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Catalogue explicatif et illustré des instruments de physique expérimentale...
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- GATA L O G
- EXPLICATIF ET ÎLÎ^TRÉ 4
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- PHYSIQUE EN TALE
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- NOM I E, M ! N ÉR A L O G I E/ C H I RU RG I E’ ET C.,
- «fqui’se fabriquent et se trouvent dans les ateliers et magasins de la maison
- R L-ES -CHEVALIER
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- I N G EN IEU R
- Inven
- f double%u à- verres combinés p.ou^Bo)hotograï^î^(1840), -tructeùr -des Microscopes achrômatmies (1823).
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- PALAIS-ROYAL, 158, A PARIS
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- ATELIERS, 1 bis, COER DES EOITAIflS
- ' PRÈS LE PALAIS'ROYAL
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- Avis important. — CetLe Maison, fondée quai de l’Horloge, est la plus ancienne du nom de CHEVALIER de père en fils, et la seule de ce nom ayant 'reçu des Médailles d’or aux Expositions, etc. Elle n’a de dépôt nulle part. f -
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- CONDITIONS
- les sont livrables à Paris. — Toutes nos affaires se font comptant. Pour la France, en remboursement ou sur bon ,vec la commande. Pour l’étranger, on est prié d’adresser e du papier à vue ou à courte échéance sur Paris.
- ;.e recevons pas de timbres-poste, comme valeur, au-dessus
- JIAKQIJE DISTINCTIVE DE FABRIQUE
- instrument ne portant pas la marque suivante sera réputé ne .iant pas de nos ateliers. .
- Les personnes employant des intermédiaires sont donc priées de l’exiger. Notre maison n'a aucun dépôt en France ni à l’étranger.
- L’adresse des lettres et commandes doit être ainsi conçue :
- MAISON
- CHARLES-CHEVALIER, INGÉNIEUR
- ARTHUR CHEVALIER, INGÉNIEUR-OPTICIEN, FILS ET SUCCESSEUR
- PA L AIS-ROYAL, 188, A PARIS
- OU AUX ATELIERS, COUR DES FONTAINES, I BIS (Ancienne maison Vincent Chevalier)
- Ci-devant quai de l’Horloge.
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- PREFACE
- L’étude de la physique et des sciences qui s’y rattachent ne peut se faire fructueusement que par l’emploi d’instruments parfaitement construits, et bien des personnes savent malheureusement à quoi s’en tenir sur les appareils dont la construction est négligée; nous n’avons donc, dans ce Catalogue, noté les prix que pour des appareils fonctionnant parfaitement, et construits avec tout le soin désirable, n’ayant jamais voulu fabriquer des instruments ne rendant pas les services qu’on pouvait en attendre. A l’égard des prix fixés dans de justes limites, nous rappellerons les lignes suivantes, écrites par Charles-Chevalier, dans la préface de son Catalogue publié en 1842 : « Un opticien consciencieux ne « peut livrer des appareils construits avec le plus grand soin, et possé-« dant toute la précision désirable, au même prix que les instruments <' imparfaits dits de pacotille. Ne voit-on pas tous les jours des machines « pneumatiques qui ne font pas le vide, des balances inexactes, des appa-« reils-optiques'qui s’écartent totalement des formes normales, et dont il « est impossible d’obtenir de bons résultats. D’une autre part, on craint « de fixer des prix trop élevés, parce que tous les acquéreurs ne veulent « malheureusement pas comprendre qu’en fait d’instruments de préci-« sion, il n’y a que de mauvaises économies. » Notre direction est tracée dans ces lignes, et nous nous efforcerons de plus en plus de mériter la confiance accordée à nos produits, honorés des plus hautes récompenses dans nos expositions.
- Le présent Catalogue forme, avec les quatre déjà publiés1, un volume illustré, dans lequel on pourra trouver les prix de tous nos instruments.
- ARTHUR CHEVALIER
- Ingénieur-opticien,
- FILS KT SUCCESSEUR DE
- ‘ CHARLES-CHEVALIER
- INGENIEUR.
- 1 Microscopes, 76 fig.— Photographie, 250 fig.—Optique et Météorologie usuelles, 60 fig. —Marine, Géodésie, Mathématiques, 68 fig.
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- AVIS IMPORTANT
- SUR
- LA MAISON CHARLES-CHEVALIER
- ARTHUR CHEVALIER, FILS ET SUCCESSEUR.
- Cette Maison, la pins ancienne du nom de Chevalier, de père en fils, dans l’optique, n’ayant aucun rapport avec celles de différents successeurs. de diverses maisons portant un nom de prononciation semblable, nous croyons utile de spécifier l’origine de la Maison CHARLES-CHEVALIER :
- 1760—1774
- Fondation de la Maison, au quai de l’Horloge, par Louis-Vincent Chevalier. Miroitier-opticien.
- 1795—1810
- Continuation de la Maison par Jacques-Vincent Chevalier, Ingénieur-opticien, au quai de l’Horloge.
- t
- 1823—1830
- Association de Vincent et Charles-Chevalier son fils, et continuation de la Maison au quai de l’Horloge. Médailles d’argent aux expositions.
- 1830—1859
- Fondation de la Maison Charles-Chevalier, Ingénieur, au Palais-Royal, et des Ateliers de la Cour des Fontaines. — Premières récompenses, Médailles d’or aux Expositions nationales et à la Société d’encouragement. — Charles-Chevalier succède à son père Vincent-Chevalier.
- 1860
- Continuation de la Maison par Arthur Chevalier, Ingénieur-opticien, fils et successeur de Charles-Chevalier et de Vincent-Chevalier, au Palais-Royal. Ateliers, Cour des Fontaines.
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- CATALOGUE
- DES ÎXSTIIUHEXTS
- D’OPTIQUE EXPÉRIMENTALE
- DE PHYSIQUE, ETC.
- MÉCANIQUE.
- CHOC DES CORPS.
- 1. Appareil à trois billes d’ivoire, avec timbre et arc de cercle
- divisé...................................................... 80 »
- 2. Appareil à sept billes d’ivoire, de poids égaux, pour la com-
- munication du mouvement..................................... 70 »
- 3. Appareil à billes décroissantes pour les mêmes démonstra-
- tions....................................................... 70 »
- 4. Plan de marbre et bille d’ivoire pour la démonstration de
- l’élasticité............................................... 15 »
- 5. Plan de marbre, garni en cuivre, pour le mouvement ré-
- fléchi..................................................... 80 »
- 6. Plan vertical, montrant un corps suivant la diagonale,
- résultant de deux forces composées.......................... 40 »
- 7. Grand billard en marbre blanc, avec tous les appareils
- pour le clioc des corps................................... 1200 »
- APPAREILS POUR LA CHUTE DES CORPS.
- 8. Appareil pour la chute parabolique des corps solides.... 35 »
- 9., Appareil pour la chute parabolique des liquides...... 70
- 10. Machine d’Atwood, modèle simple sur colonne en noyer,
- avec poids, échappement mécanique, pendule à secondes,
- etc................................................. 350 »
- 11. Machine plus simple, sans échappement mécanique. . . . 250 »
- 12. Machine d’Atwood, grand modèle perfectionné par Charles Chevalier; l’instrument monté sur une colonne en acajou, avec compteur à secondes à échappement, règle et poids
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- divisés, pour démontrer les lois de la gravitation, avec les additions pour le mouvement retardé1 (fig. 1)................. 1400 »
- i
- fig. i.
- 13. Cylindre rotatif de 1 mètre pour démontrer la chute des
- corps............................................... 240 «
- 14. Cylindre semblable, de 1 mètre 50, avec régulateur à force
- centrifuge..........................................35Ô »
- 15. Appareil pour démontrer que toutes les cordes d’un cercle
- sont parcourues dans le môme temps que la ligne perpendiculaire......................Vv.................... . 100 »
- i Nous avons fourni une de ces machines à l'École polytechnique de Madrid.
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- APPAREILS DES LEVIERS ET PLANS INCLINÉS.
- ,16. Appareil des trois leviers combinés, en fer et cuivre, modèle soigné. .......................................... 110
- 17. Appareil pour la démonstration du levier, avec poids pour
- toutes les expériences................................. 120
- 18. Appareil de M. Delaunay, pour la démonstration du levier. 110
- 18bis. Appareil du levier arithmétique et poids de Charles. ... 90
- 19. Appareil pour la théorié du fléau de la balance......... 50
- 20. Appareil pour démontrer tous les genres de poulies, simples
- etmouflées, avec poids................................. 120
- 21. Poulies à gorges concentriques, pour le rapport avec le
- - levier................................................. 50
- H
- 22. Appareil des roues dentées, servant pour la théorie de
- l’horloge simple........................................ 90
- 23. Appareil dit du parallélogramme des forces............... 45
- 24. Appareil de M. Delaunay, pour le même usage............. 110
- 25. Appareil pour la théorie de la vis, montrant qu’elle est
- formée d’un plan incliné dont la hauteur représente le pas de vis, et la longueur le filet................. 6
- 26. Appareil à plan de glace, s’inclinant sur un arc de cercle,
- d’après Charles, pour les propriétés du plan incliné. ... 150
- 27. Appareil plus simple pour les mêmes démonstrations. . . 80
- 28. Coin de S’Gravesande à angle variable, pour la démonstra-
- tion du coin........................................... 150
- 29. Modèle de la vis d’Archimède, tube en verre, monture en
- cuivre, sur un socle de bois verni...................... 60
- APPAREILS POUR LÀ THÉORIE DU FROTTEMENT.
- 30. Tribomètre de Coulomb, composé d’un plan de bois, sur
- lequel glisse un autre plan à surfaces diverses......... 40
- 31. Le même, pour les frottements roulants ou glissants, les ...
- chaînes et sangles, cordes, avec poids.................. 700
- 32. Tribomètre de Desaguilliers, pour la théorie de frottement. 150
- 33. Tribomètre de Massenbrock, pour les frottements des tou-
- rillons dans les coussinets avec douze paires de coussinets. 400
- 34. Double moulinet pour la résistance de l’air. . .......... 50
- 35. Appareil à deux balanciers pour la résistance des milieux,
- dans l’air et dans l’eau................................ 55
- 36. Appareil de M. Morin pour déterminer les lois de frotte-
- ment, avec plateau pour relever les courbes tracées sur le papier.................................... 1400
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- — 4 —
- APPAREILS POUR LA FORCE CENTRIFUGE ET LE CENTRE DE GRAVITÉ. 37.JGrand appareil des forces centrifuges monté sur un banc
- en noyer verni, avec portants garnis de billes d’ivoire, matras, tubes, etc.................................... 270 »
- 38. Appareil plus simple pour le même usage. ............. 130 »
- 39. Appareil pour démontrer l’aplatissement de la terre vers
- ses pôles, par le mouvement de rotation (fig. 2)...... 35 »
- fig. 2.
- 40. Appareil de Bohnenberger pour la précession des équinoxes. 35 »
- 41. Cylindre remontant un plan incliné pour la démonstration
- du centre de gravité................................. 12 »
- 42. Double cône pour la même démonstration. ............. 15 »
- 43. Culbuteur chinois simple. ........................... 12 »
- 44. — — double.................................. 16' »
- PENDULES.
- 45. Pendule ou compte secondes, à échappement avec support.
- 46. Pendules de différentes longueurs, avec support, pour dé-
- monstrations sur leur longueur comparée..................
- 47. Machine de Kater ou pendule réversible pour démontrer la
- longueur du pendule, plans en agate pour supporter les couteaux en acier......................................
- 48. Modèle de balancier à compensation................... . . .
- 49. Pendule absolu de Borda pour déterminer la longueur du
- pendule, avec support à plan d’agate, triangle avec mouvement de rappel supportant un plan d’acier, étalon à vis micrométrique, boule en cuivre de 36 millim., deux boîtes en acajou renfermant le tout...........................
- 50. Le même avec boule en platine...........................
- 51. Sphère en cuivre de 12 centim., pour répéter la belle expé-
- rience de M. Léon Foucault sur le mouvement de la terre ; la boule est terminée par une pointe d’acier, avec suspension supérieure avec fil d’acier. ......'..............
- 52. Appareil de M. Sylvestre pour l’expérience du pendule sous
- diverses lalitudes.....................................
- 150
- 40
- 450
- 25
- 500
- 1000
- 200
- 300
- ))
- ))
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- MESURE DES FORCES.
- (Compteurs et Dynamomètres.)
- 53. Compte-secondes avec échappement et support....... 170
- 54. Frein de Prony.................................... 180
- 55. Compteur à cadrans, indiquant le nombre des tours de
- roues des voitures, machines, etc................ 50
- 56. Dynamomètre de Régnier, mesurant les forces de pression
- et de traction s’employant principalement pour le tirage des chevaux et la force des mains, suivant la force, de 180 à 300
- 57. Dynamomètre semblable pour mesurer la force des coups
- de poing........................................... 180
- 58. Dynamomètre de rotation pour une force de 2 chevaux,
- avéc compteur à pointage ou à style et crayon....1000
- 59. Dynamomètre de traction inscrivant la somme de travail
- pour une force de 3 à 4 chevaux................... 700
- 60. Dynamomètre semblable inscrivant les résultats sur une
- feuille de papier.................................1000
- 61. Manivelle dynamométrique traçant les efforts sur une
- feuille de papier.................................. 460
- 62. Indicateur de Watt pour la tension des vapeurs... 180
- MODÈLES DE MACHINES.
- Modèles en métal et liois.
- 63. Modèle de cric, en fer, bronze et bois.................... 60
- 64. — de la vis sans fin, sur colonne en cuivre, pied acajou. 50
- 65. — de la moulin à vent au 30e d’exécution. ............ 60
- 66. — de la balance romaine............................... 50
- 67. — de girouette, support en acajou, engrenages, etc. . 50
- 68. Modèle de serrure, modèle de précision monté sur une co-
- lonne en cuivre, glace permettant de voir le système, modèle très-soigné.................................. 140
- 69. Modèle de ventilateur soufflant à ailes planes.......... 100
- 70. — de ventilateur aspirant à ailes courbes............ 100
- 71. — de manège mû par 4 chevaux........................ . . . 280
- 72. — de treuil en fonte avec frein..................... 70
- 73. - — d’engrenage droit............................... 18
- 74. — — conique.. ............................. 22
- 75. — — à lanterne............................. 24
- 76. Modèles d’engrenages de tous les systèmes; chaque sujet
- en fonte de fer, suivant sa construction. ..... de 100 à 130
- 77. Modèle d’appareil pour sécher le linge dans les lavoirs, par
- la force centrifuge................................... 150
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- Modèles en bois.
- 78. Modèle de poulie simple................................ 15
- 79. — — de renvoi.................................. 18
- 80. — de deux poulies mouflées........................... 20
- 81. — de chèvre.......................................... 15
- 82. — de cabestan........................................ 15
- 83. — de grue........................................... 35
- 84. — de roue de carrière................................ 20
- 85. — de mouton ou sonnette............................ 15
- 86. — de mouton à déclic avec treuil à levier........... .40
- 87. — d’excentrique simple................................ 6
- 88. — — pour va-et-vient................... 8
- 89. — — à détente et marteau............... 15
- 90. — de double échelle de meunier....................... 24
- 91. — de volant circulaire................................. . 1.2
- 92. — de charnière universelle ou genou Iiooke. . .... 6
- 93. — de manège de maraîcher............................. 18
- MODÈLES DE MACHINES EN CARTON AVEC PIÈCES EN RELIEF.
- 94. Modèle de machine de Watt........................... 20
- 95. — de locomotive................................ 25
- 96. — de machine de bateau à vapeur................ 25
- MODÈLES DE MACHINES A VAPEUR EN MÉTAL.
- 97. Modèle de la pompe à feu de Nollet.................. 180
- 98. Modèle de machine à vapeur fonctionnant à l’aide d’une
- lampe à alcool........................................ 80
- 99. Modèle de machine à vapeur à haute pression, petit modèle,
- avec 4 colonnes, chaudière simple et manomètre........ 380
- 100. Modèle de machine à vapeur avec cylindre'oscillant. . . . 320
- 101. Machine de Maudslay à haute pression. . . ............ 700
- 102. Modèle de machine à vapeur à haute et basse'pression,
- système de Watt, grand modèle monté sur un tube en fonte avec 6 colonnes, condensateur, parallélogramme,’ frein de Pronv, table en acajou et tous les accessoires. . 1300
- 103. Modèle j-dus petit à une seule colonne, avec les mêmes
- avantages que la précédente. ....................... 825
- 104. Modèle plus simple et plus petit sans parallélogramme. . 550
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- MODÈLÉS DE lyiApHlNIES DE BATEAUX.
- t05. Bateaji à vapeur à hélice, petit modèle, fonctionnant à
- l’aide d’une lampe à alcool, avec bassin pour l’employer. 200 »
- 106. Bateau à vapeur, grand modèle, à palettes ou à hélice, boîte en métal, avec machine à balancier et 2 cylindres, tous les accessoires, et support pour faire marcher la machine hors de l’eau........................................... 2000 »
- MODÈLES DE LOCOMOTIVES.
- 107. Petit modèle de locomotive, marchant à l’aide d’une
- lampe à alcool...................................... 100 »
- 108. Modèle complet de locomotive avec 6 roues, posée sur
- rails avec tout le mécanisme en dehors, chaudière tubulaire chauffée au charbon.......................... 2200 »
- 109. Le tender avec tube articulé et frein ajouté à cette ma-
- chine............................................. 300 »
- 110. Modèle de chemin de fer composé des pièces suivantes':
- Locomotive comme ci-dessus ;
- Tender;
- Wagon pour voyageurs ;
- Plate-forme tournante ;
- 4 mètres de rails ;
- Pont à roues de frottement....................... 3000 »
- 111. Modèle simple de locomotive à 4 roues............... 1200 »
- N. B.—Autant que possible tous mes modèles de machines sont munis de cylindres en cristal.
- PIÈCES DÉTACHÉES POUR LA DÉMONSTRATION DU MÉCANISME DES MACHINES.
- 112. Modèle de piston à ressorts............................ 35 »>
- 113. — — à étoupe................................... 25 »
- 114. — de tiroir à détente............................. 60 »
- 115. — — simple..................................... 40 »
- 116. — de soupape de sûreté.......................... 40 »
- 117. — de détente variable, suivant Stephen son, au quart
- d’exécution.................................. 600 »
- APPAREILS DIVERS POUR MACHINES A VAPEUR.
- 118. Flotteur d’alarme avec contre-poids et poulie........ 40 »
- 119. — semblable à soupape desûreté. . ,............. . 95 »
- 120. Niveau, indicateur avec robinets pour jauger, et tube en
- 121. Baromètre éprouvette au mercure, servant à mesurer le
- vide des condenseurs et des appareils à cuire le sucre. . 60 »
- 122. Véntimètre pour mesurer la vitesse de l’air dans les tuyaux
- des machines soufflantes........................... 18 »
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- 8
- 123. APPARÈIL UNIVERSEL
- Servant à la démonstration des diverses transformations de mouvements employés en mécanique.
- Cet appareil est monté sur une table en cliêne verni de 1 met. 55 cent, de long, sur 75 cent, de large, et reçoit le mouvement à l’aide d’un volant muni d’une manivelle; il serait long d’indiquer les démonstrations qu’elle peut permettre. Nous citerons seulement qu’elle sert à expliquer le martinet à queue, pilon, parallélogramme de Watt, frein de Prony, les pignons, vis, écrous, engrenages droits, de rencontre, bielles, excentriques, etc.
- Cet appareil est indispensable pour apprendre la mécanique. 1400 »
- HYDROSTATIQUE.
- 124. Appareil des vases de Pascal, grand modèle, pour démon-
- trer les lois de la pression des liquides en raison de là
- base et de la hauteur............................. 250 »
- 125. Appareil de Haldat pour vérifier le paradoxe de Pascal,
- et prouver que la pression des colonnes liquides est égale à leur base multipliée par leur hauteur........... 95 »
- 126. Appareil de M. Masson, servant aux mêmes démonstrations
- que le précédent. ................................ 50 »
- 127. Appareil pour démontrer que toutes les colonnes d’un li-
- quide exercent leur pression indépendamment les unes '
- des autres, ou appareil aux 5 tubes...................50 »
- 128. Appareil pour faire voir que la pression des liquides est
- en raison de leur hauteur perpendiculaire......... 35
- 129. Appareil pour la pression de bas en haut............ 15 . »
- 130. Vase de Mariotte pour les pressions latérales....... 6 »
- 131 Appareil pour prouver l’équilibre des liquides dans les
- tubes communiquants (fig. 3)........................ 50 »
- 132. Aréomètre à pompe, ou appareil pour démontrer que les liquides s’élèvent dans les tubes vides d’air, en raison de leur densité spécifique..................................
- 65
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- 133. Le même appareil plus simple........................... 25
- 134. Appareil peur démontrer le principe d’Archimède, savoir
- qu’un corps plongé dans un liquide perd de son poids une quantité égale au poids du volume du liquide qu’il déplace.................................................... 30
- 135. Appareil du passe-vin pour la densité des liquides. .... 5
- 136. Volumenomètre de M. Régnault......................... 75
- 137. Fiole dite des 4 éléments, contenant 4 liquides de densités
- différentes........................................ 6
- 138. Flacons à densités, bouchés à l’émeri, pour les solides et les
- liquides.................................................... 3
- 139. Ludion à pompe pour la théorie de l’aérostation...... 35
- 140. Gravimètre, instrument servant pour mesurer le volume
- de la poudre à canon............................... 60
- 141. Appareil de M. Babinet pour la densité des liquides. ... 7
- 142. Grande balance hydrostatique, montée sur une colonne
- avec engrenage pour élever le fléau à volonté, base carrée et vis à caler. Cette balance est accompagnée de deux vases en cristal, de deux billes d’ivoire et de quatre autres en cuivre, étain, plomb et zinc, d’un cube en cuivre, d’un double cylindre pour le déplacement, et enfin d’un .contre-poids et d’un petit sceau pour les expériences. . ;.......................................425
- 143. Balance hydrostatique, petit modèle, avec sphères de dif-
- férents métaux de même poids et de densités différentes. 225
- 144. Appareil des vases capillaires......................... 15
- 145. Deux glaces avec charnières et bassin en cuivre, servant
- à démontrer la capillarité......................... 30
- 146. Deux disques en glaces, servant à démontrer l’adhérence
- des liquides............................................... 10
- 147. Endosmomètre de M. Dutrochet pour les phénomènes de
- l’endosmose........................................ 6
- 148. Ballon ou aérostat en baudruche de 30 cent, de diamètre. 3
- 149. - — — 40 — — 4
- 150. — — — 50 — — . 6
- 151. — - — 60 — —x . 8
- 152. — - — 80 — _ . 18
- 153. — — — 100 — — . 30
- 154. Balance de Nicholsonen fer-blanc poli ou verni....... 8
- 155. Balance de Nicholson en cuivre, avec capsule renversée
- pour les corps plus lourds et plus légers que l’eau, de 18 à 25
- 156. Balance semblable en argent. . . . .............de 30 à 60
- 157. Appareil pour le maximum de densité de l’eau......... 18
- ARÉOMÈTRES EN VERRE ET MÉTAL, PÈSE-LIQUEURS, ACIDES, ETC.
- Voir le Catalogue spécial d’Optique et Météorologie usuelles.
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- HYDRODYNAMIQUE.
- 158. Grand appareil pour la théorie des écoulements, ayec robinets et orifices en minces parois, tubes cylindrique'et
- conique de Yenturi......................... . . . . 430
- 159. Fontaine de Héron, modèle en cristal, monture en cuivre. 90
- 160. — — en verre, monture en bois........... 25
- fig. 4. fig. 5.
- 161. Fontaine intermittente en cristal, monture en cuivre (fig. 4). 70
- 162. — — en verre, monture en bois.............. 25
- 163. Flotteur de Prony, à niveau constant.................. 40
- 164. — semblable, grand modèle........................... 110
- 165. Canne hydraulique qui élève l’eau par la simple oscilla-
- tion................................................... 12
- 166. Petit modèle de pompe aspirante, en verre, monture aca-
- jou.................................................... 40
- 167. Petit modèle de pompe foulante, en verre, monture aca-
- jou. ................................................ 40
- 168. Les mêmes, monture en fonte de fer chaque................ 80
- 169. Appareil pour démontrer la manière dont s’effectuent les
- engorgements dans les tuyaux de conduite d’eau. ... 25
- 170. Vis d’Archimède en verre, monture en cuivre avec bassin,
- socle en bois verni (fig. 5)........................... 60
- 171. Pompe aspirante élévatoire en cristal, mouture en cuivre,
- auge en bois garnie en métal.............,.......... 140
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- - il -
- 172. Pompe aspirante, foulante, à réservoir d’air, cpnstruction
- de la précédente. . . ............................ 140
- 173. Pompe aspirante, élévatoire, foulante et à réservoir d’air. 200
- 174. Pompe, grand modèle, semblable à la précédente, réunis-
- sant les trois effets, servant aussi à démontrer le soufflet hydraulique, modèle très-complet............. 360
- 175. Pompe des prêtres, sans piston........................ 140
- 176. — à chapelet........................................ 160
- 177. — à godets ou Noria................................. 160
- 178. — de Yera, avec cordes............................. 160
- 179. — de tonnelier, en verre. . .......................... 2
- 180. Modèle de pompe à incendie, à deux corps de pompe, à
- réservoir d’air, monture en cristal et cuivre, socle eq noyer verni.......................................... 360
- 181. Modèle de roue à tympan, suivant le système employé
- pour les épuisements................................. 420
- 182. Modèle du bélier hydraulique de Montgolfier, en cuivre,
- réservoir d’air en cristal........................... 160
- 183-. Le même appareil en verre et bois.................... 100
- 184. Modèle de presse hydraulique, grand modèle en fer, fonte
- de fer et bronze, soupape de sûreté, manomètre, etc. . 500
- 185. Modèle de presse hydraulique, grand modèle à quatre
- colonnes, manomètre, monture en bronze et cristal, socle en bois d’acajou verni......................... 280
- -186. Modèle de presse hydraulique, montée en cristal et fonte
- de fer............................................... 180
- 187. Tourniquet hydraulique pour la force de réaction......... 45
- 188. Roue hydraulique en dessous avec réservoir d’eau, vanne
- et canal de fonte, la roue de 40 centim. de diamètre, système Poncelet, à aubes courbes et frein. ...... 400
- 189. Roue semblable en dessus. ... 400
- 190. — à palettes planes s’adaptant au modèle ci-dessus. . 230
- 191. Modèle d’écluse........................................ 235
- 192. Modèle de turbine de Founeyron ou de fontaine Baron,
- avec roue de 25 centim., frein, boîte, engrenage. . . . 1100
- 193. Modèle de turbine de Kœcklin............................1100
- 194. Modèle de machine à colonne d’eau de Recheinbach, avec
- cylindres en cristal................................. 550
- 195. Modèle semblable plus simple............................ 380
- 196. — de gazomètre d’usine à gaz......................... 70
- 197. — de cloche à plongeur................................ . 90
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- MODÈLES RELATIFS AUX POMPES.
- 198. Modèle de corps de pompe à clapet.................. 25 »>
- 199. — de soupape à clapet............................. 14 »
- 200. — — à boulet............................ 16 »
- 201. — — conique............................. 14 »
- 202. — de piston à clapet............................ 22 »
- 203. — — à double clapet..................... 22 »
- 204. — — à étoupe............................ 18 »
- 205. — — à cuir emboîté.................... 18 »
- 206. Appareil des 3 siphons et du siphon à jet d’eau dans le
- vide................................................. 70 »
- 207. Siphon à réservoir de Porta............................ 80 • »
- 208. Deux verres à diabète ou de Tantale.................... 6 »
- 209. Vase d’où l’on fait couler à volonté différents liquides par
- la même ouverture.................................... 18 »
- 210. Bouteille à 5 compartiments pour la même expérience. . 20 »
- 211. Entonnoir magique — — . . 5 »
- 212. Siphons ordinaires (Voir le Catalogue Chimie).
- 213. Fontaine de circulation, suivant le dessin et la gran-
- deur..................................... 30, 50 et 70 »
- HYDROMÉTRIE.
- 214. Pendule hydrométrique munie d’un flotteur à profondeurs
- variables........................................... 60 »
- 215. Deux sphères creuses en cuivre mince pouvant être lestées
- à volonté ; ces sphères sont destinées à mesurer la vitesse moyenne des cours d’eau....................... 40 »
- 216. Rhéomètre de Poletti.................................. 70 »
- 217. Roue à palettes pour mesurer la vitesse à la surface de
- l’eau avec compteur................................. 70 »
- 218. Tube de Pitot, modifié par M. Darcy, pour mesurer la vi-
- tesse des courants d’eau.......................... 110 »
- 219. Moulinet de Woltmann pour mesurer la vitesse des cou-
- rants d’eau à toutes profondeurs.................... 70 >»
- 220. Moulinet de M. Baugmasten à ailes hélicoïdales....... 140 «
- 221. Jauge de drainage de M. Mangon pour mesurer la quantité
- d’eau que déversent les tuyaux de drainage.......... 35 «
- 222. Compteur à secondes pour mesurer la durée des expé-
- riences ............................................ 60 »
- 223. Compteur semblable avec pointage..................... 120 «
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- Médaille de platine à la (Société d’Encouragement (1850) pour perfectionnements apportés aux baromètres d’observation.
- MÉTÉOROLOGIE EXPÉRIMENTALE.
- BAROMÈTRES D’OBSERVATION.
- 224. Baromètre à siphon, système de Gay-Lussac, avec ver-niers à crémaillère, thermomètre. Etui en cuir avec banderole (fîg. 6).............................................. 95
- 225. Baromètre Fortin, à niveau constant, avec vernier, étui
- en cuir à bandoulière, grand modèle (fig. 7)........ 120
- 226. Baromètre semblable, petit modèle.................... 100
- 227. — Fortin, grand modèle , perfectionné avec
- viseurs, inventé par Charles-Chevalier.............. 160
- 228. Trépied en cuivre très léger, avec suspension de Cardan
- pour les baromètres Fprtin et Gay-Lussac. . ........ 30
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- 229. Planchette en acajou à suspension pour placer les baro-
- mètres ci-dessus................................... 30
- 230. Thermomètre sur plaque ivoire, renfermé dans un étui
- en cuivre, pour prendre la température lors des expériences............................................. 10
- 231. Grand Baromètre Fortin, semblable à celui de l’Obser-
- vatoire , avec large cuvette, divisions sur argent, ver-nier donnant le cinquantième de millim. L’instrument est monté sur une planchette en acajou............. 500
- 232. Grand Baromètre Fortin1, perfectionné par Charles-Che-
- valier, avec viseurs inventés par C. G. Nouveaux systèmes pour la lecture des divisions et pour le mécanisme, etc. Voir le Rapport de la Société d'encouragement à la fin du Catalogue (Médaille de platine) (fig. 8) ... 1000
- 233. Tube vide Gay-Lussac...... 4 fr. Fortin...... 2
- 234. — plein — ...... 18 fr. —................ 15
- 235. Hypsomètre, de M. Régnault, pour mesurer les hauteurs
- par l’ébullition de l’eau, et remplaçant le thermomètre barométrique de Wollaston. L'hypsomètre est accompagné d’un thermomètre avec étui................... 70
- 236. Sympiezomètre, de MM. Bunten et Silbernian......... 70
- THERMOMÈTRES D’OBSERVATION.
- 237. Thermomètre Normal Étalon, 10 -f- 110, avec échelle
- arbitraire de 400 divisions.................... 30
- 238. Thermomètre semblable dont la division donne directe-
- ment les degrés et cinquièmes de degré......... 30
- 239. Thermomètre d’observation, divisé par cinquièmes de
- degré de 20 à + 60................................ 20
- 240. Thermomètre semblable, à boule noire................ 20 ‘
- 241. — — à boule dorée................. 20
- 242. — — à boule argentée............. 20
- 243. — au mercure, divisé sur papier,......avec.cheminée en verre, portant 100 degrés. . ................. 6
- 244. Thermomètre semblable, allant à 200 degrés. ......... 8
- 245. — divisé sur tige, de 8 à. . ............ 20
- 246. — pour la chimie, divisé sur tige, et portant
- 100 degrés. ... ............................ . . 10
- 247. Thermomètre semblable, donnant 200 degrés. ...... 15
- 248. — - - ♦ . . donnant 350 degrés. ...... 20
- 249. f : • • à déversement, de M. Walferden. Les dèüx
- thermomètres maxima ét minima, avec thermomètre 1 étalon.................. ... .<.... . . . . -, 70
- 1 Le premier modèle de ce baromètre’a été livré, à M. James Odiet, ci a reçu médaille de platine h la Sociétèd’encourageûient.
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- _ 15 —
- 250. Lunette-viseür, pour lire à distance la température indi-
- quée par les thermomètres.......................... 120 »
- 251. Cathétomètre à règle triangulaire, ayant 50 centim.de
- course, et vernier donnant le vingtième de millim. . 350
- 252. Cathétomètre à règle triangulaire de 1 mètre, avec ver-
- nier donnant le cinquantième de millim............. 500 »
- Pour mesurer d’une façon précise les hauteurs verticales, il est indispensable de posséder le cathétomètre qui doit être construit avec une grande précision.
- 253. Appareil de M. Régnault, pour déterminer le point 100°
- sur les thermomètres.............................. 20 »
- 254. Récipient à fond percé' pour déterminer le point 0° dans
- la glace fondante * ............................. 6 »
- APPAREILS POUR LÂ MESURE DE LA CHALEUR SOLAIRE.
- 255. Pyréliomètre direct de M. Pouillet, pour apprécier la quantité de chaleur donnée par le soleil, sur une surface
- donnée............................................ 90 »
- 256 Pyréliomètre à lentille de M. Pouillet.............. 250 »
- 257. Actinomètre de M. Pouillet, pour mesurer l’intensité du
- rayonnement nocturne ............................. 70 «
- 258. Appareil de M. Pouillet, pour-la différence d’intensité du
- rayonnement du zénith aux parties basses du ciel. . . 50 ’ »
- 259. Sphère creuse de M. Gasparin, avec thermomètre poùr la
- mesure de la chaleur solaire...................... 30 »
- HYGROMÈTRES.
- 260. Admidoscope de M. Babinet pour la mesure de l’évapo-
- ration....................................... 20 «
- 261. Admidoscope de M. Gasparinj pour le même usage. ... 60 »
- 262. Hygromètres à corde et à cheveu (voir le Catalogue
- d'Optique et de Météorologie usuelles).
- 263. Appareil de M. Régnault, pour graduer dans le vide les
- hygromètres à cheveu........................... 35 »
- 264. Aspirateur de 50 litres avec robinet et thermomètre, . . 55 «
- 265. — semblable, de 25 litres. .. . . .. .......... 35 »
- 266. — — de 10 litres.................... 2f5 »
- 267. .Cinq Tubes en U suspendus à un support, avec tubes en j
- caoutchouc et bouchons , servant , à mesurer l’eau et j l’acide carbonique contenus dans ratfnosphère, .... 18 »
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- 268. Balance pour peser les tubes en U. (Voir le Catalogue des Poids et Mesures, Balances de précision.)
- Les aspirateurs et accessoires s’emploient par la méthode chimique pour la mesure de l’eau contenue dans l’atmosphère.
- 269. Hygromètre de M. Régnault, à condensation, avec deux
- thermomètres, et aspirateur simple (fig. 9)........ 120 »
- 270. Hygromètre de M. Régnault, avec aspirateur double. . . 150 »
- 271. Hygromètre de Daniel, à condensateur, avec flacon pour
- l’éther, et écrin renfermant le tout........... 40 »
- 272. Hygromètre à capsule dorée, de M. Pouillet...... 40 »
- 273. Psychromètre d’August, avec deux thermomètres isolés,
- divisés sur tige en cinquièmes de degré, avec écrin. . . 60 »
- 274. Psychromètre, avec les deux thermomètres fixés sur
- planchette en buis, etboîte en tôle vernie pour l’extérieur. 25 »
- PLUVIOMÈTRES OU UDOMÈTRES.
- 275. Pluviomètre simple avec tube gradué, et vase en cuivre à
- entonnoir............................................ 35 »
- 276. Pluviomètre de M. Babinet, avec éprouvette graduée, et
- base d’un décimètre carré............................ 35 »
- 276 bis. Le même, avec base de 4 décimètres.................. 40 »
- 277. Pluviomètre totalisateur de M. Mangon, adopté pour les
- services hydrauliques des ponts et chaussées......... 90 »
- 278. Pluviomètre totalisateur de M. Mangon, pour les pluies
- torrentielles...................................... 110 »
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- — 17
- APPAREILS POUR LA MESURE DE VITESSE DES VENTS ET LEUR DIRECTION.
- 279. Modèle de girouette, monture en bois d’acajou, cadran
- divisé, engrenages, etc.......................... 50 »
- 280. Miroir avec rose des vents gravée, s’orientant à l’aide
- d’une boussole, et servant à voir la direction des nuages. 20 »
- 281. Anémographe électrique de M. du Moncel, indiquant
- exactement la somme des instants pendant lesquels chaque vent a soufflé............................ 700 »
- 282. Anémographe semblable, avec crayons inscrivant les
- expériences, suivant le modèle installé à l’Observatoire impérial, par M. Th. du Moncel................... 1,200 »
- 283. Anémomètre de M. Combes, servant à mesurer la vitesse
- de l’air dans les galeries des mines, cheminées, etc. . . 80 »
- 284. Anémomètre du général Morin, à ailettes, à surfaces héli-
- çoïdes, avec compteur à pointage, marquant dix mille
- tours, pour vitesses de 30 centim. à 10 mètres par seconde. 250 »
- 285. Anémomètre du même auteur, pour les vitesses de 1 à
- 30mètres par secondes, avec compteur à pointages, marquant jusqu’à un million de tours............. 300 «
- 286. Compte-secondes (voir le Catalogue Hydrodynamique).
- Pour les thermomètres usuels, baromètres anéroïdes et autres, voir le Catalogue spécial d'Optique et Météorologie usuelles.
- Pour la mesure de l’électricité atmosphérique, polarisation de l’atmosphère, composition chimique de l’air, etc., jvoir les Catalogues Électricité, Optique expérimentale, Chimie, etc., les instruments devant être placés dans ces spécialités.
- TABLEAUX PEINTS A L’HUILE, REPRÉSENTANT LES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES.
- 287. Ces tableaux peints, sur toile de 60 sur 75 centim., représentent les principaux phénomènes, tels que : aurores boréales dans les mers de glace, arcs-en-ciel, trombes marines, halos, parhélies, effets du mirage, etc. Chaque tableau coûte, suivant sa complication, de 60 à . . . ... 125 »
- -O- £î»§5>5 -®-0<53«4-O-
- 2
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- Médaille d’Argent à la Sooiété d’Encouragement (1847)
- Pour l’invention de la Sla chine pneumatique à mouvement continu
- ou de rotation.
- PNEUMATIQUE ET COMPRESSION.
- MACHINES PNEUMATIQUES.
- Toutes nos machines font le vide à moins d’un millimètre, et sont, accompagnées
- d’un récipient à bords dressés.
- 288. Machine pneumatique à mouvement alternatif , à
- double épuisement, système de M. Babinet, corps de pompe en cristal, monture en cuivre verni et poli, platine de 16 centim. montée sur une table en noyer verni, sans pieds......................................... 250 »
- 289. Machine semblable avec platine de 22 centim.......... 400 «
- 290. — — — de 29 centim., table en
- noyer verni avec pieds (fig. 10)................... 500 »
- fig. 10.
- 291. Machine semblable en fonte de fer, table en. chêne ciré,
- avec pieds.............................................. 400 «
- 292. Machine construite en cuivre, corps de pompe en cristal,
- platine de 32 centim.................................... 900 »
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- — 19
- MACHINES PNEUMATIQUES A MOUVEMENT CONTINU •
- OU DE ROTATION.
- {Système inventé par Charles-Chevalier (Médaille d’Argent {Société d’Eneourageinent, année 1817).
- (Voir le Rapport à la fin du Catalogue.)
- L’usage des machines rotatives finira par remplacer entièrement l’ancien système qui présente l’inconvénient d’une assez grande instabilité, et qui ne permet d’avoir le vide qu’avec de grands efforts. La machine inventée par Charles-Chevalier annule * tous les inconvénients ci-dessus indiqués, outre la transformation du mouvement, Charles-Chevalier a ajouté des ressorts au-dessus des pistons, de façon à les faire toujours appliquer exactement au fond des corps de pompe.
- 293. Machine pneumatique de Charles-Chevalier, à mouvement continu ou de rotation, modèle en cuivre verni, corps de pompe en cristal, platine de 29 centim., tahle en noyer verni (fig. 11) ...... •........................... 1000 »
- fig. il
- 294. Machine pneumatique de Charles-Chevalier, même grandeur que la précédente, mais entièrement en fonte de fer.......................................................... 750 »
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- — 20 —
- 295. Machine pneumatique de Charles-Chevalier, très-grand
- modèle, avec platine de 32 centim.................... 2000
- ACCESSOIRES POUR LA MACHINE PNEUMATIQUE.
- 296. Cloches en cristal dressées à l’émeri, pour machines pneu-
- matiques, suivant la grandeur, de 5 à................ 18
- 297. Appareil d’Ingenhouz, pour la congélation de l’eau dans
- le vide, composé d’une capsule en cristal, d’un récipient de même nature et d’une capsule en laiton. ... 15
- 298. Deux baromètres avec récipient pour expérience; l’un
- des baromètres extérieur et l’autre intérieur........ 40
- 299. Grand appareil à jet d’eau dans le vide................. 35
- 300. Appareil pour la porosité des pluies de mercure. . ... 40
- 301. Briquet à rouage, pour l’expérience du feu dans le vide. 60
- 302. Boîte en métal renfermant une vessie qui. soulève un
- poids par la dilatation de l’air..................... 9
- 302Ms, Timbre à rouage pour l’expérience du son dans le vide. 45
- 303. Ballon en cristal, muni d’une clochette, ajustage à robi-
- net, crochet en acier, pour la même expérience....... 20
- 304. Flacon se vissant sur la machine pneumatique, pour la
- vaporisation de l’éther................................. 4
- f 305. Hémisphères de Magdebourg de 11 cent.
- de diam. (fig. 12).................. 30
- 306. Plans de glace de Magdebourg, avec sup-
- 307. Moulinet simple en cuivre pour la rentrée
- de l’air, avec récipient percé............ 20
- 308. Double moulinet pour la résistance de
- 309. — platine, avec robinet pour con-
- s' ' server les corps dans le vide............. 40
- 310. Pompe aspirante sur un récipient, pour prouver qu’elle
- est sans effet dans le vide.......................... 25
- 311. Récipient garni d’une boîte à cuirs, pour agir dans l’intérieur......................................................... 25
- 312. Grand réoipient en cristal, garni d’une virole, d’une boîte à cuirs, avec tige en laiton terminée par un anneau pour agir dans l’intérieur, plus une pointe, pince à œuf, deux platines, un cercle, une étoile, un pied à pointe coudée, et une boule pour les expériences de l’électricité dans vide........................................................ .................. 55
- 313. Récipient dit crève-vessie........................ 4
- 314. — en cristal, pour poser la main......... 3
- 315. — dit coupe-pomme............... 6
- 316. Baroscope ou balance dans le vide, avec récipient .... 35
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- 317. Grand tube en cristal pour la chute des corps............. 40 »
- 318. Petit tube — — ........... 30 «
- 319. Vase à pied en cristal pour faire mousser la bière....... 2 »
- 320. Marteau d’eau............................................ 5 »
- COMPRESSION, COMPRESSIBILITÉ ET SOLIDIFICATION DES GAZ.
- 321. Machine de compression, grand modèle en cuivre, pou-
- vant servir à comprimer les gaz, récipient en cristal, colonnes en cuivre, table en noyer verni............. 500 »
- 322. Fontaine de compression en cuivre, contenant de cinq à
- six litres, avec pompe foulante, et ajustage à jet d’eau. 125 »
- 323. Fontaine semblable, contenant environ dix litres....... 150 »
- 324. Pompe de compression, seule 38 et.................... 50 »
- 325. Fusil à air comprimé, dit fusil à vent, avec pompe pour
- le charger........................................... 150 »
- 326. Briquet en cristal pour démontrer que l’air est élastique,
- et qu’il s’échauffe et peut enflammer l’amadou par la compression, de 18 à................................. 25 »
- 327. Briquet, petit modèle en laiton.......................... 3 »
- 328. Tube de Mariotte, pour démontrer que les volumes sont
- en raison inverse des pressions....................... 18 «
- 329. Appareil d’OErstedt pour la mesure de la compressibilité
- des liquides, avec piezomètre......................... 75 »
- MANOMÈTRES.
- 330. Manomètre à air libre (1 atmosphère).............. 16 »
- 331. — — (3 — ).............. . 50 «
- Ce dernier Manomètre est monté sur planchette peinte avec robinet et tube en fer.
- 332. Manomètre à air comprimé, divisé sur tube en cristal, de
- 6 à 7 atmosphères................................ 10 »
- 333. Manomètre semblable, de 12 à 13 atmosphères........ 16 «
- 334. — — monté sur planchette épaisse en
- poirier, de 6 à 7 atmosphères.................... 18 »
- 335. Manomètre semblable, de 12 à 15 atmosphères....... 12
- 336. — — avec robinet en fer et ajustages. . 38 »
- 337. Thermomanomètre indiquant la pression de la vapeur,
- suivant sa température........................... 35 »
- MANOMÈTRES MÉTALLIQUES BOURDON.
- Ces Manomètres sont maintenant adoptés pour toutes les machines à vapeur d’usines, locomotives, etc. Nous ne saurions trop les recommander.
- 338. Manomètre métallique , boîte en fonte vernie, allant de
- 3 à 9 atmosphères, robinet et raccord............. 50 »
- 339. Manomètre semblable, mais avec boîte ronde en cuivre. . 70 »
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- ~ 22 —
- 340. Manomètre portatif, de 8 centim. de diamètre, marquant
- jusqu’à 10 atmosphères, employé par les ingénieurs pour la vérification des chaudières, étui en maroquin. 70
- 341. Manomètre semblable, marquant 11 atmosphères. ... 70
- 342. — indicateur du vide, servant pour appliquer
- sur les condenseurs de machines à vapeur, et sur les appareils à cuire le sucre ................. 80
- 343. Appareil de M. Pouillet, avec deux manomètres à air
- comprimé et à air libre, pour vérifier la loi de Mariotte jusqu’aux hautes pressions..................250
- SOLIDIFICATION DES GAZ.
- 344. Appareil de Thilorier pour solidifier et liquéfier l’acide
- carbonique, modèle en fonte de fer très-épais, avec cage en fer forgé, etc...............................1500
- 345. Appareil de Natherer, pour liquéfier le protoxyde d’azote,
- avec tous ses accessoires............................. 750
- MAGNÉTISME.
- 346. Aimant naturel avec armature en fer doux, support en
- bois, vase en cuivre avec contacts.................... 70
- 347. Aimant plus grand, même construction..........de 150 à 300
- 348. Pierres d’aimant brutes, le kil......................... 20
- 349. Aimants artificiels, forme de fer à che-
- tval, à une ou plusieurs lames, portant
- de 250 gr. à 10 kil. (fig. 13). . . . de 5 à 40
- 350. Petits aimants artificiels, fer à cheval
- 351. Aimants artificiels portant de 10 à 60 kil., montés sur un support en chêne avec vase pour charger. ... de 60 à 200
- 352. Barreau aimanté dans son étui.......... 4
- 353. — semblable avec toton magnéti-
- fig.13. 354. Boîte contenant deux barreaux aimantés
- avec contacts (de 16 cent, de large). . 16
- 355. Boîte contenant deux barreaux aimantés avec contacts (de
- 22 cent, de longueur)................................. 19
- 356. Boîte contenant deux barreaux aimantés avec contacts (de
- 27 cent, de longueur)................................. 25
- 357. Boîte contenant deux barreaux aimantés avec contacts (de
- 40 cent, de longueur)................................. 40
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- 358. Aiguille et chape d’agate, et pivot de 5 à 8 cent. ..... 7
- 359. — semblable, de 10 à 15 cent....................... 9
- 360. Appareil pour faire voir que l’action de l’aimant a lieu à
- travers le feu........................................ 15
- 361. Appareil pour faire voir l'action de l’aimant à travers
- différentes substances................................ 50
- 362. Appareil du cygne magnétique répondant à diverses ques-
- tions............................................... 200
- 363. Plaques aimantées appliquées à la médecine, la paire, de 6 à 15
- 364. Bague aimantée — — — . . 3
- 365. Colliers, bracelets, etc......................... 10 et 15
- 366. Sédéroscope de Le Baillif, pour les propriétés magnétiques
- des corps............................................. 90
- BOUSSOLES D’INCLINAISON ET DE DÉCLINAISON.
- 367. Arc de cercle vertical avec aiguille pour servir à démon-
- trer l’inclinaison...................................... 60
- 368. Boussole d’inclinaison, cercle vertical de 19 cent., cercle
- azimutal à limbe d’argent; le cercle recouvert d’une cage vitrée, deux aiguilles dont une de rechange, loupes et boîte pour l’instrument (fîg. 14)............... 700
- fig. 14. fîg. 15.
- 369. Boussole de déclinaison, modèle de Gambey, cercle azimutal de 28 cent, avec deux verniers, barreau de 48 cent, de longueur suspendu dans une cage en acajou. Deux lunettes, l’une pour les vérifications, et l’autre placée au sommet et se mouvant dans le plan vertical, niveau
- mobile (fig. 15)......................................... 2000
- 370. Boussole de variation diurne, grand modèle de Gambey. . 1400
- 371. Boussole d’intensité magnétique............................ 400
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- — 24
- BOUSSOLES DE POCHE ET DE TOUS MODÈLES.
- Voirie Catalogue Géodésie, Mathématiques, etc.
- GRANDE BOUSSOLE AZIMUTHALE OU DE DÉCLINAISON ABSOLUE
- Inventée par II. James ©dier et construite par Charles-Chevalier.
- (Voir, à la fin du Catalogue, le Rapport fait par M. Benoît à la Société d’Encouragement sur la Boussole azimutale de M. James Odier.
- 372. Grande boussole azimutale de M. James Odier, avec cercle répétiteur concentrique vertical de 0,35 de diamètre , divisé de 5' en 5' avec 2 verniers donnnant les. 5" ; l’anneau porté par l’aiguille a 0,34 de diamètre et est divisé de 107 en 107, avec 2 verniers donnant les 10"; lunette à verres combinés à double objectif, inventée par Charles-Chevalier ; boussole couverte en glace avec monture en cuivre rouge avec charnières, large colonne de base avec centre vertical pour le mouvement horizontal; pied à 3 vis, nouveau moyen de Charles-Chevalier pour soulever l’aiguille du pivot, loupes biachromatiques pour les lectures, 2 niveaux, contre-poids, loupe à réflecteur pour le cercle horizontal, disposition de Charles-Chevalier, avec prisme à 4 faces et 2 lentilles achromatiques (fig. 16)............. 4000
- fig. 16.
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- 25 —
- ÉLECTRO-MAGNÉTISME.
- RHÉOMÈTRES OU GALVANOMÈTRES.
- 373. Multiplicateur de Schweigerou rhéomètre pour la déviation de l’aiguille, par le contact de deux disques, zinc et cuivre.................................................... 15 »
- 374. Multiplicateur plus sensible avec
- deux aiguilles et cadran divisé
- sous cage de verre (fig. 17). . . 45 »
- 375. Aiguille astatique d’Ampère. . . . 180 »
- 376. Galvanomètre ou rhéomètre à fil
- gros et court, pour les courants thermo-électriques........... 50 »
- 377. Galvanomètre semblable, à fil fin
- et long...................... 70 »
- 378. Galvanomètre monté entièrement
- en cuivre, à fil court et long, aiguille très-sensible...... 140 «
- Cliarles-Chevalier a construit pour l’Observatoire, un modèle de galvanomètre perfectionné (voir la lre édition du Catalogue 1842).
- 379. Boussole de sinus et tangentes, grand modèle, d’après Pouillet ; cercle vertical de 35 centim., cercle horizontal de 25 centim., barreau aimanté suspendu par un fil sans torsoin. . ............................................. 500 »
- 380. Boussole de sinus avec cercle de 22 centim., d'après
- Pouillet. . . , „ ....................................... 250 »
- 381. Boussole de tangentes, mêmes dimensions...................... 200 »
- 382. Rhéostat de Wheastone, mesurant la résistance des cou-
- rants, avec bobines en cuivre et bois, cadran divisé, etc. 300 »
- 383. Appareil différentiel de Wheastone avec galvanomètre;
- cet appareil sert pour mesurer la résistance des courants.............;........................... 20
- 38 i. Appareil du même auteur pour mesurer la résistance des
- liquides................................................ 30 »
- ÉLECTRO-DYNAMIQUE.
- 385. Grand appareil électro-dynamique de Pouillet, rempla-
- çant la table d’Ampère et servant aux mêmes démons-- trations, tel qu’il est décrit dans la dernière notice du Traité de Physique de Pouillet, comprenant 4 appareils en cuivre rouge, socles en acajou et accessoires. ... - 325 «
- 386. Commutateur pour changer la direction des courants. . ’. 25
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- 26 —
- 387. Appareil de Faraday avec contre-poids en platine, mon-
- trant la rotation d’un aimant dans le mercure........ 60
- 388. Appareils flotteurs de de la Rive, pour démontrer l’action
- de la terre sur les courants, avec cadres multiplicateurs et hélices............................................. 30
- 389. Cerceau de M. Delezenne, servant à donner naissance à
- un courant par l’influence de la terre.................380
- 390. Appareil d’Àmpère, à plateau de zinc pour produire la ro-
- tation d’un conducteur circulaire, avec un faisceau de barreaux aimantés...................................... 45
- 391. Roue de Barlow pour la démonstration des courants pa-
- rallèles.............................................. 50
- 392. Appareil de M. Th. du Moncel pour les réactions dynami-
- ques des courants sur les aimants...................... 65
- 393. Tourniquet de M. Th. du Moncel pour démontrer les réac-
- tions dynamiques des courants sur les aimants.......... 60
- 394. Nécessaire complet du chevalier Nobili, construit en
- premier par Charles-Chevalier.......................... 180
- ÉLECTRO-AIMANTS.
- 395. Hélices sinistrorsum et dextrorsum pour obtenir deux
- points conséquents sur la même aiguille........... 3
- 396. Hélices sinistrorsum ou dextrorsum pour aimanter des
- fils d’acier par l’action d’un courant............ 3
- 397. Électro-aimant de M. Pouillet, ou barreau de fer doux en
- fer à cheval avec contact, portant 25 kil......... 25
- 398. Électro-aimant semblable, portant 60 kil. ........ 40
- fig- 18.
- 399. Électro-aimant plus grand, monté sur un. support en
- chêne et pouvant porter de 75 à 250 kil. (fig. 18). . . . 160
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- — 27 —
- MOTEURS.
- 400. Deux tourniquets magnétiques avec pied et vis à caler. . 190
- 401 Électro-moteur ou contact de fer doux, prenant un mouvement rotatif par l’attraction d’un électro-aimant. ... 40
- 402. Électro-moteur composé d’un électro-aimant, tournant
- devant les pôles d’un aimant à courant continu.... 40
- 403. Électro-moteur de M. Froment, à rotation immédiate. . . 230
- 404. Pompe aspirante, montant avec le moteur deM. Froment. 180
- 405. Ventilateur de M. Froment............................. 125
- 406. Électro-moteur à bobine oscillante de M. Th. du Moncel. 200
- 407. Grand appareil de M. Faraday pour étudier l’influence du
- magnétisme sur la matière pondérable et la lumière polarisée.............................’..... 650
- 408. Porte-charbon de M. Quet, pour la répulsion de la lumière
- électrique par le magnétisme......................... 40
- 409. Deux tourmalines pour le magnétisme des liquides, d’après
- M. Plücker........................................... 10
- 410. Appareil de M. L. Foucault pour démontrer réchauffe-
- ment d’un disque de cuivre, tournant entre les pôles d’un électro-aimant ou la transformation de la force magnétique en chaleur................................400
- APPAREILS POUR L’INDUCTION.
- 411. Spirales d’induction de M. Matteuci pour expliquer le cou-
- rant d’induction de l’électricité statique........... 100
- 412. Appareil d’Arago pour démontrer sa découverte de la ro-
- tation magnétique.................................... 200
- 413. Le même, plus simple. ................................. 70
- fig- 19-
- 414. Machine électro-magnétique de Clarke, avec appareil pour décomposer l’eau, aimant galvanique, boite pour la physiologie, etc. (fig. 19)....................................... 325
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- 28 —
- 415. Condensateur électro-chimique de M. de la Rive......... 30
- 416. Inducteur à 2 fils avec interrupteur servant pour la phy-
- siologie............................................. 60
- 417. Appareil à roues dentées de M. Masson. ... de 150 à 1200
- 418. Interrupteur électro-physiologique de M. Froment. ... 70
- 419. Condensateur pour augmenter la tension du courant in-
- direct, suivant M. Fizeau............................ 20
- APPAREILS ÉLECTRO-MÉDICAUX.
- 420. Appareil du docteur Duchenne, de Boulogne, avec double
- courant et 3 paires d’excitateurs (lrc force)........ 180
- 421. Appareil semblable, plus fort (2e force)........ 220
- 422. Nouvel appareil du même auteur, avec pédale et tube à
- eau pour graduer la force.............................265
- 423. Appareil de Legendre et Morin, fonctionnant avec une pile
- simple................................................ 60
- 424. Appareil semblable avec pile double.................... 100
- 425. Appareil de Gaiffe, sans pile, peLit modèle, coffret acajou
- (fig. 20).......................................... 100
- lig. 20.
- lig. 20.
- 426. Appareil Gaiffe, grand modèle............................... 140
- 427. Appareil d’Erick-Bernard, avec pile........................ 60
- 428. Appareil électro-médical de Bondois, avec pile, très-com-
- plet avec accessoires....................................... 70
- 429. Pile de Grenet à chromate de potasse, pour dentiste. ... 35
- 430. Appareil électro-médical de Grenet et Broca, avec les acces-
- soires..................................................... 250
- THERMO-ÉLECTRICITÉ.
- 431. Appareil de Magnus pour démontrer avec un seul filles
- courants thermo-électriques........................... 25
- 432. Élément de Seebeck pour le même usage, avec 2 aiguilles
- asiatiques............................................ 18
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- - 29 —
- 433. Pile thermo-électrique.................................... 50
- 434. — — très-sensible avec réflecteur conique 90
- 435. — — linéaire............................. 60
- 436. Pile semblable, avec règle divisée pour les expériences de
- M. Masson sur la chaleur du spectre..................... 180
- 437-. Appareil de Peltier pour démontrer que les courants électriques échauffent ou refroidissent la soudure d’un couple antimoine et bismuth, suivant le sens dans lequel ils le traversent............................................... 50
- FIL DE CUIVRE ROUGE RECOUVERT DE SOIE.
- 438. De 1/4 de mill. de diamètre, le ldi.............. 35
- 439. — 1/2 — — —......................... 28
- 440. — 3/4 — — —......................... 24
- 441. — 1 _ _ —......................... 20
- 442. — 1 1/2 — — —......................... 20
- 443. — 2 — — —......................... 20
- 444. — 3 — — —......................... 20
- FIL DE CUIVRE ROUGE RECOUVERT DE COTON.
- 445. De 1/4 de mill. de diamètre, le kil................. 24
- 446. — 1/2 — — —•••’.................... 18
- 447. — 3/4 — — —........................ 15
- 448. — 1 — - -........................ 12
- 449. — 1 1/2 — — —........................ 12
- 450. — 2 — -- -........................ 12
- 451. — 3 — — —........................ 12
- CUIVRE ROUGE LAMINÉ.
- Au prix du cours.
- FIL DE FER GALVANISÉ.
- Au prix du cours.
- TÉLÉGRAPHES ÉLECTRIQUES.
- 452. Télégraphe électrique à cadran pour la démonstration,
- 2 stations (fig. 21)...............................200
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- — 30 —
- ilégraphe électrique à cadran pour usines, appartements, etc. ; les 2 stations avec sonnerie et manipulateur.......................................«,........... 300 »
- y
- fig. 21.
- 454. Télégraphe électrique à cadran, tel que ceux des chemins
- de fer, savoir :
- 1 Cadran récepteur..................................... 180 »
- 1 Manipulateur......................................... 110 »
- 1 Sonnerie............................................. 130 »
- 1 Boussole............................................. 15 »
- 1 Paratonnerre.......................................... 45 »
- 1 Commutateur. . ..................................... 15 »
- Chaque station complète.............................. 495 »
- 455. Modèle de télégraphe de Morse, les 2 stations....... 300 »
- 456. Télégraphe de Morse, chaque station................. 600 »
- ministère de l’intérieur par Charles-Chevalier. ( Voir le Physicien préparateur.)
- ACCESSOIRES.
- 458. Piles (Voir le Catalogue Galvanisme).
- 459. Poulies en porcelaine pour isoler les fils............... » 35
- 460. Supports en porcelaine à clochette...................... » 75
- 461. Guides en porcelaine..................................... » 60
- 462. Tendeurs pour tendre les fils......................... 8 75
- 463. — pour arrêter les fils.......................... 7 »
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- — 31 —
- 464. Fil de fer galvanisé, 4 mill. de diamètre, les 100 kil. . . 100 »
- 465. Fil de cuivre rouge, de 2 mill. de diamètre, les 100 kil. . 450 »
- 466. Fil recouvert de gutta-percha, etc.
- ÉLECTRICITÉ.
- MACHINES ÉLECTRIQUES.
- 467. Machine électrique avec plateau en glace de 1 mètre 30 de diamètre, montée sur table en noyer, à deux conducteurs en cuivre, soutenus par quatre colonnes en cristal,
- armatures en taffetas k................................ 2000 »
- 468. Machine semblable, de 1 mètre 10......................... 1500 »
- 469. — — l_ 1000 »
- 470. — — 0 — 80........................ 800 »
- 471. — — 0 — 65 (fig. 22).............. 500 «
- fig. 22.
- fig. 22.
- 472. Machine électrique semblable aux précédentes, mais avec
- un seul conducteur, plateau de 55 cent. ........ 325 «
- 473. Machine semblable posée sur un socle en noyer, plateau
- de 40 cent............................................. 150 »
- 474. Machine semblable posée sur un socle en noyer, plateau
- de 32 cent............................................. 120 »
- 475. Machine électrique à un conducteur sur un plateau en
- noyer, plateau de 45 centimèt. de diamètre, renfermée
- 1 Nous avons fourni une de ces machines à l’École polytechnique de Madrid.
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- — 32 —
- dans un coffre en chêne à compartiments, contenant : un tabouret isolant , deux bouteilles de Leyde, deux tableaux magiques, un appareil pour la danse des pantins, un carillon à trois timbres, deux cavaliers, un excitateur à charnières, un soleil tournant et deux agrafes............................................... 400
- 476. Machine électrique de Nairne à cylindre, montée sur sa
- table; le cylindre a environ 32 cent, de diamètre, sur 48 de long..................................... • 400
- 477. Machine hydro - électrique d’Armstrong pour produire
- l’électricité à l’aide de la vapeur, et donnant à volonté les deux électricités............................ 600
- PLATEAUX EN GLACE POUR MACHINE ÉLECTRIQUE.
- 478. Plateau en glace, de 1 mètre 30 de diamètre............ 400
- 479. — — 1 — 10 - 230
- 480. — — 1 — — ........................................... 160
- 481. — - 0 — 80 — 100
- 482. — — 0 — 65 — 50
- 483. — — 0 — 55 . — 35
- 484. — — 0 — 40 — 24
- 485. — — 0 — 32 — . .......... 15
- BOUTEILLES DE LEYDE, BATTERIES ET TABOURETS.
- 486. Bouteilles de Leyde, suivant la dimension. ... de 2 à 6
- 487. Bouteilles de Leyde, garnies en aventurine, dites étince-
- lantes.......................................de 3 à 8
- 488. Bouteille dite aux trois étincelles..................... 10
- 489. — à araignée de Franklin......................... 12
- 490. Bouteille avec deux pendules pour montrer Félectricité
- dissimulée............................................ 8
- 491. Bouteille d’Ingenhousz, ou électricité de poche........... 6
- 492. Bouteille de Lanne, ou électromètre servant à graduer la
- commotion............................................. 15
- 493. Isoloirs pour les bouteilles, la pièce.................... 5
- 494. Appareil dit de la bouteille de Leyde décomposée, pour
- en expliquer la théorie.............................. 10
- 495. Appareil pour la théorie de l’électrophore et de la bouteille
- de Leyde............................................... 15
- 496. Tabouret isolant de 43 cent, de côté................... 16
- 497. — plus grand pour placer un fauteuil............. 30
- 498. Or mussif ou bisulfure d’étain pour mettre sur les coussins,
- 100 gr,
- 5
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- — 33 -
- 499. Amalgame noir d’Ingenhousz, 50 grammes............... 5
- 500. Conducteur pour mettre la machine électrique en commu-
- nication avec les objets, de 30 cent..................... 5
- 501. Conducteur semblable de 50 cent............................ 6
- 502. — — de 1 mètre.......................... 8
- 503. Chaînes en métal, le mètre................................. 1
- 504. Batterie électrique de 4 bocaux avec boîte en chêne. . . 50
- 505. — semblable de 6 — ............. 60
- 50G. - - de 9 — (fig. 23).............. 80
- fig. 23.
- ÉLECTROPHORES.
- 507. Électrophore dont le plan résineux a 54 cent, de diamè-
- tre, avec disque supérieur en bois étamè, manche isolant, peau de chat pour l’électriser.......... 35
- 508. Électrophore semblable de 32 cent.................... 18
- 509. — — de 22 cent................... 12
- 510. Plateau de résine avec un soufflet contenant deux poudres
- différentes pour démontrer les deux électricités... 18
- 511. Peaux de chat................................ de 3 à 5
- EXCITATEURS.
- 512. Excitateur simple à charnières........................ 4
- 513. — à deux manches de verre et à charnières. . . 20
- 514. Excitateur dit universel, servant pour la fusion des métaux
- et pour diverses expériences........................ 30
- 515. Tiges à manches isolants pour appliquer l’électricité, de 10 à 30
- ÉLECTRICITÉ PAR FROTTEMENT^
- 516. Cylindre en verre dépoli d’un bout................... 3
- 517. Bâton en cire à cacheter rouge............. de 1 à 5
- 518. — en gomme laque........................... de 2 à 6
- 519. — en cuivre, manche ën verre....................... 8
- 3
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- — 34 —
- 520. Appareil de M. Becquerel pour expériences sur 1 électricité
- astatique des métaux, avec plateau à mouvement circulaire.......................................... 95
- 521. Tube en verre pour le développement de l’électricité par le
- frottement du mercure.............................. 5
- 522. Disques en métal à manche isolant.................... 8
- 523. — en glace — —....................... 10
- ÉLECTROSCOPES ET ÉLECTROMÈTRES.
- 524. Pendule à halles de sureau........................... 4
- 525. Électroscope à cadran d’ivoire de Henley, pour mesurer
- la force des batteries et de la machine électrique. ... 9
- 526. Électroscope à feuilles d’or. .......................... 18
- 527. — à balles de sureau........................... 18
- 528. — à pailles.................................... 18
- 529. — à feuilles d’or avec condensateur............ 30
- 530. Grand condensateur pour le développement de l’électri-
- cité par contact, monté sur un électroscope à feuilles d’or, avec disques en cuivre et zinc isolés... 70
- 531. Électromètre de M. Péclet, à trois plate aux......... 150
- 532. Électromètre de Saussurre, pour l’électricité atmosphé-
- rique, avec pointe..................................... 45
- 533. Électromètre de Bohnenberger à piles sèches. ...... 35
- 534. — de Peltier pour l’électricité atmosphèriqü'é. &0
- 535. Pendule de M. Becquerel pour l’électricité de la tourma-
- line.................................................. '60
- 536. Condensateur de Yolta, composé d’un plan de marbre et
- d’un disque de métal isolé............................. 25
- 537. Grand condensateur pour le développement de l’électri-
- cité par contact, renfermé dans une cage de verre avec
- socle pour placer du chloruré de calcium........... 100
- 538. Condensateur d’OEpinus et Richmann, à deux disques
- mobiles, pour les influences électriques............ . 45
- 539. Condensateur semblable avec crémaillère.................. 80
- AIGUILLES ET BALANCES ÉLECTRIQUES.
- 540. Aiguille électrique d’IIaüy. .............................. 3
- 541. Aiguille d’Iiaüy à tourmaline, pour démontrer l’électricité
- développée par la chaleur avec tourmaline................ 16
- 542. Spath d’Islande pour démontrer l’électricité par pression,
- avec l’aiguille d’Haüy..........................de 1 à 2
- 543 Aiguille à spath d’Islande, pour l’électricité développée
- par la pression..................... . '................. 10
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-
-
- 35
- 544. Balance électrique de Coulomb, dans une cage en glace, socle en bois verni, armatures en cuivre, appareil ser-
- vant à mesurer l’électricité.............................. 300 «
- 545. Balance de Coulomb dans un tube en cristal.................. 80 »
- APPAREILS D’ÉLECTRICITÉ POUR LA THÉORIE.
- 546. Sphère creuse de Coulomb, pour montrer que l’électricité
- ne se porte qu’à l’extérieur des corps................. 20 »
- 547. Sphère semblable à double enveloppe mobile................. . 30 «
- 548. Deux cylindres isolés pour l’électricité par influence. ... 50 »
- 549. Deux ellipsoïdes en cuivre pour démontrer que l’intensité
- électrique est plus grande à l’extrémité des corps qu’à
- leur centre........................................... 100 «
- 550. Sphères isolées de différentes grosseurs pour les mêmes
- expériences............................................ 80 »
- 551. Appareil pour l’électricité dissimulée, composé d’un car-
- reau de verre garni de lames d’étain et de deux pendules.................................................. 15 »
- APPAREILS POUR EXPÉRIENCES.
- 552. Pistolet de Yolta en fer-blanc verni....................»
- 553. — en cuivre, forme de vase............................
- 554. Pistolet en cristal, fermant à vis, pour prouver que le bruit
- de la détonation n’est dû qu’à la rentrée de l’air....
- 555. Batterie de 6 pistolets de Yolta, sur un plateau isolé et
- bouteille de Loyde au centre, pour les faire détoner à volonté...............................................
- 556. Canon de Yolta à gaz hydrogène, monté sur son affût . .
- 557. Canon semblable monté sur un isoloir qui s’électrise, avec
- une peau de chat.........,............................
- 558. Mortier électrique pour lancer une bille................
- 559. Tableau magique de Franklin.............................
- 560. — semblable recouvert d’aventurine....................
- 561. Thermomètre électrique de Kinnersley....................
- 562. Appareil à balles de sureau pour imiter la grêle par l’élec-
- tricité...............................................
- 563. Planétaire électrique'à boule de verres.................
- 564. Système de Copernic.....................................
- 565. Arbre électrique à sept aiguilles tournantes............
- 566. Soleil tournant sur sa pointe...........................
- 567. Plan incliné pour la répulsion des pointes..............
- 568. Appareil pour faire passer la charge d’une batterie à tra-
- vers l’eau, avec bassin en cuir.......................
- 2 »
- 14
- »
- 15 »
- 40 »
- 35 »
- 36 » 8 » 8 »
- 10 » 18 «
- 35 »
- 35 »
- 20 » 15 »
- 5 -
- 30 »
- 30 »
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-
-
- — 36 —
- 569. Appareil pour décomposer ou gazifier l’eau, par la seule
- commotion électrique................................ 35
- 570. Carillon à trois timbres pour suspendre à un conducteur. 10
- 571. monté sur une colonne isolée. .................. 25
- 572. Carillon pour l’effet du paratonnerre, avec pointe et bou-
- teille de Leyde..................................... 20
- 573. Chasseur et son but, tirant sur le tableau magique. ... 9
- 574. Cavalier pour le même usage............................ 9
- 575. Presse pour la fusion de l’or par l’étincelle......... 10
- 576. Découpure pour faire le portrait de Franklin, avec la presse
- ci-dessus..........................'................. 4
- 577. Fontaine à trois jets pour
- ] l’accélération des fluides . 9
- 578. Maisonnette pour démontrer
- 1 l’utilité du paratonnerre
- fk 579. Petit vaisseau pour la même
- IM démonstration................ 9
- 580. Pyramide en acajou pour dé-[&§ montrer le danger des con-
- «Mh ||bH docteurs interrompus. . . 8
- ,rr.p ISg 581. Treuil électrique pour faire . voir la manière dont la
- foudre s’élance d’un nuage
- »u-Mc....*« par son changement de
- Ig' ' ' capacité.................... 90
- 582. Modèle de paratonnerre monté sur une voiture, avec sa
- corde conductrice, servant aussi à démontrer la manière de poser les paratonnerres........................... 60
- 583. Théâtre de pantins....................................... 14
- 584. — à 2 colonnes en cristal......................... 25
- 585. — à 4 — ................................... 40
- 586. Figures en sureau pour ces appareils........ de 2 à 4
- 587. Vase pour enflammer l’alcool par l’électricité......... 4
- 588. Appareil pour enflammer la poudre...........,>.... 8
- 589. Deux pompes de Cellier, pour montrer que l’eau est con-
- ductrice de l’électricité............................... 6
- 590. Appareil de M. Becquerel pour transformer l’eau en gaz
- nitreux. ............................................ 15
- 591. Perce-carte de Trémery................................... 12
- 592. Perce-verre. ........................................... 15'
- 593. Appareil pour fondre le fil de fer dans l’eau............ 25
- 594. Appareil d’Ingenhousz pour brûler par l’électricité une spi-
- rale d’acier dans l’oxygène............................ 25
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- 37
- PARATONNERRES.
- 595. Tige de paratonnerre en cuivre terminée par un bout de
- platine, montée et ajustée sur un morceau de fer préparé pour être soudé à la barre principale, conforme cd l’instruction publiée par l’Institut et faite par le savant Gay-Lussac................................ de 20 à 40
- 596. Cordes en fer peintes à l’huile pour paratonnerre, suivant
- le diamètre, le mètre..................... de 2 à 8
- 597. Cordes semblable en cuivre, le mètre......... de 6 à 8
- ÉLECTRICITÉ LUMINEUSE ET DANS LE VIDE.
- 598. Artillerie à sept colonnes représentant un temple lumi-
- neux avec aiguille tournant au milieu.................. 55
- 599. Carreau étincelant sur son pied........................... 14
- 600. Six carreaux étincelants représentant divers dessins et
- inscriptions, dans Une boîte, support isolé, avec boule pour déterminer l’étincelle............................... 40
- 601. Globe de verre sur pied pour l’aurore boréale............... 20.
- 602. Matras étincelant sur pied....................... de 10 à 20
- 603. Globe électrique pour l’électricité dans le vide, dit œuf
- électrique................................................ 20
- 604. Œuf électrique ou globe avec boîte à cuve et tige mobile . 40
- 605. Récipient à matras de l’abbé Nollet, pour l’expérience de
- la bouteille de Leyde dans le vide........................ 25
- 606. Grand tube étincelant........................................ 20
- 607. Tube étincelant plus petit................................... 15
- -----------
- GALVANISME.
- 608. Deux disques en cuivre et zinc, pour la théorie de la pile. 10
- 609. Lames, zinc et cuivre, soudées pour les contacts....... 3
- 610. Excitateur, zinc et cuivre, pour répéter l’expérience de
- Galvani sur la grenouille........................... 3
- 611. Pile de Yolta, de 50 couples, zinc et cuivre, de 4 centim.,
- avec rondelles en drap, le tout tenu par deux plaques en acajou, reliées par des colonnes en cristal. 35
- 612. Pile semblable de 80 couples, rondelles de 6 centim. . . 70
- 613. — de Yolta à auges, de 30 éléments de 5 centim. sur 8. 30
- 614. — de Wollaston, cà 6 éléments.......................... 60
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- — 38 -
- 615. Pile semblable, de 12 éléments........................110 »
- 616. — de Wollaston, de 1 élément........................ 12 »
- 617. — de Smée........................................... 15 »
- 618. — de Grove, de 1 élément............................ 12 »
- 619. — à gaz de Grove, de 6 éléments..................... 50 »
- 620. — de Munch, de 40 éléments.......................... 50 »
- PILES DE DANIELL ET DE BUNSEN.
- 621. Pile deDaniell, avec vis de pression, ou pinces pour les
- conducteurs, de 22 centim. de hauteur................
- 622. Pile (la même), de 20 — — ............
- 623. _ _ de 18 — — ............
- 624. — — de 14 % — — ............
- 625. _ _ de 13 — — (fig. 25). . .
- 18 » 17 «
- 15 50 14 50 13 50
- ï. 25.
- fig. 26.
- 626. — de M. le baron Gros, pour l’argenture des plaques de
- cuivre et plaqué....................................... 20 >
- 627. Cuve, du même auteur..................................... 18 »
- 628. Piles de Bunsen à charbon de cornue (fig. 26). Même
- prix que les piles de Daniell.
- 629. Batterie de 50 éléments de 18 centim., pour produire la
- lumière............................................... 300 »
- PIÈCES DE RECHANGE POUR PILES.
- Charbon. Vase poreux. Zinc amalgamé. JElonal en verre ou terre.
- 630. Pour Pile de 22 cent, de haut. 1 50 î 50 3 50 1 »
- 631. — 20 * — 1 25 î » 9 50 » 75
- 632. — 18 — 1 » )> 75 2 25 ». 60
- 633. — 14 % — » 75 » 50 2 » » 40
- 634. — 13 — » 65 )) 35 1 50 » 35
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- — 39 —
- 635. Vis de pression seules, de 50 c., 60 c. et........... 1 »
- 636. Lame de platine pour pile de Grove................... 3 50
- ACCESSOIRES.
- 637. Crayons de charbon terminant les pôles de la pile,
- le mètre.................................................. 5 »
- 638. Œuf électrique, prouvant que les charbons ne s’usent
- pas dans le vide.................................. 35 »
- 639. Porte-charbons à crémaillère, pour approcher les char-
- bons dans l’air.......................................... 30 »
- G'iO. Lampe électrique à point lumineux fixe............* . . 250 »
- 641. Régulateur électrique..................................... 120 »
- 642. Réflecteur en plaqué d’argent, pour la lampe ci-dessus . 30 »
- 643. — parabolique pour les lampes électriques,
- de 30 à................................................. 100 «
- 644. Globe dépoli pour disperser la lumière électrique, pour
- les appartements......................................... 10 »
- 645. Régulateur automatique de lumière électrique, inventé
- par M. Serrin (cet appareil est le meilleur)........ 400* »
- 646. Appareil pour la fusion des métaux et l’incandescence du
- charbon dans l’air....................................... 50 »
- 647. Voltamètre, pour la décomposition de l’eau, avec tubes
- séparés pour recueillir l’hydrogène et l’oxygène .... 12 »
- 648. Réflecteurs paraboliques ou sphériques, pour projetey
- la lumière, de 20 à...................................... 80 »
- 649. Lentilles pour)concentrer les lumières électriques. (Voy. le
- Catalogua Optique usuelle.)
- 650. Fontaine électrique de M. Calladon, pour démontrer la
- réflection totale d’un rayon dans une veine liquide. . . 124 »
- 651. Ballon pour la lumière électrique dans le vide............. 35 »
- 652. — semblable, plus grand.................................... 65 »
- 653. Appareil de M. Becquerel, pour obtenir les effets de fusion
- dans le vide, avec accessoires........................... 40 »
- 654. Pile sèche de Zomboni, dans un tube en verre contenait
- environ 2,000 éléments..........................' . 30 »
- 655. Pile sèche de Zomboni, à balancier (Mouvement perpétuel) 80 »
- 656. — faisant tourner un jeu de bague...................... 200 »
- GALVANOPLASTIE.
- 657. Cuve à décompositeur en verre, 2 fr. 3 fr. et...... 4 »
- 658. — — en gutta-percha, avec support et
- vis de pression pour les conducteurs, de 10 à.... 30 »
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- — 40 —
- 659. Galvanomètre pour mesurer l’intensité des courants. . . 12 »
- 660. Piles (voir Piles de Daniell).
- 661. Fil de cuivre recouvert de coton (voy. page 29).
- 662. Cuivre rouge laminé pour lanière, le kilogr.......... 8 >
- 663. Clichés en métal fusible ou en gutta-percha, de 1 fr.
- 50 c. à............................................ 4 »
- 664. Gutta-percha épurée pour clichés, le kilogr. ........ 9 «
- 665. Fil d’argent, de platine, lames d’or, d’argent, accessoires, etc.
- PRODUITS CHIMIQUES POUR GALVANOPLASTIE. Avec flacons.
- 666. Sulfate de cuivre, le kilogr........................
- 667. — de zinc, l’hectogr..............................
- 668. Acide azotique ordinaire, le kilogr.................
- 669. — chlorhydrique, le kilogr........................
- 670.. — sulfurique, le kilogr...........................
- 671. Plâtre de mouleur, 500 gram. .......................
- 672. Ammoniaque liquide, 100 gram........................
- 673. Chlorure d’argent, 1 gram. ... ...................
- 674. — d’or, 1 gram....................................
- 675. Cyanure d’argent, 1 gram............................
- 676. — d’or, 1 gram.................................;
- 677. — de potassium pur, 100 gram......................
- 678. Bain d’or, au cyanure d’or, 500 gram................
- 679. — au chlorure d’or, 500 gram....................... .
- 680. Bain d’argent, au chlorure d’argent, 500 gram.......
- 681. — au cyanure d’argent, 500 gram.........
- 682. Bismuth, 500 gram...................................
- 683. Plombagine, 500 gram................................
- 684. Stéarine, 500 gram..................................
- 685. Vernis copal, 500 gram..............................
- » 75 2 20 1 80 1 60 .. 70 » 50 » 40 2 90 » 75
- 7 »
- 1, 70 6 » 4 »
- 2 75
- 3 50
- 8 » 2 50 2 50 1 »
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- — 41 —
- ACOUSTIQUE
- D'APRÈS MARLOYE,
- 086. Une soufflerie, se composant d’une table munie d’un soufflet et d’un sommier d’orgue destiné à recevoir toute espèce de tuyaux................................................. 180 »
- EMBOUCHURES.
- Dans l'embouchure en flûte, les vibrations sont produites perpendiculairement au plan de la lèvre supérieure de la bouche par les vibrations de la lame d’air, qui devient une anche aérienne dès qu’elle rencontre le biseau de cette lèvre. De là résulte que le son est d’autant plus aigu que la bouche est plus basse et que le courant d’air est plus rapide.
- Dans l’embouchure des instruments à vent, tels que le cor, la trompette, l’ophi-cléide, etc., les lèvres de l’artiste jouent le rôle d’anches doubles. Les vibrations qu’elles déterminent sont longitudinales, et le son produit est d’autant plus aigu que la cavité de l’embouchure resserre les lèvres dans un espace plus étroit.
- L’embouchure de la clarinette est, comme l’on sait, une anche simple, tandis qu’elle est double dans le hautbois et le basson ; mais l’une comme l’autre vibre perpendiculairement à la colonne d’air, et l’acuité du son qui en résulte augmente avec la vitesse du courant d’air et la pression des lèvres.
- Pour ces démonstrations.
- 687. Une bouche de tuyau à lèvre mobile.................... 6 »
- 688. — embouchure de cor en cuivre argenté.................... 3 »
- 689. — — de trompe Lie en cuivre argenté. .... 3 «
- 690. — — d’ophicléide en cuivre argenté.... 3 50
- 691. — — de clarinette........................ 3 «
- 692. — ' — de hautbois....................... 3 »
- 693. — — de basson. . ........................ 3 »
- 694. — — universelle, composée d’un porte-vent
- en caoutchouc, terminé à l’une de ses ëxtrémités par un bec en laiton, d’où s’échappe une lame d’air quand l’autre extrémité est montée sur la soufflerie...... 6 »
- VIBRATIONS DE L’AIR.
- Dans les colonnes d’air, les vibrations sont de deux espèces : celles de la première espèce, qu’on peut appeler longitudinales, sont simples (autant que peuvent l’être des vibrations) pelles déterminent un son fixe, dont le nombre de vibrations ne dépend absolument que de la longueur de l’onde sonore ; celles de la seconde espèce, qu'on peut appeler mixtes, résultent d’un mélange de vibrations longitudinales et transversales. Elles produisent un son dont le nombre de vibrations dépend tout à la fois des trois dimensions de la colonne d’air, de la résistance des parois qui la renferment, du mode d’ébranlement ou d’embouchure, et souvent de l’intensité du son.
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- — 42
- VIBRATIONS LONGITUDINALES DES COLONNES D’AIR.
- Rappelons d’abord que lorsqu’on augmente gracfuellement la vitesse du courant d’air qui fait vibrer un long tuyau, par rapport à son diamètre, on lui fait rendre, comme dans le cor, une série de sons harmoniques passant brusquement de l’un à l’autre, dont les nombres de vibrations sont entre eux comme la suite naturelle 1, 2, 3, 4, etc., s’ils sont ouverts des deux bouts ; ou comme les nombres impairs, 1,3, 5, etc., s’ils ont un bout fermé.
- Pour cette démonstration.
- 695. Deux longs tuyaux de verre, l’un ouvert, l’autre fei’ftié,
- s’adaptant à un robinet en cuivre pour en régler le vent. H) »
- Quand une colonne d’air vibre longitudinalement, les nœuds de vibration sont toujours au milieu des ventres et réciproquement, et l’on peut fermer le tube à l’endroit des nœuds ou l’ouvrir au milieu des ventres, sans que le son change.
- Pour ces démonstrations.
- • i
- 696. Une flûte composée de quatre pièces, -se montant à vis :
- une embouchure, deux tubes ouverts chacun de la lon-
- gueur de l’onde sonore, et un fermé, de la longueur
- d’une demi-onde.................................... 10 »
- 697. Une flûte ouverte, munie d’un robinet en cuivre donnant les sons 1,2, 3, 4, et pouvant être ouverte à chaque ventre de vibrations...................................... 20 »
- Dans les colonnes d’air cylindriques ou prismatiques à base régulière vibrant longitudinalement, un même son est toujours représenté par une onde sonore de même longueur, soit qu’on la mesure entre deux nœuds de vibrations, soit qu’on la mesure entre deux ventres, et les nombres de vibrations sont simplement en raison inverse des longueurs des ondes, quels que soient d’ailleurs leur diamètre, le mode d’embouchure et l’intensité du son.
- Pour ces démonstrations.
- 698. Un appareil à pistons hydrauliques, se composant de
- deux tuyaux de verre de différents diamètres, bouchés
- par deux colonnes d’eau mobiles........................ 60 »
- Pour se servir de cet appareil, on monte sur le sommier de la soufflerie les deux tubes en caoutchouc, on remplit d’eau colorée les siphons; puis, à l’aide des robinets, on amène les deux colonnes d’eau à la division la plus élevée. Après avoir constaté que là les deux tuyaux ont le même son, on baisse les colonnes d’eau jusqu’à la seconde division où les deux sons restent encore égaux, etc. ; pour comparer des sons différents à des ondes inégales, on arrête l’une des colonnes sur une division rouge et l’autre sur une division noire.
- 699. Trois tuyaux harmoniques de diamètres différents, mis à
- l’unisson : deux bouchés, donnant le son 3, pouvant être fermés au nœud de vibration, et un ouvert, s’ou-
- vrant à charnière au ventre. Les trois ondes sonores
- ont la même longueur............................... 24 »
- 70Q. Une flûte en palissandre, se composant d’une embouchure et de quatre tubes égaux se montant à vis, représentant chacun la longueur de l’onde sonore mesurée entre deux ventres de vibrations. . . . .................. 10 »
- 701. Un tuyau de verre à piston, divisé en parties égales, mesurant la longueur de l’onde sonore prise entre deux nœuds..................................................... 10 »
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- — 43 —
- 702. Deux tuyaux harmoniques, en gutta-percha, de même ^
- longueur et de diamètres différents, préparés pour recevoir trois embouchures; un bec de clarinette, une embouchure de cor et un bec de flûte (celui-ci se monte sur la soufflerie), démontrant que les harmoniques que l’on obtient avec une même embouchure sont identiques dans les deux tuyaux. Que ceux de même ordre, qu’on peut obtenir avec deux embouchures différentes, sont encore identiques, et qu’ils sont toujours fixes, quelle que soit leur intensité............................... 9 »
- La résistance et la nature des parois n’ont sensiblement pas d’influence sur les vibrations longitudinales de l’air, puisqu’un tube de caoutchouc vulcanisé donne les mêmes sons qu’un tube de gutta-percha, qui lui-même sonne comme un tube de verre.
- Pour ces démonstratioiis.
- 703. Deux tubes de même longueur et de mênie diamètre,
- l’un en verre, l’autre en gutta-percha. ......... 3 »
- 704. Deux longs tubes égaux, l’un en caoutchouc vulcanisé,
- l’autre en gutta-percha, préparés pour recevoir une embouchure de cor..................................... 12 »
- Lorsqu’une colonne d’air cylindrique est mise en vibration par un courant d’air
- intermittent, comme avec une embouchure de cor ou de clarinette, 1° si elle est courbée en hélice, elle a sensiblement la même tonalité que si elle était droite ; seulement, le son est d’autant plus sourd et sort d’autant moins facilement que le rayon de courbure est plus court ; 2° elle sonne plus facilement et donne des sons beaucoup plus intenses lorsqu’elle est terminée par un pavillon évasé, qui, du reste, a peu d’influence sur sa tonalité; 3° les sons qu’elle rend sont d’autant plus stridents que son diamètre est plus petit, quelle que soit la nature des parois du tube et du pavillon.
- Pour ces démonstrations.
- 705. Trois tubes de même longueur, deux en gutta-percha
- de diamètres différents, un en caoutchouc vulcanisé, que l’on peut rouler à volonté; plus deux pavillons, l’un en cuivre, l’autre en gutta-percha. . . .......... 27 »
- Quand on roule en spirale le tube do caoutchouc sur une table unie, on le voit se dérouler pendant qu’il sonne.
- VIBRATIONS MIXTES DES COLONNES ET DES MASSES D’AIR.
- Quand une colonne d’air sonne le son fondamental, les vibrations qu’elle exécute sont toujours mixtes.
- Quelle que soit la longueur d’une colonne d’air par rapport à son diamètre, Je nombre de vibrations qu’exécute le son fondamental est d’autant moindre que la résistance des parois est plus faible, quelle qu’en soit l’embouchure.
- Pour cette démout ration.
- 706. Deux longs tubes égaux, l’un en gutta-percha et l’autre en caoutchouc. On en tire le son fondamental à l’aide
- d’embouchures de cor et de clarinette.............. 6 »
- 707. Trois tuyaux égaux, deux en bois différents d’épaisseur
- et un en papier.................................... 15 »
- Lorsque les proportions d’une colonne d’air sont telles qu’on en peut obtenir le son fondamental avec une embouchure de flûte, ce son dépend tout à la fois de la longueur et du diamètre de la colonne d’air, ainsi que de l’embouchure :
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-
- — 44 —
- 1° Toutes choses d’ailleurs égales, le son est d'autant plus grave que le diamètre du tube est plus grand ;
- 2° Le son est plus grave avec un bec de clarinette qu’avec un bec de flûte;
- 3° Avec une embouchure de cor ou de flûte le son est d’autant plus élevé que la vitesse du courant d’air est plus grande.
- Pour ces démonstrations.
- 708. Trois flûtes en sapin de même longueur, mais de diffé-
- rents diamètres..................................... 15 »
- 709. Deux tubes de laiton de môme diamètre, dont les lon-
- gueurs sont dans le rapport de 1 à 2. . ............ 8 »
- Dans les volumes d’air semblables, les nombres des vibrations sont en raison
- inverse des dimensions homologues.
- Pour cette démonstration.
- 710. Deux tuyaux cubiques fermés............................ 18 »
- 711. Deux tuyaux prismatiques rectangulaires fermés. ... 16 »
- Lorsque deux ou plusieurs tuyaux rectangulaires fermés sont tels que le produit de la hauteur par la profondeur est la même, ces tuyaux ont sensiblement le même son, quelle que soit d’ailleurs leur largeur >.
- Pour cette démonstration.
- 712. Quatre tuyaux rectangulaires, dont un cubique............ 32 »
- Un des quatre est embouché par le fond pour faire voir que cette disposition n’a aucune influence sur le son.
- Quand une colonne d’air donne le son fondamental, on peut diminuer indéfiniment la largeur d’un tuyau sans que le son éprouve de grands changements si l’on diminue la bouche proportionnellement.
- Pour cette démonstration.
- 713. Un tuyau cylindrique en cuivre à piston................. 25 »
- 714. Trois tuyaux rectangulaires, le premier à base carrée,
- le sécond représentant la moitié du premier, coupé par un plan passant par l’axe perpendiculairement à la bouche, et le troisième représentant aussi la moitié du . premier, mais coupé par un plan passant par l’axe parallèlement à la bouche.................................. 15 »
- Dans les tuyaux donnant le son fondamental, la nature des parois n’a sensiblement pas d’influence sur le son si la résistance est suffisante.
- Pour cette démonstration.
- 715. Trois tuyaux égaux, un en cuivre, un en bois et un en
- carton................................................. 21 *
- Quand un tuyau ouvert donne le^son fondamental, le nœud de vibration n’est pas au milieu de la colonne d’air; néanmoins on peut fermer le tuyau en. cet endroit sans que le son change.
- Pour cette démonstration.
- 716. Un tuyau en sapin ayant une face en glace, dans lequel
- on introduit une membrane qui sonne dans toute la longueur du tuyau, excepté à l’endroit du nœud. ... 15 »
- i Cette loi n’est vraie que dans des limites très-restreintes, et encore en supposant, comme pour la loi précédente, que la colonne d’air rende le son fondamental.
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-
- 717. Un tuyau muni d’une clavette placée au nœud de vibra* tions, permettant de fermer le tuyau en cet endroit. . .
- 8
- D
- COÏNCIDENCE des vibrations et interférence du son.
- Lorsque deux sons se font entendre simultanément, les coïncidences des vibrations produisent des battements, si elles n’ont lieu qu’à des intervalles sensibles, et produisent, au contraire, un son continu (dit résultant) si les coïncidences se succèdent avec rapidité. ,
- Pour cette démou stration.
- 718. Deux tuyaux ouverts sonnant la quarte pour les sons
- résultants...........•................................., 8 «
- Quand ces tuyaux sonnent simultanément, outre l’accord de quarte on entend un troisième son, beaucoup plus grave, qui est, pour le cas présent, la double octave grave du son le plus aigu.
- 719. Un tuyau donnant le son résultant des tuyaux précé-
- dents................................................... G »
- 720. Deux tuyaux de grosse taille sonnant utî, et pouvant varier entre eux d’un demi-ton pour l’expérience des battements.................................................. 40 »
- Lorsque deux ou plusieurs tuyaux d’orgue, accordés à distance l’un de l’autre, nous paraissent vibrer parfaitement à l’unisson, la quantité de son qu’ils produisent, sonnant tous ensemble, est d’autant moindre qu’ils sont plus rapprochés l’un de l’autre ; et quand leur distance respective est réduite au tiers ou même à la moitié de la longueur de l’onde sonore, sonnant ensemble, ils produisent moins de son qu’un seul. La raison de cela est que nous ne pouvons accorder deux unissons avec assez de justesse pour que les vibrations marchent dans le même sens. En effet, si l'un des deux sons exécute cinquante mille vibrations pendant que l’autre en exécute cinquante mille plus une, il est impossible de s’en apercevoir, et comme dans ce cas les ondes ne marchent pas ensemble, il se produit une sorte d’interférence.
- Si, au contraire, on accorde à l’unisson deux tuyaux placés très-près l’un de l’autre, de manière qu’il y ait addition de son, on remarquera en les éloignant qu’ils sont à un intervalle d’un demi ou même de trois quarts de ton L
- Pour cette démonstration.
- 721. Trois tuyaux pouvant-s’accorder facilement, plus un
- support destiné à les recevoir sur le sommier de la soufflerie lorsqu’on veut les rapprocher beaucoup. ... 15 «
- Trois tuyaux pour l’interférence du son d'après Wheatstone.
- 722. Un tuyau coudé en sapin........................ .... 3 »
- 723. — portant une membrane sur laquelle le sable
- dessine une figure dans le cas où le tuyau sonne. ... 8 «
- i II en est ainsi non-seulement de tous les sons produits par l’air, mais fort souvent encore de ceux produits par des corps solides. De là il résulte que dans l’orchestre où l’espace est limité, on augmente de peu le volume du son en multipliant les parties; l’on n’y aurait aucun avantage, au contraire, si les artistes jouant la même partie étaient trop serrés les uns contre les autres, surtout s’ils étaient toujours parfaitement d’accord entre eux.
- Pour augmenter la puissance des orchestres sans nuire à la pureté de la mélodie et de l’harmonie, il faut construire de meilleures salles ou augmenter la puissance de chaque instrument. Pour augmenter seulement l’effet produit par un orchestre sans trop choquer les oreilles délicates, il faut éloigner les unissons proportionnellement à la longueur des ondes sonores; c’est-à-dire que si l’on sépare les violons faisant la même partie par une distance d’un mètre, ce qui ne serait pas trop, il faut séparer les contre-basses par un intervalle de cinq mètres, ce qui estfort difficile.
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- — 46 -
- 724. Un tuyau à branches parallèles et mobiles.................... 6 »
- Ces (uvaux ont deux ouvertures; on les fait sonner par l’influence d’une plaque de laiton. Si, pendant que la plaque vibre, on place les ouvertures du tuyau sur deux ventres alternes, le tuyau sonne; si, au contraire, on place les ouvertures au-dessus de deux ventres consécutifs, il y a interférence.
- MODÈLES DE TUYAUX D’ORGUES DE DIFFÉRENTS TIMBRES.
- 725. Quatre flûtes ouvertes, emBouchure ordinaire donnant
- l’accord parfait ut 3, mi, sol,iàk................... 20 »
- 726. Quatre flûtes, bouchées avec tampons donnant le ttiêihe
- accord. . .....................!.................. 20 »
- 727. Quatre flûtes, ouvertes à embouchure circulaire donnant
- le même accord....................................... 20 <>
- 728. Quatre flûtes, ouvertes, embouchées de manière à imiter
- le hautbois.......................................... 20 »
- 729. Un tuyau à tampon formant la cheminée................. 5 »
- Pour diverses expériences.
- 730. Un tuyau dont la lèvre supérieure est mobile pour mon-
- trer l’influence de l’ouverture de la bouche sur le son
- et sur le timbre...................................... 8 »
- 731. Deux tuyaux trapézodriques à base carrée construits sur le
- même calibre, mais dont l’un est embouché sur le plat et l’autre sur champ. Ces tuyaux donnent exactement le même son, ce qui est en contradiction avec certaines
- théories des tuyaux d’orgue............................. 10 »
- 732. Nouveau sifflet à l’usage des cantonniers des chemins
- de fer............................,.................... 15 »
- Dans ce sifflet, qui est en palissandre garni en cuivre, l’air est ébranlé par tous les points de la circonférence du tuyau, ce qui donne au son une grande puissance et beaucoup de pureté.
- 733. Le même, construit pour ne parler qu’à la pression d’une
- atmosphère......................................... 15 «
- L’intensité du son de celui-ci est telle que l’oreille ne peut le supporter.
- 734. Sifflet ouvert, percé de plusieurs trous, pour produite
- des figures sur les membranes......................... 5 »
- 735. Porte-voix de 1 mètre 30 centim,........................ 15 »
- 736. ' — de 1 mètre.......................................... 12 <>
- 737. Cornet acoustique en fer-blanc........................... 5 »
- 7-38. — — en cuivre............................. 7 »
- 739. Tuyau sphérique, dit toupie d'Allemagne................. 5 »
- 740. Appeaux de toute espèce, de 1 fr. à...................... 3 »
- 741. Tube-siffleùr de M. Cagniard. ........................... 3 »
- 742. Sifflet pour la marine.................................. 10 »
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- TUYAUX A ANCHES.
- 743. Une anche libre sonnant ut montée dans un long porte-
- vent vitré, surmonté d’un cornet d’harmonie en chêne, plus un cornet court et large qu’on peut substituer au premier pour montrer là différence du timbre..... 20 »
- 744. Une anche battante montée de même et portant les
- mêmes cornets.............................. 18 »
- 745. Une anche battant sur peau avec un seul cornet. ... : 15 »
- 746. — en bois battant sur cuivre....................... . 15 »
- 747. — battant sur peau................................... 15 »
- Pour qu’une anche montée dans un porte-vent puisse sonner, il faut que celui-ci remplisse des conditions que le tâtonnement et la pratique seuls font connaître. Cependant, si le porte-vent est tel que l’anche n’y puisse sonner, il suffit de diminuer suffisamment la résistance des parois, pour que l’anche sonne très-bien et dans tous les tons.
- Pour cette expérience.
- 748. Une anche libre et ses cornets............................ 20 »
- 749. — battante............................................ 15 »
- Quand ces anches sonnent, si l’on appuie le doigt sur la peau elles cessent de parler.
- 750. Sirène fronde de M. Gagniard à tuyau cylindrique. ... 15 »
- 751. — — — prismatique ... 15 »
- VIBRATIONS DES COLONNES D’AIR PAR INFLUENCE.
- Si l’on fait sonner un timbre, line plaque, ou tout autre corps offrant une certaine surface, et qu’on présente à un ventre de vibrations l’orifice d’un tuyau ouvert par les deux bouts ou fermé par l’un d’eux, ce tuyau sonne avec énergie, si par ses dimensions il est à l’unisson du corps en vibration.
- Pour cette démonstration.
- 752. Grand appareil de timbre de Savart, monté sur un sup-
- port à trois pieds èt portant deux équipages de tuyaux en papier roulé" imitant le bronze.................
- 753. Appareil en tout semblable au précédent, mais dont le
- timbre n’a que 22 centim. de diamètre..............
- 400
- 150
- »
- ))
- 754. Le même, construit pour être mis sur une table (fig. 27). 90
- 755. — dont le timbre n’a que 16 centim................... 60
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- 48 —
- 756. Appareil monté comme celui du n° 754, mais dont le timbre est remplacé par une plaque de laiton de 35 cent, de diamètre.............................................. 70 »
- VIBRATIONS DANS LE VIDE.
- 757. Un ballon renfermant une grosse clochette qu’on n’en-
- tend point quand elle vibre dans le vide............. 20 »>
- 758. Timbre à rouages pour la même expérience............... 45 »
- MEMBRANES.
- Lorsqu’une masse d’air renfermée dans un espace limité est mise en vibration par un son quelconque, il s’y produit, comme dans les tuyaux d’orgue, des ventres et des nœuds qu’on peut rendre visibles en arrosant de sable des membranes de papier et en les promenant dans l’espace. Pour que cette expérience réussisse bien, il faut que le son fondamental de la membrane soit plus grave que celui qui ébranlé l’air.
- Pour cette démonstration.
- 759. Une membrane, circulaire, en papier, de 30cent.de diam. 6 »
- 760. — carrée de 30 centim. de côté............ 5 »
- 761. — — en papier végétal de 10 à 15 cent. 1 »
- 762. — circulaire.............................. 1 »
- 763. — triangulaire............................ 1 »
- PLAQUES VIBRANTES.
- Dans les plaques semblables, les nombres de vibrations sont en raison inverse des dimensions homologues, et, dans les plaques de même forme, les nombres de vibrations sont en raison directe des épaisseurs et en raison inverse des surfaces.
- Pour ccs démonstrations.
- 764. Appareil pour les lois de vibrations de plaques
- vibrantes, se composant d’un banc surmonté de six plaques de laiton : trois rondes et trois carrées.... 70 »
- Dans les trois plaques de même figure, deux sont semblables, deux dont les épaisseurs sont : : 1 : 2, et deux dont les surfaces sont :: 1 : 4.
- 765. Appareil portant trois plaques seulement, rondes ou
- carrées, pour les mêmes démonstrations............... 40 »
- 766. Le même, portant un équipage de tuyaux en papier roulé
- imitant le bronze pour les expériences de vibration par influence............................................ 55 »
- PLAQUES POUR FIGURES ET AUTRES EXPÉRIENCES.
- 767. Plaque circulaire en laiton de 35 centim. de diamètre . . 15 «
- Nota.—Ces plaques circulaires sont toutes propres aux expériences sur la rotation du lycopode.
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- 768. Plaque carrée en laiton de 35 centim. de côté........... 15 »
- 769. — triangulaire de 35 centim. de côté................. 20 »
- 770. Un support pour plaque.................................. 10 »
- Lorsque, dans une plaque circulaire, l’élasticité varie de manière à donneir des axes différents, si on attaque cette plaque avec l’archet à l’extrémité de deux de ces axes ou entre deux axes, le son fondamental qu’elle rendra différera pour chaque cas, ainsi que la figure que le sable dessinera.
- Pour cette démons tration.
- 771. Une plaque circulaire en bois, montée sur un manche. . 3 »
- 772. Appareil pour démontrer que la rotation dulycopode sur
- les plaques circulaires n’est due qu’à la translation des lignes nodales autour du cercle............................ 70 »
- Cet appareil est décrit au n° 756.
- Pour faire l’expérience dont il s’agit, on amène les tuyaux à la longueur correspondant à la note qu’on veut faire sonner ; on arrose la plaque de lycopode, on la fait vibrer, et quand le son est bien soutenu, et que le lycopode tourne avec vitesse, on amène le tuyau sur la plaque. Alors, chaque ventre de vibration qui passe sous le tuyau le fait sonner, ce qui occasionne des intermittences dans le son, qui, d’abord, sont très-rapides, mais qui se ralentissent promptement si l’on cesse d’attaquer la plaque avec l’archet ; cependant il arrive souvent que longtemps après que le lycopode est en repos, on entend encore passer les ondes.
- VIBRATIONS TRANSVERSALES DES LAMES ET DES VERGES.
- Dans les vibrations transversales simples, les nombres des vibrations sont en raison inverse du carré des longueurs et en raison directe des épaisseurs, quelle que soit la largeur.
- Pour cette démonstration.
- 773. Quatre lames en acier dont deux de même longueur, même épaisseur et largeur différente : une troisième même longueur et épaisseur double, et la quatrième même épaisseur que la première, mais_dont la longueur
- est à celle des trois autres 1 y X................... 30 »
- 774. Quatre lames en laiton.................................... 15 »
- 775. — en sapin ......................................... 4 »
- 776. Deux verges piales en laiton, l’une de 1 mètre, l’autre de
- 50 centim., pour la loi des harmoniques dans les vibrations transversales.................................... 12 »
- Ces verges peuvent également servir pour démontrer les lois des longueurs dans les vibrations longitudinales.
- 777. Six lames de même dimension, cinq en bois de différente espèce et différente densité, et une en laiton pour montrer l’influence de la densité, ainsi que les'modifications que peut y apporter 1a contexture organique, et
- enfin comparer la sonorité............................... 12 , »
- 778. Instrument des sauvages, dit cia,que-bois.................. 8 »
- Cet instrument, que les sauvages font en bois dur et sur lequel ils frappent avec une baguette de bois également dur, est construit en sapin et on le frappe avec un morceau de bois recouvert de peau, afin de faire mieux sentir qu’indépendamment du bruit occasionné par le choc, le bois est susceptible de rendre des sons très-purs, même fort agréables. Cet instrument est composé de huit lames de sapin formant une octave diatonique et est monté de manière à pouvoir être joué commodément.
- 779. Le même, plus grand. . .................................. 15 »
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- DIAPASONS.
- 780. Diapason normal en acier fondu sonnant yt-3, 512 vibra-
- tions simples par seconde, à la température de -|- 15°. 20 »
- Ce diapason, depuis longtemps adopté dans tous les cabinets de physique où il est connu, réunit plusieurs avantages: d’abord celui de sonner l’ut, puisque c’est à cette première note de la gamme que les physiciens rapportent tous les sons, et ensuite d’établir une mesure uniforme reposant sur une base simple et en môme temps commode pour le calcul.
- On a supposé comme Chladni qu’une onde sonore qui exécute une vibration simple par seconde est un ut, d’où il suit que toutes les puissances de 2 sont des ut. La septième puissance de 2, c’est-à-dire 128, est le nombre dp vibrations qu’exécute à peu près le son le plus grave de la basse : c’est ce son que Chladni a nommé utt (ut premier) ; ensuite il a désigné par wt-2, etc., les octaves successives en nrontant. Ainsi donc, l’ut-3 choisi pour ce diapason exécute 512 vibrations simples par seconde, à la température de -j- 15° qui est la température moyenne de Paris, et comme la dilatation de l’acier fondu est très-petite, il faudrait que la température s'élevât à 45° pour que le diapason exécutât une vibration de moins par seconde.
- C’est avec un archet de contre-basse qu’il faut faire vibrer le diapason pour en obtenir un son sensiblement exempt d’harmoniques.
- 781. Le même, monté sur une caisse, exécutant comme lui
- 5i 2 vibrations par seconde........................... 25 »
- Le diapason ainsi monté a beaucoup plus de son qu’un bon tuyau d’orgue., et en outre il a l’avantage de se faire entendre plus longtemps et d’avoir toujours le même timbre ; tandis qu’en appuyant simplement son pied sur des corps de sonorités différentes, comme cela se fait ordinairement, l’intensité du son varie à tel point que souvent l’on est porté à croire que le son du diapason varie avec les circonstances dans lesquelles il se trouve, bien qu’il n’en soit rien. C’est pour dissiper cette illusion que cet instrument est placé sur une caisse exécutant le même nombre de vibrations que lui.
- Le diapason ainsi monté sonne avec une telle facilité que deux de ces instruments parfaitement à l’unisson ainsi que leurs caisses se font sonner mutuellement à plus de 75 mètres de distance en plein air (fig. ut).
- 782. Huit morceaux de bois, faisant entendre la gamme
- quand on les jette successivement parterre. ..........
- 783. Quatre morceaux de bois donnant l’accord parfait . . .
- 784. — diapasons montés, — ....
- 785. Diapason en alliage de tam-tam, à l’unisson du précé-
- dent et monté de même.................................
- 786. Diapason, même alliage et monté de même, mais sonnant
- l’octave grave, c’est-à-dire ut-t. ......... 7’. .'
- Quoique ce diapason pèse plus de 3 kil. sans sa caisse, on l’ébranle néanmoins très-facilement avec un archet, et il fait entendre un beau son qui rappelle celui d’une cloche.
- 787. Diapason , même alliage, sonnant ut-,, ou huit pieds
- ouverts........... . . ..................... 400 »
- Le diapason, qui pèse 22 kil. sans sa caisse, donne le son le plus beau et le plus plein qu’il soit possible d’entendre.
- 2 » 61 »
- 18 »
- 75 »
- DIAPASONS EN LA.
- Il est extrêmement difficile de se procurer les diapasons en usage dans les principaux orchestres et d’en garantir l’exactitude, car nulle part on n’a de diapason invariable. Quoi qu’il en soit, voici ceux que nous possédons jusqu'à présent.
- 788. Diapason de Milan.................................... 4 »
- 789. — de Tarin,................................... 4 »
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- 51
- 790. Diapason de Berlin....................................... 4 «
- 791. — de Florence. . . '.............................. 4 »
- 792. — du Conservatoire de Vienne...................... 4 »
- 793. — sonnant la, 853 vibrations % suivant le diapason
- en ut (n° 780').......................................... 4 »
- VIBRATIONS TRANSVERSALES DES CORDES.
- Dans les cordes qui vibrent transversalement, les nombres de vibrations sont:
- En raison directe des racines carrées des poids tendants ;
- En raison inverse des racines carrées des densités;
- En raison inverse des diamètres et en raison inverse des longueurs.
- De cette dernière loi il résulte que, connaissant le nombre de vibrations qu’exécute une corde donnée, cette corde peut servir à déterminer le nombre des vibrations d’un son quelconque, si elle est tendue sur un instrument convenable, puisqu’on peut en déduire aisément le nombre de vibrations que doit exécuter une partie quelconque de cette corde.
- Pour ces diverses démonstrations.
- 794. Sonomètre différentiel, avec assortiments de poids......... 100 »
- Cet appareil porte trois règles divisées. La première donne la gamme chromatique tempérée, la seconde donne la gamme chromatique vraie, plus les divisions harmoniques de la corde,et la troisième est un mètre divisé en millimètres dans toute sa longueur. Avec cet appareil et le diapason n° 780, on peut prendre le nombre de vibrations d’un son quelconqùe en moins d’une minute. (Voir le tableau qui accompagne l’appareil).
- Pour vérifier la loi des tensions avec cet instrument, on tend une corde avec la somme des poids; puis, à l’aide des chevilles que porte l’instrument, on tend une seconde corde qu’on amène à l’unisson de la première, on réduit le poids tendant des trois quarts, et l’on compare le son à celui de la corde fixe.
- Pour la vérification de la loi des diamètres, on compare alternativement le son des cordes dont le diamètre est connu à celui de la corde fixe, que l’on amène à l’unisson de l’une d’elles. On procède encore de même pour la loi des densités; mais pour celle des longueurs, ainsi que pour les autres expériences, on ne se sert que de la corde fixe, à laquelle on donne alors le degré de tension convenable pour qu’elle sonne le mieux possible.
- 795. Deux cordes de sonomètre, en laiton, dont les diamètres
- sont :: 1 : 2.................................................... 50
- 796. Deux cordes de sonomètre, de même diamètre, l’une en
- fer et l’autre en platine............................... 7 »
- 797. Une bobine de cordes pour être tendues par les che-
- villes..................................................... 1 50
- Lorqu’on touche du doigt une des divisions harmoniques d’une corde et qu’on attaque la corde avec l’archet, elle se divise en parties égales par des nœuds que l’œil distingue aisément, même à distance, dans l’appareil suivant.
- 798. Grand monocorde à table noire, de M. Savart................ 18 »
- Cet appareil se plie en deux pour en faciliter le placement et le transport.
- VIBRATIONS LONGITUDINALES DES CORDES.
- Dans les cordes de même matière qui vibrent longitudinalement, les nombres des vibrations sont en raison inverse des longueurs, quels que soient le diamètre et la tension. Cependant on remarque qu’en prenant la moitié de la corde avec le chevalet, on a toujours moins'que l’octave de la corde entière, et cela tient évidemment à ce que la corde vibre également entre deux points inébranlables, quoique moitié plus courts, puisque l’harmonique sonne l’octave.
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- — 52 —
- Pour cette démonstration.
- 799. Appareil pour les lois de vibrations longitudinales des *
- cordes métalliques et diverses expériences............... 150 »
- Cet appareil, gui est en acajou, fait pendant au sonomètre différentiel. Ses extrémités sont garnies de beaux étaux en bronze faisant l’office de chevalets fixes et conçus de manière à s’opposer à la transmission des vibrations au delà des extrémités de la corde ; aussi, les cordes tendues sur cet appareil vibrent avec une telle facilité, qu’on en tire un son très-pur en les frottant légèrement vers le milieu avec l’extrémité d’un archet.
- Comme dans le sonomètre différentiel, un mètre divisé en millimètres sépare les deux chevalets, et les cordes sont tendues à volonté, soit par des poids, soit par des chevilles. Une pince mobile en plomb et une règle divisée permettent de faire la gamme, soit longitudinale, soit transversale.
- 800. Le même, mais dont la longueur entre les étaux est d’un
- mètre et demi au lieu d’un mètre......................... 150 »
- Comme il a fallu donner à cet appareil des dimensions considérables et beaucoup de masse aux extrémités, à cause de la longueur de la corde, au lieu d’être en acajou, il est plaqué en chêne d’un centimètre d’épaisseur, et les étaux sont en fonte de fer peinte en bronze.
- VIBRATIONS LONGITUDINALES DES VERGES.
- Dans les verges de même matière les nombres de vibrations sont en raison inverse des longueurs, quels que soient le diamètre et la forme.
- Pour cette démonstration.
- 801. Quatre yerges en acier : deux cylindres de 1 mètre de long et de diamètres différents, une plate de même lon-
- gueur, et une cylindrique moitié plus courte........ 40 »
- 802. Quatre verges en sapin............................... 6 »
- Bien que cette loi soit considérée comme générale, elle doit cependant avoir ses limites, ainsi que plusieurs lois de l’acoustique. Ainsi, un tube creux de laiton et une verge de même diamètre ne sonnent pas de la même manière. La vitesse du son est toujours plus grande dans un tube que dans une verge quand l’alliage est sensiblement le même; ainsi, par exemple, pour une longueur dua mètre, le tube sonne environ un demi-ton plus aigiuque la verge. Cependant, si l’épaisseur des parois du tube est le tiers de son diamètre intérieur, il sonne à peu près comme s’il était plein.
- Pour cette démonstration.
- 803. Une verge et un tube de laiton, de 1 mètre de longueur
- et de même diamètre.............................. 15
- 804. Verges de 1 mètre de longueur, en bois de différentes espèces, pour comparer la vitesse de propagation du
- son ; chaque verge............................. 1 50
- 805. Instrument de musique fondé sur les vibrations longitudinales............................................. 60 »
- Le pied de cet instrument se compose d’un socle, sur lequel s’élève un madrier de sapin de 0m,78 de haut, 50 de large et 7 d’épaisseur. Sur ce pied sont implantées vingt verges de sapin, dont la plus longue a lm,60 environ. En partant de celle-ci, la succession des verges blanches forme la gamme diatonique ; les demi-tons qui complètent cette gamme et la rendent chromatique sont représentés par des Verges rouges.
- Cet instrument, qui se joue en frottant les baguettes avec les doigts, qu’on a préalablement trempés dans la résine en poudre, rend des sons très-flûtés, pouvant être renflés et diminués à volonté, ce qui donnerait à l’instrument beaucoup d’expression entre les mains de quelqu’un qui saurait en tirer parti.
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- COMMUNICATION DES VIBRATIONS.
- Lorsqu’on imprime un mouvement vibratoire à une partie quelconque d’un système de verges, à l’instant ce mouvement se transmet à tout le système parallèlement à l’axe de l’ébranlement. (Loi de Savart.)
- Pour cette démonstration.
- 806. Un appareil de Savart se composant de cinq verges de
- laiton parallèles entre elles, réunies par un axe vertical monté sur un support................................ 45 #
- Pour démonstrations analogues.
- 807. Un petit appareil de Savart, composé d’une lame de bois
- fixée par une de ses extrémités à une forte règle,d’autre est attachée à une corde de violon destiné à lui transmettre les vibrations............................... 6 »
- 808. Appareil de Savart, composé d’une plaque circulaire en
- bois, traversée à son centre par une corde de violon qui, vibrant transversalement, communique à la plaque un mouvement de vibrations tangentielles. Le tout est
- fixé à un support........................................... G »
- 809. Diapason monté sur sa caisse (voy. n° 780 et suivants).
- 810. Une verge de sapin munie d’une virole pour fixer les
- plaques..................................................... 3 »
- La verge de sapin, vibrant longitudinalement, communique à la plaque un mouvement vibratoire transversal.
- 811. Appareil pour la transmission des vibrations à travers les
- liquides.................................................... 10 »
- Cet appareil se compose d’une caisse en bois sonnant ut-3, sur laquelle est fixée une capsule en palissandre; plus un verre de cristal et un pied de diapason. On verse du mercure dans la capsule, on visse le diapason ut-3 sur son pied, et après J’y avoir mis en vibration, on appuie son pied sur le mercure et l’on entend la caisse sonner comme si le diapason y était fixé. »
- Pour répéter cette expérience sur d’autres liquides, on introduit ceux-ci dans le verre, et l’on pose le verre dans la capsule sur une petite couche de mercure pour établir le contact.
- Lorsqu’un bruit est produit par une succession de chocs, soit contre l’air, soit contre un corps dur comme dans les anches, la barre, les roues dentées de Savart et la crécelle, il faut distinguer deux sons: le son A qui résulte de la succession de chocs, et qui varie avec la vitesse de succession, et le son B produit par le choc qui est entièrement indépendant de la vitesse, mais qui varie avec l’appareil. Ainsi quand le son B a peu d’intensité comme dans les roues dentées, certaines crécelles et les anches, jusqu’à un certain point, c’est le son A qu’on entend monter quand la vitessse augmente. Au contraire, quand le son B est assez puissant pour étouffer le son A, comme dans la barre et la crécelle, le son paraît constant, quelle que soit la vitesse,
- 1. *11 1*1 i 1 \ f 1 • /"» 1 » *1
- mais alors il change subitement dès qu’on modifie l’appareil.
- Poui* cette démonstration.
- 812. Une crécelle fermée portant une soupape. .................. 7 »
- Quelle que soit la vitesse qu’on imprime à la crécelle, le son reste le même., mais il monte subitement d’une quinte environ quand on ouvre la soupape.
- 813. Crécelle dans laquelle on entend le son monter quand on
- la fait tourner avec une vitesse croissante............. 7 »
- 814. Appareil de roues dentées de Savart, avec barre et comp-
- • teur................................................... 700 »
- Cet appareil vient de recevoir deux modifications qui en augmentent beaucoup la
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- valeur, bien que le prix en soit resté le même. D’abord la courroie est supprimée, ce qui permet de réduire la longueur du banc h. I mètre 1/2 et d’augmenter la longueur de la barre, attendu que l’on obtient plus de vitesse avec un effort moindre. Ensuite on peut faire passer à volonté la barre entre deux rainures distantes de 90°, ce qui en double la vitesse, conséquemment la puissance, sans toutefois en changer le son.
- MESURE DES VIBRATIONS.
- 815. Sirène de M. Cagniard, avec compteur..................... 80 «
- 816. Sonomètre différentiel (voy. n° 794).
- 817. Vibroscope............................................... 90 »
- Cet appareil, dont la première idée appartient à M. Duhamel, se compose d’un cylindre en cristal d’aspect blanc, tournant en hélice et pouvant recevoir toute espèce d’inclinaisons. Pour s’en servir on noircit le cylindre à la fumée de résine et on le met en contact avec un petit crochet en laiton fixé au corps vibrant, de manière que le mouvement du crochet soit parallèle è l’axe du cylindre.
- 818. Compte-secondes à pointage..................... 125 »
- 819. Chronomètre pointeur de M. Bréguet............. 300 »
- 320. Appareils de roues dentées de Savart (voy. n° 814). . . , 700 «
- APPAREILS DIVERS.
- Il n’est pas nécessaire que les vibrations partent d’un même centre pour concourir à la production d’un même son : la distance des centres est sans doute limitée, mais dans l’appareil suivant cette distance est de 12 centimètres, et cependant le son n’en parait nullement altéré.
- 821. Cet appareil, dont une toupie d’Allemagne tournant sur un axe fixe peut donner une idée, se compose d’un cylindre creux percé d’un trou, tournant entre deux colonnes creuses, percées chacune d’un trou correspondant à celui du cylindre. L’appareil étant placé sur le sommier d’une soufflerie, on peut à volonté faire arriver le vent dans chacune des colonnes séparément ou dans les deux à la fois. Si alors on imprime une grande vitesse de rotation au cylindre par le moyen d’une ficelle enroulée sur son axe, et si en même temps on fait arriver le vent dans l’une des colonnes, à chaque tour que fera le cylindre, le vent que soufflera la colonne dans le trou du cylindre excitera des vibrations dont la succession produira un son qui dépendra de la vitesse de rotation du cylindre. En ouvrant maintenant la soupape qui fournit le vent dans la colonne opposée, il est clair que les centres de vibrations seront aux deux extrémités d’un diamètre du cylindre, et cependant on entendra l’octave chaque fois qu’on ouvrira la seconde colonne.
- —On pourrait croire ici que le phénomène se complique dans cet appareil, à cause du son que doit rendre le cylindre ou toupie par son propre mouvement ; maison remarquera que le son de cette toupie est trop grave pour pouvoir se produire à une grande vitesse, aussi ne f entend-on que lorsque le mouvement est considérablement ralenti......................................... 30 »
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- 822. Timbres non tournés, cfe 10 ou 12 centim. de diamètre,
- munis d’un manche, de 6 fr. à....................... 20 »
- 823. Cloche elliptique munie d’un manche....................... 10 »
- L’usage principal de ces timbres et de ces cloches est de transmettre par l’air leurs vibrations aux membranes.
- L’intensité du son de ces cloches est telle, que souvent il suffit de trois coups d’archet pour produire une figure sur une membrane placée à plusieurs mètres ue distance.
- 824. Caléidophone de M. Wheatstone............................ 10 »
- 825. Fronde musicale de M. Gagniard........................... -3 »
- 826- Appareil de M. Travaillant................................ 12 »
- 827. Vase elliptique en bois, pour montrer la réflexion des
- ondes sur le mercure..................................... 5 »
- 828. Archet de contre-basse...................................... 7 »
- 829. — de basse, garni........................................ 7 «
- 830. — — commun....................................... 2 50
- 831. Deux poudrières, sable et lycopode....................... 4 »
- 832. Appareil pour démontrer les lois de vibrations transver-
- sales des lames élastiques (Lissajous)............. 80 »
- Cet appareil permet aussi de vérifier les formules trouvées par M. Lissajous et reproduites dans la Physique de M. Pouillet, tome II, page 80, 6“ édition.
- 833. Disque découpé pour démontrer l'interférence des ondes
- sonores produites par les vibrations d’une plaqué circulaire avec virole, se montant sur le support à plaque,
- de 8 fr. à. . . . ;.................................... 13 »
- Chaque disque séparé, de 5 fr. à......................... 10 »
- 834. Appareil pour démontrer l’inégale élasticité des bois
- taillés dahs divers sens, et constater en même temps la relation qui existe entre les sons et les élasticités. 50
- 835. Membrane à tension variable.............................. 10 »
- 836. Appareil pour mesurer les élasticités par le tracé, des
- vibrations, d’après M. Wertheim. . •.................. 500 »
- 837. Appareil pour démontrer le rapport numérique des sons
- dans l’accord parfait à l’aide de quatre diapasons traçant simultanément leurs vibrations................... 75 »
- 838. Grand appareil pour l’étude optique des mouvements
- vibratoires par M. Lissajous.......................... 360 »
- 839. Tableau peint représentant la série des figures optiques
- correspondant aux intervalles musicaux les plus simples.......................'....................... 50 »
- 840. Appareil pour démontrer la composition de deux mouve-
- ments vibratoires rectangulaires dé même période. . . 100 »
- 841. Comparateur optique des mouvements vibratoires. ... 80 »
- Cet instrument d’un usage pratique peut servir à étalonner les diapasons avec la plus grande précision.
- 842. Registre pouvant s’adapter sur la soufflerie et destiné à
- régler l’introduction du vent dans la sirène............. » «
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- 843. Appareil pour démontrer la composition des ondes
- sonores.............................. .1............. 500
- 844. Sirène électro-magnéligne de M. Bourbouze, marchant
- sans le secours d’une soufflerie.. . . ,................ »
- 845. Instruction sur les appareils nouveaux de M. Lissajous. . »
- CALORIQUE
- APPAREILS POUR LES EXPÉRIENCES SUR LE CALORIQUE.
- 846. Deux grands miroirs paraboliques concaves en cuivre poli de 50 centim. de diamètre, montés sur des guéridons en bois verni, avec pince en cuivre et auge en fil de fer, pour la réflexion des rayons calorifiques (fig. 28). 150
- fig. 28.
- 847. Deux miroirs semblables, mais de 40 centim. de diamètre. 130
- 848. Un miroir concave épais, de 32 centim. de diamètre, en
- cuivre poli, pour les expériences de Leslie, ledit miroir monté sur un pied en bois...................... 50
- 849. Cube d’environ 108 millim. de côté, ayant quatre faces de
- différents métaux polis, monté sur mi pied, pour les expériences de Leslie sur le calorique. ....... 30
- 850. Cube semblable au précédent, mais avec faces peintes. . . 15
- 851. Deux cylindres en fer-blanc ayant un fond en fer-blanc et
- montés sur un pied en bois pour le thermoscope. ... 20
- 852. Thermomètre différentiel de Leslie................... 12
- 853. Thermoscope de Rumford............................... 12
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- — 57 —
- 854. Appareil d’Ingenhousz pour- la conductibilité calorifique
- des solides........................................... 25 »
- 855. Appareil d’Ingenhousz pour démontrer la non-conducti-
- bilité des liquides pour le calorique................. 10 »
- 856. Grand appareil de M. Desprets pour la conductibilité des
- solides, avec barre ^n métal et thermomètres, socle en noyer verni........................................... 200 »
- APPAREILS THERMO-ÉLECTRIQUES.
- 857. Appareil thermo-électrique de Melloni pour étudier les propriétés calorifiques des corps, avec nombreuse collection de cristaux....................................... 700 »
- 858*. Rhéomètre à gros fil, rinstrument monté en cuivre. . . 120 »
- 859. Pile Melloni, sur pied, en cuivre.................... 90 . »
- 860. Pince thermo-électrique 'de Péclet..................... 30 »
- APPAREILS POUR LA DILATATION DES SOLIDES.
- 861. Pyromètre formé de deux règles en cuivre d’environ 541
- millimèt. de longueur, ajustées dans deux talons placés
- sur une planchette................................. 40 »
- 862. Pyromètre à arc de cercle, avec tige de différents métaux,
- tube , servant à mettre l’alcool, support en bois verni. . 50 »
- 863. Pyromètre à cadran vertical, à engrenage pour la dilata-
- tion composée de différents métaux, garni de plusieurs verges de même largeur et de même diamètre, dont une en argent, une en zinc, une en cuivre, une en laiton, une en acier et une en fer. Ledit instrument renfermé dans une cage de verre.............................. 240 »
- 864. Pyromètre ou anneau de S’Gravesande avec anneau et
- boule. ................................................... 20 »
- 865. Pyromètre ou thermomètre de Wegwood servant à me-
- surer les hautes températures.par le retrait de l’argile. 30 »
- 866. Cylindres d’argile pour le pyromètre Wegwood, la dou-
- zaine............................................ 5 »
- 867. Appareil de M. Dulongpour préciser la dilatation absolue
- du mercure..................................... 280 »
- APPAREILS POUR LA DILATATION DES LIQUIDES ET GAZ.
- 868. Appareil pour la dilatation absolue des liquides...... 40 »
- 869. Appareil de M. Gay-Lussac pour la dilatation des gaz. . . 80 »
- 870. Appareil de M. Régnault pour mesurer la dilatation des
- gaz par la variation de pression, entre les températures
- 0° et 100°.......................................... 160 »
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- 871. Appareil cle M. Régnault, comme le précédent, mais pour
- les hautes températures au-dessus de 100°........ 250
- 872. Pompe pour faire le vide dans l’appareil précédent. ... 65
- 873. Appareil pour le maximum de densité de l’eau avec deux
- thermomètres sur ivoire............................ 20
- 874. Thermomètre à air de M. Régnault.. . P..............200
- 875. — métallique de B réguet.................. 80
- 876. — métallique, boîte en. argent........... 100
- 877. Appareil manométrique de M. Régnault.............. 95
- 878. Thermomètre de contact, de Fourrier. ............. 40
- , APPAREILS POUR LA CALORIMÉTRIE.
- 879. Calorimètre de Lavoisier en fer-blanc'verni, monté sur un
- trépied en fer......................................55
- 880. Calorimètre semblable en cuivre, avec trépied bronzé. . 80
- 881. Calorimètre de Rumford, en cuivre rouge, monté sur une tablette élevée pour placer dessous une bougie ou toute autre flamme, plus une petite lampe en cuivre pour brûler l’éther, un support en bois et un long ther-
- momètre à mercure sur métal........................... 120
- 882. Calorimètre semblable plus petit et plus simple............. 60
- 883. Appareil de M. Dulong pour le calorique latent de la va-
- peur d’eau. ............................................. 150
- 884. Appareil de M. Dulong pour le calorique spécifique des
- solides............................................... 100
- 885. Appareil de M. Dulong pour les lois du refroidissement. . 160
- 886. Appareil de Laroche et Bérard pour la chaleur spécifique
- des gaz.................................................. 150
- 887. Appareil de M. Régnault pour le calorique spécifique par
- le refroidissement........................................ 70
- 888. Trois doubles vases du même auteur, pour les chaleurs
- spécifiques............................................... 30
- APPAREILS POUR LES GAZ ET VAPEURS.
- 889. Appareil pour la composition de l’eau par la combustion
- des gaz hydrogène et oxygène ; cet appareil consiste en un ballon de cristal, monté sur une tablette à trois colonnes ; il est garni des robinets et tuyaux nécessaires pour y faire le vide et introduire les gaz, et de deux réservoirs en baudruche à robinet.................. 150
- 890. Appareil de Lavoisier pour la décomposition de Féau,
- composé d’un tube en fer, d’une cornue en verre tubu-lée et d’un siphon en cuivre ajusté audit tube...
- 25
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- 891. Appareil de M. Gay-Lussac et Thénard pour le mélange
- des gaz et vapeurs avec robinets en fer............ 90
- 892. Baromètre à longue cuvette pour la tension des vapeurs
- dans le vide....................................... 25
- 893. Baromètre à large cuvette pour mesurer la tension des
- vapeurs aux températures ordinaires ; cet appareil est muni de plusieurs tubes......................... 40
- 894. Appareil pour mesurer les tensions des vapeurs d’eau,
- entre 0° et 100°, avec grande éprouvette et cuvette en fer. . . ................................................... 60
- 895. Appareil de M. Dumas pour la densité des vapeurs. ... 30
- 896. Appareil de M. Régnault pour mesurer la densité des va-
- peurs, avec thermomètre à air......................225
- 897. Appareil de M. Pouillet pour les vapeurs à l’état de non-
- saturation et de saturation..................... 80
- 898. Lampe à éolipyle en cuivre servant à souffler le verre, etc. 15
- 899. Éolipyle monté sur un petit chariot pour le recul des armes
- à feu........................................... 40
- 900. Appareil de M. Boutigny pour expériences sur l’état sphé-
- roïdal des corps............................... 120
- 901. Le même avec capsule, cucurbite, etc., en platine et argent. 1200
- 902. Bouillant de Franklin............................. 2
- 903. Bat-pouls de Franklin............................. 2
- 904. Marmite ou digesteur de Papin, portant à la partie supé-
- rieure une soupape de sûreté, d’un 1/2 litre de capacité. 120
- 905. Marmite semblable d’un litre..................... 140
- 906. — — d’un litre et demi............'........ 190
- APPAREILS POUR EUDIOMÈTRIE.
- 907. Eudiomètre simple........................................ 9
- 908. — simple de Volta et sa mesure à coulisse. . . . 50
- 909. Eudiomètre composé de Yolta, avec deux robinets, l’ap-
- pareil surmonté d’un tube gradué divisé en 200 parties, avec mesure à coulisse.................................. 80
- 910. Eudiomètre de M. Régnault suivant son Traité de Chimie
- et monté sur un trépied en fer................. 350
- 911. Eudiomètre Gay-Lussac garni en fer....................... 35
- 912. Eudiomètre de M. Doyôre pour analyses sur l’air atmo-
- sphérique............................................ 350
- 913. Ballon de M. Dumas pour recueillir l’air atmosphérique. 40
- 914. Eudiomètre à combustion, garni en cuivre.................. 9
- 915. — semblable, garni en fer............. IG
- 916. Eudiomètre à soupape, garni en fer............ 18
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- — 60 —
- 917. Eudiomètre semblable garni en platine............ 70
- 918. — à tube courbé.............................. 6
- APPAREILS POUR LES FEUX DE GAZ ET APPAREILS DIVERS. 919. Petite pompe en cuivre de M. Gay-Lussac, servant à faire
- le vide, pour analyses.............................. 30
- 920. 'Appareil de M. Gay-Lussac pour dégager l'hydrogène,
- servant à remplacer les vessies et pistolets de Yolta.. . 30
- 921. Appareil composé d’une cornue s’ouvrant en deux parties,
- pour l’acide fluorhydrique......................... 35
- 922. Cornue en cuivre rouge, s’ouvrant à vis, et récipient en fer-blanc pour extraire le gaz hydrogène par la distillation des différentes substances combustibles, telles que le charbon de terre ou de bois, l’huile, la tourbe; ces gaz donnent des flammes de différentes couleurs et on en forme des feux très-agréables avec les appareils des-
- tinés à cet usage..................................... 35
- 923. Appareil pour brûler l’air atmosphérique avec le gaz
- éthéré formant étoile et bouquet, ajusté sur une vessie. 20
- 924. Grand appareil de feu d’artifice à gaz, composé de onze
- pièces, le tout monté sur un châssis, formant une façade d’artifice que l'on fait jouer facilement au moyen de réservoirs de gaz, avec tubes de conduite et robinets. . ; 600
- 925. Tuyau courbé à trois pas de vis, pour adapter deux vessies
- au même appareil.......................................... 6
- 926. Pièce dite intermédiaire pour joindre ensemble deux ves-
- sies et mélanger les gaz................................. 2
- 927. Siphon en fer-blanc, s’ajustant à un tonneau pour remplir
- les ballons............................................... 8
- 928. Soleil tournant simple..................................... 10
- 929. Grand soleil tournant à lame d’acier, donnant une flamme
- rouge.................................................. 12
- 930. Soleil double.............................................. 15
- 931. — triple, dit saxon.................................... 20
- 932. Pièce en cercle, soleil au centre.......................... 36
- 933. — forme triangulaire.................................... 36
- 934. — formant la croix de Malte............................. 25
- 935. — à branche droite, formant des fleurs................. 45
- 936. — aux quatre soleils.................................... 36
- 937. — à semaille, faisant gerbe............................. 15
- 938. Gazomètres (Voir le Catalogue Chimie).
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-
- OPTIQUE EXPÉRIMENTALE
- LENTILLES A ÉCHELONS.
- 939. Lentille à échelons, de Fresnel, pour expériences, montée
- sur pied à colonne, avec arc de cercle en cuivre, foyer mobile ; la lentille de 50 centim..............600
- 940. Lentille semblable, de 35 centim. de diamètre......... 500
- 941. Lentille annulaire servant à projeter la lumière électrique ;
- ladite lentille de 1 mètre de hauteur, 75 centim. de large et 92 centim. de distance focale..............1800
- 942. Sphéromètre pour déterminer la courbure des bassins et
- des verres.......................................... 100
- APPAREILS POUR DÉMONTRER LES LOIS DE LA RÉFRACTION ET DE LA RÉFLEXION.
- 943. Prisme en flint-glass sur pied en cuivre, avec tous mou-
- vements, verre très-pur............................. 70
- 944. Prisme en crown-glass, monté comme le précédent. ... 70
- 945. Prisme en flint-glass avec une lentille achromatique et
- un écran à ouverture linéaire pour les raies du spectre. 90
- 946. Prisme en cristal de roche, monté sur pied en cuivre. . . 100
- 947. — en spath d’Islande, — ... 120
- 948. Prismes en crown non montés, suivant la pureté et la
- grosseur................................... de 10 à 100
- 949. Prismes en flint non montés, suivant la pureté et la gros-
- seur....................................... de 10 à 100
- 950. Lentille prisme cylindrique............................. 30
- 951. Cône en flint, monté sur un pied en cuivre, pour produire
- le spectre circulaire............................... 50
- 952. Pyramide en flint donnant quatre spectres............... 50
- 953. Polyprisme ou prisme composé de 6 lames de verre pour
- démontrer leurs différentes forces réfringentes..... 60
- 954. Polyprisme à 10 lames, avec crémaillère............... 90
- 955. Appareil à 7 miroirs plans parallèles, pour la réunion des
- sept couleurs prismatiques........................... 90
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- 956. Diasporamètre de Rochon pour déterminer la dispersion
- d’un prisme de matière quelconque................ 120
- 957. Prisme achromatique à deux verres, pour la théorie de
- l’achromatisme, monté sur pied en cuivre (fig. 29). . . 40
- fig. 29.
- fig. 30.
- 958. Trois prismes pour la même expérience................. 60
- 959. Prisme creux à compartiments pour la réfraction à tra-
- vers différents liquides......................*. . . . 35
- 960. Prisme solide de M. Biot pour la réfraction des acides avec
- glaces parallèles...................................... 60
- 961. Prisme semblable à deux compartiments.................. 75
- 962. — — à trois compartiments.................. 90
- 963. — à angle variable, monture en cuivre............. 130
- 964. — de Borda pour la réfraction des gaz............ 130
- 965. Cuve carrée en glace, séparée par une cloison dans sa
- diagonale pour les expériences de réfraction........... 36
- 966. Cuve en glace, garnie à chaque bout d’un verre lenticulaire
- pour expériences sur la réfraction.................... 150
- 967. Appareil pour démontrer les lois de la réflexion et de la
- réfraction de la lumière............................... 180
- 968. Appareil pour le même usage, mais plus complet, servant
- aussi pour prouver que l’angle d’incidence est égal à l’angle de réflexion................................... 300
- 969. Héliostat de M. Silbermann (fig. 30).................. 500
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- 63 -
- 970. Kaléidoscope de Brewster....................... de 5 à 10 »
- 971. Grand kaléidoscope monté sur un socle en noyer, avec
- chaîne à la Yaucanson................................. 100 »
- 972. Appareil à glaces mobiles à charnières. L’angle que les
- glaces font entre elles est mesuré par un arc de cercle divisé ; appareil servant à démontrer le principe dix stéréoscope et la loi des réflexions multiples. ....... 80 »
- 973. Appareil de réflexion servant à montrer la perte de lu-
- mière produite par les réflexions successives. ..... £0 »
- 974. Appareil à deux prismes avec lentilles en quartz, pour étu-
- dier les phénomènes de fluorescence, de M. Stoljps . ., |20 »
- 975. Verre violet avec dessin au sulfate de quinine, pour expé-
- riences, de M. Stokes...................................*. . 15 »
- ÇI76. Verre d’urane, travaillé en lames, cubes, etc. . de. 10 à 20 »
- PORTE-LUMIÈRE, MÉGASCOPES.
- 977. Porte-lumière simple, avec glace ayant tous les mouve-
- ments, lentille achromatique de 80 millimètres, diaphragmes, boîte en acajou. (Modèle de Charles-Chevalier.) 270 »
- 978. Mégascope réfracteur achromatique de Charles-Chevalier
- (inventé en 1838), glace à mouvements en tous sens, tube à engrenage, lentille de 80 millim., objectif double, porte-objets à crémaillère système Charles-Chevalier, boîte en acajou (fig. 31).......................... 500 »
- flg. 31.
- Ce mégascope est le premier appliqué à la photographie pour l’agrandissement des objets transparents. Il peut servir de porte-lumière et peut se transformer en polariscope par l’addition d’une glace noire et d’un prisme de Nicol, etc. Cette addition coûte 100 francs.
- 979. Mégascope et Polariscope de Charles-Chevalier, ayant en plus le Microscope solaire grand modèle, avec tous les verres achromatiques (C.-C.), large boîte en acajou. . . 1000 »
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-
- 980. Mégascope solaire pour les objets opaques, avec chaînes, chariot, réflecteurs, avec objectif double ou à verres combinés, inventé par Gharles-Glievalier (flg. 32). ... 500 »
- fig. 33.
- DIFFRACTION.—INTERFÉRENCES.—ANNEAUX COLORÉS.
- 981. Micromètre de Fresnel pour la mesure de l’étendue des
- franges.............................................. 120 »
- 982. Appareil de S’Gravesande pour la production des franges. 80 »
- 983. — de M. Wrede pour les interférences.................... 30 »
- 984. Appareil de Brewster pour obtenir les interférences par
- les lames épaisses...................................... 55 «
- 985. Deux réseaux rectilignes, tracés sur .verre avec le dia-
- mant, monture en cuivre à mouvement mobile pour produire des spectres brillants et les croiser.......... 50 »
- 986. Réseau circulaire.sur verre, monture en cuivre............ 50 »
- 987. Réseaux sur cuivre, nommés aussi boutons de Barton,
- pour les spectres d’interférence par réflexion.......... 18 »
- 988. Appareil de Newton pour les anneaux colorés............... 25 »
- 989. Miroir de Newton pour les interférences par les lames
- épaisses. . . ....................................... 40
- 990. Appareil de M. Pouillet pour produire des franges, et com-
- posé de deux glaces parallèles épaisses, légèrement inclinées entre elles..................................... 25 »
- 991. Appareil pour montrer les anneaux colorés sur des sur-
- faces métalliques.................................... : 125 »
- 992. Ériomètre d’Young pour mesurer les épaisseurs des fibres
- déliées et des petits globules....................... 50 »
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- 993. Objets pour ledit instrument.................... chaque 1
- 994. Appareil de M. Bravais pour produire les effets des halos,
- parhélies, etc......................................... 250
- 995. Grand banc de diffraction pour les expériences de diffrac-
- tion et d’interférences, tel qu’il est décrit dans la Physique de M. Pouillet, avec tous les accessoires, depuis la fig. 1 pl. 32 jusqu’à celle 17. Ledit instrument avec banc en cuivre; tous les appareils très-soignés........1000
- DOUBLE RÉFRACTION ET POLARISATION.
- 996. Lunette micrométrique de Rochon, servant à mesurer
- les distances, avec son prisme biréfringent en cristal de roche, boîte en acajou............................
- 997. Lunette micrométrique d’Amici, construite en 1827 pour
- la première fois et sous la direction de l’auteur, par Charles-Chevalier. Cette lunette s’emploie comme la précédente...........................................
- 998. Prisme biréfringent en cristal de roche................
- 999. — biréfringent en spath d’Islande.....................
- 1000. Rhomboïde de spath d’Islande, suivant la pureté, de 25 à
- 1001. Prisme et presse de Fresnel pour la double réfraction,
- produite par la compression.........................
- 1002. Double prisme de Fresnel, en cristal de roche, pour la
- double réfraction circulaire, suivant l’axe.........
- 1003. Glace noire naturelle montée sur pied avec toutes les
- inclinaisons........................................
- 1004. Glace noire, en glace noircie, montée sur pied........
- 1005. Glaces noires naturelles encadrées........... de 20 à
- 1006. Appareil de Malus et Arago, pour les expériences sur la
- polarisation de la lumière; ledit appareil monté en cuivre, avec prisme en cristal de roche. ...........
- 1007. Pince avec deux tourmalines vertes, taillées dans
- l’axe................................ de 15 à
- 1008. Prismes de Nicol, suivant la grosseur et la pureté, de 15 à
- 1009. Analyseur de M. Delezenne.............................
- 1010. Presse pour comprimer le verre........................
- 1011. — pour courber.......................................
- 1012. Appareil à chauffer le verre...........................
- 1013. — pour étirer le verre.............................
- 1014. — des deux quartz obliques.........................
- 1015. Couple de Lamé ou prisme comparateur de M. Babinet.
- 1016. Scopéloscope d’Arago..................................
- 1017. Appareil de polarisation de Norremberg................
- 150
- 180
- 15
- 15
- 180
- 180
- 45
- 70
- 45
- 50
- 150
- 40
- 200
- 12
- 18
- 18
- 5
- 18
- 45
- 12
- 15
- 100
- 5
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- — 66 — '
- 1018. Prisme compensateur de MM. Babinet, Jamin, pour le dé-
- placement du plan de polarisation.................... 75 »
- 1019. Appareil de Muller pour les anneaux colorés du spath. . 35 »
- 1020. Grand appareil de M. Biot pour répéter toutes les expé-
- riences de polarisation; l’instrument monté sur un pied en cuivre, avec glace noircie, accessoires, collection de cristaux et verres trempés.................. 350 »
- 1021. Grand appareil de M. Biot pour l’étude du pouvoir rota-
- toire des liquides.................................. 800 »
- 1022. Saccharimètre de M. Mitscherlich...................... 150 »
- 1023. — de M. Soleil pour la polarisation des liquides. 280 »>
- 1024. Polariscope d’Arago, avec quartz à rotation............ 35 »
- 1025. — de Savart................................. 20 »
- 1026. — d’Herschel, avec loupes et tourmalines. . . 50 »
- 1027. — de M. Babinet............................. 12 »
- 1028. — de M. de Sénarmont....................... 20 »
- 1029. — de M. Bravais............................. 15 »
- 1030. Cyano-polarimètre d’Arago............................. 180 »
- 1031. Microscope polarisant d’Amici (voir le Catalogue des
- Microscopes).....................-, . . .......... 500 «
- 1032. Polariscope de Charles-Chevalier, inventé en 1838. Cet appareil, où les rayons lumineux sont soumis à l’action d’une glace noire et d’un prisme de Nicol, représente les phénomènes de la polarisation, sur un écran placé à distance, avec une grande netteté; une nouvelle disposition permet d’analyser des corps de 90 millim. de diamètre et plus. L’instrument est muni de deux porte-objets à engrenage de 14 centim. et de divers accessoires (fig. 33)1 ........................................ 500 »
- fig. 33.
- 1033. Polariscope semblable avec objectif à verres combinés pour faire le mégascope, inventé par Charles-Chevalier (voir Mégascope), glace blanche et accessoires. . . 600 »
- 1 Le premier polariscdpe à été fourni au Mtiséum, sur la demande de M. Brongniart,
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- — 67 —
- CRISTAUX POUR LA POLARISATION.
- 1034. Quartz perpendiculaire à l’axe....................... 5
- 1035. — améthyste, perpendiculaire à l’axe................. 5
- 1036. Tourmaline verte, — ... de 8 à 10 »
- 1037. — violette, — ... de 8 à 15 »
- 1038. Ague marine, — ... de 7 à 10 »
- 1039. Diopside, — ... de 7 à 10 «
- 1040. Arragonite de Bohême, — ... de 4 à 8 »
- 1041. Plomb carbonaté, — ... de 5 à 8 »
- 1042. Baryte sulfatée, — ............ 6 ><
- 1043. Strontiane, — ............ 8 »
- 1044. Mica à un axe........................................ 3 »
- 1045. — de Sibérie à deux axes............................. 2 ».
- 1046. Topaze du Brésil......................................... 9 »
- 1047. Borax.................................................... 2 «
- 1048. Sucre.................................................... 2 »
- 1049. Bichromate de potasse............................... 4 »
- 1050. Acide tartrique. . ...................................... 3 »
- 1051. Grenat...........................................• 10 »
- 1052. Pyroxène................................................. 3 «
- 1053. Sept quartz pour les 7 couleurs......................... 30 -1»
- 1054. Collection de verres trempés de 6 ou 7 formes, chaque
- verre................................................ 5 »
- 1055. Figures en sulfate de chaux, telles que papillons, pen-
- sées, légendes, la pièce.................. de 10 à 30 »
- 1056. Grande fenêtre gothique en sulfate de chaux.......... 150 »
- 1057. Deux quartz perpendiculaires pour les spirales de
- M. Airy............................................... 12 »
- 1058. Deux quartz parallèles pour les hyperboles de M. Dele-
- zenne................................................. 10 »
- TÉLESCOPES RÉFLECTEURS A MIROIRS MÉTALLIQUES.
- 1059. Ces instruments sont tout à fait abandonnés a cause des difficultés de construction qu’ils présentent. M. Léon Foucault, au moyen de son nouveau système de miroirs en verre argenté, viènt de donner des moyens pratiques de construire des télescopes réflecteurs, ce qui permettra de faire des instruments beaucoup plus grands que ceux que l’on possède.
- 51
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- - 68 —
- PHOTOMÈTRES.
- 1060. Photomètre de Wheaslone, construit en premier par
- Charles-Chevvalier sous la direction de l’auteur (flg. 34). 30 »
- Cet appareil sert pour la comparaison des lumières artificielles, etc.
- flg. 31. «g- 35.
- 1061. Photomètre de M. Foucault............................. 35 »
- 1062. — de M Babinet..................................... 150 *>
- APPAREILS DIVERS.
- 1063. Œil en bois pour l’application des lunettes aux vues diffé-
- rentes.......................................... 35 »
- 1064. Œil semblable en cuivre.................................. 50 »
- 1065. Œil* artificiel du docteur Auzoux, modèle très-grand,
- avec parties de l’orbite, les muscles, vaisseaux, membranes, le corps vitré, chaque partie se détachant (fig. 35)....................................... 60 »
- 1066. Œil semblable, mais coupé verticalement.......... 60 »
- 1067. Anatomie de l’œil en 13 pièces.................. 450 »
- 1068. Phénakisticope de M. Plateau pour démontrer la persis-
- tance des images sur la rétine, avec boîte et 6 tableaux. 25 «
- 1069. Disque de Newton pour la recomposition de la lumière
- blanche par le mouvement rotatif................ 10 »
- 1070. Disque semblable avec méoanisme plus parfait..... 40 «
- 1071. Appareil de M. de Haldat pour montrer que les images
- se peignent sur la rétine....................... 18 »
- 1072. Tapisseries mouvantes......................de 2 à 8 »
- 1073. Deux verres de couleurs complémentaires avec montures. 10 »
- 1074. Prisme oscillant pour la recomposition de la lumière
- blanche................................................. 60 »
- STÉRÉOSCOPES DE WHEASTONE ET DE BREWSTER
- Voir le Catalogue d’Optique usuelle.
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- 1075. Lunette de Charles-Chevalier pour mesurer les distances (fig. 36).
- Voiries Rapports à la fin du Catalogtie.
- PEINTURES A L’HUILE REPRÉSENTANT LES PRINCIPAUX PHÉNOMÈNES
- DE L’OPTIQUE.
- Tableaux sur toile de 55 centimètres.
- 1076. Décomposition de la lumière par le prisme............ 25 »
- 1077. Décomposition et recomposition de la lumière blanche
- par un prisme........................................ 25 »
- 1078. Quatre spectres différents produits par la combustion
- du zinc, cuivre, étain et fer........................ 80 »
- 1079. Mélange des couleurs ou règle de Newton................ 70 »
- 1080. Théorie de l’arc-en-ciel, marche de la lumière dans une
- goutte d’eau......................................... 25 »
- 1081. Théorie des halos d’après M. Bravais................... 45 »
- 1082. Contraste des couleurs d’après M. Chevreul............. 40 »
- 1088. Coupe verticale de l’œil, grande dimension............. 50 »
- 1084. Portrait peint d’après les couleurs du contraste....... 50 »
- 1085. Tableau de 55 centim. sur 1 mètre 15 centim. peint sur
- toile et représentant le spectre solaire avec les raies d’après Fraunhofer et Ed. Becquerel................. 100 »
- 1086. Tableau semblable, moitié moins grand.................. 50 »
- 1087. Lithographie en couleur des raies du spectre............ 6 »
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- - 70 —
- 1088. Échelle de Newton.................................. 60 »
- 1089. Bulle de savon d’après Newton..................... 30 »
- 1090. Anneaux colorés et lames minces de Newton..... 100 »
- 1091. Lois des anneaux colorés, d’après Newton......... 100 «
- 1092. Franges de Fresnel................................. 55 »
- 1093. — de Grimaldi et Àrago............................ 55 »
- 1094. Couronnes et halos produits par la poudre de lycopode. 55 »
- 1095. Réseaux simples et réseaux croisés...... de 40 à 100 »
- LUNETTES A LIRE, LONGUES-VUES, JUMELLES, LUNETTES SUR PIED, RÉFRACTEURS DE GRANDES DIMENSIONS LUNETTES POUR LA CAMPAGNE LOUPES, LORGNETTES-JUMELLES ET TOUS LES INSTRUMENTS D’OPTIQUE USUELLE Voir le Catalogue spécial d'Optigue et Météorologie usuelles, illustré par 42 figures.
- APPAREILS DE PHOTOGRAPHIE
- Voir le Catalogue spécial universel et illustré par 250 figures.
- MICROSCOPES ACHROMATIQUES ET DE TOUS GENRES
- Voir le Catalogue spécial illustré par 76 figures.
- ASTRONOMIE.
- 1096. Cercle astronomique répétiteur, de 27 cent, de diamètre,
- alidade concentrique donnant les 10" par 4 verniers.
- Lunette achromatique ayant 37 millim. de diamètre, avec oculaire prismatique et verres colorés ; cercle azi-mutal de 22 cent, de diamètre avec un vernier donnant les 30"; niveau mobile, niveau fixe, contre-poids, boîte en noyer renfermant l’instrument................... 1600 »
- 1097. Cercle astronomique, construit comme le précédent,
- mais de plus grande dimension, alidade donnant les 4"
- • par 4 verniers, lunette de 45 millim. de diamètre, cercle
- azimutal de 30 cent.de diamètre, donnant les 10", boîte
- en noyer renfermant l’instrument................... 3500 «
- 1098. Chercheur de comètes portatif, se tenant à la main, de
- 50 millim. de diamètre, et de 25 cent, de foyer. .... 80 «
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- — 71 —
- 1099. Chercheur semblable de 60 millim. de diamètre et de
- 45 cent, de foyer................................... 120 »
- 1100. Compteur à pointage, boîte en cuivre, donnant le cin-
- quième de seconde..................................... 300 ><
- 1101. Compteur semblable au précédent, mais donnant le
- dixième de seconde................................... 400 »
- 1102. Compteur semblable, boite en argent forme de montre. . 600 *>
- 1103. Dipléidoscope de M. Dent, pour déterminer le passage du
- soleil au méridien..................................... 50 »
- 1104. Compteur sans pointage, donnant l’heure, la minute et la
- seconde, avec aiguille indiquant les soixantièmes ou centièmes de seconde, boîte en cuivre................. 500 »
- 1105. Chronomètre à double suspension, boite en cuivre, boîte
- en acajou............................................. 800 »
- 1106. Équatorial complet, avec cercle de déclinaison de 32cent.,
- lunette de 72 millim. de diamètre, cercle horaire de 22 cent., divisions sur argent, oculaire à prisme et verres colorés. Rappels et contre-poids.............. 3000 »
- Cet instrument donne par les verniers les 5" horaires et angulaires.
- 1107. Le même plus complet, avec mouvement d’horlogerie et
- accessoires. ................................• . . . 3500 »
- GLOBES TERRESTRES ET SPHÈRES
- Voir le Catalogue Géodésie, Mathématiques, Marine, illustré par 68 figures.
- MÉRIDIENS OU CADRANS SOLAIRES
- Voirie Catalogue Géodésie, Mathématiques, Marine, illustré par 68 figures.
- fig. 37.
- 1108. Lunette murale de 55 millim. de diamètre, et70 cent, de longueur focale, avec collier tournant, écrous, angle en fer pour fixer à la muraille , lampe pour éclairer les fils du réticule (fig. 37)...................................... 220 »
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- 72
- 1109. Lunette méridienne, de 56 millim. de diamètre, et de
- 65 cent, de distance focale. . . . ..................1400
- 1110. Lunette méridienne semblable, mais de 81 mill. de dia-
- mètre, et de 95 cent, de distance focale............. 2000
- 1111. Lunette montée parallatiquement, objectif de 81 millim.
- de diamètre, cercle horaire et de déclinaison, de 13 cent, de diamètre, divisions sur argent, mouvement d’horlogerie.........................................1500
- LUNETTES ASTRONOMIQUES
- Voir le Catalogue d'Optique et Météorologie usuelles.
- MINÉRALOGIE.
- GONIOMÈTRES.
- 1112. Goniomètre d’Haiiy ou d’application, modèle très-soigné, en maillechort, avec alidade à coulisse et demi-cercle brisé (fig. 38)............................................ 45
- fig. 39.
- 1113. Goniomètre d’ïïaüy, plus simple, en cuivre............ 25
- 1114. — de Wallaston, avec vis de rappel, servant à
- mesurer les angles des cristaux..................... 70
- 1115. Très-grand goniomètre de Wollaston, semblable à celui
- que nous avons fourni à l’École des mines, modèle perfectionné par Charles-Chevalier, et auquel il a ajouté une plaque modèle, une lunette à fils croisés, divers moyens de rappels et de lecture, etc., etc. (fig. 39). . . 490
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- - 73 -
- 1116. Goniomètre de M. Babinet, pour mesurer les angles et les indices de réfraction, modèle sur colonne en cuivre, genou, vis de rappel, etc.......................................... 250 »
- fig. 40.
- fig. 40.
- 1117. Goniomètre de M. Babinet, plus simple (fig. 40)......... 170 »
- 1118. — de Charles et Malus, pour la mesure des
- angles par la réfraction.............................. 150 »
- CHALUMEAUX.
- 1119. Chalumeau de Berzélius, en cuivre, aVec bout de platine.
- (Voir Chimie.)....................................... 14 »
- 1120. Chalumeau de Berzélius, en maillechort, bout en platine. 18 »
- 1121. — — en argent, — 35 »
- 1122. Un bout .en platine, seul.............................. 2 50
- 1123. — en cuivre, seul................................... » 50
- 1124. Chalumeau de Berzélius, en cuivre, bout en platine, et
- lampe à alcool....................................... 16 »>
- 1125. Chalumeau de Wollaston, en cuivre, bout en platine . . 15 »
- 1126. — — en argent, — ... 30 »
- LAMPES ET ACCESSOIRES
- 1127. Lampe à l’huile de Berzélius, avec support en cuivre. . . 15 »
- 1128. — semblable, avec supports pour creusets, coupelles, etc............................................ 25 »
- 1129. Lampe à alcool, avecsupports pour creusets, capsules, etc. 25 »
- 1130. — de sûreté de Davy, avec cylindre en verre. .... 15 »
- 1131. — — avec toile métallique seule. . 10 »
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- - 74 -
- INSTRUMENTS POUR LES OPÉRATIONS GÉODÉSIQUES DANS LES MINES.
- 1132. Boussole de géologue de 65 millim., boîte en cuivre, étui
- (flg. 41).................................... . . 25 ..
- g. 4L
- fig. 42.
- 1133. Boussole semblable, en maillechort....................... . 30 »
- 1134. — — en argent.................................. 80 »
- 1135. — de géologue, à double cadran, en maillechort
- (fig. 42).............................................. 35 »
- 1136. Boussole semblable, en argent........................... 100 »
- Dans les boussoles à double cadran, la boussole se trouve d’un côté et le perpendi-
- cule de l’autre, ce modèle est le plus commode.
- 1137. Poche de mineur, petit modèle, pouvant mesurer les
- angles horizontaux et verticaux, avec demi-cercle et fil à plomb, boussole de 8 cent, de diamètre, avec aiguille à chape d’agate, rapporteur carré en cuivre, servant à reporter les angles sur le papier.........-............ 190 »
- 1138. Poche de mineur, semblable, mais avec boussole de
- 11 cent, de diamètre................................... 300 »
- 1139. Support à lunette pour les travaux extérieurs............ 80 <>
- 1140. Nouveau perpendicule, pour les inclinaisons des couches
- (fig. 43).............................................. 30 b
- 1141. Théodolite souterrain de M. Combes, disposé spécialement pour les mines, modèle avec deux cercles divisés sur argent, l’un de 13 cent, vertical, et l’autre de 16 cent, horizontal, pied de 1 mètre 35 cent., boîte (fig. 44). . . 450 »
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- — 75
- 1142. Pieds supplémentaires de 70 cent, de hauteur, chaque. . 25 »
- fi g. 44.
- 1143. Lampes s’adaptant sur les pieds ci-dessus, la pièce. ... 18 »
- Boussoles de tous genres avec lunettes. (Voir le Catalogue spècial Géodésie.)
- NÉCESSAIRES POUR LA MINÉRALOGIE.
- 1144. Nécessaire, d’après Haüy, contenant les instruments les plus nécessaires, tels que chalumeau, mortier,
- loupe, etc........................................ 80 »
- 1145. Nécessaire plus complet, de 100 fr. à............... 200 »
- 1146. Nécessaire complet, contenant un chalumeau de Berzé-
- lius, en maillechort, avec bout en platine, un mortier d’agate et pilon , une biloupe, une presselle, douze flacons à réactifs, un petit creuset, une capsule, une cuiller en platine, une pince, un marteau, cent coupelles de Baillif, un outil pour creuser le charbon, une boussole, un barreau aimanté, une brucelle à bout de platine............................................... 190 »
- 1147. Nécessaire très-complet de Platnner, pour les essais
- quantitatifs et qualitatifs, avec balance pesant au dixième de milligramme, et tous les accessoires pour l’étude de la minéralogie....................... 600 »
- USTENSILES EN PLATINE.
- 1148. Cuillers, cornues, creusets, coupelles, le gramme .... 1 50
- 1149. Lames de platine, le gramme......................... 1 50
- 1150. Fil — le gramme.................... . ........ 1 50
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- — 76 —
- OUTILS POUR LA MINÉRALOGIE.
- 1151. Tas en acier et sa virole en cuivre....................
- 1152. Mortier d’Abich, pour les pierres précieuses, en acier
- fondu. ..............................................
- 1153. Mortiers en agate, suivant la grandeur, de 6 fr. à . . .
- 1154. Lime pour essayer la dureté des minéraux...............
- 1155. Ciseau en acier trempé.................................
- 1156. Pique — ..............................
- 1157. Pinces coupantes.......................................
- 1158. — plates.............................................
- 1159. — ou brucelles, en acier.............................
- 1160. — en acier, à bouts de platine.......................
- 1161. Cisaille...............................................
- 1162. Petite scie à main.....................................
- 1163. Marteau simple.........................................
- 1164. — de minéralogiste, à pique en acier fondu . . . .
- 1165. — — à pilon en acier fondu . . . .
- 1166. Marteaux plus simples, à pique ou à tranchant..........
- 1167. Pince d’acier à vis de pression, pour chauffer la tourma-
- line....................................................
- 1168. Aiguille électrique d’Haüy, à deux boules, munie de son
- pivot, pour expériences de la tourmaline.............
- 1169. Support à tourmaline, pour l’électricité développée par la
- chaleur. ............................................
- 1170. Tourmaline pour l’expérience ci-dessus, de 6 fr. à . . . .
- 1171. Électromètre d’Haüy, à poil de chat....................
- 1172. Aiguille en argent, à spath d’Islande, avec pivot......
- 1173. — aimantée sur pivot.................................
- 1174. Barreau aimanté et étui................................
- 8 »
- 25 » 50 » 2 « 2 » 2 »
- 2 50 1 25
- 1 50 8 »
- 4 » 6 » 1 » 8 « 8 »
- 3 »
- 5 »
- 12 »
- 8 » 10 »
- 2 50 10 »
- 5 »
- 1175. Triloupe, monture en corne......................... 15 »
- 1176. Biloupe, — ........................ 12 »
- 1177. Loupe, à deux bouts.................................. 9 »
- 1178. — simple, de 3 fr. à.............................. 5 »
- 1179. — Caddington, simple............................ 10 »
- 1180. — — à recouvrement. . .................. 15 »
- 1181. Bâton de cire rouge et de gomme laque. (Voir le Catalogue
- Electricité.)
- 1182. Nonnes et moines en acier, avec support pour les cou-
- pelles en poudre d’os, pour les essais d’argent.......... 15 »
- 1183. Tube en fer-blanc, pour creuser le charbon et faire des
- trous ronds ou coniques, de 4 fr. à...................... 5 »
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- — 11 —
- 1184. Grille en platine, pour le grillage des minerais...... 12 »
- 1185. Coupelles de Le Baillif, le cent........................ . 2 »
- 1186. Pince à charbon, de Le Baillif........................ 3 50
- Les premiers instruments de Le Baillif livrés au commerce ont été faits par Charles-Chevalier, ami du savant Le Baillif.
- COLLECTIONS MINÉRALOGIQUES ET GÉOLOGIQUES.
- COLLECTIONS ORDINAIRES.
- 1187. Collections industrielles, roches et minéraux employés pour constructions, ornements, bijoux, sciences, mécanique, poterie, chimie, combustion, métallurgie et
- agriculture.
- 100 Échantillons petit format............................. 35 »
- 100 — format moyen.................................... 50 »
- SlIKÉRALOCilK;.
- 1188. Collection de 100 minéraux, de 4 centimètres......... 30 »
- — de 100 — de 6 — 42 «
- — de 200 — de 4 — 65 «
- — de 200 — de 6 — 90 »
- — de 100 — de 8 — 50 «
- — de 200 , — de 8 — 110 »
- Cristallographie.
- 1189. 26 formes cristallines en bois, petit format, renfermant les
- six types cristallins, dans une boîte................... 7 »
- 26 formes, idem, grand format. . ......................... 20 »
- 80 — — classées et déterminées par M. Delafosse. 80 »
- GÉOLOGIE.
- 1190. Collection de 110 roches, de 6 centimètres. ............. 20 «
- — de 100 — de 4 — 30 «
- — de 100 — de 8 — 45
- — de 200 — de 6 — 65 »
- — de 200 — de 8 — 95 »
- — de 300 — de 8 — 145 »
- — des 20 éléments minéralogiques des roches,
- avec boîtes, de 6, 8 ou................................ 12 »
- FOSSILES.
- 1191. Collection de 100 fossiles caractéristiques choisis dans
- tous les terrains....................................... 25 »
- Collection de 200 fossiles, idem....................... . 65 »
- — de 300 — — . : ........................ 100 »
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- 78 —
- COLLECTIONS PLUS COMPLÈTES POUR LES ÉLÈVES
- 1192. Collection élémentaire de 65 minéraux, petit format ... 20 »
- ' — — — form. moyen (6 c.) 30 »
- — — — grandformat(8c.) 40 »
- 1193. — — de 100 minéraux, petit format. . . 35 »
- — — — format moyen. . 50 »
- — — — grand format . . 70 »
- 1194. Collection de 200 minéraux, petit format............ 75 »
- — — format moyen................. 105 »
- — — grand format................. 145 »
- 1195. — de 300 minéraux, petit format.................. 120 »
- — — format moyen ................ 165 »
- 1196. — — grand format..................... 225 »
- 1197. Collection de 400 minéraux, à 170, 230 et-.......... 310 »
- — de 500 à 1000 et 2000 échantillons.
- Les mêmes, en premier choix, 10 fr. de plus par 100 échantillons. Le second choix suffit pour l’étude et pour l’en-* seignement.
- Suivant demande, ces collections sont classées d’après Delafosse, Dufrénoy, Beudant, Haüy, Brard, ou tout autre professeur.
- CHÈOLOGIE.
- 1198. Collecton élémentaire de 72 roches de tous les terrains,
- selon le format, 20, 30 et.............................. 40 »
- 1199. Collection de 100 roches, petit format.. 30 »
- — — format moyen...................... 45 »
- — — grand format...................... 60 «
- 1200. Collection de 200 roches, petit format . . . ............ 65 »
- — — format moyen...................... 95 »
- — — grand format.................... 125 »
- 1201. Collection de 300 roches, 105, 150 ou. 195 »
- — de 400 — 150, 210 ou ......... . 270 »
- i*
- PALÉONTOLOGIE.
- Collections de fossile^ caractéristiques.
- Comprenant les fossiles de tous les ordres, mais principalement des coquilles, des oursins, des polypiers, des plantes, etc., choisis parmi les plus caractéristiques et les
- > plus abondants de chaque étage.
- 1202. 50 espèces différentes................................ . 20 »
- 100 — — 41 *>
- 200 — — ................................. 100 »
- 300 — — ...»............................... 165 »
- 400 — — 240 »
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- — 79
- Les mêmes, en premier choix, 10 fr. de plus par 100 échantillons. Le second choix suffit complètement pour l’étude ; chaque fossile y présente nettement ses caractères distinctifs.
- CRISTALLOGRAPHIE.
- 1° Cristaux naturels.
- 1203. Cristaux isolés d’un très-grand nombre d’espèces miné-
- rales et de variétés.—Au choix, à 50 c., 1 fr........ 2 »
- et au-dessus.
- 1203bis. Collection de 20 cristaux naturels isolés, choisis dans les
- divers types (selon le choix des cristaux), de 20 fr. à. . 40 »
- 1204. Collection de 50 cristaux, de 50 fr. à................. 120 »
- — de 100 cristaux, de 100 fr. à...................... . 300 »
- 2° Modèles de cristaux.
- 1205. Cristaux en bois, en porcelaine, en pâte minérale, etc.,
- au choix.
- 1206. Collection des 26 formes primitives des minéraux, en
- bois, d’un bon format, faites avec un tel soin qu’on peut les mesurer au goniomètre ; avec la classification d’Iiaüy et celle des six types cristallins dans une boîte à dessus de verre...................................... 7 »
- 1207. La même, en gros cristaux, pour les cours nombreux. . . 22 »
- 1208. Collection générale des 85 formes primitives et secon-
- daires dont 5 en plusieurs pièces pour montrer la molécule intégrante, les hémitropies, etc. Cristaux en bois grand format, d’une exécution parfaite .............. 100 »
- 1209. Collection de 49 formes primitives et, dérivées, en pâte
- minérale, petit format............................... 15 «
- 1210. Collection de 60 formes primitives. Cristaux, dont plu-
- sieurs en deux pièces pour montrer les renversements
- et les cristaux maclés, en pâte minérale, bon format. . 30 »
- 1211. Boîtes en carton pour ranger les échantillons. Pour-
- cent échantillons, 5 fr., petit format, et 6fr. pour le moyen.
- OUVRAGES DE M. N. BOUBÉE.
- 1212. Cours abrégé de géologie pour les gens du monde, pre-
- mière partie. In-8°, contenant la démonstration claire, nette et positive des principes et des hases fondamentales de la théorie géologique............................. 4 »
- 1213. Cours abrégé de géognosie (géologie pratique), avec le
- traité des roches, à l’usage des collèges et des séminaires. 1 vol. in-8°. * *............................ 5 »
- — œ§<X -o——1— —
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- — 80 —
- CHIMIE
- APPAREILS, INSTRUMENTS ET USTENSILES, VERRERIE CRISTALLERIE, ETC.
- APPAREILS, INSTRUMENTS ET USTENSILES.
- 1214. Alambic en cuivre étamé, avec serpentin, bain-marie,
- robinets, etc., de 1 litre........................... 80 »
- 1215. Alambic semblable, de 6 litres........................ 150 »
- 1216. — — 10 —.......................... 170 »
- 1217. — — 20 — ... .................... 250 »
- 1218. — — 25 —......................... 300 «
- 1219. Poêlon à fond plat en cuivre de 1/2 litre............... 5 »
- 1220. — — — 1 —........................................ 6 »
- 1221. Bassines doubles à bain-marie de 5 litres.............. 36 »
- 1222. Entonnoir en cuivre argenté de 1 litre................. 25 »
- 1223. — — — 2 —....................... 30 .»
- 1224. Appareil de M. Laurent pour l’analyse des silicates alca-
- lins................................................. 18 »
- 1225. Appareil semblable avec tube de platine................ 36 »
- 1226. — pour la préparation de l’acide fluorhydrique. 36 »
- 1227. Appareil pour la préparation de l’acide phosphorique
- anhydre............................................ 18 »
- 1228. Appareil de Boussingault pour extraire l’oxygène de la
- baryte avec double aspirateur........................ 75 »
- 1229. Appareil de Gay-Lussac pour le dégagement de l’hydro-
- gène................................................ 35 »
- 1230. Appareil de Gay-Lussac et Thénard pour l’analyse des
- substances végétales................................. 20 «
- Appareils à déplacement. (Voir Verrerie.)
- Aréomètres. (Voirie Catalogue d’Optique et Météorologie usuelles.) Aspirateurs (Nos 264, 265, 266).
- 1231. Appareil à déplacement de Gerhart...................... 20 »
- 1232. Appareil à déplacement de M. Berjeot de Caen, servant
- également pour filtrer les substances visqueuses. . . 20 »
- 1233. Appareil du même auteur pour la dessiccation par la cha-
- leur et le vide...................................... 40 »
- 1234. Balances. (Voir le Catalogue Poids et Mesures.)
- 1235. Ballon en cristal à robinet en cuivre de 1 litre.... 10 »
- 1236. — — — — 2 —............. 12 »
- 1237. — — — — 4 —............. 15 «
- 1238. — — — — 6 —............. 18 «
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- 1239. Bassines en cuivre, le ldlogr................................ 4 50
- 1240. — enfer, — » 75
- 1241. Boîte à réactifs, étagères avec 35 flacons, 62 gr., vitrifiés
- et les réactifs, la boîte en acajou....................... 85 »
- 1242. Boîte semblable avec flacons de 125 gr..................... 110 »
- 1243. Boîte coffret à réactifs fermant à clef, contenant 35 fla-
- cons, 62 gr., vitrifiés et les réactifs, boîte en acajou
- (fig. 45)................................................ 120 »
- fig. 45.
- 1244. Boîte semblable avec flacons de 125 gr................. 145 »
- 1245. Bouchons plats et longs, le cent............. de 1 à 10 »
- 1246. Briquet à gaz avec mousse de platine......... de 10 à 20 »
- 1247. Briquet à gaz modèle riche, vase en cristal taillé, pièces
- de métal soignées..................................... 80 »
- 1248. Burettes graduées. (Voir à la suite de ce Catalogue l’article
- Polymétrie.)
- 1249. Caoutchouc en feuilles, le kilogr...................... 25 »
- 1250. — en tubes, suivant le diamètre. . . de 25 à 60 »
- 1251. Canon de fusil........................................... 4 >•
- 1252. — de pistolet fermé à vis............................. 7 »
- 1253. Capsules en argent, le gramme, façon en plus............. » 35
- 1254. — en platine, — — ......... 1 50
- fig. 46.
- 1255. Chalumeau de Berzélius. (Voir le Catalogue Minéralogie.) (fig. 46)..................................................................
- 6
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- — 82 —
- 1256. Chalumeau de M. Luca à jet continu........................... 18 «
- 1257. — de Barruel avec vessie et boîte.................. 35 »
- 1258. — semblable à deux vessies......................... 40 «
- 1259. — de M. Deville à gaz oxyliydrogène................ 22 »
- 1260. — disposé pour la lumière Drummond................. 60 »
- 1261. Cloche à robinet divisée en fraction de litre ou non divi-
- sée, de 1 litre.................................... 10 ou 12 »
- 1262. Cloche à robinet divisée en fraction de litre ou non divi-
- sée, de 2 litres................................... 12 ou 15 »
- 1263. Cloche à robinet divisée en fraction de litre ou non divi-
- sée, de 4 litres....................................15 ou 20 »
- 1264. Cloche à robinet divisée en fraction de litre ou non divi-
- sée, de 6 litres.................................. 18 ou 25 «
- .1265. Cloches à gaz et à bouton. (Voir Polymétrie.)
- 1266. Cône en tôle pour allumer les fourneaux..................... » »
- 1267. Cornue en fer tubulée et bouchon rodé de 1/4 de litre. . 20 »
- 1268. — — — de 1/2 litre. ... 25 »
- 1269. — — — de 1 litre... 30 »
- 1270. — — — de 3 litres. ... 55 »
- 1271. — — en deux parties de 3 litres. ... 70 »
- 1272. — en cuivre s’ouvrant à vis............................. 40 »
- 1273. — en grès et verre. (Voir à la suite du Catalogue.)
- 1274. Coupelles. (Voir Minéralogie.)
- 1275. Couteau en ivoire............................................. 2 »
- 1276. — en os.................................................. 1 25
- 1277. — encorne................................................ I 50
- 1278. — en fer à bouchons...................................... 4 »
- 1279. Creusets en argent et platine (même prix que les cap-
- sules).
- 1280. Creusets en terre, porcelaine, etc. (Voir à la suite de ce
- Catalogue.)
- 1281. Cuiller en fer à projection et en tôle pour combustion, là 2 «
- 1282. — en platine (même prix que les creusets).
- 1283. Cuve en chêne doublée de plomb avec robinets, de 30 litres. 38 »
- 1284. — — - — de 40 — . 42 »
- 1285. — — — ' — de 60 — . 52 «
- 1286. Cuve à mercure en pierre de liais, pour 9 kilogr. de
- mercure................................................... 20 »
- 1287. Cuve à mercure en pierre de liais , pour 13 kilogr. de
- mercure................................................... 22 «
- 1288. Cuve à mercure en pierre de liais , pour 19 kilogr. de
- mercure. ................................................. 24 »
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- — 83 —
- 1289. Cuve à mercure en pierre de liais, pour 26 kilogr. de
- mercure..................................................... 26 »
- 1290. Cuve à mercure en pierre de liais, pour 32 kilogr. de
- mercure................................................... 30 »
- 1291. Cuve en fonte de fer de M. Doyère.................. 25 »
- 1292. Digesteur de M. Payen.............................. 18 »
- 1293. Digesteur de M. Corriol et Berthemot pour les liquides
- volatils................................................... 30 »
- 1294. Éprouvettes. (Yoir Cristallerie.)
- 1295. Étuve de Darcet à quinquet.................................... 70 »
- 1296. Étuve de Gay-Lussac, servant à l’huile et l’eau bouillante. 65 »
- 1297. — de M. Hervé-Mangon.......................................... 30 »
- 1298. Eudiomètres. (Yoir Électricité.)
- 1299. Fers à moustaches pour le charbon.................. 2 25
- 1300. Fil d’argent, le gramme...................... .... » 35
- 1301. — de platine....................................... 1 50
- 1302. Flacon en plomb pour l’acide fluorhydrique. . de 3 à 10 »
- 1303. — en argent — . . de25à 30 »
- 1304. Forge portative cylindrique à double vent.................... 180 »
- 1305. — — à simple vent................................. 125 »
- 1306. Serre-feu avec couvercle pour fondre les métaux s’adap-
- tant aux forges ci-dessus................................... 10 «
- 1307. Fourneaux à réverbère et autres. (Yoir à la suite de ce
- Catalogue.)
- 1308. Gazomètre en cuivre rouge verni, avec robinet à raccords,
- tube de niveau, etc., de 25 htres............... 120 >i
- 1309. Gazomètre en cuivre rouge verni, avec robinetà raccords,
- tube de niveau, etc., de 50 litres.................... 175 »
- 1310. Gazomètre en cuivre rouge verni, avec robinet àraccords,
- tube de niveau, etc., de 100 litres.........................200 »
- 1311. Grille carrée en fil de fer.................................... 2 »
- 1312. — à tubes pour analyses..................... de 7 à 10 »
- 1313. — pour distiller l’acide sulfurique..................... 12 »
- 1314. — — avec recouvrement en tôle................. 15 »
- 1315. Lampe à alcool en cristal...................................... 2 »
- 1316. — — en cuivre, 1 mèche..................... 3 50
- 1317. — — — 3 mèches.................... 5 75
- 1318. — — en cuir, à régulateur.................. 6 50
- 1319. — de Berzélius. (Yoir Minéralogie.)
- 1320. Lampe de M. Sainte-Glaire Deville à essence de térében-
- thine et à niveau constant avec soufflet et table. 80 »
- 1321. Laboratoire portatif de G-uyton-Morveau, ou lampe à
- huile, à pied et tringle avec supports, bains de sable, etc. 80 »
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- - 84 —
- 1322. Laboratoire portatif de Guyton-Morveau, ou lampe à
- huile, à pied et tringle avec supports, bains de sable,
- etc., petit modèle.................................. 50 »
- 1323. Lampe d’émailleur à soufflet carré...................... 50 »
- 1324. — — — cylindrique................... 70 »
- 1325. — semblable, à chalumeau vertioal d’après M.Péclet. 70 «
- 1326. Support de lampe à alcool................................ 1 50
- 1327. Lime ronde, triangle ou plate............................ » 75
- 1328. Lingotière en fonte pour essais métalliques.............. 3 »
- 1329. Main à 16 cases......................................... 10 »
- 1330. Moule filtré de Carré........'........................ 2 75
- 1331. Manchon réfrigérant en verre de 55 centim................ 8 »
- 1332. Masque en toile métallique avec lunettes à verres plans. 10 »
- 1333. Mesures graduées. (Voir Polymétrie.)
- 1334. Mortier en bronze tourné avec pilon..........de 20 à 30 »
- 1335. — enfer — — .......... de 20 à 30 «
- 1336. — en agate. (Voir Minéralogie.)
- 1337. Mortier en verre et porcelaine. (Voir à la suite de ce Cata-
- logue.)
- 1338. Papier à filtrer, blanc, la main......................... « 60
- 1339. — à réactif, la feuille................................ » 30
- 1340. — à émeri, — ............................. » 10
- 1341. — à filtrer de Pras-Dumas, la rame. . . de 0 75 à 1 25
- 1342. Pelle à braise en tôle................................... 1 25
- 1343. Percerette pour bouchons................................. » 50
- 1344. Perce-bouchons de Dauger.....................de 1 50 à 3 »
- 1345. Pierre de touche............................. de 8 à 15 »>
- 1346. Pince à cuiller pour cloches courbes..................... 5 »
- 1347. — à coupelles............................................ 8 »
- 1348. — à creusets........................................... 4 »
- 1349. * — en bois pour matras.................................. 1 50
- 1350. Pompe Gay-Lussac pour analyses organiques......... 35 »
- 1351. Porte-tubes de 8, 12, 16 et 24 tubes. . . . de4, 5, 6 et 9 »
- 1352. Râpe plate ou demi-ronde................................. » 75
- 1353. Robinet en cuivre à 2 pas de vis....................... 5 »
- 1354. —- enfer............................................. 8 »
- 1355. — en cuivre avec vessie............................ 10 »
- 1356. — — — et chalumeau.................. 15 »
- 1357. — en étain pour flacons............................. 1 50
- 1358. Spatule en argent, le gramme............................ » 35
- 1359. — en bois........................................... » 50
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- — 85 —
- 1360. Spatule en fer de 0 75 à 2 I)
- 1361. en platine, le gramme, façon en plus. 1 50
- 1362. — en os » 75
- 1363. Support à entonnoir en bois simple 1 50
- 1364. — — double 3 50
- 1365. — — en fer double 6 »
- 1366. à pince droite 3 »
- 1367. — à potence 3 «
- 1368. — à charnière 3 75
- 1309. à chandelier pour élever les appareils, 3 «
- 1370. — à fourche 3 »
- 1371. — à coulisse 5 »
- 1372. — à crochet 3 »
- 1373. en fer-blanc pour chauffer les tubes. . 1 50
- 1374. — en fil de fer pour lampe à alcool. . . 1 50
- 1375. — en cuivre à bague 2 »
- 1376 Tamis en crin 1 I)
- 1377. — en soie 1
- 1378. — en toile métallique 2 »
- 1379. Tas en acier . de 5 à 15 «
- 1380. Touchaux pour l’or 25 »
- 1381. — pour l’argent 15 1)
- 1382. Thermomètres. (Voir Météorologie usuelle.)
- 1383. Triangles pour fourneaux de 0 50 à 1 h
- 1384. Tubes en fer . de 1 à 5 »
- 1385. — — fermés à vis 5 »
- 1386. - en plomb, le kilogr » 80
- 1387. — en caoutchouc, le kilogr , de 25 à 30 ))
- 1388. Valet en bois )> 75
- 1389. — en paille » 60
- 1390. — en jonc w 25
- 1391. Vessies préparées . de 1 à 2 »
- 1392. — avec robinet 10 »
- 1393. — en caoutchouc . de 4 à 6 »
- POLYMÉTRIE OU INSTRUMENTS GRADUÉS EN VERRE.
- 1394. Burette de Gay-Lussac de 25 centim. cubes par fractions. 6 )>
- 1395. _ — 50 — — 7 »
- 1396. — — 75 — 8 ))
- 1397. — — 100 — - 10 b
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-
-
- — 86 —
- 1398. Burette anglaise de 25 centim. cubes par 10e...... 7 »
- 1399. — — 50 — 1/2 cent......... 8 »
- 1400. — deMohrde25 — ................. 7 »
- 1401. Support pour ladite............................... 8 «
- 1402. Burette de M. Mangon, 25 centim. cubes............ 15 #
- 1403. Cloche à bouton, graduée eu fractions de litre, de 1/2 litre 6 »
- 1404. — - 1 — . 8 »
- 1405. — — — 2 — . 10 »
- 1406. — — — 4 — . 12 »
- 1407. — — — 6 — . 15 »
- 1408. Carafe jaugée de 1 litre.......................... 4 »
- 1409. — 1/2 —.............................. 3 »
- 1410. — 1/4 —.............................. 2 50
- 1411. Éprouvette à gaz de 10 centim. cubes........................ 3 »
- 1412. — 25 - 4 »
- 1413. — 50 — 4 50
- 1414. — 100 — 5 «
- 1415. — 200 — 5 50
- 1416. — 250 — 6 50
- 1417. — 500 • — 7 »
- 1418. Éprouvette à pied en cristal divisée en centim. cubes de
- 30 centim....................................... 2 50
- 1419. Éprouvette à pied en cristal divisée en centim. cubes de
- 50 centim................................................. 3 »
- 1420. Éprouvette à pied en cristal divisée en centim. cubes de
- 100 centim................................................ 4 »
- 1421. Éprouvette à pied en cristal divisée en centim. cubes de
- 150 centim................................................ 4 50
- 1422. Éprouvette à pied en cristal divisée en centim. cubes de
- 200 centim.......................................' 4 50
- 1423. Éprouvette à pied en cristal divisée en centim. cubes de
- 250 centim. .............................................. 5 »
- 1424. Éprouvette à pied en cristal divisée en centim. cubes de
- 500 centim................................................ 6 »
- 1425. Pipette graduée de 2 grammes................................ 2 50
- 1426. — — 5 - 3 »»
- 1427. — — 10 — 3 »
- 1428. — — 25 — 3 »
- 1429. — — 50 — 4 »
- 1430. — — 100 — 5 »»
- 1431. Flacon à densité de M. Régnault pour liquides...... 3 »
- 1432. — — pour solides............................ 3 »
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-
-
-
- 1433. Tube gradué de 10 centim. cubes en 100
- 1434. — 20 — 100
- 1435. — 25 — 100
- 1436. — 50 — 200
- 1437. Mesure ou Vase gradué, avec ou sans pied, de
- 1438. — —
- 1439. — — _
- 1440. — — —
- 1441. -- — —
- 1442. — — —
- 1443. — — —
- 16
- 31
- 62
- 125
- 250
- 500
- 1000
- gr
- 3 50
- 4 «
- 5 »
- 1 50
- 2 » 3 «
- 3 »
- 4 »
- VERRERIE.
- FLACONS GOULOTS OU COL DROIT, BOCAUX, BOUTEILLES DE DIVERS FORMES.
- 1444. De 6 litres et au-dessus, la pièce. '..................... 2 75
- 1445. De 4 — — ......................... 1 50
- 1446. De 3 — — ......................... 1 25
- 1447. De 2 — — ......................... » 90
- 1448. De 1 litre 50 centilitres, —.............................. « 60
- 1449. De 1 litre, la pièce.........................;............ « 40
- 1450. De 750 grammes, la pièce.................................. » 30
- 1451. De 500 — — ............................... » 25
- 1452. De 375 — — ............................... » 20
- 1453. De 310 — — ............................... » 20
- 1454. De 250 — — ............................... « 20
- 1455. De 187 — — ................................ » 10
- 1456. De 150 — — ............................... » 10
- 1457. De 125 — — ............................... » 10
- 1458. De 93 — — ............................... » 10
- 1459. De 62 — — ............................... » 10
- 1460. De 31 — — ............................... #10
- 1461. De 16 — — ............................... « 05
- Nota.—Nous pouvons également fournir ces flacons vitrifiés.
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-
-
-
- FLACONS RONDS BOUCHÉS A L’ÉMERI, LARGE OUVERTURE, BLEUS OU BLANCS.
- Sans étiquette. Avec étiquette vitrifiée.
- 1462. De 12 litres, la pièce. . 14 50 24 »
- 1463. De 10 — 11 50 24 «
- 1464. De 8 — 9 50 15 «
- 1465. De 6 — 7 » 10 »
- 1466. De 4 — 5 » 6 50
- 1467. De 3 — 3 50 5 ».
- 1468. De 2 — 2 75 4 »»
- 1469. De 1 litre 50 centilitres, la pièce 2 » 3 25
- 1470. De 1 litre, la pièce 1 75 2 25
- 1471. De 750 grammes, la pièce 1 40 2 25
- 1472. De 500 — — 1 25 2 20
- 1473. De 375 — — 1 20 2 »»
- 1474. De 250 — — 1 » 1 80
- 1475. De 125 — — » 75 1 25
- 1476. De 93 — — » 60 1 15
- 1477. De 62 — — » 50 1
- 1478. De31 — » 40 » 90
- FLACONS RONDS BOUCHÉS A L’ÉMERI, ÉTROITE OUVERTURE, BLEUS
- OU BLANCS.
- (Fig- 47.) _______________
- Sans étiquette. Avec étiquette.
- 1479. De 6 litres, la pièce 4 80 )) »
- 1480. De 4 — 3 20 5 25
- 1481. De 3 — 2 40 4 50
- 1482. De 2 litres 50 centilitres, la pièce 2 » 3 75
- 1483. De 2 litre, la pièce 1 60 3 25
- 1484. De 1 litre 50 centilitres, la pièce 1 20 2 50
- 1485. De 1 litre, la pièce )) 80 1 75
- 1486. De 750 grammes, la pièce )) 75 1 60
- 1487. De 500 — — )) 65 1 50
- 1488. De 300 — — » 55 1 25
- 1489. De 250 — — » 45 1 10
- 1490. De 125 — — » 35 )) 90
- 1491. De 43 — — )> 25 )> 65
- 1492. De 62 — )) 25 » 55
- 1493. De 31 — — » 20 » 55
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-
-
-
- FLACONS CARRÉS EN VERRE FORT.
- lies flacons boucliés sont avec le nouveau bouchon «le Charles-Chevalier,
- modèle déposé.
- (Fig. 48.)
- Non bouchés étroits Bouchés à l’émeri.
- ou larges. Col large. Col étroit.
- 1494. De 1500 grammes, la pièce 1 10 2 40 1 65
- 1495. De 1000 — — )) 80 2 )) 1 20
- 1496. De 750 — — I) 70 1 70 1 «
- 1497. De 500 — «— » 45 1 50 » 75
- 1498. De 350 — — )) 40 1 35 » 60
- 1499. De 250 — — )) 30 1 20 )) 55
- 1500. De 125 — — )) 20 )) 85 » 50
- 1501. De 62 — — )> 15 )) 55 )) 35
- 1502. De 31 — — )) 10 )) 40 )) 25
- fig. 48. fig. 47.
- FLACONS CARRÉS, BOUCHÉS AVEC LE NOUVEAU BOUCHON DE CHARLES-CHEVALIER, ÉTROITS ET LARGES, AVEC ÉTIQUETTES.
- Col étroit. Col large.
- 1503. De 1500 grammes, la pièce 2 50 3 50
- 1504. De 1000 — — 2 25 2 80
- 1505. De 750 — — 1 50 2 35
- 1506. De 500 — — 1 50 2 25
- 1507. De 350 — — 1 25 2 ))
- 1508. De 250 — — 1 15 1 70
- 1509. De 125 — — . 1 » 1 25
- 1510. De 62 — — » 75 » 90
- 1511. De 31 — — » 65 )} 85
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- - 90 —
- DIVERS.
- 1512. Mortier et pilon, forme barreau, la pièce............... 1 50
- 1513. Œillère, la pièce. . .................................. » 40
- 1514. Éprouvette à pied ou sans pied, la pièce. .............. » 40
- 1515. Spatules............................................... » 40
- 1516. Cloche à douille ou bouton.............................. 1 50
- 1517. Entonnoir à robinet, de 1 litre....................... 5 »
- 1518. — — de 500 grammes.................. 4 50
- 1519. — — de 250 — .................. 4 »
- 1520. Flacon bouché, avec robinet au bas, de 4 litres......... 8 »
- 1521. — — de 3 —.............. 7
- 1522. — — de 2 —.............. 6 50
- 1523. — — de 1 litre 50 centilit. 6 »
- 1524. - — de 1 litre.......... 5 50
- 1525. — — de 750 grammes . . 5 25
- 1526. — — de 500 — . . 5 »
- 1527. — — de 375 — .. 4 50
- 1528. — — de 250 - . . 4 »
- 1529. Appareil à déplacement, simple. . . . •................. 6 »
- 1530. — à robinet......................... 10 »
- 1531. — de Guibourg....................... 20 »
- 1532. Vases en verre, à précipité, la pièce.......de 0,30 à » 50
- 1533. Bocaux couverts, la pièce...................de 0,50 à 4 »
- 1534. Entonnoir, de 1000 grammes.............................. » 35
- 1535. - de 500 — « 35
- 1536. — de 250 — « 30
- 1537. — de 125 — » 20
- 1538. — de 50 — » 15
- 1539. Entonnoir à déplacement, rodé, de 1000 grammes. ... 1 »
- 1540. — — de 500 — "... » 80
- 1541. — — de 250 — .... » 75
- 1542. — — de 125 * — .... « 60
- 1543. — — de 50 — .... « 50
- 1544. Ballons, matras, cornues, allonges, alambics, etc., de
- 30 grammes, la pièce ................................. » 10
- 1545. Idem, de 60 grammes, la pièce........................... « 10
- 1546. — de 125 — — » 15
- 1547. — de 500 — — » 25
- 1548 — de 1000 — — » 40
- 1549. — de 3000 — — 1 20
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- — 91 —
- 1550. Récipient florentin, de 500 grammes. ..................... 1 »
- 1551. — — de 1000 — 1 45
- 1552. _ — de 2000 — 1 75
- 1553. Récipients — à deux tubulures, de 1 litre........... 4 »
- 1554. _ _ _ de 2 5 »
- 1555. Alambic bouché à l'émeri, de 2 litres..................... 2 75
- 1556. — — de 1 —....................... 1 50
- 1557. — — de 500 grammes............... 1 25
- 1558. — — de 250 — 1 10
- 1559. Cornues, ballons, matras bouchés à l'émeri, de 2 litres. . 2 »
- 1560. — — — de 1 — .. 1 50
- 1561. — — — de 750gram. 1 25
- 1562. — — — de 500 — . 1 »
- 1563. Verres à expérience, à bec, de 15 grammes................. » 20
- 1564. — — de 30 — » 20
- 1565. — — de 60 — » 20
- 1566. — — de 125 — » 30
- 1567. — — de 250 — .................
- 1568. — — de 500 — » 50
- 1569. — — de 1000 — » 70
- 1570. Fioles à niveau d’eau, la pièce..............de 0,40 à » 60
- 1571. Cuiller en verre, la pièce.............................. 1 25
- 1572. Capsule — de 15 c. à.................................... » 50
- 1573. Agitateur, la pièce........................................... 15
- TUBES POUR LA CHIMIE.
- 1574. Cloche courbe......................................... » 50
- 1575. Compte-gouttes. ................................. » 50
- 1576. Entonnoir soufflé................................... » 40
- 1577. Pipettes simples ou recourbées, de 50 c. à............ 1 »
- 1578. Serpentin (fig. 52)................................... 6 »
- 1579. Siphon simple (fig. 49).............................. » 60
- 1580. — à branche (fig. 50)............................. 1 50
- 1581. — — et à boule (fig. 51)..................... 2 »
- 1582. —. à robinet, pour acides......................... 10 »
- 1583. Tubes courbés droits, de 20 c. à...................... » 30
- 1584. — à deux courbures, de 25 c. à................ » 35
- 1585. Tube de sûreté droit, à entonnoir (fig. 53)........... » 30
- 1586. — en S, sans boule (fig. 54).......................... » 60
- 1587. — à boule et cylindre (fig. 55) . . . .............. « 75
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-
-
- - 92 —
- 25
- 30
- 1588. Tube à gaz (fig. 56)
- 1589. — — (fig. 57),
- f\
- fig. 49. fig. 50. fig. 51. fig. 52.
- 1590. Tube abducteur (fig. 58).........
- 1591. — de Welter (fig. 59)...........
- 1592. — en T, de 50 c. à..............
- ;. 53. fig. 54. fig. £
- » 50 1 25 » 75
- — I
- U
- fig. 50. fig. 57. fig. 58. fig. 59. fig. 00. fig. Cl.
- 1593. Tube en U (fig. 60)...................................... 1 25
- 1594. — — à pointe effilée (fig. 61)........................... 1 25
- 1595. — — à bec inférieur (fig. 62)........................... 1 25
- fig. 02. fig. 63. fig. 64. fig. 65. fig. 66. fig. 67.
- 1596. Tube en U à pointe effilée (fig. 63)..................... 1 50
- 1597. — en V (fig. 64)....................................... 1 50
- 1598. — pour l’acide brômhydrique (fig. 65).................. 1 50
- 1599. — Liébig, à cinq boules (fig. 66)...................... 2 »
- 1600. — Liébig, à sept boules................................ 2 50
- 1601. — en lyre.............................................. » 75
- 1602. — à chlorure de calcium................................ « 40
- 1603. — à liquéfier l’acide sulfureux........................ 1 50
- 1604. — Will et Warentrap (fig. 67).......................... 2 »
- 1605. — — à trois boules................. 2 25
- 1606. Appareil de Frésénius et Will, pour doser l’acide carbonique 2 75
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-
-
-
- — 93
- ♦ PORCELAINE.
- de 3 centim. de diamètre . » 20
- de 4 — — • » 30
- de 55 millim. — > 40
- de 7 centim. — » 50
- de 8 - — . » 60
- de 10 — — . » 75
- 1 de 11 — — 1 »
- 1607. Capsules à bec, de 12 — — . 1 25
- fond plat ou rond ' de 14 — — 1 50
- \ de 15 — — 1 75
- 1 de 16 — — . 2 »
- de 19 — — . 2 75
- de 22 — — 3 50
- de 25 — — . 5 »
- de 28 — - . 6 50
- de 30 — — 7 50
- ^ de 33 — — . 8 50
- | de 3 centilitres . . ‘ . . . 1 50
- 1 de 6 — 2 ».
- de 12 — 2 50
- 1608. Cornues \ de 25 — 3 50
- de 50 — 5 »»
- f de 1 litre . 6 »»
- ^ de 2 litres 9 «
- En biscuit. Émaillés.
- r de 8 centim 1 75 2 50
- 1609. Mortiers avec de 14 — 2 25 3 » 4 50
- pilons . . . . de 11 — 3 50
- de 16 — 4 50 6 »
- de 19 — 7 » 8 »
- 1610. Nacelles .... » 40 —» 50
- 1611. Têts à gàz. . . j j en biscuit * » 75
- | émaillés 1 25
- 1612. Têts à rôtir. . | en biscuit »» 60
- ( émaillé 1 »
- 1613. Tubes, suivant la dimension .. 75 —3 »
- 1614. Curcubite pour les essais . 1 25
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-
-
-
- — 94
- de 1/2 litre 7 »
- 1615. Cuve à mercure | de 3 litres . 25 »
- I de 2 à 4 centim. de diamètre . . . . » 30
- de 55 millim. — » 40
- de 7 centim. — .... » 50
- 1616. Creusets avec »» 60
- couvercles. .
- de il — — . » 75
- de 14 — — 1 »»
- de 16 — — . . 1 . 1 25
- de 80 millimètres ..... »» 90
- de 97 1 »»
- 1617. Entonnoirs . . de 110 1 25
- de 195 3 50
- de 250 ..... 6 »
- 1618. Capsules à manche, de 170 millimètres. . . . 4 50
- 1619. — de,160 — . . . . 4 »»
- 1620. — de 150 — .... 3 25
- 1621. — ‘ de 140 — . . . . 2 75
- 1622. — de 130 . . . . 2 25
- GEÈS ET TEEKE.
- Non tubulée. Tubulée.
- 1 ' de 125 grammes . 40 »» 50
- 1 i de 250 — .» 50 »» 60
- 1623. Cornues en grès de 500 — « 60 »» 75
- verni de 1 litre ; » 75 1 »»
- > de 2 litres 1 40 1 50
- de 12 à 25 centilitres. > . . . » 20
- de 50 , . ». 30
- 1624. Cornues en grès de 1 litre . . »» 40
- ordinaire. . . de 2 —
- de 3 — . 1 »
- de 4 — . 1 20
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-
-
-
- — 95 —
- 1625. Fourneaux à
- bassine. . .
- de 14 centimètres de diamètre. . . . . de 16 —
- de 19 —
- de 22 — — .......
- de 25 — — ........
- de 27 — — ........
- de 30 — — ........
- de 33 — — ........
- 3 »
- 4 » 5' » 6 » 7 »
- 10 » 11 ». 13 »»
- lre grandeur. .
- 1626. Fourneaux à ]
- coupelles . . \ d
- (üg. 68.) 4"
- l 0e
- 12 »> 24 »» 36 »» 48 »» 60 »
- fig. 68.
- 1627»
- 1628.
- Fourneaux à main ....
- Fourneaux à
- réverbère..
- (fig. 69.)
- ide 12 centimètres, de 15 —
- de 18 —
- Ide 12 centimètres, de 14 —
- de 16 —
- de 19 —
- de 22 —
- de 25 —
- de 27 —
- de 30 —
- de, 33 —
- 1 »» 1 20 5 50 1 » 7 *»
- 9 »»
- 10 50
- 11 50
- 13 » 15 »»
- 17 »»
- 18 »
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-
-
-
- — 90
- 1629.
- 1630.
- Fourneaux à
- tubes . . .
- Creusets de
- liesse en grès verni
- de 22 centimètres, de 25 —
- de 27 —
- de 30 —
- de 33 centimètres, de 336 -
- 1631. Creusets en terre de Paris. . . .
- la pile de 8 creusets de grandeur croissante ................................
- Idem, de 6 creusets...................
- — de 5 — ...................
- — de 4 — ..................
- de 55 millimètres de diamètre.........
- de 7 centimètres — ..........
- de 8 — — ..........
- de 10 — — ..........
- de 12 - — ..........
- de 14 — — ..........
- de 16 — — ..........
- de 19 — — ..........
- 1632. Creusets en plombagine, de 50 c. à.
- 9 » 10 « 11 « 11 « 13 » 15 »
- 1 75 1 10 » 75 » 50 > 10 » 15 « 20 » 30 » 40 » 50 » 60 » 80
- 2 »
- 1633. Couvercles de
- creusets. . .
- jusqu’à 12 centimètres de 12 à 14 —
- de 16 à 19 —
- 10
- 15
- 20
- 1634. Fromages pour creusets, le cent, assortis. . . .*......... 40 »
- 1635. Tubes en grès vernis, de 75 c. à.......................... 1 »
- 1636. — — ordinaire. ................................... » 30
- [ de 4 à 11 centimètres, le cent........ 20 »
- 1637. Têts à rôtir . . .{ de 14 — —........... 25 r,
- / de 16 — —........... 30 »
- 1638. Moufles, de 70 c. à................................... 1 50
- 1639. Scarificateur........., . . .......................... .,10
- de 16 centimètres...................... ,, 75
- de 22 — 1 ,,
- de 27 — 1 25
- 1640. Terrines en de 33 — 1 50
- grès verni, de 38 — :.................. 2 75
- de 43 — 4 50
- de 48 — .................... . 5 50
- de 54 — 6 50
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-
-
- 1641. Moufles, de 70 c.à
- 1642. Scarificateur. . .
- — 07 —
- de 125 grammes..................
- , . . de 250 — ...............
- 1643. Entonnoirs, de 50Q _ ...............
- gl'ès fm- 1 de 750 - ...............
- de 1000 — ...............
- de 406 millimètres de diamètre. . de 380 — — . .
- . .de 352 — —
- 1644. Mortier enmar-/
- , . \ de 270 — — . .
- bre noir. . . , on
- de 189 — —
- de 162 — — . .
- de 108 — — . .
- Produits chimiques purs aux prix du cours.
- -----O- cgs|«!< -o----
- 1 50 « 10 » 40 » 50 » 70 1 » 1 25 80 » 70 » 60 » 35 » lu » 13 50 S »
- APPAREILS ET ACCESSOIRES
- POUR LES ANALYSES ET ESSAIS INDUSTRIELS
- ESSAI DES MÉTAUX.
- 1645. Appareil de M. Gay-Lussac pour les essais d’argent par
- la voie humide, très-complet....................... 500 »
- 1646. Appareil de M. Pelouze pour les essais de cuivre, d’après
- ses procédés, avec burettes et flacons; le tout dans une
- boîte............................................... 40 »
- 1647. Appareil de M. Flores Domonte pour les essais du plomb. 35 «
- 1648. — de M. Schaffner pour les essais du zinc........ 35
- 1649. Appareil de M. Jacquelain pour le dosage du cuivre, com-
- posé de deux tubes en verres dont un gradué......... 14 »
- 1650. Appareil de M. Marguerite pour les essais du fer par le
- manganate de potasse................................ 35 »
- ALCOOMÉTRIE, ESSAI DES VINS.
- 1651. Alcoomètre Gay-Lussac.............................. 3 »
- 1652. Aréomètre de Cartier.............................. 2 »
- 1653. Thermomètre éprouvette............................. 2 50
- 1654. Aréomètres divers (Voir le Catalogue Optique et Météoro-
- logie usuelles).
- 7
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-
- — 98 —
- 1655. Tartrimètre pour doser la quantité de tartre contenue
- dans le moût. .....'............................. 20
- 1656. Appareil de Gay-Lussac pour l’essai des vins........ 60
- 1657. — de Dubrunfault pour l’essai des alcools......... 70
- 1658. Bonde hydraulique de M. Payen pour la fermentation du
- vin.............................................. 10
- ESSAIS DES ALCALIS ET DES ACIDES. ]
- 1659. Alcalimètre et Acidimètre de Gay-Lussac servant à dé-fêë&â, terminer la richesse des soudes et potasses (fig. 70). . 35
- fig. 70.
- 1660. Alcalimètre de Descroizilles, complet avec notice. ... 12
- 1661. Natromètre de M. Pesier pour les soudes et potasses. . . 18
- 1662. Acidimètre de M. Otto pour les vinaigres. ........... 5
- 1663. Chloromètre de Gay-Lussac pour l’essai des chlorures
- L de chaux, etc.................................... 30
- \ ESSAI DES GRAINS ET FARINES.
- 1664. Balance pèse-grains pour apprécier leur qualité...... 60
- fig. vi.
- 1665. Appréciateur de M. Robine servant à apprécier la quantité de gluten contenue dans les farines (fig.-71). . . .
- 4
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- - 99 -
- 1666. Instructionpourled.it.................................. 2 »
- 1667. Aleuromètre Boland pour savoir les qualités panifiables
- des farines.......................................... 15 »
- 1668. Aleuromètre du même auteur, avec étuve................. 55 »
- 1669. Appareil de M. Donny pour les falsifications........... 50 «
- 1670. Étuve pour la dessiccation des farines.................. 8 »
- 1671. Féculomètre de M. Bloch pour mesurer la quantité d’eau
- contenue dans les fécules............................. 7 »
- 1672. Appareil de M. Millon pour la quantité d’eau contenue
- dans le*pain......................................... 18 »
- 1673. Thermomètre pour la fermentation des farines............ 5 »
- 1674. Microscope à colonne carrée spécial pour l’examen des
- farines, semblable à ceux que nous fournissons aux subsistances militaires, modèle avec deux lentilles et accessoires, boîte acajou............................ 75 »
- ESSAI DES HUILES.
- 1675. Oléomètre de M. Lefèvre, d’Amiens, pour la pureté des
- huiles........................................... 30 »
- 1676. Élaïomètre de M. Gobley pour le mélange des huiles. . 5 50
- 1677. Diagomètre de Rousseau pour connaître leur conducti-
- bilité électrique, et en déduire leur degré de pureté. 60
- fig. 72.
- 1678. Élaïomètre de M. Berjeot, de Caen, pour connaître la quantité d’huile contenue dans les graines oléagineuses (fig. 72). ............................................... 55 #
- ESSAI DU LAIT;
- 1679. Galactomètre.............................. 3 ^ »
- 1680. Lacto-densimètre de Quévenne pour la quantité d’eau
- contenue dans le lait (üg. 73)................. 3 »
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-
-
- 4
- - iôo -
- 1681. Crémométre de Quévenne pour mesurer la quantité de crème contenue dans le lait (fig. 73). ............
- 1682. Thermomètre pour les instruments ci-dessus (alcool)
- (fig.. 73)......................................... 2 50
- 1683. Instruction de Quévenne, revue par M. Boucliardat. . . 1 50
- 1684. Les instruments de Quévenne, pharmacien en chef de la
- Charité, ont été construits en premier sous la direction de Fauteur par Charles-Chevalier.
- 1685. Lacto-centésimal de A. Chevalier avec thermomètre,
- crémométre et instruction.......................... 12 »
- 1686. Lactoscope du docteur A. Donné pour la richesse butv-
- reuse du lait (fig. 74)............................ 20 »
- 1687. Lacto-saccharimètre de MM. A. Chevalier et Réveil pour
- les falsifications du lait et doser la lactine..... 35 »
- 1688. Appareil de Rosenthal, perfectionné par M. Poggiale,
- pour le dosage de la lactine....................... 15 »
- 1689. Lacto-butyromètre cylindrique de M. Marchand, pour le
- dosage du beurre contenu dans le lait.............. 8 »
- .1690. Instruction pour ledit............................... 1 »
- Le premier modèle de ce lacto-butyromètre a été construit par Charles-Chevalier.
- ESSAI DES ENGRAIS.
- 1691. Ammonimètre de M. Bobierre pour apprécier la quantité
- d’ammoniaque contenue dans les engrais......... 28 »
- 1692. Ammonimètre plus complet avec .tous les accessoires. .100 »
- 1693. Eudiomètre de Dupasquier pour doser l’azote...... 8 »
- 1694. Appareil de Schlœsing pour doser l’ammoniaque. ... 25 »
- ANALYSE DE L’AIR.
- 1695. Cinq tubes en U (Voirie Catalogue cle Mètèrèologie expéri-
- mentale).
- 1696. Aspirateurs (Voir le Catalogue de Mètèrèologie expérimen-
- tale).
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-
-
- 101
- 1697. Eudiomètres (Voir le Catalogue de Calorique).
- 1698. Appareil de MM. Dumas et Boussingault pour analyser
- l’air.............................................. 70
- 1699. Appareil de Bunsen pour obtenir le gaz détonnant ser-
- vant pour l’eudiomètre, au moyen du courant de la pile........................................ 15
- ESSAI DU SANG, DES URINES ET DES LIQUIDES SUCRÉS.
- 1700. Diabétomètre de M. Robiquet pour spécifier la quantité
- de sucre contenue dans les urines................. 90
- 1701. Pèse-urine avec thermomètre et éprouvette, étui. ... 15
- 1702. Albuminimètre de A. Becquerel pour doser l’albumine
- du sang et des urines.............................. 170
- 1703. Pèse-sucre ou sirop de Baumé........................... 3
- 1704. Tube gradué de M. Payen pour l’essai des sucres........ 8
- 1705. Appareil deM. Barreswill pour l’essai des liquides sucrés
- et la recherche du sucre dans les urines par la liqueur cupro-potassique................................... 25
- 1706. Saccharimètre Soleil, pour apprécier la quantité de su-
- cre contenue dans les liquides, au moyen de la polarisation........................................... 280
- 1707. Le même, plus complet, avec nécessaire à réactifs, sui-
- vant les procédés de M. Glerget.................... 400
- fig. 75.
- 1708. Saccharimètre Mitcherlischpour le même usage (fig. 75). 150
- 1709. Nécessaire de M. Vilmorin pour déterminer la richesse
- saccharine des betteraves.......................... 18
- 1710. Presse pour extraire le jus des échantillons de betterave
- et de canne à sucre................................ 90
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- ANALYSE DES EAUX. POTABLES ET DES EAUX MINÉRALES.
- 1711. Hydrotimètre de MM. Boutron et Boudet pour apprécier
- la quantité de sels calcaires contenus dans les eaux potables. ................................. 30
- 1712. Burette hydrotimétrique............................... 8
- 1713. Flacon jaugé 10, 20, 30 et 40 centim. cubes........... 3
- 1714. Liqueur hydrotimétrique, le litre..................... 6
- 1715. Tube gradué de M. Abich pour doser l’acide carbonique
- contenu dans les eaux............................... 6
- 1716. Appareil de M. Buignet servant aux usages du précédent. 60
- 1717. Sulfhydromètre de Dupasquier pour la quantité de soufre
- contenue dans les eaux sulfureuses................. 30
- 1718. Burette sulfhydrométrique............................ 6
- 1719. Tire-bouchon de M. Fontan pour recueillir les gaz con-
- tenus dans les eaux gazeuses en bouteille........ 12
- 1720. Densimètre pour l’eau de rivière ou de source...... 10
- 1721. — semblable pour l’eau de mer................... 10
- 1722. Pipette de M. Mohr pour puiser l’eau des sources miné-
- rales, avec étui.................................... 8
- 1723. Flacon du même auteur pour le même usage.............. 5
- ESSAIS DES MATIÈRES TINCTORIALES, DES BÉTONS, SUBSTANCES CHIMIQUES, ETC.
- 1724. Aiguille de Nicat pour la dureté des bétons et mortiers. . 45
- 1725. Quinimètre de MM. Glénard et Guilliermond pour l’essai
- de la richesse en quinine des quinquinas et du sulfate de quinine....................................... 35
- 1726. Tube de M. Chancel pour l’essai des fleurs de soufre. . . 20
- 1727. Décolorimètre de M. Harton Labillardière pour l’essai
- des indigos '...................................... 20
- 1728. Colorimètre de M. Collardeau pour l’essai des matières
- propres à la teinture.............................. 70
- RECHERCHE DES POISONS.
- Arsenic.
- 1729. Appareil de Marsh très-complet avec tous les réactifs et
- accessoires...................................... 50
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-
-
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- — 103 —
- 1730. Appareil de Marsh, simple (fig. 76)
- fig. 76.
- 1731. Appareil de Flandrin et Danger pour la frecherche de l’arsenic.....................................................
- Mercure.
- 1732. Appareil de Flandrin et Danger pour la recherche du mercure.................................................
- Phosphore.
- 1733. Appareil de Mitscherlich pour la recherche du phosphore.
- 4 »
- 25 »
- 15 »
- 12 »
- ->>£s>o-$oe4<<-
- POIDS ET MESURES
- MESURES LINÉRAIRES.
- en bois............................
- en baleine, pointé argent ... de 3 à
- en ivoire..........................
- en écaille, garni argent. . . de 15 à
- 1735. Mètre plat en noyer, garni en fer...................
- 1736. Double mètre, même construction.....................
- 1737. Mètre-canne ou mètre d’arpenteur....................
- 1738. Double mètre-canne se dévissant en 2 parties. .....
- 1739. Double décimètre en buis à 2 biseaux mill. et 1/2 mill.
- 1740. — en cuivre.........................
- 1741. — en ivoire.........................
- 1742. — en ivoire et ébène................
- 1743. Mesure roulante à ruban de fil de 5 mètres, se renfer-
- mant dans une boîte en cuir.......................
- 1744. Mesure semblable de 10 mètres.......................
- 1745. — — 15 — .. .... ........
- 1746. — - 20 — ..........................
- 1747. — — 30 — .......................
- 1748. — à ruban d’acier avec poignées, de 10 mètres. . .
- 1734. Mètre pliant
- 1 50
- 4 »
- 7 ’ 20 »
- 3 50
- 5 50 3 50
- 11 »
- 1 50
- 8 »
- 7 »»
- 7 »
- 2 50
- 3 50
- 5 »
- 8 » 12 » 18 • »»
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-
- — 104 —
- 1749. Mesure semblable, de 20 mètres......................... 35
- 1750. Mesure à ruban d’acier dans une boîte en cuivre, de 10
- mètres. .................................... 19
- 1751. Mesure semblable divisée de 2 en 2 millim.............. 22
- 1752. Modèle de vernier...................................... 8
- 1753. Mètres étalons (Voir le Catalogue Mathématiques).
- 1754. Cathétomètres (Voir le Catalogue Mètèrèologie expérimen-
- tale).
- MACHINES A DIVISER.
- 1755. Machine à diviser la ligne droite, munie d’une vis micro-
- métrique de 60 centim................................ 500
- 1756. Machine à diviser, plus simple...................... 350
- 1757. Machine à diviser avec vis de 60 centim., disposée pour
- diviser tous les genres de mesures, thermomètres, etc. 1300
- MESURES DE CAPACITÉ.
- 1758. Double décalitre en cuivre, étalon, fermé par un disque
- - en glace rodée....................................... 220
- 1759. Décalitre en cuivre, étalon, fermé par un disque en glace
- rodée.................................'............. 150
- 1760. Demi-décalitre en cuivre, étalon, fermé par un disque
- en glace rodée...................................... 100
- 1761. Litre en cuivre, étalon, fermé par un disque en glace
- rodée. ............................................. 50
- 1762. Demi-litre en cuivre, étalon, fermé par un disque en
- glace rodée........................................... 25
- 1763. Double décilitre en cuivre, étalon, fermé par un disque
- en glace rodée........................................ 20
- 1764. Décilitre en cuivre, étalon, fermé par un disque en glace
- rodée.................................•............. 15
- 1765. Demi-décilitre en cuivre, étalon, fermé par un disque en
- glace rodée........................................... 12
- 1766. Double centilitre en cuivre, étalon, fermé par un disque
- en glace rodée...............‘...................... 10
- 1767. Centilitre en cuivre, étalon, fermé par un disque en glace
- rodée............... . ............................. 8
- 1768. Centimètre cube creux avec disque en glace............... 3
- 1769. Double litre en étain.................................. 10
- 1770. Litre................................................. . 5
- 1771. Demi-litre............................................... 4
- 1772. Série complète du litre au centilitre................... 15
- 1773. Mesures en verre divisées (Voir le Catalogue Chimie).
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- — 105 —
- POIDS
- POIDS DU COMMERCE.
- 1774. Divisions du gramme à 1 centigramme.
- 1775. Poids en cuivre, à bouton, de 1 gramme.
- 75
- 10
- 1776. — 2 — h 15
- 1777. — 5 — )) 20
- 1778. — — 10 — . » 25
- 1779. — - 20 — )) 35
- 1780. — — 50 — » 70
- 1781. — — 100 — 1 15
- 1782. — - 200 — 2, »
- 1783. — — 500 — 2 50
- 1784. — — 1000 — 4 25
- 1785. - — 2000 — 7 ))
- 1786. — . 1787. Poids — 3000 entrant l’un dans l’autre, formant boîte *cône à 15 »
- charnière, série de 50 grammes.......................... 2 50
- 1788. Poids entrant l’un dans l’autre, formant boîte cône à
- charnière, série de 100 grammes......................... 4 • »
- 1789. Poids entrant l’un dans l’autre, formant boîte cône à
- charnière, série de 200 grammes....................... . 4 75
- 1790. Poids entrant l’un dans l’autre, formant boîte cône à
- charnière, série de 500 grammes......................... 7 50
- 1791. Poids entrant l’un dans l’autre, formant boîte cône à
- charnière, série de 1000 grammes........................ 12 »
- COLLECTION DE POIDS EN CUIVRE Forme cylindrique à bouton, avec socle ou boîte en bois de noyer verni.
- 1792. Socle à 4 gorges de 500 grammes......................... 8 »
- 1793. — — 1000 — ....................... 10 »
- 1794. _ 2000 — .................... 15 »
- 1795. Boîte à couvercle de 500 — .................... 8 50
- 1796. _ _ 1000 — 10 50
- 1797. — — 2000 — 15 50
- POIDS ÉTALONS.
- 1798. Série de poids de 10 kilogr., composée deré poids de 5 kilogr., de 2 kilogr., de 1 kilogr., plus d’un poids d’un kilogr. avec subdivision....................... 230 »
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-
-
- — 106 -
- 1799. Série de poids de 20 kilogr. . . ..................... 280 »
- 1800. Poids étalon massif de 1 kilogr. dans son étui;.......... 25 •»
- 1801. Le même, doré.......................................... 50 »
- 1802. Poids étalon de 20 kilogr................................ 80 «
- 1803. — — 10 —................................. 45 ..
- 1804. — — 5 —................................ 25 ».
- 1805. — — 2 —................................. 12 »»
- 1806. — — 1 —............................... 10 >»
- 1807. — — 500 grammes........................... 7 »
- 1808. — — 200 — ............................... 6 »
- 1809. — — 100 — .......................... 5 50
- 1810. — — 50 — 5 »>
- 1811. — — 20 — 4 50
- 1812. — — 10 — 4 »
- 1813. — — 5 — 3 50
- 1814. — — 2 — 2 50
- 1815. — — 1 — 2 »»
- 1816. Poids étalons en cuivre, de 5 décigrammes à 1/2 milli-
- gramme, de 1 fr. 50 à................................ » 50
- 1817. Poids de 1 gr., en platine........................ 5 »
- 1818. — 5 décigr.................................. 4 »»
- 1819. - 2 —................................... 2 50
- 1820. — 1 — ............................... 2 «
- 1821. — 1 centigr.................................... 1 50
- 1822. — 2 —.......................................... 1 25
- 1823. — 1 — . . . ................................ 1 50
- 1824. — 5 milligr.................................... 1 50
- 1825. — 2 — » 90
- 1826. — 1 — » .90
- 1827. — 1/2 — » 90
- 1828. Boîte de poids d’essais étalons, en platine, du gramme
- au 1/2 milligramme..................................... 70 »
- 1829. Boîte semblable, en argent............................... 55 »
- 1830. Boîte de 64 carats....................................... 30 »
- 1831. — 32............................................. 22 »»
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- — 107 —
- BALANCES.
- BALANCES DU COMMERCE.
- Balances à main avec collection <le poids et subdivisions, boîte en noyer verni renfermant le tout (fig. 77).
- 1832. Balance avec plateaux de 47 mill., série de poids de 30 gr. 6 )>
- 1833. — — 54 — 50—. 6 50
- 1834. — — 60 — — 50—. 7 »
- 1835. — — 70 — — 50—. 7 50
- 1836. — — 80 — - 100 — . 9 ))
- 1837. — — 90 — — 200 — . 13 »
- BALANCES A TRÉBUCHET,
- Se démontant, plateaux mobiles, étriers à brisures, collection de poids, subdivisions, boîte en noyer verni renfermant le tout (fig. 78).
- fig. 78.
- 1838. Modèle avec plateaux de 55 mill., poids de 50 gr.........22 »
- 1839. — — . 62 — 100—............ 24 »»
- 1840. — — 80 — 200—............ 29 «
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-
- BALANCES A COLONNE POUR LABORATOIRES.
- (Fig. 79.)
- fig. 79.
- fig. 79.
- 1841. Balance à colonne en cuivre, de 41 cent, de liaut, pesant
- 1/2 kil., plateaux de 12 cent. 1/2....................... 26
- 1842. Balance de 46 cent, de haut, pesant 1/2 kil., plateaux de
- 14 cent................................................ 29
- 1843. Balance de 52 cent, de haut, pesant 1 kil., plateaux de
- 15 cent................................................ 36
- 1844. Balance de 60 cent, de haut, pesant 3 kil., plateaux de
- 18 cent.................................................. 44
- 1845. Balance de 68 cent, de haut, pesant 6 kil., plateaux de
- 21 cent.................................................. 54
- Il faut ajouter une boîte de poids à ces balances.
- BALANCES ROBERVAL,
- En fonte, 2 plateaux cuivre, index et cadran (sans poids).
- (Fig. 80.)
- fig. 80.
- 1846. Balance pesant 1/2 kil.. plateaux 12 cent 17
- 1847. — 1 — 14' — 19
- 1848. — 2 — 14 — 22
- 1849. — 5 — 21 — 26
- 1850. — 10 — 23 — 35
- 1851. — 20 — 27 — 45
- 1852. Pèse-lettre de 24 centimètres, sur socle. 14
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-
-
- BALANCES DE PRÉCISION.
- 1853. Trébuchet de précision, pesant de 30 grammes, sensible
- à 5 milligrammes....................................... 65
- 1854. Trébuchet semblable, sensible à 2 mill................. 80
- 1855. — — — 1 —..................... 85
- 1856. Balance d’analyse pouvant peser 500 grammes et sen-
- sible au 1/2 mill., plans agate, cage en noyer verni (fig. 81),............................................ 650
- fig. 81.
- 1857. Balance d’analyse, pesant 250 gr. et sensible au 1/2 mill.,
- plateaux en platine, cage en noyer verni............300
- 1858. Balance semblable, plus petite, case sans tiroirs, pla-
- teaux en cuivre, pesant de 100 à 150 gr............. 230
- 1859. Petite balance d’analyse à pesées simples, portant 60 gr.
- dans chaque plateau et sensible au 1/2 mill., plateaux en argent, fils en platine, cage en acajou... 200
- 1860. Trébuchet d’analyse pouvant peser 50 gr. et sensible
- au 1/2 mill., fils en platine, plateaux en cuivre, poids en cuivre, cage en acajou.................... 125
- 1861. Balance de Plattner, avec cage et série de poids. ... 160
- ANATOMIE ET HISTOIRE NATURELLE
- 1862. PIÈCES D’ANATOMIE DU DOCTEUR AUZOUX.
- 1. Homme élastique complet, de 1 m. 80 cent., sur lequel se trouvent 92 parties, muscles ou organes, que l’on peut détacher, et plus de 2000 objets de détails, c’est-à-dire tout ce que peut indiquer le traité le plus complet d’anatomie descriptive...............................-.......... 3000
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- — 110 —.
- 2. Homme élastique de 1 m. 16 cent. (3 pieds 1/2), sur lequel se trouvent les mêmes coupes, les mêmes détails que sur le précédent..........................................1000
- 3. Homme élastique de 82 cent. (2 pieds 1/2), offrant tous les détails nécessaires pour le médecin praticien, quoique les coupes et les détails soient un peu moins multipliés
- que sur les deux précédents............................ 500
- 4. Homme élastique de 55 cent. (1 pied 1/2), aussi complet
- que celui de 500 fr................................... 300
- 5. Modèle d’homme de 1 m. 80 cent, (de 5 pieds 1/2), pour les
- vaisseaux lymphatiques, représentant d’un côté l’écorché avec les veines superficielles; de l’autre, les os, avec le réseau vasculaire complet, artères et veines, depuis le cœur jusqu’aux plus petites divisions, avec les ganglions et vaisseaux lymphatiques connus.................. 3000
- 6. Homme élastique incomplet, de 1 m. 80 cent. (5 pieds 1/2),
- destiné à l’enseignement de l’histoire naturelle dans les lycées et les établissements qui ne s’occupent pas d’une manière spéciale de la pratique de l’art de guérir, représentant, d’un côté, les muscles et les vaisseaux de la couche superficielle; de l’autre côté, les muscles, les vaisseaux et les nerfs de la couche profonde; du reste, offrant, pour les organes renfermés dans les cavités splanchniques, que l’on peut également enlever séparé-
- ment, les mêmes coupes, les mêmes détails que sur le modèle complet........................................ 1000
- 7. Modèle incomplet de 1 m. 16 cent. (3 pieds 1/2), pour les
- collèges, disposé comme le précédent.......... 500
- 8. Modèle de femme, sur lequel se trouvent les muscles et les vaisseaux de la couche superficielle, l’appareil interne et externe de la génération ; en enlevant la paroi antérieure du ventre, on trouve tous les organes que renferment
- les cavités thoracique et abdominale, les organes de la génération, les muscles, les nerfs, les vaisseaux et tous les viscères, que l’on peut enlever séparément. '. .... 1000
- 9. Bassin de femme, avec les organes de la génération, internes et externes, les vertèbres lombaires, le diaphragme, les muscles, les aponévroses du périnée, les vaisseaux et les nerfs................................................. 300
- 10. Pubis de femme avec les organes de la génération internes et externes, et 3 utérus montrant le produit delà conception, 1er et 3e mois..................................... 150
- 11. Ovologie. Collection de plus de 20 pièces, reproduites avec un grossissement énorme, montrant, presque jour par jour, toutes les modifications que subissent le germe et ses enveloppes, la vésicule vitelline, depuis le 1er jour jusqu’au 30e, c’est-à-dire depuis l’apparition de l’ovule • dans l’ovaire jusqu’à la formation de l’embryon, résumant tous les travaux modernes sur ce sujet................ 200
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- — 111
- 12. Huit utérus avec le produit de la conception au 1er, 2# 3e,
- 4e, 7e et 9e mois, avec des exemples de la grossesse tubaire et ovarique............................................... 300
- 13. Œuf d’épyornis (Is. Geoffroy Saint-Hilaire), de grosseur
- naturelle, c’est-à-dire 148 fois plus gros que l’œuf de poule sur lequel, au moyen de 4 coupes différentes, on peut étudier la structure de l’œuf frais et suivre la for-
- mation du germe jusqu’à son complet développement. . 100
- 14. Bassin d’homme avec les organes de la génération internes et externes, les muscles, les aponévroses du périnée, les vaisseaux et les nerfs................................... 300
- 15. Cerveau, cervelet, protubérance annulaire et bulbe rachidien, montrant les détails les plus minutieux du système nerveux de l’homme et des animaux vertébrés, d’après les travaux modernes; préparation sur laquelle, au moyen de nombreuses coupes, on peut suivre les faisceaux médullaires du bulbe depuis leur origine jusqu’à
- leur terminaison, chaque partie constituante de la masse encéphalique, de la protubérance annulaire et de la moelle allongée se détachant séparément.......... 150
- 16. Cervelet, moelle épinière, dans toute son étendue, avec
- l’origine des nerfs spinaux, racines antérieures et postérieures........................................... 50
- 17. Cœur d’adulte, se divisant en deux moitiés, montrant la
- disposition des cavités, des fibres musculaires, les vaisseaux, les nerfs, les valvules, les orifices des vaisseaux. . 50
- 18. Cœur de fœtus de grande dimension, disposé comme le
- précédent, montrant de plus la disposition du trou de.
- Botal, la valvule d’Eustache, le canal artériel, etc. ... 50
- 19. Œil complet de très-grande dimension, avec une portion
- de l’orbite, les muscles, les vaisseaux, les nerfs, les mem-. branes, le corps vitré, etc., chaque partie se détachant (fig. 82)......................................... 60
- fig.83.
- 20. Le même coupé verticalement (une moitié seulement), avec
- une portion de l’orbite, des muscles, des vaisseaux, des nerfs, des membranes et du corps vitré.................. 60
- 21. Oreille, temporal de 60 cent. (2 pieds) de long, montrant
- l’oreille interne, externe et moyenne, dans ses plus petits détails, l’épanouissement des nerfs auditifs, etc., appareil complet d’audition............................. 150
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- - 112 —
- 22. Oreille moitié moins grande que la précédente, offrant les
- mêmes détails............................................ 100 »
- 23. Oreille des oiseaux, dans des proportions gigantesques. . 50 »
- 24. Oreille des’poissons, dans des proportions gigantesques. . 50 »
- 25. Larynx de grande dimension, cartilages, muscles, vaisseaux
- et nerfs................................................. 10 »
- *26. Larynx de grande dimension, montrant les mêmes détails que le précédent, et, de plus, la trachée-artère, la division des bronches jusqu’aux dernières ramifications.................. 30 »
- 27. Moitié de tête de grande dimension, montrant jusque dans leurs plus petits détails toutes les parties qui se trouvent à la base du crâne, les divisions et les anastomoses des 5e et 7e paires de nerfs, et particulièrement de l’œil, de l’oreille, des fosses nasales, la bouche, la langue, le pharynx, le larynx, avec les muscles et tous les vais-
- seaux................................................... 250 #
- *28. La même, montrant seulement les détails nécessaires à l’explication des phénomènes de la mastication, de l’insaliva-tion, de la déglutition, de la voix, du goût, de l’odorat. . 150 »
- 29. Cheval complet de 1 m. 30 cent., anatomie complète offrant
- plus de 3000 objets de détail, se décomposant en 97 pièces ou morceaux, montrant sur un côté les muscles, nerfs et vaisseaux de la couche superficielle qui ne peuvent se déplacer; sur l’autre coté, les muscles, nerfs et vaisseaux, s’enlevant un à un comme dans une dissection, depuis la couche superficielle jusqu’au squelette, et dans les cavités splanchniques tous les organes qu’elles renferment, et que'l’on peut enlever et étudier séparément............. 4000 »
- 30. Cheval incomplet, montrant sur un côté les muscles, nerfs
- et vaisseaux de la couche superficielle ; sur l’autre côté, les muscles, nerfs et vaisseaux de la couche profonde seulement, et dans les cavités tous les organes splanchniques s’enlevant séparément comme dans le modèle complet. . 2000 »
- 31. Mâchoires du cheval, accusant nettement l’âge aux diffé-
- rentes époques de la vie. Collection composée de 30 types
- différents............................................... 200 »
- 32. Tableau montrant en relief la forme et l’organisation de
- toutes les dents du cheval.................................. 15 »
- 33. Mâchoires du bœuf, accusant nettement l’âge aux diffé-
- rentes époques de la vie. Collection composée de 14 types différents................................................. 100 »
- 34. Tares osseuses, composées d’os secs ou de portions d’os,
- montrant, depuis le principe jusqu’au maximum de développement, les affections connues sous le nom de courbes, jardes, èparvins, formes, suros, osselets. Collection composée de plus de 50 pièces..................................... 200 »
- 35. Jambe de cheval saine, écorchée, coupée à 20 cent, au-
- dessus de l’articulation du jarret, dont on peut détacher la pprtion d’os sur laquelle se forme une tare, et la rem-
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-
- — 113 —
- placer par des portions d’os malade ; avec 14 pièces de rechange, montrant toutes les tares osseuses aux différents degrés de développement.................................... 100 »
- 36. Jambe écorchée, sur laquelle se trouvent les tares osseuses,
- en place................................................... 50 »
- 37. Jambe recouverte par la peau, avec des exemples de toutes
- les tares osseuses, en place. ...».......................... 50 »
- 38. Jambe saine et recouverte de la peau seulement................ 50 »
- 39. Jambe à la condition de squelette, dont chaque os peut se
- détacher séparément, composée de 13 os différents. ... 50 «
- 40. Tares molles, jambe de cheval moitié écorchée, moitié re-
- couverte par la peau, sur laquelle se trouvent des exemples de tares molles, molettes, vésigond, capelet........... 50 »
- 41. Pied du cheval, montrant la disposition de la boîte cornée,
- du tissu podophylieux, du coussinet plantaire, avec les vaisseaux etles.nerfs, etc., toutes cesparties se détachant séparément, f............................................... 50 »
- 42. Sabot du cheval se décomposant à la manière de Bracy-Clark,
- c’est-à-dire en muraille, sole, fourchette, périople. ... 15 »
- 43. Dindon (Meleagris, Lin.), comme type des volatiles ; ana-
- tomie complète............................................. 300 »
- 44. Serpent (Boa constrictor), de 2 m. 20 cent, de long; anatomie
- complète, comme type des reptiles.......................... 300 »
- 45. Tête de vipère, considérablement grossie, montrant l’appa-
- reil venimeux, muscles, glandes et crochets................ 100 »
- 46. Perche de mer (Sciæna aquila), Gr. Cuvier, 1 m. 50 cent, de
- •long, comme type des poissons ; anatomie complète, muscles, nerfs, vaisseaux, viscères........................... 500 »
- 47. Hanneton (Melolontha vulgaris), comme type des insectes à
- l’état parfait, considérablement grossi, 12 fois le diamètre ordinaire, avec les muscles, les vaisseaux, les nerfs, les viscères, se décomposant en autant de fragments qu’il a d’organes, et offrant plus de 600 objets de détail indiqués par autant de numéros ; anatomie complète............. 250 »
- 48. Colimaçon (Hélix pomalia, Lin.), comme type des mollus-
- ques, considérablement grossi, 33 cent, de large (1 pied) sur 66 cent, de long (2 ptieds), avec les muscles, les vaisseaux, les nerfs, les viscères, se décomposant en autant de fragments qu’il a d’organes, et offrant plus de 600 objets dé détail ; anatomie complète....................... 250 «
- 49. Sangsue (Hirudo medicinalis), comme type des annélides
- (60 cent, de long), montrant les appareils vasculaires, nerveux, digestif, de la reproduction et de la locomotion; anatomie complète.......................................... 200 »
- 50. Ver à soie (Bombyx sericaria), comme type de l’insecte à l’état
- de larve, considérablement grossi (80 cent, de long), muscles, nerfs, trachées, montrant l’appareil de la soie dans toute son étendue, depuis l’organe qui sécrète le liquide soyeux jusqu’à la filière ; anatomie complète.............. 250 »
- 8
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- 51. Papillon du ver à soie, mâle et femelle, dans de grandes
- proportions. Chaque 100 fr........................... 200
- 52. Abeille (Apis mellijica), grossissement considérable, 8 cent.
- de long (3 pouces), reproduite sous 6 formes différentes : reine, mâle, cirière, ouvrière, avec propolis, avec pollen, sur lesquelles se retrouvent les caractères intérieurs et extérieurs qui distinguent chaque type; avec un gâteau de cire, dans les mêmes proportions, montrant l’œuf et le développement de la larve aux différentes époques de l’incubation......................................... 200
- 53. Anatomie comparative. Pour montrer comment s’opèrent
- les principales fonctions de la vie dans toute la série animale, depuis l’homme jusqu’au zoophyte; pour faire apprécier les différences que les organes présentent dans leur structure, dans leurs fonctions, j’ai exécuté, dans des proportions gigantesques, les organes de la digestion, de la respiration, delà circulation, de l’innervation, dans les mammifères, les oiseaux, les reptiles, les poissons, les insectes, les mollusques. Prix de cette collection complète................................................ 1000
- MÊME COLLECTION, SÉPARÉMENT.
- Pour la digestion, Estomac du lion, 30 fr.,—de ruminant, 80 fr.,
- —du cheval, 35 fr.,—de rongeur, 30 fr.,—d’un oiseau granivore, 20 fr.,—d’un oiseau de proie, hibou, 5 fr.— Estomac et tube intestinal de squale, 30 fr.,—d’écrevisse,
- 30 fr. ,—de poulpe , 30 fr.,—de sauterelle , 30 fr.,— d’abeille, 20 fr.................................... . . . 350
- Pour la circulation, Cœur et vaisseaux du fœtus humain, 50 fr.,
- — du crocodile, 40 fr.,—du serpent, 30 fr.,—de la tortue,
- 40 fr.,—du dugong, 40 fr.,—Cœur et branchies de la carpe, 40 fr.,—Cœur et vaisseaux de l’huître, 10 fr.,—
- Cœur et branchies de doris, 25 fr.,—de sèche, 25 fr.,— de moulette, 20 fr.—Cœur et trachées d’insecte, 40 fr. . 350
- Pour l’innervation, Cervelle et moelle épinière de l’homme,
- 150 fr.—Cerveau du chat, 50 fr.,—du rat, 30 fr.,—de l’oie,
- 30 fr.,—de la vipère, 20 lr.,—de la tortue, 20 fr.,—de la carpe, 20 fr.,—de la raie, 20 fr.,—Système nerveux des mollusques, 5fr.,—des rayonnés, 3fr.,—des arachnides,
- 5 fr.,—des écrevisses, 5 fr.,—des articulés à l’état de lar-
- ve, de chrysalide, d’insecte parfait, 15 fr................ 330
- Respiration des oiseaux, larynx, trachée-artère et poumons avec les
- sacs aériens............................................... 50
- Respiration des reptiles, poumons de grenouille................... 40
- Respiration des insectes, trachées et cœur de la nèpe............. 40
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- COLLECTION ORDINAIRE POUR LA ZOOLOGIE.
- Vertébrés.
- 1863. 1 squelette d’homme articulé............................. 80 »
- 1864. 12 squelettes pour l’anatomie comparée.................. 175 »
- 1865. Collection de 6 mammifères............................... 70 »
- 1866. — 10 mammifères............................ 120 »
- 1867. — 10 oiseaux................................. 45 »
- 1868. — 15 oiseaux................................. 75 »
- 1869. — 20 oiseaux................................ 100 #
- 1870. — 4 reptiles................................ 25 »
- 1871. — 6 reptiles................................ 40 »
- 1872. — 6 poissons................................ 45 »
- 1873. — 10 poissons................................ 75 »
- Articulés.
- 1874. Collection de 100 insectes.............................. 28 «
- 1875. — 200 insectes.............................. 60 »
- 1876. — 500 insectes............................. 150 »
- Vers.
- 1877. Collection île 6 espèces.............................. 8 »
- Mollusques (Coquilles).
- 1878. Collection de 100 espèces.............................. 32 »
- 1879. — 200 espèces............................... 65 »
- Xoophytes.
- 188(1 Collection de 12 espèces............................... 18 »
- Infusoires.
- 1881. Collection de 12 échantillons. ........................ 12 »
- HERBIERS POUR L’ÉTUDE, CLASSÉS PAR FAMILLES NATURELLES.
- 1882. Herbier élémentaire de 60 plantes, dicotylédones, mo-
- nocotylédones et acotylédones, selon le programme de rUniversité........................................ . 15 »
- 1883. Le même, plus complet (130 plantes), avec un grand
- Tableau synoptique du règne végétal, très-propre à faciliter renseignement de la botanique............. 35 »
- 1884. Le même, de 200 espèces, 50 fr.; 1er choix............. 60 »
- 1885. Le même, beaucoup plus complet (260 espèces), de 65 à 75 »
- 1886. Herbiers spéciaux de plantes médicinales, de plantes
- utiles ou nuisibles à l’agriculture, de graminées et plantes fourragères pour l'étude des prairies naturelles et artificielles, etc.-— Le cent.................... 30 »
- 1887. Très-bel herbier de 2,000 plantes..................... 400 »
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- CRYPTOGAMES AU CHOIX ET PAR COLLECTIONS.
- 1888. 1,000 à 1,500 espèces de toutes les classes. —Le
- cent....................................... de 25 à 35
- COLLECTION DES PLANTES MARINES
- Qui croissent sur les côtes de France ; fixées sur papier et conservant leurs formes et couleurs naturelles.
- 1889. Collection de 9 types.................................. . 3
- 1890. — 15 types...................................... 5
- 1891. — 30 espèces................................... 10
- 1892. — 45 espèces................................... 15
- 1893. Grande collection de 60 espèces....................... 20
- 1894. — — 100 espèces et variétés........... 36
- 1895. Feuilles au choix à 40 et 50 centimes.
- PETIT CABINET D’HISTOIRE NATURELLE Pour les collèges, séminaires, etc.
- 1896. Cette jolie collection se compose des pièces suivantes :
- Pour la zoologie : 4 mammifères, 12 oiseaux, 5 reptiles et poissons, 6 crustacés et arachnides, 50 insectes de tous les ordres, 50 mollusques, marins, lluviatiles et terrestres, 5 rayonnés et zoophytes.
- Pour la botanique : 130 plantes dicotylédones, monoco-tylédones et acotylédones, avec un très-grand tableau synoptique du règne végétal, présentant les familles naturelles des plantes, selon la méthode de Jussieu, et, de plus, le système sexuel de Linnée, les propriétés des plantes, etc.
- Pour la géologie : 100 roches de tous les terrains, classées dans l’ordre de leur superposition, 100 fossiles caractéristiques de chacun de ces terrains, et 2 tableaux Figuratifs de l’état et de la structure minérale du globe, de M. Nérée Boubée, coloriés, indispensables pour faire comprendre aux élèves la disposition des roches, la position des minéraux exploitables, l’association des minerais dans les filons, la classification générale des roches, la disposition des produits volcaniques, etc., etc.
- Ensemble 460 échantillons avec les boîtes, les supports, les cartons, les flacons nécessaires, etc. Prix.......380
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- CHIRURGIE
- INSTRUMENTS D’OPTIQUE APPLIQUÉS A LA CHIRURGIE.
- 1897. Endoscope du docteur A.-J. Désormeaux pour voir dans la vessie, l’urètre, les fosses nasales, etc., avec miroirs, lampe, lunette et coffret en acajou (fig. 83).... 150 »
- ^gg .........s-sagggi
- «g. 83.
- 1898. Endoscope semblable avec 3 sondes en argent.................... 205 »
- Cet instrument, dont l’usage a déjà rendu de grands services, a été construit sous la direction de l’auteur par Charles-Chevalier.
- Slanièrc de faire usagée de l’endoscope.
- L’endoscope se compose :
- 1“ D’un tube renfermant un miroir métallique incliné à 45° sur l’axe de l’instrument, et percé à son centre; ce tube se termine, à une extrémité, par une douille qui sert à l’adapter aux sondes que l’on introduit dans les organes; par l’autre bout, il est muni d’un diaphragme percé, comme le miroir, d’une petite ouverture centrale;
- 2° D’une lampe placée dans une sorte de lanterne, que l’on réunit à la pièce précédente au moyen d’un tube latéral. La lumière de cette lampe, réfléchie par un réflecteur concave, vient tomber sur le miroir incliné, qui la dirige vers les objets placés au bout de la sonde ;
- 3° Une lentille, destinée à faire converger les rayons lumineux sur l’objet que l’on veut éclairer.
- La lampe doit être aussi petite que possible, pourvu qu’elle donne assez de lumière, afin que l’appareil soit facile à monter. Celle qui remplit le mieux ces conditions est une petite lampe à gazogène (liquide composé d’essence de térébenthine et d’alcool, l’alcool pur ne donnerait qu’une flamme bleue sans lumière).
- Pour monter l’appareil, on fixe, dans la douille à vis de pression, l’extrémité de la sonde, puis, sur le tube latéral, on adapte la lampe, que l’on a préalablement réglée de façon que sa flamme blanche réponde au centre du miroir concave. Il faut avoir soin que la flamme ne soit pas trop petite, mais aussi qu’elle ne soit pas trop haute, parce qu’alors son maximum d’intensité se trouvant au-dessus de l’axe du réflecteur, elle éclairerait peu, ou même pas du tout. On parvient à la mettre au point convenable en faisant glisser, dans un sens ou dans l’autre, le tube qui entoure la mèche.
- Lorsque ces conditions sont bien remplies, les objets doivent être bien éclairés à l’extrémité de la sonde, et on doit les voir distinctement en regardant par l’ouverture du diaphragme.
- Il faut avoir soin, pendant tout le temps de l'examen, de maintenir la lampe bien
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- verticale, sans quoi elle n’éclairerait pas. Il est bon d’être dans un lieu obscur, parce que les objets observés b. la lumière artificielle paraissent d’autant plus éclairés que la lumière extérieure est moindre. Lorsque la surface des objets est humide, il faut commencer par l’essuyer avec soin; pour cela, le meilleur moyen consiste à les éponger au moyen de petits morceaux d’agaric, montés sur une tige flexible qui s’introduit dans les sondes par leur ouverture latérale.
- Enfin, nous ferons observer que ce n’est guère qu’après cinq ou six observations que l’on peut être assez familiarisé avec l’instrument pour bien observer.
- Les sondes varient suivant l’usage auquel on les destine; pour les organes remplis de liquides, comme la vessie, on emploie une sonde fermée par un verre. Dans les autres cas, on se sert de sondes ouvertes par les deux bouts, et fendues sur le côté pour pouvoir y introduire le porte-éponge, des porte-caustiques ou d’autres instruments. Tantôt ces sondes doivent être introduites dans les organes au moyen d’un embout que l’on retire avant de fixer la sonde dans l’endoscope (urètre, utérus, rectum); tantôt il est plus commode de les fixer à l’instrument avant leur introduction (fosses nasales, pharynx).
- Nous ferons observer, en terminant, que l’intérieur des sondes doit être teint du noir le plus mat possible. On y arrive en les enduisant d’une couche de noir de fumée au vernis, que l’on brûle ensuite en exposant la sonde à la chaleur d’une lampe.
- 1899. Ophthalmoscope de Coccius, modifié par M. Follin (fig. 84). 25 »
- 1900. Ophthalmoscope de M. Desmares....................... 12 »
- 1901. Le même, avec lentilles de différents foyers........ 15 »
- 1902. Laryngoscope du doctehr Zermatt, modèle complet avec
- trousse en gaînerie (fig. 85)..................... 50 »
- VERRES DE LUNETTES EN CROWN-GLASS OU CRISTAL FRANÇAIS
- Travaillés avec précision au papier.
- 1903. La paire, du n° 80 au n« 5.............:.................. 5 «
- 1904. — — 4 1/2 au n° 3............................. 6 »
- 1905. — — 2 1/2 et 2................................ 8 »
- VERRES PRISMATIQUES POUR LA VISION DOUBLE.
- 1906. 'La pièce......................................... 7 »
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- VERRES SPÉCIAUX POUR LA CATARACTE.
- Voir le G dialogue spécial d’Optique et Météorologie usuelles, illustré par 42 figures.
- VERRES A TEINTE ENFUMÉE POUR LES LUMIÈRES VIVES.
- Voir le Catalogue d’Optique et Météorologie usuelles.
- 1907. TRAITÉ COMPLET DE LA CONSERVATION DE LA VUE
- OU
- MANUEL DES MYOPES ET DES PRESBYTES
- PAR
- CIIAItLES-CIIKVAIilËB.
- Cet ouvrage contient tous les renseignements nécessaires aux personnes qui font usage des lunettes. Prix : 2 fr 50.
- TROUSSE OPTIQUE D’OCULISTE
- DE
- ARTHUR CHEVALIER.
- 1908. Cette trousse en gaînerie contient 58 faces en lmffle à recouvrement, des divers numéros pour vue myope ou presbyte et pour la cataracte, douze verres prismatiques, deux montures en acier à ressorts pour l’essai des verres, un diamant pour marquer le numéro, une loupe. . . . 380 »
- Nota. — Cette trousse est décrite dans l’Hygiène de la Vue. par Arthur Chevalier, brochure avec 20 figures intercalées, prix 1 fr. Envoi gratis h MM. les médecins,
- INSTRUMENTS DE PHYSIQUE ET D’OPTIQUE
- A L’USAGE DE LA JEUNESSE.
- Tous les instruments suivants fonctionnent parfaitement; ils sont destinés à l’instruction de la jeunesse, et fournissent aux parents des moyens peu coûteux de donner aux enfants des notions sur la Physique, l’Optique, en les préparant à comprendre parfaitement ce qui est expliqué dans les cours de physique, etc. On pourra, pour la nomenclature des expériences, suivre l’excellent Traité élémentaire de M. Ganot, et plus tard le Manuel du Physicien préparateur, de MM. Fau et Charles-Chevalier.
- PHYSIQUE.—ÉLECTRICITÉ.
- 1909. Machine électrique à un conducteur, socle en bois rougi, plateau de 25 centim., bouteille de Leyde et excitateur
- simple............................................... 18 »
- 1910. Machine semblable, plateau de 27 centim................ 32 »
- 1911. Machine semblable, socle en noyer...................... 37 »
- 1912. Machine, socle en bois rougi, plateau de 30 centim. ... 45 »
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- 1913. Machine, socle en bois de noyer, plateau de 30 centim. .
- 1914. Machine, socle en bois de noyer, plateau de 35 centim.
- et 2 conducteurs...............................
- 1915. Machine, socle en bois de noyer, plateau de 40 centim.
- 1916. Tabouret isolant, en bois rougi, pour machines de 25 et
- 27 centim.................................... 4 et
- 1917. Tabouret isolant, en bois rougi, pour les autres ma-
- chines..................................... de 8 à
- 1918. Carillon électrique à crochet.......................
- 1919. Carillon électrique à bouteille de Leyde. ........ .
- 1920. Tube étincelant......................................
- 1921. Appareil à grêle,............................... 6 et
- 1922. Théâtre de pantins, avec un pantin.............. 6 et
- 1923. Tourniquet électrique........
- 1924. Carreau étincelant...........
- 1925. Carreau fulminant............
- 1926. Carreau pour la pièce de monnaie
- 1927. Appareil à gaz...............
- 1928. Pistolet de Volta. ............................. 2 et
- 1929. Excitateur à manche de verre.........................
- 1930. Batterie de quatre bocaux de Leyde............. 10 et
- 1931. Perce-carte....................
- 1932. Appareil à enflammer la poudre
- 1933. — — l’éther. .
- 1934. Électromètre à balle de sureau.
- 1935. Électroscope, cadran d’ivoire. .
- 1936. Bouteille fulminante.........
- 1937. Tête de poupée..........
- 1938. Appareil à œufs..............
- 1939. Balançoire électrique........
- 1940. Chasseur électrique..........
- 4 941. Bouteilles de Leyde...........
- 1942. Appareil de la pluie lumineuse.
- G et
- de 2 à
- 55
- 80
- 110
- 7
- 12
- 4
- 7 6
- 8 8 6
- 5
- 6 5 8
- 3 8 12
- 9
- 8
- 5
- 4
- 6 8
- 5 8
- 11
- 9
- 6
- 13
- PNEUMATIQUE.
- 1943. Petite machine pneumatique à un corps de pompe,
- cloche en cristal.................................. 30
- 1944. Hémisphères de Magdebourg................ .'......... 14
- 1945. Jet d’eau dans le vide.......................... . . 14
- 1946. Appareil dit pluie de mercure........................ 14
- 1947. Tube pour la chute des corps......................... 18
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- 1948. Coupe-pomme......... ............................ 5 »
- 1949. Crève-vessie........................................ 3 »
- 1950. Ballon à clochettes................................. 14 »
- ÉLECTRO-MAGNÉTISME, ETC.
- 1951. Appareil électro-médical forme boîte à dominos, fonc-
- tionnant avec une pile............................. 25 »
- 1952. Télégraphe électrique, chaque station............... 50 »
- 1953. Galvanomètre simple. . ............................. 15 »
- 1954. — plus sensible, deux aiguilles............. 45 »
- OPTIQUE.
- 1955. Microscopes (Voir le Catalogue spècial). de 8 à 30 »
- 1956. Prismes................................. de 2 à 5 »
- 1957. Lanternes magiques ordinaires, avec douze /verres
- peints................ 9, 12, 15, 18, 25, 28, et 32 ><
- 1958. Stéréoscopes (Voir le Catalogue cl’Optique usuelle). 1 75 à 12 »
- MATHÉMATIQUES.
- 1959. Boîtes de compas...................... depuis 5 »
- LIBRAIRIE
- Pour l’usage de tous les Instruments pour la Physique , l’Optique, etc., voir :
- LE MANUEL COMPLET
- DU PHYSICIEN PREPARATEUR
- ou
- DESCRIPTION D’UN CABINET DE PHYSIQUE
- PAR LE DOCTEUR J. FAU
- Auteur de l'Anatomie des formes extérieures du corps humain et de l'Anatomie artistique élémentaire, traducteur des Manipulations électro-typiques de Walker.
- ET
- CHARLES-CHEVALIER
- Ingénieur, Constructeur d’instruments de précision, Lauréat (Médailles d'or) aux Expositions nationales et à la Société d’encouragement.
- 2 forts vol. avec atlas in-8 contenant plus de 1000 figures gravées.
- Cet ouvrage, très-pratique, est indispensable aux personnes qui s’occupent de physique. Prix, 15 fr.
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- Auzoux, Leçons élémentaires d’anatomie et de physiologie
- humaine, 1 vol. in-8 avec fi g...................... 6 »
- Barruel, Chimie technique appliquée aux arts et à l’industrie, 7 vol. à 7 fr........................................ 49 »
- Berzélius, De l’emploi du chalumeau dans les analyses chimiques, Paris, 1836, 1 vol. in-8........................... 6 »
- Beudant, Cours élémentaire de minéralogie et de géologie,
- 1857, in-12 avec fig................................ 6 »
- Bouchardat et Quiîvenne , Traité des falsifications du lait,
- 1 vol. in-8............................................... 6 »
- Boutigny, Études sur les corps à l’état sphéroïdal, in-8 avec
- 26 fig.............................................. 7 »
- Chevalier, Dictionnaire des falsifications, 2 vol. in-18, 1854. 13 »
- Chevalier (Arthur), Hygiène de la Vue, avec figures.......... 1 »
- Desmares, Traité théorique et pratique des maladies des yeux,
- 3 forts vol. in-8, 205 fig. .T...................... 23 »
- Duchenne, De l’électrisation localisée et de son application à
- la physiologie et à la thérapeutique, 1 vol. in-12,894 fig. 12 »
- Ganot, Traité élémentaire de physique avec 568 fig......... 7 »
- Ganot, Cours de physique à l’usage des gens du monde, 308 gr. 5 50
- Payen, Chimie industrielle, 2 vol. et atlas................ 25 »
- Pouillet, Éléments de physique expérimentale, 2 vol. in-8 et
- atlas............................................... 18 »
- Sichel, Iconographie ophthalmologique, 2 vol. in-4°....... 172 50
- ET TOUS LES OUVRAGES DE CHIMIE, PHYSIQUE ET SCIENCES.
- LISTE DES OUVRAGES DE CHARLES CHEVALIER
- 1820 à 1828 (avec Vincent Chevalier). Diverses brochures et instructions sur la chambre claire, le microscope, etc.
- 1829. Notice sur la chambre claire et la chambre obscure.
- 1833. Notice sur l’usage des chambres obscures et des chambres claires, 2e édition, vol. in-8 avec planches gravées.
- 1839. Conseils aux artistes et aux amateurs sur l’usage de la chambre claire, 3e édition, in-8 avec planches (épuisé).
- 1839. Des microscopes et de leur usage, manuel complet du micrographe. 1 fort vol. grand in-8 avec 5 taille-douce (épuisé),
- 1841. Manuel des myopes et des presbytes.
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- 1841. Nouvelles instructions sur l’usage du daguerréotype. Description d’un nouveau photographe et d’un appareil très-simple pour la reproduction des épreuves par la galvanoplastie, vol. in-8 avec planches (épuisé).
- 1844. Mélanges photographiques, vol. in-8 avec planches (épuisé).
- 184G. Nouveaux renseignements sur l’usage du daguerréotype, vol.
- in-8 avec planches (épuisé).
- 1847. Recueil de Mémoires et de procédés nouveaux concernant la photographie sur plaques métalliques et sur papier, vol. in-8 avec planches (épuisé). Notes par Arthur Chevalier.
- 1854. Guide du photographe, ou Traité d’optique appliqué à la photographie, suivi de procédés (épuisé). Notes par Arthur Chevalier.
- 1855. Photographie sur papier sec, glaces albuminées, collodion par MM. Bacot, de Bréhisson, et notes de Charles Chevalier et Arthur Chevalier.
- 1853. Perfectionnement des lorgnettes jumelles, brochure sur leur usage................................................... # 75
- 1853. Manuel complet du physicien préparateur ou Description d’un cabinet de physique, ouvrage fait en collaboration avec le Dr J. Fau, 2 forts vol. in-8 contenant plus de 1000 figures gravées, avec atlas.............................................. 15 »
- 1859. Méthodes photographiques perfectionnées. Mémoires suiToptique avec procédés de MM. A. Civiale, de Brêbisson, Niepce de Saint-Victor, etc. Notes par Arthur Chevalier................. 4 »
- 1855. Publication d’une traduction du Traité du microscope par
- M. Adolphe Hannover de Copenhague , annoté par Charles Chevalier. ......................................... 5 »>
- 1854. Publication des 12 leçons de photographie par le Dr J. Fau.
- 1839. Publication des 300 animalcules infusoires, de Pritchard (épuisé).
- Le Traité de la Chambre claire, le Manuel du Micrographe, le Manuel des Myopes et Presbytes, et diverses brochures sur la Photographie, ont été traduits en allemand.
- POUR PARAITRE INCESSAMMENT
- NOUVELLES ÉDITIONS.
- Manuel du Micrographe de Charles Chevalier , avec une deuxième partie par Arthur Chevalier.
- Traité de la Chambre Claire, de Charles Chevalier*
- Nouveau Traité de Photographie, par Arthur Chevalier, etc.
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- RAPPORTS
- SUR LES INSTRUMENTS
- INVENTÉS OU CONSTRUITS
- PAR CHARLES-CHEVALIER
- Microscope simple, construit et perfectionné par Charles Chevalier»—
- Rapport (le M. le baron üéguier.
- « Messieurs, l’invention du microscope livra à l’observation tout un monde nouveau. Cette découverte fut pour nos sens imparfaits une précieuse conquête qui enrichit leur domaine d’une foule innombrable de corps, d’êtres organisés dont notre intelligence ne pouvait même pas soupçonner l’existence.
- « Tout d’abord formé d’un globule de verre, ou de toute autre matière transparente, il suffisait pour satisfaire la seule curiosité; mais cet instrument devait bientôt être dépouillé de toutes ses imperfections parles sciences qui empruntèrent son secours. C’est ainsi que, par de savantes applications des lois de l’optique, de simple devenu composé, il fut débarrassé de ses défauts primitifs.
- « Le microscope reçut ses premiers perfectionnements aux dépens de sa simplicité, et si la conjugaison de plusieurs verres évita les aberrations de sphéricité et de réfrangibilité, ces avantages furent tempérés par l’inconvénient grave du renversement que le croisement des rayons fit éprouver aux images.
- « Ce n’est que dirigé par une rectification intellectuelle que la main peut aller chercher dans un point, où l’œil semble lui dire qu’il n’est pas, l’objet soumis à l’examen du microscope composé ordinaire.
- « Le microscope simple, qui amplifie sans renverser les images, est préférable pour les observations où la main doit arriver au secours de l’œil. Il importait donc, en lui conservant cette précieuse qualité, de trouver le moyen d’éviter les déformations et les fausses couleurs qu’il fait éprouver aux objets observés. Plusieurs procédés furent tentés ; le plus généralement usité fut l’emploi des diaphragmes qui limitent le champ du verre et ne laissent voir que la partie de l’image dont la déformation est peu ou point sensible. Ce moyen est bien insuffisant, puisqu’en circonscrivant la vision il ne fait que soustraire à l'œil des défauts auxquels il ne remédie pas.
- « L’invention récente par le docteur Wollaston de son doublet microscopique, composé de deux lentilles, était le perfectionnement le plus réel qu’ait reçu le microscope simple, lorsque M. Chaules Chevalier, aidé de l’expérience de tous ceux qui l’ont précédé, dirigé par ses connaissances personnelles, non-seulement dans la pratique de son art, mais aussi dans la théorie des sciences qui s’y rattachent, découvrit à force d’essais une nouvelle disposition de lentilles. Leurs effets remarquables par la grandeur du champ d’observation, par la pureté des formes et la belle lumière, ont été soumis par lui à votre vérification.
- « Un tel examen ne pouvait se faire en un seul instant; il devait être le résultat d’observations délicates, de comparaisons nombreuses. Vous nous avez chargé d’examiner a loisir le microscope simple de M. Chevalier, pour vous en rendre compte. C’est le devoir que nous remplissons aujourd’hui.
- « Nous allons commencer par vous donner la description de l’instrument présenté.
- « Cet instrument ainsi modifié devient, quant à présent, le plus parfait que nous connaissions. Cette opinion n’est pas seulement la nôtre, elle serait d’un trop faible poids dans la balance de vos décisions ; c’est encore celle de MM. Audouin, Bron-gniart, Bresciiet, Nonat, dont nous avons cru devoir nous-même consulter les lumières. Ces savants, voués aux études microscopiques, ont bien voulu , dans des notes écrites et que nous déposons à l’appui de ce rapport, nous transmettre, pour
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- servir de base à notre jugement, les réflexions que leur suggère leur pratique quotidienne.
- « Vous ne vous étonnerez pas, Messieurs, que M. Charles Chevalier ait amené le microscope simple à ce degré de perfection, lorsque vous réfléchirez qu’il est le fils d’un constructeur que vous avez plusieurs fois récompensé, et que la profession qu’il exerce lui-même, non en simple fabricant, mais en artiste éclairé, lui a fourni l’occasion d’exécuter un grand nombre de ces instruments.
- « Aussi habile à se servir du microscope qu’à le construire, M. Chevalier s’est plu à écouter et recueillir les observations des nombreux savants avec lesquels il est sans cesse en relation. Honoré pendant longtemps de l’amitié de l’homme qui s’est le plus occupé du microscope, je veux parler de M. le Baillif, à la mémoire duquel je suis heureux de payer moi-même ici un tribut de vive reconnaissance, M. Charles Chevalier a pu étudier et reconnaître les formes les plus appropriées à tous les genres d’observations.
- « Félicitons-nous, Messieurs, de trouver l’occasion de récompenser en sa personne ces heureux fruits toujours certains de l’alliance féconde de la théorie et de la pratique.
- « Nous avons donc l’honneur de vous proposer, au nom du Comité des arts mécaniques, d’adresser le nom de M. Charles Chevalier au Comité des médailles, et d’insérer le présent rapport au Bulletin.
- « Signé : le baron SÉGUIER, rapporteur.
- « Approuvé en séance, le 8 janvier 1834. »
- N. B. Dans le rapport de M. le baron Séguier, on remarque’aussi la note qui suit :
- « Nous voùs ferons remarquer que M. Chevalier est le premier, en France, qui ait imité Wollaston et Pritchard, en construisant des lentilles de diamant, de saphir et de grenat. » C. C.
- Médaille d’or. — Société d’encouragement. — 1834.
- « Le microscope simple de M. Ch. Chevalier est, quant à présent, le plus parfait que l’on connaisse. Cette opinion n’est pas seulement la nôtre, c’est encore celle de plusieurs savants voués aux études microscopiques.
- « Vous ne vous étonnerez pas, Messieurs, que M. Chevalier ait amené le microscope simple à un haut degré de perfection, lorsque vous saurez que la profession qu’il exerce, non en simple fabricant, mais en artiste, lui a fourni l’occasion d’exécuter un grand nombre de ces instruments.
- « Aussi habile à se servir du microscope qu’à le construire, M. Chevalier « s’est plu « à écouter et recueillir les conseils des nombreux savants avec lesquels il est sans « cesse en relation/ » et il a pu étudier et reconnaître les formes les plus appropriées à tous les genres d’observations.
- «Nous nous félicitons, Messieurs, de trouver l’occasion de récompenser en sa personne ces heureux fruits, toujours certains de l’alliance féconde de la théorie et de la pratique, en vous proposant, au nom de votre conseil d’administration, de décerner à M. Charles Chevalier une médaille d'or de deuxième classe. »
- M. le baron SÉGUIER, rapporteur.
- Extrait des Annales des sciences naturelles (1833), par MM. Audouiu, Adolphe Mrongniart et Humas. — Note sur un Microscope simple perfectionné.
- « Les microscopes simples, c’est-à-dire ces instruments formés d’une seule lentille de verre ou d’autre matière transparente qui, à la propriété de faire voir les petits objets plus près qu’à la vue simple et de les grossir en raison de ce rapprochement, sont depuis longtemps employés avec succès pour l’observation et surtout pour la dissection des parties végétales ou animales qui échappent à la vue. En général, cependant, l’emploi de ces utiles appareils était fort limité, à cause des diaphragmes qui en diminuaient beaucoup la clarté et la pureté, mais qui étaient nécessaires pour obvier aux aberrations de réfrangibilité et surtout de sphéricité. Le célèbre Wollaston avait, il est vrai, amélioré le microscope simple, tant par l’application du principe périscopique aux lentilles de microscope (Transactions philosophiques de 1812, 2° partie), que par son doublet microscopique, décrit dans les Transactions philosophiques de 1829. Mais aucun instrument ne nous paraît avoir rempli les conditions d’un champ de vue étendu, joint à beaucoup de netteté et de clarté, avec autant d’avantages que les
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- lentilles piano-convexes doubles ou triples de M. Charles Chevalier, ingénieur opticien, Palais-Royal, n° 163. La disposition des verres, leur courbure, leur diamètre, leur ouverture et leur distance respective sont tellement calculés, que l’effet en est, selon nous , supérieur à ce qui a été fait jusqu’à ce jour ; et ce n’est pas le seul perfectionnement qu’il ait apporté aux microscopes simples, car il en a'combiné la monture de manière à rendre leur usage aussi commode que possible. On peut, à volonté, s’en servir pour les grossissements faibles ou très-forts, et les employer, par conséquent, à la préparation et à l’examen des gros objets ou à l’observation des corps les plus ténus et les plus déliés. Une connaissance spéciale de ces précieux instruments et une comparaison attentive des diverses modifications qu’on leur a fait subir ont pu seules amener cet heureux résultat que nous désirions depuis longtemps, et nous ne pouvons que féliciter M. Charles Chevalier d’être parvenu ainsi à faciliter les travaux des botanistes et des zoologistes. »
- Exposition de 1831. — Médaille d’or. — Il apport du jury.
- « M. Charles Chevalier obtint, en 1827, une médaille d’argent avec son père, M. Vincent Chevalier auquel il était alors associé.
- « Maintenant M. Charles Chevalier est à la tête d’un établissement qu’il a formé depuis quelques années. 11 expose personnellement divers instruments de physique d’une très-bonne exécution; ses microscopes achromatiques, dont nous connaissions déjà les effets remarquables , ont particulièrement attiré notre attention. Nous les avons comparés avec un excellent microscope d’Amici, le meilleur de ceux qu’on possède à Paris; nous avons dû reconnaître, non sans étonnement, mais avec une vive satisfaction, que « le microscope de M. Charles Chevalier est véritablement « supérieur à celui d’Amici. »
- « On sait que les instruments de ce genre sont indispensables au succès d’une foule de recherches intéressantes; en ces derniers temps, ils ont conduit à de véritables découvertes, soit dans la chimie organique, soit dans l'anatomie végétale ou animale.
- « M. Charles Chevalier, en portant le microscope à un plus haut degré de perfec-« tion, rend aux sciences un service important ; le jury lui décerne une médaille d’or. »
- « Rapporteurs : MM. le baron SÉGUIER, SAVARY et POUILLET.
- « Présidence de M. le baron THÉNARD. »
- Séance de la Société Ëntomologique (6 avril 1836).
- ( Mégagraphe. — « M. Charles Chevalier présente un nouvel instrument d’optique de l’invention de M. Percheron, et à l’aide duquel on peut dessiner les objets transparents et demi-transparents à tous les degrés de grossissements désirables. Cet instrument, exécuté par M. Chevalier, porte le nom de mégagraphe. M. Lefebvre, qui s’était livré de son côté, de concert avec M. Percheron, à la recherche d’un pareil instrument, était parvenu à un résultat semblable par un effet inverse de la lumière. »
- Extrait des procès-verbaux des séances du conseil d’administration de la Société d’encouragement (Séance du Mmai 183*).
- « M. Ch. Chevalier, ingénieur opticien, prie la Société de faire examiner un nouveau système de microscope simple, dont la partie essentielle se compose d’irn verre convexe et d’un verre concave, ainsi que les appareils suivants, savoir : une chambre claire appliquée à une lunette qui donne la mesure exacte du grossissement d’une lunette quelle qu’elle soit; la distajnce d'un objet, quand on connaît son diamètre et réciproquement; enfin toutes les dimensions des objets placés sur le même plan et à la même distance qu’un objet éloigné dont on connaît, au préalable, les dimensions, enfin qui permet de dessiner avec détail toutes les parties d’un objet éloigné ; 2° une nouvelle chambre claire double, plus commode que les anciennes pour le dessin, par le plus grand champ qu’elle offre; 3° une autre chambre claire, remarquable autant par l’exiguïté de ses dimensions que par les heureux résultats qu’on en peut obtenir dans la pratique des arts. »
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- une suite de longueurs qui sont celles du corps observé ayant 2 mètres de haut, situé à des distances exactement connues ; bien entendu que ces images sont propres uniquement à la vue de l’observateur , et pourraient ne convenir qu’à lui seul. On fera de ces longueurs d'images une sorte d’échelle sur le papier, laquelle servira d’étalon pour les expériences qu’on voudra faire >. En observant une règle de 2 mètres placée au loin, on en connaîtra la distance par la longueur de l’image projetée par la caméra, et portée sur l’échelle avec un compas. L’exactitude de cette opération est vraiment remarquable; et on conçoit que le même procédé s’appliquera aux objets de toute dimension, pourvu qu’elle soit connue d’avance, et que, réciproquement, on peut obtenir la mesure de la grandeur d’un objet dont la distance est connue.
- « Tels sont, Messieurs, les appareils qu’a présentés M. Ch. Chevalier. Le Comité a reconnu l’exactitude et le talent avec lesquels l’auteur les a combinés et ajustés ; il a pensé que ce n’était pas une chose de peu d’importance, dans le genre d’industrie qui fait le sujet de ce rapport, que d’avoir rendu les expériences faciles et précises par des arrangements simples et faits avec art. Nous vous proposons d’insérer le présent rapport au Bulletin et de le renvoyer aux comités chargés de décerner vos récompenses.
- « FRANCŒUR, rapporteur.
- « Approuvé en séance, le 13 mars 1839. »
- Exposition de 1839. — Rapport du «Jury. — Rappel de Médaille d’or.— Diplôme délivré par ordre du roi.
- « M. Charles Chevalier reproduit d’abord, exécutés avec la même perfection, les microscopes achromatiques qui lui ont mérité, en 1834, « la plus haute distinction; » il les reproduit, de différentes grandeurs, avec tous les mouvements, on pourrait dire toutes les transformations qui en rendent l’application facile aux divers genres de recherches, aux états différents des corps soumis à l’observation. Indépendamment d’un grand nombre d’appareils connus, M. Ch. Chevalier présente encore des instruments dont le principe ou l’objet est au moins en partie nouveau. 11 en est ainsi d’une lunette micrométrique où le micromètre extérieur à la lunette, est tout simplement un cadre de verre dépoli portant un réseau de lignes noires. Ce cadre est fixé perpendiculairement au tuyau dans le voisinage de l’objectif. L’oculaire de la lunette est prismatique, et l’image des objets éloignés, sortant du prisme, traverse, pour arriver à l’œil, une petite ouverture circulaire pratiquée dans un miroir incliné qui
- 1 Les épreuves pour tracer l’échelle des distances ne peuvent avoir une grande précision ; mais elles sont inutiles quand on connaît le degré d’amplification de la lunette, et nous avons dit qu’il est aisé de l’obtenir avec exactitude par des expériences répétées, qui annulent les erreurs d'observation.
- Le triangle rectangle formé par la distance et la règle verticale, telle qu’on la voit amplifiée par la lunette, ést semblable à celui que font les rayons réfléchis par la caméra, savoir la distance de l’oculaire au papier qui reçoit l’échelle qui correspond à cette distance; on en tire aisément cette longueur.
- Par exemple, si la lunette grossit vingt fois les objets, et que la règle verticale de 2 mètres soit placée à 100 mètres de distance, on posera cette proportion :
- 100 mètres est à 20 fois 2 mètres, comme la distance du papier à l’oculaire (que nous supposons de de 25 centimètres) est à x.
- On trouve x = = —j^0, m, 1 == 1 décimètre, partie de l’échelle qui répond à 100 mètres
- d’éloignement de la mire de 2 mètres.
- Plus f^néralement, si g est le grossissement de la lunette, L la longueur de la Tègle, D sa distance i la distance de la vision nette (ou de l’échelle oculaire), on a D : L g : : i\ x.
- _ L g i
- x —
- D
- en sorte qu’on peut prendre pour mire tout objet de hauteur connue L, et qu’en donnant à D diverses valeurs croissantes (toutes les quantités étant exprimées en mètres) on aura toutes les divisions de l’échelle. On tire de cette formule :
- d=L^J, l = ^,
- x Jt’
- La première équation donne la distance D de tout objet de hauteur L connue, d’après la hauteur x de sa projection par la caméra; la deuxième fait connaître la hauteur L d’un objet, d’après sa distance D et celle même projection x. Bien entendu qu’on ^ suppose que la puissance amplifiante de la lunette est mesurée avec soin, et que chaque observateur ayant pris pour i la distance qui convient à sa vue. l’échelle n’est utile que pour lui-même. Ces formules rendent même cefte échelle inutile, puisqu'il suffira de mesurer avec un compas le nombre fie millimètres de l'image projetée par la caméra; car tout sera alors connu dans l’une ou l'autre de ces équations.
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- réfléchit en même temps, vers l’observateur, les raies tracées sur le cadre de verre. La rétine superpose ainsi les deux images. C’est principalement pour déterminer à la fois la position d’un grand nombre d’objets voisins que ce genre de micromètre peut être utile ; néanmoins, il s’applique aussi à la mesure des grossissements, des distances pour les objets terrestres. Mous préférerions, ce qui revient exactement au même quant à l’effet, que la vision de l’objet éloigné se fit directement à travers la lunette (on facilite ainsi tout au moins la recherche de l’objet), et que les raies du cadre microinétrique, que l’on peut éclairer à volonté, parvinssent à l’œil par une double réflexion. 11 faut ajouter qu’Herschell le père, que Schrôter, quand ils dessinaient la carte de la lune, se servaient l'un et l’autre d’un moyen analogue : le cadre était placé de même, seulement on employait, pour superposer les deux images, les deux yeux à la fois, l’un appliqué à la lunette, l’autre au dehors, dirigé vers les divisions, exactement comme on le fait quand on mesure à l’œil nu des grossissements médiocres. Un autre essai de M. Ch. Chevalier a plus d'importance : il s’agit d’une lunette, désignée sous le nom de télescope dioptrique, contenant, outre l’objectif ordinaire, un second objectif situé entre le premier et l’oculaire, comme le flint dans les lunettes dialytiques. On pourrait croire au premier coup d’œil que la lunette de M. Ch. Chevalier est une lunette dialytique, et pourtant il n’en est rien. Dans les lunettes que nous venons de citer, l’objectif extérieur et le verre intermédiaire sont l’un et l’autre simples , destinés à détruire à la fois la coloration et la confusion des images; on économise de la matière et du travail: dans le système de M. Chevalier, on n’économise rien du tout; l’objectif et le verre intérieur sont l’un et l’autre doubles et achromatiques séparément; mais on se donne de nouveaux moyens d’arriver à une perfection plus grande : on se donne une indétermination de courbures et de distances dont il est possible de profiter pour obt'enir des images plus nettes et plus pures. On perd, il est vrai, quelque chose en clarté; mais, toute compensation faite, il y aura probablement encore avantage, dans certains cas. Des images nettes, quoique affaiblies, s’y distinguent encore lorsque des objets plus éclairés, mais confus, échappent à l’œil. La lunette ne nous a été présentée que comme l’essai d'un principe; toutefois, avec un grossissement de deux cents fois environ, l’effet en a été satisfaisant. Le jury rappelle à M. Ch. Chevalier la médaille d’or qu’il a obtenue en 1834.
- « Rapporteurs : MM. MATHIEU, SAVART, POUILLET, SÉGUIER, SAVARY. »
- Rapport fait par II. Francœur, an nom <lu comité des arts mécaniques, sur le llanuel du llicrographe de SI. Charles Chevalier.
- <c M. Charles Chevalier, quia mérité de vous, Messieurs, d’honorables récompenses pour l’exécution parfaite des divers instruments d’optique qui lui ont valu une réputation européenne, est aussi auteur de plusieurs traités dignes d’estime, sur l’art qu’il exerce avec succès. Il vient de publier un ouvrage spécial sur le microscope, sa construction variée et ses usages; on n’y trouve aucune idée neuve sur les théories d’optique, et l’auteur n’avait pas pour objet de les accroître et de les éclairer-; mais il a voulu mettre le public dans la confidence d’une multitude de pratiques que l’expérience lui a indiquées pour pouvoir tirer du microscope tout le parti désirable : on y remarque plusieurs chapitres destinés à indiquer les moyens de vérifier si les microscopes réunissent les conditions qu’on doit y trouver quand l'exécution en est convenable, et d’en savoir interpréter les indications avec rigueur sous les rapports de grossissement, de formes, de proportions, etc. Le Manuel du Micrographe est un très-bon ouvrage qui sera consulté avec avantage par toutes les personnes qui ont besoin du secours du microscope pour voir, étudier et décrire les formes des corps qui échappent à nos yeux par leur petitesse. Ce livre est au courant de l’état actuel de la science et mérite votre approbation.
- « J’ai l’honneur, Messieurs, de vous proposer d’adresser des remercîments à M. Charles Chevalier pour l’exemplaire dont il vous a fait hommage, et d'insérer le présent rapport au Bulletin. »
- Approuvé en séance, le 18 décembre 1839.
- Rapport fait par SI. Francœur, vice-président de la Société d’en couva-îfcmcnt, sur un opuscule de 11. Charles Chevalier, intitulé llanuel des llyopes et îles Presbytes.
- « Un grand nombre de personnes sont obligées de se servir de besicles pour voir distinctement, soit à raison d’un vice de conformation de l’organe de la vue, soit par l’effet d’un affaiblissement causé par l’âge ou la fatigue; mais il n’est pas rare, dans
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- les relations ordinaires de la vie, que l’on ait une très-fausse idée du secours qu’on peut retirer des verres optiques pour faciliter la perception des objets ; faute d’une instruction spéciale, on se méprend étrangement sur un usage aussi indispensable, et on risque de s’altérer la vue. par un mauvais emploi.
- « Lorsque cette ignorance n’a d’autre effet que d’apparaître ridiculement dans la conversation par des propositions fausses , l’inconvénient n’est pas dangereux ; on laisse volontiers les discoureurs confondre l’usage des verres concaves qui servent aux myopes avec les verres convexes des presbytes, et on sourit lorsqu’on voit des gens étonnés que les premiers lisent sans lunettes, et ne peuvent s’en passer pour distinguer les objets à distance , tandis que c’est le contraire pour les autres. Mais ordinairement cette ignorance conduit à se servir de verres défectueux ou mal conformés pour l'organe qu’on veut aider, et on nuit d’une manière irréparable à cette précieuse faculté.
- « M. Charles Chevalier, bien connu du public comme babile constructeur de beaux instruments d'optique, auteur de plusieurs traités relatifs à cette science, a voulu, dans l'opuscule que nous analysons , mettre chacun à même de raisonner l’emploi qu’il doit l'aire des verres, pour l’organe qu’il veut aider, afin de faire un choix éclairé de la nature et de la force des verres dont sa vue l’oblige à faire usage.
- « Dans une première partie, consacrée à la théorie de la vision, l’auteur donne l’histoire de l’invention des besicles, qu’il attribue à Salvino Armati et à Alexandre Spina , il expose la marche de la lumière à travers les verres convexes ou concaves ; la structure de l’œil analogue à celle de la chambre obscure ; l’explication donnée par M. le docteur Gerdy, du fait qui consiste à voir droites et directes des images
- 3ui sont peintes renversées sur la rétine ; il décrit les affections des yeux qui obligent e recourir à l’usage des verres, et la cause qui les rend myopes ou presbytes ; les premiers ne voient nettement que les objets rapprochés, ils ont la vue plus ou moins basse ; c’est le contraire pour les presbytes.
- « La seconde partie expose les qualités que doivent avoir les verres relativement à la vue de la personne qui veut s’en servir, la construction des verres, des besicles et des diverses espèces de lunettes ; les conseils à suivre pour en faire un choix judicieux; ce qu’on entend par les numéros distinctifs des verres, les modifications qu’on a apportées dans leur construction, etc.
- « En définitive, le Manuel des Myopes et des Presbytes est un ouvrage utile, clairement écrit et à la portée de tous les lecteurs pour lesquels il est composé. Nous félicitons M. Chevalier d’avoir fait cet utile traité, qui ne renferme de science que ce qu’il était indispensable d’en donner pour l’intelligence du sujet. »
- Société d’encouragement. — Extrait du rapport, fait au uom d’une commission spéciale, composée de ISIS, le baron Silvestre, Amédée Durand, Oaultliier de Clanbry, llerpiu, «Jomard, Chevalier, I*ayen, Cour lier, et baron A. SSéguier, rapporteur (Séance du 33 mars 1843).
- «. La simplification dans les procédés, sous le rapport de commodité et de la sûreté « des opérations, vous avait semblé devoir être provoquée par des récompenses en « médailles. M. Charles Chevalier, déjà plusieurs fois honoré de vos plus hautes « récompenses, vous paraît encore celui qui a le mieux rempli, sous ce point de vue, les « conditions de votre programme.
- « Pour mettre la rémunération en proportion avec le service rendu, et conserver « ainsi une très-utile gradation dans vos moyens d’encouragement, vous lui décernez « en cette circonstance une médaille de platine : la construction de ses objectifs à dou-« blés verres à foyer variable, diminuant les aberrations de sphéricité, offrant la possibilité « de faire coïncider la grandeur de Vimage perçue avec l'étendue de la plaque qui la reçoit, « le rend digne de cette récompense.
- « Les modèles d’appareils qu’il vous a présentés vous ont paru d’une bonne disposiez tion et d’une construction très-soignée ; mais les études de M. Charles Chevalier sur « la 'composition des objectifs , les succès en ce genre obtenus avant tous les autres, vous « paraissent constituer un progrès plus important. De tels perfectionnements intéres-« sent l’art photographique en général, qui ne pourra probablement jamais se passer « de l’intermédiaire des objectifs pour la perception des images. »
- Rapport du «Jury central de l’exposition de 1844, sur les Instruments présentés par SI. Charles Chevalier.
- « M. Charles Chevalier est toujours l’un de nos plus habiles opticiens pour la construction des lunettes terrestres, des appareils de toute espèce et surtout des microscopes. Les perfectionnements considérables qu’il avait apportés dans ces
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- derniers instruments, lui valurent la médaille d’or, en 1834; le rappel de cette distinction lui fut accordé, en 1839, pour quelques perfectionnements nouveaux et pour des dispositions ingénieuses qu’il avait introduites, dans plusieurs appareils. « L’Exposition de 1844 constate que M. Charles Chevalier ne cesse pas d’être en pro-« grès. » Ses microscopes comptent toujours parmi les meilleurs qui se construisent en France et à l'étranger ; il en a varié avec beaucoup d’intelligence les dimensions, les formes et l’ajustement, pour les approprier à tous les usages et à toutes les recherches. 11 a donné de nouveaux développements à l’idée qu’il avait eue de construire des lunettes à deux objectifs, et l’on peut espérer qu’elle recevra de lui d’utiles applications. Les nombreux appareils qu’il a présentés à l’examen du jury, comme machines pneumatiques, daguerréotypes, etc., etc., sont tous remarquables ou par la sagacité avec laquelle ils sont conçus, ou par la précision avec laquelle ils sont exécutés. Le jury rappelle de nouveau, en faveur de M. Charles Chevalier, la médaille d’or qu’il a reçue en 1834 et 39.
- « M. POUILLET, rapporteur. »
- Société d’enconrarement pour l’industrie nationale (46e année, avril 184Ï).— Rapport de M. Edmond Becquerel sur la nouvelle machine pneumatique à mouvement continu, intentée par M. Charles Chevalier.
- « M. Charles Chevalier, ingénieur-opticien, a soumis à l’examen de la Société 1 une' nouvelle machine pneumatique qui rend plus facile la manœuvre de cet appareil et permet d’en étendre les applications.
- « La machine pneumatique à deux corps de pompe, actuellement en usage dans nos laboratoires, est mue à l’aide d’une double manivelle avec laquelle on imprime directement un mouvement alternatif de va-et-vient aux pistons des corps de pompe destinés à raréfier l.’air ; ce mouvement se transmet de la manivelle aux tiges des pistons à l’aide d’un pignon qui s’engrène dans les crémaillères de ces mêmes tiges. Or, cette disposition ne permet pas d’augmenter à volonté le diamètre des corps de pompes : en effet, pour un diamètre plus considérable que 8 à 10 centimètres, les tiges se trouvant plus éloignées que dans les machines de moyenne grandeur, on serait forcé de donner une plus grande dimension au pignon ; d’un autre côté, comme on ne pourrait augmenter la longueur de la manivelle, les bras de l’opérateur ne devant pas se trouver trop écartés, il faudrait trop de force pour faire mouvoir les pistons dans les corps de pompe.
- « Le nouveau modèle, présenté par M. Charles Chevalier, est à l’abri de cet inconvénient et permet de construire des machines pneumatiques dont les corps de pompe peuvent avoir des dimensions quelconques. Cet appareil se compose d’abord, comme les machines ordinaires, de deux corps de pompe et de leurs pistons; il n’en diffère que par le mécanisme moteur et par la manière dont les pistons sont fixés à leurs tiges; le mécanisme moteur est un double volant en fonte, au moyen duquel on imprime à un arbre horizontal un mouvement de rotation continu: sur cet arbre est fixé un pignon qui engrène dans une roue dentée. Cette roue entraîne un axe coudé formant deux excentriques sur lesquels sont ajustées les tiges inférieures de deux fourches, dont la disposition est telle que, lorsque l’arbre horizontal tourne, les fourchettes ont un mouvement de va-et-vient de haut en bas et de bas en haut, mais toujours en sens opposé, c’est-à-dire que, lorsque l’une s’élève, l’autre s’abaisse. Ces fourchettes communiquent leur mouvement aux tiges des pistons, qui sont toujours maintenues verticales, étant guidées par des galets dans des montants fixes formant coulisses. On voit que ce mécanisme consiste simplement à transformer le mouvement de rotation des volants en mouvement vertical de va-et-vient. Quant à la manière dont les pistons sont fixés à leurs tiges, c’est, sans contredit, une des innovations les plus importantes faites à la machine pneumatique. Ces tiges, en effet, passent au milieu de ressorts d’acier tournés en hélice, qui reposent sur la partie supérieure des pistons , et permettent de faire appliquer exactement ceux-ci sur la base des corps de pompe. Les accessoires de l’appareil et les robinets à double épuisement, sauf de légers changements, sont les mêmes que dans les machines actuellement en usage.
- « En résumé, ces dispositions permettent d’augmenter à volonté les dimensions des cylindres, et de modifier la vitesse de raréfaction de l’air ou la puissance de la machine, en changeant le diamètre des roues dentées. On doit donc espérer que ce nouveau modèle multipliera les applications delà machine pneumatique en lui donnant des dimensions que l’on ne pouvait atteindre précédemment, et en permettant d’y appliquer facilement un moteur quelconque.
- « En conséquence, le Comité des arts économiques a l’honneur de vous proposer
- 1 Le 4 mars 1846,
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- d’approuver la nouvelle machine pneumatique de M. Charles Chevalier, qui est construite avec toute la précision que l’on remarque dans les appareils qui sortent des ateliers de cet habile constructeur, et d’insérer le présent rapport au Bulletin de la Société avec la gravure de l’appareil.
- « EDMOND BECQUEREL.
- « Approuvé en séance, le 17 février 1847. »
- Depuis la présentation du rapport de M. Becquerel., M. Ch. Chevalier a ajouté un perfectionnement à sa machine ; il a remplacé le robinet, inventé par M. Babinet, par une soupape conique qui s’ouvre et se ferme à l’aide d’une vis, faisant partie de cette même soupape. Cette vis est mue par un levier ; la tige de la soupape traverse une boîte à cuirs, de manière à intercepter l’introduction de l’air extérieur. A l’aide des barres articulées, on ferme par le même mouvement le conduit du grand canal et l’on ouvre le robinet qui établit la communication entre les deux corps de pompe, afin d’obtenir le double épuisement indiqué par M. Babinet. D.
- Extrait du journal l’Artiste, 2° série, t. VII, 6e livraison
- (« février 184L1).
- « M. Charles Chevalier a obtenu, dès ses premiers essais, un résultat qui peut « donner une idée de la finesse avec laquelle on peut mouler par le procédé Jacoby : « dans un cas, l'application du métal fut si exacte , qu'une planche du daguerréotype fat « reproduite avec ses traits légers, etc. »
- Extrait du Teclinologiste, rédigé par II. Ifalpeyre (t. III, p. 382). Nouvelles instructions sur l’usage du Ilaguerréolype, par 91. Charles
- Chevalier.
- « Depuis longtemps, M. Charles Chevalier, habile constructeur des beaux microscopes achromatiques répandus aujourd’hui dans les cabinets des savants les plus distingués de notre époque, exposait au regard du public des images photographiques d’une telle pureté , d’une finesse de détails si remarquable et d’un ton si chaud, qu’elles faisaient l’admiration des connaisseurs ; déplus, on savait que cet ingénieur était l’inventeur d’un nouveau photographe avec objectif achromatique à deux verres, qui avait produit dans ses mains et dans quelques autres des résultats excellents. Tout faisait donc désirer au public de voir bâter le moment où M. Charles Chevalier se déciderait enfin à faire part des fruits de son expérience, et à donner une instruction détaillée sur la structure et l’emploi de son nouveau photographe. Tel est le but de la publication de l’ouvrage que nous annonçons, dans lequel l’auteur, quoique riche de son propre fonds, ne s’est pas borné à consigner ce qui lui appartient en propre, mais a cru devoir y joindre une foule de notions éparses sur les perfectionnements qu’a subis le daguerréotjrpc depuis son invention. Ce livre renferme bien, en effet, des instructions nouvelles, plus étendues et plus complètes que celles qui les ont précédées et auxquelles l’auteur ajoute des détails si précis, des conseils tellement sûrs relativement aux moyens de reproduire les objets et d’en prendre l’image à la chambre obscure, qu’il est difficile qu’on ne réussisse pas très-bien en suivant pas à pas ses instructions. Nous n’insisterons pas davantage sur le mérite et l’à-propos de ce nouvel ouvrage de M. Chevalier, qui sera d’une grande utilité, tant pour ceux qui ont déjà commencé à pratiquer la photographie que pour ceux qui désireront s’initier aux mystères les plus secrets ae cet art nouveau, parce que les uns etles autres comprendront aisément que nous ne pouvons leur indiquer un meilleur guide pour sortir de cette reproduction daguerrienne banale et mercantile qui commence à nous envahir de toute part, et qui pourrait nous dégoûter d’un art appelé à un brillant avenir. »
- Renseignements. — Charles Chevalier, ingénieur-opticien, à 9191. les llcmbrcs delà Société d’encouragement pour l’industrie nationale.
- « Messieurs, la photographie a déjà subi de nombreuses modifications, elles ont en quelque sorte donné à cet art une nouvelle existence ; on doit citer en première ligne, les travaux de MM. le baron Séguier, Fizeau et de Brébisson. J’ai cherché
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- également à contribuer au perfectionnement du photographe , et je viens aujourd’hui vous soumettre le résultat de mes recherches.
- « Le photographe comprend deux parties bien distinctes, l’appareil optique et l’appareil mécanique. Si une grande précision est indispensable à ce dernier, combien n’est-il pas plus important encore de posséder un bon objectif? N’est-il pas permis en effet de nommer l’objectif : 1 ’âme de Vappareïl?
- « Un objectif parfait, voilà donc ce qu’il importait d’obtenir: niera-t-on que l’œuvre présentât quelque difficulté? J’ai cherché à atteindre ce but; c’est à vous, Messieurs, qu’il appartient de dire si j’ai réussi.
- « Dans le daguerréotype ordinaire , l’objectif est formé d’un seul verre achromatique a large diamètre, et la netteté des images ne s’obtient qu’en condamnant à l’inaction la plus grande partie de la lentille au moyen d’un diaphragme fort étroit; c’était là un grave inconvénient qui devenait surtout pianifeste dans certaines applications de l’appareil.
- « On sait aujourd’hui qu’il est parfois nécessaire d’avoir des verres à foyers différents; il faudrait donc faire l’acquisition de deux ou trois objectifs? Mais on se plaint déjà du prix élevé de l’appareil; que dira-t-on s’il augmente encore?
- « Mon nouvel objectif se compose do deux verres achromatiques de diamètres différents, mais de courbures à peu près égales ; l’un a le diamètre de l’objectif ordinaire du daguerréotype, mais son foyer est environ deux fois plus long. Le second verre placé en avant est de moitié moins large, et c’est en variant les courbures et la distance de ce verre accessoire que j’obtiens les changements de foyer. Cette dernière lentille est à peu près huit fois moins chère que la lentille principale. On peut donc avoir plusieurs foyers, et l’on pourrait dire plusieurs objectifs pour un prix égal à celui que coûterait un objectif ordinaire.
- « La répartition des courbures entre les deux verres met à l’abri de l’aberration de sphéricité; il suffit d’un diaphragme à large ouverture pour en effacer en quelque sorte jusqu’aux moindres traces. J’ai aussi adapté à mon appareil un diaphragme variable ou pupille artificielle qui permet d’obtenir avec un seul objectif biachroma-tique, la même netteté pour les objets situés à de grandes distances ou placés très-près de l’appareil. Que si l’on reproche à cette combinaison de diminuer l’intensité de la lumière par la pluralité des réfractions, je répondrai que je compense amplement cette déperdition par la largeur de l’ouverture diaphragmatique si étroite dans l’appareil ordinaire.
- « En résumé, au moyen de cette nouvelle combinaison, j’obtiens les résultats suivants :
- « 1° Je diminue considérablement l’aberration de sphéricité, puisque les courbures sont de moitié moins fortes.
- « 2° Loin de diminuer l’intensité de la lumière, j’en obtiens pour le moins autant qu’avec l’appareil ordinaire, puisqu’à foyer égal l’ouverture est beaucoup plus grande.
- « 3° Les foyers se changent facilement et à peu de frais au moyen du petit verre antérieur; ce changement est une circonstance importante, car le portrait, par exemple, ne peut se faire avec le même foyer que l’on emploie pour les vues, etc.
- « Jusqu’à présent on employait, pour obtenir des images dans la position naturelle, un miroir plan ou un prisme triangulaire rectangle, ou enfin, un prisme achromatique, ainsi que je l’avais proposé en 1829 dans ma Notice sur les chambres obscures ; mais en employant ces procédés, on avait à combattre, d’une part, l’imperfection des miroirs plans et la déperdition de lumière qu’ils occasionnent; de l’autre, la bande colorée en bleu, qui traverse les images lorsqu’on emploie un prisme seul ou avec une lentille à court foyer; en troisième lieu, la construction des prismes achromatiques présente de grandes difficultés, et la matière très-pure qu’il faut employer en élève considérablement le prix, ils ont été complètement abandonnés.
- « Pour obvier à ces inconvénients, j’ai associé dans des conditions favorables, un petit prisme plan à mon objectif biachromatique; cette nouvelle disposition est à peu près analogue à celle que j’applique à mes lunettes astronomiques et à l’objectif variable de mes microscopes ; c’est une nouvelle combinaison à ajouter aux systèmes optiques adaptés aux chambres obscures par divers auteurs , et notamment par Wol-laston.
- « Restait à rendre encore plus portatif l’appareil que M. le baron Séguier avait déjà si heureusement modifié. Ma chambre obscure, etc............................
- « . . . . « J’ai voulu prendre date avant la fermeture de votre concours, » en
- vous communiquant mon nouveau modèle tel qu’il a été construit primitivement. Je dois avouer que cet appareil exigera beaucoup plus de soins- et de travail que l’ancien modèle, et que les constructeurs spéciaux pourront seuls lui donner toute la perfection nécessaire ; mais ce qui pourrait, au premier abord, paraître un inconvénient, est, à mes yeux, une heureuse circonstance, « le commerce ne sera pas
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- « inondé d’appareils plus ou moins défectueux , et les véritables amateurs y gagne-« ront considérablement. »
- « Je suis, Messieurs, avec le plus profond respect,
- « Paris, ce 1er décembre 1840.
- « Votre tout dévoué serviteur,
- « CHARLES CHEVALIER.
- « Pour extrait conforme : JOMARD. »
- Extrait ilu certificat de demande d’un ISrcvet d’invention de dix ans délivré à SI. Ch. Chevalier, à I*aris, en date du 6 septembre 1834.
- COPIE DU MÉMOIRE DESCRIPTIF.
- « L’objectif de la lunette de M. Charles Chevalier ne se compose plus d’un seul verre achromatique , mais bien de deux placés à distance, comme on le fait ordinairement pour les oculaires à verres simples négatifs de Ramsden, de Huyghens ou de Campani, etc. Ainsi, par exemple, dans le dessin ci-joint, l’objectif B est d’un foyer double de celui A, et leur distance respective est de la moitié de la somme des foyers; on aurait pu prendre pour exemple un des autres systèmes cités plus haut, ce qui aurait donné les mômes avantages, car le but évident ici est de mettre un verre correcteur achromatique A avant la formation de l’image du premier objectif achromatique B.
- « Par ce procédé , on augmente considérablement l’ouverture de la lunette pour un foyer donné, ce qui fait que la lumière est transmise en plus grande abondance ; on diminue l’aberration de sphéricité, on diminue l’épaisseur de l’objectif, et notamment si les verres sont placés à leur juste distance requise, on augmente encore l’achromatisme ; cés avantages sont ceux que l’on recherche le plus dans les lunettes et télescopes achromatiques. Il est donc probable que cette découverte fera un grand pas vers la perfection désirée dans les lunettes.
- « Ce nouveau système objectif employé soit pour lunettes de spectacle ou télescope réfracteur achromatique, sera, dans tous les cas, d’un avantage considérable, soit qu’on y adapte un verre concave ou qu’on y mette un oculaire composé de verres convexes.
- « Pour la lunette à oculaire concave, malgré la perfection de l’objectif, il restait encore quelques iris autour des objets qui provenaient de l’oculaire. M. Charles Chevalier, pour obvier à cet inconvénient, a remplacé le verre concave ordinaire par celui représenté en C. Ce verre est concave, mais il est composé de deux verres dffférents crown-glass et flint-glass, taillés de manière à donner l’achromatisme ; par ce moyen, ce verre est privé d’aberration de réfrangibilité ; mais il a encore le défaut de l’aberration de sphéricité. Pour diminuer cet inconvénient autant que pour avoir un moyen de varier les grossissements, « M. Charles Chevalier superpose deux « verres concaves achromatiques, » comme celui C, placés comme dans la fîg. 3. Ce qui augmente le pouvoir de divergence et par conséquent le grossissement de la lunette, tout en atténuant l’aberration sphérique de l’oculaire. Pour plus de perfection encore, M. Charles Chevalier éloigne les deux verres concaves, ng. 3, suivant le principe, renversé des oculaires négatifs convexes, et par ce moyen il augmente encore le pouvoir de divergence ainsi que la perfection de l’oculaire.
- « On voit d’après tout cela que dans cette lunette tout est nouveau , oculaire et objectif.
- « C’est donc pour l’objectif négatif à double lentille achromatique, placées à distance en A et B, fîg. 1 et 2, applicable à toute espèce de lunette achromatique et pour l’oculaire concave achromatique (décrit dans le second paragraphe) qui peut s’adapter à l’objectif susdit pour former une lunette que la demande d’un brevet est faite par M. Charles Chevalier pour dix années. »
- H. B. « M. Charles Chevalier emploie ce nouveau système de verres aussi bien pour les lorgnettes simples que pour les lorgnettes jumelles, et lorsqu’il emploie son objectif pour lunette astronomique , il se sert de préférence d’un oculaire négatif de Ramsden ou mieux de Huyghens, mais composé de verres achromatiques comme en DH’ fîg.. 1 i.
- « Paris, le 1er février 1834. Signé : CHARLES CHEVALIER.
- « Par délégation, le secrétaire général, Signé : VITET.
- * Pour expédition conforme, le secrétaire général, Signé : VITET. »
- 1 La description précédente ayant été placée ici à titre de renseignement, j’ai pensé qu’elle serait suffisamment comprise, et qu’il éiait inutile d’y joindre une copie du dessin, envoyé avec le mémoire inséré dans la collection des brevets d’invention, publiés par le gouvernement. C. C.
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- Rapport à la Société d’encouragement par M. le baron füéguier
- (11 mars 1840).
- « Les premières recherches pour fixer les images recueillies dans la chambre obscure remontent à 1814; elles appartiennent incontestablement à M. Niepce. Ce fut en 1827 que, pour la première fois, M. Niepce, entraîné par un penchant irrésistible vers l’étude des sciences physiques et chimiques, fut mis en relation avec M. Daguerre, l’un des fondateurs du Diorama. Ce peintre habile, dont les travaux de peinture à effet avaient été tant et si souvent admirés, soit en France, soit à l’étranger, poursuivait de son côté la fixation des images de la chambre obscure.
- « M. Chaki.es Chevalier, alors associé de M. Vincent Chevalier, son père, eut la très-heureuse pensée de mettre en rapport deux personnes préoccupées des mômes recherches. Les résultats couronnés de succès, rendus publics en 18-19, furent le fruit commun de cette féconde association. Vingt-cinq années se sont donc, écoulées depuis que des tentatives ont été faites pour fixer des images que nous croirions encore insaisissables, si la solution du problème ne nous donnait un formel démenti : comment s’étonner alors que le fruit mûr de tant de méditations, que le curieux résultat de tant d’expériences ne soit pas susceptible de faciles perfectionnements?
- « Un échantillon des images obtenues sur plaqué d’argent avait été remis, dès 1827, à M. Charles Chevalier par M. Niepce, qui, dès l’origine, s’efforçait de transporter sur métal , à l’aide de la lumière, les tailles des gravures. Cette épreuve est aujourd’hui déposée dans les archives de l’Institut pour constater la priorité de la France à une invention dont l'honneur de la découverte était vivement revendiqué par nos voisins, alors que les procédés qui la constituent étaient encore complètement ignorés de tous.
- « Les premières épreuves, obtenues après la communication officielle des moyens photographiques de MM. Niepce et Daguerre , furent le fruit des essais de MM. Charles Chevalier et lticnoux. L’attention du premier était, comme nous venons de le dire, éveillée depuis longtemps sur la possibilité d’une telle découverte. »
- Rapports sur les Instruments construits par 'Vincent et Charles Chevalier.—Médaille «l’argent.—Exposition «le 1821?.—Rapport du «lury.
- « Messieurs Vincent Chevalier aîné et fils, à Paris, qui furent mentionnés honorablement en 1823, ont exposé plusieurs instruments d’optique, notamment un microscope catadioptrique et achromatique, « parfaitement exécuté, » sur les principes de M. Amici, de Moaène, et un microscope solaire.
- « Une médaille d’argent est décernée à MM. Chevalier.
- « M. ARAGO, rapporteur. »
- Médaille «l’argent.— Société d’encouragement.—1830.
- « Messieurs , vous approuverez la médaille d’argent qui est accordée à « MM. Vin-« cent Chevalier père et fils, qui ont donné au microscope une perfection inconnue « jusqu’à eux. » Ils ont rendu achromatiques des lentilles de quatre, trois et môme deux lignes de foyer. <; Ce sont eux qui, les premiers, ont construit les microscopes « selon le procédé de M. Amici. » Les chambres claires et « les chambres obscures à « prismes convexes de MM. Chevalier père et fils, » leurs microscopes solaires, leurs lunettes micrométriques, et une multitude d’instruments de physique sortis de leurs ateliers, justifient en tout point la renommée qu’ils ont acquise.
- « M. FRANCCEUR, rapporteur. »
- Société d’encouragement. — Rapport sur la boussole azimufale, ou de déclinaison absolue, inventée par «lames Odier, construite et présentée par Charles Chevalier.
- « Les services incontestables que la boussole rend à la marine, à l’hydrographie et à la topographie, donnent un haut degré d’utilité à l’étude des variations de l’aiguille aimantée; il convient donc d’accueillir avec faveur les simplifications que les amis éclairés du progrès apportent aux méthodes d’observation de la déclinaison magnétique. Telles sont celles résultant de l’emploi de la boussole azimutale que
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- M. Charles Chevalier a présentée à la Société, et qu’il a construite avec l’intelligence que vous lui connaissez, d’après les indications de M. James Odier, auteur des diverses dispositions générales nouvelles que cet instrument présente à cet égard. Quant aux perfectionnements dioptriques qu’on y remarque, et au mode particulier de suspension du barreau aimanté, ils sont dus à M. Charles Chevalier.
- « Le triangle sphérique formé par le pôle du monde, le zénith d’un observatoire et le soleil, a, pour son angle au zénith , l’azimut de cet astre , c’est-à-dire l’angle que fait avec le méridien du lieu le plan vertical que le soleil détermine au moment de l'observation. Il est donc manifeste que, si, à ce même moment, on amène dans le plan vertical du soleil le zéro du limbe d’une boussole ordinaire, l’aiguille indiquerait précisément la valeur de cet azimut, si elle se dirigeait naturellement vers le vrai Nord; par conséquent, la différence entre l’azimut fourni par la boussole et celui calculé trigonométriquement, d’après l’observation du soleil, sera précisément 1 expression de la variation du méridien magnétique eu de l’aiguille aimantée.
- « Ces indications suffisent pour expliquer pourquoi deux observateurs ont dû, jusqu’ici, opérer simultanément pour observer les variations de l’aiguille aimantée, savoir : l’un, muni d’un sextant, occupé à mesurer la hauteur angulaire du soleil au-dessus de l’horizon, complément de sa distance zénithale, pendant que l’autre dirigeait la ligne de foi d’un compas azimutal dans le plan vertical de cet astre.
- « M. James Odier s’étant proposé d’observer seul, c’est-à-dire sans le concours d’un second observateur, les variations de l’aiguille aimantée, aimaginé de faire construire, pour servir aux observations terrestres , une boussole azimutale de 0'",34 de diamètre, laisant corps avec un cercle répétiteur vertical de 0"‘,35 de diamètre, dont le plan fut disposé parallèlement à l’axe du barreau aimanté, lorsque la ligne de foi de l’instrument correspondrait au zéro de la graduation du limbe mobile qui y fait corps avec le barreau. Il résulte de cette disposition, qu’en observant la distance zénithale du soleil, la manœuvre du cercle répétiteur a pour effet nécessaire et simultané d’amener la ligne de foi de la boussole azimutale exactement dans le plan vertical de cet astre, et de lui faire indiquer ainsi, sur le limbe mobile parvenu au repos, la valeur de l’azimut magnétique correspondant, qu’on y lit au moyen de deux verniers diamétralement opposés.
- « M. James Odier calcule ensuite le véritable azimut du soleil par la formule connue, qui donne le carré du sinus de la moitié d’un angle d’un triangle sphérique en fonction de ses trois côtés, après avoir cherché la déclinaison du soleil pour le moment de l’observation. La différence de l’azimut, ainsi calculé et de l’azimut magnétique observé, lui donne, à ce même moment, la variation de l’aiguille aimantée, objet de sa recherche.
- « Voici, d’après les explications qu’il a eu l’obligeance de me donner lui-même, comment M. James Odier procède à ses observations :
- «. 1" La lunette du cercle répétiteur étant arrêtée sur le zéro du limbe, il vise le soleil pour diriger l’axe optique de cette lunette versée centre de cet astre ; cela lait, ü note le-temps lu sur une bonne pendule et il lîi$ ensuite, à dix secondes près, l’azimut magnétique correspondant, sur les deux verniers de la boussole.
- « 2» Il passe de droite à gauche la lunette du cercle répétiteur, en faisant tourner le plan du limbe autour du pivot vertical de l’instrument ; il rend libre la lunette, qui, étant de nouveau dirigée vers le centre du soleil et arrêtée sur le limbe, y marque le double de la distance zénithale moyenne qui est lue sur le vernier, à cinq secondes près ; le temps est de nouveau relevé , ainsi que les deux valeurs de l’azimut magnétique relatif à cette seconde partie dé l’opération.
- « 3° La lunette restant arrêtée sur le double de la distance zénithale obtenue, M. James Odier détourne l’instrument autour de son pivot vertical ; puis, au moyen de dispositions particulières, il renverse le barreau aimanté sens dessus dessous et •recommence les deux séries d’opérations ci-dessus indiquées : la première lui donne un troisième temps, une cinquième et sixième valeur de l’azimut magnétique.
- « 4° Par la répétition de la seconde série d’opérations, il obtient deux lectures du quadruple de la distance zénithale moyenne du soleil, un quatrième temps., et la lecture d’une septième et d’une huitième valeur de l’azimut magnétique.
- « Cela fait, M. James Odier prend le huitième des deux dernières indications angulaires du cercle répétiteur, le quart de la somme des temps notés, et le huitième de celle des azimuts magnétiques lus sur la boussole, et procède, avec ces éléments, au calcul de l’observation, qui atteint ainsi tout le degré de précision désirable. En effet, dans sa boussole azimutale, le barreau aimanté étant suspendu à volonté à un fil sans torsion lors de la lecture des azimuts magnétiques, et rendu de même indépendant de ce fil pour reposer sur une pointe d’acier pendant les mouvements de l’instrument seulement, on voit que la direction de ce barreau aimanté n’y est nullement affectée par la torsion du fil de suspension, comme cela est, quoiqu’à un faible degré, dans les compas azimutaux ordinairement» employés pour ces sortes d’observations,
- « La lunette du cercle est, d’ailleurs, munie d’une petite lanterne qu’on y adapte à
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- volonté, et qui est destinée à éclairer les fils du réticule, lorsqu’on se livre à des observations nocturnes pour déterminer les variations de l’aiguille aimantée à l’aide de l’étoile polaire.
- « Il me reste maintenant à, vous entretenir des éléments dioptriques qui entrent dans la composition de la boussole azimutale, dans l’établissement desquels M. Charles Chevalier a résumé quelques-uns des perfectionnements qu’il a apportés à cette branche importante de l’art qu’il exerce avec tant de distinction et qui lui ont mérité, dès 1834, sur le rapport de M. Séguier, aujourd’hui l’un de nos vice-présidents, une des plus hautes récompenses que la*Société d’encouragement décerne.
- « La lunette du cercle répétiteur est entièrement différente de celles employées iusqu’ici dans la construction de ce genre d’instrument. On sait, en effet, que l’objectif de ces lunettes n’est formé que d’un seul verre achromatique, et que leur oculaire résulte de l’assemblage de plusieurs verres lenticulaires simples, placés à des distances convenables pour amplifier l’image produite par l’objectif ; tandis que, dans la lunette de M. Charles Chevalier, l’objectif est composé de deux verres achromatiques : l’un, large et peu convexe, placé à l’extrémité du tube ; l’autre, beaucoup plus petit, renfermé dans l’intérieur de la lunette et réfractant les rayons lumineux déjà réfractés parle verre extérieur, de manière à rappeler vers lui l’image formée au foyer de ce verre.
- « Quant à l’oculaire, il est réellement un microscope composé, car deux très-petites lentilles achromatiques, très-rapprochées l’une de l’autre, reprennent l’image mentionnée, la grossissent en la renversant et la reportent vers deux autres verres aussi achromatiques, convenablement distancés, qui la redressent, et contre l’un desquels l’œil de l’observateur vient se placer au bout correspondant de la lunette.
- « Par cette construction, dont les premiers essais ont été favorablement accueillis par les jurys des expositions nationales de 1839 et 1844, M. Charles Chevalier diminue et prévient même l’aberration de sphéricité, ce qui rend l’image plus nette ; il agrandit ainsi le champ de la vision distincte, et obtient une amplification double de celle d’une lunette ordinaire de même calibre, ainsi que les membres de votre Comité s’en sont assurés, à l’aide d’une chambre claire, par le procédé dû àM. Charles Chevalier, et que M. Francœur, l’un de nos vice-présidents honoraires, dont le Conseil déplore en ce moment la perte récente, a décrit dans son rapport du 15 mars 1839, sur les instruments d’optique présentés par cet opticien.
- « Les loupes biacliromatiques que , contrairement à l’usage reçu, M. Charles Chevalier a adaptées au cercle, dans une direction perpendiculaire à son plan, assurent une estimation plus exacte des indications des verniers, et la netteté du champ de ces loupes, ainsi que les écrans en verre dépoli dont elles sont accompagnées, en facilitent une plus prompte lecture.
- « Enfin , les loupes biachromatiques et à double réflecteur, appliquées à la lecture des azimuts magnétiques indiqués par le limbe mobile horizontal qui fait corps avec le barreau aimanté, ne renversant pas les chiffres comme cela a lieu avec les prismes des boussoles à réflexion de Kater, on lit très-facilement et très-promptement les valeurs numériques de ces azimuts.
- « Le Comité des arts mécaniques, considérant que les instruments géodésiques et astronomiques « doivent acquérir un plus grand degré de précision, » en faisant entrer dans leur composition des lunettes du système de M. Charles Chevalier, puisque, pour un même degré de précision dans la division de tels instruments, « l’exactitude des observations augmente avec la puissance des lunettes. »
- « Considérant, en outre, que M. Charles Chevalier n’est parvenu aux résultats remarquables qu’il a obtenus, que par un travail longtemps continué avec persévérance et sagacité, et qu’au prix de sacrifices considérables.
- « Me charge de vous proposer :
- « 1° De remercier M. Charles Chevalier de son intéressante communication, en lui exprimant toute la satisfaction que la Société éprouve de le voir réussir dans ses travaux importants;
- « 2” De remercier M. James Odier, de l’obligeance avec laquelle il a mis sa boussole azimutale à la disposition de la Société, et a fait connaître la marche qu’il suit dans les observations de l’aiguille aimantée auxquelles il se livre;
- « 3° De faire graver et de publier dans le Bulletin les dessins détaillés de la boussole azimutale de M. James Odier, accompagnés d’une légende explicative;
- « 4» Enfin, de faire insérer le présent rapport au Bulletin.
- « Signé : BENOIT, rapporteur.
- « Approuvé en séance, le 19 décembre 1850. »
- Comme il vient d’être dit par M. le rapporteur, cet instrument est destiné à observer la variation de l’aiguille aimantée et à obtenir la déclinaison absolue et rigoureuse au moment de l’observation.
- Il ne peut servir que pour les observations terrestres.
- Jadis, pour faire de pareilles observations, deux personnes étaient nécessaires ;
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- l’une prenait la hauteur du soleil au moyen du sextant, pendant que l’autre relevait le gisement du soleil au moyen d’un compas azimutal.
- Au moyen de ce nouvel instrument un seul observateur arrive au même but.
- Par suite des observations croisées pour prendre la hauteur du soleil et de celles aux deux verniers du cercle mobile, rendues doubles parle retournement du barreau aimanté, on obtient pour ce calcul une exactitude aussi rigoureuse que possible.
- MANIÈRE DE SE SERVIR DE LA BOUSSOLE DE DECLINAISON ABSOLUE.
- lre observation.—La lunette étant à la droite de l’observateur, les verniers du cercle vertical au zéro, on dirigera la lunette sur le soleil. Au moment où le soleil vu dans la lunette correspondra à la croisière des fils du réticule, on observera l’heure. On verra en même temps h quel nombre de degrés du cercle horizontal correspondront les verniers du barreau aimanté, et on en tiendra note exacte.
- 2e observation.—On rendra le cercle vertical intérieur mobile, en desserrant sa vis de rappel, et l’on fera ensuite mouvoir tout l’instrument sur son axe vertical d’une demi-révolution. — Le cercle horizontal portant le barreau aimanté et reposant sur le pivot, demeurera presque immobile pendant ce mouvement de rotation.
- On fera alors une seconde observation de la hauteur du soleil, la lunette étant à la gauche de l’observateur. On notera l’heure de la seconde observation, et l’on verra encore à quel degré du cercle horizontal correspondent les verniers du barreau. — On en tiendra note. — L’arc mesuré par le cercle vertical donnera un angle égal au double de la distance zénithale du soleil.
- 3e observation.— On commencera par retourner le barreau aimanté d’une demi-révolution ; puis, faisant mouvoir tout l’instrument sur son axe vertical et laissant les deux cercles concentriques dans la même position, on prendra une nouvelle hauteur du soleil (la lunette étant à la droite de l’observateur), ayant soin d’observer l’heure de la montre ainsi que le nombre de degrés, aux verniers du barreau aimanté.
- 4e observation.—Semblable en tout à la seconde.*— Le nombre de degrés marqués au cercle vertical donnera aior^ un angle égal à 4 fois la distance zénithale du soleil.
- On sera arrivé de cette manière à avoir , par 4 observations croisées, la hauteur du soleil correspondante à l'heure moyenne des 4 observations faites. On aura de plus, par une moyenne de 8 observations, l’azimut observé du soleil, correspondant à ladite heure moyenne.
- On fera alors le calcul de l’angle azimutal du soleil (au moyen de la distance polaire du soleil, de sa hauteur vraie, et de la latitude du lieu de l’observation) L La différence de l’azimut observé à celui calculé, donnera de la manière la plus exacte, la déclinaison de l’aiguille aimantée, correspondant à l’heure moyenne de l’observation.
- CALCUL DE L ANGLE AZIMUTAL. VARIATION DU COMPAS.
- Déclinaison : 22° 52/ »»
- Distance polaire...,.. 67° 8/ »»
- Hauteur vraie 7 43 »» L. Cos 0,0039508
- Latitude 30 43 .»» L. Cos 0,0656512
- Somme 105° 34/
- 1/2 somme 52 47 »» L. Cos 9,7816339
- Distance polaire, 1/2 somme. 14 21 »» L. Cos 9,9862340
- Somme . 19,8374699
- Demi-azimut 33° 58/ 18// L. Cos 1/2 somme. , 9,9187340
- Azimut calculé N . 0. 67“ 56' 20//
- Azimut observé N . 0, 62 » »
- (Méthode de Borda.) Variation, Est 5° 56/ 20//
- i Méthode de Borda.
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- Société d’encouragement* — Rapport fait par SI. Benoît* au nom du
- Comité des Arts mécani<|Hes* sur un baromètre mural présenté par
- Charles Chevalier, ingénieur-opticien* Palais-Royal* 158.
- Décembre 1849.
- « Messieurs, votre Comité des arts mécaniques, que vous avez chargé d’examiner le baromètre mural présenté par M. Charles Chevalier et construit par lui pour le cabinet de M. James Odier, s’est convaincu de la parfaite exécution de cet instrument et de l’utilité du perfectionnement que cet opticien a apporté dans sa construction, en ce qui concerne le moyen d’observer, avec précision, facilité et promptitude, les surfaces du mercure, pour en déduire la hauteur exacte de la colonne barométrique.
- «Cet instrument, dans sa disposition générale, est analogue aux baromètres construits par M. Fortin. M. Charles Chevalier y a ajouté les niveaux à bulle d’air et les mécanismes de rappel nécessaires pour pouvoir en disposer le tube verticalement ; un petit appareil dioptrique, nommé par lui viseur barométrique, dont l’usage est des plus avantageux, et qui, certainement, sera favorablement.accueilli par tous ceux qui se livrent à des observations barométriques; des écrans métalliques mobiles dont la fonction est de modifier à volonté le jeu de la lumière sur la superficie du mercure, et enfin une loupe biachromatique pour la lecture des indications du vernier.
- « Le viseur barométrique se compose principalement de deux verres achromatiques dont l’écartement se modifie à volonté au moyen de leur monture particulière, afin que l’observateur puisse distinguer nettement, à travers ces verres, une pointe métallique opaque appliquée à demeure sur la face extérieure de celui des deux verres qui forme objectif, pointe fixée par construction de manière à aboutir à l’axe optique de l’appareil.
- « Cette position étant obtenue, on fait glisser l’ensemble des verres et delà pointe dans un collier qui maintient cet axe dans une direction horizontale, jusqu’au point où l’on distingue nettement le ménisque du mercure. Alors, comme on ne cesse pas, pour cela, de bien distinguer la pointe opaque, il est facile, en agissant sur le rappel du chariot du vernier, auquel le collier mentionné est fixé, de mettre en contact avec le ménisque l’axe optique du viseur dont la position est déterminée par cette pointe et le petit trou central, dont le bout opposé de ce viseur est percé du côté de l’œil de l’observateur.
- « Cette manœuvre bien simple, ayant pour effet nécessaire et simultané d’amener le vernier du baromètre dans la position voulue pour donner la mesure exacte de la colonne de mercure au moment de l’observation, il ne reste plus qu’à en faire la lecture à l’aide de la loupe biachromatique dont le chariot du vernier est muni.
- « Par quelques observations barométriques faites dans le département do l’Hérault et en Tunisie, avec un instrument du système Gay-Lussac, construit par M. Bunten, votre rapporteur a été à même de reconnaître combien il est difficile de faire coïncider le plan déterminé par les curseurs qui entrent dans la construction de ce genre de baromètres avec le plan horizontal, tangent au ménisque. Cet inconvénient et ceux qui résultent souvent du jeu de lumière, selon les localités, le dégoûtèrent bientôt des observations barométriques; mais il se plaît à déclarer que, si son instrument eiitété muni de viseurs barométriques, comme celui du môme système présenté par M. Charles Chevalier, et qu’il a manié pour en apprécier les avantages, il eût été certainement encouragé à continuer des observations dont on retire souvent beaucoup d’utilité.
- « Votre Comité des arts mécaniques, éprouvant les mêmes convictions, a l'honneur de vous proposer:
- « 1° De remercier M. Charles Chevalier de son intéressante communication;
- «2° De faire dessiner et graver pour le publier dans le Bulletin, le baromètre mural destiné à M. James Odier, et le baromètre du système Gay-Lussac muni de viseurs barométriques, présentés à la Société, et de faire accompagner la planche qui en résultera d’une simple légende explicative;
- « 3> Enfin, d’ordonner l’insertion du présent rapport dans le Bulletin.
- « Signé : BENOIT, rapporteur.
- « Approuvé en séance, le 19 décembre 1849. »
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- LISTE DES INSTRUMENTS
- INVENTÉS OU PERFECTIONNÉS
- PAR
- CHARLES CHEVALIER
- INGÉNIEUR-OPTICIEN
- 1816. Importation (avec son père) de la chambre claire d'amici.
- 1819. Invention (idem) de la chambre obscure a trisme convexe ménisque et achromatique.
- 18*22. microscope a calquer (idem).
- 1823. Première construction, en France (idem), des microscopes achromatiques (considérée jusqu*alors comme impossible).
- 182*. Construction première en France (idem) et sous la direction de l’auteur, de la lunette micrométkique d’amici, de son microscope horizontal et du collimateur niveau.
- 1827. Première construction du verre achromatique concave.
- 1829. Publication d’une notice sur la chambre claire, la chambre obscure et leurs applications.
- 1829. Première construction, en France, des appareils électro-magnétiques de no-mu (sous la direction de l’auteur).
- 1833. Boussole militaire, de l’invention de M. le commandant Burnier, avec ccli-mètre, perfectionné par Charles Chevalier.
- Publication nouvelle de la notice sur les chambres claires., augmentée de notes fournies par le capitaine Bazil-Hall.
- 1825 à 1834. Perfectionnements apportés au microscope simple; invention de nouveaux doublets préférables à ceux de Wollaston et adoptés par plusieurs savants; application du verre concave achromatique pour augmenter l’amplification, etc. (Voir les Annales des Sciences nahirellcs, mars 1833, et le Rapport de la Société d'encouragement, janvier 1834).
- 1833 a 1834. Invention d’un nouveau système de télescope dioptrique a double objectif achromatique.
- 1834. Invention des microscopes bicomposé et diamant.
- 1835. Importation des lunettes dialytiques de ploessl.
- 1 II nous arrive souvent de lire certaines annonces qui présentent des appareils connus comme de nouvelles inventions; parfois même, nous avons reconnu avec surprise qu'on annonçait ainsi nos propres productions! Pour éviter pareille chose à l’avenir, nous donnons ici un compte rendu de nos travaux, qui pourrait sembler trop prétentieux s’il était dicté par un autre motif. Parmi les erreurs dont nous sommes victime, nous citerons plus particulièrement le Prisme achromatique pour chambre noire, décrit dans notre Notice publiée en 1829 et qu’on présenta à l’Académie des sciences comme une invention toute nouvelle; nos applications diverses de la Chambre claire (1823, 1839); le Polariscope; l’objectif biacliromatique à verres combinés avec prisme étamé, pour daguerréotype, présenté en 1840 à la Société d’encouragement; les Prismes redresseurs, Y Objectif variable, le Microscope chimique, les Télescopes à objectif double, etc.
- CHARLES CHEVALIER.
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- 1834 à 1835. Construction et perfectionnement avecM. Galy-Cazalat du chalumeat; a gaz oxy-hydrogène applicable sans danger à de puissants essais pyrognostiques, à l’éclairage du microscope et des phares.
- 1835. Perfectionnement du microscope solaire, application à cet instrument du verre concave achromatique.
- 1836. Construction du mégagraphe de MM. Percheron et Lefebvre.
- 1838. Calcographe, appareil destiné aux naturalistes, décrit dans la notice sur les Chambres claires.
- 1838. Invention etconstruction d’un nouveau polariscope. Cet appareil, où les rayons lumineux sont soumis à l’action d’une glace noire et d’un prisme de Nicol, représente les phénomènes de la polarisation, sur un écran placé à distance, avec plus de netteté et de clarté que les anciens polariscopes. Une nouvelle disposition optique permet d’analyser des corps de onze centimètres de diamètre et plus; au moyen de lentilles achromatiques, on peut agir sur des cristaux microscopiques. On obtient aussi avec ce nouvel appareil, une lanterne MAGIQUE OU FANTASMAGORIE SOLAIRE ACHROMATIQUE, pour agrandir les épreuves photographiées
- Construction et perfectionnement du goniomètre de avollaston (grand modèle pour l’école des mines).
- Publication d’une troisième édition de la notice sur les chambres claires, entièrement refondue et augmentée d’instructions détaillées sur les applications aux arts et aux sciences.
- Traduction abrégée d’un mémoire sur les infusoires.
- 1823 à 1839. Perfectionnements et applications nouvelles des ciiamrres claires, pour le dessin et pour mesurer le grossissement des lunettes.
- Construction des galvanomètres perfectionnés, notamment de celui de l’Observatoire.
- Importation des machines électro-magnétiques de clarke et de nouvelles piles inventées en Angleterre.
- 1834. Les microscopes reçoivent de nombreux perfectionnements. L’appareil universel prend place dans tous les cabinets de physique ; le Collège de France, l’Académie royale des sciences et les observateurs les plus distingués, parmi lesquels nous citerons MM. Audoin, Biot, Brongniart, Decandolle, Desma-zières, Dumas, Dujardin, Leclerc-Thouin, Magendie, Milne-Edwards, Montagne, Morren, Pouillet, Poiseuille, Savart, le baron Séguier, etc., accordent la préférence à cet instrument.
- 1834.'Invention du prisme redresseur, de l’objectif variable, application des prismes de Nicol à l'intérieur de l’instrument et de diverses autres pièces au microscope composé (voir le Manuel du Micrographe). lr° Construction de très-gros prismes de Nicol, pour MM, Biot et A. Brongniard.
- 1838. Importation en France de la loupe staniiope et de celle coddington.
- 1825 à 1839. Invention du microscope solaire horizontal et vertical. Ainsi modifié, cet instrument est employé beaucoup plus fréquemment qu’autrefois ; on n’a plus à redouter les illusions produites par les anciens appareils. (Il est employé avec succès par M. Prévost de Genève.)
- 1827 à 1839. Applications nouvelles de la chambre claire à la micrométrie, soit pour les microscopes, soit pour les lunettes.
- 1839. Invention d’une nouvelle lunette mégamétrique, plus exacte que celles construites, d’après les anciens systèmes.
- 1839. Manuel complet du micrographe, conseils sur le maniement et l’application des microscopes, etc.; 1 vol. grand in-8° de dix-huit feuilles, avec de nombreuses planches.
- 1840. Daguerréotype perfectionné. Le volume de cet instrument est considérablement diminué ; l’objectif biachromatique et à prisme étamé permet de redresser les objets, défaire le paysage et le portrait, etc. Cet appareil, inventé à la fin de 1839, a été présenté en 1840 à. la Société d’encouragement.
- 1841. Présentation à l’Académie des sciences, du microscope diamant inventé en 1834. Longueur, six centimètres, amplification en diamètre, cinq cents fois.
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- Doublet monté pour la botanique, l’entomologie, etc.
- Reproduction, au moyen de la galvanoplastie, d’une épreuve photogénée. Cette expérience, faite avec MM. de Kramer et Richoux, est citée dans le journal l’artiste, du 7 février 1841, p. 94.
- Manuel des myopes et des presbytes
- lre construction du microscope photo-électrique de M. Léon Foucault. Publication du traité des microscopes, par le docteur Hannover, de Copenhague.
- Nous ajouterons à ceci l’importation du Photomètre et du Stéréoscope de Wheats-tone, — les grands Télégraphes de Bain et les nouvelles machines à percer les dépêches, fournis au ministère de l’intérieur, — l’Endoscope du docteur Désormeaux, — les Jumelles mégascopiques, le Guide du photographe, le nouveau Pied de Télescope, la Chambre claire pour mesurer les distances et le grossissement des Lunettes ou Télescopes, le Micromètre de Pearson, la Chambre claire jumelle, les verres ou lentilles en cristal français pour la conservation de la vue, la machine pneumatique en fer (à prit réduit), etc., la Machine pneumatique à mouvement continu, le Baromètre à viseur, le mégascope réfarcteur achromatique, pour agrandir les épreuves photogénées, etc.
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- NOTES
- NOUVELLE LUNETTE MICROMÉTRIQUE DE CHARLES CHEVALIER.
- Ce nouvel appareil est une lunette coudée à la manière du télescope de Newton , portant une mire à l’extrémité objective et un petit miroir percé sur l’oculaire. Cette combinaison permet de voir simultanément et du même œil une mire à distance fixe et l’image de l’objet produite par la lunette. On conçoit que le degré d’exactitude dépend :
- 1° Du grossissement ; 2° de la longueur de la lunette ou plutôt de l’éloignement de la mire.
- Tous les moyens micrométriques ou d’éclairage sont applicables à la mire; on peut y tracer des divisions aussi petites qu’on voudra, car on les lira toujours facilement au moyen d’une petite lunette parallèle à la première et placée devant le miroir métallique.
- Il n’est pas nécessaire d’expliquer les avantages qu’on peut retirer de cette disposition nouvelle ; on reconnaît de suite que mon appareil peut être assimilé à un rapporteur dont on emploierait la périphérie, tandis qu’avec les anciens micromètres on opérait près du centre au sommet de l’angle , ce qui occasionnait une foule d’erreurs déterminées par la grosseur des fils, l’imperfection des vis, etc., etc.
- La mire étant extérieure, on n’éprouvera aucune difficulté pour éclairer les fils des lunettes de passage.
- Pour la mesure des distances, la géodésie , etc., je pense que mon micromètre dispensera de \astadia, qui n’était pas sans inconvénients et ne pouvait être aussi exacte.
- NOUVEAU SYSTÈME DE TÉLESCOPE DIOPTRIQUE
- DE CHARLES CHEVALIER.
- Quelques personnes ayant pensé que ce nouvel instrument était une copie de la lunette de Ploëssl, à Vienne, je donnerai ici quelques renseignements sur les avantages de mon nouveau système :
- L’objectif de ma lunette se compose essentiellement de deux verres achromatiques, l’un large et peu convexe tourné vers l’objet, l’autre petit et placé à une grande distance du premier et près de l’oculaire, pour concentrer les rayons partis de l’objet et déjà réfractés parle verre objectif fondamental. Par cette combinaison, j’espère obtenir les avantages suivants :
- Diminution ou absence complète de l’aberration de sphéricité , par conséquent possibilité d’augmenter considérablement l’ouverture de la lunette à égalité de longueur focale.
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- Cette absence ou diminution de l’aberration de sphéricité s’obtient :
- 1° En partageant les courbures trop fortes , entre les deux verres achromatiques formant le système objectif.
- 2° Par leur éloignement plus ou moins grand que l’on peut calculer de manière à diminuer l’aberration sphérique et à augmenter ^achromatisme en plaçant des verres dans des conditions semblables à celles des oculaires d’Huyghens ou de Ramsden.
- Le petit objectif placé sur le chemin des rayons peut être d’un grand avantage pour compléter l’achromatisme d'un grand objectif qui laisserait encore à désirer sous le rapport des aberrations chromatiques ou de sphéricité. En variant les courbures de ce petit verre, on pourra facilement varier les qualités des grandes lunettes achromatiques et en raccourcir le foyer à volonté.
- A part les différents avantages indiqués ci-dessus , je signalerai les perfectionnements suivants applicables aux anciennes lunettes.
- Je colle les deux verres, crown et flint, presque à froid, au moyen du baume du Canada qui établit un contact parfait entre les surfaces juxtaposées de l’objectif, rectifie les surfaces et empêche les réflexions intérieures; enfin, ce collage procure tous les avantages indiqués par MM. Grateloup et Rochon, sans avoir les inconvénients attachés à l’empioi du mastic en larmes recommandé par ces savants , et je pense que c’est à tort qu’on a hésité jusqu’ici à coller les grands objectifs lorsqu’on retire de si grands avantages de ce procédé pour les microscopes et les lunettes de spectacle.
- Je supprime totalement les diaphragmes qu’on avait l’habitude de placer dans les lunettes et je garnis l’intérieur du tube en velours noir, ainsi que je le pratique depuis 1823, pour les microscopes.
- On voit d’après tout ce qui vient d'être dit, que mon système de lunettes n’a aucun rapport avec celui de Ploëssl, qui emploie deux verres chromatiques et qui n’a que les moyens ordinaires pour corriger l’aberration de sphéricité; tandis que je fais usage de deux verres achromatiques et que mon but a été de faire disparaître ou de diminuer considérablement l’aberration sphérique. D’ailleurs je me suis occupé de ma lunette de 1833 à 1834, ainsi que le constate mon brevet, et à cette époque la lunette dyalitique n’était pas encore connue en France.
- Exposition universelle de 1855.—Septième classe, page 4=31 du Rapport général.—Charles Chevalier (»° 1876), à Paris (France,1.
- « Nous avons dû comprendre M. Charles Chevalier parmi 'les constructeurs d’instruments d’optique , parce que c’est la spécialité dans laquelle il a rendu les plus incontestables; mais l’exposition de cet habile constructeur prouve suffisamment qu’il ne s’y est pas renfermé d’une manière exclusive. A côté de son grand microscope, de son banc pour la diffraction , de ses longues-vues et de ses objectifs achromatiques accouplés , M. Charles Chevalier présente un baromètre d’observation , des boussoles et des machines pneumatiques d’une exécution soignée. Tous ces instruments portent des modifications nouvelles et quelquefois heureuses , qui témoignent de l’activité incessante de leur auteur. A ces mérites, M. Charles Chevalier joint celui d’avoir formé un grand nombre d’élèves, dont les succès prouvent qu’ils ont appris aune bonne école l’art de travailler le verre.
- « Le jury décerne à M. Charles Chevalier une médaille de lre classe , pour l’ensemble de son expédition. »
- Vingt-septième classe, page 1234.
- « Avant d’aborder la liste des récompenses accordées par le jury, il est de notre devoir de rendre justice à une classe d’exposants qui ne peuvent trouver place ici, parce que leurs produits ressortent plus particulièrement d’un autre jury, mais qui ont néanmoins contribué pour beaucoup aux récents progrès de la photographie ; il leur revient donc une paît légitime du succès de cette exposition ; nous voulons parler des opticiens, parmi lesquels nous citerons M. Charles Chevalier....»
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- ADDITIONS ET ERRATA.
- Catalogue des Instruments de Physique expérimentale, etc.
- GALVANISME.
- Page 38, Piles de Daniel ou de Bunsen, au lieu de 18, 17, 15 50, 14 50, 13 50, lisez les prix suivants : 8, 7, b 50, 4 50, 3 50.
- Page 39, n05 654 et 655. Au lieu de Pile sèche de Zomboni, Usez de Zamboni.
- Page 20, n° 300. Lisez Appareil pour la porosité, dit à pluie de mercure.
- MOTEURS.
- Page 27, ajoutez : ,
- Moteur simulant une machine à vapeur, modèle bien construit,
- sous cage de verre............................... 90 »
- Idem, plus grand.......................................... 135 »
- Idem, — .......................................... 180 «
- idem, — .......................................... 250 «
- GALVANOPLASTIE.
- Page 40, ajoutez :
- Nécessaire complet de galvanoplastie, contenant : pile de
- 18 cent., cuve, produits chimiques, etc........... 5® »
- Nécessaire semblable, mais plus grand, pile de 22 cent. ... 90 »
- MÉTÉOROLOGIE EXPÉRIMENTALE.
- Nouvel hygromètre de M. Newmann, donnant des indications
- rapides, modèle portatif de 8 cent, sur 30, avec boite. 135
- OPTIQUE EXPÉRIMENTALE.
- Article omis.
- Lentille cylindrique de Fresnel, pour expériences de diffraction................................................... 12
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- Catalogue des Instruments d’Optique et de Météorologie usuelles.
- Objets oubliés sur le catalogue :
- VERRES POUR OPTIQUES, COSMORAMAS, ETC.
- Verre de 27 mill. de diamètre............................ 60 »
- — 22 — — 30 ».
- — 16 — — 15 »
- — 13 — — 12 .»
- — 11 — — 9 »
- — 80 — — 7 ».
- — 55 — — 3 »»
- DEMI-BOULES POUR LANTERNES MAGIQUES, FANTASMAGORIES, POLYORAMAS, ETC.
- Demi-boule de 60 mill. de diamètre.................... 5 »
- — 90 — 12 »
- — 110 — .............................. 16 »»
- — 135 — 30 »»
- — 165 — 45 .
- PRISMES A SURFACES PLANES.
- Prismes ordinaires, suivant la grosseur, de................ 2 à 10 »
- Prismes en crown glass de 1er choix, bien travaillés, de. . 10 à 40 »» Prismes de chambre claire de 1er choix........................ 20 »»
- Figures géométriques en glace ou en crown pur, suivant la
- figure et le travail, de....................... 15 à 40 »»
- Page 23, lisez N° 177. Prix..............'.................................................... 60
- _ _ 178. — ................................................................. 75
- — 179. — ................................................................. 100
- — — 180. — ..................................•.......................................... 110
- _ — 181. — ..................................................................... 120
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- Catalogue des Instruments de Géodésie, mathématiques, marine.
- Ajoutez page 4 (en bas) :
- Boussole semblable mais avec triangle en enivre, pied à
- 6 branches......................................... 130 »
- Page 5, après le n° 34 :
- Boussole semblable mais avec triangle en cuivre, pied à
- 6 branches, demi-cercle divisé à alidade et vernier. . 150 »
- Catalogue des microscopes.
- N° 230. Au lieu de 9 fr., lisez 16 fr. N° 233. — 8 fr. — 18 fr.
- c->4s>o-§o<2$«Ef
- Catalogue de Photographie.
- PRODUITS CHIMIQUES.
- Ajoutez :
- Céroléine iodurée, le litre................................. 7 50
- — non iodurée, le litre................................. 9 »
- ->^0cG2fes™
- Nota. Il paraîtra chaque année un supplément aux divers Catalogues indiquant les nouveaux Instruments, etc.
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- NOUVEL INSTRUMENT.
- GAZO-THERMOSGOPE
- DE M. DE COL,
- Instrument destiné à mesurer la conductibilité des gaz pour le calorique,
- Prix : 100 francs.
- Cet instrument est composé d'un récipient en cristal, d’un thermomètre très-sensible et d’un disque en métal qui se place à la partie supérieure.
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- TABLE PAR ORDRE DE MATIÈRES.
- Mécanique...................................................... 1
- Hydrostatique....................................................... 8
- Hydrodynamique................................................... 10
- Météorologie expérimentale......................................... 13
- Pneumatique et compression. . ............................ . . 18
- Magnétisme......................................................... 22
- Electro-magnétisme................................................. 25
- Electricité....................................................... 31
- Galvanisme......................................................... 37
- Acoustique......................................................... 41
- Calorique......................................................... *56
- Optique expérimentale.............................................. 61
- Astronomie......................................................... 70
- Minéralogie........................................................ 72
- Chimie.......................................................... 80
- Appareils pour analyses............................................ 97
- Poids et mesures.................................................. 103
- Anatomie et histoire naturelle.................................... 109
- Chirurgie......................................................... 117
- Instruments de physique et d’optique à l’usage de la jeunesse. ... 119
- Librairie......................................................... 121
- Rapports sur les instruments de Charles-Chevalier, etc............ 124
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- TABLE PAR ORDRE ALPHABÉTIQUE.
- A
- lt
- Appareils pour le choc des corps... 1
- ----pour la chute parabolique des
- liquides et des solides......... 1
- ----pour démontrer que les cordes
- d’un cercle sont parcourues dans le même temps que la
- perpendiculaire................. 2
- ----des trois leviers et autres.... 3
- •---pour les poulies................... 3
- ----des roues dentées.................. 3
- ----pour la théorie de lavis........... 3
- ----pour les plans inclinés............ 3
- ----pour la théorie du frottement
- (divers)...................... 3
- ----pour la force centrifuge (divers) 4
- ---des vases de Pascal................ 8
- ----de Ifaldat......................... 8
- ----de Masson.......................... 8
- ----pour lapression des liquides, les
- vases communiquants, l’équilibre des liquides, le principe
- -—pour la théorie des écoulements
- de Venturi.................. 10
- ----des trois siphons, etc...... 12
- ----pour la mesure des courants
- d’eau.................... 12
- ----pour mesurer la chaleur solaire........................... 15
- Aspirateurs........................ 15
- Anémomètres........................ 17
- Appareil de Thilorier pour solidifier
- l'acide carbonique............. 22
- Aimants et barreaux................ 22
- Appareils électro dynamiques de Pouillet, Faraday, Du Moncel, etc. 26
- Appareils pour l’induction......... 27
- ----électro-médicaux............... 28
- ----thermo-électriques......... 28 et 57
- ----pour expériencessur l’électricité 35
- ----pour l’électricité lumineuse ... 37
- ----pour l’acoustique.............. 41
- ----pour la dilatation des liquides
- et des gaz................. 57
- ----la calorimétrie et les gaz .... 58
- ----des sept miroirs............... 61
- ----pour l’essai des métaux........ 97
- Alcalimètres......................... 98
- Alambics............................ ' 80
- Appareils pour la chimie............. 80
- ----pour l’essai des grains et farines 98
- ----l’essai des huiles............... 99
- ----dulait........................... 99
- ----des engrais..................... 100
- ---du sang, des urines............. 101
- -----des eaux.................... 102
- Ammonimètres........................ 100
- Albuminimètre Becquerel............. 101
- Appareil de Marsh................... 102
- ----De Flandrin et Danger pour le
- mercure et le phosphore....... 102
- Anatomie et histoire naturelle, de 109à 116
- Balances hydrostatiques................ 9
- Ballons................................ 9
- Balances Nicliolson.................... 9
- Baromètres Fortin, Gav-Lussac, Ch ailes Chevalier...................13 et 11
- Boussoles d’inclinaison, de déclinaison, etc........................... 23
- Boussole azimutale de M. James
- Odier............................ 24
- Bouteilles de Leyde.................. 32
- Batteries électriques.................. 33
- Balances électriques................. 35
- Banc de diffraction.................... 65
- Boussoles de géologue, etc........... 74
- Ballons en cristal................... 80
- Bassines............................... 81
- Boîtes à réactifs...................... 81
- Briquets............................... 81
- Burettes graduées...................... 85
- Ballons................................ 90
- Balance pèse-grains.................... 98
- Balances du commerce et de préci-
- sion, en tous genres, de..... 107 à 109
- C
- Coin de S’Gravesande................ 3
- Catliétomètres...................... 15
- Cubes pour le calorique............. 56
- Calorimètres....................... .58
- Cristaux pour la polarisation....... 67
- Cercles astronomiques............... 70
- Compteurs........................... 71
- Chronomètres....................... 71
- Chalumeaux divers................... 73
- Collections minéralogiques et géologiques........................... 77
- Canon de fusil...................... 81
- Capsules en argent et en platine.... 81
- Cloches............................. 82
- Cuves à mercure et autres.......... 82
- Cloch.es graduées.................. 85
- Carafes jaugées.................... 86
- Cornues........................ 90
- Capsules et articles divers en porcelaine............................ 93
- Creusets........................... 96
- Chloromètre........................ 98
- Collections botaniques...... 115 et 116
- ----anatomiques.................... 109
- O
- Dynamomètres divers. Diasporamètre llochon Disque de Newton....
- Digesteurs...........
- Diabétoinètre........
- 5
- 62
- 68
- 83
- 101
- K
- Électro-aimants et moteurs.......... 27
- Électrophores, excitateurs......... 33
- Électroscopes....................... 34
- Eudiomètres......................... 59
- Equatorial,......1................ 71
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- —1-52 —
- Etuves......................... 81'
- Eprouvettes divisées................ 86
- Entonnoirs....,..................*.. 90
- Endoscope du Dr Désormeaux....'.. 117
- F
- Fontaine intermittente............ 10
- ----de Héron............... ...... 10
- Fil de cuivre, de fer, etc..... 29
- Feux de gaz......................... 60
- Forges portatives................ s 83
- Flacon à densité de M. Régnault;... 86
- Flacons en tous genres...... 87, 88 et 89
- Flacons à robinet.................. 90
- Fourneaux à coupelles, à" réverbère 95
- Cr
- Gravimètre.. ................... 9
- Galvanomètres....................... 25
- Galvanisme (appareils divers). 37, 38 et 39
- Galvanoplastie ..................... 39
- Goniomètres divers...........72 et 73
- Gazomètres.......................... 83
- Grilles diverses.................... 83
- II
- Hypsomètre Régnault............... 14
- Hygromètres divers.................. 15
- Héliostat de Silberman.............. 62
- Hydrotimètres...................... 102
- K
- Kaléidoscopes,..................... 63
- Ij
- Lentilles à échelons................ 61
- Lunette micrométrique de Rochon
- et d’Amici................«i.. 65
- Lunette de Charles-Chevalier pour
- les distances.................... 69
- Lunette murale.................... 71
- Lunettes méridiennes.............. 72
- Laboratoire portatif............... 84
- Mortiers........................... 84
- Lactodensimètre Quévenne.... .... 99
- Lactoscope du Dr Donné100
- Lactoscope divers................. 100
- Laryngoscope du Dr Zermatt......... 118
- Librairie.......................... 121
- M
- Machines d’Atwood................... 1
- Modèle de lavis d’Archimède......1 3
- Modèles de machines diverses, de machines à vapeur, locomotives, pièces détachées, etc........ 5, 6,“et 7
- Modèles d’écluse, de turbine, pièces
- détachées........................ 15
- Machines pneumatiques............... 18
- ----de Charles-Chevalier............ 19
- -pour les jeunes gens......... 120
- -(Accessoires).............. 20 et 21
- ----de compression.,................ 21
- Manomètres divers................‘ 21
- Multiplicateurs................... 25
- Machine de Clarke ............... 27
- Machines électriques............... 31
- ----pour les jeunes gens........... 119
- Machines électriques (accessoires)
- de.................:.......... 31 à 37
- Miroirs pour le calorique........ 56
- Mégasccpes de Charles-Chevalier et %
- ... autres................... 63 et 64*
- Micromètre Fresnel................ 64
- Miroir de Newton...................... 64
- Mètres et .mesures en tous genres.. 103
- Machines à diviser ........... 104
- Mesures de capacité ................. 104
- • W '
- Nécessaires pour la minéralogie.... 75
- O
- Œil en bois..............,v. 68
- 'Outils pour la minéralogie........ 76
- Oléomètre de M. Lefèvre............... 99
- Ophthalmoscope de Coccius, perfectionné par Follin................ 118
- Ophthalmoscope de M. Desmares. . 118 Ouvrages de Charles-Chevalier... ». 122
- F '
- Pendules et appareils s’y rapportant 4
- Pompes (modèles de)........ .”...:. .<&?.' 10
- Presses hydrauliques... .7 ....... .7,1 • 11
- Pluviomètres divers....... .Th ., t 16
- Paratonnerres................,...... ' 37
- Piles diverses.........'.....,. 37et38
- Pyromètres.......v.v............. 57
- Prismes et polyprismes divers..... 61
- Porte-lumière de Charles-Chevalier 63
- Polariscopes divers....... 65 et 66
- Photomètres......................... 68
- Phénakisticope .................... 68
- Platine (objets en).................. 75
- Papiers divers........................ 84
- Pinces.......................... 84
- Pipettes divisées .. ................ 86
- Poids divers................. 104 et 105
- . ' «I
- Quinimètre.......................... 102
- R
- Robinets,,........................... 84
- Râpes............................ ‘ 84
- Récipients....................... ‘ 91
- Rapports sur les instruments de Vincent et Charles-Chevalier..124
- S
- Supports divers..................... 85
- Saccbarimètres ..................... 101
- Sulfhydromètre...................... 102
- T
- Thermomètres d'observation..., . , ^, ^14
- Tableaux1 tnétéôfôlôgiqïïês~.......... 17
- Télégraphes électriques............. 29
- Télescopes réflecteurs....... ... 67
- Tableaux peints des phénomènes
- d’optique........................ 69
- Théodolites................ 74 et 75
- Tamis.............................. 85
- Tubes gradués......................... 87
- Tubes pour la chimie................. 92
- Trousse optique d’oculiste de Arthur Chevalier.................... 119
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