).
- Colomby, bijoutier, rue de la République, Avignon.
- Conchy (Armand de), rue Pelite-Fusterie. Avignon.
- Constant, notaire, Bagnols (Gard).
- Couzon, rue Fcrruce, Avignon.
- Créangc (Paul), lilateur, Cavaillon.
- Chazettes de Bargucs (René de), avocat, le Pontet (Vaucluse).
- Cornu (Fernand), Domaine d’Altavez par Ta-rascon (Bouches-du-Rhône).
- Davet (Désiré), docteur, St-Ambroix (Gard).
- David (Emile), assurances, rueTrois-Faucons, Avignon.
- Dcleuze, 18, avenue Bugeaud, Paris.
- Dcyvaux, pharmacien, rue Vieux-Septier, Avignon.
- Didio (Pierre), lieutenant au ()mo hussards, Tarascon (Bouches-du-Rliône)
- Dinard. rue des Encans, Avignon.
- Donadieu, rue de la République, Avignon.
- Dongier, tailleur, boulevard Limbert, Avignon.
- Dornc, garage Mathieu, Béziers.
- Dreyfus (Henri), place d’Inguimbcrt, Car-p en Iras.
- Diicommun lils, Usine des Tramways Electriques, Avignon.
- Dumas (Henri), L’Isle-sur-Sorgues.
- Dusaugey (Ernest), directeur du Sud Electrique, rue Joseph-Vernet, Avignon.
- Durbesson, docteur en médecine, rue Dorée, Avignon.
- Durbesson (Félix), villa Sainte-Marguerite, près Pernes.
- Faucilhon, notaire, L’Isle-sur-Sorgue.
- Félix (Vicomte Victor de), avocat, rue Grande-Meuse, Avignon.
- Fenouil (Emile), viticulteur, place Sainte-Marthe, Carpentras.
- Fenouil (Paul), Carpentras.
- Fcrréol, capitaine, Vcdènes.
- Filippi, docteur, Remoulins.
- Fcraud, docteur, rue de la Fabrique, Orange.
- Florent (Paul), industriel, Avignon.
- Fourmon (Eugène), fabricant de tapis, Vaucluse.
- Fraisse, château des Tresques, à Tresques (Gard).
- Franquebalme (Alfred), industriel, rue Joseph-Vernet, Avignon.
- Fortunct, docteur, le Tlior (Vaucluse).
- Gagnères Fils, tailleur, rue Tliiers, Avignon.
- Gaillard de Lavaldène (Comte de), château de Bellevue, Bollène.
- Galitzinc (Prince), hôtel d’Europe, Avignon.
- Gasté, rue de la Victoire, 71, Paris.
- Gaudemaris (Marquis de), Massillan-Uchaux (Vaucluse).
- Gaudemaris (Pierre de), Massillan-Uchaux (Vaucluse).
- Gebelin (Paul), place Carnot, Avignon.
- Geoffroy (Paul), rue Victor-Hugo, Avignon.
- Geoffroy, conseiller général, Malaucène.
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- AUTOMQBILE CLUB
- — 86 I
- ARDENNAIS
- Geoffroy Frères, négociants, L’Islc-sur-Sorguc.
- Gervais, château de Courtine, Avignon.
- Gibert (II.), rue Thcodore-Aubanel, Avignon.
- Giely Fils, rue du Carmel, Carpentras.
- Gros M., rue Guillaumc-Puy, Avignon.
- Gouzy, inspecteur d’assurances, quartier Champflcury, Avignon.
- Isnards (Comte llellcn des), au Martinet, près Carpentras.
- Jacquet (Raoul), rue Joseph-Vcrnet, 3q, Avignon.
- Jocas (Marquis de), Les Mées (Basses-Alpes).
- Jouve, banquier, Cavaillon.
- Jullian, ocres, Gargas (Vaucluse).
- King (Henri), rue Pétramale, Avignon.
- Labastie (Charles), Vedène (Vaucluse).
- Labourier (Emile), tissus, Carpentras.
- Lacombe (Germain), propriétaire, Bagnols (Gard).
- Lagier (Emile), négociant, Carpentras.
- Lagoy (Marquis de), château de Lagoy, Saint-Remy-de-Provence.
- Lalo, ingénieur, L’Isle-sur-Sorgue.
- Lamothe (Paul de), r. Stc-Praxèdo, Avignon.
- Lapérouse (Jean de), Laurade, St-Etienne-du-Grès (Bouches-du-Rhône).
- Laroche, Carpentras.
- Ligonnes (de), capitaine à Romans (Drôme).
- Long (Louis), industriel, Carpentras.
- Lugan, docteur en médecine, place St-Didier, Avignon.
- Le Sourd (Francis), /19, rue Saint-André-des-Arts, Paris.
- Marcellin, docteur en médecine, Carpentras.
- Martin, automobiles, boulevard Saint-Roch, Avignon.
- Martinaud, docteur en médecine, rue de la République, Avignon.
- Masquin (André), docteur, Saint-Didier (Vaucluse).
- Matieu, fabricant d’automobiles, Avignon.
- Meillon, engrais, Sorgues.
- Mercier (Jules), commissaire-priseur, rueSte-Galherinc, Avignon.
- Mcron (Fernand), Carpentras.
- Michel, docteur, Carpentras.
- Monier (Frédéric), ancien sénateur, Eyguièrcs (Bouches-du-Rhône).
- Montagard, docteur en médecine, rue de la République, Avignon.
- Montagnié, docteur, Cavaillon.
- Montillet (Albert de), rue Joseph-Vcrnct, Avignon.
- Montillet (Henri de), rue Joseph-Vcrnet, Avignon.
- Monval (de), château de la Vernèdc, Aramon (Gard).
- Mourgue, pharmacien, Sainte-Cécile.
- Murjas, pharmacien, Cavaillon.
- Nerson (Georges), industriel, Valréas.
- Neyron (Adolphe), confiseur, rue du Cimetière, Carpentras.
- Nicolaï (Comte de), château de la Ncrthe, Châteauneul'-du-Pape.
- Pamard (Alfred), docteur en médecine, Avi-guon.
- Pamard (Paul), docteur en médecine, Avignon.
- Paradan, juge, rue Sainte-Catherine, Avignon.
- Pascal, docteur, Orange.
- Pernod (Jules), rue Guillaume-Puy, Avignon.
- Pernod (Joseph), r. Guillaume-Puy, Avignon. Peyron (Gustave), propriétaire, Mazan. Poirson (Alexandre), Canlarcl, Avignon. Pascalin (Paul), cartonnages, Bagnols (Gard). Banquet (Joseph), boulevard Raspail, Avignon. Rieu, rue Victor-Hugo, Avignon.
- Ripert (Maurice), rue Porte-de-Mazan, Carpentras.
- Roche, docteur, Sorgues.
- Roullet-Pila, industriel, L'Islc-sur-Sorgues (Vaucluse).
- Rousseau, négociant, Carpentras.
- Roux (Félix), château do Coucourdan, Orange. Roux (Louis), notaire, Cavaillon.
- Roux, abbé, Hippolylc-Montfavet.
- Roux, dentiste, Carpentras.
- Roux Frères, négociants, Chamaret (Drôme). Saint-Priesl (Charles de), rue Petite-Fusterie, Avignon.
- Salomon, industriel, “La Parisienne”, par Velleron.
- Sartre, propriétaire, Bagnols.
- Simon (Raoul), 1, rue Beaujon, Paris.
- Spcyr (de), rue Banasteric, Avignon. Tacussel (Alexandre), Vaucluse.
- Taulier, usine Mouteil, Avignon.
- Tcrrav (Vicomte), Barbcntane.
- Thomas (Pierre), industriel, Avignon. Tournoy, receveur des finances, Apt. Trintignan (Fernand), propriétaire, Pont-Sl-Esprit.
- Valahrègue (Gustave), Carpentras.
- Valabrègue (Paul), banquier, Carpentras. Valahrègue (Roger), avocat, Avignon. Valentin, receveur des Postes et Télégraphes, Carpentras.
- Vcnrdan, Hôtel du Mont-Ventoux, Bedoin. Verdet (Auguste), Avignon.
- Verdet (Fernand), Picrrclante, Villeneuve-les-Avignon.
- Verdet (Maurice), Montant, Villcncuve-lcs-Avignon.
- Vidal (Jean-Louis), mercier, rue Vieux-Spe-tier, Avignon.
- Vincent (Henri), chocolatier, rue Vieux-Sep-tier, Avignon.
- Ymonct, assurances, Carpentras.
- AUTOMOBILE-CLUB ARDENNAIS
- (A. C. A.)
- ù Hazeilles (Ardennes).
- COMITE
- MEMIIKES ACTIFS
- MM.
- Abd-el-Nour \Dr), à Bazeilles. Amstein, â Sedan.
- Aubert in (Dr), â Sedan.
- Baillot, â I'umay.
- Barbeaux, à Monthois.
- Bauchet, à Rethel.
- Benoit, à Sedan.
- Bertrand fils, à Charleville.
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- AUTOMOBILE CLUB
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- DE BELFORT
- Beurmann (Baron de), à Douzy.
- Borderel au château de Balaives, par Flize. Bouton, à Puteaux (Seine).
- Bribosia (D'), à Namur (Belgique).
- Brion, à Rethel.
- Bruce (Comte de), à Ilagnicourt.
- Bruckcrt, a Rousics (Maubeuge).
- Bunoust, à Charleville.
- Camion, à Vivicr-au-Court.
- Clément, q Michelet, àLevallois-Perret(Seine). Cochau*, a Deville.
- Corneau, à Charleville.
- Cossette (Vicomte de), château Maget, Sedan. Dauxin, à Nouzon.
- Dcbord. à Nouzon.
- Delhotel, à Gaulier-Sedan.
- Delmotte, à Rethel.
- Dcmangel, G, rue Léon-Renier, à Charleville. Depambour (G.), à Sedan.
- Depambour (J.), à Sedan.
- Deville (Albert), à Charleville.
- Deville (R.), 3G, cours d’Orléans, à Charleville. D’Hotel, 12, rue d'Aubilly, à Charleville.
- Doizy (D1), à Flize.
- Drappier (Dr), à Rethel.
- Dubee, 9, rue des Ecoles, à Charleville. Dufour, à Fuinay.
- Durl’ort (Comte de), à Guignirourt (Ardennes). Faure, à Charleville et à Revin.
- Finaly (M1""), 4t avenue Huche, à Paris. Finaly, 4, avenue Hoche, à Paris.
- Froussart, route Nationale, à Charleville. Gair.d (Dr), à Carignan.
- Gérard, 3i. rue de Rome, à Paris; et à Bogny (Ardennes).
- Gilbert, à Givet.
- Gobinet (Dr), à Rethel.
- Gobron, à Buzancy (Ardennes).
- Grossclin, rue de Balan, à Sedan.
- Grosselin (Maurice), rue de Balan, à Sedan. Guerbé (D‘), à Carignan.
- Haclion, Sault-les-Rethel.
- Halma, à Sedan.
- Hardy, au Moulin-Leblanc (Molion).
- Hardy, a Mars-sous-Bourcq.
- Hoche (G.), 11, rue Bay.ird, à Mézières. Hcrbulot, à Donchery.
- Imécourt(Mla d'), à Loupy-sur-Loison (Meuse). Jeanjean, à Carignan.
- Joly (L) r), à Vouzicrs.
- Knoll (Dr), place Turenne, à Sedan.
- Lamotte Ch., à Sedan.
- Lamotte lils, à Sedan.
- Laurent, rue du Moulin, à Charleville. Lecomte, rue du Rivage, à Sedan.
- Lel’ort, à Molion.
- Leroy-Giard, à Givet.
- Lesur, à Attigny.
- Marcillet, à Sedan.
- Mialaret, à Bogny.
- Michaux, à Montmédy.
- Moulin, à la Trélilerie (Carignan).
- Nevqrlée (C" de), 7,avenue Malakoflÿà Paris;
- et à Couchy (Loiret).
- Ney. à Molion.
- Parent, à Torcy-Sedan.
- Pcltier, avenue d’Orléans, à Charleville. Peltrinvix (Dr), à Gespunsart.
- Périn, quai de la Madeleine, à Charleville. Prévost à Charleville.
- I Régnault, à Molion.
- Renault, à Matton.
- Richard, à Montmédy.
- Richelet (Dr), 34, avenue de la Gare, à Ghar-leville.
- Rigault, 3, place Condé, à Charleville.
- Roi, à Stenay.
- Simon, à Vouziers. ,
- Sommer, à Mouzon.
- Stackler, avenue Pliilippoteaux, à Sedan. Tampier, à Paris.
- Tassigny (Dr), à Mohon.
- Tronville, 45, rue Sainte-Placide, à Mont-111 édy.
- Turin (D1), avenue de la Gare, à Rethel. Vaugirand (Comte de), à Givet.
- Verdier (Christian du), à Stenay.
- Verdier (Maurice du), à Stenay.
- Wattier, à Torcy-Sedan.
- Wauthier, avenue de la Gare, à Charleville,
- AUTOMOBILE CLUB DE BELFORT
- (A. C. B.)
- (Territoire de Belfort)
- comité :
- Président : M. Jules Japy, à Beaucourt (Haut-Rhin). 1
- Vice-Président : M. A. Engel, Le Chènois, Bellort.
- Membres : MM. C. Bohn ; E. Bornèque ; J. Bourcart; E. Bretegnior; Pierre Doli'us; E. de Fontaine; F. Rosscl; F. Scheurer; A. Stein.
- Secrétaire : A. de la Chesnais, 22, rue Vau-ban, Bellort.
- Trésorier : P. Kœhler, faubourg de Montbéliard, Belfort.
- MEMBRES ACTIFS :
- MM.
- Arien, Montbéliard.
- Balzinger. Montbéliard.
- Bellenot, Giromagny.
- Bian, Sentheim (Haute-Alsace).
- Boigeol, Giromagny.
- Boname, maire de Seloncourt.
- Bornèquo, Beaucourt.
- Bullfer, rue Kléber, Mulhouse.
- Burrus, Boncourt (Suisse).
- Charpentier, Valdoie.
- Chenevière, Montbéliard.
- Collongue (Baron de), Lure.
- Cudorge, Valentigney.
- Dollfus (G.), rue Gambetta, Belfort.
- Dollfus (M.), Héricourt.
- Dollfus (R.), Belfort.
- Engel, Le Chenois, Belfort.
- Faaate de Saint-Georges (Comte de), Lure. Favre, Lorrach (Grand Duché de Bade). Franqueville (De), Sentheim (Haute-Alsace). Erhard (G.), maire de Rougemont-le-Ghâteau
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- AUTOMOBILE CLUB
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- BORDELAIS
- Erhard (V.), Belfort.
- Gauthier, Voujeaucourt.
- Goux, Valenligney.
- Grohcns, Montbéliard.
- Hæflelé, Guebvillcr (Haute-Alsace).
- Heilmann, avenue des Trois-Clienes, Belfort. Ienné, Socliaux.
- Jacquot. Montbéliard.
- Japy (Edgard), Voujeaucourt.
- Japy (Edouard), Beaucourt.
- Japy (K.), Beaucourt.
- Japy (G.), Beaucourt.
- Japy (L.), Audincourt.
- Japy (L.-Ph.), Audincourt.
- Japy (Marcel), Audincourt).
- Japy (Maurice), Beaucourt.
- Japy (P.), Berne (Seloncourt).
- Japy (Ph.l, Audincourt.
- Japy (P ), Beaucourt.
- Jourdain, Altkirch (Haute-Alsace).
- Kœchlin (G.), Willer (Haute-Alsace).
- Kœchlin (1.), Willer (Haute Alsace).
- Kœchlin, i4, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- Kœchlin (P.), Beaucourt.
- Kraeutlor, rue de la Station (Mulhouse). Kœhl, rue de la Banque, Belfort.
- Kullmann (Paul), Mulhouse.
- Kullmann (Pierre), Thann (Haute-Alsace). Lâchât, avenue des Fossés. Montbéliard. Lalance, Le Faubourg, Montbéliard.
- Lamey, Mulhouse.
- Lantz, Mulhouse.
- Lauth-Scheurer, Thann (Haute-Alsace). Lebleu, faubourg de France, Belfort.
- Magnié, quai Vauban, Belfort Maître, conseiller général, Morvillars. Marchegay, faubourg des Ancêtres, Belfort. Meillôre. faubourg de France, Belfort.
- Mieg, Mulhouse
- Millet, faubourg des Ancêtres, Belfort. Noak-Dollfus, Valdoie.
- Perrin, Audincourt.
- Peugeot (Armand), conseiller général, 83, boulevard Gouvion-Saint-Cyr, Paris. Peugeot (Etienne), Belchamps (Doubs). Peugeot (Eugène), Hérimoncourt.
- Peugeot (H.), Audincourt.
- Peugeot (J.), Hérimoncourt.
- Peugeot (R ), Valenligney.
- Poinsot, Aue (Haute-Alsace).
- Poussigue, directeur des Houillères de Ron-chainp.
- Rigoulot (Ch.), Valentigney.
- Rigoulot (E.), Au lincourt.
- Rigoulot (L.), Valentigney.
- Rossel, rue des Granges, Montbéliard.
- Royer, Le Faubourg, Montbéliard.
- Sahler (Ch.), Le Faubourg, Montbéliard. Sahler (E.). Montbéliard.
- Sahler (F.), Audincourt.
- Sahler (H.) Chevret-Héricourt.
- Sahler (J.), Montbéliard.
- Saillard, Belfort.
- Scheurer (Mrao Ferd.), rue dcTurenne, Belfort. Scheurer (Jules), Thann (Haute-Alsace). Schlumberger (L. de), Guebwiller (Haute-Alsace).
- Schlumberger (P.). 6o, rue du Lazareth, Mulhouse.
- Schlumberger (Th.), Mulhouse.
- Schlumbeiger (V.), Roppenzwiller (Haute-Alsace).
- Schwob (A ). Héricourt.
- Schwob iE.), maire dTIéricourt.
- Schwob (Jacques). Hericourt.
- Schwob (James), Hericourt.
- Schwob (Julien), Héricourt.
- Seyrig, route d'Esscrt, Belfort.
- Sircoulon, Audincouit.
- Société Alsacienne de Constructions Mécaniques, Belfort.
- Stein, 20, rue Vauban, Belfort.
- Sleiner. Danjoutin.
- Viellard (Albert), Morvillars.
- Viellard (M'“° Armand), Morvillars.
- Viellard (Charles-Henri), Morvillars.
- Viellard (Mra0 Léon), Morvillars.
- Vieillard (Louis), Morvillars.
- Vilbois, rue de la Banque, Belfort.
- Vurpillot, Neuilly-sur-Seine.
- Wacker, Mulhouse.
- Warnod (IL), Giromagny.
- Warnod (IL), maire de Giromagny.
- Zeller (E ), 4> rue Mazarin, Belfort.
- Zeller (R.), maire d’Etuellont.
- Zuber, avenue du Lycée, Belfort.
- Zweilcl, Société Alsacienne, Belfort.
- AUTOMOBILE CLUB BITERROIS
- à Béziers {Hérault).
- AUTOMOBILE CLUB BORDELAIS
- (A. C. B.)
- 2, place de la Comédie, à Bordeaux {Gironde).
- COMITÉ
- Président : M. Lanneluc-Sanson. Vice-présidents : MM. Sens ; Mesnard. Secrétaire général : M. Pôhls.
- Trésorier : M. Sorbier.
- Secrétaire adjoint : M. Feret.
- Archiviste : M. Plazanet.
- Conseillers : MM. Chauinette, Duprat, La-bayle, Rodberg, Saint-Blancat, Thébeaux, Vigneau.
- MEMBRES ACTIFS
- MM.
- Alfred-Duprat, 22, av. du Bocage, Caudérau. Alker, 2, cours de Gourgue.
- Amigues, 91, chemin d'Arès, Caudéran. Anfray, a Pauillac.
- Anglade, 8. rue Fondaudège.
- Arcnambeaud. 9, rue Bel-Orme.
- Augis, 261, rue Judaïque.
- Arnaud, 3y, rue de Tauzia.
- Barbereau, 21, rue Esprit-des-Lois.
- Barroy, 41 -> rue des Trois-Conils.
- Barroussel, rue Vital-Carles.
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- AUTOMOBILE CLUB
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- BORDELAIS
- Baudry, 215, rue de FEglise-Saint-Seuriu. Beau, 50, rue do l’Eglise-Saint-Sourin. Beaumarlin, io5, rue de Saint-Genès. Bcaumartin (G.), 33, rue de Saint-Genès. Beaumarlin (P.), 33, rue de Saint-Genès. Bcaumartin, 4g, boulevard de Talcnee. Bcnzacar, aG, rue des Trois-Conils.
- Bergaud, 161, rue François-dc-Sourdis. Bermond, 48, rue Vergniaud.
- Bijon, 89, rue Sainte-Catherine.
- Bijon, 43, rue de Saint-Genès.
- Bleynic, cliâteau Camarset, Saint-Morillon (Gironde).
- Boissarie, 1O1, ruo David-Jolmston.
- Bord, 4i, rue Gharles-Marionneau. Bourbouley, 03, ruo Leberthon.
- Bretenct, 18, rue Gouvion.
- Briol, 11, rue du Chai-des-Farincs.
- Brune, 72, cours d’Aquitaine.
- Brustier, y, rue du Château-Trompette. Bureu, rue de Caudéran.
- Cabannes, 17, rue Vital-Carles.
- Calvet, place du Cliamp-de-Mars.
- Capetter, 10, ruo André-Thouinazcl.
- Carde, 33, quai de Queyrics.
- Cayrou, à Pauillac.
- Cazalet, 8, rue Reigner, la Bastide.
- Chanvril, 37, rue Lecocq.
- Chapon, G7, ruo de la Trésorerie.
- Chaulet, 22, ruo Rolland.
- Chaumette, iG, place Gambetta.
- Chauvin, 43> cours de l’Intendance.
- Chedor, 3a, place Gambetta.
- Chrétien, 33, cours de Tourny.
- Gluzeau, 72, rue du Commandant-Arnould. Colson, 12, cours du Chapeau-Rouge.
- Cornié, 1 /|8, boulevard de Caudéran.
- Coûtant, 4) rue Millière.
- Dandicolle, fa bis, cours du Chapeau-Rouge. Darmuzey, à Parcntis (Landes).
- Darrieux, 134, rue du Palais-Gallien.
- Dcnoyor, 2, rue Guillaume-Brochon.
- Derivaud, 4, rue do la Croix-Blanche. Despaux, 10, rue Porte-Dijeaux.
- Deutsch (do la Meurlhe), l\, place des Etats-Unis, Paris.
- Diaz de Soria, 20, cours de l’Intendance. Dombret, 102, rue des Vivants.
- Dorgueilh, 90, cours d'Aquitaine.
- Dorvillc, 7, rue Roland.
- Ducasse, 4, cours de Gourguc.
- Duclos, 17, rue Saint-Rcmi.
- Dul’au, 2O7, rue Judaïque.
- Duffau, 53, rue Camille-Godard.
- Duguit, 47, rue du Cancera.
- Dupucli, 0, place Fégère.
- Durand-Dassier, à Parempuyre (Gironde). Duthil, 52, rue des Remparts.
- Eiffel, château Vacquey, Sallcbœuf (Gironde). Elliot, Gambes (Gironde).
- Escarraguel, villa Bellevue, Arcachon. Exshaw, villa Odessa, Arcachon.
- Exshaw, villa Constantine, Arcachon.
- Fabre, Castillon (Gironde).
- Faur, i3, place de la Bourse.
- Faur, 3a, rue Saint-Remi.
- Faydit, 4, place Richeliou.
- Feret, i5, cours de l’Intendance.
- Ferris, 19, rue Bouffard.
- Fillon, 45, rue d’Aviau.
- Florigni (J.), 8, place Saint-Projet.
- Florigni (R.), 8, place Saint-Projet.
- Fosse (Eugène), 84, rue du Pas-Saint-Georges. Fosse (Emile), 84, rue du Pas-Saint-Georges. Frelet, à Pessac.
- Fourcade, 21, rue du Jardin-dcs-Plantcs. Gangneux, 3, rue Sansas.
- Garceau, iG, place Fondaudège.
- Gardèrc, villa Cybèle, Arcachon.
- Gaulne (de), 29, allées de Tourny.
- Geniès, 7, rue du Chai-des-Farines.
- Girard, 27, rue Bcaubadat.
- Guestier, 9, ruo Pierlot.
- Gouuouilhou, 8, rue de Chevcrus.
- Grassin, 172, boulevard de Caudéran. Gravièrc, chemin Dupuch.
- Guédon, 3G, rue du Pont-de-la-Mousque. Guénon, 12, quai des Chartrons.
- Gufflet, G, quai Louis-XVIII.
- Hooglandt, 7, ruo du Château-Trompette. Hubert, 2, rue de Pessac.
- Jiel-Laval, 5, cours du Chapeau-Rouge. Jourde, 56, rue de Marseille.
- Kniel, 11, avenue de la Négresse, Biarritz. Labaylc, G5, rue Lachassaigne.
- Labayle, 12, rue de Berry.
- Lacour, à Vayrcs (Gironde).
- Lafitte, 5o, cours Journu-Auher.
- Laforcade, 3oi, cours Balguerie-Sluttenberg. Lagardère, château du Clavé, Morcenx (Landes).
- Lanneluc-Sanson, 328, route du Médoc. Larreillet, à Onesse (Landes).
- Laval, 4fi) avenue Carnot.
- Legendre, 5, quai de Bourgogne.
- Léglise, 69, ruo Lal’aurie-de-Monbadon. Lesca, i3o, rue du Palais-Gallien.
- Lesl’argues, 8, rue de Cheverus.
- Levavasseur, 11, avenue de la Négresse, Biarritz.
- Léveilley, 3i, avenue de Mirande, Caudéran. Lirac (de), /|G, allées de Tourny.
- Louit, 18, avenue Carnot, Caudéran.
- Maillet, 16, place Pcy-Berland.
- Mallet, 3o, cours du XXX-Juillct..
- Mariage, 1G2, rue Judaïque.
- Marsan, 77, rue Mouneyra.
- Martin, 51, rue de Soissons.
- Marré, 76, (juai de Queyries.
- Maurel, 8, place des Quinconces.
- Maurel, G, rue Esprit-dés-Lois.
- Maurel, 8, rue d’Orléans.
- Mauvigney, 67, rue Minvicllc.
- Mengeot, 85, cours Victor-IIugo.
- Mesnard, i4, place Gambetta.
- Metayer, 8, rue Paul-Bert.
- Mignot, 11. rue de Caudéran. Miramont-Legendre, 5, rue Esprit-dcs-Lois. Moreau, 117, rue du Palais-Gallien.
- Musset, rue de Chanzy, Libourne.
- Nadaud, 1, ruo Ravez.
- Noël, 3q, rue Jean-Soula.
- Panajou, 27, cours du Jardin-Public.
- Pech, 7, rue do la Merci.
- Petit, 53, cours du Médoc.
- Pérou (du;, 45, rue de la Roussellc.
- Peyrard, 16, place de la Bourse.
- Picon, 5, rue Serr.
- Pinaud-Duanip, 92, boulevard de Caudéran. Plazanet, 18, place Pey-Berland.
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- AUTOMOBILE CLUB
- DU CENTRE
- — 8 G 5 —
- Poids, 2:1, cours de Tourny.
- Pouyanne, io, place du Parlement,. Prudhommc, ii, place du Vieux-Marché. Purrey, i à 3i, boulevard J.-J. Pose. Queulain, i/j.S, boulevard do Caudéran. Hiclion, iyo, rue de l’Eglise-Saint-Seurin. Rivais, 48, cours de l'Intendance.
- Rodberg (Charles), ao/|., avenue de la République.
- Rodberg (Marcel), ao/|, avenue de la République.
- Rodrigues (Georges), a, place de la Comédie. Rodrigues (P.), a, place de la Comédie. Rodrigues, ai, rue de l’Ecolc-Normale. Roughol, ioo, cours d’Alsace-et-Lorraine. Roullier, 38, boulevard de Caudéran.
- Roussel, i, avenue d’hiers.
- Sahuqué, i, cours Yielor-llugo.
- Saint-Blancat, 5i, route du Médoc.
- Salin, château Rellcvuc, Règles.
- Salin, 88, rue de Saint-Gonès.
- Sanguinetti, 5y, rue Rodrigues-Péreirc. Sartre, 14.2, cours du Médoc.
- Secrcstat, i, rue de la Verrerie.
- Seguin, ioG, rue Croix-dc-Seguey.
- Sens, a4, place Gambetta.
- Servan, a, place Gambetta.
- Skawinski, 38, cours du Chapeau-Rouge. Sorbier, i3, place Pcy-Berland.
- Soustrc, loy, rue Croix-de-Scguev.
- Spaulding, ia, rue Lal'aurie-de-Monbadon . Tandonnet, i38, cours Victor-llugo. Teycliouneau, a.la, rue Judaïque.
- Thébeaux, 5q, boulevard de Talcnce. Thévenot, 4G, rue Duhourdieu.
- Tilhet, la Réole.
- Trapp, 36, quai des Charlrons.
- Tremoïlle, ju'ince de Tarenle (de La h à Mar-gaux.
- Valentin, iio, quai des Charlrons.
- Versein, io, place des (Juinconc.es.
- Verront, 31, rue de Saint-Gènes.
- Videau, 4G, avenue de la République. Vigneau, yi, cours de la Martinique. Villeneuve, villa Villeneuve, Talcnce (Gir'lcl. Villepastour, i38, rue du .lardin-Puhlic. Wallon, a8, avenue Thiers.
- Wawak-Adlar (de), ao, rue de la Verrerie. Wetterwald, 3, rue Notre-Dame.
- Winter, 36, nie Cornac.
- Zappa, 2ao, roule de Toulouse. Zhendre-Lal'orest, f> et y, rue San sa s.
- MIvMinUOS COHIIHSI’II.MIAXTS
- MM.
- Racon, à Mimizan (Landes).
- Borothra, Pouy-Arbonne (Basses-Pyrénées). Bertrand, y, plaza de, Orcnse, CoruHa (Espagne).
- Champion, 9, rue Saint-Sauveur, Paris. Charmolue, château Pomys, Saint-EsLèphe (Gironde).
- Chastenet, Périgucux.
- Chevrier, 6, place Beaulieu, Cognac.
- Col, à Casteljaloux (Lot-et-Garonne).
- Colombet, 121, Grand’Rue, Saint-Maurice (Seine).
- Didon, hôtel du Commerce. Périgucux (Dordogne).
- Dejan, hôtel d’Orléans, à Royan.
- Duchan, Carcassonne (Aude).
- Fayolle (Comte de), A. C. de la Dordogne, Périgucux.
- Gémain-Darrigrand, château du Pont à Re-nesse-Maremne (Landes).
- Giraud, zy, rue Durci, Paris.
- Gombcrt, la Roche-Chalais.
- Iguzquiza (Adolphe), 3i, route de Elandre, le Bourget (Seine).
- Iguzquiza (Léon), 3i, roule de l'iaudre, le Bourget (Seine).
- Issot, Royan (Charente-Inférieure).
- Lagrange (Gilles), Périgucux.
- Lagrange (Georges), Périgucux.
- Leprice (de), Périgucux.
- Lirae (de), 61, rue Vaugirard, Paris.
- Mazelier, 33, rue N.-D.-de-Lorette, Paris. Mellac, Nérac (Lot-et-Garonne).
- Millet, Périgucux.
- Moreau, à St-Laurenl-dc-Médoc (Gironde). Pcyrey (P.), Nérac (Lot-et-Garonne).
- Peyrey (Philippe), Nérac, (Lot-et-Garonne). Plencau, 1, rue de Chantilly, Paris.
- Picon, 5, square Moncey, Paris.
- Prat-Dumas, Couze-Saint-Front (Dordogne). Prudraz (de), Périgucux.
- Themèze, rue de la Victoire, 5, à Dunkerque. Thommeret, 20, rue Hoche, Pantin (Seine). Tissandicr, îy, avenue Victor-llugo, Paris. Sarraute, hôtel de la Neva, 9, rue Monsignv. Paris.
- Serpollet, 11, rue Stendhal, Paris.
- Souslre, à Saint-Seurin-sur-l’Isle (Gironde).
- M KM lin KS MII.ITAIHIÏS
- MM.
- Léon, capitaine au 5yc de ligne. 92, boulevard de 'Faïence.
- Payras, capitaine au 14° d'artillerie. 91, chemin du Pelit-Bois.
- Roquillel, capitaine au >44° de ligne, 80. boulevard de 'Faïence.
- AUTOMOBILE CLUB DU CENTRE
- (A. C. C.)
- 2-'i, rue Noire-Dame, à Bourges {Cher)
- MICMUKES ACTIFS
- MM.
- Aletti, rue du Parc, Vichy, S. V.
- André (Charles), Vichy, S. V.
- Aramon (Comte G. d’), Bernay, par la Guercho (Cher).
- Arenbcrg (Prince Auguste d’), 20, rue la Ville-l’Evêque, l’aris.
- Arenberg (Prince Pierre d"), Ménetou-Salon (Cher).
- Arizzoli, rue du Marché, Vichy, S. V.
- Aubrun (Paul), 4r rue des Arènes, Bourges (Cher).
- Auhruu (Joseph), Châtcauroux (Indre). Aurelle-de-Paladincs (Marquis), château de Saint-Loup, par Varennes (Allier).
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- AUTOMOBILE CLUB
- 866
- DU CENTRE
- Auroir, route d'Isnoudun, Bourges.
- Bacquelin, Dr, rue Gambetta, Nevers (Nièvre).
- Balsan (Jacques), château du Parc, par Châteauroux (Indre).
- Baraudon, Quantilly, par Saint-Martin-d’Auxigny (Cher).
- Beaumont (Marquis Jean de), Villemenard, par Foëcy (Cher).
- Benoist d’Azy (Comte), 4, rue Fabcrt, Paris.
- Bergerolle, rue de Paris, Vicliy, S. V.
- Bizet (Jacques), château du Petit-Bois, par Cosne-sur-l’Œil (Allier).
- Bonnet (Henri), château de Grimonville, par Vinon (Cher).
- Bougarel (C.), 13, rue Sornin, Vichy, S. V.
- Bourg de Bozas (Comte A. du), château de Saint-Hubert, par Neuvy-s.-Barengeon (Cher).
- Bourbon-Chalus (Comte Charles de), Thoury, par Moulins (Allier).
- Bouyonnet, rue Cunin-Gridaine, Vichy, S. V.
- Broglie (prince Auguste de), château de Loroy, par Mery-ès-Bois (Cher).
- Brouliot (G.), Vierzon (Cher).
- Chahannes La Palice (Comte Jean de), château d'Avrilly, par Moulins (Allier).
- Chaix (Edmond), 31, rue de Penthièvre, Paris.
- Champgrand (Comte de), château de Champ-grand, par Saint-Martin-d'Auxigny (Cher).
- Champgrand (Comte Gustave de), château de Soupizc, par Dun-sur-Auron (Cher).
- Chapelle de Crosville (Comte La), château de la Brosse, par Forges-Allichamp (Cher).
- Charnaux, docteur, rue Lucas, Vichy, S. V.
- Chateau (Henri), av. de la Gare, Vichy, S. V.
- Chaussard, avenue de la Gare, Vichy, S. V.
- Chauvin, docteur, Henrichemont (Ciicr).
- Contadcs (C'°Gaston de), château de Blet (Cher).
- Costa de Beauregard (Comte Léon de), y, rue Montalivet, Paris.
- Cotin (Louis), 5, avenue de la Gare, Bourges.
- Dannc (Comte Léon de) Grand’Garennes, Neuvy-sur-Barangeon (Cher).
- Deschamps (docteur), Henrichemont (Cher).
- Dousserin, Vierzon (Cher).
- Dupuis, 5, place Georges-Sand, Bourges.
- Duringe (René), château du Parc de Nades, par La Lizolle (Allier).
- Ferté-Meun (Marquis de la), 5, rue Beaujon, Paris.
- Ganay (Comte C. de), château de la lli-vaulde, près Salhris (Loir-et-Cher).
- Gaudry lils. Vichy, S. V.
- Gerinot (Maurice), rue Alquié, Vichy, S. V.
- Germot (Robert), rue Alquié, Vichy, S. V.
- Gindre (Henri), château de Laverdine, par Nérondes (Cher).
- GofTart, Vierzon (Cher).
- Goury du Roslan (Baron), château de Douy, Chartres-sur-Cher (Loir-et-Cher).
- Groussot (Th.), 5a, rue des Arènes, Bourges.
- Gozard, docteur, Chantenay-St-Imbert (Nièvre;.
- Harcourt (Vicomte d'), 19, rue de Constan-tine, Paris.
- Harcourt (Comte Louis d'), 2, boulevard La Tour-Mauhourg, Paris.
- Ilervet (A.), 1, place de la Préfecture, Bourges.
- Huillier (Henri), château de Courcelles-le-Roy, par Beaulieu (Loiret).
- Huillier (Georges), 83, avenue MalakofT, Paris.
- Jalenques, Société Générale, Vichy, S. V.
- Juigim (Marquis de), château de Rivaulde, par Salbris (Loir-et-Cher).
- Jurietti, rue Colombier, Vichy, S. V.
- Jury, rue Cunin-Gridaine, Vichy, S. V.
- Kléber (Gaston), rue St-Florentin, Paris.
- Laboye, St-Gerand-le-Puy (Allier), S. V.
- Lacoste (Henri), Cusset (Allier), S. V.
- Lafond (Comte), 3y, rue de Villejust, Paris.
- Lalliot, secrétaire général de l’Eden-Théâtre, Vichy, S. V.
- Larbaud-Saint-Yorre (Valéry), rue de Paris, Vichy, S. V.
- Lemmet, 1, place Malus, Bourges.
- Loreau (A.), Beauvoir, par Briare (Loiret).
- Magdelénat, 12, avenue Sérancourt, Bourges.
- Maire, docteur, rue Dcsbrest, Vichy, S. V.
- Mallat (A,), Beauregard, près Vichy.
- Marolles (Robert de), château des Fonlaines, par Mehun-sur-Yèvre (Cher).
- Martin du Gard, à Augy, par Sancerguos (Cher).
- Martin (Paul), architecte, Vichy, S. V.
- Michel (B.), rue Cunin-Gridaine, Vichy, S. V.
- Milhiet, docteur, 2, r. Porte-Jaune, Bourges.
- Montesquieu (Baron de), Brécy (Cher).
- Montsaulnin (Comte de), château de Fontenay, par Néronde (Cher).
- Mortemart (Duc de), 1, rue Saint-Dominique, Paris.
- Morleinart (Marquis de), château de Meillant (Cher).
- Neuflize (Baron de), château de Brinay, par Foëcy (Cher).
- Neullize (Baron André de), 31, rue Lafayctte, Paris.
- Neuflize (Baron Jacques do), château de Brinay, par Foëcy (Cher).
- Pépin-Lchaleur, Nançay (Cher).
- Perceau (docteur), Nérondes (Cher).
- Percilly, architecte, Vichy, S. V.
- Perrot-Saint-Cyr (P.), 84, rue Lauriston, Paris.
- Pesquiès (IL), Cercle International, Vichy, S.V.
- Pillivuyt (Albert), Foëcy (Cher).
- Pillivuyt (Charles), Mehun-sur-Yèvre (Cher).
- Pillivuyt (Marcel), château de Fontillet, par Mehun-sur-Yèvre (Cher).
- Pillivuyt (Robert), Foëcy (Cher).
- Plaisance, receveur des Contributions, Bar-sur-Auhe (Aube).
- Pracontal (Marquis de), château de Châ-tillon-en-Bazois (Nièvre).
- Quinonès de Léon, avenue Marceau, Paris.
- Rabais (J.-M.), Vichy, S. V.
- Ravenaz (Alexis), château des Réaux, par la Guerche (Cher).
- Roblin, i5, rue do Longchamp, Paris.
- Richetin (Lucien), 1, rue Vieille-Saint-Am-broix, Bourges.
- Roche-Aymon (Comte de la), château de Saiut-Aignan, à Saint-Aignan (Loir-et-Cher).
- Rochefoucault (Comte Jean de la), 64, avenue Marceau, Paris.
- Rodot, Compt. National d’Escoinpte, Vichy, S.V.
- Sampigny (Comte Raoul de), château do Villeinont, par Aigueperse (Puy-de-Dôme).
- Schneider (E.), 34, cours la Reine, Paris.
- •Servant, Grand-Hôtel, Royat (Puy-de-Dôme).
- Soalhat, rue de Nîmes, Vichy, S. V.
- Teisseire, rue de Paris, Vichy, S. V.
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- AUTOMOBILE CLUB
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- DE CANNES
- Témoin, docteur, place dos Quatre-Piliers, Bourges.
- Thierry-Mieg, château de Beauchéne, par Allogny (Cher).
- Thuret (Raymond), la Presle, par Pouzy-Mésangy (Allier).
- Toutain (Edmond), la Vernée, par Pougucs-les-Eaux, Nièvre.
- Turquet (Paul), Vierzon (Cher).
- Turquet (Jules), Vierzon (Cher).
- Valençay (Duc de), château de Valençay (Indre).
- Vélo-Sport Vichyssois, Vichy, S. V.
- Verdet (Auguste), rue Joseph-Vernet, Avignon (Vaucluse).
- Vergennes (Général marquis de), château de Bois-Briou, par Saint-Martin-d’Auxigny (Cher).
- Vogüe (Comte de), château de la Verrerie, par Oizon (Cher).
- Vogüe (Comte Robert de), le Peseau, par Boulleret (Cher).
- Vogué (Marquis), Le Peseau, par Bonllcret (Cher).
- Waldner (Baron de), château de Lévy, par Lurcy-Lévy (Allier).
- Wallon (Francisque), Vichy, S. V.
- AUTOMOBILE CLUB BRESTOIS
- 48, rue de Siam, à Brest (Finistère).
- AUTOMOBILE CLUB DE CANNES
- (A. G. C.)
- 4, boulevard Jean-Uibert, à Cannes j; (Alpes-Maritimes).
- COMITÉ :
- Président : M. Gallicc.
- Vice-présidents : MM. Mounicr et Séraillicr. Trésorier : M. Jammes.
- Secrétaires : MM. Heurtard et Andrau. Conseillers : MM. Bret, Durandeau, Loubet, Quinson, Rouff.
- MEMBRES ACTIFS î
- MM.
- Acloque, villa Monténégro.
- Akar, 21, rue d’Antibes.
- Andrau, 10, boulevard de la Croisette.
- Blum, quai Saint-Pierro.
- Bornèquo-Japy, villa-Beauverger.
- Bouge, i5, rue d’Antibes.
- Bret, rue Hoche prolongée.
- Brohleman, Comptoir National d'Escompte. Buissot, 2, rue des Chênes.
- Burten, villa Jeannette.
- Cais, 16, boulevard Carnot.l
- Capron, maire do Cannes, villa Madrid.
- Cochot (Dr), villa Suzanne.
- Delaunay Belleville, Esterel-Terrasse, route de Pé^omas.
- Delin, villa Juive.
- Destelle, Crasse (Alpes-Maritimes).
- Donecy (Baron de), villa des Sablons. Duponnois, 11, place de l’IIôtel-de-Villc. Durandeau, villa Mépillat.
- Durand, villa Gallice, Juan-les-Pins (Alpes-Maritimes).
- Foltz, hôtel Gray d’Albion.
- Gallice, villa Gallice, Juan-les-Pins (Alpes-Maritimes).
- Gallice (Mmc), villa Gallice, Juan-les-Pins (Alpes-Maritimes).
- Gazagnaire, 7, place des Iles.
- Gazan, villa Les Capucines.
- Girard, 4, quai Saint-Pierre.
- Heurtard, villa Aida.
- Jammes, 10, rue de la Foux.
- Jeancard, quartier du Petit-Juas.
- Lacour, Banque Populaire.
- Légué, /(2, rue do Fréjus.
- Liegeard, villa Les Violettes.
- Loubet, 48, rue Fclix-Faure.
- Mallet, en sa villa, Cap-d’Antibes (Alpes-Maritimes.
- Maiti, hôtel de Provence.
- Moore, 5y, rue d’Antibes.
- Mounicr, 9, place Vauban.
- Panan, villa Jeanne, Cap d’Antibes (Alpes-Maritimes).
- Pascal (D‘j, villa Rayrama.
- Plassard, villa Soligny.
- Quinsou, villa Léon.
- Raybaud, 11, place de l’Ilôtel-do-Villc. Raymond, 5o, rue de Fréjus.
- RoulT (Elie), 21, rue d’Antibes.
- Roui! (Fernand), 21, rue d’Antibos.
- Russcl, 56, rue de Châteaudun.
- Séraillicr, villa Rose-Mario.
- Sève, villa Fanny, route de Fréjus.
- Sicard, 3^, rue d’Antibes.
- Spinabelh, pavillon de la Ferraye.
- Stœcklin, 58, rue d’Antibes.
- Tamme, hôtel Montllcuri.
- Tiribilot, villa Saint-Norbert.
- Tron, villa Reinc-dcs-Alpos.
- Trub, hôtel Métropole.
- Vaudremer, 5o, rue Félix-Faure.
- Vauquelin, 3, square Mérimée.
- AUTOMOBILE CLUB D’AUVERGNE (A. C. A.)
- 48, place de Jaude, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).
- comité :
- Président: M.Yberty, villa St-Georges,Royat.
- Vice-présidents : MM. Brassier; Dr Dorel, Brioude.
- Secrétaire-général : M. Guyot, villa Bellevue, chemin des Neuf-Soleils, Clermont-Ferrand.
- Secrétaires-adjoints: MM.Lacroix; Mérigoux.
- Trésorier : M. Battu, rue Saint-Genès, Clermont-Ferrand.
- Capitaine de route : M. Desson, ingénieur, à Clermont-Ferrand.
- Membres du Conseil : MM. Gendraud, rue
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- AUTOMOBILE CLUB
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- D AUVERGNE
- d’Assas, Clermonl-F’errand ; Langladc (Baron de), château de Langladc, parChidrac; Grimaud, rue André-Moinier, Clermont-Ferrand; Marignicr, à Jozo ; Archinard, villa Kadijlia, Royal; Menât, Clermont-Ferrand; Augcr, Clermont-Ferrand.
- MUMIÎHUS ACTIFS :
- MM.
- Armand, rue Blalin, Clermont-Ferrand.
- Astel, cours Sablon, Clermont-Ferrand.
- Augcr fils, Varcnnes-sur-Allier (Allier). Baratte, 6, boulevard Trudaine, Clermont-Ferrand.
- Barbarin, oours Sablon, à Clermont-F’crrand. Bargoin, rue Ballainvilliers, Clermont-Ferrand. Bastide père, Clermont-Ferrand.
- Bcllon, llôtcl de la Poste, Mont-Dore. Bérauey, industriel, à Ambert.
- Bergougnan (R.), industriel, à Clermont-Ferrand.
- Bcrgougnan (J.), Clermont-Ferrand.
- Bérioux, rue Blalin, Clermont-Ferrand.
- Bizot, Thiers.
- Bony-Cistcrnes fils, Cbidrax.
- Borel, Clerjnont-Ferrand.
- Bourg, à Ambert.
- Bourgis, industriel, à Billom.
- Brécbard, industriel, i5, rue Brisson, Roanne. Brosse (De la), Riom.
- Brousse, rue de Lyon, Thiers (P.-de-D. . Brugcrollcs, négociant, à Brioude.
- Brunet, directeur d’usine, Brioude.
- Chalus, Clermont-F’crrand.
- Chaput, à Saint-Myon.
- Chardon, propriétaire, à La Bourboule. Chassagne, rue Blalin, Clermont-Ferrand. Châtillon, ingénieur, à Brioude.
- Chibret (Dr), r. d’Amboise, Clermont-Ferrand. Christophe, rue Pascal, Clermont-Ferrand. Claycux, lieutenant, à Clermont-Ferrand. Collier, Chamalières.
- Collinet, Verreries de Puy-Guillaume. Concbon, rue Pasteur, Clermont-l’errand. Corail (Du), rue Grenier, à Riom.
- Cote, place Michel-de-l’Hôpital, Clermont-Ferrand.
- Courtial, j(>° Artillerie, à Clermont-Ferrand. Cressac (Do), cliateau du Theil, par Croc ] (Creuse).
- Dartcyre (Dr), Saint-Amant-Talle.ndc. Deschamps, Vichy.
- Dcchclctte, industriel, à Roanne.
- Douhairie, architecte, à Royal.
- Dreuzy (Vicomte de), château du Breuil, Le Breuil-sur-Couze.
- Dumas, place Royale, Clermont-Ferrand. Dumas, Usines Michelin, Clermont-Ferrand. Dumas de Vaulx, Vollore-Ville.
- Faucon, ingénieur, à Ariane.
- Fortier-Baulieu, Roanne.
- Fouriaux(Dr), boul. Desaix, Clermont-l’errand. Fournier, notaire, à Riom.
- Fraignac, 9, rue Dcvès, Neuilly-sur-Seine. Gaillard, directeur d’usine, à Blanzat.
- Gamelcy, représentant de commerce, à Clermont-Ferrand.
- Garidel (De), Ambert.
- Gerest, rue Blatin, Clermont-l’errand.
- Gilbert, ingénieur, à La Bourboule.
- Gladcl, place Gaillard, Clermont-Ferrand. Guignabert (Dr), à Brioude (Iiautc-Loire). Guinet, place Paul-Bert, Saint-Etienne. Guyot-Lal’ont, notaire, à Lezoux. llauvette, Usines Michelin, à Clermont-Ferrand.
- Hennocque de Grandsaigno, Vichy.
- Hervé d’IIunolstcin (Comte), Paris.
- Hombrcs (D’), lieutenant, à Moulins.
- Imbert (Dr), Riom.
- Jouvliomme, représentant de commerce, au Puy, en Velay.
- Labauine, carrossier, à Roanne.
- Lastic (Marquis de), Parentignat.
- Lamy fils, industriel, à Chamalières.
- Laude, à l’Université do Clermont-Ferrand. Lazinier, notaire, à Ambert.
- Lazinier (Dr), Brioude.
- Lefièvre, rue d’Assas, Clermont-F’crrand.
- Le Normant des Varannes, ingénieur, à Blanzat.
- Levadoux (Dr), à Saint-Germain-Lembron. Lévy, Saint-Eloy-les-Mines.
- Luquct, industriel, à Vertaizon.
- Malbet, château du Cheix, par Riom. Mandonnet (Dr), place Delille, Clermont-Ferrand.
- Marsset (Dr), La Voulte-Chilhac (Haute-Loire 1. Malton, lieutenant-colonel, à Glermonl-l'er-rand.
- Mazoires, notaire, à Chamalières.
- Michelet, Clermont-F’crrand.
- Michelin, Clermont-l’errand.
- Mignot, boul. La l’ayelle, Clermont-Ferrand. Mivière, Etablissement de Rcnaison, à Roanne. Moity, entrepreneur, à Volvic.
- Mondièrc, rue Sainl-Génès, Clcrmont-F'cr-rand.
- Mouret (Dr), Brioude.
- Nohen, rue Terrasse, Thiers.
- Nugeyre, expert, à Lezoux.
- Perret, 138, avenue de Saxe, Lyon.
- Peyroux de Salmagne (Comte du), Courpière. Pingusson, rue Blatin, Clermont-F’crrand. Piollel (Dr), rue Blalin, Clermont-F’crrand. Porte (Dr), Brioude (Haute-Loire).
- Porte, substitut du Procureur de la République, à Clermont-F’crrand.
- Pradel, industriel, à Thiers.
- Pugnet, directeur do l’Automoto, à Saint-Etienne.
- Pccherct, conducteur des Ponts et Chaussées, à lloyat.
- Petit (l)r), Royal.
- Rebois, notaire, à La Bourboule.
- Redon, commissaire sqécial, à Arvant. Remcuf (De), château du Coudert, par l’aul-haguel.
- Robert, capitaine, à Saint-Etienne.
- Robert (Dr), place de Jaude, à Clermont. Rogier, Mer (Loir-et-Cher).
- Roubcau, Vichy.
- Rouzaud, Royal.
- Sabathier, notaire, à Ambert.
- Sarciron, Mont-Dore.
- Schénck, Clermont-F’crrand.
- Segond, à Lubière, par Vergongheon (Haute-Loire).
- Seguin, avocat, à Riom.
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- AUTOMOBILE CLUIi
- d’auyergnk
- Semonsu, ingénieur, à Brioude.
- Simon, place Fontgiève, Clermont,-l’errand. Staheling, Royal.
- Tardif, agent d’assurances, à Clermont-Ferrand.
- Tlioury (De), Saint-Saulge (Nièvre).
- Torrilhon (Armand), Chamalières.
- Tournier, industriel, à Tliiers.
- Valleix, rue Pascal, Clermont-Ferrand.
- Vallon, imprimeur, à Vichy.
- Védrine, rue Fontgiève, Clermont-Ferrand.
- MEMBRES HONORAIRES :
- Ayot, Clermont-Ferrand.
- Balzat, négociant, à Clermont-Ferrand. Baradux, négociant, à Clermont-Ferrand. Bardot, négociant, à Clermont-Ferrand. Barlaticr, Marseille.
- Barricr, Hôtel de la Paix, à Clermont-Ferrand. Bastide père, auto-garage, à Clermont-Ferrand.
- Baud, représentant de commcoce, à Clermont-Ferrand.
- Bérioux, négociant, à Clermont-Ferrand. Bertrand, Ilôtol Terminus, à Clermont-Ferrand.
- Blanchelais (De la), Cannes.
- Bogros, négociant, à Clermont-Ferrand. Bonnet, négociant, à Chamalières.
- Boyer, courtier, à Clermont-Ferrand.
- Bru, Etablissements Bergougnan, à Clermont-Ferrand.
- Bruel, Hôtel du Commerce, à Brioude.
- Camus, négscianl. à Clermont-Ferrand. Cazenave, Hôtel Métropole, à Royat.
- Chalus (J.), Banque Chalus, à Clermont-Ferrand.
- Clialus (M.), Banque Chalus, à Clermont-Ferrand.
- Charley, Automobiles Mercédès, Paris. Charicr, Paulhaguet.
- Coustcix, Hôtel Saint-Mrt, à Royal.
- Coutièro, négociant, â Vichy.
- Courlial (Veuve), Saint-Flour.
- Daniac, Casino et Kursaal, à Royal .
- Dard, avoué, à Clermont-Ferrand.
- Demnard, notaire, à Clermont-Ferrand. Denier, banquier, à Brioude.
- Dessissert, Clermont-Ferrand.
- Dion (De), constructeur, à Puteaux.
- Dony, négociant, à Clermont-Ferrand. Ducellicr, industriel, à Paris.
- Dumont, directeur de VAvenir du Puy-de-Dôme.
- Fabre, représentant de commcrco, à Clermont-Ferrand.
- Frémon, directeur de la Société Générale, à Clermont-Ferrand.
- Galice, Langeac.
- Ganne, avenue Charras, Clermont-Ferrand. Gardner-Serpollct, constructeur, à Paris. Gérin, industriel, à Clermont-Ferrand.
- Giraud, négociant, à Gannat.
- Giroud, avoué, au Puy.
- Giroud, Royat.
- Gorsse, négociant, à Clermont-Ferrand. Gosme, hôtel, à Pontaumur.
- Guilly, négociant, à Clermont-Ferrand. Gunsburg (De), Paris.
- Habert, hôtel, à Ghâtelguyon.
- Ilogan, Paris.
- Jaffeux, calé Riche, à Clermont-Ferrand. Janot, électricien, à Clermont-Ferrand.
- Jarron, négociant, à Clermont-Ferrand.
- Jouve, négociant, à Clermont-Ferrand.
- Kuhn, calé de Paris, à Clermont-Ferrand. Lacoste, entrepreneur, à Clermont-Ferrand. Lagaye, négociant, à Clermont-Ferrand. Lcquime, hôtel de Paris, à La Bourboule. Léopold, photographe, à Clermont-Ferrand. Loizcl, 20, rue des Capucines, Paris.
- Mally (Dr), Clermont-Ferrand.
- Mann, ingénieur, Automobiles llolchiss, a Paris.
- Martin-Grellet, distillateur, à Clermont-Ferrand.
- MartzlofT, café Lyonnais, à Clermont-Ferrand.
- | Minjard, négociant, à Issoire.
- Mirand-Dcvos, Versailles.
- Moignoux, hôtol, à Châteauncuf.
- Montlouis, directeur du Moniteur du Puy-de-Dôme.
- Morand, négociant, à Clermont-Ferrand. Moriaud, directeur du Crédit Lyonnais, à Clermont-Ferrand.
- Mors, constructeur, à Paris.
- Mouillard, hôtel du Louvre, à Royal.
- Ollier, constructeur, à Clermont-Ferrand. Ondet (Julien), Clermont-Ferrand.
- Pain, entrepreneur, à Clermont-Ferrand. Pcncnprat (De), secrétaire général de la Prélecture, à Clermont-Ferrand. Ponlenay-Fonlcte, directeur du Comptoir d’Escompte, à Clermont-Ferrand. Pouderoux, Le Puy.
- Prunière, négociant, à Clermont-Ferrand. Quiquandon, hôtel, à Pont-dc-Dore.
- Ress, banquier, à Brioude.
- Rochet-Schncider, Lyon.
- Rondet, négociant, à Clermont-Ferrand. Rongicr, avenue de Royat, Clermont-Ferrand. Sadourny, juge d'instruction, à Clermont-Ferrand.
- Sailly, Limoges.
- Scnncgy, palace hôtel, à La Bourboule. Soalhat, international hôtel, à Vichy.
- Tisseyre, hôtel de la Poste, à Clermont-Ferrand.
- Torrilhon (J.-B.), manufacturier, à Chamalières.
- Trinquier, hôtel, à Roehefort.
- Trochon, horticulteur, à Chamalières. Tourettc, hôtel du Nord, à Brioude.
- Urbain, opticien, à Clermont-Ferrand.
- Valetto (De la), directeur d'assurances, à Clermont-Ferrand.
- Valienne, négociant, à Clermont-Ferrand.
- Vert (Clément), industriel, à Clermont-Ferrand.
- Vigcnaud (Dr), Clermont-Ferrand.
- Vogué (De), Paris.
- Weysseyre, Mont-Dore.
- AUTOMOBILE CLUB DE COMPÏÈGNE
- à Compiègne (Oise).
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- AUTOMOBILE CLUB
- 870 --
- DU VAB
- AUTOMOBILE CLUB
- BOURGUIGNON
- (A. G. B.).
- 8, rue Darcy, à Dijon (Côte-d’Or).
- COMITÉ
- Présidents d’honneur: MM. Liégeard (Gaston), au château de Brochon, par Gevrcy ; Ri chard, 16, rue Gourtépée.
- Président : M. Miohaut (Dr), 1, rue Danton. Vice-présidents : MM. Perreau, G, place Au-usle-Dubois; Morlot (Dr), 24, rue Gon-orcet.
- Secrétaire général : Simonot, 2, place Auguste-Dubois.
- Trésorier : M. Gcrin, rue de la Liberté. Membres : MM. Gillet, 85, rue de la Liberté ;
- Py-Laroche, 3, place du Peuple; Thiriet, i iG, rue Gourtépée; Breton, 73, rue Monge.
- MEMBRES ACTIFS
- MM.
- Abrant (Dr), 22, rue des Forges.
- Alizon, 1, rue Jacques-Gélérier.
- Besancenet (De), 17, rue Piron.
- Bloc, 9, place d’Armes.
- Bony (D1), Nuits-Saint-Georges.
- Crest (Du), rue Pelletier-dc-Chambure. Danne, rue Mariotte.
- Dufle. 1. rue J. Gelerier.
- Dulllinger-Terrot, i3 bis, cours du Parc. Gaudot, rue Ghabot-Gharny.
- Guillemot, 2, rue de Mirande.
- Ilcrrly, rue Audra.
- Levoyet, place du Peuple.
- Mathieu, 2, place Fleury, Beaune.
- Perrin fils, Til-Ghâtel.
- Régis-Martelet, 2, rue des Pcrrières.
- Richard, 16, rue Gourtépée.
- Ronot, 60, rue de la Liberté.
- Terrot, rue André-Colomban.
- Weil-Picard, château de Diénay (Côte-d’Or).
- MEMBRES CORRESPONDANTS
- MM.
- Kranether, à Rixhein (Alsace).
- Millot, à Gray (Haute-Saône).
- Perrot, maison Brasier (Ivry-Port), Seine. Rossel, à Audincourt (Doubs).
- AUTOMOBILE CLUB DU VAR
- (A. C. V.)
- à Draguignan (Var)
- comité :
- Président : M. le marquis de Villcneuve-Bargemon.
- Vice-présidents : M. J. Gubert et M. Oustric. Trésorier : M- Missimilly.
- Secrétaire : M. A. Michel.
- Archiviste : M. le Dr Pelloquin.
- Administrateurs : MM. Michel-Dupro, le Dr Mari, Comoy et Guisol.
- membres actifs :
- MM.
- Achard, place du Marché.
- Arnoux, place du Marché.
- Balp (Dr), boulevard de l’Esplanade.
- Béraud, allées d’Azémar.
- Boisgelin (Comte de), à Bargemon.
- Bonnet (F.), allées d’Azémar.
- Bonnet (J.), avenue Carnot.
- Blanc (Dr), le Luc.
- Blancard (E.), à Grasse.
- Blancard (J.), place du Théâtre.
- Berlou, à Fayence.
- Berthet, Les Arcs.
- Bouyer, avenue Carnot.
- Comoy, boulevard de la Liberté.
- Chaix, boulevard de l'Esplanade.
- Chauchard, villa Salvy, boulevard de l’Impé-ratrice-de-Russie, à Nice.
- Coulomb (Dr), boulevard de l’Esplanade. Créange-Garnier (M“10), 160, rue Paradis, à Marseille.
- Couture (de la), rue de la République.
- Deville, avenue des Fleurs, villa France, à Nice.
- Ditgôs, rue Notre-Dame du Peuple.
- Doze (Dr), allées d’Azémar.
- I Duguct, 16, rue Ganndron, à Paris, j Dilliès, avenue des Fleurs, villa Adeila, â Nice.
- Delfau, place du Marché.
- Fabre, rue du Collège.
- Gcorgé, rue Notre-Dame-du-Peuple.
- Girard |Dr), place du Marché.
- Goin, rue Nationale.
- Gondoin. 8, place Anglicane, à Nice.
- Gubert, boulevard de la Liberté.
- Garnier (Albert), à Trans (Var).
- Garnier (Ed.), à Trans (Var).
- Guérin, boulevard de l’Esplanade.
- Guisol, boulevard des Marronniers.
- Hacuslin, 76, rue Paradis, à Marseille. Iléraud, le Flayosquet (Var).
- Jassaud, avenue Carnot.
- Jumaud, boulevard de la Liberté.
- Lacour, G, avenue Bcl-Air, à Cannes.
- Laroze, chemin de Sl-Etienne, villa Laroze, à Nice.
- Louvet, boulevard des Marronniers.
- Marc, receveur de l'Enregistrement.
- Marcy, château do Tournon, par Montauroux. Mari (Dr), rue Nationale.
- Mazouiller, rue de la République.
- Michel, rue Nationale.
- Michel-Dupré, place du Marché.
- Mouron, 22, boulevard Chave, à Marseille. Missimilly, rue des Marchands.
- Mathieu, rue llenri-Pastoureau, à Toulon. Oustric, avenue Carnot.
- Pelloquin (Dr), boulevard de l’Esplanade. Portai (Emile), avenue Carnot.
- Portai, palais Gounod, rue Gounod, à Nice. Raoulx, route de la Valette, à Toulon. Raynaud, le Flayosquet (Var).
- Raybaud, boulevard de l’Esplanade.
- Reynaud (Dr), à Grasse.
- Rambert, boulevard de la Liberté.
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- AUTOMOBILE CLUB
- VOSGIEN
- --871 —
- Rey, allées d’Azémar.
- Samat, cours Lieutaud, à Marseille.
- Savigny (Comtesse de), l'Oustalet dou Capel-lan, à SL-Raphaël.
- Siegfried, à St-Aygulf (Var).
- Tissot, allées d’Azémar.
- Villeneuve-Bargemon (Marquis de), à Barge-mou.
- Valois, à Grasse.
- AUTOMOBILE CLUB VOSGIEN
- (A. C. V.)
- 46, rue Jeanne-d'Arc, à Epinal (Vosges)
- COMlTli
- Président d’honneur : M. Bonhouro, préfet des Vosges.
- Président: M. Jules Pcrrigot.
- Vice-Président : René Laedericli.
- Secrétaires : MM. Armand Lederlin; Albert Gérard.
- Trésorier : M. Jules Kullmann.
- Membres : MM. Léon Anluszewicz; Charles Lepic (C10) ; Paul Lederlin ; Max Prud'homme.
- Secrétaire-adjoint : M. Husson.
- MIÎ.MIÎHES d’iIONNF.UU
- MM.
- Ilémardinquer, ingénieur eu chef du département des Vosges.
- Muller (Marc), agent-voyer en chef du département des Vosges.
- MEMBHIiS ACTH'.S
- MM.
- Antuszewicz (Léon), manufacturier, 38, place de l’Eglise, Rcmiremont.
- Althoffer (Louis), constructeur, laubg. d’Alsace, Rcmiremont.
- Antoine (Paul), industriel, Veeoux.
- Antuszewicz (Ernest), industriel, 7, rue du Breuil, Rcmiremont.
- Antuszewicz (Alfred), industriel, Rcmiremont.
- Barres (Maurice), homme de lettres, 100, boulevard Maillot, Neuilly-sur-Seine.
- Bacilieri, ingénieur-architecte, Gérardmer.
- Bazclaire de Lesscux (de), propriétaire, villa de l’Orme, Saint-Dié.
- Beauvais (Emile), 1G, rue de la Ménantillc, Saint-Dié.
- Blech (Emile), ingénieur, 2.4, rue Tlmrin, Saint-Dié.
- Biaise (Albert), docteur en médecine, Le Thillot.
- Bluehe (Ernest), manufacturier, Plainfaing.
- Bréda (C10 de), château du Plessis-Brion, par Thourotte (Oise).
- Boucher, industriel, 9, rueMazarine, Paris.
- Bulfl'er, rue lvléber, Mulhouse (Alsace).
- Burlin (Louis), fondeur, rue du Petit-Saint-Dié, Saint-Dié.
- Bouloumié (Jean), administrateur des. Eaux de Vittel, à Vittel.
- Bodet, administrateur des Papeteries, Etival.
- Châtel, 9, r. Franç.ois-de-Neufchâteau, Epinal.
- Cletienne, 16, rue du Casino, Saint-Dic. Crovisier, 8, rue de la Bolle, Saint-Dié. Chevalier, 12, rue Thiers, Epinal.
- Chevalier (Edmond), industriel, r. de l’Ecole-Normale, Epinal.
- Corbusié, représentant, Epinal.
- Cuny (Paul), industriel, Thaon.
- Dasse, docteur en médecine, 18, rue du Casino, Saint-Dié.
- Dorget, Jules, industriel, La Forge de Thuni-mont (Harsault).
- Dorget, industriel, rue de la Clé-d’Or. Epinal. Dhiver, 5-7, rue Claude-Gelée, Epinal. Dollfus, 5, avenue Carnot, Rcmiremont. Duceux (Camille), industriel, Saint-Dié.
- Duret (Jacques), 19, rue Ancel, N'euilly. Durand (Henri), industriel, la Tuilerie, St-Dié. Durupt, 8, rue Molitor, Nancy.
- Falaise (de la), capitaine au 4° chasseurs, Epinal.
- Fcltz (Xavier), à llielle, par Veeoux.
- Flayclle (Maurice), députe des Vosges, LaJon-clierie, Rcmiremont.
- Fleurot (Joseph), industriel, Val-d’Ajol (Vosges).
- Fleurot (Léon), Val-d’Ajol (Vosges).
- Ferry (Albert), négociant, La Ncuveville-les-Raon.
- Frientz (Henri), industriel, Saint-Dié.
- Garnier, 16, boulevard Malesherbes, Paris. Garnier (Lucien), 3G, boulJ du Lac, Gérardmer. Gautier, 8, rue de la Louviere, Epinal.
- Gcisler (Louis), industriel, Les Châtellcs. Raon-l'Etape.
- Gérard, avocat, villa d'Ormont, Saint-Dié. Gérard (Henri), notaire, Vittel.
- Germain (Jules), industriel, Thaon.
- Germain (Paul), industriel, Ventron.
- Gillotin (Emile), manufacturier, Plainfaing. Grosjean, docteur, Mirceourt.
- Grandcolas (Henri), avocat, Saint-Dié.
- G. HaUncr-Pinot, industriel, Fresse-s/-Moselle. Ilocquart de Turtot, villa Pélagie, Epinal. Imbert (Ivan), manuf., Ramonchamp, (Vosges). Jacquot, 2, rue de Boudonville, Nancy.
- Joly. 9, rue de la Gare, Epinal.
- Juillard, 3i, rue do la Préfecture, Epinal.
- De Kergorlay, capitaine, Neufchàteau.
- Kcmpf, lilateur, avenue de Robache, St-Dié. Kœcklin (Gustave), Villcr-Thann (Alsace). Kullmann, 5, rue des Corvées, Epinal. Kullmann (Pierre), industriel, Tliann (Alsace). Kullmann (Jules), 441 rue de la Gare, Epinal. Kullmann (Paul), 87, avenue d’Antin, Paris. Laedericli, 2, rue Sadi-Carnot, Epinal.
- Lang (Georges), Rcmiremont.
- Lederlin lils (Armand), courtier, rue Antoino-Hurault, Epinal.
- Lederlin (Armand), conseiller général, à Thaon. Lederlin (Henry), industriel, Thaon-les-Vosges. Lederlin (Paul), industriel, Thaon-les-Vosges. Lepic (C° Charles), 20, r. de Lisbonne, Paris. Marchai (Jules), lilateur, rue de la Bolle, St-Dié Mauban (Pierre), 73. rue de Reuilly, Paris. Manuel, 29, rue Gambetta, Epinal.
- Mena, 35, rue du Haut-Bourgeois, Nancy. Me*klen, 17, rue Gambetta, Epinal.
- Montait! (Paul), docteur en médecine, rue Aubert, Epinal.
- Martenet, capitaine, r. du Breuil, Rcmiremont
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- AUTOMOBILE CLUB
- DAUPHINOIS
- - 872 --
- Micg,.2f), rue Thiers, Epinal.
- Nansé (Erncsl), induKtriel, Le Saule,y, par Senones. .
- Pcrrigot (Jules), ingéiT, 58, r. d’Anjou, Paris. Perrin (Victor), industriel, Thiéfosse. Prêcheur, 38, rue d’Alsace, Saint-Dié.
- Pierrat (Auguste), rue do la Gare, Saint-Dié. Pinot (Edouard), industriel, Rupt-sur-Moselle. Prud’homme (Max), industr1, r. Thiers, Epinal. Ranst (Mls de), lieutenant, 35, avenue des Templiers, Epinal.
- Ramspacher (Xavier), industriel, Saint-Dié. Renard (Paul), lilalcur, 5g, r. d'Alsace, Sl-Dié. Rollct et Boulangé, commissionnaires, rue do la Gare, Epinal.
- Ryder (Edwin), industriel, Epinal. Schlumberger (Léon de), manufacturier, château de Guebwille (Alsace).
- Schwartz (Jules), industriel, avenue Carnot, Rcmiremont.
- Schwartz. (Gustave), négociant, aven. Carnot, Remiremont.
- Simonin (Gaston), négoc., pl. du Pare, St-Dié. Spony, industri(d, Remiremont. Scliwindenhammer (Xavier), industriel, Raon-l’Etape.
- Tcnthorey, industriel, Epinal.
- 'l'hehès (Lucien), industriel, Saint-Dié. Thomassin de Monlbel (Baron), 3, rue du Praillon, Remiremont.
- 'l'rivier (Henri), brasseur, Xerligny (Vosges). Vélin (Charles), industriel, /|9, rue Carnot, " Rambervillers.
- Viard (Edmond), négociant, r. do la Faïencerie, Epinal.
- \ tncent, (Maurice), manufacturier, place Dom-Caliuet, Scnones.
- N incent (Aimé), propriétaire, Moyenmoulier. Valdenaire (Henri-Victor), industriel, avenue Capi tain e-l'lay elle, Rei ni remont. Walter-Scitz (Didier), industriel, Granges. YValter-Seitz (Emile), industriel, Granges. VVéher, 14, rue d'Ambrail, Epinal.
- VVillig (Th.), industriel, rue d’Alsace, Thaon-les-Vosges.
- Wolf, 16. Grande-Rue, Remiremont.
- Ziegler (Alfred), industr., 33, r. Thiers, Epinal. Ziegler (Paul), industriel, La Gosse-Golbey.
- MEMBRES HONORAIRES
- Coulombe (G.), rue de la Clé-d’Or, Epinal. Drouvillo (P.), i/|8, rue Saint-Dizier, Nancy. Drouvillo (R.), ingéiT, i.j8, r. St-Dizicr, Nancy. Feuvrier, opticien, Epinal.
- Jeandidier, 1, rue de la Préfecture, Epinal.
- AUTOMOBILE CLUB DAUPHINOIS
- (A. G. D.)
- 6, place de la Halle, à Grenoble (Isère).
- comité :
- Président : M. Collin-Dufresne. • Vice-presidents : MM. Berthoin, Joya, D’Ai-guebelle.
- Secrétaire général : M. Charles.
- Secrétaire adjoint : M. Coulavoz.
- Archiviste : M. Do Gcfl'rier.
- Trésorier : M. Gharpenay.
- Administrateurs MM. Viallet, Billaud, Clialin, Vattaire.
- MEMBRES ACTIFS :
- MM.
- Agoult (d’), 19, boulevard Latour-Maubourg, Paris, et château de Voroppc (Isère). Aiguebellc (d’), 42> rue Thiers, Grenoble. Allegrct, Moirans (Isère).
- Allimand (Camille), Rives (Isère).
- Allimand (Fortuné), Rives (Isère).
- Aubry, industriel, Ven thon (Savoie).
- Barbier, i5, rue Thiers, Grenoble.
- Barthclon, 3, boulevard Ed.-Rey, Grenoble. Bellion, 3o, rue St-Jacijucs, Grenoble.
- Berges (Georges), industriel, Ghedde (Haute-Savoie).
- Bernard, 22, rue de Tocqueville, Paris, Berthier (J.), place Grenelle, Grenoble. Berthoin, 3, boulevard Ed.-Rey, Grenoble. Billaud, 11, boulevard Ed.-Rey, Grenoble. Blanc (François), Rives (Isère).
- Blanc (V.), 8, place Victor-IIugo, Grenoble. Blanchet, Rives (Isère).
- Blanchet, (Victor), Rives (Isère). Bonnet-Eymard (Gustave), 2, rue de France, Grenoble.
- Borcl (Charles), f\%, rue Sl-Laurcnt, Grenoble. Bouchayer, 34 bis, boulevard Gambetta, Grenoble.
- Boiichaycr (IL), 55, boni. Sébastopol, Paris. Bourjat, général, Rives (Isère).
- Bresson (de), capitaine, 3, avenue Matignon, Paris.
- Brelonnière (de la), Gg, boulevard Ilaussman, Paris.
- Buscarlet (Paul), G5, rue Lesdiguières, (ire-noble.
- Carrière, 24, route de Lyon, Grenoble. Carrière, 5g, rue Thiers, Grenoble. Cartier-Millon, Albertville (Savoie).
- Challc, 38, avenue Alsace-Lorraine, Grenoble. Ghapcr, château d'Eybcns (Isère).
- Charles, docteur, 8, boulevard Edouard-Rey, Grenoble.
- Charles, 1, avenue Alsace-Lorraine, Grenoble. Gharpenay, 2, place du Lycée, Grenoble. Chatin, docteur, 52, rue de Clichy, Paris. Chatin, 7, place Victor-IIugo, Grenoble.
- Cibcrt, docteur, 5, r. Eélix-Poulat, Grenoble. Collin-Dufresne, G, quai de France, Grenoble. Corbin (Paul), industriel, Ghedde (Ilaute-Savoic).
- Court, 54, cours St-André, Grenoble.
- Coulavoz, 12, avenue d’Alsace-Lorraine, Grenoble.
- Couturier, 22, cours de Senozan, Voiron (Isère). Couturier (Regis), Charavines (Isère). Couturier (Emile), Grand-Lcmps (Isère). Davin, 2, rue du Drae, Grenoble.
- Debon, 71, cours St-André, Grenoble.
- Delafon (René), industriel, Entre-deux-Guiers (Isère).
- Dcmonjon (Emile), G, rue Thiers, Grenoble. Dcmenjon (Henri), 88, cours do Saint-André, Grenoble.
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- AUTOMOBILE CLUB
- DAUPHINOIS
- Desjoyaux, 39, rue de la Boétie, Paris, Diederichs (Louis), Jallieu (Isère).
- Dodo (Henri), Domène (Isère).
- Doroy (Fernand), notaire, Saint-Marcellin (Isère).
- Doriol, Eybens (Isère).
- Douillet, 34, rue Tliicrs, Grenoble.
- Duchemin, i/|, Grand'Ruc, Grenoble.
- Etienne (Maurice), Domène (Isère).
- Eavel, 4) place Grenelle, Grenoble.
- Favot (Edouard),.Virieu (Isère)..
- Frédet (Henri), Brignoud (Isère).
- Geffrier (de), G, rue Paul-Bert, Grenoble. Geneix-Basset, 28, rue Dumoulin,Lyon, Rhône. Germain (Emile), rue Taillel'cr, Grenoble. Gilles, Varces (Isère).
- Giraud, 4, place de la Constitution, Grenoble. Girod (Paul), Albertville ((Savoie).
- Goudel, Gap (Hautes-Alpes).
- Grammont, Pont-de-Chéruy (Isère).
- Griot, lia Sône (Isère).
- Guillaume!, Fontaine (Isère).
- Ilermile, docteur, G, place Victor-Hugo, Grenoble.
- Jouflray. 5 bis, boul. Gambetta, Grenoble. Joya (Regis), 53, rue L’Abbé-Grégoire, Grenoble.
- Kcller, Usine du Livet (Isère).
- Kléber (Maurice), Rives (Isère).
- Laforct, 19, rue Lcsdiguières, Grenoble. Langlois, Rives (Isère).
- Lenorinand (colonel) Tréserve, Savoie.
- Lépine, 34 bis, boulevard Gambetta, Grenoble. Lescurc (Léon), Saint-Miehel-de-Maurienne. Magnificat, 79, rue Lcsdiguières, Grenoble. MaÏÏein, La Sône (Isère).
- Martin (Casimir), Moirams (Isère).
- Martin (Jules), 9, boul. Gambetta, Grenoble. Monclos (do), La Côte-Saint-André (Isère). Morel, Domène (Isère).
- Mounier, 83, cours Berriat, Grenoble.
- Navarre (Bertrand), Voiron (Isère).
- Neyret, 8, avenue do la Gare, Grenoble. Nicollet (Joseph), 2, pl. de l’Etoile, Grenoble. Ogier, Voiron (Isère).
- Paturlo (Camille), industriel, Saint-Laurent-du-Pont, (Isère).
- Pegoud, docteur, 3, rue Vaucanson, Grenoble. Pellet, /|G, rue Tliicrs, Grenoble.
- Perrin (Valcrien), négociant, rue Guy-Allard, Grenoble.
- Perriol, docteur, 11 bis, place Victor-Hugo, Grenoble.
- Peyron (François), Vizille (Isère).
- Piollet, y, boulevard Gambetta, Grenoble. Raymond (Achille), 111, cours Berriat, Grenoble.
- Repaire (du), i3, quai Claude-Bernard, Lyon. Rey (Louis), industriel, la Rochette (Savoie). Rocher (Camille), Chambaran (Isère).
- Rocher (Fernand), La Côte-Sainl-André (Isère). Rochette, Epierre (Savoie).
- Séjournet (Paul), ingénieur, Froges (Isère). Silvy (Célestin), 4, place de la Constitution, Grenoble.
- Terrail (du), docteur, 10, place Sainte-Claire, Grenoble.
- Terray, rue du Dauphiné, Grenoble. Thévenet, docteur, à Voreppe (Isère). Thouvard, 138, cours Saint-André, Grenoble.
- Thouvard (Henri), Entre-deux-Guicrs (Isère). Tournier, Tliicrs (Puy-de-Dôme).
- Vallier, rue TailkTer, Grenoble.
- Vatlaire, 2, place Victor-Hugo, Grenoble.
- Vial, boulevard de la République, Voire . Viallet, 28, cours Saint-André, Grenoble.
- Aridil (Gaston), Gières (Isère).
- Virieu (de), à Virieu (Isère).
- ME.MUllES II OXO U AIRE S
- MM.
- Allicr(Joseph),2G, cours de St-André, Grenoble. Allier (Louis), 2(1, cours de St-André, Grenoble. Bergeret (A.), Rives (Isère).
- Bergès (Maurice), Lanccy (Isère).
- Berthollct (Louis), Voiron (Isère).
- Bertrand, docteur, g, boulevard Edouard-Rey, Grenoble.
- liesse (de la), 4, place Lavaletto, Grenoble. Besson, docteur, 33, avenue Alsace-Lorraine. Grenoble.
- Blanc (fils), Rives (Isère).
- Blanchet, château d’Allivct, Renage (Isère). Blanchct (Augustin), Rives (Isère).
- Blanchet (Jules), Voiron (Isère).
- Boissand (Emile), r. Docteur-Mazet, Grenoble. Bonnabel, l’hôtel, le Lautaret (II.-A.), üouchayer, 2, place Victor-Hugo, Grenoble. Brachon, à l’hôtel, la Mûre.
- Brossât (Paulin), St-Marcellin (Isère).
- Brun, 38, avenue Alsace-Lorraine, Grenoble. Buisson, Etablissements d’IJriage, Isère. Camand, 12, avenue Alsace-Lorraine, Grenoble.
- Capitant (Charles), La Tronche (Isère). Capitant, villa Teisseire, La Tronche (Isère). Garrot, 12, place Victor-Hugo, Grenoble. Cartallier, 19, av. Alsace-Lorraine, Grenoble. Cartay, pharmacie Verne, place Victor-Hugo, Grenoble.
- Chabaud, Montélimar (Drôme).
- Charlon (César), iG, boulevard Edouard-Rcy, Grenoble.
- Charvct (Félix), Rives (Isère).
- Christin (Jean), jilace Grenette, Grenoble. Clément (Antoine), 4, quai des Allobroges, Grenoble.
- Clerc (Benjamin), 1, rue Béranger, Grenoble. Cluzes (Georges), 1, rue Villars, Grenoble. Cottin (Charles), Vizille (Isère).
- Couttet, hôtel du Parc, Chamonix.
- Dasprc, 1, quai de la République, Grenoble. David, 1, rue des Remparts, Grenoble. Diederichs (Auguste), ingénieur, Bourgoin (Isère).
- Duc, 25, avenue Alsace-Lorraine, Grenoble. Duringe, villa des Bruyères, Ecully (Rhône). Esprit, 3 bis, boulevard Gambetta, Grenoble. Essard (des), La Tour-du-Pin (Isère).
- Etienne (Eugène), Domène (Isère).
- Faure (Marcel), 20, rue du Docteur-Mazet,, Grenoble.
- Fenoglio, rue Président-Carnot, Grenoble. Férary-Berthelot, 3, rue Docteur-Bailly, Grenoble.
- Ferrand, 2, cours Berriat, Grenoble.
- Fugier, hôtel de la Poste, Voiron (Isère) Gaday, 5, rue Vauban, Grenoble.
- Gautier, place Grenette, Grenoble.
- Gcnin (Henri), 46, boul. Gambetta. Grenoble.
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- AUTOMOBILE CLUB
- DE LYON
- - 874 -
- Gillet, 10, quai de Serin, Lyon.
- Girard, 10, rue de Strasbourg, Grenoble. Groll, docteur, 9, place Grenettc, Grenoble. Guirimand, quai Cl.-Brosses, Grenoble. Ignace, Go, rue d’Alembert, Grenoble.
- Isnard, 36, avenue Alsace-Lorraine, Grenoble Jacquin, St-Nazaire (Isère).
- Kléber (Gaston), Rives (Isère).
- Léger, Albertville (Savoie).
- Lemaire, 48, rue Tliiors, Grenoble.
- Lévy, 27, rue de Turenne, Grenoble. Magdelen, à l'hôtel, Villard-de-Lans (Isère). Martin, ly, boulevard Gambetta, Grenoble. Massit, café des Voyageurs, à Rives (Isère). Michoud (Paul), 3, rue Félix-Poulat, Grenoble. Monteynard (de), à Tencin (Isère).
- Pelloux, hôtel La Mûre (Isère).
- Perrin, 5, chemin de Bresson, Grenoble. Perrin (Charles), 15, rue Malakolf, Grenoble. Piaget, docteur, 10, place Victor-llugo, Grenoble.
- Rang (Villy), Nuremberg (Allemagne).
- Raust de St-Brisson (de), lieulenant, 3<j, avenue des Templiers, Epinal.
- Raymond, 1, rue Molière, Grenoble. Reymond, 4, place de la Constitution, Grenoble.
- Reynaud, i5, place Grenettc, Grenoble. Reynaud de Villevert, capitaine, Epinal (Vosges).
- Reynier, 4, boulevard Gambetta, Grenoble. Richard-Guignes, 3, rue Félix-Poulat, Grenoble.
- Rigny, maison Alliniand, Rives.
- Robert, 3, rue de la Manutention, Grenoble. Roche, i2, rue Tliiors, Grenoble.
- Rome, 4, boulevard Edouard-Rcy, Grenoble. Rosnoblet. (M“), hôtel du Château, Challes-les-Bains (Savoie).
- Rozier, 248, avenue de Saxe, Lyon.
- Schütte, président de l’A. C. Bavarois, à Nuremberg (Allemagne).
- Senequier-Crozet (P.), abbé, 1, rue M011-torge, Grenoble.
- Senequier-Crozet, 31, cours Vitton, Lyon. Séruliaz, château d’Yvours, à Irygny (Rhône). Stcecklin, 58, rue d’Antibes, Cannes.
- Tassera, 1, rue Montorge, Grenoble.
- Tiribilot, g3, rue du Théâtre, Paris.
- Trillat, 8, place Grenettc, Grenoble. Turckheim (de) Frédéric, baron, à Kolbsheim (Alsace-Lorraine).
- Viard. Les Echelles (Savoie).
- Villardière (de la), château de la Frette (Isère). Yécora, 11, place Victor-Hugo, Grenoble.
- AUTOMOBILE CLUB ROCHELAIS
- 23, rue Bazoges
- d La Rochelle (Charente-Inférieure).
- AUTOMOBILE CLUB JURASSIEN
- (A. C. J.).
- Maison Devaux, aux Rochette;s, Lons-le-Saunier (Jura.)
- COMITÉ
- Président : M. P. Morard, au château de Blandant.
- Vice-présidents : MM. Bidot, (Dr), à Voiteur. Rivoiro. négociant, à Montmorot; Schacre, négociant, à Champagnole, par Champa-gnole ; Jacquemin jeune (J.), à Morez, par Morez.
- Trésorier-secrétaire : M. A. Devaux, aux Pochettes, à Lons-le-Saunier.
- Secrétaire-adjoint : M. Gindre, négociant, à Lons-le-Saunier.
- MlîMlMUiS ACTIFS
- MM.
- Bidot, architecte, à Lons-le-Saunier.
- Billard (R.), négociant, à Lons-le-Saunier.
- Billet (Dr), rue de la Préfecture, à Lons-le-Saunier.
- Bouvet (E.), messageries, à Champagnole.
- Buisson, Ballerie-d’Argent, à Lons-le-Saunier.
- Camus, architecte, à Lons-le-Saunier.
- Faivre, rue Regard, à Lons-le-Saunier.
- Greusard (G.), lunctlier, à Morez.
- Jobez, ingénieur, à Morez.
- Lagorgett.e. huissier, à Lons-le-Saunier.
- Mazct, mécanicien, à Lons-le-Saunier.
- Poulet (Ch.), hôtel, â Baume.
- Prost,, propriétaire, à Aumont.
- Vagniot (IF), route de Montaigu, a Lons-le-Saunier.
- AUTOMOBILE CLUB
- ARMORICAIN
- à Lorient (Morbihan)
- BICYCLE ET AUTOMOBILE CLUB DE LYON
- (Ancien Vélo-Club, fondé en 1868)
- 2, Palais-Grillet, à Lyon (Rhône)
- COMITÉ
- Président, : M. Marcet (Louis), 43, boulevard du Nord.
- Vice-présidents : M. Budillon (André), 6, rue Président-Carnot : M. Comparai (Jacques), 22, quai de la Guillotière.
- Secrétaire général : M. Burdet (Joseph), 107, rue. Duguesclin.
- Secrétaire sportif : M. Brisset (Adolphe), G, rue de Marseille.
- Trésorier : M. Colin (Henry), y, rue dcl’Hôtel-1 de-Ville.
- Trésorier adjoint : M. Grange (Joseph), 14> rue do Constanline.
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- AUTOMOBILE CLUB -- 8^5 --- DE L.A SARTHE
- MEMBRES ACTIFS
- MM.
- Alexandre (Jules), 60, boulevard des Brotteaux. Algoud (Maurice), 3, place d’Helvétie.
- Allard (Louis), i, rue de Constantine.
- Ardouin (Paul), 22, quai Saint-Vincent. Auferville (Georges d’), 2, place Saint-Jean. Auloge (Jean), 8, rue de la Bourse. Ballet-Gallil'et, i3, quai Pierre-Seize.
- Baratin (Marius), 11, rue Gentil.
- Barbenès (Charles), 26, rue de la République. Bertrand (Jean), 8, avenue de Noailles. Billondet (Jean), 60, rue Auguste-Comte. Blanc (Cristophe), g4, boulevard du Nord. Bonnafé (Pierre), 38, rue Sainte-Jeanne. Boulay (Eugène), 4, rue de la République. Bouthéon (Florian), 11, rue Pizay.
- Brondel (Jean), 4y» rue Magenta.
- Butillon (Régis), 5, rue Jean-Carriès.
- Buenzod (Paul), 17, rue Auguste-Comte. Buisson (Louis), 4g» rue Cuvier.
- Buland (Jean), 97, rue de rilôtel-de-Ville. Budillon (Marius), G, rue Président-Carnot. Cécillon (Fritz), 10, cours Morand.
- Chabanne (Francisque), 8, rue Victor-Hugo. Child (Herbert), 7, rue Bàt-d’Argent.
- Christy (Henry), 74, rue de Vendôme. Clémenso (Edouard), 1, r. de l’IIôtel-de-Ville. Clozel (Jules), i4g, avenue de Saxe.
- Cortot (Antonin), 20, rue Mulet.
- Cothonay (Jean), 2, rue d’Alger.
- Daléry (Pierre), G, rue de Montbernard. Dénave (Léon), 4, rue des Archers.
- Desthieux (Antoine), 6, rue de la Barre. Dubuisson (Elie), 19, rue do l’Ilôtcl-de-Ville. Ducy (Joseph), i5, rue Pierre-Corneille. Durand (Pierre), 8, rue de la Charité.
- Faivre (Louis), 243, avenue de Saxe.
- Faure (Auguste), G7, chemin de Choulans. Flachat (Alexandre), 112, avenue de Saxe. Frize (Joseph), 4, rue Gentil.
- Fructus (Marius), 2.4, rue Cuvier.
- Gacon (Joseph), 23, avenue des Cottages, à Vassieux (Rhône).
- Gantier (Michel), 28, quai des Brotteaux. Gayet (Joanny), 2G, rue de la République. Gille (Louis), 2, rue de la Méditerranée. Girard (Gustave), 1 g, cours de la Liberté. Girardet (Jean), 49» rue do la République. Grobon (César), 92, rue de Sully.
- Gros (Paul), 20, rue Paul-Chenavard.
- Guillaud (Pierre), 6, rue de la Bourse. Guillaume (Victor), 58, rue de Montchat, à Monplaisir (Rhône).
- Guinard (François), t\‘2, avenue de Noailles. Hébrard (André), 11, rue de la République. Jacquemoz (Joannès), 88, quai Pierre-Seize. Jamin (Antlielme), x4» rue Saint-Dominique. Josscrand (Charles), i3, rue de Bourgogne. Journet (David), 5, rue de Pléncy.
- Jude (Auguste), 35, rue Tronchet.
- Labaty (Jean), 10, cours Morand.
- Lambotte (Clément), G, rue Rabelais.
- Landroz (Louis), 7, place des Jacobins. Larrivé (Jules), Tassin-La-Demi-Lune. Lévigne (Auguste), 2, rue Cuvier.
- Mailland (Charles), 3, rue de la Fromagerie. Maillet (Gabriel), 89, avenue de Saxe.
- Marion (Jean), 26, place Tolozan.
- Marmorat (Théophile), 45, boulevard du Nord.
- Merguin (Philippe), 35, rue Tupxn.
- Mirad (Alix), 74, rue Pierre-Corneille.
- Pacalin (Bruno), 89, boul. de la Croix-Rousse. Payet (Pierre), 5, place d’Helvétie.
- Péragut, (Jean), 20, place Tolozan.
- Pilain (François), 33, rue de l’Abondance. Probst (Charles), 11, rue de Constantine. Pugin (Louis), 100, rue Duguesclin.
- Raaisson (Jules), 3, place Gerson.
- Reboul (Louis), 10, rue Lal'ond.
- Reguet (Georges), 35, rue Tronchet. Richarme (Edouard), 122, rue Vauban. Rivoire (Victor), 55, rue Francklin.
- Robert (Joseph), 10, quai de Serein.
- Roques (Pierre), 2, rue de la Poulaillerie. Santoux (Joachim), 1, place d’Helvétie. Sézanne (Léon), 75, rue de la Buire.
- Simon (Alfred), 5, r. Ste-Marie-des-Terreaux. Tardy (Maurice), 3o, cours Morand.
- Valansio (Désiré), 4, rue de la Loge.
- Verilhac (Georges), 7, cours Morand.
- Veyret (Antoine), 64, cours d’Herbouville. Veyron (Antoine), 32. rue de l’IIôtel-de-Ville. Vitalis (Victor), 5. chemin de Montbriand. Weil (Louis), 21, rue d’Alsace.
- Zipfel (Charles), 14, rue St-Dominique.
- AUTOMOBILE CLUB DU RHONE
- (A. C. R.)
- 6\ rue Boissac, Lyon (Rhône)
- COMITÉ
- Président : M. Cambon, 3y, quai de la Charité, Lyon.
- Vice-présidents: MM. Chabannes (Comte Henri de), 3o bis, place Bcllecour; Montai (Vicomte de), 27, quai de FArcheveché. j Secrétaire général : M. Genin, 2, place Ollier.
- Secrétaire adjoint : M. Pothin, G, place Saint-Nizier.
- Trésorier : M. Bernardin, 2, rue do la République.
- Trésorier-adjoint : M. Deydier, 19, rue Puits-Gaillot.
- AUTOMOBILE-CLUB
- DE LA SARTHE
- (A. C. S.)
- 7, rue René-Levasseur, Le Mans (Sarthe)
- COMITÉ
- Membres d’honneur : MM. le Baron de Zuy-len ; Amédée Bollée père.
- conseil d’administration
- Président : M. Adolphe Singhcr, rue
- Chanzy, Le Mans.
- Vice-présidents : MM. Georges Carel, 35, rue de Bel-Air, Le Mans; le Dr Moreau, 65, rue Chanzy, Le Mans.
- Secrétaire général : M. Georges Durand, 10, rue du Père-Mersennc, Le Mans.
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- AUTOMOBILE CLUB
- -- 87G
- DE LA SA BTI II*
- Secrétaire adjoint : M. Gustave Singhcr, châ-teau d’Isaac, Le Mans.
- Trésorier : M. R. Pcllier, 3o, rue do la Mariette, Le Mans.
- Trésorier adjoint: M. Launay, rue Courthar-dy, iG, Le Mans.
- Ingénieur-conseil : M. L. Verney, ingénieur É. G. P., rue delà Pelouse, Le Mans.
- Conseillers : MM. Raert, boulevard René-Levasseur, Le Mans ; Relleville, château de Méhoncourt, Le Mans; Gaulier, 112, rue do Flore, Le Mans ; P. Jamin, moulins de St-Georgcs, Le Mans; colonel Nouton, 19, rue de l’Etoile, Le Mans ; Max Térouannc. G, rue St-André, Le Mans.
- MEM1111ES ACTIFS
- MM.
- Aillières (d’), château d’Aillièrcs, Mamers.
- Allai'd, 18, avenue du Pont-dc-Fer, Le Mans.
- Andigné (Comte d’). château de Rcsteau, Chemiré-le-Gaudin.
- Arnaud, 72, avenue Thicrs, Le Mans.
- Aubry, 3a, place do la République, Le Mans.
- Auguy (Dr), Les Chartreux, St-Denis-d’Orques.
- Auvray, Hôtel de France, Saint-Calais.
- Avice, château de la Forèteric, Allonnes.
- Raërt, 22, boulevard Levasseur, Le Mans.
- Raras, i3, rue de Ncuilly, Paris.
- Rariller (Alexandre), 18, rue d'Iéna, Le Mans.
- Rariller (.Iules), 3i, avenue Thicrs, Le Mans.
- Rataillo, La Chartre-sur-le-Loir.
- Raudelot, 9, rue Chanzy, Le Mans.
- Razoge (Lucien), 22, rue Gambetta, Le Mans.
- Razoge (Victor), 12, place do la Mission, Le Mans.
- Reaumont (Comte de), château de Reauchamp La Fcrté-Rernard.
- Reldanl, 34, avenue Tliiers, Le Mans.
- Reldent, 35, avenue Thicrs, Le Mans.
- Relleville, château de Méhoncourt, Le Mans.
- Rcllin, i5, rue des Minimes, Le Mans.
- Rerthier de Sauvigny (Comte do), 3y, rue Chanzy, Le Mans.
- Rcssonncau, 21, rue des Minimes, Angers.
- Rioche, 2 Lis, rue du Mouton, Le Mans.
- Rizot, G, rue des Minimes, Le Mans.
- Rlanchard, 12b, rue Nationale, Le Mans.
- Rodin, 9, rue de la Rascule, Le Mans.
- Rollée père, (Amédée), io4, avenue de Paris. Le Mans.
- Rollée (Jules), ia3, avenue de Paris, Le Mans.
- Rolléc (Léon), 120, avenue de Paris, Le Mans.
- Rollée fils (Ernest), 5o, avenue de Paris, Le Mans.
- Rouhourd, 3o, rue des Minimes, Le Mans.
- Rouriat (Comte), Les Arches, Yoré-l’Evèque.
- Routtier, 21, rue Rarhier, Le Mans.
- Rouvry, 3o, ruo Victor Hugo, Le Mans.
- Rranchu, 11, rue Saint-Charles, Le Mans.
- Rrasier, 3G, rue Molitor, Paris.
- Rreteau (Dr), Rouloire.
- Rrillant, 72, avenue de Pontlicue, Le Mans.
- Rroc (Marquis de), château du Ferrais, Pari-gné-l’Evèque.
- Rroussillon (Comte de), i5, ruo do Tascher, Le Mans.
- Rruneau, 2, ruo de la Perle, Le Mans.
- Rrunet-Cliable, 18, rue du Mail, Mortagne.
- Cacaud (Dr), Vibraye.
- Caillot, Rrunoy.
- Calvé, iG, rue Montesquieu, Rordcaux.
- Cambounct, 2, ruo des Noyers, Le Mans.
- Ganit, 3o, rue Sle-Croix, Le Mans.
- Cany, 1, rue de l’Etoile, Le Mans.
- Carel (Georges-Théophile), 35, rue de Roi-Air, Le Mans.
- Carel (Roger-Louis-Alcxandrc), 2, rue Saini-André, Le Mans.
- Carel (Théophile-Edmond), 2, rue Saint-André, Le Mans.
- Carré (Alexandre-Jean), i3o, boulevard l)e-morieu, Le Mans.
- Carré (Anatole), à l'Abbaye, commune de Vaas.
- Carré (Léon-Ernest), G, avenue Thicrs, Le Mans.
- Cars (Marquis des), 1G 1er, avenue Rosquel, Paris.
- Catcrs (Raron de), château do S’Gravem-werel, par Wyncghem, province d’Anvers.
- Catlois, 48, avenue de Paris, Le Mans.
- Chabal, i\j, ruo Chanzy, Le Mans.
- Chantre, 1, rue Chanzy, Le Mans.
- Ghapron, 33, avenue de Paris, Le Mans.
- Charbonnel, 5G, r. du Faul).-Montmartre, Paris.
- Charencey (Vicomte de), château do Nauvav, Moncé-en-Savonois.
- Chatcnay, 1, rue des Rouchcries, Le Mans.
- Chatcllicr (Dr), 55, rue Montoise, Le Mans.
- Chevallier, 33, rue Gambetta, Le Mans.
- Civelli do Rosch, 3, rue Villaret-dc-Joyeuse, Paris.
- Cohin, 42, rue du Port, Le Mans.
- Collot, a3, boulevard de Versailles, Surcsnes.
- Cointreau, 3^, rue Paul-Rert, Angers.
- Combes, ruo Dumas, Le Mans.
- Conilleau, 11, ruo de Relfort, Châteaudun.
- Couasnon, 19, rue de Fleurus, Le Mans.
- Crochard, place de F Ancien-Hôpital, Le Mans.
- Dalmagne, 7, rue St-Victeur, Le Mans.
- Darnal, St-Réiny-du-Plain (Sarthe).
- Dauplav, 8, rue du Cirque, Le Mans.
- David (Henri), 7, ruo de Paris, Lo Mans.
- David (Léon), 14, rue du Rourg-Rclé, Le Mans.
- Delagénière, i5, rue Erpell, Le Mans.
- Delarochc, 72, avenue Thicrs, Lo Mans.
- Dequaindry, 87, boulevard Lamartine, Le Mans
- Dcrigny, i5, rue de Foisy, Le Mans.
- Dieu, 87, avenue Tliiers, Le Mans.
- Dombret, 78, Courlourny, Rordeaux.
- Dorizon, 48) rue Chanzy, Le Mans.
- Drouillard.
- Dugué, 24 Lis, ruo du Rourg-d’Anguy, Le Mans.
- Durand, 10, ruo du Père-Mersenne, Le Mans.
- Fayolle (Comte de), i4, rue Rarbccanm-, Pcrigucux.
- Fenaille, 11, ruo du Conservatoire, Paris.
- Filleul-Rrohy, château de la Perrigne, par Savigné-l’Evéque.
- Fleuriaye (de la), La Fcrtc-Rernard.
- Fouchard, 12, place delà Prélecture, Le Mans.
- F’ournier père (Achille), 12, rue de Foisy. Le Mans.
- Fournier (Achille), 1, rue du Midi, Neuilly-sur-Seine.
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- AUTOMOBILE CLUB
- DE LA SABTHE
- — 877 —
- Fournier (Henry), .1, rue du Midi, Neullly-sur-Seine.
- Fournier (Maurice), 38, rue des Poissonniers, N euilly-sur-Seine.
- Fournier-Carville, i4 bis, rue Victor-IIugo, Le Mans.
- F'rançois, i4, place de la Prélecture, Le Mans. Garczynki, 34, rue du Pavé, Le Mans. Gaudineau (Léon), 4, rue des Capucins, La F'ièclie.
- Gaudineau (Louis), château de Bouchevereau, La Flèche.
- Gaudron, 10, rue de la Paille, Le Mans. Gaullier, 112, rue de Flore, Le Mans.
- Gérard, IjC Mesle-sur-Sarthe.
- Gilbert, 3q, rue des Minimes, Le Mans. Gouge fils, 11, rue de la Prélecture, Le Mans. Gouin, 238, avenue de Poutlieue, Le Mans. Goutard, 32, rue Marengo, Le Mans. Grandjean, La Chartre-sur-le-Loir.
- Grégoire, 55, boulevard Devaux, Poissy. Grirnault, Grand-Hôtel, Châleau-du-Loir. Gruber, Melun.
- Guet, 47 bis, rue du lîourg-Belé, Le Mans.
- Guiet, Moncé-en-Belin.
- llanriot.
- Haye-Mont,bault (de la), 17, rue Robert-Garnier, Le Mans.
- Haymann, i5, rue Dumas, Le Mans.
- Heath, 54, r. Charles-Laffitte, Neuilly-s-Seine. Hémery, 2, rue Emile-Zola, Surcsnes. Henrionnet (Charles), 4y> rue Chanzy, Le Mans. Henrionnet (James), 4?, nie Chanzy, Le Mans. Hocmelle, 9, rue Saint-Florentin, Paris. Hogan, 3i, avenue lvléber, Paris.
- Floreau (Dr), Fresnay-sur-Sartbe.
- Houdoux (Dr), Château-du-Loir.
- Housseau, villa la Source, Cbahaigues.
- Jamin (Adolphe), Moulins do Saint-Georges, Le Mans.
- Jamin (Paul), Moulins de Saint-Georges, Le Mans.
- Janvier, au Val d'Huisne, Le Mans.
- Jardin, rue Groselier, Le Mans.
- Jeudon, Le Breil-sur-Mcrizc.
- Jolain, Hôtel du Dauphin, Le Mans. Jouanneault, 8, rue du Bourg-Bolé, Le Mans. Jouhaneau, Libourne.
- Juliard, i3, rue Auvray, Le Mans.
- Knyff (Chevalier de), 3i, rue Demours, Paris. Lancelin, 13, place de la Prélecture, Le Mans. Lancia, 35, corso Dante, Turin (Italie). Landolt, 17, avenue Victor-Hugo, Paris. Lanos, Bessé-sur-Brayc.
- Lassailly, 85, boulcv. du Point-du-Jour, Issy. Latouche, 4, rue des Arènes, Le Mans. Laudinet, 8, boul. René-Levasseur, Le Mans. Launay (Camille), iG, rueCourlhardy, Le Mans. Launay (René), iG, rueCourlhardy, Le Mans. Lecler, 48, rue do la Pelouse, Le Mans. Lecointre, 4, rue Jullien, Alençon.
- Le Cornu, au Val d’Huisne, Le Mans. Lecorps, 9, avenue Thiers, Le Mans.
- Lefèvre, 2.5, rue Béranger, Paris.
- Lefortier, 5 bis, rue des Champs, Le Mans. Léger, 23, avenue Victor-IIugo, Paris. Lelièvre, 2, rue Saint-Bertrand, Le Mans. Lelong, 4i, place de la République, Le Mans. Lemasurier, 20, rue des F’ontaines, Le Mans. Lepart. 9, rue des Minimes, Le Mans.
- Lcsault, place de l’Eperon, Le Mans. Lesscville (Vicomte de), La Flèche.
- Letard, 48, rue du Port, Le Mans.
- Letcssier, 6, boni. René-Levasseur, Le Mans. Leveau, 98, quai Amiral-Lalande, Le Mans. Lévèque, 15, rue de Fleurus, Le Mans. Lorcau, Briare.
- Lotte, La Suze.
- Lot lin, G8, rue de la Pelouse, Le Mans. Louvel, 113, rue Denfert-Rochereau, Le Mans. Loysel, 20, rue des Capucines, Paris.
- Luart (Comte Jean du), Le Luart.
- Luart (Comte F’rançois du), Launay, par Tulle. Luart (Marquis Georges du), château du Luart. Luart (Comte Roland du), château du Luart :
- et i85, rue de la Pompe, Paris. Lucinge-Faucigny (Prince do), château des Chardonncux, Saint-Bicz-en-Bclin.
- Mabille, rue de Blois, Amboisc.
- Magdclaine, 80, rue de Flore, Le Mans. Maillard, Châleau-du-Loir.
- Maire (Emile), 4, rue des Minimes, Le Mans. Maire (Paul), 107, avenue de Paris, Le Mans. Maniquairo, Saint-Rérny-du-Plain (Sarthe). Marc, 1, rue du Tcrtre-St-Laurent, Le Mans. Maréchaux, à l’Angevinière, Le Mans. Margrain (M"10), /|3, place de la République, Le Mans.
- Martin' (Jacques-Denisl, 21, rue de Paris, IjO Mans.
- Martin (Jules), 9, place Girard, Le Mans. Martin du Nord (Baron), château de Mangé, par Mayct.
- Masimbert, Malitourne, par Fiée.
- Mauboussin, G4, rue Grenela, Paris.
- Mémin (Edmond), iü, rue de l’Etoile, Le Mans. Mémin (Georges), 20, rue Marchande, Le Mans. Méycr (Dr), 3o, rue du Port., Le Mans.
- Moliin, 85, route de Sablé, Le Mans.
- Moiré, 3p, avenue du Pont-dc-F’er, Le Mans. Monnier, 5, 'rue Danton, Levallois-Pcrrct. Monnin, 74 bis, quai Lalande, Le Mans. Montreuil (Comte de), château do la MasseL lière, Ba/.ouges-sur-Loir.
- Morancé-Croizet, 2G, pl. de l’Eperon, Le Mans, Morandicre (do la), 34, rue de Flore, Le Mans, Moreau, G5, nie Chanzy, Le Mans. Mouette-Carré, 15, av. de Paris, Le Mans. Moulière, 7, rue Monlauban, Le Mans. Mousseaux, 4, avenue Thiers, Le Mans. Naudin, 20, rue du Bourg-d’Anguy, Le Mans, Nazzaro, Turin (Italie).
- Neullize (Baron de), 11 bis, rue Dumont-d'LJrville, Paris.
- Nouton (Colonel), f\2, r. Victor-IIugo, Le Mans. Olivier, 48, route d’Isaac, Le Mans.
- Ollivier, 3o, rue Dumas, Le Mans.
- Papin, 43) rue Auvray, Le Mans.
- Passavant (Henri), 18, r. du Bourg-d’Anguy; Le Mans.
- Passavant (Louis), Le laide (Sarthe). Pelletier, 8, boulevard Emile-Augier, Paris. Pellier, à l’Angevinière, près Le Mans. Perret, 12, rue de la Fine, Le Mans.
- Perron, 32, avenue Thiers, Le Mans. Personne (André), 7, avenue Thiers, Le Mans. Personne (Gaston), G, rue de la Chaussée-d’Antin, Paris.
- Pesehardière (de la), 1.4, rue Champgarreau, Le Mans.
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- DE MARSEILLE
- AUTOMOBILE CLUB --878 —
- Phelipot, Cliâteau-Gontier.
- Pineau, place de la République, Le Mans. Poix, 36, rue Chanzy, Le Mans.
- Quinonès de Léon, 77, av. Marceau, Paris. Ragot, 3, rue Gourthardy, Le Mans.
- Raillère (delà), avenue d'Angers, Château-* Gonlicr.
- Ravel, 76, aven, des Champs-Elysées, Paris. Renoncé, 48, boulevard Devaux, Roissy. Renoul, 12, avenue de Paris, Le Mans.
- Richcr, 16, rue Gourthardy, Le Mans.
- Richon, Sainl-Mars-la-Brière.
- Rigoly, 13, quai de Boulogne, Boulogne-sur-Seine.
- Rodberg, 4, rue Blan-Dutcouilh, Bordeaux. Rougier, Lunéville.
- Roullcau, 20. rue Ghampgarrcaux Le Mans. Roy, 35, ruc Auvray, Le Mans.
- Royer, i3o, route de Montrouge, MalakoiT. Salleron, 16, rue Duret,, Paris.
- Salmon, 9, boul. René-Levasseur, Le Maps. Sarcé, 23, boulevard Lamartine, Le Mans. Sauverzac (de), 3o, avenue Thicrs, Le Maps. Séguin, Le Mans.
- Sénart, château do la Pelicc, LaFerté-Bernard-Scyert, 3, rue Dumas, Le Mans.
- Sinan, 14, ruc St-Bcrtrand, Le Mans.
- Singhcr (Adolphe), 37, rue Chanzy, Le Mans. Singher (Louis), château d’isaac. Le Mans. Soubrc, 26, rue du Gué-dc-Maulny, Le Mans. Soustre, 37, quai do Bourgogne, Bordeaux. Surcin, 5, rue d'Arcole, Le Mans.
- Sursin, 4*, avenue Thicrs, Le Mans. Tartinvillc, Saint-Calais.
- Térouanne (Gabriel), avenue de Paris,Le Mans. Térouannc (Max). 6, ruc St-André, Le Mans. Ti rard, La Charmille, Nogent-le-Rotrou. Tironnoau, i5o, avenue do Pontlieuo, Lo Mans.
- Toublanc (Edmond), 7,rue Ilauréau, Lo Mans. Toublanc (Jules), 9, rue Nationale, Le Mans. Tour d’Auvergne (Prince de la), ai, rue Du-mont-d'Urville, Paris.
- Toulain, Mansigné.
- Trcntesaux, 8, avenue de Paris, Lo Mpns. Trudcllc, 48, i'ue du Port, Le Mans.
- Turckeim (Baron de), Lunéville.
- Vallée, 15, rue Pasteur, Le Mans.
- Vcrnoy (Horace), i,rue Neuve-Eoisy, Lo Mans. Vcrney (Adolphe), rue du Bourg-Belé, Le Mans.
- Vincent, 7, place de la Préfecture, Lo Mans. Vinson, 6, rue des Minimes, Le Mans.
- Vlaccos (de), Coinverré.
- Vogué (Comte Robert de), 4?, avenue d’féna, Paris.
- Voisin, rue Julicn-Bodercau, Le Mans.
- Wciler, 18 bis, rue du Débarcadère,' Paris. Zuylcn (Baron de), 70, avenue du Bois-de-Boulogne, Paris.
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- (A. C. M.)
- 52, rue de Paradis, Marseille (Bouches-du-Rhône•)
- LISTE UES MKMHHKS
- MM.
- Aicard, 43, rue Paradis.
- Aicart, 7, rue de l'Arsenal.
- Allatini, 2, rue de Saint-Jacques.
- Allcst (d’), 4o, chemin de la Madrague. Ambanopulo, 2,5, rue de l’Arsenal.
- Angst (F.), 17,5, rue Paradis.
- Angst (G.), 189, rue Paradis.
- Arghallier, 38, rue do la République.
- Arnaud (Lucien), 31, traverse Chape.
- Arnaud (Marius), 2,5, cours Lieutaud. Arnavon, 1, allées de Meilhan.
- Aubert (Ludovic), 17, boulevard Mérentié. Aubert (Pierre), 28, rue de Rome.
- Autran, 24, rue Nicolas.
- Bablot, 170, cours Lieutaud.
- Bagnis, 34, rue Longue-dcs-Capucins. Barlaticr (Auguste), 87, rue Sylvabelle. Barlatier (Jean), 87, rue Sylvabelle.
- Barlaticr (Paul), 19, rue Vcnture.
- Barthélemy (Fernand), 5i, rue St-Jacques. Barthélemy (Raphaël), 5i, rue St-Jacques. Bauzan, Vitrolles (Bouches-du-Rhône).
- Baze, 1, boulevard Dugommier.
- Bazin (Max), impasse des Chalets (boul. Rivet). Bazin (Paul), 189, rue Paradis.
- Beau, 26, rue Montgrand.
- Bellissen, 54, rue Montgrand.
- Bénet, 3o, rue Saint-Fcrréol.
- Bertrand.
- Beslay, 269, rue Paradis.
- Blachette. 327, rue Paradis.
- Blanc, Ci, rue St-Fcrréol.
- Biét.ron, 11, rue de l’Arc.
- Boet, io5, avenue du Prado.
- Bonnassc (Joseph), 12, boulevard d’Athènes. Bonnasse (Léon), 3, place St-Ferréol. Bontoux, 48, rue Montgrand.
- Borelli, 2,5, rue Nicolas.
- Bortoli, 33, rue du Dragon.
- Bosc, 55, rue Sylvabelle.
- Bouisson, 8, boulevard Longchamp. Bourrageas, 20, rue Grignan.
- Boyer, 5, rue de la Cannebière.
- Brodeur, 16, rue Montgrand.
- Brunet, 9, rue Fauchicr.
- Caby (de), 117, boulevard Longchamp.
- Caire, 14, boulevard Périer.
- Camps, 80, avenue du Prado.
- Cannple, 45, cours Pierre-Puget.
- Carrassan, 7, rue Clapier.
- Catzigras, 9, cours du Chapitre.
- Cauvet, 3i, cours du Chapitre.
- Cauvet, 20, rue de la Conception.
- Challan, 3, boulevard Rodocanachi.
- Charpin, 8, rue Florac.
- Cbauchard, villa Salvi, Nice.
- Cheuret, 34, rue Paradis.
- Codde (Henri), 7, rue de la Cannebière. Codde (Casimir), 7, rue de la Cannebière.
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- DE MARSEILLE
- - 879 —
- Collard, 14> rue des Princes.
- Collet, i4, rue du Muguet.
- Constantinidès, 5, cours Licutaud.
- Corraze, 117, boulevard de la Madeleine. Couppa, 25, rue de l’Arsenal.
- Crozet, i5, rue du Coq.
- Daher, 61, rue Grignan.
- Darcourt (docteur), 18, rue Saint-Jacques. Daubrée, Grand Hôtel de Turin, Turin. Davério, t)3, boulevard de Paris.
- Desbief, 3, rue de la République.
- Desloyal, 3, rue Noailles.
- Doubles de St-Lambert, i^3, rue Paradis. Doux, 42, cours Belzunce.
- Dubois (Charles), 6, rue de la République. Dubois lils, 6, rue la République.
- Duboul, Mazargues.
- Dubs, 5i, boulevard Périer.
- Dufay, 31, rue Saint-Jacques.
- Ducreux, 11, boulevard National.
- Durbec, 27, boulevard d’Athènes.
- Escarras, 58, boulevard National.
- Escat (docteur), 34, cours Licutaud. Espinassc, 52, rue St-Ferréol.
- Exel, rue Rifle-Rafle, Aix-en-Provence. Eydoux, 3, cours Pierre-Puget.
- Fabre (Alfred), 15, cours Pierre-Puget.
- Fabre (Auguste1, 3, place Saint-Férrcol.
- Fabre (Ernest), 45, rue Breteuil.
- Fabre (Fernand), 5g, boulevard Périer.
- Fabre (Henry), i3o, boulevard Longchamp. Fabre (Léon), 71, rue Sylvabelle.
- Fabre (Paul), 15, rue Bcauvau.
- Fabrègues (de), 79, rue du Dragon.
- Facheri, 73, rue Sylvabelle.
- Farconnet (de), 42, rue Montgrand.
- Fouque, 1, allées de Meilhan.
- Fournier (Louis), 42, boulevard Longchamp. Fournier (Paul), 44, boulevard Longchamp. Fraissinet (Alfred), campagne la Valausole.
- avenue Dadenelle, Prado.
- Fraissinet, traverse St-Jean-du-Désert. François (Charles), 12, boulevard Vidal. François (docteur), i5, boul, de la Liberté. Francou. 21, cours Lieutaud, Fritsch-Estrangin, 4() «, rue Grignan. Gaillard, 7, rue Sylvabelle.
- Gasquet, 24, cours Pierre-Puget.
- Garain (de), 133, rue de Rome.
- Gardies, 4i, cours Pierre-Puget.
- Gautier, 1, boulevard de la Liberté.
- Geyrard, 3, rue St-Sufl'ren.
- Goncet, 1G a, rue Bel-Air.
- Goudoin, 25, rue de la Paix.
- Goudois, 51, rue Sainte.
- Gouin, 9, rue de l’Arsenal.
- Gounelle, 102, rue Sylvabelle.
- Gros, 21, rue Grignan.
- Guérin, 15, place de la Rotonde.
- Guez, 1, place Sadi-Carnot.
- Guis, 03, Grand’Rue-Marengo.
- Guittel, 16, rue Bcauvau.
- Haeuslin, 75, rue Paradis.
- Homsy (Antoine), 3, rue Bel-Air.
- Homsy (Henry), 11, rue des Vignerons. Honnorat, 59, boulevard Périer.
- Jacmart, 22, rue Saint-Ferréol.
- Jacquemet, 5, rue Saint-Jacques.
- Jauflret, i4, rue du Coq.
- Jeflery, 275, rue Paradis,
- Jourdain, 8, rue St-Ferréol (Belle-Jardinière). Kahn (Ernest), 123, avenue du Prado.
- Kahn (Joe), i53, cours Lieutaud.
- Kiss, 7, rue du Pavillon.
- Lalande, G, rue Puget.
- Lambert, 43, rue Sénac.
- Larcheveque, 5g, allées des Capucines. Laurant, 28, cours Lieutaud.
- Lebrun, 20, rue Pairier.
- Leenhard, 2, rue Fongate.
- Loche, 78, cours Lieutaud.
- | Lombard, 2, boulevard d’Athènes, j Lombardon de Montégan, 52, rue de Rome. 5 Lop (Dr), 3, rue de la République.
- Louche (Georges), 24, rue des Minimes. Louche (Jules), 24, rue des Minimes. Magallon (de), 4, boulevard Rivet.
- Magnan (Joseph), 90, rue de Rome.
- Magnan (Alfred), 148, cours Lieutaud. Marnant (Jules 1, 2.5, rue de l’Arsenal. Mamain, 31, cours Lieutaud.
- Mante (Th.), 7, rue de l’Arsenal.
- Mante (Louis), 7, rue de l’Arsenal.
- Martin, 1, boulevard Louis-Salvator.
- Martin du Queylar.
- Masse, 26, cours Lieutaud.
- Maurin, 4, rue Camion-Jeune.
- Ménard, 19, rue Venture.
- Méry (A.), 61, boulevard des Dames.
- Méry (S.), 2, boulevard de Mazargues. Meurs, 5, rue Colbert.
- Meynadier (E.), 3g. rue de la République. Moynadier (P.\ 3g, rue de la République. Mongin lils, 23, rue Grignan.
- Montamat ( A.', 34, ruo Estelle.
- Montamat (J ), 3a, rue Estelle.
- Montamat (P.), 3a, rue Estelle.
- Montel, g4, avenue du Prado.
- ' Montas, 33, rue Saint-Ferréol. j Mottet, 22, rue Périer.
- Muret, 3, rue Paradis.
- Naegely, 35, rue Mongrand.
- Négrel, 70, rue Saint-Jacques.
- Noilly-Prat, 157, rue Paradis.
- Nouveau, 54, rue Paradis.
- Ode, 5, rue Lafayette.
- Olive, 26, rue Montgrand.
- Palombe, 10, rue Snint-Savournin.
- Paquet, 37, cours Pierre-Puget..
- Parranque, 8, rue Fort-Notre-Dame.
- Paul (Antoine), 2, rne Farjon.
- Paul (Auguste), 196, avenue d’Arenc. Pélissot (de), place de la Joliette.
- Perruche, 13, cours Lieutaud.
- Philipon, 27, rue Paradis.
- Piot, 10, ru-’ Estelle.
- Planchon, 184, avenue du Prado.
- Plantier, 18 a, rue Dieudé.
- Plauchut, 65, rue Saint-Ferréol.
- Pluytée, 28, rue Lafayette.
- Poucel, 58, rue Montgrand.
- Pottjol, 1, boulevard Lonchamn.
- Poupardin, 5, place de la Corderie. Pourrière, roule Nationale (St-Louis).
- Pradel, 24, rue Moniaux.
- Quenault, 25, cours Lieutaud.
- Queylar (de), 18, ruo des Princes.
- Racine iGuslave), 53, rue Grignan.
- Racine (Henri;, 64, cours Pierre-Puget. Racine (Louis), 32, rue Breteuil.
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- Racine (Paul), 3a, rue Breteuil.
- Radisson, 7, rue Causscmille.
- Raibaud, au, rue de U République.
- Ravautte, 178, avenue d’Arenc.
- Reggio (Nicolas), yx, cours Picrrc-Pugct. Reggio (Jean), yi, cours Pierre-Puget. Remusat (Louis), y, rue de la Rotonde. Remusat (Victor), îoy, cours Lieutaud. Richard, 11, place de la Bourse.
- Rivoiro (Victor), 5a, rue Breteuil.
- Rivoire (Philippe), 78, rue Sylvabelle.
- Rocca, 55o, rue Paradis.
- Rocoffort, 118, rue Paradis.
- Rodocanachi (Paul), boulevard Magallon. Rodocanachi (Th.), 22G, avenue du Prado. Rodrigues, 3y, ruo Montgrand.
- Roize, 2y, rue Sainte.
- Romano, yo, boulevard de la Major. Rossollin, a/|, rue des Abeilles.
- Rostand (Auguste), 5, rue des Tyrans. Rostand (Alfred), 5, rue des Tyrans. Rougier, 25, boulevard Boisson.
- Rousset, l\?., rue Paradis.
- Rousset-Rouvière, G, rue de la Rotonde. Roussier, 2, ruo Saint-Jacques.
- Roustant, Palais de la Bourse (côté Est). Roux-Barthélemy (de), 8, boul. d’Athènes. Buau, 34, boulevard de la Magdeleine. Rubert, 100-100, rue Sainte.
- Sanderval (de), Montredon.
- Sauvaire, 5, rue Paradis.
- Savignac (de), 7, avenue de la Capelette. Savon, 2/1, ruo Dicudé.
- Savy, 12, rue du Coq.
- Scaramanga, Bonnoveine.
- Séjourné, 3y, quai du Canal.
- Spanjaard, 7, place Saint-Férrcol.
- Tempier, iy, rue Venture.
- Thumin, 4G, rue do Rome.
- Tollon, 2/1, cours Pierre-Puget.
- Tourasse, 5, rue Périer.
- Tourre, 2, ruo do la Chapelle (Pont-d’Arend). Toy-Riout, 71, rue Sainte.
- Turcat (Henri), 170, boulevard Cliave.
- Turcat (Léon), 2, boulevard do Mazargues. Turkeiin (Baron), 12, av. de Madrid, Neuilly-sur-Seine.
- Valabrègue, 3/17, rue Paradis.
- Velten, io4, rue Sylvabelle.
- Verminck, boulevard de la Corderic.
- Vidalin, 171, rue de Rome.
- Vimont, 347, ru0 Earadis.
- Virgitte, 18, rue Grignan.
- Vlasto, 10, cours Pierre-Puget.
- Walper, 52, ruo Fortia.
- Zafiropulo (Dimitro), 78, cours Pierre-Puget. Zaliropulo (Georges), 78, cours Pierre-Puget. Zarifi (Georges), 20, allées des Capucines. Zarili (Périclès). i/|. allées des Capucines. Zarifi (Théodore), i/|, allées des Capucines.
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- 2, rue Maguelone, à Montpellier (Hérault).
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- 12, place Stanislas, à Nancy (Meurlhe-el-Mosclle).
- COMITÉ
- Président : M. L'Huillicr.
- Vice-président : M. Thiry (Paul).
- Secrétaire général : M. Bonne.
- Secrétaire adjoint : M. le comte O'Gorinan. Trésorier : M. le comte Bucy (Jean de). Membres : . MM. Gissy, Klein, Bachelard, Mathieu. André, Faliner, Mauduit, Planson.
- MK.MIlIUÎS ACTIFS
- MM.
- Amos, la Neuveville-lès-Raon (Vosges). André, G7, rue de la Ravinclle, Nancy. Antoine, 8, ruo de la Rochelle, Bar-le-Duc. Bachelard, 8, rue Mazagran, Nancy.
- Balmc, Malzéville près Nancy.
- Batliiat, i3, rue Bassoinpierrc Nancy.
- Bazin (Eugène), square Domrémy, Nancy. Bazin (Emile), /| 7. rue des Dominicains, Nancy.
- i Barthélemy, 34, rue Gambetta, Nancy. Baudot, 45, rue Gambetta. Nancy.
- Bauveau (Prince de), château de Graon-llaroué (Meurthe-et-Moselle).
- Barghon, 7, place Saint,-Jean, Nancy.
- Bédin, villa des Capucines, Maxévillc lires Nancy.
- Bel, 70, faubourg Stanislas, Nancy.
- Bernard de Jandin, iG, ruo Montesquieu, Nancy.
- Betting, Maxévillc près Nancy.
- Bénédic , Briennc-le-Chàtoau, Aube.
- Bonne, G, rue des Bégonias, Nancy.
- Boulvain, Dombasle-sur-Meurlhc (Meurt lio-et-Mosellc).
- Bourdaull, 3a, rue Saint-Jean, Nancy.
- Bridcy, i5, place Carnot, Nancy.
- Bucy (Jean comte de), 4, Terrasse de la Pépinière, Nancy.
- Bucy (Joseph vicomte de), château de Dam-martin (Haute-Marne).
- Cabasse, Poiit-à-Mousson , Meurthe-et-Moselle).
- Caïlus (Baron de), Sarcicourt (llante-Marnci.
- | Chèvre, 2, rue Bastien-Lepage, Nancy. Chouticr, G, rue Drouot, Nancy.
- Glossc, i3G, rue Saint-Dizicr, Nancy.
- Coiscur, (Marcel), i.j, eue de la Commande-rie, Nancy.
- Coiscur, (René), 8, passage Nollet, Paris. Corbin, 8, rue Mazagran, Nancy.
- Cordebart, 72, rue de Montet, Nancy. Collesson, i538 d’infanterie, à Toul.
- Costé, i4, nie Sainte-Mario, Nancy.
- Croctaine ^Paul), G, rue Girardct, Nancy. Croctaine, (Henri), 21, place de laGarrièrc. Nancy.
- Daclier, 28, rue de Malzéville, Nancy.
- Daire, Briey (Meurthe-et-Moselle).
- Damien, 1G1, rue de Mon-Désert, Nancy.
- ) Didrich, 13, rue Saint-Lambert, Nancy.
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- LORRAIN'
- 881
- Dieudonné, j, cours Léopold, Nancy.
- Discours, a, rue de Paris, Nancy.
- Doit, i~. rue du Haut,-Bourgeois, Nancy. Drapier, la, rue du Faubourg-Saint-Georges, Nancy.
- Drouville, i/|8, rue Saint-Dizier, Nancy. Drouville (Raymond), (ia, rue de Phalsbourg, Nancy.
- Escalle, ao, rue des Jardiniers, Nancy.
- Palmer, nj, rue Braconnol,, Nancy.
- Franchi, ih, rue des Jardiniers, Nancy.
- Ferri de Ludres ( Comte ), Richardménil (Meurthe-et-Moselle).
- Fouricr, Bar-sur-Scine (Aube).
- Friant, i5, quai Ligier-Bichier, Nancy. Frühinsholz, (18, rue du Faubourg-St-Georgcs, Nancy.
- Fuzelier, Saint-lJié (Vosges).
- <Lillois, Tool (Mcurthe-el-Moselle).
- (larcin. 81, rue Pasteur, Nancy.
- (iénv, a, rue do Laxon, Nancy.'
- GeollVoy-Cbàtea«, 10, avenue de la Garenne, Nancy.
- (lérardin, Fiavigny (Meurthe-et-Moselle), (lineste. 17, rue Saint-Dizier, Nancy.
- Giry, Briey (Meurthe-et-Moselle).
- Gissy, 3h, place de la Carrière, Nancy.
- (ireIV, 1\a. rue de la Commanderic, Nancy. Grillât, qII, r. du Faubourg-St-Georges, Nancy. Grillon. Saint-Dié (Vosges).
- Grosdidier, Conmiercy (Meuse).
- Guillaume, Toul (Meurthe-et-Moselle).
- Gœtz, IL, rue Saint-Nicolas, Nancy.
- Garnis (Pierre), Charmes (Vosges).
- Garnis (Antoine), Charmes (Vosges).
- Garnis (François), Charmes (Vosges), llcnriet. Lunéville (Mcurthe-ct-Moselle). Ilinzelin, IL, rue de la Havinelle, Nancy.. Iloudelot. 7, rue de la Faïencerie, Nancy. Iluyaux, 1, rue Saint-Lambert, Nancy. Jacquot, a, rue de Boudonville, Nancy.
- Jaegcr, Jollivcl. par Lunéville (Meurthe-et-Moselle).
- Klein, 118, rue des Tiereelins, Nancy. Kronherg, 35, boulevard Lobau, Nancy.
- Labbé. Gorc.y (Meurthe-et-Moselle).
- Laeombe, (i, rue Désillcs, Nancy.
- Larmoyer. 3o, rue Saint-Nicolas, Nancy. Lanique. 5. rue des Glacis. Nancy.
- J.auront (Eugène). i3, rue du Montel, Nancy. Laurent (Koné). CI, rue du Montct, Nancy. Louart, Toul (Meurthe-et-Moselle).
- Lefèvre, Ramhervillers (Vosges).
- Lejeune, ah, cours Léopold, Nancy.
- Lemoine, in, rue Bastien-Lepage, Nancy. Lhuillier, 10, rue du Faubourg-Saint-Georges, Nancy.
- Majorellc. a.j, rue Saint-Georges, Nancy. Major de Levait, Jarville près Nancy. Mariattc, 29 bis, rue du Faubourg-Stanislas, Nancy.
- Martin, 55, rue du Montct, Nancy.
- Martin, Briey (Meurthe-et-Moselle).
- Mariez, ali, rue du Faubourg-Saint-Georges, Nancy.
- Martinaud, Jœuf (Meurthe-et-Moselle). Masson, 8, rue Mazagran. Nancy.
- Mathieu, i5, place Saint-Jean, Nancy. Mauduit, 55. rue Isabey, Nancy.
- Meyer, ia.5, rue Saint-Dizier, Nancy.
- Mena, 35, rue du Haut-Bourgeois, Nancy. Michel, Baccarat (Meurthe-et-Moselle).
- Molard, Bayou (Meurthe-et-Moselle).
- Mongol, Epinal (Vosges).
- Monnier, Ncuves-Maisons (Meurthe-el-Mo-selle.
- Najean. d'oui (Meurthe-et-Moselle).
- Nof-l, Saint-Max j)i'ès Nancy.
- Noirot, villa Noirot-Saint-Max près Nancy. Nyuck, Bar-le-Duc (Meuse).
- Odinot, iaO, rue Saint-Dizier, Nancy.
- O'Gorman (Comte), 19. rue Sl-Dizier, Nancy. Pacotte, a. rue de la Monnaie, Nancy.
- Pasquin, Briey (Meurthe-et-Moselle).
- Pcrnot (Alfred), ah, rue du Bastion. Nancy. Pornol, (Pol), a<S, rue du Bastion, Nancy. Picri'ditte, j 1 bis, faubourg Stanislas, Nancy. Pigeon, h, rue de Boudonville. Nancy. Pcrpignanl, -3, rue du Montct, Nancy.
- Poirol. Pont-à-Mousson (Meurtlic-et-Moselle 1. Ponton d'Amécourt (Vicomte de), 35, rue de la Source, Nancy.
- Rassaire, Barney (Vosges).
- Benauld, Thiaucourt (Meurthe-et-Moselle). Richard, Vaiuhcuvre près Nancy.
- Billard, 8a. rue Saint-Georges, Nancy.
- Bis. d’oui (.Meurthe-el-Moselle).
- Bosfclder, 13, rue delà Visitation, Nancy. Rousseau. Bruyères (Vosges).
- Sainl-.lust Péquart, 81, rue Saint-Georges, Nancy.
- Scherl/.er, 11. quai René II. Nancy.
- Sc.limitl. Longxvy (Meurthe-et-Moselle). Schotl., 3, rue Giranlot, Nancy.
- Sommer, Mouzon (Ardennes).
- Sorel, 5q. rue des Jardiniers. Nancy.
- Soumoy, Longwv (Meurtlic-cl-Moselle).
- Stauh, ^8, Grande-Rue, Nancy, d’essier. i~, rue Jeanne-d’Are, Nancy, d'hiéry (Amli’é). Contrexéville (Vosges), d'hiéry (Jean), Contrexéville (Vosges), dhiry (Paul). !\a, rue du Faubourg-Saint-Georges. Nancy.
- ddiirv (Cliarles), Sa, rue Sl-Georgcs, Nancy, d’homas, aa. rue des Carmes, Nancy, ddiomas, Longwy (.Mcurlhe-<;t,-Mos(dlc). d’ourlel (Ernest), d’antonville (Meurthe-et-Moselle).
- d’ourlfd (Paul), d’antonville (Meurthe-et-Moselle).
- \audeville, d’oui (Meurthe-et-Moselle). Vautrin, /|5, cours Léopold, Nancy.
- Vélin. Ranihervillers (Vosges).
- Viard (Baron), h, place Caniot, Nancy. Viansson, h, rue du Grand-Verger, Nancy. Vignaud, 8, rue Saint-Jean, Nancy.
- Vilhem, a lcr, rue Isabey, Nancy.
- Villatte d'Oultremont (Comte), ih, rue Saint-Michel, Nancy.
- Villcr, d’oui (Meurthe-et-Moselle).
- Vomécourt (Baron de), IL, rue Saint-Nicolas, Nancy.
- Vorlon, i/|h, rue Saint-Dizier, Nancy.
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- COMITÉ DE DIRECTION'
- Président : M. Juste Fernandez. Vice-présidents : MM. Edouard de Bary, Eugène de Millo.
- Trésorier : M. Ferdinand Brossa.
- Secrétaire : M. Charles Kraft. Administrateurs : MM. 11. \V. Bartol, Louis Bassin, Charles Cihert, André Durandy, Horace lluei, Jean Nicot de Yillemain, docteur de la Brade.
- MEMBRES A VIE
- MM.
- Le comte de Courcelles.
- Sir David Saloinous.
- Williams K. Yanderbill. junior.
- Le baron Henri de Hothschild.
- Henri Birelli.
- Le baron Van Zuylen de Nyevelt.
- Le prince Jean SollykolL
- LISTE DES MEMBRES
- MM.
- Abaye, villa du Tremblay, Cimiez-Nice.
- Amie, avenue de la (lare, Brasse.
- Ardoin (Dr), 10, boulevard Vietor-llugo, Nice. Arnoldi (Dr), villa d’Arnobli, avenue Sainte-Thérèse, boulevard Carnot, Nice.
- Aspinwall, 8, West Bob on Bardons (Londres (S. W.). _
- Audibert, a G, route d'Heyrieux, Lyon. Astraud, villa Magali, Saint-Maurice, Nice. Astraudo (Duc), 83. avenue Beaulieu, Nice. Auschcr, 3j, boulevard Victor-Hugo, Neuilly-sur-Seine.
- Avery, Oakley Court, Windsor, Angleterre. Avigdor, 2, rue de Sèze, Paris.
- Balaceano, if>i, rue de F rance, Nice.
- Balestrc (D'j, 3, place Masséna, Nice.
- Barbet, ia, rue Colla, Nice.
- Barrillon, villa Eugénie, rue du Soleil, Nice. Bartol, château Sain(e-I lélene, Sainte-Hc-léue, Nice.
- Bary (Jean), à Roux, par Carcassonne (Aude). Bary, (Edouard de), palais'Vénitien, i5, promenade des Anglais, Nice.
- Beistcgui (De), f>~, avenue d'iéna, Paris. Belaielï, i5,Smolnv Prospect, St-Pétersbourg. Bellet (Baron de), 19, promenade des Anglais, Nice.
- Bérenguier, villa Magali, Saint-Maurice.
- Béri, a, rue Saint-François-de-Paule, Nice. Biancbi. villa Bloria, Pont-Magnan, Nice. Biasini, villa Biasini, dîniez, Nice.
- Biscaretti di Unifia (Comte de), 8, piazza Ca-vour, Turin.
- Blacker-Douglas, i5. rue Alpbonse-Karr, Nice. Blanc (Camille), à Monte-Carlo.
- Bonfiglio, 8, rue Cassini, Nice.
- BosUviek, villa Yergemcre, Carras-Nico.
- Bounin, io, avenue Masséna, Nice.
- Bradford, villa Sans-Souci, Le Hay, Nice. Braun, hôtel d’Angleterre, Nice.
- Broch, i, rue du Lycée, Nice.
- Broel-Plater (Comte de), villa Clairmont, boulevard Carnot, Nice.
- Brossé, YenCayolar,avenue Michel-Ange,Nice. Buffon (Dr), palais Donadei, 5, boulevard Victor-Hugo, Nice.
- Bnrton, villa Jeannette, Cannes.
- Cabircau, à Monte-Carlo.
- Carassale, 5i, rue Cotla, Nice.
- Caspar, palais Marguerite, 3, square Gambetta, Nice. '
- Cassini, !\i, rue Gioffredo, Nice.
- Castel, villa Castel, boulevard de dîniez, Nice. Caters (Baron de), 0, avenue de la Chapelle, à Berchen-les-Anvcrs, Belgique.
- Ccssole (Chevalier de), villa Henri, La Man-téga,. Nice.
- Chalaïu'on, y, rue de Bonnel, Lyon. Chalandon, 18, via Vittorio Emanuele, San Hemo (Italie).
- Chambor, jG. rue Gioffredo, Niée.
- Cbampinot, 27, rue Paganini, Nice.
- Chapuizet (de), a Saint-Yrieix (Haute-Vienne). Chauchard (André), villa Montalhan, Monlbo-ron, Nice.
- Chauchard (Paul), La Cabane-Bambou, boulevard de rimpératricc-de-Russie, Nice. Chesnais, (de la) i5, rue Gambetta, à Belfort. Clérissy, io, rue de l’Hôtcl-des-Posles, Nice. Coltelelti, 1^5, corso Magenta, Genes, Italie. Cordier, 19, rue du Géncral-Foy, Paris.
- Cornu, à Besancon (Doubs).
- Courcelles (Comte de), 22, r. de l’Arcade, Paris. Cousinéry, villa llenée, parc Impérial, Nice. CrosSa, j 3, rue Masséna, Nice.
- Darracq, à Suresnes, Seine.
- Débenedetti, !\!\, rue Gioffredo, Nice.
- Degrais, 20, rue Brunei, Paris.
- Delaunay Belle-ville, villa Estérel-Terrasse, Cannes.
- Dclaup, i3, rue Adélaïde, Nice.
- Delbruck, villa Natha, 18, rue Bossini, Nice. Delfino (D'j, iG, quai Saint-Jean-Baplislc, Nice.
- Desjoyeaux (Léon), villa Noël, Cimiez-Nice. Desjoyeaux (Noël), villa Noël, Cimiez-Nice. Detioff, 5i, rue Colla, Nice.
- Deville (Aimé), villa France, avenue des Fleurs, Nice.
- Deville (François), villa France, avenue des Heurs, Nice.
- Dieudé-Defly, route de Genes, Nice.
- Dillies, villa Adéila, avenue des Fleurs, Nice. Duditlieu, iG, rue de la Huila, Nice.
- Dugdalc, Wroxal Abbey, Wanviek, Angleterre.
- Dumény, 2, rue Rancher, Nice.
- Duplessis, villa Duplessis, G, rue Rossini, Nice. Dupré, à Draguignan.
- Duquesne (Liaron), 3o, allées Lafaycttc, Toulouse.
- Durand, 7, rue la Boétie, Paris.
- Durandy (Alexandre), palais de l’Industrie, rue Torrini, Nice.
- Durandy (André), villa Durandy, Cimiez-Nice. Durandy (Dominique), /(, place de la Liberté, Nice.
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- .UTOMOlilLK-CHB
- DE NICE
- Durandy (Jus*), i3, rue' Masséua, Nice. Durcteste, Hôtel (le Paris, Monte-Carlo.
- Dutil (l)1'), villa Dante, boulevard Gambetta, Nice.
- Duverdier, 8, boulevard d'Athènes, (Marseille. Echampe, 3 place Masséna, Nice.
- Elchingen (Duc d"), villa Masséna, 67, rue de France, Nice.
- Esoollier, 15, promenade des Anglais, Nice, balconnet, Go, avenue de Malakolï, Paris. Faraudi de Chàteauneuf, 29, boulevard Victor-Hugo, Nice.
- F'arconnel(De), Casino Municipal de Nice, Nice. F'auqueux (Baron de), villa La Vista, Mont-boron, Nice.
- Fayct, à Marseillan, Hérault.
- Fernandez, villa Fernandez, 18, avenue des Fleurs, Nice.
- F'iguiera (Dr)),7|3, boulev Dubouchage, Nice. Florès, 31, avenue de la Gare, Nice.
- F'ontainc, 3, rue de Courcelles, Paris.
- F’ossal, Hi, place Garibaldi, Nice.
- F'ranehelli (Baron), Milan, Italie.
- Freakc, 53, promenade des Anglais, Nice. F’rémont (D1), Carras, Nice.
- F'risbie, Ga, rue Gioil'rcdo, Nice.
- Galitzine (Prince), villa La F'orét, avenue d'Oxford, Cannes.
- Gans de F'abrice. Hernhauss Sehmolz Bci Gar-iniscb, Obcrbayern (Allemagne).
- Garibaldi, 9, rue de la Paix, Nice.
- Garin de Cocconato (Baron de), villa Sainte-Rosalio, chemin de Cimiez, Nice.
- Gassin, 28, rue Gioil’rcdo, Nice.
- Gauthier, 1a, rue de Russie, Nice.
- Gautier (Comte), 10, r. Boissy-d’Anglas, Paris. Gautier, 8, rue Adélaïde, Nice.
- Gazagnaire, pavillon des Roses, Cannes. Gibcrt, 5, promenade dos. Anglais, Nice. Giraud (Louis), 2, rue do la Paix, Nice. Giraud (Etienne), 27, rue Durci, Paris. Girelli, 3^, rue Gioil’rcdo, Nico,
- Gondoin (Charles), château Barthez, à Gradignan, Gironde.
- Gondoin (Jacques), 21, rue. de la Bull a, Nice. Grimaldi, 7, boulevaî d Vielor-llugo, Nice. Grinda (Edouard), boulevard Gambetta, Nice. Grocr (De), 9G bis, rue de la 'Four, Paris. Gros, 7, boulevard Victor-Hugo. Nice, GullYoy, 22, rue du Général-Foy, Paris.
- Guidi, villa Honorine-Louis, boulevard Carnot, Nice.
- Gultmann, îfi, rue de Tilsilt, Paris.
- Hamilton, villa Valet ta, boulevard de 11m-pératrice-de-Russic, Nice, llarmsworlh, villa Espalmailor, Beaulieu-sur-Mer (Alpes-Maritimes).
- Hauvetto, à Clermont-F'errand.
- Hildesheimer (l)' l, Karntlmerring, 10, Vienne, Autriche.
- II nde, 5, Gréai Oueen Street, Londres W. G. llirschfeld, 8(7, quai du Midi, Nice. Hohenlohc-Ochringcn(Prince Gli. de), iG, Leip-ziger platz, Berlin.
- Hohenlohc-Oehringen (Prince F', de), i/|f>, Champs-Elysées, Paris.
- 1 lohcnlohe-Sehillingslurst (Prince de), 7.'), promenade des Anglais, Nice.
- Howard, villa les Cèdres, Cimicz-Niee.
- Huet (Horace), 1 .">, avenue Carnot, Paris.
- Huet (Raymond), 58, avenue lloche, Paris. Imbert, 55, rue Pastorelli, Nice. Jellineck-Mereédès, villa Mereédès, 5/|, promenade des Anglais, Nice.
- Jones, 828 East 71 place, Chicago, Etats-Unis. Katzenstein, 10, Palmengarlenstrasse, F'ranc-iort-sur-Mein.
- Kelly, Manor Lodge, Chislehurst (Kent,) (Angleterre).
- Knyir (Chevalier de), 3i, rue Demours, Paris. Koechlin, à Audincourt, Doubs.
- Kral't, 7, promenade, des Anglais, Nice. Kriéger, 8, rue Cardinet, Paris.
- Kulhemann, XIII S., Hullelbergstras.se, 2.3, Vienne, Autriche.
- Laroze, chemin Saint-Etienne, Nice.
- Lame, villa Indo-Chinoise, lmoncauda, Nice. Lautard (D1), !\o, rue Gioil’rcdo, Nice. Lavagna (D1), Institut Princesse-Alioe, boulevard de l'Ouest, Monaco.
- Lebaudy, 17, rue de Lubeck, Paris.
- | Lemoine, 82, boulevard des Batignolles, Paris. Letainlurier, 31, avenue de la Gare, Nice. Levinstein, /p), promenade des Anglais, Nice. L'IIermille, 1, rue Gioil'rcdo, Nice. Limendoux, à Saigon, Cochinchine.
- Linskv (De), villa 11 Boschetto, Carras, Nice. Loeser, 18, rue Brunei, Paris.
- Louis, 58 bis, boulevard du Nord, Lyon. Lubecki (Prince), villa Tliiole, avenue Malaus-séna, Nice.
- I Lubomirsky (Prince), 29, promenade des An-j glais, Nice.
- I Maeyér (De), villa Terra Amala, boulevard ! Carnot, Nice.
- Magin (Dr), 18, Saint-James square, Londres S. W.
- Maigret (Comte do:), 2, rue Marbeul’, Paris. Majonenc, à Riom-ès-Montagne (Cantal), Mailein, à la Sono (Isère).
- Marchai, 'Aj, avenue de la Gare, Nice. Marconnet, villa des Passiflores, montée Saint-Laurent, Nice.
- Mark Mayhew, Bolingbroke Ilouse, Glmrch Road, Battersea, Londres S. W.
- Martin, l\o, rue Gioil'rcdo, Nice. Marlin-Lanciarez, !\, rue Sulzer, Nice. Massingv d’Auzac. (Marquis), La Candélie, par Agen (Lot-et-Garonne).
- Maulhner, G, Kolowratring, Vienne, Autriche. Maybach, à Untertiirckheim, par Stuttgart (Allemagne).
- Meyan, G, rue Philibert-Delorme, Paris. Micol, villa Gabrielle, 107, promenade des Anglais, Nice.
- Migno, t\, avenue Masséna, Nice.
- Millo (De), villa F’rya, 127, promenade des Anglais, Nice.
- Monnet (Dr), villa Thélise, 6/|, rue de F’rance, Nice.
- Monlolivo, 2G, rue Ségurane, Nice.
- Morcoir (Comte de), villa Serpolctte, Montbo-ron, Nice.
- Morel, avenue des Capucins, Grasse.
- Moriez, 2, place Masséna, Nico.
- Mors, /)8, rue du Théâtre, Paris.
- Muaux, 9, rue de la Charité, Nice. Nagelmackers, /|o, rue de l'Arcade. Paris, j Nicot de Villemain, 8, av. Masséna, Nice, i Northelilîc, 3G, Berkeley square, Londres
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- AUTOMOBILE—CLUB
- 88/,.
- DU GARD
- Notlbeck (Baron de), G4 > Chancery Lano, Londres E. G.
- Orloff (Prince), hôtel OrlofT, rue Saint-Domi nique, Paris.
- Otto, 9, boulevard Carabacel, Nice.
- Peter, Les Tours, par Sainl-Elicnne-des-Oullières (Rhône).
- Pichat, 3, rue du Peyrat, Lyon.
- Pineau, 23, avenue de la Gare, Nice.
- Pinson, 38, rue Pastorelli, Nice.
- Portai, pavillon Moët, rue llossini, Nice. Prado (Dr de la), 54, rue Gioll'redo, Nice. Prével, Wintcr-Palace, Menton.
- Primzhorn, à Hanovre (Allemagne).
- Raiberti, 21, rue du Palais, Nice. Ramos-Otero, !\, rue Galilée, Paris.
- Randon, 54, avenue do la tiare, Nice. Ratkow-Roynow (Anany de), -, Millionaia, .Saint-Pétersbourg (Russie). Ratkow-Roynow (Jacques de), 1, Mrainorny, Saint-Pétersbourg (Russie).
- Rebec, 35, avenue de la Gare, Nice.
- Redmond, 3o5, 5 tb. avenue, New-York. Revelière (Comte de la), 101 bis, rue du Ra-nelagh, Paris.
- Rico, 9, rue Gounod, Nice.
- Rigod, villa Les Bruyères, Golfe-Juan (Alpes-Maritimes).
- Rincon-Gallardo, 24, avenue Kléber, Paris. Riva-Corli, villa My Home, à San Rcmo, Italie. Rivât (Joannès), villa Marali Ba-Bik, El Biar, Alger.
- Rivât (Louis), 5i, rue Du([uesne, Lyon. Robert (R. Von), 3, Slreichergasse, Menue. Robiglio (Comte de), 97, promenade des Anglais, Nice.
- Robiony, 5^, rue de France, Nice.
- Rothschild (Baron Henri de), 33, rue du Faubourg-Saint-Honoré, Paris.
- Roubaud, Maison Pilar, Les Capucins, Grasse. Roui!, 2.5. avenue de la Gare, Nice.
- Roure, avenue do la Gare, tirasse.
- Roustan, 2, place Saint-Dominique, Nice. Roux, 4> rue du Lycée, Nice.
- Salomons (Sir David), Bromhill, Tunbridge Wells, Angleterre.
- Sant’Albino (C'° de), villa Garin, Cimicz, Nice. Saqui, l\, rue de l’IIôtel-des-Posles, Nice. Sardou, 16, avenue Durante, Nice.
- Sazia, .4, rue Longcbavnp, Nice.
- Scala, 16, avenue Masséna, Nice.
- SchifT, villa Ezc-lcs-Pins, Ezc-sur-Mer (Alpes-Mari limes).
- Scoffier, villa Victoria, chemin Saint-Charles, Nice.
- Serpollct, 2, rue Stendhal, Paris.
- Serraire, 10, rue de Rome, Nice.
- Sliaw, 17/1 E., 5i st. Street, Chicago (Etats-Unis).
- Siegfried, villa la Péguière, La Boulerie, par Saint-Raphaël, Var.
- Siegman, ig, rue de la Buil’n, Nice. Simonôt-Vitry, à Chaumont, Haute-Marne. Soltykoff (Prince), 10, rue de l’Hôtel-des-Postes, Nice.
- Sormani, à Urio, Lago di Como, Italie. Spiegel, 1, Schottcnrmg, (i, Vienne, Autriche. Spitz, Schlickgasse, 3, Vienne, Autriche. Stanley, Ilockwold Hall, Brandon,Angleterre.
- Stern (V m), Niebclungcngassc, Vienne, Autriche.
- Stevens (Dr). palais Victor-Hugo, !\j, boulevard Victor-Hugo, Nice.
- Sue, 2, rue Lamartine, Nice.
- Tardieu, 2, place Mozart, Nice.
- Tbaon (Silvio), 2b, rue Ségurane, Nice.
- Thaon (Jean), 9, r. S-François-de-Paule, Nice.
- Thierry, 3, rue Garnier, Nice.
- Thierry do Ville d’Avray (Baron), villa les Arc ades, Saint-Maurice, Nice.
- Thorrand, palais de l’Industrie, rue Tor-rini, Nice.
- Tiranty (Georges), fi, rue d’Amérique, Nice.
- Tiranty (Paul), 29, rue Assalit, Nice.
- Tonietti, u,vià Manzoni, Florence (Italie).
- Tranchant, villa Mezza-Monte, Montboron, Nice.
- Trub, hôtel Métropole, Cannes.
- T’Serclaës de Wommerson (Baron de), château de Brasschact, près d’Anvers, Belgique.
- Turckheim (Baron de), à Lunéville, Meurthe-et-Moselle.
- Valéri, 3, rue Sealiero, Nice.
- Vanderbilt, 677, •>"' avenue, New-York.
- Vercelli-Ranzi (Vicomte de), villa Les Falaises, Saint-.lean-sur-Mer (Alpes-Maritimes).
- Vermorel, villa Vermorcl, xMontboron, Nice.
- Vérani (Albert), i, place Garibaldi, Nice.
- Vérani (Victor), 5, place du Jardin-Public, Nice.
- Vilarel, 8, rue de l llôtel-des-Posles, Nice.
- Vogel, 3, via Bcretta, Milan, Italie.
- Vogué (Comte de), .47, avenue d’iéna, Paris.
- Voigt, /17, avenue de l’Alma, Paris.
- Vuillet (Baron), 12, rue Maecarani, Nice.
- Wardcn, .Sainte-Helène, Nice.
- Wbitlock, palais Saint-Philippe, square Gambetta, Nice.
- Wintbrop, villa des Orangers, rue Verdi, Nice.
- Woisard, !\7, avenue de la Gare (Nice).
- Xanlbo, 24, boulevard Dubouebagc, Nice.
- Zaliropoulo, 7,'!, cours Pierre-Puget, Marseille.
- Zels, 5,4, promenade, des Anglais, Nice.
- Zichy (Comte), Andrassy Utza, 58, Budapest, Hongrie.
- Zuylcn de Nyovclt (Baron Van), villa 11 Para-diso, Cimiez-Nicc.
- AUTOMOBILE CLUB DU GARD
- (A. C. G.)
- I, boulevard de VAmiral-Courbet, à Nhnes (Gard).
- COMITK
- Président honoraire : M. le Dr Fabre, 1, rue Plotine, Nîmes.
- Président : M. Lavcrgnc, 19, quai de la F’011-taine, Nîmes.
- Vice-présidents : MM. Hérisson, 11, quai de la Fontaine, Nîmes; Cluzel du Plan, 17, rue Cité-Foule.
- Secrétaire général : M. de Montaut, 36, rue Pradier, Nîmes.
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- AUTOMOBILE-CU/B
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- DE LA DOUI)()(.«NE
- Secrétaire adjoint : M. Gamroux, îG, place des Arènes, Nîmes.
- Secrétaire-trésorier : M. Boissier, 2, place Gh.-Mourier, Nîmes.
- MEMBRES ACTIFS
- MM.
- Arnaud, 10, rue de l'Aspic, Nîmes.
- Audemard, 13, avenue Fenchères, Nîmes. Belugou, docteur, à Montpellier.
- Béranger, 15, rue Jeanne-d’Arc, Nîmes. Betrine, 10, rue Thoumayne, Nîmes.
- Bosc, rue de Planas, Nîmes.
- Bruneton, place de la Salamandre, Nîmes. Garenou, i/j, rue Bernard-Aton, Nîmes. Castagnié, 3,'rue Séguier, Nîmes.
- Causse, rue Bernard-Aton, Nîmes.
- Coste, 1, avenue Fenchères, Nîmes.
- Delafont, 1, rue Plotine, Nîmes.
- Delemer, ingénieur des Ponts et Chaussées, Nîmes.
- Delon, rue Cité-Foule, Nîmes.
- Dclpuech, 17, quai de la Fontaine, Nîmes. Deymié, 1, rue du Fort, Nîmes.
- Ducamp, f\y rue Colbert, Nîmes.
- Ducros, 22, rue Jeanne-d’Arc, Nîmes.
- Dullin, docteur, boni. Victor-Hugo, Nîmes. Dunan, place aux Herbes, Nîmes.
- Fabre de Thierrens, quai de la Fontaine, Nîmes.
- Fabre Pose, boni, de la République, Nîmes. Félon, 1, rue des Frères-Mineurs, Nîmes. Fize, 2, rue Dagobert, Nîmes.
- Gauch, docteur, iG, rue Bégaie, Nîmes. Gaussorgues, 21, r. Rougct-uc-l’Isle, Nîmes. Giral, docteur, 2, rue Auguste-Pellet, Nîmes. Grcllet, avenue de la Plateforme, Nîmes.
- Grill, iG, place des Arènes, Nîmes.
- Grimaud, 62, boni, de la République, Nîmes. Guihal, 17, rue Antonin, Nîmes.
- Lagorce, 3/j, boni. Sergent-Triaire, Nîmes. Lamouroux, 2.3, boni. Sergent-Triaire, Nîmes. Launé (A.), 10, rue de l'Abattoir, Nîmes. Lcynadior, avenue de la Plateforme, Nîmes. Libes, Go, rue de Montpellier, Nîmes.
- Maurv, docteur, /j, rue Portc-d’Alais, Nîmes. Meynier de Salinelles (A.), 8, rue de l’Aspic, Nîmes.
- Meynier de Salinelles (L.), 8, rue de l’Aspic, Nîmes.
- Margarot, 1, boulevard Gambetta, Nîmes. Martel , La Fontaine, Nîmes.
- Maubé aîné, f\f\* boni. Victor-IIugo, Nîmes. *Maubé jeune, /|/|, boni. Victor-llugo, Nîmes. Merley, docteur, 2, rue Pradier, Nîmes. Monnier, Gi, boni, de la République, Nîmes. Montravcl (de), 5i, boni. Gambetta, Nîmes. Mourier, 1, boulevard Gambetta, Nîmes. Nègre, 3/j, rue Clcrisseau, Nîmes.
- Nègre (Maurice), 3/j, rue Clcrisseau, Nîmes. Paill lès, 8, rue de la Banque, Nîmes.
- Pallier, boulevard Alphonse-Daudet, Nîmes. Palloc, place Questel, Nîmes.
- Penchinat, 2G, chemin de Beaucaire, Nîmes. Peyraube, o, rue Raymond-Marc, Nîmes. Razias, 7, rue Régale, Nîmes.
- Sagnier, 20, quai de la Fontaine, Nîmes. Silhol, 2, avenue Fenchères, Nîmes.
- Souhart, 1, rue Bourdalouc, Nîmes.
- Sully (Paul), 7, rue Cité-Foule, Nîmes.
- Troupel, 1, boni. Alphonse-Daudet, Nîmes. Tur (Charles), 21, rue Briconnet, Nîmes.
- Tur (Henry), 21, rue Briconnet, Nîmes. Valette (de la), G, rue de la Maison-Carrée. Nîmes.
- AUTOMOBILE CLUB DE L ORANIE
- 3. boulevard Séguin, à Oran (H Igérie).
- AUTOMOBILE CLUB BÉARNAIS
- 47* rue de la Préfecture > à Pau (Rasscs-Pyrén ées ).
- AUTOMOBILE CLUB DE LA DORDOGNE et VELOCE CLUB PERIGOURDIN
- (A. C. D.)
- S* place du Qualre-Septembre, ci Périgueux [Dordogne).
- COMITÉ
- Président : M. de Fayolle.
- Secrétaire : M. Didon.
- Trésorier : M. BulVeteau,
- Membres : MM. de Bcllussière, Dussaux, Dr Faure, Kinlzel, Marchadier, Soymier.
- MEMBRES ACTIFS
- MM.
- Andraud, rue Lamartine, Périgueux.
- Argy (d’), Le Chantier, par Trélissac (Dordo-g',c)-
- Baslard (Baron de), château de Lacoste, par Castelnaud (Dordogne).
- Baume (J. de La), rue de la Boétie, Périgueux.
- Bcllussière (de), 20, rue de Paris, Périgueux (Dordogne).
- Boisgiraud (de), Le Colombier, par Saint-Laurent. (Dordogne).
- Boisgiraud (M. de), 10, cours Tourny, Périgueux.
- Brizon (Henri), 27, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- Bosredon (de), château de la Fauconnie, par Tcrrasson (Dordogne).
- Bufïeteau, 19, rue Louis-Mie, Périgueux (Dordogne).
- Boyssculh (de), cbateau de Boreau, près Périgueux.
- Carré, négociant, rue de la République, Périgueux.
- Carvès, à Bézcnac, par Saint-Cypricn (Dordogne).
- Champernaud, journaliste, Périgueux.
- Chastenet (IL), 2G, rue de Metz, Périgueux.
- Ghcvigné (de), château de Berbiguières, par Siorac-de-Belvès (Dordogne).
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- A t TOM OBI 1.K - ('.LU B
- DE LA DOHDOBNE
- 8 8 G
- ( Herment-Tonnerre (Comte (le), 8, boulevard Lakanal, Périgueux.
- Cocula, rue Gambetta, Périgueux.
- Colombet, docteur, Périgueux.
- Conebard (de), eliâlcau des Chauvaux, par Ncuvic (Dordogne).
- Contant, 3i, rue Filetz, Périgueux.
- Contant, impasse du Palais, Périgueux.
- Daubrée, à Beauregard, par Cendal-sur-Vc/.ène (Dordogne).
- Delnion, rue Saint-Front, Périgueux.
- Delpit, (bâteau de Castang, par Bouniagues, (Dordogne).
- Delugin, a(i, rue de La Boétie, Périgueux.
- Desmaisons, rue Antoine-Gadaud, Périgueux.
- Dozon, docteur, Périgueux.
- Didon, 8, place du /(-Septembre, Périgueux.
- Dueroux, "/|, nm Victor-Hugo, Périgueux.
- Dufour, rue Kléber, Périgueux.
- Duperrier, «g, rue Lamartine, Périgueux.
- Durand de Ramefort, rue Bourdeilles, Périgueux.
- Durieux, docteur, llibérae (Dordogne).
- Duroy (J.-A.), à SainL-Saud (Dordogne).
- Dussaux, rue Kléber, Périgueux.
- Escaude, rue Louis-Blanc, Périgueux.
- Ealgoux, 2.3, rue Louis-Mie, Périgueux.
- Paurc, docteur, /|, rue Victor-Hugo, Péri-, gueux.
- Faure (A.), industriel, le Bugue (Dordogne).
- l’aurès (IL), cours Michel-Montaigne, Périgueux.
- Fayolle (de), i!\, rue Barbecannc, Périgueux.
- Fayolle (de), 5, rue Victor-Hugo, Périgueux.
- Fayolle (Comte (i. de), château de Fayolle, par Toeane-Saint-Apre (Dordogne).
- Gadaud (F.), docteur, place Franehcville, Périgueux.
- Génis (de), château de Sallegeurde, près Périgueux.
- Gonthier, 27, cours Montaigne, Périgueux.
- Jalinoux, rue des Chaînes, Périgueux.
- Jehan de La Croix, boulevard de Vérone, Périgueux.
- Kintzel, cours Michel-Montaigne, Périgueux.
- Lachapoulie (de), à Sarlat (Dordogne).
- Lacoste, fabricant de perles, Périgueux.
- Lacoste, 8, rue Combes-des-Pames, Périgueux.
- Lacrousille (de), avocat, Périgueux.
- Lacrousille (J. de), docteur, cours "Fourny, Périgueux.
- Lagrange, rue des Jacobins, Pcrigueux.
- Lagrange (P.-Gilles), place de la Mairie, Périgueux.
- La Tombelle (de), château de Fayrac, par Castelnaud (Dordogne).
- La Tombelle (de), château de Fayrac (Dordogne).
- Latrcillc, /|5, rue Gambetta, Périgueux.
- Laurièrc (Brou de), docteur, conseiller général, rue Louis-Mie, Périgueux.
- Lépine (de), château de la Fleunie, par Gendat-sur-Vézène (Dordogne).
- Le Clerc, château de Paysac, Paysac. (Dordogne).
- Livron (de), château de Bellcvuc, par Mareuil (Dordogne).
- Magne, château de Trélissac-, Trélissac (Dordogne).
- Magnin, G, rue de T.a Boétie, Périgueux. Malcville (Comte J. de), château de Siorac, par Razac-sur-FLsle (Dordogne).
- Marcellin, 27 bis, avenue de Neuilly, Neuilly (Seine).
- Marchadier, rue Chanzy, Périgueux.
- Mercier, place de la Mairie, Périgueux.
- Millet (Fernand), rue Fournier-Lacbarmie, Périgueux.
- Millet (Pierre), rue Fournier-Lacbarmie, Périgueux.
- Millet, château de Saint-Crépin, par Brantôme (Dordogne).
- Millet (H'enri), château de Saint-Crépin, par Brantôme (Dordogne).
- Monès (de), place de la Banque,.Périgueux. Monmarson, pharmacien, Périgueux.
- Montet, château de la Juvénie, par Pavzac (Dordogne).
- Montet, château de la Juvénie, par Paysac. (Dordogne).
- Murat, boulevard de Vésone, Périgueux. Murat, industriel, Périgueux.
- Nervaux (de), rue du Plantier, Périgueux. Nouailhac-Pioch, 1G9, rue de Rennes, Paris. Obier, fabricant de conserves, Périgueux. Parant (A.), 26, rue de Chartres, Neuilly-sur-Seine (Seine).
- Parant, 3, rue de La Boétie, Périgueux.
- I Pasquet, 21, rue Kléber, Périgueux.
- | Pasquet do Laurièrc, à Samte-Marie, par 1 Siorac-de-Belvès (Dordogne), j Petit, à la Tuilière, par Mussidan.
- Pinard-Legry, château de Rouflignae, Roufli-I gnac (Dordogne).
- | Pinard-Legry, château de Crécy, par Coucv , (Aisne).
- Pindray (de) docteur-médecin, rue Bodin, Périgueux.
- Piollet, le Pavillon, par Sorgcs (Dordogne). Plantcau, rue du Château, Bergerac.
- Poirier (IL), rue de La Boétie, Périgueux. Poumeau, archiviste, Périgueux.
- Pore rit ru (R.), rue Saint-Front, Périgueux. Prat-Dumas (Edmond), à Couze (Dordogne). Prat-Dumas (Etienne), à Couze (Dordogne). Regnauld, ingénieur des Ponts et Chaussées, Périgueux.
- Reillac, t\, rue Limogeannc, Périgueux. Rcquicr, rue Chanzy, Périgueux.
- | Requier (F.), 3o, boulevard Bertrand-de-Born, 1 Périgueux.
- ! Rey, place de la Mairie, le Bugue (Dor-1 dogue).
- Ronteix, rue Gambetta, Périgueux. Sarlando (A.), château de la Borie, parCham-pagnae-de-Belair (Dordogne).
- Simonet, 20, rue Victor-Hugo, Périgueux. Soymier, rue Taillcfer, Périgueux.
- Trisside, capitaine, rue Fournier-Lacbarmie, Périgueux.
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- AUTOMOBILE-CLUB
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- POITEVIN
- AUTOMOBILE CLUB POITEVIN
- (A. C. P.),
- 32, rue Carnot, à Voiliers {Vienne).
- CO.MITK
- Président : M. Reauchamp (de).
- Vice-présidenls : MM. Foulant,Yallel-Deehérat.
- Secrétaire : M. Désert.
- Trésorier : M. Orlbnd (d').
- Membres : MM. Amiranlt, Beauregard (de), Fruchard, Malapert, Nicias Gaillard, Rclail-leau. Fontenioux (Vicomte du).
- MKMIilVIÎS ACTIFS
- MM.
- Amiranlt, docteur, Loudun (Vienne).
- Arnaud (René), à Tralbeau, commune de Châtain, par Cliarroux (Vienne).
- Auriault.(Louis), à Usson-du-Poilou (Vienne).
- Aulichamj) (Vicomte Hubert d’), 18, rue Tliéo-phraste-Rcnandot, Poitiers (Vienne).
- Auvinet. (Gustave), château des Sources, par Cenon (Vienne).
- Reauchamp (Comte Etienne de), château de Morthemcr, par Morthemer (Vienne).
- Reauchamp (Comte Raymond de), château de St-Julien-l’Ars, par Sl-Julien-PArs (Vienne).
- Reauchamp (Marquis de), chât eau de Verrières, par Lhommaizé (Vienne).
- Reaucliamp (Vicomte Maurice de), «9, avenue llenri-Martin, a Paris, et château de Guil-laume-en-Poitou, par Lignac (Indre).
- Beauregard (Henry de), cité de la Traverse, à Poitiers (Vienne).
- Ressonnet, docteur, rue Alsace-Lorraine, Poitiers (Menue).
- Betoulle (Joseph), château de la Chérie, par Mont morillon (Vienne).
- RIampain de Saint-Mars (Joseph), château de la Salière, par la Cuillère (Vendée).
- Rrissonnet (Coorges), a Nouaillé, près Poitiers (Vienne).
- Rrun, docteur, boulevard Victor-Hugo, à Châ-tellerault (Vienne).
- Rrunet, docteur, à Ligugé (Vienne).
- Camus (Comte le), à Roisbuchet, jiar Conlb-lens (Charente).
- Cesbron-Lavau (Charles), château de Chêne-Landry, par Cliolet (Maine-et-Loire).
- Chevalerie (Marquis de la), château de la Rochefaton, par Thénezay (Deux-Sèvres).
- Chevrclière (Maurice de la), château de Saint-Benoit, par Saint-Renoît (Vienne).
- Chevrier (Maurice), à Cliarroux (Vienne).
- Comte, docteur, Hôtel de l’Europe, Poitiers (Vienne).
- Constantin (Alex.), 9, rue Boissy-d'Anglas, Paris.
- Courlis (Vicomtesse des), 4, rue Ruflault, à Poitiers (Vienne).
- Cousin, docteur, Couhé-Vérac (Vienne).
- Creuzé (Robert), 86, boulevard de Blossac., à Châtcllerault (Vienne).
- Delétang, docteur, 27, rue des Basses-Treilles, Poitiers (Vienne).
- Deniau (Georges), à Aouaille, près Poitiers (Vienne).
- Desbret (AH'rodi, à Orsennes (Indre).
- Désert (Paul-Henry), rue. de la Cathédrale, Poitiers (Vienne).
- Deshoulières (Fernand), à Chauvigny (Vienne!.
- Ducamp (André), 18, rue du Petit-Bonneveau, Poitiers (Menue).
- Dumas, Persac, château de Chaumeil (Vienne).
- Dupas, à Verrières (Vienne).
- Dupuytrem (Raymond), château des Martins, ]>ar Saint-.luJien-l Ars (Vienne).
- Espierre (Gabriel), château de Saint-Luc, par Fontcnay-le-Comte (Vendée).
- Farisy (Joseph), à Mauprcvoir (Vienne).
- Favre d'Echallens, château de Pleuville (Charente), et 26, rue Bonaparte, Paris.
- Ferry (Louis de), à la Yarenne, par Vivonne (Vienne), et 2, rue 'l'héophraste-Renaudol, Poitiers (Vienne).
- F’iers (Amédée de), rue Tilsilt, Paris.
- Fomhelle (René de), rue Paul-Bert, Poitiers (Vienne).
- F’onlant (Paul), avoué à la Cour, 16, rue de la Celle, Poitiers (Vienne).
- Fontenioux (Vicomte Henry du), château des Cottets, par Saint-Pierre-de-Maillé (Vienne).
- Fruchard (Comte Henry), ), rue St-Hilaire, Poitiers, et château de Dissais, par Dissais (Vienne).
- Caignard (Raoul 1, château de Saint-Gelais, par Ecbiré (Deux-Sèvres).
- Grandmaison (Arthur de), à Mauprévoir (Vienne).
- Grandmaison (Hubert de), père, à Mauprévoir (Vienne).
- Grandmaison (Baron de), capitaine au 12.V, 11, r. du Pelit-Ronneveau, Poitiers (Vienne).
- Gressin (André), rue de rAncienne-Comédie, Poitiers (Vienne).
- Hubert (Maurice), à Bouresse (Menue).
- Lal'ond (Ernest), château de Puygarreau. par Saiut-Genesl-Dambière (Vienne).
- Landry (Fernand), docteur, rue du Mail, à Mi-rebeau (Vienne).
- Laveaud (Pierre-Albert), notaire, à Mauprévoir (Vienne).
- Laveissière (Joseph), château de la Mothe, commune de Croutclle, par Poitiers (Vienne).
- Leeointre (Comte Louis), 16, rue du Petil-Ronncveau, Poitiers (Vienne).
- Leeointre (Comte Raymond), château de Maisonneuve, par Châtcllerault (Vienne).
- Lejeune, à Montmorilhm (Vienne).
- Lejeune (Baron), château de la Mothc-Champ-deniers, par Trois-Mouliers (Vienne).
- Léger, rue Rourheau, à Poitiers (Vienne).
- Lézardièrc (Comte de), i63, rue de la Pompe, à Paris, et château de la Proutière, commune de Pciroux (Vendée).
- Liniers (Charles de), château de Régner, par la Trimouille (Vienne).
- Livron (Comte de), château de Bellevuc, par Mareuil-sur-Relle (Dordogne).
- Malapert, docteur, 10, rue de la Visitation, Poitiers (Vienne).
- Marchadier (P.), docteur, à Lussac-les-Châ-teaux (Vienne).
- Marchand, docteur, à Saint-Gervais-les-Trois-Clochers (Vienne).
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- DU NORD DE LA FRANCE
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- Méreau, docteur, à Gençay (Vienne).
- Mérine (Marc), rue Saint-Denis, à Poitiers ^Vienne).
- Michiels, docteur, à Clumvigny tVienne).
- Mila (Gaston), ij, rue des Feuillants, à Poitiers (Vienne).
- Monthron (Comte Etienne de), château de Montagnier, par Saint-Bonnet-de-Bellac ( Haute-Vienne).
- Moreny (Jean), lieutenant d'infanterie, 3j, rue du Moulin-â-Vent, Poitiers (Menue).
- Nicias-Gaillard (Ernest), x8, rue Carnot, Poitiers (Vienne).
- Oherlhür (René), imprimeur, à Rennes (llle-et-Vilaine), cl.à la Rorhc-d’Asnois, parCliarroux (Vienne).
- (Irfond (René d’), i/|, rue des Grandes-Ecoles, Poitiers (Vienne), et. château du Pan, par Lussac-les-Eglise.s (liante-Vienne).
- Orillard docteur, rue Gilbert, à Châtelleraull (Vienne).
- Orlowski (Gaston), à Mireheau (Vienne).
- Pascauil-Dumas, château de Ghaumeil, par Persac (Vienne).
- Paumelière (lîaron de la), ao, rue Bourheau, à Poitiers (Vienne), et château de Lavauër, par Neuvy-cn-Mauge (Maine-et-Boire).
- Penot, docteur, â Vivonne (Vienne).
- Périvier, docteur, â Pleumartin (Vienne).
- Petit, docteur, 53, rue Arsène-Orillard, â Poitiers (Vienne).
- Pleumartin (Marquis de), château de Pleumartin (Vienne).
- Ouerqui (Paul), château de Puybclliard, par Chantonnay (Vendée).
- Retailleau (Evarisle), château de la Routinière, par Saint-Pierre-de-Maillé (Vienne).
- Richard (Louis), i3, rue Aliénor-d'Aquilaine, à Poitiers (Vienne).
- Rigaudic Saint-Martin (de), i, rue du Général-Demarçay, à Poitiers (Vienne).
- Rimbert (Camille), vétérinaire, rue du Mail, â Mireheau (Vienne).
- Robin (René), â Part.hcnay (Deux-Sèvres).
- Roblin (E.), â Mireheau (Vienne).
- Rochebrochard (.lean <le la), 11, rue Saint-Maixenl, à Poitiers (Vienne).
- Roehequairie (Comte de), château de Purnon, par Verrue (Vienne).
- Rouault (Comte de), château de Sarzee, commune de Montamisé (Vienne), château de la Cacaudière, par Pouzauges (Vendée), et 7, rue Arsène-Orillard, à Poitiers (Vienne).
- Roulièrc (de la), Gi, rue Théophraste-Renau-dot, à Poitiers (Vienne).
- Senaillot (Joscjih), notaire, 4, rue Descaries, a Châtelleraull (Vienne).
- Touchois de Relhoir, 35, rue Théophrastc-Renaudot, à Poitiers (Vienne).
- Treuille (Raoul), château de Chitré, par Vou-ncuil-sur-Viennc (Vienne).
- Treuille (Maurice), château de la Tour d’Oyré, par Châtellerault. (Vienne).
- Tribert (Paul), château de la Limousinerie, par Chauvigny (Vienne).
- Trouvé (Paul), Moulin-des-Dames, par Chauvigny (Vienne).
- Tudcrt (Comte Aymar de), rue Théophraslc-Renaudot, à Poitiers, et château de Visais, par Poitiers (Vienne).
- Vallet-Décheraf, rue du Marché, â Poitiers (Vienne).
- Viellé-Grilfin, iG, quai de Passy, à Paris, et château de la Roche-à-Guel, par Sl-Pierre-dc-Maillé (Vienne).
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- (A. C. N. E.)
- 4, rue de la Gare, à Roubaix (Nord)
- MIÎMliUKS DU COMITÉ I
- Président : M. ITanchomme.
- Vice-président : M. Huet.
- Secrétaire-trésorier : M. Motte. Secrétaire-adjoint : M. Damez.
- MM. Binet, Boulangé, Claeyssens, DellVonnes, Descamps, Desurmont, Eauclnlle, Guyot, Wallaert, Joire, Lefebvre, Mathon, Verley, Vernier, Wattinnc.
- MlïMIiKES ACTIFS :
- MM.
- Adam, i, boulevard Mariette, Boulogitc-sur-Mer.
- Adam (Georges), 36, rue de Lille, Boulogne-sur-Mer.
- Agac.be (D.), 18, rue do Tenremondc, Lille. Agachc (E.), 18, rue de Tenremondc, Lille. Allart, i/|4, Grande-Rue, Roubaix.
- Allègre, i‘4j, bd de la Liberté, Lille.
- Altazin (Emile), ia,ruede la Gare, Boulogne-sur-Mer.
- Altazin (Eugène), place de Capécure, Boulogne-sur-Mer.
- Bancquart, i bis, rue du Collège. Boulogne-sur-Mer.
- Baras, 33, quai de Suresnes, Surcsnes. Barbet, a5, rue Delsaux, Valenciennes. Barbion, Stccnc, par Bcrgues.
- Baril, rue dos Jardins-Caulier, Lille.
- Barrois (M"10), boul. de la Liberté, Lille. Barrois (Maurice), 5^j, rue do Lannoy, Eives. Barrois, 83, rue Royale, Lille.
- Barrois, 3i, rue Nicolas-Leblanc, Lille. Bathiat, (L.), 35, rue d’Inkermann, Lille. Bathiat, (G.), 35, rue d'inkermann, Lille. Baudet, Saint-Arnaud (Nord).
- Baudouin, St-Amand.
- Bayart, i iG, boulevard d’Armentières, Roubaix. Bcaurcpaire, Go, boulevard de ki Liberté, Lille. Bécourt, Le Qucsnoy.
- Bécue, 8i, rue Nationale, Lille.
- Béghin, raffmeur, Thumeries (Nord). Béharelle, àLcwarde, par Montigny-en-Ostre-vent.
- Bélart, 12, rue de Valmy, Calais.
- Bériot, lia, rue du Long-Pot, Eivcs-Lillc. Bériot, 67, rue de Douai, Lille.
- Berly, ai, rue do Coudé, St-Amand.
- Bernard, château de la Masure, par Laval (Mayenne;.
- Bernard, i-j, avenue Bosquet, Paris.
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- IM' NO BD DE LA FRANCE
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- Bernard (D1), gi, rue de Lille, Tourcoing. Bornier, Fourmies.
- Bernier, n, place Clayon, Fourniies. Bcrlhélciny, Sains-du-Nord.
- Beugny d’Hagerue (De), Direction d’Arlillerie, Maubeuge.
- Beuquc, 25, rue du Brun-Pain, Tourcoing. Bigo, 88, rue Bouchcr-de-Perlhes, Lille. Binet, 1,07, rue de Roubaix, Tourcoing.
- Binet, 36, rue Inkermann, Lille.
- Binet, Gi, rue des Vieillards, Boulogne-sur-Mer.
- Black (Fr.), Bourlon (P.-d.-C.).
- Black (G.), Bourlon (P.-d.-C.).
- Blondel, avenue du Colyséc, Lambersart. Blondel, 112, rue de Lille, La Madeleine. Bocquct, 7, rue de Tbionville, Lille.
- Bodel, 18G, boulevard Lal’ayette, Calais.
- Boët, rue du Pays, Roubaix.
- Bole (Dr), 82, Grande-Rue, Roubaix.
- Bomy, 1, rue Daniel, Calais.
- Bonduel, rue de Lille, Roncq.
- Bonnet, rue des Soupirants, Calais.
- Bonte, 1, rue de Canteleu, Lille.
- Bonvarlet, Coudekcrque-Brancbc.
- Bonzel, i/|, rue Marais, llaubourdin. Bouci|uey, 121, rue de Lille, La Madeleine-Lille.
- Boucquey, 65, boulevard Vauban, Lille. Boulange, Gi, rue Nain, Roubaix.
- Boulanger, 18, rue des Soupirants, Calais. Bourgeois-Wattel, 38, rue YVinoc-Clioqueel, Tourcoing.
- Boussus, Wignehies.
- Boutemy, Lys-lez-Lannoy.
- Boutemy (Léon) Père, Lys-lez-Lannoy. Boutry, 80, rue du Long-Pot, Fives-Lille. Boutry, 67, rue du Long-Pot, Fives-Lille. Brabant, 262, rue do Bcthune, Loos-lez-Lille. Brabant, Hem.
- Breuvart, 5o, rue de Lille, Arinentières. Brogné, y8, rue d’Esquelchin, Douai.
- Broquet, 3, rue François-Verlv, Candeleu-Lambersart.
- Browaoys, 23, rue Saint-Maurice, Roubaix. Browaeys, rue Mascara, Roubaix.
- Buirette, quai de l'Arquebuse, Suippes (Marne).
- Buisine, Dury-lez-Amiens (Somme).
- Burins, rue de Garni, 3/|, Tourcoing.
- Busch, 5o, rue Neuve, Calais.
- Caillot, 8, rue Daguerre, St-Maurice-lez-Lille. Cambier, Bcrlaimont.
- Canart, 5, rue Saint-Jacques, Cambrai.
- Carpot, g, rue de l’Hospice, Calais. Catel-Béghin, 21, boulevard de la Liberté, Lille.
- Catoire, château de la Garde Cliâtel (Mon-taure) (Eure).
- Catoirei9, 19, rue Marais, Lille.
- Caton, Anichc (Nord).
- Catteau, Comines (France).
- Catteaux, Cliauny (Aisne).
- Caulliez, 13, rue du Dragon, Tourcoing. Cavroix, 19, rue du Château, Roubaix. Cavrois, 2, rue du Manège, Roubaix. Cavrois-Lagache, 54, bd de Paris, Roubaix. Cavrois-Maliicu (M'"° YÏC), 3g, boulevard de Paris, Roubaix.
- Chambure (De), Dompierre (Nord).
- Chamfort, 2, place Faniars, Valenciennes. Chariot, 1G, rue de Garni, Tourcoing. Chaumeil, 52, rue du Yioil-Abreuvoir, Roubaix.
- Cbevrin, 8, rue Lebon, Paris.
- Claeyssens (Pauli, Wambrechies.
- Claeyssens (Pierre), Wambrechies.
- Clarisse, /19, rue de Roubaix, Croix.
- Clerc, 33, rue l’atou, Lille.
- Cliqucnnois, 48, rue de Douai, Lille.
- Cocard, 13, rue de Valenciennes, Lille.
- Colas, hôtel de Castiglione, Boulogne-sur-Mer. Collette, Allennes (Nord).
- Collin, /|i, rue de Courbevoie, Courbevoie. Colombier, 25, rue Denis-Papin, Arinentières. Cordier, 62, boulevard Lalaycttc, Calais. Cordier (Paul), 5g, rue de la Tannerie, Calais. Cordicr-Lcvray, rue du Temple, Calais. Cordonnier, 1 bis, rue de la Cbambre-des-Comptcs, Lille.
- Corman-Vandamme (Mm0 A.), 28, Façade de l’Esplanade, Lille.
- Corrc, 5, rue Danton, Levallois-Perret. Courouble, 12G, rue de Tournai, Lille.
- Cousin, 148, rue Nationale, Lille.
- Coustou, 2-, boulevard de Cambrai, Roubaix. Crépclle, rue de Lille, La Madelcine-lez-Lille. Crépy, 77, rue Royale, Lille.
- Grépy, 7, rue de Boulogne, Lille.
- Crepy, 20, rue des Jardins, Lille.
- Grespel, 101, rue do 1 1lôpilal-Militaire, Lille. Crespel, 2, rue Porte-Gayole, Boulogne-sur-Mer.
- Crespcl, 14, rue des Fleurs, Lille.
- Cressin de Saint-André, Casino Municipal, Boulogne-sur-Mer.
- Cronheim, 20, rue des Soupirants, Calais. Crothers, 2, rue de Metz, Croix.
- Crouy (Emile),-13, rue du Temple, Boulogne-sur-Mer.
- Crouy (Jean), i3, rue du Temple, Boulogne-sur-Mer.
- Cuvclicr fils, llaubourdin.
- Cuvelicr-Boutry, rue de Bétlmne, llaubourdin. Daix, 9, rue de FlJuivcrsilé, Douai. Dalle-LcsalVre, Bousbecque.
- Dalle-Lortbioil, rue de Wervicq, Bousbecque. Dambricourt, à Ilallines, par Wizernes (Pas-de-Calais).
- Damez, 102, rue du Moulin, Roubaix. Dansette, 31, rue de la Passée, Lille. Debaisioux, 142, rue Nationale,Lille. Dcbayser, 5, rue de la Cbambrc-des-Comptes, Lille.
- Debruyne, Fressies (Nord).
- Declercq, 1 bis, rue de la Chambre-des-Comp-tes, Lille.
- Declercq, à l’IIempenpont,, Hem.
- Dccoster, 128, rue de la Louvièrc, Lille. Dedrye, 8, rue des Vieux-Remparts, Dunkerque.
- Dcdyn, 20, avenue Friedland, Paris. Defrenne, 3o, boulevard de Cambrai, Roubaix. Deffrenncs-Canet, Lannoy.
- Debaene-Lecomte, Comines.
- Delanoë, 8, rue Vauban, Roubaix.
- Dclaoutre (Achilllc), 13o bis, G.-Rue, Roubaix. Delaoutre (Alexandre), i3o, G.-Rue, Roubaix. Delaume, rue de l’IIôpital-Militairc, Lille. Delay, i.4g, rue Nationale, Lille.
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- DU NOIU) DK I.A 1 H.VNOK
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- Relcourt-llaillot, 22, rue de la Poterne, Valenciennes.
- Dcleourt, 12, me de Lannoy, Roubaix. Delcourt i45, rue de Wazemmes, Lille. Delcroix, y, rue de Lewardc, Douai.
- Deleroix, Phalempin (Nord).
- Delebart, yo, rue des Stations, Lille.
- Delebart, 60, rue du Long-Pot, Fives-Lillc. Dclccourt, rue d’Arras, Seclin.
- Dclefortrie, y4, rue des Postes, Lille. Delelis-Fanien, (irande-Place, Lillers. Delelis-Fanien (Charles), 18, rue de Béthune, Lillers.
- Delcmer-Agache, 68, boulevard de la Liberté, Lille.
- Deleplanquc, 58, rue de l'Hôpital—MiliLairc, Lille.
- Deleplanque, 110, boulevard de la Liberté, Lille.
- Delerue, 5y, rue F’ossés-Neufs. Lille.
- Delesalle, 1 1 ùis, rue des Jardins, Lille. Delcsalle, 38, rue Pasteur, La-Madclcinc-lez-Lille.
- Delesalle, 20/1, rue Pierre-Legrand, Fivcs-Lille.
- Delesalle, 80, rue de Jeimnapcs, Lille. Delcsalle, i3, rue du Pont Neuf, Lille. Delescluse, 72, rue dlnkerinann, Roubaix. Dell’ortrie, 33, rue de la Deùle, llaubourdin. Dclfortrie (Pierre), 2, rue Sadi Carnot, llau-bourdin.
- Delgrange, /|0, rue de Mons, Valenciennes. Dehnasure, 77, rue de Tournai, Tourcoing. Dehnasure, y, place Thiers, Tourcoing. Deinanne, rue Marie, La ChapelIc-d’Annen-lières.
- Demestcr, 11, rue Demours, Paris.
- Demoulin, i5, boulevard de la Chapelle, Croix. Denoyelle, 22, rue do Heauniont, Valenciennes. Dequelce, Marconne, près gare Ilesdin. Deroubaix-Dervaux, /|a, rue Sainte-Thérèse, Roubaix.
- Dervaux, Condé-sur-l’Escaut.
- Dcrvillc, i3, rue do la Gare, Roubaix.
- Derville (Joseph), 20, rue Saint-Vincent-de-Paul, Roubaix.
- Dcscamps, château de Wattignies, Wallignies (Nord).
- Dcscamps, 6, rue Palou, Lille.
- Dcscamps, Annappes, par Aseq. Descamps-Scrive, 2.3, boulevard Vauban, Lille. Descarpenti is, 3/j, fayade de l’Esplanade, Lille. Desmazières, llaubourdin.
- Desmettre, 26, rue des Meuniers, Lille. Desmettre, 01, rue du Conditionnement, Tourcoing.
- Dcsprctz, Marquette-lez-Lillc.
- Desurmont, 58, rue d’Arras, Seclin. Dcsurmont, rue de Lille, Tourcoing. Desurmont-Descamps, 2, rue Montyon, Tourcoing.
- Desurmont-Dumanoir, 37, rue Saint-Jacques, Tourcoing.
- Desurmont-Molte, 82, boulevard Gambetta, Tourcoing.
- Desvenain) /17, rue du Tilleul, Tourcoing. Devalléc (Jules), 60, rue Walt, Roubaix. Devallée (Victor), 60, rue Watt, Roubaix. Devey, 5, rue Teuremonde, Lille.
- Devilder, 14, boulevard Vauban, Lille.
- Deville, 2/|, rue de Valenciennes, Douai. Dcvys, 20, rue Nationale, Lillers.
- Dewavrin, Ranteux (Nord).
- Dewavrin, 2/), rue Chanzy, Tourcoing. Deweppe, 3y, rue Rayai t, Armcnlières. Dewitte, îoo, rue Inkermann, Roubaix. JJ’Jlalluiii, 77, rue de Lille, Quesnoy-sur-Deule.
- Domptet, 72, boulevard Reaumarchais, Paris. Donjon de St-Martin, Louches, par Ardres. Dormion, rue d’ilondcghem, Jlazehrouck. Doyen, 25, boulevard de la Liberté, Lille. Dreye, 23, rue des Rôtisseurs, Cambrai. Dreyfus, 24, rue Pellart, Roubaix.
- Drion, !\, rue de la Comédie, Douai. Di'oulers-Prouvost (M,l"‘), 113, boulevard Gambetta, Roubaix.
- Dubar, y, rue de Pas, Lille.
- Dubar, io3, boulevard d'Armcntièros, Roubaix.
- Dubout, 55, rue dos Vieillards, Boulogue-sur-Mer.
- Duchangc, 12, rue du Pays, Roubaix.
- Dufour, rue Gambetta, Armcnlières.
- Dufour, 3o, rue du Château, Roubaix.
- Dufour, 22, rue de l’Alma, Roubaix.
- Dufour, 86, faubourg de Lille, Armenlièrcs. Duhem, rue de Cens, La Dansée.
- Duliot, 80, rue Nationale, Armentiércs. Dujardin, 1, rue du Fresnoy, Roubaix.
- Dulac, 2.3, rue de Strabourg, Armcnlières. Dulieux, 38, place du Théâtre, Lille.
- Dumont (D'j, rue Fidèle-Lebouci|, Tourcoing. Dupont, 53, boulevard Walleau, Valenciennes. Dupivz, .4, rue Verte-Feuille, Tourcoing. Durav, usine de Diétrich, 12, avenue de Madrid, Neuilly-sur-Seine.
- Duriez, Comines.
- Dussarl, rue Corneille, Roubaix.
- Dutilleul, rue du Cloeher-Saint-Pierrc, Douai. Duval, io3, boulevard de, la Liberté, Lille. Eloy, 135, boulevard de Paris, Roubaix. Emond, rue du Pont, Bcrlaimonl. Ernoull-Taflin, /|3, rue du Grand-Chemin, à Roubaix.
- Ernoult lils, 77, rue du Grand-Chemin, Roubaix.
- Faldonie-Peynacrc, iy, ruedel’Abbé-de-FEpée. Tourcoing.
- Fallut., 1 5y, rue Winoc-Chocquccl, Tourcoing. Fally, à Coudé sur-l’Escaut. l’aucheur, 64, rue Sadi-Carnot, Arment,ières. Faucheur, y.3, boulevard Vauban, Lille. Fauchille, 56, rue Royale, Lille.
- Fauchille, 28, rue Gauthier-de-Chàtillon, Lille, l’auvarque, 31, boulevard de Paris, Roubaix. Fiévcl, 21, rue Saint-Jacques, Lille.
- Flament, avenue de Fl Iippodromp, villa Adrien-11c, Lambcrsart.
- Flament, Fourmies.
- Florin, y8, rue de Douai, Lille.
- Florin, Bonducs.
- Florin, boulev. d’Armcntières, iay, Roubaix. Foret, 21 y, rue Lafayette, Calais.
- Fraignac, 5a, 111c de Lille, Roubaix, l’raignac, 9, rue Dcvès, Neuilly-sur-Seine. FYanchomme, château du Nazaro, Marcq-en-Barœul.
- Fremaux, rue Montgollier, Marcq-en-Barœul. | Fremaux, 38, rue Nicolas-Leblanc, Lille.
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- Fulda, 34, boulevard La layette, Calais.
- Gaillet, i38, rue de Roubaix, Mouvaux. Gallant, Coinines.
- Galtier, 20, rue Vauban, Roubaix.
- Garez, Billy-Rerclau (Pas-de-Calais).
- Garin, Cambrai.
- Gaudier, 25, rue lnkermann, Lille.
- Gaulcl, 11, rue Thiers, Lille.
- Gaydet, 120, boulevard de Paris, Roubaix. Gayct, 2G, avenue de Mous, Valenciennes. Germe, llavay (Nord).
- Geslot, 10, rue du Bas-Jardin, Lille.
- Gillcbert, rue Saint-Nicolas, Lelbrcst (Pas-de-Calais).
- Gillion (M"‘° veuve), i4, route de Landrecics, Avcsnes.
- Glorieux, 44> rue Charles-Ouinl, Roubaix. Glorieux, 9.4, boulevard de Paris, Roubaix. Godrou, io3, boulevard de la Liberté, Lille, (iosse de Gorrc, château de Gorrc, par Beuvry (Pas-de-Calais).
- Gracy, rue Victor Ilugo, 14, Douai.
- Grandel, 44» nie de Bazinghien, Loos.
- Gratry, 11, rue de Pas, Lille.
- Grau, 13, rue l'Abbé-dc-l’Epéc, Tourcoing. Grau, 196, rue de Lille, La Madeleine-lez-Lille.
- Grimonpré, i5, place de Bétlmne, Lille. Grimonprcz, l\o, rue Vauban, Roubaix. Guérin, Ghauny (Aisne).
- Guidet, Saint-Martin-au-Laert, jiar Saint,-Oiner.
- Guillaumel, 22, rue du Moulin, llazcbrouck. Guyot, Maresquel (Pas-de Calais), llagcdorn, i5, rue de l’Industrie, Tourcoing, llaillol, 2, rue des Brèches, Valenciennes, llannarl, rue de Barbicux, Roubaix. Ilassebroucq, La Chasse Royale, Comincs. llaubourdin, château de la Solitude, Vieux-Condé.
- llaubourdin, château de Vicux-Condé.
- Hémery, usine Darracq, Suresnes. llcndecourt. (U’), Gognies - Chaussée , par Maubeuge.
- llendeeourt (D‘), château dcGontrœul, Gognics-Chausséc, par Maubeuge.
- Hennion, rue de Linselles, Ilalluin. llénon, 20, rue des Oualrc-Coins, Calais. Herman, 90, rue Guillatune-Werniers, l’ivcs-Lille.
- llespel (F. d’), château de Prémesques, Préines-ques (Nord).
- llespel (d’), château de Bondues, Bondues. llespel (L. d’), Prémesques. llespel (P. d’), Prémesques. llevndrickx, 278, rue Pierre-Legrand, Fivcs-Lille.
- Heyndrickx, boulevard de Paris, Roubaix. Hibon, 18, boulevard d'Halluin, Roubaix, llillebrand, Digue-de-Mer, Ostende. lloubert, 15, Marché aux Poulets, Lille, lloucke, Aire-sur-la-Lys (Pas-de-Calais), lloutart, Denain.
- lloutart, 31, rue de Valenciennes, Denain. Huet, 20, boulevard de la Liberté, Lille. Iluet-Wallacrt, 1, rue du Manège, Roubaix. Huet, 9, rue des Jardins, Lille.
- Ilurct, 10, rue de la Gare, Boulogne-sur-Mer. Ireland, rue Victor-Hugo, llouplines. Isbecque, 122, rue des Arts, Roubaix..
- Jeanson, Pérenchies.
- Joirc (G), 53, rue de Lille, Tourcoing.
- Joirc (J.), 4?, rue de Lille, Tourcoing. Jonckhecre, i3-, boulevard de Paris, Roubaix. Jonequez, 18, boulevard Vauban, Lille. Jonglez-Roussel, 11, rue de l'Abbé-de-l'Epée, Tourcoing.
- Jourdain, 19, rue de Paris, Fourmies.
- Jonville, i/|3, ulevard d’Armentièrcs, Roubaix.
- Jonville, G2, ulevard de Strasbourg, Roubaix.
- Jonville, /|5, rue Saint-Georges, Roubaix. Kaufman, 90, Pont du Lion-d Or, Lille.
- Klein, rue Perrot, 2^, Roubaix, lvnorr, ^8, rue du Collège, Roubaix. Ladoucette (De), 3G, rue des Stations, Lille. Lagage, rue Pierre-Motte, 53, Roubaix. Lamberjack, 282, boulevard Péreire, Paris. Larnbret, 229, boulevard de la Liberté, Lille. Lamoi], boulevard Gambetta, Tourcoing. Lanauze (De), 12.), rue Nationale, Lille. Landouzv, 22, rue Gautbier-de-Cbâtillon, Lille. “
- Lebez, iG, rue de Malincs, Calais.
- Le Blan, 2.4, rue de Turenne, Lille.
- Le Blan, 2,3, rue Solférino, Lille.
- Leelorc-lluet, ~4t boulev. de Paris, Roubaix. Leconte, 10, rue Neuve, Lille.
- Leduc, G2, rue de Mous, Valenciennes. Leléburc, Pont-à-Bucy, par Nouvion et Ca-t.illon (Aisne).
- Lefebvre (Ed.), 2, rue de Tourcoing, Roubaix. Lefebvre (Léon), G, rue de Tourcoing, Roubaix. Lefebvre (Louis), 2G, rue des Rôtisseurs, Cambrai.
- Lefebvre (Paul), io3, rue de Douai, Lille. Lefebvre (Th.), io3, rue de Douai, Lille. Lefèvre, 5y, rue Carnot, llellemmes-lez-Lille.
- Legrand, 5-, rue de Fives, Lille.
- Legros (Paul), rue de Rocquigny, Wignebies. Legros, 28, rue de Rocipiigny, M'ignebies (Nord).
- Leboucq, 58, rue des Fabricants, Roubaix. Lelioucq, 91, rue de Lille, Tourcoing. Lemaire-Duvillier (M'"° Vve), 128, boulevard de Paris, Roubaix.
- Lemaire. 84, boulevard Gambetta, Roubaix. Léman-Van de Kerchove, (;8, rue de Roubaix, Tourcoing.
- Lcmay, Aubercbicourt.
- Lepcrcq, Quesnoy-sur-Dcfile.
- Lcpercq, rue de l'Hospice, Quesnoy-sur-Deûle. Lcpers-Voiturie, 18, boulevard Vauban, Lille-Lepoivre, 118, rue de Villars, Denain. Lepoutre, ^5, rue Nain, Roubaix.
- Lcpoutre, 12, place Chevreul, Roubaix. Lepoutre, rue du Pays, Roubaix.
- LcsalTre, i3o, rue de la Louvière, Lille. Lesall're-Duvillier, rue de Lille, Marquettc-lez Lille.
- Lestarquit (Mme), château de Coisne-Salomé, par La Bassée.
- Leslienne, 33, rue Neuve, Roubaix. Lestienne, Go, rue Neuve, Roubaix. Lestienne, boulevard Gambetta, Roubaix. Leurcnt lils, Roncq.
- Leurent, 3o, rue du Conditionnement, Tourcoing.
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- DU NO HD DE LA FR ANCE
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- Lourcnt-Lel'ort, /|5, rue du Conditionnement, Tourcoing.
- Lcurenl, 69, rue du Tilleul, Tourcoing.
- Levé, Corbehem (Pas-de-Calais).
- Leveugle, 22, nie de l'Alma, Roubaix. Leveque, i5, rue du Moulin-Fagot, Tourcoing. Lhomel (Do), 27, rue Marbcuf, Paris.
- Lindsay, 2), rue de Roubaix, Lille.
- Loison, château des Viviers, Reuvrages, par Anzin.
- Loison, C/|, rue de Mous, Valenciennes. Loridan-Lcl'ebvre, 58, r. du Tilleul, Roubaix. Lortbiois, /|3, rue de Lille, Tourcoing. Lortbiois, 98, boulevard Gambetta, Tourcoing. Lortbiois, 4», place d'hiers, Tourcoing. Lorthiois-llerbaux, 30, rue Nationale, Tourcoing.
- Lorthiois-Lannoy, 20.3, rue de Dunkerque, Tourcoing.
- Luncl, 7, place Capécure, Roulogne-sur-Mer. Mabille de Poncheville, rue de Pas, Lille. Mabille de Poncheville, i/j, rue des Foulons, Valenciennes.
- Maliicu (M"'“ V'°), 5, rue des Jésuites, Armen-tières.
- Mabieux, villa Mary, Lambersart.
- Malard, 7), rue de Guesues, Tourcoing. Mallet, 31, boulevard Daunon, Roulogne-sur-Mer.
- Malissard, rue Saint-Arnaud, Anzin.
- Maquet, 29, boulevard Faidherbc, Arnicn-tières.
- Marchai, ii, rue de l'Hospice, Roubaix. Marchant, Rerlaimonl.
- Marcy, 90, boulevard do la Liberté, Lille. Mariage (Dr), 1, rue du (irand-Fossart,
- Valenciennes.
- Masse, 216, rue Nationale, Lille.
- Masse, rue du Temple, Fourmies.
- Massez (De), Oo, quai des Hollandais, Dunkerque.
- Masurel, i44, rue du Rois, Tourcoing. Masurel, 21/1, Grande-Rue, Roubaix.
- Masurel, 03, rue Nationale, Tourcoing. Masurel Fils, 03, rue Nationale, Tourcoing. Masurel, avenue des Villas, Roubaix.
- Masurel, i35, rue de Lille, Tourcoing. Masurel-Watt inné, Mouvaux.
- Masurel (Jules, Fils), rue de Lille, Mouvaux. Masurel, 114, boulevard de Paris, Roubaix. Mathon, ii/|, boni. d'Armenlières, Roubaix. Mathon, 128, boni. d'Armcntières, Roubaix. Maurice, 18, rue Jules-dc-Vicq, Fives-Lille. Maze-Seneier, 129, rue Royale, Lille.
- Mercier, à Mazingarbe (Pas-de-Calais). Mestre, 28, rue Monlrosier, à Neuilly-sur-Seine (Seine).
- Meys, 99, boni. Daunon, Boulogne-sur-Mer. NIiIlot, 55, rue Saint-Bernard, Lille.
- Miliaire, route de Maubeuge, l'errière-la-Grande.
- Mirand-Dcvos, 1, rue de l'Assemblée Nationale, Versailles.
- Monckliovcn, 87, rue d'inkerniann, Roubaix. Montaignc-Bériot, 190, boulevard do la Liberté, Lille.
- Montigny (De), a/j, rue de Béthune, Lille. Montigny (De), 12.4, rue Colbert, Lille.
- Motte, a3, boulevard Gambetta, Roubaix. Motte-Waline, i/|0, Grande-Rue, Roubaix.
- Motte, rue de Dunkerque, Armentières. Moyart, Saint-Raphaël (Yar).
- Navcau, Beuvry-lez-Orchies.
- Ncy-Renouard, Saint-Firmin (Oise). Noilet-Carré, 22, rue du Pays, Roubaix. Noirci, Usines Diétricb, Lunéville.
- Omnès, 3i, rue do la Rampe. Brest.
- Parent, 36, rue Faidherbc, Lille.
- Parent, à Guesnay. par Douai.
- Paulus, 109, rue de Tourcoing, Roubaix. Pavic, à Auroir, par Villers-Saint-Christophe (Aisne).
- Paycn-Rappc, rue de l’Abbaye, Solesmcs. Pecqueur, 82, rue Famais, Valenciennes. Péron, 28 bis, rue des Pipots, Boulogne-sur-Mer.
- Person, 44 bis, rue Danton, Lcvallois-Pcrrcl. Petit, /|5, rue Nain, Roubaix.
- Petit, 43, av. du Bois-de-Boulognc, Paris. Petit, 18, rue de Roubaix, Croix.
- Petit, Grande-Place, Solesmes.
- Pctyt, 6, rue dos Pipots, Boulogne-sur-Mer. Pial, 28, place de la Liberté, Roubaix. Piclion, 28-80, rue de la Gare, Boulogne-sur-Mer.
- Picrs de Ravcschool (Baronne), 17, square de Messine, Paris.
- Pic tire, 6, place Tliiers, Gaudry.
- P illot, 45, boulevard de Paris, Roubaix. Plavoust, villa du Pont-Brisé, La Passée. Plouy, 43, rue de Lorraine, Roubaix.
- Poirson, 1, rue Faidherbc, Lille.
- Poissonnier, 22, rue Nain, Roubaix.
- Pollet, rue du Manège, Roubaix.
- Pollct, 56, rue du Curoir, Roubaix.
- Pollet, 19, rue des Arts, Roubaix. Pollct-Tiberghicn, 74, rue de Lille, Tourcoing.
- Pollet, rue Picrre-Caltcau. Wallrclos. Pollet, 220, rue Pierre-Legrand, Lille. Pollet-Lannoy, 67, rue Saint-Jacques, Tourcoing.
- Pollet, rue de Bradfort, Tourcoing.
- Porisse, 80, boulevard de Paris, Roubaix. Poullier, 34, rue l’atou, Lille.
- Prouvost, 5o, boulevard do Paris, Roubaix. Prouvost, 113, boulevard do Paris, Roubaix. Prouvost-Scrépel, 17, rue du Grand-Chemin, Roubaix.
- Prouvost, 121, boulevard de Paris, Roubaix. Prou vos t-Masurel, Mouvaux.
- Prouvost, 73, boulevard do Paris, Roubaix. Prouvol, rue du Nord, Croix.
- Quillcl, constructeur, Calais.
- Ranehicourt (Comte de), château de Ilanchi-court, Houdain.
- Rasson, l\-j, boulevard de Paris, Roubaix. Rasson fils, 5, rue du Manège, Roubaix. Rasson-Masurcl, 114> rue Carnot, Tourcoing. Rasson-Wattinnc, 67, rue Nationale, Tourcoing.
- Raux, 3, place de la République, Lille.
- Raux (Adele), 3, place de la République, Lille. Ravinet, boulevard Prince-Albert, Boulogne-sur-Mer.
- Rébier, rue de Cosinorama, Calais.
- Rémy, 18, rue (les Arts, Lille.
- Rénaux, 33, rue du Repos, Paris.
- Réquillart (A.), 82, boulevard de Paris, Roubaix.
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- DU NORD DE EA KBAA'CE
- — 8()3
- Réquillart (Victor), 82, boulevard de Paris, Roubaix.
- Réquillart (Jean), 131, boulevard de Paris, Roubaix.
- Reumaux, ingénieur à la Compagnie des Mines de Lens, Lens.
- Reynaert, 294, rue Soltérino, Lille.
- Ribaucourt, 3y, r. du Grand-Chemin, Roubaix. Richcz, ia3, rue Balayette, Calais.
- Rieordeau, 122, rue Cazanet, Alençon (Orne). Risbourg, Roucbain.
- Ritaine, rue Sainte-Barbe, Tourcoing.
- Robert, Sains-du-Nord.
- Roger, 5g, rue do Turenne, Lille.
- Rollcro, i/| bis, rue Gambetta, Béthune. Rosamel (De), à Rosamcl, par Elaples (Pas-dc-Calaisl.
- Rosset, boulevard Plandrin, 5(5, Paris.
- Rousseau (Dr), 12G, Graude-Rue, Roubaix. Roussel, rue de Rarbieux, Roubaix.
- Roussel, i3g, boulevard de Paris, Roubaix. Roussel, 35, boulevard de Paris, Roubaix. Roussel, 5, me du Chcmin-de-Fcr, Roubaix. Ruselle, Gy, bd de la République, Roubaix. Ryo-Caltcau, 25, rue Pellart, Roubaix.
- Sagot., yo, rue d’Angleterre, Lille.
- Saint-Léger, 118, rue Royale, Lille. Saint-Léger, château de la Pessoie, Lamber-sarl.
- Salomon, 18 bis, boulevard Vauban, Lille.
- Sanz, 3, rue Sergcnl-1 loll', Paris.
- Savoye, 22, rue Gaulhier-de-Chàtillon, Lille. Sehnauwenberghe (Van), 72, rue des Marchands, Les Attaques (Pas-de-Calais). Schotsmans, 10, rue de Metz, Lille.
- Schwob, rue lléricourt, Ilautc-Saône.
- Segard, 84, boulevard Gambetta, 'l'oureoing. Serre (De la), château de Bambecq-Raequin-hem, par Wardrecques.
- Serive, 112, rue du Paubourg-de-Roubaix, Lille.
- Scrivc-Loyer, 29,4, rue Gambetta, Lille.
- Serive, i)5, nie du Ghène-lloupline, Tourcoing.
- Sergeanl, La Plaine, Marie (Aisne).
- Serpollet, 11, rue Stendhal, Paris.
- Sigraml, 120, boulevard de la Liberté, Lille. Sicen, /|i,ruedu Grand-Chemin, Roubaix. Sion-Arnould, rue de la Procession, llalluin. Sion-Derville, 82, rue des Carliers, Tourcoing. Sirot, rue Cambrésienne, Avesnes-sur-llelpe. Six-Saint, boulevard Gambetta, Tourcoing.
- Six, 5o, place Tliiers, Tourcoing.
- Six-Mazure, Hem.
- Six-Prouvost, 10 bis, boulevard Gambetta, 'l'oureoing.
- Stalars, 3y, quai de l'Ouest, Lille.
- Stalars (Louis), 98, rue Jacqucmars-Giéléc, Lille. ' '
- Stalars (Lucien), 100, rue Jacqucmars-Giéléc, Lille.
- Stavenhagcn, 19, rue Saint-Denis, Calais. Tacquct, rue Diderot, Lens.
- Tamboise, à Rouvroy (Pas-de-Calais).
- Tarly, 36y, rue de Constantiue, Roulogne-sur- , Mer.
- Tcrnynck, Chauny (Aisne).
- Ternynck, 4g, rue de Lille, Roubaix.
- Tcrnynck (Gaston), rue de Barbicux, Roubaix. Ternynck (Georges), 20, rue de Lille, Roubaix.
- Ternynck (Jules), rue do Rarbieux, Roubaix. Ternynck (Albert), 25, rue de Lille, Roubaix. Ternynck, Chauny (Aisne).
- Theillier, 18, rue de Mous, Valenciennes. Tbellier de PonchcviJle, avenue de Mous, Valenciennes.
- Thierry (Max), n, rue des Vieillards, Roulo-gne-sur-Mer.
- Thierry (Paul), 19, rue des Vieillards, Boulo-gne-sur-Mer.
- Thiriez, 3o8, rue Nationale, Lille.
- Tiberghicn, 31, rue de l’Alma, Tourcoing. Tiberghicn-Rreuvart, nie de Lille, Tourcoing. Tiberghicn, fi, rue Jacqunrl, Tourcoing. Tiberghien-Flipo, rue du Dragon, Tourcoing. 'ribcrghien-Caulliez, 3, rue Cliauzy, 'l’oureoing. Tibcrghien-Motte, 8y, rue de Lille, Tourcoing.
- Tiberghicn, 58, rue de Lille, 'l’oureoing. Titelouze de Gournay, llesdin i Pas-de-Calais).
- Toulemonde, 20, rue Charles-Quinl, Roubaix. Toussin, 55, rue Royale, Lille.
- Turekheim (De), usines de Diétrich, Lunéville. Tybou, rue de Riennes, Aire-sur-la-Lys (Pas-de-Calais).
- Valentin, 41, rue Dammarlin, Roubaix. Valentin-Deeoster, G3, boulevard de Paris. Roubaix.
- Van Bergen, 1, avenue du Trocadéro, Paris. Vandamo, 10, rue de Tenremoude, Lille. Vandaminc, 22, rue d’Alsace, Roubaix. Vandamme, 29, rue Faidherbc, La Madcleine-lez-Lillc.
- Vandcnboscb, rue de Ouesnoy, Wambrccbies. Van den Rende, 43, boulevard Gambetta, Roubaix.
- Vandermersch, i5, rue Warnclon, Quesnov-sur-Deùle.
- Van de Wegho, 1, rue l’atou, Lille.
- Yanlaer, 84, boulevard de la Liberté, Lille. Vanlaer Go, rue du Long-Pot, Fives-Lille. Vanoutryve (A.),boulevard de la République, Roubaix.
- Vanoutryve (Félix), boulevard de la République, Roubaix.
- Van Rohnis, château do Roeq, par Montreuil-sur-Mcr.
- Vcncvellcs (de), à Ligny, par Fouîmes (Nord'. Verbièse, 4y. rue du Molinel, Lille. Verley-Rollacrl, 9, boulevard de la Liberté, Lille.
- Verlcy-Crespel, io3, rue Royale, Lille. Verlindc, iGi, rue Bride-Maison, Lille. Yermersch, 98, boulevard Sainte-Beuve, Boulogne-sur-Mer.
- Vcrmonl, iG, rue Valmy, Lille.
- Vernier, 19, rue du Pays, Roubaix.
- Vernier, 3ofi, boulevard Gambetta, 'l’oureoing. Yerstraete, villa Mignonnette, Menton. Vertongcn, 4 1, rue d’Arras, Douai.
- Vignaud (Du), 47, rue des Champs, Roubaix. Villcmain, 33, quai de Surcsncs, Suresnes. Vicq (de), 3o, rue Négrier, Lille.
- Vinchon, 4i, rue de l’Epeule, Roubaix.
- Yirnot, 84, route de Roubaix, Mons-cn-Rarœul.
- Wagner, 33, quai de Suresnes, Suresnes. Wagnon, chemin des Ravenncs, Bondues. Warnet, 4o» rue Jacquart, Calais.
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- Wattel-Ferrier, 2.3, rue Billion, Roubaix. Wattinnc, 197, boulevard delà Liberté, Lille. Watlinne, 33. rue du Curoir, Roubaix. Wattinne-Desurmout, 20, rue du Château, Roubaix.
- Waltiune-Motte, ai, rue du Château, Roubaix. Watlinne, 23, rue du Château, Roubaix. Watlinne, /|3, boulevard do Paris, Rouhaix. Watinne-Vandamo (Mmo), 23a, rue Nationale, Lille.
- Wauquicz, 49, rueVauban, Mouvaux. Wautclelet, 73, rue de Tourcoing, Roubaix. Weis, 17, rue André, Lille.
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- (A. C. M.)
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- Président d honneur : M. Léon Polliart
- COMITK
- Président : M. Raoul de Bary.
- Vice-Président,: M. André Prévost. Secrétaire: M. Paul Payen.
- Vice-secrétaire : M. Joseph K ru g.
- Trésorier : M. Eugène Walbaum.
- Membres : MM. Paul Renoist, Jolivet., Dr Lu-ling, Mignot, Dr Roussel.
- Commissaire sportif: M. Pierre Cossel.
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- MM.
- lîeilholle, Reims.
- DueanccI (P.), Reims.
- (iérardin-Rutemple, Reims, llurault (( il ». V, Reims.
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- MM.
- Ayala (Ce), Ay.
- Bary (Louis de), i,i, rue Kellermann, Reims. Rarv (Ramd de), 3. boulevard Lundy, Reims. Ralaille, no, rue de Tallevrand, Reims. Renoist, 22, rue îles Templiers, Reims.
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- Rissinger, Ay.
- Blondeau, :">4, boulevard Lundy, Reims. Roigeol, 4(i, rue, Clovis, Reims.
- Boize), Epernay.
- Roucart, 38, place des Marchés, Reims. Bourre, Epernay.
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- Buirelto, Suippes.
- Carrée, 10, rue Cérès, Reims.
- Charbonneaux (Ad.), 4, rue Werlé, Reims. Charbonneaux \E.), 27, rue Libergier, Reims'
- Charbonneaux (P.), 33, rue St-Symphorien, Reims.
- Clément, 5o, rue Cérès, Reims.
- Deck, 10, rue David, Reims.
- Desingly, 4g, rue du Jard, Reims.
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- Goerg, 46, boulevard Lundy, Reims.
- Gosset (Eugène), 0, place Godinol, Reims. Gosset (Maurice), a4, r, des Templiers, Reims. Gosset (P.), 3i,r. du Champs-de-Mars, Reims. Gouhault, Epernay.
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- Gouldcn (auguste), 5, rue Piper, Reims-Goumant, Fismes.
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- Gpeilliot (Dr), rue du Marc, Reims.
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- lloubart, iG, rue du Clou-dans-lo-Fer, Reims.
- Jolivet, rue de la Renfermerie, Reims.
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- Krug, 3G, bou.evard Lundy, Reims.
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- Lamotte, 29, rue Eugène-Desleuque, Reims. Laurent, 3, rue de la Grue, Reims.
- Lemaître, Epernay.
- Lochet, r» 1, rue Coquebert, Reims.
- Luling (I)r), iG, boulevard Lundy, Reims. Marchet,, a, rue du Pont-Neuf, Reims. Maresehal, f>2, rue des Capucins, Reims. Margolin (Alexandre), 7, boulevard Cérès, Reims.
- Margolin (André), in, r. S'-Symphorien. Reims. Martinet, 48, rue de Tallcyraml, Reims. Mauduit, de Sapieourl, 7, r. de la Prison, Reims. Mazzuchi, 7, rue W erlé, Reims.
- Mcncicre (Dr), 72, rue Libergier, Reims. Mérandet, Epernay.
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- Mercier (Henri), Epernay.
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- Munini (De), 17, boulevard Lundy, Reims, Nouvion-Jacquet, rue St-Symplioricn, Reims. Payen, 4>> rue Buirette, Reims. Pelt.crcau-Villeneuvc, 17, rue du Cardinal-do-Lorraine, Reims.
- Pierlot Fils, Verzy.
- Plumet, 7, boulevard Lundy, Reims.
- Polignac (De), rue Andrieux, Reims.
- Prévost, 8, rue du Marc, Reims.
- Qucnardel, Rilly-la-Montagnc. "
- Raveaux, 12, rue Kellermann, Reims. Reimbeau, 3o, rue des Templiers, Reims. Robinet, 4i rue Gerbert, Reims.
- Roger (G.), Epernay.
- Roger (M.), Epernay.
- Roliart, i54, me do Vesle, Reims. Rousseaux, 7, rue de la Justice, Reims. Roussel (Dr), 5, ruo de la Tirelire, Reims. Salaire, 3o, rue de l'Université, Reims. Seuvre, 7, rue des Chapelains, Reims.
- Simon, rue G.-lI.-Muinm, Reims.
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- Ai' mMGüii i:-r.t ri:
- — <s:)r)
- KOI > Zl l'X
- Tassigny (Do), 3i, ruo des Consuls, Reims. Thcron, 11, avenue (1e Laon, Reims.
- Tliiénot, i, rue de la Clef, Reims.
- Van der Linden, 23, rue Coquebert. Reims. Vasnier, 72, boulevard Lundy, Reims. Véroudart, 18, rue St-André, Reims. Vix-Bara, Avi/.e.
- W’albaum (Alfred), 38, r. des Moissons, Reims. Walbanm (Edouard), 20, boni. Lundy, Reims. Walbaum (Eugène), 7, rue de Sedan, Reims. Walbaum (If.-L.), 28. r. des Templiers, Reims. Wenz, rue Piper, Reims.
- Werlé (Comte), 12, rue du Temple, Reims.
- AUTOMOBILE CLUB NORMAND (A. C. N.)
- 4, boulevard d'Orléans, à Rouen ( S e i 1 le-ln fé rieure).
- COMITÉ
- Président d'honneur : .M. Abel Pallif, président du Touring-Club de France.
- Président honoraire: M. Ch. Bridoux, fondateur du Club.
- Président : M. Keillinger.
- Vice-Président: M. P. Naît et.
- Secrétaire: M. I’. Monuier.
- Trésorier: M. Camand.
- Conseillers : MM. L. Louvel : Cens ; ( 1. Dieusy ; Rochon : lloucl.
- Avocat-Conseil : M’ Chardin, avocat, 1, rue des Carmes, Rouen.
- MC.MOUES ACTIFS
- MM.
- Maçon, 33, rue de la République, Rotieu.
- liernard, ingénieur-chimiste, /|i, rue Tbiccs, Rouen.
- Roudou, représentant de la Maison Bergou-gnan, 182, rue des Charclles, Rouen.
- Boulanger, tisseur, Perriers-sur-Andellc.
- Chardin, avocat. 1, rue des Carmes, Rouen.
- Diénis, 20 bis, quai du Havre, Rouen.
- Dieusy (C.t, i(i, rue Lemire, Rouen.
- Prancé (A. 1, mécanicien, 7(1, avenue du Moni-Riboudet, Rouen.
- Delafond (C.t, a3, place Carnot, Rouen.
- Ernult, 8, plaça des Emmurées, Rouen.
- Frère, /|(), rue Saint-Vivien, Rouen.
- Camand iR.t. 2, place Carnot, Rouen.
- Cens, courtier maritime, 3ô, quai Henri 1\, Dieppe.
- Groussel, avimi', 3y, boulevard Sucbel, Paris.
- lloucl (VA, bbis, rue de Cauville, Rouen.
- Huguerre, /j, ]>lace Cauchoise, Rouen.
- Janet (J.), architecte. 12, rue l'Ecole, Rouen.
- Jczcquel, i(i, rue Saint-Elienne-des-Tonnc-liers, Rouen.
- Keillinger 1M.1, industriel, 30, rue du Renard, Rouen.
- Labelle (Ch.i, Saint-Pierrc-du-Vauvray (Eurcl.
- Lancclevée, 2), rue Socrate, Rouen.
- Lefebvre, entrepreneur, 1, route de Neul-cbàtel, Rouen.
- Liézard, entrepreneur de serrurerie, 2, ( Jtamp-de-Foirc, Rouen.
- Langlois (H 1, 7, petite rue Chasselièvre, Rouen.
- Leroy, 2», ruo aux Ours, Rouen.
- Liot, iâ(>, rue Saint-Sever, Rouen'.
- Louvet (L.), avocat, rue des Pleins-Champs, Rouen.
- Manoury, percepteur, Ry (Seine-Inférieure). Monuier (P.), 2(1, rue Crand-Pont, Rouen. Mallet, pharmacien, 3/|, rue Benoist, Rouen. Ouin, négociant, 12, rue Jeanne-d’Arc, Rouen. Prévost, artiste peintre, ü, rue du Cliamp-des-()iseaux, Rouen.
- Pizzetta, mécanicien, 18, quai du Havre, Rouen. Prunet, mécanicien, 2, place Carnot, Rouen. Rachincl, avocat, 17, rue Aux-.luifs, Rouen. Ri( liez, industriel, Grand-Couronne (S.-lui. 1. Rochon, 7, quai du Havre, Rouen.
- AUTOMOBILE-CLUB FORÉZIEN
- (A. C. F.)
- à Suinl-Elienne (Loire).
- COMITÉ
- Président, d'honneur : M. Marcel Iloltzer. Membres d’honneur: MM. Etienne Giron, vicomte de Meaux, Claudinon, Rolland, Reuss. Président: M. Etienne Milliard. Vice-présidents : MM. De Mans, Chauve. Trésorier: M. Georges Micliot.
- Secrétaire general : M. Stéphane Dumas.
- MEMBRES ACTIFS
- MM.
- Balav, 5, ruo de la République.
- Barrier, Paris.
- Bastide. La Talaudièrc.
- Bernard, Lyon.
- Bernard-Mallié, Bourg-Argenlal.
- Berlet, cours Victor-Hugo.
- Blaehon, place Badouillere.
- Boissy, Lyon.
- Brun, place Marengo.
- Burclier, Saint-Cbamond.
- Carrot, Le Marais.
- Gassin, Su r y -1 e-Ca 111 al.
- Chainbcyron, La Digonnière.
- Chapuis, rue du Grand-Moulin.
- Cbaumetle, rue du Chamhon.
- Chauve, rue de Foy.
- Chavarot , rue do Fov.
- Chevrier, rue de la République.
- Chorlier, rue du Treuil.
- Combon, Yssingeaux.
- Darne, cours Fauriel.
- David, rue de la Bourse.
- Descours, Rctournac.
- Drouvrclcur, Viauehe.
- Dubois, rue de l'Epreuve.
- Dumas, rue Lassaigne.
- Fargèrc, rue Caillou.
- Ferricr, Chazelles. l'ontanilles. rue de Paris.
- Forest, ruo du Coin.
- Fougerolles, L’Hùpiial.
- Frcynet, Saint-Etienne.
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- AUTOMOBILE-CLUB
- I)E SALON
- — 8<)6 —
- Gallois, La Charité.
- Gaucher, rue dos Grouses. Gorraml, rue Désirée.
- Gruhis, rué de Poy.
- Gruthon, Saint-Paul.
- Guinet, place Marengo.
- Ilative, [dace du Peuple.
- Ilonor, rue Gcrenlel.
- Imbert, place Marengo.
- Jacob, rue de la Loire. Lapcrtot, rue Désirée.
- Le HénalT, rue Balny.
- Lévy, rue de la Trélilerie. Mans (De), Le Ghamhon. Marrel, l\ive-de-Gier.
- Martin, l’ont-Salon ion. Marlourel, cours Saint-Paul. Masser, Bellevue.
- Mathon, Monistral.
- Micliot (G.), rue de la Loire. Michot (11.1, Le Ghamhon. Milliard, place Badouillère. Minai’d, rue de la Bourse. Montlavillo (De), rue Voltaire. Montmartin. rue de la Charité. Ollagnier, Hôtel-de-Ville, Perras, Montroud.
- Perroton, rue du Treuil.
- Planct, rue Bolay.
- Polui, au liez.
- Ilaler, Saiul-I lhamond.
- Ravel, rue d’Annonay. Recorhet, Peurs.
- Roche, rue de la Croix.
- Sulir, Unicux.
- Satre, Saiiit-Ghamoud. Sénéclauze, Bourg-Argcntal. d’este, Saint-Ghamond. Verpilleux, Lorette.
- Vindry, Sainl-Chamond. Vupilleux, Rivc-de-Gier.
- AUTOMOBILE CLUB DE SALON
- (A. G. S.)
- Place de la Grippe, à Salon (Houches-du-It/ione)
- COMITÉ :
- Président : M. Berlin.
- Vice-président. : M. Audibert.
- Trésorier : M. Bouet.
- Secrétaire : M. Julien.
- MEMIJHKS ACTIFS I
- MM.
- Abrard, cours Viclor-llugo.
- Anczin, i35, rue de Rome, Marseille.' Aubert (Louis), Cavaillon.
- Aubert (Alfred), boulevard Nostradanms. Aubert (Prosper), cours Victor-Hugo. Audibert., boulevard de la Ré])uhlii[uc. Armieux, boulevard de la République.
- Barbier (Charles), Lanihesc.
- Barbier iils, rue Pigeonnier.
- Bellon, cours Victor-llugo.
- Béranger, rue Auguste-Moulin.
- Bernard, allées de Craponne.
- Berlhon, boulevard David.
- Berlin, rue Coutellerie.
- Biet, boulevard Ledru-Rollin.
- Bouet, rue Sénèque prolongée.
- Borel, cours Victor-Hugo.
- Brandis, rue d'Avignon Brigandat, cours Gitnon.
- Brillon, rue Saint-Laurent.
- Carcassonne (Reymond).
- Carcassonne (Georges), vieille route de Pé-lissanne.
- Carcassonne (Edmond), boulevard National. Chauvin, Val réas (Vaucluse).
- Coron, rue SuIlVen.
- Cout.el, cours Carnot.
- Charlin, boulevard de la Ré|mhli(jue.
- Colloml), o, rue Vendôme, Lyon.
- Douât (Raymond), rue d’Ilozier.
- Douai. (Emile), rue Chanzy.
- Dor, Sainl.-Rémy (Bouches-du-H hôno.l. Duprat, allées de Craponne Exel, rue Ri fie Rade, Aix-en-Provence. Perand, avenue Michelet.
- Gamel, avenue Michelet.
- (larcin, avenue Michelet Gaudron, allées de Craponne.
- Gigan (Le), boulevard de la République. Giniès, rue Auguste-Moulin.
- Girard (Auguste), boulevard de la République. Girard (Théophile), rue Pont.is.
- Giraudet, boulevard National.
- Gounelle, rue SuIlVen.
- Gués, ])lacc Crousillat.
- Mamelle, Toulon.
- Hunziker, place Gambetta.
- Julien, boulevard de la P'errage.
- Jourdan, Aix-en-Provence.
- Laurcntin lils, boulevard National.
- Lèbre, rue Auguste-Moutin.
- Maurel, moulin Chàleauneuf.
- Maurin, /), rue Camoin-Jeune, Marseille. Merv, l\r\, rue Mazenod, Marseille.
- Martin, boulevard de la Ferrage.
- Meyer (A.), i3o, rue de Rome, Marseille, Meyer (Henry), boulevard David. Mourrel-Caslillon, rue Saint-Laurent.
- Pascal, boulevard do la République.
- Rebière, boulevard de la République. Reynaud, allées de Craponne.
- Richard-Ginics, boulevard Ledru-Rollin. Rivière, Lyon (Rhône).
- Roussel, boulevard Nostradamus.
- Terris, Allcins (Bouches-du-Rhône). Tournel’orl, boulevard de la République. Valerian, boulevard <le la République. Vimonl-Vieary, place Caslidaune, Marseille.
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- AUTOMOBILE-CLUB
- D ALSACE-LORRAINE
- — 897 - -
- AUTOMOBILE CLUB D’ALSACE-LORRAINE
- (automobile club von elsass-lotiiiunuen) (A. C. E. E.)
- 7, Ohmachlslrassp, à Strasbourg (Alsace-Lorraine)
- Cl IMITÉ
- Président: M. Léon von Sehhimberger.
- Nice-président: M. B. Thicm.
- Secrétaire : NE B. Thicm.
- Membres du Conseil : MM. C. Bourlct ; IL Klein; C. Sclilumbcrger; L. Bian; Dr M. von Jaunez ; b'. Eamey; J.-J. Bourcart;
- P. Kullmann.
- MEMBHHS ACTIFS
- Pourtalès-Grafin (Sopliie-Mélanic), geb. v. Bussière, Gutsbesilzerin, Strassburg i. E., Scbloss Bupreclitsau.
- Srhlurnberger (Jeanne von),Gebwcilcr, Scbloss.
- Se.hlumbcrger-Mirabaud (Berllie), Gebweilcr, 2-j, llirschgasse.
- MM.
- Ailler (Otto), direklor, Eamcystrasse, i3, Strassburg.
- Aebly (Henry), graveur, Miilliausen i., E., rue Daguerre.
- Albredit (Alfred), [iropriétaire, Sand b. Ben-feld i. Els.
- André (Isidore), fabrikant, Masmiinstcr.
- Anstock (Julius), Vertreler der echlen Valvo-line, (i, Fridolinstrasse.
- Baurnann (Georg), fabrikant, Cahv (Würt-temberg).
- Baudry (Paul), fabrikant, Sennbeim.
- Bazoche (Franz), Vertreler der Continental Caoutchouc und Gullapereha Comp., NVeis-slurmring, 33, Strassburg.
- Bian, E. & C°, fabrikant, Senlheiin O.-E.
- Boissevain (G.-D.-MA, gcucral-direktor der Elsiiss. Petroleuin-Gcsellschaft. in Ilagenau i. Els., 5, Schanze.
- Boscli (Emile van), Strassburg i. E., Gi, Ru-prcchtsaucr-Alice.
- Bourcart (Jean-Jacques), rentier, Colmar i. E.
- Bourcart (Alfred), fabrikant., Gebweiler.
- Bourcart (ils & C'0, fabrikanten, Gebwciler.
- Bourlct (Camille), civil-ingénieur, Strassburg i. E., 9, Eameystrasse.
- Braunbcck (Gustav), Verlagsanslalt, Berlin NV. 35, Deutschcs Kolonialhaus.
- Bugatti (Ettore), ingenr, Illkirch-Grafensladen.
- Catala (Adolf), fabrikant, Scblettstadt, Kaiser-strasse.
- Castex (Baron Gaston de), propriétaire, Scbloss Kienzheim i. Els.
- Cerf (Maurice), banquier, NVcissenburg, GS, Hauptstrasse.
- Chàtcl (Georg), Automobil-1 landlung, Mül-hausen, 31, Cenlraldurchgang.
- Claude (Henry), fabrikant, NVildersbach bei Rothau.
- ( dénient. (Léon), édit., eivil-ingenieur, Dornach.
- Chambrier (Paul de), Pcchelbronn.
- Desaullcs (Maurice), ingénieur, Mülhauscn, 1, POstcrsirasse.
- Diebolt (Jean), Drogcnhandlung, Strassburg i. E., /j8, Sleinstrassc.
- Dielrich (Baron Eugène de), fabrikant, Jaeger-tlial b. Nicderbronn.
- Ducommun, NVerksIiitle fiir Mascdiinenbau, Automobil-Fabrik, Miilliausen i. E.
- Draber (René), kaufmann, Strassburg, /|3^ Manteull'el.strasse.
- Ebrhard (Auguste), Braucreibcsilzcr, Schiltigheim.
- Ehret (Dr. Henry), professor, Strassburg i. E., iG, Vogesenstrasse.
- Engasser (Emile), ingénieur, Colmar, 2V1-2G., rue du Nord.
- F’avrc (Camille), chimiste, Eorrach.
- Frantz (Georges), rentner, Slrassburg-Grünc-berg, 91, Sehirmeekerstrasse.
- Féry (Charles), négociant., Moulins-lcs-Metz.
- Franck (René), fabrikant, Scblettstadt, i. Èls.
- Frey (Ernest), fabrikant, Gelnveiler.
- Gast (Eduard), fabrikant, Isenheim i. E.
- (ileichsner (Jos.), ingénieur, Benfehl.
- Grosheintz (Henry), chimiste, Thann (Ober-El.)
- Gros (Jacques), fabrikant, Wesserling i. Els.
- Gros-Courvoisier (Edouard) labr'., NVesserling.
- Ilallingcr & Hartmann, Automobilhandlung, Miilliausen, Sclmlgasse.
- llampele Erliard, hôtelier, zu Sladt Paris, i3, Meiscng.
- Hanhart (Georges), fabrikant, Miilliausen j. E., Plate-forme du Midi.
- Hauser (Eugen), hôtelier, Scblettstadt, Hôtel Hauser.
- Hartmann (André), fabrikant, Miinster i. E.
- Hartmann (Ernest), fabrikant in Colmar.
- Hefermehl (C.), weinhandlung, Strassburg, 1, Univcrsitütsplatz.
- Hertzcr ( Edmond ), buchdruckereidircktor, Strassburg i. E.
- Heusch (Robert), chimiste, Strassburg i. E., Ga, Riqu'echlsauer-AUcc.
- Ililfiger (Paul), automobiles, Judengasse, a a, Colmar i. E.
- Holfmann (Eduard), kaufmann, Strassburg i. E., G, Stiirmecksladen.
- Hohenlolie-Sclnllingslurst (S. Durchlaucht prinz zu), Kaiserlicher Bezirksprasidcnl, (lolinar i. Els.
- Iluber (Karl), kommerzienrat, Strassburg, '1, Kochsladen.
- Iluck (Henry), Mühlenbe-itzer, Sand-Benfeld.
- Jacquet (Philippe), brasseur, Kulterbach i. E.
- Jaunez (Dr. Max von), fabrikant, /|, Scbloss Remellingen bei Saargemiind.
- Jeannin (Henry), ingénieur, Berlin N.-NV. y, 3q, Charlottcnstras.se.
- Jonné (Edmond), brasseur, Sochaux-Montbc-liard (Doubs).
- Immer (Jacques), fabrikant, Metzeral.
- Immer (Jules), fabrikant, Sondernach, Post Metzeral, O.-E.
- Jérôme (Paul), négociant, Strassburg, G, Kaiser NVilhclmstrasse.
- Jourdain (Maurice), fabrikant., Altkirch.
- Kern (Gaston), direktor, Strassburg, 12, Cle-mensplatz.
- Klein (Auguste), direktor, Strassburg, 10, Kaiser Friedrichstrasse.
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- A UTOM OBI L1C-CLU15
- 8(,8 —
- DE TOULON
- Klein (Emil), fabrikanl, Markolsheim.
- Klein (.laccfues), labrikant, Schcrweiler bei Schlettstadt.
- Klein (Jules), labrikant, Linthal.
- Kiener (René), fabrikanl, Walbach.
- Kceehlin (Albert), labrikant, Mülhausen i. E., 28, Altkireliersl rasse.
- Kcechlin (Paul), labrikant, Mülhausen i. E.,
- 4, faubourg du Miroir.
- Kônig (Albert), labrikant, Markireh i. E.
- Krœber (Jules), Markireh i. E.
- Kullmann (Pierre), labrikant, Thann.
- Kochlin (Gustav), l'alu-1, VVeilerb. Thann, O.-E.
- Eaeour (Paul), labrikant, Markireh.
- Eamarcho (Karl), kaufmann, Slrasshurg i. E.,
- 2 a., 1 lohenlohestrasse.
- Eamey (Fritz), ingénieur, Mülhausen i. E., quai d'Oran.
- Lang (Henry), labrikant, Markireh i. E.
- Kantz (Jean), Mülhausen i. E., ro, avenue de la Paix.
- Latseha i Edouard), labrikant, Jungholz. bei Gebweiler.
- Marehal-D'chl, fabiikanl, Rolhau i. E.
- Martinot et (ialland, eonslruetenrs, Bitsrh-•wciler-Thann i. E.
- Mathis (E. IC. C.), Automobile, Slrasshurg, Finkmattstrasse, Auto-Mat lus-Palaee.
- Maupeou (Vicomte Alfred de), château de llombourg bei Ollmarshoim, Ober-Elsass.
- Metzncr (Walter), direklor, Colmar i. E.,
- 12, rue du Moulin.
- Mieg (Daniel), labrikant, Mülhausen i. E., rue du Havre.
- Mieg (Léon), labrikant, Mülhausen i. E., 20, Altkircherslrasse.
- Ncddermann (RR, gummiwaarenfahrik, Si rassit urg i. E., !>, Kleherplalz.
- Oesinger (Maurice), labrikant, I trassburg i. E., 7, Fischcrstaden.
- Oppenheimer (Clemens), direkl a-, ai, Ober-linsi rasse, Sl.ras.sburg.
- Ostermann (Alfred), rentier, CtJniar i. E.
- Pfellér (tlustave), industrielle.-, Sehleltstadt i. E.
- Poupardin ( Franz-Louis), civilingon., l)or-nach, Chaussée de Lulterbaeh.
- Robert (Albert), llopfenhandlung, Bischweiler i. Els.
- Rieher-Molk (Marcel), bankdireklor, Sehlett-stadt, lloh-Konigshurgring.
- Sabler (Charles), Montbéliard, Aulomohiles-Rossel.
- Schauh lEugène), labrikant, Bisehheim bei Slrasshurg.
- Srhaumann ( Curl. ), oberleutn., Hagenau, i4, Bninnstubstrasse.
- Schlumberger (Henry), labrikant, Mülhausen i. E., rue du Bassin.
- Schlumberger (Jacques), industrieller, Geh-vveiler, aux Rosiers.
- Schlumberger (Léon von), labrikant, Gebwei-ler, Schloss. Président des Clubs.'
- Schlumberger (Nicolas), fabrikant, Gebweiler, ioo, Ilauptst rasse.
- Schlumberger (Pierre), fabrikitnt, Mülhausen i. E., (io, Lazarettstrassc.
- Schlumbergfu' (Theodor), industrieller, Mid-hausen i. '• Heulschestrasse. j
- Schlumberger (Victor), fabrikant, Roppenz-xveiler i. Fils.
- Schrnerbcr (Mathieu), ingénieur, Mülhausen, 13, faubourg de Belfort.
- Schlumberger (Camille), lnirgermeister, Rap-poltsvvciler, “ la Calandre ”.
- S-chlumhei-ger (C.-Roh.), fabrikant., (Iebweiler, llirschgasse.
- Schlumhei'gcr (Cahriel), fabrikant, Mülhausen i. E., Vignohh*.
- Scheurer (Jules), manufacturier, Thann i. E.
- Schreurs (Hermann), Verlrcter der (lumnii-Kamm-Compagnie, Act.-Ces., Slrasshurg, i, Metzgorplalz.
- SeJnitzenherger (.hum), renl.ner, Weisscnburg-i. E.
- Schwocrcr (Emil), ingénieur, Colmar i. E.
- Sievers (B ), Verlrcter der Deulsch-Amerik. Petroleum-!iesellschafl, Slrasshurg i. Els.. o, Sternwarl si rasse.
- Simon (Jules), fabrikant, Markireh, Sehletl-siadter Vorsladl.
- Simons lils (Edouard), fabrikant, Barr, i, Posl-strassc.
- Simonin (Camille), labrikant, Sehirmeck.
- Spoerndlé lils (Edouard), Mülhausen, iü, Anna-Schocnstrasse.
- St.eholin (Fernand), fabrikant, Scnnheim.
- Thiem (B.), vize-jtriisidenl. des Clubs, Strass-burg i. Els., y, 0hmaehtslras.se.
- Thierry-Mieg (Ernest,), ingénieur, Mülhausen i. E., (i, rue du Rhône.
- Thierry-Mieg (Henry), fabrikant, Sennheim, Oher-Els.
- Tischbcin (Willy), direklor, llaniiovrr, 48, llo-henzollernst rasse.
- 'rürkheim (Baron Adrien de), fabricant, iu Lunéville (France).
- Uexküll (Baron Alexandre d ). propriétaire, les Rachats, jirès Langcnberg, Kreiss Saarburg i. Ijothringen.
- Vogcl (Achille), kaufmann, Kaysersberg.
- Wach (Jules), kaufmann, Slrasshurg i. Els.. 81, (iewerhslauhen.
- Widerkehr (Louis), xvagenfahrikanl, Colmar i. Els.
- Winklcr (Georges), fabrikant, St. Kreuz.
- Wiesmayer et Ruppel, llotel “ Bolhes llaus , Slrasshurg i. E., Kleherplalz.
- Weis (George), gulsbesilzer, Chazelle h. Metz.
- AUTOMOBILE-CLUB DE TOULON
- (A. C. T.)
- 4, rue Comril/c, à ToulTm (Var).
- C.OMITK
- Président: M. G. Reverdit, villa «La Noie », La Garde.
- Vice-président : M. Denis (P.-J.), lieutenant de vaisseau.
- Secrétaire général : M. Vincent, G, avenue Vauban.
- Secrétaire adjoint : M. Lanllé, 4o, boulevard de Strasbourg.
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- AUTOMO Illl-E—0 l,U li
- 8 99 —
- TOI-U)USAIX
- Trésorier : M Genre, rue Dumont,-d’tJrville. Commissaires : MM. Aubert, n(>, roule de La Valette; De Verlliamon, 11, rue Racine.
- ioxiiatki ii.s
- MM.
- Asquicr, !\, rue de l'Ilôtol-dc-Ville.
- Rassagel, docteur, La Garde.
- Rouisson, ii(i, route de Marseille.
- Canson (De), !\, place d'huia.
- Carpenlras, 87, rue de la République.
- Cliabre, cours Lal'ayette.
- Dumont (R.), enseigne, de vaisseau, station des sous-marins, Toulon.
- Dumont, (J.), enseigne, de vaisseau sur « l'AI-gésiras ».
- Gantelme, place Gambetta.
- Giraud. Aube-La Datasse.
- Granicr, do, boulevard de Strasbourg. Grasset, capitaine de frégate-, à bord du « Vautour », Constantinople.
- Lal'011 (Rog.), enseigne de vaisseau.
- Lafon (Ch.), enseigne' de vaisseau.
- Lagane, administrateur-delegur des Forges et Chantiers de la Méditerranée, à La Seyne. Lalil, /|, place d'iéna.
- Lecerf. enseigne de vaisseau.
- Le Verger, lieutenant de vaisseau.
- Magalon, 18, rue des Riaux.
- Mali<|uct, (i, avenue Vauban.
- Mathieu, quartier Saiul-Rocli.
- Moyret, lieutenant de vaisseau.
- Parlier, enseigne de vaisseau.
- Pélissier, docteur, route de La Valette. Raoulx, route de La Valette.
- Roche, (i. avenue Vauban.
- Saurin, dS, cours Lalayelte.
- Sénés, 1 (>is, quai du Parti.
- Scrvollc, roule de La Valette.
- Vian, docteur, !\!\, boubivard de Strasbourg. Vincent, docteur, (i, avenue Vauban.
- MI'MIUU.S ac 111 s
- MM.
- Andrieii, place de la Liberté.
- Rrignac (De), 011 iot 1 les.
- Gbauvct, villa de Flore, boni, du Polygone. Décugis, plan; d'Armes.
- Dutasla, boulevard de Strasbourg.
- G.is, rue llyppolyte-Duprat.
- Gérard, château de Léoubes, par Bonnes. Goybcl, lieutenant de vaisseau, villa << lîon Abri », Tamaris.
- .luvénal, place de la Liberté.
- Monts (De), lieutenant de vaisseau, cité Clo-quet-Mourillon.
- Olton Loycxvski (D ), enseigne de vaisseau, à bord du « Rrcnnus ».
- Petit, rue de l'Arsenal.
- Pétremont, 8a, rue Nationale.
- Rapuc, 2, rue Chalucet.
- S.ii/ieu (De), enseigne de vaisseau, à bord du « Iloche ».
- Terris, ali, rue Mirabeau.
- AUTOMOBILE CLUB
- TOULOUSAIN
- (A. C. T.)
- G, i-ue Durr/uirr, à Toulouse [llaule-Gti roiiu/o.
- co miii)
- Président : M. Fabre (Cbarlesi. rua Roque-laine.
- \ ice-présidents : MM. Fontan de Negrin, ,'ia. rue de la Dalbade ; 'riiomas (.leani. B, rue Lapeyrouse.
- Secrétaire : M. Aldéguier (Auguste d"i, (i, rue Darquier.
- 'l’résorier : M. Laburlhe idel, 7O, boulevard de Strasbourg.
- MKMIII1IÏS ACTIFS
- MM.
- Aldéguicr (Auguste d i. d, rue Darquier. Adhemar (Comte Hugues iF>, ü, r. Merlane. Avignon (Curé), Calmont (Haute-Garonne1. Rares (Léopold), <), rue Clémence-lsaure. Ronneville, (io, boulevard Carnot.
- Roursac, 9. rue des Fontaines.
- Cahu/.ac, (Ltienne de), rue Fermât.
- Capus, place Kxlérieure-Saiut-Micbcl.
- Capelle. (de), rue Saint-Etienne.
- Cnszalol. me Rayard.
- Chabrol, Bi, rue du Renqiarl-Saint-Etiennc. Courtois de Viyore (Armand), rue Mage. Encansse (Raron d‘). /|. allée Saint-Etienne. Fabre (Charles), rue Roquelaine.
- Fabre (Louis), Daumazan (Ariége).
- Fontan de Négrin, Bu. rue de la Dalbade. Fcrrier (de). Relperh (Aude).
- Ginestel (Comte Germain de), 'g/!. place dm Carmes.
- Guillou, :>•>.. rue Peyrtis.
- Guiraud, i/|, næ Teinponnieres.
- Guiraud. Castres (Tarn).
- .lany, Castanet (Haute-Garonne).
- Klelie (Fritz), rue Cantegril.
- Laburtlie (de), 7G, boulevard de Strasbourg. Laporte lils, rue du Rempart-Saint-Etienne. Manléon de lîmycres (Comte de), Lagar-diolle-Soual (Tarn).
- Naurois (Comte- (le), Ba, me de la Dalbade. Palaminy (Manpiis de), place Percbepinte. Palaminy (Comte de), :>•>., rue Vital-Cnrl (Rordeaux).
- Palaminv (Vicomte dei. Reauziac-Castclja-loux (I -ot-et -G a roi me 1.
- Panai. (Marquis de), rue Fermai.
- Panebeuf (Marquis de), me Tolosane. Pompignan (Comte de). •>., me Cantegril. Puyinaurin (Raron Etienne de', rue de Lai -guedoe.
- Roques, !\. me .loux-Aigiies.
- Sambuey (Raron de). •>., porte MonlgaiHard. Soulet, f>", allée Ealavette.
- Tapie de Geleyran, Albi.
- Taurine (Manpiis de), château des Restes, a Eautâ (Haute-Garonne).
- Thomas (M.), rue Saint-Etienne.
- Thomas (Louis). B, me Lapeyrouse.
- Thomas (Jean!, B, rue Lapeyrouse.
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- AUTOMOISIU:—eu lî
- i>ë.toi;uaim:
- --- C)0() —
- Saint-Pé (Gabriel), i, rue Philippe-Féral, à Toulouse.
- Yalioch (ingénieur), 5, rue île Hernies (Toulouse).
- Yignerie (Gharlcs), 10, rue Tolosane.
- Vidal Saint-André (Lucien), r. de Languedoc.
- AUTOMOBILE CLUB
- DE TOURAINE
- (A. C. T.)
- 27, rue Victor-Hugo, à Tours ([mlre-et-Loire)
- Co.mri ic :
- Président : M. du Saussay, château des Tourelles, à Fondetlcs (Indre-et-Loire).
- Vice-présidenls : MM. Leinaîl re (G.),./|5. boni. Réranger, Tours ; le Dr d’homas (J.), 19, bouler, lleurteloup, d'ours.
- Secrétaire-trésorier: M. L'1 luillier (P.), 58, rue Marceau, Tours.
- Seorélaire-trosorier-adjoint ; M. lilot (J.), 5, rue de l'Archeveché, Tours.
- MEMIIHICS ACTII'S :
- MM.
- Adeline, rue de Gloeheville, 'l’ours.
- Adhémar (d'), place Rabelais, a/|. d'ours.
- André, docteur, /)(>, rue Georges-Sand, Tours.
- Angcllier, château de la Rourdaisière, par Mont louis (Indre-et-Loire).
- Auvray, château de Vernou, à Vernou (I.-ct-L.l.
- Auvray, i5, rue de PArchevéehé, d'ours.
- Rarnsby, docteur, au, boulevard lleurteloup, d’ours.
- Darré de Carroy (de la), château de la Fre-donnière, par Mondoubb'au (Indre-et-Loire).
- Range, à Chàteaurenault (Indre-et-Loire).
- Rernières (de), château de Yillestier, par Roehccorbon (Indre-et-Loire).
- lilot, 5, rue de l'Archeveché, d'ours.
- Roisramé, a, quai Saiul-Syniphorien, d’ours.
- Roissonnade, i, carroi des d'anneurs, d'ours.
- Rolléc (Amédée, fils), 99, avenue de Paris, au Mans (Sartlic).
- lîolléc (Léon), conslruep, au Mans (Sarthe).
- Roucheporn (de), château (h* l''onlenailles, par Ncuvy-le-Roi (Indre-et-Loire).
- Rrulc des Varannés, château des Girardicrcs, ]iar Vouvray (Indre-et-Loire).
- Rudan de Russe, à Marcilly-s.-Maulnc, par Lublé (Indre-et-Loire).
- Gavailhés de Pébrcns (de), jd, rue d'Entrai-gucs, d'ours.
- Ghampchévrier (René de), château de Champ-chévricr, par Gléré (Indre-et-Loire).
- Champchévrier (Jean de), château de Marcilly-s.-Maulne, par Lublé (Indre-et-Loire).
- Ghainouillet, rue Marignan, d’ours. ,
- Gombles (do), rue Losserand, d’ours.
- Gools (Jean de), château de la Noue, à Yilledôiuer (Indre-et-Loire).
- Gools (de), château de la Noue, à Yilledùmer (Indre-et-Loire).
- Gornuau, château de Rois-Renault, commune de liallan (Indre-et-Loire).
- Desjeux, rue du Rempart, Tours.
- Doucot, à la Loge, à Vouvray (Indre-et-Loire).
- Drakc del Gastillo, château de Véretz, à Véretz (Indre-et-Loire).
- Drako del Gastillo (J.), château do Candé, à Monts (Indre-et-Loire).
- Duboys d’Angers (Comtesse), d’rigallièrc-Cot-lage, par Ainbillon (Indre-et-Loire).
- Etessc, 8, place Loiseau-d’Entraigues, d’ours.
- Espous (Comte d’), château de Roisbonnard, par Villepcrdue (Indre-et-Loire).
- Ferté (Comte de la), 9, rue de Lucé, d'ours.
- Goinbaud, l\l\, rue Rannicr, à Orléans (Loiret).
- Gosselin (Duc de), i5a, boulevard Ilausmann, Paris.
- Hainillon (S. V. C.), château de Prelefort [>ar Saint-Ay (Loiret).
- Ilébert, château des Ricordières, par C011-tinvoir (Indre-et-Loire).
- llcnraux (Max), château de la Chute, par Cbanceaux-sur-Cboisille (Indre-et-Loire).
- Hervé, 5a, rue Georges-Sand, d'ours.
- Jarre, châtcau-des-Pins, par Cheinillé-sur-Dôme (Indre-et-Loire).
- Johnston, château du Sentier, par Mosnes (Indre-et-Loire).
- Lapcyre, docteur, boulevard Ifcurteuloup, 11, Tours.
- Lavigne, 2, rue du Groison, d’ours.
- Lelebvre, château de Vernou, à Vernou (Indre-et-Loire).
- Lelièvre, 7 bis, quai du Vieux-Pont, d’ours.
- Lemaître, /|5, boulevard Réranger, d’ours.
- Lemcsle, château de Planchoury, par Saint-Michel-s.-Loire (Indre-et-Loire).
- Lesourd, Gq, boulevard ILu-anger, d’ours.
- Lesourd, 8, rue Sébastopol, d'ours.
- Lesourd, rue de la République, d’ours.
- Lesourd, .GG, rue Néricault-Dcslouches, Tours.
- Lesparre (Duc de), château de la Gidonière, par La Charle-s.-Loir (Sarthe).
- L’Iluillier, 58, rue Marceau, d’ours.
- Loysel (Jacques), château du Vivier-des-Landes, à Courcellcs (Indre-et-Loire).
- Loysel (René), château du Vivier-des-Landes, à Courcellcs (Indre-et-Loire).
- Lucas, château de la Marbcllière, par Joué-les-d’ours (Indre-et-Loire).
- Mac Carlliy (Comte), château de la Brosse, par N'ouzilly (Indre-et-Loire).
- Maine, G, rue de Gloeheville, d’ours.
- Mcslay, à la Croix-de-Bb'ré' (Indre-et-Loire).
- Meunier, docteur. 5o, boulevard Béranger, d’ours.
- Milner-Gibson, correspondant, château de Cbambreric. à Saint-Symphorien-Exlra (Indre-et-Loire).
- Montais (de), château de Drouilly, par Montoii (Loir-et-Cher).
- Montjallon 11, quai Sl-Symphorien. d’ours.
- Moreau, château de Beaulieu, à Savigné (Indre-et-Loire).
- Morin, château de Laryav (Indre-et-Loire).
- Muller, château de Reignae (Indre-et-Loire).
- Orléans (d'), château de Réres, par d'heillev (Loir-et-Cher).
- Pathaull, manufacturier, à Amboise (I.-et-L.)
- Polisson, château de la Rochc-d’Alés, [iar Marrav (Indre-et-Loire).
- Pinault, rue de la Bourde, Tours.
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- AITOMOISIUX'.I.U]!
- ])]•: L AIMÎIO
- ()OI -—
- Parisot, docteur, 28, boulevard Béranger, Tours.
- Perreau de Launay, château de Biudiignon, par La Chaize-le-Yicomte (Vendée).
- Porcherot, à la Bécliclleric, par Saint-Gyr (Indre-et-Loire).
- Preugne (de la), 26, avenue d'Eylau, Paris.
- Baliart, à Monts (lndrc-el-Loire).
- Bamolino de Coll’Alto (Comte), 20, rue de F Archevêché, Tours.
- Renty (Baron de), au Petit-Bois, par Mettrav (Indre-et-Loire).
- Boll'ignac (de), lieutenant, rue Origet, 7, Tours.
- Bolland, au Grand-Monsoudun, à St-Sympho-rien-Kxtra (Indre-et-Loire).
- Boussct, industriel, rue du Boisdenicr, iofi, Tours.
- Sabran de Ponlevés (Comte tic), au Clos-St-Yietor, à Joué-lès-Tours (Indre-et-Loire).
- Saussay (du), château des Tourelles, à F011-dcllcs (Indre-et-Loire).
- Sehœll, lieutenant, rue de Cliinon, n bis, 'l’ours.
- Soulier (Vicomte du), château de Benais, à Bcnais (Indre-et-Loire).
- Thomas, docteur, 19, boulevard Ileurteloup, Tours.
- 'l’iétard, à la fluillotière, par Esvres (I.-et-L.).
- 'l’reuille, château de Ghilré, par Verueuil (Vienne).
- Tristan (Vicomte de), château de Bouvray, par Preuilly (Indre-et-Loire).
- Tullaye (Comte de la), cbâLeau de Pierrefittc, par Châteaurenault (Indre-et-Loire).
- Vaissier, à Marnay (Indre-et-Loire).
- Vallin (de), jio, boulevard Béranger, Tours.
- Yassor, 27, rue de l'Archeveché, Tours.
- Valin-Pérignon, 8, rue d’Aguesseau, Paris.
- Yillarmois (Vicomte de la), château de Mon-goger, par Saint-Epain (Indre-et-Loire).
- Yiîle-Le-Roulx (de la), 5, avenue du Bois-de-Boulogne, Paris.
- Viot de Roqucfeuil, château du Breuil, par Saint-Paterne (Indre-et-Loire).
- mkmiîhus conniîSPOMJANTS :
- MM.
- Auvinet, château des Sources, Châtelleraull (Vienne).
- Baillou de la Brosse, château de Marsan, par Saümur (Maine-et-Loire).
- Carel, 12, rue de Chanzv. au Mans.
- Cottardière (de la), place de la Préfecture, à Blois (Loir-et-Cher).
- Gautier, rue de Rivière, 3i, Bordeaux.
- Girard-Amiot, 8, rue d'Alsace, à Saumur (Maine-et-Loire).
- daniin, industriel, au Mans (Sarlhe).
- Morlière (E. delà), 3, avenue Matignon, Paris.
- Selle (de la), château du Parc, Châteauroux (Indre).
- Tribert, à la Limouzineric, par Cbauvigny Vienne).
- AUTOMOBILE CLUB DE L’AUBE
- (A. G. A.)
- 6, rue de la Tour-Boileau, à Troyes (Aube).
- COMi'i é :
- Président : M. Gérard, i3, rue de Paris. Vice-présidents : MM. L. Bonbon, 5, nie Courtalon ; Bonncfoi, 27, chaussée du Youldy.
- Secrétaires : MM. Tintrelin, i3o, rue Thiers;
- Garnier d'Aubigny, /|8, i'ue de la Monnaie. Trésoriers : MM. G. Gaudichon, 8, rue aux Moines; B. Buxtorf, 18, boulevard Carnot. Administrateurs : MM. B. Raguet, 4, rue de la Tour-Boileau : .lacolliot, 97, rue Emile-Zola. Conseil d’administration : MM. Charin, 8, rue Gantherin; Poron, 23, boulevard èu i/j-.luillet ; Lacaissc, 15, rue de la Cité: Gillot, à Briennne-lc-Château.
- MOIlillICS actifs :
- MM.
- Babeau, rue Cloître-Saint-Etienne.
- Baudello, 4- nie Jcan-Louis-Dclaporle.
- Bazin, 22, boulevard Victor-Hugo.
- Boisseau, 10, rue Colbert.
- Bourguignat, à Bar-sur-Aube.
- Bordicr (A), 1(12, rue Thiers.
- Bordier (L.), 20, rue du BeflVoy.
- Buxtorf, 24, boulevard Victor-Hugo.
- Ghollot, 7, rue Passcsral.
- Cochois, 4, rue Bobcrt.
- Collin, Sainte-Marie, à Auxon (AubeL Corlier, 8, boulevard Carnot.
- Dard, 35, rue Voltaire.
- DSormc, 5, rue Colbert.
- Delostal aîné, 1, rue Begand.
- Deloslal jeune, 5, ruo Begand.
- Douinc, cours Jaequin.
- Douino, 3, rue Saint-Nicolas.
- •Icannel, rue Emile-Zola.
- Faitout, 35, rue du Cirque.
- Forest (Baron de), Paris.
- Frcssard, 1, rue de Paris.
- Renaud 11, 3(i, rue Urbain-lV.
- Giot, 3(i, boulevard Gambetta.
- Girardiu, 7, rue Begand.
- Gouverne, à Arcis-sur-Aubc.
- Jay, 4, voie des Maures.
- Kœcklin, rue Pierre-Gauthier.
- Lcbocey, 23, rue de Paris.
- Léger, 28 bis, rue de la Paix.
- Malezieux (De), rue Bruncval.
- Marot, 19, rue Jeannc-d’Arc.
- Martinet fils, boulevard Danton Matagno, boulevard Victor-Hugo.
- Maubrey, 97, rue Notre-Dame.
- MauchaufTée, iG, rue Courtalon.
- Mignard, 11, rue de la République.
- Millot frères, à Gray (Haute-Saône).
- Noël (De), à Soissons (Aisne).
- Oudin, place de la Bonneterie.
- Pinot, ruo Nenve-de-la-République, à Sainte-Sa vine.
- Pinson, à Bar-sur-Seine (Aube).
- Pluot, à Bayeux (Marne).
- Polin, à Sens (Yonne).
- 1 Portai, place Audifred.
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- CI-VU —A tïTOMOlîtl-li
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- Quenardel, 22, rue (iourlalon.
- < luincarlet, 8.1, rue de la Paix.
- Remy, /|8, ruo de Paris.
- Rocard, 28, rue Molé.
- Royer, 12, rue de Paris.
- Sommillou, ruo Charles-Delaunay. Toulouse, /|8, boulevard Gambetta. Viard, 9, rue Voltaire.
- Vignes (Ch.), 20, rue Général-Saussicr. Vignes (R ), a/|, rue de la Paix.
- Yrîllac, 5, faubourg Cronuls.
- Weber, a a, rue Pierre-Gauthier. Wender, 11, rue Mitantier.
- AUTOMOBILE CLUB de la MEUSE
- (A. G. M.)
- à Verdun [Meuse).
- COMITE
- Président : M. Paul Belot, quaiSl.-Airy, Verdun. Vice-président : M. Paul Isler, rue de la Digue, Verdun.
- Trésorier: M. Adolphe Charlel, ruo iMa/.el, Verdun.
- Secrétaire : M. Camille Louis, ])lace du .Marché, Verdun.
- memhhes actifs
- MM.
- Bcltingcr, à Etain (Meuse).
- 1 lasse, méd. major, pl. .de la Cathédrale, Verdun. Chadenet (Félix). rue des Capucins, Verdun. Dagonet, rue Saint-Paul, Verdun.
- Pelal’orge, rue de PIlùtel-de-Ville, Verdun.
- 1 oliot, rue de l'IIôtel-dc-Ville, Verdun. Foucault, place Marché, Verdun.
- Gaubert, rue de l'IIôtcl-de-Ville, Verdun. Gérard, rue du Pont-Neuf, Verdun.
- Guédon, docteur en médecine, Fresnes. Guenser, rue Mazel, Verdun.
- I.abori, à Saint-Mihiel.
- Langlet, rue Saint-Sauveur, Verdun, l.egardcur, à Regret, prés Verdun.
- Lcscuyer, docteur en médecine, Verdun. Narbonne (De), cap. 3° hussards, pl. St-Paul, Verdun.
- Paul, à Etain (Meuse).
- Pierre, cantinier, caserne Miribel, Verdun. Solliciter, rue de la Rivière, Verdun. Simon-Gain, à Fresnes.
- Soyez, lient, de Hussards, r. St-Yictor, Verdun. Rochelle, rue Mazel, Verdun.
- CLUB AUTOMOBILE
- DE SEINE-ET-OISE
- (G. A. S. O.)
- 42, rue d’Angiviller, à Versailles (,Seine-et-Oise).
- Présidents d’honneur : MM. Poirson, Préfet de S.-et-O. ; Ed. Lefebvre, ancien Maire de Versailles ; Baillet-Reviron, Maire de Versailles ; le Comte de la Vaulx.
- CO.MITK
- Président: M. Mirand-Devos, 1, ruo de l’As-sembléc-Nalionale, Versailles.
- Vice-président : M. Manuel, 10, avenue De-basseux, Le Chesnay.
- Trésorier : M. Perrot, 38, rue d’Angiviller, Versailles.
- Trésorier adjoint : M. Danlan, /|a, rue Albert-Joly, Versailles.
- Secrétaire général : M. Desineulcs, 3, rue Pétiguy, Versailles.
- Secrétaire adjoint : M. Fraingaut, 9, place Hoche, Versailles.
- Rapporteur : M. Marron, impasse des Ghe-vau-Légcrs, Versailles.
- Membres du Comité : MM. Truffant, 90, avenue de Paris, Versailles ; Adrien, 15, avenue de Paris, Versailles.
- M K M11IIE S KON O AIE U H S
- MM.
- De la Vaulx, à llosov (par ATicils-Maisons) Aisne.
- Ardillier, il, rue de la Pourvoirie, Versailles
- Grosseuvre, 9, rue des Réservoirs, Versailles
- Froid, G, rue de la Chancellerie, Versailles.
- Second, /|G, rue de la Paroisse, Versailles.
- Laurent, n, rue d’Angiviller, Versailles.
- Scheller, industriel, Mantes.
- Hue, 5, rue Pierre-Berlin, Versailles.
- Albrand, 7, rue Maurepas, Versailles.
- Dccourt, avenue de Picardie. Versailles.
- Plas, route, Nationale, Viroüay.
- Baillou, 51, rue d’Angiviller, Versailles.
- Huvelliez, 5, place IIoc.be, Versailles.
- Euvé, 5/|, rue de Salory, Versailles.
- Houry, villa des Roses, Groissy.
- Legris, 8G, rue des Chantiers, Versailles.
- Ed. Blanc, G8, avenue des Champs-Elysées, Paris cl à la Celle-Saint-Cloud.
- MEMHHHS ACTIFS
- MAI.
- Adrien, 10, avenue de Paris. Versailles.
- Albrand, 7, rue Maurepas. Versailles.
- Alayrac, 12, rue du Parc de Clagnv, Versailles.
- Amaury (Mmo Thérèse), villa Thérèse, pare de Chaville.
- Ardillier, i5, rue de la Pourvoirie, Versailles.
- Arcnberg (Prince P. d’), 20, rue de la Ville— Léveque, Paris.
- Augcr (G.), 5/|, rue El.icnnc-AIarcel, Paris.
- Auger (E.), 5/|, rue Etienne-Marcel, Paris.
- Aurons, 1, rue de Béthune, le Ghcsnay.
- Auscher (E.), 2/1, rue Lafayctte, Versailles.
- Auscher (L.), 3/j, boulevard Viotor-Hugo, Neuilly-sur-Seine.
- Baillet, ruo des Chantiers, 96, Versailles.
- Baillou, hi, rue d’Angiviller, Versailles.
- Bardin, /|2, avenue de la Grande-Armée, Paris.
- Bergougnan, 9, rue Villarct-Joyeusc, Paris.
- Bernard, 80, rue Taitbout, Paris.
- Blanc (Ed.), 68, avenue des Champs-Elysées, Paris, et à la Celle-Saint-Cloud.
- Boissaye (Pierre), 17. allées des Bocages, Vésinet.
- Bonnefoy, 38, rue de la Paroisse, Versailles.
- Bouchard, 8G, boulevard Maillot, Neuilly-sur-Seine.
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- CE l ' B—AUTO.M I) BII.K
- — <)o3 —
- I)E KEINE-ET—Ot SE
- Rouland, place Charosl, Versailles, liourdier, 44' rue Duplessis, Versailles. Bourgeois, .‘h), rue Carnot, Versailles. Bouteille, 28, rue Carnot, Versailles.
- Bouton, quai National, Puteaux.
- Brad, joo, rue des Chantiers, Versailles.
- Brad (Ch.). 20, rue Albert-Joly, Versailles. Brantès (Marquis de), 1, rue des Capucins, Cambrai.
- Bricnne, (i, rue Montbauron, Versailles. Bruneel, 119, rue de la .Pompe, Passy. Bureau, 11. rue Üucis, Versailles.
- Gadignan (Comlo de), 20, rue Brunei, Paris. Caplane, 15, rue des Marais, Versailles.
- Cerf, ”>(), rue Duplessis, Versailles. Chameroy, 89, avenue Centrale, Vésinet. Chanlaire, u 1, rue Yivienne, Paris.
- Cliaplard, ij, rue Uieliaud, Versailles. Chauvard (Ch.), 5o, rue Albert-Joly, Versailles. Chauveau, docteur, i3, rue Ilcmilly, Yer-sailles.
- Christen, docteur, il. rue Sainte-Victoire, Versailles.
- Cirier Pavard, 123;, rue N.-D.-des-Champs, Paris.
- Clary (Comte), I\, rue Bayard, Paris.
- Cormier, il 1, rue d’Anjou, Paris.
- ( ,'oulon, 2 bis, carrefour St-Anloine, le Chcsnay Couturier, ilq, rue de la Paroisse, Versailles. Couturier père, 3ij, rue de la Paroisse, Versailles.
- Dautier, villa Coublay (Seine-el-Uise). Dauvilliers, 36, rue Carnot, Versailles.
- David, rue de la Fontaine, Arcueil (Seine). Decauville, Yoisins-le-Brelmilieux.
- Deck, 8G, rue Royale, Versailles.
- Decourl, avenue de Picardie, Versailles. Delahallc, 15, houl. de la République, Versailles. De la Personne, 18, rue de la Paroisse, Versailles.
- De la Yaulx, à Rosov, par Yieils-Maisons, (Aisne).
- Delor, fils, 31, rue de Noailles, Versailles. Dennecé, docteur, 28, rue Maurcpas, Versailles.
- Desjardins, passage St-Pierre, Versailles. Bestrez, 11, rue Ducis, Versailles.
- De Vilmorin, 23, quai d'Orsay, Paris.
- Didier, 1.4, rue Saint-Adelaïdc, Versailles. Durennc, f\, avenue de Chavillc, Yirollav. Duthu, 18, rue de Trévisc, Paris.
- Eté, 11, rue Saint-Pierre, Versailles.
- Euvé, 5/|, rue de Salory, Versailles.
- Falot, 10, rue Saint-Martin, Versailles.
- Fees, 38, rue des Réservoirs, Versailles.
- Ferté (F.), Beaumont-sur-Oise.
- Fessoirat, 5, rue des Marais, le Chcsnay. Filtz, 48, rue Poccard, Levallois-Perrct. Fleury, docteur, 32, rue de la Paroisse, Versailles.
- Frainganl, 9, place Hoche, Versailles.
- Froid, G, rue de la Chancellerie, Versailles. Oallois, 4o, boulevard de la République, Versailles.
- Gérardin, Porchefontaine-Versailles. Crosseuvre, 9, rue des Réservoirs, Versailles. Guéry, 8, rue de la Paroisse, Versailles. Guilbert, 10, rue du Cloître-Notre-Dame, Paris, i [allant de Nitlis, 43, quai National, Puteaux.
- 1 lassebrouch (Ernest), Comines (Nord).
- llepp, docteur, 2-, boulevard la Reine, Versailles.
- lloury, villa des Roses, Croissy.
- Hue, 5, rue Pierre-Ber lin, Versailles, lluvelliez, 5, place Hoche, Versailles.
- Jean, 3a, boulevard du Roi, Versailles.
- Jean, 1, rue Ménard, Versailles.
- Jullien, 10, rue Saint-Pierre, Versailles. Ivlecker, 22, rue des Réservoirs, Versailles. Kreiss, Brasserie de la Meuse, Sèvres. Landry, boulevard de la Reine, 39 4/s, Versailles.
- Laurent, 11, rue d'Angiviller, Versailles. Lcbel, 49, rue de l'Orangerie, Versailles. Lecointc, 4çp r'ic Duplessis, Versailles. •Legendre, a 9, rue des Chantiers, Versailles. Lcgris, 8(i, rue des Chantiers, Versailles. Lemoal, 1, rue de la Coutellerie, Paris. Lempereur, 81. rue Joufl’roy, Paris.
- Léveque, 2, rue du Vautrait., Versailles. Levanneur, 7, rue de la Bonne-Aventure, Versailles.
- Lévv. 2, passage Saint-Pierre, Versailles. Lezé, professeur à Grignon, Bue.
- Libaud, o, rue de la Pattc-d'Oie, Versailles. Liez, Villc-d’Avray (Seine-el-Oise).
- Louvard, 1, rue Ménars, Versailles.
- Malbois, docteur, n bis, boulevard île Les-seps, Versailles.
- Mantin. 80, honlevavd de Montparnasse, Paris.
- Marbury (M"c Elisabclli), o y, boulevard Saint-Antoine, Versailles.
- Maréchal (V.), (>7, avenue Ledru-Rollin, Paris. Masson, 2, rue Maurcpas. Versailles.
- Mcrcié, 10, avenue de l'Observatoire, Paris. Minot-Weld (MUo Eloïse), (>9, boulevard Saint-Antoine, Versailles.
- Mortimcr-Mcgret. (Comte), château d'Eplu-clics, (Seinc-et-Oise).
- Nicolas, 4G, rue de la Paroisse, Versailles. Olivier, à Montainville, (Seinc-et-Oise). Ottcinheim, ^3, rue Duplessis, Versailles. Pellegrin (M.), 13, rue Cortamberl, Paris. Perdrieux, i4, rue André-Chénier, Versailles. Périssé, 94, boulevard Malcshcrhcs, Paris. Petit, G, rue de Provence. Versailles. Pelitpas, 3, rue Rameau, Versailles.
- Pichard, 11, rue des Jardiniers, Paris.
- Pierre, notaire, Meudon.
- Planquetle, 18 bis, houl. delà Reine, Versailles Qucrcy, 44' rue Carnot, Versailles.
- Rucincl, GG, rue de la Paroisse, Versailles. Rcllay, docteur, 4i, rue de l'Orangerie, Versailles..
- Riou, i3, rue de Paris, Meudon.
- Roubinet (Maurice), 100, rue des Dames, Paris.
- Rutiler, 2, nie de la Palte-d'Oie, Versailles. Saintin, 15, rue Saint-Simon, Versailles. Sarret, 13, avenue de Saint-Cloud, Versailles. Schell’er, industriel. Mantes.
- Schmidt, 4b, r,Ic Spontini, Paris.
- Sclmtz, G2, boulevard de la Reine, Versailles. Sebald (Henri), 15, rue Ducis, Versailles. Second, 4b, rue de la Paroisse, Versailles. Sée, Go, rue Saint-Lazare, Paris.
- Sencier (G.), 8G, rue Cardinet, Paris.
- Sergent, 19, rue d’Angouleme, Versailles. Simon, maire de Bruyèrcs-lc-Chatcl, (S.-ct-O)
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- CH li—AUTOMOBILE
- DK SlîINE—ET—01 SE
- --- 9°/| —
- Souazé, 21, avenue Saint-Cloud, Versailles.
- Strom, iG, rue de la Cliaussée-d’Antin. Paris.
- Tabourier, 5g, rue desChanliers, Versailles.
- Thouroudo, Hôtel de la Prélecture, Versailles.
- Théry, villa de l’Etang de Vaucrcsson,
- Tranchant, 18, boulevard Montmartre. Paris.
- Trullaut, 90, avenue de Paris, Versailles.
- Valeroze, i3y, roule des Moulineaux, Issy-les-Moulineaux.
- Vasseur, 4-b, rue de la Paroisse, Versailles.
- Vazeilles, 20, rue de l'Ecole, Versailles.
- Vincent, 28, rue Neuve, Versailles.
- Waiss, 53, rue du Montparnasse, Paris.
- Watel, 3, avenue Iloclie, Paris.
- SECTION I)IÏ HAMIiOi;iI,:.IÎT
- Président : M. Dallemagno, 2, rue du Bel-Air, RanihouillcI.
- Trésorier : M. Couturier lils, 12, place Félix-Faure, Rambouillet.
- Secrétaire : M. le D1' Humbert, l\f\, rue Gambetta, Rambouillet.
- Membres afliliés : MM. Couturier père, 12, place Félix-Faure, Rambouillet; Duchesne, route d’Ablis ; Sevégrand, 7, rue Sadi-Carnot, Rambouillet; IJoullé, notaire, 5/j, rue Nationale, Rambouillet; llamon, rue de la Louvièrc, Rambouillet; Bajon, rue de L’Alliance, Rambouillet; Maillard, ni, rue Nationale, Rambouillet.
- MEMBRES AEEIEIES
- MM.
- Barre, route Nationale, Cosne (Nièvre).
- Crochard, à Lassay (Mayenne).
- Camus, à Montagny-en-Vexin, par Montjavoult (Oise).
- Delacour, industriel, Roissy-Lcllerie (Seino-et-Oise).
- Druy (A.), Villctte, par Vert (Seine-et-Oise).
- Dubois, docteur, à Rray-ct-Lù (Seinc-et-Oise).
- Fiehrer, 8, rue du Moulin, Rambouillet.
- Fouché, Houdan (Seinc-ct-Oise).
- Gossé, directeur général des Etablissements Decauvillc, Petit-Bourg (Seine-et-Oise).
- Hervé, industriel, St-Glair-sur-Eptc (S.-cL-O.).
- .louve, docteur, à Gisors (Eure).
- Eadevie, notaire, Magny-en-Vexin (Seine-et-Oise).
- Lamy, Houdan (Seine-et-Oise).
- Legrand, vins en gros, à Villencuve-Sainl-Georges.
- Legris, 18, Cliaussée-d’Antin. Paris.
- Maillard (.1.), industriel, à Pavilly (Seinc-Inf.)
- Sarazin, avenue Carnot, Corbcil (Seine-ct-Oisc).
- IJllmann, Etablissements Decauvillc, Corbcil (Seine-et-Oise).
- Vcrilhac, .31, boulevard Cauchoix, Rouen (Seine-In féricure).
- NOTA. — Voir dans la Première Partie, la liste des Jhttomobile-Clubs Étrangers
- JVos lecteurs ont intérêt à citer
- rAnmial BAUDRY de SAUNIER,
- chaque fois qu'ils écrivent ou qu'ils s'adressent à des fabricants, pour profiter des\ bonnes relations qui existent entre l'Jlnnual et tous les Chefs de Maison, et bénéficier
- ainsi de quelques avantages spéciaux.
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- RÉSULTATS
- DES
- Epreuves Automobiles
- (VOITURES & CANOTS)
- de 1906
- et des Années précédentes
- (Voir, dans la Première Parité, à leur place alphabétique, les résultats des "Épreuves Aéronautiques).
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- <)<)() —
- CALENDRIER des ÉPREUVES AUTOMOBILES pour l’ANNÉE 1907
- FÉVRIER
- 16. — Automobile Club de Turin. — Exposition automobile.
- 2:3-26. — Automobile Club d’Italie. — Coupe des Yoiturettes.
- MARS
- 20-27. — AC de Nice. — Semaine automobile.
- AVRIL
- 2- 15. — International Sporting Club de Monaco — Meeting monégasque. — Canots automobiles.
- 1-15. — Houes élastiques.
- 15-30. — Club Nautique de Nice. — Canots automobiles.
- 18-21. — AC d’Italie. — Targa Florio.
- 25-28. — AC de Touraine. — Concours de tourisme.
- 28. — Course de côte de Château-Thierry.
- MAI
- 1-15. — Paris-Madrid. — Concours de tourisme.
- 18-21. — Automobile Club de Milan. — Concours de tourisme.
- 18-21. — Autocycle Club de France. —• Paris-Ostende-Paris, motocyclettes, tri cars.
- 20. — AC Poitevin.
- 24-27. — AC d’Autriche. — Coupe des Voiturettes.
- 15-31. — Club automobile de Seinc-ct-Oise. — Concours de roues économiques..
- 15-31. — AC du Nord. — Concours de véhicules industriels.
- 31. — AC d’Auvergne. — Coupe Rochet-Schneider.
- JUIN
- 1-4. •— AC Bordelais. — Canots automobiles.
- 1-15. — ACF. — Concours de voitures électriques.
- 3- 12. — Kaiscrlicher Automobil Club. — Coupe llerkomer.
- 14. — Kaiscrlicher Automobil Club. — Coupe de V Empereur.
- 15-28. — Exposition’ et Courses de canots automobiles à lviel (KAC).
- 20 juin-7 juillet. — Automobile Club de France.— Grand Prix de VACF.
- JUILLET
- j 7-10. — Automobile Club Bordelais. — Concours de tourisme.
- 7-11. — AC de Hollande. — Semaine de Schewe-ningue, canots automobiles.
- 15-18. — Semaine d’Ostende (AC des Flandres).
- 10-22. — Automobile Club du Nord. — Coupe de Caters.
- 25-30. — AC de Belgique. — Le « Critérium ».
- AOUT
- 2-12. — Automobile d’Auvergne et AC du Centre ! — AC d’Autriche. — Canots automobiles.
- 10-22. — AC de Belgique. — Circuit des Ardennes et Coupe de Liedekerke.
- 23-26. — Semaine autonautique d’Ostende.
- SEPTEMBRE
- 1. — AC de Milan. — Circuit de Brescia et Coupe Florio.
- 30 août-3 septembre. — Canots automobiles à Evian.
- 5-15. — Ligue Maritime Française. — Canots automobiles à Arcachon, Bordeaux, Pauillac, Hoyau.
- 12. — AC de Salon. — Epreuve de vitesse,
- 14-15. — AC d’Avignon. — Course de côte du Ven toux.
- 15. — AC d’Autriche. — Course de côte du Semme-\ ring.
- 27. — Course de côte de Château-Thierry.
- OCTOBRE
- 6. — Coupe de Maisons-Lal’Ütte : Canots automobile*.
- 13. — Le kilomètre à Dourdan.
- 20. — Course de côte à Caillou.
- NOVEMBRE
- 1-15. — Coupe des Voiturettes.
- RECORDS OFFICIELS du KILOMÈTRE et du MILLE
- (Etablis sur les routes reconnues par la Commission Sportive de l’A, C. F.)
- Ilrconls en date de Décembre 0)0(1
- CATÉGORIES ÉTUUJES PAR L’AUTOMORILE CU’R DE FRANCK
- KNimon s !>A 1 1 * HKCOUDM F N K 11.l l \t ü; IKK mili.i:
- i l'n^nivre categorie (5o kg. et au-dessous^
- l lourd • ii. . . . i a nov. 11)02 Deruv sur Clément secondes 4/5 I m. 5 s. î>/5
- Dourdan \) liée. i poa Lamherjack On - >/'
- Dourdan.. . \) dec. J'JU2 M. Fournier 1 m. .T s.
- Ih'U.t ihne catégorie (de 5n à 200 kg. )
- DourJan . | *4 nov. ]<)0'2 Kijfal
- Troisième çatégorie (le aùo a f\oo kg •)
- Dourdan | 12 nov. t«|02 Thellicr sur Passy-Thcllicr. . ;îg secondes i/o 58 secondes
- Quatrième catégorie (de 4(H) Goo kg.)
- i lourdan . . 1 I | nov. i ()d‘î Théry sur Decauville 3o secondes 48 secondes 3/5
- Forêt do Sénart . . ; i3 nov. i ‘jo3 Harras sur Darracq 2(.» — 2/5
- Arras . . J a 5 mai I.jo'l 1 Ilauriot sur Clément 28 - '/>
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- i:n imon s n.v i i.s kei;oki>mi:n KII OMÈI lu: Mil. l.i:
- 1 )our<ian Cinquu 6 IlOV. 1<)02 i i nov. i <jo2 l me catégorie (de 05o A 1.000 kg.) Fournier sur Mms 1 2a secondes I /.) l\-j secondes 2/0 /j0 secondes
- 1 )ou rdan Augieres sur Mors
- Dourdan Dourdan Arles à Salon ...... 17 nov. iqoa 27 juin iqo^j 3o «1er. njon Augicres sur Mors Teste sur Panhar-I Hémery sur Darracq 20 — 3/5
- Celle liste n’est pas celle des meilleurs temps qui aient été laits, et il est fuit possible, vertu n même, «/ne quelques-uns de ees records aient été buttas. Mais, en tout cas, ce sont les seuls records officiels. — Pour qu’un record soit officiel, il faut : i° qu’il ait été établi sur une rouie reconnue; 2° qu'il aie été chronométré par un chronométreur officiel ; 3° que les temps aient été homologués par la Commission Sportive. Tous les records ne üyurant pas sur cette liste ont donc manqué à au moins une de ces conditions et, par conséquent, ne sont pas officiels.
- ROUTES SUISSES INTERDITES aux AUTOMOBILES
- tl'nnr's VAnnuaire du T. C. Italien
- RÉSULTATS des ÉPREUVES SPORTIVES
- AÉRO-CLUB DE FRANCE (Grand Prix de I').
- — Cette épreuve, qui deviendra annuelle, a été courue pour la première fois le 15 octobre 1005. Elle consistait en un concours internat ional de distance pour vingt sphériques élevés du Jardin des Tuileries et comportait sept prix.
- Les résultats ont été, en 1005, les suivants :
- 1er M. Jacques Faure, La Kabylie (1 488 m:i), descendu à Kirchdrauf (Hongrie), 1 314 kilomètres en 18 li. G’. — 2e M. J. F. Duro (Espagnol), El Ciergo fl 600 m3), descendu A Lindenau (Moravie), 1 070 kilométras en 13 h. 50*. — 3e M. Ed. Boulenger, 1/Eden (800 m5), descendu A IConigswalde (Saxe), 702 kilomètres en 10 h. 26’. — 4e M. Edm. David, Le Cambronne (800 m3), descendu à Deggendorf (Bavière), 751 km. 5 en 11 h. 56’. — 5e M. L. Maison, La Concorde (1 600 m3), descendu à Neustadt-sur-Saale (Bavière), 571 kilomètres en 8 h. 20’. — 6° M. A. Vouwiller (Italien), Le Centaure (1 600 m3), descendu à Darmstadt, 450 kilomètres en 6 h. 12”. — 7° Comte IJadelin d’Oultremont (Belge), La Belgique (1 600 m3), descendu à Kirn (principauté de llirkenfeld), 378 kilomètres en 5 h. lit
- ALGER-TOULON (Coupe). — Cette coupe, organisée en 1905, par Le Matin, a été divisée en deux étapes : Alger-Mahon (îles Baléares), 195 milles marins ; et Mahon-Toulon, 207 milles.
- Le départ a été donné, le 8 mai 1005, d’Alger, à 8 heures du matin, aux sept canots automobiles suivants : Mercédès-Mercédès, Quand-Même, Héraclès II, Mercédès C.-P. Camille, Malqrè-Tout, F. 7. A. T. X. Cette première étape a été gagnée superbement par le canot italien F. I. A. Tarrivé à 7 heures du soir A Mahon (27 km. 700 à.l’heure); 2e le Camille, suivi des deux Mercédès et du Quand-Même.
- Le départ de la deuxième étape a été ajourné, par suite du mauvais état de la mer, jusqu'au 13. Le résultat de la course courue par une mer démontée a été désastreux, sans qu’on ait eu toutefois d’ac cident humain A déplorer : tous les canots, sauf le F. 7. A. T. X, qui avait été hissé A bord d’un torpilleur, ont été abandonnés en mer ou ont coulé à pic.
- La liste des prix décernés pour l’étape Alger-Mahon a été arrêtée comme suit :
- Hors course : Fiat X. — 1er prix ; Camille, A Mme du Gast. — 2° prix: Mercédès C.-P., A MM. Char-ley et Pitre. 3e prix : Mercédès-Mercédès, A MM. Jellineclc et Pitre. — 4e prix : Quand-Même, A M. le duc Decazes. — 5e prix : Héraclès II, A M. le docteur Lesage. — 6e prix : Malgré-Tout, à M. Ch. Boche.
- I La Coupe de la Méditerranée n’a pas été attribuée.
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- ARDENNES BELGES (Circuit des). — Cette épreuve est organisée annuellement par l'Automobile Club de Belgique. Son principal attrait réside dans ce que son parcours est couvert sans aucun arrêt, ni neutralisations.
- La course pour voitures se dispute sur le circuit suivant, à couvrir 5 fois :
- Bastogne, Champion, Saint-Hubert, Recogne, Ncufchâtcl, ITabay-ia-Neuve, Martelange, Bastogne, soit environ 120 kilomètres.
- Annuellement également, et à la même époque, se dispute répreuve de voiturettes et celle de motocyclettes, sur un circuit comprenant 48 kilomètres de tour à couvrir 5 fois, soit 240 kilomètres.
- Ces épreuves se sont courues en 1906 pour la cinquième fois.
- En voici d'ailleurs les résultats, année par année :
- — 1902 (31 juillet). — Voitures : 1. Jarott {Panhard-Levassor), en 5 h. 33’ 39” 3/5 ; 2. Gabriel {Mors) ; 3. Vanderbilt (Mors).
- Voitures légères : 1. Rigollv (Gobron-Rrillié), en 6 h. 42’ 16” 4/5.
- Voiturettes : 1. Corre {Corre), en 9 h. 34’ 39”.
- Motocycles : 1. Osmont {de Dion-Bouton).
- Motocyclettes : 1. Derny {Clément).
- 1903 (22 juin). — Voitures : 1. de Crawliez {Pahnard-Levassor), en 5 h. 52’ 7” 3/5 ; 2. Girardot {C. O. V.) ; 3. de Brou {de Diétrich).
- Voitures légères : 1. Baras {Darracq), en 6 h. 30* 38” 1/5.
- Voiturettes : 1. Wagner {Darracq), en 3 h. 55’ 27” 1/5.
- Motocycles : 1. Demcester {Griffon), en 4 h. 59’ 46” 3/5.
- — 1904 (24 et 25 juillet). — Voitures : 1. Heat (Panhard-Levassor), en 6 h. 30’ 49” ; 2. Teste
- -{Bayard-Clément).
- Voitures légères : 1. de la Touloubre {Darracq), en 7 h. 48’ 59”.
- Voiturettes : 1. A. Clément {Bayard-Clément), en 4 h. 26’ 52” 3/5.
- Motocyclettes (moins de 50 kg.) : 1. Khuling {Minerva), en 3 h. 46’ tl” 4/5.
- Motocyclettes (plus de 50 kg.) : 1. ^avemux [Grégoire), en 3 h. 50* 51” 3/5.
- — En 1905, le départ des 14 grosses voitures concurrentes a été donné le 7 août, à partir de 6h. 30 du matin : la lutte, très palpitante, s’est rapidement circonscrite entre les marques Darracq et Panhard, malgré une belle défense de Diétrich et de la Mercédès de Jenatzy.
- Les résultats furent les suivants :
- 1. Hémery, sur Darracq, en 5 h. 58’ 32” ; 2. Tart, sur Panhard-Levassor, en 6 h. 13’ 37” ; 3. Le Blon, sur Panhard-Levassor, en 6 h. 22* 56” ; 4. Wagner, sur Darracq ; 5. Heath, sur Panhard-Levassor; 6. De Caters, sur Mercédès; 7. Duray, sur de Diétrich 8. Montjoie, sur Darracq légère. — Gabriel {de Diétrich) ; Jenatzy {Mercédès) ; Fabry {Itala) ; Rougicr {de Diétrich) ; Teste {Panhard-Levassor) ont dû abandonner en cours de route. (Toutes les voitures étaient munies de pneus Michelin, sauf les Mercédès montées sur pneus Continental.)
- Voiturettes.— 1. Wagner {Darracq), en 2 h. 46’ 32”, 2. Tavenaux {Grégoire).
- Motocyclettes. — 1. Bucquet {Griffon), en 2 h. 12’ 49” ; 2. Lamberjack {Griffon) ; 3. Deinester {Griffon) ; 4. Benoit {Z. L.) ; 5. Champoiseau {Peugeot) ; 6. Tabuteaux {Griffon).
- — En 1906, 17 concurrents (grosses voitures) prirent le départ le 13 août à 6 heures du matin : Wagner, Salzer, Duray, Rougier, A. Clément, Hanriot, Gabriel, Bablot, Villemain, Burton, Sorel, Hémery, Barillier, Jenatey, Pierry, Demogeot, Garcey,
- L'intérêt de l'épreuve ne se démentit pas un seul instant durant tout le parcours. Cela est d’ailleurs bien compréhensible puisque les 5 premiers se tenaient en 14 minutes.
- Voici d’ailleurs le classement officiel :
- 1er Duray, sur de Diétrich (pneumatiques Michelin), en 5 h. 38’ 39” 1 /5 ; moyenne à l’heure 150 km. 200; 2e Hanriot, sur Darracq, en 5 h. 40* 21” ; 3e Rougier, sur de Diétrich, en 5 h. 50’ 11” ; 4° Barillier, sur Brasier, en 5 h. 50” 27”; 5e Gabriel, sur de Diétrich, en 5 h. 52 *14” ; 6e Clément, sur Bayard-Clément, en 6 h. 2* 55”; 7e Sorel, sur de Diétrich, en 6 h. 4’ 38” ; 8e Wagner, sur Darracq, en 6 h. 14’ 46” ; 9e Salzer, sur Mercédès, en 6 h. 14* 50” ; 10e Jenatzy, sur Mercédès, en 6 h. 15*9”; 11° Vil lemain, sur Bayard-Clément, en 6 h. 32’ 40’ ; 12° Gar-cet, sur Bayard-Clément, en 6 h. 51* 37”.
- Si la Coupe de Régularité avait été maintenue, elh aurait été attribuée à la maison Lorraine Diétrich, dont les 4 représentants étaient respectivement Ie, 3°, 5°, 7e.
- La plus grande vitesse atteinte l’a étô^par Wagner sur voiture Darracq, qui a couvert le premier tour en 45’ 29”, ce qui représente une vitesse majeure de 113 km. 070 à l’heure.
- — L’épreuve des motocyclettes, qui, cette année, avait été détachée complètement de l’épreuve des voitures, où il constituait une partie du programme, a obtenu cette année un gros succès grâce h la lutte terrible à laquelle se livrèrent les concurrents français.
- Voici les résultats de la catégorie vitesse (225 km.)
- Motocyclettes {moins de 50 kg.). — 1er Giupponc, sur Griffon, en 2 h. 55’ 45”, moyenne à l’heure 78 kilomètres 800. 2e Cissac, sur Griffon, en 3 h. 4’ 19” ; 3° Demcstcr, sur Griffon, en 3 h. 16’ 7” 4/5 ; 4° Prévôt, sur René Gillet, en 3 h. 24’ 11” 1/5 ; 5° Tavenaux, sur René Gillet, en 3 h. 31’ 58” 2/5 ; 6e Anzani, mr Alcyon, en 3 h. 43’ 37” 3 /5 ; 7e Fauvet, sur René Gillet, en 3 h. 52’.
- Motocyclettes {de plus de 50 kg.). — lor Fred, sur Griffon, en 3 h. 29’ 20” ; 2° Ch.unpoiseau, sur Alcyon, en 3 h. 43’ 29” 4/5.
- Catégorie Touristes (150 kilomètres)
- 1 litre. 1er Meura, sur Sarolea, en 2 h. 9’ 16” 3/5 ; 2* Baudelet, sur Adler, en 2 h. 23’ 36” ; 3e Willy, sur Sarolea, en 2 h. 40* 11” 2/5.
- 3/4 de litre. 1er André, sur Sarolea, en 2 h. 15’ 8” 3/5.
- 1/3 de litre. lor Pesse, sur Albatros, en 2 h. 4*.
- 1/2 litre. pr Gauthier, en 2 h. 25’ 31”.
- ARDENNES (Circuit des), pour Motocyclettes. — Le Circuit des Ardennes, organisé par l’A. C. de Belgique, s’est couru le 9 septembre 1906, sur le nouveau circuit de Neufclniteau qui devait être couvert trois fois, ce qui représentait un parcours total de 225 kilomètres. Le tour le plus vite fut fait par Giuppone à une moyenne de 80 km. 760 à l’heure.
- Voici le classement officiel dans les diverses catégories.
- VITESSE
- Motocyclettes {de moins de 50 kilogrammes). — 1er Giuppone, sur Griffon, en 2 h. 55’ 45” ; premier du classement général. Moyenne à l’heure, 78 km.800. 2e Cissac, en 3 h. 4’ 19” ; 3e Demcstcr, en 3 h. 16’ 7” 4/5 ; 4e Prévôt, sur René Gillet, en 3 h. 24’ 11” 1/5 ; 5° Tavenaux, sur René Gillet, en 3 h. 31* 58” 2/5 ; 6e Anzani, sur Alcyon, en 3 h. 43* 37” 3/5 ; 7e Fauvet, sur René Gillet, en 3 h. 52’.
- Motocyclettes {de plus de 50 MlojramirCés). — 1er Fred, sur Griffon, en 3 h. 29’ 20” ; 2e Champoiseau. sur Alcyon, en 3 h. 43’ 29” 4/5.
- TOURISTES
- (2 tours, 150 kilomètres.)
- 1 litre. — 1er Meura, sur Sareola, en 2 h. 9’ 16” 3 /5. Moyenne à l’heure, 69 km. 623. 2e Baudelet, sur Adler, en 2 h. 23* 36”; 3° Willy, sur Sarolea, en 2 h. 40’ 11” 2/5.
- 3/4 de litre. — 1er André, sur Sarolea, en 2 h. 15’ 8” 3/5; 2e Beulaux, en 2 h. 25* 32” 4/5; 3° Dev-vandre, on 2 h. 29’ 36” 3/5; 4e Mathoul, en 2 h. 39* 43” 3/5.
- 1/2 litre. — 1er Gauthier, en 2 h. 25' 31”.
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- — 9°9 —
- La course fut très nette et put toujours être suivie très facilement. Giuppone et Cissac prirent la tète dès le départ et ne cédèrent le commandement à aucun moment de la course, ne faisant qu’augmenter leur avance à chaque tour.
- AUTODROME DE BROOKLANDS (Angb-
- terre). — Premier autodrôme européen, inauguré en avril 1007.
- AUVERGNE (Coupe d’), (3-8 septembre 1900), 1J)00 kilomètres. — Sur 48 voitures engagées,
- 23 ont figuré à l’arrivée. La Coupe d'Auvergne a été gagnée par Itigoly sur voiture Gobron,
- Les résultats ont été les suivants :
- CLASSEMENT P Alt CATÉGORIES
- Sixième catégorie (voilures à 4 cylindres, alésage maximum 140 millimètres) :
- 1er Feuillet (Brouhot), en 19 h. 47’ 20”; 2e Ha-mclin (Rocket-Schneider), en 20 h. 1S* 43” ; 3e Chavane (Rocket-Schneider), en 36 h. 34’ 7”.
- CANNAI
- V n...
- \ RIOM
- '-CLERMONTF P
- otlffil
- 'CHEF0RT
- là Qourbou!fMont oorf
- w5l Germain iambron
- Ariane
- S1 Imrcnt Chabreuye
- F Pmoh
- Allumer vot phim
- r! iioitinfi
- LEGENDE P N Passage à niveau P6* Virage dangereux
- ^ Contrôle
- pd? Etape »*.»>- - Direction
- Vie - iur Cere
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- Cinquième catégorie (voitures à 4 cylindres, alésage maximum 120 millimètres) :
- 1CT Rigoly (Gobron), en 17 h. 18' 35*’ ; 2° «T. Gobron IGobron), en J8 h. 33’ 23” ; 3e Baron Eynard (Gobron), en 20 h. 1’ 11” ; 4e Dubois (JlèrnÙ), en 20 h. 26* 18” : 5e Maréchal (Brouhot), en 22 h. 24, 7” ; 6e Soucha! (Brouhot), en 22 h. 37* 40” ; 7° Frai-gnac (Cottin-Desgouttes), en 24 h. 24’ 41” ; 8° Deydier {Cottin-Desgouttes), en 24 h. 56’ 23” ; 9e Perret {Peugeot), en 26 h. 46' 13” ; 10e Dr Chauve {Peugeot), en 35 h. 46’ 32”.
- Quatrième catégorie : Classe A (voitures à 2 cylindres, alésage maximum 120 m/m) :
- 1er Sire (Darracq). en 24 h. 3* 5” ; 2e Walter Lange (AL..), en 48 h. 13’ 22”.
- Classe B : {voitures â 4 cy-indres, alésage maximum 90 millimètres) :
- 1er Durestc (Gobron), en 17 h. 50’ 16” ; 2e Faroux {Gobron), en 18 h. 28* 51” ; .3° Briand (Brouhot), en 23 h. 10’ 34”; 4° Polisson {de Dion-Bouton), en 23 h. 43’ 37”.
- Troisième catégorie (voitures à 1 cylindre, alésage maximum 120 millimètres) :
- 1er Sizaire [Sizaire-Naudin), en 23 h. 53’ 47” ; 2L Maringue (Lacoste-Battmann), en 33 h. 50’ 21”.
- Deuxième catégorie {tricars, quadricycles, voiturettes ; poids d vide maximum 250 kilogrammes) ;
- 1er Pons {Mototri Contai), en 30 h. 28” 50”.
- Première catégorie {motocycles, poids à vide maximum 75 kilogrammes) :
- 1er Sinde {Pruneau), 28 h. 59’ 37”.
- CLASSEMENT GÉNÉRAL
- 1er Rigoly {Gobron), en 17 h. 19’ 35” ; 2° Durcste {Gobron), en 17 h. 50’ 10” ; 3e Faroux {Gobron), 18 h. 28’ 51” ; 4e ,T. Gobron {Gobron), en 18 h. 33’ 23” ; 5e Feuillet (Brouhot), en 19 h. 47’ 20” ; 6° Baron Eynard {Gobron), ei 20 h. 1* 11” ; 70 Hanielin (Rochet-Schneider), en 20 h. 18’ 43” ; 8° Dubois {Herald), en 20 h. 20’ 18” ; 9e Maréchal {Brouhot), en 22 h. 37’ 20” ; 10* Souchal {Brouhot). en 22 h. 37’ 20”; 11° Briand {Brouhot), en 23 h. 19’ 34” ; 12° Pelisson {de Dion-Bouton), en 23 h. 43’ 37” ; 13e Sire {Darracq), en 24 h. 3’ 5” ; 14° Frai-gnac (Cottin-Desgouttes), en 24 h. 24’ 41” ; 15e Deydier iCottin-Dssgouttes), en 24 h. 56’ 23” ; 16e Perret tPeugeot), en 26 h. 46* 13” ; 17° Siza>rc ^Sizaire-Naudin), en 28 h. 53* 47” ; 18e Sinde (Pruneau), en 28 h. 59’ 37” ; 19e Po.is {Mototri Contai), en 30 h. 28’ 50” ; 20e Maringue (Lacoste-Battmann), en 33 h. 50’ 21” ; 21° D' Chauve (Peugeot), en 35 h. 46’ 32” ; 22e Chavanne (Rocket-Schneider), en 36 h. 34* 7” ; 23° W. Lange (AL..), en 48 h. 13’ 22”.
- BERLIN (Salon de). — Du l,r au 12 novembre 1906
- BERLIN (Les canots automobiles à). — Voici les résultats des courses de canots automobiles qui ont eu lieu le 16 septembre 1906 à Berlin.
- Classe ï (racers de plus de8 métrés), distancé 24 km. 1er Argus V en 41’ 20”; 2* Pickass III, en 50’ 10”. Classe II (racers de moins de 8 mètres), 1CT Antoinette IV ,en 35’ 50”.
- Classe III (eruisers de moins de 8 mètres), 1er Argus IV, en 41* 10”.— 2* Pickass, en 59’ 40”. — 3e Neptune III, en lh. 10*.
- Classe IV (yacht de plus de 10 mètres), 1er Darling, en 1 h. 33’. — 2e Hansa, en 1 h. 34’ 30”. — 3e Sirius, en 1 h. 35’ 54”.
- BÉZIERS (Coupe de). — (28 octobre 3906). Le classement général a été le suivant :
- 1er Pilain (Monin) ; 2** La Buire ; 3" Berliet ; 4e FouUlaron ; 6e Pilain,
- BLACKPOOL (Meeting de) — (12 et 13 octobre 1906). Voici les gagnants des différentes finales :
- 1er Brice, sur motocyclette routière Brown. lor Giuppone, sur motocyclette Peugeot de courte. 1er Rimmer, sur voiture Vvlcan. 1er Day, sur voiture Talbot. 1er Wright, sur voiture Darracq, 1e Rawlin-son. sur voiture Darracq. lor Autobus: Darracq-Serpollet
- L’épreuve du kilomètre, départ lancé, est revenue, dans les différentes catégories, à Reed (motocyclette Peugeot de route, en 45” 4/5); Cissac (motocyclette de course, 29”) ; A H. Walkcr (80 chevaux Darracq, en 30” 2/5); Warwick-Wright (100 chevaux Darracq, en 26”) ; Gmness (200 chevaux) Darracq en 21’) (record nouveau anglais).
- L’épreuve du kilomètre, départ arrêté, a douaA les gagnants suivants: Huatley-Waiker (80 chevaux Darracq, en 41” 2/5); Warwick-Wright (101 chevaux Darracq, eu 35”) : Guiness (200 chevaux Darracq, en 32” 2/5) (record du monde).
- BORDEAUX-BIARRITZ. — Cette épreuve eut lieu le 3 octobre 1899, par un très mauvais temps. En effet, la pluie accompagna presque continuellement les concurrents. Heureusement la nature du sol fit. que les routes n’étaient pas trop détrempées, ce qui permit d’atteindre d’excellentes vitesses.
- Il avait été établi une catégorie Touristes qui effectuait le parcours en deux étapes : Bordeaux-Mont-de-Marsant-Biarritz, avec une nuit de repos
- Mont-de-Marsan.
- Les coureurs de vitesse effectuaient le parcours d’une seule traite.
- Voici quels furent les résultats de cette épreuve ;
- CATÉGORIE VITESSE
- 1er Levegh, en 4 b. 24*. — 2e Antony, en 4 1\ 31’ 30”. — 3e Yves Petit, en 4 h. 56’ 8”. — 4" Koechlin, en 5 heures 19’ 2”. — 5e Broc, en 5 h. 32’ 20”. — 6° Edmond Georges ,en 5 h. 38*.
- Motocycles. — 1er Berlin, en 4 h. 40L — 2e Rigal, en 7 h. 5L
- Voiturettes. — 1er Ravenez, en 6 h. 23L
- Touristes. — 1er Lafitte, en 7 h. 17’.
- BOULOGNE-FOLKESTONE et retour. — Cetfe épreuve fut organisée le 15 juillet 1905, par la Commision du Yachting Automobile de l’Automobile Club de France. La longueur du parcours était de 95 kilomètres environ. La mer était assez belle, mais le temps était brumeux, ce qui fit que certains concurrents ne purent terminer la course, s’étant égarés en route.
- Huit canots seulement, sur dix-huit partants, terminèrent le parcours. L’opinion générale fut que l’on avait imposé aux canots automobiles, encore loin de leur perfection, une tâche trop rude.
- BOULOGNE-SUR-MER (Meeting de) — Le
- meeting, qui a eu lieu les 18, 19, et 20 juillet 19(>o, était organisé Boulogne-sur-Mer, par la section Boulonnaise de l’A. C. du Nord. — Voir Coter s (Coupe de).
- — En 1906, la Coupe de Caters a été courue pendant le meeting de Boulogne-sur-Mer (18*, 19 et 2 ) juillet ; eu voici les résultats :
- 500 mètres en côte, départ lancé : 1er Wagner (100-chevaux Darracq) en 17” 3/5. — 2° Cecil Edge (100-chevaux Napier) en 35” 3/5.
- Un kilomètre en côte, départ lancé : lerFranchomme (100-chevaux Darracq), en 38” 1/5. — 2e Lattuire (24-chcvaux Cottin-Desgouttes), en 59” 4/5. — 3,: Cottin (24-chevaux Cottin-Desgouttes), en 1’ 5”.
- BRESCIA (Semaine automobile de). — Du 2 au 10 septembre 1905, ont eu lieu, à Brescia, plusieurs épreuves pour canots automobiles, accompagnées de fêtes magnifiques.
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- Le classement général a été le suivant ;
- A. liacers. — 1er Antoinette III, moyenne A l'heure: 4 9 km. 288 mètres (record du monde), qui gagne la Coupe du duc des Abbruzzes.
- B. Cruisers.— Ier Delahaye-Nautilus, en 4 h. 25’ 60". — 2e Fiat X. — 3e Excelsior VII.
- BRESCIA (Circuit de). — Cette épreuve, qui devait se disputer en 1900, ne put avoir lieu par suite de l'opposition gouvernementale ; le Ministre de la Guerre italien ayant refusé aux organisateurs ie concours de la troupe pour le service d’ordre.
- Le tort commercial fait A la région de Brescia par la suppression de l’épreuve s’est fait très sensiblement sentir.
- BURTON (Coupe). — Cette coupe, d’une valeur de 10000 francs, est le premier prix d’une épreuve organisée par l’Automobile Club de Cannes et la Société des Bégates Cannoises. Elle fut courue pour la seconde fois le 24 avril 1900.
- En 1905, elle avait été gagnée par le C. G. F., à M. de Jessé, qui couvrit les 100 kilomètres du parcours en 2 h. 45’ 10’’, soit à une allure moyenne de 30 km. 500.
- En 1900, la Coupe Burton fut disputée par un temps superbe, dans la rade de Cannes et de la Xapoule. Quatre canots prirent le départ : Consuelo, Zëdé, Mouette et Magali.
- Le Consuelo, à M. le comte Karoly, est sorti vainqueur de l’épreuve en 4 h. 40’ 8”. Les trois autres concurrents avaient abandonné.
- CATERS (Coupe de).-— Le 10 juillet 1905, a été disputée, sur la côte de Doullens, la Coupe-challenge offerte par M. Pierre de Caters et détenue par Ilanriot.
- Les temps ont ôté les suivants (500 mètres en côte, départ lancé) :
- 1er Wagner (voiture Darracq 80 chevaux), en 15’’ 1/5; moyenne A l’heure 118 km. 422 mètres; 2e Ilanriot (Bayard-Clément), en 15” 4/5.
- CHATEAU-THIERRY (Course de côte de). —
- Cette course a été courue, sur la côte des Chcsneaux <10 0/0), pour la troisième fois, le 1er octobre 1905.
- Les résultats ont été les suivants :
- Vitesse. — Motocyclettes au-dessous de 50 kilogrammes : 1er Anzani (Alcyon), en 55” 3/5. — Voi-turettes : B‘r De la Touloubre (Darracq), en 53” 3/5. — Voitures légères : 1er Ilanriot (Darracq), en 41” 3/5. — Voitures: 1er Clifford Earp (Napier), en 38” 1/5; 2e Stead (Mercédés); 3e Faure (Mercédès).
- — Cette épreuve n’a pas été courue en 1906.
- CIRCUIT DU NORD (910 km.). — (16 et 18 mai 1902). — Course à l’alcool, organisée par le ministère du Commerce et l’Automobile Club de France : Faris, Châlons, Arras, Dieppe, Paris.
- Les résultats ont été les suivants :
- Voitures : 1er Panhard-Levassor (Maurice Farman); 2e Panhard-Levassor (Jarrot.t) ; 3e Gardner-Serpollet; 4° Gardner-Serpollet ; 5° Gardner-Serpollet.
- Voitures légères : 1er Darracq ^Marcellin) ; 2e Panhard-Levassor ; 3e Gobron-BriUié ; 4e Panhard-Levassor.
- Voiturettes ; Ie Renault frères (Grus) ; 2e Renault frères (Oury) : 3e Renault frères (Cormier) ; 4e Clément ; 5ü Darracq ; 6° Corre.
- Motocycles : 1e*1 de Dion-Bouton (Bardeaux).
- Motocyclettes : 1er Wertier (Bucquet).
- CIRCUIT SICILIEN POUR VOITURETTES.—
- (5 septembre 1906). — Circuit Palerme-Petrcola-Palenne(247 kilomètres).
- Premier prix : chevalier Florio (de Dion-Bouton), en 7 h. 25’ 12” ; deuxième prix : Longoni (de Dion-Bouton) ; troisième prix : Tasca (de Dion-Bouton).
- COL DESTRIÈRES (Ascencion du), motocyclettes et voiturettes, 2 septembre 1906 —- Ce
- Critérium, organisé par le Moto Club d'Italie, a donné les résultats suivants ;
- Motocyclettes ; première catégorie : Voarino (Peugeot) ; deuxième catégorie : Bava (Primus) ; Gugliel-minotti (Peugeot) ; Varsalona (Borgo) ; Picena (Peugeot) ; troisième catégorie : Bobbotti (Primus).
- Voiturettes : Divocci (O. T. A. V.) ; Terzillo (Peugeot) ; Quagliotti (Lacoste et Battmann) ; Mcstrallet (Lacoste et Battmann) ; Lorenzoni (Peugeot).
- COUPE AÉRONAUTIQUE GORDON-BEN NETT. — (30 septembre 1906). — Le départ a été donné, de Paris, a seize aérostats partant du jardin des Tuileries, par température douce et vent faible dirigeant vers le Nord. Sept concurrents ont traversé la Manche et ont atterri en Angleterre.
- Voici les gagnants :
- 1er Lieutenant Franck P. Lahm (Amérique), atterri près de Scarborough, ayant couvert 645 kilomètres. — 2° A. Vonwiller (Italie), atterri A New-Holland, 575 kilomètres. — 3e Comte de la Vaulx (France), atterri à Walsingham, 470 kilomètres. — 4e C. S. Bolls (Angleterre), atterri A Sandringham, 465 kilomètres. — 5e Jacques Balsan (France). — 6e Professeur Hutington (Angleterre). — 7e lvin-delan (Espagne). — 8° Herrerra (Espagne).
- COUPE D’OR DE MILAN. — Cette grande épreuve italienne de tourisme s’est terminée le 24 mai 19C6, après onze jours de lutte sur un parcours de 3 935 kilomètres. Le gagnant a été Lancia sur une voiture F. I. A. T. (24-40 chevaux du type courant de tourisme).
- Le classement général s’établit de la manière suivante :
- 1er Lancia (Fiat), sur pneumatiques Michelin ; 2e Maggioni (Zust); 3e Cagno (ltala); 4e Nazzaro (Fiai) ; 5e Boschis (Fiat) ; 6° Macdonald (San
- Giorgio) \ 7e Glcnworth (San Giorgio) ; 8° Fraschini (/ssotta-Fraschini) ; 9° Pfanz (Bcnz) ; 10e Bossano (Benz).
- Lancia a gagné la Coupe d’Or plus un prix de 25 000 francs ; Maggioni a gagné la Coupe de « L’Automobile » de Mila.i et 6 000 francs.
- L’équipe Fiat a remporté la Coupe de la Ville de Milan.
- CRITERIUM BELGE. — Organisé par les Automobile Clubs de Belgique, de Namur, de Luxembourg et de Spa (20 au 26 juillet 1906).
- Les réusltats ont été les suivants :
- Sixième catégorie; 1er Hautvast (Pipe, sur pneumatiques Michelin), en 6 h. 45’ 14” ; 2° Croquet {Darracq), en 6 h. 57’ 25”
- Cinquième catégorie; Bigoly (Gehron), en 7 h. 26’ 37” ; 2. Dallemagne-Elskamp (Gobron), en 7 h. 35’ 56” ; 3. Fiat ; 4e Gobron ; 5e Ariès ; 0° Martini.
- Quatrième catégorie: Fischer (Fiirwm.0, en 8 h. 7’ 45” : 2« Pipe ; 3° Pipe ; 4° N. A. G. ; 5; N. A. G. ; 6° Pipe.
- Troisième catégorie; Coquart (Ariès), en 7 h. 32’ 27” ; 2e La Métallurgique.
- DELHI-BOMBAY (Course). —- Gagnée, en janvier 1906, par Paul Sorel, sur voiture de Diétrlch.
- DOURDAN (Le kilomètre et le milia à). — Cette épreuve, organisée par le Journal de VAutomobile, a été courue, le 5 octobre 1905, avec son succès annuel bien mérité.
- Les résultats officiels sont les suivants; :
- 1° Le mille arrêté. — Vitesse : motocyclettes légères* 1er Peugeot (Cissac), e.i 53” 1/5; motocyclettes : 1er Peugeot (Giuppone), en 57”; voitu rettes : 1er Darracq (de la Touloubre), en 1* 13” 1 /5 : voitures légères: Darracq (Ilanriot); voitures:
- lPr Napier (Clifford Eearp), on 53” 4/5; 2° Mercédè (Faure).
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- 2° Le kilomètre lancé. — Vitesse : motocyclettes légères : 1er Peugeot (Cissae), en 27” 3/5; motocyclettes : 1er Peugeot (Giuppone), en 28’*; 2e Buchet (Anzani); 3e Alcyon (Chauvet); voiturettes : 1er Darracq (de la Touloubre), en 38’ 4/5;; voitures légères : 1er Darracq (Hanriot), en 29’ 2/5 ; voitures : 1er Napier (Clifford Earp), en 25” 3/5 ; 2° Mercédès (Faure).
- — En 1906 (21 octobre), les résultats ont été les suivants :
- ÉPREUVE DU MILLE ARRÊTÉ
- VITESSE
- Grosses voitures : 1er Darracq 200 chevaux, 8 cylindres (Lee Guinness), en 47” 2/5 ; 2° Itala, 59” 3 /5.
- Voitures légères : 1er Gladiator 30 chevaux (Léon Molon), 1* 4”; Darracq 80 chevaux, en 59” 2/5 (déclassé pour excès de poids).
- Voiturettes : 1er Vulpès 7er {Barriaux), en 1’ 20”.
- Motocyclettes : 1er Peugeot II, en 1’ 1” 2/5; 2e Peugeot 7, en U 16” 3/5.
- Motocycles : 1er Anzani III, en 1' 5” 2/5 ; 2° Moto-tri Cantal, en 1' 32” 2/5.
- ÉPREUVE DU KILOMÈTRE LANCÉ
- CLASSEMENT DE VITESSE
- Grosses voitures : 1er Darracq 200 chevaux, 8 cylindres (Lee Guinness), en 20” ; moyenne à l’heure 180 kilomètres; 2° Itala, en 29” 2/5; 3° Mors, en 41” 1/5.
- Voitures légères ; lPr Bayard II (Villemain), en 26” 3/5 ; moyenne à l’heure : 135 km. 338 ; 2e Gladiator, en 31” 3/5 ; Darracq, déclassée pour excès de poids.
- Voiturettes : 1er Vulpès 7, en 44” 3/5.
- Motocyclettes : 1er Peugeot 11 (Giuppone), en 28” ; moyenne il l’heure : 128 km. 571 ; 2° Peugeot I (Cissac), en 28” 3/5.
- Motocycles : 1er Anzani 777, en 30” 1 /5 ; moyenne A l’heure : 119 km. 205 : 2e Mototri Contai 7, en 39” 1/5.
- DUBONNET (Coupe). — Cette coupe jusqu’en 1906 était un challenge ; mais il avait été décidé qu’elle deviendrait la propriété du gagnant.
- Elle s’est courue le 8 juillet 1906 à Nantes et a été gagnée par Voltigeur devant le bateau glisseur de MM. Blondeau et Deschamps.
- Ce dernier ne termina pas la course et dut s’arrêter au second tour; mais il parvint, sur la distance qu’il couvrit, il réaliser une vitesse de 42 kilomètres à l’heure.
- Une seconde course qui se disputa sur 20 kilomètres se termina par la victoire de Michon devant Vagabond.
- Fêfé prit ensuite la première place dans l’épreuve réservée aux cruisers, qui se courait sur 30 kilomètres.
- EMPEREUR (Coupe de 1’) — Disputée (14 juin 1907) au Taunus (Allemagne), sur les bases suivantes : Cylindrée ; 8 litres au maximum ; empattement minimum : 3 mètres ; poids du véhicule, carrosserie comprise, 1 175 kilogrammes ; hauteur minima des sièges : 25 centimètres ; espace minimum entre le sol et la partie la plus basse de la voiture : 15 centimètres ; marche arrière obligatoire ; 3 voitures au maximum pour chaque marque.
- Le circuit par Hombourg, Oberursel, Schmiten, Rod, Weilhmunster, Einhaus ; soit 83 kilomètres de tour environ.
- ÉVIAN (Meeting d’). — Les coupes d’Évian ont été remportées par :
- A. — Racers : Antoinette, parcourant le mille arrêté en 2’ 54” 4/5, et le kilomètre lancé en 1* 17” 3/5.
- B. — Cruisers : Forcès-Pas, parcourant le mille arrêté en 3’ 20” et le kilomètre lancé en 1* 50” 3 (5 ; Delahaye-Nautilus ; Qui-Vive.
- — En 1906, ce Meeting eut lieu les 31 août, l« et 2 septembre.
- Les épreuves de la première journée, qui se disputèrent par un temps superbe, donnèrent les résultats suivants :
- CRUISERS
- lre série (moins de 6 m. 50).— 1er Nautilus, en 2 h. 47” 2/5.-— 2° Mendelssohn, en 2 h. 18’ 46”. — 3e Capoulo, en 2 h. 45’ 11”. — 4e Abeille, en 2 h. 47’ 8” 3/5.
- 2e série (6 m. 50 à 8 mètres). — lre Mais-je-vais-piquer, en 1 h. 53’ 43” 3/5. — 2* Excelsior VIII, en
- 1 h. 57' 49” 3 5.
- 3e série (de 8 mètres à 12 mètres). — 1er Calypso, en 1 h. 28’ 41”. — 2e Pampero, en 1 h. 54’ 23” 4 /5. — Excelsior IX a abandonné.
- 4e série (de 12 à 18 mètres). — 1er Lorraine-Dié-trich, en 1 h. 36’ 34”. — 2e Lorraine-Cachot, en
- 2 h. 41’ 53”.
- Pour le second jour, par suite de la pénurie de racers {La Rapière était seule), les organisateurs décidèrent de faire courir comme racers les cruisers de la veille sans leste, k Les résultats furent les suivants :
- lre série (moins de 8 mètres). — 1er La Rapière, en 1 h. 11’ 39”. — 2° Ricochet Nautilus, en 1 h. 27* 22”. — 3e Excelsior VIII, en 1 h. 48’ 32”.
- 2e série (8 à 12 mètres). — 1er Calypso, en 1 h.23’ 48”. — 2e Excelsior IX, en 1 h. 31’ 48”. — 3° Pampero, en 1 h. 49’ 23” 4/5.
- 3° série (12 à 18 mètres). — 1er La Lorraine,en 1 h. 24’ 58”.
- Les épreuves qui se disputèrent la troisième jour -née ont donné les résultats suivants :
- LE MILLE, DÉPART ARRÊTÉ.
- Racers. — 1er La Rapière, en 2’ 38” 4/5.— 2e Ricochet-Nautilus, en 3’ 16” 2/5.
- Cruisers. — 1er Calypso, en 2’ 56” 1/5. — 2e La Lorraine, en 2’ 56” 3 /5.
- KILOMÈTRE LANCÉ
- Racers.— 1er La Rapière, en 1* 22” 1 /5.— 2° Ricochet-Nautilus, en 1* 32”.
- Cruisers.— 1er Calypso, en 1* 35”.— 2q LaLor-raine, en 1’ 35” 4/5. — 3° Mais-je-vais-piquer, en 1’ 57” 4/5 . — 4e Pampero, en 2’ 7”.
- extraréglementaires (20 kilomètres).
- lre série. — 1er Mieusset VI, en 50’ 6”. — 2e Excelsior V, en 50’ 20” 3/5. — 3° Mieusset V, en 51’ 00” 3/5^ —4e Aigrette, en 59’ 59”—5e Gaston, en 1 h. 22’ 41” 2/5. —• 6° Nouméa, en 1 h. 36’ 33”. — 7° Saus, en 1 h. 37’ 9” 1/5.— 8e Stella, en 1 h. 41’ 8” 2/5.— 9* Vau-marins, en 1 h. 43' 00” 4/5. — 10e Elisabeth, en 1 lu 43’ 43” 4/5 — 11e Eclipse, en 1 h. 52’ 27” 2 /5.
- 2fi série. — 1er Picher-Moccaud, en 39' 12”.— 2e Héron, en 47’ 11” 4 /5. — 3e Phalarope, en 1 h. 3’ 38’ ’ 1 /5.
- Pétrole lampant. — Pétroloil-Nautilus, en 1 h. 49’ 24”
- Handicap. •— 1er Lorraine-Cachat, à 3 lî. 5n’ 32”. — 2e Calypso, à 4 h. 1’ 25”. — 3e Pampero A 4 h. 2’ 4” 4 /5. — 4e Capoulo, à 4 h. 2’ 31” 2 /5.
- Ce handicap présente cette anomalie que les 4 premiers finirent avant que le scratch fût parti I Celui-ci, le Ricochet-Nautilus partait en effet A 4 h. 2’ 41”.
- FLORIDE (Meeting de), sur la plage d’Ormoud Beach (États-Unis), janvier 1906.
- — La Coupe des 100 miles (gagnée en 1905 par Flechter, sur voiture deDiétrich,en 1 h. 18” 24’) a été-remportée par : 1er Earp {Napier), en 1 h. 15* 40” moyenne : 127 km. 575 ; 2e Cedrino {Fiat).
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- — Les 2 miles ont été gagnés par : 1er Demogeot (Darraeq), en 58” 4/5: moyenne 197 kilomètres; 2e Marriott (Stanley), en 59” 3/5.
- — Record du mille : 1er Marriott (voiture à vapeur Stanley), en 28” 1/5 ; moyenne : 205 km. 404 à l’heure; 2° Chevrolet {Darraeq), en 30” 3/5; '3° Cedrino {Fiat) ; Earp (Napier).
- — Record du kilomètre : 1er Marriott (Stanlei/), en 18” 2/5; moyenne: 195 km. 652, battant le record 1905 d’Hémery {Darraeq), en 20” 3/5; 2e Chevrolet {Darraeq), en 19” 2/5 ; 3e Earp (Napier) ; 4e Cedrino {Fiat).
- — En 1907, Meeting de Floride, du 18 au 25 janvier.
- 5e de Caters {ltala), en 10 h. 38* 26”. Moyenne à l’heure, 41 km. 722. — 6e Le Blon (Hotchkiss), en 12 h. 9* 23”. Moyenne à l’heure 36 km. 518.
- Les prix que comportait cette épreuve furent répartis comme suit :
- 1er Cagno {ltala) 25 000 francs. — 2e Qrazzian {ltala), 8000 francs. — 3° Bablot {Berliet), 4000 francs. — 4e Rigal {ltala) 3 000 francs. — 5e de Caters {ltala) 2 000 francs.
- Les conducteurs des voitures reçurent : le premier 4 000 francs ; le second, 2 000 francs ; et le troisième 1 000 francs.
- Un détail. Lors de cette épreuve fonctionnait le Pari Mutuel. Cagno. le gagnant, rapporta 41 francs pour 5 francs.
- VITESSES MOYENNES A L’HEURE (FLORIDE):
- VOITURES EN COURSE EN RECORD
- LE MILE les cinq miles LE KILOMÈTRE LE MILE
- DARRACQ Aucun essai 188 kil. 064 185 kil. 566 189 kil. 294
- (8 cyl. 200 ch.) (2 m. 34 s.) (19 s. 2/5) (30 s. 5/5)
- NAPIER 144 kil. 810 164 kil. 550 166 kil. 666 154 kil. 877
- \6 cyl. 100 ch.) (40 s.) (2 m. 53 s.) (21 s. 5/5) (37 s. 2/5)
- FIAT 156 kil. 550 165 kil. 865 157 kil. 894 158 kil. 251
- (4 cyl. 110 ch.) (57 s.) (2 m. 54 s. 5 /5) (22 s. 4/5) (36 s. 3/5)
- STANLEY 182 kil. 186 175 kil. 217 195 kil. 652 205 kil. 404
- Voiture à vapeur (31 s. 4)5) (2 m. 47 s. 1 /5) (18 s. 2/5) (28 s. 1/5)
- FLORIO (Coupe). —• Cette coupe, offerte par le chevalier Vincenzo Florio, est réservée aux voitures automobiles de 1 000 kilogrammes au maximum ; elle doit être mise en compétition pendant une durée de sept années (1905-1911) ; après quoi elle deviendra la propriété de la maison qui comptera le plus grand nombre de victoires dans les épreuves annuelles.
- Cette coupe, comprise, en 1905, dans la semaine de Brescia, se dispute en Italie sur un parcours de 500 à 700 kilomètres.
- En 1905, vingt-deux concurrents se sont présentés au départ ; les résultats ont été les suivants :
- 1er Raggio {ltala), en 4 h. 46’ 47” 2/5 (moyenne à l’heure sur 503 km. 300 : 105 km. 300).— 2e Duray (de Diêtrich), en 4 h. 55’ 20”.— 3e Lancia {Fiat). — 4e Hémery {Darraeq).— 5e Rougier {de Diêtrich).— 6e Nazzari {Fiai). — 7° Fabry {ltala). — 8e Wagner (Darraeq).
- La voiture du gagnant {ltala) étaiU;\[cardan, avec allumage par magnéto Simms-Bosch, embrayage à plateau. Le moteur faisait environ 110 chevaux et la grande vitesse pouvait donner environ 160 kilomètres à l’heure ; la voiture pesait 1006 kilogrammes et était munie de pneus Michelin.
- — En 1906, le 6 mai, 10 concurrents seulement prirent le départ, voici leurs noms :
- 1er Lancia {Fiat).— 2e Leblon (Hotchkiss). — 3° Cagno {ltala). — 4e Ach. Fournier (Bayard-Clément).
- — 5e Bablot (Berliet). — 6e Pope (ltala). — 7e Maurice Fournier (Bayard-Clément). — 8e de Caters (ltala)
- — 9e Rigal (ltala). — 10. Grazziani (ltala).
- La course se faisait sur un circuit qu’il fallait couvrir trois fois. La distance totale à parcourir était de 440 kilomètres environ.
- Le classement général donna les résultats suivants :
- Ie** Cagno (ltala), sur pneus Michelin, en 9 h. 32* 20”. Moyenne à l’heure, 40 km. 532. — 2e. Grazziani (ltala), en 10 h. 5* 8”. Moyenne il l’heure, 44 km. 33. — 3° Bablot (Berliet), en 10 h. 20’ 5”. Moyenne il l’heure, 42 km. 967. — 4° Rigal (ltala) ‘en 10 h. 25’ 8”. Moyenne à l’heure, 42 km. 624. —
- FOURGONS MILITAIRES (Concours de). — Ce concours, qui a eu lieu (juillet 1905) en même temps que celui des Véhicules industriels (voir ce mot), a donné les résultats suivants :
- 1er Delahaye; 2° De Dion-Bouton ; 3° Oillel-Foresf.
- — Ces trois fourgons ont été acquis par l'Intendance militaire.
- FRÉJUS (Concours de tourisme de PA. C. de). — Cette épreuve eut lieu le 27 mai î 06 sur un parcours de 125 kilomètres passant par Fréjus, Brigno-les, Draguignan, Fréjus.
- VOITURES.
- 1. Peugeot (16 chevaux) en 3 h. 2’ 20”. — 2. Peugeot (10 chevaux). — 3. de Dio (6 chevaux). — 4. Gladiator (15 chevaux). — 5. — Peugeot (6 clive aux).
- — 6 Aster (12 chevaux). — 7. de ion (8 c.: vaux)-
- MOTOCYCLES.
- 1er de Dion (2 chevaux 3/4).
- MOTOCYCLETTES.
- 1er Alcyon (Laurin-Klément) (6 chevaux) en 2 h. 41*. — 2e Griffon (3 chevaux y2). — 3e Griffon (3 chevaux y2).
- GAILLON (Course de côte de). — Historique.— Cette épreuve vient de la course de côte de Chante-loup.
- Elle comporte 1 kilomètre de rampe de 5 à 9 en ligne il peu près droite et a eu lieu pour la première fois sous les auspices du Vélo le 12 novembre 1899 (95 engagés). — Yillemain fit les meilleurs temps.
- Catégorie sans chaîne, 1* 10” 1/5 (48 km. 370 à l’heure). — Catégorie motocycles avec chaîne, 1* 20”.
- 2e année. — La course fut organisée par le Moto Club de France, le 11 novembre 1900.
- Dans la catégorie « Voitures », Brasier prit la première place en 1’ 26” 1 /5
- Béconnais (motocycles) mit 56” 1 /5 (65 Kilomètres à l’heure).
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- 3° année. 18 novembre 1001. — RigoIIy sortit vainqueur de toutes les catégories ayant escaladé la côte à 72 kilomètres à l'heure.
- 4e année. 12 octobre 1002. — Organisée pour la première fois par Y Auto. Il y eut 11500 francs de prix, 158 engagés et 82 partants.
- Une voiture à vapeur, Serpollet, montée par Le Blon, réalisa une vitesse de 100 kilomètres à l'heure.
- 5e année. (1003). — L’épreuve eut lieu le 8 novembre et fut l'occasion d’une nouvelle victoire pour Rigolly, qui atteignit la vitesse de 107 kilomètres à l’heure.
- La Bayard de M. Clément, qui gagna la catégorie des>oiturcs légères, fit du 100 à l’heure.
- 6° année. 30 octobre 1004. — Trois records” furent battus, Barras et Rigolly firent dead-heat'; Lanfran-chi, à motocyclette, atteignit la vitesse de 122 kilomètres à l'heure. Les Darracq se couvrirent de gloire en gagnant la catégorie des voitures, des voitures légères et des voiturettes.
- 7e année. 1005. — La course eut lieu par un temps abominable qui empêcha d'atteindre les vitesses espérées.
- Les résultats furent les suivants :
- Grosses voitures. — P. de Caters {Mercédès), en 31” (moyenne à l’heure • 110 km. 120) ; Villemain (Ba-yard-Clément), en 32”. — Voitures légères ; 1. Clément {Boyard-Clément}, et 1. Hanriot (Darracq, dead heat, en 32” 4/5. — Voiturettes : 1. Barriaux (Vulpès) en 45”; 2. De la Touloubre {Darracq).— Motocyclettes : 1. Cissac {Peugeot), en 31”. — 2. Giuppone {Peugeot).
- 8° année (28 octobre 1000).
- Les résultats ont été les suivants :
- Grosses voitures : T‘r Lee Guinness (Darracq, 8 cylindres, 200 chevaux), en 25” (moyenne à l'heure: 144 kilomètres); 2° Cecil Edge Œapier), en 29”; 3» Longchamps {Ttala), en 34” 3/5.
- Voitures légères : lor Demogeot {Darracq), en 20” (moyenne à l’heure : 124 km. 800) ; 2e Villemain (Bayard), en 33” 4/5 ; 3e Gladiator, en 39”.
- Voiturettes : Barriaux {Vulpès), en 46” 3/5.
- Motocyclettes : 1** Cissac {Peugeot), en 27” 4/5 (moyenne: 120 km. 510) 2e Peugeot.
- Motocycles : 1er Anzani, en 45” 4/5.
- GALLON A MINNEAPOLIS (Concours du),
- août 1906. — Dans ce concours, chaque concurrent partait avec un gallon (4 Ut. 54) d’essence dans son réservoir. Voici quelle était la formule de classement :
- On multiplie le poids de la voiture en ordre de marche si le moteur est à 4 cylindres — ou les 75 p. 100 de ce poids s’il est à 2 cylindres ou les 70 p. 100 de ce poids s’il est monocylindrique — additionné d’un handicap général de 800 livses (362 kg.), par ia distance couverte en kilomètres, et l’on obtient de la sorte le nombre de points déterminant le classement.
- Le résultat a été le suivant :
- 1er Aerocar, avec 56,8 tonnes kilométriques. 2' Frayer-Milhr, avec 55,6 tonnes kilométriques. 3” Buick, avec 52 tonnes kilométriques. 4e Stevens-Duryea.
- Les vainqueurs avaient le refroidissement par air.
- GORDON-BENNETT (Coupe). — Historique. — En 1899, un ami enthousiaste de l’automobile, l’Américain M. James Gordon-Bennett, institua la Coupe, précieux objet d'art qui, décerné chaque année comme prix international,devait servir à éveiller et encourager le sport das courses automobiles en même temps qu’à être une récompense pour les découvertes et l'industrie de la voiture à moteur.
- L La précieuse Coupe est en argent; elle représente
- une voiture automobile que conduit le Génie du Progrès. La déesse de la Victoire se tient prête à tendre la palme au vainqueur.
- Cet objet d’art pèse environ 17 kg. et a une valeur de 12 000 francs.
- L'Automobile Club de France, à qui JL James Gordon-Bennett confia la coupe, eut à fixer les conditions de l’épreuve. Par la suite certaines modifications ont été jugées utiles.
- La Coupe pouvait être disputée par tout Club automobile reconnu par l'A. C. F. Chaque Club pouvait se faire représenter par 1, 2 ou 3 véhicules. La course devait avoir lieu sur route, en une seule-étape et sur une distance de 550 kilomètres au moins et 650 au plus.
- Les véhicules prenant part à l’épreuve devaient être entièrement et dans toutes leurs parties construits dans le pays qu’ils représentaient.
- 11 était bien entendu qu’aucun club ne deviendrait jamais possesseur de la Coupe, mais seulement détenteur. C’est d’ailleurs dans le pays détenteur de la Coupe que devait se courir l’épreuve chaque année.
- — La lre Course Gordon-Bennett 1900 a eu lieu le 14 juin entre Paris et Lyon (556 kilomètres),
- René de Knyfï, Charron et Girardot étaient les-champions de la France.
- La Belgique avait envoyé le baron de Caters, Je-natzy et Lefebvre.
- L’Amérique était représentée par M. Winton.
- L’Angleterre par S. F. Edge.
- Un Allemand s’était fait inscrire : Eugène (sans doute le prénom d’un constructeur bien connu).
- De Caters, Lefebvre et Edge ne prirent pas part à la course. Edge, au dernier moment, ne fut point admis parce que ses pneumatiques n’étaient pas de-fabrication anglaise.
- René de Knyff, Winfon et Jenatzy durent abandonner et le vainqueur fut Charron sur une Panhard (44 chevaux), qui couvrit la distance en 9 h. 9’; le second fut Girardot en 10 h. 36’, sur une voiture Panhard-Levassor.
- La vitesse moyenne de Charron fut de 61 km. 86 à l’heure. Le train rapide de Paris-Lyon met 8 h. 53* pour parcourir les 512 kilomètres (distance par voie ferrée) qui séparent Lyon de Paris.
- Or Charron avait mis 9 h. 9’ pour couvrir les 565 kilomètres. Le calcul montre qu’il aurait parcouru la distance de la ligne de chemin de fer en 8 h. 16’. Dès cette première course, la vitesse d’un train rapide fut donc déjû dépassée par l’automobile.
- Charron montait une voiture Panhard-Levassor déjà et toujours depuis au premier rang. La voiture était munie de pneumatiques Michelin.
- — La 2e Course Gordon-Bennett 1901 fut courue en-môme temps que la grande épreuve Bordeaux-Paris.
- Le nombre des concurrents pour la Coupe fut cette annéc-là très faible. Au starter se présentèrent seulement des rivaux appartenant à deux nations.
- La France parut sur le champ de bataille avec-deux voitures Panhard et une Mors. Pour la seconde fois, l’Angleterre envoya son vaillant Edge sur une Napicr.
- Seul Girardot arriva au contrôle sur sa Panhard (50 chevaux), après avoir parcouru la distance de 527 km. 650 (déduction faite des neutralisations) en 8 h. 54’ 59” 1/5.
- Cette course causa un certain désappointement aux fervents de l’automobilisme. D’abord le nombre des concurrents était très restreint; les Daimler Mer-cédès et Benz contre toute attente ne participèrent point à l’épreuve. D’autre part, on avait espéré une vitesse moyenne supérieure à celle de l’année précédente; et Girardot n’avait fait que du 62 km. 46 à l’heure.
- — La 3° Course Gordon-Bennett 1902 fut de même une désillusion.
- Elle eut lieu réunie à la cour.se de fond Paris-Vienne, entre Paris et Innsbruck (618 kilomètres, dé-
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- duction faite de la partie neutralisée à travers la Suisse, de Belfort à Bregenz).
- L’épreuve commença le 26 juin.
- Les rivaux, qui prirent part en même temps à la course de Paris-Vienne, furent pour la France :
- 1° Girardot l’infatiguable sur une Charron-Girar-dot-Voigt ;
- 2° Fournier le vainqueur de Paris-Berlin sur une Mors ;
- 3e René de Knyff sur une Panhard-Levassor.
- Le vaillant Anglais S. F. Edge luttait pour l'Angleterre.
- Mais tous quatre furent poursuivis par la fatalité et René de Knyff en particulier, qui encore à Landeck en Tyrol était bon premier, dut, par suite d'un incident, abandonner à quelque distance du but.
- La Coupe fut gagnée par S. F. Edge qui arriva premier au contrôle d’Innsbruck. L'infatigable Anglais finissait ainsi par obtenir la victoire bien gagnée, mais qu'il devait aussi en partie au hasard.
- La vitesse moyenne réalisée était de beaucoup Inférieure à celle des courses précédentes. II faut tenir compte aussi qu’il fallait franchir l’Arlberg (1 804 mètres). A une vitesse moyenne de 58 kilomètres le vainqueur couvrit les 618 kilomètres en 10 h. 42’.
- La victoire d'Edge fit passer la Coupe entre les mains de l’Automobile Club de Grande-Bretagne.
- — La 4e Course Gordon-Bennett 1003. — Malgré les grandes difficultés qui s’opposaient à l’épreuve sur routes publiques en Grande-Bretagne, grâce la grande influence des membres de la haute aristocratie de l’Àutoinobile-CIub anglais et en particulier de Earl of Dudley, lord-gouverneur d’Irlande, on réussit à obtenir l’autorisation de courir la course en Irlande.
- Grâce à l’esprit sportif très marqué et à l’enthousiasme des Anglais pour la mission qui leur incombait, la course cette fois reçut une organisation spéciale excellente, dont le besoin s’était fait si vivement sentir lors des épreuves antérieures.
- Et d’abord la Coupe Gordon-Bennett ne fut plus unie à une autre épreuve. Bien au contraire tout fut mis en œuvre pour faire du Meeting de 1903 un événement sportif de premier ordre. Aussi l’intérêt international fut-il cette année tout autre.
- L’Angleterre fut représentée par 3 voitures Napîer (40 chevaux) qui furent pilotées par S. F. Edge, Chas. Jarrotet J. W. Stocks.
- La France envoya en Irlande ses rois éprouvés de la vitesse : René de Knyff sur une 70-chevaux Panhard-Levassor, M. Henri Farman également sur une Panhard-Levassor et M. Fernand Gabriel sur une 80-che-vaux Mors.
- L’Amérique fut représentée par deux Winton, dont l’une fut conduite par l’inventeur M. Alexander Winton et l’autre par Percy Owen, le recordman d'Amérique. La troisième voiture était une Peerless avec M. E. P. Moors comme conducteur.
- L’Allemagne, pour la première fois, entra en ligne avec ses lourdes voitures, ses trois 60-chevaux Daimler-Mercédôs, pilotées par le baron de Caters, Foxhall Keene et Camille Jenatzy.
- Les Mercédès (90-chevaux) qui avaient été primitivement choisies pour prendre part à la course furent détruites peu de temps avant l’épreuve dans le grand incendie de la fabrique Daimler à Cannstatt.
- Pour permettre de les distinguer plus facilement, les voitures des pays concurrents furent, pour la première fois, de couleurs différentes ; les anglaises : vertes; les françaises : bleu-clair; les américaines : rouges; les allemandes : blanches.
- L’emplacement de la course en Irlande, dans les comtés de Queens et de Ivildare, à environ 40 kilomètres de Dublin, avec départ et arrivée à Bally-shannon house, avait la forme de deux grandes boucles dont l’une devait être couverte trois fois et l’autre quatre, avec un parcours total de 592 km. 720,
- Sans doute les routes n’étaient pas très larges, mais, par contre, la surface ôtait en bon état. Un
- service d'ordre Idéal établissait des barrages complets. De même les nombreuses courbes de la route étaient partout goudronnées sur une longueuq de plusieurs centaines de mètres. Aussi, malgré la foule des spectateurs qu’il faudrait évaluer par milliers, la course se déroula-t-ellc sans aucun accident de quelque importance.
- La lutte fut très féconde en péripéties et, finalement, Jenatzy sortit vainqueur sur la voiture allemande Mercédès, après avoir franchi la distance en 6 h. 39’, ce qui fait une moyenne de 89 km. 194 à l’heure. Jenatzy avait donc fait triompher l’Allemagne et avait gagné la Coupe pour 1903-1904, remise à l’Automobile Club allemand.
- René de Knyff, second sur sa 70-chevaux Pan-hard, en 6 h. 50’40”, avec une vitesse moyenne de 86 km. 634.
- Henry Farman, troisième, également sur une Panhard, en 6 h. 51’ 44”, avec une vitesse moyenne de 86 km. 424.
- Fernand Gabriel, quatrième, avec sa 80-chevaux Mors, en 7 h. 11’ 33”, vitesse moyenne 82 km. 412.
- F. S. Edge, cinquième, sur une Napier (70 chevaux) en 9 h. 15’ 48”.
- Les Américains ne furent pas favorisés par le sort; de même l’Angleterre ne fut pas très heureuse.
- — La 5e Course Gordon-Bennett 1904.—Le 17 juin 1904, au Taunus en Allemagne, tenante de la Coupe, fut disputée la cinquième épreuve de la Coupe devant S. M. l’Empereur Guillaume II. Ce parcours comprenait 550 km., soit quatre tours d’un circuit de 137 km.5 par Saalburg, Lhnburg, Homburg, etc.
- Sept nations étaient en présence. L’Allemagne était représentée par Jenatzy, tenant de la Coupe, de Caters, tous deux sur Mercédès, et Opel sur Opel-Darracq.
- La France, par Théry sur G. Richard-Brasier Salleron sur Mors et Rougier sur Turcat Méry.
- L’Angleterre, par Edge sur Napier, Girling et Jarofct sur Wolseley.
- L'Autriche, par Werner, Braun et Warden sur Mercédès.
- L'Italie, par Lancia, Cagno et Storero sur F.I.A.T., fabrique italienne automobile de Turin.
- La Belgique par Ilautvast, Augiôres et P. de Crawliez sur Pipe.
- La Suisse, par Dufaux sur Dufaux frères.
- L’Amérique s’était abstenue.
- Le départ était donné dans un décor admirable, près du vieux château de Saalburg, entre des tribunes imposantes dans le style romain. La présence de S. M. l’Empereur et de l'Impératrice, entourés des princes Henri de Prusse et Frédéric-Charles de Hesse, des grands-ducs de Mecklembourg et d’Oldenbourg, rehaussait particulièrement encore l’importance de l’épreuve et lui donnait une grandeur non atteinte
- A sept heures du matin, Jenatzy démarrait le premier au milieu des acclamations, et derrière lui, un par un, les concurrents s'ébranlaient, à l’exception de Dufaux, qui avait déclaré forfait au dernier moment.
- La plus belle bataille automobile internationale jusque-là disputée commençait sa ronde infernale, sous un soleil splendide.
- La place nous manque ici pour faire un récitdétaillé d’une course dont les différentes péripéties sont encore dans la mémoire de tous.
- Bornons-nous à rappeler la victoire de Théry et de sa voiture G. Richard-Brasier, en 5 h. 50’ 3”, soit à une vitesse de 99 km. 416 mètres à l'heure, devant Jenatzy, second sur sa Mercédès en 6 h. 1’ 28”, et de Caters en 6 h. 45’ 3”.
- Vqici maintenant la suite du classement des concurrents ayant terminé le parcours :
- 4e Rougier (France), en 6 h. 47’ 11” 1/5, — 5° Braun (Autriche), en 6 h. 59’ 49” 1/5. — 6° Haut-vasfc (Belgique), en 7 h. 2’ 36” 2/5. — 7° Salleron * (France). — 8° Lancia (Italie). — 9e Girling (Angleterre). — 10e Cagno (Italie). — 11e Werner (Autr.-chc). — 12° Jarrott (Angleterre).
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- Théry fit son meilleur tour au dernier en 1 h. 26’ 23”, et Jcnatzy, après avoir fait son premier tour en 1 h. 26’56”, perdit la course dans son troisième en 1 h. 37’ 46”. De Caters, après un départ laborieux, fit montre par la suite d’une régularité étonnante, et Rougier finit la course de fort belle façon, après un début moins brillant.
- Toutes les voitures françaises étaient montées sur pneumatiques Michelin ; les Mercédôs sur pinun Continental. — Les sept premières voitures étaient munies de la magnéto Simms-Bosch.
- — La 6° Course Gordon-Bennett.— En 1005, ii fut très fortement question de supprimer la Coupe Gor-don-Benentt.
- Les dirigeants de l’Automobile Club de France estimaient en effet que celle-ci prenait par trop d’importance et que notre pays se trouvait désavantagé par le reglement qui ne permettait à la France avec son grand nombre de constructeurs, de n’engager que trois voitures tout comme un pays qui n’aurait eu qu’une seule maison d’automobiles.
- Une réunion de tous les Clubs reconnus eut lieu à Paris et devant l’insistance des Clubs étrangers et surtout de l’A. C. de Grande-Bretagne on décida de courir la Coupe encore une fois, mais la France, prévint les autres pays que quel que soit le résultat de l’épreuve, elle n'y participerait plus, moins que le réglement n’en soit changé.
- Deux pays, l’Angleterre et laFrance,furcntobligés, étant donné le nombre de leurs constructeurs, d’organiser des Eliminatoires.
- Les Eliminatoires anglaises eurent lieu le 30 mai sur le circuit de l'île de Man. Dix concurrents se présentèrent; sur ce lot important, deux coureurs seulement achevèrent le parcours ;
- Earp {Napier), en 7 h. 52’, et Blanchi (Woiselet/}, en 7 h. 58’.
- Comme il fallait trois concurrents, l’A. C. de Grande-Bretagne désigna Rolls sur Wolseley pour compléter l’équipe.
- Les Eliminatoires françaises se disputèrent le 16 juin en Auvergne sur un circuit de 137 km. 444 de tour A couvrir quatre fois. 24 concurrents se présentèrent au départ.
- On avait beaucoup craint les accidents, étant donné, disait-on, les trop grandes difficultés du parcours choisi par l’Automobile Club de France.
- Les événements donnèrent raison il ce dernier, puisque les accidents furent insignifiants et non imputables à la route.
- En effet, seulement Girardot et Farman culbutèrent, le premier dans une ligne droite par suite de l'éclatement simultané de deux pneumatiques, le second par suite d’un virage pris, de son aveu môme, il une trop grande allure.
- La course donna les résultats suivants :
- Ie*- Théry [G. Richard-Brasier), 7 h. 34’ 40’* 1/5; moyenne i\ l’heure 72 km. 555. — 2e Caillois {G. Richard-Brasier), 7 h. 43’ 11”; moyenne il l’heure 71 km. 144. — 3° Duray (de Diétrich), 7 h. 44* 47”; moyenne à l’heure 70 km. 001. — 4e Wagner (Darracq), 71i. 47’ 11” 2/5; moyenne il l’heure 70 km. 535. — 5e Sizsz fRenault frères), 7 h. 55’ 47” 3/5; moyenne il l’heure 60 km. 347. — 6° Heath (Panhard-Levassor), 8 h. 11’ 38” 3/5; moyenne il l’heure 67 km. 080. — 7° Le Blon (Hotchkiss), 8 h. 13’ 13”4/5; moyenne à l’heure 66 km. 815. — 8e Rigoly (Gohron), 8 h. 16’ 57” 4/5; moyenne
- à l'heure 66 km. 411. — 0e Hémery {Darracq),8h. 21, 38”; moyenne à i’heure 65 km. 748. — 10e Hanriot (Bayard-CUment), 8h. 23’ 39” 3 /5; moyenne à l’heure 65 km. 486. —• 11e De la Touloubre {Darracq), 8h. 30’ 54”; moyenne il l’heure 64 km. 588. — 12e Stead (G. Richard-Brasier), 8 h. 56’ 8”; moyenne il l’heure 61 km. 455. —13° Edmond {Renault frères), 8 h.57’ 24” 2/5; moyenne à l’heure 61 km. 340. — 14e Gabriel {de Diétrich), Oh. 20” 2/5; moyenne à l’heure 61 km.
- — 15e Lavergne {Hotchlciss) 9 h. 5* 14”; moyenne à l’heure 60 km. 440.
- Ce furent donc Théry sur Richard-Brasier, Caillois sur Richard Brasier et Duray sur de Diétrich qui furent chargés de représenter nos couleurs dans la Coupe Gordon-Bennett 1005.
- La Coupe eut lieu le 5 juillet sur le même circuit et la même distance que les Eliminatoires (4 tours).
- L’industrie italienne se révéla dans cette épreuve et faillit bien nou3 arracher la victoire.
- Au troisième tour en effet. Lancia sur Fiat était en tête et ce fut une heureuse surprise pour les Français lorsque, h la fin de ce troisôme tour on apprit que Lancia était en panne.
- Mais Cagno et Nazzari,tous deux également sur F.I.A.T., restaient toujours très dangereux et ce fut encore Théry, dont la marche durant toute la course fut admirable de régularité, qui sauva la situation, effectuant le parcours en 7 h. 2’ 42” 3/5 (neutralisations déduites).
- Voici le classement officiel de l’épreuve, d’après le temps réel mis par chaque concurrent en déduisant les neutralisations.
- 1er Thérv (Voit. Richard-Brasier, pn. Michelin),
- 7 h. 2’ 42” 3/5. — 2” Xazzari (Voit. F. I. A. T., pn. Michelin), 7 h. 19’ 9” 1 /5. —3e Cagno (Voit. F.I.A.T., pn. Michelin), 7 h. 21’ 22” 3/5. — 4e Caillois (Voit. Richard-Brasier, pn. Michelin), 7h. 27’ 6” 2/5.
- — 5° Wcrncr (Voit. Mercèdès allem., pn. Continental),
- 8 h. 3’ 30”. — 6° Duray (Voit, de Diétrich, pn. Michelin), 8 h. 5’ 50”. — 7e De Caters (Voit. Mercèdès allem., pn. Continental), 8 h. 11* 11” 3/5. — 8e Rolls (Voit-. Wolseley, pn. Dunlop), 8 h. 26’ 42” 3/5. — 9e Clif-ford-Earp (Voit. Napier,pn. Palmer),8h. 27’ 29” 4/5.
- — 10e Braun (Voit. Mercèdès autr. pn. Continental),
- 8 h. 33* 5” 3/5. -—11e Bianclii (Voit. Wolseley, pn. Dunlop), 8 h. 38’ 39” 2/5. — 12° Lyttle (Voit. Pope Toledo, pn. Diamond), 9 h. 30’ 32”. 4
- La moyenne du gagnant, 78 km. 428, est certainement loin de valoir celle de l’année précédente qu’il avait d’ailleurs établie lui-même et qui était de 96 kilomètres. Mais cela tient uniquement h la grande difficulté du parcours où les virages terribles abondaient ainsi que des côtes comme celle de la Baraque par exemple qui grimpait à 15 0/0 ou celle de la Moreno à 12 %.
- La Coupe Gordon-Bennett est maintenant définitivement supprimée, du moins telle qn’elle fut courue durant les six années de son existence.
- On peut dire qu’elle passionna le^inonde automobile comme jamais une autre épreuve ne le fit et ne le fera peut-être; elle est d’ailleurs morte de son trop d’importance.
- Nous croyons utile pour terminer de publier le tableau ci-dessous, qu’on pourrait appelcrt le tableau d’honneur de la Coupe Gordon-Bennett :
- ANNEES. r.omumiis ET NATIONS POUCE mauques PNEUS P.UICOtT.S DIS! . TEMPS h. ni. s. MOYENNE
- njno Charrnn (FJ. 20 cl». Panhard-Levassor Michelin Paris-Lyon 506 I; 9 9 » 61 k.83;
- njo t Gi +ardnt {F). h O » Panhard-Levassor Miclielia Paris-Bordeaux 555 n 8 51 r>9 5 9 5oq
- 190a Edye (Angl.). /(O » Napier Dunlop Paris-lunsrhu ck 5 90 » 10 4‘ 58 55 »
- njo3 Jenatzy (Ail.) 6() r> Mercedes Continental Circuit d Irlande 09 a » 6 3'J n 89 iS'i
- njo/f Théry . Fr.). . 80 » lUchard-Brasior Michelin Cirr.tiil du Taunus 5fi/| n 5 5 0 8 96 n
- 1900 Théry (Fr.), . 9<> I) Kichard-Brasier Michelin Circuit d'Auvergne 5-V.) r> 1 2 42 7« V*8
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- GOTHARD (Concours du Saint-). — 20 août 1006. — Parcours Lugaro-Airolo-Luyano, dans les régions montagneuses du Saint-Gotkar 1.
- Les résultats ont été les suivants :
- Voitures à 4 cylindres : Friedlanzer (Züst), en 9 h. 3*; Soldati (White); Comi (Benz); Salvioni (Rapirt) ; Popp (Diatto-Clément) ; Morel {Bayard).
- GRAND PRIX DE L'A. C. F. 1906.— Après la décision prise par le Comité de l'Automobile Club de France de ne plus prendre part à la Coupe Gordon-Bennett, il fut décidé en principe qu'une épreuve internationale qui prendrait le titre de Grand Prix i'A. C. F. serait courue en 1905, concurremment avec la Coupe Gordon-Bennett.
- Le Règlement comportait les répartitions suivantes entre les pays prenant part à l'épreuve :
- France, 15 voitures (qualifiées à la suite d'une course éliminatoire); Allemagne, 6 voitures; Angleterre, 6 voitures; Italie, 3 voitures; Suisse, 3 voitures ; Autriche, 3 voitures ; Belgique, 3 voitures. Total : 27 voitures.
- Le poids maximum de 1 000 kg. restait le même.
- L'épreuve projetée n'eut pas lieu en 1005 et fut reportée à l'année suivante. Cette fois, le règlement permettait à chaque constructeur (français ou étranger), d'engager 3 véhicules.
- La course eut lieu sur le Circuit de la Sarthe 103 kilomètres) les 26 et 27 juin 1006.
- Contrairement au règlement de la Coupe Gordon-Bennett, qui laissait aux concurrents la liberté d'effectuer à, volonté des ravitaillements (changements de pneumatiques et autres) sur un point quelconque du circuit et de faire exécuter des répa-
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- rations par des moyens extérieurs, le règlement du Grand Prix les obligeait à faire toutes les réparations en cours de route par les moyens du bord. Deux ravitaillements seulement étaient autorisés : l’un au point du circuit où était donné le départ, l’autre à mi-chemin du circuit. La longueur de celui-ci étant de 103 kilomètres, les concurrents pouvaient donc se ravitailler, en cas de besoin, tous les 50 kilomètres environ.
- La course dura deux jours. Chaque journée comportait 6 tours du Circuit, soit 018 kilomètres environ
- Trente-quatre concurrents prirent le départ. On avait adopté, pour reconnaître facilement les concurrents au passage, un système de lettres et de chiffres combinés, système d’ailleurs très clair ainsi que l’on peut en juger par le tableau ci-dessous, qui repésente l’ordre dans lequel furent donnés les départs :
- 1 a. Lorraine-Dietrich I (Gabriel); 6 heures.— 2a* Fiat I (Lancia), 6 h. 1’ 30”. — 3 a. lïenault I (Sisz), Ch. 3’. — 4 a. Darracq I (Hémery), 6 h. 4’30”. —
- 5 a. Brasier I (Baras), 6 h. 0’. — G#. Mercêdès I (Jenatzy), 6 h. 7’ 30”. — 7 a, Gobron I (Rigoly), 0. h, 0’. - 8a. Ttala I (Cagno), 0 h. 10’ 30”. — 9 a. Grégoire I (T. Taveneaux), 0 h. 12’. — 10 a. Panhard-Levassor I (Teste), 6 h. 13’ 30”. — 11 a. Vulpès I (Barriaux), 6 h. 15’.— 12 a* Ilotchkiss 1 (Le Blon), 0 h. 10’ 30”.— 13a. Bayard-Clément 1 (A. Clément), G h. 18’. — 1 b. Lorraine-Dietrich II (Rougier), G h. 10’ 30”. — 2 b. Fiat II (Nazzaro), G h. 21’.— 3 b. Renault II (Edmond), G h. 22’ 30”. — 4 5. Darracq II (Wagner), 6 h. 24’. — 5 b. Brasier II (Barillier), 6 h. 25’ 30”. — 6 b. Mercêdès II (Mariaux), 6 h. 27’. — 8 Italall (Fabry), 6 h. 28’ 30”.
- — 9 b. Grégoire II (Civelli de Bosch), 6 h. 30*. — 10 b. Panhard-Levassor II (Heath), 6 h. 31’ 30”.
- — 12 b. Ilotchkiss II (Salleron), 6 h. 33’. — 13 b. Bayard-Clément II (Villemain), G h. 34’ 30”. — 1 c. Lorraine-Diétrich III (Duray), 6 h. 36”. — 2 c. Fiat III (Weillschott), G h. 37’ 30”. — 3 c. Renault III (Richez), G h. 39’. — 4 c. Darracq III (Hanriot), G h. 40’ 30”. — 5 c. Brasier III fX...),
- 6 h. 42’. — Gc. Mercêdès III (V. Florio), G h. 43’ 30”. — 8 c. Data III (De Caters), 6 h. 45’ — 10 c. Panhard-Levassor III (Tart), G h. 40’ 30”. — 12 c. Ilotchkiss III (F. Shephard), G h. 48’. — 13 c. Bayard-Clément III (De la Touloubre), 6 h. 49* 30”.
- L’Angleterre et l’Amérique s’étaient abstenues.
- A la fin delà première journée, les résultats étaient les suivants :
- 1er Szisz, sur Renault, en 5 h. 45’ 30” 2 /5. — 2<= A. Clément, sur Clément, en G h. 11’ 40” 3 /5. — 3e Nazzaro, sur Fiat, en G h. 26’ 53”. — 4e Fitz, Shepard sur Hotchkiss, en 6 h. 30’ 45”. — 5e Lebrun, sur Brasier, en 6 h. 31’ 48” 1 /5. — 6e Richez, sur Renault, en 6 h. 35’ 47”. — 7Ü Heath, sur Panhard-Levassor, en 6 h. 48’ 12”. — 8e Tart, sur Panhard-Levassor, en 7 h. 1' 52” 2/5. — 9e Lancia, sur Fiat, en 7 h. 12* 19” 1/5. — 10e Hémery, sur Darracq, en 7 h. 26* 18” 2/5. — 11° Rigolly, sur Gobron, en 7 h. 3G* 8” 1/5. — 12° Mariaux, sur Mercêdès, en
- 7 h. 39* 31” 2/5. — 13° Barras, sur Brasier, en 7 h. 41* 43”. — 14° Duray, sur de Diêtrich, 7 h. 58’ 46”. — 15° Barillier, sur Brasier, en 7 h. 59’ 5”.
- — 16° Jenatzy, sur Mercêdès, en 8 h. T 20”. —
- 17e Rougier, sur de Diêtrich, en 8 h. 15* 55”.
- 17 voitures restaient donc encore en ligne. Elles furent mises, aussitôt après l’arrivée du premier jour, dans un parc fermé, sans que les concurrents eussent le droit de faire autre chose que d’arrêter leur moteur.
- Le lendemain matin, et ce ne fut pas là le moindre attrait de l’épreuve, les voitures furent airienées jusque sur la ligne de départ, traînées par un cheval, et ce n’était que lorsque le chronométreur officiel avait donné le signal du départ au coureur, que oelui-ci pouvait mettre son moteur en marche. On avait d’ailleurs accordé aux concurrents deux hommes pour tourner la manivelle de mise en marche, pensant avec juste raison, qu’aprôs une journée
- de fatigues comme celle de la veille, il convenait de leur éviter la difficulté qu’il y a à mettre en route un moteur de 100-chevaux et plus.
- Comme la première, la seconde journée se passa sans incidents ni accidents graves, et le classement final de l’épreuve donna les résultats suivants :
- 1er Renaidt (Sisz) (sur pneumatiques Michelin), en 12 h. 14’7”. — 2e F. I. A. T (Nazzaro), en 12 h. 47* 38” 1/5. — 3e Clément-Bayard (A. Clément), en 12 h. 49’ 46” 4/5. — 4e Brasier (Barillier), en 13 h. 53*. — 5e F. I. A. 1\ (Lancia), en 14 h.-22’ 11”. — 6e Panhard-Levassor (Heath), en 14 h. 47’ 45” 2/5.— 7e Brasier (Barras), en 15 h. 15’ 50”.
- — 8° de Diêtrich (Duray), en 15 h. 26’ 1” 3/5.— 9e Brasier (Pierry), en 16 h. 15* 7” 3/5. — 10e Mercêdès (Jenatzy-Burton), en 16 h. 18’ 42” 4/5.
- — 11° Mercêdès (Mariaux), en 16 h. 38’ 51” 2/5.
- L’organisation de la course fut parfaite. A signaler
- une innovation destinée à faciliter la lecture des résultats au tableau d’affichage. Le second jour de la course, les heures de départ affichées indiquaient en même temps le temps réel mis par chaque concurrent pour le premier jour. Ainsi le départ de la voiture Renault montée par Szisz, qui le premier jour avait mis 5 h. 45’ 30” 2/5 pour effectuer les 6 tours du circuit, partit le second jour à 5 h. 45* 30” 2/5. L’heure d’arrivée des concurrents à la fin du second jour devenait donc ainsi le temps total mis par eux pour effectuer les 1 200 kilomètres du parcours.
- Rappelons pour terminer que cette épreuve, qui a eu lieu pour la première fois en 1906, doit se disputer annuellement.
- Le grand prix de 1906 mit en lumière les jantes démontables de la maison Michelin que possédait d’ailleurs le vainqueur.
- GRAND PRIX DE L’A. C. F. (1907). — Principales caractéristiques du nouveau règlement : Course en une seule journée, sur une distance de 800 kilomètres environ. — Chaque fabricant a le droit d’engager au maximum trois voitures. — Droit d’engagement : 5 000 francs par voiture. — Toutes les voitures sont admises sans aucune limitation de poids, ni de puissance. Seule condition imposée : une quantité maxima de carburant accordée dans la proportion de 30 litres pour 100 kilomètres. — Les véhicules portent obligatoirement deux voyageurs côte à côte.
- HARMSWORTH (Coupe). — CHIe Coupe pour canots automobiles, gagnée en 1903 par le Napier, en 1904 par le Trèfle-à-Quatre, a été courue le 11 septembre 1905, dans le bassin d’Arcachon.
- Disputée sur 57 km. 200, elle a donné les résultats suivants : 1er Napier II, en lh. 32’ 26” ; 2e Napier 1.
- HERKOMER (Coupe). — Cette grande épreuve de Tourisme, courue en août 1905, a donné les résultats suivants :
- 1er Landenbourg (Daimler) ; 2e Weingand (Daimler) ; 3e Willy Poegge {Daimler).
- — En 1906, cette. Coupe fut courue du 3 au 13 juin.
- Il y eut 134 partants sur 156 engagés. ^
- La Coupe comprenait différentes épreuves, telles que course de côte, course de vitesse, concours d’élégance, etc.
- Le classement général donna les résultats suivants :
- 1er Rudolph Stoess, 18-20 chevaux Ilorch, pneumatiques Continental. — 2e Émile Neumaïer, 40 chevaux Benz, pneumatiques Continental. — 3° Willy Poege, 60 chevaux Mercêdès, pneumatiques Continental. 4e Henrich Opel, 20 chevaux
- Darracq, pneumatiques Continental. — 5e Cari Neumaïer, 40 chevaux Benz, pneumatiques Continental. — 6° Weingand, 70 chevaux Mercêdès, pneumatiques Continental. — 7° Hyéronimus,
- 90 chevaux Mercêdès, pneumatiques Continental. —
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- 8e Ladenberg, 70 chevaux Mercédès, pneumatiques Continental. — 9e Uren, 24 chevaux Métallurgique, pneumatiques Continental. — 10e A. Horch, 40 chevaux Horch, pneumatiques Continental. — 11e Grigg 35-45 chevaux Daimler anglaise, pneumatiques Continental.
- HOMOLLE (Coupe). — Épreuve qui se disputa le 29 avril à Tablat près d’Alger, sur une côte de 10 kilomètres.
- Les temps faits par les gagnants des diverses catétéries furent les suivants :
- Narbonne, sur Pilain, 20 chevaux, en 18* 37”. — Mouries, sur de Dion, 12 chevaux, en 23’ 23” 1 /5. Jteverdez, sur Darracq, 15 chevaux, en 23’ 17” 3/5. de Galiaud, sur 20-clievaux Renault, en 18’ 36” 1 /5.
- La Coupe était attribuée au gagnant de la série comportant le plus d’engagés. C’est pourquoi M. Narbonne en est détenteur, bien que M. de Galiaud ait mis 3/5 de seconde de moins que lui.
- HUNZIKER (Coupe de Régularité). — Voir Provence {Meeting de).
- HYDRA (Coupe). — Cette Coupe, offerte par la maison Hydra, était attribuée chaque année à la maison dont une motocyclette {tiers de litre) faisait le meilleur temps sur 1Ô0 kilomètres ; le vainqueur recevait une rente quotidie nie de cinq francs, jusqu’à ce que son record soit battu. Depuis 1906, cette Coupe est attribuée aux voiturettes pesant 350 kilogrammes au minimum, carrosserie comprise.
- La Coupe Hydra a d’abord été gagnée en 1905, au Parc dessPrinces, par Coliomb (ï h. 12’ 50”). — Cissac (Peugeot) a ensuite battu le record en septembre 1905, en 1 h. 10’ 35” 2/5 ; mais sans gagner la Coupe suivant l’article 13 du règlement.
- Cette Coupe n’a pas été courue en 1906.
- LAC MAJEUR (Coupe du). — Canots automobiles. — L’épreuve des canots automobiles, qui •eut lieu sur le lac Majeur le 19 septembre 1906, avait été ajournée à cause d’une véritable tempête qui sévissait sur le lac Majeur.
- Le 19 septembre, le mauvais temps s’était enfin apaisé et c’est par un temps assez beau que se disputèrent les épreuves dont voici le résultat :
- Cruisers (moins de 8 mètres). — Parcours 40 kilomètres. — 1e* Pattison, en 1 h. 30’ 2” 3/5. — 2e Florentia V. — 3e Costaguta.
- Handicap —-Racers et Cruisers — sur 40kilomètres
- — Florentia III, en 1 h. 17’ 36” 3/5. — 2e Costaguta,
- — 3e Pattison. — 4e Florentia IV.
- La deuxième journée du meeting de Pallanza fut favorisée par un temps superbe. Au cours de cette journée, se disputa le Grand Prix de la Société des Transports Maritimes de l’Exposition de Milan. Cette belle épreuve qui se courait sur 100 kilomètres •et fut gagnée par Fiat XIII ne donna malheureusement pas lieu à la belle lutte qu’on espérait entre ce bateau et la Rapière II. Ce dernier fut en effet mis hors de course.
- 1er Fiat XIII, en 2 h. 10’ 40”, moyenne à l’heure 46 km. 250. — 2° Florentia III, en 3 h. 20’ 3” 2/5. — '3e Costaguta, en 3 h. 39’ 0” 4/5.
- LOIRET (Coupe du). — Ce concours a eu heu, du 14 au 22 mai 1905, sur les merveilleuses rouf es de l’Orléanais. — Dans la catégorie Touristes d'un jour, la palme a été décernée à une limousine 24 chevaux, Panhard-Levassor, suivie de près par une limousine Ariès.
- Le classement général portait sur la régularité, l’endurance, le confortable, la suspension ,les freins, le prix de la voiture, la vitesse en côte, etc.
- Après 2 000 kilomètres, le classement s’est établi ainsi : 1er Cormier, sur voiture 10 chevaux de Dion-Bouton. — 2° Montariol, sur voiture 8 chevaux de Dion-Bouton. — 3e Henry Loste. — 4e Couver-«chel.
- Le classement des motocyclettes a été le suivant : 1er Armbrustcr. — 2U Landry.
- LEIPZIG (Exposition de), du 5 au 14 octobre 1906.
- LIEDEKERKE (Coupe) (14 août 1906) — Cetto épreuve de 428 km. 570, réservée aux voitures de tourisme, a été disputée au lendemain du Circuit classique des Ardennes, et sur la même route. — Les résultats ont été les suivants :
- 1er La Métallurgique (Wilhelm), en 5 h. 27’ 38”; moyenne à l’heure : 78 km. 500 ; 2e Germain (Per-père), en 5 h. 29’ 51” ; 3e Minerva, en 5 h. 39* 49” ; 4ü Germain ; 5e La Métallurgique ; 6e Minerva ; 7° Pipe ; 8e La Métallurgique ; 9° Viuinus ; 10e Pipe.
- La Coupe de Régularité a été gagnée par La Métallurgique avec ses voitures placées première, cinquième et huitième.
- LONDRES (Salons de). — Du 15 ail 21 novembre 1906, à l’Olympia (voitures de tourisme). — Du 23 novembre au 1er décembre 1906, au Stanley-Show (cycles, voiturettes, motocyclettes). — Du 7 au 16 mars 1907, à l’Olympia (véhicules industriels et canots). — En avril 1907, le Salon Cordingley. àJl’A-gricultural_Hall (voitures automobiles).
- LUCERNE (Meeting de). — Des courses de canots automobiles ont eu lieu, les 19 et 21 août 1905, sur le lac de Lucerne.
- Composées de diverses épreuves pour racers et cruisers, elles se sont terminées par la Coupe de Lucerne (114 km.), gagnée par : 1er New-Trèfle {Richard-Brasier), temps, 2 h. 47’ 51”,— 2e Délahaye VI Nautilus {Délahaye), temps, 3 h. 25’.
- Un accident s’est produit pendant la première course : La Rapière a touché un rocher et a coulé immédiatement à pic, sans accident de personnes.
- — En 1906, l’intérêt de l’épreuve fut malheureusement réduit par suite de la pénurie des engagements.
- La Rapière, seul canot courant la série des racers, couvritjcs 100 kilomètres du parcours en 2 h. 18* 24”, faisant, malgré les nombreux virages, 48 kilomètres de moyenne et battant la montre à défaut des concurrents.
- La catégorie de cruisers donne les résultats suivants :
- lre série (66 kilomètres). — lnr Mendelssohn, en 2 h. 49’ 54”. — 2e Abeille 111, en 3 h. 44’ 31”.
- 2me série (70 kilomètres). — 1er Excelsior VIII, en 2 h. 25’ 50”.
- 3me série (90 kilomètres). — 1(T Calypso, en 2 h. 17’ 44”. — 2e Pampero, en 2 h. 50’ 29”. — 3e Excelsior IX.
- Il devait être courue également une^course de 10 kilomètres ouverte à tous les cruisers sans lest et dotée de 800 francs de prix. Cette course fut supprimée et les 800 francs de prix qu’elle comportait furent appliqués aux autres épreuves.
- MADRID (Salon de), le 4 mai 1907.
- MARBLEKEAD (Course de Canots de). —
- Cette course, organisée paT le Knickerlocker Yacht Club de Marblekead, à Collège Point (Long Island), a eu lieu le premier juillet 1906 et s’est terminée par la victoire du plus petit des engagés, le Susie, à M. Schmelzel, dont la longueur était de 10 mètres à la ligne de flottaison, et le moteur, un simple 8-chcvaux.
- Le parcours était de 280 milles, dont la moitié en pleine mer. Le temps du vainqueur fut de 39 h. 5*. Enfin, résultat remarquable, 10 concurrents sur 12 partants terminèrent la course.
- MARSEILLE-NICE-MONTE-CARLO 1897. —
- Cette épreuve qui eut lieu en réalité sur le parcours
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- Marseille-Nice-La-Turbie, commençait le vendredi 29 janvier 1897.
- Elle se courut en trois jours :
- 1er jour : Marseille à Eréjus (148 km.) ;
- 26 J jour : Fréjus à Nice {68 km.) ;
- 3° jour : Nice La Turbie (17 km. de côte).
- Ce fut une victoire pour la vapeur. Le gagnant de l’épreuve fut en effet le comte de Chasseloup-Laubat, sur voiture à vapeur. Le pétrole ne fut d’ailleurs pas beaucoup distancé, puisque le second, M. Lemaître, sur voiture à pétrole, n’était battu que de 32’ sur la totalité du parcours.
- Voici d’ailleurs le classement définitif pourjle parcours complet de Nice à La Turbie :
- VOITURES
- 1er Chasseloup-Laubat, en 7 h. 45’ 9” — 2e Lemaître, en 8 h. 17’ 27”. — 3° Prévost, en 8 h. 26’ 58”. — 4° de Knyff, en 9 h. 5’ 14”. — 5e E. Giraud, en 9_h.J24’ 23”. — 6. A. Michelin, en 9 h. 35* 50”.
- MOTOCYCLES
- 1er Chesnay, en 9 h. 23’ 36”. — 2e Marcelliny en 9 h. 40’ 53”. — 3e Vicomte du Souliès, en 9 h. 46’ 18”.
- MARCHAIRUZ (Course de côte de), Suisse (14 octobre).
- Voitures ; 1er Pfister {Peugeot), gagnant la Coupe Monod ; 2e Segessmann (Martini) ; 3e Deville {La Luire) ; 4e Montaglieri {Renault).
- Motocyclettes : 1er Jacquemond {Moto-Sacoche) ; 2e Audetnars (Moto-Sacoche).
- « MATIN » (Coupe du).— Le journal « Le Matin » a organisé en août 1906 une très intéressante « Coupe » pour voitures automobiles, longue et dure épreuve d’endurance de 6 000 kilomètres en 28 étapes, à travers la France, qui a donné les résultats les plus probants au point de vue de la résistance et de l’excellent fonctionnement de nombreuses voitures ordinaires, dites de « tourisme ».
- .Dunkerque
- )AM!ENS
- Dieppe
- Rouen
- Verdun
- O/NARD.
- Départ l®pARIS
- l*£S7
- Morlaix
- S'dricuc
- Lorient
- Vesou!
- BFSAt
- Pornic
- lABLESd'OLONNE
- ATLANTIQUE
- ftv, Âu^ocheHe
- Sï Julien
- 'ICH Y
- Annecy
- LYON
- CLERMONT-FER^
- ROYAN
- S‘ f tienne
- Grenoble
- BORDEAUX
- Viviers
- AVIGNON
- Mont-de-Marsan
- Toulouse
- Narbonne
- CARCASSONNE
- MCOITE1RRANEE
- Carte de France montrapt les 28 étapes de la « Coupe du Matin ».
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- Partis au nombre de 47, les concurrents sont revenus au nombre de 32. — Les résultats ont été les suivants :
- Premiers {ex-œquo), sans pénalisation, ayant (Irait au partage du prix de 25 000 francs espèces, constituant la « Coupe du Matin ».
- Bellegrin {de Dion-Bouton et C'u, 8 chevaux ; Sire [Darracq et Ùie), 12 chevaux ; Bardin {de Dion-Bouton et C,,e), 12 chevaux; Paquette {Cottereau et C°,
- 12 chevailx ; Didier {de Dion-Bouton et Ciü), 24 chevaux ; Dunlop {Bayard), 10 chevaux ; Penaux (Mercédès), 4U chevaux.
- Viennent ensuite, également premiers, mais n'ayant pas droit au prix, les concurrents ayant effectué les étapes, avec les temps de pé?ialisation :
- llérald, 33’; de Dion-Bouton, 30’; Darracq, i n. 28’ ; Contai 11.1 h 38’ ; Bayard, 1 h 58’ ; Darracq IV
- 13 h. 7\
- MEUSE (Coupe de la). — Cette épreuve fut courue à Spa le 5 juin 1900. Elle a donné les résultats suivants comme classement général ; 1er Braconnier {Fiat). — 2° Jacobs {Ariès). — 3Ü Bourlard {Germain). — 4e Jacobs {Ilurtu). — 5° Rivière {Mieusset) 0e Grisart {Hochet). — 7e llye de Crom {Pipe). — 8U Van der Burch {Panhard). — 9e Quilliart {Hochet-Schneider) — 10e Dongpie (Pij)e)
- MEYAN (Coupe Paul) (pour canots automobiles) — Cette Coupe s’est disputée le 10 avril 1900 sur le parcours Nice-Antibes-Monte-Carlo-Antibes-Nice, soit 100 kilomètres
- 11 n’y eut qu’un seul partant,le Calypso à M. Crucq, qui, barré par son propriétaire, ellectua le parcours en 3 h. 2’ 33”, soit une vitesse de prés de 33 kilomètres à l’heure.
- MEYAN-SIDDELEY (Match). — Un match automobile a été conclu, en juillet 1905, entre notre compatriote Paul Meyan et l’Américain Siddeley; La lutte a eu lieu sur un parcours de 4 401 kilomètres, l’enjeu était de 10 000 francs ; les voitures concurrentes étaient du modèle commercial de tourisme.
- Le match devait être perdu par la première voiture qui, dans le parcours quotidien de 320 kilomètres environ, ne serait pas arrivée à 7 heures du soir à l’étape, le départ étant donné à 5 heures du matin.
- M. Graliam White conduisait une 18-chevaux Siddeley; M. Meyan, une 24-chevaux de Diétrich, modèle 1903. — Ce match s’est terminé sans résultat par suite de l’arrivée des deux concurrents dans les délais voulus.
- MILAN (Salon de), du 18 mai au 9 juin 1907.
- r MONACO (Meeting des canots à). — L’Exposition des canots a été inaugurée, le 2 avril 1905, par le prince de Monaco ; elle comprenait Cl canots, sur 100 inscrits.
- La première journée des courses, le dimanche 9 avril, n’a pas été favorisée par un beau temps sur mer ; les canots ont dù presque tous abandonner ; le triomphateur a été le petit canot marseillais Jolieüe III, de MM. Borrelly et Sébille (42 km. en 3Jh. 25’ 4”.).
- Les épreuves suivantes ont été gagnées, dans les deuxième et troisième journées par : La Hapière, barrée par Tellier, dans la catégorie des racers de 8 mètres ; par les deux canots anglais Napier (racers de 8 à 12 mètres) ; par VExcelsior VII, moteur suisse Picker-Mocand (cruisers do 6,50 à 8 mètres); par le Pi-Ouü IV {racers de 8 à 12 mètres) ; par le Fiai (cruisers au-dessous de 12 mètres).
- Dans la quatrième journée, la victoire est revenue au Diétrich II (cruisers de 12 k 18 mètres) ; au canot Henriette (embarcations de service) ; au Dalifol (canots de bossoir).
- Le Championnat de la Mer a été gagné par la Panhard-Levassor, suivi de La Hapière, second (racers), et par le Têtu, k moteur Delahaye (cruisers).
- La sixième journée a vu triompher le Nogentais (cruisers); laseptième,le Dubonnet (moteurDelahaye) qui, le premier, a dépassé le 52 à l’heure dans les epreuves du mille et du kilomètre ; la huitième,, le Madrioto {Henault), dans le handicap des racers.
- Ces épreuves, très contrariées par l’état de la mer,, ont été attristées par deux accidents : l’incendie du Trèfle-à-Quatre et le naufrage du Panhard-Levassor, coulé à pic en pleine course; on n’a pas eu,, heureusement, à constater d’accidents de personnes.
- — En 1906, le meeting de Monaco se disputa du 4 au 15 avril. La première journée lurent courues la course des petits cruisers de 6 m. 50 et celle des racers de 8 mètres ; toutes deux se disputèrent par un temps radieux sur une distance de 50 kilomètres.
- Résultats (cruisers) : 1er Mendelssohn II, à. M. Despujols, en 2 h. 1’ 3” 1/5, moyenne à l’heure : 24 km. 790. — 2e Takumono, à ivL. \Y. Miall Green,, en 2 li. 28’ 6” 1 /5, moyenne à l’heure 20 km. 270. — 3y Xautilus-Mutel, en 2 h. 38’ 8”. — 4e Fleur-d*Hélice, en 2 h. 41’ 57”. — 5e Maquette, en 3 h. U 18”.
- liacers de 8 mètres : — 1er Antomette (moteur Levavasseur, coque Pitre, en 1 h. 9’ 22”, moyenne à l’heure 43 km. 250. — 2e La Hapière (moteur Panhard-Levassor, coque Tellier), en 1 h. 11’ 55”,. moyenne à l’heure 41 Km. 675.
- Deux autres concurrents qui avaient également pris le départ, le Vol-au- Vend et le üeasick, abandonnèrent.
- La seconde journée du meeting vit se disputer,, par une mer très agitée, une épreuve pour les cruisers de 6,50 à 8 mètres, et une épreuve pour les racers de 8 à 12 mètres, toutes deux sur 50 kilomètres..
- Le classement des cruisers fut le suivant :
- lur Excelsior Vlll, en 2 h. 19’ 36”, moyenne à. l’heure 21 km. 480. — 2e Janus 11, en 3 h. 13’ 4”.
- L’épreuve réservée aux racers ne fut pas très intéressante par suite de l’état de la mer qui empêchait toute vitesse. En voici les résultats :
- 1er Yarrow-Napier à M. S. E. Edge, en 2 h. 41” moyenne à l’heure 24 km. 925.
- Nous sommes loin, en eiïet, de la moyenne de l’année précédente 1 Cette épreuve avait été gagnée par le même canot, qui s’appelait alors le Xapier II,. et qui couvrit la distance de 100 kilomètres en 2 h. 25’ 54”, réalisant ainsi une moyenne de 42 kilomètres à l’heure.
- En 1906, le canot Fiat XIII prit derrière le Yar~ row-Napier la seconde place en 2 h. 32’. Le troisième jour du meeting, l’épreuve réservée aux cruisers de 8 à 12 mètres fut l’occasion d’une belle victoire pour le Calypso à M. Crucq, qui couvrit les 50 kilomètres du parcours en 1 h. 28’ 28”, soit une moyenne à l’heure de 33 km. 950.
- 11 précédait les canots suivants : Xautilus, Excel-sior IX, Pampero, Quicksilver et Féfé, dans l’ordre.
- Le même jour, l’épreuve de 50 kilomètres réservée aux racers de 12 k 18 mètres fut gagnée par le Nau-tilus, en 1 h. 18’ 4”, soit une moyenne k l’heure de 38 km. 460. 11 était suivi du Dubonnet et du Mercedes D. L. dans l’ordre.
- Le quatrième jour vit la victoire du Dalifol dans les canots de bossoir et de YHenriette dans les bateaux de pêche. Une épreuve de 50 kilomètres réservée aux cruisers de 12 à 18 mètres fut gagnée par Pampa, en 2 h. 2’ 56”, moyenne à l’heure 24 km. 500.
- Le Championnat de la Mer (200 km.), qui fut couru le cinquième jour du meeting, fut disputé par 24 concurrents, tant racers que cruisers.
- Après une course palpitante d’intérêt, k tel point que les 4 premières arrivées eurent lieu en 7 minutes, le classement donna les résultats suivants :
- 1er Nautilus, en 4 h. 40* 12”, moyenne à l'heure 42 km. 850. — 2° Antoinette IV, en 4 h. 42* 53”. — 3e Fiat XIII, en 4 h. 46’ 37”. — 4e Yarrow-Napier
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- en 4 h. 47* 38”. — 5e V ol-au-V ent. — 6° Nautilus (1er des cruisers). — 7e Mercédès W. N. — 8° Mer-cédès D. L.
- La sixième journée fut réservée au handicap des racers et à celui des cruisers.
- Le premier fut gagné par le Yarrow-Napier qui précédait de 5 secondes seulement le Seasick, qui lui rendait 1 minute. Le Seasick dans cette course battit de 5 minutes le record du monde des 50 kilomètres établi par Antoinette. Il couvrit un tour en 12* 22”, ce qui donne une vitesse de 48 km. 520 à l’heure qui n’avait pas encore été enregistrée depuis le début du meeting.
- Le handicap des cruisers fut gagné par Florentin, précédant dans l’ordre : Calypso, Extra-Dry, Nihil, Féfé, Petit-Pierre, Nautilus, La Lorraine, Excel-sior VIII, Mais-je-vais-piquer, Quicksilver, Alexandre I, Muguette, Dalifol III.
- La septième journée vit se disputer une course sans résultats. Une épreuve devait en effet être courue sous les règlements nouveaux de l’Auto-mobile-Club et du Yacht-Club. Ce règlement n’ayant pu être appliqué, les temps ne furent pas pris par les chronométreurs officiels.
- La Coupe du prince de Monaco fut disputée durant la huitième et dernière journée du meeting. Elle fut gagnée par le Fiat XIII, qui couvrit le mille arrêté en 2’ 25” et le kilomètre lancé en 1’ 11” 4/5, ce qui donne comme moyenne générale une vitesse de 47 km. 360 à l’iieure.
- Le Seasick, qui fut ce jour-là second du classement général, battit au cours de l’épreuve le record du kilomètre en mer qu’il couvrit en 1’ 10” 3/5, soit une vitesse de 50 km. 500 à l’heure.
- Le troisième du classement fut le Dubonnet, qui couvrit le mille arrêté en 2’ 35” et le kilomètre lancé en 1’ 10” 2/5. Moyenne générale, 44 km. 400.
- MYSORE (Coupe du Roi de).— Parcours Bom-bay-Mahablesliwar et retour (804 kilomètres), du 14 au 18 janvier 1906. — Cette épreuve a été gagnée « dead-heat » par les voitures Richard-Brasier, de Diétrich et Fiat.
- MONT-CENIS (Course de côte du). — Cette course classique s’est disputée, le 16 juillet 1905, sur les 22 kilomètres de la dure rampe en lacets qiq relie Suze à Cenise, avec une pente moyenne de 8 0/0
- Voici le classement dans les différentes catégories :
- Vitesse.— Grosses voitures : 1er Nazzari (100 chev. Fiat), en 19’ 18”. — 2e Cagno (Fiat). — 3° Hémery (Darracq). — Voitures légères. — 1er Itaggio
- (24 chevaux Itala). — 2e Blart (Itala). — Motocyclettes : 1er Riva (Peugeot) ; 2e Maffeis (Maffeis). — Reale (Peugeot).
- Touristes. — Grosses voitures : 1er Weilschott (75 chevaux Fiat), en 23’ 6”. — 2e Bigio (Itala). — Voitures légères : 1er Verccllonc (Clément-lkiyard). — 2e Bergesio (Rocar). — Voiturettcs : lor Graziani (Peugeot). — 2° Pieena (Peugeot).
- MOTOCYCLE CLUB DE FRANCE (Coupe internationale du). — Cette épreuve fut courue pour la première fois en 1904, sur le parcours Saint-Arnoult, Dourdan, Ablis, et fut remportée par le Français Demester.
- En 1905, les Eliminatoires françaises donnèrent les résultats suivants :
- 1er Demester. — 2e Giuppone, sur Peugeot. — 3e Champoiscau, sur Peugeot.
- Malgré l’excellence de cette équipe, la Coupe fut gagnée le 25 juin 1905 par l’Autrichien Wondrick, sur motocyclette Laurin-Elément.
- Voici d'ailleurs la liste des partants dans cette épreuve et celle des résultats :
- Partants. — Demester (France), Cari Muller {Allemagne), J. S. Campbell (Angleterre), Toman (Autriche), Giuppone (France), Menzel (Allemagne), H. A. Collier (Angleterre), Nikodem (Autriche),
- Cissac (France), Jalm (Allemagne), C. B. Franklin (Angleterre), Wondrich (Autriche).
- Résultats. — 1er Wondrick (Autriche), qui couvre les 270 kilomètres du parcours en 3 h. 5’ 15”, réalisant ainsi une moyenne de 88 kilomètres à l’heure environ. 2e Giuppone, en 3 h. 35’ 2”. —- 3e Demester qui, arrivé deuxième, est déclassé par le jury pour avoir changé une roue pendant l’épreuve.
- Selon le règlement la Coupe doit se disputer dans le pays détenteur.
- L’épreuve eut donc lieu en Autriche le 8 juillet 1906. La France, l’Allemagne, l’Angleterre et l’Autriche étaient représentées.
- Le parcours était extraordinairement difficile et les Autrichiens remportèrent une facile victoire sur les représentants des autres pays qui ne connaissaient que très insuffisamment un circuit aussi accidenté.
- Nos trois champions sur motocyclettes René-Gillet. furent mis hors de combat par des chutes terribles; bien qu’il n’y ait pas eu heureusement de blessures trop graves à déplorer.
- Finalement le classement s’établit comme suit ;
- 1er Nikodem (motocyclette Puch), en 3 h. 13’ 45” 2/5, moyenne à l’heure 77 km. 319. .— 2e Obruba (motocyclette Puch), en 3 h. 29’ 41” 3/5. —• 3e H, Collier (Matchless), en 3 h. 39’ 53” 3/5. — 4ü Retienne (Progress), en 3 h. 55’ 21”.
- Tous les autres avaient abandonné. La distance était exactement de 250 kilomètres.
- OMNIBUS AUTOMOBILES DE MILAN (Concours d*). — Les résultats de ce concours, qui a eu lieu du 15 juin au 31 juillet, a donné les résultats suivants ;
- VT Omnibus Serpollet ; 2e omnibus Orion ; 3e omnibus Fiat ; 4e omnibus Serpollet.
- NEW-YORK (Salon de), du 1er au 8 décembre 1906.
- OR (Coupe d*). — Organisée par l’A.C. de Milan du 14 au 24 mai 1906. Cette épreuve de Tourisme avait réuni 52 engagements. 48 voitures prirent le départ.
- L’épreuve se courait en 11 étapes. Après chacune d’elles, les voitures étaient mises dans un cpar fermé jusqu’au départ de l’étape suivante.
- Le classement général donna les résultats ci-dessous :
- 1er Lancia (Fiat), sur pneus Michelin. — 2° Maggioni (Z'ùst). — 3e Cagno (Itala). — 4° Naz-zaro (Fiat). — 5° Boschis (Fiat). — 6e Macdonald (San Giorgio). — 7° Glenworth (San Giorgio). — 8° Fraschini (Isotta-Fraschini). — 9e Pfanz (Benz). — 10e Bossano (Benz). — 11e Vercellone (Diatto-A. Clément). — 12e Minora (Isotta-Fraschini). — 13e Colinot (Diatto-A. Clément). — 14e Fabry (Itala). — 15° Von Lude (Martini). — 16e Nagliati (de Dion-Bouton).
- Par sa victoire, Lancia (Fiat) devint donc détenteur de la Coupe d’Or et de plus toucha les 25 000 lires qui étaient affectées au gagnant de l’épreuve.
- La Coupe de Régularité de la ville de^Milan fut gagnée par l’équipe Fiat et des médailles d’or et diplômes furent délivrés à toutes les voitures classées (16 sur 48 partants).
- Les pénalisations sur lesquelles était basé le classement de ces 16 voitures, variaient de 2 minutes pour Maggioni à 11 heures pour Nagliati.
- Le bel objet d’art qu’était la Coupe de Régularité de la Ville de Milan avait été prêté par la maison Fiat pour figurer à l’Exposition de Milan, où il fut admiré. Il fut détruit lors de l’incendie de Milan.
- ORIG N Y-SAINTE-BEN OIT E (Meeting d’). — 4 et 5 novembre 1906. — Épreuve comprenant 2 kilomètres (palier, et rampes atteignant 6 p. 100^,
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- près de Sa:nt-Quentin, et courue «ous une pluie battante.
- Voici les résultats obtenus :
- Grosses voi'ures : 1er Darracq (200 chevaux, 8 cylindres), Lee Guiness, en 1* 0” 2/5 (moyenne: 119 km. 600) ; 2e Napier, Cecil Edge, en 1’ 6” 4/5.
- Voitures: Darracq, en 1* S*' 2/5; 2e Bayard-Clément, en 1* 29”.
- Voitures légères : Darracq, en 1* 44” 1/5.
- Motocyclettes : Peugeot, Cissac, en 1* 14” 4/5.
- PANORMITAN (Coupe). — Épreuve disputée en mars 1906, à Païenne. Le classement général établi à la suite des concours de freins, de côte, de consommation et de vitesse, fut le suivant :
- 1er Prix : Itibolla (Berliet 22 chevaux), 1 200 fr. et la Coupe Panormitan. — 2e prix : Rigal [Itala 50 chevaux), 700 francs et médaille d’or. — 3e prix : Losa (Renault 14-2C-chevaux), 500 francs et médaille d’argent. — 4e prix ; Palotini {Fiat 24 chevaux), 300 francs.— 5e prix : llavctta {Mercêdès 60 chev.), 100 francs.
- PARIS A LA MER. — Cette course de canots automobiles, organisée par le Journal de VAutomobile > a eu lieu du 23 au 26 juillet 1905, de Paris au Havre et à Trouville. Mais, malgré sa parfaite organisation et les hauts patronages qu’elle avait -obtenus, elle n’eut q.u’un médiocre succès, par suite des violentes polémiques qu’elle avait soulevées autour d’elle : sur plus de 50 concurrents engagés, 3 seulement se sont présentés au-départ.
- PARIS-AMSTERDAM-PARIS. - 1898. —
- Cette épreuve contenait deux catégories : 1° Vitesse, 2° Touristes.
- La catégorie Touristes partit de Paris le mardi 5 juillet et effectua le parcours en 10 étapes.
- Le départ de la catégorie Vitesse eut lieu le jeudi 7 juillet. Voici l’itinéraire qu’elle avait à parcourir •en 6 étapes :
- Jeudi 7 juillet, Paris-Châtcau-d’Ardenne, 303 kilomètres.
- Vendredi 8 juillet, Chûteau-d’Ardenne-Xymè-gue, 275 kilomètres.
- Samedi 9 juillet, Xymègue-Amsterdam, 114 kilomètres.
- Dimanche 10 juillet, Exposition à Amsterdam.
- Lundi 11 juillet Amsterdam-Liège, 289 kilomètres.
- Mardi 12 juillet, Liège-Verdun, 264 kilomètres.
- Mercredi 13 juillet, Verdun-Paris, 312 kilomètres.
- Total : 1 557 kilomètres.
- Le départ des concurrents Vitesse eut lieu le jeudi 7 juillet à 8 heures du matin, sur le plateau de Villiers. 43 concurrents se présentèrent, 37 arrivèrent à Château-d’Ardenne et se mirent sous les ordres du starter le lendemain pour le départ de la seconde étape Château-d’Ardenne-Xymègue.
- Voici d’ailleurs le nombre d’arrivants à chaque •étape :
- Paris-Château-d’Ardenne : Partants 43, arrivants
- O
- Château d’Ardenne-Xymègue : Partants 37, arrivants 33.
- Nymôgue-Amsterdam : Partants 33, arrivants 31.
- Amsterdam-Liège : Partants 31, arrivants 29.
- Liège-Verdun : Partants 29, arrivants 26.
- Verdun-Paris : Partants 26, arrivants 23.
- L’arrivée eut lieu en réalité à Montgeron, les pouvoirs publics ayant interdit la course dans le département de la Seine. Les coureurs terminèrent l’épreuve sous une pluie battante.
- Le classement officiel de l’épreuve, après rectifications et défalcations faite des neutralisations, fut le suivant :
- CATÉGORIE VITESSE Voitures
- 1er Charron, en 33 h. 4’ 34”, moyenne à l’heure 44 km. 700. — 2° Girardot, en 33 h. 25’ 18”. — 3e
- Gaudry, en 34. h 8’ 58”. — 4e de Knyff, en 34 h. 58’ 50”. — 5e Loysel, en 35 h. 19’ 9”. — 6° Adam, en 35 h. 45’ 57”. — 7e Doriot, en 36 h. 20’ 47”. — 8e Kraeutler, en 38 h. 26’ 55”. — 9e Levegh, eu 38 h. 41’ 2”. — 10e Antony, en 39 h. 30’ 14”. — 11e Chesnay, en 43 h. 58’ 40”. — 12e G. Hourgières, en 46 h. 50’ 19”. —• 13e Jleath, en 48 h. 58’ 26”. — 14e Docteur Pascal, en 52 h. 30’ 58”. — 15e Védrine, en 57 h. 27’ 5”.
- Marcelin triompha dans la catégorie des Moto-cycles, effectuant le parcours complet en39 h. 36’ 37”, soit une vitesse moyenne de 36 km. 300 â l’heure.
- Le meilleur temps dans la catégorie Touristes fut fait par Guiet en 44 h. 33’ 50”, soit une vitesse moyenne de 31 km. 900 à l’heure.
- PARIS-BERLIN (1200 km.) 1901. — Cette épreuve fut organisée par l’Automobile Club de France et l’Automobile-Club d’Allemagne. Elle fut courue en trois étapes :
- lre étape (27 juin 1901), Paris-Aix-la-Chapelle, départ du Fort de Champigny à 3 h. du matin.
- 2e étape (28 juin); Aix-la-Chapelle-Hanovre, départ d’Aix-la-Chapelle à 5 heures du matin.
- 3° étape (29 juin), Hanovre-Berlin, départ de Hanovre à 5 heures du matin.
- Arrivées à Berlin, les voitures se rendirent à l’Automobil-Ausstellung Georgcnstrusse, où elles furent exposées le dimanche 30 juin et lundi 1er juillet.
- L’épreuve était internationale. Le départ fut donné aux véhicules, dans l’ordre de leur inscription et de deux en deux minutes,
- A l’arrivée de chaque étape, les véhicules étaient soumis au régime du parc fermé.
- Toutefois les délais suivants étaient accordés aux concurrents pour les soins à donner à leurs voitures : à l’arrivée : 15 minutes. —Avant le départ : 1 heure.
- Un certain nombre de villes se trouvaient sur le parcours. Leur traversée avait naturellement été neutralisée et les concurrents devaient, dans ces villes, sous peine de disqualification, suivre le pilote à bicyclette qui les précédait de 25 ou 30 mètres et marchait à une allure de 12 à 15 kilomètres à l’heure.
- Les engagements étaient reçus à l’Automobile-Club de France. Ils étaient de :
- 300 francs pour les voitures.— 200 francs pour les voitures légères. — 100 francs pour les voiturettes. — 50 francs pour les motocyclcs.
- La course obtint un succès sans précédent. De Champigny, où avait lieu le départ, jusqu’au delà d’Ozouer-la-Fcrrière, les deux côtés de la route étaient noirs de monde. La seule ombre au tableau fut causée par les réclamations de certains concurrents d’après lesquels tout ne s’était pasTpassé très régulièrement dans les parcs fermés. Aucune de ces réclamations ne fut retenue, et le classement ofïiciel^donna les résultats suivants :
- Voitures. — 1er Fournier (J/o/s), en 15 h. 33’ 6”, moyenne à l’heure 71 km. 100. — 2e Girardot {Panhard-Levassor), en 16 h. 38’ 38”. — 3e 1t. de Knyff (Panhard-Levassor), en 16 h. 40’ 2”. — 4e Brasier {Mors), en 17 h. 14’ 35”. — 5e H. Farman {Panhard-Levassor)j en 17 h. 46’ 6”. — 6e Charron {Panhard-Levassor)j en 18 h. 20’ 57”.
- Voitures légères. — 1er Giraud (Panhard-Levassor), en 19 il. 18 14”. — 2e Berteaux {Panhard-Ijevassor), en 22 h. 3’ 9”. — 3e Teste {Panhard-Levassor), en 22 h. 3’ 41”.
- Voiturettes.— 1er Louis Renault [Renault frères), en 18 h. 37’ 23”. — 2e Grus {Renault frères), en 22 h. 28’ 33”.— 3e L. Morin-Corrc {Corre), en 29 h.4”.
- Motocycles.. — 1er Osmont {de Dion), en 18 h. 50’ 10”. — 2« Bardeau, en 20 h. 35’ 39”. — 3e Cor mier, en 21 h. 58’ 24”.
- PARIS-BORDEAUX-PARIS 1905. — La course Paris-Bordeaux-Paris eut lieu le 11 juin 1895. Elle était internationale. Le parcours qui comprenait 1.200 kilomètres, devait être fait en une seule étape.
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- Avant le jour de l’épreuve, il avait été organisé une exposition payante qui commença le 1er juin pour se terminer le 9 du môme mois. Tous les concurrents étaient tenus d’y participer. L’argent produit par cette exposition ainsi que par une souscription qui avait été organisée et en tête de laquelle figuraient MM. le baron de Zuylen et J. Gordon-Benett, chacun pour la somme de 10 000 francs, devait être réparti de la façon suivante entre les arrivants :
- Au 1er, 50 % — au 2% 20 % — au 3Ü, 10 % — et les 4 suivants 5 %.
- Le 1er prix ne pouvait être attribué qu’à une voiture d’au moins quatre places.
- Le départ fut donné le 11 juin, à Versailles, par le marquis de Chasseloup-Laubat, assisté de M. Berger. Sur plus de quarante engagés, une vingtaine de partants seulement se présentèrent sous les ordres du starter.
- L’électricité était représentée par une voiture ( Janteaud), la vapeur par six, et le pétrole par douze voitures et deux motocyclettes.
- Les concurrents étaient chronométrés à l’aller et au retour, aux passages suivants :
- Côte de Châteaufort. — Forêt Le Roy.— Étampes.
- — Orléans. — Blois. — Tours. — Poitiers. — Angoulême. — Bordeaux (Virage).
- Onze voitures seulement virèrent à Bordeaux, plus la voiture électrique Janteaud qui ne vira qu'aprôs la fermeture du contrôle.
- . La sélection était déjà faite au virage de Bordeaux, car deux voitures seulement abandonnèrent pendant le retour de Bordeaux à Paris.
- Les neufs voitures qui finirent la course se classèrent de la façon suivante :
- lrü, n° 5, Panhard-Levassor, 2 places, en 48 h. 47’.
- — 2e, n° 15, Peugeot, 2 places, en 54 h. 35’.— 3e, n° 16. Peugeot, 4 places, en 59 h. 48’. — 4e, n° 8, Peugeot, 4 places, en 59 h. 49’. — 5e, n° 12, Roger, 4 places, en 64 li. 3Ü\ — 6°, n° 7, Panhard-Levassor, 4 places, en 72 h. 14’. — 7e, n° 28, Panhard-Levassor, 5 places, en 78 h. T. — 8e, il0 13, Roger, 4 places, en 82 h. 48’. — 9e, n° 24, Omnibus à vapeur Bollée, 0 places, en 90 h. 3’.
- Selon le règlement, le premier prix ne pouvait être gagné que par une voiture à 4 places. L’attribution des prix fut la suivante :
- 1er prix : 30 000 fr., n° 16, Peugeot.— 2e prix : 12 000 fr., n° 5, Panhard-Levassor. — 3° prix : 6 000 fr., n° 15, Peugeot.— 4° prix : 3 000 fr., n° 8, Peugeot. — 5e prix : 3 000 fr,, n° 12, Roger. — 6e prix : 3 000 fr., n° 7, Panhard-Levassor. — 7° prix * 3 000 fr., n° 28, Panhard-Levassor.
- Deux prix supplémentaires d’une valeur de 1 500 fr. furent accordés aux 8° et 9e arrivants : les numéros 13 (Roger) et 24 (Bollée).
- PARIS-BORDEAUX 1899 (565 kïljmètres). —
- Cette épreuve, qui eut lieu le 24 mai 1899, était organisée par l’Automobile Club de France.
- Les engagements s’élevaient à 74, dont 41 moto-cycles et 33 voitures. Le matin du départ, il n’y eut que 9 défections.
- Le départ fut donné d’abord au 37 motocycles ensemble à 3 h. 12’ du matin, puis à 3 h. 32’ aux 28 voitures.
- Le vent qui soufflait en tempête gêna fort les coureurs. Le gagnant de la catégorie des voitures, M. Charron, n’en couvrit pas moins les 565 kilomètres du parcours à une allure dépassant les 48 kilomètres à l’heure de moyenne.
- Dans la catégorie motocycles, le premier, M. Bar-din, couvrit la distance à plus de 42 kilomètres à l’heure de moyenne.
- L’arrivée des concurrents eut lieu sous une pluie battante. Voici les résultats officiels de l’épreuve :
- Voitures. — 1er Charron, en 11 h. 43’ 29”. — 2° R. de Ivnyff, en 11 h. 51’ 26”, — 3° Girardot, en 12 h. 32’ 35”.— 4e Archambault, en 12 h. 37 '45 ”. — 5e Hourgières, en 13 h. 3’ 44”. — 6e Antony, en 13 h. 17* 43”.
- Motocycles. — 1er Bardin, en 13 h. 22’ 42”. — 2e Teste, en 13 h. 29’ 30”. — 3e De Méaulne, en 13 h. 44’ 35”. — 4e Vasseur, en 14 h. 56’ 35”.
- En 1901 eut lieu une seconde épreuve Paris-Bordeaux. organisée également par l’Automobile Club de France et en même temp3 que celle-ci se courait la Coupe Gordon-Bennett. Le départ eut lieu le 29 mai à 4 heures du matin.
- Il n’y eut aucun accident grave et le classement officiel donna les résultats suivants :
- Voitures. — 1er Fournier sur Mors, en 6 h. 11’ 44” 3/5. — 2e M. Farman sur Panhard, en 6 h. 41*’ 1” 4/5.— 3e Voigt sur Panhard, en 7 h. 16’ 11” 2/5.
- — 4e Pinson sur Panhard, en 7 li. 46’ 51” 4/5. Voitures légères. — 1er Giraud sur Panhard, en
- 8 h. 9’ 48” 4/5. — 2° Baras sur Darracq, en 8 h. 42' 52” 2/5. — 3e Edmond sur Darracq, en 10 h. 25’ 4”.
- Voiturettes. — 1er L. Renault sur Renault frères, en
- 9 h. 32’ 27”. — 2e M. Renault, sur Renault frères; en 9 h. 40’ 14” 1/5. — 3e Oury, sur Renault frères, en 9 h. 46’ 50” 2/5.
- Motocycles. — 1er Teste, sur tri de Dion, en 8 h. 1’ 3/5. — 2e Osmont sur de Dion; en 8 h. 3’. — 3e Bardeau, sur de Dion, en 8 h. 54’ 6” 3/5.
- PARIS-BOULOGNE-SUR-MER (230kilomètres)
- — Cette épreuve eut lieu lejl7 septembre 1899. Les départs étaient donnés à Saint-Germain-en-Laye à l’entrée de la forêt, sur la route de Conflans, aux heures suivantes :
- A 8 h. 1 /2, motocycles à deux places. —A 9 heures, aux voiturettes. — A 10 heures aux voitures.
- L’arrivée réelle se faisait à l’entrée de Boulogne, mais les concurrents étaient tenus d’aller signer au Casino, d’où ils se dirigeaient sur le cirque où avait lieu un garage-exposition.
- Voici quels furent les résultats *
- Voitures. — 1er Girardot, en 4 h. 17’ 44”. — 2e Le-vegh, en 4 h. 19’ 20”. — 3e Broc, en 4 h. 32' 20”.
- — 4e Rolls, en 6 h. 11* 30”.
- Voiturettes. — 1er Leuliette, en 7 h. 9’ 4”. — 2e Lefèvre, en 7 h. 33’ 15”.
- Motocycles. — 1er Baras, en 5 h. 22’ 17”. — 2& Demester, en 6 h. 13’ 20”. — 3e Osmontuien 6 h. 4’.
- — 4e Lôa Lemoine, en 6 h. 24’ 40”. — , nooen 6 h. 36’ 6”.
- PARIS-DIEPPE (170 kilomètres), 1897.— Cette épreuve, organisée par le Journal des Sports, le Figaro, sous le patronage de l’Automobile Club de France, s’est disputée le 24 juillet 1897.
- Elle obtint un très grand succès. Pour la première fois, on vit des voitures soutenir en course, pendant 170 kilomètres, une vitesse moyenne de plus de 40 kilomètres à l’heure, et ce sur un parcours plutôt mouvementé.
- Un train spécial avait été organisé qui devait arriver à Dieppe avant le premier des concurrents. 11 transportait d’ailleurs tous les officiels de l’épreuve, Or, il arriva à Dieppe 13e 1 1
- Voici le classement établi à l’arrivée des concurrents à Dieppe : ^
- Motocycles. — 1er Jamin sur Bollée, en 4 h. 13' 33”. — 2° Pellier, sur Bollée, en 4 h. 43’ 55”. — 3° Bertrand, sur de Dion, en 4 h. 45’ 15”.
- Voitures à 2 places. — 1er Gilles-ÏÏourgière sur Panhard en 4 h. 36’. — 2e Charron, sur Panhard;, en 4 h. 38' 31”. — 3° Prévost, sur Panhard, en 4 h. 48’ 12”,
- Voitures à 4 places. — 1er de Dion, sur de Dion, en 4 h. 19’ 34”. — 2e Giraud, sur Panhard, en 4 h. 48» 9»*t — 3e Archdeacon,sur Delahaye, en 5 h. 41' 15”.
- Voitures à 6 places. — 1er D. Courtois, sur Delahaye, en 5 h. 58’ 13”. — 2e Doriot, sur Peugeot, en 6 h. 26’ 53”.
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- ARIS-MADRID (1903). — Cette course fut la dernière épreuve de vitesse organisée de ville à ville.
- Elle devait se courir en trois étapes :
- 24 mai, Versailles-Bordeaux, 552 kilomètres. 25 mai, exposition à Bordeaux.
- 26 mai, Bordeaux-Victoria, 335, kilomètres.
- 27 mai, Victoria-Madrid, 420 kilomètres.
- Soit au total : 1 307 kilomètres.
- Le nombre des engagements (grosses voitures, voitures légères et motocycles) s’éleva k 314.
- C’est justement k ce trop grand nombre d’engagements, ainsi qu’à l’afilucnce énorme de spectateur? le long du parcours qu’il faut attribuer les accidents qui se produisirent lors de la première étape Paris-Bordeaux.
- La liste de ceux-ci fut malheureusement longue. Ce fut d’abord auprès de Coulié-Vêrac le choc terrible contre un arbre qui laissa M. Marcel Renault inanimé, la mort ne devant faire son œuvre que 48 heures après.
- Puis, k l’entrée d’Angoulême, M. Georges Richard, dont la voiture se brisa dans une rencontre avec une charrette et à la sortie de cette même ville l’embardée fatale de M. Tourand qui causa la mort de trois spectateurs.
- A Saint-Pierre-du-Palais, M. Stead en dépassant une autre voiture fait panache et se blesse grièvement ; Lesna à motocyclette se brise la rotule dans un passage à niveau.
- M. Lorraine-Barrow, en voulant éviter un chien, bute contre un arbre, et son mécanicien se tue.
- Enfin, M. Porter voit sa voiture prendre feu après s’être renversée, et son mécanicien est tué.
- A la suite de ces accidents, le ministre de l’Intérieur prit le parti d’interdire le parcours français de la deuxième étape. On décida alors de couvrir cette seconde étape en touristes et de reprendre la course k la frontière; mais l’on apprit bientôt que le gouvernement espagnol l’avait interdite également sur son territoire.
- La course était donc finie.
- L’émotion soulevée par cette épreuve eut d’ailleurs sn répercussion la Chambre, mais la discussion fut heureusement menée avec modération et l’on n’eut pas les mesures draconnienes envers l’industrie automobile que l’on pouvait craindre.
- La Commission sportive de l’Automobile Club de France, à la suite de ces événements décida que les véhicules n’ayant pas été pesés à Bordeaux (les dispositions n’avaient été prises que pour les peser à Madrid), il n’y avait pas lieu de faire im classement officiel pour cette première étape.
- Elle ne publia donc qu'd titre de renseignement le temps mis par les véhicules pour arriver k Bordeaux.
- Grosses voitures. — 1er Gabriel, sur Mors,
- en 5 h. 14’ 31” 1 /5, moyenne k l’heure 06 km. 000. — 2e Salleron, sur Mors, en 5 h. 47’ 1” 4/5. — 3e .Tar-rott, sur Dietrich, en 5 h. 52’ 55”. — 4° de Crawliez, sur Panhard, en 5 h. 54’ 11” 2/5. — 5° Warden, sur Mercêdès, en 5 h. 55’ 30’ 4/5. — 6e Voigt, sur C. G. F., en 5 h. 57’ 40” 1/5.
- Voitures légères. — 1er L. Renault, sur Renault frères, en 5 h. 20’ 30” 1 /5. — 2e Barras, sur Darracq, en 6 h. 13’ 20” 4/5. — 3° Page, sur Decauville, en 6 h. 20’ 08” 1 /5. — 4e Hémery, sur Darracq, en
- 6 h. 56’ 53” 1/5. — 5e Pelisson, sur de Dion-Bouton, en 7 h. 13’ 42” 3/5. — 6e Théry, sur Decauville, en 7 h. 24’ 16”.
- VoitureUes. — 1er Masson, sur Clément, en
- 7 h. 14’ 45” 1/5. — 2e Barillier, sur Richard, en
- 7 h. 40’ 3/5. — 3e Wagner, sur Darracq, en 7 h. 48' 12” 2/5.
- Motoci/clettes. — 1er Bucquet, sur Werner, en
- 8 h. 56’ 55”. — 2e Demester, en 9 h. 04’ 44” 4/5.— 3e Jollivet, en 9 h.-26’ 54” 2/5.
- PARIS-MARSEILLE-PARIS. — Cette épreuve eut lieu le 1er octobre 1896 et jours suivants par étapes successives. A son occasion se disputait, le
- 28 septembre sur le parcours Paris-Mantes et retour, une course de motocycles.
- Tout motocycle qui avait gagné un prix dans Paris-Mantes était autorisé k effectuer le parcours Paris-Marseille et était officiellement chronométré. Comme on peut le voir, on avait par conséquent cherché à sélectionner les motocycles !
- Les conducteurs des véhicules prenant part k la course Paris-Marseille ne pouvaient être changés qu'aux étapes, sauf en cas de force majeure.
- Aucune maison engagée ne pouvait présenter plusieurs véhicules du même type et de dimensions similaires, sauf pour la classe B où les maisons concurrentes pouvaient présenter jusqu k trois véhicules.
- Les véhicules ôtaient tenus de figurer à l’exposition qui ouvrait le 24 septembre.
- Chaque voiture était accompagnée par un commissaire choisi de préférence parmi les membres de l’Automobile Club, qui était chargé de faire un rapport sur la marche de la voiture placée sous sa surveillance et les incidents de la route.
- Toutes les places d’une voiture devaient d'ailleurs être occupées, sinon chaque personne manquante était remplacée par un poids de 75 kilogrammes.
- Les villes d’étapes étaient les suivantes :
- Aller. — Auxerre, Dijon, Lyon, Avignon, Marseille.
- Retour. — Avignon, Lyon, Dijon, Sens, Paris.
- Nous donnons k titre de renseignements les éliminations successives pendant la première moitié du trajet.
- Véhicules contrôlés au départ de Versailles, 30 : véhicules contrôlés au départ d’Auxerre, 28; véhicules contrôlés au départ de Dijon, 16; véhicules contrôlés au départ de Lyon, 14; véhicules contrôlés au départ d’Avignon, 14; véhicules contrôlés k l’arrivée k Marseille, 14.
- On remarquera le saut brusque qui s’est produit entre Auxerre et Dijon (28 k 16). Il est dû à un cyclone survenu le 25 septembre et qui gêna énormément la marche des concurrents.
- On peut dire que si l’aller s’était fait dans les mêmes conditions que le retour, c’est-û-dire k peu près normalement, il n’y aurait eu que très peu de déchet, parmi les voitures.
- La meilleure preuve en est que sur 14 concurrents ayant pris le départ à Marseille, 14 arrivèrent à Paris.
- Voici le classement général des véhicules ayant-effectué le parcours ent ier ;
- 1er n° 6, Panhard-Levassor, en 67 h. 42' 58”, moyenne il l’heure 25 km. 200. — 2e n° 8, Panhard-Lavossor, en 68 h. 11’ 5”. — 3° n° 13, de Dion-Bouton, en 71 h. 1’ 5”. — 4° n° 5, Panhard-Levassor, en 71 h. 23’ 22”. — 5e n° 51, Michelin, en 73 h. 30’ 12". — 6e n° 46, Peugeot, en 75 h. 26’ 24”. — 7e n° 41, Delahaye, en 75 h. 29’ 48”. — 8° n° 44, Peugeot, en 81 h. 23’ 51”. — 9e n° 15, de Dion-Bouton, en 83 h. 13’ IC”.— 10° n° t2,Delahaye,en 84 h. 27’ 5”.—IP n° 29, Maison Parisienne, en 102 h. 41’ 37”. — 12e n° 30, Maison Parisienne, en 108 h. 39’. — 13° n° 26, Landry et Beyroux, en 119 h. 44’ 21”. — 14e il0 39, Michelin, en 141 h. 10’ 47”.
- PARIS-OSTENDE (326 km.) — 1898 (31 août-P' septembre). — Courses de voitures et de motocycles organisées par le Comité de l’Exposition du Kursaal d’Ostende, en deux étapes : Paris-Saint-Pol (186 km.), Saint-Pol-Ostende (140 km.).
- Voitures : 1er Giraudot et Levegh, dead-heat, en 6 h. 11’.— 3e Lemaître, en 6 h. 22’. — 4e Charron, en 6 h. 39’. — 5e Jenatzy, en 6 h. 40’.
- Voiturettes, — lre Renault, frères; 3° Renault, frères.
- Motocycles : 1er Barras, en 6 h. 6’. — 2e Teste, en 6 h. 10’. — 3e Corre, en 6 h. 30’. — 4e Bardin, en 7 h. 28’. — 5e Merville, en 7 h. 23’. — 6° Ourv, en 7 h. 20'.
- PARIS-TOULOUSE-PARIS. — Cette épreuve fut organisée à l’occasion de l’Exposition de 1900. Après s’être appelée « Course de l’Etoile », puis
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- « Course de l’Eventail », après avoir vu son itinéraire maintes fois modifié, elle a enfin abouti k Paris-Toulouse et retour (1 400 1cm.).
- Jusqu’au dernier moment, on douta que l'autorisation ministérielle fut accordée : elle arriva enfin deux jours avant le départ.
- Le départ fut donné au petit jour, le 25 juillet. L’épreuve se courait en trois étapes :
- l^e Paris-Toulouse. — 2° Toulouse-Limoges. —
- 3° Limoges-Paris.
- La première étape fut gagnée par Levegh sur voiture Mors, qui franchit la distance séparant Paris de Toulouse en 13 h. 13’ 25”.
- La seconde étape : Toulouse-Limoges fut gagnée par Voigt en 5 h. 43’ 49”.
- La troisième : Limoges-Paris par Pinson en 6 h. 44’ 18”.
- Le classement officiel pour le parcours complet {1 348 km. 750) fut le suivant :
- Voitures. — 1er Levegh, en 20 h. 50’ 9”, moyenne à l’heure 64 km. 740. 2e Pinson, en 22 h. 11’ 1”. —
- 3R Voîgt, en 22 h. 11’ 51”, — 4e Giraud, en 22 h. 55’ 32”. — 5e Antonv, en 26 h. 46’ 27”.— G^deTurck-heim, en 37 h. 35’ 36”. — 7°Ravel, en 41 h. 29”.
- Voiturettes. — 1er Itenault, en 34 h. 33’ 38”, moyenne à l’heure 39 km. 030. — 2° Schrader et Oury, en 45 h. 49’ 35”. — 3e Grus, en 57 h. 24* 43”.
- Motocycles. —lor Teste, en 23 h. 54’ 1”, moyenne à l’heure 56 km. 430.— 2e Collignon, en 27 h. 28’ 32”.
- —. 3° Bardin, en 28 h. 0’ 26”. — 4e Gasté, en 30 h. 32’ 30”. — 5* Gleize, en 36 h. 19’ 14”.
- PARIS-TROU VILLE (170 km.). — Course organisée par Le Journal, sous le patronage de l’Auto-mobilc-Club de France.
- 1897 (14 août). — Voitures : 1er Jamin (voiturette Bollée), en 3 h. 48’ 56”. — 2e Gilles-Hourgières (Panhard-Levassor). — 3e Lemaître {duc Peugeot).
- — 4° A. de Dion (break de I)ion~Bouton).
- Motocycles : 1er Têtu (motocycle de Dion-Bouton), en 4 h. 44’ 25”.
- PARIS-VIENNE (1415 km.). — Le 26, 27, 28, j et 29 juin 1902. — Cette épreuve fut organisée par l’Automobile Club de France et parl’Automobile-Club d’Autriche. Elle eut lieu en quatre étapes dont la deuxième qui comportait la traversée de la Suisse (Belfort-Bregenz 327 km.) était neutralisée.
- lro étape : Paris-Belfort, 415 kilomètres. —
- 2e étape : Belfort-Bregenz, 327 km. — 3° étape : Bregenz-Snlsbourg, 337 km. — 4° étape : Salzbourg-Yienne, 335 km.
- L’épreuve fut courue sous le règlement de l’Automobile Club de France, accepté par l’Automobile-Club d’Autriche.
- A l’arrivée de chaque étape, les voitures étaient soumises au régime des pares absolument fermés. En effet, les parcs fermés de la course Paris-Berlin 1901 avaient servi de leçon et cette fois les voitures furent enfermées dès leur arrivée et aucun délai ne fut accordé aux concurrents pour réparer leurs voitures.
- Tous les ravitaillements et toutes les réparations durent se faire après le départ de l’étape suivante et le temps passé à les effectuer fut compté comme temps de marche.
- Tous les véhicules arrivés il Vienne, étaient tenus, sous peine de déclassement, de figurer k l’Exposition organisée par l’A. C. d’Autriche.
- Le départ de la première étape fut donné à Cham-pigny le 27 juin, au petit jour. Cette étape fut effectuée sans incidents graves par les coureurs. Elle se faisait d’ailleurs entièrement sur les excellentes routes françaises.
- seconde étape n’existait pour ainsi dire pas ! puisqu’elle ne comprenait que la traversée de la j Suisse, entièrement neutralisée. 1
- La troisième étape fut certainement la plus dure, il s’agissait en effet de traverser l’Arlberg, où des pentes de 14 et 15 p. 100 se rencontrent k chaque-tournant. La montée ne fut donc pas aisée pour tous tes concurrents. Quant à la descente, elle faillit devenir une épouvantable course à la mort et il est extraordinaire que de terribles accidents ne se produisirent pas.
- Aussi la quatrième et dernière étape, bien que-mauvaise, parut moins dure aux concurrents. L’arrivée s’effectua sur la piste des trotteurs au Prater sur 138 partants, 71 terminèrent la course et ce résultat était inespéré étant donné la difficulté du parcours.
- Voici le classement officiel de l’épreuve et le temps mis par les concurrents, déduction faite des neutralisations et de la 2° étape, entièrement neutralisée-(traversée de la Suisse) *
- 1er H. Farman, sur Panhard-Lemssor, en 16 h. 0’ 30” 1/5, moyenne k l’heure 68 kilomètres. — 2e Zborowski, sur Mercedes, en 16 h. 13’ 29” 3 /5. — 3e M. Farman, sur Panhard-Levassor, en 16 h. 19’ 29” 2/5. — 4e Teste, sur Panhard-Levassor, en 17 h. 13’ 28” 4/5. —• 5e Pinson, sur Panhard-Levassor en 18 h. 0’ 41” 2/5. — 6e P. de Crawliez, sur Panhard-Levassor, en 18 II. 5’ 20” 2/5. — 7e Chauchard, sur Panhard-Levassor, en 18 h. 16’ 45” 2/5. — 8e Edge, sur Napier, en 19 h. 16’ 21” 4/5. — 9e de Caters, sur Mors, en 19 h. 54’ 58” 1 /5. — 10e G. de Crawliez, sur Panhard-Levassor, en 20 h. 6* 36” 2/5.
- Remarquer que le 8eme, Edge, sur voiture Napiery gagna la Coupe Gordon-Bennett, passant premier des concurrents engagés pour cette Coupe k Inas-brück, en 11 h. 2’ 52” 3/5. {voir page...)
- Voitures légères. — 1er Marcel Renault, sur Renault frères, en 15 h. 47’ 43” 4/5. — 2e Edmond, sur Darracq, en 16 h. 10’ 16” 1/5. — 3e Barras, surDarracq, en 17 h. 4’ 52”. — 4e Hémery, sur Darracq, en 17 h. 23’ 38” 3/5. — 5° Marcellin, sur Darracq, en 17 h. 38’ 36” 1/5. — 6e Tart, sur Clément, en 18 h. 26’ 45” 3/5.
- Le premier de la catégorie Voitures légères, Marcel Renault, était donc en réalité premier du classement général, ayant battu de 13’46” 2/5 le gagnant de la catégorie des grosses voitures.
- Voiturettes.— 1er Guillaume, sur Darracq, en 20 h. 4’ 33”. — 2e Grus, sur Renault frères, en 20 h. 17’ 54” 2/5. — 3° Cormier, sur Renault frères, en 23 h. 22’37” 2/5. — 4° Durand, sur Corre, en 25 h. 47’ 13” 2/5. — 5e G. Rivière, sur Richard, en 26 h. 7’ 23” 1/5.
- La Commission sportive de l’Automobile Club de France, après avoir pris connaissance de certains rapports des commissaires, relatifs aux irrégularités commises lors de la montée de l’Arlberg, décida purement et simplement d’annuler les résultats des catégories Motocycles et Motocyclettes, et par conséquent de n’établir aucun classement officiel.
- La Coupe d'Areiifwrg, pour les voitures marchant il l’alcool, qui se disputait sur le parcours de la première étape Paris-Belfort, fut gagnée par M. R. de Knyff, sur Panhard-Levassor, en 4 h. 18* 30” 2/5. Moyenne k l’heure 95 kilomètres.
- y-
- PÉRIGUEUX-MUSSIDAN (150 km.). — Cette course, organisée par le Véloce Club Périgourdin, a été marquée par un accident mortel dont a été victime le marquis de Montaignac.
- A l’endroit dit le Saut-du-Chevalier, prô3 de Périgueux, les voitures de MM. de Montaignac, de Paris, et Montariol, de Bordeaux, se sont abordées, et celle du marquis de Montaignac, après être montée sur le talus, se renversa sur lui.
- 1898*(2 mai). — Voitures : 1er Leys, en 3 h. 51’ 5” — 2e Léveilley. — 3e Bord/
- Motocycles : 1er Osmont, en 4 h. 9’ 51". — 2e Bar din. — 3e Pinaud.
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- POIDS LOURDS (Concours militaire des). —
- Novembre au 5 décembre 1006.
- Voici le classement des concurrents avec le total des points obtenus (maximum 380 points) :
- Fr Peugeot 311,5 ; 2° Rerlief, 339,2 ; 3e Darracq-Serpollet, 331,8 ; 4° de Dion, 328,5 ; 5e Orion, 328,3 ; 6° Orion, 315,4 ; 7e Mors, 315,1 ; 8e Darracq-
- Serpollet, 294,7 ; 9* Darracq-Serpollet, 277. — Le 3e et le 6e de cette liste appartenaient à la 2e catégorie (transports en commun).
- PROVENCE (Meeting de). — Les épreuves du Meeting de Provence ont été disputées, le 14 septembre 1905, sur la route idéale de Salon à Arles ; elles étaient organisées par l'Automobile Club de Salon.
- Le meeting comprenait deux genres d’épreuves :
- A. — Une course de vitesse sur un kilomètre, lancé, dont les vainqueurs, dans chaque catégorie de véhicules, ont été :
- 1er Collomb {Mors) ; l0r Demester {Griffon) ; 1er Bavière (Cottereau) ; 1er Mottard (La Buire) ; 1er Bablot (BerKet).
- B. — Une course de vitesse sur quatre kilomètres, lancé ; les premiers, dans chaque catégorie, furent :
- lor Collomb {Mors) ; 1er Rivière (Cottereau) ; lor Mottard (La liuire) ; 1er Rabiot (Bcrliet) ; Demester (Griffon).
- — En 1906 (18 septembre), ces épreuves ont donné les résultats suivants
- 1 kilomètre . départ lancé :
- Voitures : 1er Collomb (Rochet-Schneider), en 25” 2/5.
- Motocyclettes : 1er Giuppone, en 26” 4 /5 (record battu). — 2e Cissac, en 32” 1 /5. — 3e Escoffier (Magnat-Debon, tiers de litre), en 45” 1 /5.
- Motocycles : 1er Collin, en 3G” 1 /5. — 2° Louche (Alcyon-Buchet), en 41” 2/5.
- TOURISTES
- Ve catégorie (plus de 20 000 fr.). — 1er Taddéoli (Rocket-Schneider), en 31” (record battu).
- 2e catégorie (de 14 000 à 20 000 fr.). — 1er Mottard (La Buire), en 34” 3/5 (record battu).
- 3° catégorie (de 9 000 à 14 000 fr.). — lRr Aubert (Mieus$et), en 41” 3/5.
- 4e catégorie (de 4 000 à 9 000 fr.). — l01" Comanos (Cottereau), en 45” 4/5.
- 5° catégorie (moins de 4 000 fr.). — Fr Fournier (Alcyon) en V 23” 2/5.
- Trieurs. — 1er Loubier, en 49” 2/5.
- Motocyclettes. — Assac et Giuppone, en 33” 4/5 (dead-heat).
- Coupe de Rothschild. 5 kilomètres, départ lancé :
- Voitures. — 1er Collomb (Rochet-Schneider), en T 11” (moyenne à l’heure 137 km. 404).
- Motocyclettes. — l'-1 Giuppone, en 2' 47" 4/5 (record battu). — 2,! Cissac, en 2’ 47”. — 3° Escoffier (tiers de litre Magnat-Debon), en 3’ 50” 1/5.
- Motocycles. — lrir Collin, en 2’ 52” 4/5. —. 2* Louche, en 3’ 12”.
- TOURISTE?
- (Plus de 20 000 fr.). — 1er Taddéoli (Rochet-Schneider), en 2’ 36” (record battu).
- (De 14.000 à 20 000 fr.). — 1er Mottard (La Buire en 2’ 40” 4/5.
- 'De 9 000 à 14 000 fr.). — 1er Gastc (Radia)), en 3’ 18” 2/5.
- (De 4.000 à 9 000 fr.).— l, r Comanos (Cottereau), en 3’ 48” (record battu).
- (Moins de 4.000 fr.). — l,rr Fournier (Alcuon), en 6’12” 3/5.
- Tricars. — 1er Loubier, en 4’ 21” 3/5. —2e Buc-quet, en 4’ 24” 3/5.
- Motocyclettes. — 1er Cissac, en 2* 48” 3/5. — 2e Giuppone, en 2’59” 2/5.
- Coupe de régularité Ilunziker. — Vitesse : Collomb (Rochet-Schneider)— Tourisme : Taddéoli (Rochet-Schneider).
- PYRÉNÉES (Coupe des). — Cette épreuve sportive, organisée par La Dépêche de Toulouse et La Vie au Grand Air, a été courue du 20 au 27 août 1905; cotte Coupe était un concours de grand tourisme et .ion pas une épreuve de vitesse.
- Le classement général a été le suivant :
- 1er Sorel (de Diêtrich) ; 2° Bellevillc (Rrouhot) ; 3(ï Didier (de Dion-Bouton) ; 4e Bablot (Berliet) ; 5° Richez (Rrouhot) ; 6e Feuillet (Rrouhot) ; 7e Maréchal (Rrouhot) ; 8e Coujet {Darracq) ; 9° de
- Sambucy (Rochet-Schneider) ; 10 ; Cormier (de Dion-Bouton).
- RÉGULARITÉ (Concours de). — Novembre à décembre 1906. — Voitures classées pour la Coupe offerte par la Commission exécutive et le diplôme d’honneur :
- 5. Bayard-Clément I ; 6. Rayard-Clément II ;
- 7. Rayard-Clément III ; 27. Noé Royer ; 4. Chenard et Walcker ; 13. Decauville aîné ; 20. de Dion-Bouton; 1. Hérald ; 25. Adam Opel ; 3. Unie II ; 12. Westinghouse I ; 24. Westinghouse II.
- RELIABILITY TRIALS. — La course d’endurance pour auto-cycles, organisée par l’Autocycle Club d’Angleterre, sous le nom Reliahility Trials et commencée le 4 août 1905, comprenait un parcours de 1 200 kilomètres en six étapes. Tout ce qui était demandé aux véhicules, c’était d’accomplir une étape quotidienne entre un minimum et un maximum de temps fixés.
- 32 machines (24 motocyclettes et 8 véhicules è deux sièges) se sont présentées au départ.
- Les récompenses ont été les suivantes :
- Certificat de lrc classe : Brown, Phellon et Moore, Triumph, Vindect Spécial, Laqonda, Ariel, Brand-bury, Noble, Ortona, Ilex, Werner, Quadrant-Carette. Riley.
- 2e classe : Ariel, Mototri-Conial.
- 3° classe : Riley.
- —• Les résultats officiels de 1906 furent les suivants :
- Classe T. — lpr Stvift (9 chev.). — 2e Rower (8 chev.).
- Classe IL •— 1er Arrol Johnston (12 chev.). — 2e Darracq (10 chev.).
- Classe HL. — 1er Wilson-Pilcher (16 chev.). — 2e Darracq (15 chev.).
- Classe IV. —- 1er Darracq (20 chev.). — 2e Arrol Johnston (24 chev.).
- Classe V. — 1er Brasier (25 chev.). — 2e Ams-trong-Whitworth (28 chev.).
- RHONE (Concours de 1*A. C. du). — Ce concours, organisé par l’Automobile-Club du Khône, a eu lieu les 14, 15 et 16 juillet 1906, et s'est terminé pai la victoire de Montville sur voiture Brasier.
- $ Voici les résultats de3 épreuves diverses :
- Rendement : Dead-hcat entre Brasier et Pilain qui obtiennent tous deux le maximum de points , suivis de très près par Rochet-Schneider avec 2 voitures.
- Régularité : Brasier et Rochet-Schneider obtiennent le maximum, suivis immédiatement par la Pilain .
- En côte : Nouveau dead-heat entre Brasier et Pilain.
- Classement général : 1er Brasier (Montville), 300 points sur 300. — 2e Pilain (Chalands), 292,2 I points. — 3° Racket-Schnütl&r (Pierre), 279,37 points
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- RIVIERA (Raid maritime de la). — Cette épreuve eut lieu en 2 journées, les 20 et 23 avril 1006. Elle avait été retardée deux fois de 24 heures par •suite du mauvais temps, et, meme pendant la course, celui-ci fut tel que le Calypso, qui avait brillament enlevé le 20 avril la première étape Nice-Toulon, chavira le 23 au départ de Cannes, juste A la sortie du port, par suite d'une forte lame qu’il n'avait pas eu le temps d'épauler.
- Voici le résultat final de l’épreuve :
- Racers. — Mereédès-Wiener, en 10 h. 13' 4V.
- Cruisers de plus de 18 mètres.— Quand-Même, •en 13 h. 37' 5”.
- Cruisers de plus de 12 mètres. — Consuelo, en 14 h. 21' 58”.
- Cruisers de plus de 8 mètres.—Fêfé, en 14 h. 17' 53”.
- ROCHELLE (Semaine sportive de la). —-Voici les résultats des principales épreuves qui se disputèrent au cours de ce meeting :
- Canots de 6 mètres : 1er Lanturïu (15 chev.).
- Cruisers de 12 mètres : 1er Germaine (15 ch.C.O.).
- Racers de 12 mètres : 1er Mizy (24 chev. Berliet).
- Racers de 18 mètres : 1er Mereédès D. L. (200 chev. Mereédès).
- Canots de moins de 6 m. 50 (5 km.). — 1er Folie, en 10’. — 2e Boutenlair, en 21*. — 3e Petithleu, en 38’.
- Cruisers de 6 m. 50 A. 12 mètres (15 km.). — 1er Mizy, en 34*. — 2e Lanturïu II, en 35’. — 3° Lansquenet, en 38*.
- Canots de sauvetage à moteur (5 km.).—1er Petit-bleu, en 14’. — 2e Bateau Henry.
- Bateaux de pèche A moteur. — 1er Cormoran.
- Coupe de V Océan, pour tous canots (40 km.). — 1er Mercédès-Decont-Lacour, en 50’. — 2e Lansquenet. — 3e Lanturïu IT.
- ROCHET-SCHNEIDER (Coupe). — Cette epreuve classique, qui fut fondée en 1004 par l'Automobile Club du Rhdne, s'est disputée le 4 juin 1006, sur le parcours du circuit d'Auvergne qui devait être couvert trois fois. Elle a été gagnée par Perret, sur Peugeot, qui renouvela ainsi sa victoire de 1005.'
- Voici le classement de cette épreuve :
- 1er Perret (A. C. d'Auvergne), sur voiture Peugeot (16 chev.). — 2° Guyaille, sur Bayard-Clément (20-24 chev.). — 3e Desson, sur Rocket-Schneider (18 chev.). — 4e Bergmann, sur Bayard-Clément (20-21 chev.).
- Le concours de consommation fut gagné par Guyaille, sur Bayard-Clément 24 chev. (11 litres 700 pour 100 kilomètres).
- ROUE D’OR (Concours de la). — Ce concours de 4 000 kilomètres Paris-Biarritz Gênes-Paris, fait en mars 1005, pour déterminer le meilleur « bandage « de roues d'automobiles, s'est terminé par la victoire de l'antidérapant Vulcan, sur voiture Carre ; 2° l'antidérapant Samson. sur voiture de Diétrich ; il n'y a pas eu de troisième classé.
- Le prix de la Roue d'Or était offert par MM. Eellner et Auscher, les carrossiers bien connus.
- ROUES ÉLASTIQUES (Concours de). — Cette épreuve, organisée par Y Auto, eut lieu du 17 au 26 avril 1006. Elle fut courue en huit étapes.
- Après chaque étape, los voitures étaient soumises au régime du parc fermé.
- Le classement général fut le suivant :
- Roue E. L., en 72 h. 10', moyenne à l’heure 20 km. 810 mètres.
- Roue Garckey, en 82 h. 18’, moyenne à l’heure 26 km. 418 mètres.
- Roue Soleil, en 02 h. 3*, moyenne A l’heure 23 km. 378 mètres.
- SARTHE (Circuit de la). — Voir Grand Prix de VA. C. F. (1906).
- SCHEVENINGUE (Meeting de). — (0 au 12 juillet 1906), — Les résultats ont été les suivants :
- ' CATÉGORIE vitesse {kilomètre, départ arrêté)
- Motocyclettes*. 1er Storm (Olieslaegers), en 50”; 2e Sarolêa (Vanderhaagcn), en 1' 2/5.
- Voitures légères : 1er Darracq (Huntley-Waickcr », en 41” 1/5.
- Grosses voitures : 1or Darracg (Gniuess), en 33” 2/5; 2e Mereédès (Van IToboken), en 50”,
- SEINE (Fête nautique de la). — Au coimfde cette fête, organisée le 17 juin 1000 par le journal Le Matin, se disputèrent quelques épreuves réservées aux canots automobiles et dont voici les résultats :
- Racers (13 km. 500). — 10T La Ravière IT, on 21' 18”.— 2e Delahaye, en 22’ 15”.— 3e Vol-au-Venf.
- crut sers (10 km.). — lre série. — 1er Mendelssohn, en 27' 3”.— 2e Extra Dry, en 28' 11”. — 3e Bayard II, en 48' 28”.
- 2me série. — 1er Nihil, en 25* 50”. — 2° Midi-nette, en 32' 18”.
- 3me série. — 1er Calypso, en 18' 57”. — 2e Nau-tilus, en 20' 11”.
- Une course pour cruisers extra-réglementaire (handicap 10 km.) fut ensuite disputée. Le meilleur temps fut fait par la Marie-Madeleine, qui fit le parcours en 21’ 45”.
- SEMMERING (Course de côte du). — La'côte du Semmerînq (Autriche) mesure 10 kilomètres de long et possède quelques virages absolument terribles, le pourcentage variant entre 8 et 12 p. 100. Cette course, devenue classique, a été courue le 17 septembre 1005.
- Les résultats ont été les suivants :
- Vitesse. — Motocyclettes légères : 1er Wondrich (Laurin-Elément). — Motocyclettes : 10T Wetzlia (Puch). Voitures : 1er Braun (Mereédès 100 chev.), en 7’ 50” 4/5, gagnant la coupe-challenge et battant le record.
- Tourisme. — Dans chaque catégorie : lor 7eit-linger (Peugeot) ; 1er Arnold (Mereédès) ; 1er Hié-ronymus (Spitz) ; Mueller (Mereédès ; 1<* Braun (Mereédès).
- — En 1006, les temps suivants ont été faits le dimanche 23 septembre par les motocyclettes, les voiturettes et les voitures de tourisme :
- Motocyclettes légères : 1er Wezka (Puch), en 10’ 13”,
- Motocyclettes : 1er Comte Kolowrat (Laurin-Elément), en 2’ 38”.
- Voiturettes : Yerns (Darracq), en 8 *46”.
- TOURISTES
- lre catégorie (cyl. 1 lit. 500). — lor Slevogt (Laurin -Elément), en 17* 26”. — 2e ICollatz (Laurin-Elément), en 17* 35” 2/5. — 3e Joerns (Darracq), en 19’ 16”.
- 2° catégorie (cyl. 2 Ut. 500). — l«r Beyschlag (Opel-Darracq), en 15' 20”. — 2° Loefller (Peugeot), en 17’ 26”. — 3e Klinka (de Dion), en 18’ 10^.
- 3° catégorie (cyl. 3 lit. 500).— leT Julius Milch (Bock et Ilollaender), en 14* 23” 2/5. — 2e Mouson (Darracq), en 14* 44” 3/5.
- 4° catégorie (cyl. 6 litres). — 1" Erle (Benz), en 9’ 56”. — 2e Hiéronymus (Spitz), en 10* 18”.
- 5e catégorie (cyl. 8 lit. 500). — 1" Déplus (Pipe), en 10* 14” 4/5. — 2e Opel (Darracq), en 10’ 15”, — 3e Seidl (Mereédès), en 10' 44” 4 /5.
- 6e catégorie (cyl. plus de 8 lit. 500). — 1er Braun (Mereédès). en 8* 44” 4/5.
- SICILIEN (Circuit pour voiturettes). — Cetfe épreuve a eu lieu le 5 septembre 1006. Elle se
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- disputait sur le parcours Palerme-Petrolea, soit 247 kilomètres. La puissance des voiturettes ne pouvait excéder 10 chevaux ; un délai maximum de 13 heures était fixé pour le parcours.
- Les résultats furent les suivants :
- 1er prix médaille d’or et 2 000 francs. — Chevalier Florio {de Dion-Bouton 8-10 chev.), en 7 h. 25’ 12”.
- 2e prix médaille d’argent et 1.000 francs. — Lon-goni, de Milan {de Dion-Bouton, 9 chev.), en 8 h. 54’ 53”.
- 3e prix médaille de vermeil et 500 francs. — Tasca {de Dion-Bouton 9 cliev.), en 10 h. 14’ 28”.
- TARGA FLORIO. — Voir Florio {Coupe).
- TAUNUS (Course du). — Voir Gordon-Bennett {'Joupe), 1904.
- TOUR DE FRANCE 1899 (du 10 au 24 juillet).
- 2 290 kilomètres. — Le Tour de France fut organisé par le journal Le Matin, sous le contrôle et avec le patronage de F Automobile Club de France.
- Il se disputait en 7 étapes dont voici la nomenclature et les distances :
- lre étape : Paris-Nancy, 290 kilomètres.
- 2e étape : Nancy-Aix-les-Bains, 366 kilomètres. 3e étape : Aix-les-Bains-Vichy, 382 kilomètres. 4° étape : Vichy-Périgueux, 299 kilomètres.
- 5e étape : Périgueux-Nantes, 342 kilomètres.
- 6° étape : Nantes-Cabourg, 348 kilomètres.
- 7e étape : Cabourg-Paris, 192 kilomètres.
- Total : 2 219 kilomètres.
- Sur 49 concurrents qui prirent le départ, 21 terminèrent la course
- Voici leur classement officiel :
- lre catégorie {Voitures). — 1er R. de Knyff, sur Panhard-Levassor, en 44 h. 43’ 39” 1/5. — 2° Gi-rardot, sur Panhard-Levassor, en 49 h. 37’39” 2/5.
- — 3e comte de Chasseloup-Laubat, sur Panhard-Levassor, en 49 h. 44* 18”. — 4e Voigt-Pinson, sur Panhard-Levassor, en 52 h. 34* 17” 4/5. — 5e Boileau de Castelneau, sur Bottée, en 53 h. 29’ 7”. — 6° Heatli, sur Panhard-Levassor, en 58 h. 46’ 55” 4/5.
- — 7e Clément, sur Panhard-Levassor, en 75 h. 45’ 35” 3/5. — 8e Levegh, sur Mors, en 80 h. 14* 59” 2/5. — 9e Jenatzy, sur Mors, en 166 h. 6’ 3”.
- 2° catégorie (M otocycles).— 1er Teste, sur de Dion-Bouton, en 50 h. 58’ 9” 2/5. — 2e Tart, sur de Dion-Bouton, en 51 h. 32’ 37”. —3e G. de Méaulne, sur de Dion-Bouion, en 53 h. 38* 41”, — 4° Degrais, sur de Dion-Bouton, en 55 h. 40’ 33” 1/5. — 5e Bar-din, sur de Dion-Bouton, en 56 h. 7* 5” 2/5. — 0° Béconnais, sur Aster, en 56 h. 30’ 34” 3/5. — 7° Gleize, sur de Dion-Bouton, en 58 h. 49’ 14” 2/5. 8e Cormier, sur de Dion-Bouton, en 71 h. 30’ 35”.
- — 9° Kivierrc, sur de Dion-Bouton, en 93 h. 44* 44”.
- 3e catégorie {Voiturettes). — 1er Gabriel, sur Decauville, en 67 h. 16’ 35” 2/5. — 2* Théry, sur Decauville, en 75 h. 43’ 22” 4/5. — 3e Aubin-Ulmann, sur Decauville, en 125 h. 25’ 4”.
- TOUR DE FRANCE (En motocyclettes).^—
- Cette épreuve, comprenant neuf étapes et formant un total de plus de 2 000 kilomètres, a été courue en mai 1905 ; elle avait réuni 54 engagés, sur lesquels 29 se sont présentés au départ.
- Le classement final a été ainsi établi : lre catégorie (1/3 de litre) : 1er Cissac {Peugeot). — 2e Giuppone {Peugeot). — 3e Bucquet {Griffon). — 4e Blatgé {Minerva). — 5e Champoiseau {Peugeot). —• 6° Bonnard {Werner).
- 2e catégorie (1 /4 de litre) : Ie Dacier {Clément). — 2e Faivre {Terrot).
- — En 1906, cette épreuve eut lieu du 22 mai au
- 3 juin, et sou parcours total était de 2 600 kilomètres.
- Il y eut 29 concurents, tant motocyclettes que triears ou voiturettes; 23 terminèrent le parcours. L’arrivée officielle eut lieu à la grille d’octroi du Pont de Surcsnes où M. Richard, chronométreur officiel de l’A. C. F., prenait les temps. Les concurrents étaient ensuite conduits par un pilote à la Porte Maillot où avait lieu une seconde arrivée officieuse et populaire. *
- Le classement définitif donna les résultats suivants :
- Trieurs. — l°T Austral III (Schweitzer). — 2e Austral I (Barenton). — 3e Austral II (Giraud).
- Motocyclettes légères. — 1er Alcyon III (Contant).
- — 2° Georgia-Iinap (Castagne). — 3° Clément (Daller).
- Voiturettes. — 1er Vulpès. (Tarriaux). — 2° df. Dion-Bouton (Pellisson( — 3e Auto-Stand (Pellcgrin).
- Motocyclettes tiers de litre. — 1er T. I). E, (Cissac).
- — 2e T. D. F. (Giuppone). — 3G Quentin II (Four-chotte).
- TOURAINE (Concours de tourisme). — Ce concours, organisé par l’A. C. de Touraine et couru en mai 1905, comprenait plusieurs épreuves : démarrages en côtes, 500 mètres en palier, départ et arrêt au chronomètre, concours de régularité.
- Le classement général a donné les vainqueurs suivants, premiers et deuxièmes, dans chaque catégorie : Boyer (14 chev.) et Delahaye (8 chev.) (châssis au-dessous de 8 000 fr.). — Begina Dixi (électrique 16 chev.) et Delahaye (16 chev.) (châssis au-dessous de!2 000 fr.).
- — Ariès (30 chev.) et Brouhot (20 chev.) (châssis au-dessous de 20 000 fr.). — Brouhot (40 cliev.) (châssis au-dessus de 20 000 francs).
- '^TOURAINE (Concours de tourisme de FA. C-de). — Cette épreuve eut lieu du 24 au 28 mai 190G, et le classement général fut le suivant :
- 3e catégorie : 1er Marrais et Lasnier (20 chev.). — 2e Brouhot 1 (12 cliev.). — 3e Delaugère I (12 chev.b
- — 4e Boyer (10 chev.).
- 4e catégorie : 1er Mieusset (18 chev.). — 2° Herald III (16 chev.). — 3e Vinot Deguinguand (20 cliev.). — 4cmIIérahl II (16 chev.). — 5e Brouhot IV (24 chev.).*— 6e Ilérald I (16 chev.). — 7« Brouhot III (24 chev.). — 8e Bégina Dixi (16 chev.).
- 5e catégorie : lCT^Berliet (40 chev.). — 2° Ariès II] (50 ch.).—3e Delahaye I (25 chev.).— 4° Delaugère II (30 chev.).
- Prix de ~régularité. — Ex-equo : Brouhot I, Delaugère I, Marrais, Lasnier, Bégina Dixi, Brouhot III et IV, Ilérald II et III, Mieusset, Ariès, Berliet.
- Prix de régularité par équipes. — 1er Brouhot. — 2e Ilérald.
- Epreuve de côte. — 1er Berliet. — 2° Mieusset.
- Epreuve du kilomètre. — 1er BerB t - 2e Delahaye.
- Epreuve de freinage. — 1er Ilérald ill.
- TOURISME ET D’ENDURANCE (Concours international de). — Ce concours, organisé par le Club automobile de Seine-et-Oise, a commencé le 19 février 1905, pour se terminer le 26 du même mois. Les parcours quotidiens étaient extrêmement longs et pénibles et accompagnés de neige, de vent et de trombes d’eau.
- Les premiers arrivés étaient : 1er de Dion-Bouton {Cormier). — 2e Auto-Stand {de Dion-Bouton). — 3° Decauville. — 4° Auto-Stand. — 5° Chenarê-Walcker. —- 6e Chenard- Walcker.
- les premiers de chaque catégorie étaient : Auto-Stand {de Dion-Bouton), au-dessous de 5 000 fr. — Chcnard-Walcker, de 5 000 à 8 000 francs. — De Dion-Bouton, de 8 000 à 12 000 francs.
- LE TOURIST TROPHY. — Cette épreuve réunit, en 1905, 51 concurrents qui entrèrent en lice sur 335 kilomètres dans File de Man.
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- La lutte, intéressante de bout en bout, donna les résultats suivants :
- 1er Arrol-J ohnston (Napier), en C h. 9’ 14” 3/5. — 2e Rolls-Royce (Northen), en 6 h. 11* 23”. — 3e Vinot-Deguinguand (Littlejohn), en 6 h. 14’ 35” 2/5. — 4e Arrol-Johnston (Roberts), en 6 h. 36* 58” 3/5. — 5e Rover (Courtis). en 6 h. 43* 53” 3/5. — 6e Swift, en 7 h. 1* 12** 2/5.
- 20 concurrents seulement terminèrent le parcours, parmi lesquels deux concurrents français, Vinot-Deguinguand, classé 3e, et Peugeot.
- — Le 27 septembre 1906, par un temps superbe, le Tourist Trophy a vu se mettre en ligne 29 concurrents sur les 49 qui avaient envoyé leur engagement régulier.
- Le départ leur a été donné à une minute d’intervalle dans l’ordre suivant :
- 1er, 18 ch., Arrold-J ohnston (cond. J. S. Napier).— 2e, 15 chev., Darracq (A. Lee Guiness). — 3e, 15 chev., Darracq (Syd Girling). — 4e, 20 chev., Rolls-Royce (Hon. C. S. Rolls). — 5e, 20 chev. Rolls-Royce (P. W. Northey). — 6e, 22 chev., Minerva (W. J. Wright). — 7e, 22 chev., Minerva (M. Ross Browne). — 8°, 20 chev., James and Browne (C. L. Cattell). — 12e, 16 chev., Argyll (E. A. George). — 15°, 20 chev., Clément (G. Brand). — 17°, 16 chev., Ilumbcr (T. C. Pullinger). — 18e, 20 chev., Tlumber (L. Coa-talen). — 23°, 22 chev., Berliet (J. E. Hutton. — 24e, 18 chev., Siddley (M. Graliam White). — 26e, 18 chev., Siddeley (A. E. Crowdy). — 26e, 22 chev., Berliet (M. Bablot). — 27°, 14 chev., Thorny-croft (T. Thornycroft).. — 28e, 18 chev., Star (G. F. Prew). — 29e, 24 chev., Deasy (R. A. Bell). — 32e, 17 chev., Scoîit (J. P. Dean). — 33°, 18 chev., Star (J. Lisle). — 35°, 14 chev., Climaz (E. W. Leather). — 36e, 16 chev., Swift (R. Every). — 37e, 25 chev., Hard?nann (W.-L. Hardrnann). — 46e,
- 14 chev., Academy (T. Smith), - 47°, 18 chev., S.C.A.R. ! (H. A. Bâte). — 48e, 12 chev., Vici (R. Lascelles). I
- Ce fut une voiture anglaise qui triompha tandis que la France prenait avec 3 de ses représentants les deuxième, troisième et quatrième places.
- Voici d’ailleurs le classement et les temps mis pour effectuer le parcours.
- 1er C.-S. Rolls, sur Rolls-Royce, en 4 h. 6’ 3/5. — 2e Bablot, sur Berliet, en 4 h. 32’ 58” 1 '5.— 3e A. Lee Guiness, sur Darracq, en 4 h. 42’ 48” 1 /5. — 4e G. Dumont, sur Clément, en 4 h. 47’ 20”.
- TROUVILLE (Coupe de). — Cette coupe pour canots automobiles, commencée le 25 juillet 1905 et terminée le 27, était organisée par Les Sports et Le Yachting-Gazette; elle comprenait trois étapes : Rouen il Caudebec-en-Caux ; Caudebec à Tancar-ville-le-Havre, et Le Havre à Irouville.
- 18 canots se sont présentés au départ ; les vain queurs ont été : le Dubonnet, gagnant de la Coupe des 100 milles.— Bq Delahaye VI-Nautilus, gagnant des cruiscrs réglementaires.— Le Dalifol, gagnant de la série des bateaux de pêche. — La Rapière, gagnant des raccrs et de la Coupe Gaston Menier.
- tTURIN (Salon de), du 16_févrierjiu 3 mars 1907.
- ^VANDERBILT (Coupe). — * Cette Coupe-challenge pour automobiles a été fondée parM. William K. Vanderbilt junior, qui espérait ainsi faire prendre un nouvel essor à l’industrie automobile et pousser les constructeurs à amener de nouveaux perfectionnements à leurs machines. Cette épreuve devait avoir lieu les deux premières années en Amérique, et ensuite dans le pays de l'Automobile Club vainqueur. Le nom du premier doit être inscrit chaque année sur la Coupe, œuvre d’art qui est la reproduction en argent d’un vase trouvé dans le trésor de Bosco Réale, en Italie, et datant de 79 ans avant J.-C.
- En 1904, Heath, sur sa 90-chevaux Panhard et Levassor, arriva premier, suivi de près par Albert
- Coupe Vanderbilt 1006
- Les flechca en pointillé montrent ta direction de 1905 les autres f/eches - 1306
- Brook ville tfead fume, k<* ^
- Colline de Msnhassct
- Poml de déport et d arrivée e n I90S et en 1906 \
- muètun Chemin de fer Mmb Cirtuif de 1906
- 1 * ~ Pàrticsdu arcud de l$05 qui ont été éliminées
- Itinéraire du Circuit de la Coupe Vanderbilt kjoG.
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- —- ç) 31 —
- •Clément sur sa 70-chevaux Clément-Bayard. En 1905, le circuit de nie de Long Island vit encore une voiture française, une Darracq, pilotée par Hémery, remporter la victoire.
- Suivant le règlement, la troisième coupe Van-derbilt aurait dû être organisée dans notre pays, mais l'Automobile Club de France décida qu'il devait -se désintéresser de cette épreuve.
- Comme dans la coupe Gordon-Bennett, en effet, chaque pays ne pouvait engager qu’un nombre de Toitures (5) égal pour tous.
- Les constructeurs français n-en restaient pas moins libres de s'engager dans l’épreuve de 1900, mais l’équipe qu'ils formaient n'était pas considérée ^comme olliciclle.
- L'Automobile Club d’Amérique avait appelé pour •concourir les premiers classés dans le Grand Prix de TA. C. F. 1900.
- Les concurrents dont les no ns suivent répondirent cet appel :
- Hcath'ÿ(Panhard Levasseur.) — Fitz Shepard ( Iîotchlciss). — Wagner {Darracq). — A. Clément .(Bayard-Clément). — Duray (Lorraine-Diétrich).
- La lutte fut très intéressante et la victoire fut disputée bout en bout, à tel point que les cinq premiers iiniren/ eu 14’.
- Cette belle épreuve fut malheureusement attristée par un assez rand nombre d’accidents graves dont les victimes furent les spectateurs, dont l'imprudence et, il faut le dire, l’insufïisance du service d’ordre ont été la cause.
- La route était à ce point envahie par la foule que les organisateurs durent arrêter l’épreuve après les cinq premières arrivées dont voici le classement :
- 1. Wagner, sur Darracq (pneus Michelin), en 4 h. 50’ 10” 2/5, moyenne il l’heure : 98 km. 880. — 2. Lancia, sur Fiat, en 4 h. 53’28” 4/5, moyenne à l’heure : 97 km. G50.— 3. Duray sur Lorraine-Diétrich, en 4 h. 53’ 44”, moyenne à l'heure : 97 km. 600. — 4. A. Clément, sur Bayard, en 5 h. 1’ 59” 4/5, moyenne à l’heure : 95 km. — 5. Jenatzy, sur Mercédès, en 5 h. 4' 38”, moyenne à, l’heure : 49 km. 100.
- Pour la troisième fois, l’industrie française remportait donc la victoire.
- Au moment où l'épreuve fut arrêtée, il restait encore en course :
- Le Blon, sur Thomas (Américain). — Heath, sur Panhard (Français). — Harding, sur liaynes, (Américain). — Nazzaro, sur Fiat (Italien). — Christie, sur Christie, (Américain).
- Le tour le plus vite a été fait par Christie en 26’ 21”, ce qui donne une moyenne à l’heure de 108 km. 900.
- VANDERBILT (Éliminatoires de la Coupe),
- 22 septemrbe 1906). — Cette Coupe éliminatoire a servi ù indiquer les voitures américaines qualifiées pour courir la Coupe Yanderbilt (6 octobre 1906)
- Les résultats ont été les suivants : le* Joë Tracy, sur Locomobile, 110 chevaux, en 5 h. 27' 45”, moyenne à l'heure : 88 km. 600 ; 2e Hubert Le Blon, sur Thomas, 115 chevaux, •en 5 h. 51’ 26” ; 3e Harding, sur liaynes, 60 chevaux ; 4e A. Lytle, sur Pope-Toledo, 120 chevaux ; 5e Walter Christie, sur Christie, 70 chevaux.
- Le tour le plus vite a été fait en 29* 38”, ce qui •donne une vitesse moyenne ù, l’heure de 97 kilomètres.
- VÉHICULES INDUSTRIELS (Concours de).— *Ce concours, organisé sous la direction et la surveillance de l'Automobile Club de France, a remporté un succès très mérité.
- Le départ pour la première étape a été donné à Paris, du jardin des Tuileries, le 28 juillet 1905 ; le circuit s'est effectué en plusieurs jours par Cora-piègne, Amiens, Dieppe, le Havre, Rouen, Mantes et Paris, et s’est terminé le 8 août par un grand défilé dans les Champs-Elysées.
- Le résultat a été superbe : sur cinquante cinq concurrents présents au départ, cinquante figuraient ù l’arrivée.
- — En 1906, ce concours fut organisé par l’A.C. du Nord de la France du 6 au 17 juin 1906, sur le parcours Paris-Tourcoing par étapes.
- Le résultat fut remarquable : 24 véhicules arrivant à Tourcoing sur 25 partis de Paris.
- Le palmarès de cette^épreuve n’est que le tableau l’honneur de tous les véhicules ayant accompli les sept étapes que comportait le parcours.
- Voici ce tableau par catégorie :
- VÉHICULES DE TRANSPORT ET UE MARCHANDISES 8me catégorie. — Mors.
- 6me catégorie (poids à vide 3 500 kg. et plus h — Janvier. — Latil III. — PruncL — Peugeot II. — Brillié III.
- ! 5mc catégorie (poids à vide de 2000 à 3 500 kg.).— Auto-Camion I. — Avant-Train Latil II. — Louet et Badin. — Automobile A ries. — D’Espine, Achard et Cie. — Eugène Brillié II.
- 4m0 catégorie (de 1 000 îl 2 000 kg). — Avant-Train Latil II. — Bayard-Clément III. — Automobile Peugeot I.
- 1™ catégorie. — Motoocyclettes portant au moins 50 kilogrammes). — Mototri Contai II, I, III. — 'Trieur Austral I, II, III.
- VÉHICULES DE TRANSPORTS EN COMMUN
- 4me catégorie. — Omnibus d’au moins 30 places. — Bayard-Clément II. — Eugène Brillié I.
- lr0 catégorie. — Véhicules transportant de 12 à 24 personnes. — U Auto-Omnibus. — Bayard-Clément I.
- VENTOUX (Meeting du Mont). — Ce meeting, organisé par l’Automobile Club Vauclusien, se dispute sur la côte de 21 kilomètres qui escalade les 2 000 mètres de hauteur du Mont Ventoux.
- Cette côte est extraordinairement dure, agrémentée d’un grand nombre de virages très difficiles, dont quelques-uns à angle droit et môme à angle aigu. De plus la route, qui par endroits atteint 20 p. 100, est très poussiéreuse et est bordée continuellement d'un précipice qui n’est défendu par aucun parapet.
- — En 1905, les concurrents furent répartis, en deux séries :
- A. — Tourisme, dont les vainqueurs ont été, dans chaque catégorie : Motocyclettes : 1er Ruamps (Griffon), en 27’ 9” 1/5. — 2e Lamberjack (Qrifffon). — — Voitures : 1er Rivierre (Cottereau). — 1er Giry (Svelte). — 1er Didier (La Buire). — 1er Mottard (La Buire).
- B. — Vitesse, dont la première place a été remportée, dans chaque catégorie, par: 1er Lamberjack (Griffon), en 25’ 48” 1 /5. — Motocyclettes, lor De la Tou-loubre (Darracq). — Voitures légères : 1er Cagno (Fiat) et 2e Rougtcr (de Diétrieh) (voitures.)
- — En 1906 (15 et 16 septembre), le Meeting a réuni un grand nombre de concurrents, dont voici le classement final :
- Tricars. — 1er Bucquet, en 1 h. 0’ 8”. — 2° Bonne-vie (S. A. F.), en 1 h. 10’ 56”.
- Châssis de moins de 4 000 francs. — 1er Fournier, (Alcyon), en 1 Ir. 19’ 53” 3/5.
- Châssis de moins de 9 000 francs. — lor Belle ville, (Brouhot 12 chevaux), en 59* 8” 1/5. — 2e Comanos (Cottereau), en 1 h. 2* 45” 3/5.
- Le record appartient à Rivière sur Cottereau, en 69* 6”.
- Touristes, — Châssis de 9 U00 à 14 000 francs. — 1er Ladougne (M otobloc), eu 32* 25” (record battu). — 2e Gasté, (Radia), en 35' 59”. —_ 3° Aubert
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- {Mieusset), en 40* 52”. — 4e Jomain (Buire), en 44* 25”.— 5e Uouget (Mieusset), en 44* 58**.— 6° Lar-chevêque {La Buire), en 45* 51”. — 7° Picherel, (Darracq), en 56* 18**. — 8° Simon (Mors), en 1 h. 2’j4”. — 9e Cote {Pilain), en 1 h. 3* 12’*.
- Motocyclettes. — 1er Giuppone, en 26* 58” (record battu). — 2® Champoiseau {Alcyon), en 30* 6” 3/5. — 3® Cissac, en 33’ 12” 1/5. — Escoffler, {Magnat-J)ebon, tiers de litre), en 35* 46” 1/5. — 5° Camoin (Alcyon-Buchet), en 52* 28” 3/5. — 6° Sinde, {Bru-neau, tiers de litre), en 1 h. 4’ 52” 2/5.
- La seconde journée a donné les résultats suivants :
- Touristes. — Châssis de 14 000 à 20 000 francs. — 1er Mottard, {Buire), en 25’ 52” 2/5 (record battu de prés de 7 minutes). — 2° Fabre {Berliet), en 26* 38” 2/5. — 3e Bec {Martini), en 35* 53” 2/5.
- Châssis au-dessus de 20 000 francs. — 1er Tad-deoli {Rocket-Schneider), en 25* 15**.
- Le record appartient toujours à Mottard {Buire), en 24* 19”. Le temps de Taddeoli n*en constitue pas moins la meilleure performance enregistrée en 1906 dans le classement général des touristes. — 2° P. Garrot {Bayard), en 25* 48” 3/5.
- Vitesse. — Motocycles. — lor Camoin {Alcyon-Buchet), en 1 h. 0’ 2” 3/5 (record).
- Motocyclettes. — 1er ChampoiseaM {Alcyon), en 26* 34*’ 3/5. — 2® Giuppone, en 27* 10” 4/5. — 3® Prévôt {Gillet), en 30’ 34” 3/5.
- Voitures. — 1er Collomb {Rochet-Schneider), en 24* 40”
- VOITURES LÉGÈRES ET VOITURETTES (Concours de). — Ce concours fut organisé par la Gazetta dello Sport et le Comité de San Remo. Il se disputait en deux étapes : Milan-Acqui-San-Remo, et eut lieu les 4 et 5 avril 1906 par un très mauvais temps (neige et pluie), et sur des routes déplorables. *
- En voici les résultats :
- lre catégorie. — Châssis de 4 000 à 8 000 francs. — 1er Marchand. — 2° Diatto Cl. — 3° Ford. — 4e Tau-rinia I. — 5° Taurinia II. — 6° Rapid II. — 7e D. V. S.
- 2e catégorie. —- Voitures jusqu’à 4 000 francs. — 1er Maffeis. — 2e Otar III. — 3e Otar II. — 4° de Dion-Bouton.
- VOITURETTES (Coupe’des). — Novembre 1906. — Épreuve d’endurance courue aux environs de Rambouillet, sur 1 000 kilomètres, à raison de 200 kilomètres par jour, à une allure minima de 30 kilomètres à l’heure, y compris le ravitaillement et les réparations ; et une épreuve Anale de vitesse de 233 kilomètres.
- Le classement s'est ainsi établi :
- 1er Sizaire et Naudin (Sizaire), en 4 h. 7” (moyenne à l’heure : 58 kilomètres 600) ; 2® Delage (Ménard-Lucas), en 4 h. 5* 40” ; 3; Lion-Peugeot (Giuppone), en 4 h. 14’ 41”; 4e IÀon-Peugeot ; 5° Auto-Stand de Dion-Bouton (Pellegrin), 4 h. 50* 22” ; 6e Vulpès ; 7° Sizaire et Naudin; 8® Lion-Peugeot; 9e Fouil-laron ; 10° Alcyon.
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- LOIS
- DÉCRETS
- et RÈGLEMENTS
- CONCERNANT
- la CIRCULATION AUTOMOBILE
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- POLICE — 934 — DU ROULAGE
- ROULAGE (Police du). — Nous clou- bile et dressé par M. Ch.-G. Bridoux), de la> nons ici un tableau (extrait de La Vie Antomo- Police du roulage en vigueur à YElranger :
- NATIONS COTÉ A GARDER EX CAS DE RENCONTRE ENTRE VÉHICULES ECLAIRAGE DES AUTOMOBILES LÉGISLATION. PARTICULARITÉS..
- Allemagne. < Droit (ensemble des rendements com-munaiix). LTne lanterne (ensemble des règlements communaux). A Darmstadt, verrou de couleur prohibés. Pas de règlement général. Vitesse maxima dans les agglomérations : 12 kil. Allemagne du Sud, Bavière, Saxe et. quelques villes de l’Allemagne du Nord : plaque et numéro. A Darmstadt, permis de circuler exigé pour un séjour de-plus de 8 jours. A Munich, permis exigé pour les voilures. Circulation absolument interdite aux mo-tocycles.
- Autriche. < Gauche. Due lanterne à verre blanc. Pas de règlement général. En Basse-Autriche, c’est le règlement de police de Vienne qui est en vigueur : permis de circuler exigé.
- Belgique. Droit (décret) saut à Garni. Gauche (règlement 1 communal). Lue lanterne à l'avant et une à l’arrière (décret). A Garni, une lanterne supplémentaire à l’avant et des verres incolores sont exigés en vertu d'un règlement communal. Lois et décrets, mais modifiables dans certaines mesures, par les bourgmestres, qui ont *à peu près les mêmes droits que les maires français. . Numéro à l'avant et à l'arrière. 80 km. en campagne, 10 en agglomération.
- Danemark. < Gauche. Circulation des aulomohilcs-interdite dans les villes. Autorisée en campagne, seulement sur les routes nationales.
- Espagne. Droit. Même réglementation qu’en France. 28 km. et 12 km.
- 1 1 Gi'ande-Bretagne. < i Gauche. Une lanterne blanche ii l’avant, une rouge à l’arrière du côté droit (loi). Les county-councils peuvent ajouter toutes mesures dans leur district. 10 kil. en campagne, au pas. dans les villes. Interdiction d’avoir chez sol et de transporter dans l’automobile plus de 180 litres d’essence.
- Italie. < Droit dans la cam-i pagne et les petites villes. Gauche dans les grandes villes. Deux lanternes à l’avant dont celle de gauche à verre vert, une rouge à l’arrière. Permis de circuler exigé en cas de séjour de plus de 8-jours. Vitesse maxima 12 km.
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- POLICE
- — 935 —
- DU ROULAGE
- NATIONS
- COTÉ A GARDER
- j EN CAS
- ! DE RENCONTRE ENTRE VÉHICULES
- ECLAIRAGE
- DES AUTOMOBILES
- LÉGISLATION. PART1CU LARIT ÉS.
- Luxembourg. Droit. Pas de règlement les automobiles pour
- Pays-lias. ( Droit. Deux lanternes à vaut. l'a- Se munir de 2 permis de circuler : un délivré parle ministre des Travaux publics pour les routes entretenues par l'Etat et un par la Délégation permanente des Etats de la province de Zélande pour les autres chemins publics. Numéro à l'avant et h l’arrière. Vitesse inaxima : 20 km., réduite à 8 km dans les descentes, les tournants et les agglomérations. Amsterdam : 3° permis de circuler exigé par l’autorité municipale. - - Interdiction d’emporter plus de 5 litres d'essence et ce dans un réservoir métallique recouvert d'amiante. — Le propriétaire de la voiture est responsable du conducteur.
- fuisse. < Droit. Circulation interdite aux automobiles sur plusieurs grandes roules et dans tout le canton du Valais. Pas de règlement général. — Législation très variable selon le canton. Numéros dans quelques-uns. Vitesse très modérée.
- ROUTE (CODE DE LA). —Ou a parlé <Tétablir pour les chaufTeurs un ensemble de règles qui formeraient une sorte de code s'appliquant spécialement à eux et que Ton dénommerait « code de la route » (Voir page suivante).
- Un tel code ne saurait prétendre avoir force de loi tant qu'il n’aura pas été voté par les Chambres et promulgué conformément à notre Constitution. Mais il n’en est pas moins intéressant et ne sera pas pour cela absolument inefficace.
- Il peut fort bien, surtout après quelques années, constituer un véritable usagey inopposable sans doute aux tiers qui ne s’occupent pas d’automobile, mais s’imposant aux chauffeurs et dont, dans certains cas, les tribunaux pourront tenir compte.
- Supposons par exemple un procès se plaidant entre deux chauffeurs à la suite d’une collision résultant de ce que l’un des deux a tenté de dépasser l'autre dans un virage. Le Code de la Route considère ce fait comme une faute grave. Or le tribunal pourra fort bien dire que
- l’usage étant entre automobilistes de ne pas se dépasser dans les virages, celui qui a tenté de le faire a commis une faute, et à l’aide de ce motif il pourra valablement condamner l’imprudent.
- LE CODE I)E LA ItOUTE
- Ce code de la route a été proposé par M. J. Perrigot, président de T Automobile-Club Vosgien ; il a été adopté par l’A. C. F., VA. G. A., la Ligue des Chauffeurs, le Touring-Club.; l'A. C. d'Alsace-Lorraine, la Fédération des A. C. Régionaux, le Moto-Club de Belgique, etc.
- Article premier. — Sur la route libre, on peut occuper le milieu de la chaussée, mais sous la condition de laisser assez d’espace à gauche pour permettre le passage d’une voiture plus vite allant dans le même sens.
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- CODE DE LA KOUTE
- CODE DE LA HOTTE
- <)3(> —
- Art. 2. — Croisement de deux voitures. — a) Deux voilures marchant en sens inverse se croisent en se tenant chacune à leur droite.
- Elles doivent ralentir lorsque la route es’ manifestement trop étroite pour que les voitures puissent se croiser facilement (route étroite ou rétrécie accidentellement, tramway, dépôts de matériaux, etc.).
- La vitesse sera meme ramenée à celle d'un homme au pas si l’état de la route est te! que le croisement soit difficile.
- h) Si deux voitures marchent à une vitesse dillerente dans le même sens, celle qui es! devancée n’a qu’à garder sa droite.
- La voiture qui devance devra signaler sa présence par des appels de trompe et ne s’engager que si l’espace libre est nettement reconnu.
- c) On ne doit jamais dépasser en vitesse une voiture dans la traversée des agglomérations rurales.
- Art. .3. — Virages, —• a) Dans les virages découverts, c’est-à-dire ou la vue de la route dans-toute l'étendue du virage est complète, il n'y a pas de nécessité spéciale de ralentir.
- b) Dans tout virage où une portion quelconque de la roule est masquée, on doit ralentir de façon à pouvoir stopper à dix mètres. Cette obligation s'impose plus rigoureusement en pays de montagne.
- c) En tout cas, on ne doit sous aucun prétexte, quitter sa droite et on doit faire usage de sa trompe.
- d) Eu cas d'impossibilité absolue, par exemple si la partie droite de la route est encombrée par un obstacle, l’automobiliste obligé de prendre sa gauche devra aller assez lentement pour pouvoir, en cas de besoin, arrêter en trois mètres au plus et faire des appels de trompe continuels.
- Art. 4. — Croisement de routes. — a) Si le croisement des routes est absolument découvert, c’est-à-dire si la vue n’y est gênée par rien, il n’y a aucune obligation de modifier la vitesse si la route est libre.
- Si deux voitures convergent vers le croisement découvert, le conducteur qui voit une voiture venir à sa droite doit lui céder le pas. quelle que soit la largeur relative des routes ; il devra donc ralentir en conséquence et ait besoin s'arrêter.
- b) Si le croisemet est tel que la vue soit impossible ou memn seulement, gênée, toute voiture abordant le croisement doit ralentir sa vitesse au moins à vingt kilomètres à l’heure.
- Si, en arrivant au croisement, ainsi ralenties, deux voitures se découvrent tout à coup et risquent de se heurter, chaque conducteur doit, invariablement, virer sur sa droite, même si cette mesure lui lait quitter momentanément sa route.
- a) Dans Traversée des agglomérations.
- la traversée des villes, on se sou-—ettra aux règlements spéciaux.
- b) Dans celle des villages, la vitesse devra toujours être assez réduite pour que l'on puisse arrêter en dix mètres si la route est
- large, et en D ois meties si la roule ( s étroite.
- L’usage de la trompe est obligatoire à l’abord des maisons isolées.
- Art. G. — Rencontres. — En approchant d’hommes et d'animaux, on doit les prévenir par des appels de trompe, jusqu'à ce que leur attention ait été manifestement éveillée, et ralentir sensiblement si la route est étroite.
- Si les animaux manifestent de la frayeur, on doit, sans exception, ralentir, et, si cela est nécessaire, arrêter la voiture et même le moteur.
- Art. 7. — Accidents de personnes. — En cas d’accident, il faut s'arrêter et porter secours, dans toute la mesure du possible, aux victimes de l'accident.
- Quand les blessés seront en sécurité et que les soins médicaux leur seront assurés, on devra s'occuper de recueillir, sans tarder, tous les témoignages capables (l'établir les circonstances de l’accident.
- Art. 8. — Une automobile croisant au moment de l’accident devra également s’arrêter pour offrir son assistance la plus complète aux blessés d’abord, puis aux auteurs de l’accident, toujours présumé involontaire.
- Art. 9. — Avaries, pannes, accidents à la voiture. — a) Tout automobiliste doit aide à son camarade (pii le lui demande. •
- b) Un automobiliste eu panne demande de l’aide de la façon suivante :
- i° S'il fait jour, eu agitant un brasdansun plan perpendiculaire à la route, la ligure étant tournée vers la voiture dont on sollicite l’arrêt, ou en plaçant, ostensiblement, sur la voilure, un drapeau blanc fait, au besoin avec un mouchoir.
- 20 La nuit, en agitant une des lanternes en travers de la roule.
- Art. 10. — En cas de panne d’essence, le chauffeur qui en sera requis doit, à sou camarade la ([liantité d'essence qu'il aura disponible en excédent.
- Cette essence sera payée comptant.
- Arrêté Ministériel du 11 septembre 1901.
- Article premier. — Les numéros d’ordre à attribuer aux automobiles, capables de marcher en palier à une vitesse supérieure a 3o kilomètres à l'heure, seront fixés par l'ingénieur en chef des Mines de chaque arrondissement minéralogique.
- Le numéro sera porté sur le récépissé de déclaration à remettre à l'intéressé.
- Art. 2. — Ce numéro d’ordre sera formé d'un groupe de chiffres arabes suivi de lettres majuscules romaines, caractéristiques du service de l'ingénieur en chef.
- Le numéro sera reproduit sur les plaques d’identité en caractères blancs sur fond noir avec les dimensions suivantes :
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- CIRCULATION
- AUTOMOBILE
- I laque Plaqu c
- avant arrière
- Hauteur des chiffres ou lettres. — X m /n 1 J'> / 10On7in
- Largeur uniforme du trait .... I 2 1 0
- Largeur du chiffre ou de la
- lettre A 5 (ïo
- Espace libre entre les chilires
- ou les lettres 3o 35
- Hauteur de la plaque 100 j 20
- Le groupe des chiffres sera séparé des lettres par un Irait horizontal placé à nioilié 'hauteur de la plaque, avec les dimensions suivantes :
- Plaqua Plaque
- avant arrière
- Largeur (sens vertical! 1 •} 111 m 1 “J m 'ni
- Longueur (sens horizontal!. . . Espace libre entre le trait et u Go
- les chiffres ou lettres 3o 35
- Art. .‘L — Les plaques seront placées de façon à cire toujours en évidence dans des plans verticaux perpendiculaires à l'axe longitudinal du véhicule, 1*axe de la plaque étant aulant (pie possible sur cet axe longitudinal.
- Art. /(. - La plaque d'arrière sera éclairée pendant la nuit par réflexion avec une intensité qui permette de lire le numéro d'ordre aux memes distances que le jour.
- Toutefois on pourra, pendant la nuit, substituer à la plaque d'arrière, une lanterne qui éclairera par transparence un verre laiteux recouvert d'une plaque ajourée, de manière (pie les caractères constituant le numéro se détachent en clair sur fond obscur, avec les mêmes dimensions que celles indiquées à l'article 2.
- Paris, le 11 septembre 1901.
- PlKUllE HaUDIN.
- Le ministre des Travaux publics^ à M. le préfet de........
- Paris, le 11 septembre 1901.
- Le Journal officiel vient de publier le décret du 10 septembre 1901, modifiant celui du 10 mars 1899 sur les automobiles, avec l'arrêté que j'ai pris à la date du 11 septembre courant pour compléter cette nouvelle réglementation.
- Le rapport, qui précède le décret du 10 septembre 1901, a fait connaître les motifs qui
- ont amène le Gouvernement a le promulguer * je viens, par cette circulaire, vous donner les instructions nécessaires à son application.
- 1. Comme pour le règlement originaire du 10 mars 1809, nouvelles dispositions s'appliquent à tous les automobiles sans distinction de types, aux motocycles comme aux voiturettes et. voitures.
- 2. La nouvelle réglementation astreint tout automobile capable de marc,ber en palier à une vitesse de plus de f>» kilomètres à l'heure à être immatriculé par un numéro d'ordre, qui lui sera spécial et caractéristique, sur des registres tenus par les ingénieurs eu chef des Mines du service ordinaire.
- Ce numéro d'ordre sera formé d'un nombre en chiffres arabes, suivi d'une ou plusieurs lettres en majuscules romaines, distinctives de l'arrondissement minéralogique. Le groupe des chiffres arabes et, celui des lettres seront séparés l'un de l'autre par un M'ait horizontal. Le numéro d'ordre ainsi constitué devra être, par les soins et sous la responsabilité du propriétaire de l'automobile, placé en évidence tant, à l avant, qu'à l'arrière du véhicule, en caractères qui se détacheront, en blanc sur fond noir sur des plaques ayant, la forme, les dimensions et le mode de pose spécifiés à l'arreté ministériel du 11 septembre iqoi.
- La nuit, le numéro d'ordre d'arrière devra être éclairé. Ou pourra, à cet effet, soit éclairer par réflexion la plaque employée pendant le jour, soit, substituer à celle-ci une lanterne disposée comme le porte l'arreté : le choix des moyens est. laissé aux intéressés.
- La lecture du numéro d'ordre, rendue ainsi possible a distance, qu'il fasse jour ou non, constituera l’un des éléments utiles pour identifier les conducteurs d'automobiles qui se rendraient, coupables de contraventions.
- D'autre part, c'est, la responsabilité du constructeur que le règlement met en jeu pour l'indication de la vitesse maximu à laquelle l'automobile est capable de marcher en palier, ainsi qu’il sera expliqué au paragraphe !\.
- 3. Pour l'application de ce nouveau régime on doit distinguer, au poiiit de vue do la procédure, les automobiles à mettre en service dans l'avenir et ceux déjà en service et déclarés en conformité du décret du io mars
- l890- . .
- On examinera successivement, ce (pu concerne ces deux catégories de véhicules.
- Dans le système du règlement, du 10 mars 1899, pour qu'un automobile puisse être mis en service, il faut tout d'abord que le type auquel il appartient, ait été reconnu par le Service des Mines satisfaire aux articles 2 à b dudit décret-. Cette reconnaissance se fait conformément aux indications des paragraphes f\ à q de la circulaire ministérielle du 10 avril 1899. Un des cléments primordiaux de celte procédure est, la note descriptive que le constructeur doit produire au Service u.‘S Mines et dont, une copie, accompagnée du procès-verbal de ce service doit, cire remise à tout acquéreur d'automobile.
- « Une demande de reconnaissance de type n'est, recevable, dit la circulaire du 10 avril 1899, paragraphe 5, dernier alinéa, qu'accom-
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- GIHCULATION
- AUTOMOBILE
- pagnée, en double expédition, d'une note descriptive suffisamment complète et précise, eonforménient aux règles ci-dessus de ladite circulaire. »
- Déjà l’une de ces règles était que la note descriptive donnait des indications sur les vitesses des véhicules appartenant au type décrit. Mais cette indication doit prendre dorénavant une importance spéciale. Une note descriptive ne devra plus être considérée comme suffisamment complète et précise que si elle énonce d'une manière formelle la vitesse maxima que les véhicules du type seront capables d'atteindre en palier et si elle détaille pour chaque cran de marche les rapports successifs de démultiplication depuis le moteur jusqu'aux roues motrices, dont elle devra d'ailleurs indiquer le diamètre : ces diverses données sont nécessaires à la définition complète du type, elles fixent les éléments des relations qui peuvent être établies entre la vitesse angulaire du moteur et la vitesse de marche de l'automobile.
- Le maximum de vitesse de marche susceptible d’elre réalisée en palier est inscrit dans la noie descriptive sous l’entière responsabilité du constructeur. Les vérifications du Service des Mines, faites sur un exemplaire unique de chaque type, ont pour but de reconnaître si le type satisfait aux articles 2 à G du décret du 10 mars 1899, qui 11c stipulent rien de la vitesse.
- Toutefois, si le Service des Mines venait à reconnaître soit au cours des dites vérifications, soit de toute autre manière, qu'un type déclaré comme ne pouvant dépasser la vitesse de 3o kilomètres à l'heure en palier est en réalité capable de dépasser notablement cette vitesse, il devrait considérer la note descriptive comme manifestement, entachée d'inexactitude et, par suite, comme non-recevable.
- f>. Sans qu’il soit besoin de revenir sur la définition du type donnée au paragraphe 5 de la circulaire du 10 avril 1S99, il va de soi qu'on devra considérer comme appartenant à des types différents des véhicules qui, toutes autres choses analogues, différeraient sensiblement, par la vitesse maxima qu'ils seraient capables de prendre en palier.
- G. L’attribution d'un numéro d'immatriculation n’a pas besoin de faire l'objet d'une demande spéciale de l'intéressé, en tant qu’il s'agit d'une automobile non encore mise en service et par suite non encore déclarée.
- Cette attribution suivra naturellement la déclaration que l’intéressé doit continuer à vous adresser conformément, aux indications du paragraphe 10 de la circulaire du 10 avril 1899.
- A cette déclaration doit être, en effet, annexée comme le prescrit cette circulaire, la copie du procès-verbal délivré par le constructeur, copie qui, on l'a rappelé, reproduit nécessairement la note descriptive et par suite contient les indications voulues sur la vitesse maxima.
- Mais désormais, par modification aux dispositions de la circulaire du 10 avril 1899, vous ne délivrerez plus de récépissé de déclaration aux intéressés que lorsque ce récépissé vous
- aura été retourné par l’ingénieur en chef des Mines, après visa par lui, en ce qui concerne l'immatriculation éventuelle du véhicule.
- Sur le vu de la déclaration et de ses annexes, l’ingénieur en chef des Mines inscrit la mention d'immatriculation à l’endroit à ce destiné sur le modèle du nouveau ,récépissé.
- Si le véhicule est capable de marcher à plus de 3o kilomètres à l'heure en palier, on porte le numéro attribué au véhicule sur le registre spécial de l’arrondissement minéralogique ; au cas contraire, on inscrit à la place du numéro la mention ((Néant».
- L'ingénieur en chef tient pour tout son arrondissement minéralogique un « registre d’immatriculation des automobiles capables de marcher à plus de 3o kilomètres à l’heure », qui sera distinct du « registre de déclaration » dont traite le paragraphe 10 de la circulaire du 10 avril 1899.
- Le numéro d’immatriculation devra toutefois être porté désormais sur les registres de décl aration.
- Il sera fait sur le registre une entrée par automobile immatriculée, donnant :
- i° Le numéro d'immatriculation (nombre, lettre romaine caractéristique);
- 20 Les nom et prénoms du propriétaire ;
- 3° Son domicile ;
- 4° Les nom et adresse du constructeur ;
- 5° L’indication du type ;
- G0 Le numéro d’ordre dans la série du type.
- n° La date du procès-verbal de reconnaissance du Service des Mines.
- 8° Le numéro du registre de l’ingénieur de qui il émane ;
- 90 Le sous-arrondissement minéralogique.
- Vous continuerez à vous approvisionner directement auprès de l'administration centrale des récépissés de déclaration nécessaires à votre département.
- Vous vous entendrez avec l'ingénieur en chef des Mines sur les conditions dans lesquelles les récépissés seront remplis remis aux intéressés.
- Je vous recommande d'une façon toute spéciale, ainsi qu’au Service des Mines, de vous efforcer de perdre le moins de temps possible, de façon que, malgré les nouvelles formalités, les intéressés puissent recevoir leurs récépissés dans le plus bref delai.
- 7. Dans le cas prévu au paragraphe 8 de la circulaire du 10 avril 1899, où il ne s’agit plus d’un type de constructeur à reconnaître, mais d'un véhiculé isolé, la note descriptive devra toujours contenir, sous la responsabilité de son auteur, la mention de la vitesse maxima, sous peine de 11e pouvoir tre acceptée par le Service des Mines.
- 8. En vue de faciliter la lecture des numéros sur les automobiles et de retrouver plus aisément leur propriétaire, il est attribué, pour l’immatriculation, des lettres caractéristiques aux divers arrondissements minéralogiques conformément au tableau ci-dessous v
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- CIRCULATION
- AUTOMOBILE
- — 939 —
- ARRONDISSEMENTS minéralogiques LETTRES caraclérist iq ucs
- Alais A
- Arras R
- Bordeaux B
- Chalon-sur-Saône C
- Chambérv H
- Clermont-Eorrand V
- Douai D
- Le Mans
- Marseille M ou V
- Nancy N ou 0
- Poitiers P ou K
- Rouen Y ou Z
- Saint-Etienne S
- Toulouse T
- Paris E, G, I, R, X
- On ne porte sur le registre d'immatriculation que les automobiles capables démarcher en palier à une vitesse de [tins de 3o kilomètres à l'heure.
- Les inscriptions doivent être faites d'une façon strictement continue.
- Le numéro d'immatriculation se compose d'un nombre qui, provisoirement, ne dépassera pas trois chiffres, suivi de la lettre affectée à l'arrondissement. Après les 999 numéros de cette première série, on inscrira une nouvelle série en redoublant la lettre caractéristique de l'arrondissement. Les arrondissements de Paris et de Rouen (Versailles) agiront ainsi successivement avec les •diverses lettres qui leur sont affectées.
- 9. Pour les automobiles déjà déclarés, le propriétaire de chacun de ces véhicules doit déposer le récépissé de déclaration à la préfecture d'où émane ce récépissé.
- Si la note descriptive précédant le procès-verbal du Service des Mines sur le vu duquel le récépissé a été délivré spécifie le maximum de vitesse susceptible d'étre atteint par les véhicules appartenant au type décrit, cette indication pourra être prise, d’accord avec le propriétaire de l'automobile, pour base de la suite à donner: suivant que ce maximum sera ou non supérieur à 3o kilomètres à l'heure, le véhicule sera considéré comme astreint ou non à l’immatriculation et il sera procédé comme ci-dessus pour attribuer un numéro d'ordre au véhicule ou pour l'en déclarer exempt.
- Si, au contraire, cette indication 11e figurait pas sur la note descriptive du type, ou si le propriétaire de l’automobile entendait contester la légitimité de son application au cas particulier de son véhicule, ledit propriétaire devrait produire le certificat complémentaire du constructeur que celui-ci est tenu de fournir aux termes de l'article 3 du décret.
- Dans le cas où, depuis la construction de l'automobile, le constructeur aurait disparu, il appartiendrait à l'ingénieur en chef des Mines d'apprécier, pour chaque espèce, les ustifications produites par le propriétaire de 'automobile.
- Tout ancien récépissé de déclaration ainsi déposé et complété, s'il y a lieu, par la production des justifications nécessaires, sera, par les soins de l’ingénieur en chef des Mines, frappé à l'intérieur, au bas, à gauche, d'un timbre spécial où l'on portera soit le numéro d'immatriculation assigné au véhicule, soit la mention <( Néant ».
- Les automobiles déjà déclarés seront portés au (( registre d'immatriculation » et numérotés sans distinction avec les véhicules nouveaux.
- Vous aurez soin, en conformité de l'article 2, d'indiquer sur le récépissé, par une mention explicite ainsi libellée : « Récépissé
- complété, remis le..... », la date à laquelle la
- remise est, faite à l'intéressé.
- 10. — L’ingénieur en chef des Mines répondra à toutes les demandes de renseignements qui lui seront adressées par tles autorités administratives ou judiciaires en fournissant des extraits certifiés conformes du « registre d'immatriculation »,
- Au reste, en ayant soin de reproduire le numéro d'immatriculation sur les « reeristres de déclaration » tenus en vertu du décret du
- 10 mars 1899, vous aurez déjà dans votre préfecture des moyens vous permettant d'identifier les automobiles parleurs numéros.
- 11. —• Comme l'a déjà fait remarquer la circulaire du 10 avril 1899, paragraphe 16,
- 11 n'existe pas de service technique (pii ait compétence spéciale pour constater les contraventions des constructeurs et propriétaires, d'automobiles aux dispositions des décrets des 10 avril 1S99 et 10 septembre 1901. Les contraventions ne peuvent être constatées que par les officiers de police judiciaire, tels que les maires, commissaire de police, etc...
- Ces fonctionnaires trouveront toutefois dans les nouvelles dispositions des facilités particulières pour relever les exagérations de vitesse contre lesquelles il importe de réagir.
- Désormais, le récépissé de déclaration sans lequel aucun véhicule ne peut circuler (art. 12) doit porter une mention indiquant, quel c véhicule ne peut circuler en palier à plus de 3o kilomètres à l’heure, ou, dans le cas contraire, donner son numéro d’immatriculation ; et dans ce cas le véhicule doit être muni de ses plaques d’identité.
- A raison de l'importance de cette mesure, il convient que les maires et commissaires de police, d'après les indications complémentaires que vous jugeriez bon de leur donner, procèdent de temps en temps à cette vérification de façon que l'on ait l'assurance que tout véhicule qui doit être muni de ces plaques les ait effectivement.
- Je vous prie de vouloir bien m'accuser réception de cette circulaire dont j’envoie directement ampliation aux ingénieurs des-Mines.
- Pierre Baudin.
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- ClUCt LA l'IO.N
- - (j/| o —
- Al TOMOBILI'
- MlMS’l r,RE DES TRAVAUX i’oifLH.S
- Le ministre, (les Travaux publies,
- Vu le décret, du io mars 181)9, modifié par celui du jo septembre 1901, portant règlement. d’administration publique pour la circulation des automobiles :
- Vu l'arrêté du 11 septembre 1901 relatif à l'application du décret précité du 10 septembre j 901 ;
- Sur l;i proposition du conseiller d’Etat., di-rectcur des Routes, de la Navigation et des .Mi nés,
- Arrête :
- Article premier. — Les dimensions des plaques d'identité et des numéros d’immatriculation, qui demeurent celles qu'a fixées l’article 2 de l'arrété sus-visé on ce qui louche les automobiles, pourront être réduites •en ce qui touche les molocycles (tricycles et quadricycles automobiles) et les motocyclettes (bicyclettes à moteur) conformément aux .'indications ci-après :
- Triryclcs Bicyclettes cl (Juailrieyelcs à imituii1.
- 'Hauteur des chiffres ou
- lettres..................... Go
- Largeur uniforme du Irait.. 8
- Longueur du chiffre ou de
- la lettre................... dé —
- Espace libre (mire les chiffres ou les lettres............ 10 —•
- I rait, horizontal séparant les chiffres des lettres (sens
- horizontal)................. 20 - -
- 'Trait horizontal séparant les chiffres des lettres (sens vertical)....................... 8 —
- fjo m/'m J .....
- do —
- 1.1
- 7 —
- Espace libi-e entre le Irait
- et les chiffres ou lettres. o — >
- Hauteur de la plaque....... 80 - 70 —
- Ces dimensions réduites s'appliquent aussi bien à b» plaque d’avant qu'à la plaque d'ar-
- rière.
- Art. 2. — La plaque d'arrière des bicyclettes à moteur pourra 11e pas être éclairci1 .pendant la nuit.
- Paris, le 12 décembre 1901.
- Pierre Raudin.
- Pièces à fournir pour obtenir le •certificat de capacité pour conduire une voiture automobile
- (.D'L II du décret du 10 mars 189!))
- i° Demande sur papier timbre de o l’r. (io, adressée à M. le Préfet de Police.
- 20 Certificat de domicile délivré par les Commissaires de police ou les Maires.
- d° Pièce justificative d’identité donnant, l'élat—civil du pétitionnaire (acte ou bulletin de naissance, acte de mariage, livret militaire, etc.).
- /|'* Deux photographies en épreuves.
- Le ccrlt/ical de capacité est délivré par le Préfet de Police, Aimés kxamen iuiatiouk subi devant le Service des Mines et sur sa proposition.
- Pièces à fournir pour obtenir le récépissé de déclaration de mise en
- service d’une voiture automobile.
- (Art. 8 et 9 du décret du 10 mars 4S99.)
- i° Déchirât ion sur papier timbré de o fr. (io, adressée à M. le Préïcl de Police, indiquant :
- a. Les nom, prénoms et domicile du propriétaire.
- b. Le nom du constructeur cl son adresse.
- C. L'indication du type de la voiture et
- le numéro d’ordre dans la Série de ce type.
- 20 Une copie du proces-verbal de la réception du type de la voiture délivrée par le constructeur et un certificat, délivré par ce dernier constatant que la voiture est entièrement en conformité du type. Ce certificat, devra spécifier le maximum de vitesse que l'automobile est capable d'atteindre à l'heure en palier.
- Le récépissé de déclaration de mise en circulation d'une voiture automobile sera délivré ou retourné à Lintéressé après vérification des pièces par le service des Mines. Le récépissé indiquera, s’il y a lieu, le numéro d'immalrievlalion que devra poi ter la voilure. Le mol “ néant”, inscrit, sur le récépissé indiquera que la voiture n’est pus assujettie à un numéro.
- Pièces à fournir en cas de cession d’une voiture automobile, par le nouveau propriétaire.
- {Art. 8 du décret du 10 mars 1899 et circulaire ministérielle du 11» mai 1902).
- Le nouveau propriétaire d'une voiture auto mobile obtient,, séance tenaillé, un récépissé-île déclaration en produisant :
- i° Le récépissé qui avait été délivré à son vendeur.
- 20 Une déclaration expresse sur timbre de o fr. Go que l'automobile est restée conforme à sa constitution primitive.
- Si le nouveau propriétaire réside dans le meme arrondissement, minéralogique que celui indiqué au premier récépissé, le meme numéro d'immatriculation sera conservé au véhicule.
- Au contraire, si le nouveau propriétaire réside dans un autre arrondissement minéralogique que celui où a été faite la première déclaration, un numéro distinct.il nouveau sera donné au véhicule par le Service des Mines.
- Le conducteur d'une voiture automobile est tenu de représenter à toute réquésilion de l’autorité :
- i° Son certificat do capacité.
- 20 Le récépissé de déclaration du véhicule.
- (Extraits de l’Annuaire du T. C.FA.
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- IMPOTS
- — i/i i
- IMPOTS
- TAXE
- IMPOT SUlt LUS VOITURES ALTOMOIULES LT MOTOC TOLES
- Loi portant fixation <ln Inulqct (jrneral dos dépenses et des recettes de l'exercice de 1808.
- Le Sénat et la Chambre des députés ont adopté,
- Le Président de la République promulgue la loi dont la teneur suit :
- TITIIE PREMIER h. — impôts kt m;vi:.Ni;s ai;to:usi';s
- Art. 3.— Le tarif île la contribution sur les voilures, chevaux, mules et mulets, qui fait l’objet de l'article premier de la loi du 22 décembre 1(8*79, est complété de la manière suivante :
- (Ce tarif a rtc modifie /r/r la loi du 10 iuillel 1000. — Voir ci-après).
- Les voilures automobiles sont passibles de cette contribution suivant, les memes règles que les voitures attelées de chevaux, mules et mulets (i ).
- Les augmentations de taxes résultant du présent article sont dues à partir du ifir mai 1S98 ; elles seront appliquées, pour l'année courante, par voie de rôles complémentaires.
- Pour l'année en cours, les déclarations relatives aux voitures automobiles possédées depuis une époque antérieure au i‘‘r mai 1S98, seront remues dans b* délai d un mois à partir de la promulgation de la loi des finances.
- Art. 5. — La taxe sur les vélocipèdes, établie par la loi du 2<S avril iStpj, est üxéeaux chiffres ci-après à partir du P‘r janvier 1899 :
- i° G IV. (six francs) pour les machines aune place ;
- 20 12 IV. (douze francs) pour les machines à deux places, et six francs pour chaque place en plus.
- (axs taxes comprennent les centimes pour non-valeur et pour Irais de perception.
- Art. G. — Pour les vélocipèdes et appareils analogues munis de machine motrice, la taxe est lixée au double de celle établie par l'article précédent. Cette augmentation aura son effet à partir du PM mai 189S : elle sera appliquée pour l'année courante par voie de rôle complémentaire.
- Art. 7. — Les déclarations prescrites par l'article 11 de la loi du 28 avril 189$ contiendront, à l'avenir, l'indication de la nature des vélocipèdes et de leur nombre de places.
- Pour l'année en cours, les machines munies
- (1) La déclaration à la mairie du domicile (nombre de places et de chevaux-vapeur) doit être faite dans le mois de feutrée en possession. Kilo esl indépendante de la déclaration à fuir; à la préfoc-nre pour la mise en service.
- d'un moteur mécanique, possédées depuis une époque antérieure au i*ir mai 1898, seronL l'objet d'une nouvelle déclaration dans le délai d’un mois à partir de la promulgation de la loi de finances.
- Une nouvelle déclaration est également exigée des possesseurs de machines a plusieurs places non munies de moteur mécanique; elle devra être effectuée avant le 3i janvier 1899.
- Le dédoublement de taxe prévu par l’article i3 de la loi précitée est étendu aux éléments imposables qui auront été inexactement déclarés.
- Art. 8. — A partir du ior mai 1899, tout vélocipède ou appareil analogue devra porter une plaque de contrôle. Toute contravention à cette obligation sera punie des peines de simple police, sans préjudice du doublement de taxe (pii serait encouru pour défaut ou inexactitude de déclaration.
- La plaque de contrôle délivrée pour un exercice sera valable jusqu'au ier mai de l'exercice suivant.
- Un règlement d'administration publique déterminera le modèle de la plaque de contrôle et les conditions dans lesquelles elle sera délivrée aux intéressés.
- Loi du 10 juillet 1000.
- Art. ô. — Le tarif de la contribution sur les voilures, chevaux, mules et mulets, relatif aux voilures automobiles, qui lait 1 objet de l’article 3 de la loi du i3 avril 1898, est modifié de la manière suivante :
- SOMMES A PAYKK
- VIL LES, COMMUNES non compris les centimes de non-va’r-nrs
- OU LOCALITÉS =3
- pour chaque voiture 0 *— Jr « î
- dans lesquelles automobile çr- g O. «9 n.o .n
- v. -5 2 .s T
- le tarif esl applicable A i ou 2 plaças à plut de 2 lia vs i; _L «3 « i £
- Paris 5o IV. <)<) IV. 5 IV.
- Les communes :
- Autres (pie Paris,ayant
- plus de ^o.ooo âmes de population /(O — —5 >
- De 20.001 a /jo.ooo
- âmes :io — (>o -— 5 —
- De 10.001 à 20.000
- âmes De 10.000 fîmes et au- 25 — 5 o — 5 —
- dessous 20 /,o —
- Sont passibles de la contribution sur les voitures, chevaux, mules et mulets, conformément au tarif ci-dessus, les voitures automobiles non suspendues, si d'ailleurs elles sont destinées au transport des personnes.
- Les possesseurs de voitures automobiles doivent indiquer, dans les déclarations qu’ils sont tenus de faire en exécution des articles i 1 de la loi du 2 juillet 1862 et 9 de la loi du 23 juillet 1872, la force en chevaux-vapeur du moteur. Les déclarations déjà effectuées seront complétées en ce sens avant le iGjan-vier prochain.
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