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- TABLE DES MATIÈRES
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- TABLE DES MATIÈRES CONTENUES DANS LES SIX NUMÉROS DU TOME VINGT-SEPTIÈME. 14e ANNÉE DU GÉNIE INDUSTRIEL (p.329)
- CENT CINQUANTE-SEPTIÈME NUMÉRO (JANVIER 1864) (p.1)
- Machines à mouler les briques, dites laminoirs Jardin, par MM. Cazenave et Cie (p.1)
- Des brevets d'invention. -- Réflexions essentielles sur la régularité des demandes (p.3)
- Exposition des beaux-arts appliqués à l'industrie. -- Concours des écoles de dessin (p.8)
- Grues à manivelle à pivot fixe et grue à vapeur à pivot tournant, par M. Chrétien (p.13)
- Bibliographie. -- Rapport fait à la Société d'encouragement sur les traités des moteurs hydrauliques et à vapeur de M. Armengaud aîné (p.20)
- Huile à lubrifier, par M. Van Mossevelde (p.29)
- Flotteur alimentaire, automoteur à vapeur, par M. Cleuet (p.30)
- Galvanoplastie appliquée aux planches gravées sur cuivre (p.33)
- Fabrication de pierres artificielles au moyen des scories ou laitiers des hauts-fourneaux, par M. Sépulchre (p.35)
- Machine à tisser les étoffes, par M. Frey (p.36)
- Procédé de teinture des peaux, par M. Hubac (p.38)
- Roues à rais et à disque plein, leur résistance à la traction et comparaison des avantages et inconvénients qu'elles présentent en service, par M. Martin (p.39)
- Conversion des résidus de l'épuration de l'huile des graines du cotonnier en graisse pour machine, par M. Vauhamme (p.44)
- Machine à percer le bois, mortaiser et à faire les tenons, par M. James (p.45)
- Fabrication du chlorure de barium, par M. Godin (p.47)
- Générateur à feu coulant et à combustion lente applicable à la cuisson du ciment et à d'autres industries par M. Meurgey (p.48)
- Nouvelles et notices industrielles. -- Comptes-rendus et communications aux Sociétés savantes. -- Inventions nouvelles. -- Brevets récents (p.50)
- CENT CINQUANTE-HUITIÈME NUMÉRO (FÉVRIER 1864) (p.57)
- Robinet-vanne, à fermeture hermétique, par MM. Lebrun et Lévêque (p.57)
- Utilisation du métal contenu dans les résidus provenant de la fabrication du zinc, par M. Dupont (p.58)
- Galvanoplastie. -- Établissement de dorure et d'argenture monté par M. Mourey (p.59)
- Feutre extrait du typha, par M. Abeilhou (p.63)
- Machine à tailler les limes, par M. Bernot (p.64)
- Préparation industrielle du cyan-hydrate d'ammoniaque et des cyanures alcalins et terreux, par M. Margueritte (p.68)
- Du rôle des ingénieurs civils dans l'industrie privée, par M. C. Thirion (p.69)
- Machine à battre les grains, par M. Crochez (p.79)
- De l'influence du flux sur la composition des fontes manganésifères, par M. Caron (p.80)
- Machine à fabriquer les cartouches, par M. Chaleyer (p.83)
- Conservation des matières animales par M. Kraushaar (p.86)
- Biographie de M. Lethuillier-Pinel, de Rouen, inventeur du flotteur-indicateur magnétique (p.87)
- Appareil d'aspiration et de refoulement de l'air, des gaz et des fluides, par MM. Enfer (p.96)
- Scie circulaire à tronçonner, par MM. Robinson et fils (p.98)
- Procédé de fabrication du nickel à l'état pur, par M. Lewis Thompson (p.99)
- Souscription pour un monument à élever sur la tombe de M. Delpech (p.102)
- Appareil clarificateur appliqué au travail de la canne à sucre, par M. de Géminy (p.103)
- Nouvelles et notices industrielles. -- Comptes-rendus et communications aux Sociétés savantes. -- Inventions nouvelles. -- Brevets récents (p.107)
- CENT CINQUANTE-NEUVIÈME NUMÉRO (MARS 1864) (p.113)
- Baromètres anéroïdes (p.113)
- Bassin d'empli locomobile des formes à sucre, par M. Legal (p.115)
- Chaudière tubulaire cylindrique, par M. Legal (p.115)
- Transformation d'une étoffe unie en étoffe façonnée, par M. Vouillon (p.116)
- Suite du rapport sur le traité des moteurs à vapeur de M. Armengaud aîné (2e article) (p.117)
- Traitement de la gutta-percha et du caoutchouc, par M. Hall (p.126)
- Machine à laver les laines, les poils, etc., par M. Peltereau (p.127)
- Chaussées en asphalte comprimé (p.129)
- Machine à fileter et à tarauder, par M. W. Sellers (p.132)
- Sur les pertes qui ont lieu dans la fabrication du sucre de betterave, par M. A. Franck (p.135)
- Appareils de propulsion, par M. Holm (p.139)
- Fabrication des courroies et des tubes à embobiner (p.145)
- Machine à vapeur fixe et locomobile, par M. Fragneau (p.147)
- Roues à rais et à disque plein (2e art), par M. Martin (p.149)
- Procédé de décoloration et de clarification du jus de betterave, par M. Marousé-Wins (p.156)
- Extraction, épuration et distillation des hydrocarbures, par M. Testud de Beauregard (p.157)
- Fabrication de la pâte à papier de genêts, par M. Deplanque (p.158)
- Nouvelles machines à élever l'eau, construites par MM. Farcot et fils, pour la ville de Paris (p.159)
- Nouvelles et notices industrielles. -- Comptes-rendus et communications aux Sociétés savantes. -- Inventions nouvelles. -- Brevets récents (p.160)
- CENT SOIXANTIÈME NUMÉRO (AVRIL 1864) (p.169)
- Godet graisseur automatique pour tête de bielle, par M. L. Amenc (p.169)
- Loi qui étend à tout le royaume d'Italie la loi du 30 octobre 1859, sur les privilèges industriels (p.171)
- Machine à mouler le sucre, par M. Finken (p.173)
- De l'influence sur le brevet pris en France, de la nullité ou de la déchéance du brevet pris antérieurement, par un français à l'étranger (p.177)
- Manomètre à air libre, par M. Albaret (p.179)
- Peinture pour les enclos en fil de fer (p.180)
- Considérations sur les navires cuirassés, par M. l'Amiral Paris (p.181)
- Sténographe-imprimeur mécanique, par L. M. Bryois (p.185)
- Rouleaux de filature à surface souple et élastique, par MM. Claes Vandennest et Cie (p.189)
- Couvercles à charnières intérieures pour palier, par MM. Houget et Teston (p.190)
- Navettes des métiers à tisser, par M. Brunot (p.191)
- Alliage pour les coussinets (p.192)
- Machine à fabriquer les rivets avec cisaille et porte-matrice tournant, par M. de Bergue (p.193)
- Locomotives mues par l'air chaud, par M. Burdin (p.197)
- Indicateur du niveau de l'eau dans les chaudières, par M. Fragneau (p.203)
- Soupape de générateur à vapeur, par M. Hartmann (p.204)
- Fabrication du papier de verre et d'émeri, par M. Dumas-Fleury (p.206)
- Note sur la meilleure disposition à donner au frein de Prony, par M. Tresca (p.212)
- Appareil de vulcanisation du caoutchouc par M. Dermut (p.213)
- Système combiné d'impressions des matières filamenteuses, par M. Vigoureux (p.215)
- Nouvelles et notices industrielles. -- Comptes-rendus et communications aux Sociétés savantes. -- Inventions nouvelles. -- Brevets récents (p.217)
- CENT SOIXANTE ET UNIÈME NUMÉRO (MAI 1864) (p.225)
- Régulateur à pendule conique et à contrepoids mobile, par M. A. Wackernie (p.225)
- Appareils de chauffage, par MM. Mousseron et Cie (p.227)
- Le problème de la sucrerie agricole (p.230)
- Fabrication des toiles et tissus imperméables, par M. Greene (p.236)
- Machine à fabriquer les cartouches, par M. Tucker (p.237)
- Machine à lever les bobines des métiers renvideurs, par MM. Filleul et Jarriel (p.240)
- Système de traction à l'aide d'un troisième rail (p.241)
- Fabrication des fils retords, par M. Belays (p.246)
- Boussole ou compas liquide, par M. A. Santi (p.247)
- Moulage des tuyaux en fonte, par M. Goffin (p.249)
- Préparation du ferricyanure d'ammonium, par M. C. Schaller (p.250)
- Assemblage des chaînes en fer, par M. Béthune (p.252)
- Comparaison et rendement dynamique des bouches à feu et des machines à vapeur, par M. Martin de Brettes (p.253)
- Mandrin universel pour gros tours, par M. Barassin (p.255)
- Four de revivification du noir animal, par M. Blaise (p.257)
- Machine à imprimer les cartes de visite et autres, par M. Leboyer (p.262)
- Clef universelle à écrous, par M. Schwartzkopff (p.266)
- Tuyère en cuivre platiné, par MM. Pertat et Sauvage (p.268)
- Tiroir équilibré, par M. Leclercq (p.269)
- Machine à forger el à façonner les métaux par pression hydraulique, par M. H. Bessemer (p.270)
- Nouvelles et notices industrielles. -- Comptes-rendus et communications aux Sociétés savantes. -- Inventions nouvelles. -- Brevets récents (p.273)
- CENT SOIXANTE-DEUXIÈME NUMÉRO (JUIN 1864) (p.281)
- Roue hydraulique à aubes hélicoïdales, par M. Delnest (p.281)
- Imitation des marbres ou pierres dures, par M. Fioravanti (p.284)
- Machine à percer à plusieurs forets, par MM. Shanks et Cie (p.285)
- Exploitation des chemins de fer. Concours en Belgique (p.288)
- Des alliages d'argent et de zinc, par M. Péligot (p.289)
- Niveau-graphomètre-équerre, par MM. Leroyer et Dupuis (p.295)
- Fabrication des grès factices, par M. Vallée (p.299)
- Alambic pour la distillation de l'huile de pétrole, par M. Cassels (p.300)
- Nouveau procédé d'extraction du sucre de betterave, par MM. Laffer et Schultz (p.301)
- Fabrication des tuyaux sans soudure, par MM. Laveissière et fils (p.306)
- Machines à fabriquer les roues en fer à rayons, par l'action de la presse hydraulique, par M. Petetin (p.307)
- Traitement de l'huile de lin, par M. Fordred (p.309)
- De la vapeur et de l'air chaud comparés sous le rapport du combustible brûlé, par M. Burdin (p.310)
- Fabrication et raffinage du sucre, par M. Scharwz (p.314)
- Mailloche ou porte-marteau à rhabiller les meules, par M. Défontaine (p.315)
- Plaques de presses pour l'apprêt des tissus, par M. Benoît (p.316)
- Recherches théoriques sur la préparation de la soude par le procédé Le Blanc, par M. Scheurer-Kestner (p.317)
- Nouvelles et notices industrielles. -- Comptes-rendus et communications aux Sociétés savantes. -- Inventions nouvelles. -- Brevets récents (p.319)
- TABLE DES MATIÈRES CONTENUES DANS LES SIX NUMÉROS DU TOME VINGT-SEPTIÈME. 14e ANNÉE DU GÉNIE INDUSTRIEL (p.329)
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CONSIDÉRATIONS SUR LES NAVIRES CUIRASSÉS
Par M. l’Amiral PARIS
Dans une récente communication faite à l’Académie des sciences, M. l’amiral Paris est revenu sur la question qui occupe le plus la marine, celle des navires cuirassés. Cette transformation si radicale des navires de guerre a complètement réussi sur des eaux tranquilles, en ce qu’elle a été réduite au calcul du poids des canons, des ponts et des mâts, supprimés et remplacés par celui des plaques de fer.
Mais il n’en a pas été de même sur une mer agitée, en ce qu’en changeant des poids considérables de position, on a modifié leur réaction sur l’ensemble, parce qu’ils sont alors animés de mouvements violents. Aussi a-t-on observé bientôt que les nouveaux navires, remarquables à tant d’égards, avaient le défaut de rouler plus que les anciennes constructions. 11 en résulte pour eux un double inconvénient, en ce qu’au lieu de batteries superposées, dont les plus hautes sont hors de l’atteinte des vagues, ils ont toute leur force située à peu de hauteur, lm, 70 à 2 mètres au-dessus de la flottaison en calme. Il né faut donc pas des mouvements très-étendus pour les forcer à fermer les sabords, et, de plus, ces mêmes roulis découvrent toutes les six ou huit secondes le bas de la cuirasse, qui n’est qu’à 2 mètres sous l’eàu, qu’en pleine charge et au milieu seulement. De la sorte, ils annulent à la fois ou du moins diminuent beaucoup leur force et leur défense.
Il est donc naturel que cette question importante m’ait préoccupé, observe M. Paris, comme aussi beaucoup d’autres officiers, et qu’elle ait réveillé les souvenirs des anciennes constructions, dont les mouvements étaient, d’un commun accord, moins étendus que ceux des navires plus récents. Ces anciennes formes différaient surtout des nouvelles en ce qu’au lieu de sections circulaires sous l’eau surmontées d’un rectangle en dessus de la flottaison, elles répétaient presque hors de l’eau les courbes qu’elles avaient en dessous. C’est pour cela qu’elles avaient cette forme nommée rentrée, à laquelle on était arrivé à donner tant de grâce. Elle se rapprochait ainsi d’un solide de révolution, dont l’axe serait au ras de l’eau, et qui, s’il était homogène, n’aurait aucune stabilité, puisqu’on le ferait tourner avec le doigt. Mais, par cela même que ce solide ne possède, par sa forme, aucune force pour se maintenir dans une position ou pour y revenir, il n’en a pas non plus pour se détourner de celle que lui imposerait un poids placé loin de son axe. Au contraire, un radeau se tient à plat de lui-même ; mais il est remué par toutes les ondulations de lames. On le voit tous les jours en comparant les barriques flottantes, servant à désigner des hauts-fonds,
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour cette page est de 98,75 %.
La langue de reconnaissance de l'OCR est le Français.
Par M. l’Amiral PARIS
Dans une récente communication faite à l’Académie des sciences, M. l’amiral Paris est revenu sur la question qui occupe le plus la marine, celle des navires cuirassés. Cette transformation si radicale des navires de guerre a complètement réussi sur des eaux tranquilles, en ce qu’elle a été réduite au calcul du poids des canons, des ponts et des mâts, supprimés et remplacés par celui des plaques de fer.
Mais il n’en a pas été de même sur une mer agitée, en ce qu’en changeant des poids considérables de position, on a modifié leur réaction sur l’ensemble, parce qu’ils sont alors animés de mouvements violents. Aussi a-t-on observé bientôt que les nouveaux navires, remarquables à tant d’égards, avaient le défaut de rouler plus que les anciennes constructions. 11 en résulte pour eux un double inconvénient, en ce qu’au lieu de batteries superposées, dont les plus hautes sont hors de l’atteinte des vagues, ils ont toute leur force située à peu de hauteur, lm, 70 à 2 mètres au-dessus de la flottaison en calme. Il né faut donc pas des mouvements très-étendus pour les forcer à fermer les sabords, et, de plus, ces mêmes roulis découvrent toutes les six ou huit secondes le bas de la cuirasse, qui n’est qu’à 2 mètres sous l’eàu, qu’en pleine charge et au milieu seulement. De la sorte, ils annulent à la fois ou du moins diminuent beaucoup leur force et leur défense.
Il est donc naturel que cette question importante m’ait préoccupé, observe M. Paris, comme aussi beaucoup d’autres officiers, et qu’elle ait réveillé les souvenirs des anciennes constructions, dont les mouvements étaient, d’un commun accord, moins étendus que ceux des navires plus récents. Ces anciennes formes différaient surtout des nouvelles en ce qu’au lieu de sections circulaires sous l’eau surmontées d’un rectangle en dessus de la flottaison, elles répétaient presque hors de l’eau les courbes qu’elles avaient en dessous. C’est pour cela qu’elles avaient cette forme nommée rentrée, à laquelle on était arrivé à donner tant de grâce. Elle se rapprochait ainsi d’un solide de révolution, dont l’axe serait au ras de l’eau, et qui, s’il était homogène, n’aurait aucune stabilité, puisqu’on le ferait tourner avec le doigt. Mais, par cela même que ce solide ne possède, par sa forme, aucune force pour se maintenir dans une position ou pour y revenir, il n’en a pas non plus pour se détourner de celle que lui imposerait un poids placé loin de son axe. Au contraire, un radeau se tient à plat de lui-même ; mais il est remué par toutes les ondulations de lames. On le voit tous les jours en comparant les barriques flottantes, servant à désigner des hauts-fonds,
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- Vol. 1. 1851
- Vol. 2. 1852
- Vol. 3. 1852
- Vol. 4. 1852
- Vol. 5. 1853
- Vol. 6. 1853
- Vol. 7. 1854
- Vol. 8. 1854
- Vol. 9. 1855
- Vol. 10. 1855
- Vol. 11. 1856
- Vol. 12. 1856
- Vol. 13. 1857
- Vol. 14. 1857
- Vol. 15. 1858
- Vol. 16. 1858
- Vol. 17. 1859
- Vol. 18. 1859
- Vol. 19. 1860
- Vol. 20. 1860
- Vol. 21. 1861
- Vol. 22. 1861
- Vol. 23. 1862
- Vol. 24. 1862
- Vol. 25. 1863
- Vol. 26. 1863
- Vol. 27. 1864
- Vol. 28. 1864
- Vol. 29. 1865
- Vol. 30. 1865
- Vol. 31. 1866
- Vol. 32. 1866
- Vol. 33. 1867
- Vol. 34. 1867
- Vol. 35. 1868
- Vol. 36. 1868
- Vol. 37. 1869
- Vol. 38. 1869
- Vol. 39. 1870
- Vol. 40. 1870
- Vol. 41. 1863. Table alphabétique et raisonnée des matières contenues dans les 24 premiers volumes, années 1851 à 1862
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